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Full text of "Palaeontologische Mittheilungen aus dem Museum des Koeniglich-Bayerischen Staates"

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Museum of Comparative Zoology 


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PALAEONTOLOGISCHE 
MITTHRILUNGEN 


AUS DEM 


MUSEUM DES KOENIGL. BAYER. STAATES. 


a BAND. 


FÜNFTE ABTHEILUNG. 


DIE ECHINIDEN DER STRAMBERGER SCHICHTEN 
; 


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GUSTAVE COTTEAU. 


CASSEL. 
VERLAG VON THEODOR FISCHER. 
1884. 


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Ausgegeben im November 1884. 


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PALAEONTOLOGISCHE 
MITETHEIELUNGEN 


AUS DEM 


MUSEUM DES KOENIGL. BAYER. STAATES, 


HERAUSGEGEBEN 
voN 


D" KARL ALFRED ZITTEL, 


0. Ö. PROFESSOR AN DER UNIVERSITÄT MUENCHEN, CONSERVATOR DES PALARONTOLOGISCHEN MUSR UMS, 


A. O0. MITGLIED DER KÖFNIGL. BAYER. AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN, 


DRITTER BAND. 


GASSEL. 
VERLAG VON THEODOR FISCHER. 
1884. 


PALAEONTOLOGISCHE STUDIEN 


UBER DIE 


GRENZSCHICHTEN DER JURA- UND KABIDE-FORMATION 


IM GEBIETE 


DER KARPATHEN, ALPEN UND APPENNINEN. 


FUNFTE ABTHEILUNG. 


DIE ECHINIDEN DER STRAMBERGER SCHICHTEN 


GUSTAVE COTTEAT. 


TEXT. 


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CASSEL,. 

VERLAG VON THEODOR FISCHER 
1334. 


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Les Echinides des couches de Stramberg 


par 


Gustave Cottean, 


ancien president de la Societe geologique de France. 


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Cost avee un grand interet que nous avons &tudie les Echinides 
relativement assez abondants qu’on rencontre dans les calcaires de Stramberg. 
Bien que nos exemplaires, A quelques exceptions pres, soient mal conserves, 
incomplets, empatds dans la roche et souvent A V’etat de moule interieur, 
il nous a &t@ possible cependant, pour toutes les especes deerites et fieurdes, 
d’arriver A des döterminations preeises et que nous avons tout lien de eroire 
exactes. Au fur et ä mesure que nous ayancions dans notre travail, nous 
tions frappe du petit nombre des esp&ces partienlieres aux couches de 
Strambere. En ce qui eoneerne les Cephalopodes, les Gasteropodes, les 
Acephales etc. ete, MM. Zittel et Boehm ont reconnu un grand nombre 
de types nouyeaux et propres jusqu’ici A cet horizon geologique; il en est 
tout diff&rement des Echinides: la plupart des especes que nous avons de- 
termindes ont d&ja &t€ signaldes dans d’autres depots; quelques unes d’entre 
elles sont pour ainsi dire les especes les plus classiques des reeifs coralliens 
da terrain jurassique superieur de Ja France, de Ja Suisse et de V’Alle- 
magne. Leur &tude n’en est que plus interessante et ne peut laisser auceune 
incertitude sur le lien &troit qui rattache les eouches A Echinides de Stram- 
berg A nos divers depots de V’&tage corallien. 

Nous n’avons donne la synonymie detaillee des especes deja connues 
que lorsque cette synonymie differait en quelques points de celle publice 
par les auteurs. Pour la synonymie de la plupart des especes, nous avons 


renvoye soit A Ja Pal&ontologie francgaise, soit A ’Echinologie hel- 


vetique; nous avons indique &galement ces ouyrages pour les deseriptions 
que la mauvaise conservation de certains exemplaires nous obligeait A rendre 
trös incomplötes. Les diverses localit6s ou chacune des especes deerites a 
te preecdemment rencontree et le niveau stratigraphique qu’elles occupent 
ont 6t€ signalds avec son. 

La plus grande partie de nos exemplaires nous ont &t@ adresses par 
M. Zittel et appartiennent au Musde de Munich; d’autres, en assez grand 
nombre, nous ont &t& confies par M. Fuchs, direeteur de P’Institut geologique 
de Vienne, et M. Hauer. M. Hebert, professeur de geologie A la Sor- 
bonne, nous en a communiqud quelques uns recueillis par Iui meme soit A 
Stramberg, soit ä Inwald dans une couche qui est au m&me niveau que les 


cealcaires de Strambere. 


AUXERRE, 30, Juillet 1884. 


G. Cotteau. 


/ 


Les Eehinides des eouches de Stramberg. 1 


Eehinodermata. 
Echinoidea. 


I. Metaporhinus, Michelin, 1844. 


En deerivant les Echinides des couches de Rogoznik nous avons donne, 
sur le genre Metaporhinus, quelques documents quil nous parait inutile de 
rappeler. 

L’espece qu’on rencontre dans les calcaires de Stramberg est la m&me 
que celle que nous avons precedemment deerite et figuree, Metaporkinus con- 
verus auquel nous avons reuni depuis le Metaporhinus transversus que nous 
considerions alors comme une espece voisine, mais distincte. 


1). 1. Metaporhinus convexus (Catullo), Cotteau, 1870. 
pl. 1. fig, 1-5. 


1827. Nucleolites convexus, Catullo, Saggio di Zoologia fossile, p. 228, pl. 11, fig. G. g. 

1846. Dysaster altissimus, Zeuschner, Nowe lub niedokladnie opisane gatunki. 
t. II, fig. 7. 

1853. Collyrites transversa, D’Orbigny, Paleontol. francaise, terrain eretace, t. VI. 
p- 90. 

1554. — _ D’Orbiguy, Revue et Magasin de Zoologie, 2. ser., 
BOVIED728: 

1857. _ -- Desor, Synopsis des Echin. foss., p. 208. 

1859. — _ Wright, Monog. of the Brit. foss. Echinod. from the 


oolith format., p. 326. 

1867. Metaporhinus Munsteri, Üotteau, Note sur les calcaires ä Terebratula diphya 
de la Porte de France, Comptes rendus de l’Institut, 
t. LXIV, p. 1055. 

1867. Metaporhinus tramsversus, Cotteau, Pal&ontol. francaise, terrain jurassique, p. 28, 
pl. IV (exel. partie des synonymes). 

1868. == — Pictet, Etude provisoire des foss, de la Porte de France, 
p- 205. 

1570. Aletaporhinus convexus, Cotteau in Zittel, Palaeontol. Studien über die Grenz- 
schichten der Jura- und Kreideformation im Gebiete 
der Karpathen, Alpen und Apenninen, vol. II, p. 


269, pl. XXXIX, fig. 14. 
Palaeontologische Mittheilungen. Bd. 3. li 


2 Les Echinides des couches de Stramberg. 


1872. Metaporhinus convewus,  Pexon, sur l’etage tithonique en Algerie, Bull. soc. 
geol. de Frauce, 2. ser., t. XXIX, p. 187. 


1873. u E— Desor et de Loriol, Echinologie helvetique, termain 
jurassique p. 83, et terrain eretace, pl. 1, fig. 10—15. 

1874. _ _ Ootteau, Paleont. frangaise, terrain jurassique, t. IX, 
p. 504. 

1875. — _ Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, 
Ann. des sc. geologiques, p. 17, pl. I, fig. 1—11. 

1875. _ _ Pillet, Description geol. et paleont. de la colline de 
Lentenc, p. 33, pl. IV, fig. 24—26. 

1880, = — Coquand, Etudes suppl. sur la palsont. algerienne, p. 
223, Bull. de l’academie d’Hippone. 

1884. = — 6. Böhm, Register zum zweiten Band der palaeonto- 
logischen Mittheilungen, p. 28. 

1884. — _ Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, 


2. fascieule, p. 17, pl. I, fig. 1—11. 


Dimensions. 


Hauteur: 19 mill. 

Diametre antero-posterieur: 20 mill. "/,. 

Diametre transversal: 20 mill. 

Nous ne reviendrons pas sur la description detaillee que nous avons 
donnee en 1870. Les exemplaires des calcaires de Stramberg et de Koniakau 
sont en general de petite taille, mais absolument semblables par leur aspect 
et leurs caracteres A ceux beaucoup plus nombreux rencontres dans les 
couches de Rogoznik. 

Localites: Stramberg, Koniakau. Musde de Munich, Geologische 
Reichsanstalt (Vienne). 

Le Metaporhinus convenus a «t& signale A la Porte de France pres 
Grenoble (Isere), a Escragnolles (Var), ä& Lemene (Savoie), (France); il se 
vencontre en Algörie, a Foum-Soubella, ä Foum-Anouel (Djebel Bou-Thaleb), 
ä Teniet-Afghan (Djebel Afghan), au sud de Setif; il existe egalement ä Cabra 
(Andalousie). Presque partout l’espece est assez abondante et caracterise la 
zone a Terebratula janilor. 


pl. 1. fig. 1. Metaporhinus convexus, vu de cöte. Stramberg. 
2. Le meme, vu sur la face superieure. 

3. Le m@me, vu sur la face inferieure, 

fig. 4. Le me&me, vu sur Ja region anterieure, 

flg. 5. Le m&me, vu sur la region posterieure. 


fig. 


fig. 


11. Collyrites, Des Moulins, 1835. 


Une seule espece de Collyrites, tres rare, a &t& recueillie dans les cal- 
caires de Stramberg, Collyrites carinata. Deux especes de grande taille et 


Collyrites. 3 


beaucoup plus communes se sont rencontrees dans les couches plus inferieures 
de Rogoznik, de Noriglio ete., mais elles n’en franchissent par les limites. 


2). 1. Collyrites carinata, Des Moulins, 1837. 
pl. 1. fig. 6—9. 
Voyez pour la synonymie ainsi que pour Ja deseription de cette espece, 


Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. IX, p. 80; il y a lieu 
d’ajouter & la synonymie: 


1567. Colly rites carinata, Oppel, Ueber die Zone des Ammonites transversarius in 
> Y DL 
geogn. paleont. Beitr., t. I, p. 299. 


1367. - 2 Cotteau, Paleont. frangaise, terrain jurassique, t. IX, p. 80, 
pl. XVII. 

137 _ — Pillet, L’etage tithonique a Lemene, Arch. biblioth. univers. 
Geneve, t. XL, p. 137. 

1872 _ _ Desor et de Loriol, Echinologie helvetique, terrain jurassi- 
que, p. 373, pl. LIX, fig. 9—-11a. 

1872 — — Peron, Sur l’ötage tithonique en Algerie, Bull. soc. geol. de 
france, 2. ser., t. XXIX, p. 187. 

1375 = - Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, p. 21, 
pl. 1, fig. 12--15, Ann. des sc. geologiques. 

1875 — — Pillet, Deseript. geol. et paleont. de la colline de Lemene, 
p. 34, pl. IV, fig. 22 et 23. 

1880. — _ 


Coquand, Etudes suppl. de la palöont. algerienne, p. 217, 
Bull. de ’Academie d’Hippone. 
1884. — —_ Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, 2. 
faseicule, p. 22, pl. I, fig. 12—18. 

Deux exemplaires de cette espece proviennent des calcaires de Stram- 
berg; ils sont de tres petite taille et pr&sentent cependant parfaitement les 
caracteres du type: forme allongee; face sup£rieure renflee, arrondie en avant, 
subcarenee et fortement acuminde en arriere; face inferieure lögerement pulvinde, 
deprimee en avant du peristome, offrant, dans la region posterieure, au milien 
de l'aire inlerambulacraire posterieure, un renflement apparent; sillon anterieur 
presque nul; peristome rapproche du bord; periprocte arrondi, situe a l’extre- 
mite inferieure de la face posterieure, un peu au dessous de l’ambitus et de 
maniere a tre vu seulement de la face inferieure. 


Rapports et differences. Le plus petit de nos exemplaires, qui est 
en meme temps le mieux conserve, offre, au premier aspect, beaucoup de 
ressemblance avec le Collyrites ovwulum, assez abondant dans les couches de 
l’ötage neocomien moyen; il en differe par sa forme plus allongee, moins 
arrondie et moins dilatee en avant, plus sensiblement carende dans la region 
posterieure. 

Localite: Stramberg, tres rare. Musde de Munich. 

Cette espece se rencontre en France dans le terrain jurassique superieur 
de Lemenc (Savoie) et de Crussol (Ardeche). En Algerie, elle a ‚etc recuillie 

1 


4 Les Echinides des conches de Stramberg. 


a Foum-Soubella, a Foum-Anouel (Debel Bou-Thaleb), (dep. de Constantine). 
En Suisse, M. de Loriol la signale dans les couches ä Ammonites lenwilobatus 
de Baden, Dielstorf, Endingen (Argovie) etc. et de Randen (Schaffouse). 


pl. 1. fig. 6. Oollyrites carinata, vu de cöte. Stramberg. 


=D 


7. Le möme, vu sur la face superieure. 
I 
. 8. Le möme, vu sur la face inferieure. 
o 4} 
fig. 9. Le meme grossi, vu sur la face inferieure. 


II. Pachyelypeus, Desor, 1857. 


Le genre Pachyelypeus a &t& “tabli par Desor, en 1857, dans le Sy- 
nopsis des Echinides fossiles. L’espece qui lui sert de type, la seule 
connue Jusqwici, decrite et figurde par Goldfuss, en 1826, a &t& placde suc- 
cessivement dans les genres Naureleolites, Calopygus, Dysaster, et c'est avec 
beaucoup de raison que Desor a er&& pour elle le genre Pachyelypeus, adopte 
depuis par tous les auteurs, 

Dans les Echinides de l’Algerie, M. Gauthier a design‘, sous le nom 
Ilnfraelypeus, un genre qui se rapproche beaucoup, par sa physionomie 
generale, des Pachyelypeus, mais qui cependant en differe d’une maniere posi- 
tive par son periprocte s’ouvrant A la face inferieure au lieu d’&tre marginal, 
et par la presence d’un löger sillon remontant du periprocte au sommet 
apical. Le genre Infrachypeus n'est reprösente jusqu’ici que par une seule 
espece, Infraclypeus thalebensis qui n’a &t6 recueilli qu’en Algerie, et appartient, 
comme le Pachyelypeus semiglobus, au terrain tithonique. 


>). 1. Pachyclypeus semiglobus (Goldfuss), Desor, 1857. 
pl. 1. fig. 10—12. 


Voyez pour la synonymie et la description de cette espece, la Pal&on- 
tologie francaise, terrain jurassique, p. 390 et 523. 

Trois exemplaires seulement de cette espece ont et rencontres dans les 
calcaires de Stramberg ; ils sont A l’&tat de moules interieurs fort mal conserves, 
tres incomplets et permettent cependant de reconnaitre, d’une maniere certaine, 
les caractöres de l’espöce. Leur taille, leur forme renflöe, subeireulaire, arrondie 
en avant, epaisse sur les bords, Ja structure et la disposition de leurs aires 
ambulacraires sont absolument les m&mes que dans le type; ils ne paraissent 
en differer que par leur peristome excentrique en avant, au lien d’etre A peu 
pres central. 

Localites: Stramberg, Koniakau, rare. Musde de Munich. 

Le Pachyelypeus semiglobus a et signale A Thalmaessing, en Baviere; A 
la montagne de Crussol (Ard&che), en France, et ä Lägern, Randen (Argovie), 
en Suisse. 


Pachyelypeus — Pseudodesorella. 5 


pl. 1. fig. 10. Pachyelypeus semiglobus, vu de cöte, Koniakau. 

fig. 11. Le möme, vu sur la face superieure. 
fig. 12. Le möme, vu sur la face inferieure. 

Les exemplaires du Musde de Munich &taient dessines, lorsque M. Hauer 
nous a envoy6& un &chantillon de cette esp£ce, recueilli a Stramberg, et dont la 
conservation ne laisse rien ü desirer: sa taille est grande, sa forme subcirculaire, 
ovale, lögerement rötröcie en arriere; sa face superieure est renflde, uniforme- 
ment bombee, un peu plus haute dans la region posterieure qu’en avant; 
sa face inferieure est plane, subconcave au milieu. Le sommet ambulacraire 
presque central est cependant un peu rejet@ en arriere, et les aires ambula- 
craires etroites & leur extremite sont un peu £cartees. Le peristome sub- 
eireulaire, un peu allonge, vaguement pentagonal s’ouvre dans une depression 
assez apparente du test et occupe ä peu pres le milieu de la face inferieure. 
Le periprocte elliptique, ä fleur de test est plac& & la partie superieure d’un 
sillon renfl& sur les bords, vague, attenue, se prolongant ä la face inferieure, 
mais disparaissant avant d’arriver au peristome. ÜOet echantillon ne saurait 
&tre distingue des types les memes caracterises du Pachyelypeus semiglobus 
de Baviere, de France et de Suisse. 


IV. Pseudodesorella, Etallon, 1859. 


Le genre Pseudodesorella ne saurait etre confondu avec aucun autre: 
ses pores ambulacraires de structure petaloide, son periprocte situe A la 
face superieure dans un sillon profond, son appareil apical muni d’une plaque 
madreporiforme tr&es etendue le rapprochent des Olypeus, mais- il s'en distingue 
d’un autre cöte par sa forme gendrale plus large que longue, par ses zones 
poriferes faiblement petaloides, par sa face införieure tres pulvinde, par son 
peristome transversalement pentagonal et completement depourvu de floscelle. 
Le genre Pseudodesorella, par ensemble de les caracteres, se place naturelle- 
ment ä la fin de la famille de Cassidulidees; ıl ne renferme jusqu'ici qu/une 
seule espece, Pseudodesorella Orbignyi. 


4). 1. Pseudodesorella Orbignyi (Cotteau), Etallon, 1859. 
pl. 1, fig, 13—18. 
Voyez pour la synonymie et la description detaillee de cette espece, Pale- 
ontologie francaise, terrain Jurassique, t.IX, p. 326; il y a lieu d’ajouter: 


1873. Pseudodesorella Orbignyi, Cotteau, Paleont. franc. terrain jurassique, t. IX, p. 
326, pl. LXXXIV et LXXXV. 


1873. — _ Cotteau, Oursins jurassiques de la Suisse, Bull. soc. 
geol. de France, 3. ser., t. 1, p. 85. 
1883. _ _ Cotteau, Echin. jurassiques, eretaces, eocenes du sud- 


ouest de la France, p. 101, 


6 Les Echinides des couches de Stramberg. 


Dimensions. 


Individu de grande taille: hauteur: 34 mill. 
diametre antero-posterieur: D4 mill. 
diametre transversal: 70 mill. 
Individu jeune: hauteur: 18 mill. 
diametre antero-posterieur: 28 mill. 
diametre transversal: 36 mill. 

Aucun doute ne saurait exister sur l’identit& des &chantillons des 
calcaires de Stramberg et des exemplaires qui proviennent du terrain jurassi- 
que de France et de Suisse. Nous avons sous les yeux sept individus recu- 
eillis a Stramberg et appartenant ä differents ages; ils sont bien conserves 
et parfaitement caracterises par leur forme generale sensiblement plus large 
que longue, presque droite, & peine arrondie en avant, quelque fois möme 
legerement ächancree, subanguleuse en arriere, par leur face inferieure forte- 
ment pulvinde, marqude de depressions qui recouvrent les aires ambulacraires 
et convergent directement vers le peristome, par leurs aires ambulacraires 
subpetaloides, par leur peristome pentagonal, transversalement allonge, de- 
pourvu de floscelle, s'ouvrant au milieu des renflements de la face inferieure, 
par leur periprocte allonge, aigu, piriforme, tres rapproche du sommet, place 
dans un sillon profond qui s’evase, s’attenue et disparait completement 
avant d’arriver & l’ambitus. 

Localites: Stramberg, Koniakau, assez rare. Musee de Munich. 
Geologische Reichsanstalt (Vienne). 


En France, cette curieuse espece a ete rencontree successivement A An- 
dryes, ä Merry-sur-Yonne (Yonne) et & Valfin (Jura) dans le Corallien inferieur ; 
Aa St. Martin-sur-Armancon (Yonne), dans le Corallien superieur; ä Angouleme 
(Charente), dans l’&tage kimmeridgien. En Suisse, cette espece a &t& signalde 
par M. de Loriol a Tariche (Jura bernois) associee a |’ Acrosalenia aspera. 

pl. 1. fig. 13. Pseudodesorella Orbignyi, vu de cöte. Stramberg. 

fig. 14. Le möme, vu sur la face superieure, 
fig. 15. Le meme, vu sur la face införieure. 
fig. 16. Individu jeune, vu de cöte. Stramberg. 
fig. 17. Le möme, vu sur la face superieure. 
fig. 18. Le möme, vu sur la face inferieure, 


vV. Holectypus, Desor, 1842. 


Le genre Holectypus a &t& söpare par Desor des Discoidea,; il s’en 
distingue par ses tubercules relativement plus developpes ä la face inferieure, 
par son periprocte plus grand et surtout par l’absence de carenes interienres 
qui ont laisse sur le moule des Discoidea de si profondes empreintes. Nous 
avons divise les Holeetypus en deux groupes bases sur Ja structure de 


Holectypus. 7 


l’appareil apical, compose tantöt de cing plaques genitales perforees et tantöt 
de quatre seulement. Toutes les especes jurassiques sans exception appar- 
tiennent jusqu’ici au second groupe. 

Le genre Holectypus fait. son apparition dans l’etage bajocien et se 
rencontre dans toute la serie des terrains jurassiques; il existe @galement ä 
l’epoque cretacde, mais les especes sont moins nombreuses et disparaissent 
avec les dernieres assises de cette formation. 

Les calcaires de Stramberg nous ont offert deux especes, Holeetypus 
corallimus et orificiatus veprösentes par des echantillons incomplets et qui 
nous laissent quelque doute sur leur identite. 


5). 1. Holectypus corallinus, d’Orbigeny, 1850? 
pl. 1. fig. 19 et 20. 


Les deux exemplaires que nous avons sous les yeux sont assez mal 
eonserves, et ce nest pas sans quelque hösitation que nous les rapportons 
a l’Holectypus corallimus. Un de ces @chantillons, par sa taille et par sa face 
superieure uniformement bombee, rapelle tout ä& fait le type deerit et figure 
par M. de Loriol dans l’Echinologie helvötique. Nos exemplaires de France, 
aftectent en general une forme plus pentagonale & l’ambitus et plus conique 
en dessus; malheureusement les petits tubereules et les granules qui se montrent 
sur quelques parties du test sont trop peu distincts pour quwil soit possible 
de constater leur disposition. L’appareil apical est compacte; les plaques 
genitales sont finement perfordes et tres petites, & l’exception de la plaque 
madreporiforme qui se prolonge au centre de l’appareil; la plaque genitale 
impaire parait imperforde; les plaques ocellaires sont anguleuses et tres pen 
developpees. 

Localite: Stramberg, rare. Geologische Reichsanstalt (Vienne). 

L’Holeetypus corallinus se montre dans plusieurs tages: Nous l’avons 
rencontre, en France, & Laignes (Uöte-d’or), dans l’ötage argovien; & Chatel- 
Censoir et & Druyes (Yonne), & Champlitte (Haute-Saone), dans les calcaires 
ä chailles et l’&tage corallien införieur; ä Angoulöme (Charente-inferieure), 
dans l’&tage corallien superieur; au Havre (Seine inferieure), a Gye-sur-Seine 
(Haute-Marne), a Bar-sur-Aube, aux Riceys (Aube) etc., dans l’etage kimmerid- 
gien; a Gray-la-ville (Haute-Saone), dans l’&tage portlandien. En Suisse, 
Desor et M. de Loriol le signalent egalement dans plusieurs etages, ä 
Develier dessus (Jura bernois), dans les calcaires A chailles, a Wangen pres 
Olten, a Wöschnau etc. (Soleure), dans l’etage sequanien; & Egerkingen, Geis- 
berg etc., dans l’ötage pterocerien. En Allemagne, l’Holectypus corallinus a 
ete recueilli a Goslar, ä Galgenberg pres Hildesheim, ä Hoheneggelsen, & Linden, 
a Monkeberg, ä Lauenstein, dans le terrain corallien, ä Tönniesberge, dans 
le terrain kimmeridgien. 

pl. 1. fig. 19, Holectypus corallinus sur la face superieure. Stramberg. 

fig. 20, Autre exemplaire, vu sur la face inferieure. Stramberg, 


8 Les Echinides de couches de Stramberg. 


6). 2. Holectypus orificiatus (Schlotheim), de Loriol, 1871. 
pl. 1, fig. 21 et 22, 


Nons rapportons a l’Holeclypus orificialus un exemplaire unique dont 
la face inferieure est empatee dans la roche; la face superieure et l’ambitus 
sont seuls apparents et presentent bien les caracteres du type. est le 
möme aspect, Ja möme face superieure haute, renflöe, subh&mispherique, le 
möme ambitus &pais et arrondi. Le rapprochement cependant n’est que 
provisoire et ne deviendra certain que lorsque nous connaitrons la face 
inferieure et que nous pourrons constater la grandeur du periprocte et la pe- 
titesse relative du peristome. 


Localite: Stramberg, tres rare. Musde de Munich. 


En Allemagne, cette espece a et& signalde a Bühl pres Riederen (Grand- 
Duche de Bade), a Amberg (Baviere). En France, l’espece s’est rencontree ä 
Grenoble (Isere), et dans le terrain corallien superieur de Montbeliard (Doubs). 
l’Holectypus orifieiatus n'est pas rare en Suisse, dans les couches de Baden 
(etage sequanien) & Lägern, Randen, Baden, Endingen (Argovie), a Löchli 
pres Schönenwerth (Soleure). = 


pl. 1. fig. 21. Holectypus orificiatus, vu de cöte. Stramberg. 
fig. 22. Le m6me, vu sur la face superieure. 


vI. Pyrina, Des Moulins, 1835. 


Le genre Pyrina etabli par Des Moulins comprend un ensemble 
d’especes que caracterisent leur taille mödiocrement developpee, leur forme 
epaisse, renflde, presque toujours un peu allongee, leur peristome subdecagonal 
et oblique, leur periprocte posterieur ou supramarginal. 

Le genre Pyrina commence ä se montrer dans le terrain jurassique oü 
il est represente par deux especes: l’une, Pyrina Guerangeri provenant de 
l’ötage bathonien et la seconde, Pyrina ticaumensis appartenant & letage 
corallien. Ce genre atteint son maximum de developpement a l’epoque cre- 
tacde et disparait avec les couches inferieures du terrain tertiaire. Dans lori- 
gine, nous avions place nos deux espöces jurassiques dans le genre Desorella 
ot elles formaient un petit groupe distinct, mais plus tard, dans la Paleon- 
tologie francaise, nous rangeant ä l’opinion de M. de Loriol (Echinol. 
helv., terr. jurass., p. 287), nous les avons reunies au genre Pyrina. 

Une de ces especes, Pyrina ieaumensis, s’est rencontree dans les calcaires 
de Stramberg. 


Pyrina. 9 


7). 1. Pyrina icaunensis (Cotteau), de Loriol, 1871. 
pl. 11, fig. 1-6. 


Les echantillons nombreux que nous connaissons de cette espece sont 
d’une belle conservation et nous permettent d’en donner une description de- 
taillee. Non renvoyons pour Ja synonymie soit A l’Echinologie helvetique, 
p. 287, soit ä la Pal&ontologie francaise, t. IX, p. 396. 


Dimensions. 
Hauteur: 20 mill. 
Diametre antero-posterieur: 35 mill. 
Diametre transversal: 29 mill. 

Individu plus jeune: Hauteur: 16 mill. '/,. 

Diametre antero-posterieur: 29 mill. 
Diametre transversal: 23 mill. 

Espece de taille moyenne, oblongue, arrondie en avant et en arriere, 
tres l&gerement tronqude dans la region posterieure; face superieure peu 
elevee, rögulierement convexe, un peu declive en arriere, epaisse et renflee 
sur les bords; face inferieure subpulvinde, ä peine deprimde au milieu. Sommet 
ambulacraire subexcentrique en avant. Aires ambulacraires etroites a leur 
partie superieure, convergeant directement du sommet au peristome, indgales, 
les posterieures plus larges que les autres et lögerement recourbees pres du 
sommet. Zones poriferes lineaires, A feur de test, composees de pores simples, 
tres petits et tres serres A la face superieure, plus espac6s et plus obliguement 
disposes vers l’ambitus et ä la face inferieure, tendant a se multiplier autour 
du peristome. Tubercules de petite taille, cröneles, perfores et scrobicules, 
epars et peu abondants ä la face superieure, plus nombreux et plus serr&s 
vers le pourtour du test, et augmentant lögerement de volume ä la face 
inferieure. Peristome ä peu pres central, un peu rejete en avant, allong£, obli- 
que, marque de tres petites entailles qui lui donnent un aspect subdecagonal, 
s’ouvrant dans la partie concave de la face inferieure. Periprocte allonge£, 
acumine au sommet, large, subpiriforme, place en dessus tr&es pres du centre. 
Appareil apical subcompacte, granuleux, compos& de quatre plaques genitales 
et de cing plaques ocellaires; les plaques genitales sont indgales, pentagonales; 
la plaque madreporiforme, plus developpee que les autres, se prolonge au 
centre de l’appareil ; les deux plaques posterieures se touchent par le milieu; 
la cinquieme plaque genitale fait entierement defaut. Les trois plaques 
ocellaires anterieures, petites et subtriangulaires, s’articulent a la base externe 
des plaques genitales; les deux autres plaques, un peu plus grandes, sont 
placees directement au dessous des plaques genitales posterieures et se touchent 
par le milien. 

Rapports et differences. Cette espece se distingue de ses conge- 
neres par sa taille assez forte, par sa forme allongee, ovoide, pulvinee & la 


10 Les Echinides des couches de Stramberg. 


face inferieure, par son periprocte tr&s grand, piriforme, rapproche du sommet, 
et occupant une partie de la face superieure. Les exemplaires de Stramberg 
presentent parfaitement les caracteres du type et ne sauraient en Ötre söpares; 
les individus jeunes sont relativement plus &pais, plus trapus, et le p@riprocte 
parait plus etendu. 

Localites: Stramberg, Chlebowitz, assez commun. Musee de 
Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne). 

Cette espece a ete recueillie dans l’e&tage corallien, en France, a Merry- 
sur-Yonne (Yonne), a Champlitte (Haute-Saone) et a Valfın (Jura): en Suisse 
a Wimmis (Berne), et au mont Saleve (Geneve). — 

pl. 11. fig. 1. Pyrina veaumensis, vu de cöte, Stramberg. 

fig. 2. Le möme, vu sur la face superieure. 


fig. 3. Le möme, vu sur la face införieure. 
fig. 4. Le meme, vu sur la region anale. 
fig. 5. Appareil apical et portion de la face superieure grossis, pris sur un indi- 


vidu provenant de Chlebowitz, du Musee de Munich. 
fig. 6. Autre exemplaire, vu sur la face superieure. Stramberg. 


vH. Pygaster, Agassiz, 1836. 


Le genre Pygaster est cavracterise par sa grande taille, par sa forme 
subpentagonale, par sa face superieure renflde, quelquefois subconique, par 
ses tubercules perfores et non cr@nel6s, par son peristome central, largement 
developpe, ınuni d’entailles qui souvent ont laisse de profondes empreintes 
sur le moule interieur, par son periprocte piriforme, tr&s developpe, oceupant 
une grande partie de l’espace compris entre le bord posterieur et le sommet, 
par son appareil apical compacte, remargquable par le developpement conside- 
rable de la plaque madr£@poriforme. 

Le genre Pygaster se partage en deux groupes: le premier comprend les 
especes dont les pores sont virguliformes dans les rangees externes et dont 
les tubercules, toujours espac6s,. sont disposös en series verticales ä peine di- 
stinctes; le second groupe renferme les especes chez lesquelles les pores sont 
homog£enes et arrondis dans les deux rangees, et les tubercules disposds en 
series rögulieres. 

Le genre Pygaster se montre pour la premiere fois dans les couches 
superieures du lias et se rencontre dans tous les etages du terrain jurassique; 
il abonde surtout dans les couches coralliennes. Le genre existe encore A 
l’epoque cretacee, mais il y est trös rare et ne depasse pas l’&tage cenomanien. 

Les calcaires de Stramberg nous ont offert une seule esp£ece de Pygasler, 
P. Gressiyt, appartenant au second groupe; elle y est rare et representee par 
deux exemplaires. 


Pygaster. 11 


[6] 
— 


1. Pygaster Gresslyi, Desor, 1842. 


pl. 11. fig. 7—9. 


Voyez pour la synonymie et la description de cette espece Paleon- 
tologie francaise, terrain jurassique, t. IX, p. 484. 


Dimensions. 

Hauteur: 21 mill. 

Diametre antero-posterieur: 38 mill. 

Diamötre transversal: 42 mill. 

L’exemplaire de Stramberg que nous avons sous les yeux est un peu 
ecras6 et assez mal conserve. Son identit# cependant ne nous parait pas 
douteuse: sa taille est moyenne et le diametre antero-posterieur, tout en 
tenant compte de la depression que lindividu a subie, est sensiblement moins 
etendu que le diametre transversal; sa face superieure est uniformement 
bombee, tres &paisse sur les bords, un peu declive dans la region posterieure; 
sa face inferieure est subpulvindge et legerement concave au milieu. Les 
aires ambulacraires sont un peu renfldes, inegales, les posterieures moins 
longues que les autres et recourbees A leur exträmite superieure; les zones 
poriferes sont droites et composdes de pores egaux, arrondis, serres, places 
horizontalement et tr&s regulierement A la face superieure. Deux rangees 
multiples de tubercules, presqu’aussi gros en dessus que dans la region 
inframarginale, garnissent les aires ambulacraires et interambulacraires. Le 
peristome est subcirculaire, mediocrement developpe, muni d’entailles appa- 
rentes. Le periprocte trös grand, large, piriforme, arrondi a l'extremite oceupe 
au moins les deux tiers de l’espace compris entre le sommet et le bord 
posterieur. 

Localite: Stramberg, tr&ös rare. Musde de Munich. 

Cette espece caracterise les couches inferieures et moyennes de l’etage 
corallien. En France, elle a &t& recueillie, dans les couches inferieures, & 
Trouville (Calvados), a Selongey (Cote-d’or), a Bazoches (Nievre), a Saulces-aux- 
bois (Ardennes), et dans les couches superieures ou s@quaniennes, ü Tonnerre 
(Yonne), a Angoulin (Charente inferieure), & Roedersdorf (Haut-Rhin) et a la 
base de Molidane (Algerie). En Suisse, elle parait propre a l’etage söquanien, 
et dans l’Echinologie helvetique, elle est indiquee ä Erschwyl (Soleure), 
ä Montchaibeux, Blauen (Jura bernois) et ä St. Croix (Vaud). 

pl. 11. fig. 7. Pygaster Gressiyi, vu de cöte. Stramberg. 

fig. 8. Le meme, vu sur la face superieure. 
fig. 9. Le möme, vu sur la face inferieure. 

Un second exemplaire du Pygaster Gresslyi, mieux conserve que celui 
que nous avons deerit, nous a 6t€ communiqu6 par le Geologische Reichsan- 
stalt, trop tard ponr ätre figure. La face inferieure est engagee dans la roche, 
mais la face superieure, parfaitement conservee, presente tres bien les carac- 
teres du type. 


12 Les Echinides des couches de Stramberg. 


vım. Cidaris, Klein, 1734. 


Le genre Crdaris sera toujours facilement reconnaissable a ses zones 
poriferes plus ou moins flexueuses, formdes de pores simples non conjugues par 
un sillon et ne se multipliant jamais pres du peristome, A ses aires ambu- 
lacraires troites et garnies de simples granules, A la grosseur de ses tubercules 
interambulacraires, ä l’absence complete de tubercules secondaires, ä son 
peristome subeirculaire et depourvu d’entailles. 

Tres nombreux en especes, le genre Cidaris est, de tous les genres 
d’Echinides, celui qui a persist& le plus longtemps; il fait son apparition 
dans les couches du terrain carbonifere; il existe & l’Epoque triasique et 
multiplie ses espöces dans tous les etages des terrains jurassique, - eretace 
et tertiaire. Aujourdhui encore, il compte des representants dans la plupart 
de nos mers. Le genre Cidaris parait atteindre, A l’Epoque corallienne, le 
maximum de son developpement. 

Neuf especes ont te recueillies dans les couches de Stramberg: 


9). 1. Cidaris glandifera, Goldfuss, 1826. 
pl. 11. fig. 10-25. 


Voyez pour la synonymie de cette espece, Echinologie helvetique, 
terrain jurassique, p. 94, et Pal&£ontologie francaise, terrain Ju- 
rassique, t. X, 1. partie, p. 191. 

Tout en renvoyant ä ces synonymies, nous devons en retrancher les 
eitations qui precedent celle de Goldfuss remontant ä 1826; ces citations, 
dans lesquelles l’espece est designee sous le nom de glandaria, s’appliquent 
a des radioles recueillis en Orient, longtemps consideres comme appartenant 
au terrain jurassique et que M. O. Fraas a demontre provenir de l'etage 
cenomanien. 

Le test du Cidaris glandifera est vepresente dans les calcaires de Stram- 
berg par trois exemplaires incomplets, mais qui nous permettent cependant 
de reconnaitre l’espece et d’en donner la description. 


Dimensions. 


Hauteur: 90 mill. 
Diametre transversal: 84 mill. 


Espöce de grande taille, haute, circulaire, deprimee en dessus et en 
dessous. Zones poriferes etroites, onduleuses, un peu enfoncees, formedes de pores 
simples, l&gerement oblongs, rapproch6s les uns des autres, separes au milieu 
par un petit renflement granuliforme. Aires ambulacraires relativement assez 
larges, plus &troites et presque droites A la face inferieure, garnies de deux 
rang6es rögulieres de granules places tres pres des zones poriferes. D’autres 


Cidaris. i3 


granules plus petits, inegaux, disposes plus irregulierement et accompagn6s 
de quelques verrues occupent le milieu de l’aire ambulacraire. Tubercules 
interambulacraires mediocrement developpes, saillants, creneles et perfores, 
tres espac‘s A la face superieure, plus serrös vers l’ambitus et en dessous. 
Serobiceules etroits, eirculaires, deprimes, entoures d’un cercle de granules 
distincts, mais cependant peu proäminents. Les cercles scrobiculaires, partout 
complets, sont separes des zones poriferes par une large bande de test. Zone 
miliaire tr&es developpee, couverte de granules abondants, serres, homog£nes, 
d’autant plus fins quiils se rapprochent de la suture des plaques. 

Radioles glandiformes, epais, allonges, plus ou moins acuminds au 
sommet, garnis sur toute la tige de cötes longitudinales fortement granu- 
leuses, qui se r&unissent au sommet et descendent en s’attenuant jusqu’ä 
la base. L’intervalle qui separe les cötes est plus ou moins resserr& et souvent 
garni de petites cloisons inegales, subtransversales, irr&gulieres qui ui donnent 
un aspect ponctue. Collerette tres courte, parfois tout ä& fait nulle. Bouton 
peu developp@ ; anneau saillant; facette articulaire ä peine crenelde. Les 
radioles du Crdaris glandifera, tres nombreux au milieu des calcaires de 
Stramberg, varient dans leur taille, dans leur forme plus ou moins renflee, 
plus ou moins acuminde au sommet, et dans la disposition des cötes granu- 
leuses qui garnissent la tige. Le plus souvent ces cötes sont regulieres et 
descendent du sommet a la base; chez quelques exemplaires cependant, les 
granules de la partie superieure sont isoles, plus grossiers et les s6ries perdent 
un peu de leur regularite. Chez d’autres, c’est le contraire qui a lieu et certains 
exemplaires de petite taille sont munis de cötes saillantes, tr&s peu granu- 
leuses, presque lisses; mais ces deux dernieres variötes sont rares et presque 
tous nos exemplaires presentent parfaitement les caracteres du type. 

Les differents tests dont nous avons donne la description different un 
peu de nos exemplaires de France. Les aires ambulacraires, sur le bord des 
zones poriferes, presentent deux rangees de granules relativement plus gros 
et plus apparents. Les scrobicules qui entourent les tubercules sont plus 
etroits et plus fortement deprimes, et les cercles de granules scrobiculaires 
sont separes des zones poriferes par une bande de test assez large; ces diffe- 
rences ont une certaine importance, mais elles ne nous ont pas paru suffi- 
santes pour separer les exemplaires de Stramberg du Cidaris glandifera et 
les considerer comme appartenant ä& une autre esp£ce, distincte des nombreux 
radioles que nous venons de decrire qu’on rencontre dans la mäme couche 
et qui sont bien ceux du Üidaris glandifera. 


Rapports et differences. Le test du ©. glandifera se distingue de 
ses congeneres par ses aires ambulacraires etroites et tres onduleuses ä& la 
face superieure, presque droites aux approches du peristome, par ses tubercules 
interambulacraires largement espaces, entoures d’un scrobicule peu developpe 
et separes par une zone miliaire tres large et finement granuleuse. M. O. 


Fraas a figure le test du Cidaris glandaria, du Liban, longtemps confondu 


14 Les Eehinides des couches de Stramberg. 


avec l’espöce qui nous occupe; il s’en dloigne par ses tubereule plus nombreux 
et plus rapproch6s, söpares par une zone miliaire flexueuse, tres etroite et 
garnie de granules plus grossiers. Les radioles des deux especes sont tres 
voisins; ils presentent cependant quelques differences, et ceux du Oidanis 
glandaria paraissent munis de cötes plus saillantes et plus @pineuses. Le 
Oidaris authentica, Desor, connu seulement par ses radioles assez communs 
a V’Echaillon (Isere), ne nous parait, comme ä M. de Loriol, qu’une variete 
A cötes plus fortement grannleuses et A aspect plus regulierement glandiforme 
du Cidaris glandıfera. 

Localites: Stramberg, Koniakau, Chlebowitz, test rare, radioles 
communs. Musde de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne), collection 
de M. Hebert. 

Cette espece a dt& recueillie, en France, ä Lane pres Chambery 
(Savoie), A l’Echaillon (Isere), A Rougon (Basses Alpes), ä la Serrane pres 
Cazillac et ä Ganges (Herault), dans le terrain jurassique sup£rieur. M. Peron 
l'’a rencontree A peu pres au möme niveau, & Chellalah (Province d’Alger) et & 
Djebel Seba (Province de Constantine). M. de Loriol, dans l’Echinologie 
heivstique signale les radioles du Cidaris glandifera & Bärenweil (Canton 
de Bäle). 

pl. II, fig. 10. Cidaris glandifera, vu de cöte, du Musöe de Munich. Stramberg. 

fig. 11. Le m&me, vu sur la face superieure. 
fir. 12. Autre exemplaire du Geol. Reichsanstalt, vu de eöte. Stramberg. 
fie. 13. Aire ambulacraire et plaque interambulaeraive grossies, prises sur un 
exemplaire de Musece de Munich. Stramberg. 
fie. 14. Radiole du Cidaris glandifera, du Musee de Munich. Stramberg 
fig. 15. Partie superieure du meme radiole, 
fig. 16. Autre radiole, du Geol. Reichsanstalt. Stramberg. 
fig. 17. Partie superieure de meme radiole. 
fig. 18—21. Anutres radioles, du Musce de Munich. Stramberg. 
fig. 22. Portion de la tige grossie. 
fig. 23. Autre radiole, du Musöe de Munich. Koniakau. 
fig. 24. Base de la tige et bouton grossis. 
fig. 25. Facette artieulaire grossie. 


10). 2, Cidaris carinifera, Agassiz, 1867. 
pl. IT. fie. 15. 


Voyez'pour la synonymie de cette espece la Pal&ontologie francaise, 
terrain jurassique, t. X, 1. part., p. 199. Test inconnu. 


Dimensions du radiole: 
Longueur: 55 mill. 
Epaiseur: 19 mill. 
Variete venflde: Longueur: 55 mill. 
Epaisseur: 27 mill. 


Cidaris. 15 


Radiole de grande taille, allonge, £pais, renfl@E en forme de massue, 
s’elargissant graduellement depuis la collerette jusqu’aux deux tiers environ 
de la longueur, tres acumine au sommet, garni, sur la tige, de cötes ou 
carenes longitudinales qui partent du sommet et sont irregulieres dans leur 
etendue ; les unes descendent jusqu’aux approches de la collerette; les autres 
ne depassent pas le milieu de la tige. Plus saillantes ä leur origine, ces 
petites cötes s’attenuent et disparaissent en se rapprochant de la base. 
Toute la surface du radiole est en outre couverte de stries transverses, 
fines, serrees, subonduleuses, passant sans s’interompre pardessus les cötes et 
donnant ä la tige un aspect treilliss& visible & la loupe seulement. Col- 
lerette tr&s courte, presque nulle. Bouton assez d@veloppe; anneau saillant: 
facette articulaire crenelee. 

Rapports et differences. Les radioles de Cidaris carinifera se 
distinguent de tous ceux que nous connaissons par leur forme, par les 
cötes lisses, saillantes et in@gales qui partent du sommet de la tige et sur- 
tout par les stries fines, transverses, subonduleuses qui garnissent toute la 
surface. Les exemplaires provenant des calcaires de Stramberg sont 
remarquables par leur grande taille, par leur tige tres renflde et ornde de 
cötes nombreuses et serrdes; malgr@ ces differences, ils ne sauraient ätre di- 
stingues du type. 

Loealite: Stramberg, assez abondant. Musde de Munich: Geo- 
logische Reichsanstalt (Vienne). 

Il serait possible que les tests de Cidaris que nous avons decrits et 
figures, sous le nom de Ordaris glandifera dussent &tre reunis au (idaris 
carinifera. On les trouve associes aux radioles de l'une et l’autre espece. 
Nous les avons provisoirement rapproches du Oidaris glandifera, de France 
dont ils presentent assez bien les caracteres, mais tant qu’un radiole 
n’aura pas te rencontr@ adherent Aa l’un des tubercules, nous ne pourrons 
avoir une certitude absolue. 

En dehors des calcaires de Stramberg, le Cidaris carinifera est partout 
tres rare. En France, il a dt@ recueill& ä Armaille (Bas-Bugey, Ain), au 
Mont Sal&ve (Haute Savoie). "Cette espece se trouve en Algerie, A Chellalah 
(Province d’alger). En Suisse, M. de Loriol, dans ’Echinologie helvetigne, 
signale cette espece a Burgfluh pres Wimmis (Canton de Berne). Associce 
aux radioles du (rdaris glandifera, dans presque toutes ces localites, elle 
caracterise le terrain jJurassique superieur. 

pl. III. fig. 


„ 


. Radiole du Cidaris earinifera, du Musee de Munich. Stramberg. 
fig. 2. Sommet du meme radiole. 
fig. 3. Portion du meme radiole grossie. 

fig. 4 et 5. Autres vadioles, du Musee de Munich. Strambere. 


2 
3 


16 Les Echinides des couches de Stramberg. 


11). >. Cidaris Blumenbachi, Munster, 1826. 
pl. II, fig. 6—9. 


Voyez pour la synonymie et la description de cette esp£ce l’Echinologie 
helvetique, terrain jurassique, p. 30, et la Pal&ontologie francaise, 
terrain jurassique, t. X, 1. partie, p. 89. 

Les calcaires de Stramberg nous ont offert plusieurs exemplaires que 
nous rapportons ä cette espece; ıls sont incomplets, mal conserves et nous 
paraissent cependant presenter parfaitement les caracteres du type: grande 
taille, forme haute et renflde,. aires ambulacraires peu onduleuses, &troites ef: 
presque droites ä la face inferieure, tubercules interambulacraires nombreux, 
serres sans cependant se confondre par la base, separes au milieu par une 
zone miliaire large et granuleuse. 

Nous rapportons &galement au Ordaris Blunmenbachi quelques fragments 
de radioles allong6s, gröles, eylindriques, garnis de granules Epineux, denteles 
et formant des series droites, regulieres, plus ou moins espacees. 

Localites: Stramberg, Inwald, rare. Musde de Munich, collection 
de M. Hebert. 

Le Cidaris Blumenbachi est abondant en Angleterre, en Suisse et en 
France et se rencontre A plusieurs niveaux du ferrain jurassique; il a dte sig- 
nale dans l’&tage oxfordien, dans l’&tage corallien inferieur, moyen et sup£ri- 
eur et dans l’&tage kimmeridgien. C'est a l’&poque corallienne et notamment 
dans les couches inferieures que cette espece parait ätteindre son maximum 
de developpement. 

pl. III. fig. 6. Moule interieur du Cidaris Blumenbachi, du Geologische Reichsanstalt. 

Stramberg. 
fig. 7, Autre exemplaire avee son test, de Ja meme collection. Stramberg. 
fig. 8. Fragment de radiole, du Musee de Munich, Stramberg. 
fig. 9. Le möme grossi. 


11) 4. Cidaris strambergensis, Cotteau, 1384. 
pl. IL, fig. 10—18. 


Test inconnu. 

Radiole glandiforme, @pais, renflö, ordinairement tres gibbeux A la partie 
superieure, tantöt arrondi, tantöt acumine au sommet, se r&treeissant plus 
ou moins brusquement vers la base, garni sur toute la tige de cötes longitu- 
dinales rögulieres, plus ou moins apparentes, toujours lisses, s’attenuant et 
disparaissant bien avant darriver a la base, d’autant plus saillantes qu’elles 
se rapprochent du sommet. L’intervalle qui les söpare, plus on moins large, 
parait egalement lisse. Collerette tr&s courte, presque nulle. Bouton peu 
developpe; anneau bien distinct, mais ä peine proeminent; facette articulaire 
faiblement crönelee. : 


Cidaris. 17 


Rapports et differences. Cette espece ne saurait ©tre confondue 
avec les radioles du Ordaris glandifera« qu'on rencontre dans les mömes 
couches; elle s’en distingue par sa forme plus &paisse, plus globuleuse, plus 
arrondie au sommet et moins sensiblement acuminde, par sa tige garnie de 
cötes lisses au lieu d’ötre granuleuses, s’attönuant et disparaissant A une 
bien plus grande distance de la base. La disposition de ses cötes lisses 
rapproche cette espece des radioles du Pseudocidaris rupellens’s, mais cette 
derniere espece sera toujours facilement reconnaissable ä sa taille plus forte, 
a sa forme plus irreguliere, plus anguleuse, si bizarrement aplatie sur les 
cötes, plus resserrde et plus ätranglde a la base, A sa tige garnie de cötes 
plus fines, plus egales et descendant plus bas. Il serait possible que ce radiole, 
comme le Pseudocidaris rupellensis, appartint au genre Pseudoeidars que 
caracterisent ses radioles &pais et glandiformes. Tant que la decouverte du 
test ne viendra pas nous donner une certitude A ce sujet, nous laisserons 
l’espece parmi les Oidaris. 

Localite: Stramberg, Chlebowitz, Inwald, assez commun. Musee 
de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne). 

pl. II. fig. 10. Radiole du Ordaris strambergensis, Musece de Munich. Stramberg. 

fig. 11. Base de la tige et bouton grossis. 

fig. 12 et 13. Autres radioles, du Musee de Munich, Stramberg. 
fig. 14. Sommet de la tige. 

fig. 15. Le meme grossi. 

fig. 16. Autre radiole, du Geologische Reichsanstalt. Stramberg. 

fig. 17 et 18. Autres radioles, du Musee de Munich. Chlebowitz. 


13). 5. Cidaris propinqua, Münster, 1826. 
pl. III, fig. 1923. 


Voyez pour la synonymie de cette espece la Pal&ontologie francaise, 
terrain jurassique, t. X, 1” partie, p. 169. 


Dimensions. 


Hauteur: 13 mill. 

Diametre: 23 mill. 

Un seul exemplaire de cette espece a &t& recueilli dans les calcaires de 
Stramberg et se rapporte parfaitement au type du Oldanis propinqua,; sa 
bonne conservation nous permet d’en donner une description complete: 

Espece de petite taille, renflde, eirculaire, A peu pres ögalement deprimee 
en dessus et en dessous. Zones poriferes onduleuses et un peu creusees. 
Aires ambulacraires tres &troites, flexueuses, pourvues de deux rangees de 
petits granules qui se touchent aux approches du sommet et du peristome, 
s’elargissent un peu vers l’ambitus et renferment alors au milieu une autre 
rangee irröguliere de granules plus petits. Tubercules interambulacraires 

Palaeontologische Mittheilungen. Bd. 3. 2 


18 Les Echinides des couches de Stramberg. 


gros, saillants, tres fortement mamelonnes surtout A la face superieure, 
perfores, marques de legeres erenelures, diminuant de volume en se rap- 
prochant du peristome, au nombre de quatre ou cing par serie. La partie 
superieure de chacune des aires interambulacraires est occupde par un seul 
et tres gros tubercule qui se developpe au detriment de la plaque voisine, 
tres petite, portant un rudiment de tubercule ou simplement granuleuse. 
Scrobicules circulaires, A peine deprimes, entour6s d’un cercle de granules 
saillants, espaces, beaucoup plus gros que ceux qui occupent la zone miliaire, 
tres rapproches des aires ambulacraires. Zone miliaire flexueuse, granuleuse, 
tres etroite dans l’exemplaire de petite taille que nous deerivons. 

Rapports et differences. Le COidaris propingua se distingue de ses 
congeneres par sa taille relativement peu developpee, par ses aires ambula- 
craires etroites, Hexueuses, garnies de deux rangees principales de granules et 
de quelques granules intermediaires, par ses tubercules interambulacraires 
peu nombreux, tres gros, saillants et fortement: mamelonn&s surtout ä la face 
sup@rieure. 

Localite: Stramberg, tr&s rare. Geologische Reichsanstalt (Vienne). 

Le Crdaris propingua existe dans un grand nombre de localites. En 
Allemagne sa presence a dt& signalde A Muggendorf et ä Kelheim (Baviere), 
ä Sirchingen, & Nattheim (Wurtemberg). En France, il caracterise surtout 
l’etage corallien inferieur et a &t& receuilli a Chatel-Censoir et A Druyes 
(Yonne), & Champlitte (Haute-Saone), aux environs de Macon (Saone et Loire), 
ä Selongey (Cote-d’or), & Ecommoy (Sarthe). Il se trouve 'egalement, dans 
l’ötage corallien superieur, A Bourges (Oher). Le Cidaris propinqua est tres 
abondant en Suisse, et sa presence a et& signalde dans un grand nombre de 
localites appartenant aux ötages oxfordien, corallien inferieur, sequanien et 
pterocerien. 

pl. II. fig. 19. Cidaris propinqua, vu de cöte. Stramberg. 

fig. 20. Le möme, vu sur la face superieure. 

fig. 21. Le möme, vu sur la face inferieure. 

fig. 22. Plaques ambulacraires et interambulacraires grossies. 
fig. 23. Tubereule interambulacraire, vu de profil, grossi. 


14). 6. Cidaris gibbosa, Cotteau, 1884. 
pl. III, fig. 4—27. 


Nous ne connaissons cette espece qu’ä l’etat de moule interieur et 
nous ne pouvous en donner quant A prösent qu’une description tres incomplete: 


Dimensions. 
Hauteur: 25 mill. 
Diamötre: 41 mill. 
Monule intörieur mediocrement developpe, eirculaire, onduleux au ponr- 
tour, deprime en dessus et en dessous. Aires ambulacraires renflees, saillantes, 
tres &troites surtout A la partie superieure, Hexueuses. Aires interambulacraires 


Cidaris. 19 


renflees au milieu et presentant de fortes gibbosites, correspondant aux 
tubercules interambulacraires et indiquant que ces derniers 6taient peu nom- 
breux, saillants et places sur de larges plaques. Peristome arrondi. Appareil 
apical etendu, solide d’apres l’empreinte qu'il a laissde; plaques genitales tres 
grandes, pentagonales: plaques ocellaires relativement bien developpdes, sub- 
triangulaires. 

Rapports et differences. Cette espece nous a paru se distinguer 
de tous les moules interieurs de Cidaris que nous avons sous les yeux: 
elle se rapproche un peu du moule du (Cidaris cerwicalis, mais elle s’en 
distingue par ses aires ambulacraires plus etroites et plus flexueuses, par les 
protuberances plus irrögulieres et plus fortes qui se montrent sur les aires 
interambulacraires, par son peristome moins large, par son appareil apical 
beaucoup plus developpe£. 

Localite: Stramberg, rare. Musde de Munich. 

pl. III. fig. 24. Moule interieur du Cidaris globosa, vu de cöte. Stramberg. 

fig. 25. Le m&me, vu sur la face superieure. 
fig. 26. Le meme, vu sur la face inferieure. 
fig. 27. Variete plus gibbeuse, vue de cöte. Stramberg. 


15). 7. Cidaris marginata, Goldfuss, 1826. 
pl. IV, fig. 1 et 2. 


Voyez pour la synonymie et la description de cette espece la Pal&on- 
tologie francaise, terrain jurassique, t. X, 1" partie, p. 179. 

Les calcaires de Stramberg ne nous ont offert de cette espece qu’un 
seul exemplaire; il est incomplet, mais parfaitement conserv@ et ne peut 
laisser aucun doute sur son identits avec le Oldaris marginata. Sa taille est 
moyenne, haute, renflee, cireulaire, un peu rentrante en dessous, a peu pres ega- 
lement deprimde snr les deux faces; ses zones poriferes sont onduleuses et lege- 
rement creusees, ses aires ambulacraires planes et garnies de quatre rangees de 
granules serres, egaux et reguliers. Les series externes sont a peine un peu 
plus developpees que les autres et arrivent seules au sommet et au peristome. 
Les tubereules interambulacraires, fortement mamelonnes et perfores, mais 
presque toujours depourvus de crönelures, sont au nombre de cing par rangee, 
tres espaces A la face sup6rieure, plus petits et: plus serres en se rapprochant 
du peristome. Les serobieules deprim6s, circulaires, entoures de granules 
assez gros touchent on A peu pres les zones poriferes. La zone miliaire 
est sinueuse, large seulement vers l’ambitus, couverte, ainsi que l’espace qui 
separe les tubereules, de granules fins, serr&s, homogenes. 

Loealite: Stramberg, trös rare. Musde de Munich. 
Cette espece est assez commune A Nattheim, A Sirchingen, & Heidenheim, 


& Oerlingen (Wurtemberg), a Kelheim (Baviere) dans l’etage Sn En 


30 Les Echinides des eonches de Stramberg. 


France, on la rencontre dans l’etage corallien superieur, a La Rochelle (Cha- 
vente inferieure), & Valfin (Jura), a Rougon (Basses Alpes), et dans l’etage 
kimmeridgien, A Montareux-les-Gray (Haute-Saone). 


pl. IV. fig. 1. Oidaris margınata, vu de cöte, Stramberg. 
fig. 2. Plaques ambulacraires et interambulacraires grossies. 


16). 8. Cidaris subpunctata, Cotteau, 1884. 


pl. IV, fig. 3—5. 


Test inconnu. 

Radiole allonge, subcylindrique, un peu acumine et tronqud au sommet, 
grele et resserr& vers la base, garni A la partie superieure de cötes saillantes, 
espacdes, @pineuses qui s’attenuent, se multiplient, deviennent moins r&gu- 
lieres et plus visiblement granuleuses au fur et a mesure qu’elles se rapprochent 
de la base de la tige. Collerette bien limitee, lisse et longue. Le bonton 
n'est par conserve. 

Rapports et differences. Cette espece, par sa forme generale, rap- 
pelle les radioles du Cidaris florigemma; elle s’en distingue par sa forme plus 
elancde et »lus gräle, par ses cötes plus saillantes & leur partie superieure, plus 
granuleuses et plus attönuees vers le milieu de la tige, par sa collerette plus 
longue. 


Loecalit@: Nesseldorf, tres rare. Musde de Munich. 


pl. IV. fig. 3. Radiole du Oidaris subpunetata. Nesseldorf. 
fig. 4. Partie superieure de la tige grossie. 
fig. 5. Partie införieure de la tige grossie. 
10). 9. Cidaris Sturi, Cotteau, 1884. 


pl. IV, fig. 6—18. 
Test inconnu. 


Dimensions du radiole. 


Longueur: 25 mill. 

Epaisseur pres du sommet: 9 mill. 

Radiole allonge, suhcylindrique, augmentant graduellement et insen- 
siblement de volume depuis la base jusgu’au sommet qui est assez brus- 
quement trongud sur le bord et plus ou moins arrondi en dessus. La tige 
est garnie de granules inögaux, abondants, presque toujours tr&s serres, tantot 
disseminds au hazard, formant le plus souvent des series longitudinales qui 
s’6levent du bouton jusqu’au sommet. Ind&pendamment des granules, la 
partie superieure du radiole presente des protuberances indgales, arrondies, 
placdes sans ordre, quelques unes souvent disposdes en couronne autour de la 


Cidaris — Rhabdocidaris. zoll 


troncature de la tige. Collerette nulle. Bouton peu developpe; anneau 
saillant; facette articulaire paraissant lisse. : 

Ce radiole, dont nous connaissons un tr&es grand nombre d’exemplaires 
offre plusieurs varietes interessantes. Le plus souvent la tige augmente gra- 
duellement de volume, ainsi que nous l’avons indique, et est subtronqude 
au sommet, mais il n’en est pas tonjours ainsi: tantöt la tige est assez 
rögulierement glandiforme et la troncature du sommet tres attenuee; tantöt 
le radiole se renfle un peu vers la base, d’un cöt& seulement ; quelquefois aux 
deux tiers de sa longueur, la tige est plus vu moins fortement etranglee, mais, 
dans ces varietes, nous retrouvons les mömes granules et au sommet les 
memes prodminences caracteristiques, aussi nous n’hesitons pas a les con- 
siderer comme devant se reunir au m&me type. 

Rapports et differences. Cette espece se distingue nettement de ses 
congeneres par sa forme gen6rale et la disposition des granules qui recouvrent 
la tige; elle se rapproche par sa forme des radioles du Oldaris punctatissima, 
du terrain neocomien de lIsere; elle en differe par sa taille moins forte, par 
ses granules plus apparents et formant des series lougitudinales plus distinctes, 
par son sommet garni de protuberances plus accusees. Les deux especes sont 
assurernent voisines, cependant il ne nous a pas paru possible de les reunir. 
Nous laissons provisoirement ces radioles parıni les Ordaris, tout en recon- 
naissant qu’on devrait peut-etre, en raison de leur forme, les placer parmi les 
Pseudocidar's. 

Localite: Stramberg (Cidariten-Mergel), abondant. Geologische 
Reichsanstalt (Vienne), collection de M. Hebert. 

pl. IV. fig. 6. Radiole du Oidaris Sturi. Stramberg. 

fig. 7. Facette articulaire grossie, 

fig. 8. Sommet de la tige grossi. 

fie. 9. Portion de la tige grossie, 

fig. 10. Base de la tige, collerette et bouton grossis. 
fig. 11—13. Autres radioles. Stram berg. 

fig. 14. Variete A tige etranglee. 

fig. 15. Facette articulaire grossie. 

fig. 16. Sommet de la tige grossı. 

fig. 17. Autres radioles. 


Ix. Rhabdoeidaris, Desor, 1855. 


Le genre Rhabdocidaris a &t& demembr& des Cidaris par Desor; il s’en 
distingue par ses pores ambulacraires &cartes, unis par un sillon et separes 
transversalement par une petite cöte saillante. Les tubercules interambula- 
craires, chez certaines especes, sont marques de erönelures profondes, et chez 
d’autres, tout ä fait lisses. Les especes jurassiques sont en general remar- 
quables par leur grande taille et par leurs tubercules profondöment crneles. 


29 Les Echinides des couches de Stramberg. 


Les radioles sont le plus souvent tr&s developpes, &pais, robustes, cylindriques, 
comprimes ou prismatiques, parfois etalds en forme de rames, toujours pourvus 
de granules, de dentelures ou de fortes &pines. 

Le genre Rhabdocidaris a commenc& A se montrer dans le terrain ju- 
rassique et y atteint son maximum de developpement, offrant des represen- 
tants dans presque tous les dtages. 11 existe egalement dans le terrain eretace, 
dans le terrain tertiaire et A l’&poque actuelle, mais beaucoup plus rare. 

Les couches de Stramberg nous ont fournis une espece tr&s bien carac- 
terisee du genre Rrhabdocidaris. 


18). 1. Rhabdocidaris maxima, (Munster), Moesch, 1867. 


Voyez, pour la synonymie et la description de cette espece, ’Echino- 
logie helvetique, terrain jurassique, p. 71, pl. XI et XII, fig. 1. 


L’exemplaire que nous rapportons ä cette espece presente parfaitement 
les caracteres du type: taille tres forte. Zones poriferes subonduleuses, peu 
deprimdes, plus &troites que les aires ambulacraires. Plaques poriferes tres 
peu larges. Aires ambulacraires planes, munies de deux rangees marginales 
de granules peu apparents, entre lesquelles se montrent d’autres granules 
beaucoup plus petits, irreguliers et &pars. Tubercules interambulacraires 
fortement creneles et perfores, entoures d’un scrobieule large, a peine deprime 
presqu’ä fleur de test, circulaires et &cartes a la face superieure, elliptiques et 
serr6s en se rapprochant de la base, entoures de granules identiques aux 
autres. Zone miliaire large, couverte de granules tr&es petits, peu serres, 
assez homogenes. Zone granuleuse intermediaire entre les scrobicules et les 
zones poriferes, tres developpee. 

Rapports et differences. Le Rhabdocidaris mazxima ne saurait ötre 
confondu avec aucune autre espece. Voisin du Rhabdoeidaris horrida, il s’en 
distingue par ses tubercules plus &cartes en dessus et ne se confondant 
jamais en dessous, par sa zone miliaire plus large et plus finement granuleuse, 
par ses scrobicules encore moins deprimes et non entoures d’un cercle de gra- 
nules distincts. Cette espece offre &galement quelques rapports avec le 
Rhabdoeidaris nobilis, mais cette derniere espece sera toujours reconnaissable 
A ses zones poriferes plus larges, a ses aires ambulacraires garnies de deux 
rangees de granules plus distincts, ä ses scrobicules entoures d’un cercle de 
granules apparents, ä& sa zone miliaire pourvue de granules plus serres, et 
plus abondants. 


Localite: Stramberg, trös rare. Geologische Reichsanstalt (Vienne). 


En Suisse, cette espece a e&t&e rencontree ä& Schönenwerdt, Löchli, 
Dänikon pres Olten, Rothacker (Soleure), & Randen, Hornberg pres Endingen 
(Argovie), dans l’ötage sequanien; & Lägern (Argovie), dans l’etage pterocerien, 


Diplocidaris. 23 


En France, l’espece est tres rare, et nous n’en connaissons qu’un seul individu 
recueilli a Crussol par M. Huguenin dans le terrain jurassique superieur, 
et faissant partie de la collection de M. Gauthier. L’exemplaire prove- 
nant des calcaires de Stramberg nous est parvenu trop tard pour que nous 
ayons pu le faire figurer. 


X. Diploeidaris, Desor, 1856. 


Le genre Diplocidaris par sa physionomie generale rappelle le genre 
Cidaris avec lequel il a et€e longtemps confondu; il en differe par la structure 
de ses zones poriferes presentant quatre rangdes de pores au lieu de deux 
bien qu’il n’y ait cependant qu’une seule paire de pores par chaque plaque 
porifere; il s’en distingue egalement par la solidit& de son appareil apical 
qui a persist@ chez presque tous les exemplaires que nous connaissons, 
et par ses radioles allonges, cylindriques, couverts de granules &pais et 
homog£nes. 

Le genre Diplocidaris, etabli, en 1856, par Desor dans le Synopsis des 
Echinides fossiles et adopte depuis par tous les auteurs, est special 
jusqu’ici au terrain jurassique; il commence ä se montrer dans les couches 
inferieures de l’etage bathonien et atteint le maximum de son developpement 
a l’epoque corallienne. 

Une seule espece fort rare, Diplocidaris Elallomi, a et& rencontree A 


Inwald. 


19). 1. Diplocidaris Etalloni, de Loriol, 1869. 
pl. IV. fig. 19ret 20.et pl. VW, fig. 21 et. 22. 


1856. Diplocidaris gigantea, Desor, Synopsis des Echinides fossiles, jbz kan jeilg IE 


(pars) fig. 4 et 5. 
1858. Oidarites gigantea Desori, (uenstedt, Der Jura, p. 733, pl. LXXXIX, fig. 
20--22. 
1858. Diplocidaris Desori, Desor, Synopsis des Echinides fossiles, Supplöment, 
(non Wright) p- 439. 


1862. Diploeidaris pustuhfera, Cotteau, Echinides nouveaux ou peu connus, Ir ser.. 
p- 60, pl. IX, fig. 1—4. 


1866. Diplocidearis Desori, Etallon, Etudes palöontologiques sur le Jura graylois, 
mem. soc. d’Emulat. du Doubs, 2de ser., t. VIII, 
p379. 


1869. Diplocidaris Etalloni, Desor et de Loriol, Echinologie helvetique, terrain 
Jurassique, p. 85, pl. XIII, fie. 3. 

1370. _ _ Greppin, Jura bernois et distriets adjacents, p: 82. 

1872. — _ Cotteau, Oursins jurassiques de la Suisse, Bull. soc. 
geol. de France, 3me ser,, t. I, p. 84. 


24 Les Echinides des couches de Stramberg. 


1873. Diploeidaris gigantea, Quenstedt, Petrefacten Deutschlands, Echinodermen, 
(non Desor) p: 223 et 426, pl. LXIX, fig. 38 et 39. 
1878. Diploeideras Etalloni, Cotteau, Palöont. frang., terrain jurassique, t. X, Ire 


partie, p. 331, pl. 233. 234 et 235, fig. 1 et 2, 

Nous ne connaissons de cette espece qu’un fragment de la face infer- 
ienre:; bien qu’il soit un peu use et d’une assez mauvaise conservation, nous 
n’hesitons pas A le considerer comme appartenant au Diplocidaris Etalloni : 
les zones poriferes, un peu deprimees, sont presque droites et composdes 
de pores arrondis, visiblement dedoubles vers l’ambitus, devenant presque 
simples aux approches du peristome; les granules ambulacraires sont regul- 
iörement disposes sur le bord des zones poriferes; les tubercules interambula- 
craires, paraissant au nombre de sept ou huit par rangee, prösentent vers ’am- 
bitus de fortes erenelures qui s’attenuent A la face inferieure; le scrobicule 
qui eirconscrit les tubereules est mediocrement deprime et affecte, ä partir de 
Vambitus, une forme subelliptique bien prononcde; les granules qui les 
entourent sont espaces, mamelonnes, saillants, un peu plus developpes que 
les autres. Plusieurs series de granules söparent les cercles scrobiculaires des 
zones poriferes. L’espace intermediaire entre les deux rangees de gros tuber- 
cules est tres large, garni de granules &cartes, homogenes, assez saillants, 
quelque fois un peu allonges. Nous rapportons ä cette espece un fragment 
de radiole allonge, eylindrique, remarquable par ses petites cötes onduleuses 
et transverses. 


Rapports et differences. Le Diplocidaris Etalloni, parfaitement 
caracterise par sa grande taille, par sa forme mediocrement renflee, par ses 
aires ambulacraires convergeant en ligne presque droite du sommet au peristore, 
par ses tubereules interambulacraires presque nuls & la face superieure, tres 
gros vers ’ambitus, serrds et subälliptiques en se rapprochant du peristome, 
toujours un peu &loignds des aires ambulacraires, par sa zone miliaire large, 
garnie de granules homogenes’ et espacs, ne pouvait &tre confondue avec 
aucun de ses congen£res. 

Localites: Inwald, Kotzobenz, tres rare. Collection de M. Hebert, 
Musde de Munich. 

Cette espece a &t& rencontree dans le Jura blanc du Kienlesberg pres 
d’Ulm et de Friedingen pres de Riedlingen (Wurtemberg). En France, elle 
caracterise l’&tage corallien de Neuville (Haute-Saone), de Courchamps (Cote- 
d’or), du Lac Sauvain (Yonne). En Suisse, elle a et recueillie dans le 
terrain A chailles de Delemont, de Wahlen et de Liesberg (Jura bernois). 

pl. IV. fig. 19. Fragment du Diploeidaris Etalloni, de la collection de M. Hebert. 
Inwald. 
fig. 20. Pores ambulacraires grossis. 
fig. 21. Radiole du Diplocidaris Etalloni, du Musce de Munich. Kotzobenz. 
fig. 22. Le m&me grossi. 


Hemicidaris. 235 


XI. Hemieidaris, Agassiz, 1840. 


Le genre Hemieidarıs etabli par Agassiz, en 1840, et adopte depuis 
par tous les auteurs constitue un type tres bien caracterisöe par ses zones 
poriferes l&gerement onduleuses & la face sup£rieure, formdes de pores simples, 
rapproches les uns des autres, se multipliant pres du peristome, par ses aires 
ambulacraires garnies A leur base et souvent jusqu’au milieu de leur eten- 
due, de tubercules moins gros que ceux des aires interambulacraires, mais, 
comme eux, distinctement creneles et perfores, par ses tubercules interambula- 
craires tres developpes, fortement creneles et perfores, entoures de scrobicules 
saillants, par l’absence de tubercules secondaires, par son peristome grand, 
subdecagonal, pourvu de fortes entailles, par ses radioles &pais, tantöt 
eylindriques et allonges, tantöt en forme de massue, presque toujours fine- 
ment stries dans le sens de la Jongueur. 

Le genre Hemiecidaris, tel qu'il est aujourdhui circonserit, commence A 
se montrer dans le terrain penen, et atteint son maximum de developpement 
a l’epoque jurassique. Dans les couches inferieures du terrain cretace, il 
devient beaucoup moins abondant en especes et en individus, et disparait 
tout & fait au dessus de l’ötage c@nomanien. 

Trois espöces d’Hemicidaris se rencontrent dans les couches qui nous 
oceupent; lune d’elle est reprösentee par le test et les deux autres par des 
radioles. 


20). 1. Hemicidaris Agassizi (Roemer), Dames, 1872. 
pl. IV, fig. 21 et 22, 


Nous renvoyons, pour la description et la synonymie de cette esp£ce, 
ä la Pal&eontologie frangaise, terrain Jurassique, t. X, 1° partie, p. 
114 et suiv., pl. 292 —294. 


Dimensions. 
Hauteur: 27 mill. 
Diamötre: 32 mill. 

Exemplaire de grande taille: 
Hauteur: 35 mill. 
Diametre: 50 a 55 mill.? 

Nous n’avons sous les yeux que deux moules interieurs assez mal 
conserves, mais ils ne sauraient &tre rapportös A aucune autre espece: la 
taille est grande, circulaire, subdeprimde en dessus, presque plane en dessous. 
Les zones poriferes un peu onduleuses, ä fleur de test, sont form6es de 
pores petits, arrondis, se multipliant pres du p6ristome. Les aires ambula- 


26 Les Echinides des couches de Stramberg. 


craires, telativement assez developpees, legerement renfldes, s’elargissent 
graduellement du sommet ä& l’ambitus. Les tubercules interambulacraires, 
d’apres les traces qu'ils ont laissees, tr&s gros vers l’ambitus, s’attenuent et 
disparaissent completement a la face superieure. Le peristome est assez 
etendu, subdecagonal et parait marqu& de fortes entailles. 

Rapports et differences. Les moules interieurs offrent quelques 
rapports avec ceux de l’4erocidaris nobilis; ils en different par leur forme 
plus Epaisse, par leur zones poriferes moins flexueuses, par leur aires ambula- 
craires plus saillantes et marqudes au milieu d’une depression plus prononcee, 
par l’empreinte de leur tubercules interambulacraires disparaissant aux 
approches du sommet. Dans la Pal&ontologie francaise (loc. cit.), p. 
118, pl. 294. fig. 4, nous avons fait figurer un moule interieur siliceux, pro- 
venant des calcaires ä chailles de Druyes, qui presente beaucoup de ressem- 
blance avec nos deux exemplaires et ne nous laisse aucune incertitude sur 
leur identite specifique. 


Localites: Stramberg, rare. Musde de Munich. 


Cette espece a ete rencontree dans un grand nombre de localites et ä 
plusieurs niveaux du terrain jurassique superieur: en Allemagne, elle a ete 
recueillie dans le Coral-rag de Kahleberg et de Nattheim. En France, nous 
l’avons signalde & Merry-sur-Yonne, Crain, Druyes (Yonne), a Rocourt-Ja-cote 
(Haute Marne), &Novion (Ardennes), dans l’etage corallien inferieur; a Tonnerre 
Courson, Bailly, Chemilly, Thury (Yonne), ä Mortagne (Orne) etc., dans l’etage 
corallien superieur. M. de Loriol, dans l’Echinologie helvetique, lindi- 
que A Ste. Croix (Vaud), a Laupersdorf pres Balstal (Soleure), a Pratteln (Bäle), 


dans les couches A Hemicıdaris erenularis, calcaire ä chailles; — & Hobel, 
Wangen pres Olten (Soleure), au Locle, St. Sulpice (Neuchatel), ä Perrefitte, 
Angolat (Berne), dans l’ötage sequanien; — ä Glovelier, Vorbourg (Berne), 


dans l’etage pterocerien. 
pl. IV. fig. 21. Moule interieur de !’Hemicidaris Agassixi, vu de cöte. Stramberg. 
fig. 22. Autre fragment, vu sur la face superieure. Stramberg. 


Nous avons recu tout recemment, et trop tard pour qu'il soit possible 
de les figurer, deux exemplaires de cette espece faisant partie de la collection 
du Geologische Reichsanstalt de Vienne: l’un est garni de son test, l’autre 
est A l’etat de moule interieur. Bien que leur taille ne soit pas tres forte, 
ils paraissent appartenir a la variete ä tubercules petits, nombreux et serres 
que nous avons signaldee dans la Pal&ontologie francaise, terrain 
jJurassique, t. X, 2de partie, p. 118, 


Hemicidaris, 27 


21). 2. Hemicidaris crenularis (Lamarck), Agassiz, 1840. 
pl. IV, fig. 23—25 


Voyez, pour la description et la synonymie, Pal&eontologie fran- 
gaise, terrain jurassique, t. X, 1”° partie, p. 85, pl. 286—288. 

Le test de cette espece n’a pas encore receuilli & Stramberg ; les radioles 
seuls nous sont connus et pı6esentent la plus part des varietes qui caracterisent 
cette espece: les uns sont allonges, subcylindriques; les autres, claviformes 
et etroits A la base, s’elargissent graduellement jusqu’au sommet qui est tres 
fortement dilate, puis tronqu& brusquement, plane en dessus on un peu 
arrondi. La tige parait lisse, mais en realit&E est partout recouverte de 
stries fines et longitudinales. Dans certains exemplaires, la tige est tres 
6paisse vers la base, la collerette nulle, le bouton &troit, muni d’un anneau 
saillant et fortement crönel£. 

Rapports et differences. Les radioles de cette espece, remarquables 
par leur tige &paisse, trös souvent claviforme et fortement tronquee au 
sommet ne sauraient ötre confondus avec ceux d’aucune autre Hemicıdaris. 

Localites: Stramberg, Inwald, rare. Musee de Munich, collection 
de M. Hebert. 

L’Hemicidaris crenularis est une des especes les plus anciennement 
connues et les plus caracteristiques de l’etage corallien; elle a &te signalde 
dans un tres grand nombre de localites d’Allemagne, de France et de Suisse 
qu'il serait trop long d’&numerer ici et pour lindication des quelles nous 
renvoyons ä la Pal&ontologie frangaise, loco citato et a l’Echinologie 
helvetique, p. 104. 

pl. IV. fig. 23. Radiole de ’Hemicidaris erenularıs, de la collection de M. Hebert. 

In wald. 


fig. 24. Autre radiole, du Musee de Munich. Stramberg. 
fig. 25. Base de la tige et bouton, de la collection de M. Hebert. Inwald. 


22). 3. Hemicidaris Zitteli, Cotteau, 1884. 
pl. IV, fig. 26—28, 


Test inconnu. 

Radiole &pais, cylindrique, renfle, plus ou moins resserr& vers la base, 
garni, sur toute la tige, de grosses cötes espacdes, transverses, lisses et ondu- 
leuses. Dans certains exemplaires, les cötes, tout en restant apparentes, 
paraissent s’attönuer vers le sommet de la tige. Le bouton et le sommet ne 
sont conserves dans aucun de nos exemplaires. 

Rapports et differences. Bien que tres incomplets, ces radioles se 
distinguent nettement de toutes les espöces que nous connaissons par leur 
forme &paisse et renflde et surtout par les cötes saillantes et onduleuses qui 


28 Les Echinides des eouches de Stramberg. 


recouvrent la tige. L’Hemicidaris ondulata, comme l’espece qui nous occupe, 
est recouvert de lignes onduleuses et transverses, mais ses petites cöfes fines, 
serrees et attenuees n’ont aucun rapport avec les cötes @paisses et fortement 
accentudes de l’Hemicidaris Zitteli. Nous reunissons A cette espece des radioles 
a cötes onduleuses et saillantes recneillis par M. Jeanjean dans les calcaires 
jurassiques superieurs de departement de l’Herault: ils sont moins renfles, 
plus allonges, plus regulierement cylindriques. mais les cötes onduleuses sont 
les mömes, et ces radioles nous paraissent appartenir au m&me type. 

Localite: Stramberg, rare. Musee de Munich, Geologische Reichs- 
anstalt (Vienne). 

La variete que nous rapportons A cette espece a ete recueillie A Cazillac- 


le-Haut (Herault). 
pl. IV. fig. 26—28. Radioles de I’ Hemieidaris Zitteli, Stramberg. 


XII. Acrocidaris, Agassiz, 1840. 


Le genre Acrocidaris, bien que voisin des Hemicidaris, en est parfaitement 
distinet; il sera toujours facilement reconnaissable & ses zones poriferes 
onduleuses, A ses aires ambulacraires garnies, dans toute leur etendue, de 
deux rang6es de gros tabercules saillants, creneles et perfores, s’elevant 
jusqu’au sommet, le plus souvent marquds ä leur base de sillons irr@guliers 
correspondant A la suture des plaques, & ses tubercules interambulacraires de 
meme nature, mais plus developpes, A l’absence de tubercules secondaires, & 
son peristome grand, circulaire, fortement entaill&, a son appareil apical 
pentagonal, solide, prösentant, sur chacune des plaques genitales paires, un 
tubereule mamelonn& et perfore, A ses radioles allonges, robustes, subeylindri- 
ques, souvent tricarends et un peu aplatis & leur extremite, lisses en appa- 
rence, mais en realite couverts de stries fines, serrees, transverses. 

Le genre Aecrocidaris ne venferme qu’un petit nombre d’especes; il 
commence ä se montrer dans l’ötage bathonien et disparait avec les dernieres 
assises de l’etage nedocomien. Une seule espece, Acrocidaris nobilis, a ete 
recueillie dans les calcaires de Stramberg. 


23). 1. Acrocidaris nobilis, Agassiz, 1840. 
pl. IV, fig. 29—34. 
Voyez, pour la synonymie de cette espöce, Pal&ontologie francaise, 
terrain jurassique, t. X, 2d° partie, p. 217. 
Dimensions. 


Echantillon de grande taille: hauteur: 30 mill. 
diamötre: 52 mill. 


Äerocidaris. 29 


Individu jeune: hauteur: 16 mill. 
diametre: 26 mill. 

Espece de grande taille, mediocrement renfl&e en dessus, presque plane 
en dessons. Test &pais. Zones poriferes onduleuses, form&es de pores simples, 
arrondis, se multipliant autour du p@ristome. Aires ambulacraires presque 
droites, &troites au sommet, s’&largissant vers l’ambitus, garnies de deux rangdes 
de tubereules assez gros, saillants, fortement mamelonnes, faiblement eränel6s 
et perfores, marqueds & la base de sillons rayonnants, diminuant graduellement 
de volume aux approches du sommet et du peristome, affeetant a la face 
superieure une disposition alterne. Granules intermediaires inegaux et tres 
peu nombreux. Aires interambulacraires pourvues de deux rangees de tuber- 
cules de m&me nature que ceux qui couvrent les aires ambulacraires, mais 
plus gros et plus saillants surtout vers l’ambitus, diminuant assez rapidement 
de volume A la face superieure, entonrös de scrobicules subelliptiques et se 
touchant souvent par la base. Zone miliaire presque nulle, occupee, ainsi 
que l’espace qui s@pare les tubereules des zones poriferes, par des granules 
peu abondants. inegaux, quelque fois mamelonnes. Peristome etendu, sub- 
eirculaire, A feur de test, muni de fortes entailles. Appareil apical solide, 
subpentagonal; plaques genitales A peu pres @gales, munies chacune d’un gros 
tubereule perfore et fortement mamelonne, & l’exception de la plaque madre- 
poriforme qui est .bombee et finement spongieuse: pores genitaux s’ouvrant 
A Vextrömite externe des plaques; plaques ocellaires petites, subtriangulaires, 
intercaldes ä l’angle des plaques genitales. 

Plusieurs de nos exemplaires sont & l’&tat de moule interieur: les aires 
ambulacraires sont pr&sque droites, renflöes et fortement sillonnees an milien. 
Les aires interambulacraires, relativement dtroites A leur partie superieure, 
offrent les traces de deux rangees de tubercules gros et saillants surtout. 
vers l’ambitus. 

Nous retrouvons, dans nos &chantillons de Stramberg, quelques unes des 
varietes que nous avons signalees en France. Les tubereules ambulacraires, 
toujours moins developp6s que les tubercules interambulacraires, sont plus ou 
moins nombreux et serres, et affectent quelque fois une disposition alterne. 
Les tubereules de la face superieure presentent des perforations plus ou moins 
accusees et souvent le mamelon est presque lisse. 


Rapports et differences. L’Acrocidaris nobilis, en y r&unissant, comme 
l’ont fait Desor et M. de Loriol, les Acrocidaris formosa et tuberosa, Agassiz, 
et les Aecrocidaris ovalis, elongala et subformosa, Etallon, forme un type 
toujours parfaitement reconnaissable aux caracteres que nous venons d’indiquer. 
Voisin de l’Aerocidaris stiata, de l’etage bathonien, il s’en distingue par sa 
forme plus surbaissde et moins conique, par ses zones poriferes plus ondu- 
leuses, par ses aires ambulacraires plus larges, garnies de tuberceules moins 
nombreux et plus developpes, offrant surtout vers l’ambitus une difference 
moins sensible avec les tubercules interambulacraires. 


30 Les Echinides de couches de Stramberg. 


Localites: Stramberg, assez commun. Musde de Munich, Geologische 
Reichsanstalt (Vienne). 

L’Acroeidaris nobilis est une des esp£ces caracteristiques de l’&tage corallien, 
et sa presence a te signalde dans un grand nombre de localites: En France, 
l’Aecroeidaris mobilis a ete rencontıe A Chatel-Censom, Merry-sur-Yonne, Cou- 
langes-sur-Yonne, Crain, Andryes, Druyes (Yonne), ä Crecy-sur-Tille (Cote-d’or), 
a Champlitte (Haute-Saone), dans l’ötage corallien inferieur; ä La Rochelle 
(Charente inferieure), ä Preuilly (Indre et Loire), ä Levier (Doubs), ä Djebel- 
seba (Algerie), dans l’&tage corallien superieur; ä Echaillon (Isere), au puits 
de Rians (Var), dans les couches superieures du terrain jurassique. En Suisse, 
l’espece parait propre a l’&tage sequanien et a &t€ recueillie & Hobel (Soleure), 
ä St. Sulpice, au Col des Roches pres le Locle (Neuchatel), ä& Ste. Croix 
(Vaud) au sud de Villeret, sur le mont Chasseral, a Moutiers, la. Scheulte et 
Corceles (Jura bernois). 


pl. IV. fig. 29. Aecrocidaris nobilis, vu de eöte, du Musee de Munich. Stramberg. 
fig. 30. Le m&me, vu sur la face saperieure. 
fie. 31. Le möme, vu sur la face inferieure. 
fig. 32. Individu jeune, vu de cöte, du Geologische Reichsanstalt. Stramberg. 
fig. 33. Le möme, vu sur la face superieure. 
fig. 34. Le m&me, vu sur la face inferieure, 


XII. Pseudodiadema, Desor, 1856. 


Les Pseudodiadema sont caracterises par leurs zones poriferes droites 
ou subonduleuses, composees de pores simples, quelquefois bigemines aux 
approches du sommet, se multipliant toujours vers le peristome, par leurs 
aires ambulacraires convergant en ligne droite du sommet ä la bouche, s’elar- 
gissant vers l’ambitus, garnies de deux rangdes de tubercules princeipaux 
creneles et perfores, par leurs aires interambulacraires pourvues de tubereules 
de mäme nature que ceux des aires ambulacraires, mais ordinairement plus 
gros et accompagnes de tuberenles secondaires disposes en rangees plus ou 
moins nombreuses, par leur appareil apical largement developpe, tres peu 
solide. 

Les especes du genre Psewdodiadema peuvent se diviser en deux groupes 
basds sur la disposition simple ou big&minde qu’offrent les pores ambula- 
craires aux approches du sommet. Ce caractere, insuffisant au point de vue 
generique, doit toujours &tre pris en consideration pour la distinction des 
especes et coincide du reste avec certaines autres differences: les Psexdo- 
diadema & pores simples sont en general cireulaires & l’ambitus, renfles, sub- 
h@mispheriques en dessus et munis d’un appareil apical mediocrement deve- 
loppe; au contraire les Pseudodiadema & pores bigemines sont fortement 
deprimes en dessus; leur ambitus est subpentagonal; leur appareil apical, ä en 
juger par l’empreinte qu’il a laissee, occupe une grande partie de la face 


Pseudodiadema. 31 


superieure, affeete une forme pentagonale trös prononcee et n'est. conserve 
dans aucun des exemplaires que nous connaissons. (Ce second groupe corres- 
pond au genre Diplopodia, &tabli par Mac Coy, et que quelques auteurs ont 
adopte, mais que nous avons cru devoir depuis longtemps rejeter de la 
methode, en raison du peu de constance de ses caracteres. 

Le genre Pseudodiadema, tres abondant dans les terrains jurassiques et 
dans les tages inferieurs du terrain eretace, disparait dans la craie supe- 
rieure, et c’est A peine si quelques rares especes ont &te signalees dans les 
terrains tertiaires; c’est A l’&poque corallienne que ce genre atteint son maxi- 
mum de developpement. 

Trois especes existent dans les couches de Stramberg: deux d’entre 
elles, Pseudodiadema pseudodiadema et Ps. florescens, appartiennent au pre- 
mier groupe; le Ps. aroviense fait partie du second groupe. 


24). 1. Pseudodiadema pseudodiadema (Lamarck), 
Cotteau, 1882. 


pl. V, fig. 1 et 5. 


Voyez, pour la synonymie et la description de cette espece, la Pal&on- 
tologie francaise, terrain jurassique, t. X, 2de partie, p. 330, pl. 
353— 355. 

Nous ne possedons de cette espece qu’un fragment de test et deux moules 
interieurs. Le test, bien que tres incomplet, est suffisamment caracterise par 
ses zones poriferes droites, & fleur de test, composees de pores simples et 
rögulierement superposes, par ses aires ambulacraires presentant, & la face 
superieure et jusqu’aux approches du sommet, deux rangees de tubercules 
serobicules, creneles, perfores, finement mamelonnes, accompagnes de granules 
indgaux et assez abondants, par ses tubercules interambulacraires beaucoup 
plus gros et A scerobicules confluents. Notre fragment de test fait partie de 
la face superieure et n'est muni que de quelques tubereules secondaires peu 
developpes et qui tendent dejä A se confondre avec les granules. et echan- 
tillon appartient & la variete de petite taille qu’on rencontre assez abon- 
damment dans l’etage corallien superieur et que nous avons fait figurer, pl. 
355, fig. 1 (loco sup. cit.). 

Les moules interieurs que nous rapportons ä& cette espece sont moins 
bien caracterises: ils different assur&ment des moules interieurs de l’Hemici- 
daris Agassixi et de l’Acroeidaris nobilis, mais nous ne pouvons avoir de 
certitude sur leur identite speeifique. 

Rapports et differences. Le Pseudodiadema pseudodiadema est une 
des especes les plus r&epandues du genre Pseudodiadema; il sera tonjours 
facilement reconnaissable ä son ambitus .eirculaire, ä sa face superieure uni- 
form&ment bombee, A ses pcres simples, ä l’abondance de ses tubercules 


32 Les Echinides des couches de Stramberg. 


secondaires, aux profondes entailles de son peristome. Mentionnde, pour la 
premiere fois, par Lamarck, en 1816, sous le nom de Oldarites pseudodiadema, 
cette espece a recn successivement des auteurs les noms d’hemisphaerieum, 
de lransversum, de Lamarcki et de Flamandi. La loi de priorit@ nous 
fait un devoir de revenir au nom speeifique de pserdodiadema, donne par 
Lamarck, tout en regrettant quil soit identique au nom de genre choisi 
par Desor. = 

Localite: Stramberg, tres rare. Musde de Munich. 

Cette esp&ce se rencontre dans un tr&es grand nombre de localites. En 
Allemagne, elle a et signal&e A Hoheneggelsen (Hannovre); en Angleterre, ä 
Calne et a Malton; en France, elle est abondante «dans l’ötage corallien 
inferienr ä Merry-sur-Yonne et a Druyes (Yonne). a Selongey ACöte-d’or), A 
St. Mihiel (Meuse), ä Novion, Puisieux (Ardennes), ä Benerville, Trouville 
(Calvados) ete., et dans l’etage corallien superieur, & Tonnere (Yonne), A 
Brucdale Houreceq (Pas de Calais), a la Rochelle (Uharente inferieure): elle est 
egalement commune en Suisse et a te receuillie soit dans le calcaire A 
Chailles, ä Combe aux Loups (Jura bernois), A Klein Lützel (Soleure), & 
Kilchberg, Zeglingen (Bäle); — soit dans l’&tage säquanien, A St. Sulpice, ä la 
Baume pres le Locle (Neuchatel), ä Sainte-Croix (Vaud), ä Hobel (Soleure) etc. 


pl. V. fig. 1. Fragment du Pseudodiadema pseudodiadema. Stramberg. 


fig. 2. Le möme grossi. 
fig. 3. Moule interieur vu de cöte. Stramberg. 


3 
2 

fig. 4. Le möme, vu sur la face superieure. 

fig. 5. Autre moule interieur, vu sur la face superieure, Stramberg. 


25). 2. Pseudodiadema florescens (Agassiz), de Loriol, 1881. 
pl. V, fig. 6—10. 


Voyez, pour la synonymie de cette espäce, Pal&ontologie francaise, 
terrain jurassique, t. X, 2de partie, p. 317. 


Dimensions. 


Hauteur: 11 mill. 
Diametre: 24'/, mill. 


Espece de taille moyenne, circulaire, l&gerement bombde en dessus, 
presque plane en dessous. Zones poriferes droites, A fleur de test, compos&es 
de pores simples disposds par paires &cartdes que s@parent de petites cloisons 
saillantes, se multipliant un peu autour du peristome. Aires ambulacraires 
tres etroites surtout pres du sommet, garnies de deux rangees de tubercules 
saillants, faiblement crönel&s, surmontds d’un petit mamelon finement perforg, 
au nombre de neuf ou dix par serie. Ces tubercules places pres des zones 
poriferös s’elevent au dessus de l’ambitus et sont remplaces assez brusquement, 


Pseudodiadema, 33 


aux approches du sommet, par des granules epais, formant dans rangees 
irrögulieres. Aires interambulacraires pourvues de deux series de tubereules 
saillants, plus developpes que ceux des aires ambulacraires, comme eux 
faiblement cröneles, mamelonnes et perfores, au nombre de dix ou onze par 
serie. Ces tubercules s’attenuent pres du sommet et paraissent remplaces 
par de simples granules scerobicules. Zone miliaire large, occupde par des 
granules assez abondants, inegaux, quelquefois mamelonnes, tendant A se 
grouper autour des scrobicules, laissant, vers la suture mediane notamment 
A la face superieure, quelques espaces lisses. Peristome ä fleur de test, assez 
etenda, circulaire, marqu& d’entailles relevees sur les bords. P£riprocte ar- 
rondi, entoure d’un petit bourrelet saillant. Appareil apical solide, penta- 
gonal, granuleux; plaques genitales A peu pres &gales, perfordes A une cer- 
taine distance du bord; plaques ocellaires subtriangulaires, intercaldes dans 
les angles externes des plaques genitales. 

Un seul exemplaire de cette espece a &t& recueilli ä Stramberg, mais 
il presente tous les caracteres essentiels du Psexdodiadema florescens, et ne 
differe du type que par ses tubercules ambulacraires et interambulacraires 
un peu plus serres et plus nombreux. Ces me&mes tubercules paraissent 
dans notre öchantillon presque depourvus de cerenelures et imperfores, mais 
cet aspect est du a la fossilisation, et en les examinant ä& la loupe on 
reconnait, chez quelques uns, de legeres traces des cränelures. 


Rapports et differences. Le Pseudodiadema florescens se distingue 
de ses congeneres par ses pores simples disposds par paires &cartdes, par 
ses tubereules ambulacraires que de simples granules remplacent brusquement 
aux approches du sommet, par ses tubereules interambulacraires s’attönuant 
et disparaissant completement autonr de l’appareil apical, par sa zone miliaire 
large, par son periprocte eireulaire, bord@ d’an löger bourrelet, par son ap- 
pareil apical solide et granuleux. 


Localite: Stramberg, tres rare. Geologische Reichsanstalt. 


Le Pseudodiadema florescens a &t& signale, en France et en Suisse, 
dans un grand nombre de localites. En France, il a &t& recmeilli A Merry- 
sur-Yonne, ä Crain,. & Coulanges-sur-Yonne (Yonne), ä Selongey, Courchamps 
(Cöte-d’or), a Champlitte, Chassigny (Haute-Saone), A Vincket (Haute-Rhin), 
dans l’etage corallien inferieur, — ä& Tonnerre, ä Thury (Yonne), ä Vertaut 
(Aube), a La Rochelle (Charente inferieure), A Valfın (Jura), & Brucdale (Pas 
de Calais), ä Djebel Seba (Algsrie), dans l’6tage corallien superieur. L’espece 
se rencontre egalement, en Suisse, ä Zwingen, Blauen, Graitery, Tariche 
(Jura bernois), dans l’&tage corallien sup£rieur. 

pl. V. fig. 6. Pseudodiadema floreseens, vu de cöte. Stram berg. 

fig. 7. Le meme, vu sur la face superieure, 
fig. 8. Le meme, vu sur la face inferieure, 
fig. 9. Portion des aires ambulacraires et interambulacraires grossies. 


fig. 10. Appareil apical grossi. 
Palaeontologische Mittheilungen Bd. 3. 3 


34 Les Echinides des conches de Stramberg. 


26). 3. Pseudodiadema subangulare (Goldfuss), Cotteau. 
pl. V. fig. 11—14. 


1826. Diadema subangulare, Goldfuss, Petref. mus. univ. Boruss. Rhen. Bonn., p. 
122, pl. XL, fig. 8. 

1847. —_ - (pars) Agassiz et Desor, Catal. rais. des Echin., p. 44. 

1850. _ _ d’Orbigny, Prod. de palöont. strat., t. IT, p. 27. 

1852, — _ Giebel, Deutschlands Petrefacten, p. 320. 

1852. — = Bronn, Lethaea geognostica, t. Il, p. 144. 

1856. Diplopodia subangularis, Desor, Synopsis des Echin. foss., p. 75 (excl. fig.). 

1873. Diadema subangulare, Quenstedt, Petrefactenkunde Deutschlands, Echinod., 


p. 310, pl. LXXII, fig. 18. 
1882. Pseudodiadema subangulare, Cotteau, Paleont. frang., terrain jurassique, t. X, 2de 
partie, p. +11. 

Nous ne conaissons que les moules interieurs de cette espece, et sans 
que nous puissions avoir une certitude absolue, ıl nous a paru qu'ils devaient 
appartenir au Pseudodiadema subangulare; ls different du type figure par 
Goldfuss et des exemplaires de Muggendorf que nous possedons dans notre 
collection, par leur taille un peu plus forte, mais ils s’en rapprochent par 
tous leurs autres caracteres, par leur forme deprimde en dessus et en dessous, 
par leur ambitus nettement pentagonal, par leur pores dedoubles a la face 
superieure, sans etre aussi fortement big&minds que dans certaines especes 
voisines, par l’etendue et la forme pentagonale de l’empreinte qu’a laissee 
l’appareil apical. 

Le Pseudodiadema subangulare a longtemps et& confondu avec une 
espece abondante en France et en Suisse, le Pseudodiadema aroviense, Desor ; 
c’est ä M. de Loriol que revient le merite d’avoir reconnu que les deux 
especes sont parfaitement distinctes et que le Pseudodiadema aroviense diftere 
du Pseudodiadema, subangulare par sa taille plus forte, sa forme relativement 
plus deprimde, ses pores ambulacraires plus completement et plus largement 
bigemines ä& la face superieure, par ses tubereules principaux plus saillants 
et plus serres, par ses granules moins distinets, par ses tubercules secon- 
daires plus nombreux et plus apparents. 


Localite: Nesseldorf, assez rare. Mus&de du Munich. 

Le Pseudodiadema subangulare n’a pas encore 6t& rencontre en France, 
en Suisse et en Angleterre; il parait jusqu’ici special ä l’Allemagne et a ete 
recueilli en assez grande abondance A Thurnau et Muggendorf (Baviere), A 
Galgenberg pres Hildesheim et ä& Lendenberg pres Hanovre, dans l’etage 
corallien. 

pl. V, fig. 11. Moule intörieur du Pseudodiadema subangulare, vu de cöte. Nisseldorf. 

fig. 12. Le möme, vu sur la face superieure. 
fig. 13. Autre exemplaire, vu de cöte. Nisseldorf. 
fig. 14. Le meöme, vu sur la face inferieure. 


Pedina. 35 


XIV. Pedina, Agassiz, 1840. 


Le genre Pedina est remarquable par la tenuite de son test, par sa 
forme circulaire, rarement subpentagonale, presque &galement deprimde en 
dessus et en dessous, par ses pores ambulacraires disposes par paires obliques, 
se relevant aux approches du sommet, par ses tubercules perfores et non 
creneles, en general espaces et attenues, formant des rangees prineipales et 
secondaires, par son peristome petit, decagonal, muni de fortes entailles, par 
son appareil apical large et superficiel. 

Le genre Pedina est propre jusquici au terrain jurassique; il commence 
ä se montrer dans le lias, acquiert le maximum de son developpement A 
l’epoque corallienne et disparait avec l’etage kimmeridgien. 

Une seule espece a &t& rencontree a Stramberg. 


27). 1. Pedina sublaevis, Agassiz, 1840. 
pl. V, fig. 15—16. 


Voyez pour la synonymie et la description, la Paleont. francaise, 
terrain jurassique, t. X, 24° partie, p. 646, pl. 431—434. 

Nous n’avons sous les yeux qu’un exemplaire de petite taille et assez 
incomplet, mais il est garni de son test; la plupart de ses caracteres sont 
visibles et nous n’eprouvons aucune incertitude sur son identite avec le 
Pedina sublaevis: son ambitus est circulaire et sa face superieure tres deprimee; 
ses zones poriferes, etroites et superficielles, se composent de pores disposes 
par triples paires obliques qui se relevent et deviennent presque droites aux 
approches du sommet. Les aires ambulacraires, aiguös a leur partie sup@rieure, 
s’elargissent en descendant vers l’ambitus et sont garnies de deux rangees 
de tubercules espaces, inegaux, alternes & la face superieure, lisses et per- 
fores. Les tubercules interambulacraires, un peu plus gros, mais de m&öme 
nature que les tubercules ambulacraires, sont comme eux espac6s et attenues, 
lisses et perfores, sans que la perforation soit bien apparente ä cause de 
l’usure des tubereules; ils sont accompagn&s de tubercules secondaires indgaux, 
espaces, disparaissant avant d’arriver au sommet. Le peristome n'est pas 
visible dans notre exemplaire. Le periprocte affecte une forme subeirculaire. 
L’appareil apical est grand, superficiel et presente quelques granules et tuber- 
cules inögaux. 

Rapports et differences. Le Pedina sublaevis, tel que nous l’avons 
eirconscrit dans Ja Pal&ontologie francaise, constitue une espece plus ou 
moins tuberculeuse, de taille tres variable, mais qui sera toujours reconnais- 
sable a sa forme arrondie, & sa face superieure deprimde, ä ses zones pori- 
feres superficielles, composees de pores ranges par triples paires peu obliques, 
et ne se multipliant pas autour du peristome, a ses tubereules ambulacraires 


36 Les Echinides des couches de Stramberg. 


et interambulacraires espaces et attenuds, A ses tubercules secondaires abon- 
dants, irreguliers, toujours apparents, mais moins developpes que les tuber- 
cules principaux, ä son appareil apical superficiel et tr&s large. 

Localite: Ignaziberg, tres rare. Musde de Munich. 

Le Pedina sublaevis occupe, en France, un horizon stratigraphique tres 
etendu; il a &t@ rencontre a Chauffour (Sarthe), A Daix (Cöte-d’or), dans 
l’etage oxfordien; — ä Selongey, & Laignes (Cöte-d’or), & Chatel-Censoir et 
Druyes (Yonne), a St. Mihiel (Meuse), ä Champlitte (Haute-Saone), dans 
l’etage corallien inferieur; — ä Commissey et ä Lezinnes (Yonne), dans l’6tage 
corallien moyen; — ä& Bar-sur-Aube, Fontaines, Baroville, Gy&-sur-Seine, Les 
Riceys (Aube); a Marb£ville, Vouecourt (Haute-Marne), dans l’&tage kimmeridgien. 
L’espece est &galement abondante en Suisse: dans ’Echinologie helveti- 
que, M. de Loriol l’a signalde ä Seewen, Graitery, Fringeli, Combe d’Eschert 
pıes Moutiers (Jura bernois), dans le terrain A chailles; — ä Montchaibeux, 
Vorbourg (Jura bernois), a la Baume les Ravieres pres le Locle (Neuchätel), 
a St“ Croix (Vaud), dans l’tage söquanien. 

pl V. fig. 15. Fragment du Pedina sublaevis. Ignaziberg. 

fig. 16. Le m&me grossi. 

Sept exemplaires de Pedina provenant des couches de Stramberg et faisant 
partie des collections du Geologische Reichsanstalt de Vienne nous ont dte 
recemment communiques: presque tous ces &echantillons sont garnis de leur 
test, et bien que leur conservation laisse ä desirer, il nous a &t& possible de 
les etudier et nous croyons devoir, comme le fragment que nous avons 
precedemment decrit, les rapporter, au Pedina sublaevis; ils sont en general 
plus &pais, plus renfles, plus bomb£s a la face sup6rieure que les Echantillons 
de Suisse et de France; leur aspect est plus granuleux; leur tubereules 
secondaires sont plus abondants, plus developpds et les deux rangees princi- 
pales interambulacraires se detachent moins nettement surtout A la face 
superieure. Malgre ces differences, il nous a paru difficile de separer les 
exemplaires de Stramberg, du Pedina sublaewis qui, d’apres les observations 
de M. de Loriol et les miennes, varie beaucoup dans le nombre et la dis- 
position de ses tubercules. 


XV, Stomechinus, Desor, 1857. 


Le genre Stomechinus, &tabli par Desor, en 1857, et adopte par tous 
les auteurs, constitue un groupe tres naturel que caracterisent parfaitement 
ses zones poriferes droites, formdes de pores disposes par triples paires 
d’autant plus obliques quelles se rapprochent de l’ambitus, ses tubercules 
petits, abondants, imperfores et non creneles, ä pen pres d’egale dimension 
sur les deux aires, couvrant toute la surface du test de series verticales 
plus nombreuses et plus de&veloppees vers ’ambitus et ä la face inferieure, 


Stomechinus. 37 


son peristome largement ouvert, subpentagonal, muni de fortes entailles, 
remarquable par l’&troitesse des Jövres interambulacraires qui se reduisent A 
de simples lobes anguleux, tandisque les levres ambulacraires sont presque 
droites et beauconp plus &tendues. 

Le genre Stomechinus est abondant A l’&£poque jurassique et multiplie 
dans chaque dtage ses espöces et ses individus; il est beaucoup plus rare dans 
le terrain cıretacd et dans les terrains tertiaires. Il existesa l’Epoque actuelle 
et est represente par les Zylhechinus, Al. Agassiz, que nous avons reunis 
aux Stomechinus, dont ils ne different par aucun caractere essentiel. 

Une seule espece, la plus repandue de toutes en France et en Suisse. 
a öt& recueillie dans les couches de Stramberg. 


28). 1. Stomechinus perlatus (Desmarets), Desor, 1856. 
pl. IV, fig. 17—20. 


Voyez, pour la synonymie et la description de cette espece, l’Echino- 
logie helvätique, terrain jurassique, p. 221, pl. XXXVII, 1870. 


Dimensions. 


Type du Stomechinus perlatus. Moule interieur: hauteur: 48 mill. 
diametre: 60 mill. 
Var. lineata.. . » » » . . Moule interieur: hauteur: 33 mill. 
diamötre: 49 mill. 
Exemplaire de tr&es grande taille. Moule interienr: hautenr: 58 mill. 
diamötre: SO mill. 

Les exemplaires recueillis ä Stramberg sont assez nombreux, mais 
presque tous & l’&tat de moules interieurs. Aussi ne pouvons nous en donner 
une description complete. Quelques uns, cependant, ont conserv& des portions 
de test qui ne nous laissent aucun doute sur leur determination: Les zones 
poriferes sont larges, droites et formdes de pores disposds par triples paires 
obliques. Les tubercules sont abondants, serrdes, homogenes et augmentent 
de volume & la face inferieure. Les deux rangdes prineipales de tubercules 
ambulacraires se maintiennent parfaitement distinctes aux approches du 
sommet et paraissent nıeme augmenter un peu de volume. Les granules qui 
les accompagnent sont nombreux, inögaux, groups autour des scrobicules et 
se prolongent ca et lä en series horizontales et delicates. Le milieu de l’aire 
interambulacraire est un peu nu; le peristome subpentagonal est marque 
d’entailles profondes et les levres ambulacraires sont beaucoup plus &tendues 
que celles qui correspondent aux aires interambulacraires. 

Nous retrouvons & Stramberg les principales varietes signaldes en France 
et en Suisse: certains exemplaires sont renfles, eleves, subconiques, c’est le 
type de l’ancien Echinus perlatus,; d’autres sont moins &pais, subh&mispheri- 
ques en dessus, un peu deprimes et correspondent parfaitement ä& la variete 


38 Les Echinides des couches de Stramberg. 


" designee longtemps sous le nom de Stomechinus lineatus. La variets globu- 
leuse, remarquable par les larges proportions de son test existe @galement, 
et nous avons sous les yeux un &chantillon recueilli par M. Hebert & Inwald, 
dont le diametre est de 80 millimetres et depasse de 5 millimötres notre plus 
grand exemplaire de France. 

Les monles interieurs, comme ceux que nous trouvons en France A l’etat 
siliceux, portent l’empreinte de la suture des plaques; celles qui constituent 
les aires ambulacraires sont petites, pentagonales, &troites, allongees, recourbedes 
au milien; les plaques interambulacraires sont longues, de medioere largeur, 
legerement subllexueuses: au fur et ä mesure qu’elles s’elövent vers le sommet, 
elles deviennent relativement plus larges. 


Rapports et differences. Le Stomechinus perlatus, en y reunissant 
les Stomechinus lineatus, serialis, psammophorus et aroviensis, se distingue 
nettement de ses congeneres par l’ensemble de ses caracteres et notamment 
par l’abondance de petits granules fins et delicats qui se groupent autour 
des scrobicules, et se prolongent cä et lä en series horizontales. 

Localite: Stramberg, Inwald, assez rare. Musde de Munich, Geo- 
logische Reichsanstalt (Vienne), Coll. de M. Hebert. 

Cette espece connue depuis longtemps, souvent citee et figurde par les 
auteurs, est extrömement repandue en France et en Suisse. En France, elle 
commence A se montrer dans l’ötage oxfordien et a et& recueillie a Talant 
(Haute-Marne) et A Sennevoy (Yonne) ou elle est rare. Le Stomechinus 
perlatus atteint le maximum de son developpement dans l’etage corallien 
inferieur et se rencontre A Courchamps, Briancourt, Piepape (Haute-Marne), 
ä Champlitte, a Beaujeux (Haute-Saone), ä Laignes, Vertaut, Selongey (Cöte- 
d’or), a Chätel-Censoir, Druyes (Yonne) etc. et dans beaucoup d’autres localites, 
partout tres abondante. Moins frequente dans l’etage corallien sup£rieur, 
elle a &t& recueillie A Tonnerre (Yonne), a Bourges (Cher), A Bar-sur-Seine et 
Fontaine (Aube), a Soncourt (Haute-Marne). M. de Loriol indique sa presence 
dans le terrain ä chaille (tage corallien inferieur) A Fringeli, au val de 
Moutiers, A la Combe d’Eschert etc. dans le jura bernois, & Joux (Neuchätel), 
a St* Croix (Vaud), a Auenstein Wöschnau (Argovie), A Obergösgen (Soleure) et 
dans beaucoup d’autres localites; elle est bien plus rare dans l’&tage sequanien, 
et M. de Loriol mentionne seulement Elay, Gratery (Berne), Olten (Soleure). 

pl. V. fig. 17. Moule interieur avec portion de test du Stomechinus perlatus (var. 

lineata), du Geologische Reichsanstalt, vu de cöte. Stramberg. 

fig. 18. Autre exemplaire, type du Stomeehinus perlatus, du Musee de Munich, 
vu de cöte. Stramberg. 

fig. 19. Autre exemplaire (var. Zineata), «lu Geologische Reichsanstalt, vu de 
eöte, Stramberg. 

fig. 20, Autre exemplaire, de tres grande taılle, de la collection de M, Hebert, 
vu de cöte. Inwald. 


Considerations generales. 39 


Considerations generales. 


Les Echinides deerits dans notre travail sont au nombre de vingt huit 
repartis dans quinze genres: 


Metaporhinus convexus  (Catullo), Oidaris subpunctata, Cotteau. 
Cotteau. 0. — Sturi, Cottean. 
Collyrites carinata, Des Moulins. Rhabdoeidaris mazxima (Münster), 
Pachyelypeus semiglobus (Gold£uss), Moesch. 
Desor. Diploeidaris Elalloni, de Loriol. 
Fseudodesorella Orbignyi  (Cotteau), Hemieidaris Agassixi (Roemer), Dames. 
Etallon. HA. — erenularis Agassız. (La- 
Holectypus corallinus, d’Orbigny. marck). 
H. — orifieiatus  (Schlotheim), 4. — Zitleli, Cottean. 
de Loriol. Acrocidaris nobilis, Agassiz2. 
Pyrina tcaumensis (Cotteau), de Loriol. Pseudodiadema  pseudodiadema  (La- 
Pygaster Gresslyi, Desor. marck), Cottean. 
Oidanris glandifera, Goldfuss. Pseudodiadema florescens (Agassiz), de 
0. —  carinifera, Agassiz. Loriol. 
0. —  Blumenbacht, Münster. Pseiudodiadema subangulare (Goldfuss), 
C. —  strambergensis, Uottean. *) Cotteau. 
©. —  propingua, Münster. Pedina sublaevis, Agassiz. 
C. —  gibbosa, Cottean. Stomechimus  perlatus (Desmaret), 
©. —  marginata, Goldfuss. Desor. 


Sur ce nombre eing especes seulement sont nouvelles et signalees pour 
la premiere fois: Oidaris strambergensis, gibbosa, subpunctata, Stuwri et He- 
micidaris Zitlei. Cette derniere espece se retrouve, en France, dans le terrain 
jurassique superieur, A un niveau probablement identique. 

Vingt trois especes ont &t& rencontrees, en Europe, dans d’autres gisements. 

Neuf especes, en y comprenant l’Hemieidaris Zitteli, se vetrouvent, en 
Europe et en Algerie, dans des depots ä peu pres du m&me äge et consider6s 
comme tithoniques: Metaporhinus convexus, Pachyelypeus semiglobus, Collyrites 
carinatus, Holectypus orificiatus, Oidaris glandifera, Oidaris carinifera, Rhab- 
docidaris masima, Acrocidaris nobilis. Tvois especes seulement ne descendent 
pas plus bas: Metaporhinus converus, Pachyelypeus semiglobus et Hemieidaris 
Zitteli; les six autres s’etaient d6ja montrees dans les depots inferieurs. 


*) Le C. Strambergensis se vapproche beaucoup des radioles attribues par Gemellaro 
au Cidaris tithonica,; cependant, n’ayant pas sous les yeux les types deerits par l’auteur 
italien, il nous reste quelgue doute, et nous n’avons pas ose reunir nos exemplaires a cette 
espece (Gemellaro, Studi paleont. sulle fauna del cal a Tereb. janitor di Sieilia, part. II, 
p- 89, pl. XIII, fig. 6, 10 et 11, 1871). 


40 Les Echinides des couches de Stramberg. 


L’etage corallien, en y comprenant les couches inferieures et les depots 
superieurs (söquanien), renferme soit en Europe, soit en Algerie, dix huit 
especes communes avec les calcaires de Stramberg. Psexdodesorella Orbignyi, 
Holectypus corallimus, Holectypus orificiatus, Pyrina veanmensis, Pygaster 
Gressiyi, Oidaris Blumenbachi, Cidaris propingua, Oidaris marginata, Rhab- 
docidaris maxima, Diplocidaris Etalloni, Hemieidaris Agassixi, Hemieidaris 
erenulanis, Acrocidaris nobilis, Pseudodiadema pseudodiadema, Pseudodiadema 
florescens, Pseudodiadema subangulare, Pedina sublaevis, Stomechinus perlatus. 
Quelques unes de ces especes sont assnurement les plus r&epandues et les plus 
caracteristiques de l’etage corallien, considere dans son ensemble. Il suffit 
de citer les Odaris Blumenbachi, propingua et marginata, \es Hemieidarıs 
erenularis et Agassixi, V Acrocidaris nobilis, le Pseudodiadema pseudodiadema, 
le Pedina sublaevis et le Stomechinus perlatus pour etablir combien sont 
etroits les liens qui unissent les couches de Stramberg aux depots coralliens 
meme les plus inferieurs. C'est un fait & noter que presque tontes les 
espöces, d’origine corallienne, les plus röpandues A Stramberg, sont precise- 
ment celles qui ont eu le plus de durde et ont occupe les horizons les plus 
etendus dans les äges precedents. Le Pedina sublaevis par exemple, dont 
le Geologische Reichsanstalt de Vienne possede une importante serie provenant 
de Stramberg, a commence ä se montrer, en France, dans les couches oxfor- 
diennes et möme calloviennes; il abonde dans les calcaires A chailles et dans 
le corallien inferieur, et se developpe avec profusion dans l’&tage kimmerid- 
gien proprement dit de la France et de la Suisse: il en est de m&me de 
l’Holeeiypus corallinus, de l’Acrocidaris nobilis, des Hemieidaris erenularis et 
Agassixi qu’on rencontre A Stramberg, et qui caracterisent, en France et en 
Suisse, les divers depots du terrain jurassique moyen et superieur. Il en est 
encore de m@me du Stomechinus perlatus, Yun des Echinides les plus abon- 
dants des calcaires A chailles et du Corallien inferieur, et qui a vecu en grand 
nombre ä Stramberg ou il est represente par ses principales varietes. 


„wer! 


PALAEONTOLOGISCHE 


UNS: 


T HEIL UNGEN 
AUS EN Le 
| DRITTER BAND. 
3 
on a Die Korallen der Stramberger Schichten. 
Die euc der Stramberger Schichten. 


N 


Ss TU T T GART. 
SCHWEIZERBART SCHE. VERLAGSHANDLO NG (E. | 


* Feah 8791897, 


Palaeontologische Studien 


über die 


Grenzschichten der Jura- und Kreide-Formatin 


im Gebiete 


der Karpathen, Alpen und Apenninen. 


Sechste Abtheilung. 


Die Crustaceen der Stramberger Schichten 


Wilhelm Moericke. 


Mit Tafel VI. 
—— — a —— 


"Stuttgart. 
E. Schweizerbart’sche Verlagshandlung (E. Koch.) 
1897. 


4, I TER 
 FEBIIIEgB 


en, 


Druck von Carl Hammer in Stuttgart. 


MAR & 1898 


Nachdem die Fauna der sogenannten Stramberger Schichten theils durch 
Suess, theils durch Bönm und CorreAv, vor Allem aber durch v. Zırren in 
meisterhafter Weise grösstentheils beschrieben wurde, blieben eigentlich nur 
noch die Crustaceen, Korallen und Spongien aus dieser Formation zur Be- 
arbeitung übrig. 

In Folge des Erwerbes der Honen&sGer'schen Sammlung durch den 
bayerischen Staat, kam auch eine verhältnissmässig grosse Anzahl von Cru- 
staceen aus den Stramberger Schichten in das Münchener palaeontologische 
Museum. Alle diese Reste fallen, von einem kleinen Macruren abgesehen, 
unter die Rubrik derjenigen Krebse, welche H. v. Meyer in der Familie 
der Prosoponiden oder Maskenkrebse zusammenfasste. 

Auf Veranlassung meines verehrten Lehrers, des Herrn Prof. Dr. 
v. Zırrev, machte ich mich an die Bearbeitung dieses Materiales. Bei 
der Ausführung meiner Arbeit standen mir zum Vergleich stets die MEveEr'- 
schen Original-Exemplare zur Verfügung, welche der ehemaligen WETZLER'- 
schen Sammlung angehörten und jetzt Eigenthum des Münchener palae- 
ontologischen Museums sind. Ausserdem erhielt ich durch die Freundlich- 
keit des Herrn Director D. Stur in Wien die Originale zur Besichtigung, 
welche Reuss zu seiner Arbeit „Ueber fossile Krabben des Mährischen 
Jurakalkes“ benützt hatte. Zuletzt war es mir möglich, durch die Güte 
des Herrn Prof. Dr. Fraas das einschlägige Material, welches sich im Stutt- 
garter Naturalienkabinet befindet, näher anzusehen. Ich habe daher bei 
den Identificirungen mit schon bekannten Arten fast stets die Originale ver- 
gleichen können. Vor Allem aber musste mir daran gelegen sein, Vergleichs- 
material entsprechender recenter Formen zu erhalten. Meinem Wunsche 
hierin kam Herr Prof. Dr. Herrwıc in liebenswürdigster Weise entgegen, 
indem er mir eine grössere Anzahl recenter Crustaceen aus dem Münchener 
zoologischen Museum zur Verfügung stellte. Hiebei kam ich zu dem Re- 
sultat, dass die als Prosoponiden zusammengefassten Krebse keineswegs 
sämmtlich in einer Familie untergebracht werden können. Ich sehe mich 
daher veranlasst, in einem einleitenden Theile meine Ansicht über die 


44 Literatur-Verzeichniss. 


systematische Stellung der Prosoponiden näher zu begründen, wobei ich zu- 
gleich ihre verwandtschaftlichen Beziehungen zu einander und ihre muth- 
maassliche Abstammung berühren werde. 

Allen obengenannten Herren, welche mir durch Ueberlassung von 
Material behilflich waren, sage ich meinen besten Dank. Vor allem aber 
bin ich meinem hochverehrten Lehrer, Herrn Prof. Dr. v. Zırren, welcher 
mir die Bearbeitung dieses Materials anvertraute und durch Literaturangabe 
äusserst behilflich war, zu grösstem Danke verpflichtet. 


Verzeichniss der benützten Literatur. 


1) Boas, Studier over Decapodernes Slaegtskabsforhold. Kiöbenhavn, 1880. 

2) Desmarest, Öonsiderations generales sur la classe des cerustaces. Paris, 1825. 

3) Etallon, Notes sur les erustacds Jurassiques du bassin du Jura. Gray, 1861. 

4) Gemmellaro, Studii paleontologiei sulla fauna del calcare a Terebratula janitor 
del Nord di Sicilia. Palermo, 1868—1876. 

5) H. v. Meyer, Die Prosoponiden oder die Familie der Maskenkrebse. (Palae- 
ontograpbica, Bd. VII, 1859— 1861.) 

6) Milne Edwards, Histoire naturelle des Crustaces. Paris, 1837. 

7) Milne Edwards, Alph., Portuniens et Thalassiniens. (Ann. des sciences 
nat. Zoologie. 4. ser. Tome 14. 1861.) 

8) Oppel, Palaeontologische Mittheilungen. I. Ueber jurassische Crustaceen. 
Stuttgart, 1862. 

9) Quenstedt, Handbuch der Petrefactenkunde, 3. Auflage. 1885. 

10) Reuss, Zur Kenntniss fossiler Krabben. Wien, 1869. 

11) Zittel, Palaeontologische Studien über die Grenzschichten der Jura- und 
Kreideformation. 

12) Zittel, Handbuch der Palaeozoologie. I. Abth. I. Band. 1881—18S5. 


Einleitender Theil. 


Die Familie der Prosoponiden oder Maskenkrebse wurde von H. v. MEYER 
im Jahre 1835 aufgestellt. Derselbe war auch der erste und einzige, wel- 
cher eine ausführlichere Arbeit über diese fossilen Crustaceen verfasste. 
Weitaus der grösste Theil des von H. v. Meyer beschriebenen Materials 
rührt aus dem Schwäbischen Jura und ganz besonders von einer Localität 
desselben, dem Oerlinger Thal, her. Ueber schwäbische Reste dieser Art 
schrieb ausserdem auch noch QuENnstepDrT. Erst später wurden aus den 
Stramberger Schichten emige Prosoponiden bekannt, welche von Reuss be- 
arbeitet worden sind. Letztere bilden jedoch nur einen Bruchtheil der in 
diesen Schichten vorkommenden Prosoponiden. Sonst hat, meines Wissens, 
sich nur noch ErAutox und GEMMELLARO mit Prosoponiden befasst; ersterer 
beschrieb einige Formen aus dem französischen Jura, letzterer einige aus 
dem Tithon von Sieilien. 

Leider ist von diesen eigenthümlichen Krebsen fast immer nur der 
Cephalothorax erhalten. Scheeren und Segmente sind sehr selten und da 
sie nie mit dem Cephalothorax im Zusammenhang gefunden werden, ist es 
sehr fraglich, ob sie überhaupt Prosoponiden angehören. Dieser Umstand 
macht es sehr schwierig, dieser Krebssippe mit Bestimmtheit ihren Platz im 
System der Crustaceen anzuweisen, da ja dasselbe hauptsächlich auf dem 
Bau der Extremitäten beruht. Der Gründer der Familie der Prosoponiden, 
H. v. Meyer, stellte dieselben zu den Anomuren, also einem Bindeglied 
zwischen Macruren und Brachyuren. Er wies hiebei auf die Beschaffenheit 
des Cephalothorax hin, welcher gemeinsame Merkmale sowohl mit den Ma- 
eruren als mit den Brachyuren theilt. Reuss machte besonders auf die 
grosse Aehnlichkeit der Regionen des Rückenschildes aufmerksam, welche 
zwischen den Prosoponiden und den noch lebenden Dromien besteht. 

Zur Gruppe der Dromien wurden dieselben bis jetzt auch allgemein 
gestellt; v. Zırtev drückt die Vermuthung aus, die Prosoponiden könnten 
persistente Jugendformen der Dromien sein, wenn die von H. v. Meyer be- 
schriebenen Segmente in der That zu Prosoponiden gehören. 


46 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


Bei seiner Beschreibung der schwäbischen Prosoponiden theilte H. 
v. Meyer dieselben in drei verschiedene Gattungen ein: in Prosopon, Gastro- 
sacus und Pithonoton. Letztere Gattung liess der Autor später selbst wieder 
fallen. Reuss fügte denselben noch zwei weitere Genera bei, nämlich: 
Goniodromites und Oxythyreus. Da jedoch ein schärferer Unterschied zwi- 
schen Prosopon und Goniodromites nicht besteht, bestritt H. v. Meyer die 
Berechtigung des letzteren als Gattungsbegriff. Hingegen liess er Oxythyreus 
als eigene Gattung gelten, indem er das Hauptgewicht darauf legt, dass 
das Rückenschild einer sichtbaren Magenbegrenzung entbehrt. Jedoch lässt 
sich auch diese Gattung durch den neuerdings von GEMMELLARO beschrie- 
benen Prosopon oxythyreiforme auf die eigentlichen Prosoponiden zurück- 
führen. Prosopon oxythyreiforme besitzt nämlich, wie ja schon sein Name 
andeutet, viel Aehnlichkeit mit dem von Reuss beschriebenen Oxythyreus 
gibbus, legitimirt sich aber doch durch eine wohlausgeprägte Magenregion 
als ächten Prosopon. 

Immerhin mag Oxythyreus als eigene Gattung betrachtet werden, die 
sich jedoch eng an die Gattung Prosopon anschliesst. 

Ganz anders verhält es sich nnn mit der von H. v. Meyer aufge- 
stellten Gattung Gastrosacus. 

Gastrosacus nannte H. v. Meyer diese Gattung wegen der vermeint- 
lichen grossen Magenbegrenzung; dieselbe hat der Autor jedoch falsch gedeutet. 

Wie QuENSTEDT schon bemerkte, ist die Magenregion bei Gastrosacus 
von ähnlich flaschenförmiger Form, wie bei den Prosoponiden, allerdings 
meist viel schwächer ausgeprägt. Schon in seiner ganzen äusseren Form 
ähnelt das hückenschild von Gastrosacus mehr dem Cephalothorax eines 
Macruren, oder besser gesagt Anomuren, als dem eines Brachyuren, eine Aehn- 
lichkeit, welche durch das lange spitze Rostrum noch bedeutend erhöht wird. 

Man bekommt bei genauen Vergleichen von Rückenschildern, welche 
von Gastrosacus und Prosopon herrühren, unwillkührlich den Eindruck, dass 
die erstere Form den Macruren noch näher stehen müsse, als Prosopon. 
Besonders wird man in dieser Ansicht durch folgenden Umstand bestärkt: 
Die Prosoponiden besitzen alle mehr oder minder lange und tiefe Augen- 
höhlen, ähnlich den Brachyuren, während sämmtlichen Vertretern der Gat- 
tung Gastrosacus eigentliche Orbiten fehlen. Sie nähern sich dadurch also 
schon mehr den Macruren resp. Anomuren als den Brachyuren, für welch’ 
letztere ja die Augenhöhlen charakteristische Merkmale sind. 

Durch genaue Vergleiche nun, welche ich mit Rückenschildern fossiler 
Gastrosaceen und recenter Anomuren anstellte, kam ich zu dem Resultate, 
dass die Rückenschilder von Gastrosacus zweifellos von ächten Anomuren 
und von Galatheen herrühren, denn die Aehnlichkeit mit den Rückenschildern 
der lebenden Galatheen ist eine geradezu frappante. 


Einleitender Theil. 47 


Der Cephalothorax der fossilen Gastrosacen besitzt dieselbe äussere 
Form, dieselben Furchen und Regionen auf seiner Oberfläche, wie die 
vückenschilder der recenten Galatheen. Selbst die spitzen, dornenähnlichen 
Zähne, welche mit ihrer Spitze nach vorn gerichtet sind, verzieren, wofern 
sie nicht abgebrochen sind, was allerdings meist der Fall ist, die Seiten- 
ränder des Cephalothorax von Gastrosacus genau so, wie es bei den lebenden 
Vertretern der Gattung Galathea der Fall ist. 

Wir haben es also unzweifelhaft mit ächten Galatheen zu thun, den 
muthmasslichen Vorfahren der heutigen. Daher wird der an und für sich 
schon unglücklich gewählte Name Gastrosacus hinfällig. 

Bei dem Eintheilen der fossilen Galatheen in einzelne Species, glaubte 
ich wenig Werth auf die mehr oder minder scharfe Begrenzung der Regionen 
des Rückenschildes legen zu dürfen. 

Wir sehen nämlich, dass bei den lebenden Galatheen die Rücken- 
schilder verschiedener Individuen einer und derselben Species theils scharfe 
Furchen und Begrenzungen zeigen, theils dass dieselben kaum angedeutet 
sind. Es scheint, dass je älter die Individuen sind, welchen die Rücken- 
schilder angehören, desto schärfer die Furchen und Regionen auf denselben 
hervortreten. Zur Unterscheidung der Species bei den fossilen Galatheen habe 
ich vorzugsweise die Verzierung des Cephalothorax und die Beschaffenheit des 
Rostrums, wofern dasselbe nicht abgebrochen war, benützt. 

Nachdem die ehemalige Gattung Gastrosacus als Galathea erkannt 
worden, verliert sie natürlich ihren bisherigen Platz unter den Dromien und 
wird den Anomuren zugetheilt. 

Unter den schwäbischen Prosoponiden der ehemaligen WETZLEr'schen 
Sammlung befindet sich auch eine Form, welcher H. v. Meyer den Samm- 
lungsnamen Gastrodurus beilegte. 

Dieser Gastrodurus stimmt in seinem ganzen Habitus sehr mit den 
recenten Vertretern der Gattung Pagurus überein, so dass man ihn wohl 
als einen Vorgänger der späteren Paguren betrachten darf. Da diese Form 
jedoch nur im Schwäbischen Jura und nicht auch in den Stramberger 
Schichten vorkommt, begnüge ich mich darauf hinzuweisen. 

Werfen wir num noch einen Blick auf die eigentlichen Prosoponiden. 
Der Besitz tiefer Augenhöhlen und die grosse Aehnlichkeit, welche zwischen 
den einzelnen Regionen der Rückenschilder von Prosopon und Dromia be- 
steht, deuten auf die Zugehörigkeit der Prosoponiden zu den letzteren hin. 
Wir müssen die Prosoponiden wohl als die Vorfahren der späteren Dromien 
ansehen. Es kann allerdings nicht geleugnet werden, dass, während einige 
Prosoponiden ausserordentlich viel Aehnlichkeit mit Dromien besitzen, andere 
wieder, namentlich durch ihre lange schmale Form, wesentlich von denselben 
abweichen. Letztere stehen vielleicht dem Macrurentypus noch etwas näher, 


48 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


als die anderen, welche schon in ihrem ganzen Habitus mehr ächten Dro- 
mien gleichen. 

Es dürfte nun jedenfalls von Werth sein, etwas über die verwandt- 
schaftlichen Beziehungen der Dromien (Prosoponiden) zu den Anomuren und 
Macruren in Erfahrung zu bringen. Hierüber eibt uns der dänische Natur- 
forscher Boas in einer trefflichen Arbeit, welche „Studier over Decapodernes 
Slaegtskabsforhold“ betitelt ist, befriedigenden Aufschluss. Boas machte 
seine Studien bei recenten Crustaceen, wobei er sein Hauptaugenmerk auf 
den Bau der Extremitäten der betreffenden Thiere legte. Nach ihm besteht 
eine sehr nahe Verwandtschaft zwischen Dromien und Anomuren, wobei 
Pagurus und Galathea die primitivsten Formen der letzteren repräsentiren. 
Vor allem soll es Galathea sein, welche den Dromien von sämmtlichen 
Anomuren am nächsten steht. Von Galathea glaubte denn BoAas anfangs 
auch, müssten die Dromien ihre Abstammung herleiten, allein verschiedene 
Gründe sprachen wieder gegen diese Ansicht. Auf Grund der Untersuchungen 
von Zo@alarven kam er zu dem endgültigen Schluss, dass die Dromien mit 
den Anomuren, vor allem Galathea, zwar nahe verwandt sind, aber nicht 
von denselben direct abstammen. Nach Boas Ansicht leiten vielmehr beide 
Crustaceentypen ihre Abstammung von Macruren her und zwar speciell von 
Repräsentanten der Familie der Thalassimiden. Besonders soll es ein Glied 
der Thalassiniden sein, Axdus oder eine demselben nahe stehende Form, 
welcher als gemeinsamer Ahne der Anomuren und Dromien zu betrach- 
ten sei. 

Es ist nun gewiss nicht ohne Interesse, dass in denselben Stramberger 
Schichten, aus welchen die Prosoponiden und Galatheen herrühren, auch 
vückenschilder von kleinen Macruren vorkommen, welche in ihrem ganzen 
Habitus so an ächte Thalassiniden erinnern, dass man wohl keinen Anstand 
nehmen darf, dieselben zu dieser Familie zu stellen. Der Cephalothorax ist 
klein, seitlich stark zusammengedrückt, mit scheimbar dreieckigem, von einer 
klemen Medianfurche durchzogenem Rostrum, zu beiden Seiten der Basis 
des Rostrums befindet sich je ein spitzer Zahn. Die Magenregion ist drei- 
eckig mit vorderem, langem und schmalem Ende. Wie schon aus der kurzen 
Beschreibung des Rückenschildes dieses kleinen Krebses hervorgeht, erinnert 
derselbe ausserordentlich an die recente Gattung Gebia, welche der Gattung 
Azxius sehr nahe steht. Zur Gattung Gebia glaube ich diesen klemen Krebs 
stellen zu müssen. Bemerkenswerth ist es, dass die deutliche Magen- 
begrenzung der fossilen Gebia von ähnlicher dreieckiger, flaschenförmiger 
Form ist, wie sie für die Prosoponiden so typisch ist und auch bei den 
Galatheen mehr oder minder angedeutet zu sein pflegt. Die recente Gebia 
besitzt zwar auch noch eine ähnliche Begrenzung der Magengegend, aber 
weniger deutlich, was mit dem weichen Cephalothorax zusammenhängen mag. 


Einleitender Theil. 49 


In phylogenetischer Hinsicht ist es jedenfalls nicht ohne Bedeutung, 
(dass in denselben Schichten mit den Prosoponiden, den Vorgängern der 
Dromien, auch Galatheen und Thalassiniden vorkommen, gerade diese Cru- 
staceentypen also, welche Boas als die nächsten Verwandten, resp. Vor- 
fahren der Dromien bezeichnet. Die Galatheen des oberen Jura (Tithon) 
theilen zwar viele verwandtschaftliche Merkmale mit den Vorfahren der 
Dromien, den Prosoponiden, unterscheiden sich aber doch schon von den- 
selben durch den Mangel eigentlicher Orbiten und durch den Besitz eines 
langen spitzen Rostrums. Beide Crustaceentypen theilen aber auch ein ge- 
meinsames Merkmal, nämlich die ähnliche Magenbegrenzung, mit Macruren, 
und zwar mit den Vertretern der zu den Thalassiniden gehörigen Gattung Gebia. 

Es dürften wohl die palaeontolosischen Funde zur Bestätigung der 
von Boas bei seinen Studien der entsprechenden lebenden Krebse erzielten 
Resultate dienen. Anomuren, besonders Galatheen, sind nahe mit den 
Dromien verwandt, doch sind erstere nicht als Vorfahren der letzteren zu 
betrachten, sondern beide leiten ihren Ursprung als gesonderte Zweige von 
Thalassiniden (Azius, Gebia) ab. Die Prosoponiden repräsentiren dabei das 
Uebergangsstadium von den Macruren zu den eigentlichen Dromien. Aus 
den Dromien mögen sich später die eigentlichen Brachyuren (Brachyura 
genuina) entwickelt haben. 

Ein anschauliches Bild dieser Stammesgeschichte gibt ein von Boas 
verfertigtes Schema, welches ich mit geringer Veränderung hier wiedergebe. 


o 
% PBrachyura genuina 


Thalassinidae 
(Axius, Gebia) 


Palaeontologische Mittheilungen, Band 3. 4 


Beschreibender Theil, 


Crustacea. 
Thoracostraca. 
Ordnung: Decapoda. 

A. Macrura. 

Familie: Thalassinidae Mine Enwarns. 
Gattung: Gebia Leacn. 


Der Cephalothorax ist ziemlich kurz und seitlich zusammengedrückt. 
Das flache Rostrum ist von dreieckiger Form, genügend breit, um die Augen 
beinahe ganz zu verdecken, auf jeder Seite der Basis des Rostrums befindet 
sich ein Zahn. Die nieht sehr grosse Magengegend ist vorn sehr schmal. 


Gebia dura n. sp. 
Taf. VI Fig. 2a, 2b. 


Dimensionen: Grösste Länge des hückenschildes — 4 mm. 
s 3reite „ a —3 97mm: 


Der sehr kleine Cephalothorax ist seitlich stark zusammengedrückt und 
in Folge dessen ziemlich schmal. Das verhältnissmässig breite Rostrum 
scheint von dreieckiger Gestalt gewesen zu sein, leider ist die Spitze des- 
selben bei beiden mir vorliegenden Exemplaren abgebrochen. Mitten durch 
das Rostrum läuft eine kurze Längsfurche; an der Basis desselben be- 
findet sich auf jeder Seite ein spitzer, etwas gebogener Zahn. Vor der 
sehr deutlichen Nackenfurche e liegt die dreieckige (flaschenförmige) Magen- 
begrenzung o, welche in ein langes, sehr schmales Vorderende ausgezogen ist. 
Ausser der Nackenfurche sind nachfolgende verschiedene Furchen vorhanden: 
Vom Hinterrand des Cephalothorax läuft eine lange Furche « nach vorn, 
dieselbe verbindet sich mit einer kleinen, von der Nackenfurche auslaufenden 
Furche b. Von der Furche b zeigt eine kleine, etwas gebogene Verlängerung bi 


Gebia. 51 


nach unten. Diese Verlängerung ist für die Gebien charakteristisch (nach 
Boas). In der Mitte zwischen der Nackenfurche e und der Furche a be- 
findet sich eine halbkreisförmige Furche d, welche auch bei der recenten 
Species Gebia litoralis zu sehen ist. Von der Stelle, wo die Furchen d und a zu- 
sammentreffen, läuft eine Längsfurche /£ nach der Nackenfurche. Diese 
letztere dürfte der linea thalassinica (BoAs) entsprechen. Das Rostrum und 
die Magenregion erhalten durch kleine Rauhigkeiten ein granulirtes Aus- 
sehen, der übrige Theil des Cephalothorax sieht fast glatt aus. 

Vergleiche und Bemerkungen. (Gebia dura besitzt viele Aehnlichkeit mit 
der lebenden Art Gebia litoralis. Zwar hat Gebia dura einen harten 
Cephalothorax besessen, im Gegensatz zu den weichen Rückenschildern der 
heutigen Vertreter der Gattung Gebia. Dies beeinträchtigt die Vergleichung 
nicht; es ist sowohl im Allgemeinen der Kalkgehalt der hornigen Basis der 
Crustaceenschalen ein wechselnder, es hat auch andererseits die zur selben 
Familie gehörige Gebia in vielen Beziehungen sehr nahe stehende Gattung 
Thalassina einen harten Cephalothorax. Abgesehen hievon müssen über- 
haupt die älteren Vertreter der Gattung Gebia ein hartes Rückenschild be- 
sessen haben, da dieselben nach dem von Boas aufgestellten Stammbaum 
ihren Ursprung von den Homariden, den hartschaligen Urformen der ganzen 
Sippe nahmen. 

Untersuchte Stücke: 2. 

Vorkommen: Wischlitz. 


B. Anomura. 


Familie: Galatheidae Farr. 


Der Cephalothorax ist flach und ziemlich breit, jedoch übertrifft die 
Länge immerhin noch etwas die Breite. Das Rostrum ist mehr oder weniger 
hervorstehend; es bedeckt die Basis der Augenstiele. Auf der Oberfläche 
des Rückenschildes befinden sich verschiedene Furchen, von welchen eine, 
die halbkreisförmige Furche a, der Nackenfurche bei den Macruren ent- 
spricht. Direct unterhalb der Nackenfurche, in der Mitte sogar mit der- 
selben vereinigt, läuft eine Querfurche D von einem Seitenrand des Rücken- 
schildes zum anderen. Die Magengegend ist mehr oder minder deutlich; 
sie ist von dreieckiger (flaschenförmiger) Form, meist jedoch ist nur die 
hintere Parthie durch zwei nach vorn convergirende Furchen e angedeutet. 
Die Seitenränder des Cephalothorax sind mit dornenähnlichen Zähnen ver- 
sehen. Von Orbiten ist keine Spur vorhanden. 


59 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


Galathea euteeta n. sp. 
Taf. VI Fig. 5. 
Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den seitlichen Ecken des 
Stirnrandes an gemessen — 13 mm. 
Grösste Breite des Rückenschildes = 12 mm. 

Der Cephalothorax ist länglich viereckig, wobei die Ecken des Stirn- 
randes ziemlich abgestumpft erscheinen. Die Seitenränder des Rückenschildes 
sind umgeschlagen, sie lassen noch deutlich eine Naht erkennen, welche der 
linea anomurica (BoAs) entspricht. Das Rostrum ist flach und an der Basis 
ziemlich breit, die Spitze desselben leider abgebrochen. In der Nähe des 
Vorderrandes, direct vor Beginn des Rostrums, erheben sich zwei kleinere 
Höcker, welche wahrscheinlich früher mit Stacheln besetzt waren. Die 
Nackenfurche befindet sich etwas oberhalb der Mitte des Rückenschildes, sie 
zieht in einem halbkreisförmigen Bogen nach den stumpfen Ecken des 
Vorderrandes. Die Querfurche ist undeutlich, was mit der Verzierung des 
Rückenschildes zusammenhängt. Vor der Nackenfurche befindet sich die 
Magenregion, von derselben ist jedoch nur das schmale, vordere Ende 
sichtbar. Die Herzgegend ist bei dieser Species kaum angedeutet. Einen 
eigentlichen Ausschnitt besitzt der Hinterrand des Cephalothorax nicht. Die 
Oberfläche der Steinkerne ist dicht mit langen Querriefen bedeckt. Diese 
Querriefen sind in der hinteren Parthie des Rückenschildes besonders 
lang, je mehr sie sich aber dem Vorderrand nähern, um so kürzer werden 
sie, bis sie endlich auf dem Rostrum eine rundliche, schuppenförmige 
(Gestalt annehmen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species schliesst sich in der Ver- 
zierung des Rückenschildes eng an die lebenden Vertreter der Gattung 
Galathea an. Besonders mit jungen Individuen der lebenden Species 
Galathea strigosa, bei welchen die Furchen des Rückenschildes noch nicht 
so scharf ausgeprägt sind, zeigt Galathea eutecta auffallende Aehnlichkeit. 

Untersuchte Stücke: 4. 

Vorkommen: Mischlowitz, Wischlitz. 


Galathea Zitteli n. sp. 
Taf. VI Fig. 6. 
Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den Ecken des Stirnrandes 
an gemessen = 5 mm. 
Grösste Breite des Rückenschildes = 4 mm. 
Das Rückenschild dieser Species ist bedeutend kleiner, als das der 
vorhergehenden, jedoch bleibt das Verhältniss der Länge zur Breite das- 


Galathea. 53 


selbe. Das flache, leicht gekrümmte Rostrum ist sehr breit und von drei- 
eckiger Form, mit einem feinen spitzen Zahn am vorderen Ende. Genau 
in der Mitte des Rostrums läuft ein schmaler Längskiel bis in die äusserste 
Spitze. Vor der recht gut ausgeprägten Nackenfurche befindet sich der 
Raum, in welchem die Magenregion liegt. Letztere stellt ein scharf be- 
erenztes Dreieck mit der längeren Spitze nach oben gerichtet dar. Die 
etwas erhabenen, zu beiden Seiten an die Magengegend grenzenden Parthieen 
werden wohl als die Leberregionen zu deuten sein. Die in der Mitte an 
die Nackenfurche grenzende Querfurche ist deutlich. Eime schärfere Be- 
srenzung der Herzgegend findet auch bei dieser Species nicht statt. Einen 
eigentlichen Ausschnitt besitzt der Cephalothorax nicht, hingegen ist der 
Hinterrand mit einem ziemlich breiten Saum eingefasst. Die Verzierung 
der Steinkerne besteht im der hinteren Parthie des Rückenschildes aus läng- 
lichen Querriefen. In der vorderen Region des Cephalothorax nehmen 
diese Querriefen mehr runde Gestalt an, um bis in die äusserste Spitze des 
Rostrums fortzusetzen, wo sie aber sehr fein werden. 

Untersuchte Stücke: 5. 

Vorkommen: Wischlitz. 


Galathea acutirostris n. sp. 
(Gastrosacus Wetzleri H. v. MEvEr?) 


Taf. VI Fig. 7. 


Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den Ecken des Stirnrandes 
an gemessen — 6 mm. 
Grösste Breite des Rückenschildes — 5 mm. 

Das Rückenschild ist von länglich viereckiger Form, fast ganz gleich- 
mässig breit; das lange Rostrum ziemlich schmal, von dreieckiger Ge- 
stalt, vorn zugespitzt, mitten hindurch läuft ein sehr scharfer Längskiel. 
Direct vor Beginn des Rostrums befinden sich zwei kleine Höcker, welche 
wohl zur Lebergegend gehören. Die Magengegend stellt ein Dreieck dar, 
jedoch ist nur die hintere Parthie derselben schärfer ausgeprägt. Die halb- 
kreisförmige Nackenfurche ist sehr scharf eimgeschnitten, und ebenso die sich 
daran anschliessende Querfurche recht deutlich. Von den seitlichen Theilen 
der letzteren läuft je eine kurze, aber scharfe Furche nach der Herz- 
begrenzung. Die Herzregion ist bei dieser Species besser angedeutet, als 
bei der vorhergehenden; sie scheint ein gleichschenkliges Dreieck darzustellen, 
dessen spitzer Winkel dem Hinterrand zugekehrt ist. Der Hinterrand des 
Cephalothorax ist in der Mitte ein wenig ausgeschnitten. Die Steinkerne 
weisen auf ihrer Oberfläche Wärzchen auf, welche in der hinteren Hälfte 


54 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 

des Rückenschildes länglich sind, in der vorderen dagegen mehr rundlich. 
Die Seitenränder des Rückenschildes sind mit dornenförmigen, spitzen 
Zähnen besetzt, welche ihre Spitze nach oben kehren. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species besitzt viele Aehnlichkeit 
mit Gastrosacus Wetzleri H. v. Meyer, doch scheint Galathea aecutirostris 
ein etwas längeres und schmäleres Rostrum zu besitzen. Vielleicht darf 
Galathea acutirostris nur als eine Varietät von Gastrosacus Wetzleri ange- 
sehen werden. Von der Species Galathea acutirostris fand sich ein Exem- 
plar, welches die dornenförmigen Zähne an den Seitenrändern noch fast 
unversehrt zeigt. Dieselben sind genau so gestellt, wie bei den lebenden 
Vertretern der Gattung Galathea; das dolchähnliche Rostrum dieser Art 
ähnelt am meisten dem langen spitzen Rostrum der recenten Galathea 
rugosa. 

Untersuchte Stücke: 6. 

Vorkommen: Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz. Wischlitz. 


Galathea antiqua n. sp. 
Taf. VI Fig. A. 


Dimensionen: Länge (des Rückenschildes von den Ecken des Stirnrandes 


an gemessen — 14 mm. 
Grösste Breite des Rückenschildes = 13 mm. 


Die grösste Breite fällt im die hintere Hälfte des Cephalothorax. Das 
tostrum ist sehr flach und von dreieckiger Form, jedoch bei sämmtlichen 
mir vorliegenden Exemplaren etwas defect. Vor der tief eimgeschnittenen 
Nackenfurche befindet sich die Magenbegrenzung, welche ein deutliches 
Dreieck darstellt. Zu beiden Seiten des vorderen schmalen Endes der 
Magenregion befinden sich zwei Höcker, welche der Lebergegend angehören, 
und früher wohl mit kleinen Stacheln besetzt waren. Die Querfurche ist 
gleichfalls gut markirt, sie trennt sich wie bei allen Galatheen an den Seiten 
von der Nackenfurche, um nach den Seitenrändern des Cephalothorax hin 
zu verlaufen. Die Verzierung des Rückenschildes besteht aus kräftigen 
Wärzchen, dieselben sind rundlich; nur da, wo sich die Herzbegrenzung zu 
befinden pflegt, sind sie länglich; vor dem Hinterrand des Cephalothorax 
liegt ein verhältnissmässig breiter, scheinbar glatter Saum, welcher jedoch 
unter der Lupe kleine runde Grübchen erkennen lässt. Die Stacheln, mit 
welchen die Seitenränder des Rückenschildes besetzt waren, sind fast alle 
abgebrochen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species unterscheidet sich haupt- 
sächlich durch ihre tief eingeschnittenen Furchen und durch den mit 


Galathea. 55 


Grübchen besetzten Saum vor dem Hinterrand von den vorhergehen- 
den Arten. ; 

Untersuchte Stücke: 3. 

Vorkommen: Mosty, Raczhichow. 


Galathea Meyeri n. sp. 
Taf. VI Fig. 8. 


Dimensionen: Länge des hückenschildes von den Ecken des Stirnrandes 


an gemessen —= 10 mm. 
Grösste Breite des Rückenschildes = 9 mm. 


Das flache Rostrum ist nicht sehr lang, dreieckig, vorn zugespitzt, und 
mit einem medianen Längskiel versehen. Die Magenbegrenzung wird durch 
ein deutliches Dreieck repräsentirt. Nackenfurche wie Querfurche sind ziem- 
lich tief eingeschnitten. Die Herzregion, welche bei dieser Species gut 
sichtbar ist, ist von querovaler Form. Eine zweite Querfurche läuft von 
den Seitenrändern des Cephalothorax nach der Mitte des Hinterrandes. Das 
Rtückenschild besitzt hinten einen kleinen, aber deutlichen Ausschnitt, wel- 
cher von einem schmalen, glatten Saume eingefasst wird. Die Verzierung 
der Steinkerne besteht aus grösseren und kleineren Wärzchen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Galathea Meyeri unterscheidet sich von 
den übrigen Species dieser Gattung hauptsächlich durch den Besitz einer 
deutlichen zweiten Querfurche, hiedurch nähert sie sich etwas mehr dem 
Prosoponidentypus. 

Untersuchte Stücke: 2. 

Vorkommen: Wischlitz. 


Galathea verrucosa n. Sp. 
Taf. VI Fig. 9. 
Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den Ecken des Hinterrandes 
an gemessen = 9 mm. 
Grösste Breite des Rückenschildes = 8 mm. 

Das etwas gewölbte hückenschild ist hinten am breitesten, vorn ver- 
schmälert es sich etwas. Das flache und ziemlich breite Rostrum ist drei- 
eckig und leicht gekrümmt, ohne einen Längskiel. Die deutliche Nacken- 
furche läuft in einem halbkreisförmigen Bogen nach den Ecken des Stirnrandes. 
Eine eigentliche Magenbegrenzung lässt sich schwer nachweisen. Ebenso 
ist die Querfurche kaum angedeutet, was mit der Verzierung des Rücken- 
schildes zusammenhängen mag. Die Herzregion wird durch längliche Wärz- 
chen bezeichnet, während sonst die Verzierung des Rückenschildes aus rund- 


56 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


lichen Wärzchen besteht. Diese Wärzchen stehen so dicht gedrängt, dass 
die Oberfläche der Steinkerne förmlich gepflastert erscheint. In der Mitte 
der Nackenfurche befinden sich zwei längliche Wärzchen. Der Hinterrand 
des Cephalothorax ist in der Mitte leicht ausgeschnitten. Die Stacheln der 
Seitenränder des Rückenschildes sind sämmtlich abgebrochen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Das Rückenschild lässt keine bestimmte 
Umgrenzung der einzelnen Regionen auf seiner Oberfläche erkennen, hie- 
durch nähert sich diese Art etwas der Gattung Oxythyreus. 

Untersuchte Stücke: 2. 

Vorkommen: Willamowitz. 


C. Brachyura. 


a) Dromiacea. 
Familie: Prosoponidae H. v. Mever. 


Der Cephalothorax wird meist durch zwei Querfurchen, eine vordere 
und eine hintere, in drei Abtheilungen zerlegt. Das Rückenschild ist bei 
den einen länger als breit, bei anderen findet dagegen das umgekehrte Ver- 
hältniss statt. Das Rostrum ist gewöhnlich stark gebogen, und mit einer 
medianen Längsfurche versehen. Die Augenhöhlen sind tief ausgeschnitten. 
Die Magenbegrenzung, welche nur bei ganz wenigen fehlt, ist dreieckig 
(flaschenförmig) mit langem, vorderem Ende. Die Herzregion stellt meist 
ein Dreieck oder ein Pentagon dar. Die Seitenränder des Rückenschildes 
sind umgeschlagen. Ein mehr oder minder deutlicher Ausschnitt am Hinter- 
rand ist gewöhnlich vorhanden. 


Oxythyreus gibbus Reuss. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11mm. 
n Breite „ n — 8mm. 


Der ovale Cephalothorax ist stark gewölbt, hinten ziemlich breit ver- 
schmälert er sich allmählich nach vorn. Der dreieckige, stark abwärts ge- 
bogene Schnabel wird vorn von einer kleinen, medianen Längsfurche in zwei 
Hälften getheilt. Eine deutliche Magenbegrenzung ist bei dieser Species 
nicht sichtbar. Von den beiden (@uerfurchen ist blos die vordere scharf 
eingeschnitten, die hintere dagegen nur schwach angedeutet. Die Herz- 
region scheint ein Pentagon darzustellen, ist jedoch sehr verschwommen. 
Die Seitenränder des Cephalothorax sind mit grösseren und kleineren, säge- 
fürmigen Zacken besetzt. Der Hinterrand des Rückenschildes ist in der 


Prosopon. 57 


Mitte mit einem kleinen, aber scharfen Ausschnitt versehen, welcher von 
einem schmalen, glatten Saum eingefasst wird. Die Schale ist mit einer 
Menge kleiner Wärzchen bedeckt, welche jedoch nur auf der hinteren 
Parthie des Rückenschildes deutlich hervortreten. 

Vergleiche und Bemerkungen. Die ziemlich hohe Wölbung des Rücken- 
schildes und das gänzliche Fehlen einer sichtbaren Begrenzung des Magens 
sind für die von Reuss aufgestellte Gattung Oxythyreus chavakteristische 
Merkmale. 

Untersuchte Stücke: 6. 

Vorkommen: Stramberg, Wischlitz. 


Prosopon oxythyreiforme GrEMmM. 
Taf. VI Fig. 10. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11 mm. 
5 Breite „ ei —Sl3.mm. 

Die grösste Breite des Cephalothorax fällt in die hintere Hälfte; ganz 
allmählich verschmälert er sich gegen den Vorderrand hin, um in einem 
stark gekrümmten, dreieckigen Schnabel zu endigen. Zwei spitze Ecken 
auf den Seiten des Stirnrandes deuten auf den Ort hin, wo sich die Orbiten 
befinden. Die Seitenränder des Rückenschildes sind mit stumpfen, lappen- 
förmigen Zähnen versehen. Die Begrenzung der Magenregion ist recht 
deutlich, sie besitzt die den Prosoponiden eigenthümliche flaschenförmige 
Form. Beide scharf markirten Querfurchen laufen seitlich etwas in die 
Höhe. Die fünfseitige Herzgegend zeigt mit einer langen Spitze nach dem 
Hinterrand des Rückenschildes. Der Cephalothorax endigt hinten mit einem 
kleinen, nicht sehr scharfen Ausschnitt. Die Verzierung der Schale besteht 
aus einer Menge theils grösserer, theils kleinerer, unregelmässig gestellter 
Wärzchen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species wurde zuerst im Tithon 
von Sieilien gefunden und von GEMMELLARO Prosopon oxythyreiforme be- 
nannt, wegen der Aehnlichkeit, welche sie mit Oxythyreus gibbus besitzt. 
Von letzterer Species unterscheidet sich Prosopon oxwythyreiforme hauptsäch- 
lich dureh grössere Breite und durch den Besitz einer deutlich begrenzten 
Magengegend. 

Untersuchte Stücke: 3. 

Vorkommen: Willamowitz, Wischlitz. Ausserdem Tithon von Sieilien. 


58 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


Prosopon heraldieum n. sp. 
Taf. VI Fig. 13. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11 mm. 
R Breite „ ; — 28mm: 


Der etwas gewölbte Cephalothorax besteht aus einem grösseren, ovalen 
Haupttheil und aus einem kleinen, durch eine Einschnürung von ersterem 
getrennten Theil, dem Stirnfortsatz. Dieser Fortsatz oder Schnabel besitzt 
viele Aehnlichkeit mit einer kleinen Krone, welche aus 4 Wülsten gebildet 
wird; zu beiden Seiten dieses kronenartigen Stirnfortsatzes befinden sich 
spitze Verlängerungen, welche jedenfalls als die Ecken der Augenhöhlen- 
winkel zu betrachten sind. Eine deutliche Begrenzung der Magengegend 
ist nicht sichtbar. Von den beiden Querfurchen ist die hintere weit schärfer 
eingeschnitten als die vordere. Die zwischen den beiden Querfurchen be- 
findliche mittlere Abtheilung des Rückenschildes stellt nur ein schmales 
Band dar. Die Herzregion ist im Gegensatz zu der nicht einmal ange- 
deuteten Magengegend äusserst scharf markirt. Dieselbe stellt ein etwas 
erhabenes Dreieck dar, mit der ziemlich langen Spitze nach dem Hinterrand 
des Rückenschildes gekehrt. Die Seitenränder des Rückenschildes waren 
mit kleinen, feinen Stacheln besetzt. Einen eigentlichen Ausschnitt besitzt 
der Cephalothorax nicht, wohl aber ist der Hinterrand mit einem verhältniss- 
mässig breiten, glatten Saum eingefasst. Die Steinkerne sind nur auf der 
hinteren Parthie mit kräftigen Wärzchen verziert, vorn erscheinen sie da- 
gegen ganz glatt. 

Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon heraldicum habe ich diese Spe- 
cies wegen der Aehnlichkeit benannt, welche sie mit einem Wappen be- 
sitzt. Durch den Mangel einer sichtbaren, äusseren Magenbegrenzung nähert 
sich diese Species etwas der Gattung Oxythyreus. Der aus 4 kleinen Längs- 
wülsten gebildete Schnabel ist für diese Art charakteristisch, sie weicht 
hiedurch von den übrigen Prosoponiden etwas ab. 

Untersuchte Stücke: 5. 

Vorkommen: Koniakau, Kotzobenz, Willamowitz. 


Prosopon paradoxum H. v. Meyer. 
Taf. VI Fig. 12. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 7 mm. 
" Breite „ ; —= 55mm. 


Das Rückenschild dieser merkwürdigen Species ist in seiner hinteren 
Hälfte breit und aufgebläht, gegen vorn wird es bedeutend schmäler. Die 
Schnäbel sind leider bei den mir vorliegenden Exemplaren abgebrochen. Die 


Prosopon. 59 


Magengegend ist recht deutlich; auf ihrer äussersten Spitze befindet sich 
eine kräftige Warze. Zu beiden Seiten der Magenregion erheben sich zwei 
starke, etwas zugespitzte Höcker. In der Mitte der vorderen kleinen Quer- 
furchen scheint sich ein Porenpaar zu befinden. Von dieser Querfurche aus 
ziehen zwei kleine, längliche Wülste nach der Herzregion hin. Letztere 
stellt ein sehr stark erhabenes Fünfeek dar, mit drei in ein Dreieck ge- 
stellten Wärzchen verziert. Eine zweite, gleichfalls deutliche Querfurche 
läuft gegen die Mitte des Hinterrandes, sie trennt die Herzregion von den 
beiden aufgeblähten Kiemengegenden, welch’ letztere an den Seiten je zwei 
grosse spitze Wärzchen tragen. Eine breite Furche umsäumt den nur 
schwach ausgeschnittenen Hinterrand des Rückenschildes. Die Steinkerne 
sind mit vielen kleinen Wärzchen versehen, welche besonders auf der 
paarigen Kiemengegend stärker hervortreten. 

Vergleiche und Bemerkungen. Die Exemplare aus den Stramberger 
Schichten stimmen in allen Merkmalen mit der von H. v. MeEyEr aus 
dem Oerlinger Thal beschriebenen Species gut überein. Nur fehlen den 
Stramberger Exemplaren die grösseren Wärzchen auf der Magenregion, 
sie sind daher vielleicht als eine Varietät der schwäbischen Art zu be- 
trachten. 

Untersuchte Stücke: 2. 

Vorkommen: Wischlitz. 


Prosopon longum n. sp. 
Taf. VI Fig. 11. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 12 mm. 
5 Breite „ —=6mmm: 


Der Cephalothorax ist etwa gerade noch einmal so lang als breit. 
Der Stirnfortsatz ist von dreieckiger Gestalt, vorn etwas abgestumpft, mit 
2 Höckern und einer kleinen, medianen Längsfurche versehen. Zu beiden 
Seiten des Schnabels bilden die Augenhöhlenwinkel spitze Ecken. Die hin- 
tere Parthie der Magengegend ist stark aufgebläht und das vordere Ende 
mit einer Warze versehen. Zu beiden Seiten der Magenregion ist die 
paarige Lebergegend je zu einem starken Höcker angeschwollen, vor wel- 
chem sich je ein Wärzchen befindet. Der Abschnitt des Rückenschildes, 
welcher zwischen den beiden deutlichen Querfurchen liegt, besteht gleichfalls 
aus zwei kräftigen Höckern, welche je mit einem Wärzchen verziert sind. 
Die erhabene Herzregion ist von birnenförmiger Gestalt mit dem schmalen, 
länglichen Theil nach vorn gerichtet. Die hinter der zweiten Querfurche 
befindliche Abtheilung des Rückenschildes, welche wohl als Kiemengegend 
zu deuten ist, nimmt kaum */s der gesammten Höhe des Cephalothorax ein; 


60 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


(dieselbe schemt auch mit Wärzchen verziert zu sem. Der Hinterrand des 
lrückenschildes ist in der Mitte etwas ausgeschnitten. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species zeichnet sich durch ihre 
lange, schmale Form aus. Am meisten ähnelt sie Prosopon ormatım 
H. v. Meyer, doch besitzt Prosopon Tongum viel stärkere Höcker als letzt- 
genannte Species. 

Untersuchte Stücke: 1. 

Vorkommen: Koniakau. 


Prosopon ornatum H. v. Meyen. 
Taf. vIeRio1b. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes — 7!/z mm. 
Breite „ = — 55mm! 


Seine grösste Breite besitzt das Rückenschild in der hinteren Hälfte, 
nach vorn verschmälert es sich ziemlich rasch. Der gekrümmte Schnabel 
wird durch eine sehr tiefe Medianfurche in zwei gleiche Hälften getheilt. 
Die Magenregion stellt ein kleines Dreieck dar; auf der hinteren Parthie 
befinden sich drei in ein Dreieck gestellte Wärzchen; ebenso ist die äusserste 
Spitze der Magengegend mit einem kleinen Wärzchen verziert. Die an die 
Magenregion grenzenden Theile sind gleichfalls mit verschiedenen Wärzchen 
versehen. Die zwischen den beiden Querfurchen befindliche Abtheilung weist 
sechs kleine Wärzchen auf. Die erhabene Herzgegend liegt zwischen zwei 
Wülsten. Die hintere Abtheilung des Cephalothorax, welche die etwas er- 
habene Kiemengegend enthält, ist durch eine kleine mediane Längsfurche 
halbirt. Der Hinterrand des Cephalothorax wird von einem schmalen, glatten 
Saum eingefasst. Ausser den schon angeführten grösseren Warzen besitzt 
das Rückenschild noch eine Unzahl kleiner Wärzchen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Die mährische Species stimmt, abgesehen 
von dem etwas schärfer ausgeschnittenen Rostrum, gut mit der von H. v. Meyer 
aus dem Oerlinger Thal beschriebenen überein. 

Untersuchte Stücke: 2. 

Vorkommen: Stramberg, Willamowitz. Ausserdem im Oerlinger Thal. 


Prosopon mirum n. sp. 
Taf. VI Fig. 14. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 11 mm. 
a Breite „ 4 — {m 


Das ziemlich gleichmässig breite Rückenschild läuft in einen sehr stark 
gekrümmten Schnabel aus. Von der dreieckigen Magengegend ist die hin- 


Prosopon. 61 


tere Parthie ein wenig gekerbt; das vordere schmale Ende ist sehr lang. 
Die an die Magenbegrenzung stossende Lebergegend besteht aus je drei 
Höckern mit verschiedenen grösseren Warzen verziert. Die Seitenränder 
der oberen Abtheilung des Rückenschildes sind mit zahnartigen Vorsprüngen 
versehen. Die zwischen den beiden (@uerfurchen befindliche mittlere Ab- 
theilung des Cephalothorax ist nur ein schmales Band, von welchem 
kleine Wülste nach der Herzgegend himziehen. Die Herzregion stellt ein 
verhältnissmässig grosses Pentagon dar, welches mit einer Ecke nach dem 
Hinterrand des Rückenschildes gekehrt ist. Die Steinkerne lassen auf ihrer 
Oberfläche eine Menge kleiner Wärzchen erkennen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species besitzt viele Aehnlichkeit 
mit Prosopon Heydeni H. v. Meyer, unterscheidet sich aber von der schwä- 
bischen Art durch breitere Form der Herzregion und durch die seitliche 
3ezahnung der oberen Abtheilung des Rückenschildes. 

Untersuchte Stücke: 1. 

Vorkommen: Kotzobenz. 


Prosopon angustum Reuss. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 11 mm. 
: Breite „ a = 8mm. 


Der dreieckige Schnabel ist ausserordentlich stark gebogen. Direct 
vor Beginn des Stirnfortsatzes befinden sich zwei kleine Warzen. Vor der 
(reieckigen Magenregion ist nur das vordere, schmale Ende deutlich ausge- 
prägt. Die Augenhöhlenwinkel der grossen rundlichen Orbiten bilden an 
den Seiten des Stirnrandes spitze Ecken. Zwischen den beiden tief einge- 
schnittenen Querfurchen befindet sich ein schmales glattes Feld, von welchem 
zwei Wülste nach der fünfeckigen Herzgegend hinlaufen. Die hintere Ab- 
theilung des Rückenschildes wird durch eine kleine Längsfurche halbirt. Der 
Hinterrand des Cephalothorax ist kaum ausgeschnitten. Die Steinkerne 
lassen auf ihrer Oberfläche eine recht undeutliche Wärzchenverzierung 
erkennen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species steht, wie schon H. v. MEyEr 
bemerkte, Prosopon exeisum v. Meyer aus dem Oerlinger Thal sehr nahe. 
Von letzterer Art unterscheidet sich eigentlich Prosopon angustum nur durch 
die viel schmälere Form. 

Untersuchte Stücke: 6. 

Vorkommen: Koniakau, Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz, Wischlitz. 


62 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


Prosopon punetatum H. v. MrEyEr. 
Taf. VI Fie. 23. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 12 mm. 
" Breite „ = = ll, 


Das Rückenschild endigt mit einem kurzen, abgerundeten Schnabel, 
welcher mit einer breiten Medianrinne und zwei kleinen Höckern versehen 
ist. Die hintere Parthie der Magengegend ist deutlich gekerbt, wodurch sie 
ein herzförmiges Aussehen erhält. ‚Das vordere schmale Ende der Magen- 
region wird durch einen kleinen Einschnitt von der hinteren Parthie vollständig 
getrennt. Die zu beiden Seiten der Magenbegrenzung befindliche, paarige 
Leberregion wird von kurzen, aber tiefen Furchen eingeschnitten. Die beiden 
(Juerfurchen sind verhältnissmässig tief und breit. Zu beiden Seiten der 
Herzregion befinden sich zwei Wülste. Der Hinterrand des Cephalothorax 
ist kaum ausgeschnitten, aber von einem schmalen, glatten Saum eingefasst. 
Die Verzierung der Steinkerne besteht aus kleinen, nicht sehr gedrängt 
stehenden Wärzchen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Bei den aus den Stramberger Schichten 
herrührenden Exemplaren ist die Magengegend schärfer gekerbt, als es bei 
den Schwäbischen der Fall ist. 

Untersuchte Stücke: 2. 

Vorkommen: Kotzobenz, Raczhichow. Ferner im Oerlinger Thal. 


Prosopon verrucosum Russ. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 15 mm. 
aBreiter, ® —aammE 


Die grösste Breite des Cephalothorax fällt m das hintere Drittel. Der 
ziemlich gebogene Schnabel ist von etwas abgerundeter, dreieckiger Form. 
Eine kleine, mediane Längsfurche, welche auf jeder Seite von einer Warze 
eingefasst wird, theilt den Stirnfortsatz in zwei Lappen. Die sehr deutliche, 
dreieckige Magenregion ist an ihrer hinteren Parthie etwas gekerbt. Zu 
beiden Seiten der Magenbegrenzung bilden die Leberregionen Höcker. Die 
erste Querfurche, welche seitlich etwas in die Höhe geht, besitzt in ihrer 
Mitte zwei Körnchen, resp. wenn dieselben ausgefallen sind, ein Porenpaar. 
Die dreieckige Herzgegend befindet sich zwischen zwei ziemlich langen 
Wülsten. Meistens lassen sich auf der Herzregion drei m ein Dreieck ge- 
stellte Wärzchen erkennen. Die Kiemengegend ist etwas angeschwollen. 
Der Hinterrand des Cephalothorax ist nur schwach ausgeschnitten und mit 
einer glatten Furche eingesäumt. Die Oberfläche der Steinkerne ist mit 
zahlreichen, kräftigen Wärzchen bedeckt. 


Prosopon. 63 


Vergleiche und Bemerkungen. Wie schon Reuss und H. v. Meyer be- 
merkten, ähnelt Prosopon verrucosum sehr dem aus dem Neocom stammenden 
Prosopon tuberosum H. v. Meyer. 

Untersuchte Stücke: 11. 

Vorkommen: Ignatziberg, Kotzobenz, Racziechow, Strambere, Willamo- 
witz, Wischlitz. 


Prosopon Fraasi n. sp. 
Taf. VI Fig. 17. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 18 mm. 
n zreite „ j —= 13 mm. 


Das fast gleichmässig breite Rückenschild besitzt vorn einen leicht ge- 
krümmten Schnabel, welcher durch eine seichte Rinne in zwei gleiche Hälften 
getheilt wird. Die sehr deutliche, dreieckige Magenregion ist hinten nur 
ganz schwach gekerbt. Die zu beiden Seiten der Magenbegrenzung befind- 
liche paarige Leberregion zerfällt durch verschiedene kleine Furchen in je 
vier Höcker. Die schmale mittlere Abtheilung des Cephalothorax, welche 
von den beiden, ziemlich breiten Querfurchen begrenzt wird, zerfällt durch 
zwei etwas schräge Furchen in vier Theile. Die Herzgegend stellt ein Fünf- 
eck dar, mit drei in ein Dreieck gestellten Wärzchen. Die paarige Kiemen- 
gegend ist ebenfalls mit ganz schwachen Furchen versehen. Eine glatte 
Furche umsäumt den kaum ausgeschnittenen Hinterrand des Cephalothorax. 
Der Steinkern weist auf der Kiemengegend kräftige Wärzchen auf, während 
der übrige Theil des Rückenschildes völlig glatt erscheint. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species dürfte in die Nähe von 
Prosopon laeve H. v. Meyer aus dem Oerlinger Thal gestellt werden. Die 
beiden Furchen, welche die mittlere Abtheilung des Rückenschildes durch- 
schneiden, sind für Prosopon Fraasi charakteristisch. 

Untersuchte Stücke: 1. 

Vorkommen: Willamowitz. 


Prosopon pustulosum Reuss em. H. v. Meyer. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes — 20 mm. 
r Breite „ n = 14 mm. 

Der ziemlich gleichmässig breite Cephalothorax ist stark gewölbt. Der 
sehr kurze Stirnfortsatz ist schwach gebogen und vorn abgestumpft. Von 
der dreieckigen Magengegend ist nur die hintere, schwach gekerbte Parthie 
und das vorderste Ende schärfer ausgeprägt, während der mittlere Theil 
nur schwach angedeutet ist. Die tiefen Augenhöhlen sind ausserordentlich 


64 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


lang. Beide scharf eingeschnittenen Querfurchen laufen seitlich etwas in 
die Höhe. Die vordere Querfurche trägt in ihrer Mitte zwei kleine Körn- 
chen, oder wenn dieselben ausgefallen, ein Porenpaar. Die etwas ver- 
schwommene Herzregion stellt em Pentagon dar, mit vier Wärzchen in der 
Mitte. In der Mitte des Hinterrandes des Rückenschildes befimdet sich ein 
kleiner, aber scharfer Ausschnitt zur Aufnahme des Abdomens. Die Ober- 
fläche der Steinkerne erscheint glatt, nur mit der Lupe lassen sich undeut- 
lich flache Wärzchen erkennen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species hat viele Aehnlichkeit mit 
Prosopon aegqwilatum H. v. Meyer, von welch’ letzterem sie sich eigentlich 
nur durch den Besitz der flachen Wärzchen unterscheidet. 

Untersuchte Stücke: 4. 

Vorkommen: Kotzobenz, Tierlitzko, Willamowitz. 


Prosopon marginatum H. v. Meyer. 
Taf. VI Fig. 22. 
Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes — 15 mm. 
Breite „ = —BnmmE 

Der kurze, etwas gebogene Schnabel wird von einer kleinen, aber 
tiefen Längsfurche in zwei gleiche Lappen getheilt, zu beiden Seiten dieses 
Stirnfortsatzes bilden die Augenhöhlenwinkel scharfe Ecken. Die Orbiten 
selbst sind ziemlich lang und verhältnissmässig sehr tief. Kurz vor dem An- 
fang des Schnabels befinden sich zwei rundliche Höcker, welche wohl zur 
Lebergegend zu rechnen sind. Der vordere und hintere Theil der Magen- 
region ist deutlicher als der mittlere. In der Mitte der etwas geschweiften, 
vorderen Querfurche ist ein Porenpaar sichtbar. Die hintere Querfurche läuft 
in der Mitte gegen den Hinterrand des Cephalothorax hin. Die Herzbe- 
grenzung besitzt die gewöhnliche fünfeckige Form mit drei in ein Dreieck 
gestellten Wärzchen in der Mitte. Die ganze Schale ist mit Wärzchen be- 
deckt, welche in der unteren Hälfte des Rückenschildes etwas gedrängter 
stehen, als in der oberen. Der Hinterrand des Cephalothorax besitzt in der 
Mitte einen kleinen Ausschnitt und wird von einem schmalen, glatten Saum 
eingefasst. 

Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon marginatum besitzt von sämmt- 
lichen Prosoponiden den weitesten Verbreitungsbezirk. 

Untersuchte Stücke: 35. 

Vorkommen: Koniakau, Kotzobenz, Ignatziberg, Stramberg, Tierlitzko, Wil- 
lamowitz, Wischlitz. Ausserdem im Tithon von Sieilien und im Oerlinger Thal. 


Prosopon. 65 


Prosopon ovale n. sp. 
Taf. VI Fig. 16. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11 mm. 
; jreite „ la — 9 mm. 


Das Rückenschild ist von ovaler Form, mit einem stark gekrümmten 
Schnabel versehen. Direet hinter dem Schnabel liegen zwei kleine, zur Leber- 
gegend gehörige Höcker. Die kleine, dreieckige Magenbegrenzung ist nur 
sanz schwach ausgeprägt. Von den beiden Querfurchen ist die vordere tief 
eingeschnitten, die hintere Querfurche dagegen nur seitlich scharf markitt. 
Die länglich dreieckige Herzgegend befindet sich zwischen zwei Wülsten. 
Drei undeutliche Warzen sind in der Herzregion bemerkbar. Der fast ganz 
gerade Hinterrand des Rückenschildes wird von einer schmalen, glatten 
Furche umsäumt. Der Steinkern lässt auf seiner Oberfläche nur ganz un- 
deutliche Wärzchen erkennen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon ovale ‚erinnert etwas an Prosopon 
angustum Reuss, ist aber nicht so schmal, sondern mehr rundlich. 

Untersuchte Stücke: 1. 

Vorkommen: Stanislowitz. 


Prosopon Hoheneggeri n. sp. 
Taf. VI Fig. 18, 

Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 9 mm. 

en Breite „ ey — 28mm: 

Der Cephalothorax dieser Species bekommt dadurch, dass die Länge 
und Breite fast gleich sind, ein rundliches Aussehen. Der schwach gebogene 
Schnabel ist kurz, dreieckig, vorn etwas zugespitzt. Von der Magenbegren- 
zung ist nur der hintere Theil und die vorderste Spitze deutlich, die 
mittlere Parthie dagegen ist etwas verschwommen. Beide Querfurchen sind 
sehr nahe zusammengerückt, sie gehen seitlich stark in die Höhe. Die sehr 
verwischte Herzregion stellt ein Dreieck dar, mit einer Spitze nach dem 
Hinterrand des Rückenschildes gekehrt. Die hintere Abtheilung des Rücken- 
schildes wird durch eine kleine Längsfurche in zwei Hälften getheilt. Der 
Cephalothorax besitzt hinten einen kleinen, aber deutlichen Ausschnitt. Die 
Schale ist mit vielen kleinen, flachen Wärzchen bedeckt, welche in der hin- 
teren Hälfte des Rückenschildes deutlicher hervortreten, als in der vorderen. 

Untersuchte Stücke: 3. 

Vorkommen: Koniakau, Stramberg, Willamowitz. 


oO 


Palaeontologische Mittheilungen, Band 3, 


66 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


Prosopon latum n. sp. 
Taf. VI Fig. 20. 


Dimensionen: (Grösste Länge des Rückenschildes = 7 mm. 
> Breite „ 2 — 9 mm. 


Bei dieser Species ist das Rückenschild nicht unbedeutend breiter als 
lang. Der Stirnfortsatz besteht aus einem gebogenen, (dreieckigen Schnabel, 
welcher vorn zugespitzt ist. Von der Magenbegrenzung ist nur die hintere 
Parthie und die vorderste Spitze angedeutet. Auf dem hinteren, etwas ge- 
kerbten Theil der Magenbegrenzung befinden sich zwei längliche, rauhe 
Felder. Auf der paarigen Lebergegend, unweit des Stirnrandes, kommt je 
eine kleine, ringförmige Vertiefung zum Vorschein. Der Cephalothorax lässt 
nur eine deutliche Querfurche erkennen, welche sich etwas oberhalb der 
Mitte des Rückenschildes befindet und seitlich sanft gebogen ist. Zu beiden 
Seiten der breiten, fünfeckigen Herzregion befindet sich je eine kleine, rund- 
liche Vertiefung. Hinten ist der Cephalothorax in der Mitte scharf ausge- 
schnitten. Der Steinkern weist auf seiner Oberfläche undeutlich verschiedene 
kauhigkeiten auf. 

Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon latum unterscheidet sich von 
sämmtlichen übrigen Prosoponiden dadurch, dass das Rückenschild nur eine 
deutliche Querfurche besitzt. Es zerfällt daher der Cephalothorax anstatt 
in drei Abtheilungen nur in zwei. 

Untersuchte Stücke: 1. 

Vorkommen: Koniakau. 


Prosopon complanatiforme n. sp. 
Tat. vIeRio31): 


Dimensionen: Grösste Länge des hückenschildes — 10 mm. 
n Breite „ “ — 


Der in der Mitte sehr breite Cephalothorax verschmälert sich vorn 
und hinten. Der gekrümmte Schnabel ist ausserordentlich breit, er wird 
durch eine kleine mediane Rinne im zwei rundliche Lappen getheilt. Von 
der Magengegend ist lediglich nur das vordere, schmale Ende zu erkennen. 
Die vordere deutliche Querfurche bildet genau im Centrum des Rücken- 
schildes einen kleinen Bogen, seitlich geht sie dann in je eine längere, 
etwas geschweifte Furche über. Die hintere (@Querfurche ist nur an den 
Seiten des Cephalothorax eingeschnitten, in der Mitte wird sie dagegen ganz 
unsichtbar. Die Herzregion besitzt die Form eines verhältnissmässig sehr 
grossen Fünfecks, jedoch sind die äusseren Begrenzungsfurchen nur äusserst 
schwach ausgeprägt. Der Hinterrand des Rückenschildes besitzt in der 


Prosopon. 67 


Mitte einen kleinen, scharfen Ausschnitt, umsäumt von einer schmalen, 
glatten Furche. Die Schale ist gleichmässig mit eimer Menge kleiner, runder 
Grübchen bedeckt. Die Seitenränder besitzen in der oberen Hälfte des 
Rückenschildes je zwei lappenartige Vorsprünge. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species ist in ihrer äusseren Form 
Prosopon complanatum sehr ähnlich; die Verzierung des Rückenschildes und 
der Verlauf der Querfurche sind jedoch anders. 

Untersuchte Stücke: 1. 

Vorkommen: Kotzobenz. 


Prosopon complanatum R&uss. 


Dimensionen: (srösste Länge des Rückenschildes = 15 mm. 
" Breite „ - — 15 mm. 

Bei dieser Species erhält das Rückenschild dadurch, dass Länge und 
Breite gleich sind, eine rundliche Form. Der gekrümmte, dreieckige Schnabel 
ist recht kurz. Die Augenhöhlen sind lang und äusserst schmal. Auf der 
hinteren Parthie der ganz undeutlichen Magenbegrenzung, gleich vor der 
ersten Querfurche, befinden sich zwei längliche, rauhe Felder und vor diesen 
wieder zwei kleine, glatte Erhebungen. Die beiden Querfurchen sind eigent- 
lich nur seitlich tiefer eingeschnitten, in der Mitte wird besonders die hintere 
(Querfurche fast ganz unsichtbar. Die Herzregion ist sehr verschwommen, 
jedoch lassen sich in ihrer Mitte vier kreuzförmig gestellte Wärzchen er- 
kennen. Ausserdem sind noch verschiedene andere Wärzchen und Rauhig- 
keiten auf der Oberfläche der Steinkerne unregelmässig vertheilt. Der Aus- 
schnitt des Hinterrandes des Cephalothorax ist ziemlich scharf, er wird von 
einem schmalen, glatten Saum begrenzt. 

Untersuchte Stücke: 17. 

Vorkommen: Tierlitzko, Willamowitz, Wischlitz. 


Prosopon grande H. v. Meyer. 
Taf. VI Fig. 21. 


Dimensionen: (srösste Länge des Rückenschildes = 34 mm. 
Breite . = —733Imm: 


D) 

Diese Species verdient mit Recht ihren Namen, denn sie ist der Riese 
unter den Prosoponiden. Das breite hückenschild ist nach vorn etwas ge- 
wölbt. Gleich vor Beginn des gebogenen, dreieckigen Schnabels befinden 
sich zwei starke, rundliche Höcker, welche noch der Lebergegend angehören. 
Von der Magenregion ist eigentlich nur das schmale Vorderende deutlich zu 
sehen. Auf der hinteren Parthie der Magenbegrenzung befinden sich bei 


68 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. 


den Steimnkernen meistens zwei längliche, rauhe Erhebungen. Die beiden 
tief eingeschnittenen Querfurchen sind seitlich sanft gebogen, die vordere 
weist im ihrer Mitte ein kleines Porenpaar auf. Die Herzbegrenzung stellt 
ein breites Pentagon dar, mit drei Wärzchen in der Mitte, welche ein Dreieck 
bilden. Da wo die Schale noch erhalten ist, lassen sich auf der mittleren 
Parthie des Rückenschildes eine Menge kleiner, runder Grübchen erkennen, 
welche wahrscheinlich früher mit kleinen Borsten besetzt waren. Die seit- 
lichen Parthien des Cephalothorax dagegen waren mit kleinen Wärzchen verziert. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species zeichnet sich hauptsächlich 
vor den übrigen Prosoponiden durch ihre bedeutende Grösse aus; allerdings 
gibt es auch kleinere Exemplare, welche aber jedenfalls als junge Individuen 
zu betrachten sind. 

Untersuchte Stücke: 18. 

Vorkommen: Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz. Ferner im Oerlinger Thal. 


Prosopon bidentatum Reuss. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 14 mm. 
5 Breite „, h — 6) suniik 


Der Cephalothorax ist etwas breiter als lang, wobei die grösste Breite 
in die vordere Hälfte fällt. Der Stirnfortsatz ist stark gebogen, vorn etwas 
abgestutzt, und in der Mitte von emer kleinen Längsfurche tief einge- 
schnitten. Die Seitenränder sind in der oberen Abtheilung des Rücken- 
schildes je mit zwei scharfen Zacken versehen. Die Magengegend ist im 
ganzen recht deutlich, ihr Vorderende reicht bis zu den zwei kleinen, rund- 
lichen Höckeru der Lebergegend. Die erste Querfurche, welche sich etwa 
in der Mitte des Rückenschildes befindet, geht seitlich in sanftem Bogen 
etwas in die Höhe. Die fünfeckige Herzregion ist gegen den Hinterrand 
des Cephalothorax stark zugespitzt, sie lässt in ihrer Mitte ziemlich undeut- 
lich drei Wärzchen erkennen. Die hintere Abtheilung des Rückenschildes 
ist durch eine kleine, von der Mitte des Hinterrandes ausgehende Längs- 
furche in zwei Hälften getheilt. Hinten endigt der Cephalothorax mit einem 
kleinen, scharfen Ausschnitt. Die gesammte Oberfläche der Schale ist 
gleichmässig mit ovalen Erhabenheiten verziert, die in langen Reihen ange- 
ordnet sind und sämmtlich je ein kleines Grübchen tragen. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species lässt sich leicht durch die 
eigenthümliche Verzierung des Rückenschildes von den übrigen Prosoponiden 
unterscheiden. 

Untersuchte Stücke: 25. 

Vorkommen: Ignatziberg, Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz, Wischlitz. 
Ausserdem Semmelberg bei Ernstbrunn. 


Prosopon. 69 


Prosopon polyodon Russ. 


Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 21 mm. 
e; Breite „ — E>lem® 


Diese Art besitzt eim Rückenschild von ausgesprochen sechsseitiger 
Form. Der dreieckige, etwas gekrümmte Schnabel ist ziemlich kurz. An 
den Seitenrändern des Cephalothorax befinden sich schwache, in die Höhe 
gerichtete Zähne. Die gut markirte Magenregion reicht weit nach vorn, auf 
ihrer hinteren, etwas gekerbten Parthie befinden sich zwei rauhe Felder. 
Die erste Querfurche ist besonders seitlich tief eingeschnitten, sie weist in 
ihrer Mitte zwei kleine Poren auf. Die dreieckige Herzregion ist mit einer 
Spitze nach dem Hinterrand gekehrt, sie lässt in ihrer Mitte drei kräftige 
Warzen sehen. Die letzte Abtheilung des Rückenschildes zerfällt durch eine 
kleine, mediane Längsfurche in zwei gleiche Hälften. Der kleine Ausschnitt 
am Ende des Rückenschildes ist mit einem schmalen, glatten Saum ver- 
sehen. Die Steinkerne sind mit theils grösseren, theils kleineren Warzen 
bedeckt. 

Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species nähert sich in ihrem ganzen 
Habitus am meisten der aus der Kreide stammenden Gattung Dromiopsis. 

Untersuchte Stücke: 3. 

Vorkommen: Stramberg, Kotzobenz, Mischlowitz. 


Schlussbemerkungen. 


Wenn man die geologische Verbreitung der Prosoponiden ins Auge 
fasst, so findet man, dass, abgesehen von zwei Species, von welchen die eine 
im Dogger, die andere jm Neocom vorkommt, sämmtliche übrigen Arten im 
oberen Weissen Jura, resp. im Tithon zu Hause sind. 

Weitaus die meisten jurassischen Arten hat das in Schwaben gelegene 
Oerlinger Thal geliefert. Mit letzterer Localität haben nun die Stramberger 
Schiehten 5 Arten gemein. Ausserdem kommt noch eine Art im Tithon 
von Sieilien und eine andere bei Ernstbrunn vor, welche sich auch in den 
Stramberger Schichten wiederfinden. Es sind dies folgende: 


‚Semmel- 
| x esse berg 
Sieilien | linger bei 
| Thal | Evnst- 
brunn 
| Sn N 
1. | Prosopon oxythyreiforme GEmm. . . SF — = 
2. 2 paradoxum H. v. Meyer . — + — 
a | 5 ornatum H. v. Meyer . . — + == 
4. | - punctatum H. v. Meyer . _ + _ 
5. FA marginatum H. v. MEyEr . + + - 
6. 5 grande H. v. Meyer . . . _ + _ 
| > bidentatum Reuss . . . . — = Sr 
| 
| 2 B} | 1 
| 


Wie aus dieser Tabelle hervorgeht, sind es vor allem die Prosoponiden 
aus den Kalken des Oerlinger Thals, mit welchen die entsprechenden Cru- 
staceen aus den Stramberger Schichten am meisten übereinstimmen. 

Diese Kalke, aus welchen die Oerlinger Prosoponiden herrühren, ge- 
hören dem Weissen Jura e QuExstepr's an; demselben Horizont also, zu 
welchem die Korallenkalke von Nattheim gerechnet werden. 

Es liefern die Stramberger Prosoponiden somit dasselbe Resultat, 
welches Bönm bei Bearbeitung der Stramberger Bivalven gewonnen hat. 


Schlussbemerkungen. 71 


Nach Bönm sind es neben Kelheim und Valfin vor allem die Korallenkalke 
von Nattheim, welche in ihrer Fauna mit den Stramberger Schichten die 
grösste Uebereinstimmung besitzen. Genauere geologische Schlussfolgerungen 
erlauben die Stramberger Prosoponiden leider nicht, da die entsprechenden 
Ueberreste aus dem fränkischen und französischen Jura, welche zum Ver- 
gleich noch in Betracht kämen, bis jetzt noch zu ungenügend bekannt sind. 

Es bestätigt aber auch das Vorkommen der Prosoponiden den aus 
anderen Thiergruppen geschlossenen oberjurassischen Charakter der Stram- 
berger Schichten. Da sich jedoch nicht einmal ein Viertheil der in letzteren 
Schichten vorkommenden Prosoponiden auch im ausseralpinen Jura wieder- 
findet, die weitaus grössere Anzahl von Arten vielmehr auf die Stramberger 
Kalke beschränkt ist, so zeigt sich auch hierin die geologische und fauni- 
stische Selbständigkeit derselben. 

Zum Schlusse füge ich noch eine Tabelle bei, welche sämmtliche von 
mir beschriebenen Arten und ihre Fundorte enthält. 


S Sonstige | Sogen. 
= 3 3 = | Fundorte ı ältere Sonstige 
slej8|= | Er: | Tithon- Fund 4 
S| E IS S || Stramberger Safs unruze 
a sjElsje|) Kalke | 
Ordnung: Decapoda. 
| A. Macrura. | 
ı Fam.: Thalassinidae. | 
IalGebiasdungne sper se ul 


| B. Anomura. | | 
Fam.: Galatheidae. I | | | 
.\ Galathea eutecta n.sp.. . — — — | — +  Mischlowitz 


2 
3. Galathea Zitteli n. sp... \— — — — +| j 
4. | Galathea acutirostris n.sp. + — + SE SF | a 
5. Galathea antiqua n. sp. . — — — — — | Mosty,Misch-| 2 RS 
6. | Galathea Meyerin.sp.. . — — + — = lowitz. 
7. Galathea verrucosa n. sp. . — — —\—| 
C. Brachyura. 

| a) Dromiacea. 

| Fam.: Prosoponidae. 
8. Oxythyreus gibbus Reuss . ++ 


9. | Prosopon oxythyreiforme | | ; 
GEMM. . 2.0.0. = uloelal: Sieilien 
10. | Prosopon heraldicum n. sp. — + + + — 


11. | Prosopon paradoxum | [Pa]: 
H. v. Meyer . . „1-1 + Öerlinger Thal 


12. Prosopon longum n.sp.. . — 0 | | 


79 Schlussbemerkungen. 


% 
urtzsie= Sl TTENTIET TER IACWTEREEE 7 
S | Sonstige | Sogen 
en "=|s| | . 
= e| | D E- “ 
s 31|5|21 Fundorte ältere Sonstige 
=|<| 8212 der Till : 
2 |.3|8 Sa ithon- T » 
saz=|S| 2  Stramberger der Fundorte 
2 [=} om r = < 
alSıE|lSs IF Kalke Stufe 


13. | Prosopon ornatum | 

| H. v. Meyer . . .' + — +1 |) Oerlinger Thal 
14. | Prosopon mirum n. Sp... » — — — | 
15. | Prosopon angustum Reuss + + ++ + 
16. Prosopon punctatum 


eMail Racziechow Öerlinger Thal 
17. | Prosopon verrucosum Reuss + — + + + Raeziechow, 
2 EN: Ignatziberg 
18. | Prosopon Fraasin.sp.. . — — + _ 
19. | Prosopon pustulosum Reuss — — + + —  Tierlitzko 
20. | Prosopon marginatum a Ignatziberg, | seili Aalen, 
| H. v. Meyer-. . „+ —/+| 7/1 Tierlitzko in sen Oerlinger Thal 
21. Prosopon ovale n. Sp. . . — — — — —  Stanislowitz | 
22. Prosopon Hoheneggerin.sp. =|lerlası- 
23. | Prosopon latum n. sp... „|| + ||| 
24. | Prosopon complanatiforme| | 
2. SD 2.2.2.0. |+|— 
25.  Prosopon complanatum fa 101 8 
Reuss . . .. .— —|+[— + Tierlitzko 
26. | Prosopon grande H.v.Meyer — — + + = Öerlinger Thal 
27. | Prosopon bidentatum Reuss + — + + +  Ignatziberg Semmelberg 
28. | Prosopon polyodon Reuss + — — + — Mischlowitz | 


Palaeontologische Studien 


über die 


Grenzschichten der Jura- und Kreide-Formation 


im Gebiete 


der Karpathen, Alpen und Apenninen. 


Siebente Abtheilung. 


Die Korallen der Stramberger Schichten 


von 


Maria M. Ogilvie Dr. Sc. (Lond.) 


Mit Tafel VO—XVII. 
— 


Stuttgart. 
E. Schweizerbart'sche Verlagshandlung (E. Koch.) 


1896. 1897. 


i 1 v 
i TER ER h 
Jill) TREE LERNT ALT N SEN 
1 \ f 4 
, N LE 
2 ‘ 131 sr sv 
1 


A ZER N alt 9} fü 


$ 


Druck von Carl Hammer in Stuttgart. 


Vorwort. 


Die vorliegende Arbeit bildet eine Fortsetzung der „Palaeontologischen 
Studien“ v. Zırrer's „Ueber die Grenzschichten der Jura- und Kreide-Formation 
im Gebiete der Karpathen, Alpen und Apenninen“. Sie schliesst sich als 
7. Abtheilung an die bisherigen Arbeiten v. Zırrkn’s (über die Cephalopoden 
und Gastropoden), Böum’s (über die Bivalven), Corrzau’s (über die Echi- 
niden) und MÖRIcKE's (über die Crustaceen) an und enthält eine Monographie 
der Korallen der Stramberger Schichten. 

Ich ergreife diese Gelegenheit, um meiner Erkenntlichkeit Ausdruck zu 
geben für die unablässige Ermunterung, welche mir während eines fast vier- 
jährigen Aufenthaltes im Münchener palaeontologischen Institut zu Theil wurde. 

In erster Linie habe ich meinen Dank darzubringen Herrn Professor 
von ZirterL, welcher Alles was in seinen Kräften stand that, um meine 
Studien zu fördern. Auf seine Veranlassung unternahm ich die Untersuchung 
der Stramberger Korallen und durch seine Güte hatte ich den unschätzbaren 
Vorzug, die literarischen Hilfsmittel und die reiche Korallensammlung des 
palaeontologischen Museums unumschränkt benutzen zu dürfen, 

Herr Magister E. Prarz gewährte mir in liebenswürdigster Weise Ein- 
blick in seine Literatur-Notizen über Korallen und in die von ihm angelegten 
Listen fossiler Korallen-Genera und Species. 

Zu besonderem Dank bin ich Herrn Dr. ScHÄrer, Custos an der palaeon- 
tologischen Sammlung, verpflichtet; er besorgte die Uebersetzung meines 
Manuskriptes aus dem Englischen ins Deutsche, mit Ausnahme einiger Species- 


IV Vorwort. 


Beschreibungen, welche Fräulein Rieger aus Darmstadt ins Deutsche übertrug. 
Da Herr Dr. SchÄrer mit Korallen und Korallenliteratur vertraut ist, so war 
dies für die Klarheit und Präcision des Ausdrucks von hohem Werth. 

Das bearbeitete Korallenmaterial ist zum grössten Theil Eigenthum des 
Münchener palaeontologischen Museum. Eine Anzahl von Exemplaren wurden 
ınir auf mein Ansuchen von den Vorständen der Museen in Berlin und Wien 
anvertraut, wofür ich denselben hiermit meinen ergebensten Dank ausspreche. 

Die systematischen Ergebnisse meiner Studien über fossile und recente 
Korallen sind in einer besonderen, nach Abschluss der vorliegenden Mono- 
graphie veröffentlichten Abhandlung (Microscopie and Systematie Study of 
Madreporarian Types of Corals. Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896. vol. 187) 
niedergelegt und näher begründet. 


München, im Juni 1895. 


M. M. Ogilvie. 


I. 


Bemerkungen über die feinere Struktur des Korallen- 
Skeletes und dessen Bedeutung für die Systematik. 


A. Aufhebung der Gruppen Tetracoralla u. Hexacoralla (Havcxen), 
sowie der Gruppen Aporosa u. Perforata (Miusw Eowaros). 


In den nachstehenden einleitenden Bemerkungen sollen die Resultate 
von Untersuchungen über die feinere Struktur und die Bedeutung der Anord- 
nung der einzelnen Skeletelemente für die Systematik kurz erörtert werden. 


Ich theile im Folgenden die Resultate meiner Untersuchungen nur so 
weit mit, als es zur Begründung der von mir im System der Madreporarier 
vorgenommenen Aenderungen nöthig erscheint, da ich bereits bei Bearbeitung 
der Stramberger Korallenfauna diese Aenderungen im System berücksichtigt 
habe. Eine eingehende Darstellung meiner Untersuchungen und der sich 
daraus ergebenden Schlussfolgerungen erfolgt an anderem Orte (Phil. Trans. 
Roy. Soc. London 1896); ich habe jedoch in der Monographie der Stram- 
berger Korallen auf jene Arbeit des öfteren Bezug genommen. 


Bekanntlich haben Mıtne EpwArps und Haımz die Madreporarier oder 
Steinkorallen in die Gruppen der Aporosen, der Perforaten, der Rugosen, der 
Tabulaten und der Tubulosen eingetheilt. Später führte HAEckEL, bezug- 
nehmend auf die tetramere resp. hexamere Symmetrie im Kelch für die Ru- 
sosen den Namen Tetrakorallen und für die Aporosen und Perforaten den 
Namen Hexakorallen ein. 


Im Jahre 1869 hatte KuntrH' für die meisten Rugosen ein Gesetz fest- 
gestellt, nach welchem sich die Septen im Kelch einschieben. Diese Ein- 
schiebung erfolgt fiederstellig und paarig zum Hauptseptum und zu den beiden 


1 Zeitschr. d. Deutsch. geolog. Ges. 1869. Bd. 21. S. 647. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 5* 


74 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Seitensepten, während durch diese 3 Septen und durch das dem Hauptseptum 
gegenüberstehende Gegenseptum die tetramere Symmetrie hergestellt wird. 

Aus den Untersuchungen von lAcAzE-Dururers und KocH über die 
verschiedenen Entwicklungsstadien recenter Korallen geht hervor, dass sich 
bei verschiedenen Hexakorallen zwar die 12 ersten Septen gleichzeitig und 
in radiärer Anordnung einschieben, dass aber die zwischen den Septen ge- 
legenen Mesenterialfilamente paarig auftreten und zwar in einer Reihenfolge, 
die genau an das Kunt#'sche Einschiebungsgesetz erinnert. Es haben bereits 
mehrere Autoren darauf hingewiesen, dass dies die directe Abstammung der 
Tetrakorallen von den Hexakorallen wahrschemlich macht. ORrrMmann sagt 
treffend (Zoolog. Jahrbücher, Bd. IV. Abtheilung für Systematik etc. p. 570): 
„Die bilaterale Symmetrie wurde allmählich in ihrem Auftreten in der indi- 
viduellen Entwicklungsreihe auf die Jugendstadien zurückgedrängt und spricht 
sich schliesslich im Skelet gar nicht mehr, sondern nur noch in den ersten 
skeletlosen Embryonalstufen aus.“ Derselbe Autor hob auch schon hervor, 
dass, wenn man bei den sogenannten Hexakorallen überhaupt von einer Grund- 
zahl reden will, jedenfalls die 12-Zahl mehr Berechtigung hätte als die 
6-Zahl. 

Schon früher waren aus der mesozoischen Periode, namentlich aus dem 
oberen Jura, einzelne Formen bekannt, von denen die Gattung Amphiastraea 
die wichtigste war, welche keinen radiären Bau der Septen zeigten. Gleich- 
wohl wurden sie zu den Astraeiden gestellt. Später hat dann Kogyr noch 
eine ganze Anzahl hieher gehöriger und zum Theil neuer Formen beschrieben 
und dieselben als eine besondere Gruppe der Rugosen betrachtet. Solche 
Formen sind auch in der Stramberger Korallenfauna sehr häufig und für sie 
charakteristisch. Bei dieser Gruppe ist der Septalbau zwar bilateral, aber 
die Septen sind nicht fiederstellig angeordnet. Deshalb kann ich diese Formen 
weder zu den Zaphrentiden noch zu den Cyathophylliden stellen, sondern 
betrachte dieselben als eine selbständige und gleichwerthige Familie Amphia- 
straeidae, die von der palaeozoischen Periode bis zur Jetztzeit reicht. Wegen 
der Bilateralität des Septalbaues sind die Amphiastraeiden jedenfalls von den 
Zaphrentiden abzuleiten und haben zu den Cyathophylliden weniger Bezieh- 
ungen. Unter den gleichalterigen Familien, welche hauptsächlich Colonie- 
bildende Formen umfassen, haben die Amphiastraeiden die grösste Aehnlich- 
keit mit den Styliniden. Bekanntlich sind bei dieser Familie die Septen wenig 
zahlreich, an Länge regelmässig alternirend und nach der 6-, S-, 10- oder 
12-Zahl angeordnet. Bei mehreren der Stramberger Styliniden konnte ich 
nun beobachten, dass sich die längeren Septen paarweise einschieben und 
zwar in derselben Reihenfolge, wie dies Kunra für die meisten Rugosen nach- 
gewiesen hatte. Die Septen sind hier aber nicht fiederstellig und auch nicht 
bilateral, sondern radiär angeordnet. Das verdient deshalb besondere Be- 


Aufhebung der Gruppen Tetracoralla und Hexacoralla. 75 


achtung, weil die Styliniden somit ein Uebergangsstadium repräsentiren zwi- 
schen den typischen Rugosen mit bilateral und fiederstellig angeordneten 
Septen und den meisten heute vorkommenden Korallen, bei welchen das 
Kunrte’sche Wachsthumsgesetz nur noch in der Einschiebung der Mesenterial- 
filamente ausgedrückt ist. 

Bei den Astraeiden, Fungiden und Eupsammiden, wo die Zahl der 
Septen eine sehr beträchtliche ist, konnte ich ein paarweises Einschieben der 
Septen nicht beobachten. Hier fand ich auch in jungen Kelchen schon eine 
ganze Anzahl gleichmässig entwickelter Septen vor. Es sind also hier Ver- 
hältnisse vorhanden, wie sie auch bei manchen Cyathophylliden vorkommen. 
Oyathophyllum heterophylloides Frec# z. B. besitzt im Embryonalkegel schon 
12 bilateral-symmetrisch angeordnete Septen. Beim Weiterwachsthum werden 
dann die Septen sehr zahlreich und radiär. Im Allgemeinen kann man sagen, 
dass das paarweise Auftreten der Septen nur bei solchen Formen in der 
mesozoischen Periode noch deutlich ausgeprägt ist, die überhaupt keine grosse 
Septalzahl erreichen, während bei solchen Formen, wo sich die Septen stark 
vermehren, das paarweise Einschieben durch ein eyclisches Auftreten verdrängt 
wurde. Ueberhaupt muss man annehmen, wie dies bereits ORTMANN hervor- 
hob, dass die paarweise Einschiebung und die fiederstellige Anordnung der 
Septen das ursprüngliche Stadium ist und dass sich hieraus früher oder 
später bei den verschiedenen Gruppen erst die cyclische und radiäre Anord- 
nung der Septen entwickelte. 

Hinsichtlich der Einschiebung und der Anordnung der Septen lassen 
sich folgende Stadien unterscheiden: 

a) Paarige Einschiebung der Septen mit fiederstelliger Anordnung in 
Bezug auf ein Haupt- und 2 Seitensepten. 

b) Paarige Einschiebung der Septen und zwar noch in Bezug zu Haupt- 
und Seitensepten aber nicht mehr fiederstellige Anordnung derselben. 

e) Gleichzeitiges Einschieben von einer Anzahl Septalpaare, so dass 6, 
8, 10 oder 12 einen ersten Cyclus von Septen bilden. 

Unter den Korallen, bei denen die ersten beiden Stadien vertreten 
sind, kommen sowohl solche Formen vor, bei welchen in ausgewachsenen 
Kelchen die Anordnung der Septen noch bilateral, als auch solche, bei welchen 
sie schon radiär geworden ist. Zum Beispiel: 


bilateral: radiär: 
„Stadium a.“  Zaphrentis. Streptelasma. 
n b..  Amphiastraea. Stylina. 


Unter den Repräsentanten des dritten Stadiums finden sich viele Ko- 
rallen, die in ihren Jugendkelchen noch bilaterale Symmetrie zeigen, während 
in ausgewachsenen Kelchen die Septen bereits radiär angeordnet sind (Oya- 


76 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


thophyllum pars, Frungia ete.). Weitaus die Mehrzahl der hieher gehörigen 
Korallen ist schon von Jugend an im Septalbau radiär. 

Es wäre hier noch hinzuzufügen, dass es namentlich in der Trias- und 
Juraperiode Gattungen giebt, bei welchen einzelne Arten oder auch nur ein- 
zelne Exemplare in ausgewachsenen Kelchen noch bilaterale Symmetrie zeigen, 
obwohl das eycelische Auftreten der Septen für die Gattung bereits gesetz- 
mässig geworden ist. Solche Gattungen sind Haplaraca, Epistreptophyllum, 
Stylophyllum, Montlivaltia und andere. Ich fasse solche Fälle nur als Ata- 
vismus auf. 

Aus dem bisher Gesagten geht schon hervor, dass die Eintheilung der 
Korallen in Tetra- und Hexakorallen nicht natürlich ist, da im Septalbau die 
Zahl 4 resp. 6 durchaus keine so wesentliche Rolle spielt. Man könnte 
eigentlich auch nur solche Rugosen mit Recht als ‚Tetrakorallen bezeichnen, 
bei welchen im ausgewachsenen Kelch noch Haupt- und Gegensepten, sowie 
die beiden Seitensepten nachzuweisen sind. Andererseits giebt es auch unter 
den verschiedensten Familien der sogenannten Hexakorallen Formen, deren 
Hauptsepten auch nach den Zahlen 8, 10, 12 oder überhaupt ganz unregel- 
mässie angeordnet sind. (Astrocoenia, Stephanocoenia, Stylina, Enallohelia, 
Madracis, Madrepora, Porites etc.). 

Wenn man überhaupt die palaeozoischen Korallen (die ehemaligen Ru- 
gosen) von den jüngeren scharf trennen wollte, so könnte man als Unter- 
scheidungsmerkmal nur den bilateralen resp. den radiären Bau der Septen 
hervorheben. Allein auch das wäre nicht durchzuführen, denn eine ganze 
Anzahl palaeozoischer Korallen, namentlich unter den Cyathophylliden besitzt 
yadiären Kelchbau und andererseits sind auch manche mesozoische und jüngere 
Korallen, namentlich die Amphiastraeiden, bilateral. 

Auch der Name Pterocorallia, den FrecH für den Namen Tetracoralla 
einführen wollte, erscheint mir, ganz abgesehen davon, dass durch diese 
Namensänderung die Gruppe selbst keine Aenderung erfuhr, nieht zweck- 
mässie, da durchaus nicht alle sogenannten Tetrakorallen fiederstellige An- 
ordnung der Septen zeigen, auch nicht immer im „Embryonalkegel.“ Meiner 
Ansicht nach, und im Laufe dieser Arbeit wird dies noch weiter auseinander 
gesetzt werden, besteht überhaupt nicht die scharfe Grenze zwischen den 
palaeozoischen und jüngeren Korallen, wie dies gewöhnlich angenommen wird. 

Im Silur und Devon finden wir bereits neben Formen mit ausgesprochen 
bilateralem und tetrameren Bau und fiederstelliger Anordnung der Septen, 
wie Zaphrentis und deren Verwandte, solche Formen wie O'yathophyllum oder 
Phillipsastraea, bei welchen die Bilateralität nicht mehr nachzuweisen ist und 
wo die Septen radiär gebaut sind. Diese letztere Gruppe von Korallen ge- 
winnt in jüngeren Zeitperioden mehr und mehr die Oberhand gegenüber den 
Korallen, die noch Bilateralität des Septalbaues oder wenigstens Anklänge 


Aufhebung der Gruppen Tetracoralla und Hexacoralla. 77 


derselben zeigen. Einzelne derartige Formen reichen bis in die Jetztzeit 
herein. 

Aus diesen Gründen halte ich es für zweckmässiger die Eintheilung in 
Tetrakorallen und Hexakorallen überhaupt fallen zu lassen. Auch die frühere 
Eintheilung der Hexakorallen in Aporosa und Perforata erwies sich durch die 
im Laufe der Zeit vorgenommenen Untersuchungen als immer weniger zu- 
treffend. So hat es sich z. B. herausgestellt, dass die Madreporinae und 
Eupsamminae, welche MıuLne EpwaArps und HaımeE als Madreporidae zu den 
Perforaten gestellt hatten, viel mehr Verwandtschaft mit gewissen Aporosen 
besitzen. Es haben die Madreporinae sehr enge Beziehungen zu den Stylo- 
phorinae und Pocilloporinae, während die Eupsamminae sich nahe an die 
Frunginae anschliessen. 

Aus diesen Gründen habe ich auch die Eintheilung der Hexakoralla in 
Perforata und Aporosa fallen gelassen und theile die Madreporaria (Stein- 
korallen) nur in eine Anzahl gleichwerthiger Familien ein. Diese Familien 
sind die Zaphrentidae, COyathophyllidae, Amphiastraeidae, die Turbinolidae 
(mit den Unterfamilien Turbinolinae, Trochocyathinae, Trochosmilinae), ferner 
die Familie der Oculinidae, der Poeilloporidae (Unterfamilien Poeilloporinae, 
Seriatoporinae, Stylophorinae), die Madreporidae (mit den Unterfamilien der 
Madreporinae, Turbinarinae und Alweoporinae), die Stylinidae, die Astraeidae, 
die Fungidae (mit den Unterfamilien Funginae, Lophoserinae, Thamnastraeinae), 
ferner die Eupsammidae, die Archaeoeyathidae und die Poritidae. 

Die Diagnosen und die Abgrenzung der einzelnen Familien wurde, soweit 
sie für die Stramberger Fauna in Betracht kam, unten besprochen. Ueber 
die übrigen Familien sind eimgehendere Mittheilungen in meimer bereits er- 
wähnten, in den „Philosophical Transactions“ erscheinenden Abhandlung ent- 
halten. 

Die von mir vorgeschlagenen Aenderungen im System der Madreporarier 
sind auf genaueres Studium der einzelnen Skeletelemente und ihrer gegen- 
seitigen Anordnung begründet. Bereits im den 80er Jahren erschienen eine 
Reihe zoologischer Arbeiten von Koch, HEIDER, FOWLER, BOURNE und anderen, 
die sich auch eingehend mit dem Verhältnisse zwischen den Weichtheilen 
und dem Skelet einiger Korallen beschäftigten. Ich habe nun unter Be- 
rücksichtigung der aus dem Studium der Weichtheile gewonnenen Resultate 
noch eine Reihe anderer recenter Korallen mikroskopisch untersucht, um auch 
für das genauere Studium der Skelettheile fossiler Korallen weitere Anhalts- 
punkte zu gewinnen. Einzelne Zoologen haben auch bereits hervorgehoben, 
dass eine bessere Erkenntniss der natürlichen Beziehungen der verschiedenen 
Korallen nur unter genauerer Berücksichtigung der feineren Struktur der 
Hartgebilde möglich ist. BouURNE, der genaue anatomische Studien über Fungia, 
Mussa, Euphyllia und andere gemacht hat und auch noch die Skeletelemente 


78 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


anderer Korallen in den Kreis seiner Betrachtungen gezogen hat, gelangte 
zu der Ansicht, dass man den Werth des Studiums der Weichtheile allein 
für eine Verbesserung der Systematik nicht allzu hoch anschlagen dürfe. Er 
sagt dann weiter noch: „Die bisher untersuchten Formen zeigen (in Bezug 
auf die Struktur der Weichtheile), auffallend wenig Verschiedenheit. Ich 
glaube deshalb, dass eine Umgestaltung der Systematik nur auf Grund eines 
viel genaueren, eingehenderen Studiums der Harttheile, als dies bisher ver- 
sucht wurde, möglich sein wird.“ (Quart. Journ. Mierose. Se. 1888. Vol. 
XXVII. pag. 45). 


B. Verkalkung der Calicoblasten; Wachsthumslamellen ; Fascikel ; 
Trabekel; Dunkle Linie. 


Folgende recente und fossile "Korallen wurden von mir untersucht: 
Galaxea, Mussa, Heliastraea, Goniastraea, Montlivaltia, Thecosmilia, Fungia, 
Siderastraea, Thamnastraea, Haplaraea, Stylophyllum, Kupsammia, Turbinaria, 
Actinacis, Madrepora und Porites. Dieselben sind in meiner mehrfach er- 
wähnten Abhandlung genauer behandelt. Dort habe ich auch die Beziehungen 
der Weichtheile zu den Harttheilen besonders hervorgehoben. Hier sei nur 
erwähnt, dass nach meinen Beobachtungen die Calicoblasten-Zellen des Ekto- 
derms selbst verkalken, wie dies schon HEIDEr gefunden hatte und dass sie 
nicht ausserhalb Kalk ausscheiden, wie dies Koch, FowrLEer und BourNE im 
Gegensatz zu HEıper behaupten. Ferner wurde von mir gezeigt, dass das 
eanze Korallenskelet aus verkalkten Calicoblasten aufgebaut wurde. 


Das Ektoderm enthält naturgemäss nur da Calicoblastenzellen, wo die 
Weichtheile mit dem Skelet in Berührung sind. Da nun die Weichtheile der 
Korallen auf die Hartgebilde so zu sagen nur aufgestülpt sind, befinden sich 
die Skelettheile ausser- und unterhalb der aboralen Ektodermschicht, welche 
von den Traversen, resp. basalen Gebilden in die Höhe steigt und die Septen 
allseitig überzieht, soweit sich die Septen über die oberste Traversenlage 
erheben. Auch an der Innenseite der Mauer steigt die Ektodermschicht in 
die Höhe, legt sich über den Kelchrand und reicht dann, bei Einzelkorallen 
die Aussenseite der Mauer, sowie die Costen überziehend, meist ein Stück 
weit hinab. Hier bieet sodann die Ektodermschicht um, und steigt als so- 
genannte orale Schicht in die Höhe, um in die Mundscheibe überzugehen. 
Von der Umbiegungsstelle an fehlen die Calicoblasten. An derselben bildet 
sich bei einfachen Formen die Epithek. Bei coloniebildenden Formen geht 
die skeletbildende aborale Schicht continuirlich von einem Kelch bis zum 
nächsten. 


Verkalkung der Calicoblasten etc. 79 


In der oben angeführten Arbeit ist nun von mir gezeigt, wie die aus 
der Verkalkung hervorgegangenen Schuppen seitlich eng zusammenhängen 
und Kalklamellen von der Dicke einer Calicoblastenzelle bilden. Aus dem 
oben Gesagten geht ferner hervor, dass diese Lamellen genau dieselbe Lage 
und den Verlauf haben, wie die aborale Ektodermschicht. Während des 
weiteren Höhenwachsthums der Koralle lagert sich Lamelle auf Lamelle ab 
und jede neue Lamelle greift in den unteren Theilen der Koralle, wo keine 
Verkalkung mehr stattfindet, dachziegelförmig über die vorhergebildete über. 
Jede solche Lamelle nenne ich Wachsthumslamelle. Da nun die Aragonit- 
fasern in den übereinander liegenden Lamellen alle gleich orientirt und um 
bestimmte Caleificationscentren gruppirt sind, sieht man bei mikroskopischen 
Untersuchungen, dass von diesen Calificationscentren Faserbündel ausstrahlen, 
welche scheinbar continuirlich die Lamellen bis zur Oberfläche durchsetzen. 
Solche Faserbündel nenne ich Faseikel und die Anordnung derselben in den 
verschiedenen Skelettheilen, namentlich in den Septen ist eines der wichtig- 
sten systematischen Merkmale. An eben gebildeten Skelettheilen sieht man 
an den Lamellen noch Ueberreste der organischen Substanz der ursprüng- 
lichen Calicoblastenzellen. Dieselben zersetzen sich weiter und hinterlassen 
kohlige Partikelchen. Da wo die Calcification am raschesten und energischsten 
vor sich geht, sind die Calicoblastenzellen am grössten * und bei der Rasch- 
heit der Verkalkung bleibt verhältnissmässig mehr wunverkalkte organische 
Substanz übrig, die dann nach der Zersetzung auch mehr kohlige Partikelchen 
hinterlässt. Solche Stellen energischer Kalkablagerung befinden sich am Ober- 
rand der Septen und der Mauer, da wo die Ektodermschicht sich über die- 
selbe faltet. Dem entsprechend finden sich in der Median-Ebene der Septen 
und der Mauer dunkle Punkte oder dunkle Striche. 

Bei fossilen Korallen findet man nicht selten diese Ueberreste zersetzter 
organischer Produete entfernt und andere, fremde Substanz an ihre Stelle 
gelagert. Ab und zu ist es auch nur zum Theil ausgefüllt oder stellenweise 
ganz leer. Es können sich manchmal auch mehr oder minder durchsichtige 
Kalksalze in diesen Spalten absetzen, die sich dann sehr scharf von der 
eigentlichen Faserstructur des Skeletes abheben. 

In den folgenden Ausführungen habe ich von den an recentem Material 
gemachten Beobachtungen hauptsächlich nur solche Erscheinungen berück- 
sichtigt, die für das Verständniss des hier behandelten fossilen Materials 
wichtig sind. Es wurde bereits erwähnt, dass die Verkalkung um die Calei- 
ficationscentren am Oberrand der Septen am energischsten vor sich geht, also 
da, wo sich die Ektodermschicht von einer Seitenfläche des Septums über den 


! Das wurde schon von Fowter und von Bourne hervorgehoben. cf. z. B. Quart. 
Journ. Micr. Sc. Vol. 28 p.9. Fig. S (Fowrer bei Besprechung von Lophohohelia), ferner 
ibid. p. 25 (Bourne bei Besprechung von Mussa). 


30 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Oberrand hinüber biegt zur anderen Seitenfläche, ausserdem findet aber auch 
noch an den Seitenflächen der Septen Kalkablagerung statt, wenn auch in 
geringerem Grade. Die Ektodermschicht, welche die Septen allseitig über- 
zieht, ist bei den verschiedenen Familien entweder glatt oder mehr oder 
minder gefaltet und mit Ausbuchtungen versehen. Da nun das Septum so zu 
sagen der genaue Ausguss dieser Ektodermhülle ist, sind die Septen dem- 
gemäss an der Oberfläche entweder glatt oder mit Streifen (Striae) und Er- 
habenheiten (Granulationen) versehen. Jede Ektodermfalte, in welcher sich 
auf der Seitenfläche des Septums eine Stria bildet, läuft am Oberrand des 
Septums in eine conische Erhöhung aus. An der Spitze solcher Erhöhungen 
ist die Caleification, wie bereits erwähnt, am energischsten. Da aber die 
Lage dieser Caleificationscentren während des ganzen Wachsthums der Koralle 
am höchsten Punkt der Ektodermfalten war, so findet man naturgemäss im 
Inneren eines jeden Streifen eine Reihe übereinander liegender Caleifications- 
centren. Von jedem Caleificationscentrum strahlt aber, wie bereits erwähnt, 
ein Fascikel von Fasern aus und man erhält dadurch innerhalb jeder Falte 
eine fortlaufende aufsteigende Reihe eng aneinander liegender Fascikel. Jeder 
Falte auf der einen Fläche des Septums entspricht eime gleiche und symme- 
tische auf der anderen Seite desselben Septums, in welcher die Fascikel in 
gleicher Weise angeordnet sind. Eine solche zweiseitige aufsteigende Fascikel- 
reihe, die sich innerhalb symmetrischer Ektodermfalten bildet, heisst ein 
Trabekel. 

Galaxea. Betrachten wir zunächst den Septalbau der recenten Galawea. 
Tafel VO, Fig. 1 stellt einen Querschliff durch einige Septen und die Mauer 
dar. In der Medianebene der Septen, resp. der Mauer sieht man die dunklen 
Punkte und Striche, die bereits oben erklärt wurden. Von diesen Punkten aus 
strahlen die Fasern gegen die Seitenflächen. Fig. 3 zeigt einen tangentialen, 
etwas schief gehenden Längsschnitt durch ein Septum, die Mauer und etwas 
Coenenchym. Hier sieht man gut, wie im Septum und in der Mauer die 
Fascikel von der (idealen) Axe des Trabekels abwechselnd nach beiden Seiten 
ausstrahlen. Fig. 4 ist ein ähnlicher Schliff. Es sind 2 Septen und die da- 
zwischen liegende Mauer tangential und längs geschnitten, nur geht hier der 
Schnitt sehr nahe der Oberfläche der Mauer. Die Septen zeigen dasselbe Bild 
wie in Fig. 3, während an der Stelle, welche die Mauer scheidet, nur dunkle 
Punkte von radiär ausstrahlenden Fasern umgeben, sichtbar sind. Das rührt 
(daher, dass die Fascikel-Axen sich nach Aussen zu mehr umbiegen und sich 
nahezu senkrecht gegen die Oberfläche stellen. Fig. 2 ist ein radiärer Längs- 
schliff durch ein Theil des Septums und das schwammige Säulchen. Auf der 
rechten Seite der Figur, d.i. gegen die Mauer zu, verläuft der Schliff mehr in 
der Medianebene, während er gegen links, d. i. gegen das Säulchen, mehr gegen 
die Oberfläche des Septums kommt. Man sieht hier die Richtung und gegen- 


Verkalkung der Calicoblasten etc. si 


seitige Lage der Trabekel, welche von einer (idealen) senkrechten Linie 
fächerförmig nach Aussen gegen die Mauer und nach Innen, gegen das 
Säulchen zu, gerichtet sind. Da die Anordnung dieser Divergenzzonen in der 
Systematik von Bedeutung ist, so nenne ich einen derartigen Trabekelfächer 
Divergenzfeld. In solchen Längsschliffen sieht man nicht mehr gut das 
Abzweieen der einzelnen Fascikel von der idealen Trabekelaxe, da eben die 
Axen der Fascikeln alle in Flächen liegen, die von der Trabekelaxe aus senk- 
recht gegen die Seitenflächen der Septen und damit also auch senkrecht zur 
Schnittfläche verlaufen. In Folge (dessen projieiren sich in einem solchen 
Längsschliff die Axen der Faseikel auf einander und zugleich auf die ideale 
Trabekelaxe. Weiter nach links dagegen, wo der Schliff nahe an die Ober- 
fläche kommt, schneidet er schliesslich die Axen der einzelnen Fascikel senk- 
recht, da sie sich senkrecht zur Oberfläche des Septums stellen, wie wir dies 
schon m Fig. 4 gesehen haben. 

Die Breite eines Trabekels beträgt bei Galawea in der Medianebene 
ca. 0,08 mm und die Dicke einer Wachsthumslamelle entspricht, wie erwähnt, 
der Dicke eines Calicoblasten. 

Die Mauer von Galaxea ist im Allgemeinen analog gebaut wie die 
Septen, nur liegen die Caleificationscentren nicht genau in der Median-Ebene, 
sondern sind etwas mehr gegen Innen zu gerückt. Eine derartige Mauer 
mit selbständigen Caleificationscentren nenne ich nach dem Vorgange ORTMANN’S 
eine ächte Mauer. Die Traversen sind nur einseitig gebaut, da die Ver- 
kalkung hier nur von unten nach oben stattfindet. Sie bestehen aus lauter 
schief nach oben gerichteten parallelen Kalkfasern. Man bemerkt, dass die 
Ueberreste zersetzter organischer Substanz auch hier an denjenigen Stellen 
mehr vorhanden sind, wo die Calification begann, «d. h. auf der Unterseite 
der Traversen. 

An Längsschliffen, parallel der Septaloberfläche, bemerkt man gekrümmte, 
über die Septalfläche ziehende Linien, welche parallel zum Oberrand des 
Septums verlaufen. In Figur 2 sind mehrere solcher Linien angedeutet. 
Diese Linien entsprechen Unterbrechungen im Wachsthum des Septums und 
ich bezeichne den zwischen 2 solchen Wachsthumscurven befindlichen Theil 
des Septums als Wachsthums-Segment und die Zeit, innerhalb welcher 
sich ein Wachsthums-Segment bildete, als Wachsthums-Periode. Bei 
Galaxea kann man auch an der Septaloberfläche beobachten, dass jedes 
Wachsthums-Segment mit einer Reihe nebeneinander stehender Granulationen 
besetzt ist. Im Uebrigen ist die Oberflächen-Skulptur der inneren feinen 
Struktur genau entsprechend. Eine divergirende Gruppe von erhabenen Streifen 
bezeichnet oberflächlich den Verlauf der Trabekeln. Die verschieden grossen 
und verschiedenförmigen Granulationen, die auf diesen Streifen reihenförmig 
angeordnet sind, deuten die äusseren Endigungen der Fascikel an. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 6 


83 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Thamnastraeinae. — Bekamntlich hat Prarz (Palaeontographica Bd. 
XXIX, 1882) eingehende Untersuchungen über die Septalstruktur und die 
verwandtschaftlichen Beziehungen einer Anzahl von Korallen- Gattungen ver- 
öffentlicht. Ich hatte die günstige Gelegenheit, die Prarz’schen Original- 
schliffe in München studiren zu können. Prarz beschreibt in seiner Arbeit 
auch die Trabekeln und ihre Anordnung ausführlich. Er spricht aber nur 
eimmal bei den Thamnastraeiden von Faserbündeln (l. e. p. 88): „An einigen 
Stellen wird die Anordnung der Kalkfasern zu Bündeln ziemlich deutlich und 
die Stellung der Bündel lässt darauf schliessen, dass dieselben den Hervor- 
ragungen (Knötchen) an den Trabekeln entsprechen.“ Es sind also auch bei 
den Thamnastraeiden die Trabekel aus Faserbündeln oder Fascikeln gebaut, 
welche an der Oberfläche der Trabekeln Knötchen oder Granulationen hervor- 
rufen. In diesem Punkte stimmen also die Trabekeln von Galaxea mit den 
Trabekeln der Thamnastraeiden überein. Während aber bei Galaxea in jeder 
Wachsthumsperiode nur zwei Fascikel ausstrahlen, nämlich je einer an jede 
Seitenfläche des Septums, ist dies bei den Thamnastraeiden nicht mehr der 
Fall. Prarz selbst sagt: „Die einzelnen Trabekeln bestehen aus einer oder 
mehreren Verticalreihen regelmässig auf- und übereinander stehender Knöt- 
chen, die sich zu verschiedenen regelmässigen Formen gruppiren.“ Eine 
Gruppirung der Fascikel zu einer regelmässigen Form ist eigentlich nur dann 
möglich, wenn mehrere Verticalreihen nebeneinander stehender Fascikel in 
einem Trabekel vorkommen. Da ich diese Verhältnisse im Folgenden öfter 
berühren muss, so nenne ich solche Trabekeln, die nur aus einer Reihe paarig 
angeordneter Fascikeln bestehen, einfache Trabekeln und solche Trabekeln, 
die aus mehreren Verticalreihen von Fascikeln bestehen, nenne ich zu- 
sammengesetzte Trabekeln. Nebenbei sei bemerkt, dass die Trabekeln 
durchaus nicht immer mit Knötchen besetzt zu sein brauchen, wie dies nach 
der Arbeit von Prarz fast der Fall zu sem schien, sondern dass sie auch 
glatt sem können. Dies kommt z. B. unter jurassischen Formen häufig bei 
den Amphiastraeiden und Turbinoliden vor. 

Auch an den Schliffen von PrAarz liessen sich die durch das Wachsthum 
hervorgerufenen Erscheinungen, wie Wachsthums-Segmente etc. beobachten. 
Am Septum von Cyelolites zum Beispiel sind die Grenzlinien der einzelnen 
Wachsthums-Segmente durch die mehr oder minder horizontal verlaufenden 
knotenartigen Verdickungen auf der Septalfläche angedeutet. Dementsprechend 
sieht man auch in den Längsschliften, dass in diesen horizontalen Linien die 
büschelförmig ausstrahlenden Faserbündel am breitesten sind, und dass zwischen 
hier und der nächstfolgenden Horizontalreihe von Fasern, eine Unterbrechung 
stattfindet. Ich nenne den Theil eines Trabekels, der die Höhe eines Wachs- 
thums-Segmentes umfasst, ein Trabekelglied. 

Bei den Thamnastraeiden treten die Wachsthums-Segmente besonders 


Verkalkung der Calicoblasten ete. 83 


stark dadurch hervor, dass die knötchenartigen Hervorragungen am oberen 
Ende eines jeden Trabekelgliedes mit den benachbarten zu Horizontalleisten 
verwachsen. Es sind also die Wachsthums-Segmente nach oben und unten 
durch diese Leisten begrenzt. Bei den Thamnastraeiden verschmelzen aber 
nicht nur die knötchenartigen Hervorragungen der Trabekeln ein und des- 
selben Septums, sondern auch die Knötchen zweier gegenüber stehender 
Septen. Derartige Querverbindungen zwischen den Septen wurden von Prarz 
genau untersucht und von ihm unter dem Namen Pseudo-Synaptikel be- 
schrieben. Dieselben bestehen nur aus der Verlängerung und gegenseitigen 
Verschmelzung der aus der Septalfläche heraustretenden Fascikel. 


Fungia und Siderastraea. — Bekanntlich besitzt die recente Gattung 
Fungia auf den Seitenflächen der Septen Leisten und zwischen den Septen 
Synaptikeln, beides Erscheinangen, die auch für die ausgestorbene Gruppe der 
Thamnastraeinae charakteristisch sind. Taf. VII, Fig. 5 stellt einen tangen- 
tialen Längsschliff durch drei Septen von Fungia und die zwischenliegenden 
Synaptikel dar. Leider ist diese Figur auf der Tafel vom Zeichner falsch 
gestellt, (sie würde um 90° zu drehen sein). Es fällt sofort auf, dass die 
Faseikel hier buschförmig von der Medianebene der Septen ausstrahlen, wie 
dies auch bei der Thamnastraeinae der Fall ist, und dass der Oeffnungswinkel 
zwischen dem Caleifieationscentrum und den äussersten Aragonitfasern ein 
grösserer ist, als in den analogen Schnitten von Galaxea (Taf. VII, Fig. 3). 
Die einzelnen Trabekelglieder in Fungia sind wie bei den Thammastraeinae 
aus mehreren um die ideale Trabekelaxe gruppirten Fascikeln angeordnet. 
Auf Bruchflächen von Septen von Fungia sieht man ab und zu mit starker 
Lupenvergrösserung auf den Trabekeln 6—8 ziemlich parallel gerichtete 
Furchen, die den „Verticalreihen von Knötchen“ bei Oyelolites und anderen 
Thamnastraeinae entsprechen. Während aber bei den letzteren die Knötchen 
in regelmässigen Vertical-Abständen vorkommen und in der Septalebene die 
seitliche Berührung der einzelnen Trabekel hervorrufen, hat man in Fungia 
unregelmässig zerstreute Granulationen (Knötchen), und die nebeneinander 
stehenden Trabekel sind ihrer ganzen Länge nach in Berührung. So weit 
hinab als die Weichtheile die Seitenflächen der Septen ganz überziehen, sind 
die darunter liegenden Granulationen nicht sehr gross. Weiter unten bilden 
sich zwischen den Granulationen neue Calcificationscentren und neue Fascikel, 
welche gegenüberstehende Granulationen verbinden. Auf diese Art von 
Synaptikelverbindungen, an welchen neue Calecificationscentren Theil nehmen, 
beschränkte Prarz den Namen Synaptikel. Taf. VII, Fig. 8 zeigt einen ra- 
diären Längsschlift (parallel der Septal-Oberfläche). Das ganze Fungia-Septum 
besteht aus einem einzigen Divergenz-Feld, nur liegt bei Fungia die Divergenz- 
linie nicht vertical, sondern nahezu horizontal. Zum besseren Vergleich mit 


6* 


34 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


anderen Septalschliffen wurde übrigens auf Taf. VII, Fig. 8 das Fıungia-Septum 
so gestellt, dass der Oberrand links von der Figur wäre, d. h. also die Diver- 
genzlinie wurde senkrecht gestellt wie dies bei den Korallen sonst der Fall 
ist. Man hat sich die Fungia überhaupt als eine sich nach und nach auf- 
klappende Koralle zu denken, so zwar, dass die ursprüngliche eylindrische 
oder conische sog. Mauer nach und nach ganz horizontal und ausgebreitet 
wurde. 


Siderastraea schliesst sich sehr eng an Fungia an, da auch hier die 
Trabekel zusammengesetzt und comprimirt sind und mit einander ihrer ganzen 
Länge nach in Verbindung treten. Wie schon Prarz hervorgehoben hat, 
finden sich auch hier ächte Synaptikel neben Pseudosynaptikel. Taf. VII, 
Fig. 3 zeigt einen Querschnitt durch einige an einander grenzenden Kelche, 
allerdings sind verschiedene Septen herausgebrochen. Der Querschnitt zeigt 
an den Stellen der Trabekelaxen etwas in die Länge gezogene dunkle Punkte. 
Dies rührt daher, dass hier mehrere Caleificationscentren zusammentreffen. 
Bei Siderastraea legen sich die Septen oft zu bestimmten Gruppen seitlich 
an einander an, dies geschieht durch Vermittelung der Pseudosynaptikel. 
Die ächten Synaptikel sind hauptsächlich m der Peripherie des Kelches vor- 
handen, wo die Septen schon etwas weiter von einander abstehen. Die eigent- 
liche Grenze zwischen zwei Kelchen ist hauptsächlich dadurch besonders aus- 
geprägt, dass die Synaptikel hier besonders häufig sind und eine Art Mauer 
bilden. Bei Siderastraea fällt die Divergenzlinie ungefähr mit den Stellen 
zusammen, wo die Synaptikel so häufig sind, dass sie eine Art Mauer ver- 
treten. Von da an steigen die Trabekel in den Septalflächen der aneinander 
grenzenden Kelche nach oben und innen auf. Dieselbe Lage der Divergenz- 
linie hat bereits Prarz für coloniebildende Thamnastraeinen nachgewiesen. 


Eupsammia hat jedenfalls mehr Beziehungen zu Fungia und Sidera- 
straea als bisher angenommen wurde. In neuerer Zeit hat bereits FowLER 
auf mancherlei Anklänge von Stephanophyllia zu Fungia hingewiesen. (Quart. 
Journ. Mier. Se. Vol. 28, p. 419). Hupsammia hat zusammengesetzte Tra- 
bekeln, deren Faseikeln aber mehr regellos gruppirt sind, so dass damit auch 
der ganze Trabekel unregelmässig wird, wesshalb man auch nicht gut von 
der (idealen) Axe des Trabekels hier sprechen kann. Dadurch wird auch 
die Abgrenzung der einzelnen Trabekel von einander weniger scharf, so dass 
man im Querschnitt eher das Aussehen einer fortlaufenden dunklen Linie 
erhält. Es bleiben indess häufig zwischen den einzelnen Trabekelgliedern 
mehr oder minder grosse Zwischenräume und zugleich wird dadurch die An- 
ordnung der übereimander vertical angeordneten Trabekelglieder manchmal 
etwas unregelmässig, indem die Trabekelglieder seitlich etwas verschoben 
werden. Solche Unregelmässigkeiten treten ganz besonders gegen die Kelch- 


Verkalkung der Calicoblasten etc. 85 


peripherie hervor und bedingen, dass es hier keine eigentliche Divergenzlinie 
giebt, sondern eine breitere Randzone, wo sich neue Trabekel einschieben und 
nach oben divergirend nach beiden Seiten aufsteigen. Je nach der Form des 
Septums kann auch noch ein zweites Divergenz-Feld mehr gegen das Säulchen 
zu vorhanden sein. Taf. VIII, Fig. 1 zeigt wie durch das Auftreten von 
Pseudosynaptikeln die Septen seitlich verschmelzen, sowie ächte Synaptikel 
gegen Aussen, an Stelle der Mauer. Fig. 2 zeigt auch (auf der rechten 
Seite der Abbildung) die unregelmässige Form der ächten Synaptikeln, die 
ein unregelmässig maschiges Gewebe bilden. Eupsammia ist wegen des un- 
regelmässigen Baues und der Anordnung der Trabekeln besonders bemerkens- 
werth. Aehnliche Unregelmässigkeit im Bau der Trabekel hat Prarz bereits bei 
den jurassischen Gattungen Haplaraea und Diplaraea, sowie bei der recenten 
Coscinaraea beschrieben. Auch die triasischen Gattungen Stylophyllum und 
Stylophyllopsis zeigen in der Septal-Struktur grosse Uebereinstimmung mit 
Haplaraca ete., d.h. die einzelnen Trabekelglieder trennen sich gegen das 
Kelchcentrum mehr von einander und bilden hier ein lockeres, schwammiges 
Gewebe. Bei anderen Arten erstreckt sich die lockere Verbindung der Tra- 
bekel sogar über das ganze Septum, so dass die einzelnen Trabekelglieder 
weder in horizontaler, noch in verticaler Richtung mit einander verwachsen, 
sondern meist als einzelne freie „Dornen“ im Kelch vorkommen. Ein solcher 
Kelch ist auf Taf. VIII, Fig. 5 im Querschliff dargestellt. Ein jeder „Dorn“ 
hat die Struktur eines Trabekelgliedes mit schief nach oben und aussen (d. i. 
im Querschnitt mit scheinbar radiär nach aussen) gruppirten Fascikeln. 

Es zeigt sich also, dass die Septen bei all’ den zuletzt besprochenen 
Korallenformen, nämlich bei den Thamnastraeinae, bei Fungia, bei Siderastraea, 
Eupsanmia, Haplaraea etc. aus zusammengesetzten Trabekeln bestehen. Das 
heisst also jedes einzelne Trabekelglied besteht aus mehr als 2 Fascikeln, 
und diese Fascikel sind um die ideale Trabelaxe rings herum gruppirt und 
nicht nur in einer durch die Trabelaxe gehenden Ebene, die senkrecht zur 
Medianebene des Septums steht. Bei Cyelolites stehen die einzelnen Fascikeln 
z. B. mehr im Kreis um die Trabekelaxe, bei Fungia mehr in einer Ellipse 
und bei Hupsammia sind sie regellos gruppirt. Damit, dass die einzelnen 
Trabekelglieder aus mehreren Fascikeln zusammengesetzt sind, hängt dann 
auch die charakteristische Hervorragung der Fascikelenden als mehr oder 
minder grosse und dicht gedrängte Granulationen („Knötchen‘), sowie die 
Verwachsung solcher Granulationen zu Septalleisten und zu Synaptikeln 
zusammen. 


Astraeidae. — Eine sehr häufige sowohl fossil als recent vorkommende 
Astraeiden-Gattung ist Heliastraea. Von ihr wird gewöhnlich angegeben, dass 
die Kelche durch ihre Costen verbunden seien. Ein Querschnitt durch Kelche 


36 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


und Costen ist auf Taf. VII, Fig. 11 abgebildet, während Fig. 10 ein noch 
stärker vergrössertes Septum nebst Costa und einem Theil der Kelchmauer 
darstellt. In Fig. 10 sieht man wie in der Medianebene des Septums dunkle 
Punkte, streckenweise zu dunklen Linien vereinigt, vorkommen, von welchen 
nahezu parallel gerichtete Kalkfasern nach beiden Seiten gegen die Septal- 
oberfläche zu ausstrahlen. Andererseits sieht man aber auch solche Stellen, 
wo eine Gruppe dunkler Punkte vorhanden ist, die etwas ausserhalb der 
Medianebene des Septums heraustreten und von welchen aus die Kalkfasern 
in radiärer Anordnung nach aussen strahlen. An den letzteren Stellen sind 
zusammengesetzte Trabekel quer geschnitten, während an den dazwischen 
liegenden Stellen nur einfache Trabekel vorkommen. Diese zusammengesetzten 
Trabekel haben einen continuirlichen Verlauf und divergiren von emer Linie, 
die da liegt, wo die Mauer sich von den Septalflächen abtrennt. Von dieser 
Divergenzlinie steigen die zusammengesetzten Trabekeln nach innen und oben 
in den Septen und nach aussen und oben in Costen auf. Diese zusammen- 
gesetzten Trabekeln sind aber nicht im seitlicher Berührung, sondern zwischen 
dieselben schieben sich eine ganze Reihe dicht gedrängter einfacher Trabekeln 
ein, deren feinerer Bau dem oben für Galaxea beschriebenen gleicht. In 
den Costen treten diese einfachen Trabekeln häufig zurück, d.h. sie werden 
nicht mehr zwischen den zusammengesetzten Trabekeln entwickelt, so dass 
dann hier die zusammengesetzten Trabekeln seitlich frei bleiben, wie dies im 
Querschnitt Fig. 11 zu sehen ist. 


Die Astraeidengattung Goniastraea besitzt noch einfacher gebaute Septen. 
Gegen die Mauer zu sind diese Septen stark verdickt, während sie sich gegen 
das Kelchcentrum zu beträchtlich verdünnen. Zusammengesetzte Trabekeln 
kommen hier nur gegen die Mauer zu vor, und da die Kelche dicht an 
einander grenzen, so ist die Divergenzlinie immer gemeinsam für 2 Kelche, 
Zwischen den zusammengesetzten Trabekeln kommen auch einfache Trabekeln 
vor, die nach innen, gegen «das Kelcheentrum zu, mehr und mehr überhand 
nehmen, während zusammengesetzte Trabekeln fast ganz fehlen. Wegen des 
Zurücktretens der zusammengesetzten Trabekeln sind auf den Goniastraea- 
Septen die Granulationen auch nur von geringer Grösse und bilden keine 
Pseudosynaptikeln. Die Abbildung Taf. VII, Fig. 12 zeigt, wie durch seitliche 
Berührung der Septen die Mauer zu Stande kommt. Dieselbe wird durch das 
Hinzutreten neuer Caleifications-Centren, sowie durch Antheilmahme von Tra- 
versen weiter verdickt und vervollständigt. 


Unter den Astraeiden spielen in Trias und Jura die Gattungen Mont- 
liwaltia und Thecosmilia wegen ihrer Häufigkeit eme ungemein wichtige Rolle. 
Dieselben werden bei Besprechung der Gattung Montlivaltia weiter unten 
eingehender behandelt. Es giebt nun recente Gattungen, die sich hinsichtlich 


Verkalkung der Ualicoblasten etc. 87 


ihres Septalbaues in analoger Weise zu Montlivaltia und Thecosmilia ver- 
halten, wie die recente Pungia zu Cyelolites und Thamnastraea. 

Bei Mussa werden die Trabekeln, anstatt dass sie rundlich und mit einer 
Reihe grosser Granulationen versehen sind, in der Breite ausgedehnt und im 
Querschnitt mehr elliptisch und an der Oberfläche mit zahlreichen, regellos 
zerstreuten Granulationen bedeckt. In jedem der Dornen, die über den Ober- 
rand des Mussa-Septums hervorragen, erkennt man, dass die Trabekeln von 
einer Divergenzlinie fächerförmig nach oben gerichtet sind und dass sich in 
jedem Wachsthums-Segment neue Trabekeln einschieben. Diese Divergenzlinien 
in jedem Dorn divergiren wieder von einer in der Richtung der Pseudotheka 
aufsteigenden Divergenzlinie, sowohl nach innen gegen das Septum, als nach 
aussen gegen die kurzen Costen. Es würde also im Septum von Massa hin- 
sichtlich der Anordnung der Trabekeln jeder einzelne Dorn einem ganzen 
Septum von Galawea entsprechen. Wegen des Vorhandenseins dieser äusseren 
Haupt-Divergenzlinie nahe am Aussenrand des Mussa-Septums lässt sich ein 
solches Septum auch mit anderen Astraeiden-Septen, wie z. B. von Heliastraea 
oder Montlivaltia vergleichen. Es sind somit die Dornen des Mussa-Septums 
analog den Zacken der Septen von Heliastraea oder Montlivaltia, nur sind 
die Dornen von Mussa verhältnissmässig stärker und complieirter gebaut. Bei 
Mussa sind ausserdem noch zwischen den einzelnen Dornen eine Anzahl 
einfacher Trabekel eingeschaltet. Es sind hier also ähnliche Verhältnisse vor- 
handen wie bei Heliastraea, wo auch zwischen den zusammengesetzten Tra- 
bekeln einfache vorkommen. 

Die Septen von Turbinaria und verwandten Arten sind in ihrem Bau 
im Gegensatz zur Porosität des Coenenchyms ganz dieht und compact. Taf. VII 
Fig. 13 stellt einen Querschnitt durch eine recente Turbinaria, Taf. VIII 
Fig. 4 einen solchen durch eine ceretaceische Actinacis dar. Bei beiden ist 
das Septum aus einfachen, eng gestellten Trabekeln gebaut, deren Caleifica- 
tionscentren so gut wie gar nicht aus der Median-Ebene heraustreten. Im 
Trabekelbau der Septen stimmen diese Gattungen im Wesentlichen mit 
Galaxea überein, nur ist die Anordnung der Trabekeln im Septum eine ver- 
schiedene. 

Während bei Galaxea die Trabekeln fächerförmig von einer im Septum 
gelegenen Divergenz-Linie aus nach innen und oben gegen das Kelchcentrum 
und nach aussen und oben gegen die Costa divergiren, gibt es bei Turbinaria 
und Aetinacis überhaupt keine solche Divergenz-Linie. Wie schon auf den 
Seitenflächen der Septen zu sehen ist, verlaufen hier alle die fein granulirten 
Striae, resp. Trabekel nach einer Richtung, und zwar von der Mauer fast 
horizontal, oder nur wenig nach oben geneigt gegen das Kelcheentrum, Mit 
dieser Thatsache hängt eine zweite wichtige zusammen, nämlich, dass die 
Costen nicht immer die directe Fortsetzung der Septen sind. Es schieben 


88 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


sich an der Mauer oft neue radiale Skelet-Elemente ein, die dann als Costen 
weiter verlaufen. Es hat den Anschein, als ob in dieser Beziehung eine 
ziemlich regelmässige Abwechslung stattfände, insofern, als in einer Wachs- 
thumsperiode eine Costa sich nicht an ein Septum anschliesst, in der nächst- 
folgenden Periode aber stellt sich ein Zwischenraum zwischen 2 Septen ein. 
Aehnliche Verhältnisse zeigen auch die Septen, die Mauer und Costen bei 
der Gattung Madrepora. Auch hier sind die kurzen Septen aus ziemlich 
horizontal liegenden, einfachen Trabekeln gebaut und es fehlt jede Spur einer 
gemeinsamen Divergenz-Linie für die Septal- und Costal-Trabekeln. Taf. VIII 
Fig. 6 und 7 sind Längs- und Querschnitt durch das Innere eines Madrepora- 
Zweiges, da wo das Skelet sehr dicht ist. Obwohl nun bei der ursprünglichen 
Anlage der Costalelemente von Madrepora manche unausgefüllte Räume bleiben, 
sind diese durch Einschiebung neuer Trabekeln meistens nachträglich aus- 
gefüllt, wie auch der Querschnitt Fig. 7 zeigt. Nebenbei sei bemerkt, dass 
die Löcher in Fie. 6 nur interseptal Loculi einiger Kelche sind, die schräg 
vom Schnitt getroffen sind. 

Porites zeigt einen Bau, der in manchen Punkten sehr von Durbinaria 
und Madrepora abweicht, in zwei wichtigen Merkmalen aber übereinstimmt, 
das sind das Fehlen einer Divergenzlinie der Trabekeln in den Septen und 
die Abwechslung in der Stellung der Costen in Beziehung zu den Septen und 
Interseptal-Räumen. Die Trabekeln in den Septen und im Coenenchym von 
Porites steigen fast senkrecht oder doch sehr steil auf. Sie sind im Quer- 
schnitt rundlich und berühren sich nicht über ihre ganze Höhe, sondern 
lassen ab und zu Löcher zwischen sich. Bei sehr starker Vergrösserung kann 
man sehen, dass mehrere Faseikeln um eine gemeinsame Axe angeordnet sind, 
deren Fasern nicht steil nach oben, sondern direct gegen die Oberfläche der 
Trabekeln gerichtet sind. Die Abbildung Taf. VIII, Fig. 8 gibt eine allge- 
meine Uebersicht der Trabekeln in einem recenten Porites und zeigt deren 
Verbindung durch ächte Synaptikel. Eine ähnliche senkrechte Stellung der 
Trabekeln zeigt auch Fig. 9. Sie stellt einen Längsschliff durch Trabekeln 
im „Coenenchym“ einer mir aus der alpinen Trias bekannten Gattung — 
Heptastylis — dar. Auch hier sieht man, wie die Trabekeln aus mehreren 
Faseikeln zusammengesetzt sind. Man kann auch leicht die einzelnen Tra- 
bekelglieder wahrnehmen sowie das regelmässige Zusammentreffen der Synap- 
tikel-Verbindungen an der Grenze zwischen aufeinanderfolgenden Wachsthums- 
segmenten. 


Zusammenfassung der Resultate. 89 


C. Zusammenfassung der aus der feineren Struktur gewonnenen 
Resultate. 


Aus dem Studium der mikroskopischen Struktur der oben betrachteten 
Typen von Korallen sieht man, dass die Unterschiede in der Septalstruktur 
bedingt sind durch die verschiedene Anordnung der Fascikeln zu Trabekel- 
eliedeın und ebenso durch die Anordnung der Trabekelglieder. Es wurde 
gezeigt, dass die einfachste Anordnung der Trabekeln zu Trabekelgliedern die 
paarige ist. Hierdurch entstehen „einfache“ Trabekeln wie bei Galazxea. 
Solche einfache Trabekeln sind meistens sehr dicht gedrängt, infolgedessen 
stehen die Caleifieationscentren in der Medianebene sehr nahe, wodurch dann 
eine continuirliche Reihe dunkler Punkte, die manchmal auch als dunkle Limie 
erscheinen, hervorgerufen wird. Wegen der gedrängten Stellung und der 
Kleinheit der Fascikel fehlen bei solchen Korallen Granulationen auf den Seiten- 
flächen der Septen so gut wie ganz, oder sind sehr klein. Die Septen der 
hierher gehörigen Formen sind von den früheren Autoren als ganzrandig 
und entweder mit glatten Seitenflächen oder mit Reihen von Granulationen 
parallel zum Septaloberrand beschrieben worden. Ich rechne hierher die 
Amphiastraeidae, Turbinolidae, Oculinidae, Pocilloporidae, Madreporidae und 
Stylinidae. 

Ausser dieser paarigen Anordnung der Fascikel zu einem Trabekelglied 
haben wir auch noch complieirteren Bau der einzelnen Trabekelglieder kennen 
gelernt, indem mehr als zwei am Aufbau der Trabekelglieder theilnehmen. 
In diesem Fall sind die Trabekelglieder nicht mehr bilateral symmetrisch an- 
geordnet. Sie gruppiren sich vielmehr um die ideale Axe des Trabekelglieds, 
entweder im Kreis herum, oder mehr elliptisch, oder ganz unregelmässig. 
Solche „zusammengesetzte“ Trabekelglieder sind im allgemeimen gröber; 
die Enden der Fascikel geben da, wo sie die Septaloberfläche erreichen, zur 
Bildung von ziemlich grossen Granulationen Veranlassung, oder auch durch 
seitliche Verwachsung zu Horizontalleisten. Diese Trabekelglieder bilden im 
allgemeinen durch continuirliche Aufeinanderfolge starke, wohlausgeprägte 
Trabekel, die ich „zusammengesetzte“ Trabekel genannt habe. Es gibt 
aber auch Formen (Zupsammia, Stylophyllum), bei welchen die Trabekelglieder 
keine continuirliche Vertikalreihe bilden, sondern jedenfalls stellenweise, frei 
bleiben. 

Bei den drei Familien der Astraeidae, Fungidae und Eupsammidae 
kommen immer zusammengesetzte Trabekeln vor. Bei den Astraeidae schalten 
sich zwischen denselben noch einfache Trabekeln ein, dadurch wird das Septum 
dicht und compact. Bei den Fungiden und Eupsammiden dagegen besteht das 
Septum nur aus zusammengesetzten Trabekeln. Dieselben sind entweder ihrer 
ganzen Länge nach in Berührung, oder lassen unregelmässige oder regel- 


90 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


mässige Lücken zwischen sich. Die Poritiden haben ebenfalls zusammen- 
gesetzte Trabekeln, deren Struktur indess von der Struktur der drei letzt- 
genannten Familien etwas abweicht. 

Bezüglich der Anordnung der Trabekeln in den Septen und Costen haben 
wir gesehen, dass die Trabekeln meist von einer Divergenzlinie fächerförmig 
aufsteigen und ein solcher Fächer von Trabekeln wurde als Divergenzfeld be- 
zeichnet. Der gewöhnlichste Fall ist der, dass die Divergenzlinie sich an der 
Peripherie des Kelches befindet, also an der Stelle, von welcher an man die 
äusseren Verlängerungen der Septen als Costen bezeichnet. Es ist das zu- 
gleich die Stelle, wo Mauerbildung stattfindet, sei es nun, dass eine echte 
Theka vorhanden ist, oder dass eine Pseudothek sich bildet. Ausnahmsweise 
kommen solche Fälle vor, wo die Divergenzlinie nicht genau ınit der Lage 
der Mauer zusammenfällt, wie bei Galawea. Es giebt auch Korallen, bei 
denen sich in den Septen allerdings secundär, auch um die von der Haupt- 
Divergenzlinie ausstrahlenden Trabekeln wieder neue Divergenzfelder bilden. 
Ein solcher Fall wurde bei Mussa beschrieben, auch bei den Lophoseriden 
und Eupsammiden kommen diese Fälle oft vor. 

Da die feinere Struktur der Septen aufs innigste von der Beschaffenheit 
der Weichtheile abhängt, ist es einleuchtend, dass bei fossilen Korallen die 
Kenntniss der feineren Struktur auch in systematischer Hinsicht von grosser 
Bedeutung ist. Im Grossen und Ganzen bestätigen meine in dieser Hinsicht 
gewonnenen Resultate die bisherige Eintheilung der Korallen in die haupt- 
sächlichsten Familien. Im einzelnen jedoch zeigte sich, dass verschiedene 
Gattungen eben wegen ihrer Struktur eine andere systematische Stellung er- 
halten müssen, sowie, dass die verwandtschaftlichen Beziehungen zwischen 
verschiedenen Korallengruppen andere sind, als man bisher meist angenommen 
hat. Trochosmilia und ihre nächsten Verwandten z. B., gehören ihrer feineren 
Struktur nach nicht zu den Astraeiden, sondern zu den Turbinoliden. 
Haplaraea und Diplaraea nicht zu den Fungiden, Epistreptophylium und 
Stylophyllum nicht zu den Astraeiden, sondern alle vier zu den Eupsam- 
miden. 

Bisher wurde ziemlich allgemein angenommen, dass die Perforaten von 
den jurassischen Thamnastraeiden herstammen müssten. Wie aus der Struktur- 
verschiedenheit hervorgeht, sind die sogenannten Perforaten überhaupt keine 
zusammengehörige Gruppe. Die Eupsammiden stehen zwar in verwandt- 
schaftlichen Beziehungen zu den Fungiden, doch zweigen sie sich keineswegs 
von den jurassischen Thamnastraeiden ab. Ich werde im Verlauf dieser Ar- 
beit zeigen, dass schon jurassische Gattungen vorkommen, die als Vorfahren 
der Eupsammiden anzusehen sind. 

Die Gattungen Madrepora und Turbinaria haben einen Septalbau, der 
wesentlich verschieden vom Bau der Thamnastraeiden, dagegen ähnlich dem 


Zusammenfassung der Resultate. 91 


der Styliniden, Oculiniden und Poeilloporiden ist. Auch von Seite der Zoo- 
logen, besonders von FowLer und Bourne, wurde in neuerer Zeit, auf Grund 
von Untersuchungen der Weichtheile, hervorgehoben, dass zwischen Poeillo- 
poriden (sammt Seriatopora) und Madreporiden eine sehr enge Verwandtschaft 
bestehe. Ich rechne auch die Stylophorinae zu den Pocilloporiden. Daraus geht 
hervor, dass unter diesen Umständen auf die Dichtheit der Mauer und des 
Coenenchyms bei den Pocilloporiden und auf deren Porosität bei den Madrepori- 
den nicht mehr der grosse systematische Werth gelegt werden kann, wie dies 
Epwarps und HaAıme und andere Autoren gethan haben. Wir wissen doch, 
dass es unter den Fungiden Gattungen gibt, bei welchen sämmtliche Septen 
dicht sind, andererseits gibt es Gattungen, bei welchen sie porös sind, und 
endlich gibt es manche Arten, bei welchen die Septen sowohl dicht als porös 
sein können. Deshalb kann man auch, abgesehen von den schon erwähnten 

Gründen, nicht wegen der Dichtheit oder geringeren oder grösseren Porosität 
_ des Coenenchyms die Pocilloporiden und Madreporiden so weit von einander 
trennen. 

Die Struktur-Verhältnisse in den beiden Familien der Pocilloporiden und 
Madreporiden deuten darauf hin, dass sie mit den jurassischen Oculiniden 
und Styliniden viel mehr gemein haben als mit den jurassischen Thamna- 
straeiden. Kosy gibt mehrere Abbildungen des Baues und der Anordnung 
der Trabekeln von jurassischen Oculiniden und Styliniden („Polyp. Jur.“ Kosy 
pl. 129, 130). Dieselben zeigen auffallende Uebereinstimmung mit den leben- 
den Vertretern der Pocilloporiden und Madreporiden. Die wenig zahlreichen 
Septen und ihre Anordnung in Cyelen nach der Zahl 6, 8, 10 oder 12 sind 
gemeinsame Merkmale; ausserdem sei noch ein Merkmal erwähnt, wenn es 
auch nur von geringerer Bedeutung ist, nämlich das häufige Vorhandensein 
flacher Böden als Basal-Struktur im Kelchinnern, während ein reichliches 
blasiges Gewebe sich zwischen den Kelchen entwickelte. 

Schon unter den jurassischen Styliniden gibt es eine Gattung Heterocoe- 
mia, bei welcher die Entwicklung des Coenenchyms sehr ähnlich mit der Ent- 
wicklung desselben bei der lebenden Gattung Galaxea war. Man dürfte viel- 
leicht mit einer gewissen Berechtigung Galawea unter die Styliniden stellen. Ich 
lasse dies indess vorderhand unentschieden, bis sich bessere Anhaltspunkte 
aus der Untersuchung weiteren recenten Materiales finden. 

Die Mauer bei den Korallen hat lediglich den Zweck den übrigen Theilen 
des Skelets einen grösseren Zusammenhang und eine grössere Stütze zu bieten 
und zugleich die innerhalb der Mauer gelegenen wichtigen Organe gegen 
aussen zu schützen. Bei Einzelkorallen ist demgemäss die Mauer möglichst 
weit gegen die Peripherie gerückt. Die Mauer selbst entsteht auf verschiedene 
Weise: Entweder bildet sich zwischen den Septen eine selbstständige La- 
melle, die ganz analog gebaut ist, wie die Septen selbst und die sich nur 


99 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


durch die tangentiale Stellung von den radiär gestellten Septen unterscheidet. 
Eine derartige Mauer wird allgemein als echte Mauer bezeichnet. Anderer- 
seits kann derselbe Zweck, nämlich eine Verfestigung des Septalapparats auch 
dadurch erreicht werden, dass sich die Septen im peripheren Theil etwas 
verdicken und entweder direct berühren oder durch eine Zone dicht ge- 
drängter Synaptikel oder besonders hoch gestellter Traversen verbunden 
werden. Diese verschiedenen Modificationen von Mauerbildung sind alle als 
Pseudotheka zu bezeichnen. ORTMANnN unterscheidet ausserdem noch Formen, 
bei welchen seiner Ansicht nach von einer Mauer nicht gesprochen werden 
sollte (Athekalia Orrmans). Diese Formen wären nach meiner Auffassung ent- 
weder als solche zu bezeichnen, die eine poröse echte Mauer haben, oder als 
solche, deren Pseudotheka durch Betheiligsung von Synaptikeln gebildet werden. 

Man bezeichnet der Bequemlichkeit halber die innerhalb der Mauer 
gelegenen radialen Strukturen als Septen und die ausserhalb gelegenen als 
Costen. Das Auftreten der Mauer ist nun durchaus nicht auf eine bestimmte 
Stelle im Kelch beschränkt. Dieselbe kann vielmehr bei sonst nahe ver- 
wandten Gattungen in verschiedener Entfernung vom Kelcheentrum vorkommen. 
Betrachten wir eine palaeozoische Einzelkoralle, z. B. ein Oyathophyllum. 
Hier ist die Mauer ganz aussen gegen die Peripherie gerückt und im Kelch- 
inneren bemerkt man hinsichtlich der Lage und Anordnung der Traversen 
zwei Zonen: eine innere mit flachen bodenartigen Traversen und eine äussere 
mit dichteren blasigen und gegen den Kelch ansteigenden Traversen. 

In dieser äusseren Zone bilden sich die Knospen in der Weise, dass 
die blasigen Traversen zur Bildung der neuen Scheidewand gegen den Mutter- 
kelch verwendet werden. Diese Art Knospung ist in der Literatur unter 
verschiedenen Namen (Entothekalknospung, Tabularknospung, Taschen- 
knospung) bekannt. 

Andere Verhältnisse hinsichtlich der Mauer treffen wir zum Beispiel 
bei der jurassischen Gattung Diplocoenia. Diese Gattung ist aufs engste ver- 
wandt mit Siylina. Diplocoenia hat eine Mauer in der gleichen Lage wie die 
zusammengesetzten Cyathophyliden-Arten. Innerhalb dieser Mauer kann man 
zwei Zonen von T’raversen unterscheiden, eine flache innere und eine steil ge- 
stellte blasige äussere. An der Grenze, an den blasigen Traversen gegen 
die flachen, entsteht dadurch, dass die blasigen Traversen sich hier steil 
und continuirlich senkrecht über einander anordnen, eine Pseudotheka. Es 
ist das die sogenannte innere Mauer von Diplocoenia, die von den meisten 
Autoren als die hauptsächlichste Mauer angesehen wird, weshalb dieselben 
auch die Verlängerung der Septen über diese Mauer hinaus als Costen be- 
zeichnen. Die gleiche Anordnung der Traversen, wie in Diplocoenia in zwei 
Zonen, zeigt auch Stylina, hier fehlt aber die äussere Mauer, so dass man 
dem alten Sprachgebrauch gemäss hier von Costen reden dürfte. Die meisten 


Zusammenfassung der Resultate. 93 


zusammengesetzten palaeozoischen Korallen haben die Mauer ausserhalb der 
blasigen Zone von Traversen, in Folge dessen benachbarte Korallen sich 
mittelst ihrer Mauer direct berühren. Ein gleiches Verhältnis gilt auch für 
die meisten mesozoischen Amphiastraeiden. Die grössere Menge der meso- 
zoischen und jüngeren Korallen haben die Mauer an der Stelle wie bei 
Stylina und bis jetzt wurden dann bei diesen Formen nur die innerhalb der 
Mauer gelegenen Zonen als Kelch bezeichnet. Man muss sich aber klar 
werden, dass man dann unter Kelch bei fossilen Korallen nicht immer 
das nämliche versteht. Bei den erwähnten palaeozoischen Formen umfasst 
der Kelch beide Traversen-Zonen, bei den jüngeren Formen dagegen würde 
der Kelch nur die innere Zone umfassen, die äussere Traversen-Zone würde 
bereits extracalycinalem Gewebe angehören. Dies ist hauptsächlich insofern 
wichtig, als solche Knospen, die in den erwähnten palaeozoischen Formen 
in der äusseren Traversen-Zone und zwar intracalyeinal entstehen, wenn sie 
bei mesozoischen Korallen, wie Siylina in derselben Zone auftraten, bisher 
als extracalycinale Knospen bezeichnet wurden. Wenn man dies einmal 
erkannt hat, so sieht man, dass fast sämmtliche Knospungsarten intracaly- 
cinal erfolgen. Hiedurch fallen dann auch zugleich eine ganze Anzahl irr- 
thümlicherweise für wesentlich gehaltene Unterscheidungsmerkmale zwischen 
den bisherigen sogenannten Rugosen (Tetracorallen) und den jüngeren Hexa- 
corallen (Aporosen und Perforaten) fort. 


Das extracalyeinale Gewebe kann in verschiedener Weise modiheirt 
sein. Entweder haben wir in der Verlängerung der Septen Costen, die mit 
denen der Nachbarkelche zusammentliessen (z. B. Heliastraea); in diesem 
Fall ist das extracalyeinale Gewebe ganz analog gebaut, wie die äussere 
Zone von Oyathophyllum oder die Costen werden mehr und mehr zurück- 
gebildet und verschwinden schliesslich ganz. Das würde solchen Fällen bei 
palaeozoischen Korallen entsprechen, wo die Septen nur ein Stück weit oder 
gar nicht in die äussere Traversen-Zone fortsetzen (z. B. Chonawis, Petalawxis). 


Derartige Modificationen des extracalyeinalen Gewebes wurden nach der 
bisherigen Ausdrucksweise gewöhnlich nicht als Coenenchym bezeichnet. Bis 
jetzt wurde in der Regel Coenenchym nur solches extracalyeinales Gewebe 
genannt, das schon äusserlich eine ziemliche Verschiedenheit von dem Bau 
der Skeletelemente innerhalb des Kelches aufwies. Man kann aber die ver- 
schiedenen Coenenchym bildenden Formen, wie Oculiniden, Madreporiden, 
Poeilloporiden, Poritiden und manche Eupsammiden immer auf Modificationen 
von costalen und basalen Elementen und damit auf eine Modification der 
äusseren Kelchzone zurückführen. Bei solchen Korallen sagt man, dass die 
Knospung am Kelchrand (margimal und submarginal) und innerhalb des 
Coenenchyms stattfindet, und das ist nach dem oben gesagten kein Unterschied 


94 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


von der typischen intracalyeinalen Knospung. Die meisten Fälle der soge- 
nannten Theilung sind, wie ich unten und anderswo (Philosoph. Transactions) 
zeige, entweder weiter nichts als eine bestimmte Modification der intracaly- 
ceinalen Knospung, wobei sich die Knospen rasch in der ursprünglich äusseren 
Zone des Mutterkelches entwickeln. Eine echte Theilung ist überhaupt sehr 
selten. Dann allerdings geht die Theilungsebene auch durch die innere und 
äussere Zone des Mutterkelchs. 


I. 


Beschreibung der Familien, Genera und Arten. 


Familie: Amphiastraeidae ÖcıLvıE. 


Einfache oder zusammengesetzte Stöcke, mit starker Epithek 
bedeckt. Die Septen sind bilateral, aber nicht fiederstellig ange- 
ordnet. Hauptseptum meist etwas länger und stärker als die 
übrigen. Oberrand der Septen entweder glatt oder nur sehr fein 
gezähnelt. Seitenflächen glatt oder granulirte. Am Kelchrand 
meist Reihen kurzer Septaldornen entwickelt. Aechte Wand vor- 
handen. Böden oder Traversen gut entwickelt, im peripheren Theil 
meist grossblasig und steilgestellt, gegen den centralen Theil zu 
häufig eine scheinbare innere Wand bildend. Vermehrung sowohl 
durch Endothekalknospung im blasigen Gewebe nahe am Rand 
(Taschenknospung), als auch durch Septalknospung (Theilung). 

Ich habe diese Familie nach der Gattung Amphiastraea benannt, weil 
dieselbe die characteristischen Merkmale in typischer Weise zeigt und 
weil die Hauptmerkmale auch zuerst (1858) bei Amphiastraea von ErAuLon 
beobachtet und beschrieben wurden. (Erauuon Haut-Jura p. 100). In Bezug 
auf Anordnung der Septen gibt er Folgendes an: „Septen an einer Seite des 
Kelches besser entwickelt als an der gegenüberstehenden, wodurch der Punkt, 
wo die (Verlängerungen der) Septen sich schneiden würden, excentrisch wird; 
die Primärsepten 10 an der Zahl, von welchen 5 besser entwickelt sind und 
deren mittleres noch dieker und länger ist.“ Hiezu sei bemerkt, dass eben 
dieses mittlere längere Septum das Hauptseptum ist, dem eines von den 
kürzeren Septen genau gegenüber steht und das als Gegenseptum zu be- 
trachten ist. Da nun die excentrische Stellung der Kelchgrube und die Ver- 
theilung der Septen in längere auf der einen Seite und kürzere auf der 
gegenüberstehenden Seite für die Mehrzahl der hieher gehörigen Gattungen 
characteristisch ist, so nenne ich den Theil des Kelches, in dem um das Haupt- 
septum die längeren Septen stehen, Hauptsegment und den gegenüber- 


96 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


stehenden, wo um das Gegenseptum die kürzeren Septen angeordnet sind, 
Gegensegment. Auch hinsichtlich der Traversen bemerkt Eraunox bereits, 
dass dieselben im peripheren Theil gröbere Blasen von 2 mm Abstand bilden, 
während dieselben im centralen Theil dichter gedrängt stehen. Ueber die 
Art der Knospung sagt Erarvon, dass in einem der Ecken des Kelches sich 
eine geradlinige Trennungsfläche einschiebt, worauf sich in der so gebildeten 
Tasche eine neue Knospe entwickelt. 

Eravvox stellte bekanntlich diese Gattung zu den Astraeiden und seinem 
Vorgange schlossen sich alle übrigen Autoren an. Später wurde von 
MitascHrwirz (Natth. Korallen, p. 112, Taf. 51, Fig. 9) die Quenstedt’sche 
Art Mitrodendron (Lithodendron) mitratum sehr sorefältig und eingehend be- 
schrieben. MiıtAschzwitz machte auch auf die manchfachen Anklänge an 
Amphiastraea aufmerksam, sowie an Latusastraea alveolaris Gpr. Mit Amphi- 
astraea hätte Mitrodendron grössere Aehnlichkeit, sowohl wegen der Anord- 
nung der Septen als auch der Art der Knospung. MrvAscHEwITZ vereinigte 
indess Mitrodendron desshalb nicht mit Amphiastraea, da letztere einen 
massiven astraeenförmigen Polypenstock besitzt. MILAscHEwITZ weisst ferner 
auf die Beziehungen hin, die Mitrodendron sowohl wegen (der bilateralen 
Anordnung der Septen, als auch hinsichtlich der caleinalen Knospen zu den 
tugosen zeigt und lediglich desshalb, weil nur Bilateralität, nicht aber fieder- 
stellige Anordnung der Septen zu beobachten ist, zögerte er diese Form zu 
den Rugosen zu stellen. 

Als Kogy das reiche Material der Korallen aus dem Schweizer Jura 
untersuchte, fand er eine ganz beträchtliche Anzahl von Formen, die einen 
für eime mesozoische Fauna ziemlich fremdartigen Eindruck machten und die, 
wie Amphiastraea wegen der Bilateralität des Septalbaues und der grobblasigen 
Entwicklung der Traversen im peripheren Theil mehr an palaeozoische Gat- 
tungen erinnerten. Hieher gehörten nach Kosy die Gattungen Cheilosmilia 
Kogy, Lingulosmilia Kopy, Selerosmilia Kosy, Schizosmilia Kopy, Pseudo- 
thecosmilia Kogy, Thecidosmilia Kosy und Amphiastraea Er., welche er zu 
den Cyathophylliden stellte und zwar Cheilosmilia zum Tribus Cystiphylliae 
und alle übrigen zum Tribus Axophylliae. Ausserdem führt Kosy unter den 
Axophylliae am Schlusse seiner Arbeit noch die Gattung Cladophyllia E. und 
H. auf, die er vorher (p. 177) unter den Astraeiden beschrieb, und ferner 
erwähnte er hier auch noch Latusastraea alveolaris QuEnST. sp. und Mitro- 
dendron (Lithodendron) mitratum (urnst. Kozy’s Diagnose seines Tribus 
der Axophylliae lautet: „Septen lamellär sich mit einem grossen Columellar- 
Septum vereinigend. Aeusserer peripherer Theil der Kelche von vesiculärem 
Gewebe erfüllt, das wenig oder gar nicht von Septen durchsetzt ist“. Diese 
beiden Merkmale treffen aber durchaus nicht für alle von Kogy unter den 
Axophyllia angegebenen Gattungen wirklich zu. So vereinigen sich z. B. bei 


Amphiastraeidae. le 


Amphiastraea die Septen durchaus nicht mit dem Hauptseptum, höchstens 
kann man sagen, dass ein falsches lamelläres Säulchen durch Vereinigung 
der verdickten Septalenden zu Stande kommt. Andererseits durchsetzen bei 
der Gattung Thecidosmilia nach Kosy’s Beschreibung und Abbildungen die 
Septen die äussere blasige Zone des Kelches und reichen bis zur Mauer. 

Wenn auch Kosy’s Beschreibung mangelhaft ist und wenn er auch die 
Sache nicht vollständig erschöpft hat, so hat er doch in so weit recht, als 
diese Gattungen eine zusammengehörige Gruppe bilden. 

Dass die Septen den peripheren, blasigen Theil ab und zu nicht durch- 
setzen hat meiner Ansicht nach seinen Grund darin, dass sich bei der sehr 
häufigen Vermehrung in den Blasen an der Mauer, namentlich in den Ecken, 
Taschen bilden, in welchen neue Knospen entstehen, wodurch die Septen 
gegen das Kelch-Innere zurückgedrängt werden. Dieses Vorkommen von 
groben Blasen im peripheren Theil bei diesen Gattungen kann man daher 
nicht direct mit den äusseren Blasen der Cyathophylliden vergleichen. Der 
Septalbau der Cyathophylliden ist ausserdem bekanntlich radiär, wenn sich 
auch in einigen fiederstellige Anordnung noch in unausgewachsenen Exemplaren 
beobachten liesse. Bei den Amphiastraeiden dagegen sind die Septen aus- 
gesprochen bilateral angeordnet, dagegen ist fiederstellige Anordnung nicht 
zu beobachten. Wegen der Bilateralität des Septalbaues könnte man sie eher 
mit den Zaphrentiden vergleichen, die indess lauter Einzelkorallen sind, wess- 
halb auch die fiederstellige Anordnung der Septen gut zum Ausdruck kommt. 

Bei den meisten coloniebildenden Amphiastraeiden-Gattungen kann man 
an verschiedenaltrigen Kelchen ein und desselben Stockes beobachten, dass 
sich die Septen paarweise einschieben. Kopy hat verschiedene derartige 
Stadien bei Theeidosmilia abgebildet (Pol. Jur. Pl. 115, Fig. 4). Dieselben 
stimmen mit meinen Beobachtungen an Amphiastraea und anderen überein. 
Zuerst entsteht Haupt- und Gegen-Septum, dann die Seitensepten, dann ein 
Paar Septen im Gegensegment, darauf ein Paar im Hauptsegment u. s. w. 
Dies ist wichtig, da es zeigt, dass die Einschiebung der Septen paarig und 
zwar nach dem Kunte’schen Gesetz erfolgt. Die Bedeutung, welche diese 
paarige Einschiebung der Septen im phylogenetischer Hinsicht hat, habe ich 
weiter unten bei den Styliniden besprochen. Ausnahmsweise konnte ich bei 
einigen Embryonalkelchen fiederstellige Anordnung der Septen beobachten, 
bei ausgewachsenen Kelchen indess war die fiederstellige Anordnung nicht mehr 
vorhanden. 

Einige coloniebildende palaeozoische Formen, deren systematische Stel- 
lung zweifelhaft war, nämlich solche wie Colummaria, Stauria, Heterophyllia 
und Battersbyia, dürften in der That mit den Amphiastraeiden vereinigt wer- 
den, da der Kelehbau bei diesen zwar bilateral symmetrisch, aber nicht fieder- 
stellig ist. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 


1 


58 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Bei einem Vergleich von Columnaria mit der Kosy’schen Gattung 
Schizosmilia (ef. Placophyllia p. 113) fällt sofort die Aehnlichkeit im Habitus, 
im Septalbau und in der Art der Vermehrung auf (Endothekalknospung). 
Auch die Gattung Columnaria hat blasige Traversen. Auch die Theilung des 
Kelches durch Septalknospung findet bei Schizosmilia in der gleichen Weise 
wie bei Stauria statt. 


Die verwandtschaftlichen Beziehungen, die zwischen Columnaria und 
Stauria einerseits und Schizosmilia andererseits bestehen, werden sicherer 
begründet, wenn man erwägt, dass auch im der Triasperiode Formen vor- 
kamen, nämlich Pinacophyllum und Coccophyllum, die denselben Habitus, die- 
selbe Anordnung der Septen und die gleiche Vermehrungsart (Theilung- 
und Taschenknospung) zeigen. FRECcH stellte diese beiden Gattungen be- 
kanntlich zu den Zaphrentiden und betrachtet sie „als die letzten Super- 
stiten der palaeozoischen Pterocorallier“. Zugleich wiess er allerdings auf 
die Möglichkeit hin, dass hiemit die Kogy’sche Gattung Schizosmika zu ver- 
gleichen wäre. 

Auch Kogy erwähnt nur kurz, dass seine Axophylliae als jurassische Ver- 
treter der sonst nur im palaeozoischen Zeitalter vorkommenden Rugosen zu 
betrachten seien. Dass die bisher besprochenen Formen sehr viele Anklänge 
zu palaeozoischen Rugosen haben und mit ihnen verwandt sind, darin stimme 
ich sowohl mit FrecH als mit Kopy überein. Dagegen kann ich aus Grün- 
den, die schon oben angegeben wurden, nicht mit Frec# übereinstimmen, . 
wenn er Pinacophyllum und Coccophyllum zu den Zaphrentiden stellt, noch 
mit Kosy, wenn er seine Axophylliae als zu den Cyathophylliden gehörig 
betrachtet. Ehe ich mir hinsichtlich der systematischen Stellung dieser Gruppe 
ein Urtheil erlauben wollte, hielt ich es für nöthig, auch die Beziehungen 
dieser Formen zu jüngeren zu untersuchen. 


Unter dem ziemlich reichen Material, das mir von Stramberg vorlag, 
fanden sich eine Anzahl Formen, die manchfache Beziehungen zu Amphi- 
astraea und überhaupt zu den Axophylliae Kopy’s aufwiesen. Es sind das 
die neuen Gattungen Aulastraea, Selenegyra und Acanthogyra. Von diesen 
bildet Selenegyra ein Bindeglied von Amphiastraea, Schizosmilia ete. zu Formen 
wie Aplosmilia, Rhipidogyra, Phytogyra, Placophyllia, Euphyllia, während 
Acanthogyra zu den mit den letzteren eng verwandten Gattungen Dendrogyra, 
Psammogyra, Pectinia ete. überleitet. 


Alle diese Formen sind entweder Einzelformen oder buschige Stöcke, 
deren Kelchröhren dicht nebeneinander stehen und auch streckenweise ver- 
wachsen, oder es sind massive Stöcke, deren Kelchröhren ihrer ganzen Länge 
nach verwachsen und deren Kelche entweder wohl umgrenzt bleiben oder die 
confluente Reihen bilden können, 


Amphiastraeidae, 99 


Die neue Gattung Aulastraea andererseits verbindet Amphiastraea mit 
solchen Gattungen, wie Phillastraea, Pachygyra ete., deren einzelne Kelche 
durch reichlich entwickeltes blasiges Gewebe (Coenenchym) verbunden sind. 

Wenn nun unter den bisher erwähnten Formen auch solche sind, bei 
welchen der bilaterale Bau der Septen in ausgewachsenem Zustand nicht mehr 
zum Ausdruck kommt, weil die Kelche sich sehr in die Länge ziehen oder 
weil mehrere Kelche zusammenfliessen und eine Reihe bilden, so fasse ich 
doch alle diese Formen unter der neuen Familie der Amphiastraeiden zu- 
sammen. Die sämmtlichen hieher gehörigen Gattungen zeigen eben wie be- 
reits erwähnt Merkmale, die sie von den Rugosen unterscheiden. Andererseits 
sind aber auch solche Merkmale vorhanden, die sie von den Astraeiden 
trennen, zu denen ursprünglich die meisten dieser Gattungen gerechnet wur- 
den. So besitzen die Amphiastraeiden eine ächte Mauer, während bei den 
Astraeiden keine oder nur eine Pseudotheka vorhanden ist. Ferner sind für 
die Amphiastraeiden die auf der Mauer vorhandenen Septaldornen cha- 
rakteristisch und die Septen zeigen bei ihnen nicht, wie bei den Astraeiden 
eine deutliche Anordnung in Cyelen, sondern es wechseln bei ihnen nur 
längere und dickere mit kürzeren und feineren ab. Ferner unterscheiden 
sich die Amphiastraeiden auch hinsichtlich der Septalstruktur von den Astrae- 
iden, die ich auf Grund mikroskopischer Untersuchungen etwas anders be- 
grenze als die früheren Autoren. 

Die Amphiastraeiden-Septen sind glattrandig oder nur sehr fein ge- 
zähnelt, die Trabekeln sind gleichmässig angeordnet und sehr dicht gedrängt, 
so dass die Caleificationscentren im Querschnitt eine fast zusammenhängende 
dunkle Linie bilden. In Folge dessen sind auch die Septen sehr dicht und 
compact. 

Ein sehr constantes Merkmal für die Gruppe der Amphiastraeiden ist 
die reichliche Entwicklung endothekalen Gewebes. Dasselbe bildet im peri- 
pheren Theil der Kelche meist grosse Blasen, während gegen das Centrum 
zu die Traversen dicht gedrängter und flacher sind. An den Stellen nun, 
wo die steil und regelmässig übereinander stehenden grossen äusseren Blasen 
gegen die feineren und flacheren inneren Traversen endigen, wird manchmal 
(durch die übereinander stehenden Traversen) eine scheinbare innere Wand 
hervorgerufen, 

Wenn sich auch ab und zu, aber verhältnissmässig selten, unter den 
Astraeiden (einige Montlivaltien und Thecosmilien) zwei Zonen von Traversen 
unterscheiden lassen, so sind diese doch wesentlich verschieden von denen 
der Amphiastraeiden. Bei diesen Astraeiden ist nämlich die periphere Zone 
sehr feinmaschig, während die inneren Blasen grösser sind und entfernter 
stehen. Die Beziehungen zwischen Amphiastraeiden und Styliniden werden 


unten, bei Besprechung der Styliniden eingehender behandelt werden. 
7* 


100 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Die für die Amphiastraeiden so charakteristische Art der Vermehrung 
durch „Taschenknospen“ steht mit der Entwicklung des grossblasigen äusseren 
Gewebes im engsten Zusammenhang, indem sich die Taschen in Blasen, nahe 
am Rand, bilden. Marginale Knospung, so bezeichnend für die Astraeiden, 
kommt bei den Amphiastraeiden nur selten vor. 

Die Septalknospung (Theilung) erfolgt bei den Amphiastraeiden vorzugs- 
weise in der Medianebene (Richtung des Hauptseptums), wodurch dann zwei 
halbmondförmige Hälften entstehen (cf. Schizosmilia Kosx — Placophyllia), 
die bei ihrer weiteren Entwicklung entweder halbmondförmig bleiben (Selene- 
gyra) oder sich in die Länge ziehen (Aplosmilia, Dendrogyra) oder rundlich 
werden (Placophylla). 

Aus dem bisher Gesagten geht hervor, dass die Formen, welche ich zur 
Gruppe der Amphiastraeiden stelle, auch noch wegen anderer wichtiger Merk- 
male als die Bilateralität der Septen zusammen gehören und eine phyloge- 
netische Reihe bilden von palaeozoischer Zeit bis zur Gegenwart. Die Bilate- 
ralität der Septen ist ein Merkmal, das sich erst sehr spät in dieser Gruppe 
verwischt hat und zwar durch Wachsthumsbedingungen, hauptsächlich durch 
rasch und unregelmässig vor sich gehende Theilung. Bei Gattungen, wie 
Dendrogyra liess sich indess an jungen Kelchen die Bilateralität noch nach- 
weisen. 

Das Vorkommen von Septaldornen auf der Wand bei den meisten 
Amphiastraeiden-Gattungen ist eine Eigenthümlichkeit, die bei den Astraeiden 
nicht zu beobachten ist. Bei mikroskopischer Untersuchung im Querschliff 
sieht man, dass von der dunklen Linie der Wand Ausläufer rechtwinkelig 
abzweigen und in der Mitte der Septaldornen verlaufen. Die feinen Aragonit- 
fasern, die von der dunklen Linie der Wand, wie des Septaldornes ausstrahlen, 
sind nicht büschelformig angeordnet, sondern verlaufen parallel zu einander 
und rechtwinklig zur dunklen Linie nach Aussen. Auch in die eigentlichen 
Septen setzt die dunkle Linie von der Mauer aus continuirlich fort. Hieraus 
geht hervor, dass die Verhältnisse zwischen Septen und Mauer hier die gleichen 
sind wie bei den Turbinoliden. Bei den Amphiastraeiden wachsen, ebenso 
wie bei den Turbimoliden, Mauer und Septen meistens gleichmässig in die 
Höhe. Es giebt aber auch bei beiden Familien eine Anzahl Gattungen, in 
welchen die Septen im Wachsthum der Mauer etwas voraneilen, d.h. wo sie 
überragend sind. Nun wachsen aber die Septen da, wo sie gerade über der 
Mauer sind, rascher als wie innen gegen das Kelcheentrum, wodurch dann 
die Septen über dem Kelchrand kammerartige Erhöhungen bekommen. 

Da nun die Amphiastraeiden in der feineren Struktur der Septen und 
Wand sehr viel Uebereinstimmung mit den Turbinoliden zeigen und da ich 
glaube, dass die feinere Struktur für die systematische Stellung der Korallen 
mehr Berücksichtigung verdient als bisher, so bin ich der Ansicht, dass sich 


Opisthophyllum. 101 


die Amphiastraeiden besser an die Turbinoliden anschliessen als an die 
Astraeiden. Die Turbinoliden umfassen nur Einzelformen, diese unterscheiden 
sich aber doch leicht von den wenigen Einzelformen der Amphiastraeiden 
(z. B. Opisthophylium) durch das Fehlen bilateraler Symmetrie im Septalbau. 
Zum Schluss sei noch darauf hingewiesen, dass bei einigen Gattungen 
der Amphiastraeiden, nämlich bei Acanthogyra auch auf den grösseren Septen 
feine Ausläufer zu beobachten sind, die genau wie die Septaldornen auf der 
Wand aussehen. Auch hinsichtlich der feineren Struktur stimmen sie voll- 
kommen überein. Der feineren Struktur nach würden dann diese Septen als eine 
Art Wand aufzufassen sein, die ebenso, wie die eigentliche Wand, mit Septal- 
dornen besetzt ist. Wie ich in einer anderen Arbeit schon hervorgehoben 
habe, besteht bei den Korallen hinsichtlich einer ächten Wand und eines 
Septums kein wesentlicher Unterschied und wir sind nur gewöhnt, die tangen- 
tial gestellten Skelettheile als Wand, die radiär gestellten dagegen als Septen 
zu betrachten. Diese Dornen auf den Septen können nicht mit Granulationen 
der Astraeiden-Septen verglichen werden, da sie ganz anders gebaut sind. 
Diese Familie, die wie bereits erwähnt, im palaeozoischen Zeitalter be- 
ginnt und bis zur Jetztzeit reicht, gewinnt das Maximum ihrer Entwicklung 
im oberen Jura und in der Kreide. Die mit den Amphiastraeiden nahe ver- 
wandten Turbinoliden treten erst in der Kreidezeit etwas stärker hervor und 
erlangen ihre Hauptblüthe im Tertiär und namentlich in der Jetztzeit. Wie 
ich in Trans. Roy. Soc. London 1896 näher ausgeführt habe, leite ich die 
Amphiastraeiden und Turbinoliden von den Zaphrentiden ab. 


Gen. Opisthophyllum Ocınvır. 


Einzelkorallen lang, eylindrokonisch, comprimirt. Kelehgrube tief, ver- 
längert, excentrisch. Haupt-, Gegen- und Seiten-Septen stark ausgeprägt. 
Im Hauptsegment befindet sich eine Gruppe längerer Septen, alle gleich lang 
und gleich stark, auf jeder Seite des Hauptseptums meist drei solcher Septa 
(ohne das Seitenseptum). Das Gegensegment von beträchtlicher Grösse, un- 
gefähr °/ı des ganzen Flächenraumes einnehmend. In diesem Segment sind 
nicht weniger als 12 längere Septen vorhanden, von welchen die den Seiten- 
septen zunächst stehenden gegen diese gerichtet sind und sich an dieselben 
anlegen. Mit sämmtlichen längeren Septen des Kelches alterniren kürzere 
Septen, nur etwa ?/s so lang, aber ebenso dick wie erstere. Ausserdem sind 
noch am Kelchrand kurze Septalstreifen eingeschaltet. Durch die Verdickung 
und Verschmelzung der inneren Enden der langen Septen bildet sich ein in 
der Verlängerung der Seitensepten gelegenes falsches Säulchen. Traversen 
sehr häufig, blasig, regelmässig angeordnet, im peripheren Theil steil gestellt. 
Wand dick, mit starker runzeliger Epithek bedeckt. Knospung intracalycinal 


102 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


und marginal (Taschenknospung) und gewöhnlich am Rande des Hauptsegments. 
Die zu dieser Gattung gehörigen Korallen haben ihrem Habitus nach grosse 
Aehnlichkeit mit der jurassischen Gattung Lingulosmilia Kogy. Hinsichtlich 
der Septalbaues unterscheidet sich indess Zingulosmilia von Opisthophyllum 
durch das auffallend starke und hervorragende Hauptseptum, gegen welches 
die nächststehenden convergiren. Hinsichtlich der Traversen findet man bei 
Kosy nichts erwähnt, auch seine Abbildungen geben in dieser Richtung 
keinen Aufschluss. 

Die Art der Gruppirung der Septa im Hauptsegment ist bei Opistho- 
phyllum genau dieselbe wie bei Amphiastraea Er. und Mitrodendron Quanst., 
die beide jedoch coloniebildende Formen sind und sich ausserdem noch durch 
geringere Zahl der Septen und weniger entwickelte Traversen unterscheiden. 


Opisthophyllum Zitteli Ocı.vıe. — Taf. XH, Fig. 11, 11a, 11b, I1e, 11d. 


Lange, comprimirte Zellröhren, im Querschnitt nierenförmig. Die äussere 
Begrenzung des Gegensegments entspricht der convexen Seite, während jene 
des Hauptsegments geradlinig oder concav ist. Durchmesser 20 : 14 mm bei 
einem Exemplar, bei einem andern 19:13 mm. Im Hauptsegment sind auf 
jeder Seite des Hauptseptums je 3 längere und damit alternirend 3 kürzere. 
Im Gegensegment reichen, ausser den Seitensepten noch 10 andere bis zum 
Centrum. Zwischen diesen und den Seitensepten sind auf jeder Seite noch 4 
längere Septa eingeschaltet, die gegen die Seitensepten convergiren und mit 
ihnen verschmelzen. Auch im Gegensegment alterniren mit diesen längeren 
Septen kürzere, so dass man in einem Kelch gegen 50 gut entwickelte Septen 
zählt. Ausserdem kommen zwischen diesen Septen ganz am Rand noch kurze 
Septalstreifen vor. Traversen zahlreich, im peripheren Theil steiler gestellt. 
Wand sehr dick, mit feinen Costalstreifen versehen. Epithek wohl entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: Die eigenthümliche Form des Kelches, 
und die Zahl und Grösse der Septen unterscheidet diese Art leicht von den 
beiden unten beschriebenen Arten. 

Zahl der untersuchten Stücke: 4. 

Vorkommen: Stramberg. 


Opisthophyllum vesieulare OGınvie. — 
Taf. XII, Fig. 15, 15a, 15b, 15c, 16. Taf. XII, Fie. 14, 14a. 


Cylindrische, wenig comprimirte Zellröhren, 30:24 mm im Durchmesser. 
Der Kelchquerschnitt nähert sich (im Gegensatz zu voriger Art) mehr einer 
Ellipse. Septen wie bei voriger Art angeordnet, nur dicker. Traversen klein 
und feinmaschig. Die verschmelzenden Septalenden bilden im Verein mit den 


Opisthophyllum. 105 


Traversen ein schwammiges, falsches Säulchen. Im peripheren Theil steigen 
die Traversen seitlich an die Fläche der längeren Septen etwas in die Höhe, 
wodurch das ziekzackförmige blasige Gewebe der Randzone hervorgerufen 
wird, wie es Taf. XII, Fig. 15b dargestellt ist. Im centralen Kelchtheil sind 
die Traversen flacher und in gleichmässiger Höhe von einem Septum zum 
andern verlaufend, wie dies in Fig. 15c zu sehen ist. Wand dick, mit zahl- 
reichen feinen Costalstreifen versehen, die sämmtlichen Septen und auch den 
Spiralstreifen entsprechen. Epithek gut entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: Das in Fig. 16 abgebildete Exemplar 
zeigt eine eigenthümliche Verdrehung der Kelchröhre. Zugleich bemerkt man 
folgende eigenthümliche Erscheinung. Ein Querschnitt an der unteren Fläche 
des Bruchstückes zeigt die Septen in der für die Gattung charakteristischen 
Anordnung, d. h. die längere Axe..des comprimirten Kelches steht senkrecht 
zum Hauptseptum. Ein Querschnitt an der oberen Fläche des Stockes hingegen 
zeigt, dass die längere Axe mit der Richtung des Hauptseptums zusammenfällt. 

Zahl der untersuchten Stücke: 3. 

Fundorte: Stramberg, Jgnatziberg. 


Opisthophyllum minimum Ocıvır. — Taf. XII, Fig. 12, 13, 14. 


Cylindrische Kelchröhren, nahezu rund im Querschnitt, 16:14 mm im 
Durchmesser. Im Hauptsegment 6 längere, sämmtlich bis zum Säulchen 
reichende, gleich starke Septen, im Gegensegment sind 8 bis zum Säulchen 
reichende Septen vorhanden. Zwischen diesen und den Seitensepten finden 
sich auf jeder Seite 4, gegen das Seitenseptum gerichtete, aber nicht mit 
ihm verschmelzende Septen. Zwischen all diese Septen schieben sich sowohl 
im Haupt- wie im Gegensegment noch kürzere Septen ein, so dass die Ge- 
sammtzahl der Septen in einem Kelch 48 beträgt. Traversen fein und reich- 
lich entwickelt. Wand mit runzeliger Epithek versehen. An der Aussenseite 
der Kelchröhren sind ab und zu unregelmässige Vorsprünge zu beobachten, 
die durch Taschenknospung bedingt sein dürften. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art hat hinsichtlich des Septal- 
baues und der Form des Kelches viel Aehnlichkeit mit Opisthophyllum vesi- 
eulare. Man könnte dadurch vielleicht veranlasst werden die eben beschriebene 
Form als Jugendform von O. vesiculare aufzufassen, dagegen spricht indess, 
dass der Durchmesser der Kelchröhren, wie aus den vorliegenden Stücken 
hervorgeht, auf grössere Höhe vollkommen gleich bleibt. Ausserdem sind bei 
O. minimum die Traversen sehr fein und gleichmässig im gangen Kelch ent- 
wickelt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Vorkommen: Stramberg, Juwald, Koniakau. 


104 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Gen. Amphiastraea Yırauvon. 


1858. Amphiastraea Er. Ray. du Haut-Jura p. 100. 
1858—60. » From. Introduetion p. 231. 

1879. > Zirmern Handbuch Vol. I, p. 255. 
1384. Phymastraea Dencan Madrep. p. 106. 

1889. Amphiastraea Kosy Polyp. jurass. pp. 432, 572. 


Massive Colonien bildend. Kelchröhren parallel, polygonal und ihrer 
ganzen Länge nach mit einander mittelst ihrer Wände verbunden. Die Kelch- 
grube ist sehr tief. Im Hauptsegment des Kelches sind 5 Primärsepten vor- 
handen, von welchen die 2 äusseren als Seitensepten und das mittlere, ver- 
längerte als Hauptseptum betrachtet werden kann. Sehr oft sind diese 3 
Septen besonders dick und hervorragend. Im Gegensegment treten 3—5 
kurze Primärsepten auf. Zwischen diesen Septen schiebt sich noch ein zweiter 
Cyelus und jedenfalls theilweise ein dritter Cyclus von Septen ein. Am 
Kelchrand sind ausserdem eme grosse Anzahl ganz kurzer und gleichmässig 
starker, feiner Septaldornen vorhanden. Die Septen sind sehr fein gezähnelt, 
womit auch die mikroskopische trabekuläre Bau der Septen vollkommen 
übereinstimmt. Die Traversen sind zahlreich, fein und regelmässig angeordnet; 
mitten im Kelch fast horizontal und bodenartig, nahe am Rand dagegen 
schräg, zuweilen senkrecht gestellt. 

Die Vermehrung erfolgt durch intracalyemale marginale Knospung 
(„Taschenknospung“ versch. Autor.) ganz besonders in den Ecken der Kelche. 
Dadurch dass meist mehrere solche Knospen gleichzeitig im Mutterkelch auf- 
treten, wird oft auf ziemliche Strecken zwischen Mutterkelch und Knospen 
eine Art Wand gebildet. Erauzon und Kogy haben dies für eine ächte 
Wand gehalten. Erauuon beschrieb eine äussere Umrandung des Kelches 
durch Epithek, die nur sehr locker mit der Wand zusammenhänge. Kosy 
spricht dagegen von zwei Wänden, einer inneren und einer äusseren, welch 
letztere mit Epithek bedeckt sei. Ich konnte imdess aussen am Kelch eine 
— ihrer Struktur nach — ächte Mauer beobachten, während die sogenannte 
innere Wand Kosr’s eine Erscheinung ist, hervorgerufen zum Theil durch 
die nahezu senkrechte Stellung der Traversen in der Randzone, hauptsächlich 
aber durch rasche Randknospung, verbunden mit nachträglicher Contraetion 
und Abtrennung des Mutterkelches. Diese „Wand“ ist ihrer Entstehung nach 
oft nur streckenweise in den Kelchen vorhanden; zuweilen umgibt sie den 
Mutterkelch ganz, zuweilen fehlt sie. 

Eine derartige Bildung ist nach meiner Ansicht analog der „Pseudo- 
theka“ der meisten Astraeiden. Ich habe schon (p. 92 u. 93 oben) diese Ver- 
hältnisse in Bezug auf Uebergangsstadien zwischen paläozoischen und jüngeren 
Korallen eingehender behandelt. Ich halte „Taschenknospung“ für eine 


Amphiastraea. 105 


frühere und alterthümlichere Vermehrungsart als „Selbsttheilung“; von dieser 
letzteren unterscheidet sich die phylogenetisch frühere Methode hauptsächlich 
durch den langsameren Verlauf der Entwicklungsstadien in dem knospenden 
Theile des Mutterkelches. 

Wie schon gesagt, wäre die „äussere Wand“, nach Erauvon und Kosgy, 
mit Epithek umgeben. Nach meinen Beobachtungen der Stücke, auch durch 
mikroskopische Untersuchungen, konnte ich keine Epithek constatiren. Viel- 
leicht waren diese Autoren hiezu dadurch veranlasst, dass durch die bereits 
erwähnten feinen Septaldornen auf der Mauer alternirende concentrische Er- 
höhungen und Vertiefungen hervorgerufen werden, die mit Epithekalringen 
verwechselt werden können. Diese Septaldornen, die dann scheinbar unter 
(der sogenannten Epithek liegen, nennen Erarvon und Kopr „Costen“. 

Duncan (Madreporaria pg. 106) vereinigte die jurassische Gattung 
Amphiastraea mit der recenten und früher aufgestellten Gattung Phymastraea 
E. und H. 

Ich halte diese Vereinigung nicht für richtig, denn beide unterscheiden 
sich sehr wohl in wichtigen Punkten. Während bei Amphiastraea die Kelch- 
röhren ihrer ganzen Länge nach mittelst der Mauer verbunden sind, ragen 
bei Phymastraea zwischen der Epithek, welche die einzelnen Zellröhren um- 
gibt, breite Auswüchse hervor, vermittelst welcher die Zellen verschmelzen. 
Das Säulchen ist bei Phymastraea spongiös und scharf hervortretend, während 
bei Amphiastraea ein Säulchen fehlt, sofern man nicht das verlängerte Haupt- 
septum als solches bezeichnen will. 


Amphiastraea graecilis Kosy. — Taf. XII, Fig. 17, 18, 19. 
1889, Amphiastraea gracilis Kosy Polyp. jur. p. 434. Pl. 115. Fig. 3. 


Grosse massive Stöcke bildend, die aus lauter prismatischen, nach Art 
der Basaltsäulen eng aneinander stehenden, Kelchröhren gebildet sind. Kelche 
in ihrem Umriss oft regelmässig hexagonal. Durch die Knospung in den 
Ecken wird häufig auch ein rundlicher Querschnitt des Kelches bedingt. 
Kelchdurchmesser 3—4 mm. Meist sind die 4 hauptsächlichsten Septen, 
nämlich Haupt-, Gegen- und Seitensepta deutlich zu unterscheiden. Neben 
diesen treten noch 4 weitere besonders hervor, so dass man von einem ersten 
Cyelus von 8 Septen, die aber sehr streng bilateral angeordnet sind, sprechen 
kann. Zwischen diesen schiebt sich ein zweiter Cyclus von 8 Septen von 
geringerer Grösse und Länge ein. Ein dritter Cyclus meist theilweise, selten 
vollkommen vorhanden. Bemerkenswerth ist, dass dieser dritte Cyclus im 
Hauptsegment des Kelches vollkommen vorhanden sein kann, während er im 
Gegensegment ganz fehlt. Am Rand schiebt sich ausserdem noch eine grosse 
Anzahl feiner, kurzer Septaldornen ein. Diese sind ziemlich regelmässig an- 


106 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


geordnet, meist 3—4 zwischen zwei benachbarten Septen des ersten und 
zweiten Cyclus. Traversen im peripheren Theil blasig, im centralen Theil 
des Kelches flacher, bodenförmig. 

Allgemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegen mir eine Anzahl 
gut erhaltener Bruchstücke vor, deren grösstes eine Höhe von 26 em besitzt. 
Obwohl Kosyr wegen des schlechten Erhaltungszustandes seiner Exemplare 
keine näheren Angaben über die Anordnung der Septen machen konnte, bin 
ich doch über die Zugehörigkeit der Stramberger Exemplare zur A. gracilis 
Kosy nicht im geringsten Zweifel. A. gracilis unterscheidet sich nach Kogy 
von A. basaltiformis Er. durch geringeren Kelchdurchmesser und grössere 
Zahl der „Costen“ (d.h. der Septaldornen). Beide Arten sind jedenfalls aufs 
engste verwandt und vielleicht ist A. gracilis nur eine Varietät der basaltiformis. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 8 (Bruchstücke). 

Fundorte: Stramberg, Kotzobenz, Koniakau; ausserdem Soyhieres, 
(Corallien blanc). 


Amphiastraea eylindriea OcıLvız. — Taf. XII, Fig. 8, 9 und 10. 


Stock eylindrisch, bis zur Oberseite mit dicker Epithek bedeckt. Kelch- 
röhren mittelst ihrer polygonalen Wände verwachsen, 21/,—4 mm im Durch- 
messer. Septen kurz, wenig entwickelt, nach Aussen nicht bis an die Wand 
reichend. Bilateralität vorhanden. Die Septen im Hauptsegment etwas länger, 
jene im Gegensegment ganz rudimentär, gewöhnlich S—12 an Zahl. Zwischen 
den Septen und der Wand mehr oder weniger blasiges Gewebe entwickelt, 
nach Innen nicht regelmässig begrenzt und dadurch den Anschein einer so- 
genannten Innenwand nicht hervorrufend. Auf den Wänden und theilweise 
auch auf den Blasen sind kurze Septaldornen vorhanden. Vermehrung er- 
folgt durch intracalycinale Knospung im blasigen Gewebe nahe der Mauer, 
wodurch dann die Kelche ein rundliches Aussehen erhalten. Ausserdem findet 
auch noch Theilung in der Richtung der Medianebene statt. 

Diese Art zeigt hinsichtlich der eylindrischen Form des Stockes, dann 
der mit den Wänden eng verwachsenen Kelchröhren und der rudimentären 
Septen im Gegensegment grosse Uebereinstimmung mit der Gattung Theei- 
dosmilia Kosy, von der bis jetzt nur eine einzige Art Th. valvata aus dem 
Astartien bekannt ist. Nach Kosy sind aber bei T’hecidosmilia die Traversen 
horizontale Böden, in gleichen Abständen angeordnet und von der Wand bis 
zum Kelcheentrum reichend. Bei A. cyländrica sind (cf. Fig. 9) die Blasen 
in der äusseren Zone etwas gröber und weiter als in der inneren. Diese 
Art unterscheidet sich von A. gracilis durch die geringere Zahl der Septen und 
namentlich durch die rudimentäre Entwicklung der Septen im Gegensegment. 
Ferner ist es bei A. eylindrica fast die Regel, dass die Septen vom Kelch- 


Aulastraea. 107 


rand durch reichliche Entwicklung der Taschenknospen zurückgedrängt wer- 
‚len. In dieser Hinsicht hat A. eylindrica mehr Aehnlichkeit mit A. basalti- 
formis Er. 

Bei beginnender Theilung werden die Kelche länger und schnüren sich 
in der Medianebene etwas ein, wodurch die Kelche sozusagen ein etwas 
bretzenförmiges Aussehen erlangen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg. 


Sen, Aulastraea Ocıvvın. 


Stöcke kurz konisch mit ebener Oberfläche. Von dieser gehen entweder 
kurze astartige Fortsätze aus, oder die Stöcke bleiben massiv und breiten 
sich aus. Epithek umkleidet die Stöcke vollständig mit Ausnahme der fast 
ebenen Oberseite. Es ist ein längeres Septum (Hauptseptum) vorhanden, das 
bis über die Kelchmitte in den Kelch hineinragt. In Bezug auf dieses Septum 
lassen die übrigen Septa eine gewisse Bilateralität erkennen. Septen glatt- 
randig, an Länge nicht sehr verschieden. In allen, mit Ausnahme von den 
Jugendkelchen, reichen nun die Septen nicht bis an die Mauer. Es schiebt 
sich vielmehr zwischen den Septen und der Mauer noch eine breite Zone 
grobblasigen Gewebes ein, in welcher häufig wie in einem Art Coenenchym 
neue Knospen auftreten. Im inneren Theil zwischen den Septen sind die 
Traversen flach, fein und dicht gedrängt. An der Grenze zwischen der grob- 
blasigen äusseren und der flachen inneren Zone endigen die äusseren groben 
und steilgestellten Traversen sehr regelmässig übereinander, wodurch der An- 
schein einer inneren Wand hervorgerufen wird. Die eigentliche Mauer ist 
ausserhalb der grobblasigen Zone und die Septen reichen ursprünglich bis 
an sie heran. Man erkennt indess auch noch später auf der Mauer Reihen 
von Septaldornen, die theilweise auch auf die groben Blasen fortsetzen. Die 
Vermehrung erfolgt durch intracalycinale Knospung (Taschenknospung) im 
grobblasigen äusseren Gewebe, gewöhnlich nahe am Rand. 

Diese Gattung hat sowohl zu palaeozoischen Gattungen, wie Endophyllum, 
Spongophyllum, als auch zu verschiedenen jurassischen Gattungen aus der 
Amphiastraeiden-Gruppe Beziehungen, über die bei Beschreibung der hieher 
gehörigen Species des Näheren gesprochen werden soll. 


Aulastraea Schäferi Ocınvır. — Taf. XII, Fig. 1—7. 


Von einer stumpf- oder eylindroconischen Einzelkoralle aus erheben sich 
mehrere dicke kurze astförmige Stümpfe, wobei jeder Ast an seinem oberen 


108 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Ende mehrere Kelche zeigt. Der ganze Stock ist bis oben mit starker runze- 
liger Epithek überzogen. Die einzelnen Aeste sind rundlich oder elliptisch, 
die grosse Axe beträgt 50—36 mm, die kleine 20—26 mm. Aussenwand 
dick. Auf der Innenseite der Wand sind feine Septaldornen, etwa 9 auf der 
Breite von 5 mm, vorhanden. Die Septen sind nur auf den centralen Theil 
des Kelches beschränkt, während der äussere nur von grossblasigem Gewebe 
ausgefüllt ist. Zwischen der inneren und der äusseren Zone ist eine Wand 
nicht vorhanden. Septen von octomerer Anordnung, an Stärke alternirend, 
in 4 Cyclen vorhanden. 8 Septen reichen bis nahe zum Kelchcentrum, die 
nächsten 8 sind nur sehr wenig kürzer. Eines der Primärsepten (das Haupt- 
septum) ist besonders lang und am Ende etwas verdickt, wodurch die bila- 
terale Symmetrie zu Stande kommt. Bei jungen Kelchen ist zu beobachten, 
dass der vierte Cyclus noch nicht ausgebildet ist und dass die Septen des 
dritten Cyelus nur im Gegensegment vorhanden sind. Die Traversen im 
Innern des Kelches sind sehr regelmässig, ganz flach und im Vergleich mit 
den äusseren groben Blasen sehr eng stehend. Die Vermehrung ist intra- 
calyeinal und zwar entstehen in dem grobblasigen äusseren Gewebe innerhalb 
einer oder mehreren Blasen neue Knospen. Auch auf den groben äusseren 
Blasen lassen sich ab und zu feine Septaldornen, wie sie auf der Mauer vor- 
kommen, beobachten. 

Allgemeine Bemerkungen: Bei der Knospenbildung lassen sich fol- 
gende Stadien beobachten. Ursprünglich findet man in einer cylindroconischen 
Koralle nur einen Kelch, an den die Mauer allseitig ziemlich nahe herantritt, 
da in diesem Stadium das äussere grossblasige Gewebe nur spärlich entwickelt 
ist. Beim Weiterwachsen vermehrt sich das grobmaschige Gewebe rasch und 
nimmt eine breitere Zone um den Kelch ein, wodurch dann die Mauer weiter 
nach Aussen rückt. Später bilden sich dann innerhalb der grossen äusseren 
Blasenzone eine oder mehrere neue Knospen, die ursprünglich ziemlich nahe 
am Rand stehen, beim Weiterwachsen aber allseitig mit grossblasigem Gewebe 
umgeben werden. Später zweigt dann häufig ein neu gebildeter Kelch oder 
eine Gruppe neuer Kelche, die durch das grobe Blasengewebe verbunden sind, 
von dem ursprünglichen Ast ab und diese wachsen nahezu parallel mit ihm in die 
Höhe. Diese neuen Aeste sind natürlich auch äusserlich von der Mauer und 
von Epithek umgeben. An der Stelle, wo zwei Aeste von einander abzweigen, 
erkennt man dann im Querschnitt, wie sich zwischen das grobmaschige Ge- 
webe die Mauer einschiebt und so die zwei Kelchgruppen von einander trennt. 
Diese Art der Vermehrung ist im Wesentlichen die gleiche wie die Taschen- 
knospung, die bei der ganzen Gruppe der Amphiastraeiden zu beobachten 
ist. Eigenthümlich ist nur das grobmaschige äussere Gewebe, das innerhalb 
eines Astes mehrere verschieden alte Kelche wie mit einem Art Coenenchym 
verbindet. 


Aulastraea. 109 


Man kann jeden derartigen Ast als eine Colonie von Kelchen betrachten, 
die mittelst Coenenchym verbunden sind. Es entwickeln sich ja auch meistens 
bei derartigen noch heute lebenden Colonien die Knospen im Coenenchym, 
wie es in analoger Weise bei dieser jurassischen Art der Fall war. Von 
Coenenchym im gewöhnlichen Sinne des Wortes kann man allerdings nicht 
sprechen, da ja nach dieser Auffassung auch dann, wenn innerhalb der Mauer 
nur ein einziger Kelch vorhanden ist, dieser Einzelkelch von Coenenchym 
umgeben wäre. Ausserdem sprechen auch die auf der Mauer vorhandenen 
Septaldornen dafür, dass ein derartiger Einzelkelch einem einzelnen Amphi- 
astraeakelch sehr ähnlich ist, welch letzterer ja auch im peripheren Theil 
eine reichlich entwickelte Zone gröberer Blasen besitzt. Bei Betrachtung der 
unten beschriebenen Aulastraea conferta werden wir sehen, dass Aulastraea 
auch hinsichtlich der Stockform ganz den Amphiastraeatypus annehmen kann. 

Aulastraea sieht auf den ersten Blick ganz fremdartig aus und Niemand 
würde glauben eine jurassische, sondern viel eher eine palaeozoische Form 
vor sich zu haben. Hinsichtlich des grobblasigen peripheren Gewebes und 
des nur auf den centralen, eigentlichen Kelch beschränkten Septal-Apparates 
ähnelt es am meisten den devonischen Gattungen Eindophyllum und Spongo- 
phyllum. Bei Endophyllum ist allerdings nach Mıtne Enwarps und Haımz 
die Aussenwand rudimentär und die Innenwand deutlich. Was nun die Innen- 
wand betrifft, so ist sie jedenfalls auch nur durch steil über einander gestellte 
Traversen gebildet und nach dieser Auffassung könnte man bei Aulastraea 
ebenso gut von einer deutlichen Innenwand sprechen, besonders wenn man 
Exemplare vor sich hat, die so erhalten sind wie die Taf. XI, Fig. 5 und 6 
abgebildeten. Bei Fig. 5 ist das ganze Kelchinnere, also der Septalapparat 
sammt den feinen Traversen ausgewittert und die inneren Grenzen der steil 
über einander stehenden und mit einander verwachsenen groben Blasen bilden 
Scheinbar eine solide Kalkröhre. In Fig. 6 sieht man wie von dieser schein- 
baren Röhre die groben Blasen nach Aussen schräg aufsteigen. Bei Eindo- 
phyllum abditum ist übrigens auch die Aussenwand ziemlich gut entwickelt 
und diese Art erinnert vermöge ihrer polygonalen Kelche dann besonders an 
Aulastraea conferta. Aulastraea ist übrigens vermöge ihres Septalbaues von 
Endophyllum sehr leicht zu unterscheiden. Bei Endophyllum tritt nämlich 
die bilaterale Anordnung sehr zurück und die Septen sind dünn, zahlreich 
und gegen Innen wellig gewunden. Fast noch mehr Beziehungen könnte man 
zwischen Aulastraea und Spongophyllum anführen. Hier ist eine sogenannte 
innere Wand nicht mehr zu beobachten und die Septen sind auch verhältniss- 
mässig kräftiger und zeigen eine Neigung zu bilateraler Symmetrie (cf. Spongo- 
phyllum Büchelense Schvürer, Anthoz. d. rhein. Mitteldevon, Abhandlung. z. 
Geol. Specialkarte von Preussen. Bd. VII, 4, p. 63. Taf. VII, Fig. 8). 
Auch die Erscheinung, dass bei Aulastraea Aeste vorkommen, die im Innern 


110 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


nur einen einzigen (aussen von Blasen umgebenen) Kelch haben, finden wir 
bereits bei der devonischen und mit Spongophyllum aufs Engste verwandten 
Gattung ZEndophyllum wieder. Wenn nun auch aus dem bisher Gesagten 
hervorgeht, dass zwischen Aulastraea und den eben erwähnten devonischen 
Gattungen sehr viele enge Beziehungen bestehen, so unterscheidet sich 
Aulastraea doch sehr wesentlich von ihnen, da es die fiederförmige Anordnung 
der Septa nicht zeigt, die z. B. für Spongophyllum sicher nachgewiesen ist. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 20. 

Fundorte: Stramberg, Willanowitz. 


Aulastraea eonferta Ocınyıe. — Taf. XI, Fig. 1, la, 1b. 


Breite, eylindroconische, oben abgeflachte Stöcke mit starker runzeliger 
Epithek umgeben. Die einzelnen Kelchröhren sind mit ihren Wänden ganz 
verwachsen. Kelche unregelmässig polygonal, S—10 mm im Durchmesser. 
Septa nicht ganz bis zur Wand reichend. Im peripheren Theil des Kelches 
meist nur grobblasiges Gewebe. Kelchgrube excentrisch, Septen bilateral 
angeordnet. Im Hauptsegment sind 5—7 fast parallele längere Septen vor- 
handen, im Gegensesment eine unregelmässige, aber grössere Anzahl kurzer 
Septen. Traversen im Innern des Kelches flach und dichter auf einander 
folgend. Vermehrung durch reichliche Entwicklung von Knospen im (äusseren) 
blasigen Theil des Kelches. Knospen bald wieder durch ächte Wände vom 
Mutterkelch getrennt. Auf den Wänden Septaldornen zu beobachten, 

Allgemeine Bemerkungen: Die jungen Kelche dieser Art zeigen, 
dass die Septen noch bis an die Wand reichen und dass die längeren Septen 
auf beiden Seiten des Hauptseptums genau so angeordnet sind, wie es in 
Amphiastraea oder Opisthophyllum der Fall ist. Das grobblasige äussere 
Gewebe schiebt sich sehr bald ein. Hiedurch ist die Zugehörigkeit dieser 
Art zu Aulastraea bedingt, wenn auch der Habitus des Stockes sehr an 
Amphiastraea erinnert. Von der Aulastraea Schäferi unterscheidet sie sich 
durch geringere Kelchgrösse und durch den Habitus sowie durch die rasche 
Entwicklung neuer Wände, wodurch die Zellen sich eng aneinander legen 
und polygonal werden. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 


Fundort: Stramberg. 


Sclerosmilia. Pseudothecosmilia. al 


Gen. Selerosmilia Kopr: 
1889. Selerosmilia Kopy, Polyp. Jur. p. 426. 


Koralle einfach, lange cylindrische Röhren bildend. Kelch rund, mit 
excentrischer Kelchgrube. Septen zahlreich, eyclische Anordnung nicht zu 
unterscheiden. Hauptseptum lang, nicht dicker als die übrigen, Gegenseptum 
kurz, Seitensepta von den übrigen kaum zu unterscheiden. Traversen grob- 
maschig, blasig. Wand mit Epithekalringen umgeben. 


Selerosmilia Strambergensis OcıLvız. — Taf. XII, Fig. 21, 22. 


Cylindrische Röhren, 13—18 mm im Durchmesser. Im Kelch sind 
10—12 längere Septen vorhanden, die gegen das Centrum zu etwas verdickt 
sind, zwischen diesen Septen von gleicher Dicke aber nur halb so lang. Bei 
einem Kelchdurchmesser von 13 mm beträgt die Länge des Hauptseptums 
ca. 8 mm, die des Gegenseptums 3—4 mm. Nahe am Kelchrand sind noch 
eine unbestimmte aber grosse Zahl feiner kurzer Septen vorhanden. Auf die 
Breite von 5 mm treffen 14 solche Septen. Traversen sehr dick, nahe der 
Peripherie steil gestellt und dadurch im Querschnitt scheinbar concentrische 
Ringe bildend. 

Allgemeine Bemerkungen: Keines der mir vorliegenden Stücke ist 
vollständig erhalten. Sie sind alle oben und unten abgebrochen. In Folge 
dessen kann ich weder über die Kelchgrube, den Septalrand noch über den 
Embryonalkelch Näheres angeben. 

Kopy beschrieb aus dem Corallien blane zwei Formen, für welche er 
die Gattung Selerosmilia errichtete. Es sind dies die Sel. rugosa und Sel. 
Laufonensis. Beide unterscheiden sich von der Stramberger Art durch eine 
grössere Zahl gut entwickelter Septen. Die Stramberger Art nähert sich 
hinsichtlich der Kelchgrösse und der nahezu radiären Anordnung der Septen 
der Selerosmilia Laufonensis. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundorte: Stramberg, Jgnatziberg. 


Gen. Pseudothecosmilia Kopr. 
1889. Pseudothecosmilia Kosy, Polyp. Jurass. p. 428. 


Buschige Stöcke mit langen cylindrischen oder comprimirten Kelchröhren. 
Kelchgrube excentrisch. Septen zahlreich, meist an Grösse alternirend. An 
das Hauptseptum legen sich eine Anzahl der nächststehenden Septa mit ihren 
inneren Enden an. Die Seitensepten gut ausgeprägt. Wenn die Kelchröhre 


112 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


comprimirt ist, liegen die Seitensepten in der Richtung des grössten Durch- 
messer. Traversen regelmißssig und ziemlich gleichmässig entwickelt. Wand dünn, 
mit Epithekalringen umgeben. Knospung meist intracalyeinal, seltener lateral. 
Diese Gattung nähert sich ihrem Habitus nach sehr der Quexstepr'schen 
Gattung Mitrodendron, welche M. mitratum von Nattheim umfasste. Mitro- 
dendron unterscheidet sich aber von ihr dadurch, dass es im Hauptsegment 
eine Gruppe von 5 längeren (nicht mit einander anastomosirender) Septen 
besitzt, von welchen das mittlere, Hauptseptum, etwas stärker hervortritt. 


Pseudothecosmilia Etalloni Kogy. — Taf. XU, Fig. 23, 23a. 
1889. Pseudothecosmilia Etalloni Kory, Polyp. Jurass. p. 428. Pl. OXIV, Fig. 1, 2. 


Buschige Stöcke, deren Kelchröhren sich auf grössere Entfernung be- 
rühren. Kelche rundlich, etwas comprimirt (10—14 mm im Durchmesser). 
Septen dick, an Grösse regelmässig alternirend. Zwischen dem Hauptseptum 
und den Seitensepten auf jeder Seite 3 längere Septen. Dieselben sind gegen 
das Hauptseptum zu gerichtet und legen sich an dasselbe an. Seitensepten 
manchmal stark verlängert und sich berührend, eine Art lamelläres Säulchen 
bildend. Gegenseptum sehr kurz. Zwischen Seitensepten und Gegensepten 
auf jeder Seite 3 längere Septen, die sich an (die Seitensepta anlegen. 
Zwischen diesen 16 bis jetzt besprochenen Septen sind, regelmässig damit 
alternirend und nur halb so lang, 16 ahdere Septen eingeschaltet. Traversen 
stark und regelmässig angeordnet, im Querschnitt 3 oder 4 mauerähnliche 
eoncentrische Ringe bildend. Mauer mit leichter Epithek versehen. 

Alleemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegt mir zwar nur ein 
Bruchstück vor, doch lassen die ausgesprochene Bilateralität der Septen und 
die scharfe Ausprägung der Seitensepten keinen Zweifel über die Zugehörigkeit 
dieses Stückes zur Gattung Kosy's. Auch über die Artbestimmung besteht 
wegen der Grösse und der Zahl der Septen kein Zweifel. Placophyllia rugosa 
BECKER, (die im Habitus eine gewisse Aehnlichkeit mit Pseudothecosmilia 
Etalloni hat, ist vermöge ihrer Anordnung der Septen auf den ersten Blick 
zu unterscheiden. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Stramberg; ausserdem: Bressaucourt, Hobel (Astartien). 


Gen. Stylosmilia E. und H. emend. Ocınvız. 


1826. Lithodendron (paxs) Gonpruss. Petref. Germ, Taf. I, p. 45. 
1840—47. on „  Micneum. Jcon. p. 95. 
1848, Stylosmilia EpwArns und Hammer. Compt. rend. de !’Academie des Sc. 


Taf. XXVII. p. 468. 


Stylosmilia. 115 


1849. Stylosmilia Epwarps und Hase. Ann. des Sc. nat. 3. ser. T. X. p. 275. 
Pl. 6, Fig. 2. 

1849. Placophyllia v’Orsıeny. Note sur des Pol. foss. p. 8. 

1850. Cladophyllia (pars) Eopwarps und Hamme. Brit. Foss. Cor. p. 113. 

1850. Stylosmilia D’Orsısny. Prodr. T. U. p. 31. 

1852. Lithodendron (pars) Quensr. Handb. d. Petrefactenkunde p. 654. 

1856. Pleurophyllia Fromenter. Bull. Soc. Geol. France. 2. ser. T. XIII. p. 860. 

1357. Stylosmilia Epwaros und Haıme. Hist. Nat. Cor. T. II. p. 220. 


1357. Placophyllia ” r ” R 5 = np 222 

1858—61. Stylosmilia Fronenteu Introduction p. 147. 

1858—61. Placophyllia Fr F p. 148. 

1862. h THURMANN et Eaton, Lethaea Bruntrut. p. 361. 7 
1875 u. 76. Stylosmilia Becker. Nattheimer Korallen Palaeontogr. Bd.21. p. 139. 
1875 u. 76. Placophyllia „ 4 e en Hp 140. 


1877. Cladophyllia (pars) Fromenser. Pol. Foss. de Etage Neocomien p. 29. 
1576—80. Stylosmilia u. Placophyllia Zur. Handb. T. I, p. 261. 

1880. Oladophyllia w’Acuıarpı. Cor. Giur. p. 36. 

1884. Stylosmilia u. Placophyllia Duncan. Madreporaria. pp. 77, 73. 


1880—89. Cladophyllia (pars) Kory. Pol. Jur. pp. 179, 545, 572. 


F Stylosmilia e "„_» PP. 60, 538, 566. 
“ Pleurophyllia ” ” „u B..192: 
B Schizosmilia ” = „ PP. 435, 572. 


Stock buschig, niedrig oder hochwachsend, Zellröhren meist gerade, 
dicht neben einander stehend, ab und zu ihrer Länge nach, oder durch kurze, 
quer gestellte Fortsätze, verwachsen; Kelchgrube tief. Septen ganzrandig, 
an Grösse regelmässig alternirend. Eines der Septen ist länger und stark 
entwickelt, am Oberrand dieses Hauptseptums nahe dem Kelchcentrum ist 
ein Einschnitt, der das Septum in zwei Theile, einen Septal- und einen 
Columellartheil scheidet. 

Mit dem Columellartheil vereinigen sich alle die längeren Septen durch 
zahnartige Fortsätze, so dass im Kelch das einfache Aussehen von einem 
mit den Septen vereinigten Säulchen gegeben wird. Traversen sehr zahlreich, 
innen flach, nach aussen steiler gestellt. Die Vermehrung erfolgt sowohl 
durch Septalknospung in der Medianebene des Kelches als auch durch extra- 
calyeinale (laterale oder subbasilare) und intracalyeinale Knospung. Eine 
ächte Wand, mit Epithek bedeckt, vorhanden. 


Uebereinstimmung der Gattungen Placophyllia D’ORrz., Pleuro- 
phyllia From. und Schizosmilia Kosy mit EpwaArns u. Haıme’s 
Gattung Stylosmilia. 


Die Gattung Stylosmilia wurde im Jahre 1848 von Mıtne EpwaArns 
und HAımeE für eine jurassische Art $. Michelini E. H. errichtet. Im folgen- 
den Jahre hat D’OrBIGNnY die Gattung Placophyllia für eine früher von GoLD- 
russ beschriebene jurassische Art P. dianthus GLDE. sp. aufgestellt. Beide 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 8 


114 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Gattungen wurden im Jahre 1857 von Epwarps und Haımz aufrecht erhalten; 
als Unterschiede haben diese Autoren folgende Merkmale angegeben: 


Stylosmilia. Placophyllia. 


Septen am Kelchrand debordirend. Septen nicht debordirend. 

Epithek nicht vorhanden oder zweifel- | Epithek stark, gerunzelt. 
haft. | Traversen spärlich. 

Traversen reichlich. 


Die Aeste bleiben niedrig und sind 
Die Aeste wachsen in die Höhe und mehr oder weniger mit einander 
werden frei. verbunden. 


Für beide Gattungen wurde ein griffelförmiges Säulchen angegeben. 

Diese Merkmale sind aber nicht ganz richtig. Das Original-Exemplar 
von Placophyllia zeigt in manchen Kelchen (d. h. in den best erhaltenen) 
debordirende Septen. Die Traversen sind sehr zahlreich und lassen eine 
äussere, steiler gestellte Zone, von einer inneren, flachen Zone unterscheiden. 
Auch hat reichliches Material von demselben Fundort (Nattheim) gezeigt, 
dass auch Stücke mit höher wachsenden Aesten vorkommen. BECKER (Natth. 
Kor. p. 140) hat wesentliche Aenderungen in der Diagnose von EDwARDS 
und Haıme auf Grund seiner Untersuchung des Nattheimer Materiales ge- 
macht. Er hat besonders hervorgehoben, dass ein sogenanntes comprimirtes 
oder griftelförmiges Säulchen nicht vorhanden sei, sondern (dass sich nur, wie 
schon Quesstepr beobachtet hatte, eines der Septen durch Länge und Stärke 
besonders auszeichne. Bei Pl. dianthus convergiren noch gegen dieses 
Septum eine Anzahl der nächst stehenden Septen, oft sind alle die langen 
Septen im Kelch, wenn auch nicht mit dem ganzen Innenrand mit demselben 
verwachsen. Würde nun ein Querbruch so durch den Kelch gehen, dass er 
das Säulchen, dann den Fortsatz des Septums und dieses selbst treffen würde, 
so bekäme man den Eindruck eines verlängerten Septums. Würde dagegen 
der Querbruch etwas höher oder tiefer verlaufen, so würde er zwischen zwei 
Fortsätzen eines Septums durchschneiden und man bekäme dann den Eindruck 
eines vom Septum getrennt stehenden Säulchens. Das Original-Exemplar von 
Pl. dianthus zeigt in den meisten Kelchen, dass ein Septum länger ist als 
die anderen. Wo indess die Kelche und namentlich auch der Septaloberrand 
gut erhalten sind, kann man ab und zu beobachten, dass das Septum gegen 
(das Kelcheentrum zu einen Einschnitt zeigt, wodurch dann eine Columella 
genau so wie in Siylosmilia abgetrennt wird. 

Bei Placophyllia dianthus bekommt der Kelch durch das verlängerte 
Septum ein bilaterales Aussehen, dies wird oft noch stärker ausgeprägt, wenn 
der Kelch in der Richtung des verlängerten Septums sich ausdehnt und 
elliptisch wird, manchmal ist übrigens die Kelchform auch kreisförmig und 


Stylosmilia. 115 


der Septalbau ist in diesem Fall radiär, wie bei Stylosmilia Michelini. In 
Bezug auf die Anordnung der Septen kann ich keinen wesentlichen Unter- 
schied zwischen diesen beiden Gattungen finden. Dieselben stimmen auch in 
der Art der Vermehrung und im Habitus der Stöcke mit einander überein. 
Es würde also nur das Vorhandensein oder Fehlen von Epithek ein Unter- 
scheidungsmerkmal bleiben. Manche Abbildungen von Sfylosmilia zeigen in- 
(less noch Spuren von Epithek. 

Aus allen diesen Gründen vereinige ich Placophyllia mit Stylosmilia. 
Die nicht ganz zutreffende Beschreibung dieser Arten durch Mıune EpwArDs 
und Haımz war jedenfalls Schuld daran, dass von anderen Autoren noch eine 
oanze Anzahl von Korallen, die die grösste Uebereinstimmung mit Stylosmilia 
zeigen, unter anderen Gattungsnamen beschrieben wurden. 

Da v’ÖrBIcnY und Mıune Epwarns und Haıme für Placophyllia ein 
oriffelförmiges Säulchen angaben, errichtete FROMENTEL für derartige Formen, 
die ein „Columellar-Septum“ zeigen, die Gattung Pleurophylliia. Bis jetzt 
finden wir diese Gattung nur bei Kopy wieder erwähnt, der eine neue Art, 
allerdings mit Fragezeichen hiezu stellt. Wie schon oben erwähnt, ist das 
Originalstück von Placophyllia genau so wie es FROMENTEL für Pleurophyllia 
angibt und da die übrigen Merkmale die gleichen sind, ist auch Pleurophyllia 
einzuziehen und mit Stylosmilia zu vereinigen. 

Dass die Gattung Calamophyliia nicht mehr aufrecht erhalten werden 
kann, hat bereits Frecm hervorgehoben, der Calamophyllia mit Thecosmilia 
vereinigte. Ebenso vereinigte Frecn Cladphyllia p.p. mit Thecosmilia. Die 
so sehr verbreitete Art Calamophyllia radiata Lam. sp., die Miunt EDwArns 
und Hamm in (Brit. Foss. Cor.) ausführlich beschrieben haben, gehört nun 
jedenfalls vermöge ihres Septalbaues zu der Gattung Stylosmilia. Von der 
Gattung Oladophyllia dürften jedenfalls mehrere Arten hieher gehören, 7. B. 
01. Babeana E. und H., (1. Olemeneia From., Cl. Mentonensis v’Acn. und 
möglicher Weise Ol. Choffati Kopy. 

Cl. Mentonensis v’Acu. scheint mir wahrscheinlich identisch mit Placo- 
phyllia rugosa BEcKer und Pleurophyllia alpina Kopy. 

Die Gattung, Schizosmilia, die Kosy errichtete, ist meiner Ansicht nach 
ebenfalls identisch mit Stylosmilia. Bei einer Art derselben, nämlich bei 
Schizosmilia Bollieri Kosy, wies Kopy selbst auf die grosse Aehnlichkeit mit 
Stylosmilia Michelini hin. Für Schizosmilia Rollieri wäre nur die häufige 
Selbsttheilung in der Richtung der Medianebene charakteristisch. Es zeigen 
nun bei Kosy’s eigenen Abbildungen von Stylosmilia Michelini (Pol. Jur. 
Pl. 13. Fie. 5) mehrere Kelche Anfänge von Selbsttheilung in der Median- 
ebene. Ausserdem habe ich von Stramberg ziemlich reichhaltiges Material 
von zwei Arten, die sich sehr nahe an Stylosmilia Michelini anschliessen und 
diese Arten zeigen ebenfalls Selbsttheilung im allen verschiedenen Stadien, 

8* 


116 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


wie es Kopy für seine Gattung Schizosmilia abbildet. Ich kann keinen 
Unterschied zwischen Kosy's Gattung Schizosmilia und Stylosmilia finden 
und vereinige desshalb Schizosmilia mit Stylosmilia. 

Was nun die systematische Stellung dieser Gattung anlangt, so ist zu- 
nächst zu bemerken, dass von den früheren Autoren Stylosmilia und Placo- 
phyllia neben einander in die Nähe von S£ylina und zu den Astraeiden ge- 
stellt wurden. Ich finde indess, dass Stylosmilia viel weniger mit Stylina als 
mit den Amphiastraeiden zu thun hat. Die bilaterale Symmetrie ist bei 
manchen Arten sehr ausgesprochen. Ferner ist die Septalstruktur und der 
ganze Habitus übereinstimmend. Ausser der oben erwähnten Theilknospung 
kommt bei Stylosmilia auch noch marginale Knospung vor, die nichts anderes 
ist als intracalyeinale Knospung bei den Amphiastraeiden. Knospen bilden 
sich in dem peripheren blasigen Theil der Kelche und werden gleichzeitig 
durch eine neue Wand (Tasche) von dem centralen Theil getrennt. Während 
nun der Mutterkelch rasch weiter wächst, entwickelt sich die Knospe etwas 
langsam und es sieht dann aus, als ob sie unterhalb des Kelchrandes ent- 
standen ist. Dass dies aber nicht der Fall ist, beweisen Durchschnitte durch 
Mutterkelch und Knospe. Dieselbe Erklärung gilt auch für die „äusseren 
Taschen“ in Zingulosmilia und manche andere Amphiastraeiden -Gattungen. 


Beziehungen der Gattung Stylosmilia zu den palaeozoischen 
Gattungen Stauria und Columnaria. 

Die Gattung Stylosmilia bietet nun ein besonderes Interesse durch ihre 
grosse Aehnlichkeit mit der gut bekannten palaeozoischen Gattung Columnaria. 

Sowohl hinsichtlich des allgemeinen Habitus, der Anordnung der Septen 
und der reichlichen Entwicklung der Traversen, als auch hinsichtlich der 
marginalen Knospung stimmen diese beiden Gattungen überein. Bei Colum- 
naria wurde indess bis jetzt Theilung des Kelches durch Verschmelzung 
zweier gegenüberliegenden Septen (Septal-Knospung) nicht beobachtet. In 
dieser Hinsicht aber stimmt Stylosmilia mit Stauria überein, die überhaupt 
mancherlei Beziehungen sowohl zu Columnaria wie zu Stylosmilia aufweist. 

Frec# (Triaskorallen p. 84) verglich bereits die von ihm errichtete 
Gattung Pinacophyllum mit Columnaria. Nach ihm unterschied sich Pina- 
cophyllum von Columnaria hauptsächlich durch kürzere Septen, regelmässige 
und weit entfernte Böden und die Art der Vermehrung, die ausschliesslich 
Septalknospung ist. Ebendaselbst (p. 85) bemerkt er auch, dass die Gattung 
„Schizosmilia“ Kosy vielleicht mit Pinacophyllum zu vergleichen wäre. 

Dieselben Unterscheidungsmerkmale, die Pinacophyllum von Columnaria 


trennen, trennen es auch von „Schizosmilia“ Kor — d. h. von Stylosmilia 
E. und H. emend. aut. — mit einziger Ausnahme, dass letztere Gattung so- 


wohl Endothekalknospung wie Septalknospung aufweist. Es steht somit 


Stylosmilia. 117 


eigentlich Stylosmilia näher als Pinacophyllum bei Columnaria. Ausserdem 
steht nach Frectm auch die triasische Gattung Coccophyllum Pinacophyllum 
nahe. Coccophyllum hat nun sowohl hinsichtlich des Habitus, als hinsichtlich 
der marginalen Knospung in den Ecken der Kelche grösste Aehnlichkeit mit 
Amphiastraea. 

Aus diesen Erwägungen stellte ich, wie bereits oben erwähnt, die Gat- 
tungen Pinacophyllum, Coccophyllum, sowie die palaeozoischen Gattungen 
Columnaria und Stauria zu der neu errichteten Familie der Amphiastraeidae. 


Stylosmila Kobyi Ocınvız. — Taf. XII, Fig. 20, 20a. 


1888. Schizosmilia excelsa Kosy. Polyp. Jurass. p. 435. Pl. 114. Fig. 3, 3a, 3b, 
3c, 3d. 


Stock dieht, ästig; Stockoberfläche convex. - Zellröhren rundlich oder 
comprimirt. Kelchgrube tief. Kelche 4—7 mm im Durchmesser. Haupt- 
septum länger und etwas höher als die anderen. Es sind 12—16 längere, 
bis gegen das Centrum reichende Septen und mit denen alternirende, kürzere 
Septen vorhanden. Die längeren Septen sind an ihren inneren Enden etwas 
verdickt und verschmelzen manchmal mit einander. Traversen häufig und 
gut entwickelt. Auf der Mauer sind Reihen von Septaldornen vorhanden. 
Epithek vorhanden. Der Name Siylosmilia excelsa kann für die Stramberger 
Form deshalb nicht beibehalten werden, da er bereits durch Toms für eine 
Koralle aus dem Dogger Englands vergeben ist. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Stramberg; ausserdem Bressaucourt, Montagne de Courroux 
(Astartien). 


Stylosmilia rugosa Becker sp. — Taf. XV, Fig. 4, 5. 


Lithodendron rugosum Münst. (Manuscript) in Mus. Monac. 
1875— 76. Placophyllia (?) rugosa Becker. Natth. Kor. p. 140. Taf. 38, Fig. 9. 
1880. Cladophyllia mentonensis p’Acu. Cor. Giur. p. 36. Taf. 18, Fig. 4. 
1381. Lithodendron dianthus Quexst. Petrefk. Deutschl. Taf. 170, Fig. 26. 
1884. Pleurophyllia (?) alpina Kosy. Polyp. Jur. p. 193. Pl. 56, Fig. 4. 


Stock buschig, die Aeste zweigen zunächst unter einem grossen Winkel 
von einem Ast ab und wachsen später damit parallel. Auf diese Weise ent- 
stehen grosse buschige Stöcke mit dichtgedrängten Zellröhren, die im Quer- 
schnitt rundlich sind und einen Durchmesser von 5—7 mm haben. Die mir 
vorliegenden Stücke erreichen eine Höhe bis zu 30 em. Septen 20—24 von 
gleicher Stärke, von denen die meisten bis zum Säulchen reichen. Hiemit 
alterniren etwas kürzere und dünnere Septen, aber nicht vollkommen regel- 
mässig. Zwischen diese kommen am Rand noch ganz rudimentäre, so dass 


118 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


man im Ganzen etwa 60 Septen zählen kann. Traversen häufig, fein, Epithek 
sehr gut entwickelt. Theilknospung in der Richtung des verlängerten Haupt- 
septums häufig zu beobachten. Ausserdem kommen Knospen am Rand des 
Kelches vor, d. h. innerhalb des Mutterkelchs. 

Becker hat bekanntlich die Nattheimer Exemplare nur mit einigem 
Zweifel zur Gattung Placophyllia gestellt. Das mir vorliegende, sehr reiche 
Material von Stramberg, stimmt in vollkommenster Weise mit den BEckEr- 
schen Exemplaren überein und ergänzt sie in einigen Punkten, wesshalb für 
mich die Zugehörigkeit dieser Art zu derselben Gattung wie die vorangehende 
Art S. excelsa Kosy sp. nicht zweifelhaft sein kann. S. rugosa BECKER Sp. 
hat zahlreiche Septen und durchschnittlich etwas grössere Kelche als 8. Kobyi. 
Bei Besprechung seiner Art Oladophyllia mentonensis erwähnt D’ACHIARDI, 
dass sie viel Aehnlichkeit mit der Gattung Placophyllia zeigt. Nach der Art 
des Septalbaues, wie er in Pl. 18. Fig. 4b dargestellt ist, kann die 
p’Acasarpr'sche Art nicht gut von „Placophyllia?“ rugosa BECKER unter- 
schieden werden. Dasselbe gilt für Pleurophyllia alpina Kosy (cf. Pl. 56. 
Fig. Sb), die einzige Pleurophyllia, die Kopy beschreibt und die er selbst 
nur mit Fragezeichen zu dieser Fromzxrev’sche Gattung stellt. Ich habe 
schon oben (p. 115) die Uebereinstimmung zwischen Pleurophyllia From. und 
Stylosmilia E. und H. emend. OcınvıE erwähnt. 

Zahl der untersuchten Stücke: 24. 

Fundorte: Stramberg, Koniakau, Wischlitz, Jskritschin; ausserdem 
Giengen, Nattheim, Mühlithal, Monaco, Mentone. 


Stylosmilia Koniakensis Ocınyıe. — Taf. XV, Fig. 5, 3a, 5b. 


Buschige Stöcke mit feinen, dichtgedrängten, nahezu parallel stehenden 
Zellröhren. Die mir vorliegenden Bruchstücke haben bis zu 10 cm Höhe 
und 15 cm im Durchmesser. Die Kelche sind rund oder wenig comprimirt 
1--1,5 mm, selten bis zu 2 mm im Durchmesser. 12—16 stärkere Septen 
reichen bis zum Kelcheentrum; zwischen diese schiebt sich noch eime un- 
bestimmte, aber geringe Zahl sehr kurzer Septen ein. Eines der Septen 
(das Hauptseptum) ist etwas länger und meist auch etwas dicker als die 
übrigen. Mit diesem Septum vereinigt sich ab und zu das gegenüberstehende 
Septum und hiedurch wird in der Mittellmie des Septums eine Theilungs- 
fläche gebildet, die etwas über die Kelchgrube hervorragt. Auf beiden Seiten 
dieser Theilungsfläche entwickeln sich dann später zwei neue Kelche. Wand 
nit dünner Epithek bedeckt. Traversen fein, zahlreich, ziemlich flach. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ist durch die geringe Kelch- 
grösse ausgezeichnet. Unter den jurassischen Arten ist vielleicht die Stylos- 
milia (Calamophyllia) radiata am ähnlichsten, deren Kelche ebenfalls sehr 


Selenegyra. 119 


klein sind, doch zählt man bei ihr 16—20 gut entwickelte Septen (Kory 
gibt sogar 24—30 an). Auch Stylosmilia Michelini steht jedenfalls sehr nahe, 
nur hat sie grössere Kelche und es erreichen nur 6 Septen das Centrum. 
FRoMENTEL beschrieb aus dem Neocom einen kleinen buschigen Stock als 
Oladophyllia Olemeneia, deren Kelche jedenfalls sehr ähnlich sind. Diese Art 
würde sicher zu Stylosmilia zu stellen sein, wenn FROMENTEL nicht angeben 
würde, dass die Septen gezähnelt seien. Auch diese Species zeigt die beiden 
Vermehrungsarten, die bei dieser Gattung vorkommen, nämlich Theilknospung 
und intercalycinale resp. submarginale Randknospung. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 20. 

Fundorte: Koniakau, Kotzobenz, Stanislowitz, Willanowitz. 


(Gen. Selenegyra ÖGILVIE. 


Buschige Stöcke mit dicht gedrängten, zuweilen mit sich berührenden 
Kelchröhren. Kelehröhren comprimirt, im Querschnitt stark nierenförmig bis 
halbmondförmig. Die Lage des Hauptsegments befindet sich an der kürzeren 
concaven (Aussen-) Seite des Querschnittes. In ihm sind eine Anzahl (S—12) 
längere Septen, die bis zu dem etwas excentrisch gelegenen falschen Säulchen 
reichen. Ungefähr die gleiche Zahl ebenfalls das Säulchen erreichender 
Septen findet man im Gegensegment. Die Seitensepten befinden sich an den 
Schmalseiten des Kelchrandes, und neben diesen im Gegensegment noch eine 
Anzahl gegen dieselben gerichteter Septen. Traversen gut entwickelt, be- 
sonders reichlich in der Nähe des Kelchrandes. Wand nicht sehr diek, mit 
Costalstreifen versehen. Epithekalringe spärlich. Vermehrung entweder durch 
Selbsttheilung (parallel der Längsaxe des Kelches) oder durch marginale intra- 
calycinale Knospung an den Schmalseiten der Kelche, wobei sich das Ende 
in der Richtung der Längsaxe der Kelche oft bedeutend in die Länge zieht. 

Diese Gattung ist nicht nur wegen der manchfachen Beziehungen zu 
anderen Gattungen, sondern besonders auch desshalb wichtig, weil sie eine 
ganze Reihe meist mäandriner Formen, hauptsächlich aus dem oberen Jura 
und der Kreide erklärt. Hinsichtlich der Anordnung und des feineren Baues 
der Septen schliesst sie sich den bereits besprochenen Gattungen der Amphi- 
astraeiden in allen wesentlichen Punkten an. Ganz besonders möchte ich auf 
die Beziehungen zu Amphiastraea, Mitrodendron, Opisthophylium hinweisen 
und von letzterer Gattung ist es namentlich wieder O. Imare, die durch 
ihren nierenförmigen Querschnitt bereits sehr an die Kelehform von Selenegyra 
erinnert. Sonst steht noch besonders die im Jura so häufige Gattung Aplos- 
milia wegen des Habitus der Stöcke, dann wegen der Art der Vermehrung 
der Selenegyra nahe. Aplosmilia unterscheidet sich aber durch die mehr 
elliptische Form des Kelches und durch das ausgesprochen lamelläre Säulchen. 


120 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


An Zahl und feinerem Bau der Septen stimmen beide Gattungen sehr gut 
überein. Bis jetzt wurde noch nie etwas Näheres über die Anordnung der 
Septa von Aplosmilia berichtet, nämlich ob Bilateralität vorhanden wäre oder 
nicht. Wenn man indess viele Abbildungen von Aplosmilia durchsieht, findet 
man doch oft Kelche, in welchen das Säulchen excentrisch liegt und in welchen 
demgemäss ein Hauptsegment und ein Gegensegment sich unterscheiden liesse. 
In solchen Fällen stimmt auch die Anordnung der Septen in den Schmalseiten 
des Kelches mit jener bei Selenegyra. 

Dass beide Vermehrungsarten, welche bei Selenegyra vorkommen, sich 
auch bei einer anderen Gattung der Amphiastraeiden finden, nämlich bei 
Schizosmilia, wurde bereits früher (p. 115) erwähnt. Bei Selenegyra ist die 
Art der Randknospung insofern von besonderem Interesse, als sie an den 
Schmalseiten der bereits in die Länge gezogenen Kelche auftritt und zwar 
in der Verlängerung der langen Axe. Die neugebildete Knospe bleibt meist 
noch geraume Zeit mit dem Mutterkelch in seitlichem Contact und zweigt 
erst später ab. Derselbe Vorgang lässt sich auch ab und zu bei Rhipidogyra 
und Phytogyra beobachten. Derartige Erscheinungen dürften vielleicht auf 
die Vorgänge bei Bildung der sogenannten maeandrinischen Formen, wie 
Psammogyra, Pachygyra, Dendrogyra und andere hinweisen. Meiner Ansicht 
nach ist eine Kelchreihe bei Pachygyra z. B. nicht als eine Reihe einer Un- 
zahl ganz kleiner, verschmolzener Kelche aufzufassen, sondern besteht aus 
nicht mehr als 2—3 Rhipidogyren ähnlichen Einzelkelchen. 

Es wird weiter unten bei Besprechung verschiedener Arten von Isastraea 
darauf hingewiesen werden, dass bei /sastraea in der Regel die neugebildeten 
Knospen sehr bald durch eine Wand vom Mutterkelch geschieden werden. 
Andererseits gibt es aber auch Formen, bei welchen die Knospen vom Mutter- 
kelch nur theilweise oder gar nicht abgeschieden werden, wodurch längere 
Zellreihen entstehen (Latimaeandra-Formen früherer Autoren). Zwischen 
diesen beiden Formen gibt es alle möglichen Uebergänge. Wie sich nun 
Latimaeandra-Formen und überhaupt maeandrinische Astraeiden zur typischen 
Isastraea verhalten, ebenso verhalten sich die Dendrogyra-Formen und die 
anderen oben erwähnten, damit verwandten maeandrinischen Formen zu Amphi- 
astraea, Schizosmilia, Selenegyra ete. Die den letztgenannten Amphiastraeiden- 
Formen eigenthümliche Bilateralität verwischt sich natürlich bei Bildung langer 
Zellreihen. Es gibt indess ausserdem eine Reihe von Merkmalen, welche die 
verwandtschaftlichen Beziehungen der Dendrogyra-ähnlichen Formen zu den 
Amphiastraeiden beweisen. Es ist das namentlich die Anordnung der Septen 
in sehr wenig Cyclen, meist sind es höchstens drei an Grösse verschiedene 
Septen; ferner ist die feinere Struktur der Septen bei beiden Gruppen die 
gleiche, insofern, als die Caleificationscentren eine nahezu eontinuirliche Linie 
in der Mitte des Septums bilden. Die Mauer ist bei beiden Gruppen eine 


Selenegyra. 121 


ächte, mit eigenen Calcificationscentren. Nur nebenher sei erwähnt, dass bei 
den Dendrogyra-ähnlichen Formen die Epithek im allgemeinen schwach ent- 
wickelt ist, wie dies ja auch bei der heute noch lebenden und genauer unter- 
suchten Euphyllia der Fall ist. 


Selenegyra Geikiei OcınLvır. — Taf. XVI, Fig. 5, 6. 


Stock buschig, Kelchröhren im Querschnitt mondsichelförmig (aber mit 
gerundeten Schmalseiten). Kleiner Durchmesser der Kelche 2,5—3 mm, 
erosser S—9 mm. Das Hauptsegment liegt an der kürzeren nach innen 
gebogenen Längsseite des Kelchrandes. In ihm befinden sich auf beiden 
Seiten des Hauptseptums 6 gleich dicke längere Septen, zwischen welche sich 
keine kürzeren Septa einschieben. Hauptseptum nur wenig länger als die 
übrigen. Seitensepten an den beiden Schmalseiten. Zwischen den Seiten- 
septen und dem Gegenseptum je 4—5 längere Septen, zwischen welche sich 
ab und zu kürzere Septen einschieben. Ausserdem am ganzen Kelchrand 
kurze Septaldornen vorhanden. Traversen hauptsächlich im peripheren Theil 
gut entwickelt. Wand nicht sehr dick, mit den Septen und Septalstreifen 
entsprechenden Costalstreifen versehen, etwa 17—20 auf die Breite von 
5 mm. Die Epithek bildet nur einen sehr dünnen Ueberzug. Theilung des 
Kelches (und zwar in der Richtung der Längsaxe) findet sehr häufig statt 
und zwar sind meist nach der Theilung die Hauptsegmente der neu ent- 
standenen Kelche gegen einander gerichtet. Taschenknospung ist weniger 
häufig. 

Allgemeine Bemerkungen: Wie bereits erwähnt, sind diese Korallen 
auch desshalb interessant, weil sie sowohl Theilung als auch Taschenknospung 
zeigen. Auch hier sieht man wieder wie gering eigentlich der wesentliche 
Unterschied zwischen beiden Vermehrungsarten ist. In beiden Fällen werden 
durch eine senkrecht in die Höhe wachsende Trennungsfläche 2 neue Kelche 
hervorgerufen. Im ersten Fall erstreckt sich diese Trennungsfläche über die 
ganze Längsaxe des Kelches durch den centralen Theil, wodurch 2 neue 
nahezu gleich grosse Kelche entstehen, im anderen Fall ist die Scheidewand 
quer gerichtet und befindet sich in der Ecke nahe am Kelchrand, wodurch 
die Symmetrie des Septalbaues nur wenig gestört wird. In diesem Fall ge- 
brauchte man die Ausdrücke Mutterkelch und Knospe hauptsächlich nur 
wegen der so verschiedenen Grösse beider. Diese Verhältnisse sind bei den 
Astraeiden nur desshalb nicht so klar, weil hier die neue Scheidewand erst 
dann scharf hervortritt, nachdem sich bei den neu entstandenen Kelchen die 
neue Gruppirung der Septa schon vollzogen hat. (Vergl. für Astraeiden 
z. B. Taf. XV, Fig. 11a, 14a mit Taf. XVI, Fig. 18b, 20a für Amphi- 


123 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


astraeiden). Manchmal bildet sich bei solchen Astraeiden überhaupt keine 
neue Scheidewand, dann sprechen die Autoren von confluenten Kelchen. 
Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 
Fundort: Stramberg. 


Gen. Aplosmilia »’Ors. 


1843. Lobophyllia (pars) MıcH. Icon. Zooph. p. 59. 
1849. Eusmilia (pars) Ev. und H. Ann. des Se. Nat., 3. ser. T. X, p. 226. 
184). Aplosmilia v’Ors. Note sur des pol. foss. p. 6. 


1851. > Mn Cours Elem. de Palaeont. T. II, p. 162. 
1857. 5 Ev. und H. Corall. T. II, p. 189. 

1359. ei Erarı. Ray. du Haut-Jura, p. 54. 

1858—61. „ From. Introd., p. 132. 

1876—80. „ Zırter. Handb., Bd. I, p. 260. 

1834. r Duncan. Madrep., p. 76. 


1850—89, „ Kopy. Polyp. Jur., p. 49, 536, 566. Pl. OXXIX, Fig. 2. 


Zusammengesetzte buschige Stöcke mit dicht gedrängten Zellröhren, die 
im oberen Theil sich häufig theilen und schwach dichotomiren. Die Kelch- 
röhren sind bei den meisten Arten etwas comprimirt. Kelchgrube meist 
eentral, Säulchen lang, mit den verdickten Enden der längeren Septen ver- 
wachsen. Costen hervorragend, Epithek nicht zu beobachten. 

Schon oben (p. 119) wurde hervorgehoben, dass die Gattung Selenegyra 
einen gewissen Uebergang bildet zwischen typischen Amphiastraeiden und 
Aplosmilia. Wenn auch die Bilateralität in der Anordnung der Septa von 
Aplosmilia nicht scharf ausgeprägt ist, so stimmt sie doch, wie bereits oben 
ausgeführt, hinsichtlich des Habitus des Stockes, dann der beiden Arten von 
Vermehrung (Theilung und Taschenknospung), des glatten Oberrandes der 
Septen und durch das Vorhandensein einer ächten Mauer mit Selenegyra 
überein. Auch diese letztere Gattung hat kräftige Costen und spärliche 
Epithek. Interessant ist es, dass bei manchen Aplosmilia-Arten die langen 
Septen in der Nähe des Kelchrandes und gegen die Costen zu kammerartige 
Erhöhungen tragen. Diese kammerartigen Erhöhungen werden mit den 
Wachsthumsperioden grösser und vermindern sich dann wieder, wodurch dann 
aussen auf den entsprechenden Costen eine Reihe von Kämmen hervorgebracht 
werden. Die gleiche Erscheinung ist sehr verbreitet unter den lebenden 
Turbinoliden, zu welcher Familie überhaupt die Amphiastraeiden mancherlei 
Beziehungen besitzen. Auch bei derartigen Turbinoliden ist zu beobachten, 
(dass mit dem Vorkommen von Septal- und Costalkämmen auch ein Zurück- 
gehen der Epithek nach unten oder spärliche Entwicklung derselben eintritt. 

Erst in allerletzter Zeit, nachdem das Manuskript dieser Arbeit bereits 
im Wesentlichen vollendet war, konnte ich in das kürzlich erschienene „Second 


Aplosmilia. 123 


supplement ä& la Monographie des polypiers jurassiques de la Suisse“ (Mem. 
Soe. Pal. Suisse Vol. XXI. 1894) Einblick nehmen. Hier stellt Kosy (p. 8) 
eine neue Gattung Cymosmilia auf, die sich nach Kosy von Aplosmilia nur 
durch die Form der Kelchröhren und durch die „supracalycinale“ d. h. 
Taschenknospung unterscheidet. Zunächst sei daran erinnert, dass die früheren 
Autoren über die Art der Knospung bei Aplosmilia keine näheren Angaben 
machen, sondern immer nur schreiben, dass die Aeste dichotomiren. Wie 
bereits oben erwähnt konnte ich in Aplosmilia sowohl Septalknospung (Thei- 
lung) als auch Taschenknospung beobachten. Dadurch aber, dass die Taschen- 
knospen bei Aplosmilia immer einzeln und nur an den Schmalseiten der 
Kelche auftreten, ist diese Art der Vermehrung nur schwer von der gewöhn- 
lichen Theilung zu unterscheiden. Bei Oymosmilia dagegen treten meist 2—3 
Taschenknospen gleichzeitig auf, wie dies bei Amphiastraea, Mitrodendron etc. 
der Fall ist. Dies, im Zusammenhang mit der stark konischen Form der 
kurzen Kelchröhren, unterscheidet Cymosmilia von Aplosmilia und gibt ihm 
zugleich ein alterthümliches Aussehen. Mir scheint die Gattung von be- 
sonderem Interesse desshalb, weil sie die engen Beziehungen zwischen Aplos- 
milia und typischen Amphiastraeiden noch stärker betont. 

Hinsichtlich der Septalstruktur gibt bereits Kory auf Pl. 129, Fig. 2 
Abbildungen, aus denen hervorgeht, dass die nicht sehr bedeutenden Granu- 
lationen, die auf der Septalfläche unregelmässig vertheilt sind, gegen innen 
zu stärker werden und am Innenrand Anschwellungen bilden. Diese An-. 
schwellungen sind mit dem Säulchen in regelmässigen Abständen verwachsen. 
Ich kann diese Beobachtung Kosy’s für Aplosmäilia bestätigen. An anderem 
Orte (Trans. Roy. Soc. London 1896) habe ich bereits darauf hingewiesen, 
dass (derartige stärkere Granulation durch die Verschmelzung schwächerer 
entstehen und dass diese Granulationen den Pseudosynaptikeln von Prarz 
entsprechen. Die Pseudosynaptikeln galten bekanntlich bis jetzt immer als 
ein charakteristisches Merkmal für die Gruppe der 'Thamnastraeiden. Ich 
habe aber bereits (Trans. Roy. Soc. London 1896) darauf hingewiesen, dass 
Pseudosynaptikeln, wenn auch weniger regelmässig angeordnet, auch bei 
anderen Gruppen (Astraeiden, Eupsammiden, Turbinoliden) vorkommen. Sie 
dienen meist zur Verbindung der Septen mit dem Säulchen, dann zur Ver- 
bindung der inneren Enden der kürzeren Septen mit längeren Septen, sowie 
in der Pseudothecalzone zur Verbindung der Septen. 


Aplosmilia rugosa Kopy. 
1880. Aplosmilia rugosa Kosy. Polyp. Jurass, p. 52, pl. VII, Fig. 1—6. 
Stock ästig, die Aeste dicht gedrängt, nach der Verzweigung nur sehr 
wenig divergirend, Kelche im Allgemeinen rundlich, (ca. S—-10 mm im Durch- 


124 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


messer) vor der Verzweigung meist stärker comprimirt ca. 15:5 mm im 
Durchmesser. Kelchgrube wenig excentrisch, meist central. Eine Anordnung 
der Septen in Haupt-, Gegen- und Seitensepten nicht scharf ausgedrückt. 
Doch sieht man häufig, wie das in der centralen Kelchgrube verlaufende 
blattförmige Säulchen in der Nähe der Schmalseiten gegen eine der Längs- 
seiten umbiegt und sich mit zwei Septen vereinigt, die vermöge ihrer Lage 
und ihrem Verhältniss zu den nächststehenden Septen etwas an die Seiten- 
septen bei den früher besprochenen Gattungen erinnern. Zwischen diesen 
beiden Septen zähle ich im einen Kelchsegment in der Regel 9, im anderen 
11 stärker entwickelte und sehr dicke Septen, die bis zum Säulchen reichen. 
Diese Septen sind es, die ausserhalb der Mauer als Costen besonders hervor- 
treten. Mit diesen Septen alterniren solche, die nicht viel kürzer aber be- 
trächtlich dünner sind. Ausser diesen sind noch am Septalrand eine unbe- 
stimmte Anzahl feiner Septalstreifen resp. -Dornen vorhanden. Wand dünn. 
Vermehrung auf beiderlei Art, sowohl als Taschenknospung, wie als Theilung 
in zwei Hälften. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ist dadurch besonders aus- 
gezeichnet, dass die kammerartigen Erhebungen auf den Costen besonders 
hervortreten. Der Erhaltungszustand der mir vorliegenden Exemplare ist im 
Allgemeinen nicht sehr günstig, doch konnte ich an einzelnen besser er- 
haltenen Kelchen auf den Seitenflächen der Septa feine dornartige Fortsätze, 
ähnlich den Septaldornen am Kelchrand beobachten. Diese Erscheinung 
erinnert einigermassen an die ähnlich gebauten Septa von Acanthogyra. Im 
Innern des Kelches konnte ich die Traversen, wohl wegen des Erhaltungs- 
zustandes, nicht beobachten, im peripheren Theil dagegen waren sie häufig, 
unregelmässig angeordnet und grobmaschig. 

Zahl der untersuchten Exemplare: Mehrere Bruchstücke. 

Fundorte: Stramberg; ausserdem Caquerelle, Soyhieres. 


Gen. Dendrogyra Eukenn. 


1834. Dendrogyra Eure. Corallen des rothen Meeres, p. 100. 
1546. Meandrina p.p. Dana. Zooph. p. 252. 

1850. m p-p. D’Ors. Prodr. II. p. 58. 

1850. Myriophyllia v’Ore. Prodr. II. p. 38. 

1857. Maeandrina p.p. Epw. und H. Corall. II. p. 395. 
1359. Dendrogyra p.p. Eravton. Haut-Jura. p. 56. 
1855—61. „ p.p- From. Introd. p. 157. 

1877. Ktenodema ScuaruäurL. Neues Jahrb. Min. etc. p. 622. 
1877. Dendrogyra p.p. From. Terr. Cröt. p. 438. 

1876—80. „ Zırr. Handb. T. I. p. 260. 

1884. » Duncan. Madrep. p. 86. 

1880—89. ,„ Kosy. Monogr. polyp. Jur. pp. 56, 537, 566. pl. OXXIX, Fig. 3. 


Dendrogyra. 125 


Zusammengesetzte, massive, mehr oder wenig kugelförmige Stöcke, 
deren Kelche oder Kelchreihen mit dünnen Wänden vereinigt sind. Die 
nicht sehr häufigen, vollkommen begrenzten Jugendkelche haben unregelmässig 
polygonalen Umriss, werden dann bald lang gezogen. Diese älteren Kelche 
theilen sich sehr oft, so dass der ganze Stock meist aus unregelmässig ge- 
wundenen Kelchreihen besteht. Oberrand der Septen glatt. Es alterniren 
hauptsächlich zweierlei an Grösse verschiedene Septen mit einander. Säulchen 
meist durch die verdickten und rechtwinklig umbiegenden Septalenden ge- 
bildet!. Traversen dick und gut entwickelt. Unterseite mit starker Epithek 
versehen. Es kommt sowohl Septalknospung (Kelchtheilung) wie marginale 
Randknospung häufig vor. Kelchgrube tief, häufig etwas excentrisch (bei 
Einzelkelchen zu beobachten). An gut erhaltenen Kelchen lässt sich auch 
ein Hauptseptum gut unterscheiden. Dasselbe ist durch bedeutendere Länge 
und Stärke sowie durch viel stärkeres Hervorragen über die Kelchgrube vor 
den übrigen deutlich ausgezeichnet. Das gegenüberstehende Gegenseptum 
sehr kurz, ebenso die Seitensepta. 

Bei vollkommen ausgebildeten Kelchen wird in der Randparthie das 
blasige Gewebe sehr gross, wodurch sich die Randzone von dem centralen 
Kelchtheil scharf abhebt. Bei gewissem Erhaltungszustand bekommt man 
dann den Eindruck, als ob nur der innere Theil der eigentliche Kelch wäre, 
während die äussere Parthie Verbindungsmasse (Costen und Blasen) wäre. 
Bei den nahestehenden Gattungen Psammogyra und Pachygyra, sowie bei 
der, nach meiner Ansicht ebenfalls in diese Gruppe gehörenden Gattung 
Phyllastraea From. erwähnen die Autoren stets, dass die Kelche durch Costen 
oder Coenenchym verbunden seien. 

Wenn die Abbildungen diese Ansicht auch bestätigen, so lassen sie 
doch erkennen, dass wir hier jedenfalls ganz analoge Erscheinungen vor uns 
haben, wie sie bei fast allen Amphiastraeiden schon erwähnt wurden. Meiner 
Ansicht nach haben wir es in den meisten Fällen nur mit einer Erweiterung 
der blasigen Randzone zu thun. p’AcHıarvı gibt (Cor. Giurass. pl. 19, 
Fig. 2a, b, e) verschiedene Abbildungen einer Pachygyra costata MENEGH. Sp. 
In Fig. 2a sind die einzelnen Zellreihen scheinbar mit Wänden wohl umgrenzt 
und ausserdem ein coenenchymähnliches Zwischengewebe von Costen und 
Traversen mit den Nachbarreihen verbunden. Nach der vergrösserten Fig. 2b 
dagegen erscheinen zwei benachbarte Kelchreihen nur durch eme einzige 
gemeinsame Wand verbunden, von der die Septen ausgehen. Nach der An- 
ordnung der Traversen liessen sich zwei (auch im Fig. 2c dargestellte) Zonen 
unterscheiden, eine äussere mit dicht gedrängten, blasigen und eine innere 


‘ Ich möchte hier darauf hinweisen, dass auch bei der nahe verwandten recenten 
Gattung Euphyllia die längeren Septen am inneren Ende rechtwinklig umbiegen. 


126 Die Korallen der Strambereer Schichten. 


mit etwas entfernteren flacheren Traversen. Nach der Zeichnung wäre die 
Grenze zwischen den beiden Traversenzonen äusserst scharf und konnte 
p’AcHTARDI dazu verführen diese Grenze als eine Mauer anzusehen. Hiedurch 
wird allerdings nicht verständlich, warum auf Fig. 2a die ächte Mauer aus- 
eelassen ist. Dass diese beiden Zonen von Traversen in der Familie der 
Amphiastraeiden allgemein vorkommen, wurde oben schon oft erwähnt. Auch 
ist diese Begrenzung beider Zonen zuweilen sehr scharf, wie z. B. bei 
Opisthophyllum vesiculare (Taf. XI, Fig. 15b). Auch bei der Hauptgattung 
Amphiastraea wurde Kopy durch die gleiche Erscheinung dazu geführt eine 
innere Mauer anzunehmen. (Vergl. oben p. 104). Aus all dem geht hervor, 
dass sich wegen der sogenannten Costen oder des Coenenchym die Gattungen 
Psammogyra, Pachygyra, Phyllastraea ete. nicht von Dendrogyra und den 
vorher angeführten Anıphiastraeiden-Gattungen unterscheiden. Vielmehr weisen 
alle Merkmale darauf hin, dass alle diese Gattungen zu der Gruppe der 
Amphiastraeiden zu stellen seien. 

Auf Pl. 129, Fig. 3 gab Kopy eine Abbildung von Septen von Dendro- 
gyra. Dieselben stimmen hinsichtlich der Vertheilung der Granulationen und 
des Vorkommens der Pseudosynaptikeln im Wesentlichen mit der Septal- 
struktur von Aplosmilia überein (vgl. oben p. 123). 


Dendrogyra sinuosa Ogınvır. — Taf. XVI, Fig. 3, 3a, 4, 4a. 


Halbkugelige Stöcke mit schmaler Basis festgewachsen, Unterseite mit 
Epithek bedeckt. Kelchdurchmesser 150, Höhe 100 mm. Kelche unregel- 
mässig polygonal oder in Reihen. Kelchgrube in Einzelkelchen etwas ex- 
centrisch, Kelchränder scharf hervortretend. Durchmesser 5—5'/, mm bei 
Einzelkelchen. Septen dick, glattrandig, nicht sehr zahlreich, an Grösse 
alternirend. Die längeren Septen verlaufen bis zum Säulchen und ragen über 
die übrigen Septen sowie über den Kelchrand etwas hervor. Hauptseptum 
in jungen Knospen und in Einzelkelcehen deutlich ausgeprägt. In ganz kleinen 
Kelchen sieht man überhaupt nur 4 kreuzförmig gestellte Septen. In Einzel- 
kelchen beträgt die Zahl der Septen 16—20, in zwei Cyelen angeordnet. In 
den Kelchreihen treffen am Rand auf die Breite von 5 mm 8 oder 9 Septen. 
Die Septen, welche von der gemeinsamen Mauer nach zwei verschiedenen 
Kelchreihen ausgehen, gehen selten in einer geradlinigen Verlängerung von 
einem Kelch in den andern über, sondern sind meist ziekzackförmig nach 
den beiden Septen der Mauer vertheilt. Wegen dieses Umstandes, sowie 
desshalb, weil die Septen über die Mauer überragen, ist die Mauer häufig 
nicht deutlich sichtbar. In Einzelkelehen ist das Hauptseptum stark ver- 
längert und an seinem inneren Ende verdickt, wodurch eime Art von Säulchen 
zu Stande kommt. In den Kelchreihen dagegen biegen im centralen Theil 


Rhipidogyra. 127 


alle die längeren Septen senkrecht (zu ihrer Hauptrichtung) um und legen 
sich an einander, wodurch eine Art verlängertes, lamelläres Säulchen gebildet 
wird. Traversen im äusseren Theil dicht und blasig, im inneren entfernter 
und flacher. 


Allgemeine Bemerkungen: Es liessen sich verschiedene Fälle von 
Theilung beobachten. Zuweilen findet die Theilung durch Verschmelzung von 
Haupt- und Gegenseptum statt. Meist wird Theilung in den Kelchreihen 
durch Abschnürung der schmalen Enden vollzogen. Indess sind nicht zwei 
gegenüberstehende Septen verbunden, sondern die Theilungsfläche geht von 
einem Septum auf das Säulchen über, verläuft dann in dessen Richtung ein 
Stück weit und geht erst dann auf ein Septum der anderen Kelchseite über. 
Hiedurch bekommen die neuen Kelche einen unregelmässigen Verlauf und 
werden gewöhnlich während des weiteren Wachsthums gegen den ursprüng- 
lichen Kelch geneigt oder stark gebogen. Dendrogyra sinuosa hat am meisten 
Aehnlichkeit mit der weit verbreiteten oberjurassischen Dendrogyra rastellina 
MicH. sp., doch sind bei Dendrogyra sinuosa alle Dimensionen etwas grösser, 
so sind die Kelche breiter, die Septen zahlreicher und die Kelche stärker 
gewunden. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg. 


Gen. Rhipidogyra E. und H. 


1823. Meandrina (pars) Derr. Diet. sc. nat. T. XXIX, p. 375. 

1843. Lobophyllia (pars) Mıca. Icon. Zooph. p. 9. 

1848. Rhipidogyra (pars) Ev. und H. Ann. des Se. nat. 3. ser. 

1849. Stylogyra und Lasmogyra »’OrB. Not. sur les Polyp. foss. p. 6. 
1851. n „ n Cours «lem. de Palaeont. p. 162. 
1851. Zhipidogyra Ep. und H. Polyp. foss. des terr. palaeoz. p. 57. 


1857. en 5 „ Hist. nat. des Corall. T. II, p. 214. 
1855—61l. „ From. Introd. p. 154. 

1859. ” Eravv, Ray. du Haut-Jura. p. 60. 

1876—80. ,„ Zimmer. Handb. Bd. I, p. 261. 

1884. r Duncan. Madrep. p. 85. 

1850—89. „ Kogy. Polyp. Jur. pp. 43, 535, 566. 


Einfache, selten zusammengesetzte, lang gezogene, stark comprimirte 
Kelche, mit schmaler Basis festgewachsen. Septa ganzrandig, auf der Ober- 
fläche etwas granulirt. Es lassen sich 2—3 Arten verschieden starker und 
mit einander alternirender Septen unterscheiden, die bis zum Centrum reichen. 
Ihnen entsprechen auf der Aussenseite des Kelches Costen, von welchen in- 
dess die welche dem zweiten oder dritten Cyclus entsprechen nur gegen den 
Oberrand des Kelches zu gut entwickelt sind. Septen den Kelchrand über- 


128 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


ragend, die dickeren häufig mit Septalkämmen versehen, welche den am 
Oberrand stark hervorragenden Costen entsprechen. Säulchen lamellär und 
sleichmässig dick, mit den Zacken des Innenrandes der Septen verwachsen. 
Traversen gut entwickelt. Aechte Wand mit spärlicher Epithek. 

Alle früheren in der Synonymie eitirte Autoren, mit Ausnahme von Kopy, 
haben Rhipidogyra als eine Kelchreihe, d. h. eine maeandrinische Form be- 
schrieben. Kopy gibt aber die richtige Auffassung an, dass Rhipidogyra eine 
einfache, selten zusammengesetzte Koralle ist. Wenn auch zusammengesetzte 
Formen vorkommen, so gilt das nur für die Fälle, wo sich (wie es scheint 
gewöhnlich an den schmalen Enden und in der Längsrichtung der Kelche), 
eine neue Knospe bildet, die mit dem Mutterkelch sehr lang vereinigt bleibt. 
Man könnte hier ebensogut von Knospung wie von Theilung sprechen, da 
sich hier nicht zuerst und rasch eine Scheidewand bildete und dann erst sich 
der abgetrennte kleinere Kelch vollständig ausbildete, sondern weil sich die 
Scheidewand ganz allmählich und mit dem gleichzeitigen weiter in die Höhe- 
wachsen des neuen Kelches entwickelte. Am nächsten mit Rhipidogyra ist 
wohl die Gattung Phytogyra verwandt. In neuester Zeit (Second Suppl. Pol. 
Jur. Suisse. Mem. Pal. Suisse Vol. XXI. p. 4. Pl. I. Fig. 2—6) gab Kosy 
von der einzigen bisher bekannten und nur mangelhaft abgebildeten Art, 
nämlich von Phytogyra magnifica D’OrB. mehrere Abbildungen und fügt zu- 
eleich eine zweite Art Phytogyra rauraeiensis Kopy bei. Man kann die 
Phytogyra eigentlich als eine Rhipidogyra mit mehreren Knospen bezeichnen. 
Hiedurch wird em Uebergang zwischen der einfachen Rhipidogyra und den 
wirklich zusammengesetzten Stöcken, wie Dendrogyra und Pachygyra gebildet, 
in welchen die Kelche recht lang gezogen und gebogen sind. Andererseits 
bildet Kopy’s neue Gattung Cymosmilia (siehe oben p. 123), vermöge ihrer 
gedrungenen Gestalt und ihrer mehr elliptischen, aber nicht so lange gezogenen 
Kelchform, Uebergänge von Rhipidogyra zu solchen zusammengesetzten oder 
buschigen Stöcken wie Acanthogyra, Aplosmilia und Selenegyra, bei welchen 
die Kelche kürzer und breiter zu sein pflegen. 

Eratvon (Haut-Jura p. 61) erwähnt von der Gattung Phytogyra, dass 
auf den Seitenflächen der stärkeren Septa und auf deren kammartigen Costal- 
fortsätzen Reihen von Granulationen vorhanden seien, die aber nur bei günsti- 
sem Erhaltungszustand zu sehen wären. Kosy gibt öfters granulirte Ober- 
fläche der Septen unter seinen Rhipidogyren an, die bei Rhipidogyra percrassa 
unreselmässig angeordnet seien und gegen den Kelchrand zu an Stärke zu- 
nahmen. Bei dem mangelhaften Erhaltungszustand, in dem die Rhipidogyren 
und Phytogyren meist vorkommen, ist es möglich, dass wir hier dornförmige 
Septalfortsätze vor uns haben, wie ich sie später bei Acanthogyra beschreiben 
und abbilden werde. Hinsichtlich des Septalbaues stimmen alle 3 Gattungen 
jedenfalls wegen ihres glatten Oberrandes und der keulenförmigen Verdickungen 


Rhipidogyra. 129 


am Innenrand des Septums überein. Auch konnte ich auf den mir vorliegen- 
(len zahlreichen Abdrücken von Seitenflächen der Septen verschiedener Rhiprdo- 
gyra-Arten, feine reihenförmig angeordnete, nadelstichförmige Vertiefungen 
beobachten, die sehr gut von Septaldornen herrühren können. Wie bereits 
oben, bei Besprechung der Familie der Amphiastraeiden erwähnt wurde, haben 
diese Dornen eine eigenthümliche Struktur, die von den sonstigen als Granu- 
lationen oder als Pseudosynaptikeln bezeichneten Hervorragungen der Septal- 
fläche abweicht. 


Rhipidogyra flabellum Miıca. sp. 
1840—47. Lobophyllia flabellum Miıcm. Icon. Zooph, p. 92, pl. 18, Fig. 1. 


1850. Stylogyra = p’OrRB. Prodr. II. p. 38. 

1857. Rhipidogyra 5 Epw. und H. Corall. II. p. 215. 

1859. a a Erauı. Haut-Jura. p. 60. 

1858—61. „ a Frow. Introd. p. 155. 

1362. E N Taurm. und Er. Leth. Bruntr. p. 364. pl. 51. F. 2. 
1867. 5 n Grerrin. Essai geol. sur le Jura Suisse. p. 90. 
1880—89. „ e Kos. Polyp. Jur. p. 43. pl. X, Fig. 3, 4. 


Koralle lang, stark zusammengedrückt, wenig gebogen, 70—90 mm 
lang, 20—50 mm breit. Septen von dreierlei Grösse, die einen sehr dick, 
bis zum Centrum reichend, die andern etwa °/s so lang und die letzten sehr 
kurz. Kelchgrube 10—12 mm breit. Die längeren Septen an ihrem inneren 
Ende verdickt und mit keulenförmigen Fortsätzen versehen, die aber nicht 
immer mit dem Säulchen verschmelzen. Säulchen lamellär, etwas wellieg. 
Costen über die ganze Aussenseite hinab verlaufend. 

Von dieser wohlbekannten und sehr weit verbreiteten Art liegen mir 
eine Anzahl Bruchstücke in verschiedener Erhaltungsart, meist als Abdrücke, 
vor. Ueber die Richtung der Septal-Trabekeln konnte ich nichts Näheres 
bestimmen, wohl aber dass die ursprünglichen Flächen der längeren Septen 
mit dornartigen Fortsätzen versehen waren. 

Zahl der untersuchten Stücke: 18—20. 

Fundorte: Kotzobenz, Wischlitz, Bobrek; ausserdem: Caquerelle, St.- 
Ursanne, Soyhieres, Zwingen, Bellevue pres de Porrentruy, Valfın, St. Mihiel. 


Rhipidogyra pererassa Erauvon, 


1862. Rhipidogyra pererassa Tuurm. et Er. Leth. Bruntr. p. 364. 


Von dieser Art! liegt mir nur ein einziger Abdruck, oder besser Ab- 
guss, eines Kelchinneren vor, über (dessen Zugehörigkeit zu Rh. pererassa 

t Rhipidogyra percrassa Kraut, ist unten mit der neuen Stramberger Art Acantho- 
gyra subeompressa O6iLyıE verglichen, auf Grund einiger zusammengesetzter Stöcke, die 
Kory zu-der Eravvon’schen Art gestellt hat. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. I 


130 Die Korallen der Stramberger Schichten, 


kein Zweifel ist. Dieser Abdruck gestattet ein Studium der feineren Ober- 
flächen-Struktur der Septen. Die Trabekeln sind fein, alle parallel gerichtet 
und verlaufen unter einem Winkel von ungefähr 40° von der Mauer nach 
oben und innen. Die Breite eines einzelnen Trabekels beträgt etwa 0,2 mm. 
Auf dem Abdruck der Trabekeln sind feine Dornstiche deutlich sichtbar 
(vergl. oben p. 129). Traversen häufig, dicht gedrängt, concav gegen unten 
gebogen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Ignatziberg; ausserdem: Caquerelle, St.-Ursanne, Wimmis. 


Rhipidogyra minima Kopy. 


1880. Rhipidogyra minima Kovy. Polyp. Jur. p. 46. pl. X. Fig. 5. 


Koralle klein, seitlich stark comprimirt, Kelch gewunden, Septa von 
zweierlei Grössen, die grösseren bis zum Centrum reichend, aber sich nicht 
mit dem Centrum vereinigend. Säulchen sehr dünn, lamellär. Am Kelchrand 
sind auf der Breite von 5 mm 4 grosse und 4 kleine Septen vorhanden. 
Kelchbreite ca. 9 mm, Länge 40—50 mm. Wie schon Kosy sagt (Polyp. 
Jur. p. 46), unterscheidet sich diese Art durch ihre Kleinheit von den übrigen 
Rhipidogyren. 

Es liegt mir nur ein einziges Exemplar in einem ziemlich guten Ab- 
druck von Ignatziberg vor. 

Die Kopy'schen Exemplare stammen von Saleve. 


Acanthogyra OcILvıE. 


Zusammengesetzte massive oder knollige Stöcke, zuweilen mit Stiel auf- 
gewachsen, Kelche unregelmässig polygonal, etwas in die Länge gezogen, mit 
dieken Wänden ihrer ganzen Länge nach verwachsen. Septen alternirend 
und von sehr verschiedener Grösse. Oberrand glatt. In jungen und regel- 
mässig polygonalen Kelchen kann man beobachten, dass die Septen in gleicher 
Weise bilateral angeordnet sind, wie dies bei Amphiastraea der Fall ist. 
Beim weiteren Wachsthum der Kelche und der dadurch hervorgerufenen 
grösseren Unregelmässigkeit und grösseren Länge der Kelchform verwischt 
sich diese Bilateralität des Septalbaues mehr und mehr. Zugleich verlängert 
sich hiebei das ursprüngliche griffelförmige Säulchen-und wird schliesslich 
lamellär. Die inneren verdickten zahnartigen Fortsätze der grösseren Septen 
sind bald mit dem Säulchen verwachsen, bald frei. Die Kelchwand ist an 
ihrer ganzen Peripherie mit feinen Septaldornen versehen. Aehnliche Dornen 
sind auf den Seitenflächen der dicken Septa vorhanden. Traversen zahlreich, 
in der Mitte grösser und flacher, aussen klemer und steiler gestellt. Ver- 


Acanthogyra. 131 


mehrungsart sowohl als Septalknospung (Theilung), wie als marginale Knospung 
vorhanden. 

Das eigenthümlichste und auffallendste Merkmal dieser Gattung sind 
die feinen Dornen auf den Seitenflächen der Septa. Auf der Wand kommen 
solche Dornen bei den meisten Gattungen dieser Gruppe vor, auf den Seiten- 
flächen der Septa aber nur ausnahmsweise. 

Bei keiner anderen Gattung ist die Septalknospung so stark entwickelt 
wie bei dieser. In den kleinen, mehr regelmässig polygonalen Kelchen, liess 
sich ab und zu beobachten, wie die Theilung in zwei Hälften durchs Haupt- 
septum geht. In den längeren Kelchen dagegen verläuft die Theilungslinie 
beliebig, meist nicht durch zwei gegenüberstehende Septen, sondern geht 
streckenweise von einem Septum auf die Längsaxe des Kelches über und erst 
dann wieder auf ein Septum der gegenüberliegenden Seite. Aehnliche Vor- 
sänge wurden schon oben für Dendrogyra beschrieben, bei Acanthogyra sind 
sie noch stärker ausgeprägt. Hiedurch ist die starke Unregelmässigkeit der 
Kelchform bedingt. Man findet in ein und demselben Stock alle Uebergänge 
von nahezu regelmässig polygonalen Kelchen, wie sie für Amphiastraea 
charakteristisch sind, zu breiteren, eoncav-convexen Kelchen, wie bei Aplos- 
milia, Selenegyra und endlich zu schmalen, langgezogenen Kelchen, wie bei 
Rhipidogyra und Dendrogyra. Die Gattung Acanthogyra beweist auch in 
überzeugender Weise, dass man Rhipidogyra als zusammengesetzten Stock 
wohl kaum auffassen kann. Zugleich erkennt man, dass Gattungen, wie 
Dendrogyra und Pachygyra nur aus Rhipidogyra -ähnlichen Finzelkelchen 
zusammengesetzt sind, wenn auch ab und zu zwei solche Einzelkelche stellen-. 
weise confluent bleiben. 


Acanthogyra columnaris Osmvır. — Taf. XVI, Fig. 2, 2a, 2b. 


Stock massiv, mit parallel stehenden Kelchröhren. Kelche zuweilen 
fast regelmässig pentagonal, meist aber unregelmässig polygonal oder mit 
theilweise gerundeten Umrissen. Ein solcher nahezu pentagonaler Kelch hat 
einen Durchmesser von 4 mm, ein längerer Kelch hat eine Breite von 4—5 
und eine Länge von S—9 mm. In den mehr pentagonalen Kelchen, die ich 
als die ursprünglichen ansehe, ist die bilaterale Anordnung der Septen sehr 
stark ausgesprochen. Das Hauptseptum nimmt an Länge etwa ?/, des Kelch- 
durchmessers ein, Gegenseptum kurz, Seitensepten wohl entwickelt. Ausser 
diesen Septen gibt es noch 4, 6 oder 8, die ebenfalls bis zur excentrischen 
Kelchgrube reichen und deren Seitenflächen auch mit Septaldornen besetzt 
sind. Während diese 8—12 zuerst entwickelten Septen paarig ‚angeordnet 
sind, treten (die übrigen weder in Cyclen noch in Paaren, sondern in ganz 
unregelmässiger Weise hinzu. In Kelchen, die bereits etwas vom pentagonalen 


DE 


1323 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Bau abweichen und mehr in die Länge gezogen sind, erkennt man, dass die 
Seitensepten an den Schmalseiten der Kelche auftreten, während die später 
entwickelten Septen im Hauptsegment in grösserer Zahl vorhanden sind, als 
im Gegensegment. Meist finden sich im Hauptsegment zwischen den längeren 
Septen zwei wenig kürzere, aber bedeutend dünnere und glatte, im Gegen- 
segment dagegen zwischen den längeren Septen nur ein kürzeres. Zwischen 
zwei benachbarte der zuletzt erwähnten glatten Septen schiebt sich nun im 
Hauptsegment noch ein kürzeres Septum ein. Im Gegensegment sind diese 
kurzen Septen unregelmässig vertheilt und weniger häufig. Wenn sich die 
Kelche beim Weiterwachsen nun noch mehr in die Länge ziehen, geht die 
Excentrieität der Kelchgrube verloren und die Seitensepten rücken immer 
mehr gegen die ursprüngliche Lage des Gegenseptums zu. Säulchen griftel- 
förmig bis lamellär, Traversen sehr blasig, im äusseren Theil zahlreicher und 
dichter angeordnet, im inneren flacher, die Grenze zwischen diesen beiden 
Zonen im Querschnitt nur stellenweise scharf sichtbar. Vermehrung haupt- 
sächlich durch Septalknospung. In einigen Fällen kann man beobachten, 
dass diese Theilung durch Haupt- und Gegenseptum geht. Taschenknospung 
verhältnissmässig selten. Bei allen Bruchstücken folgt die Spaltungsfläche 
vollständig der Aussenfläche der Kelchröhren. Epithek konnte ich indess 
nicht auf ihnen beobachten. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art hat grosse Aehnlichkeit mit 
Amphiastraea und speciell mit A. basaltiformis, sie unterscheidet sich aber 
von ihr durch die eigenthümlichen Dornen auf den Seitenflächen der Septen, 
sowie dadurch, dass die Vermehrung hauptsächlich durch Taschenknospung 
erfolgt. Von den beiden nächstfolgenden Acanthogyra-Arten unterscheidet 
sie sich durch die geringere Grösse des Kelches und die Feinheit der Septen. 

Bei dieser Art lässt sich auch ab und zu beobachten, dass zwei Septen, 
die nicht weit von einander am Kelchrand stehen, verschmelzen und so eine 
marginale Knospe abgrenzen. Genau der gleiche Vorgang: findet bei der 
lebenden Gattung Goniastraea und anderen Astraeiden sehr häufig statt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: Mehrere Bruchstücke. 

Fundort: Strambereg. 


Acanthogyra multiformis Ocırvır. — Taf. XVI, Fig. 1, 1a. 


Koralle massiv, halbkugelig; ca. 75 mm hoch und 140 mm im Durch- 
messer. Die Kelche sind unregelmässig polygonal, meist etwas in die Länge 
gezogen. Kelchgrube flach, Kelchränder gerundet. Die Kelchbreite variirt 
von 5—17 mm, die Länge von 5—20 mm. Von den längeren, auf den 
Seitenflächen mit Septaldornen versehenen Septen, treffen am Kelchrand 6 
auf die Breite von 10 mm. Die damit alternirenden Septen bleiben ziemlich 


Acanthogyra. 133 


kurz. Hin und wieder kommen einige noch kürzere Septen vor. Säulchen 
wellig verlaufend, sich ab und zu mit den keulenförmig verdickten inneren 
Enden der Septen vereimigend. Traversen im centralen Theil spärlich, im 
peripheren häufig und blasig. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. 

Allgemeine Bemerkungen: Die mir vorliegenden Stücke sind ver- 
möge ihrer guten Erhaltung der feineren Struktur sehr interessant. An der 
Oberfläche des Kelches sehen die längeren Septen genau so dick und glatt 
aus wie in Rhipidogyra. Erst beim Anschleifen bekommt man ein derartiges 
Bild wie in Fig. 1 dargestellt ist. Man erkennt erst dann die feineren Septal- 
dornen auf Wand und längeren Septen. In Schliffen erkennt man auch in 
Septen und Mauer die ziekzackförmig verlaufende dunkle Linie. Diese Art 
unterscheidet sich von A. columnaris durch die bedeutendere Grösse des 
Stockes, sowie durch die etwas kleineren Kelche und zahlreicheren Septa. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Fundorte: Stramberg, Kotzebenz. 


Acanthogyra subcompressa OGILVIE. 


Stock conisch oder etwas comprimirt, von rundlicher Oberfläche, mit 
schmaler Basis aufgewachsen. Ca. 45 mm hoch und etwa 55 mm im Durch- 
messer. Ab und zu sieht man wie der Stock an zwei gegenüberstehenden 
Stellen seitlich stark comprimirt ist. Die Längsfurchen auf der Aussenseite 
des Stockes entsprechen den Theilungsflächen der Kelche im Innern des 
Stockes, Breite des Kelches (von Wandaussenseite bis Wandaussenseite) 
8S—12 mm. Länge 15—25 mm. Auf die Breite von 10 mm kommen an 
der Wand 4—5 längere und dickere mit Dornen versehene Septen. Die 
damit regelmässig alternirenden Septen sind sehr fein und fast so lang wie 
die anderen. Traversen zahlreich. Den längeren Septen entsprechen an der 
Aussenseite des Stockes Costen, die indess nur gegen den Oberrand des 
Stockes zu stark hervortreten. Weiter unten Epithek vorhanden. Die Ver- 
mehrung erfolgt meist durch Septalknospung (Theilung) und zwar geht diese 
Theilung hauptsächlich in der Längsaxe des Kelches vor sich. 

Allgemeine Bemerkungen: Man konnte beobachten, wie sich bei 
einem in Längstheilung begriffenen Kelche die beiden gegenüberstehenden 
Seiten des ursprünglichen Kelches von einander entfernt hatten und wie sich 
in der dadurch erweiterten Kelchgrube zwei neue Reihen von Septen 
bildeten. Wie schon aus der obigen Beschreibung hervorgeht, erinnert diese 
Art vermöge ihres Costalbaues an die Gattung Rhipidogyra und speciell 
Rhipidogyra pererassa Er. Auch hinsichtlich der Art der Längstheilung hat 
die Art gewisse Anklänge an Rh. percrassa Er., denn in ErALLox’s ursprüng- 
licher Beschreibung (Leth. Bruntrut. Denkschriften Schweiz. Ges. für Natur- 


134 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


wissenschaft 1864. p. 364) heisst es: „polypier flabelliform, presentant une 
bifurcation“ und nach der Abbildung Taf. 51, Fig. 1 zu schliessen, ist diese 
Bifurcation die Folge einer ähnlichen Längstheilung, wie sie oben beschrieben 
wurde. Nachträglich gab Kosy (Pol. Jur. p. 451) eine zweite Beschreibung 
der Rh. pererassa, die in wesentlichen Punkten von der p. 44 gegebenen 
Beschreibung abweicht. Auch das neue auf Taf. 118, Fig. 1 abgebildete 
Stück weicht von seinen früheren Abbildungen ebenso wie von der EraLLox’s 
ab. Nach der ursprünglichen Diagnose der Gattung ist dieses zuletzt abge- 
bildete Stück jedenfalls keine Rhipidogyra, könnte aber möglicherweise der 
A. subcompressa nahe stehen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundorte: Stramberg, Ignatziberg. 


Familie: Turbinolidae Ep. u. H. 


Unter-Familie: Trochosmilinae OcınvıE 


— Trochosmiliaceae E.u.H. (Hist. Nat. Cor. T. II. p. 164) + Turbinolinae p.p. E. u. H. 
(Hist. Nat. Cor. T. II. p. 7). 

— Trochosmilinae From. (Introd. p. 95) + Turbinolinae From. (Introd. p. 88) + Pleuro- 
smilinae From. (Introd. p. 104). 


Cylindrische oder eylindroconische, manchmal stark comprimirte Einzel- 
korallen. Septen mit glattem Oberrand und granulirten Seitenflächen. Aechte 
Theka vorhanden, mit Epithek umgeben. 

Mırnz Epwarps und Hams haben für eine Anzahl ausgestorbener 
Einzelkorallen die Gruppe der Trochosmiliaceae errichtet und dieselben zu 
der Unterfamilie Eusmäilinae und damit zu den Astraeiden gestellt. Bald 
darauf errichtete FROMENTEL zwei neue Gattungen Zpismilia und Pleurosmilia 
und vereinigte sie mit ein paar anderen Gattungen aus dem Tribus der 
Trochosmiliaceae E. u. H. zu einer neuen Gruppe Pleurosmilinae, die sich 
von den ZTrochosmiliaceae E. und H. durch das Vorkommen einer starken 
Epithek unterscheiden sollte. Auf dieses Merkmal ist wenig Werth zu legen, 
übrigens wurde auch später an Trochosmilia selbst eine, wenn auch schwache 
Epithek nachgewiesen. Sowohl Fromenten's Pleurosmilinae als die Trocho- 
smiliaceae E. u. H. haben in der Regel reichlich entwickelte Traversen, doch 
sind unter ihnen auch einzelne Gattungen, nämlich Axosmilia, Blastosmilia, 
Lophosmilia, Parasmilia und Coelosmilia. Die letztere ist die einzige Gattung, 
die auch in der Gegenwart noch durch die Art Coelosmilia poculum E. u. I. 
vertreten ist. Diese Gattung unterscheidet sich nach Angabe der Autoren 
nur durch die Seltenheit der Traversen. Ich konnte nun beobachten, dass 


Turbinolidae. 135 


mit dem Rückgang der Traversen eine stärkere Ausbildung der Wand Hand 
in Hand geht. Das ist insofern interessant als Zrochosmilia, die Gattung 
mit starken Traversen, bereits im Jura auftritt und im Tertiär erlischt, wäh- 
rend Coelosmilia erst im der Kreide beginnt und bis zur Jetztzeit reicht. 

Vergleicht man eine cretaceische Placosmilia mit einem lebenden 
Flabellum, so hat man wieder ein Beispiel wie zwei Einzelkorallen, die im 
Habitus und in der Anordnung und Struktur der Septen übereinstimmen, 
sich in der gleichen Weise unterscheiden wie Trochosmilia und Coelosmilia. 
Man kann überhaupt sagen, dass die Gattungen mit reichlich entwickelten 
Traversen bereits verhältnissmässig früh begannen, ihre Blüthezeit hatten und 
schon dem Aussterben nahe waren, als andere Gattungen auftraten, die im 
Wesentlichen mit jenen übereinstimmten und sich nur durch weniger Tra- 
versen dafür aber stärker entwickelter Mauer von ihnen unterschieden. Diese 
letzteren Gattungen sind die Hauptrepräsentanten der Unterfamilie Turbino- 
linae E. u. H. 

Aus diesem Grund halte ich es nicht für angezeigt die Trochosmiliaceen 
zu den Astraeiden zu stellen. wie dies von Mırne Epwarps und Ham und 
den übrigen Autoren geschehen ist. Da ich dieselben vielmehr für die Vor- 
läufer der Turbinolinen halte, habe ich dieselben von den Astraeiden entfernt 
und mit den früheren Turbinolinae vereinigt. Den Namen Turbönolinae 
konnte ich aber desshalb nicht für die neue Gruppe gebrauchen, da gerade 
die typische Gattung Turbinolia wegen der Beschaffenheit des Säulchens, zu- 
sammen mit Axosmilia, Trismilia und einigen wenigen anderen Gattungen, 
von den übrigen etwas abzweigt nnd desshalb einen selbständigen Stamm zu 
vertreten scheint. 

Da Trochosmilia eine der ältesten und zugleich meist verbreitetsten 
Gattungen dieser Gruppe ist, habe ich derselben den Namen Trochosmilinae 
gegeben und betrachte dieselben als Unterfamilie der Turbinolidae. 

Dadurch, dass Mırnz Epwarps und Hamz ihre Trochosmiliaceen zu 
den Eusmilinen stellten, sprachen sie aus, dass die Septen ganzrandig seien. 
Allerdings verwickelten sie sich in einen gewissen Widerspruch, wenn sie bei 
der Diagnose von Trochosmilia angaben, die Septen seien gezähnelt. Auch 
FRoMENTEL gibt bei der von ihm errichteten Gattung Epismilia an, dass die 
Septen der höheren Ordnungen einen gezähnelten Rand besässen. Im Gegen- 
satz dazu behaupteten mehrere Autoren von Trochosmilia wie von Epismilia, 
dass sie ganzrandig seien, und Kosy hat (Pol. Jur. Pl. 129, Fig. 8, 9 u. 10) 
verschiedene solche Septen in vergrössertem Maassstab abgebildet. Wie ich 
in einer anderen Arbeit (Trans. Roy. Soc.) des Weiteren ausführe, rührt 
diese feine Zähnelung der Septen nur davon her, dass die einzelnen Tra- 
bekeln am Septalrand noch nicht fest verwachsen sind und dadurch etwas 
über den Rand hervorragen. Das ist aber nur bei den kleinen Septen der 


136 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Fall, später verschmelzen diese Zähnchen. Diese Zähnelung hat nichts zu 
thun mit den eigentlichen Zähnen oder Dornen am Septalrand, wo eine ganze 
Anzahl Trabekel den Dorn bilden. 

Bisher wurde von den verschiedenen Autoren immer hervorgehoben, 
(lass bei den Trochosmiliaceen die Granulationen auf den Trabekeln parallel 
dem Oberrand der Septen verlaufen. Dieser Umstand bildete eines der 
Hauptmerkmale für die ganze Gruppe der Pusmilinae, die sich auch dadurch 
von der Gruppe der Astraeinae unterscheiden, dass bei letzteren die Granu- 
lationen senkrecht zum Oberrand der Septen angeordnet sind. Wenn man 
diesen Unterschied in dieser Weise ausdrückt, könnte es den Anschein haben, 
als ob zwischen beiden Arten ein wesentlicher Unterschied bestünde. Es 
sind indess die Granulationen bei den Eusmilinen ebenso gut senkrecht zum 
Oberrand der Septen gerichtet und andererseits sind die Granulationen bei 
(len Astraeiden, z. B. bei Heliastraea auch parallel zum Oberrand der Septen 
angeordnet. Das Wesentliche für beide Typen ist, dass während einer be- 
stimmten Zeit (Wachsthumsperiode) vom früheren Oberrand des Septums aus 
(das Septum um eine bestimmte Höhe weiterwächst. Ich habe früher einen 
solchen neugebildeten Theil eines Septums ein Wachsthumssegment genannt. 
Bei den bisher als Eusmilinen bezeichneten Korallen sind nun die Caleifi- 
cationscentren (und damit die Trabekeln) in der Medianebene des Septums 
sehr dicht und gleichmässig vertheilt und die Trabekelaxen fast parallel. 
Desshalb wächst das Septum am ganzen Oberrand gleichmässig in die Höhe. 
Bei der bisherigen Gruppe der Astraeinen andererseits sind die Caleifications- 
centren und damit die Trabekeln in der Medianebene stellenweise gedrängter 
und die Axen der Trabekeln von diesen Stellen divergent. Es wächst infolge 
dessen das Septum da, wo die Trabekeln dichter angeordnet sind, rascher 
als an den übrigen Stellen, wodurch die Zähne und Dornen hervorgerufen 
werden. Die Trabekeln stehen hier auch senkrecht zum Oberrand der Septen 
und weil sie divergiren, desshalb ist der Oberrand gezackt. Da die Granu- 
lationen nun Wachsthumsperioden entsprechen, so sind sie auch parallel zum 
gezackten Oberrand angeordnet. 

Bei den Zrochosmilinae findet es nun fast immer statt, dass bei den 
diekeren, d. h. den ältesten Septen auf der Seitenfläche mehrere Granulationen 
neben einander stehender Trabekel mit einander verwachsen. Das hängt bei 
den starken Septen mit einer nachträglichen Verdickung zusammen, wodurch 
dann die ursprüngliche Anordnung der Granulationen und der Trabekeln ver- 
schleihert wird. Dieselben sind dann nur mehr im Dünnschliff sichtbar. 


Pleurosmilia. 137 


Gen. Pleurosmilia From. 


1856. Pleurosmilia From. Bull. de la Soc. g6ol. de France. 2. ser. T. XIII, p. 853. 


1859. E Eravvon. Haut-Jura. p. 52, 
1858—6l. „ From. Introd. p. 105. 
1365. 5 From. u. Ferry. Palaeont. franc. terr. jur. p. 58. 


1876. Plesiosmilia Mivaschewirz. Natth. Kor. p. 189. 

1876—80. Pleurosmilia, Plesiosmilia Zırver. Handb. Bd. I, p. 259. 

1884. Pleurosmilia Duncan. Madreporaria p. 56. 

1854. Plesiosmilia > 5 p- 55. 

1880—89. Pleurosmilia Kogy. Pol. Jur. p. 56 und p. 535. pl. OXXIX. Fig. 9. 
1830—89. Plesiosmilia „ 5) „ P. 34 und p. 535. 


Koralle einfach, eylindrisch oder eylindroconisch, Kelch rund oder ellip- 
tisch, Septen zahlreich, in Cyelen angeordnet. Oberrand der Septen glatt, 
Seitenflächen mit Granulationen versehen, die parallel der Oberfläche ver- 
laufen, Säulchen lamellär, mit einem Septum oder zwei gegenüberstehenden 
Septen verwachsen. Traversen stark, zahlreich. Pseudotheka vorhanden. 
Epithek dünn, hoch hinauf reichend. 


Die beiden bisher neben einander aufrecht erhaltenen Gattungen Pleuro- 
smilia From. und Plesiosmilia MivascH. sollen sich nach Mitascurwirz nur 
dadurch unterscheiden, dass Plesiosmilia ein lamelläres Säulchen hat, welches 
nicht die Verlängerung eines Septums ist und dass die Seitenflächen der 
Septa mit Granulationen versehen sind, während Fronmexteu bei Pleurosmilia 
keine Granulationen erwähnt und das Säulchen als die Verlängerung eines 
Septums beschreibt. 


Es ist nun richtig, dass sich bei Pleurosmilia das Säulchen in der 
Kelchgrube als die Verlängerung eimes der Primärsepten repräsentirt. In 
grösserer Tiefe legen sich indess an dieses Säulchen noch andere Septen, 
gewöhnlich das gegenüberstehende Septum, an und verschmelzen damit. Das 
Gleiche erkennt man an gut erhaltenen Exemplaren von Plesiosmilia, wenn 
man den Kelch in grösserer Tiefe anschleift. Aus diesem Grunde lassen 
sich wegen der Beschaffenheit des Säulchens die beiden Gattungen wohl nicht 
neben einander aufrecht erhalten, wie dies schon Kogy erwähnt. Auch auf 
das Vorhandensein oder Fehlen von Granulationen auf den Seitenflächen 
lässt sich nach meiner Ansicht ein Unterschied zwischen den beiden Gattungen 
nicht begründen, da bereits Kosy (Pol. Jur. Pl. 129. Fig. 9) ein Pleurosmilia- 
Septum abbildet, in dem die Granulationen parallel dem Oberrand verlaufen. 
Ausserdem konnte ich an den Nattheimer Originalen und an dem reichen 
Stramberger Material die reihenförmig angeordneten Granulationen nach- 
weisen. 


138 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Pleurosmilia eylindrica From. — Taf. XIII, Fig. 6, 10, 11. 
1856. Pleuwrosmilia cylindrica From. Bull. Soc. g60]. France. 2. ser. T, XIII. p. 855. 
1858—61l. „ 5) » Introd. p. 105. 
1862. : »  Monogr. d. Polyp. Jur. sup. (Et. Portlandien). 
pp. 12nP]STRige: 
1865. ar n „ Pal. Franc. Terr. Jur. p. 70. Pl. 9. Fig. 6. 


1875— 76. Plesiosmilia twrbinata Becker und Mivaschzwirz. Nattheimer Korallen. 
p. 189. Taf. 49. Fig. 3, 3a. 
(non —= Pleurosmilia turbinata GoFr. sp. GoLpr. Petr. Germ. Vol. 1. 
p. 107. Taf. 37. Fig. 13). 


Koralle eylindrisch oder eylindroconisch, leicht gebogen und mit kleiner 
Anheftungsstelle. Kelchdurchmesser bei verschiedenen Exemplaren von 32 
bis 42 mm schwankend. Columella kurz und dick. Septa 90—130 an Zahl; 
die der ersten drei Cyelen stärker als die übrigen, nicht ganz bis zur Colu- 
mella reichend. Die Septa der übrigen Cyclen entsprechend kürzer und 
feiner. Sämmtliche Septen sind am Kelchrand stark verdickt und nehmen 
sowohl nach Innen, gegen das Kelchcentrum, als auch nach Aussen an den 
Costen an Stärke rasch ab. Die Traversen sind blasig und zahlreich. Epi- 
thek dünn und runzelig. 

Allgemeine Bemerkungen: Bei Aufstellung dieser Art hatte Fro- 
MENDEL nur Material von wenig gutem Erhaltungszustand, so bildete er auch 
nur den Abdruck oder vielmehr den Ausguss eines Kelches ab. Seine Diag- 
nose beruht daher auch lediglich nur auf der Zahl und Anordnung der Septen. 

In dieser Hinsicht stimmen die mir vorliegenden Exemplare vollständig 
mit Fromenten’s Beschreibung überein. Diese Exemplare sind nun zum 
Theil vollständig erhalten, zum Theil sind es nur Abdrücke und zwar nicht 
nur Abdrücke des Kelches, sondern auch solche von tieferen inneren Parthien 
der Koralle (cf. Taf. XIII, Fig. 11). Dadurch war ich in den Stand gesetzt 
die Fromenter'sche Diagnose zu ergänzen. Ausserdem konnte ich noch be- 
merken, dass die Seitenflächen der Septa mit feinen Granulationen besetzt 
seien, die parallel mit dem Oberrand der Septen verlaufen. Sonst stimmt in 
diesem Punkt die Pleurosmilia cylindrica From. mit Plesiosmilia turbinata 
MirAscnH. überein. Auch Mızaschewirz beschreibt bei seiner Art, dass das 
lamelläre Säulchen zwischen den Enden zweier gegenüberstehenden Septen 
erster Ordnung liegt. 

Wenn man indess die Kelche etwas tiefer anschleift, erkennt man, dass 
das Säulchen nur die Verlängerung eines dieser Septen oder beider ist (sowie 
dass sich manchmal auch noch andere Primärsepten mit ihren verdickten 
Enden an das Säulchen anlegen oder mit ihm verwachsen). 

Aus diesen Gründen halte ich die Pleurosmilia eylindrica From. mit 
Plesiosmilia turbinata MinascnH. für identisch. Wenn nun auch MizAscHhEwitz 


Pleurosmilia. 139 


die Art viel besser beschrieben und abgebildet hat als Fromexter, so muss 
doch aus Gründen der Priorität der Fromzxtev'sche Name bleiben. Abge- 
selten davon wäre auch nach Vereinigung des Genus Plesiosmilia mit Pleuro- 
smilia der Name turbinata schon für eine Gorpruss’sche Art vergeben. 
Zahl der untersuchten Exemplare: 18. 
Fundorte: Stramberg, Ignatziberg, Kotzobenz, Wischlitz; ausserdem: 
Mantoche (Haute-Säone), Nattheim. 


Pleurosmilia Marcou Erauuon. — Taf. XII, Fig. 12. 
1858. Pleurosmilia Marcou Erauvon. Haut-Jura. p. 52. 
1861. Fr 4 From. Introd. p. 106. 
1862. " B Teurn. und Er. Leth. Bruntr. p. 359. pl. 50. Fig. 6. 
1364, 5 5 Froum. Polyp. cor. eny. de Gray. p. 10. 
1865. : 4 From. und Ferry. Pol. France. terr. jur. p. 65. pl. 7. 
Fig. 1. 
1867. n 5 GreprIN. Essai g6ol. sur le Jura suisse. p. 81. 
1870. n e n Deser. g£ol. du Jura bernois. p. 91. 
1889. A „ Kopy. Polyp. Jur. p. 38. pl. IV. Fig. 5. 


Koralle eylindroconisch, etwas comprimirt, mit schmaler Basis fest- 
gewachsen. Kelch etwas elliptisch 27”—30 mm im Durchmesser. Kelchgrube 
tief, mit breitem gerundetem Kelchrand. Es sind vier vollständige Cyelen 
von Septen und Theile eines incompleten Cyclus vorhanden. 12 von diesen 
ragen stark hervor und verdicken sich etwas gegen Innen und vereinigen 
sich mit der Columella. Die damit alternirenden 12 Septen des dritten Cyelus 
sind ebenso stark, reichen jedoch nicht bis zur Columella. Die übrigen Septa 
sind feiner und kürzer. Die den Septen entsprechenden Costen alterniren 
an Stärke. Epithek fein, bis zum Kelchrand reichend. 


Allgemeine Bemerkungen: Diese weit verbreitete und gut begrenzte 
Art ist schon so häufig beschrieben worden, dass weitere Bemerkungen über- 
flüssig erscheinen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Fundorte: Stramberg, Ignatziberg; ausserdem: Caquerelle, Wimmis, 
Valfın, Oyonnax. 


Pleurosmilia erassa Mirasch. — Taf. XIII, Fig. 9, 13, 15. 
1875—76. Pleurosmilia erassa Mırasen. Natth. Kor. p. 183. pl. 50. Fig. 1. 
Koralle eylindroconisch, eine Höhe von ca. 100 mm erreichend. Kelch 


tief, elliptisch, Durchmesser S0—60 mm. Septen in fünf Cyclen, gut ent- 
wickelt, der sechste unvollständig. Drei davon sind gleich dick und erreichen 


140 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


das Säulchen, der vierte und fünfte sind entsprechend dünner und kürzer. 
Traversen fein, sehr zahlreich, blasig entwickelt. Epithek dick und runzelig, 
wo es abgerieben ist sieht man, dass die Costen unregelmässig in der Stärke 
wechseln. 


Allgemeine Bemerkungen: Der bedeutende Umfang des Kelches 
und die Stärke der Septen zeichnen Pl. erassa von verwandten Arten aus. 
Das eine, auf Fig. 13 abgebildete Exemplar zeigt eine kleine Knospe nahe 
der Basis. 

Im Anschluss hieran möchte ich noch ein mir vorliegendes Stück er- 
wähnen, das hinsichtlich der Grössenverhältnisse und der Zahl der Septen 
der Pl. erassa jedenfalls sehr nahe steht. Leider ist dasselbe nur als Frag- 
ment erhalten, und zwar geht die Bruchfläche schief durch die Koralle. Ich 
habe diese Bruchfläche auf Taf. XII, Fig. 15 abgebildet. 


Das Stück ist desshalb interessant, da es an zwei Stellen beginnende 
Theilung zeigt. Aehnliche Fälle wurden schon an anderen Korallen beobachtet, 
die sonst gewöhnlich nur als Einzelkelche bekannt sind, z. B. an Montlivaltia, 
Fungia, Rhipidogyra. Das mir vorliegende Stück macht nicht den Eindruck, 
als ob die Theilung so weit gegangen wäre, dass die Einzelkelche frei ge- 
worden wären, sondern nur als ob hier in einem Kelch mehrere Mund- 
öffnungen vorhanden gewesen wären. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 
Fundorte: Kotzobenz, Koniakau, Wischlitz; ausserdem: Nattheim. 


Pleurosmilia aff. infundibuliformis MirAscr. sp. — Taf. XIII, Fig. 8. 


1376. Plesiosmilia infundibuliformis Becker und MirAschrzwirz. Nattheimer Kor. 
p. 72. pl. 48. Fig. 1. 


Die vier mir vorliegenden Exemplare sind als Steinkerne erhalten. 
Dieselben sind höchst wahrscheinlich zu Pl. infundibuliformis MinaschEwinz 
zu stellen. 

An den Steinkernen ist zu sehen, dass die Koralle von conischer Form 
war, mit elliptischem Kelch. Septa in fünf Cyelen angeordnet. Jene der 
ersten drei Cyclen dick, mit Pfählchen-artigen Verdickungen gegen das 
Centrum, die des vierten Cyclus weniger dick und die des fünften Cyelus 
verhältnissmässig dünn. Columella eine kurze (2 mm lange) dicke Lamelle 
bildend. Die mir vorliegenden Steinkerne zeigen eine etwas geringere Grösse 
als die Nattheimer Exemplare. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundort: Kotzobenz; ausserdem: Nattheim. 


Epismilia. 141 


Gen. Epismilia Frou. 


1859. Ellipsosmilia Brauvon. Ray. du Haut-Jura. p. 50. 
non Kllipsosmilia D’ORe. 
1858—61. Epismilia From. Introd. p. 104. 
1863. Psammosmilia From. Pal. Franc. Terr. Cret. p. 288. 
1864. Ellipsosmilia Tuurn. et Er. Leth, Bruntr. p. 360, 
1365. Epismuilia From. et Ferry. Pal. Frane. Terr. Jur. Zooph. p. 46. 
1875— 76. ,„ Mivasen. Natth. Kor. p. 184. 
1876—80. „ Zuerer. Handb. Bd. I. p. 259. 
1880—89. ,„ Kosx. Pol. Foss. p. 25 und p. 534. pl. OXXIX, Fie. 8. 
1384. n (als Subgenus von Zrochosmilia) Duncan. Madreporaria. p. 52. 


Einzelkoralle, cylindrisch oder conisch, Septen zahlreich, in Cyelen an- 
geordnet, ganzrandig, auf den Seitenflächen mit Reihen von Granulationen 
bedeckt, die parallel dem Oberrand verlaufen. Säulchen fehlt, Columellar- 
rand elliptisch, Epithek vorhanden, Traversen fein, zahlreich, gegen aussen 
zu steiler gestellt und eine Pseudotheka bildend. 

FRroMENTEL gab bei Beschreibung der Gattung an, dass die Septen der 
ersten Ordnungen ganzrandig, jene der späteren Ordnungen dagegen gezähnt 
seien. Dies konnten spätere Autoren nicht bestätigen, welche sagen, dass 
sämmtliche Septen ganzrandig seien. Ich kann auf Grund des mir vorliegen- 
den Stramberger Materiales kein Urtheil abgeben, da bei diesen Stücken 
der Kelch und der Oberrand der Septen nicht intact ist. Dagegen konnte 
ich den zum Oberrand parallelen Verlauf der Granulationen, von dem schon 
MitAscHEwITZz und Kopy spricht, sehr gut bestätigen. 


Epismilia obesa Kogy. — Taf. XII, Fig. 7, Ta. 
1888. Epismilia obesa Kosx. Polyp. Jur. p. 445. Pl. 116. Fie. 5, 6, 7. 


Das mir vorliegende Exemplar von Bobrek ist als Steinkern erhalten, 
zeigt jedoch alle specifischen Merkmale wie Kopy’s E. obesa aus dem Corallien 
blane von Caquerelle. 

Die Koralle ist stumpf-conisch und von etwas elliptischem Querschnitt. 
28 mm hoch und 30 zu 25 mm im Kelchdurchmesser. Columellarraum kurz 
elliptisch. Septa 152 an Zahl, 4 gleichmässig entwickelte Cyelen von Septen 
reichen bis zum Kelchcentrum, jene des fünften und sechsten Cyclus sind 
kürzer und feiner. Am Steinkern sieht man auf den Ausfüllungen der Zwischen- 
räume zwischen den Septen die Abdrücke der Granulationen der Septa, die 
parallel zum Septalrand verliefen. Die Traversen sind fein und zahlreich. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 


Fundort: Bobrek; ausserdem: St.-Ursanne, Caquerelle. 


142 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Epismilia reptilis MizAscn. 


1875— 76. Epismilia reptilis Becker und Miraschewirz. Natth. Korallen. p. 187. 
T. 43. Fig. 9. 


Koralle eonisch-elliptisch, unten spitz zulaufend und etwas umgebogen. 
llöhe ca. 15 mm. Kelchdurchmesser 15 zu 10 mm. Septa 60 an Zahl, die 
der ersten 3 Cyclen etwas stärker und bis zum Kelchcentrum reichend. Ob- 
wohl die 3 mir vorliegenden Exemplare von Kotzobenz nur als Steinkerne 
erhalten sind, so ist doch deren Zugehörigkeit zu E. reptilis Mivascn. sicher. 
Die Eindrücke der mit dem Septalrand parallel verlaufenden Granulationen 
auf der Ausfüllungsmasse zwischen den Septen sind gross und deutlich. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 


Fundort: Kotzobenz; ausserdem: Nattheim. 


Epismilia euneata Mimascn. 


1875 — 76.  Epismilia euneata Becker und Mirascuhewirz. Natth. Korallen. p. 187. 
T. 43. Fig. 10. 


Koralle conisch-elliptisch, 25—30 mm hoch. Kelchdurchmesser 25 zu 
20 mm. Septa in 5 Cyclen angeordnet, die der ersten 3 Cyelen nahezu von 
gleicher Stärke. Costen alle gleich stark und gezähnelt. Auch von dieser 
Art liegen mir nur zwei Steinkerne von Kotzobenz vor. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 2, 
Fundort: Kotzobenz; ausserdem: Nattheim. 


Familie: Oculinidae Enw. u. H. 


Gen. Dendrohelia Kıracı. 


Knollige oder sich unregelmässig verästelnde Korallenstöcke. Kelche 
an den Spitzen kurzer Erhabenheiten auf einen Hauptast angeordnet, mit 
einander durch dichte Coaleseirung ihrer äussern Ränder in Verbindung ge- 
bracht. Die Costal-Fortsetzungen der Septen auf die Oberfläche werden 
stark granulirt, und rufen das Aussehen eines Coenenchyms hervor. Septen 
wenig zahlreich, von alternirender Grösse. Griffelförmiges Säulchen und 
Traversen vorhanden. 


Dendrohelia. 143 


Dendrohelia eoalescens GDrF. sp. 


1826—831. Madrepora coalescens Gouvr. Petref. Germ. T. I. p. 23. pl. 8. Fig. 6. 

1826. _Dentipora coalescens Braınv. Diet. Sc. nat. T. 60. p. 348. 

1326. Madrepora u 5 lei eine ar D3 358: 

1840—47. „ sublevis Mıc#. Icon. p. 111. pl. 25. Fig. 5. 

1848. Oculina coalescens Bronn. Index. paleont. T. I. p. 354. 

1350. Lodbocoenia ,„ p’OrB. Prodr. II. p. 40. 

1857. Stylina ? h Epw. u. H. Hist. Nat. des Corall. T. II. p. 246. 

1855—61. Psammohelia gibbosa, aspera, dendroidea From. Introd. p. 177. 

1858—61. Stylohelia 2 dendroidea From. Introd. p. 181. 

1864. Dendrohelia coalescens Tuuru. u, Er. Leth, Bruntr, p. 358. pl. 50. Fig. 4. 

1864. Psammohelia dendroidea From. Polyp. d. eny. de Gray. p. 19. pl. 14. Fig. 7. 

1875--76. Stylina? coalescens Breker. Natth. Kor. p. 147. 

1580—89. Dendrohelia „ Kosy. Polyp. Jur. p. 19. pl. I, Fig. 9—12. pl. I. 
Fig. 1—6; pp. 532, 565. pl. CXXIX. Fig. 1, 


Korallenstock ästig, mit dicht gedrängten Kelch-Erhabenheiten. Zu- 
weilen bemerkt man spirale Anordnung der Kelche auf dem Hauptast, meistens 
aber sind sie ziemlich regelmässig. 12 fast gleich entwickelte Septen er- 
reichen das Centrum und sind durch horizontale zahnartige Fortsätze mit 
dem Säulchen vereinigt. Es schieben sich eine Anzahl feinere Septen zwischen 
diesen 12, und sämmtliche setzen sich als stark granulirte Septo - Costal- 
Streifen fort. Man zählt 20—24 um jeden Kelch herum. Traversen sind 
in dem äusseren „septo-costalen“ Theil des Kelches gut entwickelt, im 
inneren viel weniger. Die nachträgliche Verdickung des Skelets ist sehr 
bedeutend. 


Allgemeine Bemerkungen: Diese sehr verbreitete jurassische Art 
ist gut geeignet, um die nahe Verwandtschaft zwischen den Styliniden und 
Oeculiniden zu demonstriren. Bei Besprechung der Styliniden (siehe unten 
p. 154) mache ich darauf aufmerksam, dass der eigentliche Kelch sowohl die 
Septen als die sogenannten „Septo-Costen“ oder „Costen* einschliesst. Dies 
ist auch für Dendrohelia und andere Oculiniden wahr. Die Tendenz zu 
nachträglicher Verdickung aller Skeletstrukturen bei den Oculiniden äussert 
sich in die Verengerung des inneren Kelchraums, und die Modifieirung der 
Septen speciell im äusseren (Costal-) Theil des Kelches. Sie werden dicker, 
dichter und oberflächlich stark granulirt bis sie, zusammen mit den verdickten 
Traversen, augenscheinlich ein Kelch-umgebendes Coenenchym bilden. Der 
ästige Habitus des Stockes und die Art der Vermehrung (gleichzeitig ent- 
stehende Ringe von Knospen oder rasch nach einander folgende Seitenknospen) 
trugen dazu bei, dass die Oculiniden-Gattungen bald ein eigenthümliches Ge- 
präge bekamen, doch zeigen gerade deren hauptsächliche jurassischen Ver- 


144 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


treter manche Anknüpfungspunkte mit den Styliniden, z. B. die eyclische An- 
ordnung der Septen nach der Zahl 6, 8, 10, 12, die Vereinigung der Septen 
durch horizontale Ausläufer mit einem griffelförmigen Säulchen, die häufig 
bodenartige Entwicklung der Traversen und ihre diehte Anordnung in der 
äusseren Kelchzone. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 


Fundorte: Ignatziberg, Stramberg; ausserdem St.-Ursanne, Caquerelle, 
Champlitte, Nattheim etc. 


Gen. Goniocora Epw. u. H. 


1848. Dendrophyllia (pars) M’Coy. Ann. Mag. of Nat. Hist. T. II. p. 403. 
1851. Goniocora Epw. u. H. Polyp- foss. des terr. pal. p. 96. 


1857. n = Hist. Nat. des Corall. T. II. p. 604. 
1857. n Pıcrer. Traite de Paleont. T. IV. p. 411. 

1558. Eratvon. Haut-Jura. p. 119. 

1858—61. „ FRoMENTEL. Introd. p. 148. 

1379. a Zırrer. Handb. der Paleont. Bd. I. p. 256. 
1884. Duncan. Madreporaria. p. 71. ; 


1880—89. „ Kosy. Polyp. Jur. pp. 306, 554, 567. pl. OXXX. Fig. 12, 12a. 


Aestige Korallenstöcke, kurze Seitenäste zweigen sich von einem Haupt- 
Ast ab. Oberfläche der Aeste dureh die granulirten Costal-Fortsetzungen 
der Septen gestreift. Septen wenig zahlreich, in Cyelen von 6, S, 10, 12 
angeordnet. Säulchen griftelförmig oder lamellär. Traversen gut entwickelt, 
in zwei Zonen. Aechte Mauer vorhanden. j 


Die Beziehungen dieser Gattung scheinen mir viel näher zu den Oeuliniden 
als den Astraeiden zu sein. Der Habitus des Stockes, der Septalbau und die 
Septalstruktur erinnern ausserordentlich an die typisch-jurassische Oculiniden- 
Gattung Enallohelia, nur sind bei der letzteren die sich verzweigenden Kelche 
in Reihen angeordnet, während dieselben bei Goniocora ohne bestimmte An- 
ordnung abzweigen. Kosy fasste Goniocora als ein Bindeglied zwischen 
Stylosmilia und Styliniden auf, und stellte Goniocora zu den Styliniden, 
Stylosmilia indess zu einer andern Gruppe, zu den Dendroheliden. Mit dieser 
Auffassung bin ich nicht einverstanden. Stylosmilia ist schon oben (p. 112) 
behandelt worden, und zu Gunsten meiner Ansicht über Goniocora möchte 
man die Abbildungen Kosy's für Goniocora (Polyp. Jur. pl. 90) mit den Ab- 
bildungen Breker’s für Enallohelia (Natth. Kor. Taf. 36) vergleichen. Daraus 
und aus dem erläuternden Text geht auffallende Uebereinstimmung in den 
wesentlich systematischen Merkmalen hervor. 


Goniocora. 145 


Gonioeora Haimei From. 


1858—61. Goniocora Haimei From. Introd. p. 149. 
1864. 5 n H Polyp. Cor. des env. de Gray. p. 16. pl. VIII. 
Fig. 8, 9. 

Korallenstock klein, ästig; kurze dünne Aeste zweigen sich von einem 
cylindrischen Hauptast in Winkel von 70—90° ab. Durchmesser des Haupt- 
astes 4—5 mm, der dünnen Aeste 2—3 mm. Kelche wenig vertieft; die 
Septen sind 20 an Zahl, 10 längere bis an das griffelförmige Säulchen 
reichend und 10 kürzere. Sämmtliche Septen erscheimen als Costen auf der 
Oberfläche des Astes, ausserdem schieben sich feine Costen zwischen den- 
selben ein, die innerhalb des Kelches als kurze Septaldornen hineinragen. 
Traversen in zwei deutlichen Zonen, eine innere Zone von feinen flachen 
Traversen und eine äussere Zone, wo die Traversen recht grob und dicht 
und steil gegen die Mauer aufsteigen. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 
Fundort: Ignatziberg; ausserdem: Champlitte (Corallien). 


Goniocora dubia Kopy. 
1880—89. Goniocora dubia Koepy. Polyp. Jur. p. 507. pl. XC. Fig. 1—4. 


Mehrere Bruchstücke liegen mir von Stramberg vor, die ich sowohl 
wegen des Baues der einzelnen Aeste, wie auch wegen der Septal-Anordnung 
mit der Kogy’schen Art identifieire. Verästelung findet mit grossem Winkel 
und in unregelmässigen Entfernungen statt. Durchmesser der Aeste 4,5 bis 
5,5 mm. Kelche seicht. Septen 24, gut entwickelt, 12 längere, 12 etwas 
kürzere; noch 24 rudimentäre Septen schieben sich am Kelchrande ein, so 
dass die Zahl der Costen auf der Oberfläche eines Astes bis auf 48 kommt. 
Letztere sind fast gleichmässig stark entwickelt. Lamelläres Säulchen vor- 
handen. Die Traversen sind in der äusseren Kelchzone sehr stark, gegen 
innen zu dünn. Die verdickten äusseren Theile der Traversen verwachsen 
innig mit der Mauer, die infolgedessen scheinbar immer dicker, während der 
Kelchraum im Innern enger wird. Ich erwähne diese Beobachtung, da eine 
solche Verengerung des Visceralraumes durch nachträgliche Verdickung der 
Skelettheile geradezu als charakteristisch für die Oeculiniden angesehen wird. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 


Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, St.-Ursanne etc. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 10 


146 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Familie: Pocilloporidae VERRILL. 
Subfamilie: Stylophorinae Evw. u. H. em. ÖcInviE. 


Astrocoenia und Stephanoeoenia. 


Bei Besprechung der Familie der Styliniden (p. 154) wird hervor- 
gehoben werden, dass die Gattungen Astrocoenia und Stephanocoenia wegen 
der Bezahnung des Septalrandes von den Styliniden zu entfernen sind. Bei 
beiden Gattungen finden sich nämlich am Oberrand der Septen kleine, rund- 
liche, conische Erhöhungen, die Endigungen der Trabekeln. Diese Erhöhungen 
unterscheiden sich leicht von den scharfen Zähnen der Astraeiden, aber auch 
von den feinen Zähnelungen des scheinbar ganzrandigen Styliniden-Septums 
weichen sie ab. Die Seitenflächen der Astrocoenia- und Stephanocoenia-Septen 
sind ziemlich glatt oder mit unregelmässig zerstreuten Granulationen versehen. 
Gegen das Kelchcentrum zu sind diese Granulationen regelmässiger ange- 
ordnet, etwas stärker und verschmelzen häufig mit einander, so dass auf 
den Seitenflächen der Septen horizontal oder schief nach oben gerichtete 
Verdiekungen entstehen. Diese Verdickungen bilden dann pseudosynaptieuläre 
Verbindungen zwischen den benachbarten Septen der ersten Ordnungen oder 
legen sich gegen das Säulchen und rufen dadurch um das Säulchen herum 
ein löcheriges Gewebe hervor, oder diese Verdickungen werden frei und 
bilden manchmal wie bei Stephanocoenia einen regelmässigen Kranz von Pali. 
Die kurzen Septen zeigen gegen Innen zu nicht mehr die starken Verdickungen, 
sondern die Trabekeln laufen hier nur in rundliche feine Erhöhungen aus, 
ähnlich wie am Oberrand. 


Bei beiden Gattungen berühren sich zuweilen die Kelche, zuweilen sind 
letztere auch durch eine mehr oder minder breite Zone getrennt, in welcher 
sich die Costen in lauter einzelne Trabekelpfeiler auflösen, welche an der Stock- 
oberfläche als höckerige Granulationen hervortreten und eine Art Coenenchym 
bilden. Die Kelche sind nach Aussen durch die Verdickung der Septen und 
stärkere Traversenbildung von einer Pseudotheka umgrenzt, welche hinsichtlich 
ihrer Lage im Kelch der Pseudotheka bei den Styliniden entspricht. Ausser 
dieser Pseudotheka ist die Lage der ursprünglichen, ächten (äusseren) Mauer 
manchmal noch durch eine scharfe Trennungszone oder Furche an der Ober- 
fläche angedeutet. Die Bildung dieser Art von Coenenchym zwischen den 
meisten Kelchen erfolgte durch die Rückbildung der äusseren (ächten) Wand 
und dadurch, dass in der äusseren Kelchzone die Septocosten sich mehr und 
mehr in ihre einzelnen Trabekel auflösten, sowie dadurch, dass die Traversen 
hier feiner, dichter und mehr gewölbt wurden. Im Innern der Kelche, be- 


Astrocoenia und Stephanoecoenia. 147 


sonders bei Astrocoenia kommt es vor, dass die Traversen ganz flache Böden 
bilden. 

Das mir vorliegende Stramberger Material war grossentheils sehr gut 
erhalten und liess die oben erwähnten Merkmale erkennen, ausserdem konnte 
ich dieselben auch an dem reichlichen Material der Münchener Sammlung, 
an Formen aus den verschiedenen Perioden (Trias-Tertiär) beobachten. Kor 
(l. eit. Pl. 130. Fig. 9, 10 und 11) hat Septal- und Kelchoberflächen von 
beiden Gattungen abgebildet, welche die Zähnelung und die Granulationen 
sehr gut zeigen. Auch die von Kosy (Taf. 130. Fig. 8) als Goniastraea 
favulus abgebildete Form, die er selbst nur mit einiger Reserve (cf. 1. ecit. 
p. 548) zu Goniastraea stellt, habe ich auf Grund meines Stramberger 
Materiales zur Gattung Stephanocoenia gestellt. 


Auf Taf. XVI, Fig. 8 und 10 habe ich zwei Querschliffe von Astrocoenia 
und Stephanocoenia abbilden lassen, welche zeigen, dass in der Mittelebene 
des Septums die Axen der Trabekeln als isolirte dunkle Punkte erscheinen, 
die den conischen Spitzen am Oberrand des Septums entsprechen würden. 


Nach den bisher besprochenen Merkmalen können die beiden Gattungen 
nun auch nicht länger mehr zu den Astraeiden und zwar zur Unterfamilie 
Astraeinae E. u. H. gestellt werden. Die Astraeiden unterscheiden sich von 
Astrocoenia und Stephanocoenia hinsichtlich ihrer Septalstruktur durch ab- 
weichende Art der Anordnung und Verbindung der Trabekeln, sowie durch die 
damit zusammenhängende Art der Bezahnung. Die beiden Gattungen weichen 
von den Astraeiden auch durch die geringe Zahl und die regelmässige An- 
ordnung der Septen wesentlich ab. Diese und manche andere Merkmale 
würden eher für eine Zugehörigkeit zu den Styliniden sprechen, von welchen 
sie sich indess durch die Septalstruktur und durch die eigenthümliche 
Coenenchymbildung unterscheiden. 


Meiner Ansicht nach schliessen sich die beiden Gattungen am besten 
an die Gattung Stylophora an. Auch bei Stylophora sind an manchen Stellen 
des Stockes die Kelche entweder eng gedrängt oder in grösseren Abständen 
und dann durch ein Coenenchym genau wie bei Astrocoenia und Stephano- 
coenia verbunden. Koch hat bekanntlich (Jenaische Zeitschr. f. Naturw. Bd. XI) 
die Gattung Stylophora genauer mikroskopisch untersucht. Aus diesen Unter- 
suchungen ergibt sich, dass der feinere Bau von Stylophora im Wesentlichen 
der gleiche ist wie bei Astrocoenia und Stephanocoenia. Auch hinsichtlich 
der Zahl und Anordnung der Septen ist der Habitus bei diesen Gattungen 
übereinstimmend. 


Ausser Astrocoenia und Stephanocoenia gehören nach dem Habitus und 
und dem Septalbau auch noch die Gattungen Stylocoenia E. u. H., Dicho- 


coenia E. u. H. und Madraeis E. u. H., welche letztere von manchen Autoren 
10* 


148 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


als eine Oculinide angesehen wird, zu den Siylophorinae. Bemerkenswerth 
ist auch, dass die lebende Gattung Madraeis, die nie den Styliniden zuge- 
rechnet wurde, ebenso wie Astrocoenia und Stephanocoenia manchmal eine 
Anordnung der Septen in 6, 8, 10 und 12 Systeme zeigt. 


Die Vermehrung erfolgt bei beiden Gattungen sowohl durch marginale 
Knospung wie durch Theilung. Die marginale Knospung erfolgt in der 
coenenchymartigen Zone, also scheinbar ausserhalb der Kelche, in Wirklich- 
keit aber, da diese Zone der äusseren grobblasigen Zone der Amphiastraeiden 
und Styliniden entspricht, eigentlich intracalycinal. Auch Theilung (durch 
Septalknospung) konnte ich sehr häufig beobachten. Oefters theilen sich die 
Kelche genau im zwei Hälften durch eine Mittellinie, welche durch zwei 
gegenüberstehende Primärsepten und das (in der Theilungsebene) in die Länge 
gezogene Säulchen verläuft. 


Gen. Astrocoenia En». u. H. 


1826. Astraea (p.p.) GotLpruss. Petref. Germ. T. I. p. 111. 

1848. Astrocoenia Mıtne Epwarps und J. Haıme. Compt. rend. de l’Acad. des Se. 
T. 27. p. 469. 

1349. Goniocoenia, Enallocoenia und Actinastraea w’OrBIGNY. Note sur des Pol. 
Foss. p. 7 u. 10. 

1856. Astrocoenia Epw. u. H. Hist. nat. des Corall. T. II. p. 254. 


1360. cn From. Introd. p. 232. 
1360. a Eratı. Haut-Jura. p.171> 
1860. Coenastraea „ n p- 10. 


1862. Astrocoenia Tuurm. u. Erave. Lethaea Bruntrutana. p. 374. 
1362. Coenastraea  ,„ " ” 5 p. 402. 
1862. Astrocoenia From. Monogr. des polyp. jur. sup. p. 36. 


1871. F Reuss. Die foss. Kor. Oest.-Ungar. Miocän. p. 40. 

1879. % Zırrer. Handb. der Paleont. Bd. I. p. 263. 

1554. R Duncan. Madreporaria. p. 120. 

1881—89. „ Kopr. Polyp. Jurass. pp. 290, 553, 570. pl. OXXX. Fig. 9, 10. 
1590. Mn FrecH. Triaskorallen. Palaeontogr. Bd. 37. p. 33. 


Zusammengesetzte massive, rundliche oder unregelmässig verzweigte 
Stöcke. Kelche durch ihre Wände oder durch Coenenchym verbunden, das 
an der Oberfläche conische Hervorragungen aufweist. Septen wenig zahlreich, 
in deutliche Cyclen angeordnet. Die Trabekeln laufen am Oberrand der 
Septen in conische Erhöhungen, gleich denen im Coenenchym, aus. Säulchen 
griffelförmig, deutlich. Traversen nicht sehr reichlich, im centralen Theil 
manchmal bodenartig. Wand als Pseudothek vorhanden, durch reichliche 
Entwicklung der septalen Elemente und Verdiekung derselben gebildet. 
Epithek an der Unterseite der Stöcke vorhanden. 


Astrocoenia. 149 


Astrocoenia Bernensis Kosy. — Taf. XVI, Fig. 7, 7a. 
1864. Astrocoenia pentagonalis Tuurn. et Er. Leth. Bruntr. p. 374. Pl. 52. Fig. 11. 
1880. » 2 5 v’Acusarpı. Cor. Giur. p. 12. 
1855. 5 Bernensis Kosy. Polyp. Jur. p. 291. Pl. 86. Fig. 9, 10. 
1857. 5 5 SoLomko. Jura- und Kreidekorallen der Krim. p. 93. 
Taf. III, Fig. 8. 
non = 4. pentagonalis GLDF., D’OrB., E. u. H., Fron., Quenst., BECKER u. A. 


Der Polypenstock bildet gewöhnlich halbkugelige oder fingerförmige 
Stöcke, zuweilen sind sie auch fladenförmig. Von der kleinen Anheftungs- 
stelle wächst der Stock in sich übereinander aufbauenden und immer über 
die anderen vorspringenden Lagen in die Höhe. Der Durchmesser der halb- 
kugeligen Exemplare wechselt von ca. 13—48 mm, jener der fingerförmigen 
von 20—25 mm. Die Kelche sind unregelmässig fünfeckig (von 1,5 mm 
Durchmesser) und von den benachbarten durch eine scharf emporsteigende 
Mauer geschieden. An gut erhaltenen Exemplaren sieht man, dass die über 
die Mauer emporsteigenden Septa zusammenfliessen. 9—12 Septen reichen 
fast bis an das Säulchen, eine unregelmässige Anzahl von kürzeren Septen 
finden sich nahe an der Wand. Im Ganzen zählt man 20—24 Septen. Ober- 
rand der Septen deutlich gezähnt. Das Säulchen wenig entwickelt, aber mit 
unregelmässig zahnartigen Septal-Fortsätzen verwachsen. Auf der Unterseite 
des Stockes sind Epithekalringe zu beobachten. Die Traversen sind schwach 
entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ähnelt so sehr der verbreiteten 
jurassischen Art A. pentagonalis GLDF. sp., dass man sie fast als eine Varietät 
derselben auffassen könnte. Da in der Münchener Sammlung ein reiches 
Material von Astrocoenia pentagonalis GOLDF. vorliegt, unter denen das Original- 
Exemplar sich befindet, war ich im Stande, genau zu untersuchen, ob die be- 
treffenden Formen zu Astrocoenia oder zu Stephanocoenia zu stellen seien. Ich 
stimme mit SoLomko überein, welche diese Art zu der Gattung Astrocoenia 
zählt. BECKER gibt einen Kelchdurchmesser von 1'/,—'/z mm an, was für 
die Identität der Nattheimer Art mit Astrocoenia Bernensis Kosy sprechen 
würde; ich habe jedoch gefunden, dass der Kelchdurchmesser ein grösserer 
ist und wie schon SoLomKko sagt, 2—2'/z mm beträgt. Jedenfalls stehen 
sich diese beiden Arten sehr nahe, nur pflegen die Cyclen der Nattheimer 
Art regelmässiger ausgebildet zu sein. D’Acuıarpı hat an der von ihm von 
Monte Pastello beschriebenen Art kein Pfählchen gefunden und rechnet die- 
selbe desshalb nicht mit Sicherheit zu Stephanocoenia pentagonalis GOLDF. 
Der Kelchdurchmesser stimmt mit Astrocoenia Bernensis überein. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 26. 

Fundorte: Stramberg, Koniakau; ausserdem: Caquerelle, Blauen, 
Bressancourt, Locle, Monte Pastello, Sudagh (Krim). 


150 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Astrocoenia crasso-ramosa Miıc#. sp. — Taf. XVI, Fig. 8, 8a. 
1843. Astraea crasso-ramosa MıcH. Icon. p. 109. pl. 25. Fig. 2. 

1850. Enallocoenia  , p’OrB. Prodr. T. II. p. 92. 

1851. Astrocoenia 5 Epw. u. H. Polyp. foss. des terr. pal. p. 64. 
1857. » 5 r Hist. nat. des Corall. T. II. p. 261. 
1858—61. „ 5 From. Introd. p. 254 

1564, " n ” Polyp. cor. des env. de Gray. p. 25. 
1889. 5 n Kosy. Polyp. Jur. p. 295. pl. 87. Fig. 2, 3. 


Korallenstock ästig, kugelig oder flach. Durchmesser eines Astes 30 
bis 60 mm. Kelche polygonal, mit seichter Grube, in welcher das Säulchen 
meistens hervorragt. Kelchdurchmesser 3 mm. Ungefähr 10 Septen erreichen 
das Säulchen, 5—8 sind etwas kürzer, und in einigen Kelchen erscheinen 
an der Wand noch einige rudimentäre. Der Oberrand aller Septen ist gezahnt. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art kommt unter dem Stramberger 
Material auch als Ueberzug auf anderen Korallen vor, was bemerkenswerth 
ist, da sie bis jetzt nur als ästig wachsend beschrieben worden ist. Da der 
Frhaltungszustand gut war, habe ich einen Querschliff abgebildet, der die 
Septalstruktur zeigt. In der Mittellinie sind dunkle Punkte (Caleifications- 
Centren), von denen helle Kalkfasern strahlenförmig ausgehen. Die Struktur 
ähnelt derjenigen der von mir untersuchten Goniastraea, lässt sich aber durch 
gleichmässige Entfernungen zwischen den Caleificationscentren unterscheiden. 
Hauptsächlich wegen dieser feineren Struktur, sowie wegen des Coenenchyms, 
habe ich mich der Ansicht von Duxncaw und anderen Autoren nicht ange- 
schlossen, sondern glaube, dass die Gattung Astrocoenia weder zu den Astraeiden 
noch zu den Styliniden gehört. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: St.-Mihiel, Cötes-du-Doubs, Locle ete. 


Astrocoenia Delemontana Kosyr. — Taf. XVI, Fig. 9, 9a. 
Astrocoenia Delemontana Kogy. Polyp. Jur. p. 292. pl. LXXXVL. Fig. 4. 


Korallenstock ästig, die Aeste im Durchschnitt elliptisch; im Durch- 
messer 10—20 mm betragend. Der des untersuchten Exemplares beträgt 
10><6 mm. Kelche polygonal mit hervorragenden Wänden. Ihr Durch- 
messer 1'/,—2 mm. Septen 22—24, nur 9 oder 10 davon reichen bis an 
das Säulchen, sie vereinigen sich nur selten mit demselben. Der Oberrand 
der Septen ist regelmässig fein gezackt. An der Wand sind die Septen im 
Verhältniss zu ihrer Länge sehr dick und bilden damit die Pseudotheka. 
Das Säulchen ragt in der Kelchgrube hervor. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich leicht von 
A. erasso-ramosa und von A. tenuisepta durch die geringere Grösse der 
Kelche und von der letzteren Art auch durch die geringere Zahl der Septen. 


Stephanocoenia. 151 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundort: Stramberg; ausserdem: Vorbourg, pres des Delemont. 


Gen. Stephanocoenia En». u. H. 


1816. Astrea (pars) Lamarck. Hist. nat. des anim. sans vert. T. II. p. 266. 
1548. Stephanocoenia Ep. u. H. Compt. rend. de l’Acad. des Sc. T. XXVI. p. 469. 
1850. Goniaraea v’OrB. Prodr. T. II. p. 534. 

1857. Stephanocoenia Ev. u. H. Corall. T II. p. 264. 

1857. n Pıcrer. Traite de Paleont. T. IV. p. 393. 

1857. Goniaraea 2 a e s Dr 483: 

1360. Stephanocoenia From. Introd. p. 202. 

1860. Allocoenia Erauı. Ray. du Haut-Jura. p. 477, 

1860. Stephanastrea EN. „ , e Suppl. p. 10. 

1864. Allocoenia Tuurm. u. Yr. Leth. Bruntr. p. 378. 


1564. Stephanastraea , > ” p. 401. 

1879. 5 Zırrer. Handb. der Paleont. Bd. I. p. 255. 

1579. Stephanocoenia er S 292.263. 

1834. n Duncan. Madreporaria. p. 121. 

1880—89- & Kopy. Polyp. Jurass. pp. 300, 554 u. 561. 

1550—89. Goniastraea (pars) Kosyr. Polyp. Jurass. pp. 213, 548, 570. pl. OXXX. 
Fig. 12. 

1890. Stephanocoenia (+ Cyathocoenia Duncan) Freeu. Triaskorallen. Palaeontogr. 
Bd. 37. p. 36. 


Zusammengesetzte massive, rundliche oder unregelmässig verzweigte 
Stöcke. Kelche durch ihre Wände oder durch Coenenchym verbunden, das 
an der Oberfläche conische Hervorragungen trägt. Septen wenig zahlreich, 
in deutliche Cyclen geordnet. Die Trabekeln laufen am Oberrand der Septen 
in conische Erhöhungen, gleich denen im Coenenchym, aus. Am Innenrand 
der Septen bilden die Trabekel Pali, welche das griffelförmige Säulchen um- 
geben. Traversen gut entwickelt, blasig. Wand als Pseudothek vorhanden, 
durch reichliche Entwicklung der septalen Elemente und Verdickung derselben 
gebildet. Epithek an der Unterseite der Stöcke vorhanden. 


Stephanocoenia favulus Tauru. sp. — Taf. XVI, Fig. 10, 10a, 10b. 


1850. Agaricia favulus Thurn. Coll. 

1362. Isastraea „ Tuurm. u. Erave. Leth. Bruntr. p. 391. pl. 55. Fig. 10. 

1889. Goniastraea „ Kopy. Polyp. Jur. p. 214. pl. 63. p. 548. pl. OXXX, Fig. 8. 

Korallenstock unregelmässig flache oder in die Höhe wachsende Massen 
bildend. Kelche polygonal, seicht, mit hervorragenden Wänden, Durchmesser 
3 mm. Säulchen griffelförmig, wenig hervorragend. Septen 24—30, am 
Oberrand fein gezahnt, an den Seitenflächen granulirt. 10—12 Septen sind 
lang, vor ihnen stehen Pfählchen. Die kürzeren Septen vereinigen sich oft 
nach dem Innern zu mit den längeren. 


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[o} 
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Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Allgemeine Bemerkungen: Stfephanocoenia favulus hat grössere 
Kelche und zahlreichere Septen als die anderen jurassischen Arten. Kosy 
(Polyp. Jur. p. 214) hat sie zu der Gattung Goniastraea gestellt. Er gibt 
nun in einem Supplement derselben Arbeit eine ausführliche Beschreibung 
des Septalbaues in @. favulus, die meiner Ansicht nach dafür spricht, dass 
die Art zu der Gattung Stephanocoenia anstatt zu Goniastraea gestellt werden 
sollte. Jedenfalls stimmt seine Beschreibung nicht mit den Ergebnissen auf 
Grund meiner Untersuchungen einiger recenter Goniastraea-Arten. 

In Fig. 10b gebe ich einen Querschliff, der die gleiche Struktur der 
Septen und Pseudotheka zeigt, wie oben bei Astrocoenia crasso-ramosa be- 
schrieben. In beiden Gattungen kommt zwischen benachbarten (pseudothekalen) 

ünden mehr oder weniger blasiges Coenenchym vor; gewöhnlich ist sogar in 
Stephanocoenia favulus dieses blasige Gewebe in einer Furche gelegen, wäh- 
rend bei Goniastraea die Kelche scharfe erhabene Wände in innige Contact 
aufweisen. Ferner sind die Septen in Stephanocoenia favulus einfacher im 
Bau, weniger eranulirt und weniger gezackt, als in lebenden Goniastraea- 
Arten, auch legen sich bei @oniastraea die Septen nicht so regelmässig seit- 
lich an einander und verwachsen, wie dies hier in 5. favulus der Fall ist. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Bressancourt, Porrentruy, Mont 
Courroux. 


Familie: Madreporidae Dana. 


Gen. Thamnaraea Yıraıvon. 


1864. Thamnaraea Tuuru. u. Erarı. Lethaea Bruntrutana. p. 411. 
1879. Microsolena p.p. Zırrer. Handb. der Palaeont. Bd. I. p. 245. 
1882. Thanmaraea Prarz. Verwdtsch. Bez. Kor. Gattungen, Palaeontogr. Bd. XNXXI. 


p- 98. 
1834. e Duncan. Madreporaria. p. 169. 
1880—89. „ Kosy. Polyp. Jur. p. 411 u. 569. 
1891. > Ferıx. Verst. aus Neoc. in Tehuacan. Palaeontogr. Bd. 57. p. 142. 


Zusammengesetzte Stöcke, welche fingerförmige Aeste oder kurze in die 
Höhe wachsende Knollen bilden. Kelche auf der Oberfläche unregelmässig 
vertheilt. Kelchgruben seicht. Septen wenig zahlreich, dicht, nach Aussen 
zu gehen sie nach und nach in ein lockeres coenenchymartiges Gewebe über. 
Synaptikel und Pseudosynaptikel sind vorhanden, unregelmässig angeordnet, 
niemals eine Wand bildend. Traversen spärlich. 

Die systematische Stellung dieser Gattung ist nicht ganz sicher. Erauvon 
stellte dieselbe in die Nähe von Trocharaea und Microsolena und ZiTTEL 
vereinigte sie mit Microsolena«. Demgegenüber machte Prarz darauf auf- 


Thamnaraea. 153 


merksam, dass die Septen gegen Aussen zu in zackige, oft gebogene Linien 
übergehen, was bei Microsolen« nicht der Fall ist. Er hielt desshalb die 
Gattung Thamnaraea aufrecht. Kosy beobachtete, dass die Septen aus un- 
regelmässig angeordneten Trabekeln aufgebaut seien, wesshalb er die Gattung 
zu den Pseudoastraeinae irregulares Prarz (und damit in die Nähe von 
Haplaraea und Diplaraea) stellte. Fruıx legte das Hauptgewicht auf die Ent- 
wicklung eines Coenenchyms. Desswegen und wegen der gröberen Septen ent- 
fernte er die Gattung von den Pseudoastraeinae und stellte sie'zu den Poritidae. 

Die Septen sind aber in Thamnaraea anders wie in Porites gebaut. 
Sie bestehen aus engstehenden kleinen Trabekeln wie bei Zurbinaria oder 
Madrepora. Man kann bei Thamnaraea zwischen einem inneren Theil mit 
wenig zahlreichen, compacten Septen und keinen Synaptikeln unterscheiden 
und einem äusseren Theil, in welchem die Costen sehr zahlreich sind, sich 
unregelmässig biegen und in einzelne Trabekel auflösen, die mit den Syn- 
aptikeln und den wenigen Traversen ein lockeres Coenenchym bilden. Man 
hätte hier also ähnliche Verhältnisse wie bei Zurbinaria oder Madrepora z. B., 
wo sich ein Kelch mit compaeten Septen von einem äusseren lockeren Coenen- 
chym unterscheiden lässt. Dagegen sind bei Porites die Septen innerhalb 
des Kelches ganz ähnlich wie die Costen gebaut und durch Synaptikel mit 
einander verbunden. 


Thamnaraea arborescens Erarzon. — Taf. XI, Fig. 6. 


1864. Thamnaraca arborescens Tuurn. u. Er. Leth, Bruntr. p. 412. pl. 58. Fig. 5. 
1880—89. en » Kosy. Polyp. Jur. p. 411. pl. CX. Fig. 2, 3, 4, 5, 6. 


Von dieser Art liegen nur zwei cylindrische Bruchstücke mit einem 
Durchmesser von 6—8 mm vor, welche oben und unten abgebrochen sind. 

Die Kelche sind gut ausgeprägt, ziemlich weit entfernt, im Quincunx 
und am Aste diametral gegenüberstehend.. An dem auf Taf. XI, Fig. 6 
(Stramberg) abgebildeten Bruchstück z. B. befinden sich 4 Kelche, 2 oben, 
2 unten. Septen ca. 30—36, gleich dick, einige aber kürzer als die anderen, 
ungefähr die Hälfte erreicht das Centrum. Die Septen biegen zum Theil recht- 
winklig um und laufen in Streifen parallel mit der Längsrichtung des Astes. 

Allgemeine Bemerkungen: Wenn auch die Beschreibung Erauuox’s 
nicht sehr vollständig ist, so kann man doch nach den Abbildungen kaum 
zweifeln, dass die Stramberger Form mit der Erauzon’s identisch ist. Diese 
Art zeichnet sich durch den geringen Durchmesser der Aeste, sowie durch 
den grossen Abstand der Kelche und die regelmässige Stellung derselben aus. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Ignatziberg, Caquerelle, Soyhieres, 
Blauen. 


154 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Thamnaraea pulchella Ocınvır. — Taf. X, Fig. 14. 


Korallenstock kleine dicke Aeste bildend, auf schmalem Stiel wachsend, 
Durchmesser des Astes 8—10 mm. Kelche regelmässig auf dem Ast ange- 
ordnet, mit seichter Grube. Durchmesser des Kelches I—1', mm. 8—10 
Septen reichen bis zum Säulchen. Am Kelchrand schiebt sich noch eine 
geringe Zahl von Septacosten ein. Der Verlauf der Costen ist sehr unregel- 
mässig. Ein Zusammenfliessen derselben ist selten zu beobachten. 

Allgemeine Bemerkungen: Die geringe Grösse der Kelche, die 
geringe Zahl der Septen und das grosse hervortretende Säulchen sind die 
charakteristischen Merkmale dieser Art. Thamnastraea pusilla Kosy sieht 
auf den ersten Blick der 7%. pulchella sehr ähnlich. Kosy erwähnt aber 
das Vorhandensein einer Epithek und deutliches Zusammenfliessen der Septen. 
Allerdings scheinen auf meiner Abbildung (Fig. 14a) die Septen ebenfalls 
zusammenzufliessen, was aber der Fehler des Zeichners ist. 


Noch zu erwähnen sind einige Abbildungen, die auch eine äusserliche 
Aehnlichkeit haben. Sie finden sich als Astraea gracilis GoLpr. (QuEnsT. 
Sternk. Taf. 175. Fig. 25) und Thamnastraea concinna GoLDF. sp. (BÖLSCHE, 
Zeitschr. d. d. geol. Ges. 1866 p. 452) in der Literatur. 

Miraschewirz hat die Exemplare von Börschz untersucht und war der 
Meinung, dass sie zu A. gracilis GoLDF. zu rechnen sei und dass beide Arten 
wohl aufrecht zu erhalten wären und wahrscheinlich zu Mierosolena gehören. 
Ich habe das Original-Exemplar von A. graeilis GoLpr. untersucht und stimme 
in Bezug auf seine Zugehörigkeit zu A. gracilis mit MiwAscHhzwirz überein. 
Von Th. pulchella unterscheiden sich diese Arten durch die feinere Struktur 
der Septen und Costen., 


Zahl der untersuchten Exemplare: 6. 
Fundorte: Stramberg, Koniakau, Ignatziberg. 


Familie: Stylinidae KTunzinGer. 


Zusammengesetzte, massiv astroidische Stöcke, im letzteren Fall Kelche 
meist durch Septocosten, selten durch ächte Wand verbunden. Aechte Wand 
nur selten, Pseudotheka immer (zwischen Septen und Septocosten) vorhanden. 
Die Septen sind radiär angeordnet, an Grösse und Dicke immer alternirend, 
wenig zahlreich; nie mehr als 3 vollständige Cyelen im Kelch (innerhalb der 
Pseudotheka) vorhanden. Der erste Cyclus umfasst an Zahl 6, 12, 4, 8, 5 
oder 10 Septen. Oberrand der Septen glatt oder fein gezähnelt; Seitenflächen 


Stylinidae. 155 


mit feinen Granulationen versehen. Die 'Traversen sind flach (Tabulae) oder 
mehr blasig entwickelt. Die Vermehrung erfolgt durch marginale Knospung, 
seltener durch Septalknospung (Theilung). 

Die Gattungen, die ich hieher rechne sind: Stylina, Heliocoenia, Diplo- 
coenia, Cyathophora, Cryptocoenia, Convexastraea, Colummastraea, Placocoenia, 
Phyllocoenia, Holocoenia, Anisocoenia, Siylosmilia, Holocystis, Acanthocoenia, 
Pentacoenia, Aplocoenia, dann die palaeozoische Gattung Decaphyllum. 

Die Gruppe der Stylinaceen wurde bekanntlich zuerst von Mıunz Epv- 
wArps und HaAımz als eine Untergruppe der mit ganzrandigen Septen ver- 
sehenen Eusmilinae aufgestellt. Die Stylinaceen würden sich danach von 
den übrigen zusammengesetzten Eusmilinen durch die Art der Vermehrung, 
nämlich Knospung (anstatt Theilung) unterscheiden. 

Seit Mine EpwArvs und Haımz wurden an dieser Gruppe verschiedene 
Veränderungen vorgenommen. 

FromEnTeL entfernte daraus die Gattungen Phyllocoenia, Heterocoenia 
und Elasmocoenia', da die Intercalyeinalräume nicht mittelst Septocosten, 
sondern durch Coenenchym verbunden sind und stellte sie desswegen zu den 
Stylophoriden. (From. Ter. Cret. p. 497). 

Nebenbei sei gleich hier bemerkt, dass auch die Gattungen Stylocoenia 
E. u. H. und Psammocoenia Kogy zu den Stylophoriden gehören. 

Duncan legte dem Merkmale, ob die Septen ganzrandig oder gezähnt 
seien, nicht die grosse systematische Bedeutung bei, wie Mıuwz EpDwArDs 
und Hamm und löste desshalb die Gruppe der Eusmilinen auf. Ebensowenig 
hielt er die Stylinaceen im Sinne von MıuLnz EpwArps und Hamm mehr auf- 
recht, sondern vereinigte sie mit den Astraeaceen E. u. H. (als Subfamilie 
Astraeidae agglomeratae gemmantes). Das Ganze theilte er dann wieder in 
verschiedene Alliancen ab, deren jede sowohl Triben mit Genera mit 'ge- 
zahnten Septen, als auch solche mit ganzrandigen Septen enthielt. Es ist 
nicht nöthig auf die Veränderungen, die Duncan hier vorgenommen hat, 
näher einzugehen, da dieselben meiner Ansicht nach keinen Fortschritt be- 
zeichnen, allein ich möchte nur das eine hervorheben, dass die Gattungen 
Astrocoenia und Stephanocoenia von ihm als gezahnt beschrieben werden. 
Kogy, Frec# und Andere haben sich dieser Ansicht angeschlossen, dieselben 
aber bei den Astraeiden E. u. H. belassen. 

Wie ich in den Trans. Roy. Soc. London 1896 näher begründe, glaube 
ich, dass Astrocoenia und Stephanocoenia wegen ihrer feineren Struktur und 


t Mırne Epwarps u. Haıme sagen, dass das Coenenchym von Elasmocoenia blasige 
und blättrige Struktur besitze. Nach dieser Beschreibung wäre dieses Coenenchym ähnlich 
dem von Galaxea. Leider gibt es nur eine einzige Abbildung von Elasmocoenia (E. explanata 
Micn. Icon. Pl. 51, Fig. 3), dieselbe zeigt indess auch Spuren von Üostalstreifen auf der 
Oberfläche des Stockes. 


156 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


wegen der Art der Verbindung benachbarter Kelche zu den Stylophoriden 
zu stellen sind. Diese beiden Gattungen wurden bereits oben p. 146 aus- 
führlicher behandelt. 

Wie schon oben (p. 113) auseinandergesetzt wurde, halte ich die Gattung 
Schizosmilia für identisch mit der bis jetzt zu den Stylinaceen gezählten 
Gattung Placophyllia, wesshalb ich beide unter dem älteren Namen Placo- 
phyllia vereinigte und zu den Amphiastraeiden stelle. Die Gattung Dendro- 
smilia E. u. H., welche ‘bis jetzt nur durch eine einzige im Eocaen vor- 
kommende Art vertreten ist, gehört meiner Ansicht nach nicht zu den Styli- 
niden, sondern zu den Oculiniden. Die Gattung Galaxea ist in den Trans. 
Roy. Soc. London 1896 von mir ausführlich behandelt und repräsentirt eine 
selbständige Gruppe, wenn sie auch durch Uebergänge mit den Styliniden 
verknüpft ist. 

Ein Vergleich der devonischen Gattung Decaphyllum, welche FrecH 
aufgestellt hat, mit der jurassischen Gattung Heliocoenia Er. zeigt, dass 
Decaphyllum hinsichtlich der Anordnung der Septen vollständig mit Helio- 
coenia übereinstimmt. Die Gattung Heliocoenia wurde von FErauzon erst 
nach der Errichtung der Gruppe der Stylinaceen durch MıLse EpwArps und 
Haıne aufgestellt und zu den Stylinaceen gerechnet. Hinsichtlich des Septal- 
baues sagt Eıraunon von Heliocoenia dass 6 grosse und 4 nur wenig kürzere 
Septen vorhanden seien. Von den grossen Septen vereinigen sich zwei 
gegenüberstehende mit dem Säulchen. Zwischen diese 10 grössere Septen 
schiebt sich, damit alternirend, ein zweiter Cyclus kleiner, rudimentärer ein. 
Nebenbei bemerkt Erauuon noch, dass einige Formen, die bisher als Mad- 
repora beschrieben wurden, hieher zu stellen seien, da diese Formen (abge- 
sehen von den beiden langen gegenüberstehenden Septen) nicht das für Mad- 
repora charakteristische poröse Gewebe besitzen. Frect bildet auf p. 71 
(Zeitschr. D. G. Ges. 1885) Fig. d. einen vollkommen entwickelten Kelch von 
Decaphyllum Koeneni ab, dessen Septalbau, wenn man von den Buchstaben 
G und H! absieht, die Gegen- und Hauptseptum bezeichnen sollen, vollständig 
auch nach Erauvon’s Beschreibung mit dem von Heliocoenia übereinstimmen 
würde. Das Gleiche gilt für den (loc. eit. Taf. 8, Fig. 6a) abgebildeten 
Kelch. Ferner bemerkt Frech, dass er bei dieser Gattung die fiederstellige 
Anordnung der Septen nicht beobachten konnte. Ausserdem sagt er, dass 
die stärkere Entwicklung zweier Septa ein eigenthümliches Analogon zu der 
tertiären und lebenden Madrepora bilde. Frecw#'s Abbildung (Taf. 8, Fig. 6) 
zeigt an der Oberfläche des Stockes zwischen den Kelchen beträchtliche 
Zwischenräume, die gar keine weiteren Details erkennen lassen. Doch sagt 


1 Auch Orrsann erwähnt (Zool. Jahrb. Bd. IV. Abth. für System., Geogr. und 
Biologie p. 568), dass der Septalbau radiär sei und dass der verwickelte Versuch von 
Frech, den Bau auf die Vierzahl zurückzuführen, überflüssig sei. 


Stylinidae. 157 


er (p. 72), dass coenenchymatisches Blasengewebe vorhanden zu sein scheine, 
dessen Beobachtung jedoch durch den schlechten Erhaltungszustand erschwert 
werde und ferner, dass ein Dünnschliff erkennen lasse, dass die Septen noch 
wesentlich weiter in das Coenenchym fortsetzen. Auch Erauuon bemerkt, 
dass die Septen sich nicht weit über den Kelchrand fortsetzen und dass die 
Intracalycinalräume mit feinen Granulationen bedeckt seien. 

FrecH stellte seine Gattung Decaphyllum in die Nähe von Phällips- 
astraean und Pentaphyllum. Heliocoenia wurde, wie schon erwähnt, von 
Erauuon zu den Stylinaceen gestellt und dieser Ansicht schlossen sich dann 
die übrigen Autoren an. Duncan betrachtet Heliocoenia sogar als ein Sub- 
genus von Sfylina. Aus diesem Grunde halte ich mich für berechtigt, auch 
das mit Heliocoenia in so wesentlichen Punkten übereinstimmende Genus 
Decaphyllum zu den Styliniden zu stellen. 

Was nun die von Frech behauptete Aehnlichkeit zwischen Pentaphylium 
und Decaphyllum betrifft, so ist diese nur herauszufinden mittelst der von 
FrecHn angenommenen Rückbildung des Hauptseptums und Gegenseptums in 
Decaphyllum. 

Dr Konmnck beschreibt bei Pentaphyllum zwei Paare von Primärsepten 
und ausserdem noch das Haupt- und das Gegenseptum. Nach pr Konmnck 
ist aber das Hauptseptum wenig entwickelt, wesshalb er die Gattung Penta- 
phyllum heisst. Zugleich weist er auf die Analogie hin, die wegen dieser 
Rückbildung des Hauptseptum zwischen Pentaphyllum, Anisophyllum und 
Baryphyllum besteht. Frec# wiederholt diesen Vergleich und dehnt ihn 
zugleich auf seine Gattung Decaphyllum aus. Wenn er Decaphyllum in die 
Nähe von Pentaphyllum stellt, so kann ich ihm hierin nicht zustimmen, da 
Pentaphyllum ebenso wie Anisophyllum und Baryphyllum eine Einzelkoralle 
ist und bilaterale Symmetrie, sowie ausgesprochen fiederstellige Anordnung 
der Septen zeigt und desshalb zweifellos zu den Zaphrentiden gehört. So 
sehen wir denn, dass die Styliniden bereits in der palaeozoischen Zeit be- 
ginnen, ihre Hauptblüthe indess erst in der Jurazeit erlangen und im Tertiär 
erlöschen. 

Mıtnz Epwarps hebt bereits hervor, dass in seiner Gruppe der Styli- 
naceen auch Genera vorkommen, bei welchen die Septa anders als nach der 
6-Zahl angeordnet sind. Er behandelt dieselben indess als exceptionelle Fälle 
und trägt kein Bedenken dieselben mit 6-zähligen Stylinaceen zu vereinigen 
und mit ihnen zu den Hexakorallen zu stellen. In einigen Fällen allerdings 
verfährt er anders. So errichtete er für eine ursprünglich als Oyathophora 
beschriebene Art ein neues Genus Holocystis, da bei dieser Form die Septen 
nach der 4-Zahl angeordnet waren und stellt dieses Genus eben desshalb zu 
der Familie der Stauridae unter die Rugosen. Wie ich bereits öfter aus- 
einandergesetzt habe, halte ich eine Eintheilung der Korallen in Tetrakorallen 


158 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


und Hexakorallen nicht für richtig. Ich finde nun, dass gerade die Styliniden 
hinsichtlich der verschiedenen Zahl der Primärsepten für unser Verständniss 
der Septalanordnung bei den sog. „Hexa“-korallen und für die Beziehungen 
der Hexakorallen zu den „Tetra“-korallen von Bedeutung sind. Bei den 
Gattungen Heliocoenia und Decaphyllum sind die Septen „decamer“ ange- 
ordnet und gleichzeitig auch ausgesprochen bilateral. Andererseits haben 
manche Arten von Stylinen 10 Primärsepten, die aber keine bilaterale An- 
ordnung zeigen, sondern ganz radiär sind. Die palaeozoische Gattung Deca- 
phyllum wurde ohne weiteres zu den Rugosen (Tetrakorallen) gestellt, die 
Decastylinen dagegen zu den Hexakorallen. 

Die cretaceische Gattung Holoeystis mit 4 deutlich ausgesprochenen 
Primärsepten wurde zu den Stauriden und damit zu den Rugosen gestellt, 
während die 8-zähligen Stylinen, die sonst in allen wesentlichen Merkmalen 
mit Holocystis übereinstimmen, bei den Hexakorallen belassen wurden. 

Die ceretaceische Gattung Heterocoenia, mit 3 Primärsepten, wurde zwar 
als „Ausnahmsfall“ betrachtet, aber doch zu den Hexakorallen gerechnet, 
obwohl bei derselben Gattung, wenn sie in palaeozoischen Ablagerungen ge- 
funden worden wäre, mit Sicherheit diese 3 Septen als Haupt- und Seiten- 
septen erklärt worden wären. 

Die Gattungen Acanthocoenia und Pentacoenia aus der unteren Kreide 
besitzen nur 5 Primärsepten, eine Erscheinung, die D’OrBIGNY, der die Gat- 
tungen aufstellte, durch Verkümmerung des sechsten Septums erklärte. Bei 
der earbonischen Gattung Pentaphyllum hingegen wurden von den 5 längeren 
Septen 3 als Gegenseptum und die Seitensepten erklärt, während die 2 
übrigen als Septen betrachtet wurden, die auf beiden Seiten des kleinen 
Hauptseptums stehen. Endlich kommt es unter den sonst als hexamer be- 
schriebenen Stylinen fast ebenso oft vor, dass 12 Septen gleichmässig ent- 
wickelt sind, wie dies mit 6 Septen der Fall ist. 

Wenn nun bei einer Gruppe, wie bei den Stylinen, deren Gattungen 
hinsichtlich der Art ihres Wachsthums, ihrer Kelehverbindungen, ihrer Ver- 
mehrung so sehr übereinstimmen und constant bleiben, in Bezug auf die 
Zahl der Primärsepten solche Differenzen bestehen, so ist das sicherlich nicht 
als zufällige oder als abnorme Erscheinung aufzufassen. Das Verständniss 
dieser auffallenden Erscheinung bei einer Korallengruppe, die hauptsächlich 
dem mesozoischen Zeitalter angehört, wird erleichtert, wenn wir einerseits 
die Entwicklung und Einschiebung der Septen bei alten palaeozoischen 
Korallentypen und andererseits die Ergebnisse von entwicklungsgeschichtlichen 
Studien hinsichtlich der Entstehung der Mesenterien und Septen bei recenten 
Korallen berücksichtigen. 

Wie durch die Untersuchungen Kuntn’s nachgewiesen wurde, schieben 
sich bei den meisten palaeozoischen Korallen die Septen paarweise ein und 


Stylinidae. 159 


zwar fiederstellig in einer bestimmten Anordnung zu zwei ursprünglich ge- 
bildeten Richtungspaaren. Bei Untersuchung verschieden alter Embryonen 
fand man bei verschiedenen Gruppen, dass auch die Mesenterien, innerhalb 
welcher sich die ersten Septen entwickeln, sich paarweise einschieben und 
zwar in einer bestimmten Anordnung zu zwei Paaren von Richtungsmesenterien, 
in ganz analoger Weise, wie dies bezüglich der Septen und der Richtungs- 
Septen bei palaeozoischen Korallen der Fall war. Bei der verhältnissmässig 
geringen Zahl der Korallen dagegen, bei der die Embryonen in dieser Rich- 
tung untersucht wurden, schieben sich die Septen fast gleichzeitig und in 
grösserer Zahl ein, es sind nämlich 12'. Wegen des Unterschiedes, der 
demnach hinsichtlich der Zahl und Anordnung der zuerst gebildeten Septen 
zwischen den palaeozoischen und den jungen Korallen bestehen würde, hat 
HäÄcken nach dem Vorgange von MıLse EpwArps und HAımE und Kuxte die 
Korallen in zwei grosse Gruppen geschieden, nämlich in die (palaeozoischen) 
Tetrakorallen und die (jüngeren) Hexakorallen. Bei den ersteren sollen sich 
die Septa paarweise (vom Haupt- und von den Seitensepten aus), bei den 
letzteren dagegen in Cyclen einschieben. Diesen scheinbaren Gegensatz ver- 
mitteln nun die im mesozoischen Zeitalter reichlich vertretenen Familien der 
Amphiastraeiden und Styliniden. Wir haben bereits bei Betrachtung der 
Gattungen der Amphiastraeiden gesehen, dass sich die ersten Septen paarig 
und in derselben Stellung einschieben, wie bei den meisten palaeozoischen Ko- 
rallen, sie sind aber nicht fiederstellig angeordnet. Die Zahl der zuerst ge- 
bildeten Septen (Primär-Septen) ist bei den Amphiastraeiden sehr variabel (4, 
8, 10, 12 sind die gewöhnlichen Zahlen), sie sind bilateral, nie vollständig radiär 
angeordnet. Von Cyclen im eigentlichen Sinne des Wortes kann man hier 
nicht sprechen, es wechseln hier eben nur längere und kürzere Septen ab. 


Bei den Stylinen dagegen sind die Primärsepten radiär angeordnet und 
nur in geringer Zahl vorhanden (4, 6, 8, 10, 12). Wenn nun auch diese 
Zahlen bei einzelnen Arten constant bleiben, so kann man doch an denselben 
auch kleinere Kelche beobachten, die weniger Primärsepten haben. Ich 
konnte paarige Einschiebung der Septen (2, 4, 6, 8, 10) in jungen Kelchen 
bei Stylina tubulifera, Heliocoenia dendroidea und Anderen beobachten. Ge- 
rade das Stadium mit vier Septen, in Kreuzform angeordnet, kommt sehr 
häufig vor. 

Auch p’AcHıarpı erwähnt, dass er oft hinsichtlich der Bestimmung von 
Stylinen im Zweifel war, da er an ein und demselben Stück Kelche mit 6, 
8 oder 10 Primärsepten fand. (Cor. Giur. p. 71). Daraus schliesse ich, dass 
die Septen bei den Stylinen auch paarweise eintreten, wenn sie auch, da sie 


t Mırne EpwArvs nahm an, es würden sich zunächst 6 und darauf wieder 6 Septa 
einschieben. 


160 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


radiär gebaut sind, eyclische Anordnung zeigen. Dass bei den Styliniden die 
paarige Einschiebung der Septen noch nachzuweisen "ist, hat seinen Grund 
jedenfalls darin, dass bei dieser Gruppe die Septalzahl verhältnissmässig ge- 
ring bleibt, während bei Gruppen mit sehr zahlreichen Septen, wie bei den 
Cyathophylliden oder Astraeiden die Septen sich sehr rasch einschieben, wo- 
durch dann die paarige Anordnung zurücktritt. 


So haben wir denn folgende Stadien in der Anordnung der Septa: 


bei den Zaphrentiden, Septa sich paarweise einschiebend, bilateral und 
fiederstellig. 

» „» Amphiastraeiden, Septa sich paarweise einschiebend, bilateral, 
aber nicht fiederstellig. 

» » Stylinidae, Septa sich paarweise einschiebend, radiär, „Cyelen“ 
zu unterscheiden. 

» »  Jurbinoliden, Fungiden, Astraeiden, paarige Anordnung der 
Septa nicht mehr nachzuweisen, radiär, viele „Cyelen“ nach- 
zuweisen. 

Nur nebenbei sei bemerkt, dass auch noch bei anderen Gattungen als 
bei den Styliniden Spuren von paariger Einschiebung der Septen zu be- 
obachten sind. Dies ist der Fall bei Astrocoenia und Stephanocoenia, Gat- 
tungen, die desswegen früher zu den Styliniden gestellt wurden, jetzt aber 
als Astraeiden betrachtet werden; ferner öfters bei den Oculiniden, namentlich 
bei den jurassischen Gattungen Enallohelia und Tiaradendron, sowie bei der 
noch lebenden Madracis. Auch die Gattung Madrepora weist eine sehr ver- 
verschiedene Zahl der Septen (2, 6, S, 10, 12) auf, was jedenfalls auch für 
eine frühere paarweise Einschiebung der Septa spricht. 

Was mir nun für die Phylogenie der Korallen wichtig erscheint, ist 
nicht die Anordnung der Septen nach der 4- oder 6-Zahl, sondern das ein- 
fache Grundgesetz, dass die Septa ursprünglich paarweise eintreten und dass 
die weitere Einschiebung von Septen bei irgend einer beliebigen Zahl (der 
Paare) aufhören und für eine bestimmte Art constant bleiben kann, so dass 
man in den verschiedensten Korallen-Gruppen und allen geologischen Perioden 
die Zahlen 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14 etc. im Septalbau vertreten findet. Das 
war für mich einer der Gründe, warum ich in den Philos. Trans. Roy. Soc. 
London 1896 die Eintheilung der Korallen in Tetra- und Hexakorallen auf- 
gegeben habe. 

Nachdem wir nun den Septalbau der Styliniden und auf Grund des- 
selben die Beziehungen zu anderen Familien erörtert haben, seien kurz noch 
die Merkmale besprochen, die für die Styliniden besonders charakteristisch 
sind und die sie von den anderen gleichzeitigen und nächstverwandten Familien 
unterscheiden, 


Stylinidae. 161 


Bekanntlich kann man im Kelch der Styliniden 2 Zonen unterscheiden, 
einen Innenraum und einen Aussenraum, von denen gewöhnlich nur der innere 
von den Autoren als Kelch bezeichnet wird. Die innere Zone ist von der 
äusseren durch seitliche Verdickung der Septen (Pseudotheka) begrenzt. Die 
Verlängerungen der Septen in den Aussenraum werden als Septocosten be- 
zeichnet. Dieselben werden manchmal aussen durch eine echte Kelchwand 
begrenzt (Diplocoenia), bald sind sie mit den Septocosten der benachbarten 
Kelche confluent (Stylina), bald schieben sie sich nur zwischen die Costen 
der Nachbarkelche ein, ohne damit zu verschmelzen oder lassen kleine mit 
Traversen erfüllte Zwischenräume zwischen den Kelchen (Convexastraea), bald 
werden die Costen ganz kurz und die Zwischenräume sind durch eine Art 
Coenenchym ausgefüllt (Decaphyllum, Heliocoenia). Derartige Uebergänge 
leiten dann über zu Formen wie HPlasmocoenia und Galazxea, in welchen die 
Zwischenräume zwischen den Kelchen nur mit blasigem Coenenchym aus- 
gefüllt sind. 

Ebenso wie bei den Styliniden kann man auch bei den Amphiastraeiden 
zwei Zonen im Kelch unterscheiden. Es ist das die innere Zone mit flachen, 
dicht gestellten Traversen und die äussere Zone mit grossem, blasigem 
Gewebe erfüllt. Diese beiden Zonen sind nicht durch eine Pseudotheca 
getrennt, sondern werden nur durch die steiler und senkrecht übereinander 
gestellten blasigen äusseren Traversen begrenzt. Es giebt nun auch bei den 
Amphiastraeiden ganz ähnliche Uebergänge wie bei den Styliniden. Bei 
manchen reichen die verlängerten Septen durch die äussere grossblasige Zone 
bis zur Wand (Thecidosmilia) und ziehen sich nur während der Entwickelung 
einer neuen Taschenknospe davon zurück. Bei anderen reichen die Septen 
nie ganz bis zur Wand, sondern lassen nur blasiges Gewebe zwischen beiden 
frei (Phyllastraea und Pachygyra). Da nun bei Phyllastraea und Pachygyra, 
ebenso wie bei den meisten Styliniden, die echte (äussere) Wand sich rück- 
bildet, heisst es, dass die Kelche durch blasiges Coenenchym verbunden seien. 

Nach dem Sprachgebrauch umfasst bei den Amphiastraeiden der Kelch 
sowohl das äussere, grobblasige Gewebe, als auch die innere Zone mit den 
engeren und flacheren Traversen. Bei den Styliniden hingegen bezeichnet 
man als Kelch nur die innerhalb der Pseudothek gelegene Zone. Es würde 
also dem Amphiastraeiden-Kelch bei den Styliniden sowohl der eigentliche 
(Styliniden-) Kelch, als auch die äussere, meist mit Costen durchsetzte Zone 
entsprechen. Sobald man die Dinge so betrachtet, werden manche anderen 
Beziehungen klar. So würde die endothekale (Taschen-) Knospung bei den 
Amphiastraeiden der sogenannten „marginalen extracalyeinalen“ Knospung der 
Styliniden entsprechen. Die Scheidewand, welche bei den Amphiastraeiden 
die neugebildete Knospe abtrennt und mit der Wand eine Tasche bildet, 
entspricht der neugebildeten Wand eiuer Styliniden-Knospe, die sich von der 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 11 


162 Die Korallen der Stramberger Schichten, 


Innenzone abzweigt und dann in der äusseren Zone nach oben wächst. Da 
nun die früheren Autoren nur die innere Zone der Styliniden als Kelch be- 
trachtet haben, mussten sie consequenter Weise diese Knospe als extracaly- 
cinal bezeichnen. Alles was ich bisher über die Analogie der Kelche zwischen 
den Amphiastraeiden und den Styliniden auseinandergesetzt habe, gilt auch 
für die Amphiastraeiden und massive, coloniebildende Astraeiden (Heli- 
astraea, Favia, Phyllocoenia ete.), da diese letzteren in Bezug auf Kelchzonen, 
getrennt durch Pseudotheka, mit den Styliniden übereinstimmen. Gerade 
diese Uebereinstimmung zwischen beiden weisst darauf hin, dass die Styliniden 
und diese Astraeiden von nahe verwandten palaeozoischen Vorfahren ab- 
stammen. 

Die Unterschiede nun, welche zwischen den Styliniden und derartigen 
Astraeiden bestehen, beruhen hauptsächlich auf der feineren Structur der 
Septen. Betrachten wir z. B. die Septen von Siylina und andererseits die 
Septen von Heliastraea, der typischen Gattung der Astraeiden, so sehen wir 
zunächst, dass bei Helkastraea die Septen über die Pseudotheka sehr hervor- 
ragen, während bei Stylina die Septen fast im der gleichen Höhe wie die 
Mauer aufhören. Ferner ist der Septalrand von Heliastraea mit sehr deutlich 
ausgeprägten Zähnen versehen und auf den Seitenflächen bemerkt man Granu- 
lationen, «die senkrecht zum Oberrand der Septen verlaufen und am Rande 
in einem Zahn endigen. Der Septalrand von Stylina ist nach der Angabe 
der früheren Autoren ganzrandig und auf den Seitenflächen finden sich Granu- 
lationen, die parallel zum Oberrand des Septums verlaufen. An gut erhaltenen 
Exemplaren fand ich allerdings, dass der Septalrand sehr feine Zähnelung 
zeigt, wie ich sie für die Gattung Galawea beschrieben und abgebildet habe. 
Die Uebereinstimmung zwischen beiden wurde weiter bestätigt durch die Unter- 
suchung von Dünnschliffen verschiedener Stylmiden-Gattungen. Das Stylina- 
Septum besteht aus lauter feinen und gleichmässig angeordneten Trabekeln, 
die von der Pseudotheka schief nach oben und in gerader Linie zum Septal- 
rand verlaufen, wo dann jeder Trabekel in eines der femen Zähnchen aus- 
läuft. Die Granulationen auf den Trabekem sind klein und nicht stark 
hervortretend. 

Entsprechend den gröberen Zähnen am Septalrand und den stärkeren 
Granulationen auf den Seitenflächen von Heliastraea ist hier die feinere 
Struetur der Septen viel eomplieirter. Die Trabekeln sind stärker als bei 
(len Styliniden und haben in jedem Wachsthumssegment mehrere Caleifications- 
centren, während die Styliniden nur ein solches haben. 

Bei den Styliniden sind ferner die Traversen sehr flach und bodenautig, 
während sie bei den Astraeiden blasiger und gegen den Kelchrand höher an- 
steigend sind. 

Die bei palaeozoischen Korallen und bei Amphiastraeiden so häufige 


Diplocoenia. 163 


Vermehrungsart der Septalknospung konnte ich sowohl bei den Styliniden 
wie den Astraeiden nachweisen, wenn auch dies bis jetzt meines Wissens 
noch nicht erwähnt wurde. Hier erstreckt sich die Septalknospung gewöhn- 
lich nur über einen kleinen Theil des Kelches in der Nähe des Kelchrandes. 
Ich fasse die Septalknospung überhaupt nur als einen bestimmten Fall der 
Theilung auf. Ich konnte diese Vermehrungsart bei der recenten Gattung 
Goniastraea sehr oft beobachten. 

Es sei noch zu erwähnen, dass die fast ausgestorbene Gruppe der Styli- 
niden grosse Aehnlichkeit mit den noch lebenden Gruppen der Stylophorinae 
und Poeilloporinae hat. Sie stimmen sowohl im Bau, wie in der Anordnung 
der Septen, sowie wegen des Vorkommens bodenartiger Traversen überein. 
Bei den Stylophorinae und den Poeilloporinae findet man indess zwischen den 
Kelchen keine Verlängerungen der Septen, sondern nur Coenenchym. 


Gen. Diplocoenia Fromenter. 
(non Diplocoenia Duncan) 


1857. Diplocoenia From. Pol. Foss. de l’&t. Neoc. p. 38. 
13858—61. Diplocoenia From. Introd. p. 183. 

1855-61. Stylina (pars) From. Introd. p. 188. 

1859. Actinocoenia Krauz. Haut-Jura. p. 71. 

1359. Stylina (pars) , " p- 65, 

1875— 76, Stylina (pars) Becker. Natth. Kor. p. 147. 
1876—80. Diplocoenia Zırrer. Handb. p. 262. 

1880. Diplocoenia v’Acn. Cor. Giur. p. 9. 

1850—89. Diplocoenia Kopy. Polyp. Jurass. p. 68, 542, 567. 


Zusammengesetzte massive, knollige oder ästige Stöcke bildend. Septen 
regelmässig in Cyclen nach der 6-, 8- oder 10-Zahl angeordnet. Septo- 
Costen bis zu einer äusseren echten Wand reichend. Säulchen stark, griffel- 
förmig, mit den Primärsepten verwachsend. Traversen zahlreich, blasig. 

Das Vorkommen einer (äusseren) echten Wand neben einer (inneren) 
Pseudotheka ist das Hauptmerkmal, welches diese Gattung von Stylina unter- 
scheidet. Diese äussere echte Wand bei Diplocoenia ist deshalb interessant, 
weil sie beweist, dass bei den Styliniden eigentlich der Kelch vom Kelch- 
centrum bis halbwegs zu den benachbarten Kelcheentren reicht und dass man 
somit bei Styliniden gar nicht von Costen reden sollte. Dadurch ergiebt sich 
auch, dass die Pseudotheka nur die Grenze zweier verschiedener Traversen- 
zonen ist. Diese beiden Zonen haben ja bekanntlich auch in der Familie 
der Cyathophylliden grosse Bedeutung und auch hier findet man wie an der 
Grenze zwischen der äusseren und der inneren Blasenzone häufig eine Pseudo- 
thek gebildet wird, dann tritt meist auch die ursprüngliche echte (äussere) 
Wand etwas zurück. 

alılss 


164 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Diplocoenia elathrata Erazı. sp. — Taf. XVII, Fig. 5, 5a. 
1859. Actinocoenia clathrata Er. Haut-Jura p, 73. 
1864. Diplocoenia 3 From, Introd. p. 184. 
1864. „ 5 3 Cor. env. de Gray p. 20. 


Korallenstock massiv, knollig oder mit breit convex gerundeter Ober- 
fläche. Durchmesser des Stocks ca. 45 mm. Kelche dichtstehend, unregel- 
mässig von einander entfernt. Durchmesser 1',—2', mm. Kelchgrube 
wenig vertieft. Drei vollkommen entwickelte Cyclen von Septen sind vor- 
handen. Die 6 Septen des ersten Cyclus erreichen mit ihren keulenförmigen 
Fortsätzen das Säulchen, die des zweiten und dritten Cyclus sind entsprechend 
dünner und kürzer. Die Costalverlängerungen der drei Cyclen sind gleich- 
mässig fein entwickelt. Die innere Wand ist rundlich und hervorragend, die 
äussere Wand ganz fein und in einer Furche gelegen. Traversen sehr fein 
und häufig. 

Allgemeine Bemerkungen: Die Diplocoenia clathrata ist sowohl 
durch die gleichmässige und feine Entwicklung der Septocosten, als auch 
durch die gedrängte Stellung der Kelche von den übrigen Diplocoenia-Arten 
zu unterscheiden. Die meiste Aehnlichkeit mit Diplocoenia_ clathrata hat eine 
von Kogy beschriebene Art D. Matheyi, die aber nur 12 Septen hat und 
deren Kelche weiter auseinanderstehen. Die mir vorliegenden Stücke waren 
gut erhalten und liessen den oberen Septalrand als sehr fein gezackt er- 
kennen, dagegen waren die Trabekeln auf der Septaloberfläche kaum zu ver- 
folgen. Der Epithek war in glatt abgeriebenem Zustand, überzog jedoch die 
ganze Unterseite des Stocks. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Fundorte: Koniakau, Stramberg; ausserdem Valfin. 


Diplocoenia spissa BECKER sp. — Taf. XVII, Fig. 6. 


Stylina spissa Becker. Natth. Kor. p. 147, Taf. 37, Fig. 4. 
Diplocoenia profunda v’Acu. Cor. Giur. p. 9, Taf. 17, Fig. 3. 


Korallenstock flach, mit gerundeter Oberfläche, Kelche rundlich, Durch- 
messer 1,5 mm. Entfernung zwischen den Kelchcentren 2,5—3,5 mm. Das 
Säulchen ist gross, hervorragend und griffelförmig. Die Septen sind in 
2 Cyclen von 10 angeordnet. Der erste Cyclus erreicht das Säulchen, der 
zweite ist sehr kurz. Ueber den inneren Rand legen sich neue Costalradien 
herüber, die mit den Septocosten alterniren. Im Ganzen reichen dann 
40 gleichdicke Costen von innen bis zum Aussenrand des Kelchs. Die Aussen- 
wand ist ausgesprochen polygonal. 


Diplocoenia Invaldensis. 165 


Allgemeine Bemerkungen: p’Acaıarpr hat schon eine grosse Aehn- 
lichkeit der Nattheimer Art mit seiner Diplocoenia profunda gefunden, zweifelte 
aber, ob er diese Art zu der Gattung Diplocoenia rechnen dürfte. An dem 
in der Münchener Sammlung aufbewahrten Original-Exemplar der Nattheimer 
Art konnte ich ihre Zugehörigkeit zur Gattung Diplocoenia feststellen und 
p’AcnHıarpr's Zweifel beseitigen. Schon die Abbildung von BEckER lässt eine 
äussere Wand deutlich erkennen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Stramberg, ausserdem Nattheim, Monte Pastello. 


Diplocoenia Inwaldensis Ocızvıe. — Taf. XVIII, Fig. 7, 8, 8a. 


Korallenstöcke kleine knollige Massen mit gerundeter Oberfläche. Kelch- 
gruben seicht. Kelche regelmässig von einander entfernt. Kelchdurchmesser 
1—1,3 mm. Die Entfernung von Centrum zu Centrum beträgt 2 mm. Hexa- 
merale Anordnung der Septen in 3 Cyclen. Die Septen des ersten Cyclus 
erreichen das Säulchen. Die des zweiten Cyclus sind um ein Drittel kürzer 
und etwas dünner. Alle zwölf haben verdickte innere Fortsätze. Viel feiner 
und ganz kurz sind die Septen des dritten Cyclus. Die Verlängerungen an 
Septen als Costalradien alterniren auch bedeutend in ihrer Dicke. Die äussere 
Wand ist fast regelmässig hexagonal. Das Säulchen ist griffelförmig, oft 
etwas breitgedrückt. Die Traversen ganz regelmässig geordnet. 

Allgemeine Bemerkungen: Der niedrige Habitus und die geringe 
Grösse des Korallenstocks sind für diese neue Art bezeichnend. Diplocoenia 
caespitosa Er. sp. unterscheidet sich von D. Inwaldensis durch einen ästigen 
Stock und durch kleinere, mehr von einander entfernte Kelche. Der Habitus 
und die Grösse des Stocks von D. stellata Krauvon sp. ist der oben be- 
schriebenen Art ähnlich, hat aber nur 12 Costalradien. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 9. 
Fundort: Inwald bei Krakau. 


Diplocoenia multiseptata Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 9, 9a. 


Korallenstock kugelige Massen bildend. Durchmesser 60 ><45. Kelch- 
durchmesser 3—8,5 mm. Entfernung der Kelchcentren von einander 5—6 mm. 
Die Kelchwände sind etwas hervorstehend, die Grube seicht. Die Zahl der 
Septen ist 24, in 3 Cyclen von verschiedener Grösse und Dicke angeordnet. 
In den grössten Kelchen finden sich einige ganz rudimentäre Septen eines 
vierten Cyclus. Die Zahl der Costen beträgt 72, dieselben sind fein und 
gleichmässig entwickelt. Das Säulchen ist stark griftelförmig. Die Traversen 


166 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


liegen im costalen Theil dichter übereinander wie im Innern des Kelchs. 
Die äussere Wand ist unregelmässig polygonal. 

Allgemeine Bemerkungen: Die grosse Zahl der feinen Septocosten 
unterscheidet D. multiseptata von allen bis jetzt beschriebenen Arten. Am 
nächsten stehen: Stylina tenax Er. und Stylina semitumularis Er. aus dem 
„Astartien“. Beide haben aber eine geringere Zahl der Septalcosten. Das 
eine von mir untersuchte Exemplar ist wohlerhalten und zeigt feine regel- 
mässige Zähne am Oberrand der Septen und Costen. Intercalycinale Knos- 
pung findet häufig statt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg. 


Gen. Heliocoenia Er. 


1843. Madrepora (pars) Mıc#. Icon. Zooph, pl. 25, Fig. 5. 

1849. Lobocoenia (pars) D’Orz. Note polyp. foss. p. 7. 

1857. Stylina (pars) Epw. u. H. Hist. natur. des Corall. 

1859. Heliocoenia Erarı. Haut-Jura p. 74. 

1858—61. Stylina? From. Introd. p. 193. 

1858—61. Stylohelia „ pls0! 

1876—80. Stylina Zırret. Handb. p. 262. 

1880—89. Heliocoenia Kogy. Polyp. jurass. pp. 63, 539, 267, pl. OXXIX, Fig. 4. 


Zusammengesetzte, massive, knollige oder ästige Stöcke bildend. Zwei 
gegenüberliegende Septen sind grösser und vereinigen sich mit der Columella, 
so dass der Kelch hiedurch in zwei gleiche Häften getheilt wird (Haupt- 
und Gegen-Septum). Ausserdem noch auf jeder Seite des Haupt- wie Gegen- 
Septums ein paar längerer bis fast zum Kelchcentrum reichender Septen. 
Darauf schiebt sich noch zwischen diesen letzteren Septen und den Haupt- 
resp. dem Gegenseptum ein paar kürzerer Septen ein, so dass nunmehr 
10 stärkere Septen, die als Septen 1. Ordnung beschrieben werden, vorhanden 
sind. Anordnung der Septen indess bilateral und nicht radial. Pseudotheka 
und äussere echte Wand vorhanden. Traversen zahlreich, blasig. 


Heliocoenia unterscheidet sich von Diplocoenia hauptsächlich durch die 
Vereinigung zweier gegenüberstehenden Septen mit dem Säulchen und die 
zugleich bedingte Bilateralität des Kelches. Allerdings verwischt sich manch- 
mal in älteren Kelchen von Heliocoenia diese Bilateralität, indem die ur- 
sprünglich ungleich grossen 10 Interseptal-Segmente im Kelch später gleich 
gross werden, und die Septen dann radiären Bau annehmen, wie es bei de- 
cameren Stylinen und Diplocoenien der Fall ist. (Vergleich mit Decaphyllum 
Frec# siehe oben pp. 156 —157.) 


Heliocoenia Humberti. 167 


Heliocoenia Humberti Er. — Taf. XVII, Fig. 3, 3a. 


1859. Heliocoenia Humberti Er. Haut-Jura p. 75. 
1858—61. Siylina? Humberti From. Introd. p. 193. 
1830—89, Heliocoenia Humberti Kovx. Poly. jur. p. 675, C. XXVII, Fig. 3, 3a, 4. 


Korallenstock, längliche oder kugelige Masse. Die untersuchten Exem- 
plare erreichten die Höhe von 50—60 mm. Durchmesser bis zu 100 mm. 
Kelche dichtgedrängt mit hervorragenden Wänden, nicht elliptisch. Durch- 
messer 1 mm. Abstand der Kelchcentren 1—2 mm. Die Septen sind in 
2 vollständigen Cyclen zu 10 vorhanden, zwei gegenüberstehende von dem 
Primärcyclus mit den hervorragenden Säulchen verwachsen. Die für Helio- 
eoenia charakteristische Stellung der Septen ist bei dieser Art sehr deutlich. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundort: Stramberg, ausserdem: Valfın und Oyonnax. 


Heliocoenia dendroidea Er. — Taf. XVII, Fig. 10, 10a. 


1859. Heliocoenia dendroidea Erarz. Haut-Jura p. 76. 
1858—61. Stylina? dendroidea From. Introd. p. 195. 


Korallenstock ästig, mit knolliger Oberfläche, Durchmesser eines Astes 
1,5 cent. Kelche kreisförmig mit wenig erhabenen Wänden in unregelmässigen 
Abständen. Kelchdurchmesser 1 mm. Abstand der Kelchcentren 1,5—2 mm. 
Zwanzig Septen in 2 Cyclen zu 10 sind vorhanden. Die des ersten Cyclus 
in der Weise angeordnet, wie schon oben für die Gattung angegeben wurde. 
Zwei davon fast immer mit den Säulchen fest verwachsen. Kelchknospen 
finden sich häufig unter den grösseren Kelchen zerstreut. 

Allgemeine Bemerkungen: nv’Acn. zählt Stylina digitiformis unter 
den hexameren Stylinen auf, bemerkt aber dabei, dass er öfter an ein und 
demselben Exemplar Kelche mit 6, 8 oder 10 Septen gefunden hat. Da nun 
in der Grösse des Kelchs und dem Habitus des Stocks seine Art ganz der 
von Eratvon beschriebenen gleicht, ist es nicht ausgeschlossen, dass er 
Heliocoenia dendroide« vor sich gehabt hat. Umsomehr bin ich zu dieser 
Ueberzeugung gekommen durch die Beobachtung, dass in meinen Exemplaren 
die Septen der jungen Kelche paarig erscheinen. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 
Fundorte: Stramberg, Koniakau, ausserdem: Valfin. 


168 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Genus $tylina Lamaxcr. 


1812. KHasciceularia Lam. Extrait du Cours. 

1816. Stylina Lam. Hist. du anim. sans Vert. Taf. II, p. 220. 

1826. Astrea (pars) Gpr. Petref. Germ. Taf. I, p. 73. 

1830. Gemmastrea und Branchastrea Braınv. Diet. des sc. nat. p. 353, 346. 

1843. Astrea (pars) MıcH. Icon. Zooph. p. 118. 

1849. Stylina Epw. u. H. Ann. des Sc. nat. Ser. 3° Taf. X p. 237. 

1849. Lobocoenia, Conocoenia, Adelocoenia, Tremocoenia, Cryptocoenia (pars), 
Dendrocoenia, Aplosastrea (pars) D’Orz. Note sur des pol. foss. pp. 6, 7, 9. 

1850. Octocoenia, Decacoenia, Pseudocoenia v’Ors. Prodr. Taf. II, p. 38. 

1857. Stylina Epw. u. H. Hist. nat. des Corall. Taf. II. p. 282. 

1859. „ Kmarı. Haut-Jura p. 62. 

1858—61l. „ From. Introd. p. 185. 

1862. » From. Monogr. des Polyp. jur. sup. p. 26. 

1875—76. „ (pars) Becker. Natth. Kor. p. 141. 

1876—80. „ (pars) Zırwer. Handb. Bd. I. p. 262. 

1884, » Duncan. Madreporaria p. 109. 

1880—89. „ Kosy. Polyp. Jur. pp. 73, 542, 567. 


Zusammengesetzte massive, knollige oder ästige Stöcke. Kelche durch 
Costen und Traversen verbunden. Septen regelmässig in Cyclen nach der 6, 
5 oder 10-Zahl angeordnet. Primärsepten mit dem griffelförmigen Säulchen 
stellenweise verwachsen. Traversen zahlreich, blasig. 


Auf die Bedeutung der Pseudothek, welche die Kelche in 2 Zonen 
scheidet, sowie auf das Fehlen der echten äussern Wand wurde bereits oben 
bei Besprechung der Familie der Styliniden, sowie der Gattung Diplocoenia 
hingewiesen. 


Stylina granulosa From. — Taf. XVII, Fig. 2, 2a. 
1862. Stylina granulosa FromenteL. Monogr. des Polyp. Jur. sup. Etage Portl. p. 32. 


Korallenstock nahezu kugelige Massen von 4—5 cm Durchmesser bildend. 
Kelchwände etwas über die Stockoberfläche hervorragend. Kelche dicht ge- 
drängt, der Durchmesser von 1—1,8 mm varürend. Abstand der Kelch- 
centren 353mm. Zwei Cyclen von Septa von hexamerer Anordnung und nahe- 
zu gleich gross, die des ersten Cyclus erreichen die Columella, jene des 
zweiten Cyclus etwas kürzer, Septa fein. Columella dick und cylindrisch. 
Rippen 24 an Zahl, dünn, mit leichter Krümmung in der Nachbarkelche 
verlaufend. 

Allgemeine Bemerkungen: Die kugelige Form des Stockes, sowie 
die geringe Grösse der Kelche unterscheiden diese Form sofort von fast 


Stylina arborea. 169 


sämmtlichen übrigen Hexastylinen mit 2 Cyclen von Septen. Am nächsten 
steht: Stylina (Astraea) bacciformis MicHELın (Icon. p. 225, pl. 54). 

Mit Miıcazuim’s Art verglichen, besitzen die Stramberger Exemplare 
eine viel beträchtlichere Grösse des Stockes; die Kelche haben im allgemeinen 
grösseren Durchmesser und zeigen nicht den gekerbten Rand der für Stylina 
bacciformis MICHELIN sp. charakteristisch ist. Obwohl Stylina granulosa von 
Fronmenten nicht abgebildet wurde, so dürfte sie, nach seiner Beschreibung 
zu schliessen, mit den mir vorliegenden Stramberger Formen identisch sein. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundorte: Stramberg, ausserdem im Portlandien von Gray-la-Ville. 


Stylina arborea v’Acnıarpı. — Taf. XVII, Fig. 1, 1a. 
1850. D’Achtarpı, Corall, Giurass. dell’ Italia settentrionale p. 58, Tab. 19, F. 8. 


Stock ästig, die Aeste dick, nahestehend, zuweilen frei, zuweilen ver- 
einigt, rund oder wenig elliptisch, an Durchmesser von 16—20 mm. Die 
Kelche ragen nur wenig über die Stockoberfläche hervor. Kelche kreisrund, 
von 1 mm bis 1,5 mm im Durchmesser. Abstand der Kelchcentren 2 mm. 
Zwei vollständige Cyclen von Septen von hexamerer Anordnung. Die des 
ersten Cyclus reichen bis zur Columella, jene des zweiten Cyclus nur halb 
so weit. Rippen, 24 an Zahl, fein, von gleicher Stärke, mit leichter Krüm- 
mung von Kelch zu Kelch verlaufend. 

Allgemeine Bemerkungen: Die Stramberger Form stimmt in allen 
wesentlichen Punkten mit St. arborea, welche p’AcHıAarpı (loc. op. cit.) be- 
schrieben und abgebildet hat, überein. Das gelegentliche Vorkommen eines 
unvollständigen dritten Cyclus von Septen, welches p’AcHıarvı erwähnt, konnte 
bei der Stramberger Form nicht beobachtet werden. Die Aehnlichkeit zwischen 
St. arborea v’Acn. und Comvewastrea dendroideaw FRoMm. (FROMENTEL: Introd. 
p. 195) und Environs de Gray, p. 22, Pl. 14, Fig. 4, 4a) ist sehr auffallend, 
obwohl nach FROMENTEL das Nichtvorhandensein eines Säulchens die Zu- 
gehörigkeit der französichen Art zu der Gattung Comvexastraea bestimmt. Da 
ich das Fromzxrev’sche Original nicht vor mir habe, muss ich mich seiner 
Ansicht anschliessen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Vorkommen: Stramberg, Ignatziberg, ausserdem: Monte Cavallo. 


Stylina Kotzobensis Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 4, 4a, 4b. 
Stylina mierocoma (2) v’Aca. Cor. Giur. p. 71, non S. microcoma D’ORB. 
Das mir vorliegende Bruchstück ist zu klein um die Form des Stockes 


erkennen zu lassen. Alles, was man beobachten kann, ist die radiale An- 
ordnung der Coralliten in einem massiven Stock. 


170 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Die anderen Verhältnisse lassen sich dagegen genau studiren. Kelche 
dicht gedrängt. In den Intercalycinal-Räumen leicht granulirte, gekrümmte 
Septo-Costen, 24 an Zahl und alle von gleicher Stärke. Kelchdurchmesser 
1 mm. Abstand der Kelchcentren 1,5 mm. Es sind 2 Cyclen von Septen 
von hexamerer Anordnung vorhanden. Die des ersten Cyclus reichen bis zur 
griffelförmigen Columella. 

Allgemeine -Bemerkungen: p’Achrarvı (Corall. Giur. p. 11) hat 
2 Fxemplare als St. microcoma »’OreB. beschrieben, doch setzte er ein 
Fragezeichen hinzu und gab leider keine Abbildung. Nach seiner Beschrei- 
bung stimmen indess alle Merkmale mit denen von Stylina Kotzobensis überein. 

Die von p’Orgıcny (Prodr. Vol. II, p. 34) und nach ihm von FROMENTEL 
und EpwArvs & Hame als St. microcoma beschriebene Form ist nirgends 
abgebildet und auch nicht mit der nöthigen Genauigkeit beschrieben um einen 
sicheren Vergleich mit der Kotzobenz-Form zu erlauben. DP’ORBIGNY er- 
wähnt nur einen Cyclus von Septen, während nach Angabe der anderen 
Autoren manchmal zwei Cyclen vorhanden sind. Ferner giebt D’ORBIGNY 
den Kelchdurchmesser kleiner als I mm an, sagt aber zugleich, dass St. 
Nantuensis D’Or»., welche Art er unmittelbar vorher (Prodr. Vol. I. p. 34) 
beschrieb, Kelche von 1 mm Durchmesser besitze, in allen übrigen Merk- 
malen aber mit Sf. microcoma übereinstimme. 

Da somit selbst die Identität der von p’Anusarpı beschriebenen Form 
mit dem p’OrgıcnY'’schen Original nicht ganz sicher ist, ist es zweckmässig, 
der Kotzobenz-Form einen neuen Namen zu geben. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Kotzobenz. 


Stylina foliosa Ocınvır. — Taf. XVI, Eig. 15, 15a, 15b. 


Korallenstock flache schalenartige Masse bildend, mit breit gerippter 
Fpithek auf der Unterseite. Kelche kreisrund, sehr klein, im Durchmesser 
5—7 mm. Entfernung der Kelchcentren 1,2—1,5 mm. Septen in zwei gut 
entwickelten Cyclen von 6. Der erste Cyclus das Säulchen erreichend, der 
zweite halb so gross. 12 gleichmässig und sehr fein entwickelte Costen sind 
vorhanden. In der seichten Kelchgrube ragt das Säulchen deutlich hervor. 

Allgemeine Bemerkungen: $. foliosa ist von den bis jetzt be- 
schriebenen mit 12 Septen versehenen Siylina-Arten leicht zu unterscheiden 
durch die auffallend geringe Grösse der Kelche, die Form des Stockes und 
die starke, gerippte Epithek. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg. 


Stylina sulcata. 171 


Stylina suleata From. — Taf. XV, Fig. 5, 5a. 


1858—61. Stylina sulcata From. Introd. p. 186. 
1864. 5 4 7 Polyp. cor. des env. de Gray p. 20, T. 12. F. 2. 


Korallenstock grosse runde, leicht elliptische Masse mit flacher Ober- 
fläche. Durchmesser 95 x 75 mm. Höhe SO mm. Kelche mit tiefer Grube 
und hervorragenden Wänden, Durchmesser 6 mm. Entfernung der Kelch- 
centren 7—8 mm. Unter den grösseren Kelchen finden sich viele kleinere, 
deren Durchmesser nur 3—4 mm beträgt. Die Septen sind in 3 voll- 
ständigen Cyclen vorhanden. Die 12 Septen der zwei ersten Cyclen sind 
gleichmässig entwickelt und erreichen fast das Säulchen. Die des dritten 
Cyelus sind wenig kürzer. Alle verlängern sich als gleichdicke Costen. Das 
Säulchen ist stark comprimirt. Die Traversen sind reichlich und regel- 
mässig vorhanden. 

Allgemeine Bemerkungen: Aehnlich dieser Art in Habitus und Kelch- 
grösse ist Sfyl. ablensis Er., hat aber das doppelte der Costen und weiter 
auseinanderstehende Kelche. Styl. Charcennensis From. hat ebenfalls gleich- 
grosse Kelche, unterscheidet sich aber durch einen anderen Bau der Septen. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundort: Stramberg, ausserdem: Charcenne. 


Stylina tuberosa Ocımvıe. — Taf. XVII, Fig. 6, 6a. 


Korallenstock halbkugelige Masse mit knolligen Oberflächen. Kelche 
dichtgedrängt, Durchmesser 1—1,5 mm. Abstand der Kelcheentren 2 mm. 
Die Kelchgruben sind ziemlich tief, die Wände scharf hervortretend. Septen 
in drei ungleich entwickelten Cyclen von sechs. Die des ersten Cyclus reichen 
bis zum Centrum und vereinigen sich vermittelst verdickten Fortsätze mit 
dem Säulchen. Costen, 24 an der Zahl, gleichmässig entwickelt. Traversen fein. 


Allgemeine Bemerkungen: Stfyl. tuberosa ist hauptsächlich durch 
ihre kleinen,. dichtgedrängten Kelche charakterisirt. Styl. echinulata Lam. 
hat grössere Kelche und einen höheren Stock. Aehnliche Kelche besitzt eine 
in St. Mihiel und in Nattheim vorkommende Art S£yl. Deluei DErr. sp., unter- 
scheidet sich aber durch eine grössere Zahl von Costen und Spuren einer 
äusseren Wand, die an die Gattung Diplocoenia erinnert. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 
Fundorte: Stramberg, Koniakau. 


172 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Stylina anthemoides Menx&en. sp. — Taf. XVII, Fig. 4, Aa. 


Stylina anthemoides v’Acn. Cor. Giur. p. 40, Taf. XVII, Fig. 8. 
5 irradians 5 n »„ pP. 56, Taf. XIX, Fig. 6. 


Stock massiv mit unregelmässiger, knolliger Oberfläche. Kelche dicht- 
gedrängt, kreisförmig, im Durchmesser 1 mm; von Kelchcentrum zu Kelch- 
centrum 1,5—1,75 mm. Die Wand ragt 5 mm über die Oberfläche hervor. 
Septen in 3 vollständigen Cyclen angeordnet. Der erste Cyclus von 6 Septen 
reicht fast an das Säulchen, der zweite ist um ein Drittel kürzer, der dritte 
nicht vollständig entwickelt und die Septen sind ganz rudimentär. Die inneren 
Enden der Septen des ersten und zweiten Cyclus haben verdickte Fortsätze, 
die vom ersten Cyclus verwachsen oft mit dem Säulchen. Die Traversen 
sind sehr flach und regelmässig angeordnet, zwischen den Kelchen wie 
Böden entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: p’AcHIArDı hat auf die Uebereinstimmung 
im Septal- und Costal-Bau, in der Kelchgrösse und dem allgemeinen Habitus 
bei Styl. anthemoides und Styl. irradians aufmerksam gemacht. Allein aus 
dem Grund, dass die Kelche etwas anders in den beiden Arten angeordnet 
waren, hielt er dieselben getrennt, zweifelte aber dabei, ob es nicht besser 
sei, die neue Art nur als Varietät der anderen zu betrachten. Diese letztere 
Ansicht scheint mir die allein gerechtfertigte. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Stramberg, ausserdem San Martino bei Mentone. 


Stylina Waldeekensis Er. — Taf. XVII, Fig. 3. 


1864. Stylina Waldeckensis Tuurm & Kraus. Leth. Bruntr. p. 372, pl. 111, Fig. 7. 
1889. COryptocoenia Waldeckensis Kosy. Polyp. Jurass. p. 466, pl. 125, Fig. 5. 


Korallenstock massiv, mit gerundeter Oberfläche, Kelche seicht mit 
wenig erhabenen Wänden, kreisförmig, nahe aneinanderstehend, Kelchdurch- 
messer 3 mm. Abstand der Kelchcentren 4—5 mm. Septaleyclen etwas un- 
regelmässig, in der Regel 6 Primärsepten, zuweilen 7 oft 8. Ein zweiter, 
ebenfalls gut entwickelter Cyclus ist kaum halb so lang wie der erste. Ein 
dritter Cycelus von sehr kurzen Septen ist nur unvollständig vorhanden. Die 
Zahl der Septenäste ist sehr verschieden, gewöhnlich entsprechen 12—16 den 
stärker entwickelten Septen. Die Traversen sind zahlreich, regelmässig an- 
geordnet und haben das Aussehen von Ringen in der Kelchgrube. 

Allgemeine Bemerkungen: Kopy hat diese Art zu der Gattung 
Oryptocoenia gestellt, weil er kein Säulchen in seinem Exemplare fand, be- 
merkt aber zugleich, dass sein Material schlecht erhalten war. Erauvon gab 


Stylina parvipora. 173 


ein tief in der Kelchgrube gelegenes Säulchen an, was auch für mein Exem- 
plar zutrifft. 

Besonders die gleiche Knospung bot mir günstige Gelegenheit, die Septen- 
einschiebung zu beobachten. Die Septen schalten sich paarig ein, zuerst 
wird der Kelch etwas elliptisch und in seine Längsaxe schiebt sich das erste 
Paar ein. Das zweite erscheint mit dem ersten eine schräge Kreisform 
bildend, und zwar näher am einen Ende des länglichen Kelchs wie am anderen. 
Diese 4 entwickeln sich stärker ehe das dritte Paar am andern Ende des 
Kelchs hinzutritt. Zugleich nimmt auch der Kelch eine andere Gestalt an. 
Die Entwicklung des zweiten Cyelus folgt zunächst. Während dessen ver- 
grössert sich der Kelch erheblich und wird ganz rund. In manchen Kelchen 
erscheint während der Entwicklung des zweiten Cyclus ein viertes Paar, das 
die Länge der ersten 3 Paare erreicht und die Zahl der Primärsepten bis 
auf S bringt. 

So hat man also bis zu der vollen Entwicklung des dritten Septenpaares 
einen länglichen Kelch mit bilateral symmetrisch angeordneten Septen vor 
sich, darnach aber einen runden Kelch mit radiär angeordneten Septen. Dies 
stimmt genau mit Beobachtungen über die Mesenterien-Entwicklung bei 
manchen lebenden Korallen (vergleiche auch oben p. 159). 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Stramberg, ausserdem Waldeck, Croix-Dessus. 


Stylina parvipora OcıLvıE. — Taf. XVII, Fig. 7, 7a. 


Korallenstock halbkugelig, mit knolliger Oberfläche. Durchmesser eirca 
50 mm. Die Kelche dicht und regelmässig angeordnet. Ihre Form kreis- 
förmig bis polygonal, die Wände hervorragend. Der Kelchdurchmesser be- 
trägt 0,5—1 mm. Der Abstand der Kelchcentren 1,3 mm. Die Septen sind 
in 3 Cyclen zu 6 angeordnet, der erste erreicht das Säulchen, der zweite 
wenig kürzer, der dritte rudimentär. 24 sehr feine Septocosten sind vorhanden. 

Allgemeine Bemerkungen: Die geringe Grösse der Kelche, das Vor- 
handensein dreier Cyclen von Septen unterscheidet diese Art von der bis 
jetzt beschriebenen Styl. Taramelli p’Acm. von Monte Pastello, (Cor. Giur. 
p- 11, Taf. 18, Fig. 7), die eine gewisse Aehnlichkeit hat, übertrifft aber 
Siyl. parvipora in der Grösse der Kelehe und der Anzahl der Septocosten. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Koniakau. 


Stylina milleporacea Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 8. 


Korallenstock flach, blattartig. Die Kelche sehr klein, regelmässig an- 
geordnet, kreisförmig und seicht. Kelehdurchmesser 0,5—0,75 mm. Abstand 


174 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


der Keleheentren 1 mm. Die Septen sind in 2 vollkommen entwickelten 
Cyclen von 8 angeordnet. Der erste reicht bis zum Säulchen, der zweite 
ist halb so lang. Alle sind als schwache, gleichmässige Septocosten verlängert. 
Traversen flach, regelmässig. 

Allgemeine Bemerkungen: Unter den octameren Stylinen hat diese 
Art weitaus die geringste Kelchgrösse, Am nächsten kommt eine von p’Acn. 
beschriebene Art S£yl. pleionantha, doch haben deren Kelche 1—1!/), mm 
Durchmesser und der Stock einen ästigen Habitus. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Koniakau. 


Stylina tubulifera Priwiprs. sp. — Taf. XVIH, Fig. 9. 


1829. Astraea tubulifera Pnız. Ilustr. of the Geol. of York p. 126, pl. 3, Fig. 6, 
1843. Stylina tubulosa MicH. Icon. Zooph. p. 97, pl. 21, Fig. 6. 

(non Astraea tubulosa GoLDF.) 

1548, Dentipora glomerata M’Coy. Ann. of nat. Hist. 2. ser., Taf. II, p. 399. 
1849. Stylina tubulosa Epw. & H. Ann. des sc. nat. 8e ser, T. p. 289. 

1850. Decacoenia Michelini v’Ore. Prodr. Taf. I, p, 33. 

1851. Stylina tubulifera Brit. foss. Cor. p. 76, pl. 14, Fig. 3. 

1852. Astraea decemradiata Quesst. Handb. der Petref. p. 648, pl. 57, Fig. 30. 
1857. Stylina tubulifera Evw. & H. Hist. nat. des Corall. Taf. II, p. 244. 


1839. 2 H Kravı. Haut-Jura, p. 69. 
1862. 5 S Tuurm & Er. Bruntr. p. 371, pl. 52, Fig. 5. 
1880—89. „ ” Kopy. Polyp. Jurass. p. 84, pl. XVII, Fig. 1, 2, 2a. 


Korallenstock unregelmässige flache Massen bildend. Kelchwände er- 
haben, kreisförmig, Durchmesser 2'/,—3 mm. 10 längere und 10 kürzere 
Septen vorhanden. Septocosten in doppelter Zahl, in der Grösse etwas alter- 
nirend. Säulchen hervorragend. Von den Septen nicht berührt. 

Allgemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegt mir nur ein einziges 
aber sehr gut erhaltenes Exemplar vor. Es liess sich daran erkennen, dass 
die Septen und Septocosten auf der Oberfläche sehr fein gezähnt und 
granulirt sind. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Ienatziberg, ausserdem Valfın, Oyonnax, Caquerelle, Soy- 
hieres, Blauen etc. 


Stylina brevieosta Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 1, 2, 2a. 


Korallenstock runde bis längliche Massen. Grösse eines Stockes 12><10 em. 
Die Kelche sind rund bis elliptisch in der Form, wenig erhaben, in unregel- 
mässigen Abständen. Kelehdurchmesser 2,5—3 mm. Entfernung der Kelch- 
centren 3Y/g mm. Septen in 2 Cyelen zu 10 angeordnet. Die der ersten 


h Cyathophora. 175 


stark und mit ihreu keulenförmig verdickten Enden das Säulchen fast er- 
reichend. Die des zweiten Cyclus sind ganz kurz und dünn. 40 gleichmässig 
entwickelte Septocosten sind vorhanden. Das griffelförmige Säulchen ragt in 
der Kelchgrube hervor. Traversen sind flach und liegen dicht übereinander. 
Allgemeine Bemerkungen: Von den nächststehenden decameren 
Stylinen, Styl. tubulifera, Styl. lobata, Styl. Ploti unterscheidet sich Stylina 
brevicosta durch ihre wenig erhabenen Kelche, den geringen Abstand derselben 
von einander und dem rundlichen Habitus des Stocks. Kopy beschreibt eine 
Styl. fenestranis aus dem Bathonien, die dieser Art jedenfalls sehr nahe steht. 
Die Kelche sind etwas kleiner und stehen auch etwas weiter auseinander. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 6. 
Fundorte: Stramberg, Stanislowitz, Kotzobenz. 


Gen. Gyathophora Micrkzurm. 


1326. Astraea (pars) Derr. Diet. sc. nat. p. 42. 

1843. Cyathophora Mıc#. Icon. p. 104. 

1349, Stylina (pars) Cyathophora (pars) Epw. und H. Ann. des Se. nat. ser, 3e- 
Tat 97290! 

1850. Cyathophora »’Ore. Prodr. II, p. 270. 

1856. Cryptocoenia (pars) D’Ore. Cours elem. de Pal. Taf. IT, p. 164. 

1857. Stylina (pars), Cyathophora (pars) Epw.u.H. Hist. nat. d. Corall. Taf. II, p. 270. 

1857. Cyathophora From. Polyp. foss. de let. neoc. p. 40. 

1859. n Kratr. Haut-Jura. p. 79, 

1858—61. Cryptocoenia From. Introd. p. 197. 

1875—76. Cyathophora BECKER u. Mirascn. Natth. Kor. p. 148. 


1376—80. n Zırrer. Handb. p. 262. 
1884. % Duncan. Madreporaria. p. 112. 
1880 — 89. : Kopgy. Polyp. Jurass. pp. 96, 541, 567. 


Korallenstock massiv, oben flach oder gerundet, Kelche durch Costen 
und Traversen verbunden. Septen wenig zahlreich, kurz, meist als Leisten 
entwickelt. Säulchen fehlt. Traversen stark, flach, bodenartig. 

Durch die scharf ausgeprägte bodenartige Beschaffenheit der Traversen 
und durch die kurzen Septen gewinnt Oyathophora einen ausgeprägt palaeo- 
zoischen Habitus. p’AchHsarpı stellte diese Gattung in die Gruppe der Ta- 
bulaten (ebenso wie Oryptocoenia). Man hat früher oft einen zu künstlichen 
Unterschied zwischen Tabulae und Traversen gemacht und auch auf das Vor- 
kommen des einen oder des anderen dieser Endothekalgebilde zu grossen 
Werth gelegt. Ob die Traversen sehr flach und bodenartig oder ob sie blasig 
sind, hängt damit zusammen, dass die Septen im ersten Fall sehr kurz sind, 
während sie im zweiten Fall weiter ins Centrum reichen, m der Regel bis 
zu einem Säulchen. Die übrigen Merkmale bei Cyathophora lassen übrigens 


176 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


keinen Zweifel darüber, dass sie wirklich zu den Styliniden gehört, wenn auch 
ein gewisser palaeozoischer Habitus sehr gut mit der durch andere That- 
sachen begründeten Annahme übereinstimmt, dass die Styliniden direkt von 
palaeozoischen Formen abstammen. 


Cyathophora Claudiensis Er. — Taf. XVI, Fig. 11 und 12. 


1839. Cyathophora Claudiensis Er. Pal. sur les terrains jurassiques du Haut-Jura. 
p19: 

1864. Cryptocoenia Claudiensis From. Polyp. Cor. des Envir. de Gray. 

1864. Cyathophora Bourgueti (non Drrr.) Turn. Er. Lethaea Bruntr. p. 378. 
Pl. 52, Fig. 8. 

1867. Astrea cavernosa (pars) Qurxst. Handb. der Petref. 2. Aufl. p. 778. 

1876. Cyathophora magnistellata Becker. Korallen der Natth. Schichten. p. 150. 

Taf. XXXVII, Fig. 6. 
1889, 5 Thurmanni Kosy. Polyp. Jur. de la Suisse. p. 47. pl. XXVI, 
Fig. 304. 


Korallenstock unregelmässig knollige Massen bildend. Kelche rund oder 
elliptisch. Durchmesser 5—7 mm. Von Kelcheentrum zu Kelcheentrum 8 mm. 
Septen in drei vollkommenen Cyclen, wovon der erste etwas in den Kelch 
hineinragt, während der zweite sehr kurz und der dritte rudimentär ist. Costen 
erhaben, gleich dick, 48 an der Zahl. Trennungslinie zwischen den Costen 
benachbarter Kelche immer bemerkbar. Böden horizontal, sehr dicht über- 
einander, auf 5 mm treffen 10—11. 


Allgemeine Bemerkungen: Kopy benannte diese Art als €. Thur- 
manni, während er in seiner Synonymie den früher von ErAtton gegebenen 
Namen (©. Olaudiensis anführt. Da die mir vorliegenden Exemplare sowohl 
mit den von Erarnon als von Kosy beschriebenen übereinstimmen, zog ich 
es vor den älteren Namen beizubehalten. Becker beschrieb eine Art ©. mag- 
nistellata, welche dieselbe Zahl an Septen und Costen wie ©. Olaudiensis be- 
sitzt und auch die nämlichen Kelchmerkmale aufweist. Infolge meiner 
eigenen Untersuchung der Nattheimer Exemplare habe ich dieselben mit ©. 
Olaudiensis identificirt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 10. ’ 

Fundorte: Kotzobenz, Wischlitz, Ignatziberg, Valfın, Caquerelle, Ste. 
Ursanne, Blauen, Nattheim, Sirchingen. 


Gyathophora Bourgueti Derr. sp. 


1826. Astrea Bourgueti Derr. Diet. des Sc. nat. Taf. XLII, p. 380. 
1826— 33. Astrea alveolata Goupr, Petref. Germ. Taf. I, p. 65. Taf. 22, Fig. 3b. 
1843. Cyathophora Richardi Mic. Icon. zooph. p. 104. Taf. 26, Fig. 1. 


Cyathophora. 177 


1849. Stylina Bourgueti (pars) MıLye EpwaArps und J. Hamme. Ann. des Sc. nat. 
3e ser. Taf. X, p. 290. 

1850. Stylina D’Ors. Prodr. de Paleont. Taf. II, p. 34, Etage 14 No. 548. 

1850. Cryptocoenia alveolata D’ORB. (pars). Prodr. I, p. 385, Et. 13, No. 617. 

1850. Cyathophora Richardi v’Ors. Prodr. Taf. II, p. 40, Et. 14, No. 620. 

1851. er Bourgueti MıLye EpwArps und J. Haıme. Pol. foss. des terr. 

palaeoz. p. 62. 

1852. Astraea cavernosa (pars) Quenst. Handb. d. Petref. 1. Aufl. p. 647. (2. Aufl. 
p. 778. 1867). 

1857. Cyathophora Bourgueti Mıuye EpwArps und J. Hame. Hist. nat. des Corall. 
Taf. II, p. 271. 

1858. Astraea cavernosa densicella Quexst. Jura. p. 702. Taf. 85, Fig. 5. 

1858—61. Cyathophora Richardi From. Introd. & l’etude des Polyp. foss. p. 279. 


nm 


1364. 5 s n Polyp. Cor. des env. de Gray. p. 27. 
1376. 5 Bourgueti Becker. Natth. Kor. p. 149. Taf. 37, Fig. 5. 
1880. Astraea alveolata Quexst. Petrefaktenkunde. p. 770, pl. 173, Fig. 13—16. 
1889. Cyathophora Bourgueti Kopy. Polyp. Jur. p. 99, pl. 26, Fig. 1—3. 


Korallenstock kugelig oder flach mit gerundeter Oberfläche, Kelche dicht 
gedrängt, ungleich in der Grösse, Durchmesser 4—6 mm. Septen sehr kurz, 
nur sechs sind wohl entwickelt. Am Rande des Kelches zählt man 24 dicke 
Costen. Die Böden sind stark, dicht übereinander gestellt, horizontal oder 
etwas convex; auf 5 mm treffen 6 Böden. 

Allgemeine Bemerkungen: €. Bourgueti ist eine der verbreitetsten 
oberjurassischen Arten, und kommt auch in Stramberg reichlich vor. Dünn- 
schliffe zeigten leider wenig von der feineren Struktur; gewöhnlich konnte 
man in den Schliffen eine deutliche Trennungslinie zwischen benachbarten 
Kelehen erkennen, 

Zahl der untersuchten Exemplare: 12. 


Fundorte: Kotzobenz, Stramberg, Koniakau; ausserdem Hofbergle, 
Fringeli, Locle, Nattheim, Heidenheim, Beiningen, Blaubeuren, Saint Mihiel, 
ÖOyonnax, Champlitte. 


Cyathophora tithoniea Ocızvıe. — Taf. XVI, Fig. 13. 


Korallenstock unregelmässige Massen mit gerundeter Oberfläche. Durch- 
messer des Korallenstocks 100 mm. Höhe ca. 100 mm. Kelche wenig er- 
haben mit unregelmässig polygonalen Umrissen. Kelchdurchmesser 2'/, bis 
3 mm. Entfernung von einem Kelchcentrum zum nächsten 4 mm. Von den 
vorhandenen zwei Cyclen von Septen sind die ersten Cyclus sehr gut ent- 
wickelt. Länge ?/, des Radius, die des zweiten Cyclus bedeutend kürzer. 
Alle sind als wenig entwickelte Costen verlängert. Regelmässige horizontale 
Böden (7 auf 5 mm) durchqueren den inneren Raum der Kelche, während sie 
dicht am Rande und ausserhalb der Kelche mehr blasig und gebogen werden. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 12 


178 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von allen 
früher beschriebenen durch geringe Kelche und ihre regelmässige getrennte 
Stellung. (©. faveolata Kopy hat kleine Kelche, die aber weit von einander 
stehen; auch der Septal- und Costalbau ist verschieden. Dünnschliffe von 
C. tithonica zeigten die charakteristische Mikrostruktur der Septen mit fast 
eontinuirlich fortlaufender dunkler Linie in der Mittelebene. Auch liessen 
sich eine grosse Anzahl von Septaldornen auf der Wand beobachten. Die 
Vermehrung der Kelche findet nicht nur durch marginale Knospung, sondern 
auch durch Theilung (Septalknospung) statt. j 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundorte: Stramberg, Koniakau. 


Gyathophora globosa Ocınvır. — Taf. XVI, Fig. 14 und 14a. 


Korallenstock halbkugelig oder stumpfästig gestaltet. Duchmesser 35 
bis 45 mm, Höhe 25—35 mm, Kelche rund oder schwach polygonal, an der 
Oberfläche wenig vorstehend. Kelchdurchmesser 3'/,—4 mm. Von Kelchcentren 
zu Kelchcentren 4—4!/, mm. Septen sehr schwach entwickelt, 12—16 an 
der Zahl, ausserdem sind zahlreiche Septaldornen auf der Kelchwand vor- 
handen. Costen nicht zu beobachten. Die Böden im Innern des Kelches 
sind horizontal, am Rand und ausserhalb blasig. 

Allgemeine Bemerkungen: Die gedrängte Stellung der Kelche, die 
fast rudimentäre Entwicklung der Septen, der Mangel an Costen und das 
reichliche Vorkommen von Blasen zwischen den Kelchen sind gute Merkmale, 
um diese Art von anderen zu unterscheiden. Des Habitus des Stockes wegen 
kommen unter jurassischen Arten nur ©. Pironae p’Acn. und C. Gressiyi in 
Betracht, beide haben aber grössere Kelche und besser entwickelte Septen. 
Eine Neocom-Art ©. Icaumensis erinnert sehr an diese Art, hat aber 6 gut 
entwickelte Septen. 

Vermehrung in ©. globosa findet oft durch intracalyeinale Knospung am 
Kelchrand statt und zwar entwickeln sich die Knospen in steil gestellten 
Blasen. Wir finden schon unter den Styliniden mehrere Fälle, wo ein zelliges 
Gewebe die Zwischenräume der Kelche ausfüllen und zugleich die Costen 
schwach oder sehr kurz entwickelt sind. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundorte: Kotzobenz, Koniakau. 


Genus Gonvexastraea n»’Orn. 


1826. Astraea (pars) GoLpr. Petref. Germ. Taf. I, p. 71. 
1849. Convexastraea D’OrB. Note sur des pol. foss. p. 9. 
1857. "N Eow. u. H. Hist. nat. des Corall. Taf. IT, p. 277. 


Convexastraea. i 


al 
wie} 


1858—61. Comvexastraea From. Introd. p. 194. 

1859. Convexastraea Erauv. Haut-Jura. p. 80. 

1862. n Frov. Monogr. polyp. jur. sup. p. 33. 
1862. Stylina (paxs) Trurm. u. Erate. Leth. Bruntr. p. 366. 
1875—76. Convexastraea BECKER. Natth. Kor. p. 150. 
1876—80. 5 Zirter. Handb. Bd. I. p. 263. 
1880. Astraea Quenst. Petrefaktenkunde. Bd. VI. p. 737, 
1854. Convewastraea Duncan. Madreporaria. p. 112. 
1880—89. cn Kosy. Polyp. jurass. pp. 101, 540, 567. 


Zusammengesetzte Stöcke, massiv, knollig, selten ästig. In den Inter- 
calyeinalräumen Costen, die nicht unmittelbar in die der Nachbarkelche fort- 
setzen, sondern sich häufig nur dazwischen schieben oder die schon früher 
endigen und nur mit Traversen verbunden sind. Säulchen fehlt. Traversen 
bodenartig entwickelt. 


Convexastraea sexradiata GoLpr. sp. — Taf. XVII, Fig. 11. 


1826. Astraea sexradiata GouLpr. Petref. Germ. p. 71, pl. 24, Fig. 5. 
1850. Stylina sexradiata vV’Ors. Prodr. Taf. I, p. 33. 
1551. Convexastraea sexradiata Enw. et H. Pol. foss. des terr. pal. 
1858. Astraea sexradiata Quenst. Der Jura. p. 701, pl. 85, Fig. 3. 
1861. Convexastraea sexradiata From. Introd. p. 195. 


1864. r 5 A Polyp. Corall. des env. de Gray. p. 22. 
1876. # e Becker. Natth. Korall. p.150. Taf. XXVII, Fig. 7. 
1880— 39. 5 n Kosy. Polyp. jurass. p. 103, pl. 25, Fig. 1—3. 


Korallenstock unregelmässige flache Massen bildend. Kelchdurchmesser 
1‘, mm; der Abstand der Kelchcentren beträgt 2—3 mm. Die Zahl der 
Septen ist 12 und zwar 6 längere, fast bis an das Kelcheentrum reichend 
und 6 ganz kurze rudimentäre. Alle ragen über die Wände als 12 gleich- 
mässige geradlinige Costen hervor. Bodenähnliche Traversen nehmen den 
Kelchraum fast ein. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 


Fundorte: Stramberg; ausserdem Nattheim, Giengen, Champlitte, Char- 
cenne, Fringeli, Bourrignon, Combe Chavatte, Delemont. 


Convexastraea minima Fr. sp. — Taf. XVII, Fig. 12, 12a. 


1862. Cyathophora minima Trurm. et Er. Leth. Bruntrut, p. 373, pl. 52. Fig. 9. 
1880—89. Convexastraea minima Kopy. Polyp. Jurass. p. 107, pl. XXV, Fig. 4 u. 5. 


Korallenstock stumpfästig oder unregelmässig und knollig. Kelche sehr 
regelmässig angeordnet. Durchmesser 1—1,3 mm. Von Kelchcentrum zu 


Kelcheentrum 2'/, mm. 6 Septen sind gut entwickelt, reichen jedoch mur 
12* 


180 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


bis zur Hälfte des Radius. Mit diesen alterniren 6 rudimentäre Septen. 
Sämmtliche bilden dicke Costen, welche mit jenen der benachbarten Kelche 
nicht zusammenfliessen. Böden sind gut entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: Dünnschliffe von mir vorliegenden Exem- 
plaren zeigten ab und zu die feinere Struktur der Septen. Eine etwas unter- 
brochene dunkle Linie verläuft in der Mittelebene, und die Kalkfasern starren 
in feinen Bündelchen gegen die Seitenflächen zu. Die innere Wand ist hier 
kaum bemerkbar; vielmehr ist eine regelmässige Unterbrechung zwischen den 
Septocosten von benachbarten Kelchen zu sehen, wenn auch keine Wand ge- 
bildet ist. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Fundorte: Koniakau; ausserdem Vieille Route, Locle. Env. de Bäle, 
Essert-Tainie. 


Genus Cryptocoenia »’Orr. 


1843. Astrea (pars) MıcH. Icon. p. 118. 

1849. _Adelocoenia (pars) v’Ors. Prodr. Taf. II, p. 52. 

1851. Stylina (pars) Eow. & H. Pol. foss. des terr. pal. p. 59. 

1852. Astraea (pars) Quenst. Jura. p. 732. | 

1856. Cryptocoenia (pars) v’Ors. Cours 6l&m. de pal. Taf. II, p. 164. 
1857. Stylina (pars) Eow. & H. Hist. nat. des Corall. Taf. II, p. 243. 
1859. ” „  Enarı.. Haut-Jura. p. 62. 

1858—61. „ „ From. Introd. p. 185. 

1858—61. Cryptocoenia From. Introd. p. 197. 

1375—76. Stylina (pars) Becker. Natth. Cor. p. 145. 

1876—80. Cryptocoenia Zırr. Handb. Taf. I, p. 262. 

1880—89. n Kosy. Polyp. jurass. pp. 96, 540, 563, pl. CXXIX, F.5, 6. 


Zusammengesetzte massive, knollige oder ästige Stöcke bildend, Kelche 
durch Costen und Traversen verbunden. Septen regelmässig in Cyelen nach 
der 6- oder 8-Zahl angeordnet. Säulchen fehlt. Traversen stark, flach, 
bodenartig entwickelt. 

Oryptocoenia unterscheidet sich von Stylina eigentlich nur durch den 
Mangel eines Säulchens. Damit hängt auch die Thatsache zusammen, dass 
die Septen, welche an der Peripherie ziemlich dick sind, sich gegen innen 
rasch zuschärfen. Auf Pl. 129, Fig. 5 und 9 hat Kopy 2 Kelchdurehschnitte 
(schematisch) dargestellt. 


Cryptocoenia compressa Kopy. 


Crytocoenia compressa Kosy. Polyp. Jurass. p. 87, Pl. XXXI, Fig. 1 und 2. 


Korallenstock in kurzen Aesten, etwas comprimirt. Durchmesser des 
Astes 20 >< 35 mm. Kelche schwach hervorragend, nahe aneinanderstehend 


Cryptocoenia. 181 


Durchmesser 1—1'/ mm, Entfernung von Kelcheentrum zu Kelcheentrum 
2—3'/ mm, Septen in zwei Cyclen von 6 angeordnet, der zweite ungefähr 
halb so lang wie der erste. Alle zwölf verjüngen sich gegen innen. Die 
Costen, 24 an der Zahl, gleichmässig aber schwach entwickelt. Bald fliessen 
die Costen von den benachbarten Kelchen zusammen, bald bilden sie mit- 
einander einen Winkel. 

Allgemeine Bemerkungen: Die von Kopy beschriebenen Exemplare 
dieser Art stammen von Wimmis; da einige Exemplare vom gleichen Fund- 
orte sich in der Münchener Sammlung befinden, bot sich mir günstige Ge- 
legenheit zu genauerer Untersuchung. Es ergab sich, dass die Costen, welche 
Kopy als wenig hervortretend angegeben hat, bei gut erhaltenen Stücken 
ganz deutlich und an ihrem Oberrand wie die Septen fein gezähnelt waren. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 


Fundorte: Stramberg, ausserdem Boltingen, Wimmis. 


Cryptocoenia Thiessingi Kosyr. — Taf. XVIH, Fig. 10, 10a. 
Crytocoenia Thiessingi Kosy. Polyp. Jurass. p. 86, Pl. XXIX, Fig. 2 und 2a. 


Korallenstock kleine knollige Massen bildend. Kelche gleichförmig oder 
elliptisch. Durchmesser 1°, mm, Entfernung von Kelchcentrum zu Kelch- 
centrum 2—2'/; mm. Kelchgrube ziemlich tief. Sechs längere Septen 
reichen fast bis an das Centrum; mit diesen alterniren 6 kürzere. Ihre 
Costal-Verlängerungen lehnen sich geradlinig aneinander an, oder stossen 
mit einem spitzen Winkel aneinander. 12 neue ganz kurze Costen schieben 
sich zwischen den Costalverlängerungen ein. Die Traversen sind als flache 
Böden entwickelt, die in kurzen Entfernungen übereinander stehen. 


Allgemeine Bemerkungen: In seiner Beschreibung dieser Art gibt 
Kosy an, dass die Costen zusammenfliessend sind. Obwohl dies in den mir 
vorliegenden Stücken nur selten der Fall ist, habe ich dieselben doch zur 
Kopgr’schen Art gestellt, da alle übrigen Merkmale genau übereinstimmen. 
In Dünnschlitfen, sowohl nach Längs- als Querrichtung, ist die starke Ent- 
wieklung einer inneren Wand zu bemerken. Bei gutem Erhaltungszustand 
konnte man auch die feinere Mikrostruktur der Septen und Costen wahr- 
nehmen. In der Mittelebene verläuft eine dunkle Linie aus gedrängten Centren 
der Caleification bestehend, von welcher die Kalkfasern fast parallel mit- 
einander nach beiden Flächen der Septen ausstrahlen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 


Fundorte: Stramberg, Wischlitz, ausserdem Caquerelle. 


182 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Familie Astraeidae E. u. H., emend. OciLvie. 


— Astraeinae E. u. H. (die Gruppe der Eusmilinae E. u. H. wurde aufgelöst). 


Einfache Korallen oder zusammengesetzte buschige, ästige oder massiv 
astraeoidische Stöcke, Kelche durch die Septen (Septocosten) oder eine Pseudo- 
thek, selten durch eine echte Wand verbunden. Septen dicht, sehr zahlreich, 
radiär angeordnet, am Oberrand deutlich gezackt, Seitenfläche der Septen mit 
Granulationen versehen, die auf den senkrecht zum Öberrand gerichteten 
Trabekeln angeordnet sind. Traversen blasig, gut entwickelt. Die Vermeh- 
rung erfolgt durch marginale Knospung und durch Septalknospung (Theilung). 

Von den Astraeinae E. u. H. wurden ausgeschlossen: Thamnastraea, 
Leptophyllia und verwandte Gattungen !, ferner Amphiastraea?, Circophyllia®, 
Epistreptophyllum*, Stylophyllum und Stylophyllopsis°’ und endlich Astro- 
coenia und Stephamocoenia ®. 

Die Zahl und Anordnung der Septen, sowie deren feinerer Bau und 
die mikroskopische Structur derselben, liefern die wichtigsten Merkmale zur 
Unterscheidung der Astraeiden von anderen Korallengruppen. Die cyelische 
Anordnung der Septen, welche Mıtne EpwaArps u. HaAımE sehr betonte, war 
besonders hauptsächlich bei den Eusmilinen gut entwickelt, die indess nun- 
mehr aus den Astraeiden entfernt wurden. Bei den Astraeiden in der Um- 
grenzung, wie ich sie fasse, lässt sich diese eyelische Anordnung nicht mehr 
so sicher erkennen und feststellen, da dieselbe durch die grosse Zahl der 
sich rasch entwickelnden Septen zurücktritt. Bei einer Anzahl Montlivaltien 


t Siehe unter Pseudoastraeinae Prarz, Ueber die verwandtschaftlichen Beziehungen 
einiger Korallengattungen, Palaeontographica Bd. XXX, p. 108 und p. 122. 

? Siehe unter Amphiastraeidae OGıuvıEz, Mieroscopice and systematie Study of Madre- 
porarian Types of Corals (Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896) auch oben p. 95; ferner 
sub. Cyathophyllidae Tribus Axophylliae Kosy, Pol. Jur. p. 419, 421, 432, 572. 

> Siehe Ocınvır, Trans. Roy. Soc. London 1896, vergleiche auch die Abbildung von 
Reıs, Korallen der Reiter Schichten, Geogn. Jahreshefte II. Jahrg,, Taf. III, Fig. 16. 

* MitAaschewirz, Nattheimer Kor. p. 210, stellte diese Gattung auf und rechnete sie 
zu den Fungiden; Zırrer, Handbuch I, p. 249, versetzte sie als Subfamilie zu den 
Astraeiden. Ich habe, Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896, meine Gründe angegeben, 
warum ich die Gattung zu den Eupsammiden stelle. Vgl. auch unten sub. Eupsammidae. 

5 Stylophyllum wurde von Revss, „Kreideschichten der Ostalpen“ zu den Tabulaten 
gestellt, später von FrecH nebst dem neuen Genus Stylophyllopsis zu den Astraeiden und 
zwar in eine Subfamilie Stylophyllinae, die nach Frech auf die Trias und Lias beschränkt 
war, In Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 habe ich die Verwandtschaft dieser Gat- 
tungen mit Episteptophyllum, Haplaraea, Desmosmilia hervorgehoben und dieselben dem- 
gemäss zu den Eupsammiden gestellt. 

6 Ich stelle dieselben zu der Stylophorinae, vergl. Philos. Trans. Roy. Soc. London 
1896 und oben p. 146. 


Astraeidae. 183 


und Thecosmilien mit sehr vielen Septen, wie sie namentlich im Jura vor- 
kommen, ist eine Anzahl von Septen, die den ersten 5 Cyelen entsprechen 
würde, fast gleich lang und gleich weit zum Kelchcentrum reichend, eine 
weitere Zahl von Septen, die dem 4. und 5. Cyclus entsprechen würde, ist 
relativ kürzer, aber unter sich ebenfalls nahezu gleich. Bei den weiteren 
Septen ist eine cyclische Anordnung überhaupt nicht mehr zu beobachten. 
Es versteht sich von selbst, dass bei Isastraeen, namentlich bei solchen, die sich 
rasch theilen, eine eyclische Anordnung erst recht nicht zu beobachten ist. 
Gerade durch die Anordnung der Septen unterscheiden sich die Astraeiden, 
eut von den Styliniden und den Amphiastraeiden. 


Ueber die feinere, mikroskopische Structur von den Septen verschiedener 
lebender Astraeiden-Typen habe ich in Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 
ausführliche Mittheilungen gegeben. Das Septum von Heliastraea, einer der 
typischsten Astraeiden, kann hier kurz beschrieben werden. 


Das Septum besteht aus zweierlei Arten von Trabekeln, nämlich aus 
einfachen, sowie aus zusammengesetzten Trabekeln.. Bei den einfachen 
Trabekeln liegen die Caleificationscentren in der Trabekelaxe und von 
hier strahlen die Fascikelbündel von Fasern nach aussen und oben. Die 
Septen von Galaxea, Styliniden und den Amphiastraeiden bestehen lediglich 
aus solchen einfachen Trabekeln. Die zusammengesetzten Trabekel dagegen 
kann man sich hervorgegangen denken aus mehreren innig verschmolzenen 
und ihrer Länge nach verwachsenen einfachen Trabekeln. Sie haben deshalb 
mehrere Calcificationscentren, die um die ideale Axe des zusammengesetzten 
Trabekels allerdings in unmittelbarer Nähe gruppirt sind. 

Da wo nun die Fascikelbündel die Seitenflächen der Septen treffen, 
entstehen auch bei den einfachen Trabekeln Granulationen. Auf den zu- 
sammengesetzten Trabekeln sind diese Granulationen manchmal sehr gross 
und stark hervorragend, dadurch, dass mehrere Fascikel zu einer Granulation 
verschmelzen. 

Die zusammengesetzten Trabekel bei Heliastraea laufen in die Spitzen 
der Zacken am Septaloberrand aus. Zwischen zwei zusammengesetzten Tra- 
bekeln sind (in der Medianebene des Septums) je 3—4 einfache Trabekeln 
eingeschaltet. Die in die Höhe steigenden Reihen von Granulationen ent- 
sprechen dem Verlauf der zusammengesetzten Trabekeln. 

Es ist nun charakteristisch, dass bei lebenden Astraeiden das Septum 
stets zusammengesetzte Trabekel enthält. Heliastraea bildet eine Art Zwischen- 
glied zwischen solchen Formen, die fast gänzlich aus zusammengesetzten 
Trabekeln bestehen und solchen, bei welchen die zusammengesetzten Trabekel 
weit auseinandergerückt sind, während eine grosse Zahl von einfachen Tra- 
bekeln dazwischen eingeschoben ist. 


184 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Man kann selten so genaue Beobachtungen auf Grund fossilen Materials 
machen, wie auf Grund lebender. 

Der Erhaltungszustand des mir vorliegenden Stramberger (Astraeiden-) 
Materiales liess nur die Sculptur der Septaloberflächen studiren, gab aber 
über die feinere mikroskopische Structur der Trabekeln keinen Aufschluss. 
Einige Montlivaltia-Schlifte, die ich von besser erhaltenem mesozoischem 
Material machte, zeigten alle die Trabekel in einem Septum aus radiär 
angeordneten, nach oben und aussen gerichteten Fasern bestehend. Dieser 
Bau gleicht demjenigen, den ich für die grössere, zusammengesetzte Trabekel 
in recenten Astraeiden-Septen nachgewiesen habe. Daraus würde ich schliessen, 
dass solche Montlivaltien-Septen nur aus zusammengesetzten Trabekeln be- 
stehen. Andere Schliffe, besonders von Trias-Montlivaltien, zeigten Septen 
aus einfachen Trabekeln bestehend, d. h. aus Trabekeln, deren Trabekel- 
Glieder nur aus zwei Faser-Bündeln (Faseikeln) gebaut sind. Indem die zwei 
Fascikel von einem in der Trabekelaxe gelegenen Calcificationscentrum nach 
den entgegengesetzten Seitenflächen ausstrahlen, bekommt infolgedessen ein 
solches Septum einen symmetrischen Bau auf beiden Seiten einer Mittellinie, 
den Trabekel-Axen entsprechend. Dieser Septalbau ist mir unter recentem 
Astraeiden-Material nicht bekannt. Am nächsten kommen die Septen in Formen 
wie Mussa, wo der Septalrand mit sehr ungleich grossen und wenigen Zacken 
versehen ist, wobei jede Zacke wieder fein gezähnelt ist. Diese Zähnelung 
auf der Zacke entspricht einer Anzahl einfacher Trabekeln, die von der Mitte 
der Zacke fächerförmig divergiren. Währenddessen sind ein oder mehrere 
Trabekel in der Mitte (d. h. der Spitze entsprechend) der Zacke „zusammen- 
sesetzt“, wie oben für Heliastraea beschrieben. Man weiss nun, dass die 
Kreide-Montlivaltien an dem Septalrand meistens grössere, längere Zacken 
haben, wie die Jura- und Trias-Montlivaltien, und möglicherweise haben wir 
das ungleich gezackte Mussa-Septum als eine spätere Modification der regel- 
mässig fein gezackten Septen der älteren Montlivaltien und Thecosmilien zu 
betrachten. 

Bei Astraeiden kann man beobachten, dass die Granulationen auf 
curvenförmigen Linien, welche dem Septalrand parallel verlaufen, neben- 
einander stehen. Der Abstand zweier Granulationen übereinander entspricht 
auch dem Abstand zweier Curven und man sieht zugleich auch, dass die 
Traversen ebenfalls ungefähr in demselben Abstand übereinander stehen. Ich 
habe nun früher auseinandergesetzt, dass der Abstand zweier Curven einer 
Wachsthumsperiode entspricht und habe deshalb den Theil des Septums 
zwischen zwei solchen Curven als Wachsthums-Segment, die Curven selbst aber 
als Wachsthumslinie bezeichnet. 

Ueber das Vorkommen eine Pseudotheka bei Astraeiden brauche ich 
wenig zu bemerken, da dieselbe vollkommen homolog der „inneren Wand“ 


Isastraea. 185 


in den oben behandelten Styliniden ist. Die Lage der Pseudotheka fällt ge- 
wöhnlich mit einer Linie m dem Septum zusammen, die ein Divergiren der 
Trabekel nach beiden Richtungen bezeichnet. Früher wurde von den Autoren 
nur derjenige Theil des Septums, in welchem die Trabekel nach innen und 
oben steigen als das eigentliche Septum, der andere Theil mit nach aussen 
und oben gerichteten Trabekeln als Costa betrachtet. Demgemäss war auch 
nur der Theil des Kelches innerhalb der Pseudotheka als Kelch angesehen. 
Die Beziehungen zwischen Astraeiden und Cyathophylliden gingen damit ver- 
loren. (Vergl. auch unten p. 156, echte Wand in Isastraea, echte Wand 
und Pseudotheka in Phyllocoeni«,) 

Unter dem mir vorliegenden Stramberger Material sind von Astraeiden 
nur 4 Gattungen, nämlich Isastraea, Thecosmilia, Rhabdophyllia, Montlivaltia 
vertreten. Bei allen diesen steigen die Trabekel nach der Innenseite der 
Septen in langen Bögen nahe der Kelchwand, dagegen sind sie mehr vertikal, 
und ganz aussen biegen einige sehr kurze Trabekel in den sogenannten „Costal“- 
Zacken um. Die Pseudothek ist bei diesen Gattungen verhältnissmässig 
schwach und nur dicht an der Kelchwand entwickelt. Zugleich sind auch die 
Traversen anders gestellt, dichter und stärker wie im Innern des Kelches. 
Die Art der Vermehrung ist unten, bei Bemerkungen über die Gattung 
Isastraea behandelt. 


Gen. Isastraea E. u. H. 


1826. Astraea (p.p.) und Agaricia (p.p.) Gotpruss. Petref. Germ. Taf. I, p. 69. 

1848. Prionastraea (p. p.) MiLne EpwaArps u. Haıme. Compt. rend. de l’Acad. des 
Sc. Taf. XXVII, p. 495. 

1849. Prionastraea, Maeandrophyllia et Dendastraea vD’ÜrBIGNy. Note sur des Pol. 
Foss. p. 9. 

1550. Prionastraea (p.p.) Mırye Epwarps und Haıme. Ann. des Sc. nat. 3. ser. 
Taf. XII, p. 127. 

1851. Isastraea Mıune Epwarps u. J. Haıme. Pol. foss. des Terr. palaeoz. p. 102. 


1857. n S = F Hist. Nat. Cor. Taf. II, p. 526. 
1357. r Pıcter. Trait& de Paleont. Taf. IV, p. 413. 

1858. n Erarrox. Ray. du Haut-Jura. p. 104. 

1860. „ FRomEnTEL. Introduction. p. 226. 

1562. 5 FRoMmENTEL. Monogr. Polyp. Jur. sup. p. 38. 

1884. # Duncan. Madreporaria. p. 123. 

1830—89. „ Kopr. Polyp. Jur. p. 269. 

1896. R —+- Latimaeandra v’OR2. p.p. FrecH. Triaskorallen. p. 19. 


Zusammengesetzte, massive, rundliche oder unregelmässig knollige Stöcke, 
Kelche sich innig berührend und dann polygonal oder ab und zu kurze Kelch- 
reihen bildend. Kelchgrube tief, Septen fein, zahlreich, am Oberrand deut- 
lich regelmässig gezackt. Ein falsches, papillöses Säulchen vorhanden. Tra- 


186 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


versen gut entwickelt, regelmässig angeordnet. Echte, dünne Wand vor- 
handen. Unterseite der Stöcke mit Epithek versehen. Vermehrung erfolgt 
sowohl durch intracalycinale Knospung als auch durch Theilung (Septal- 
knospung). 

Isastraew nimmt durch den Besitz einer echten Wand eine etwas ab- 
sonderliche Stellung ein und verhält sich ähnlich zu den Astraeiden, wie 
Diplocoenia zu den Styliniden. 

In analoger Weise, wie Diplocoenia auf eine Verwandtschaft der 
Styliniden zu den Cyathophylliden hinweisst, zeigt auch Isastraea mancherlei 
Anklänge zu den Cyathophylliden und verbindet dadurch bis zu einem ge- 
wissen Grade zusammengesetzte Astraeiden mit zusammengesetzten Cyatho- 
phylliden. Ebenso wie Isastraea besitzen auch einige triasische Phyllocoenia- 
Arten eine echte Wand. Ausserdem ist bei Phyllocoenia noch an der Grenze 
der beiden Traversenzonen eine (innere) Pseudotheka vorhanden. FRECcH 
sagt nun von triasischen Phyllocoenien: „Die Individuen sind stets deutlich 
geschieden; eime trennende äussere Mauer ist jedoch selten noch vorhanden, 
meist nur angedeutet; ein eigentliches Zusammenfliessen der Septa benach- 
barter Kelche tritt nicht ein.“ 

Mit dieser Rückbildung der äusseren Wand geht ein stärkeres Hervor- 
treten der inneren Pseudotheka Hand in Hand; wir haben also auch hier 
genau dieselbe Erscheinung, wie wir sie bereits oben (p. 163) bei der Gattung 
Diplocoenia kennen gelernt haben. Bei den jüngeren Phyllocoenia-Arten ist 
sodann von einer echten (äusseren) Wand nichts mehr zu sehen, vielmehr 
heisst es allgemein, dass die Kelche durch die Costen und Coenenchym ver- 
bunden seien. 

Die triasischen Arten von Isastraea und Phyllocoenia sind die ältesten 
Vertreter der Astraeiden mit massiven Stöcken. Es ist nun bedeutungsvoll, 
dass diese Gattungen, welche noch eine echte äussere Wand besitzen, gerade 
in der Triasperiode so reichlich vertreten sind, während bei den zahlreichen 
massiven, Jüngeren Astraeiden eine echte Wand meines Wissens nicht mehr 
selten vorhanden ist. Andererseits ist es bereits bekannt, dass auch bei den 
palaeozoischen Cyathophylliden-Gattungen Acervularia und Phillipsastraea die 
Tendenz bestand, die äussere echte Theka rückzubilden und dafür eine innere 
Pseudotheka zu bauen. Das ist eine neue Stütze für die Ansicht, welche ich 
schon früher auf Grund manch anderer Ergebnisse ausgesprochen habe, näm- 
lich dass zwischen den palaeozoischen Cyathophylliden und den jüngeren 
Astraeiden durchaus nicht die Kluft besteht, wie man bisher annahm, sondern 
dass mancherlei Gründe darauf hinweisen, dass die Astraeiden direct aus den 
Cyathophylliden hervorgegangen sind. 

Hinsichtlich der Zurechnung gewisser bis jetzt als Latimaeandra be- 
schriebener Formen zur Gattung Isastraea stimme ich mit FrecH überein. 


Isastraea. 187 


Man kann nämlich an typischen Isastraeen beobachten, dass zwischen den 
polygonalen Kelchen auch solche vorkommen, wo einige Kelche zu kurzen 
Reihen zusammentliessen. Diese Verschiedenheit der Kelcehform führt FrecH 
auf Wachsthumsverschiedenheiten zurück. Wenn man auf die Sache näher 
eingeht, findet man, dass diese Verschiedenheit auf verschiedene Arten der 
Vermehrung zurückzuführen ist, indem die polygonalen Kelche hauptsächlich 
durch intracalycinale Knospung entstanden, wobei sich die neue Scheidewand 
sehr rasch bildete, während die Kelchreihen auf Theilung zurückzuführen 
sind, d. h. auf intracalyemale Knospung, bei welcher sich die Scheidewände 
im Wachsthum sehr verzögerten oder überhaupt nicht zu Stande kamen. 

Es wurde bereits oben bei Besprechung der Gattung Amphiastrae« 
darauf hingewiesen, dass die beiden Vermehrungsarten nur Modificationen 
der bei den Cyathophylliden und Amphiastraeiden so häufigen Taschenknospng 
und der Septalknospung sind. Die Taschenknospung wird häufig als Tabular- 
oder Endothekarknospung bezeichnet. Es seien zunächst folgende 3 Haupt- 
Typen der intracalycinalen Knospung hervorgehoben: 

1. In der äusseren Traversenzone der Amphiastraeiden und Cyatho- 
phylliden z. B. bildet sich eine Knospe dadurch, dass eine neue Scheidewand 
in die Höhe wächst. In der von dieser Scheidewand und der ursprünglichen 
Mauer umgrenzten Tasche entwickelt sich dann nachträglich der Septalapparat. 


2. Es bildet sich ebenfalls in der äusseren Zone des Kelches bei 
Isastraea z. B. unter theilweiser Zuhilfenahme der (echten) Mauer, sowie 
einer neuen Scheidewand eine Knospe, in der sich der Septalapparat gleich- 
zeitig mit der Bildung der äusseren Umgrenzung entwickelt und zugleich 
damit in die Höhe wächst. Zuweilen trennt die neu gebildete Scheidewand 
die Knospe nicht vollständig vom Mutterkelch ab, sondern reicht nur eine 
Strecke zwischen beide hinein und der übrige Theil wird dann durch eine 
Pseudothek abgeschieden. 


oO 


3. Einen dritten Typus würden die Latimaeandra-artigen Formen von 
Isastraea darstellen. Hier entstehen die neuen Knospen ebenfalls am Kelch- 
rand, doch bleibt hier bei der Knospenbildung die Scheidewand sehr zurück, 
während sich der Septalapparat sofort vollkommen entwickelt. 

Bis jetzt wurden nur solche Fälle angeführt, die allgemein als intra- 
calyeinale Knospung anerkannt werden. 

Man muss sich nun erinnern, dass bei den meisten Astraeiden, wie be- 
reits oben erwähnt, die eigentliche echte (äussere) Mauer rückgebildet ist 
und dass dafür an der Grenze zwischen der äusseren und der inneren Zone 
der Traversen eine Pseudothek vorhanden ist. 

Daraus geht dann hervor, dass die Knospung hier eigentlich nicht 
extracalycinal, sondern intracalyeinul ist und dass sich die Knospen auch hier 


188 Die Korallen der Stramberger Schichten, 


in derselben, nämlich in der äusseren Traversenzone entwickelt, wie wir dies 
schon bei den Cyathophylliden und Amphiastraeiden gesehen haben. 

Bei den rugosen Korallen kann man nun manchmal beobachten, wie sich 
aus einer grösseren Koralle gleichzeitig zwei oder mehrere Knospen entwickeln, 
die gleichgross werden, so dass man eigentlich nicht mehr Mutterkelch und 
Knospen unterscheiden kann. Manche Autoren sind der Ansicht, dass hier 
der Mutterkelch nach der Knospenbildung abgestorben ist. Diese Art der 
Knospung ist nun keineswegs nur auf die Rugosen beschränkt. Manche der 
Jurassischen Thecosmilien und Isastraeen z. B. zeigen derartige Knospenbildung. 
Vgl. z. B. Th. trichotoma Gpr. bei Breker und Mitaschewirz in den Natt- 
heimer Korallen, Taf. XXXVIII, Fig. 1, ferner konnte ich solche Fälle bei 
den Stramberger Thecosmilien und Isastraeen beobachten. Auch Frech gibt 
aus der Trias derartige Beispiele für die Gattung Stylophyllum und Stylo- 
phyllopsis an, 

Die Septalknospung bei Isastraea erfolgt durch Vereinigung zweier 
gegenüberliegender Septen, die sich verstärken und die Funktion der Mauer 
übernehmen. Das ist der fast allgemein unter den Korallen verbreitete und 
als Theilung bezeichnete Vorgang. 

Ueber die Seulptur und den feineren Bau des Isastraea-Septums geben 
Kosy, wie FrecH einige Mittheilungen. Kosy (Pol. Jur. p. 553, Taf. OXXIX, 
Fig. 15) bildet ein Isastraea-Septum ab, das die Zacken am Septalrand, 
dann die senkrecht zu letzterem gerichteten Trabekel und die Reihen der 
Granulationen auf denselben zeigt. Frech (Trias-Korallen, Taf. V, Fig. 4c) 
zeigt, wie von der Mittellinie des Septums nach beiden Seiten die Fasern 
ausstrahlen. 

Ich kann hier nur beifügen, dass die feinere Structur des Isastraea- 
Septums im Wesentlichen mit derjenigen übereinstimmt, die ich früher 
(Philos. Trans. R. S. 1896) für Goniastraea beschrieben habe. Aehnlich wie 
Goniastraea sind auch bei Isastraea die Trabekel weniger fest mit einander 
verwachsen, bei /sastraea indess ragen diese Trabekel nicht als lange auf- 
steigende Zacken (Pfählchen) empor, sondern sind kurz und geben ab und zu 
zur Bildung eines rudimentären, schwammigen Säulchen Veranlassung. 

Früher waren wegen der Knospungsart die Genera Isastraea und Goni- 
astraea im System ziemlich weit von einander getrennt. So stand Goniastrae« 
nach Miwne Epwarps u. Haımz bei den Faviacea, da es sich durch Selbst- 
theilung vermehren sollte, während Isastraea bei den Astraeaceen stand, da 
es sich durch Knospung fortpflanzen sollte. Die grosse Uebereinstimmung 
in der feineren Septal-Struetur, sowie in der Anordnung und den gegen- 
seitigen Verhältnissen benachbarter Kelche veranlassten mich schon früher 
Isastraea in die Nähe von Goniastraea zu stellen. Auch die Beziehungen 
zwischen Wand und Septen sind m Gomiastraea dieselben. 


Isastraea. 189 


Isastraea undans Fr. sp. — Taf. XV, Fig. 8, 10, 14, 14a, 15. 


1858. Microphyllia undans Er. Ray. du Haut-Jura. p. 108. 
1858—60. Latimaeandra undans From. Introd. p. 161. 
1889, 5 5 Kosy. Polyp. Jur. p. 246, pl. 70, Fig. 3. 


Korallenstock rundliche Massen bildend, die grösseren Stöcke bis zu 
10><7,5 em im Durchmesser. Meist werden 2—3 Kelche confluent und 
bilden kurze Reihen von 6 mm Breite. Die Kelchcentren sind gut markirt 
durch ein falsches Säulchen, das aus den gewundenen inneren Enden der Septa 
gebildet wird. Septen fein, granulirt. Am Kelchrand treffen auf eine Breite 
von 5 mm 22—24 Septen von alternirender Stärke. Traversen fein und sehr 
zahlreich. Epithek wohlentwickelt, feine concentrische Ringe bildend. 

Allgemeine Bemerkungen: Nach Eratnox unterscheidet sich Isastraea 
undans von I. rastelliniformis Er. sp. lediglich durch das Vorhandensein eines 
falschen Säulchen’s und etwas zahlveichere Septen. Beide Arten haben jeden- 
falls nur sehr geringfügige Unterschiede und stehen der Nattheimer Zatimae- 
andra brevivallis BECKER sehr nahe. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 11. 


Fundorte: Stramberg, Wischlitz, Chlebowitz; ausserdem Valfın (Ptero- 
eerien coralligene). 


Isastraea variabilis Er. sp. — Taf. XV, Fig. 9, 16. 


1858. Microphyllia variabilis Er. Ray. du Haut-Jura. p. 110. 
1858—60. Latimaeandra variabilis From. Introd. p. 161. 
1859. 5 : Kosr. Polyp. Jur. p. 234, pl. 69, Fig. 4, 5. 


Korallenstock rundlich-knollig, von unregelmässigem Umriss, mit breiter 
Basis festgewachsen. Kelche meist vollständig umgrenzt, zuweilen fliessen 
2 oder 3 zusammen. Kelchdurchmesser 4,5—6 mm. Septen 50—70, alle 
nahezu von gleicher Stärke; am Kelchrand treffen auf eine Breite von 5 mm 
20—22 Septen. Traversen häufig. Das falsche, durch die Septalenden ge- 
bildete Säulchen nur schwach entwickelt. 


Allgemeine Bemerkungen: Eine Epithek liess sich an den mir vor- 
liegenden Exemplaren nicht beobachten. Der Umriss der Kelche von I. varia- 
bilis ist sehr unregelmässig und veränderlich, was durch die sehr häufige 
intracalyeinale Knospenbildung bedingt ist. In Taf. XV, Fig. 9 sind einige 
derartige Kelche dargestellt. Dem ganzen Habitus nach ähnelt diese Art, 
wie schon Kogy hervorhebt, der I. Thurmanni Er. sp. und Isastraea curtata 
Er. sp., unterscheidet sich aber durch die Kelchgrösse und Zahl der Septen. 
Latimaeandra aulonica Mns. (Cor. Giur. pD’AcnH. p. 19, Taf. 17, Fig. 10) hat 


190 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


ebenfalls mit dieser Art viel Aehnlichkeit, nur sind bei der Art von Monte 
Pastello meist mehrere Kelche confluent. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 

Fundorte: Stramberg, Koniakau; ausserdem Valfın, Oyonnax (Pteroe. 
corall.), Ste. Croix, Sous-Waldeck, Porrentruy (Hypovirgulien). 


Isastraea Thurmanni Er. — Taf. XV, Fig. 11, 11a. 
1864. Microphyllia Thurmanni Er. Leth. Bruntr. p. 397, pl. 56, Fig. 9. 
1889. Latimaeandra 5 Kory. Polyp. Jur. p. 235, pl. 68, Fig. 2. 


Korallenstock rundliche, knollige Massen bildend, mit schmaler Basis 
aufgewachsen. _ Kelche meist vollständig umgrenzt, unregelmässig polygonal, 
oft lenticulär, von 4—5 mm kleinstem Durchmesser. Manchmal bilden zwei 
Kelche kurze zusammenfliessende Reihen von 3—4 mm Breite. Die Septen 
verdicken sich häufig an ihrem inneren Ende und einzelne sind unregelmässig 
verlängert, wodurch das Kelchcentrum sich nicht sehr scharf bestimmen lässt. 
Es lassen sich 3 vollständige Cyclen von Septen unterscheiden. Charakteristisch 
ist der gekrümmte Verlauf der Septen. Mauer scharf, hervorragend. An 
der gestielten Unterseite sind gleich starke, fein gezähnelte und zuweilen 
dichotomirende Costen entwickelt, von welchen 14 auf die Breite von 5 mm 
treffen. 

Allgemeine Bemerkungen: Der unregelmässige Verlauf der Septen 
und die oft vorkommende lenticuläre Form der Kelche unterscheiden diese 
Art leicht von den nächstehenden. J/. undans und I. rastelliniformis haben 
zwar auch gekrümmte Septen, doch sind diese dicker, und bei diesen beiden 
ist es viel häufiger, dass mehrere Kelche zusammenfliessen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundorte: Stramberg; ausserdem Vieille-Route, Bressaucourt, Belle- 
vue etc. (Astartien). 


Isastraea Goldfussi Kogyr sp. — Taf. XV, Fig. 6, 7. 
1889. Latimaeandra Goldfussi Kopy. Polyp. Jur. p. 240, pl. 70, Fig. 5. 


Auf einer breiten Ansatzstelle erhebt sich der meist konische Korallen- 
stock, dessen Oberseite flach ist. Der Durchmesser der mir vorliegenden 
Stücke variirt von 50—110 mm. Die Höhe von 75—35 mm. Die Kelche 
sind rundlich oder ziemlich regelmässig polygonal. Die Kelchgrube fällt mit 
gleichmässiger Neigung vom Kelchrand zum ziemlich tiefen Kelchceentrum ab. 
Durchmesser der Kelche 8—10 mm. Nur sehr selten fliessen Kelche und 
dann nicht mehr als 2 zusammen. Septen von gleicher Stärke, 70—90 an 


Isastraea. 191 


Zahl, von welchen sich 13—20 im Centrum vereinigen. Traversen zahlreich. 
Epithek stark entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: Die mir von Stramberg vorliegenden 
Exemplare sind im Allgemeinen sehr gut erhalten. Ein kleines Exemplar, 
dessen Unterseite ich auf Taf. XV, Fig. 7 abgebildet habe, fasse ich als 
Jugendform auf. Die Ueberreste eines cylindrischen Stieles sind noch vor- 
handen, die Unterseite ist zwar ziemlich flach, doch stimmt die Form der 
namentlich am Rand sehr wohl erhaltenen Kelche, sowie die Zahl der Septen 
sowie der übrigen Merkmale vollkommen mit 2. Goldfussi überein. 

Am nächsten steht die weitverbreitete und bereits von GouLpruss be- 
schriebene Isastraea (Astraea) explanata wegen der regelmässig polygonalen 
Form und bedeutenden Grösse der Kelche, sowie wegen der gleichen Neigung 
und Tiefe der Kelchgrube. Doch sind die Septen bei der Art Kopy's feiner 
und zahlreicher, auch ist die Form des Stockes bei Isastraea explanata 
GDF. sp. breiter und flacher, Ausserdem käme noch Latimaeandra Tara- 
mellii D’AcHgggn Mte. Pastello in Betracht, doch hat diese weniger Septen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 

Fundorte: Stramberg, Koniakau; ausserdem Oyonnax. 


Isastraea eylindriea Ocınvır. — Taf. XV, Fig. 12, 12a, 13, 13a. 


Koralle eylindrische Aeste von 30—35 mm im Durchmesser bildend. 
Kelche polygonal, zuweilen mit dem nächsten zusammenfliessend. Kelch- 
ränder scharf, meist einige Millimeter über die Oberfläche des Astes nach 
oben und aussen hervorragend. Durchmesser der Kelche 4—5 mm. Septen 
zahlreich, nahezu alle von gleicher Stärke. 3 Cyelen von Septen sind wohl 
entwickelt. 14—1S Septa reichen bis zum Centrum und bilden ein ziemlich 
grosses falsches Säulchen. Nahe am Rand schiebt sich eine Anzahl kürzerer 
Septen in unregelmässiger Anordnung ein, die häufig gegen die längeren 
Septen zu umbiegen und zuweilen mit ihnen anastomisiren. Traversen dick, 
nahe der Peripherie am häufigsten. Eine Epithek liess sich nicht beobachten. 

Allgemeine Bemerkungen: Es wurden bereits früher von anderen 
Autoren gewisse ästige Formen‘, die mit der I. eylindrica gewisse Aehnlich- 
keit haben, unter verschiedenen: Namen wie Latimaeandra, Microphyllia ete. 
beschrieben. Diese sämmtlichen Formen sind durch mehr oder minder lange 
Reihen zusammenfliessender Kelche ausgezeichnet. Im Gegensatz hiezu über- 
wiegen bei unserer Art die scharfumrandeten und wohlumgrenzten Kelche, 
während zusammenfliessende Kelche zu den Seltenheiten gehören. Die mir 


! Solche wären Maeandrina Lotharinga Micn., Mierophyllia dumosa Yv., Latimae- 
andra Etalloni From., Latimaeandra Culiaensis GREG. 


1923 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


vorliegenden Exemplare zeigen bei ästiger Stockform hinsichtlich ihrer Kelche 
echten Isastraeen-Typus, auch wenn man an der bisherigen Fassung des 
Gattungsbegriffes von Isastraea (im Unterschied zu Latimaeandra) festhält. 
Zahl der untersuchten Exemplare: 53. 
Fundort: Stramberg. 


Isastraea Gourdani From. — Taf. XV, Fig. 17, 17a. 
1856. Isastraea Gourdani From. Bull. de la Soc. g6ol. 2. ser. Taf. XIII, p. 861. 
1362. „ 5 From. Monogr. des Polyp. jur. sup. p. 41, pl. V, Fig. 3. 


Korallenstock rundliche, halbkugelige Massen bildend, die an der Unter- 
seite mit conischem Stiel versehen sind. Durchmesser etwa 70 mm, Höhe 
40 mm. Kelche polygonal, aber nicht sehr regelmässig. Kelchgrube deutlich 
ausgesprochen und tief, Kelchränder scharf. Kelche ca. 4 mm im Durch- 
messer. 3 complete Cyelen nahezu gleichstarker Septen sind entwickelt, von 
welchen 14—16 bis zum Kelchcentrum reichen und hier ein ziemlich grosses 
falsches Säulchen bilden. Ausserdem kommen in den grösseren Kelchen noch 
feinere Septen eines incompleten vierten Cyclus vor. Selbsttheilung lässt 
sich häufig beobachten, doch grenzen sich die neu gebildeten Kelche meist 
bald wieder vollständig ab und zusammenfliessende Kelche sind selten. 

Traversen häufig und fein, regelmässig angeordnet. Epithek gut entwickelt. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich durch die 
geringere Grösse der Kelche und die geringere Zahl der Septen leicht von 
I. undans und I. variabilis, mit welchen sie sonst viel Aehnlichkeit hat. 
Eine von Kosy (Polyp. Jur. p. 215, Pl. 79, Fig. 5) aus dem Terrain & chailles 
silicieux als Goniastraea Delemontana beschriebene Art hat auffallende Aehn- 
lichkeit in allen wichtigen Punkten mit I. Gourdani From. Nur hat @. 
Delemontana nach Kosy „palis indistinets“. Ich halte es aber für sehr 
schwierig, wenn nicht die Pali sehr bestimmt zu unterscheiden sind, dieselben 
von einem falschen Säulchen scharf zu unterscheiden. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundorte: Stramberg; ausserdem Mantoche, Haute Soöne (Portlandien). 


Isastraea minima Kopy sp. 
1885. Latimaeandra minima Kos. Polyp. Jur. p. 242, pl. 63, Fig. 4. 
Von dieser Art liegt mir nur ein einziges Bruchstück mit flacher Ober- 
seite vor. Aus dem Fragment geht hervor, dass der Umriss nahezu kreis- 
förmig war. Der Durchmesser beträgt 55 mm, die Höhe 50 mm. Nur sehr 


Montilvaltia. 193 


selten fliessen 2—3 Kelche zu kurzen Reihen zusammen. Der Durchmesser 
der Kelche beträgt 3—4 mm. Kelchumriss sehr unregelmässig. Septen zahl- 
reich, 48 an Zahl, von alternirender Länge und Stärke. Ungefähr 10 davon 
erreichen das Centrum und bilden ein kleines falsches Säulchen. Epithek 
vorhanden. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundorte: Stramberg; ausserdem Soyhieres (Corallien blanc). 


Gen. Montlivaltia Lanovrovx. 


1821. Montlivaltia Lamouroux. Exp. meth. des genres de Polypiers p. 78. 

1826. Anthophyllum (pars) GoLv. Petref. Germaniae, Taf. I, p. 45. 

18350. Montlivaltia et Anthophyllum Bramv. Dict. des sc. nat., p. 302. 

1534. „ > 5 en Mass. d’Actinologie p. 336. 

1836. Montlivaltia MıLne EopwArps in Lamark. Hist, nat. des anim. sans vert., 
Taf. II, p. 369. 

1848. Caryophyllia, Turbinolia et Cyclolites (pars) Mıc#. Icon. Zooph., p. 7, 85 
et 369. 

1848. Montlivaltia et Thecophyllia Evw. et H. Comptes rendus de l’Acd. des sc., 
Taf. XXVII, p. 467 et 491. 

1848. Montlivaltia et Thecophylliia Eow. et H. Ann. sc. nat., Taf. X et XI, 
p- 250 et 251. 

1348. Montlivaultia Eovw. et H. Brit. foss. cor., p. 32. 

1349. Lasmophyllia (pars), Ellipsosmilia (pars), Perismilia (pars), Polyphyllia, 
Conophyllia, D’OrB. Notes sur les Polyp. foss., p. 5, 6 et 8. 

1851. Montlivaultia et Thecophyllia D’Ors. Cours el&m. de pal6ont. strat., Taf. II, 
p. 161 et 167, 

1853. Montlivaltia Cuapuss et Drwarqgue. Mem. cour. par l’Acad. de Belg., 
Taf. XXV, p. 263. 

1853—57. Montlivaltia Pıcrer. Traite de Pal6ont., Taf. V, p. 398. 

1857. Montlivaultia Epw. et H. Hist. nat. des Corall., Taf. II, p. 296. 


1858. ” Eratr, Ray. du Haut-Jura, p. 83. 

1855—61. „ From. Introd. & l’&tude des Polyp. foss., p 108. 

1865. Fr From. et Ferry. Paleont. franc., terr. jurass., Zooph. p. 108. 
1376. „ MitAascazwizz. DieKorallen der Nattheimer Schichten, Palaeonto- 


graphica p. 194. 
1880—89. Montlivaltia Kosy. Pol. Jur. p. 109 u. 548. 
1890. = FrecH. Triaskorallen, Palaeontographica Bd. 37, p. 39. 


Koralle eylindrisch oder conisch. Kelchgrube breit, seicht. Septen 
sehr zahlreich, stark und regelmässig gezackt, mit deutlichen Reihen von auf 
den Trabekeln stehenden Granulationen. Säulchen fehlt. Traversen blasig, 
regelmässig. Pseudotheka kaum angedeutet. Epithek gut entwickelt, bis 
hoch hinauf zum Kelchrand reichend. Vermehrung durch Knospen (intra- 
calyeinale und Seitenknospen), die sich bald loslösen. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 13 


194 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Es kommen ab und zu Formen vor (cf. M. alata), die Neigung zu 
Selbsttheilung nnd dadurch Uebergänge zu T’hecosmilia zeigen. Auf die nahen 
Beziehungen dieser beiden Gattungen hat bereits Freca (Triaskorallen p. 9) 
hingewiesen. Ueber die feinere Structur der Septen, nämlich über den Ver- 
lauf der Körner auf den Trabekeln, sowie über die Art des Primärstreifen 
macht Frec# (Triaskorallen p. 40, Taf. 13, Fig. 1 u. 4, Taf. 10, Fig. 3) 
einige Bemerkungen. Schon früher hatte Kogy ein vergrössertes Montlivaltia- 
Septum abgebildet und auf die Anordnung der Zacken, sowie der Septal- 
streifen („stries eloisonnaires“) hingewiesen (Pol. Jur. p. 544, Pl. 129, F. 12). 
Jüngst veröffentlichte nun W. Vorz eine Einleitung zu seiner demnächst er- 
scheinenden „Korallenfauna von St. Cassian“ (Inaugural Diss., Stuttgart 1895, 
p. 7 ff). Er giebt hier die Resultate seiner Untersuchungen über den 
mikroskopischen Bau von triasischen Thecosmilien, Montlivaltien, dann von 
Omphalophyllia und Myriophyllia. Die Septen dieser Gattungen sind nach 
ihm auf dreierlei Art gebaut und zwar sind alle 3 Typen des Septalbaues 
bei triasischen Montlivaltien vertreten. Beim ersten Typus zeigen die 
Septen im Querschliff in der Mittelebene einen „hellen Streifen“, den „Ur- 
streif oder das Urseptum“. Die Septen des zweiten Typus zeigen im Quer- 
schliff einzelne helle Punkte, die dem Urseptum homolog sind und welche sich 
im Längsschnitt als die Axen von nebeneinanderstehenden Balken erweisen. 
Diese hellen Axen der Balken heisst er Primärdorn. Um den Primärdorn 
herum sind nach ihm aus Fasern bestehende Stereoplasma-Lamellen schrauben- 
artig gewunden, die zusammen mit dem Primärdern den Balken oder Trabekel 
bilden. Vom Urseptum hingegen sind diese Stereoplasma-Lamellen schief nach 
aussen und oben gerichtet. Unter den aus Trabekeln aufgebauten Septen 
beschreibt er dann wieder zweierlei verschiedene Anordnungen oder Tra- 
bekeln. Das einemal sind die Trabekeln so angeordnet, dass die Primär- 
dornen genau in der Medianebene des Septums stehen, das andere Mal 
(dritter Typus) so, dass die Primärdornen abwechslungsweise rechts und 
links von der Medianebene stehen, wodurch im Querschnitt eine ziekzack- 
förmige Anordnung hervorgerufen wird. Nach Vorz haben nun die meisten 
triasischen Montlivaltien einen Urstreif, es sollen indess auch solche vor- 
kommen, die sowohl in der Medianebene angeordnete Primärdornen haben, 
als auch solche, bei welchen diese Primärdornen im Zickzack stehen. 


Wenn ich nun auch nicht sehr viele Triaskorallen untersucht habe, so 
kann ich mich trotzdem nicht mit- den Ansichten von Vorz einverstanden er- 
klären. Zunächst sei erwähnt, dass Vorz den Ausdruck Primärdorn m ganz 
anderem Sinn gebraucht als dies früher Freor ! that, der darunter den ganzen 
Trabekel (von Prarz) verstand. Der Primärdorn von Vorz würde nur der 


! Triaskorallen p. 9, Taf. 2, Fig. 4. 


Montlivaltia obconica. 105 


(idealen) Axe des Prarz’schen Trabekel entsprechen. Dass diese Axe wirklich 
nur eine ideale ist, hervorgebracht durch unverkalkte (und später zersetzte) 
Zellreste innerhalb der Stellen sehr energischer Verkalkung, darauf habe ich 
bereits hingewiesen. Es ist ferner ersichtlich, dass das Vorz’sche Urseptum 
der dunklen Linie der früheren Autoren entspricht, welche ebenfalls nach 
meinen Untersuchungen durch die Zersetzung übrig gebliebener Zellreste 
entstanden ist. 

Was nun die von Vorz angegebenen schraubenförmigen Stereoplasma- 
Lamellen betrifft, so konnte ich solche bei den zahlreichen von mir unter- 
suchten Korallen niemals finden. Ich konnte nur beobachten, dass von den 
Axen der Trabekel nach den Seiten und nach oben gerichtete Faserbündel 
ausstrahlen. Die einzelnen Fasern divergiren wieder von einem in der (idealen) 
Trabekelaxe gelegenen Punkt, während sie nach Vorz alle parallel in seiner 
Stereoplasma-Lamelle liegen müssten. Von solchen Lamellen, wie Vorz meint, 
ist absolut nichts wahrzunehmen. Ich glaube nachgewiesen zu haben, dass 
die einzelnen Fasern, die Vorz für contiuirlich annimmt, in Wirklichkeit so 
oft unterbrochen sind, als es Wachsthums-Lamellen in der Dicke des Septums 
gibt. Die von mir erwähnten Wachsthums-Lamellen haben gar nichts mit 
den Vorz’schen Stereoplasma-Lamellen zu thun, die Wachsthums-Lamellen ver- 
laufen auch ganz anders als (die angeblichen Stereoplasma-Lamellen und 
schneiden dieselben fortwährend. 

Die mir von Stramberg vorliegenden Montlivaltien zeigen alle die gleiche 
Anordnung der Trabekel und Granulationen auf den Septen, wie sie von 
Kopy (l. ce.) bereits abgebildet wurde. Das würde nur mit einem der drei 
von Vorz für Montlivaltia angegebenen Septaltypen (ef. Vorz l. c. p. 10, 
Fig. 5a) übereinstimmen. Wie ich an anderem Orte (Trans. Roy. Soc., 
London 1896) erwähnt habe, entsprechen die Granulationen auf den Trabekeln 
den einzelnen von der Trabekelaxe ausstrahlenden Faserbündeln. 


Montlivaltia obeonica Msrr. sp. — Taf. XII, Fig. 4. 


1829. Anthophyllum obconicum Mnsr.; Gotpruss Petref. Germ. Taf. I, p. 107, 
Taf. 37, Fig. 14. 

1851. Montlivaltia dispar (pars) Ev. u. H. Pol. foss. des terr. pal. p. 73. 

1858. Anthophyllum obconicum Quexst. Der Jura, p. 708, Taf. 86, Fig. 8. 

1861. Montlivaltia Gyensis FROMENTEL. Introd. p. 115. 

1864. = 5 5 Pol. cor. env. de Gray p. 11, Taf. 3, Fig. 1. 

1867. ” n FROMENTEL et Ferry. Pal. Franc. Terr. Jur., p. 186, 

Taf. 47, Fig. 4, 4a. 

1376. Montltivaltia obeonica MivascH. Nattheimer Korallen, p. 196, Taf. 44, Fig. 1. 

1881. Anthophyllum obconicum Quexst. Petrefactenkunde Deutschlands, p. 638, 
Taf. 167, Fig. 3, 4. { 

1383. Montlivaltia obconica Kosy. Pol. Jur. p. 117, Pl. 43, Fig. 3, 4. 


13* 


196 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Koralle kurz, dick, eylindrisch, Kelch rund, etwa 60 mm im Durch- 
messer. Columellarraum sehr eng, ungefähr 12 mm lang. Septa sehr dicht 
gedrängt, an Stärke nur sehr wenig alternirend. Sie sind sehr zahlreich, 
über 200. Die der ersten 3 Cyclen reichen bis zum Columellarraum, jene des 
vierten Cyclus nahezu so weit, während die des fünften und sechsten ent- 
sprechend kürzer sind. Ausser diesen schieben sich noch einige wenige 
fene Septen am Kelchrand ein. Die Granulationen auf den Septen sind 
gross, in Reihen von aussen nach innen und oben gerichtet. Traversen 
fein, regelmässig. Epithek gut entwickelt, fast bis zum Kelchrand rei- 
chend, concentrisch gestreift. Wo die Epithek abgerieben ist, sind die 
eostalen Enden der Septen zu sehen. Dieselben sind am Rande gezähnelt 
und alterniren etwas an Stärke auf die Breite von 10 mm treffen 14—15. 
Traversen reichlich entwickelt, regelmässig angeordnet und bis zum Centrum 
reichend. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 


Fundorte: Wischlitz, ausserdem Nattheim, Gy (Haute-Saöne), Bettain- 
court (Haute-Marne), Birse. 


Montlivaltia erassisepta Frou. 


1861. Montlivaltia crassisepta From. Introd. p. 119. 


1867. cn truncata (pars) From. Pal6ont. franc. terr. jurass. p.181, T. 46. 
1869. ni crassisepta From. Taf. 57, Fig. 2, 2a, b. 
1875—76. ,„ “ MirtAscH. Natth. Kor. p. 199, Taf. 46. 


Koralle cylindro-conisch, comprimirt. Kelchdurchmesser 52:38 mm. 
Kelchgrube seicht. Septen zahlreich, 100—110. Es sind 5 vollständige Cyelen 
und ausserdem eine Anzahl sehr feiner Septen, die einem incompleten sechsten 
Öyclus angehören, vorhanden. Die Septen der ersten 2 Cyelen sind dicker 
und reichen bis zum kurzen und engen Columellarraum, wo ihre verdickten 
Enden zuweilen miteinander verwachsen. Die Septen der übrigen Cyclen 
an Dicke abnehmend; ebenso sind die Costalenden von ungleicher Dieke und 
mit concentrisch gestreifter Epithek überzogen. Epithek bis etwa 6—7 mm 
unter den Oberrand der Septen reichend. 


Allgemeine Bemerkungen: MivAscHEwITz hat bereits auf die grosse 
Variabilität der äusseren Form dieser Koralle sowie auf die Uebergänge 
dieser Art zu M. truncata hingewiesen. Eines der mir vorliegenden Exem- 
plare war besonders günstig erhalten und zeigte, dass die Trabekel im peri- 
pheren Theil des Septums geradlinig und fast senkrecht nach oben verlaufen, 
während sie nach innen sich mehr und mehr schräg stellen. 


Montlivaltia Renevieri. 197 


Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 
Fundorte: Iskritschin, Wischlitz; ausserdem Nattheim, Beiningen, 
Öberschelklingen, Champlitte, Montbeliard ete. 


Montlivaltia nidiformis MitAscHkwirz. 
1876. Montlivaltia nidiformis Mivascn. Natth. Kor. p. 205, Taf. 47, Fig. 1. 


Koralle gross, cylindrisch, mit breiter Basis festgewachsen. Kelch seicht, 
elliptisch. Kelchdurchmesser 54 : 48 mm. Columellarraum schmal und lang. 
Septa fein, sehr zahlreich (etwa 200 an Zahl) und gleichmässig entwickelt. 
Ungefähr 24 reichen bis zum Columellarraum und haben da verdickte Enden. 
Bei den übrigen Septen ist eine regelmässige Anordnung in Cyelen nicht 
wahrzunehmen, sondern die Septen endigen im Allgemeinen in verschiedenen 
Entfernungen vom Kelchrand, doch so, dass im Allgemeinen gleich grosse 
Flächen auch dieselbe Zahl der Septen haben, gleichgiltig ob diese Flächen 
näher am Rand oder weiter innen liegen. Auf diese Weise sind Septen und 
Interseptalräume vollständig gleichmässig über den ganzen Kelch vertheilt. 
Öberrand der Septen scharf gezähnelt. Granulationen auf den Seitenflächen 
der Septa gross und sehr deutlich, dem Verlauf der Trabekeln folgend. 
Pseudosynaptikeln sind öfter zu beobachten, besonders da, wo ein kürzeres 
Septum mit seinem inneren Ende etwas gegen die Seitenfläche eines längeren 
Septums umbiegt. Traversen häufig und regelmässig. Septo-Costalenden 
gegen aussen scharf zulaufend und mit feiner Epithek überzogen, 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundorte: Konikau; ausserdem Nattheim. 


Montlivaltia Renevieri Kosy. — Taf. XIH, Fig. 2, 2a. 
1883. Montlivaltia Renevieri Kosy. Pol. Jur. p. 144, P]. 32, Fig. 6. 


Koralle gerade, cylindrisch bis schwach conisch 70—90 mm hoch, im 
Querschnitt rund bis elliptisch, 30:23 mm im Durchmesser, ein grösseres 
Exemplar 35:25 im Durchmesser. Septa, 100—120 an Zahl, an Stärke 
alternirend, jene des sechsten Cyclus viel feiner als die übrigen und nicht 
vollzählig vorhanden. Septen gezähnelt, gegen das Centrum zu leicht ge- 
krümmt. Kelchgrube verlängert. Mauer dick, mit dünnem, rugosem Epithek 
bedeckt, das in Abständen von 4—6 mm stärkere Anschwellungen zeigt. 
Costen verhältnissmässig stark und alle von gleicher Dicke, fein gezähnelt. 
Auf eine Breite von 10 mm treffen 18—18 Costen. 

Allgemeine Bemerkungen: Von den 4 mir voliegenden Exemplaren 
sind 2 von Stramberg sehr gut erhalten, während bei denen von Kotzobenz 


198 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


und Willamowitz das Epithek abgerieben ist. Kosy konnte nur ein einziges 
löxemplar untersuchen, bei welchem nach seiner Angabe der Kelch nicht sehr 
wohl erhalten war. Er giebt nur 96 Septen an, was sich aber damit erklärt, 
dass die weiteren oben erwähnten feineren Septa des incompleten 6. Cyelus 
nur in gut erhaltenen Exemplaren zu beobachten sind. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 


Vorkommen: Stramberg, Kotzobenz, Willamowitz; ausserdem Ste. 
Croix (Vaud). 


Montlivaltia Cavalli v’Acn. — Taf. XII, Fig. 3, 3a. 
1880. Montlivaltia Cavalli v’Acn. Cor. Giur. p. 6, Taf. 17, Fig. 1. 


Koralle sehr klein, conisch, sich rasch von der Anwachsstelle aus er- 
weiternd. Höhe etwa 15 mm. Kelch im Querschnitt sehr wenig elliptisch, 
fast rund. Durchmesser 15:13 mm. Epithek mit concentrischen Ringen bis 
etwa 2 mm unter den Kelchrand reichend. Kelchgrube tief (2; mm) mit 
schmalem, abgerundetem Kelchrand. Es sind 5 Cyclen von Septa vorhanden. 
Jene der vier ersten sind gleichmässig entwickelt und bis zum Columellar- 
raum reichend, jene des fünften Cyclus dünner und nur ?/s des Abstandes 
von der Mauer zum Centrum einnehmend. Einige wenige rudimentäre, zum 
sechsten Cyclus gehörigen Septa schieben sich am Kelchrand ein. Septal- 
yand gezähnelt, Seitenflächen der Septa mit Granulationen versehen. Costen 
an Stärke alternirend, an Zahl den Septen entsprechend. 

Allgemeine Bemerkungen: Die geringe Grösse der Koralle, dann 
die Tiefe der Kelchgrube und der fast kreisrunde Querschnitt des Kelches, 
sowie die starke und gleichmässige Entwicklung der 4 ersten Cyclen der 
Septa, sind die Hauptmerkmale dieser Art. 

M. rosula Eıcuw. (Leth. Ross. 1865—68. Vol. 2. p. 126, Pl. XI, Fig. 4 
— siehe auch Soronko „Die Jura- und Kreide-Korallen der Krim“ 1887, 
p. 52, Taf. VII, Fig. 1) hat mannigfache Anklänge an diese Art. Nur sind 
bei M. rosula die ersten 3 Cyelen und die Hälfte des vierten Cyclus der 
Septen stärker hervorragend als die übrigen, ferner scheint das Epithek zu 
fehlen und die Costen weniger zahlreich zu sein. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 


Fundorte: Ignatziberg; ausserdem Mte. Cavallo. 


Montlivaltia alata Ocınvızr — Taf. XIII, Fig. 5, 5a. 


Koralle mehr oder minder ceylindrisch, leicht comprimirt. Beim Weiter- 
wachsen noch oben breitet sich die Koralle in der Richtung der längeren 


Montlivaltia alata. 199 


Axe seitlich mehr und mehr aus, wodurch lappige seitliche Ausbreitungen 
entstehen. Durchmesser der Kelchröhre vor Bildung der lappigen Ausbrei- 
tungen 18—20 mm, Durchmesser an der oberen Seite (wo der Lappen bereits 
ausgebildet ist) ca. 30 mm und durch Kelch nebst Lappen ca. 45 mm. Da 
wo der Lappen vom eigentlichen Kelch abzweigt, sind im Querschnitt Ein- 
schnürungen vorhanden. Septa an Dicke etwas alternirend. 24 reichen bis 
zum Kelchcentrum, jene des vierten Oyclus nahezu ebenso lang, die des 
fünften Cyelus nur halb so lang. Ausserdem noch eine unbestimmte Anzahl 
eines incompleten sechsten Cyelus vorhanden. 

Traversen fein, zahlreich, regelmässig angeordnet. Costen alle gleich 
stark, auf die Breite von 10 mm trefien 16--17. Epithek vorhanden, bis 
hoch hinauf reichend. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art hat vermöge ihrer seitlichen 
lappigen Ausbreitungen einen von den meisten Montlivaltien etwas abweichen- 
den Habitus. Am meisten Aehnlichkeit hätten damit gewisse der von Kosy 
als Thecosmilia Cartieri beschriebenen Formen (cf. Taf. 43, Fig. 3). Ein 
derartiges Exemplar würde einige Centimeter unter dem Kelchrand genau 
denselben Querschnitt geben, wie das mir von Ignatziberg vorliegende Exem- 
plar, dessen oberer Kelchtheil nicht erhalten ist. Da Kopy ziemlich viel 
Material hatte, das verschiedene Uebergänge zu Thecosmilia-äÄhnlichen Formen 
aufwies, so stellte er dieselben zur Gattung Thecosmilia. Jedenfalls sind die 
Gattungen Thecosmilia und Montlivaltia aufs engste verwandt. Mein Exem- 
plar hat aber eine grössere Anzahl Septen als Thecosmilia Cartieri Kosy 
und da ich nur das eine Stück habe, ziehe ich es vor, es vorläufig als M. 
alata zu beschreiben. 

Bis jetzt wurden allerdings unter Montlivaltia hauptsächlich Einzel- 
formen begriffen, während die zusammengesetzten Stöcke als Thecosmilien 
beschrieben wurden. Es sind indess bis jetzt bereits mehrere Formen be- 
kannt, deren Einreihung zu einem der beiden Genera Schwierigkeiten macht. 
Als solche wären zu nennen M. turbinata MivascH. (Natth. Kor. p. 208, 
Taf. 49, Fig. 2, 2a), Oppelismilia gemmans Duncan (Brit. Foss. Cor. Suppl. 
Par. IV, No. 1, p. 39), die Duncan als eine Montlivaltia mit einer intracaly- 
einalen Knospe beschreibt und deswegen zu einer neuen Gattung Oppelismilia 
rechnet, ferner wären zu erwähnen 2 der Kopy'’schen Exemplare von M. 
dilatata Mich. sp., die eine Neigung sich zu theilen zeigen (Kogy, Polyp. 
Jur. pl. 43, Fig. 2, pl. 40, Fig. 8). Ich halte es lediglich aus Zweckmässig- 
gründen für angezeigt, beide Gattungen, nämlich Montlivaltia und Thecos- 
milia, vorläufig aufrecht zu halten. Und da das oben beschriebene Stück 
doch mehr den Habitus einer Einzelkoralle aufweist, weil der Lappen erst 
ziemlich spät sich ausbreitet, ohne ganz frei zu werden, stelle ich die Art 
lieber zu Montlivaltia als zu Thecosmilia. Nebenbei bemerkt ist meiner 


200 Die Korallen der Stramberger Schichten, 


Ansicht nach die Gattung Oppelismilia Duncan’s mit Montlivaltia zu ver- 
einigen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Ignatziberg. 


Gen. Thecosmilia E. u. H. emend. Frecn. 


1826. Lithodendron p. p. Gotpruss. Petref, Germ., Taf, I, p. 45. 

1828. Caryophylha p. p. Fremise. Brit. anim. p. 509. 

1830. Lobophyllia p. p. Bramnvirre. Dict. des Sc. nat. Taf. LX, p. 321. 

1848. Thecosmilia Mine EopwArvs u. Haıme. Compt. rend. de 1. Acad. des Se., 
Taf. XXVI, p. 468. 

1849. Lasmosmilia et Amblophyllia v’Orz. Note sur des Pol. foss. p. 6 u. 8. 

1857. Thecosmilia EvwArps u. Haıme. Hist. Nat. Cor. p. 354. 


1858. „ Eratron. Haut-Jura, p. 89. 

1859—61. ,„ Fros. Introduction, p. 141. 

1876—80. „ Zırrev Handb. Bd. I, p. 76. 

1884. 5 (+ Cladophyllia) Duncan, Madreporaria p. 71. 

1889. n Kogy. Pol. Jur. p. 159. 

1890. ; (+ Calamophyllia + Cladophyllia p. p.) Frech, Triaskorallen, 
p- 4—7. 


Zusammengesetzte Stöcke, meist ästig und hoch wachsend, oder buschig, 
nur selten werden die einzelnen Kelche nicht frei, sondern bilden confluente 
Kelche. Kelchgrube breit, seicht, Septen stark und regelmässig gezackt mit 
deutlichen Reihen von auf den Trabekeln stehenden Granulationen. Säulchen 
fehlt. Traversen blasig, regelmässig. Pseudothek häufig durch die verschie- 
(denen Traversenzonen gut ausgedrückt. Epithek vorhanden. Vermehrung 
durch intracalycinale (marginale) Knospung oder durch Selbsttheilung. 

Hinsichtlich der feineren Structur der Septen gleicht Z’hecosmilia ganz 
dem Genus Montlivaltia. Auf Taf. 129, Fig. 14 hat Kogy ein T’hecosmilia- 
Septum abgebildet. Auch bei Frec# (Triaskorallen) findet man Seitenflächen 
oder Längsschnitte von Septen abgebildet, die den Verlauf der Trabekeln 
zeigen. Hinsichtlich des feineren Septalbaues verhält sich nach Vorz Theco- 
smilia genau wie Montlivaltia. Es wurde bereits oben (bei Montlivaltia) auf 
die Ergebnisse von VoLz eingegangen. 

Ueber die Art des Wachsthums bei verschiedenen Arten hat bereits 
Frech (Triaskorallen) p. 4—7 zutreffende Bemerkungen gemacht. Er sah 
sich auch veranlasst die Gattungen Calamophyllia, Cladophylka p. p. und 
Rhabdophyllia p. p. mit Thecosmilia zu vereinigen. Wenn man die Gattung 
in diesem Sinne fasst, dann zählt die Gattung T’hecosmilia in der Triasperiode 
sehr viele Vertreter. Diese Trias-Thecosmilien bilden fast stets buschige Stöcke 
vom Habitus der in den Alpen so verbreiteten Z’hecosmilia clathrata. Es 


'Thecosmilia Koniakensis. 201 


sind meist solche Formen, die von früheren Autoren als Lithodendren be- 
zeichnet wurden. Im oberen Jura treffen wir bereits unter den Thecosmilien 
hinsichtlich der Art des Wachsthums viel grössere Manniefaltigkeit. Neben 
Formen vom Habitus der Thecosmilia clathrata sind auch kurze, ästige Formen 
in sehr grosser Zahl vertreten. Als Repräsentant dieser Art von Stöcken 
mag die weit verbreitete 7’h. trichotoma genannt werden, also diejenige Art, 
die bei Aufstellung der Gattung als Typus diente. Von diesen Formen gibt 
es dann Uebergänge zu einer dritten Gruppe von Thecosmilien, bei welcher 
die einzelnen Kelche nicht als Aeste in die Höhe wachsen und frei werden, 
sondern wo 2 oder 3 Kelche confluent bleiben. Der Typus dieser Gruppe 
ist die 7%. suevica. Derartige Formen wurden früher (von QuENSTEDT z.B.) 
als Lobophyllia oder (von EpwArps und Haımz z. B.) als Ulophyllia be- 
schrieben. Diese verschiedenen Arten im Habitus der 'Thecosmilien hängen 
aufs Innigste mit der Art der Vermehrung zusammen. Bei den Formen vom 
Typus der clathrata und der trichotoma erfolgt die Vermehrung durch intra- 
calyeinale Knospung, ohne Deformirung der Mutterkelche, während bei den 
Formen vom Suevica-Typus die Tendenz zur Theilung vorherrscht, indem 
neue Knospen entstehen ohne sich vom Mutterkelch durch eine Scheidewand 
zu trennen. Unter dem mir vorliegenden Stramberger Material sind alle 3 
Wachsthumstypen vertreten. Ausserdem liegen mir eine Masse Formen vor, 
die alle Arten von Uebergängen zwischen den 3 Typen bilden. 
Ich gruppire diese Arten in folgender Weise: 
a) Formen vom Typus der Th. clathrata: 
Th. Koniakensis, Th. longimana, Th. virgulina, Th. flabella, davan 
schliessen sich einige Formen, die schon mehr den Uebergang zum 
Typus der Th. trichotoma aufweisen, nämlich 7h. irregularis und Th. 
Volzi. 
b) Formen vom Typus der 7'h. trichotoma : 
Th. trichotoma, Th. Langi. 
ec) Formen vom Typus der Th. suevica. 
Th. swevica, Th. Moraviensis und Th. truncata. 


Thecosmilia Koniakensis Ocınvır. — Taf. XIV, Fig. 1, 1a. 
21884. Thecosmilia ? dichotoma Kosy. Polyp. Jur. p. 175. Pl. 46, Fig. 4—5. 
?1886. Dermoseris " > Polyp. Jur. p. 345. 


non Lithodendron dichotomum GoLvr. Petref. Germ. p. 44. Taf. 13, Fig. 3. 
non Cladophyllia dichotoma Mıunz EpwArps u. Haıme. Corall. Taf. II, p. 366. 
non „ n BECKER u. Mitaschewirz. Natth. Kor. p. 155. 
non Lithodendron dichotomum Quesst. Röhren- u. Sternkorallen p. 709. 


Koralle meist hohe ästige Stöcke bildend, deren Aeste unter sehr spitzem 
Winkel von einander abzweigen. Das grösste mir vorliegende Bruchstück ist 


202 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


17 cm hoch und oben über 10 cm breit. Die Aeste sind im Querschnitt 
rundlich oder comprimirt. Zahl der Septa je nach der Grösse der Kelche 
verschieden. Zwei Cyclen von Septa reichen bis zum Kelcheentrum, jene des 
dritten Cyclus nicht ganz so lang aber fast von gleicher Stärke wie die des 
ersten, die Septa des manchmal incompleten vierten Cyclus sind feiner und 
kürzer. Der Durchmesser der Aeste wechselt von 8 zu l4 mm. Traversen 
stark entwickelt. EFpithek dick und stark runzelig mit tiefen Furchen in 
Abständen von 4—5 mm. 

Allgemeine Bemerkungen: Die mir vorliegenden Exemplare dieser 
Art stimmen nach der Beschreibung und Abbildung Kogy’s mit dessen Theco- 
smilia dichotoma überein. In einem späteren Abschnitt seiner Abhandlung 
hat sodann Kosy diese Art, sowie T’hecosmilia plicata Kopy zu seinem neuen 
Genus Dermoseris gestellt, weil er nachträglich bei beiden neben den Tra- 
versen auch noch Pseudosynaptikel beobachtete. Die Exemplare von Koniakau 
haben keine Pseudosynaptikel und sind sicher ächte Thecosmilien. Da ich 
ferner keinen Unterschied zwischen ihnen und den von Kogy abgebildeten 
Exemplaren finden kann und da Kor für Dermoseris dichotoma auch keine 
weitere Abbildung gibt, halte ich vorderhand noch die Kogy’schen Exemplare 
und die Koniakauer Exemplare für ident und stelle sie zum Genus T'heco- 
smilia. Der Speciesname dichotoma konnte aber nicht beibehalten werden, 
da die in Frage kommenden Formen nicht mit Zithodendron dichotomum GDF. 
(siehe Synonyma) übereinstimmen, deswegen nenne ich die Art Koniakensis. 

Die in Frage stehende Art hat am meisten Aehnlichkeit mit Kopy’s 
Dermoseris (Thecosmilia) plicata. Nach ihm wäre der wesentliche Unterschied 
zwischen beiden nur der, dass bei 7’h. plöcata die Traversen „rares“ wären, bei 
Th. dichotoma indess „nombreux et rapprochees“. Die andern Unterscheidungs- 
merkmale, wie verschiedene Grösse des Winkels, unter dem die Aeste ab- 
zweigen, dann die grössere oder geringere Regelmässigkeit der Epithekal- 
falten, variiren bis zu einem gewissen Grade schon bei ein und demselben 
Exemplar und noch mehr bei verschiedenen Exemplaren. 

Th. Koniakensis steht in naher Beziehung zu einer Reihe anderer Arten, 
die eine gut begrenzte Gruppe von hochwachsenden, langarmigen Thecosmilien 
bilden, deren Art des Wachsthums mit jenem übereinstimmt, das sonst für 
das Genus Calamophyllia als charakteristisch angesehen wurde, sonst haben 
sie noch runzeliges Epithek, dagegen keine wurzelföürmigen Ausläufer. Th. 
Koniakensis ist ein guter Beweis für die Zusammengehörigkeit der Genera 
Thecosmilia und Calamophyliia. Frech hat bekanntlich T’hecosmilia, Calamo- 
phyllia und Cladophyllia (ex parte) unter dem Genusnamen Thecosmilia ver- 
einigt und derselbe nimmt in seinen allgemeinen Bemerkungen über das Genus 
gerade auf derartige jurassische Formen Bezug, wie die in Rede stehende 
und von Kogy abgebildete Art. Mit den Ergebnissen aus den Untersuchungen 


Thecosmilia longissima. 205 


FrecH’s über diese Genera stimmen meine Beobachtungen an den Formen 
aus den Stramberger Schichten vollkommen überein und bei Betrachtung der 
verschiedenen bisherigen Arten werde ich auf diesen Punkt noch zu sprechen 
kommen. 

Thecosmilia Koniakensis gehört zu jener Gruppe, deren Hauptrepräsen- 
tant zuerst von GUETTARD als „Calamites a tuyaux lisses“ (Mem. sur diff. 
part des Se. et des arts. Taf. III, p. 486, pl. 35 [1770]) beschrieben wurde 
und später [1830] von Bramviıuıze als „Calamophyllia laevis“ Diet. des Se. 
nat. Taf. 60, p. 312 beschrieben wurde. Um zu zeigen, zu welch verschiedenen 
Genera diese Art im Laufe der Zeiten gestellt wurde, seien folgende Syno- 
nyma angeführt : 

1843. Lithodendron laeve Mıcn. Icon. p. 43, pl. 19, Fig. 8. 


1847. Cladocora laevis Geisırz. Grundr. d. Versteinerungen p. 570. 
1549. Eunomia „ Eow. u. H. Ann. des Sc. nat. 3. ser, Taf. II, p. 260. 


1850. e „ D’Ors. Prodr. Taf. II, p. 32. 

1851. Cladophyllia laevis Evw. u. H. Pol. foss. p. 82. 

1857. " ” n „ Pol. Corall. Vol. II, p. 364. 
1858—61. „ »„ From. Introd. p. 145. 


Diese Art unterscheidet sich von TR. dichotoma Kogy lediglich durch 
geringeren Durchmesser der Aeste, und einige Exemplare des Münchener 
Museums von Th. laeve von Merry sur Yonne, die ich vergleichen konnte, 
zeigten vollständige Uebereinstimmung mit Micueuin’s Beschreibung und Ab- 
bildung, waren indess nicht mit den Exemplaren von Koniakau zu identificiren. 

Zur Gruppe der Th. laevis gehört ausser der 7’h. Koniakensis noch 
Th. longimana Qusxst. sp., Th. Olaudiensis Er., Th. connecta Er., Th. vir- 
gulina Er., sowie Th. Gressiyi Kosy und Th. Jaccardi Kopy. 


Zahl der untersuchten Exemplare: Mehrere Bruchstücke. 
Fundorte: Koniakau, Ignatziberg; ausserdem Caquerelle, Soyhieres etc. 


Theecosmilia longimana Quesst. sp. — Taf. XIV, Fig. 2, 2a, 2b, 5, 3a. 
1858. Lithodendron laeve Quenst. Jura. p. 711, Taf. 86, Fig. 12. 
1575—76. Thecosmilia sp. Becker. Natth. Kor. p. 154. 
1882. Lithodendron longimanum Quexst. Röhren- u. Sternkorallen p. 698. Pl. 170. 
Fig. 17. 


1881. Lithodendron eylindratum Quesst. Röhren- u. Sternkorallen p. 699. Pl. 170. 
Fig. 18. 


1881. Lithodendron laeve Quenst. Röhren u. Sternkorallen p. 699. Pl. 170, Fig. 19. 


Koralle hohe, ästige Stöcke bildend. Die Aeste zweigen unter spitzem 
Winkel von einander ab und wachsen dann gerade in die Höhe. Querschnitt 
der Aeste rund und selbst an den Stellen, wo sich die Aeste berühren nur 
wenig comprimirt. Der Durchmesser der Aeste beträgt 10—1S mm, mittlerer 


204 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Durchmesser eines vollkommen entwickelten Astes ist 15 mm. Septa zahl- 
reich. In den kleineren Kelchen sind 4 vollständige Cyelen von Septen ent- 
wickelt, in den etwas grösseren noch ein incompleter fünfter (im Ganzen bis 
zu SO Septen). Die Septen der drei ersten Cyelen sind stärker entwickelt 
und reichen bis zum Kelchcentrum, wo sich ihre inneren Enden verdicken. 
Sie lassen im Centrum einen kleinen runden oder etwas verlängerten Zwischen- 
raum frei. Columella nicht vorhanden. Auf den Seitenflächen der Costen 
sind Granulationen zu beobachten. Mit den 48 Costen, welche den 4 ersten 
Cyelen der Septa entsprechen, alterniren feinere. Epithek stark entwickelt, 
rugos und in Abständen von 7—8 mm deutliche Einschnürungen zeigend. 

Allgemeine Bemerkungen: Der Erhaltungszustand der Epithek ist 
bei den verschiedenen Stücken ein sehr verschiedener. Bei einigen grossen 
Exemplaren ist hin und wieder ein vollständiger Abdruck der inneren Fläche 
der Epithek übrig geblieben, während der Ast selbst ausgelangt wurde, andere 
Stücke zeigen gar keine Epithek mehr und bei einer grossen Anzahl sind 
Epithekalringe nur mehr an den Einschnürungsstellen vorhanden. Derartige 
Stücke, bei denen gar keine Epithek mehr vorhanden ist, wurden früher ge- 
wöhnlich zum Genus Calamophyllia gestellt. Das mir vorliegende Stramberger 
Material ist jedoch in dieser Hinsicht sehr günstig und da hinsichtlich des 
Fehlens oder Vorhandenseins der Epithek alle Uebergänge vorhanden sind, 
ist die Zusammengehörigkeit all der verschiedenen Bruchstücke und damit 
ihre Zugehörigkeit zu Th. longimana zweifellos. 

Schon die Abbildungen Quensteor's der drei oben angeführten Arten 
von Nattheim würden darthun, dass ganz ähnliche Verschiedenheiten im Er- 
haltungszustand der Epithek der Hauptgrund waren, sie zu 3 verschiedene 
Species zu stellen. Dies geht noch mehr aus dem Text hervor, der der 
Hauptsache nach eine Beschreibung der äusseren Ansicht der Aeste ist: ob 
die Rippen hervortreten, oder ob die Epithek mehr oder weniger stark ent- 
wickelt ist ete. In keinem Fall aber konnte als Unterschied zwischen den 3 
Arten, die Zahl und Anordnung der Septen, welche eben völlig übereinstimmend 
ist, benutzt werden. In der Münchener Palaeontologischen Sammlung ist ein 
sehr gut erhaltenes Exemplar von Lithodendron longimanum (QUENST. von 
Beiningen, dessen Aeste an einzelnen Stellen indess ebensogut mit Zitho- 
dendron eylindratum Quexsst. oder mit Zithodendron laeve Quest. (non L. 
laeve MıcH. sp.) übereinstimmen. 

Ein anderes sehr wechselndes Merkmal ist die Tiefe der Einschnürungen 
im Epithek, sowie die Grösse des Abstandes derselben. Diese Merkmale 
können aber weder zur Unterscheidung von Arten noch selbst von Varietäten 
dienen, 

Becker identifieirte ein mangelhaft erhaltenes Stück von Nattheim mit 
Qussstepr's L. laeve (Jura. Taf. 86, Fig. 12). Da er aber die Zugehörigkeit 


Thecosmilia longissima. 205 


von QuENSTEDT'S laeve zu MicHeuin’s Lithodendron laeve nicht für richtig 
hielt, bezeichnete er dasselbe als Z7’hecosmilia Sp. 


Im Münchener Palaeontologischen Museum sind mehrere Exemplare von 
Merry sur Yonne, welche vollkommene specifische Uebereinstimmung mit den 
Stücken von Beiningen und Stramberg zeigen und die mit diesen identifieirt 
werden müssen. 


Ich konnte indessen in der Literatur keine Beschreibung von Exemplaren 
von Merry sur Yonne finden, die genau mit der von QUENSTEDT für longimana 
gegebenen übereinstimmt. Es ist indessen wohl möglich, dass eine oder die 
andere der von Eratuon beschriebenen Arten damit synonym ist. Dies könnte 
indess nur durch genaue Untersuchung der Eratvon’schen Originalexemplare 
festgestellt werden. Die Zahl der Septen wechselt nach den Beschreibungen 
von 48 (in kleinen Kelchen) bis zu 80 und in einem sehr grossen und durch 
beginnende Theilung in die Länge gezogenen Kelche bis zu 120. Thecosmilia 
Claudiensis Er. (Ray. du Haut-Jura p. 90) aus dem Diceratien von Valfin 
z. B. muss nach der Beschreibung zu schliessen, der Th. longimana QuENST. 
ausserordentlich ähnlich sein, nur sind hier 110 „subegale“ Septen vorhanden. 

Calamophyllia crassa Kosy (Polyp. Jur. p. 181. pl. 59, Fig. 1) hat 
grosse Aehnlichkeit mit den Aesten solcher Exemplare, bei denen die Epithek 
abgerieben ist. Sie unterscheidet sich von solchen durch etwas ovaleren 
Querschnitt der Aeste, grösseren Durchmesser (s—20 mm), durch das Vor- 
handensein von 5 vollständigen Cyclen von Septen und feinere Rippen (24 
bis 26 auf 10 mm Breite). 


Th. longimana unterscheidet sich von der vorhergehenden Z’h. Konia- 
kensis durch grössere Kelche, regelmässigeren und runderen Querschnitt und 
grössere Zahl der Septen. 


In beiden Exemplaren haben wir Beispiele dafür, wie ein und dieselbe 
Art unter gewissen lokalen Einflüssen variirt und in manchen Fällen wurden 
sicherlich Exemplare von verschiedenen Fundorten, die aber nur lokale Varia- 
tionen ein und derselben weit verbreiteten Art bilden, zum Range von selbst- 
ständigen Arten erhoben. Zum Beleg dafür sei nur auf Calamophyllia fla- 
bellum Buaınv. hingewiesen, welche ebenfalls unter etwa ein halb Dutzend 
Genusnamen und noch mehr Speciesnamen beschrieben wurde. Kor (l. c. 
pp: 185—84) hat eine genaue Beschreibung der verschiedenen Varietäten 
gegeben und zugleich ihre Zugehörigkeit zu ein und derselben Art (Calamo- 
phyllia flabellum) gegeben. Er unterscheidet folgende Varietäten von Calamo- 
phyllia flabellum: var. typica, compacta, crassa, nodosa, ramosa. 

Einige der Stramberger Exemplare zeigen einzelne Abweichungen von 
der oben gegebenen Artbeschreibung. Ich kann dieselben indessen nur als 
Varietäten dieser Art betrachten. Es sind dies: 


206 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


1) Thecosmilia longimana var. lacerum Quest. (Synonym: Lithodendron 
lacerum Quesst. Röhren- und Sternkorallen Pl. 170, Fig. 21, p. 701). Diese 
Varietät kommt bei Stramberg vor. Sie unterscheidet sich von der typischen 
longimana durch den ausgeprägteren elliptischen Querschnitt der Aeste. Grosser 
Durchmesser im Maximum 20 mm (gewöhnlich 17”—18 mm). Septa ver- 
hältnissmässig zahlreicher, 9—10 bei einer Breite von 5 mm. Lithodendron 
pressum QUENST. (l. c. Taf. 170, Fig. 20, p. 701) hat einen viel elliptischeren 
(Querschnitt und zeigt grössere Divergenz. 

Beide wurden von Quessteor Missbildungen genannt. 

2) Thecosmilia longimana var. magna Fr. (Synonym: 1848. Lithoden- 
dron magnum Taurnm. Coll. — 1862. Thecosmilia magna Fr. Leth. Bruntr. 
p. 358, Pl. 54, Fig. 11. — 1884. Thecosmilia magna Kosy. Polyp. Jurass. 
p. 166, Pl. 44, Fig. 1, 2, 3). Diese Varietät liegt ebenfalls von Stramberg 
vor. Querschnitt der Aeste rund, aber von grösserem Durchmesser (im Maxi- 
mum 20 mm, meist 17”—1S mm). Die einzelnen Aeste zweigen unter einem 
grösseren Winkel von einander ab, häufig wachsen von einem gemeinsamen 
Stamm zugleich mehrere in die Höhe und nehmen sehr rasch an Umfang zu. 
Die Zahl der Septen und Art der Epithek stimmt mit longimana überein. 
Bei einer Breite von 5 mm kommen 9 Rippen vor. Kogy gibt dieselbe Zahl 
von Rippen an, Erauuon hingegen spricht von 32 auf 10 mm Breite. 

Zahl der untersuchten Exemplare: Zahlreiche Bruchstücke. 

Fundorte: Stramberg, Kotzobenz, Stanislowitz, Wischlitz, Koniakau ; 
ausserdem Nattheim, Beiningen, Valfın, Bressancourt, Montagne de Courroux, 
Locle. 


Theeosmilia virgulina Er. sp. — Taf. XIV, Fig. 4, Aa. 
1864. Calamophyllia virgulina Wr. Leth. Bruntrut p. 382, Pl. 54, Fie. 6. 


Koralle verzweigte Stöcke bildend, deren einzelne Aeste unter sehr 
kleinem Winkel von einander abzweigen und dann nahezu senkrecht in die 
Höhe wachsen. Querschnitt der Aeste kreisrund, seltener oval; die einzelnen 
Aeste berühren sich ab und zu, olme indess dadurch comprimirte Gestalt 
anzunehmen. Durchmesser der Aeste 7—8 mm. Septa fein, 4 complete 
Cyclen und eine geringe Zahl von Septen des 5. Cyclus sind entwickelt. Die 
Septen der ersten 3 Cyelen reichen bis zum Centrum und sind dicker als 
die damit alternirenden Septa. Costen sehr fein, gleich stark und granulirt. 
Epithek von mässiger Dicke mit ringförmigen Anschwellungen in Abständen 
von 1—2 mm. 

Allgemeine Bemerkungen: Die Zugehörigkeit der mir vorliegenden 
Exemplare zu Erauvon’s Art steht ausser allem Zweifel, obwohl die Be- 
schreibung und Abbildung Erauvon’s mangelhaft sind und obwohl seine Ab- 


Thecosmilia flabella, 207 


bildung kein Epithek zeigt. Dass Erauvox’s Original wahrscheinlich Epithek 
besass, kann man indireet daraus schliessen, dass Erauvon diese Art mit 
einer früher von ihm beschriebenen, nämlich mit Th. connecta Er. vergleicht, 
welch letztere eine dicke Epithek besitzt (cf. Haut-Jura, p. 91). Einige 
Punkte aus der Beschreibung von Th. connecta seien hier nochmals angeführt: 
Aeste oval, unregelmässig, „soudes dans presque toute leur etendue,“ Epithek 
dick, Zahl der Septen 50—60, Rippen stark, Kelchdurchmesser S—9 mm. 
Beim Vergleich der beiden Arten bemerkt Eraunvon, dass bei Th. comnecta 
„les polypierites sont unis sur une grande hauteur.* Ausserdem seien noch 
die starken Rippen und der ausgesprochene elliptische oder unregelmässige 
Querschnitt der Aeste hervorgehoben. 

Th. connecta ist eine Form, die theilweise mehr nach dem Typus von 
Lithodendron laeve Mıc#. gebaut ist und welche zur selben Gruppe, wie auch 
die beiden vorgehenden, nämlich Th. Koniakensis und Th. longimana gehört, 
während 7h. virgulina, obwohl es ähnliche, wenn auch feinere Epithek wie 
diese besitzt, sich mehr zu jener Gruppe von Thecosmilien nähert, als deren 
Typus ich die bekannte Thecosmilia (Oalamophylkia) flabellum Buaınv. betrachte. 

Es ist indessen sicher, dass wir in den beiden Formen, die ich als 
Typus angeführt habe, nämlich in Lithodendron laeve MicH. sp. und Lithoden- 
dron flabellum Mıc#. echte Thecosmilien vor uns haben. (Siehe Epw. und 
Hame |Compt. rend. de l’acad. des Se. Taf. 27, p. 465—1848] Bemerkungen 
über das Genus Thecosmilia.) Einerseits haben wir an Lith. laeve Mıcn. sp. 
und den nahestehenden Arten äussere Merkmale. die früher für die Gattung 
Oladophyllia typisch gehalten wurden, andererseits an Lith. flabellum und den 
verwandten Arten, solche typisch für das ehemalige Genus Calamophyllia. 


Zahl der untersuchten Exemplare: zahlreiche Bruchstücke. 
Fundorte: Stramberg, Ignatziberg; ausserdem Croix-dessus (Hypo- 
virgulien). 


Theeosmilia flabella Braınv. sp. var. compacta Kor. — 
1 DAN er 3, Wer DD. 


1830. Calamophyllia compacta Braısv. Dict. des Sc. nat., Taf. 60, p. 312. 
1330. 5; striata (pars) Braıv. Diet. des Sc. nat., Taf. 60, p. 312, 
Pl. 52, Fig. 4. 

1843. Lithodendron flabellum Mıcu. Icon. Zooph. p. 94, Pl. 21, Fig. 4. 

1849. Calamophyllia flabella (paxs) Evw. u. Haımr. Ann. des Sc. Nat., Taf. X, p. 262, 

1850. Eunomia flabella w’Orr. Pr. II. p. 32. 

1357. Calamophyllia striata (pars) Epw. u. Hammer. Corall. II, p. 345. 

1857. a 4 (pars) Fros. Introd. p. 136. 

1864. Rhabdophylüia flabella Tuurmann u. Eratvox. Leth. Bruntr. p. 386, P1.54, 
Fig. 2. 


208 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


1880. Lithodendron Rauracum Qurnstm. DPetrefactenkunde, Taf. VI, p. 722, 
Pl. 171, Fig. 18. 
1889. Calamophyllia flabellum var. compacta Kosy. Polyp. Jur. p. 182, Pl. 53, 
Fig. 1, 4u.5 
Korallenstock ästig, Aeste sehr nahestehend und sich theilweise be- 
rührend. Querschnitt der Aeste annähernd kreisförnig, Durchmesser der- 
selben S—10 mm. Die Septen sind sehr fein, 48—56 an Zahl, wovon die 
der ersten zwei Cyclen bis zum Centrum reichen und ein falsches Säulchen 
bilden. Die Costen sind fein, gleichmässig entwickelt. Auf 5 mm Breite 
kommen 20. Traversen in den peripheren Theilen des Kelches häufige. 
Epithek sehr dünn mit schwachen Andeutungen epithekaler Anschwellungen. 
Dieser weit verbreiteten und gut bekannten Art steht Calamophylkia 
Mentonensis MEnEGH. sp. von Mentone (p’Aca. Cor. Giur. p. 34, Taf. 18, 
Fig. 2) sehr nahe. Die mir vorliegenden Exemplare von Stramberg stimmen 
nur mit der einen Varietät compacta von Kor überein. 
Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 
Vorkommen: Chlebowiz, Iskritschin; ausserdem Soyhieres, Caquerelle, 
Locle, Bressancourt, Haut-de-Coeuve und zahlreiche andere Fundpunkte. 


Theeosmilia flabella Bramv. sp. var. erassa Kopy. 
1850. Calamophyllia striata (pars) Bramv. Diet. des Sc. nat. Taf. 60, Fig. 312. 


1849. 5 flabella (pars) Ev. u. H. Ann. Se. nat. Taf. XI, p. 26, 262. 

1350. ” strangulata v’OrB. Prodr. II, p. 31. 

1857. he Ep. u. H. Corall. I, p. 347. 

1858. » striata (pars) Ev. u. H. Corall. II, p. 345. 

1858—59. Rhabdophyllia undata Eraurox (non Epw. u. H.). Haut-Jura p. 87. 

1858—61. Al Valfinensis From. Introd. p. 138. 

1864. > strangulata Brauuon. Leth. Bruntr. p. 381, Pl.54, F.3. 

1881— 88. Calamophyllia flabellum, var. crassa Kopy. Pol, Jur. p. 182, Pl. LIV, 
Fig. 1. 


Diese Varietät unterscheidet sich von der vorhergehenden lediglich 
durch grössere Dimensionen der Aeste. Durchmesser der Aeste 10—12 mm, 
Septen zahlreich, 70—80, von denen die der zwei ersten Cyclen bis zum 
Kelchcentrum reichen. Von den Costen kommen 8 auf 5 mm Breite, sie 
sind alle gleichmässig dick. Rhabdophyllia Edwardsii Mıc#. (Icon. p. 96, 
Pl. 21, Fig. 2) unterscheidet sich von dieser Varietät nur durch die geringere 
Zahl der Septen und durch das Fehlen von epithekalen Anschwellungen. 

Nach »’Aca. (Cor. Giur. p. 51) kommt die Rhabdophyllia Edwardsiüi 
auch am Mte, Cavallo vor. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Vorkommen: Kotzobenz, Stramberg; ausserdem Valfın, Caquerelle, 
Bressancourt etc. 


Thecosmila. 209 


Thecosmilia irregularis Er. — Taf. XIV, Fig. 6, 6a. 
1864. Thecosmilia irreqularis Eratvox. Leth. Bruntr. p. 384, Pl. 54, Fig. 9. 
1878. en ” STRUcCKMARN. Der Jura der Umg. von Hannover, p. 26. 
non Th. irregularis Duscan. (aus dem unt. Lias). 
non, rn Lavse. (aus der Trias v. St. Cassian.) Fauna v. St. Cassian, 


p. 37, Taf. VI, Fig. 6. 


Koralle niedere unregelmässig verästelte Stöcke bildend. Die Abzweigungs- 
Stellen der einzelnen Aeste liegen in kurzen Abständen übereinander. Quer- 
schnitt der Kelche rundlich oder elliptisch, Kelchdurchmesser gewöhnlich 
10 mm. Septa wohl entwickelt. Die der ersten 2 Cyclen reichen bis zum 
Kelcheentrum, jene des 3. und 4. Cyclus sind wenig kürzer, die des 5. Cyclus 
selten vollständig entwickelt. Traversen spärlich. Mauer dünn, Costen dick 
und von gleicher Stärke, auf die Breite von 5 mm kommen 9. Epithek liess 
sich nicht beobachten. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den 
nächstverwandten durch die grosse Unregelmässigkeit des Wachsthums und 
geringe Höhe des Stockes. Selbsttheilung in 2 Kelche ist sehr gewöhnlich, 
häufig entstehen aber auch 3 Kelche zugleich durch Theilung. Dies ist eine 
der wenigen Arten, die STRUCKMAnN aus dem oberen Jura von Hannover 
anführt. Sie kommt sehr häufig am Tönjesberg in der Zone des Pferoceras 
Oceani vor, die nach Srruckmann dem Nattheimer Coralrag entspricht. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Vorkommen: Koniakau, Ustron (Minch-Feld); ausserdem Vieille-Route, 
Essert-Tainie, Tönjesberg. 


Theeosmilia Volzi" OgıLvızr. — Taf. XIV, Fig. 7, 7a, 8. 


Korallenstock ästig, Querschnitt der Aeste cylindrisch. Durchmesser 
18—25 mm. An der Theilungsstelle zweier Aeste biegen dieselben unter 
grossem Winkel von einander ab, und während der eine in die Höhe wächst, 
bleibt der andere kurz. Septa, 120—140 an Zahl, an Stärke alternirend. 
Die der ersten zwei Cyelen reichen bis zum Kelchcentrum, jene des 3. 4. 
und 5. successiv kürzer, ausserdem sind noch eine Anzahl Septen des sechsten 
Cyelus vorhanden. Säulchen fehlt. Traversen fein und zahlreich. Epithek 
ziemlich dick, aus feinen concentrischen Streifen bestehend, Costen fein, an 
Stärke etwas alternirend, mit gezähnelten Rändern. Auf der Breite von 
5 mm kommen 7—S vor. 

Allgemeine Bemerkungen: In Fig. 8 ist eine Bruchfläche abgebildet, 
die schief durch einen Ast verläuft. 7%. Volzi zeigt auffallende Aehnlich- 


* Diese Art wird nach Herrn Dr. Vorz, Assistent am pal. Institut der kgl. Uni- 
versität Breslau, genannt. 
Palaeontologische Mittheilungen, Band 3. 14 


210 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


keit mit Th. annularis FLemıss und unterscheidet sich von ihr hauptsäch- 
lich durch Feinheit der Septen, ihre grössere Zahl und andere Anordnung. 
Die eigenthümliche Art des Wachsthums haben beide gemein und unter- 
scheiden sich dadurch sowohl von der Gruppe der 7. laevis und der Th. 
/labellum als auch von der im Folgenden besprochenen 7h. suevica und tricho- 
foma. Von den Abbildungen, welche Kory von 7h. annularis giebt, zeigt 
die eine aus dem Astartien von Bressancourt (Pl. 57, Fig. 7) grosse Aehn- 
lickeit mit der Stramberger Form. Kosy selbst sagt darüber; „Les individus 
du Terr. & ch. silic. sont plus forts et plus eleves que ceux du Corallien 
et de l’Astartien, qui ne sont composes que de quelques branches. On 
pourait peut-etre eriger ces derniers en nouvelle espece.“ p’Acmıarpr (Cor. 
Giur. p. 7) giebt von Mte. Pastello eine „Zhecosmilia annularis?“ an, von der 
er selbst bemerkt, dass sie kleinere Dimensionen zeige als die Th. annularis. 

Thecosmilia Volzi hat ausserdem grosse Aehnlichkeit mit Zhecosmilia 
Bwvignieri MicH. sp., unterscheidet sich aber von ihr durch die grösseren 
Kelche und zahlreicheren Septen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Vorkommen: Mittel Bludowitz (Stramberg), Ignatziberg. 


Thecosmilia trichotoma GoDr. sp. 
1826—33. Lithodendron trichotomum Gowpr. Petr. Germ. Taf. I, p.45 Taf. 13, Fig. 6. 


1836. n Rormer. Verst. des nordd. Ool. Geb. p. 19. 
Taf. I, Fig. 9. 

1848. Cladocora trichotoma Broxs. Ind. palaeont. p. 304. 

1549. Thecosmilia e En. u. H. Ann. sc. nat. 3. ser. Taf. X, p. 270. 

1350. a ” vD’ÖRE. Prodr. de Palaeont. Taf. I, p. 385. 

1851. en Ep. u. H. Polyp. foss. des terr. palaeoz. p. 77. 

1852. Ro den don trichotomum Quexsr. Handb. d. Petref. 1. Aufl. p. 653 (2. Aufl. 
p. 784. 1867). 


1857. Thecosmilia trichotoma Ep u. H. Corall. Taf. II, p. 356. 
1858. Lithodendron trichotomum QuEnsT. Jura. p. 710, Taf. 86, Fig. 13. 
1858—61. Thecosmilia trichotoma From. Intr. p. 142. 


1864. R h 5 Corall. des env. de Gray. p. 15. 
1861--64. ” 5 Turm. u. Er. Leth.Brunt. p.386, Taf. 55, Fig.2. 
1367. R 2 Börsche. Korall. d. nordd. Jura u. Kr. Geb. p. 11. 
1878. s . StruckMAnN. Ob. Jura d Umgeg. v.Hannov. p.26. 
1881. » en Quesstepr. Röhren. und Sternkorallen p. 690. 
Taf. 170, Fig. 1—13. 

1887. h ” SotLomko. Jura u. Kreide-Kor. der Krim. p. 79. 
1881 —89. n " Kosgy. Polyp. Jur. p. 168, Pl. 45, Fig. 1, 2. 


Korallenstock ästig; van einem kurzen Stumpf zweigen nahezu in der- 
selben Höhe zwei oder mehrere kurze Aeste ab. Kelche rundlich oder ellip- 


T'heeosmilia. 211 


tisch, 12—20 mm im Durchmesser mit tiefer Fossula und abgerundetem Kelch- 
rand. In einem Kelche, der 12:14 mm im Durchmesser hat, sind 72 Septen 
vorhanden, in grösseren Kelchen verhältnissmässig mehr. (Es sind 4 Cyelen 
von Septen und ein unvollkommener fünfter entwickelt). Die Septen alter- 
niren an Dicke, die der ersten zwei Cyclen reichen bis zum Kelcheentrum. 
Costen alle von gleicher Stärke, auf die Breite von 5 mm kommen 10. Ein 
concentrisch gestreiftes Epithek ist vorhanden. 

Allgemeine Bemerkungen: Zhecosmilia trichotoma Gor. sp. ist die 
typische Art für die Gattung T’hecosmilia E. u. H. und zwar basirten sie 
ihre Diagnose auf Exemplare von Nattheim und Giengen. 

Th. trichotoma unterscheidet sich durch die Art ihres Wachsthums 
wesentlich von den bisher betrachteten. Die Gruppe der trichotoma bildet in 
Bezug auf den Habitus ein Bindeglied zwischen solchen langästigen Formen, 
wie sie die Gruppe der 7’. laevis bilden und solchen Formen, wie Z’'h. suevica, 
bei denen die Aeste überhaupt nicht frei werden. 

Zahl der untersuchten Stücke: 3. 

Vorkommen: Koniakau und Stramberg; ausserdem Nattheim, Beiningen, 
Linden b. Hannover, Caquerelle, Soyhieres, Champlitte, Krim etc. 


Theeosmilia Moraviensis Osınvır. — Taf. XIV, Fig. 12. 


Koralle niedrige breite Stöcke bildend, die aus mehreren Kelchgruppen 
bestehen. Die einzelnen Individuen einer Gruppe berühren sich nur im cen- 
tralen Theil ihrer ganzen Höhe nach. Im peripheren Theil bildet jeder 
einzelne Kelch einen lappenförmigen Ausläufer. Der Querschnitt der Kelche 
ist unregelmässig rundlich oder elliptisch. Der Durchmesser derselben be- 
trägt 16—20 mm. Die Zahl der Septen beträgt etwa 80. Dieselben sind 
von alternirender Dicke. Die der 2 ersten Cyclen reichen bis zum Centrum, 
wo sie sich knopfförmig verdicken. Traversen zahlreich, fein. 

Allgemeine Bemerkungen: Die Stöcke sind in ihrem Habitus von 
allen bis jetzt beschriebenen Thecosmilien verschieden. Diese Art hat noch 
bei weitem mehr lappige Ausläufer als die Z7’hecosmilia suevica, und in den 
verschiedenen Kelchgruppen sind die Berührungsstellen der einzelnen Kelche 
viel begrenzter und schmäler. Dadurch dass der Stock sich aus derartigen 
verschiedenen Kelchgruppen zusammensetzt, gewinnt er auch eine viel grössere 
Ausdehnung in horizontaler Richtung als Z’h. suevica. Da mir nur der in 
Gestein eingeschlossene Theil eines grösseren Stockes vorlag, konnte ich über 
die Beschaffenheit der Mauer und der Epithek keine weiteren Beobachtungen 
machen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 


Vorkommen: Ienatziberg. 
14* 


212 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Theeosmilia Langi Kopy. 
1884. Thecosmilia Langi Kory. Polyp. Jurass. p. 161. Pl. 49, Fig. 1—9, 


Von dieser Form liegt mir nur ein kurzes 35 mm hohes Exemplar von 
Stramberg vor. Dasselbe hat am unteren Ende 20 mm im Durchmesser und 
theilt sich weiter oben in 2 Aeste, die nicht vollkommen frei werden und 
die kurz bleiben. Die Aeste haben 20 resp. 16 mm im Durchmesser. Die 
Septen sind ungleich dick, ungefähr 60 an Zahl. Die Rippen sind stark, an 
Dicke alternirend, und gezähnelt; auf die Breite von 5 mm kommen unge- 
fähr 7. Traversen sind häufig. 

Allgemeine Bemerkungen: Am nächsten steht 7’h. costata From. 
hinsichtlich Zahl und Anordnung der Septen und Costen, doch wächst diese 
Form höher und die Aeste werden vollkommen frei. Während 7%. Langi 
mehr den Habitus von 7’h. suevica QUENST. sp. zeigt, gehört 7’. costata mehr 


in die Gruppe der Z’h. trichotoma. 


Thecosmilia sueviea Quenst. sp. — Taf. XIV, Fig. 9, 10, 10a, 11. 


?1840—47. Lobophyllia meandrinoides Mıcn. Icon. p. 93, pl. 19, Fig. 3. 

1843. Astraea confluens (uEnst. Flötzgeb. p. 464. 

1852. 5 rn (ee Handb. d. Petref. 1. Aufl. p. 649. Taf. 57, Fig. 27. 
(non Taf. 58, Fig. 1). 

1857. Ulophyllia ? meandrinoides Ev. und H. Corall. II. p. 380. 

1858. Lobophyllia suevica Quenst. Jura. pp. 688, 708. 

1859. Tlophyllia 2 meandrinoides Kıavz. Haut-Jura. p. 95. 

1867. Lobophyllia suevica Quexst. Handb. d. Petref. 2. Aufl. p. 780, Taf. 74, Fig. 27. 

1875—76. Thecosmilia suevica Breker. Natth. Kor. p. 153, Taf. 38, Fig. 6, 7, 8. 

1881. Lithodendron quadrilobus Quexst. Röhr.- u. Sternkor. p. 702. Taf. 170, 
Fig. 23 u. 24. 

1881. Lithodendron confluens und Lobophyllum suevieum Quexst. Röhren- und 

Sternkor. p. 660. Taf. 168, Fig. 11—14. 


Koralle mit kleiner Basis festgewachsen, im Allgemeinen niedere Stöcke 
von sehr unregelmässigem und wechselndem Querschnitt bildend. Sie sind 
gewöhnlich comprimirt und lappig. Bei dieser Art bleiben nach der Theilung 
die einzelnen Kelche in der gleichen Höhe und sind direct durch die Septen 
verbunden. Dadurch wurde QuEnstepr veranlasst einzeme Exemplare zu 
Thamnastraea confluens zu stellen. 

Unter den Stramberger Formen überwiegen hauptsächlich 4-lappige, 
seltener 5-lappige Formen. Der Abstand der Kelchcentren beträgt 10—12 mm. 
Die Septa alterniren an Dicke. 5 Cyelen sind vorhanden, hievon sind die 
der ersten beiden Cyelen gleich lang, die der übrigen respective kürzer, 
Traversen zahlreich und fem. Ein Säulchen ist nicht vorhanden, aber die 
Enden der Hauptsepten sind manchmal verdickt. 


Thecosmilia. 213 


BECKER hat bereits «die verwandtschaftlichen Beziehungen dieser Art 
dargelegt. 

MicHELın hat eine Art aus dem Corallien von St. Mihiel als Zobophyllia 
meandrinoides beschrieben, die mit TR. suevica sehr grosse Aehnlichkeit hat. 
Dieselbe wurde später von MıLne EpwArnps und HAımz, allerdings mit einigem 
Zweifel zur recenten Gattung Ulophyllia gestellt. 


Erauvon führte sodann dieselbe Form unter dem gleichen Namen aus 
dem Corallien von St. Claude an, bemerkt jedoch, dass sie nicht recht zur 
Gattung Ulophyllia passe. Die recente Gattung Ulophyllia bildet grosse 
maeandroide Stöcke, deren Kelche in Reihen stehen, die von scharfen Rücken 
begrenzt sind. Die Septen sind stark ausgezackt und ein spongiöses Säulchen 
ist vorhanden. Die oben erwähnte Form aus dem Corallien von Frankreich 
zeigt kein einziges der oben angeführten Merkmale. Wahrscheinlich dürfte 
diese Art zu Th. suevica gestellt werden. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 20. 


Vorkommen: Stramberg, Koniakau, Chlebowitz, Wischlitz; ausserdem 
Nattheim, Beiningen, Heidenheim, Oberstotzingen, St. Mihiel, St. Claude. 


Thecosmilia truncata Ocınvız. — Taf. XII, Fig. 16, 16a. 


Auf einer verhältnissmässig schmalen Basis erhebt sich ein massiver, 
klotziger Stock (ohne Aeste und Lappen). Obwohl die Koralle wegen der 
Confluenz der Septen und des Habitus des Stockes bis zu einem gewissen 
Grade an T’hamnastraea erinnert, so ist doch die Zugehörigkeit zu den Thamn- 
astraeiden ausgeschlossen, da die Traversen stark und regelmässig entwickelt 
sind und da Pseudosynaptikel fehlen. Dies liess sich in ausgezeichneter Weise 
beobachten, weil das mir vorliegende Exemplar zum Theil als Abdruck und 
Steinkern erhalten ist. In Folge dessen kann man auch die Septalstruetur 
sehr gut beurtheilen. Es zeigt sich, dass die Trabekel nach oben und innen 
auf der Septalfläche verlaufen, ferner dass sie gleichmässig stark und ihrer 
ganzen Länge nach eng mit einander verwachsen sind, so dass das Septum 
ganz compact ist. Auch die quer über die Septaltläche verlaufenden Wachs- 
thumscurven sind deutlich sichtbar. 


Wenn auch die Oberseite des Stückes nicht vollkommen intact war, so 
liess sich doch so viel beurtheilen, dass die Koralle weder grössere Aeste 
noch Lappen bildete. Dadurch unterscheidet es sich von den nächststehenden 
Thecosmilia-Arten, wie Th. suevica QuENST. sp., Th. grandis Kosy und Th. 
tithonica OcınvıE. Die Kelche sind sehr gross (25>—35 mm im Durchmesser). 


214 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Septen zahlreich, an Stärke etwas alternivend, 120—130 an Zahl, von diesen 
reichen ca. 20 bis zum Kelchcentrum. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Hüttenwerk Baska bei Friedeck in Mähren. 


Gen, Rhabdophyllia E. und H. 


1829. Caryophyllia (pars) Prıtrırs. Geol. of York. Taf. I, p. 126. 

1843. Lithodendron (pars) Mıc#. Icon. zooph. p. 95. 

1849. Calamophyllia (pars) M. Epw. u. J.H. Ann. Sc. nat. 3. ser. Taf. XI, p. 264. 
1851. Rhabdophyllia M. Eopw. u. J. H. Pol. foss. terr. Pal. p. 83. 


1857. 5 M. Eow. u. J. H. Hist. Nat. Cor. Taf. II, p. 438. 
1858. 5; Erarı, Ray. du Haut-Jura. p. 87. 

1853 — 60. = From. Introduction. p. 137. 

1884. n (4 Aplophyllia »’Ore.) Duncan. Madreporaria. p. 80. 
1881—89. n Kosr. Pol. Jur. p. 191. 

1890. y p-p. (non Dermosmilia) Frecn. Triaskorallen. p. 7. 


Zusammengesetzte ästige oder buschige Stöcke. Septen stark, Die 
Mehrzahl bis zum grossen, schwammigen Säulchen reichend. Traversen un- 
regelmässig, Pseudothek gut ausgesprochen, Epithek vorhanden. 


Diese Gattung schliesst sich aufs engste an T’hecosmilia und speciell an 
den Typus der Th. clathrata an, unterscheidet sich aber von ihr nur durch 
das Vorhandensein des grossen, schwammigen Säulchen. Mit dem Vorkommen 
dieses Säulchens hängt dann auch die geringere Zahl und unregelmässigere 
Entwicklung der Traversen zusammen. 


Frec# hat (. cit. p. 7) auch die Kogr'sche Gattung Dermosmilia zu 
Rhabdophyllia gestellt, da sich nach seiner Meinung die Gattung Dermosmilia 
hinsichtlich der Art ihres Wachsthums zu Rhabdophyllia genau so verhält, 
wie Thecosmilia zu Calamophyllia. Ich kann dieser Vereinigung nicht zu- 
stimmen, da bereits Kopy hervorgehoben hat (cf. Pol. Jur. Pl. 129, Fig. 11, 
lla), dass sich Dermosmilia hinsichtlich der feineren Structur der Septen 
vollständig von Thecosmilia unterscheidet. Ich stelle Dermosmilia auf Grund 
der Anschauungen, die ich durch Untersuchungen über die Septalstructur 
gewonnen habe, zu den Eupsammiden und zwar in die Nähe der Gattungen 
Epistreptophyllum und Haplaraea. 


Rhabdophyllia disputabilis Becker sp. — Taf. XV, Fig. 1, 1a, 1b, le. 


1826 —33. Lithodendron plicatum Gotwpr. Petref. Germaniae. Taf. XII, Fig. 5. 
1850. Eunomia plicata v’ORE. (pars). Prodr. I, p. 385. 

1857. Latimaeandra plicata (pars) Epw. u. H. Hist. nat. Cor. II. p. 544. 

1858. Lithodendron plicatum (uensm. Jura. p. 711, Taf. 87, Fig. 1 (non Fig. 2). 


Rhabdophyllia. 215 


1875. Calamophyllia disputabilis Becker. Natth. Kor. p. 151. 

1881. Plicodendron plicatum rotundum Quest. Sternkor. p.721, Taf. 171, Fig. 16. 

1831. s A sinuosum 5 5 R S Fig. 17. 

Koralle grosse ästige Stöcke bildend, deren einzelne Aeste unter sehr 
spitzem Winkel von einander abzweigen. Kelche rund, ungefähr T—8 mm. 
Septa fein, 60—70 an Zahl, von denen 24 bis zur Columella reichen. Es 
sind vier complete Cyclen von Septen vorhanden, der fünfte Cyelus ist ver- 
schiedenartig entwickelt. Das Säulchen ist stark entwickelt und maschieg. 
Traversen besonders häufig nahe der Peripherie. Die Costen sind gleich- 
mässig dick, 14—15 in 5 mm vorhanden. Epithek um jeden Ast entwickelt, 
stark und mit Einschnürungen bei Entfernungen von ungefähr 6 mm. 

Die hierher gehörigen, von BEcKEr beschriebenen Nattheimer Exemplare 
von dieser Art, sind im Münchener Museum aufbewahrt. Der Vergleich zwischen 
denselben und den Stramberger Exemplaren lassen keinen Zweifel, dass sie 
identisch sind; auch stimmen verschiedene als Z. plicata in der Literatur 
angegebenen Exemplare damit überein. 

Zahlder untersuchten Stücke: Sehr zahlreiche, oft grosse Bruchstücke. 

Fundorte: Stramberg, Chlebowiz; ausserdem: Nattheim ete. 


Rhabdophyllia eervina Er. — Taf. XV, Fig. 2, 2a. 

1860. Thecosmilia cervina Br. Jura Graylois p. 18. 

1864. Rhabdophyllia „ Tuurx. et Er. Leth. Bruntr. p. 380, pl. 54, Fig. 1. 

1884, n „ Kosy. Polyp. Jur. p. 191, pl. 86, Fig. 3—7. 

Die Aeste der Stöcke zweigen unter grossem Winkel (ca. 60°) von 
einander ab, und die einzelnen Aeste sind oft leicht gebogen. Kelche rund, 
resp. elliptisch, ungefähr 5—7 mm. Septa fein, in vier Cyclen, von denen 
zwei stärkere das schwammige Säulchen erreichen; der vierte Cyelus ist nicht 
immer vollständig. Die Costen gleich gross zählen 12 in 5 mm. Traversen 
zahlreich und sehr fein; Epithek dünn. 

Die Mehrzahl der untersuchten Exemplare sind Abdrücke von Wischlitz, 
doch lassen dieselbe den ursprünglichen Bau der Koralle ganz gut feststellen. 

Zahlreiche Bruchstücke. 

Fundorte: Wischlitz, Skotschau, Iskritschin; ausserdem Ste. Ursanne, 
Caquerelle etc. 


Familie Fungidae Dana emend. ÖGILVviE. 


Einfache Korallen oder coloniebildende buschige, ästige, lappige oder 
massiv astraeoidische Stöcke; Kelche dureh Septen oder Pseudothek verbunden. 
Septen dicht oder porös, zahlreich, radiär angeordnet, aus lauter zusammen- 


916 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


gesetzten Trabekeln aufgebaut. Seitenflächen der Septen mit gut entwickelten 
Granulationen versehen, die auf den senkrecht zum Oberrand gerichteten 
Trabekeln angeordnet sind. Die Granulationen ein und derselben Septal- 
oberfläche verschmelzen häufig seitlich mit einander und bilden horizontale 
oder schräg gestellte Leisten. Die Granulationen resp. Leisten gegenüber- 
stehender Septen berühren sich und verschmelzen (Pseudosynaptikel) oder 
werden durch neue Calcificationscentren (ächte Synaptikel) verbunden. Tra- 
versen reichlich oder spärlich vorhanden, oder ganz fehlend. Die Vermehrung 
erfolgt durch marginale Knospung und durch Septalknospung: (Theilung). 


Die verwandtschaftlichen Beziehungen der Fungiden zu den Astraeiden 
und zu den Eupsammiden wurden bereits in einer früheren Arbeit (Phil. Trans. 
Roy. Soc. London 1896) erörtert. Ebenso wurde daselbst auf die muthmassliche 
Abstammung von den Cyathophylliden hingewiesen. Ich habe bei dieser 
Familie drei Subfamilien unterschieden: 


1) die Thamnastraeinae = Pseudoastraeinae Prartz (zum grössten Theil), 
eine ausgestorbene Gruppe, die von der Trias bis zum Tertiär reichte und 
und ihre Blüthezeit im oberen Jura hatte, um darauf rasch abzuriehmen. 
Ich betrachte die Thammastraeinae nicht als die Vorläufer der Poritinae, wie 
es Prarz, NEUMAYR, FRECH und andere annehmen. 

2) die Funginae, deren Hauptvertreter in der Gegenwart leben und 
deren erste sichere Vertreter in der Jura- und Kreidezeit vorkommen. Die 
Funginae haben in der Septalstructur viele Beziehungen zu den Astraeiden, 
unterscheiden sich aber von ihnen durch ihre Septalleisten und Synaptikeln, 
die indess nicht so regelmässig gebaut sind wie bei den Thamnastraeinen und 
Lophoserinen. Zu den Funginen rechne ich auch die recente Gattung Sider- 
astraea mit ihren Vorläufern Söderofungia und Thamnoseris. 


3) die Zophoserinae, welche erst im Jura auftreten, in der Kreide rasch 
zunehmen und in der Jetztzeit eine sehr dominirende Stellung einnehmen. 
Diese Unterfamilie ist desshalb interessant, weil sie im feineren Bau der 
-Trabekeln zwar grosse Uebereinstimmung mit den Thamnastraeinen aufweist, 
andererseits aber in der Anordnung der Trabekel an Eupsammiden erinnert. 
Die jurassischen Vertreter dieser beiden letzten Unterfamilien zeigen noch 
grosse Uebereinstimmung mit den Zhamnastraeinae, während in späteren 
Zeiten beide nach bestimmten Richtungen modifizirt wurden. 


Subfamilie Thamnastraeinae Rruss em. Prarz. 
—= Pseudoastraeinae regulares (pars) Pranz. 


Einfache oder coloniebildende Korallen, deren Kelche mittelst ihrer 
confluenten Septen zusammenhängen. Septen aus continuirlichen und zu- 


Thamnastraeinae. 27, 


sammengesetzten Trabekeln bestehend, deren Querschnitt rundlich oder vier- 
eckig ist. In coloniebildenden Formen divergiren diese Trabekel da, wo zwei 
benachbarte Kelche zusammenstossen, und sind nach Innen gerichtet. Septen 
am Öberrand regelmässig gezackt. In einfachen Kelchen fällt die Lage der 
Divergenzstellen mit der Pseudotheka nahe am Kelchrand zusammen; die nach 
Innen aufsteigenden Trabekel bilden die Septen, die nach Aussen aufsteigen- 
den bilden den sogenannten costalen Theil derselben. Die einzelnen Trabekel- 
glieder in einem Wachsthumssegment des Septums berühren sich ursprünglich 
nur zum Theil. Dadurch sind dann in Reihen, parallel mit dem Septalrand 
angeordnete Lücken vorhanden. Entsprechend dem Verlauf der Trabekel 
kann man aber auch diese Lücken in Reihen, die senkrecht zum Septalrand 
stehen, verfolgen. Die Granulationen auf der Oberfläche jedes einzelnen 
Trabekelgliedes verschmelzen mit denen des Nachbarseptums und bilden so 
Pseudosynaptikel, ächte Synaptikel sind nicht vorhanden. Traversen blasig, 
immer vorhanden. Epithek gut entwickelt, gerunzelt. In einer früheren 
Arbeit (Phil. Trans. Roy. Soc. London 1596) habe ich bereits die Berechtigung 
dieses Namens für die Subfamilie. nachgewiesen und zugleich einige Bemer- 
kungen über die Nomenclatur gemacht. Prarz theilte seine Unterfamilie 
Pseudoastraeinae in regulares und irregulares ein, je nachdem die Trabekeln 
im Septum regelmässig oder ohne Regelmässigkeit angeordnet sind. Nach 
meinen Untersuchungen stelle ich die Gattungen, welche PrArz zu der Pseudo- 
astraeinae irregulares vechnete (es sind dies: Haplaraea, Diplaraea und Cosein- 
araea) zu den Eupsammiden. 


Ferner habe ich zwei Gattungen der Pseudoastraeinae regulares hievon 
entfernt. Die eine, Comoseris, stelle ich, wie dies schon Duncan gethan hat, 
zu den Lophoserinae, die andere, Thamnaraea, an welche Prarz die Poritinae 
anschloss, gehört nach meiner Ansicht, wegen der Art des Coenenchyms, zu 
den Madreporiden. 


Prartz hat die hieher gehörigen Korallen, die Pseudoastraeinae regulares, 
wie er sie nennt, wieder in zwei Gruppen geschieden. Die erste Gruppe 
umfasst diejenigen Formen, deren Septen „nicht immer und dann nur 
theilweise perforirt“ sind, da hier die ursprünglichen Lücken durch nach- 
trägliche Kalkablagerung grösstentheils ausgefüllt wurden (typisch hiefür sind: 
Oyelolites, Leptophyllia, T’hamnastraea); die zweite Gruppe umfasst dagegen 
solche Formen, bei denen die Septa „fein und regelmässig gegittert“ 
bleiben (typisch hiefür sind Zrocharaea und Microsolena). 


Beide Gruppen sind unter dem Stramberger Material reichlich vertreten 
und ich halte es mit Prarz für zweckmässig, die beiden Gruppen getrennt 
zu halten und zwar werde ich die erste Gruppe als Thamnastraeinae expletae 
und die zweite als T’hamnastraeinae cancellatae bezeichnen. 


918 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


I. Thamnastraeinae expletae OGILvir. 


Zwischenräume zwischen den einzelnen Trabekeln durch nachträglich 
sich ablagernde Kalksubstanz theilweise ausgefüllt. Septa in Folge dessen 
nicht immer, und dann nur theilweise perforirt. 


Leptophyllia Rıuss. 


1849. Trochosmilia (pars) Epw. u. H. Ann. des Sc. nat. 3. ser. Taf. X, p. 243. 
1849. Acrosmilia (pars) D’Ore. Notes sur les Polyp. toss. p. 5. 

1850. „ r 7 Prod. t. I, p. 207. 

1551. 5 h Cours &l&m. de pal6ont. t. II, p. 160. 

1851. Trrochosmilia ae) Eow. u. H. Polyp. foss. des terr. pal. p. 45. 
1852. Turbinolia (pars) Quenst. Handb. d. Petref. p. 655, Taf. 59, Fig. 22. 
1854. Leptophyllia Reuss. Beitr. zur Charakt. der Kreide, p. 101. 

1857. Drochoseris (pars) From. Polyp. foss. de Pet. neoc. p. 18. 

1857. Leptophyllia Eow. u. H. Hist. nat. des Corall. II, p. 294. 

1857. Montlivaltia (pars) Eow. u. H. Hist. nat. des Corall. I, p. 326. 
1858. Leptophyllia From. Introd. p. 120. ' 


1858. n Erate. Haut-Jura, p. 82. 
1865. „ (pars) From. et Ferry. Pal. franc. terr. jur. p. 87. 
1879. er Zırmer. Handb. d. Pal. p. 250. 


1881. Turbinolia (pars) Quenst. Sternkor. p. 679, Taf. 169, Fig. 25. 
1882. Leptophyllia Prarz. Verwandtschaftl. Beziehg. einiger Kor.-Gatt. Palaeont. 
Bd. 29, p. 90, pl. 1, Fig. 9. 

1884. 5 Duncan. Madreporarian Genera, p. 166. 

1850—89. „ Kosy. Polyp. Jur. p. 313, 555, 569, pl. 129, Fig. 17, 18, 19. 

Koralle einfach, conisch oder eylindro-conisch mit flachem Kelch. Septen 
zahlreich, fein, am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seitenflächen 
senkrecht zum Septalrand verlaufende Reihen von Granulationen, die Pseudo- 
synaptikel bilden. Septen nicht immer und dann nur theilweise perforirt. 
Traversen dünn, zahlreich, blasig, gegen die Peripherie zu stärker und mit 
den Septen eine Pseudotheka bildend. Die Costalenden der Septen fein ge- 
zackt. Dünne Epithek vorhanden. 


Leptophyllia eyclolites Quasst. Sp. 


1852. Turbinolia cyclolites Quenst. Handb. d. Petref. p. 655, Taf. 59, Fig. 22, 

1857. Montlivaltia „ M. Eow. u. H. Corall. Bd. II, p. 326. 

1881. Turbinolia n Quexst. Sternkor. p. 679, Taf. 169, Fig. 25. 

1889. Leptophyllia cupulata Kosy. Polyp. jur. p. 318, pl. XC, Fig. 25. 

Koralle kurz, conisch gefaltet. Kelch fast kreisförmig, wenig tief, 
Durchmesser 35 mm. Septen sehr zahlreich, regelmässig gezackt, 24 er- 
reichen das Centrum, ein vierter Öyclus beinahe, der fünfte wenig kürzer, 


Thamnastraea, 219 


der sechste unvollständig entwickelt. Im Ganzen sind 150—180 Septen vor- 
handen. Die Costalenden der Septen sind gleichmässig dick, 13 kommen 
auf 5 mm. Epithekalringe sind vorhanden. 

Allgemeine Bemerkungen: Z. cyelolites unterscheidet sich von 
L. Thurmanni durch feinere Septen und hervortretendere Synaptikel. Die 
Abbildungen von QuEnsTEDT stimmen, was Septalbau und Synaptikel betrifit, 
überein. Da auch die Form der Koralle sehr ähnlich ist, habe ich sie mit 
Kosr'’s Art vereinigt. Zwei von den von mir untersuchten Exemplaren sind 
vollkommene Abdrücke, das dritte ein sehr gut erhaltenes Exemplar; daher 
war es leicht die für L. eyelolites charakteristische Structur festzustellen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Fundorte: Bobrek; ausserdem: Nattheim, Hofbergle. 


Leptophyllia Thurmanni Kogy. — Taf. XI, Fig. 10, 10a. 

1864. Leptophyllio depressa (pars) Tuurm. & Er. Leth. Bruntr. p. 376, pl. 53, Fig. 1. 

1881—89. , Thurmanni Kogy. Polyp. jur. p. 317, pl. 91, Fig. 15—28. 

Koralle conisch, mit enger, gerade oder schief gestellter Basis. Kelch 
sehr seicht, mit klemen Gruben. Die zwei untersuchten Exemplare haben 
folgende Grössenverhältnisse: 

1) Höhe 15 mm. Kelchdurchmesser 24 mm. 

On ame, n 20 5 
Die Septenzahl beträgt 150—180. Drei Cyclen erreichen das Centrum, der 
vierte sehr wenig kürzer, die übrigen Septen kaum als Cyelen zu bezeichnen. 
Die Costalenden der Septen gleich dick, auf 5 mm kommen 13—14. Die 
Epithek ist gut entwickelt, mit concentrischen Ringen. 

Allgemeine Bemerkungen: Kopry hat mit Recht Z. depressa Er. in 
zwei Arten getheilt, nämlich Z. intermedia Kogy und L. Thurmanni Kopy, 
und ausserdem noch einige Exemplare mit Z. Fromenteli vereinigt. L. Thur- 
mannı unterscheidet sich von den anderen genannten Arten durch die ge- 
ringere Grösse der Koralle und ihre gröberen Septen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres, St.-Ursanne. 


Thamnastraea Iusauvase em. PrRATZ. 


1823. Thamnastraea LvsauvAcr. Mem. de la Soc. d’Hist. nat. T. I, p. 243. 

1326. Agarieia (pars) und Astraea (pars) GoLpor. Petref. Germ. T. I, p. 43, 66. 

1850  Siderastraea (pars) Braınv. Dict. des Sc. nat. T. 60, p. 336. 

1832. Thamnastraea LesauvaGe. Ann. des sc nat. 1. ser. T. 26, p. 328. 

1548, R und Synastraea Epw. u. H. Compt. Rend. de !’Acad. des sc. 
T. 27, p. 495. 


Die Korallen der Stramberger Schichten. 


[S) 
[5°] 
(>) 


1849. Dactylocoenia, Centrastraea u. Polyphyllastraea vD’OrB. Note sur les polyp. 
foss. p. 7, 9, 10. 

1850. Dactylocoenia, Centrastraea u. Polyphyllastraea v’ Org. Prodr. II, p. 216. 

1851. Thamnastraea Epw. u. H. Polyp. foss. des terr. palaeoz. p. 108. 


1857. Ras), Histeonatz desCoralliT. TI, p%90D- 
1857. n Pıcrer. Traite de Paleont. T. IV, p. 416. 
1858. & From. Introd. p. 211. 

1858. 5 Erarı. Haut-Jura, p. 113. 

1862. n From. Monogr. des Pol. jur. sup. p. 43. 


1864. Confusastraea (pars) u. Pirrastraea Reuss. Anthoz. der Kössener Schichten, 
p- 10 und 11. 
1875—76. Thamnastraea BEckER u. MırascH. Kor. der Natthı. Schicht. Palaeont. 
Bd. 21, p. 168, 218. 
1879. Thamnastraea Zırnmer. Handb. der Pal. T. I, p. 245. 


1882, 5; Prarz. Verwandtsch. Beziehung. einiger Kor.-Gatt. Palaeont. 
Bd. 29, p. 92, pl. XIV, Fig. 10—12. 
1884. cn Duncan. Madrep. Genera, p. 136. 


1886. Synastraca From. Paleont. franc. terr. ceret. p. 595. 
1880—89. Thamnastraea Kosy. Polyp. jur. p. 353, 556, 568, Pl. 130, Fig. 3. 
1890. n (pars) Frech. Triaskor., Palaeont. Bd. XXXVL, p. 60. 


Zusammengesetzte Stöcke, subconisch, mit flacher oder convexer Ober- 
seite oder unregelmässig knollig. Kelche auf der Stockoberfläche unregel- 
mässig vertheilt, mit flacher Kelehgrube; benachbarte Kelche durch confluente 
Septen verbunden. Septen am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seiten- 
flächen senkrecht zum Septalrand verlaufende Reihen von Granulationen, die 
mit denen der benachbarten Septen Pseudosyhaptikel bilden. Septen nicht 
immer und dann nur theilweise perforirt. Papillöses Säulchen vorhanden. 
Traversen fein, wenig entwickelt. Pseudotheka schwach entwickelt, haupt- 
sächlich durch die Divergenzpunkte der aufsteigenden Trabekel angedeutet. 
Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. 


Thamnastraea confluens QuExst. sp. 
Tat 1X, Bier 1, 1a, 1b, lc. 


1852. Astraea confluens QuEnstepr. Petrefactenkunde, p. 649, Taf. 58, Fig. 1. 


1881. n 5 „ Röhr.- u. Sternkorallen, p. 802—806, Taf. 174, 
Fig. 20—24. 

1885. 2 Petrefactenk. (3. Aufl.), p.1004, Taf. S1, Fig. 13. 
1826. Metmasa nn Gouor. Petref. Germ. Taf. 22, Fig. 5. 
1836. e is Mırne EpwAros. Annot. de la 2° ed. pe Lamarck, 

T. II, p. 422. 

non x 1852. > -i Quensteor. Petrefactenk., p. 649, Taf. 57, Fig. 27. 
1858. & 2 er Jura, p. 706, Taf. 86, Fig. 4. 
1885. A 5 ” Petrefaetenkunde (3. Auflage), p. 1004, 


Taf. 81, Fig. 12, 


T'hamnastraea. } 221 


Korallenstock massiv, meistens breite, plattenförmige Massen bildend. 
Die Kelche wechseln an Grösse von 10—15 mm im Durchmesser. Es sind 
32—40 Septen vorhanden, von welchen die der ersten drei Cyelen gleich stark 
sind. 10—12 Septa reichen bis zum Kelcheentrum und mit diesen alterniren 
die kürzeren des dritten Cyelus. Ein unvollständiger vierter Cyclus von 
dünneren und noch kürzeren Septen ist in allen Kelchen, mit Ausnahme der 
kleinsten, vorhanden. Der Oberrand der Septen ist mit dicken gerundeten 
Zähnchen versehen. Auf einer Breite von 5 mm kommen 12—14 Septocosten 
von alternirender Stärke vor. Die Traversen sind stark entwickelt und bilden 
dicht übereinanderstehende regelmässige nach oben gekrümmte Scheidewände, 
die zwischen den Septen von der Mauer bis zum Kelchcentrum verlaufen. 

Allgemeine Bemerkungen: Wohl selten wird sich eine so günstige 
Gelegenheit wieder finden, um die feinere Structur der Septen bei Korallen 
aus der Jurazeit zu studiren, als dies bei den mir vorliegenden Stramberger 
Exemplaren der Fall ist. Dieselben kommen in den verschiedensten Arten 
der Fossilisation vor, und namentlich gestatten einige Steinkerne von Wisch- 
litz genaueren Einblick in den Bau der Septen. Bei diesen Exemplaren lässt 
sich der trabekuläre Bau des Thamnastraeiden-Septums, wie er bereits von 
Prarz beobachtet wurde, in untrüglicher Weise erkennen. An einzelnen 
Stellen sind nämlich nur noch die Trabekeln vorhanden, während die intra- 
trabekuläre Kalkausscheidung bereits wieder aufgelöst worden ist. Bei einigen 
anderen Exemplaren, wo der Zwischenraum zwischen den einzelnen Septen 
vollkommen ausgefüllt worden ist, lassen sich die ursprünglichen Traversen 
noch als feine bogenförmige Lamellen zwischen dem später zwischen ihnen 
ausgeschiedenen Kalk erkennen. Die Trabekeln verlaufen nicht in vollkommen 
paralleler Richtung mit dem Oberrand der Septen, sondern steigen von der 
Richtung an, wo zwei Kelche sich berühren, bogenförmig nach oben und 
aussen. Dass eine Columella nicht vorhanden ist, lässt sich mit Sicherheit 
feststellen. Durch die beträchtliche Grösse der Kelche und durch die geringe 
Zahl der Septen, sowie deren alternirende Dieke unterscheidet sich diese Art 
sofort von den ihr nahestehenden Arten. 

QuUENSTEDT hat unter dem Namen Astraea confluens Formen zusammen- 
gefasst, die zu verschiedenen Gattungen gehören, von welchen aber keine 
mit dem von GoLpruss unter diesem Namen beschriebenen und abgebildeten 
Original übereinstimmt. Die Gospruss’sche Art wurde auch bereits von 
Miıtne Epwarps und HaımE zum Genus Latimaeandra gestellt (cf. Hist. nat. 
Cor. Vol. U, p. 544, Latim. plicata). Von den zwei Exemplaren, die Qurx- 
stept abbildet, gehört eines zu T’hecosmilia suevica, während das andere eine 
ächte Zhanmastraea ist, welche aber, soweit mir bekannt ist, bis jetzt von 
niemand anders als Quexsteort beschrieben wurde. Für diese Art halte ich 
desshalb den Namen Thamnastraea confluens QUENSTEDT Sp. aufrecht. 


[6] 
[8e] 
D&D 


Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Eine Art, die grosse Aehnlichkeit mit Z’h. confluens hat, ist die von 
BECKER als T’hamnastraea ? seriata beschriebene (Natth. Korallen, p. 174, 
Taf. XL, Fig. 11). Die Dimensionen sind bei dieser aber etwas kleiner 
als bei Z’h. confluens. An dem einzigen Stück, das Breker vorlag, war 
an einigen Stellen eine reihenförmige Anordnung der Kelche zu beobachten, 
da jedoch ein Centralkelch nicht vorhanden war, stellte er diese Art lieber 
zum Genus Thamnastraea als zu Dimorphastraea. Auch bei dieser Art sind 
die Septocosten von alternirender Dicke. Die Kelcheentren haben einen Ab- 
stand von 6—5 mm. Es wäre möglich, dass die Beeker’sche Art nur der 
äussere Theil eines grösseren Stockes von 7%. confluens ist, die ja QuUENSTEDT 
auch von Nattheim anführt. Bei einigen der Stramberger Exemplare liess 
sich übrigens ab und zu ebenfalls eine reihenförmige Anordnung der Kelche 
beobachten. 

Thamnastraea confluens hat am meisten gemein mit der zweiten 
Thamnastraea-Gruppe Kogr's (ef. die einleitenden Bemerkungen über Thamn- 
astraea) und besonders mit T’hamnastraea Lomontiana Er. Diese Art hat 
indess nur Kelche von 4—5 mm im Durchmesser, auch ist der Korallenstock 
von geringerer Grösse. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 12. 

Fundorte: Stramberg, Wischlitz, Ignatziberg; ausserdem: Nattheim, 
Hochsträss, Beiningen, Sirchingen. 


Thamnastraea oculata Kosy. — Taf. IX, Fig. 2, 2a. 
1887. Thamnastraea oculata Kopy. Polyp. Jur. p. 359, pl. 96, Fig. 7. 


Der Korallenstock bildet flach ausgebreitete Massen. Die Kelche stehen 
in unregelmässigen Abständen von einander, zuweilen ist auch eine Tendenz 
zu reihenförmiger Anordnung vorhanden. Wenn sie m Reihen angeordnet 
sind, haben die Kelche derselben Reihe 5 mm Abstand, während die zwei 
benachbarte Reihen 4 mm Abstand haben. Die grössten Kelche haben einen 
Durchmesser von ungefähr 6 mm. Es sind im Ganzen etwa 36—40 Septo- 
costen vorhanden, von denen etwa 14—18 bis zum Kelchcentrum reichen. 
Zwischen den einzelnen Kelchen ist die Oberfläche des Stockes convex nach 
oben gekrümmt. Die Fossula ist tief und bei besser erhaltenen Kelchen lässt 
sich eine falsche Columella beobachten, welche von den Enden der Septa 
gebildet wird. Die Septa variren nur wenig in ihrer Stärke. Synaptikeln 
und Traversen sind sehr fein. Die Unterseite des Stockes ist von dünnem, 
wellig gebogenem Epithek bedeckt. Die Costen sind von gleicher Stärke und 
stark granulirt. Auf die Breite von 5 mm kommen 22—23. 

Allgemeine Bemerkungen: Die vorliegenden Exemplare sind gut 
erhalten. Wenn diese Art auch mit der im mittleren Jura weit verbreiteten 


'Thamnastraea. 223 


Th. arachnoides PARKınson sehr grosse Aehnlichkeit hat, so lässt sie sich 
doch durch die bereits von Kogy angegebenen Merkmale leicht davon unter- 
scheiden, von welchen die geringere Kelchgrösse und die grössere Zahl feiner 
und gleichmässig entwickelter Costen die wichtigsten sind. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Montrusselin (Cor. blanc). 


Thamnastraea gibbosa Becker. — Taf. IX, Fie. 3, 3a. 


non 1858— 61. Thamnastraea (Centrastraea) gibbosa From. Introd. p. 21 

1875. Thamnastraea gibbosa BECKER. Natth. Kor. p. 170, Taf. XL, Fig. 3 

1884. er 5 Tomes. Oolitie Madrep. of the Boulonnais. Q. J. Geol. 
Soc. November 1884. p. 121. 


8. 


Korallenstock flach, unregelmässig, Knollig, auf Fremdkörpern festge- 
wachsen, aber an den freien Stellen mit starkem Epithek versehen. Kelche 
klein (2'/),—5 mm im Durchmesser). Septen stark und gleichmässig ent- 
wickelt. Es sind 14—15S, meist 16 Septocosten von gleicher Stärke vorhanden. 
8—10 Septa reichen bis zur Columella. Columella hervorragend, zuweilen rund, 
meist griffelförmig. Die Pseudosynaptikeln sind dünn und nicht sehr häufig. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art wurde von MiLAScHEWwITZ zu 
Astraeomorpha gestellt (cf. Natth. Korallen, p. 222), später aber wieder von 
PrAatz in Anbetracht der feineren Structurverhältnisse zum Genus Zhamn- 
astraea zurückversetzt (cf. Prarz. Palaeontographica, Bd. 29, p. 103—104). 
Die geringe Zahl der Costalsepten und die hervorragende Columella lassen 
diese Art gut von den nahestehenden Formen mit kleinen Kelchen unter- 
scheiden. Am meisten Aehnlichkeit hat sie mit Thamnastraea Bourgeati Kopx 
(Pterocerien coralligene). Die Kelche der Kogr'schen Art sind indess klemer 
(2—2'/z mm im Durchmesser), die Septa zahlreicher (16—22) und der Stock 
der Koralle bildet kleine kugelige Massen. Thammastraea Coquandi Eır., von 
welcher Art mir Exemplare aus der Münchener palaeontologischen Sammlung 
zum Vergleiche vorlagen, steht ZT’h. gebbosa ebenfalls nahe, unterscheidet sich 
aber durch grössere Kelche (3—3'/z mm im Durchmesser) und zahlreichere 
Septen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Giengen, Houllefort (Boulonnais). 


Thamnastraea globosa OcıLvır. — Taf. IX, Fig. 4, 4a, 4b. 


Korallenstock klein, kugelig, 25>—2S mm im Durchmesser. Die Kelche 
sind seicht, mit flacher centraler Fossula, und haben 1,5—2 mm im Durch- 
messer. Auf der Stockoberfläche zwischen den Kelchen verlaufen manchmal 


224 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


unregelmässige Erhöhungen. Septa alle gleich stark; von den 13—20 Septo- 
costen reichen S oder 9 Septen bis zum Keleheentrum. Die Septocosten ver- 
laufen mit leichter Krümmung von Kelch zu Kelch. Columella rund und 
hervorragend. Epithek war nicht zu beobachten. 


Allgemeine Bemerkungen: Diese Art gehört zu derselben Gruppe 
von Thamnastraea wie Th. concinna GDr. sp., Th. gracilis GDF. sp., Th. 
minima Er. und Th. pusilla Kopy. Die zwei Arten von GoLpruss wurden 
früher in der Litteratur häufig mit einander verwechselt, MILASCHEWITZ 
(Natth. Kor. p. 226—227) hat indess beide genau untersucht. Alle vier 
Arten haben kleine Kelche und nicht mehr als drei Cyelen von Septa; Th. 
concinna und Th. minima bilden flach sich ausbreitende Stöcke, Th. gracilis 
und Th. pusilla dagegen rundliche Formen wie die Stramberger 7h. globosa. 

Die vorliegende Stramberger Art besitzt sehr grosse Aehnlichkeit mit 
der Form, welche Kopy als 7’h. graeilis beschrieb. Dieselbe ist aber offenbar 
nicht identisch mit 7’h. gracilis Gpr. So hat Th. gracilis Kosy z. B. einen 
Kelchdurchmesser von nur 1,5 mm, während 7’h. graeilis Gpr. einen solchen 
2—3 mm und ausserdem auch noch Septa von ungleicher Stärke besitzt. 
Da mir das Kogy’sche Original nicht vorlag, wage ich nicht zu entscheiden, 
ob Th. globosa und Th. gracilis Kogy wirklich identisch sind. Kosy führt 
als Hauptunterscheidungsmerkmal zwischen 7h. pusilla und Th. gracilis 
namentlich die geringere Grösse des Korallenstockes von erstgenannter Art 
auf, in welcher Hinsicht die Stramberger Form hesser mit 7. pusilla überein- 
stimmt. Andererseits haben aber die Kelche von 7’h. pusilla nur einen Durch- 
messer von 1—1,5 mm, dagegen 20—24 Septa, wodurch sich diese Art, 
welche im Astartien vorkommt, von der 7’h. globosa unterscheidet. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 
Fundort: Stramberg. 


Thamnastraea aspera Ocınvız. — Taf. IX, Fig. 5, 5a. 


Stock dicke, unregelmässig sich ausbreitende Massen bildend, mit plumpen 
fingerförmigen Fortsätzen und sehr unregelmässig höckeriger Oberfläche. 
Kelche 2,5 mm im Durchmesser, regelmässig über den ganzen Stock sowohl 
die Ober- wie Unterseite vertheilt. Septa von gleicher Stärke, 12—16 an 
Zahl, von welchen 9—10 das Kelcheentrum erreichen. Auf 3 mm Breite sind 
9 Septocosten vorhanden. Die längsten Septen strahlen zunächst in gerader 
Richtung vom Kelcheentrum nach aussen, biegen dann aber häufig ziemlich 
scharf um und fliessen mit denen der Nachbarkelche zusammen. Traversen 
zahlreich und dick. Columella hervorragend und griffelförmig. Epithek nicht 
vorhanden. 


Dimorphastraea. 225 


Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den 
ihr nahestehenden hauptsächlich durch die eigenthümliche Form des Stockes. 
Derartige ausgebreitete Formen besitzen in der Regel eine wohlentwickelte 
Ansatzstelle und Epithek, wie z. B. T’h. portlandica From. (Polyp. jur. sup. 
p. 44, pl. VII, Fig. 1), eine Art von Mantoche und Gray la Ville, die mit 
der oben beschriebenen nahe verwandt ist, indess sind die Kelche von Th. 
portlandica kleiner als die von aspera. Th. gibbosa BEcker (Natth. Korallen, 
p. 50, Taf. XL, Fig. 3) gleicht der 7’h. aspera in Bezug auf Kelche und 
Septa. Die Nattheimer Art bildet indess fremde Körper überziehende Stöcke, 
und ist auf der Unterseite, da wo sie frei ist, mit Epithek versehen. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundort: Koniakau. 


Thamnastraea aff. Lomontiana Erauuox. 


1864. Thamnastraea Lomontiana THURMAnN et Brarvon. Lethaea Bruntr. p. 399, 

pl. 56, Fig. 14. ; 

1889. Thamnastraea« Lomontiana Kosy. Polyp. jur. p. 366, pl. 98, Fig. 3—5, 

pl. 100, Fig. 2. 

Das einzige mir vorliegende Exemplar stimmt, soweit der schlechte 
Erhaltungszustand zu beobachten gestattet, in allen wesentlichen Merkmalen 
mit Th. Lomontiana überein. Nur die polygonale Form der Kelche, welche 
Erauvon bei Th. Lomontiana erwähnt und die derselben nach ihm ein 
Goniastraea-ähnliches Aussehen verleihen sollen, liess sich am Stramberger 
Exemplar nicht beobachten. Indessen spricht auch die unregelmässige Ver- 
theilung der Kelche und der Umstand, dass die Septocosten ab und zu an 
den mehr unebenen Stellen der Oberfläche reihenförmig geordnet sind, eher 
gegen das Vorhandensein ursprünglich polygonaler Kelche. Das vorliegende 
Exemplar, welches ich wegen des schlechten Erhaltungszustandes nicht mit 
Sicherheit zu Th. Lomontiana stellen kann, ist von allen bisher beschriebenen 
Stramberger Thamnastraeen aufs deutlichste verschieden. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 


Fundort: Koniakau; ausserdem: St. Ursanne, Soyhieres, Blauen, 
Caquerelle, Bressaucourt, Hochwald ete. 


Dimorphastraea n’Orzıeny. 


1826. Astraea (pars) GouLpruss. Petref. Germ. T. I, p. 68. 
1845. Agaricia (pars) MıcHerin. Icon. Zooph. p. 199. 

1850. Dimorphastraea v’Orsısny. Prodröme. T. II, p. 93. 

1850. Morphastraea “ » T. II, p. 183, 277. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 8. 15 


296 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


1851. Dimorphastraea Enwarps u. Hame. Pol. Foss. Terr. Palaeoz. p. 108. 


1857. 5) H ” Hist. Nat. Cor. T. II, p. 585. 

1857. 5; Pıcrer. Trait& de Pal&eont. T. IV, p. 415. 

1857. > FronenteL. Pol. foss. de l’Etage n&ocomien, p. 65. 
1857. ? Dimorphocoenia en ” er » H p- 55. 
1858—60. Dimorphastraea FROMENTEL. Introduction, p. 223. 

1879. ch Zırrer. Handbuch der Palaeontologie. Bd. 1, p. 245. 
1884. a“ Duncan. Madreporaria, p. 140. 

1880 —89. > Kogy. Pol. Jur. p. 354, 556 u. 569. 


1890. Thamnastraea (pars) Frecn. Triaskorallen Palaeont. Bd. XXXVL, p. 60. 


Zusammengesetzte Stöcke, flach oder subconisch mit convexer Oberseite. 
Kelche regelmässig in concentrischen Ringen um einen grösseren in der Mitte 
des Stockes angeordnet; benachbarte Kelche durch confluente Septen ver- 
bunden. Septen am ÖOberrand regelmässig gezackt, auf den Seitenflächen 
Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand verlaufen und mit 
denen der nächsten Septen Pseudosynaptikeln bilden. Septen nicht immer 
und dann nur theilweise perforirt. Papillöses Säulchen vorhanden, Pseudo- 
theka schwach entwickelt, hauptsächlich durch die Divergenzpunkte der auf- 
steigenden Trabekel angedeutet. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. 


Dimorphastraea heteromorpha Quexst. sp. — Taf. IX, Fig. 6, 6a. 
1858. Thamnastraea heteromorpha (\ENSTEDT. Jura, p. 707, Taf. 86, Fig. 5. 
1875—76. Dimorphastraea ,, Becker. Natth. Kor. Palaeont. Bd. 21, p. 178. 
1881. Thamnastraea > Quessteot. Röhren- u. Sternkorallen, p. 808, 

Taf. 175, Fig. 4 und 5. 

Korallenstock niedere pilzförmige Massen bildend, unten mit einer kleinen 
Anwachsstelle und sich nach oben rasch verbreiternd. Oberseite des Stockes 
schwach concav; Höhe desselben 25 mm; Durchmesser 53—63 mm. Der 
grosse Mutterkelch hat einen Durchmesser von 16 mm. Die Kelchgrube ist 
tief und ungefähr 24 Septa reichen bis gegen das Centrum. Die Gesammt- 
zahl der Septa beträgt S4. Die kleineren Kelche nicht sehr zahlreich, haupt- 
sächlich nur in einem Ring um den Mutterkelch angeordnet. Sie haben nur 
10 mm im Durchmesser und 36 Septen, von welchen etwa die Hälfte bis 
zum Kelcheentrum reicht. Während die Septen des Mutterkelches radiär 
nach aussen strahlen, sind die der kleineren Kelche mehr parallel angeordnet 
und auch hauptsächlich nach innen und aussen gerichtet (d. h. auch radiär 
zum Mutterkelch angeordnet). Etwas ausserhalb der Kelchgrube treffen 
10—12 Septen auf die Breite von 5 mm; an der Peripherie des Stockes sind 
die Septen etwas dichter stehend. Unterseite des Stockes mit feinen Costal- 
streifen versehen. Darüber kräftige Epithekalringe. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Nattheim. 


Dimorphastraea. 297 


Dimorphastraea conica Kosy. — Taf. IX, Fig. 7, 7a, Tb. 
1886. Dimorphastraea conica Kosy. Polyp. Jur. p. 349, Pl. 95, Fig. 3. 


Korallenstock conisch, mit flacher Oberseite. Höhe des Stockes ungefähr 
25 mm, Durchmesser 50—60 mm. Um den centralen Mutterkelch ist eine 
sehr beträchtliche Anzahl kleinerer Kelche regellos gruppirt. Der Mutter- 
kelch hat ungefähr 12 mm im Durchmesser, die kleineren 5—7 mm. Septen 
alle nahezu gleichstark und fein. Im centralen Kelch sind etwa 100—110 
Septen vorhanden, in den kleineren 46—50. Die Stockoberfläche zwischen 
den einzelnen Kelchen ist eben. Die Septen strahlen nach allen Richtungen 
aus und sind nirgends parallel angeordnet. Etwas ausserhalb der Kelchgrube 
treffen 22—25 Septen auf die Breite von 5 mm. Pseudosynaptikeln stark 
entwickelt und regelmässig zwischen den Septen angeordnet. Eine Pseudo- 
columella, die durch die inneren Enden der Septa gebildet wird, ist vorhanden. 
Unterseite des Stockes mit Costalstreifen versehen, die von dicken concentrischen 
Epithekalringen überdeckt werden. 

Diese Art ist hauptsächlich wegen der feinen und zahlreichen Septa, 
der dicht gedrängten Synaptikel und der starken Entwickelung der Epithek 
bemerkenswerth. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle (Cor blanc). 


Dimorphastraea dubia From. — Taf. IX, Fig. 8, Sa. 
1858—61. Dimorphastraea dubia FRoMENTEL. Introduction, p. 224. 
1864. 5 " » Corall. env. Gray, p. 24. 
1876. » „ Becker. Natth. Korallen, p. 57. 
1387. er „ Soromko. Jura- und Kreidekorallen der Krim, 


p. 121, T. VI, Fig. 7. 

(non Dimorphastraea dubia Tomes. Geol. Mag. London 1878). 

Zusammengesetzte, flach scheibenförmige Stöcke, mit kurzem Stiel auf- 
gewachsen. Höhe des Stockes etwa 11 mm. Durchmesser 35—55 mm. 
Kelche in concentrischen Reihen um den centralen Mutterkelch angeordnet. 
Letzterer hat etwa 8 mm, die kleineren Kelche etwa 6 mm im Durchmesser. 
Kelchgruben scharf ausgeprägt. Septa stark, gleichmässig entwickelt. Im 
centralen Kelch sind etwa 64 vorhanden, in den übrigen ca. 42. Die Septen 
sind leicht wellenförmig gebogen und durch feine Pseudosynaptikel verbunden. 
Zwischen dem Centralkelch und der nächsten Kelchreihe trifft man etwa 5 
Septen auf die Breite von 2 mm, etwas weiter aussen sind 6 und in der 
Nähe der Peripherie des Stockes 7 auf der Breite von 2 mm. Unterseite 
des Stockes mit gerunzelter Epithek bedeckt, unter welcher die Costalstreifen 
deutlich hervortreten. 


15* 


398 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Allgemeine Bemerkungen: D. dubia ist eine von drei Nattheimer 
Arten, deren Centralkelch wenig grösser als die übrigen Kelche ist. D. fallax 
unterscheidet sich von D. dubia durch die geringere Zahl der Septen. D. 
concentrica dagegen hat eine grössere Anzahl von Septen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Nattheim, Sudagh. 


Dimorphastraea vasiformis Kogr. — Taf. IX, Fig. 9. 
1886. Dimorphastraea vasiformis Kory. Pol. Jur. Pl. XCV, Fig. 1 u. 2, p. 348. 


Stock klein, mit kurzem Stiel und breiter, etwas concaver Oberseite. 
Höhe 15 mm. Durchmesser an der Oberseite 30 mm. Der Centralkelch hat 
10 mm im Durchmesser, die übrigen 5 mm. Septen stark und gleichmässig ent- 
wickelt. Etwa 80 im Centralkelch, in den übrigen 24—36, von welchen etwa 
14—16 bis zum Kelcheentrum reichen, wo sich mittelst der inneren Trabekel 
ein papillöses Säulchen bildet. Die Septen anastomosiren häufig in ihrem 
Verlauf von Kelch zu Kelch. Pseudosynaptikel sehr zahlreich und regelmässig. 
Gegen den Rand des Stockes schieben sich noch eine grössere Anzahl dünner 
kurzer Septen ein, die auf der Unterseite zusammen mit den anderen Costal- 
streifen bilden (20 auf 5 mm Breite). Epithek dünn und gefältelt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Ste. Ursanne, Soyhieres. 


II. Thamnastraeinae cancellatae Ocınvır. 
Zwischenräume zwischen den einzelnen Trabekeln werden nicht oder 
nur wenig ausgefüllt; die Septa bleiben in Folge dessen fein und regelmässig 
gegittert. 


Microsolena [,.ımovrovx. 


1811. Microsolena Lamovrovx. Exped. method. des genr. de pol. p. 65. 
1833. Agaricia (pars) GoLpor. Petref. Germ. T. I, p. 109. 

1843. Alveopora Micnerım. Icon. Zooph. p. 110. 

1849. Dendrarae« v’OrBIGNY. Note sur des pol. foss. p. 9. 


1850. Actinaraea s Prodr. T. I, p. 387. 

1850. Mierosolena und Polyphyllastraea D’Orgısny. Prodr. T. II, p. 37. 
1851. > Epwarps u. Hammer. Polyp. foss. des terr. pal. p. 144. 
1854. . Pıcrer. Traite de palöont. T. IV, p. 438. 

1857. » Eow, u. Hame. Hist. nat. des Corall. T. III, p. 196. 
1858. > From. Introd. p. 252. 

1858. » Eratr. Haut-Jura, p. 122, 

1862. ” From. Monogr. des polyp. jur. sup. p. 49. 


1875—76. ,, MitAascHn. Kor. der Natth. Sch. Palaeont. Bd. XXI, p. 225. 


Mierosolena. 299 


1875— 76. Actinaraea Mivascn. Kor. der Natth. Sch. Palaeont. Bd. XXI, p. 231. 
1879. Microsolena Zırrer. Handb. der Pal. Bd. I, p. 245. 


1882. > Prarz. Verwandtschaftl. Bezieh. einiger Kor.-Gatt. Palaeont. 
Bd. 29, p. 98. 

1884. = Duncan. Madrep.-Genera, p. 168. 

1880-89. „ Kosr. Polyp. jur. p. 389, 561, 569. Pl. CXXX, Fig. 6. 


Zusammengesetzte Stöcke, subconisch, Oberseite flach oder gewölbt, zu- 
weilen unregelmässig knollig. Kelche auf der Stockoberfläche unregelmässig 
vertheilt, mit flacher Kelchgrube. Benachbarte Kelche durch ceonfluente Septen 
verbunden. Septen am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seitenflächen 
senkrecht zum Septalrand verlaufende Reihen von Granulationen, die mit 
denen der benachbarten Septen Pseudosynaptikel bilden. Septen dünn und 
regelmässig gegittert, oft mit horizontalen Septalleisten versehen, die durch 
seitliche Verschmelzung der Granulationen eines und desselben Septums ent- 
stehen. Säulchen fehlend oder rudimentär. Pseudotheka nicht vorhanden. 
Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. 

Die Gattung Actinaraea soll sich nach Miırascmhewirz von Micro- 
solen«a durch das gänzliche Fehlen von horizontalen Septalkämmen unter- 
scheiden. Diese Septalkämme entsprechen den „Septalleisten“ von Prarz, 
die nach ihm durch seitliche Verschmelzung nebeneinander stehender Pseudo- 
synaptikel entstanden sind. Auch bei Mierosolena verschmelzen indess nicht 
immer nebeneinander stehende Synaptikel zu Septalleisten. Prarz, der die 
Originalexemplare von MitAscHewirz untersuchen konnte, hebt hervor, dass 
er keinen wesentlichen Unterschied zwischen Actinaraea und Mierosolena 
finden konnte. Daraufhin vereinigte auch Duncan Actinaraea mit Mierosolen« 
und ich kann mich dem auf Grund weiterer Untersuchungen nur anschliessen. 


Mierosolena stellata OcıLvız. — Taf. X, Fig. 5, 5a, 6, 6a. 


Korallenstock subglobos, mit breiter Ansatzstellee Durchmesser des 
Stockes 50—80 mm, Höhe 30—65 mm. Abstand der Kelcheentren von 
3—4,5 mm. Fossula tief. Zwischenräume zwischen den Kelchen rundlich 
erhoben. 10—12 Septa von gleicher Stärke reichen bis zum Kelchcentrum. 
(Von diesen zweigen andere ab). Im Ganzen zählt man 40—48 Septa. Auf 
der Breite von 3 mm befinden sich 12 Septocosten. Durch die gleichmässige 
Stärke und die regelmässig radiale Anordnung der Septa erhalten die Kelche 
ein sternförmiges Aussehen. Durch die Septalenden und die Synaptikeln wird 
manchmal ein kleines falsches Säulchen gebildet. Synaptikeln fein, dicht 
gedrängt und regelmässig angeordnet. Epithek konnte nicht beobachtet werden. 


Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den 
nächststehenden durch ihre grosse subglobose Form sowohl als durch ihre 


230 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


zahlreichen Septen. M. Fromenteli bildet ähnliche Stöcke, die Kelche sind 
indess viel grösser und die Septa zahlreicher. Am meisten Aehnlichkeit zeigt 
Actinaraea granulata Msr. sp. (cf. Mıraschzwirz, Natth. Kor. p. 231, Taf. 51, 
Fig. 5). Dass Actinaraea von Microsolena nicht generisch verschieden ist, 
habe ich oben bereits erwähnt. Die M. gramulata unterscheidet sich indess 
von M. stellata durch die flachere Form des Stockes, durch kleinere Kelche 
und durch eine verhältnissmässig grössere Zahl der Septen, 

Zahl der untersuchten Exemplare: 6. 

Fundorte: Stramberg, Kotzobenz, 


Mierosolena variata Ocınvız. — Taf. X, Fig. S, Sa, Sb. 


Koralle halbkugelig, aus lauter concentrisch übereinander gelagerten 
Kugelschalen aufgebaut. Die Höhe der beiden vorliegenden Exemplare be- 
trägt 40 und 60 mm. Die Kelche stehen in Abständen von 4',— 5'/, mm. 
Kelehgrube gross, tief und kreisförmig. Zahl der Septen SO—90, in grösseren 
Kelchen über 100. Dieselben sind fein und gleichmässig entwickelt. Synap- 
tikeln zahlreich. Columella oberflächlich nicht sichtbar. In Schliffen erkennt 
man aber in grösserer Tiefe eine spongiöse Columella. 

Allgemeine Bemerkungen: Die oben bereits erwähnte Microsolen« 
Julü Er. hat Kelche vom gleichen Durchmesser und ebenso feinen Septen, 
die aber nur in der Zahl von 60—72 vorhanden sind. Auch ist die Form 
des Stockes verschieden. Auf die Unterschiede zwischen Microsolena variata 
und Microsolena agarieiformis Er. wurde schon früher hingewiesen. Von 
Mierosolena stellata unterscheidet sich diese Art durch beträchtlichere Grösse 
des Stockes und der Kelche, sowie durch die doppelte Zahl der Septen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Wischlitz. 


Microsolena exigua Kosyr. — Taf. XI, Fig. 7, 8. 
1889. Microsolena exigua Kopy. Polyp. jur. p. 400, pl. 121, Fig. 1, 2. 


Korallenstock klein, unregelmässig rundlich oder flach, mit concentrisch 
gerunzelter Epithek. Durchmesser der Stöcke sehr verschieden, 10°—15 mm. 
Kelche klein, Durchmesser 3—4 mm. In einigen Exemplaren sind die Kelch- 
gruben deutlich erkennbar, in anderen weniger. 36—40 Septen in einem 
Kelch. Wo die Septocosten parallel laufen, zählt man 25 auf 5 mm. Die 
Synaptikel sind dick, ganz regelmässig angeordnet und stehen sich auf den 
Seitenflächen des Septums alternirend gegenüber. 

Allgemeine Bemerkungen: Schon Kogy hat auf die Uebergänge 
von runden zu ganz flachen geschichteten Formen des Korallenstockes auf- 


Microsolena. 2331 


merksam gemacht, die man bei dieser Art findet. Im Habitus stimmen die 
von mir untersuchten Exemplare mit den Abbildungen (Pl. 121, Fig. 1, 2) 
von Kogy überein. Die geringere Grösse des Stocks und des Kelchdurch- 
messers unterscheidet M7. exigua von M. Julii Er. Dieselben Merkmale, sowie 
die geringere Zahl der Septen unterscheidet sie von M7. stellata Ocınvır, mit 
welcher letzteren sie sonst viel Aehnlichkeit hat. Ein Durchschnitt von einem 
rundlichen Exemplar ist auf Taf. XI, Fig. S abgebildet und zeigt die fein- 
maschige Struktur des Innern. 

Kosgy hat zwei Arten mit Fragezeichen zu der Gattung Thammaraea 
gestellt, nämlich Th. granulos« Kogy und Th. bacıllaris Kogy. Die „spongien- 
ähnliche“ Struktur scheint seinen Zweifel erregt zu haben. Er beschreibt ein 
inneres granulirtes Gewebe, dessen Körner sehr feine Schichten bilden, die 
sich wieder zu dichteren Schichten gruppiren. Da nun die Abbildungen von 
Kopy Stücke zeigen, die, wenn auch grösser, doch in ihrem Habitus 7, exigua 
sehr ähnlich sind, und da sie damit auch nach der Beschreibung des Gewebes 
übereinstimmen, so glaube ich, dass die Kogy'schen Arten vielleicht zu der 
Gattung Microsolena gehören. In diesem Fall wären sie als nahe verwandt 
mit M. exigua zu betrachten. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 18. 
Fundort: Stramberg; ausserdem: Blauen und Zwingen. 


Mierosolena tuberosa Mıcn. sp. — Taf. X, Fig. 4, 4a, 4b. 


1543. Alveopora tuberosa Mich. Icon. Zooph. p. 110, Pl. 25, Fig. 7. 
1851. Microsolena ,, v’OrB. Prodr. de paleont. T. II, p. 37. 


1856. % n Epwarps u. Hamme. Monogr. des Poritides. (Ann. des 
sc. nat. T. XVI, p. 53). 
1857. Rn 3 Epwarps u. Harmme. Coralliaires III, p. 201. 


Wahrscheinlich 1858. Microsolena conica Er. Haut-Jura, p. 124. 


Korallenstock unregelmässig knollige, in die Höhe wachsende Massen. 
Kelche über die ganze Stockoberfläche regelmässig vertheilt. Abstand der 
Kelcheentren 2—3 mm. Fossula sehr tief, Zwischenräume zwischen den 
Kelchen leicht erhoben. Septa dick, von gleicher Stärke und sich nicht im 
Kelchcentrum vereinigend. Columella nicht vorhanden. 36—40 Septocosten, 
von welchen 12 noch in die Fossula hineinragen. Synaptikeln fein und zahl- 
reich. An Stellen, die nicht zu sehr abgerieben waren, liessen sich An- 
deutungen epithekaler Ringe beobachten. 

Allgemeine Bemerkungen: Mic#zrın hat die Vermuthung ausge- 


sprochen, dass Alveopora tuberosa nur ein Jugendstadium von Alveopora 
racemosa Mich. vorstelle, bei welchem aus dem unregelmässig knolligen Stock 


339 Die Korallen der Stramberger Schichten. 
noch keine astartigen Fortsätze emporgewachsen seien. Alveopora racemosa 
Mic#. ist aber jedenfalls eine Thamnaraea (siehe unter „Allgemeine Be- 
merkungen“ zu Polyphylloseris corticata OGILvıE, p. 236). Microsolena conica 
Er. von Valfın ist der Beschreibung nach äusserst ähnlich, vielleicht sogar 
identisch mit Mierosolena tuberosa. Die Erauuon’sche Art hat dieselbe Kelch- 
grösse und die gleiche Zahl der Septa. Ausserdem erwähnt Erauvon das 
Vorhandensein eines stark entwickelten rugosen Epitheks, unter welcher feine 
Costen sichtbar werden. Es ist wahrscheinlich nur eine Folge des Erhaltungs- 
zustandes, dass sich dies bei den Stramberger Exemplaren nicht beobachten 
liess. Da ich nicht in der Lage war, die Original-Exemplare von Eraunox’s 
Microsolona conica zu vergleichen, und da diese Art auch nicht abgebildet 
ist, kann ich M. conica nicht mit voller Sicherheit mit M. tuberosa vereinigen. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 
Fundort: Stramberg; ausserdem: St. Mihiel (Meuse), Ob. Jura. 


Microsolena agarieiformis Er. — Taf. X, Fig. 7, 7a, 7b. 


1859. Microsolena agariciformis Er. Haut-Jura, p. 123. 
1864. sa 5 Fron. Cor. env. de Gray, p. 26. 


Korallenstock kugelige Massen von etwa 60 mm Durchmesser bildend. 
Kelche seicht und die Fossula nicht deutlich ausgeprägt. Abstand der Kelch- 
centren 6—7 mm. Septa 70—80 an Zahl, in den grösseren Kelchen manchmal 
etwas mehr, fein, und von gleicher Stärke und in Gruppen von einem Kelch 
zum anderen verlaufend. Am abgerundeten Rand des Stockes finden sich 
hin und wieder kleinere unregelmässig vertheilte Kelche mit weniger Septen, 
welche letztere die Tendenz zeigen in radialer Richtung (in Bezug zum Pol, 
Mittelpunkt) des Stockes nach aussen und abwärts zu verlaufen. Synaptikel 
fein und zahlreich, wodurch die Stockoberfläche das Aussehen eines spongiösen 
Gewebes erhält. 


Allgemeine Bemerkungen: Wegen der feinen und zahlreichen Septen 
und Synaptikeln ist diese Art zu einer gut abgegrenzten Gruppe von Micro- 
solena-Arten zu stellen, nämlich zu Möcrosolena Edwardsi Kosx, M. Julü Er., 
M. Fromenteli Kosy und M. variata OcınLvyıE. M. Fromenteli Kosy (aus d. 
Terr. ä chaille silic. u. Cor. blanc) hat ebenso wie Möcrosolena agariciformis 
Er. eine sehr seichte Fossula. Bei Microsolena variata OcınvıE ist die Fossula 
tief, die Zwischenräume zwischen den Kelchen sind etwas erhöht, die Kelche 
sind etwas kleiner und die Septa zahlreicher. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 
Fundorte: Stramberg, Wischlitz, Valfin. 


Polyphylloseris. 933 


Mierosolena cf. Bouri From. sp. 


1856. Thamnastrae« Bouri From. Bull. de la Soc. geol. de Fr. p. 863. 

1860. Synastraea “ nr Introd. p. 221. 

1562. Thamnastraea ,, 5 Polyp. jur. sup. Etag. Portl. p. 46, Pl. VII, F. 4 

Korallenstock klein. Unterseite fast eben, Oberseite convex, höckerig 
und unregelmässig lappig. Höhe des Stockes etwa 26 mm; Durchmesser ca. 
45 mm. Kelche tief, unregelmässig angeordnet. Kelchdurchmesser 4—5 mm. 
Septa von gleicher Stärke, meist 24, selten etwas weniger. Auf einer Breite 
von 2 mm kommen 8—9 Septocosten vor. Am Rande der Oberseite stehen 
die Septocosten nahezu parallel und radial zur Mitte des Stockes. In Dünn- 
schliffen erkennt man die charakteristische Microsolena-Struktur. Traversen 
sind nicht häufig. Columella gross, papillös und tief im Kelche gelegen. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ist der Microsolena gibbosa Fr. 
(Haut-Jura, p. 127) sehr ähnlich, unterscheidet sich aber von ihr durch die 
feineren Septa. Andererseits ist aber auch M. Bowri durch die kleine rund- 
liche Form des Stockes von den Microsolenen mit wenig Septen, z. B. M. 
irregularis D’Ore. leicht zu unterscheiden. Zwei Arten, nämlich M. exigua 
Kogy und M. cavernosa Kosy stehen ihr am nächsten. Aber auch sie sind 
durch die Kelchgrösse und die Septenzahl von ihr verschieden, 

Das einzige mir vorliegende Exemplar ist etwas abgerieben. Die feineren 
Strukturverhältnisse sind indessen gut zu beobachten und beweisen, dass das 
Stramberger Exemplar eine ächte Mierosolena ist. Sollten die Exemplare 
Fronznters wirklich Thamnastraeen sein, dann wäre die Stramberger Form 
zu einer neuen Microsolena-Art zu stellen. Die grosse Uebereinstimmung 
beider indess, sowohl in Bezug auf die Form des Stockes, als auch auf die 
Anordnung der Kelche und Septen, veranlassen mich, das Stramberger Exem- 
plar vorderhand mit jenen FromEnter’s unter dem Gattungsnamen Miecrosolena 
zu vereinigen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Mantoche (Haute Säone), Ob. Jura. 


Polyphylloseris Frox. 


1850. Polyphyllastraea v’Ors. Prodr. T. I, p. 179. 

1551. Thamnastraea? p.p. EpwArops u. are Polyp. Foss. Arch. Mus. T.V, p. 113. 

1857. r » Corall. T. IH, p. 584. 

1857. Polyphylloseris From. Bon foss. de Pet. Ne&oc., p. 67. 

1861. 55 5 Introd. p. 240. 

1876. Thamnastraea p.p. Zırrer. Handb. I, p. 245. 

1884. Polyphylloseris Duncan. Madrep. Genera, p. 168. 

1891. n Feuix. Versteiner. aus dem Neocom von Tehuacan im Staat 
Puebla. Palaeont. Bd. 37, p. 149. 


t 
os 
NS 


Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Zusammengesetzte flache, knollenförmige oder fingerförmige Stöcke. 
Kelche auf der Stockoberfläche regellos vertheilt und Erhabenheiten bildend. 
In den diese Erhabenheiten umgebenden Vertiefungen fliessen die Septen der 
benachbarten Kelche vollkommen zusammen. Septen fein, zahlreich, am Ober- 
rand regelmässig gezackt; auf den Seitenflächen sind Granulationen, die senk- 
recht zum Oberrand verlaufen und mit denen der Nachbarsepten verschmelzen 
und Pseudosynaptikel bilden. Säulchen fehlt. Unterseite mit Epithek ver- 
sehen, die auch bei den ästigen Stöcken bis ganz nach oben reicht. 

Diese Gattung ist mit Mierosolena aufs engste verwandt, unterscheidet 
sich indess von ihr durch die Erhabenheiten, auf welchen die Kelche sich 
befinden, sowie durch die grössere Mannigfaltigkeit in der Form der Stöcke. 
Bis jetzt waren Vertreter dieser Gattung nur aus dem Neocom und zwar von 
Yonne in Frankreich und vom Staate Puebla in Central- Amerika bekannt. 
Die Stramberger Exemplare haben fast alle fingerförmige Gestalt und zeigen 
mit den amerikanischen grosse Aehnlichkeit. 


Polyphylloseris tenuiseptata OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 11, 11a. 


Von dieser Art liegt nur ein unten abgebrochener Ast vor, der sich 
weiter oben in zwei parallele, sich seitlich berührende astartige, kurze, oben 
abgerundete Fortsätze mit einem Durchmesser von 16—1S mm theilt. Kelche 
über die ganze Stockoberfläche in Abständen von 3,5—4 mm vertheilt. Fossula 
tief und gut ausgeprägt. In den Zwischenräumen zwischen den Kelchen er- 
hebt sich die Oberfläche des Stockes manchmal einfach in gleichmässiger 
Krümmung, manchmal als zwei gesonderte Anschwellungen, getrennt durch 
eine flache Furche dazwischen. Septa ausserordentlich fein, ungefähr 80 an 
Zahl, von diesen erreichen 13—20 die centrale Fossula. Synaptikeln äusserst 
fein und zahlreich. Epithek konnte nicht beobachtet werden. 

Allgemeine Bemerkungen: Nur eine einzige bis jetzt bekannte Art, 
nämlich Miecrosolena catenata Kraun. (Haut-Jura, p. 127) zeigt mit der oben 
beschriebenen Art grössere Aehnlichkeit. M. catenata hat indessen Kelche 
von 3—3,5 mm Durchmesser und 60 Septen. Hievon und von Polyphylloseris 
polymorpha Ferıx unterscheidet sich P. tenwiseptata durch die geringere 
Grösse der Kelche und durch die grössere Zahl der Septen. Auf die Form 
des Stockes kann ich weniger Werth legen, umsomehr als das mir vorliegende 
Stück nicht vollständig ist. Die grosse Aehnlichkeit der äusseren Form von 
dieser Art mit der Polyphylloseris polymorpha Fruıx (Palaeontogr. Bd. 37, 
p. 143, Taf. 22, Fig. 4) springt sofort bei Betrachtung der Abbildungen in 
die Augen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Stramberg. 


Polypbylloseris. 335 


Polyphylloseris faseicularis OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 12, 12a, 12b. 

Von dieser Art liest mir nur ein einziges Exemplar vor, an dem sich 
folgende Merkmale feststellen liessen: Korallenstock aufrecht eylindrisch, von 
ca. 13 mm Durchmesser und 25 mm Höhe, von sehr dicker, runzeliger Epithek 
umgeben. Die Falten der Epithek besitzen eine Tiefe von 5—4 mm. Ab 
und zu sind noch Andeutungen von Costen unter der Epithek vorhanden. 
Kelche nur auf der oberen Spitze des Stockes vorhanden. Eine regelmässige 
Anordnung in concentrische Reihen ist nicht zu beobachten. Abstand der 
Kelchcentren 5 mm. Septa zahlreich, etwa 80, alle von gleicher Stärke; 
16 davon reichen bis zum Kelchcentrum. Diese sind an ihrem centralen 
Ende nicht mehr so oft unterbrochen, d. h. nicht mehr in so viele einzelne 
Septaldornen aufgelöst wie weiter aussen, infolge dessen bilden sie im Kelch- 
centrum einen Stern von etwa 2'/, mm Durchmesser (cf. Fig. 12a). Weiter 
aussen lösen sich dann die Septa in lauter einzelne Septaldornen auf und 
dadurch, dass sich ausserdem in diesen äusseren Partien zwischen die Septa 
noch zahlreiche dicke und regelmässig angeordnete Synaptikeln einschieben, 
gewinnt hier das Gewebe ein spongiöses Aussehen. 

Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den 
beiden vorhergehenden sofort dadurch, dass die Kelche nur an der oberen 
Spitze des Astes vorkommen, sowie durch die dicke Epithek, welche den Stamm, 
den der Korallenstock bildet, vollkommen umhüllt. Der einzige mir bekannte 
ähnliche Fall des Vorkommens einer dicken runzeligen Epithek bei nahestehen- 
den Gattungen ist, wie schon erwähnt, der von Alveopora inerustata MicH. 
Die Thamnaraea-artige Anordnung der Septa und Septaldornen, wodurch im 
Kelchcentrum eine Art Stern gebildet wird und aussen ein dichtes schwammiges 
Gewebe bildet, ist ein gutes Merkmal für diese Art, da dies bei den nächst- 
stehenden nicht in so ausgeprägtem Maasse vorkommt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundort: Ignatzibere. 


Polyphylloseris corticata OGıLvıE. 
TareX Ei 10r 0a Ta RT Ni029 9a. 


Stock aus einer Anzahl dicht nebeneinander stehender und eng aneinander 
gepresster, in die Höhe wachsender Aeste bestehend. Diese sind im allge- 
meinen rund, aber infolge der gegenseitigen Pressung beim Emporwachsen 
auch häufig unregelmässig oder ausgesprochen elliptisch. Der Durchmesser 
_ der einzelnen Aeste schwankt in der Regel von 15 mm bis zu 35 mm. Die 
oberen Enden der Aeste sind abgerundet (rundlich) oder abgestumpft. Die- 
jenigen Stellen der Aeste, welche an der Aussenseite (des Stockes sich be- 


236 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


finden, zeigen ab und zu noch Andeutungen von Epithekringen, und an gut er- 
haltenen Exemplaren liess sich auch noch dünne Epithek beobachten. Dasselbe 
besteht aus feinen concentrischen Streifen, die stellenweise zu dickeren Ringen 
anschwellen. Kelche über die ganze Oberfläche der Aeste vertheilt. Abstand 
der Kelcheentren von 4—6 mm. Fossula klein aber deutlich ausgeprägt. 
Columella nicht vorhanden. Septa fein und sehr zahlreich, ungefähr 12—16 
reichen bis zum Kelchcentrum, die des nächsten Cyelus nur wenig kürzer, die 
übrigen kürzer. Im Ganzen sind in den grösseren Kelchen 72—76 Septa 
vorhanden. Dadurch, dass die die Septen aufbauenden Trabekeln äusserst 
dicht nebeneinander stehen, erscheint der Oberrand der Septen sehr fein ge- 
zähnt und alle Querschliffe zeigen die Septa als feine unterbrochene Körner, 
welche mit den Synaptikeln ein schwammartiges Gewebe bilden. Die Septa 
strahlen vom Kelchcentrum regelmässig nach allen Richtungen aus. Die sich 
dazwischen einschiebenden vereinigen sich stellenweise mit ihnen. Theils ver- 
laufen die Septa in gerader Richtung von Kelch zu Kelch, theils biegen sie 
in ihrem Verlauf unter emem stumpfen Winkel um. Synaptikeln sehr zahl- 
reich, fein und in regelmässigen Abständen zwischen den Septen angeordnet. 


Allgemeine Bemerkungen: Diejenige jurassische Art, welche der 
M. corticata am meisten gleicht, ist Microsolena excelsa Fr. aus dem Grossoo- 
lithe (Brit. Foss. Cor. p. 124, Tb. 25, Fig. 5). Bei dieser Art besteht der 
Stock aus eng nebeneinander stehenden Armen, die aussen mit dünner Epithek 
überzogen sind und bei welchen die Kelche ebenfalls über die ganze Stock- 
oberfläche vertheilt sind; die Kelche sind indessen von geringerer Grösse und 
die Septa weniger zahlreich. M. excelsa wurde von Mıunz EpwArps und 
Haıne irrthümlicherweise mit Alveopora incrustata Mich. (Icon. p. 3, Tb. 25, 
Fig. 8) vereinigt; allein die Micnzuiw’sche Art unterscheidet sich durch die 
starke Entwicklung der Epithek gut von Meecrosolena excelsa E. u. H. Keine 
von den jurassischen Arten zeigt so viel Aehnlichkeit mit P. corticata wie 
eine Species aus dem Neocom, P, polymorpha Ferıx (Korallen aus dem Neocom 
von Tehuacan im Staat Puebla. Palaeontogr. Bd. 37, p. 143, T. 22, Fig. 4—6). 
Die Kelche in P. polymorpha sind aber grösser und treten auf den Aesten 
mehr hervor. Ein Exemplar von den mir vorliegenden (Taf. XI, Fig. 9 ab- 
gebildet) scheint mir eine Varietät von P. corticata zu sein. Die Septen sind 
etwas feiner, 16—20 erreichen das Centrum, die Intercalycinalräume sind oft 
grösser. Doch sind die Unterschiede nicht so bedeutend, dass ich für dies 
einzelne Exemplar eine neue Art aufstellen möchte. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 20, 
Fundort: Stramberg. 


Dimorpharaea. % 


0 
I 


Polyphylloseris ramosa Ocınvır. — Taf. X, Fig. 13, 13a. 


Auch von dieser Art liest mir nur ein einziges Exemplar vor, über 
dessen Zugehörigkeit zum Genus Polyphylloseris indess kein Zweifel möglich 
ist. Es ist ein kurzer dicker astartiger Strunk von nur S mm im Durch- 
messer. Kelche über die ganze Stockoberfläche vertheilt in einem Abstand 
von ungefähr 3—3'; mm. Fossula klein und tief, Septa von gleicher Stärke, 
etwa 40—50 an Zahl, von denen 16 bis zum Kelehcentrum reichen. Synap- 
tikeln fein und zahlreich. 


Die einzige bisher bekannte Art, welche einige Aehnlichkeit mit der 
P. ramosa hat, ist Thanmaraea arborescen® Er. Allein die Eraunov’sche Art 
(cf. Leth. Bruntr. p. 412, Pl. 58, Fig. 5, Kosr Polyp. Jur. p. 411, Pl. CX, 
Fig. 2—6) hat nur 12—20 Septa, die nicht mit denen der Nachbarkelche 
zusammenfliessen, auch sind bei ihr die Septa noch viel femer und sehr in 
Septaldornen aufgelöst. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundort: Stramberg. 


Dimorpharaea Fron. 


1836. Anomophyllum Roemer. Verst. des nordd. Ool. Gebirges, p. 21. 
1555. Microsolena Haıme. Lettres inedites. 

1857. » (pars) Epw. u. Haıme. Corall. T. III, p. 202. 
1858. hs „  Krarvon. Haut-Jura, p. 126. 

1858—60. Dimorpharaea From. Introd. p. 254. 

1860. Microsolena (pars) Er. Ray. Montb. Pl. 6, Fig. 26. 

1864. " „  Tuurm. u. Er. Leth. Bruntr. p. 408, 409. 
1865—68. Thamnastraea (pars) Eıcauwarn. Leth. Rossica, p. 152. 
1872. Dimorphoseris Duncan. Brit. Foss. Corals. ser. II pt. IIL, p. 22. 
1879. Dimorpharaea Zırmer. Handb. I, p. 245. 

1884, ” Duncan. Madrep. Genera, p. 170. 

1881—89. » Kosr. Polyp. Jur. p. 387, 560, 569. 


Zusammengesetzte Stöcke, unten subeonisch, mit flacher oder concaver 
Oberseite. Kelche regelmässig, in concentrischen Ringen um einen grösseren 
in der Mitte des Stockes angeordnet. Benachbarte Kelche durch confluente 
Septen verbunden. Septen am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seiten- 
flächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand verlaufen 
und mit denen der benachbarten Septen Pseudosynaptikel bilden. Septa fein 
und regelmässig gegittert. Pseudotheka nicht vorhanden. Unterseite des 
Stockes mit Epithek versehen. 


238 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Dimorpharaea Koechlini Hame sp. — Taf. XI, Fig. 3. 
1855. Microsolena Koechlini Haıme. Lettres inedites. 
1857. m > Eow. u. Haıme. Corall. T. III, p. 202. 
1858. » expansa Er. Haut-Jura, p. 126. 


1860. Dimorpharaea Koechlini From. Introd. p. 254. 

1860. Microsolena expansa Er. Ray Month. Pl. 6, Fig. 26. 

1864. .n En THurm. u, Er. Leth. Bruntr. p. 408. 

1880—89. Dimorpharaea Koechlini Kogy. Polyp. jur. p. 387, Pl. 108, Fig. 1—5. 


Korallenstock von einer engen Basis ausgehend, dann breite flache, zu- 
weilen kreisförmige Massen bildend. Junge Exemplare haben eylindroconische 
Gestalt, die sich später schalenförmig ausdehnt. Durchmesser des mittleren 
Kelchs 10 mm. Abstand zwischen den Kelchcentren einer Reihe 4—5 mm. 
Breite einer Kelchreihe 7 mm, Ungefähr 60 Septen finden sich im Mittel- 
kelch. In den Kelchen der Reihen 40—48, von denen 16—20 das Säulchen 
erreichen. Das kleine Säulchen erhält öfter durch die Vereinigung mit den 
Septalenden ein schwammiges Aussehen. Eine gut entwickelte, concentrisch 
und radiär gestreifte Epithek bedeckt die Unterseite. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 15. 


Fundorte: Stramberg, Ignatziberg, ausserdem: La Croix, Combe Cha- 
vatte, Chätillon, Fringuelet, Hofbergle, Günsburg, Belfort etc. 


Maeandraraea fürn. em. Prarz, 


1856. Latimaeandraraea From. Catalogue ined. des polyp. foss. de l’Yonne. 
1859. Macandraraea Erauı. Haut-Jura, p. 128. 

1858—60. Latimaeandraraea From. Introd. p. 247. 

1860. Maeandraraea Epwarvs u. Haımme. Hist. Nat. Cor. T. III, p. 202. 


1864. , Taurm. u. Eraue. Lethaea Bruntr. p. 407. 
1882. 5 Prarz. Verwandtsch. Bezieh. einiger Kor.-Gatt. Palaeontogr. 


Bd. 29, p. 112, 113. 
1883. Latimaeandraraea Tomes. Quart. Journ. Geol. Soc. p. 561. 
1884. ch Duncan. Madreporaria, p. 170. 
1889. Maeandraraea Kosy. Polyp. jur. p. 407 u. 562. 
non Latimaeandraraea Kosy. Polyp. jur. p. 551. 


Zusammengesetzte, massive, flache Stöcke. Kelche in maeandrinische 
oder nahezu parallele Reihen angeordnet. Die einzelnen Kelchreihen durch 
ziemlich scharfe Hügel von einander getrennt, über welche, fast parallel zu 
einander, die Septen verlaufen. Septen zahlreich, fein; Oberrand regelmässig 
gezackt. Auf den Seitenflächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum 
Septalrand verlaufen und mit denen der Nachbarsepten Pseudosynaptikeln 
bilden. Septen regelmässig gegittert. Kein Säulchen. Epithek vorhanden. 


Maeandraraea. 239 


Ungefähr gleichzeitig gab Eranuon derartigen Formen den Namen 
Maeandraraea uud FROMENTEL den Namen Zatimaeandraraea. In der Folge- 
zeit haben verschiedene Autoren derartige Formen bald als Latimaeandraraea, 
bald als Maeandraraea bezeichnet. Indess hat FRomexter's Name die Prio- 
rität. Aus den Untersuchungen von Prarz über die feinere Septalstruktur 
geht hervor, dass unter Maeandraraea bisher verschiedenartige Formen ver- 
treten waren. 

Die eine Gruppe, welche auch die typische Art in sich schliesst, gehört zu 
den Pseudoastraeinae regulares (Gruppe II), die andere gehört hingegen zu 
den Pseudoastraeinae irregulares. Dass derartige verschiedene Strukturen 
vorkommen, konnte ich auch an dem Stramberger Material beobachten. Ich 
kann nur darin mit Prarz nicht vollkommen übereinstimmen, wenn er die 
Formen mit unregelmässig trabekulärer Struktur in die Nähe von Haplaraea 
stellt. Meiner Meinung nach sind diese Formen Lophoseriden. 


Maeandraraea tuberosa Erauu. — Taf. XI, Fig, 4. 


1864. Maeandraraea tuberosa Tuuru. u. Er. Leth. Bruntr. p. 407, Pl. 57, Fig. 12, 
1880—89. Maeandraraea tuberosa Kosy. Polyp. jur. p. 409, Pl. CIX, Fig. 4. 


Korallenstock in unregelmässiger gerundeter Masse. Höhe 40—60 mm. 
Durchmesser 100—200 mm. Das von mir untersuchte Exemplar erreichte 
eine Höhe von 45 mm und eine Länge von 115 mm. Die Kelche sind im kurzen 
Reihen angeordnet, mit deutlichen Kelchcentren in sehr unregelmässigen Ab- 
ständen. Entfernung im Durchschnitt 4 mm. Breite einer Reihe 3'/), mm. 
Von den sehr feinen Septen erreichen 16—20 das Centrum. 17 Septocosten 
kommen auf 5 mm. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundort: Stramberg; ausserdem: Waldeck pres de Porrentruy. 


Maeandraraea laminata Ocıvır. — Taf. XI, Fig. 5. 


Korallenstock flach ausgedehnt. Die Kelche wachsen schichtenweise 
aufeinander. Die Kelchgruben sind selten gut ausgeprägt, länglich gezogen. 
Kelehcentren in den Reihen sehr dicht gedrängt. Breite einer Reihe 2 bis 
3 mm. Die Septen sind sehr frei und gleichmässig entwickelt, leicht ge- 
bogen; 25 kommen auf 5 mm Breite; ca. 16 reichen bis zum Kelchcentrum. 
Der Stock hat auf seiner Unterseite einen dünnen, concentrisch gestreiften 
Epithek. 

Allgemeine Bemerkungen: M. laminata unterscheidet sich leicht 
von den übrigen Arten durch ihre sehr zahlreichen Septen und engstehenden 


940 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Kelchreihen. M. rebriformis Er. ist am nächsten verwandt, hat aber viel 
deutlicher ausgeprägte Kelchcentren und wellig verlaufende Septalcosten. 
Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 
Fundort: Koniakau. 


Subfamilie: Funginae Eow. u. H. 


Einfache oder coloniebildende Korallen, deren Kelche mittelst confluenter 

Septen und pseudothekaler Bildung infolge verstärkter Synaptikeln zusammen- 
hängen. Divergenz der Trabekeln, wie bei den Z’hamnastraeinae. Die Tra- 
bekeln sind hier aber flacher und breiter, und im Querschnitt elliptisch oder 
linsenförmig. Da hier auf den einzelnen Trabekelgliedern in der Septalebene 
knotenartige Auswüchse fehlen, so legen sich die Trabekeln innerhalb eines 
 Septums dicht aneinander, infolge dessen sind die Septen dicht, nur bei 
wenigen Formen sind die dünnen Septen höherer Ordnungen noch etwas porös. 
Aechte Synaptikel sind zahlreich vorhanden, Pseudosynaptikel weniger. Tra- 
versen spärlich entwickelt oder fehlend. Epithek rudimentär. Unterseite 
oft stachlig. 

Wenn man auch gewohnt ist, als Hauptvertreter dieser Subfamilie Fungia 
zu betrachten, so kommen bei derselben doch auch astraeidische, hochwachsende 
Stöcke, mit kleinen polygonalen Kelchen vor. Mitne Epwarps hat, als er 
zuerst die Bezeichnung Synaptikel in die Literatur einführte, Fungia und 
deren Verwandte als Beispiel gegeben und hat die Synaptikeln als zusammen- 
gewachsene Granulationen benachbarter Septen erklärt. Spätere Unter- 
suchungen haben nun gezeigt, dass gerade bei diesen Gattungen die Granu- 
lationen nur sehr selten direkt verwachsen, sondern dass hier meistens zwischen 
den Granulationen benachbarter Septen noch nachträglich Kalkablagerung um 
neue Üaleificationscentren stattfindet. Eine derartige Verbindungsart wies 
Prarz bei Siderastraea und anderen Gattungen nach und nannte sie ächte 
Synaptikel, im Gegensatz zu den durch direkte Berührung der Granulationen 
entstandenen Pseudosynaptikel. Ich habe das Vorkommen von ächten und 
Pseudo-Synaptikeln bei der Gattung Frungia nachgewiesen; — ferner dass in 
Fungia und Siderastraeas die Synaptikel immer aus einer grossen Anzahl 
zusammengewachsener Granulationen und dazwischen eingeschalteter neuer 
Caleificationscentren bestehen. Die Pseudosynaptikel kommen bei den Funginae 
hauptsächlich gegen den centralen Theil der Kelche zu vor, da wo die Septen 
einander sehr nahe kommen und die Granulationen infolge dessen leicht 
verschmelzen. 

Der Hauptunterschied im Septalbau zwischen Thamnastraeinae und 
Funginae besteht darin, dass bei den ersteren jedes Trabekelglied der zu- 
sammengesetzten Trabekel aus sehr wenigen und verhältnissmässig langen 


Thamnoseris. 241 


Faserbündeln gebaut ist, während bei den Funginae jedes Trabekelglied aus 
einer Reihe verhältnissmässig kleiner, aber zahlreicher, eng verwachsener 
Faserbündel besteht. Mit diesem Unterschied im Septalbau hängt auch die 
dichtere Struktur der Funginen-Septen und die oben beschriebene Beschaffen- 
heit der Synaptikel zusammen. 


Gen. Thamnoseris Fromenter, 


1858. Thamnoseris From. Introduction, p. 241. 

1864. > Taurm. et Er. Lethaea Bruntrut. p. 406. 

1864. Microphyllia (pars) Truunm. et Er. Lethaea Bruntrut. p. 393. 
18334. en Duncan. Madreporaria. p. 152. 

1880—89. „, Kosy. Pol. Jur. p. 385. 

1880—89. Latimaeandra (pars) Kopy. p. 254. 

1890—91. Microphyllia Feuıx. Palaeontographica Bd. 37, p. 152. 


Zusammengesetzte Stöcke; Form äusserst verschieden: flach, knollig, 
subeonisch mit convexer Oberfläche oder hoch fingerförmig. Kelche auf der 
Oberfläche regellos vertheilt, mit einander durch zusammenfliessende Septen 
und eine Pseudothek verbunden. Letztere bildet an der Oberfläche meist einen 
Rücken. Septen dick und compact, durch ächte und Pseudosynaptikeln mit 
einander verbunden; gegen das Kelcheentrum zu anastomosiren die Septa sehr 
oft und bilden ein schwammiges Säulchen. Dünne Traversen sind auch vorhanden. 


Eraron sagt, dass man die zu diesem Genus gehörigen Formen als 
Thamnastraeen ohne Traversen aber mit sehr feinen und zahlreichen Synap- 
tikeln bezeichnen könnte. Kosy fügte der ursprünglichen Diagnose noch bei, 
dass auch eine rudimentäre Mauer vorhanden sei. Dasselbe betonte später 
auch Ferıx und hob zugleich hervor, dass dies ein Unterscheidungsmerkmal 
von Siderofungia Reıs sei und dass Thamnoseris zwischen Siderofungia und 
Siderastraea stünde. Die Mauer von T’hamnoseris ähnelt im feineren Bau 
der von Siderastraea, über die ich früher schon (Philos. Trans. Roy. Soc. 
London 1896) näheres mitgetheilt habe. Sie besteht aus ächten und Pseudo- 
synaptikeln, die an der Stelle, welche die Mauer vertritt, kräftiger entwickelt 
sind. Die Mauer ist also hier auf ähnliche Weise gebaut wie bei den 
Astraeiden, nur dass sie hier anstatt durch Traversen durch Synaptikeln und 
Pseudosynaptikeln (im Verein mit den Septen) zu Stande kommt. Bei meinen 
Stramberger Exemplaren konnte ich neben den Synaptikeln auch noch spär- 
liche Traversen beobachten. Die früheren Autoren, Erauuon und Kopy, be- 
schrieben nur rundliche oder knollige Stöcke. Später beschrieb Feuıx eine 
Art aus dem Neocom, T’hammoseris arborescens, die aus cylindrischen oder 
etwas comprimirten Stämmchen besteht. Unter dem Stramberger Material 


finden sich sowohl rundliche und knollige, wie cylindrische Formen. 
Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 16 


2423 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Thamnoseris Montispastelli p’Acn. sp. — Taf. IX, Fig. 10. 
1890. Isastraea Montispastelli D’Acm. Cor. Giur. p. 14, pl. 17, Fig. 5. 


Korallenstock flache oder seitlich comprimirte Masse mit rundlicher 
Oberfläche. Circa 50 mm im Durchmesser. Kelchgruben seicht, mit hervor- 
tretenden Wänden, unregelmässig kreisförmig oder polygonal. Durchmesser 
3—5 mm. Die Septen der benachbarten Kelche fliessen an den Wänden 
zusammen. Sie wechseln wenig in der Grösse, spitzen sich nach innen zu. 
Man zählt 48—50 Septen, die am Oberrand gezackt und an den Seiten- 
flächen mit deutlichen, unregelmässig gestellten Synaptikeln versehen sind. 
Ein papillöses falsches Säulchen ist vorhanden. Fpithek scheint dünn ge- 
wesen zu sein. 


Allgemeine Bemerkungen: Von den mir vorliegenden Exemplaren 
haben zwei von Stramberg stammende einen flachen Stock, ähnlich dem von 
n’AcHIARDI beschriebenen; während zwei von Chlobowitz stammende höher 
und comprimirt sind. Die Abbildung von p’AcHrArpı macht vollkommen den 
Eindruck von mit Synaptikeln versehenen Septen. Da auch die Kelchumrisse 
scharf hervortreten, habe ich meine Exemplare mit seiner Art identifieirt und 
zu der Gattung T’hamnoseris gestellt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 


Fundorte: Stramberg, Chlobowitz; ausserdem: Monte Pastello. 


Thamnoseris Amedei Er. sp. — Taf. X, Fig. 1, 1a, 1b. 


1862. Microphyllia Amedei Tuuru u. Br. Leth. Bruntr. p. 393, pl. 56, Fig. 1. 
1889. Latimaeandra Amedei Kosy. Polyp. jur. p. 254, pl. 71, Fig. 3, pl. 72, Fig. 8. 


Korallen bilden hochwachsende Aeste, die 15—20 mm Durchmesser 
aufweisen. Kelche mit seichter Grube und etwas hervorragenden Wänden. 
Durchmesser 3—4 mm. Die Septen wechseln in der Grösse, werden dünn 
nach innen und dicker im peripheren Kreis der Kelche. Man zählt gewöhnlich 
25—35. Ein falsches Säulchen von spongiösem Aussehen wird durch die 
inneren Septalenden gebildet. Marginale Knospung tritt sehr häufig auf und 
gibt den Kelchen unregelmässige Umrisse. Kurze Reihen von 2, höchstens 3, 
Kelchen kommen ab und zu vor. 


Allgemeine Bemerkungen: Frec# (Palaeontogr. Bd. 37, p. 21) hat 
nach den Abbildungen von Kogy geurtheilt, dass Z. Amedei der Septalstruktur 
nach eher zu der Gattung Thammastraea zu rechnen sei. Auf Grund der 
Septalstruktur stimme ich mit Frecm überein, dass die Gattung kein Astraeide 
ist; alle übrigen Merkmale deuten ihre Zugehörigkeit zu Zhammoseris an. 
Es kommt immer eine Kelchwand zum Vorschein, wenn man die Exemplare 


Thamnoseris. 243 


anschleift. Auch die ungleichen Zacken des Septal-Oberrandes und das 
spongiöse Säulchengewebe spricht dafür. Von 7’h. Perroni ist Th. Amedei 
durch die kleineren Kelche und feineren Septen unterschieden. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres, St.-Ursanne. 


Thamnoseris Perroni From. sp. — Taf. X, Fig. 2, 2a, 2b. 
1856. Thamnastraea Perroni From. Bull. de la Soc. Geol. de France, p. 868. 
1862. s 5 5 Monogr. des Polyp. jur. sup. p. 45, pl. V,F. 5. 


Korallen massiv, rundlich. Wachsthum in übereinander gelegten Schichten. 
Höhe 60, Durchmesser 38 mm. Kelche mit hervorragenden Wänden und sehr 
tiefen Gruben. Kelchdurchmesser 5—6 mm. Die Septen sind dick, gleich- 
mässig entwickelt, am Oberrand tief gezackt. 16—20 ziemlich gleich ent- 
wickelte erreichen das Centrum. Im Ganzen zählt man 36. Die Synaptikeln 
sind sehr zahlreich und hervortretend. Säulchen klein, mit Septalenden und 
Synaptikeln im Innern ein spongiöses Gewebe bildend. Epithekalringe sind oft 
an den verschiedenen Wachsthumschichten sichtbar in Entfernungen von 
7—10 mm. Costalenden finden sich auf diesen Ringen 22 auf 5 mm. 

Allgemeine Bemerkungen: Da einige Exemplare in der Münchener 
Sammlung aus Mantoche und Coulange sur Yonne stammen, dem Fundort 
von FROMENTEL’s Exemplaren, und mit seiner Beschreibung übereinstimmen, 
habe ich sie auf ihre feinere Struktur untersucht und gefunden, dass sie da- 
nach zu der Gattung T’hamnoseris anstatt zu Thamnastraea zu rechnen wären. 
Dies Resultat hat auch mein Stramberger Exemplar bestätigt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 

Fundorte: Stramberg, Mantoche, Gray la Ville. 


Thamnoseris Strambergensis OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 3, 3a. 


Korallenstock massiv, mit rundlicher Oberfläche und engem Stiel. Höhe 
30, Durchmesser 60 mm. Die Kelche sind wenig hervorragend, mit unregel- 
mässig polygonalen Umrissen. Kelchdurchmesser 4'/, mm. 10—14 Septen 
erreichen das Centrum, im Ganzen sind 36—42 vorhanden. Die kürzeren 
Septen legen sich oft an die Seitenflächen der längeren an. Säulchen papillös. 
Die inneren Enden der Septen sind oft verdickt und nehmen das Aussehen 
von Pfählchen an. Epithek gut entwickelt; Costen sind 16 auf 5 mm vorhanden. 

Allgemeine Bemerkungen: 7%. Strambergensis ähnelt der für die 
Gattung typischen Art 7A. Troteana Er. sehr, hat aber kleinere Kelche und 
weniger zahlreiche Septen. Auffällig regelmässig bei 7’. Strambergensis ist 
die Gruppirung der Septen in mehreren Bündelchen, die von den Kelcheentren 

. 16* 


244 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


strahlenförmig auslaufen. Die Synaptikeln auf der Oberfläche der Septen sind 
zahlreich aber fein. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundort: Strambere. 


Subfamilie Lophoserinae Eow. u. H. 


Einfache Korallen oder coloniebildende, meist flache, lappige Stöcke, 
deren Kelche mittelst confluenter Septen und pseudothekaler Bildung infolge 
verstärkter Synaptikeln zusammenhängen. Septen am Oberrand unregelmässig 
gezackt. Divergenz der Trabekeln nicht wie bei den Thamnastraeinae und 
Funginae, die Trabekeln divergiren hier von mehreren Verticallinien in ein 
und demselben Septum. Ausserdem können die einzelnen Trabekel ab und 
zu in ihrem Verlauf unterbrochen sein. Im Querschnitt sind die Trabekel 
rundlich oder viereckig wie bei den Z’hamnastraeinae. Aus den beiden letzt 
erwähnten Momenten folgt, dass die Septen ursprünglich nicht vollkommen 
dicht sind, wenn sie sich auch später durch nachträglich sich ablagernde 
Kalksubstanz manchmal ausfüllen. Es sind sowohl ächte als Pseudosynaptikel 
reichlich vorhanden. Traversen spärlich oder fehlend. Epithek rudimentär. 


Die Lophoserinae schliessen sich im Bau der einzelnen Trabekel aufs 
engste an die Thamnastraeinae an, indem auch hier jedes Trabekelglied aus 
einer verhältnissmässig geringen Anzahl starker Faserbündel besteht, deren 
Caleificationscentren um eine gemeinsame (ideale) Axe angeordnet sind. Da- 
gegen unterscheiden sich die beiden Subfamilien etwas in der Anordnung der 
Trabekeln. Bei den Thamnastraeinen sind die Trabekeln nahezu parallel an- 
geordnet und sind vom Aussenrand der Septen nach oben und innen gerichtet. 
Bei den Lophoserinen dagegen kann man in ein und demselben Septum 
mehrere Divergenzzonen unterscheiden, von welchen die Trabekeln nach beiden 
Seiten aufsteigen. An den Stellen, an welchen die Trabekeln benachbarter 
Divergenzzonen aneinander stossen, haben sie die Neigung öfter unterbrochen 
zu werden und nicht vollständig mit den Trabekeln der anderen Divergenz- 
zone zu verwachsen. Dadurch kommen hauptsächlich die unregelmässig ver- 
theilten Löcher im Septum der Lophoserinae und zugleich eine gewisse Aehn- 
lichkeit mit dem Eupsammiden-Septum zu Stande. Durch die Entwickelung 
der Horizontalleisten auf den Seitenflächen der Septen unterscheiden sich 
indess die Zophoserinae sofort von den Eupsammiden und beweisen zugleich 
ihre Zugehörigkeit zu den Fungiden. Von der Unterfamilie der Funginae 
unterscheiden sich die Lophoserinen leicht durch den Bau und die Anordnung 
der Trabekeln. Ich halte das für ein viel wichtigeres Merkmal als das Vor- 
handensein oder Fehlen von Stacheln auf der Unterseite des Stockes. 


Protoseris. 245 


Gen. Protoseris Ev. u. H. 


1351. Protoseris Eopwarvs u. Haıme. Brit. Foss. Cor. p. 103. 


1857. Rn “ 7 Corall. T. IH, p. 71. 

1857. hs Pıcrer. Traite de Pal&öont. T. IV, p. 425. 
1858—60. „, From. Introd. p. 241. 

1875 —76. „ Becker. Natth. Kor. Palaeont. Bd. XXI, p. 179. 
1579. n Zırtet. Handbuch I, p. 246. 

1884. ” Doxcan. Madrep. Genera, p. 159. 


1881-89. ,„ (pars) Kopy. Polyp. jur. pp. 350 u. 571. 


Zusammengesetzte Stöcke aus blattartigen, lappigen Lamellen bestehend, 
Unterseite durch die Costalenden der Septen gestreift. Oberseite mehr oder 
weniger concav; die Kelche unregelmässig, doch nahezu parallel dem Aussen- 
rand der Lappen angeordnet. Kelche durch confluente Septen verbunden. 
Septen am Oberrand unregelmässig gezackt, auf den Seitenflächen senkrecht 
zum Septalrand verlaufende Granulationen, die oft verschmelzen und dadurch 
Horizontalleisten auf den Septalflächen bilden. Die Trabekel auf den Septen 
sind sehr grob und lassen nur einzelne unregelmässig angeordnete Löcher 
zwischen sich. Es kommen sowohl ächte als Pseudosynaptikel vor. Säulchen 
papillös. 

Hinsichtlich der systematischen Stellung dieser Gattung schliesse ich 
mich der ursprünglichen Ansicht von Mıtne Epwaros und HArmz und neuer- 
dings von Duncan an und stelle dieselbe zu den Lophoseriden. BECKER be- 
trachtete Protoseris als eine Untergattung von Thamnastraea. Kopy ist über 
die systematische Stellung der Gattung nicht ganz sicher und stellt sie mit 
einiger Reserve zu seinen Astrocoeniden. Duncan’s Ansicht, dass diese Gat- 
tung ein Vorläufer der jetzt lebenden Lophoseris ist, scheint mir durch die 
unregelmässige Löcherung der Septen und den ganzen Habitus des Stockes 
wohl gerechtfertigt. 


Protoseris recurvata OcıLvıe. — Taf. XI, Fig. 1. 


Korallenstock blattartig, jedes Blatt ist in mehrere gerollte Lappen 
getrennt und besteht aus dichtgedrängten Kelchen. Ungefähr 10—12 Septen 
kommen auf 5 mm Breite. Die Septen der Kelche, die am Aussenrand eines 
Blattes stehen, verlängern sich nach aussen bedeutend, und da die Blätter 
symmetrisch nach innen gerollt sind, geben diese Septen oft den Eindruck, 
als ob sie von einem Kelchcentrum ausstrahlen; in Wirklichkeit aber sind 
mehrere Kelche von ganz ungleicher Grösse vorhanden. Die Costalstreifen 
auf der Unterseite sind nur sehr fein granulirt und nackt. 

Allgemeine Bemerkungen: Die Kelchcentren sind bei dieser Art 
nicht so deutlich ausgeprägt wie bei Protoseris robusta. Die Septen sind viel 


946 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


gröber als bei den bis jetzt bekannten Profoseris-Arten. Die gerollten Lappen 
und die charakteristische Anordnung der Septen in jedem Lappen bilden 
Merkmale ähnlich mit Kosr’s Art Protoseris? Jaccardi. 

Kosy hegte Zweifel über die Gattungsbestimmung wegen des Vorkommens 
einer starken Epithek. Die Stramberger Exemplare zeigen keine Spur von 
Epithek. Gewiss kann das eine Folge der Verwitterung sein, doch weichen 
die Stramberger Exemplare auch sonst noch in ihrem Habitus etwas ab. Die 
Lappen sind kräftig und stehen weit auseinander, was dem Stock ein fast 
pfeilerartiges Aussehen gibt. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg. 


Protoseris robusta Becker. — Taf. XI, Fig. 2, 2a. 
1875—76. Protoseris robusta Becker. Natth. Korallen, p. 59, Taf. 42, Fig. 3. 


Korallenstock aus blättrigen Lamellen gebildet, 5 mm dick, in der Breite 
ungefähr 100 mm. Die Unterseite des Stockes zeigt concentrische Furchen 
und feinere Costalstreifen, 17”—18 kommen auf 5 mm. Kelche unregelmässig 
gestellt. Abstand von Centrum zu Centrum 5—6 mm. Kelchgrube seicht, 
die Kelchränder sind flach gerundet. Auf den letzteren fliessen die Septen 
der benachbarten Kelche zusammen. Die Zahl der Septen ist sehr verschieden, 
im Durchschnitt 36—40. Circa 15 erreichen das schwammige Säulchen. 


Allgemeine Bemerkungen: Die Uebereinstimmung der Stramberger 
Exemplare mit dieser Becrer’schen Art ist vollständig. Der Erhaltungs- 
zustand war der Untersuchung der feineren Struktur nicht günstig, zeigte 
jedoch das häufige Vorkommen von Synaptikeln. Ein Exemplar von Wischlitz 
hat eine etwas abweichende Form des Korallenstocks, der sich in regelmässige 
fingerförmige Ausläufer theilte. Auch war jeder fünfte Costalstreif auf der 
Unterseite stärker entwickelt wie die dazwischenliegenden. Da aber die 
wesentlichen Kelchmerkmale übereinstimmten, halte ich dieses Exemplar 
höchstens nur für eine Varietät der Protoseris robusta. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 1. 
Fundorte: Stramberg, Wischlitz; ausserdem: Nattheim. 


Gen. Comoseris »’Orsıcny. 


1843. Pavonia (pars) u. Maeandrina (pars) Micuzrin. Icon. zooph. pp. 98 u. 100. 
1848. Siderastraea (pars) M’Coy. An. and Mag. of Nat. Hist. 2. ser. T. XI, p. 419. 
1849. Comoseris D’Orzıcny. Note sur des pol. foss. p. 12. 

1851. > Mırne EpwArps u. Hase. Brit. foss. Corals. p. 101. 

1857. n 5 n cR Hist. Nat. Corall. T. II, p. 62. 


Comoseris. 247 


1858. Comoseris KırauLon. Haut-Jura, p. 121. 


1858—60. ,, Fromenzer. Introduction, p. 170. 

1562, ” THURMAnN u. Eratvox. Lethaea Bruntrutana, p. 405. 

1875—76. „, Becker u. Mitascnewrrz. Natth. Kor. Palaeontogr. Bd. XXI, p. 230. 

1882. 55 Prarz. Verwandtschaftl. Bez. Korall. Gatt. Palaeontogr. Bd. XXIX, 
p- 112, 113. 

1334. ee Duncan. Madreporaria, p. 162. 


1850—89. ,, Kosy. Pol. Jur. p. 404. 


Zusammengesetzte, massive Stöcke. Unten sehr stumpf-conisch bis flach, 
Oberseite convex. Kelche unregelmässig angeordnet, durch confluente Septen 
verbunden. Die Kelche fliessen oft zu kurzen Reihen zusammen. Septen 
fein, zahlreich, und fast gleich lang, am Oberrand regelmässig gezackt. Auf 
den Seitenflächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand 
verlaufen und mit denen der nächsten Septen Pseudosynaptikeln bilden. Septen 
regelmässig gegittert. Pseudotheka nicht vorhanden, doch sind oft scharfe 
Höhenzüge zwischen benachbarten Kelchen und Kelchreihen. Unterseite mit 
runzeliger, starker Epithek versehen. 

Die Gattung Comoseris wurde von den früheren Autoren immer neben 
Lophoseris in der Unterfamilie Zophoserinae gestellt. Später aber gab Prarz 
an, dass Comoseris hinsichtlich der Septalstruktur mit Microsolena und 
Maeandraraea in engster Beziehung stünde. Er stellte dieselbe in die zweite 
Gruppe seiner Pseudoastraeinae regulares, d. h. neben Microsolena. Hierin 
folgten ihm die meisten der späteren Autoren. 

Duncan stellte dagegen die Gattung Comoseris zur Familie der Zopho- 
seridae, da er an einem gut erhaltenen Exemplar von Comoseris irradians 
ganz dichte Septen beobachtete. Sonst findet man im der Literatur über die 
feinere Struktur der Septen von ZL. irradians wenig Aufschluss; mehrere 
Autoren erwähnen nur, dass die Septen unregelmässig gezackt und dass die 
Trabekel sehr grob sind. Dies sind zwei Merkmale, die sehr gegen die Ein- 
reihung von Comoseris neben Mierosolena sprechen. Darüber besteht indess 
kein Zweifel, dass die typische Art der Gattung Comoseris maeandrinoides 
MicH. sp. in der feinen Septalstruktur wesentlich von den Pseudoastraeinae 
regulares Prarz abweicht. 

Kogr bildet ein Septum ab (Polyp. Jur. pl. CXXX, Fig. 17), das zeigt 
wie die Trabekel nicht parallel mit einander angeordnet sind, sondern in 
mehreren fächerförmigen Gruppen. Eine solche Anordnung ist sonst nie unter 
den Pseudoastraeinae regulares bekannt, während sie für die Lophoserinae 
charakteristisch ist, und zum T'heil die unregelmässige Bezahnung des Septal- 
randes bedingt. Auf Grund dieses Septalbaues der typischen Art habe ich 
nun die Gattung Comoseris zu der Unterfamilie Lophoserinae gestellt. 


248 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Comoseris brevivallis OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 9. 


Korallenstock massiv, von rundlichem Umrisse, auf der Unterseite conisch 
gestielt. Die Kelche sind in kurzen und nicht sehr gewundenen Reihen an- 
geordnet. Kelchgruben ziemlich tief. Breite einer Reihe 4—5 mm. Abstand 
der Kelchcentren in den Reihen sehr wechselnd, durchschnittlich 3,5—4 mm. 
Die Septen sind vollkommen gleich entwickelt, ca. 11 oder 12 reichen bis 
zum Kelchcentrum. Es kommen auf die Höhenzüge zwischen den Kelchreihen 
18 Septen auf 5 mm. Bei den ab und zu vorkommenden Einzelkelchen sind 
die radiär angeordneten Septen 24—28 an Zahl. Die Septen sind porös, die 
Poren aber entsprechen nicht genau dem Verlauf der Trabekeln. Pseudo- 
und echte Synaptikeln sind vorhanden, auch schräg gestellte Traversen stützen 
sich oft auf unvollkommen verwachsenen Granulationen. Die Costalstreifen 
auf der Unterseite des Stockes sind 22 auf 5 mm in Zahl, sind gleich stark, 
granulirt, und mit dünnen concentrischen Epithekalringen versehen. Letztere 
sind nur an besonders gut erhaltenen Stellen wahrzunehmen. 

Allgemeine Bemerkungen: C. brevivallis zeichnet sich durch sehr 
kurze Kelchreihen aus. Dem allgemeinen Habitus nach ähnelt diese Stram- 
berger Art am meisten der sehr verbreiteten C. irradians Epw. u. H., unter- 
scheidet sich aber durch grösseren Abstand der Kelcheentren und viel feinere 
Septen. Letzteres Merkmal unterscheidet sie auch von einer Monte Pastello- 
Art ©. amplistellata vw’AcH. (Cor. Giur. p. 19, Taf. 17, Fig. 11). Erwähnens- 
werth ist die Aehnlichkeit, die eine als Anomophyllum Münsteri von RÖMER 
beschriebene Art bietet (Verst. des Oolithen-Gebirges, p. 21, Taf. I, Fig. 6 
und E. u. H. Corall. Taf. III, p. 202). Da das Römer’sche Originalexemplar 
mangelhaft war, genügt die Beschreibung nicht für einen vollständigen Ver- 
gleich desselben mit C. brevivallis. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg. 


Familie Eupsammidae E. u. H. emend. OcıLvıE. 


— Eupsamminae E. u. H., welchen aber noch zuzuzählen sind: Epistreptophyllum, 
Diplaraea und Haplaraea MivAschrwirz, Dermosmilia Kosy und Baryphyllia From. Stylo- 
phyllum Reuss emend. FrecH und Stylophyllopsis Frecn, Coscinaraea E. u. H, 


Einfache oder zusammengesetzte Korallen mit zahlreichen Septen. Septal- 
vand mit unregelmässigen und gerundeten Zähnen versehen. Granulationen 
sind auf den Seitenflächen der Septa vorhanden, die reihenförmige Anordnung 
derselben ist indess nicht sehr gut ausgedrückt, entsprechend dem unregel- 
mässigen Verlauf der Trabekeln. Trabekelglieder (Septaldornen) häufig mit 


Eupsammidae. 249 


den benachbarten oder mit den nächst höheren nicht fest verwachsen, wo- 
durch die Septen unregelmässige Löcher haben. Pseudo- und ächte Synap- 
tikel verbinden die Septen, namentlich gegen aussen zu und geben zu einer 
regelmässigen und symmetrischen Verwachsung verschieden alter Septen Veran- 
lassung. Traversen von sehr verschiedener Gestalt, bodenartig oder als feine 
Blasen entwickelt. Pseudotheka nahe am Aussenrand, durch Einschiebung 
einer grossen Anzahl kurzer Septen, sowie durch Verdickung der basalen und 
der septalen Elemente gebildet. Ausserhalb der Pseudotheka sind alle Septen 
als granulirte Costen vertreten. Epithek dünn, gerunzelt. Die Vermehrung 
erfolgt durch marginale Knospung und Theilung. 

Die Familie der Eupsammiden ist in der Jetztzeit noch durch zahlreiche 
Gattungen und Arten vertreten. In den Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 
habe ich die feinere Struktur von Eupsammia ausführlich besprochen. Da 
ich bei einer Anzahl Gattungen, die bisher zu verschiedenen anderen Korallen- 
gruppen gestellt wurden, die gleiche Septalstruktur und Uebereinstimmung 
in sonstigen Merkmalen fand, rechne ich dieselben nun zur Familie der Eup- 
sammiden. 

Die wichtigsten und für die Familie charakteristischen Merkmale der 
feineren Struktur sind folgende: 

1) Die verschiedenen auf einander folgenden Glieder der einzelnen Tra- 
bekel sind nicht immer fest mit einander verwachsen, sondern lassen häufig 
Zwischenräume zwischen sich frei. Die Trabekelglieder besitzen fast immer 
mehrere Calcificationscentren, die indess nicht eng und regelmässig um die 
ideale Trabekelaxe, sondern mehr im Zickzack verlaufen. Damit hängt die 
gerundete und unregelmässige Gestalt der Septalzähne zusammen. FreEcH 
spricht bei Stylophyllum und Stylophyllopsis nur von Septaldornen. Da nun 
diese Septaldornen, oder wie ich sie heisse, diese Trabekelglieder immer in 
aufsteigenden Reihen angeordnet sind, so ist man vollkommen berechtigt eine 
derartige Reihe als Trabekel anzusehen. 

2) Auch die neben einander stehenden Glieder zweier benachbarter 
Trabekel sind nicht immer fest verwachsen. Auf diese Weise entstehen so- 
wohl innerhalb eines Trabekels als auch zwischen benachbarten Trabekeln 
unregelmässige Lücken, die oft in einander übergehen. Dadurch bekommt 
ein solches Septum ein sehr unregelmässig löcheriges Aussehen, das sich sehr 
scharf von einem Thamnastraeen-Septum, mit den in Reihen regelmässig an- 
geordneten Löchern, unterscheidet. Bei den älteren Septen der Eupsammiden 
werden diese unregelmässigen Lücken zum Theil noch durch nachträgliche 
Kalkabscheidung ausgefüllt. 

3) Zwischen den Septen sind ächte und Pseudosynaptikel vorhanden. 
Dieselben sind nicht wie bei den T’hamnastraeinae in einer bestimmten Be- 
ziehung zu jedem Trabekel, sondern regellos angeordnet. Die Struktur der 


350 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


ächten Synaptikel ist genau dieselbe wie die Struktur der einzelnen Trabekel- 
glieder in dem Septum. Man kann überhaupt nicht streng unterscheiden 
zwischen Synaptikeln und solchen Trabekelgliedern, die sich am inneren Ende 
eines kurzen Septums etwas schräg stellen und mit der Seitenfläche des 
nächststehenden längeren Septums zusammenwachsen. Ein Querschnitt durch 
einen Eupsammidenkelch gibt ein Bild der Synaptikel und Trabekelglieder, 
das vom ausgesprochenen radiären Bau der Skeletelemente, wie er bei Heli- 
astraea z. B. vorhanden ist, abweicht. Im Allgemeinen sind bei den jüngeren 
Eupsammiden die benachbarten Trabekelglieder in ein und demselben Septum 
häufiger mit einander verwachsen, so dass das Septum lamellenartiger wird 
als bei den älteren, mesozoischen Vertretern dieser Familie, wo die einzelnen 
Trabekelglieder häufiger isolirt bleiben. Bei den jüngeren Eupsammiden sind 
auch die Synaptikel im inneren Theil der Kelche seltener. Das steht jeden- 
falls damit im Zusammenhang, dass hier das Septum lamellärer und fester 
wird. Es finden sich indess bei den älteren mesozoischen Gattungen bereits 
einige Arten, welche diese Verhältnisse schon zeigen und die dadurch in 
phyllogenetischer Hinsicht den anderen voraus eilten. Interessant ist es 
übrigens auch, dass sich bei einzelnen der triasischen und jurassischen Arten 
manchmal sehr viele Exemplare finden (siehe z. B. unten Haplaraea colum- 
naris), bei welchen die Septen auf der einen Kelchseite etwas länger sind, 
wodurch eine gewisse Excentrieität und Bilateralität im Kelchbau hervor- 
gerufen wird. Dass dies ein Ueberbleibsel aus palaeozoischen Zeiten ist, 
wurde schon bei Besprechung der Amphiastraeiden erwähnt. 

Um Wiederholungen zu vermeiden, werde ich gleich hier die drei in 
den Stramberger Schichten vorkommenden Eupsammiden-Gattungen näher 
behanden. Es sind dies die Gattungen Epistreptophyllum und Haplaraea 
(Einzelkorallen), und Diplaraea (coloniebildend), alle drei zuerst von MILAScHE- 
wırz aus den Nattheimer Schichten beschrieben. Epistreptophyllum wurde 
indess von MivAscHhewırtz als eine Uebergangsform von den Fungiden zu den 
Astraeiden betrachtet und unter den Fungiden beschrieben; Haplaraea und 
Diplaraea dagegen fasste er als Poritiden auf. Die beiden letzten Gattungen 
wurden ein paar Jahre später von Zırreun zu den Eupsamminae gestellt. 

Ich will zunächst Haplaraea besprechen, da diese Gattung bereits von 
Pratz (Verwandtsch. Bezieh. Palaeontogr. Bd. 29, p. 102) eingehend unter- 
sucht worden ist. Aus diesen Untersuchungen von Prarz geht hervor, dass 
die Septen hier aus unregelmässigen und nicht vollständig verwachsenen Tra- 
bekeln bestehen, sowie dass Pseudosynaptikel neben ächten Synaptikeln und 
zahlreichen Traversen vorhanden sind. Die gleiche Struktur gibt Prarz für 
Diplaraea, Maeandraraea p. p. und auch für die recente Coscinaraea an. 
Er fasste diese Formen als eine besondere Gruppe (Pseudoastraeinae irregu- 
lares) zusammen und stellte sie zu den Fungiden. Ich kann die Beobachtungen 


Eupsammidae. 951 


u 


von Pratz durch eigene Untersuchung von Haplaraea vollkommen bestätigen. 
Ich habe indess schon früher (Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896) darauf 
hingewiesen, dass die für Haplaraea charakteristischen Merkmale ganz und 
sar mit denen der typischen Eupsamminae- Gattungen übereinstimmen und 
habe desshalb Haplaraca sowohl von den Fungiden wie von den Poritiden 
getrennt und zu den Eupsammiden gestellt. Dasselbe gilt auch von den 
übrigen von Pratz unter den Pseudoastraeinae irregulares zusammengefassten 
Gattungen. 


Bis jetzt waren nur zwei Arten von Haplaraea, eine jurassische und 
eine cretaceische, bekannt. Im Folgenden ist eine neue Art von Stramberg 
beschrieben und ausserdem hervorgehoben, dass auch die triasische Stylo- 
phyllopsis polyactis FrecH nach meiner Ansicht zu Haplarae« gehört. 


FrecH hat seine Gattung Stylophyllopsis überhaupt nicht mit Haplaraea 
verglichen. Nach Free ist Stylophyllopsis polyactis nur als Einzelkoralle 
vorhanden, während alle übrigen Arten sowohl als Einzelformen wie als zu- 
sammengesetzte Stöcke vorkommen. Stylophyllopsis polyactis unterscheidet 
sich von den übrigen Arten durch die grosse Anzahl seiner Septen und 
schliesst sich sonst im ganzen Habitus sehr eng an die Gattung Haplaraea 
an. Hinsichtlich ihres Septalbaues stimmen übrigens auch die anderen Stylo- 
phyllopsis-Arten vollkommen mit Haplaraea überein. Als Gattungsunterschiede 
wären nur die geringere Zahl der Septen und die damit zusammenhängende 
seltenere seitliche Verwachsung derselben, sowie die bodenartige Entwicklung 
der Traversen zu erwähnen. 


Die systematische Stellung der Gattung Epistreptophyllum war lange 
schwankend. Von Epistreptophyllum waren bis jetzt die drei Arten bekannt, 
welche schon MitaAschzrwirz aufgestellt hat. Wie bereits erwähnt, stellte 
MitAscHEwıTZ diese Gattung wegen des Vorkommens der Synaptikel zu den 
Fungiden, ohne sie indess fest damit zu vereinigen. Später versetzte ZıTTEL 
Epistreptophyllum in eine besondere Subfamilie der Astraeiden. Aus den 
Untersuchungen von Prarz geht hervor, dass bei der Gruppe der Zhamn- 
astraeinae das Vorkommen von Traversen neben Synaptikeln nicht selten ist; 
ferner, dass bei einer Anzahl Gattungen (Pseudoastraeinae regulares) nur 
„Pseudosynaptikel“, d. i. verschmolzene Granulationen, vorkommen, während 
bei anderen Gattungen (Pseudoastraeinae irregulares und Pseudoagaricinae) 
ausser Pseudosynaptikeln auch ächte Synaptikeln, d. h. Verbindungsglieder 
zwischen Septen mit selbständigen Caleificationscentren vorkommen. Eine 
Ergänzung der Untersuchungen von Prarz über Pseudosynaptikel und Synap- 
tikel habe ich in einer früheren Arbeit gegeben (Philos. Trans. Roy. Soc. 
London 1896), worin ich beide nebeneinander bei den Funginae, Lophoserinae 
und Eupsamminae nachwies. Die Eupsamminae unterscheiden sich von den 


252 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Funginae hauptsächlich durch die unregelmässige Anordnung der Synaptikeln 
und Septen. 

Leider gestatten die Nattheimer Exemplare von Epistreptophyllum keine 
feinere mikroskopische Untersuchung, da sie sehr verkieselt sind. Doch lassen 
sich aus der Oberflächen-Skulptur der Septen immerhin viele Schlüsse über 
den feineren Bau der Septen ziehen. Wichtig ist es, dass die Septen öfter 
unterbrochen sind und dass die aufgelösten Stücke im Innern ein schwammiges 
Säulchen bilden. Die Synaptikel treten ebenfalls unregelmässig auf und geben 
den Septen öfter Eupsammiden-ähnliche Septalbilder. Die in allen äusser- 
lichen Merkmalen mit den Nattheimer Formen übereinstimmenden Stramberger 
Exemplare sind günstiger erhalten und zeigen den für Eupsammiden charak- 
teristischen feimeren Septalbau. Damit ist die systematische Stellung der 
Gattung Epistreptophyllum klargelegt und zugleich ihre nahe Verwandtschaft 
mit der gleichaltrigen Einzelkoralle Haplaraea und der coloniebildenden 
Diplaraea gekennzeichnet. 

Später stellte Kosy (Pol. Jur. p. 338) eine neue Gattung, Lithoseris, 
auf, welche zwei jurassische Arten umfasste, Zithoseris graeilis und Lithoseris 
compressa. Letztere halte ich für identisch mit Epistreptophyllum commume 
MIGASCHEWITZ, erstere ist gleichfalls ein Epistreptophyllum und jedenfalls sehr 
nahe stehend, wenn nicht identisch mit Epistreptophyllum tenue MILASCHEWITZ. 
Ich vereinige somit die Gattung Lithoseris mit Epistreptophyllum. Ausserdem 
sei erwähnt, dass die von Fromkenrten und Kogy als Zeptophyllia montis be- 
schriebene Art auch im den Stramberger Schichten vorkommt, nach meinen 
Untersuchungen aber ebenfalls zu Epistreptophyllium gehört. 

Von Haplaraea unterscheidet sich Epistreptophylium durch das Vor- 
kommen eines Säulchens, durch geradlinigen Verlauf der Septen und dichtere 
Verwachsung der einzelnen Trabekeln, so dass hier, wenn man den Kelch 
von oben betrachtet, mehr der Eindruck eines lamellären Astraeiden-Septums 
hervorgerufen wird, als dies bei den lockeren und gekrümmten Septen in 
Haplaraea der Fall ist. Schon Mıtaschzwiırz hob genau die gleichen Unter- 
schiede zwischen Haplaraea und Diplaraea hervor, desshalb ist die Gattung 
Diplaraea noch inniger mit Epistreptophyllum als mit Haplaraea verwandt. 

Wenn man Kogr’s Beschreibung des Septalbaues von Dermosmilia Kopy 
und Baryphyllia From. liesst (Pol. Jur. p. 546 u. 547, Pl. 129, Fig. 11, 11a), 
so überzeugt man sich, dass die feinere Struktur derselben vollkommen mit 
den bis jetzt besprochenen jurassischen Gattungen übereinstimmt. Ausserdem 
hatte ich die Gelegenheit unter dem Stramberger Material solche jurassische 
Dermosmilien zu untersuchen und die feinere Struktur zu beobachten. Auch 
daraus geht die Uebereinstimmung bei der hinsichtlich der feineren Struktur 
hervor, wesshalb ich diese Formen als Eupsammiden auffasse. Kosy's Der- 
mosmilia stimmt nun, abgesehen vom feineren Bau, auch noch hinsichtlich 


Eupsammidae. 953 


der baumartig verzweigten Form des Polypen-Stockes, sowie der übrigen 
Merkmale vollständig mit Diplaraea MivascHzwirz überein, wesshalb ich 
Dermosmilia mit Diplaraea vereinige. Diese Gattung, welche im oberen Jura 
sehr reichlich vertreten ist, bildet den Vorläufer der recenten Dendrophyllia. 


Baryphyllia FROMENTEL unterscheidet sich von Diplaraea MILASCHEWITZ 
durch das Fehlen des Säulchens, sowie durch die geringe Länge der Seiten- 
äste, die nur als kurze Ausläufer auf dem Hauptast sitzen. 


Die beiden Gattungen Diplaraes und Baryphyllia haben andererseits 
hinsichtlich des Habitus des Stockes folgendes gemeinsame und wichtige 
Merkmal. Von einem dickeren Stamm, der dem ursprünglichen Mutterkelch 
entspricht, zweigen die neu entstandenen Kelche als Seitenäste ab. Während 
nun bei Diplaraea diese Seitenäste meistens ziemlich lang werden, sind sie 
bei Baryphyllia nur als ganz kurze Stummel entwickelt. Hiedurch bekommt 
ein Baryphyllia-Stock das Aussehen, als ob aus einem mit Costen versehenen 
Coenenchym die Kelche hervorragen würden. Man kann nun aber bei diesen 
beiden Gattungen sowohl auf dem Hauptstamm, wie auf den Seitenästen 
manchmal noch eine dünne Epithek beobachten, wie sie auch bei Hgplaraea 
und Epistreptophyllum vorkommt. 


Bei den dicken Hauptstämmen muss offenbar das Höhenwachsthum im 
Vergleich zum Dickenwachsthum beträchtlich zurückbleiben und da während 
jeder Wachsthumsperiode der Stamm mit Epithek umgeben war, finden wir 
im Querschnitt eines solchen Stammes so viele (concentrische) Wachsthums- 
schichten als es Wachsthumsperioden gibt, also Verhältnisse, die an die 
Wachsthumserscheinungen bei eigentlichen Bäumen erinnern. Auf diese 
Wachsthumsart hat Kogy schon hingewiesen, indem er bei Besprechung von 
Dermosmilia sagt: „Le trone et les branches s’aceroissant en &paisser par la 
superposition de couches costales qui descendent du sommet ä la base“ (l. ce. 
p- 194). In ganz gleicher Weise äussert er sich über Baryphyllia. Durch 
diese Art des Wachsthums überzieht bei solchen Formen das lebendige Ge- 
webe den ganzen Stock von unten bis ganz oben. Vergleichen wir dagegen 
ästige Astraeiden-Stöcke, so finden wir, dass die Weichtheile nur eine Strecke 
weit über den Kelchrand nach aussen hinabragen, und dass sich desshalb das 
weiter unten befindliche Skelet nicht mehr weiter entwickelt und nur von 
einer einzigen Epithekschicht überzogen ist. Darin besteht demnach ein 
wesentlicher Unterschied zwischen ästigen Astraeiden und Eupsammiden. Wenn 
nun bei einzelnen recenten Eupsammiden-Gattungen ein Coenenchym ange- 
geben wird, so ist dessen Vorkommen um so leichter verständlich, als die 
sogenannten Costen auf der Artoberfläche nur die äusseren Endigungen der 
sich leicht in einzelne Trabekelglieder auflösenden Septen und Costen sind, 
zwischen die sich ausserdem noch reichliche Synaptikel einschieben. 


254 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Nach dem Gesagten ist es einleuchtend, dass Diplaraea (Dermosmilia) 
auch abgesehen von der feineren Struktur sich sehr wesentlich von Astraeiden- 
Formen wie Thecosmilia und Rhabdophyllia unterscheidet, wesshalb ich der 
von FrecH (Triaskorallen, Palaeontogr. Bd. 37, p. 7) vorgeschlagenen Ein- 
verleibung von Dermosmilia unter Rhadophyllia nicht zustimmen kann. 

Schon oben, bei Besprechung von Haplaraea, habe ich die triasische 
Gattung Stylophyllopsis FrecH kurz erwähnt und auch auseinander gesetzt, 
warum ich Stylophyllopsis polyactis zu Haplaraea stelle. Die übrigen Stylo- 
phyllopsis-Arten umfassen coloniebildende Formen, die in ihrer Wachsthumsart 
und im Habitus sehr Baryphyllia ähneln (vergl. St. Zitteli Frec#. Trias- 
korallen, p. 49, Taf. XII, Fig. 13 u. 15). Da ausserdem auch die Septal- 
struktur in diesen triasischen Stylophyllopsis-Arten in allen wesentlichen 
Punkten mit der bei jurassischen Eupsammiden beschriebenen übereinstimmt, 
so kann ich Frec# nicht beistimmen, wenn er Stylophyllopsis zu den Astraeiden 
stellt, und zwar zusammen mit Siylophyllum als besondere Unterfamilie zu 
den Astraeiden. Frech erwähnt auch, dass eine Anzahl der von Duncan aus 
dem Lias beschriebenen Montlivaltien und Thecosmilien zu Stylophyllopsis zu 
stellen $eien und dass diese liasischen Arten die letzten Vertreter seiner 
Unterfamilie der Stylophyllinae seien. Dieser Ansicht F’rec#’s möchte ich die 
oben bereits angeführten Beweise entgegenstellen, die darin begründet sind, 
dass eine sehr grosse Zahl von jurassischen Arten von Epistreptophyllum, 
Haplaraea, Diplaraea und Baryphyllia in allen wesentlichen Merkmalen da- 
mit übereinstimmt und dass dieselben Merkmale auch noch bei den jetzt 
lebenden Eupsammiden zu finden sind. 

Die Gattung Stylophyllum wurde von Reuss ursprünglich zu den Tabu- 
laten gestellt (Kreideschichten der Ostalpen, Denkschriften der k. k. Akad. 
der Wissensch. Bd. VII, p. 132, Taf. 21, Fig. 1—3). Nach Frech unter- 
scheidet sie sich von Stylophyllopsis dadurch, dass die einzelnen Trabekel- 
glieder weniger fest verwachsen. Auch in den übrigen Merkmalen schliesst 
sich Stylophyllum enger an palaeozoische Formen an, als dies Stylophyllopsis 
thut. Solche Merkmale sind die Excentrieität der Kelchgrube und die damit 
zusammenhängende mehr oder minder bilaterale Anordnung der Septa, ausser- 
dem die Art der Vermehrung durch ausgesprochene Tabularknospung. Es 
gibt aber andererseits auch Arten, die sich wie z. B. St. tenuispinum durch 
die grosse Zahl ihrer Septen, durch zahlreichere Synaptikel und durch das 
Vorhandensein eines falschen Säulchens, sehr auf Epistreptophyllum hinweisen 
und vorbereiten. Ein anderes Beispiel wäre Stylophyllum paradoxum FrECH. 
Einige der auf Taf. 14 abgebildeten Exemplare (nämlich Fig. 3 und 12) 
erinnern bereits sehr lebhaft an Haplaraea und Epistreptophyllum. 

Frech setzte nun des längeren auseinander, warum die palaeozoische 
Gattung Calostylis nicht zu den Eupsammiden gestellt werden dürfte, wie dies 


Epistreptophyllum. 255 


Lınpström gethan hat, sondern dass Calostylis eher noch mehr Ueberein- 
stimmung mit Siylophyllum und Stylophyllopsis zeige. Dass solche Fälle 
möglich seien, auch ohne dass desshalb verwandtschaftliche Beziehungen vor- 
handen zu sein brauchten, dafür führt er den Ausspruch Neumayr’s an, dass 
„einander ausserordentlich ähnlich gebildete Harttheile bei sehr verschiedenen 
Abtheilungen (der Korallen) vorkommen. “ 

Auf Grund der von mir gemachten Beobachtungen und Vergleiche halte 
ich es für sicher, dass Stylophyllum und Stylophyllopsis zu den Eupsammiden 
sehört und dass sie durch zahlreiche Uebergangsformen mit den lebenden 
Eupsammiden verknüpft sind, Nur nebenher möchte ich bemerken, dass auch 
NıcHoLson für die Zugehörigkeit von Calostylis zu den Eupsammiden einge- 
treten ist (Manual of Palaeontology, 1889, Vol. I, p. 307). Meiner Ansicht 
nach ist die grosse Lücke zwischen der silurischen Calostylis und den creta- 
ceischen Eupsammiden-Gattungen überhaupt nicht vorhanden, 


Genus Epistreptophyllum MruAscn. 


1358. Zeptophyllia (p.p.) FROMENTEL. Introd. p. 120 non MıLye Enwarps u. Haıne. 

1876. Epistreptophyllum MitAschewiırz. Natth. Kor., Palaeontogr. Bd. XXI, p. 210. 

1876—80. - Zimmer. Handbuch der Palaeont. I, p. 249. 

1884. 5 Duncan. Madreporaria, p. 133. 

1881—89. Leptophyllia (p.p.) Koer. Pol. Jur. p. 313. 

1881—89. Lithoseris Kosy. Pol. Jur. p. 338. 

Koralle einfach, conisch oder cylindrisch, Kelch ziemlich tief; Septen 
sehr zahlreich und fein, ab und zu in einzelne Trabekelglieder (= Septal- 
dornen FrecH) aufgelöst. Granulationen auf den Seitenflächen nicht regel- 
mässig angeordnet und von sehr ungleicher Grösse, manche als Pseudosynap- 
tikel entwickelt. Aechte Synaptikel und zahlreiche blasige Traversen vor- 
handen. Säulchen schwammig, gross, aus aufgelösten und sich verflechtenden 
Trabekelgliedern der längeren Septen zusammengesetzt. Keine ächte Wand, 
nur eine pseudothekale Verdickung der septalen und interseptalen Skelettheile 
nahe dem Aussenrand. Epithek dünn, runzelig bis zum Kelchrand reichend. 


Epistreptophyllum eommune MivAscH. 
Tarı xt. Bio. 13, 19a, 13h, 14. 
1875—76. Epistreptophyllum commune MivascH. Natth. Kor. p.90, Taf. 50, Fig. 2, 2a. 
1889. Lithoseris compressa Kosy. Polyp. Jur. p. 339, pl. 93, Fig. 33. 
Koralle eylindroconisch, mit schmaler Anwachsstelle. Höhe 50—100 mm. 
Kelche etwas elliptisch, Durchmesser 35x30 mm, Septen sehr zahlreich, 
176—250, nahezu von gleicher Stärke. 28—30 Septen reichen bis zum 


256 Die Korallen der Stramberger Schichten, 


Kelcheentrum, wo ihre inneren Trabekelenden ein grosses schwammiges 
Säulchen bilden. Von den übrigen Septen sind etwa 50 längere und etwa 
50—60 kürzere gleichmässig in der Dicke. Alle übrigen Septen viel dünner 
und kürzer. Die Synaptikel sind in der Nähe der Peripherie am stärksten 
entwickelt. Traversen sind reichlich vorhanden. Costalenden der Septen 
gleich dick. Auf 5 mm Breite kommen 13—14 Costen. Ueber diesen Costen 
ist zum Theil eine Epithek erhalten, die in concentrischen Ringen die Koralle 
bis zum Kelchrand umgibt. 


Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von E. 
eylindratum MıvascH. durch die grössere Zahl und den feineren Bau der 
Septen. Lithoseris compressa Kosy stimmt der Abbildung und Beschreibung 
nach vollkommen mit E. commune MmaAscrH. überein. (Bezüglich der Gattung 
Lithoseris siehe oben die Bemerkungen über den Genus Epistreptophyllum). 

Zahl der untersuchten Exemplare: 7. 

Fundorte: Stramberg, Bobreck; ausserdem: Nattheim, St. Ursanne. 


Epistreptophyllum eonieum OcıLvız. — Taf. XI, Fig. 12, 12a. 


Koralle conisch, mit sehr kleiner Anwachsstelle. Septa zahlreich, vier 
Cyclen reichen bis zum Kelchcentrum, die des 5. Cyclus nur wenig kürzer, 
die Septen des 6. Cyclus viel kürzer und dünnner. Säulchen schwammig, 
gross. Synaptikeln und Traversen gut entwickelt. Im peripheren Theil sind 
die Verwachsungen der Septen mittelst der Synaptikeln und Traversen so 
häufig, dass eine starke Pseudothek hervorgebracht wird. Costen alle von 
gleicher Stärke. Auf die Breite von 5 mm treffen 12—135. Epithek vorhanden. 

Allgemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegen mir nur zwei 
Exemplare von Stramberg vor, die sämmtliche Merkmale gut zeigen, nur sind 
die oberen Kelchparthien nicht vollkommen erhalten. Dieselben unterscheiden 
sich von den von Mizaschzwirz beschriebenen Epistreptophyllen durch die 
conische Form, sowie durch die im Verhältniss zum geringen Kelchdurchmesser 
ausserordentlich grosse Zahl der Septen. 

Die Stramberger Art ähnelt im Habitus auch sehr der von Kory be- 
schriebenen Leptophyllia excelsa (Kosy, Pol. Jur. p. 320, pl. 92, Fig. 8S—11). 
Ich bin indess weder nach der Kosy’schen Beschreibung, noch nach seiner 
Abbildung ganz sicher, ob diese Art wirklich eine Zeptophyllia ist. Kosy 
beschreibt ein falsches Säulchen, das durch die aufgelösten inneren Enden 
(„Grains“) der drei ersten Septencyelen entstanden ist. Dies ist nun ein 
Merkmal, das für Epistreptophyllum sehr charakteristisch ist, während die Diag- 
nose von Leptophyllia Reuss em. Prarz kein solches Säulchen erwähnt. Ausser- 


Epistreptophyllum. 257 


dem stimmt der Abbildung nach der Septalbau viel mehr mit Epistreptophyllum 
als mit Zeptophyllia excelsa überein. Die Kosy’sche Art steht jedenfalls der 
Stramberger sehr nahe, da ich sie aber nicht direkt mit einander vergleichen 
kann, wage ich nicht sie zu vereinigen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg. 


Epistreptophyllum Montis From. sp. — Taf. XI, Fig. 11, 11a. 
1858—60. Leptophyllum Montis From. Introd. p. 121. 


1864. E „> ep Polyp. Corall. des env. du Gray, p. 12. 

1865. cp 5 en et Ferry. Pal£ont. fr. terr. jurass., Zooph. 
p- 98, pl. 28, Fig. 2, 2a. 

1889. = =; Kosy. p. 319, pl. 92, Fig. 1, 2, 3. 


Koralle ceylindroconisch oder von einer ziemlich breiten Basis gerade 
oder leicht gebogen in die Höhe wachsend. Die Peripherie der Koralle ver- 
rengert sich am Kelchrand, der als scharfe Kante die Kelchgrube umgibt. 
Die Koralle zeigt knollige Anschwellungen. Höhe der Koralle 20—60 mm; 
Durchmesser 20—35 mm. Septen sehr fein und zahlreich, gegen innen lösen 
sie sich vollständig in einzelne Dornen auf. 20—24 sind bis ins Centrum zu 
verfolgen, der vierte Cyclus ist von gleicher Dicke wie die drei ersten, aber 
ein wenig kürzer. Der fünfte Cyelus erreicht immerhin zwei Drittel des Kelch- 
radius, die übrigen Septen sind sehr kurz und dünn. Im Ganzen zählt man 
130—190, je nachdem der sechste Cyclus gut entwickelt ist. Das schwammige 
Säulchen nimmt ziemlichen Raum mitten im Kelch en. Am Rand erreichen 
alle Septen die gleiche Dicke und sind als fein granulirte Costen unter der 
dünnen Epithek zu sehen. 11—12 kommen auf 5 mm. Nur oben am Kelch 
pflegt der sechste Cyclus düpn zu sein und die Costen in Folge dessen ab- 
wechselnd dicker und dünner. Symaptikel reichlich vorhanden und unregel- 
mässig gestellt. Traversen blasig, dünn. 


Allgemeine Bemerkungen: Man kann durch eine Reihe Schnitte an 
dieser Koralle verschiedene Stadien bezüglich der Bildung einer Pseudotheka 
beobachten. Ganz unten an der Basis sieht man wie durch nachträgliche 
Verdickung der Septen und Synaptikeln an der Peripherie eine breite Pseudo- 
theka sich bildet. Weiter oben bekommt man den in Fig. 11a abgebildeten 
Schnitt, wo die Verdickung sich nach innen wenig verbreitet, während man 
am Kelch selber keine Pseudotheka wahrnehmen kann. 

Obwohl ich nach dem Vorgang von Anderen von Cyelen gesprochen habe, 
sind diese durchaus keine regelmässigen Cyclen nach den Gesetzen von Ep- 
wars und HAme. Vielmehr könnte man sagen, dass 20—24 Septen frei 
und hervorragend das Centrum erreichen, während die übrigen in unregel- 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 17 


258 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


mässigen Abständen davon sich durch maschige Gewebe von Synaptikeln und 
Traversen verbinden, wie dies bei den Eupsammiden noch heutzutage ge- 
schieht. Der Septalbau stimmt mit den vorhergehenden Arten überein. Das 
eine abgebildete Stück, Fig. 11, zeigt im unteren Theil an der Seite eine 
solche Knolle, wie in der Diagnose beschrieben ist. Ein Schnitt durch die- 
selbe zeigt darin zwei Knospen in verschiedenen Stadien der Entwickelung, 
während der Mutterkelch sehr eingeschrumpft ist. Wahrscheinlich ist der 
knollige Habitus der Koralle nur die Folge von zeitweiligen Knospenbildungen. 


Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 
Fundort: Stramberg; ausserdem: Soyhieres, Caquerelle, Champlitte, 


Genus Diplaraea Mivascn. 


1843. Dendrophyllia p.p. MiıcHevıs. Icon. Zooph. p. 88. 

1850. Thecosmilia p. p. D’OrzısnY. Prodröme II. p. 31. 

1858—60. „ „  FRromenter. Introd. p. 144. 

1862. 5 „ Tuvrmans u. Erarzon. Leth. Bruntr. p. 383—384. 
1875—76. Diplaraea MitascHn. Natth. Kor. Palaeont. Bd. XXI, p. 229. 
1881—89. Dermosmilia Kosy. Pol. Jur. p. 194, 546 u. 570. 

1890. Rhabdophyllia p.p. Frecn. Triaskorallen. Palaeontogr. Bd. XXXVII, p. 7. 


Aestige, dichotomirende Korallenstöcke, Kelchröhren im Querschnitt rund 
bis elliptisch, mit dünner, gerunzelter Epithek überzogen. Septen zahlreich, 
ab und zu in einzelne Trabekelglieder aufgelöst und seitlich durch ächte, 
sowie durch Pseudosynaptikeln häufig verbunden. Säulchen schwammig, aus 
aufgelösten und sich verflechtenden Trabekelgliedern zusammengesetzt. Tra- 
versen wenig entwickelt. Eine ächte Wand fehlt; es findet nur eine pseudo- 
thekale Verdickung der septalen und und interseptalen Skelettheile nahe dem 
Aussenrand statt. 


Diplaraea simplex Kopy sp. — Taf. XI, Fig. 17, 17a. 
1889. Dermosmilia simplex Kosy. Polyp. Jur. p. 476, pl. 124, Fig. 3, 4. 


Korallen bilden ganz kleine Aeste, an jedem Stock nicht mehr als zwei 
oder drei. Höhe 12—25 mm. Durchmesser eines Astes 10—12 mm. Kelche 
flach, mit einer vertieften Grube. Septen wechselnd in der Grösse, zahlreich, 
ziemlich durchlöchert, mit gezacktem Oberrand. 25—30 Septen erreichen 
das falsche Säulchen. Im Ganzen sind 60—90 Septen vorhanden. Die Costen 
sind ausserordentlich fein, granulirt, gleich dick; 20 kommen auf 5 mm. 
Traversen sehr zahlreich. Synaptikelverbindung besteht zwischen den inneren 
Enden der kurzen und den Seitenflächen der längeren Septen. 


Diplaraea. 959 


Allgemeine Bemerkungen: Kosy hat an die Möglichkeit gedacht, 
in diesen so kleinen Individuen Exemplare einer später grösser wachsenden 
Art vor sich zu haben. Da er aber keine Zwischenstufe fand, und die ver- 
schiedenen Exemplare eine gleichmässige Entwickelung zeigten, errichtete er 
dafür eine besondere Art. Meine Exemplare rechtfertigen diesen Schluss. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 3. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Soyhieres, Caquerelle, St. Ursanne. 


Diplaraea laxata Er. sp. 


1862. Thecosmilia lawata Er. Leth. Bruntr. p. 384, pl. 54, Fig. 9. 

1889. Dermosmilia lawata Kosy. Polyp. jur. p. 195, pl. 51, Fig. 1—5. 

Korallenstock in hohen, wenig verzweigten, etwas breitgedrückten Aesten 
wachsend.. An den Aesten finden sich leichte Anschwellungen und Ein- 
schnürungen; Durchmesser eines Astes 11X16 mm. Septen 80—110 an der 
Zahl. 20—24 davon sind stark entwickelt und reichen bis nahe an das 
Centrum, wo ihre frei werdenden inneren Trabekeln ein grosses falsches 
Säulchen bilden. Auch in dem übrigen Theil der Septen sind unausgefüllte 
Intertrabekularräume sehr häufig. Synaptikel nur an der Peripherie häufig, 
Traversen dagegen zahlreich, fein und blasig entwickelt. Die Costen sind 
gleich dick und stark granulirt. Oft finden sich darauf noch die Ueberreste 
einer gerunzelten Epithek. Da Kosry einige vortreffliche Abbildungen von 
dieser Art gegeben hat, liess ich die Stramberger Exemplare nicht abbilden. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 4. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres, St. Ursanne. 


Diplaraea suberassa Kopy sp. — Taf. XI, Fig. 18, 18a. 
1889. Dermosmilia suberassa Kosy. Pol. Jur. p. 475, pl. 124, Fig. 5. 


Korallenstock in kurzen dicken Aesten wachsend. Kelche in gleicher 
Höhe bleibend, kreisförmig, elliptisch oder gelappt. Durchmesser des Astes 
sehr verschieden, von 12 bis 20 mm. Septen in mehreren Cyclen angeordnet, 
ungefähr 24—30 erreichen das Centrum; dazwischen erscheinen kürzere und 
dünnere, aber immer gut entwickelte. Nahe der Peripherie eines Astes 
schiebt sich noch eine Anzahl von sehr kurzen Septen ein, so dass im Ganzen 
die Zahl S0—100 erreicht wird. Die Costen sind stark, gleich dick, 10 
kommen auf die Breite von 5 mm, Von einer Epithek war auf den unter- 
suchten Exemplaren nicht mehr viel zu sehen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, St. Ursanne. 

17* 


960 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Diplaraea aff. rugosa Kogy sp. — Taf. XI, Fig. 16. 
1889. Dermosmilia rugosa Kosy. Polyp. juras. p. 201, pl. 52. 


Korallenstock wenig verzweigt, mit geraden oder gekrümmten Aesten. 
Kelche rund oder elliptisch, Durchmesser 11—15 mm. Septen wenig zahl- 
reich, dünner gegen das Centrum, in das die ersten drei Cyelen hereinreichen. 
Der vierte Cycelus ist etwas kürzer und dünner. Epithek dick, gerunzelt, oft 
mit kragenförmigen Verdickungen. 

Allgemeine Bemerkungen: Die zwei mir vorliegenden Exemplare 
sind wahrscheinlich identisch mit Kosy's Art. Dermosmilia rugosa. Doch 
zögerte ich, sie damit zu vereinigen, weil daran eine kleine Anzahl zu einem 
fünften Cyclus gehöriger Septen sichtbar war. Im Zusammenhang mit diesem 
Merkmal kommen an meinen Exemplaren 14 oder 15 Costen auf 10 mm, 
während Kogy nur 12 angibt. Nur ein kleiner Theil eines Stocks ist auf 
Fig. 16 abgebildet, um die Verästelung zu zeigen. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 5. 


Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres. 


Diplaraea nobilis Ocınvır. — Taf. XI, Fig. 19, 19a, 19». 


Korallenstock mit langen Aesten, die sich oft theilen. Verzweigungen 
finden ungefähr im Abstand von S—10 mm statt. Kelche unregelmässig 
elliptisch in der Form. 25x15 mm im Durchmesser, mit tiefer Grube und 
etwas hervorragenden Septen. Septen ca. 140 an der Zahl, von welchen 26 
bis 30 in das Centrum hineinreichend dicker und besser entwickelt sind wie 
die übrigen. Cyelische Anordnung ist kaum zu erkennen. Doch zeigt sich 
am Rand regelmässiges Alterniren der Septen. Costen etwas alternirend in 
Grösse, S kommen auf 5 mm. Säulchen schwammig, nimmt verhältnissmässig 
wenig Kelchraum ein. Die Traversen sind fein, sehr zahlreich, im Innern 
des Kelches horizontal, ansteigend und gröber nach aussen. Eine dünne 
Epithek reicht bis zum Kelchrand. 


Allgemeine Bemerkungen: Die einzige bis jetzt beschriebene Der- 
mosmilia-Art, die D. nobilis nahe steht, ist D. crassa Mıc#. sp., von der Kogy 
eine Anzahl guter Abbildungen gegeben hat (Kogy, Polyp. jur. p. 194, pl. 50, 
Fig. 1—6). Der Habitus ist ganz der gleiche bei beiden, doch hat D. crassa 
eine geringere Septenzahl und feinere Rippen. Der Erhaltungszustand meiner 
Exemplare war ein sehr günstiger und zeigte die feinere Struktur der Septen 
sehr deutlich. Der Oberrand der Septen ist unregelmässig, immer fein ge- 
zackt. Bei Verwitterung werden die Zacken deutlicher und entsprechen den 
Granulationen auf den Seitenflächen. Ein Vergleich von Längen- und Quer- 


Haplaraea. 261 


schnitten zeigt, dass die Trabekeln aus einzelnen Dornen bestehen, die nur 
stellenweise horizontal oder vertical mit einander verwachsen. Diese Be- 
schaffenheit der Septen ist dieselbe, wie Frzc# sie öfter abgebildet hat für 
Arten, die zu den triasischen Gattungen Stylophyllum und Stylophyllopsis 
gehören und wie ich bei der jurassischen Gattung Epistreptophyllum be- 
schrieben habe (vergl. oben pp. 251, 254). 

Zahl der untersuchten Exemplare: 2. 

Fundort: Koniakau. 


Gen. Haplaraea MILASCHEWITZ, 


1876. Haplaraea Miraschewirz. Natth. Korallen, Palaeontogr. Bd. XXI, p. 228, 

1876—80. „ Zırter. Handb. der Palaeontol. p. 242. 

1882, Haplaraea Prarz. Verwandtschaftl. Beziehungen einiger Korall.-Gattungen, 
Palaeontographica Bd. 29, p. 102. 

1884. Leptophyllia p. p. Duxcan. Madreporaria, p. 166. 

1890. Stylophyllopsis p.p. FrecH. Triaskorallen, Palaeontographica Bd. 37, p. 48. 


Koralle einfach, eylindrisch. Septen zahlreich, sehr löcherig, unregel- 
mässig gekrümmt und häufig seitlich verschmelzend. Septen oft in kurze, 
dicke Trabekelglieder aufgelöst und zusammen mit den Synaptikeln ein un- 
regelmässig löcheriges Gewebe bildend. Pseudosynaptikeln nicht zahlreich. 
Traversen zahlreich und blasig. Säulchen nicht zu unterscheiden. Keine 
ächte Wand vorhanden, nur eine pseudothekale Verdickung der septalen und 
interseptalen Skelettheile nahe dem Aussenrand. Epithek dünn, runzelig, bis 
zum Kelchrand reichend. 


Haplaraea columnaris OcıLvıe. — Taf. XI, Fig. 15, 15a. 


Koralle cylindrisch, auf breiter Basis, mit häufigen Einschnürungen. 
Kelchdurchmesser 20 mm. Höhe bis zu 60 mm bei den untersuchten Exem- 
plaren. Septen sehr fein und zahlreich, mit unregelmässig gekrümmtem Ver- 
lauf. In dem ganz kreisrunden Kelch sind die Septen excentrisch angeordnet 
und deuten damit eine Neigung zur Bilateralität an. 12—16 Septen sind 
dicker und länger wie die anderen und reichen frei bis ins Centrum hinein. 
Die übrigen Septen sind schwächer; sie bleiben sich in der Dicke ziemlich 
gleich und wechseln in der Länge, ohne bestimmte ceyclische Anordnung auf- 
zuweisen. Im Ganzen zählt man 90—100 Septen, die dann am Rand als 
breite, gleich dicke Costen erscheinen. Auf 5 mm kommen 7 oder 8 Costen. 
Poren sind in den Septen häufig, gross und in unregelmässigen Abständen. 
Auf den Septalflächen finden sich grosse Granulationen. Die durch ächte 
Synaptikel anastomosirende Septen bilden Gruppen, analog den der Eupsammi- 


262 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


y 


den, wenn auch nicht so regelmässig. Traversen sind zahlreich, von sehr 
wechselnder Grösse. Epithek gerunzelt, gut ausgebildet. 

Allgemeine Bemerkungen: Die einzige bis jetzt bekannte jurassische 
Art ist Haplaraea elegans MivascH. (Natth. Kor. p. 229). Sie ist im Habitus 
H. columnaris sehr ähnlich, hat aber eine mehr breitgedrückte Form, während 
H. columnaris durch ihre säulenartige Gestalt mit dem runden Kelch besonders 
auffällt. Weiter zeigen die Septen bei H. elegans keine excentrische Lage 
und nur 6 davon reichen als freie grosse Septen bis zum Centrum. Wie bei 
Epistreptophylium trifft man bei H. columnaris auf den Seitenoberflächen hie und 
da kleine Knollen. Einige davon konnte ich als Knospen nachweisen. Schon 
MinAscHEwITZ hat bei seiner Art aufmerksam gemacht, dass die Einschnürungen 
in Folge eines Verjüngungsprocesses entstanden seien, eine Annahme, die 
meine Exemplare klar bestätigten. 

Durch die excentrische Stellung der Septen bekommt H. colummaris ein 
alterthümliches Aussehen, das die Erinnerung an die triasischen Gattungen 
Stylophyllum und Stylophyllopsis lebendig macht. Diese beiden Gattungen 
enthalten Arten, in welchen Exemplare mit centrischen und excentrischen 
Septenstellungen vorkommen. Als Beispiel erwähne ich Stylophyllopsis polyactis 
Frech (Korallenfauna der Trias, Palaeontogr. Bd. 37, p. 48, Taf. XV, Fig. 17 
bis 23). Figur 22 zeigt eine Koralle mit Kelch, die im Habitus H. elegans sehr 
ähnlich ist; Figur 23 dagegen erinnert mehr an H. columnare. Wie schon oben 
bei der Beschreibung der Gattung gesagt, stimmt der Septalbau in diesen 
triasischen Gattungen mit Haplaraea überein. Ich glaube Recht zu haben, 
wenn ich annehme, dass die Einzelkoralle Stylophyllopsis polyactis FRECH ein 
Vorfahre von diesen jurassischen Haplaraea-Arten ist. Meiner Ansicht nach 
gehört diese triasische Art sogar zur Gattung Haplaraea MiuascH. 

Zahl der untersuchten Exemplare: 7. 

Fundorte: Stramberg, Koniakau, Kotzobenz. 


Schlussbemerkungen. 


Die Stramberger Korallenfauna ist, wie aus dieser Monographie hervor- 
geht, eine sehr reiche. Sie umfasst 41 Gattungen mit 128 Arten. Von diesen 
sind 4 Gattungen und 43 Arten — also fast ein Drittel der Arten — neu. 
Ein Theil derselben mag allerdings bei genauerem Studium auch in anderen 
oberjurassischen Korallenfaunen wiedergefunden werden. Es sei gleich hier 
darauf hingewiesen, dass ein Vergleich mit anderen, namentlich oberjurassischen 
Lokalitäten wohl schwerlich ein richtiges Bild gibt, da die Korallen hier 
zum Theil nicht so häufig sind und da sie noch eingehend monographisch 
bearbeitet werden müssten. Bis vor nicht sehr langer Zeit wären von grösseren 


Schlussbemerkungen. 265 


Arbeiten, die gewisse jurassische Korallenfaunen behandelten, eigentlich nur 
jene von FROMENTEL und Eratton, von (QUENSTEDT, BECKER und MILASCHE- 
wırz in Betracht gekommen. Seitdem Kosy das überaus reiche Material aus 
dem Schweizer Jura bearbeitet hat, wurden eine Masse neuer Vergleichspunkte 
gegeben. Das muss man sich sehr vor Augen halten, wenn man sieht, dass 
die Stramberger Fauna scheinbar mehr Anklänge zeigt zu Korallen aus relativ 
tieferen Schichten des oberen Jura’s, nämlich zu solchen Horizonten, die in 
der Schweiz besonders reich entwickelt sind und von Kosy eingehend ge- 
schrieben worden. 

Betrachten wir nun die Stramberger Korallenfauna zunächst allein für 
sich. Die 41 Gattungen vertheilen sich auf 9 Familien, von denen jedoch 
eigentlich nur 4 der Fauna ihr charakteristisches Gepräge verleihen. Es sind 
dies die Amphiastraeidae, Stylinidae, Astraeidae und Fungidae, während die 
andern, nämlich die Turbinoliden, Oculiniden, Pocilloporiden, Madreporiden 
und Eupsammiden ganz zurücktreten. Diese letzteren sind lauter Familien, 
die erst in jüngeren Perioden ihre Hauptblüthe erlangen. 

Im Ganzen hatte ich ungefähr 600 wohlerhaltene Exemplare zur Unter- 
suchung. Etwa 23°, aller Stücke gehörten zu den Amphiastraeiden und 
ebensoviel Procent zu den Astraeiden, 20°, zu den Fungiden und 13°), zu 
den Styliniden. Je 6"/, der Exemplare vertheilten sich auf die Turbinoliden 
und auf die Pocilloporiden, 5°/, auf die Eupsammiden, nur 1,5°/, auf die 
Madreporiden und gar nur 1°), auf die Oculiniden. Nahezu das gleiche Bild 
erhält man, wenn man die Zahl der verschiedenen Arten in Procenten aus- 
drückt, wie dies die folgende Tabelle zeigt. 

Es enthalten die 

Amphiastraeidae . 11 Gattungen mit 21 Arten, d.ı. 16,4 der Arten. 


Turbinoidaee . . 2 n N IE; 9. Dan, m » 
Oculinidae . . 2 = N OU E: u  PÄRIENENE 5 
Pocilloporide . 2 u We oe onlnae 5 
Madreporide . 1 5 a en a ee 2 
Stylinidae . . 6 b > 0, » 20835 2» 
Astraeidae . . R 4 „ » 26 » » 20,3 bi) D) ” 
Fungidae a 0) » „ 30 » » 23,4 D) » ” 
Eupsammidae. . 3 e 3, DER UI EER » 
Summa Be & 41 » „ 128 „ „ 99,7 ” ” ” 


Die 4 neuen Gattungen gehören sämmtlich in die neu errichtete Familie 
der Amphiastraeiden. Durch die Aufstellung dieser Familie wurden auch 
manche Aenderungen in der Begrenzung anderer Familien, besonders der 
Astraeiden herbeigeführt. Es wurde bereits oben auseinander gesetzt, warum 
ich auch gewisse Formen, wie Rhipidogyra, Dendrogyra ete., bei denen die 
Bilateralität des Septalbaues verwischt ist, von den Astraeiden entfernt und 


364 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


zu den Amphiastraeiden gestellt habe. Die Familie der Astraeiden hat von 
mir auch insofern eine wesentliche Verringerung der Arten erhalten, als die 
Styliniden von ihnen abgetrennt und als selbständige Familie behandelt wurden. 
Ich habe auch die Unterfamilie Kusmilinae aufgehoben, und die Mehrzahl der 
bis jetzt dahin gehörigen Gattungen zu der Familie der Turbinoliden gestellt. 

Von diesen Familien haben, wie bereits erwähnt, die Amphiastraeiden 
und die Styliniden noch die meisten Beziehungen zu palaeozoischen Korallen, 
nämlich zu den Zaphrentiden resp. den Cyathophylliden. Beide Familien be- 
einnen schon in palaeozoischer Zeit, sind aber erst im Jura stark vertreten 
und erreichen hier auch ihre Hauptblüthezeit, während die eine in der Jetzt- 
zeit nur noch wenige Vertreter zählt und die andere bereits erloschen ist, 
wenn man nicht Galaxea zu dieser Familie rechnet. Dass solche Formen, 
welche ich zur Gruppe der Amphiastraeiden zähle, bisher aus manchen Jura- 
ablagerungen, wie z. B. aus dem schwäbischen nicht so bekannt sind, hat 
seinen Grund jedenfalls nur darin, dass sie früher nicht die nöthige Beachtung 
gefunden haben und dass sie öfters als Abweichungen oder Missbildungen 
aufgefasst wurden. Wie häufig aber derartige Formen auch in anderen 
jurassischen Ablagerungen sind, das zeigt die Kopr'sche Monographie, in der 
eine sehr grosse Anzahl derartiger Formen beschrieben wurde, wenn diese 
Formen auch nicht als zusammengehörige Gruppe behandelt wurde. 

Viel weniger enge Beziehungen zu den Cyathophylliden und überhaupt 
zu den palaeozoischen Korallen haben die Astraeiden und die Fungiden, also 
Formen, die in Trias und Jura schon eine grosse Verbreitung besitzen, aber 
in der Kreide in jüngeren Ablagerungen, was die Zahl der Gattungen anbe- 
langt, eine grosse Mannigfaltigkeit erreichen. 

Die Turbinoliden, denen ich die Cyathoxoniden zurechne, haben im Laufe 
der Zeiten am wenigsten Veränderungen erlitten. Sie beginnen zwar schon 
in palaeozoischen Zeiten, wenn auch nur spärlich vertreten und setzen ebenso 
durch Trias und Jura, um erst in der Kreide sich zu stärkerer Entwickelung 
zu entfalten. Wie bekannt, umfasst diese Familie auch heute noch die wich- 
tigsten Vertreter der Einzelkorallen der Tiefsee. 

Die Eupsammiden, wie ich sie jetzt umfasse, reichen auch von der palaeo- 
zoischen bis zur Jetztzeit. Sie zeigen in der Triasperiode noch ziemlich grosse 
Schwankungen in den Merkmalen, und starke Beeinflussung durch äussere 
Umstände. Erst von der Jurazeit an sind die Merkmale constanter und be- 
stimmter ausgeprägt und die Familie wird dadurch mehr und mehr scharf 
begrenzt. In der Zahl der Gattungen zeigt die Familie erst von der Kreide- 
zeit an eine grössere Mannigfaltigkeit. 

Es hat sich bestätigt, dass die Oculiniden, wie schon durch die Unter- 
suchungen anderer jurassischer Korallenfaunen bekannt war, in der Jurazeit 
ihre spärlichen Anfänge haben. 


Schlussbemerkungen. 265 


. 


Zu den Pocilloporiden rechne ich, wie oben erwähnt, auch die Gattungen 
Astrocoenia und Stephanocoenia. In Folge dessen kann man die Stammes- 
Geschichte dieser Familie jedenfalls bis zur Trias zurück verfolgen, wobei 
zugleich die Beziehungen derselben zu den Oculiniden und Styliniden zum 
Ausdruck gelangen. 


Zu den Madreporiden rechne ich, wie dies schon MıLne EpwArps und 
Haımz gethan haben, wieder die Turbinarinae. Dann würden nach der bis- 
herigen Auffassung die Madreporiden von der Kreide bis zur Jetztzeit reichen. 
Meiner Ansicht nach ist aber auch Thamnaraea, eine typische, jurassische 
Gattung, zu den Turbinarinae zu stellen. Ob die Turbinarinen nun mit den 
Spongiomorphiden in phylogenetischem Zusammenhang stehen, ist eine Frage 
für sich, die sich bis jetzt meiner Ansicht nach noch nicht entscheiden lässt. 


Aus dem bisher Erwähnten geht hervor, dass die Familien, welche der 
Stramberger Fauna ihr charakteristisches Gepräge verleihen, sich bis in die 
palaeozoischen Zeiten zurück verfolgen lassen, dass sie aber im mesozoischen 
oder im kainozoischen Zeitalter ihre Hauptblüthe erlangen. Solche Familien 
dagegen, die erst in Tertiär und Jetztzeit eine bedeutende Rolle spielen, sind 
in den Stramberger Schichten noch spärlich vertreten. Somit erweist sich 
also die Stramberger Fauna als eine typisch mesozoische. 


In der nachstehenden Liste ist das Vorkommen der Stramberger Korallen 
in anderen oberjurassischen Schichten und an den verschiedenen Fundorten 
eingetragen. Wie bereits erwähnt, sind 43 der Stramberger Arten neu, oder 
bis jetzt wenigstens nicht an anderen Fundorten nachgewiesen. Vier Arten 
kommen ausser in Stramberg nur noch am Mt. Cavallo oder Mt. Pastello vor, 
deren Korallenfauna p’Acaıarpı beschrieb und zum Tithon-Alter rechnete. 
Sechs Arten sind ausser in Stramberg auch im Portlandien, in Frankreich 
und der Schweiz bekannt; drei Arten kommen ausser in Stramberg im Port- 
landien und im Kimmeridgien zugleich vor; während nur sechs der Stram- 
berger Arten sich durch’s Portlandien und Kimmeridgien bis in Sequanien 
zurückverfolgen lassen. Von den Stramberger Arten sind 27 auch noch aus dem 
Kimmeridgien und zwar aus den reichen und wohl beschriebenen Lokalitäten 
des französischen, schweizerischen und schwäbischen Jura bekannt. Weitere 
10 Arten kommen ausser in Kimmeridgien auch noch im Sequanien der 
Schweiz und Frankreich vor, und eine verhältnissmässig grosse Anzahl, nämlich 
29 Arten, die bisher nur aus dem Sequanien bekannt waren, konnte ich auch 
in den Stramberger Schichten nachweisen. 


Keine einzige der Stramberger Korallen stimmt mit einer bis jetzt be- 
kannten Neocom-Art überein. Einzelne wenige Gattungen, die aber in den 
Stramberger Schichten reichlich vorkommen, erinnern allerdings im Habitus 
ihrer Arten mehr an Neocom- als an Jura-Formen. 


266 Die Korallen der Stramberger Schichten, 


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B 


T 
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Portlandien | 


| 
| 


Kimmeridgien | Sequanien 


Stramberg, Koniakau, 


Kotzobenz, Wischlitz. 


Mte. Cavallo, 
Mte. Pastello etc. 


Mantoche, 
Gray-la-Ville, 
Wimmis, 
Mont Salöve. 


Nattheim, Beiningen, 


Sirchingen etc. 
Valfın, 'Oyonnax, 
\ Porrentruy, St.Claude, 


ı Waldeck, (Virgulien et 


Pterocerien) 


| 
| 
| 
| 


Bressaucourt, Vieil 


le 


Route,Hochwald,Locle, 


St. Croix, St. Mihiel, 
‚Soyhieres, Caquerelle, 


, Champlitte, (Astartien 


et Rauracien). 


Fam. Amphiastraeidae Ocınvır. 


1. Opisthophyllum Zitteli OcıLvıE . 
4 vesiculare OGILVIE . 
minimum OGILVIE , 


II 


3. 8 
4, Amphiastraea gracilis Kopy . 

5. 5 cylindrica OcıLvıE . 
6. Aulastraea Schäfer: OcıLvir* . 
7 
8 


5 ” conferta OGILvıE 


. Selerosmilia Strambergensis OGILvIE | 


9. Pseudothecosmilia Etalloni Kosy 
10. Stylosmilia excelsa Kosy sp. 

11. n rugosa BECKER Sp. . 
12. ” Koniakensis OsILvIE 
13. Selenegyra Geikia OGıLvıE 

14. Aplosmilia rugosa Kosy . . 

15. Dendrogyra sinuosa OGILvıE 

16. Khipidogyra flabellum Mıca. sp. 
7% = percrassa Praıı. . 
18. 5 minima Kopy . 

19. Acanthogyra columnaris OGILVvIE 
20. n multiformis OGILVIE . 
21. 4 subcompressa ÜOGILVIE 


Fam. Turbinolidae E. H. em. Ocınvıe. 


22. Pleurosmilia cylindrica From. . . 

23. = Marcou EraLL, 

crassa MitAsch. 

aff. infundibuliformis 
Mıtasch. . . 

26. Epismilia obesa Kosx 

27. = reptilis MıtAscH. 

28. " cuneata MiLascH. 


Fam. Oculinidae Epw. u. H. 


29. Dendrohelia coalescens GOLDF. Sp. . 
30. Goniocora Haimei From. . 
31, = dubia Kopy . 


Beam ıl : 
ee 


+ 
a 


+ 
+ 


+++ +14 


* Zwei Kreuze bedeuten, dass diese Arten in grosser Zahl vorkommen. 


le 


il 


I 


Schlussbemerkungen. 267 


a ————————————— nennen 


Tithon Portlandien | Kimmeridgien | Sequanien 
BE 5 = os. 
2 | So Da a3 |822.|S43887 
es |: | s=,5 |E® ESBersasıe 
SE | se | Sue a8 Sa 
Sn on 28382 190 |0 .-5 [53-4 >53 
na |78 | Rres |dE | HER |SSHE$ 5 
s2|s#| S8F85 |s8 (di: 5553 
Ias | a8 5 aA |3A S383Hl2SöRF5 
Inzseen= s” ıPEs |E3.28 
BE A | SE Pa#3ö 
Fam. Pocilloporidae VERILL. | 
32. Astrocoenia crasso-ramosa MıcH.sp. | + —_ = — + — 
38. " Bernensis Kosy . ++ + = —, -L + 
34, n Delemontana Kopy . + — — — en pr 
35. Stephanocoenia favulus Taurm. sp. E= — — — + + 
Fam. Madreporidae Dana. 
36. Thamnaraea arborescens Era. . + — — o Ba + 
al. " pulchella OGILvıE + _ — en gb: = 
Fam. Stylinidae Krz. 
38. Diplocoenia clathrata ErALL. sp. + = — = Bin eu 
39. = spissa BECKER Sp. . . || + + — + — — 
40. Diplocoenia Inwaldensis OsıLvıE | + — p= — B— — 
41. „ multiseptata ‚OsıuvıE -+ — = Er — — 
42. Heliocoenia dendroidea Er. . . . + — — > + —_ 
43. ” Humberti Er... . . r — _ seh Au a 
44, Stylina granulosa From. + — | + a Bus 2 
As arborea D’AcH. | + + | = = — ze 
46. „ Kotzobensis OcıLvıE . | + | _ — = — 
47.  „ foliosa OsıLvıE + — _ en — er 
48. „ sulcata From. + zn + = Bu or 
49. „ tuberosa OGILvE . + — — en > 
DOmE:, anthemoides MENEGH, sp. . | + + _ = er — 
Ole, Waldeckensis Er. . + == _ — AL e$ 
52. „  parvipora OGILVvIE + — — a — — 
53.  „ milleporacea O6ILVIE | + _ — = — == 
54. 5) tubulifera Paıuipres sp... . | + —_ — — + + 
55.  Ödrevicosta OGILVIE + B= = pe — zo 
56. Cyathophora Claudiensis Er. | ++ — — + + + 
57. ® Bourgueti Derr. sp... ++ | — = || ZU ar 
58. “ globosa OGILVIE . . | + — — = — — 
59. “ tithonica OcuvıE . .) + — = I = a — 
60. Cryptocoenia compressa Kosy . . | — — | an = 
61. N Thiessingi Kosx IF =E — — ze u er 
62. Convexastraea minima Er. sp. . . | + _ —_ _ —_— | + 
63, 5 sexradiata GoLDFr. sp. | + _ + + 


268 


Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Tithon | Portlandien | Kimmeridgien | Sequanien 

SS ; I gs 28 4&5 
33 en Era: | &05 EEE N EREEERN 
82 |3o| sa,z |3® 308883553 
SE | 58 | 85ie |33 Sara eis 
.s|o% | se5a |Ma|l0 -53|3532 7 SE 
SS |. | Bye | 5 | Ss |lssy4u$E8 
a2 [80 | a5#3 |33 |E832 a8 5er 
as |A5| = A |en 229 |sscede 

Faın. Astraeidae E. H. em. OcıLvıE. | | 

64. Isastraea undans Er. sp. . . . EEE _ | — — + = 

65. 4 variabilis Er. sp. „||| il —.ı = Ir —= | = 

66. 5 Thurmanni ET. Sp. + = ae | re se SL 

67. „ Goldfussi Kosy sp. | + — - — + — 

68. 5 Gourdani From. . \ + >= + = a e_ 

69. H minima Kosx sp. I + —a _ | — _ + 

70. 5 cylindrica OGILVvIE . | + —| — | — 1 er 

71. Montlivaltia obconica MsTr. sp. || + | + | | = 

72. R crassisepta From. . . | + Zr] an IE u BE 

73. e nidiformis MitascHh. . | + — | — — et a 

74. a5 Renevieri Kory . | — per — ee 

75. E\ Cavali D’Acn. | et | = I, .— — A 

76. s alata OGILvIE || | an | en u u 

77. Thecosmilia Koniakensis Ocıve . ++| — — I = Il ? 

78. 5; longimana Quesst. sp. | ++ | — — + AL | L 

19: n virgulina Er. sp. + — — — u en 

80. = flabella Bramv. Sp. + — — — ec 2 

8. n irregularis Er. . + — = — + En 

82. & Volzi Ocuve ...| + — == — a ie 

8. n trichotoma GotDr. Sp. | + — - | + | = 

84. 5 Langi Kos . . . + _ — — —. | ein 

85. 5 suevica QAUENST. SP. ++|I — | — — | 4 

86. n Moraviensis O6GILVIE + _ — — — | = 

87. 4 truncata OGILVIE + — — — el == 

88. Rhabdophyllia disputabilis BoRr. sp. | ++| — en + on | zu 

89, 5 cervina ET. . + ee e= = um | ui 

Fam. Fungidae Dana em. OGILvIE. 

Subf. Thamnastraeinae Reuss em. PrArz. | 

90. Leptophyllia cyclolites Quesst. sp. | + —_ = Il Sr = — 

91. rn Thurmanni Kopy . + _ — I — | + 

92. Thamnastraea confluens QuEnsT. ++ — _ + — | — 

93. = oculata Kor. . un — | _ == _ | + 

94. 5 gibbosa BECKER . + = — AB ei ur 

95. a aspera OsuveE . . | + — _ | = = — 

9. n aff. Lomontiana Er. | + — u _ == + 


Schlussbemerkungen. 969 
Tithon Portlandien | Kimmeridgien | Sequanien 
as | |, 8 | $® 25452 
ls3|st| s s |88 [323 .848555 
i8 | So| «3,5 |3°® |a9gT 35538 
SE e= | SER |22 |sSerless 3<8 
—|&%| Sa5a |Aa SEES 2599 55 
BE | sa | E88 |55 |sinE 3848882 
a2 85|5|28 Slate 
En Een 8 23 Ss ee 50 
3° Ai S Pe es 
38 Zu 
97. DimorphastraeaheteromorphaQuv.sp. | + _ _ + = 
98. n conica KosBy + — er Pr Ye: r 
99. nn dubia From. + zer = ae I IN 
100. " vasiformis KoBy + — — = > AL 
101. Microsolena tuberosa MıcH. Sp. + — — —- + iR 
102. ö agariciformis Er. + — — — ai er 
103. n ef. Bouri From. + _ 25 _ — am 
104. > exigua KoBY ++ — — — ie a. 
105. en stellata OGILVIE + _ = = >. Ar 
106. Polyphylloseris corticata Oauwve. ++ — _ — a = 
107. 5 tenuiseptata OcıLvıE | + — _ — a Im 
108. ” fascieularis OsııvE | + — —_ —_ er u 
109. n ramosa OGILVIE + = = _ zZ er 
110. Dimorpharaea Koechlini Hımzsp. ++ | — _ _ =- Su 
111. Maeandraraea tuberosa Er. . . + — _ — + = 
112: 5 laminata OcıwıE. | + _ _ — . ar 
Subfam. Funginae E. H. 
113. ThamnoserisMontispastelliv’Aca.sp. | + Ar — _ = - 
114. ” Amedei Er. sp. En _ 5 Pe ar al 
115. a Perroni From. . + —_ + — = == 
116. h StrambergensisOGILvıE | + = _ _ wis — 
Subfam. Lophoserinae E. H. 
117. Protoseris robusta BECKER . + —_ e— nn — u 
118, e recurvata OGILVIE . — _ — — ae su 
119. Comoseris brevivallis OGILVIE . + —_ — —_ — = 
Fam.EupsammidaeE.H.em.OGILviE. 
120. Epistreptophyllum commune MıL. .| + _ _ + — En 
121. H conicum Ocıuve | + | — = = a 2x 
122, ” MontisFron.sp. | + — _ - — + 
123. Diplaraea simplex Kopy sp. + _ — — Pi in 
124. n laxata Er. sp. + — _ _ — pr 
125. = suberassa Kopy Sp. + _ — _ en u 
126. en rugosa KoBY Sp, + _ — —_ Er L 
127. „ nobilis OGILVIE . E= —. = — ar en 
128. Haplaraea columnaris OGILvir + —_ — — — er 


370 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Dass man sonst so wenig Vergleichspunkte mit Formen aus dem Neocom 
hat, hängt von zwei Gründen ab; einmal ist die Korallenfauna im Neocom 
überhaupt sehr spärlich und dann bedarf sie noch erneuerter und eingehender 
Bearbeitung. Da man somit hinsichtlich des Vergleichsmateriales fast aus- 
schliesslich auf obere Juraschichten angewiesen ist, erscheint es, als ob die 
Stramberger Fauna mit dem Nevcom so gut wie gar keine Beziehungen hätte. 
Dass dem nicht so ist, ging aber aus dem Studium der Stramberger Mollusken 
hervor. Da die Stramberger Korallenfauna mit solchen aus hohen Etagen 
des ausseralpinen Malm’s die meisten Beziehungen aufweist, so dürfte man 
diese Formen am ehesten vielleicht als gleichaltrig mit dem Portlandien be- 
zeichnen. Wie schon hervorgehoben, eignen sich übrigens die Korallen aus 
Grenzschichten zwischen Jura und Kreide, eben wegen der so ungleichen Ver- 
theilung des Vergleichsmateriales, nicht sonderlich zu einer genauen Bestimmung 
des geologischen Horizontes. 


Tafel-Erklärung. 


Tafel VI. 


Mikroskopische Bilder recenter Korallentypen (mit Ausnahme 
der Fig. 14 und 15 — Montlivaltia). 


Fig. 1—4. Galaxea. 


Fig. 1. Querschnitt durch Mauer und einige Septen, die Caleificationscentren 
(Trabekel- Axen) und die davon radiär ausstrahlenden Krystallfasern zeigend. — 
Fig. 2. Radiärer Längsschliff durch ein Septum und Theile der Columella, welcher 
die Divergenz der Trabekeln nach rechts und links von der Divergenzlinie zeigt. 
Eine Wachsthumscurve ist dargestellt, welche die Trabekeln senkrecht zu ihrer Längs- 
richtung kreuzt. — Fig. 3. Tangentialer Längsschliff (etwas schief gehend) durch 
ein Septum (S) und Mauer (M). Bei 7 sind einige Traversen, welche das extra- 
calycinale Gewebe (Coenenchym) bilden, getroffen. — Fig. 4. Längsschliff parallel 
und durch die Oberfläche der Mauer, zugleich zwei Septen quer schneidend. 


Fig. 5—9. Fungia. 


Fig. 5. Tangentialer Längsschliff durch drei nebeneinander befindliche Septen, 
der zugleich mehrere der dazwischen liegenden Synaptikel trifft. $S= Septum, Syn 
— Synaptikel. — Durch ein Versehen des Zeichners ist diese Abbildung nicht zweck- 
mässig gestellt. Man hat sich dieselbe um 900 gedreht zu denken, so dass die nun- 
mehrige linke Seite nach oben kommt. — Fig. 6 und 7 dienen zum Verständniss der 
Richtung der Schnitte bei Fig. 8 und 9. Die Schliffebenen sind hier nicht parallel 
mit einer Septalfläche, sondern verlaufen aus einem Septum in das benachbarte, die 
dazwischen liegenden Synaptikel schneidend. Fig. 6. x Theile eines Septums, y 
Theile des benachbarten, dazwischen die Synaptikel. — Fig. 8. Parthie & der Fig. 6 
stark vergrössert. Divergenz der Trabekeln. — Fig. 9. Theile von % der Fig. 6 
stark vergrössert. Schnittebene hier sehr nahe der Septaloberfläche, wodurch die 
hier senkrecht zur Septaloberfläche umgebogenen Enden der Fasciceln (Caleifications- 
Centren mit radiär ausstrahlenden Krystallfasern) getroffen werden. 


Fig. 10, 11. Heliastraea. 


Fig. 10. Querschliff durch ein einzelnes Septum (SS) und eine Coste (C). Die 
seitlichen Verdickungen entsprechen ihrer Lage nach der Mauer und vertreten sie 
(Pseudotheka). 7 — Traversen. — Fig. 11. Schnitt durch 3 nebeneinander stehende 
Kelche (schwächere Vergrösserung). Die Trabekeln sind in den costalen Endigungen 
nicht mehr fest verwachsen, 


272 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Fig. 12. Goniastraea. 


Querschnitt durch Theile benachbarter Kelche. Die Septen des einen Kelches 
gehen direct in die des nächsten über. Costen fehlen. 


Fig. 13. Turbinaria. 
Querschnitt durch mehrere Kelche. Im extracalycinalen Gewebe häufige 
Unterbrechungen, 
Fig. 14, 15. Montlivaltia. 
Fig. 14. Querschnitt durch einige Septen. Granulationen und Traversen. — 
Fig. 15. Radiärer Längsschliff. Divergenz der Trabekeln. 


Tafel VI. 


Mikroskopische Bilder recenter (Siderastraea, Madrepora, Porites) 
und fossiler (Zupsammia, Actinacis, Stylophyllum und Heptastylis) Korallen- 
typen. 

Fig. 1, 2. Eupsammia. 

Fig. 1. Querschnitt durch einige Septal-Gruppen. Vom columellaren Theil 
(©) zu der durch Vermittelung der Synaptikeln gebildeten Pseudotheka. Sekundäre 
Verdickungen an der Oberfläche der stärkeren Septen und auf den ächten Synaptikeln 
der Pseudothek, hervorgebracht durch Anlage neuer Caleitieationscentren. — Fig. 2. 
Radiärer Längsschliff durch ein Septum (parallel der Septaloberfläche). Schwammige 
Entwickelung der Columella, unregelmässige Poren in und zwischen den Trabekeln 
der Septa, Synaptikel in der Zone der Pseudothek. 


Fig. 3. Siderastraea. 


Querschnitt benachbarter Kelche. Sowohl „ächte“ als „falsche“ Synaptikeln 
zwischen den Septen. 
Fig. 4. Actinacis. 
Querschnitt durch benachbarte Kelche. Reichliche Entwickelung von Coenen- 
chym. Die Dichte der Septen und die Porosität von Mauer und Coenenchym hat 
in Taf. VII, Fig. 13 ein Analogon. 


Fig. 5. Stylophyllum. 

Querschnitt durch den Kelch von Stylophyllum, einer Triasform von sehr primi- 

tivem Septalbau. Die sogenannten „Septaldornen“ der Structur nach dasselbe, wie 
ein einzelnes Trabekelglied eines compacten Septums. 


Fig. 6, 7. Madrepora. 


Fig. 6. Längsschlift, verschiedene Kelche in verschiedenen Richtungen treffend. 
Trabekuläre Structur des Skeletes (cf. v. Kocu’s „Stylophora“). — Fig. 7. Quer- 
schnitt durch den stark verdickten Theil eines Astes. 


Tafel-Erklärung. DK 


Fig. 8. Porites. 


Längsschliff durch Septen und Synaptikel. Die Septen sind tangential getroffen. 


Fig. 9. Heptastylis. 


Längsschliff dureh die radiären und tangentialen Structuren einer typischen 
Form der triasischen Familie Spongiomorphidae Frech. 


Tafel IX. 


Fig. 1, 1a, 1b, 1c. Thamnastraea confluens Quznsrt. sp. p. 220. — Fig.l, 
von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. la, Querschnitt, von Ignatziberg, natürliche 
Grösse. Fig. 1b, Bruchstück, längs gebrochen, von Wischlitz, natürliche Grösse 
(Verlauf der Trabekel). Fig. 1c, von Ignatziberg, längs, aber etwas schief geschnitten, 
natürliche Grösse (Traversen). 

Fig. 2, 2a. Thamnastraea oculata Kosy p. 222. — Fig. 2, von Stramberg, 
natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche 4mal vergrössert. 

Fig. 3, 3a. Thamnastraea gibbosa BEckeEr p. 223. — Fig. 3, von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. 3a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 4, 4a,4b. Thamnastraea globosa OcınvıE p. 223. — Fig. 4, von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. 4a, einige Kelche, 5mal vergrössert. Fig. 4b, Quer- 
schlif(, Smal vergrössert. 

Fig. 5, 5a. Thamnastraea aspera Ocınvız p. 224. — Fig. 5, von Koniakau, 
natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 8mal vergrössert. 

Fig. 6, 6a. Dimorphastraea heteromorpha Quanst. sp. p. 226. — Fig. 6, 
von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 6a, einige Septen mit den Synaptikeln, quer, 
Smal vergrössert. 

Fig. 7, 7a, 7b. Dimorphastraea conica Kosy p. 127. — Fig. 7, von der 
Seite, natürliche Grösse, von Stramberg. Fig. 7a, von oben, 4mal vergrössert. 
Fig. 7b, einige Septen mit Synaptikeln, quer, Smal vergrössert. 

Fig. 8, Sa. Dimorphastraea dubia From. p. 227. — Fig. 8, von Strambersg, 
natürliche Grösse. Fig. Sa, einige Kelche, 3mal vergrössert. 

Fig. 9. Dimorphastraea vasiformis Kozy p. 228. — Fig. 9, einige Kelche, 
4mal vergrössert, von Stramberg. 

Fig. 10. Thamnoseris Montispastelli n’Acn. sp. p. 242. — Fig. 10, von 
Chlobowitz, natürliche Grösse. 

Originale zu Fig. 1a und lc im Museum für Naturkunde zu Berlin. Originale der 
übrigen Figuren im palaeontologischen Museum zu München. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 18 


974 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Tafel X. 


Fig. 1, 1a, 1b. Thamnoseris Amedei Er. sp. p. 242. — Fig. 1, von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. la, ein Stück Oberfläche, 2mal vergrössert. Fig. 1b, 
Querschliff, 6mal vergrössert. 

Fig. 2, 2a, 2b. Thamnoseris Perroni From. sp. p. 242. — Fig. 2, von 
Stramberg, Theil des Stockes, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche, 4 mal 
vergrössert. Fig. 2b, einige Kelche, Querschnitt, 3 mal vergrössert. (Septen und 
Synaptikel). 

Fig. 3, 3a. Thamnoseris Strambergensis OcınvıE p. 243. — Fig. 3, von 
Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 3a, einige Kelche, 4mal vergrössert. (Septen und 
Synaptikel). 

Fig. 4, 4a. Microsolena tuberosa Mıcn. sp. p. 231. — Fig. 4, von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. 4a, einige Kelche, Oberfläche 4mal vergrössert. Fig. 4b, 
einige Kelche, Querschnitt 6mal vergrössert. (Der Schnitt trifit die Trabekeln nicht 
alle in gleicher Höhe, wesshalb die Zwischenräume zwischen den Trabekeln ein und 
desselben Septums nicht gleich gross und nicht ganz regelmässig erscheinen). 

Fig. 5,5a,6,6a. Microsolena stellata Ocınvır p. 229. — Fig. 5, von Kotzo- 
benz, einige Kelche, Oberflächen. Fig. 5a, dieselbe, 3mal vergrössert. — Fig. 6, 
Querschliff durch zwei Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 6a, Längsschliff durch die 
Trabekeln der Septen, Smal vergrössert. 

Fig. 7, 7a, 7b. Microsolena agariciformis Erarı. p. 232. — Fig. 7, von 
Wischlitz. Ein Stück Oberfläche natürlicher Grösse. Fig. 7a, einige Kelche, Ober- 
fläche 6mal vergrössert. Fig. 7b, die Trabekeln von einer in dem Septum liegenden 
Divergenzlinie, nach innen und oben gegen das Kelchcentrum, nach aussen und oben 
in der sogenannten Costa aufsteigend. 

Fig. 8, Sa, Sb. Microsolena variata Ocınvız p. 230. — Fig. 8 von Wisch- 
litz. Ein Stück der Oberfläche, natürliche Grösse. Fig. Sa einige Kelche, Ober- 
fläche Smal vergrössert. Fig. Sb Längsbruch durch mehrere Septen, die Trabekeln 
und Synaptikeln zeigend, 8mal vergrössert. 

Fig, 9, 9a. C(omoseris brevivallis Ocınvır p. 248. — Fig, 9 von Stramberg, 
natürliche Grösse. Fig. 9a ein Theil der Oberfläche geschliffen, 5mal vergrössert. 

Fig. 10, 102. Polyphylloseris corticata Ocınvın p. 235. — Fig. 10 von 
Stramberg, einige Aeste, natürliche Grösse. Tig. 10a Dünnschlif! quer durch zwei 
Kelche, Smal vergrössert. Man sieht Septaltrabekeln und Synaptikeln, auch die eigen- 
thümlichen Windungen der Septen am Kelchrand. 

Fig. 11, 11a. Polyphylloseris tenuiseptata Ocınvın p. 234. — Fig. 11 von 
Stramberg. 2 Aeste, natürliche Grösse. Fig. lla einige Kelche, Oberfläche Amal 
vergrössert. 

Fig. 12, 12a, 12b. Polyphylloseris faseiceularis Ocınvır p. 235. — Fig. 12 
von Stramberg. Stockoberfläche natürliche Grösse, dicke, runzelige Epithek zeigend. 
Fig. 12a Querschnitt durch zwei Kelche. Fig. 12b Längsschnitt durch den Stock, 
Septaltrabekeln und Synaptikeln sind in tangentialer Richtung getroffen. 


Tafel-Erklärung. 275 


Fig. 13, 13a. Polyphylloseris ramosa OcınvıE p. 237. — Fig. 13 Spitze 
eines Astes, 2mal vergrössert. Fig. 13a einige Kelche, Oberfläche 4mal vergrössert. 
Fig. 14, 14a. Thamnaraeca pulchella Ocınvır p. 154. — Fig. 14 von Ignatzi- 
berg. Spitze eines Astes, natürliche Grösse. Fig. 14 einige Kelche, Oberfläche mal 
vergrössert. 
Originale im palaeontologischen Museum in München. 


Tafel XI. 


Fig. 1. Protoseris recurvata OcınvıE p. 245. — Von Stramberg. Schnitt- 
fläche quer durch einige Lappen 2mal vergrössert. 

Fig. 2, 2a. Protoseris robusta Becker p. 246. — Fig. 2 von Wischlitz, 
Unterseite eines Lappens, natürliche Grösse. Fig. 2a einige Kelche, Oberfläche 3mal 
vergrössert. E 

Fig. 3. Dimorpharaca Koechlini Ham sp. p. 238. — Von Stramberg. 
Einige Kelche in zwei nebeneinander stehenden Reihen, Oberfläche 2mal vergrössert. 

Fig. 4. Maeandraraea tuberosa Eıraur. p. 239. — Von Stramberg. Dünn- 
schliff quer durch Kelche. 

Fig.5. Maeandraraea laminata Ocınvız p. 239. — Von Strambere. Ober- 
fläche einiger Kelchreihen, 4mal vergrössert. 

Fig. 6, 6a. Thamnaraea arborescens Eraur. p. 153. — Fig. 6 von Ignatzi- 
berg. Oberfläche eines Astes, natürliche Grösse. Fig. 6a dieselbe 5mal vergrössert. 


Fig. 7, 8. Microsolena exigua Kosy p. 250. — Fig. 7 von Stramberg. 
Mehrere Kelche, Oberfläche 4mal vergrössert. — Fig. 8 von Stramberg. Dünnschliff 


quer durch einen Stock. Die concentrischen Ringe lassen verschiedene Wachsthums- 
perioden erkennen. Die scheinbare Unregelmässigkeit der Trabekeln und Synaptikeln 
ist nur durch die Schnittebene bedingt. 

Fig. 9, 9a. Polyphylloseris corticata Ocıuvım p. 255. — Fig. 9 von Stram- 
berg. Astoberfläche, natürliche Grösse. Fig. 9a polirte Schnittfläche, 5 mal ver- 
grössert. 

Fig. 10, 10a. Leptophyllia Thurmanni Kosy p. 219. — Fig. 10 von Stram- 
berg. Koralle, natürliche Grösse. Fig. 10a Theil eines Kelches in Querschnitt ge- 
zeichnet. Die Septen sehen meist ausgefüllt und dicht aus, 4mal vergrössert. 

Fig. 11, 11a. Epistreptophyllum Montis From. sp. p. 257. — Fig. 11 von 
Stramberg. Koralle in natürlicher Grösse, oben und unten abgeschliffen. Links unten 
eine Knospe. Fig. 11a Querschnitt dureh einen Theil des Kelches, die Pseudothekal- 
verdickung der Septen gegen aussen zeigend. 

Fig. 12, 12a. Epistreptophyllum conicum OcınvıE p. 256. — Fig. 12 von 
Strambers. Koralle oben geschliffen, in natürlicher Grösse. Fig. 12a Querschnitt 
durch einen Theil des Kelches, die unregelmässig in den Septen auftretenden Löcher 
und die Bildung eines schwammigen Säulchens in der Mitte zeigend. 

18* 


276 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Fig. 13, 15a, 15b, 14. Epistreptophyllum commune Mivasch. p. 255. — 
Fig. 13 von Stramberg. Koralle in natürlicher Grösse, oben und unten etwas abge- 
schnitten, links ein Theil herausgebrochen. Fig. 13a der abgebrochene Theil im 
Längsschnitt gesehen. Fig. 13b Querschnitt durch einen anderen Kelch, mit häufigen 
Synaptikeln und Traversen. — Fig. 14 von Bobreck. Im Quer- und Längsschnitt 
gezeichnet. 

Fig. 15, 15a. Haplaraea columnaris Ocınvır p. 261. — Fig. 15 von Stram- 
berg. Koralle in natürlicher Grösse. Fig. 15a Querschnitt eines Kelches, den ge- 
krümmten Verlauf und das Anastomosiren gegen innen der Septen zeigend. Die 
Löcher verhältnissmässig selten, Synaptikel und Traversen häufig. Die Abbildung 
weist auf bilaterale Symmetrie durch excentrische Lage des Kelches hin. 

Fig. 16. Diplaraea aft. rugosa Kozy sp. p. 260. — Von Stramberg. Theil 
eines Stockes in natürlicher Grösse. 

Fig. 17, 17a. Diplaraea simplex Kosy p. 258. — Fig. 17 von Stramberg. 
Korallenstock in natürlicher Grösse. Fig, 17a Querschnitt durch einen Kelch, un- 
regelmässige Löcher in den Septen zeigend. 3mal vergrössert. 

Fig. 18, 15a. Diplaraea suberassa Kory sp. p. 259. — Fig. 18 Theil 
eines Stockes in natürlicher Grösse. Fig. 18a Querschnitt durch einen Kelch in 
natürlicher Grösse. 

Fig. 19, 19a, 19b. Diplaraea nobilis Ocınvır p. 260. — Fig. 19 von Ignatzi- 
berg. Aeste in der Gesteinsmasse von oben gezeichnet. Fig. 19a einige Kelche im 
Querschnitt. Fig. 19b eine Verzweigung eines Astes im Längsschnitt gezeichnet. 
Mehrere Septen tangential getroffen. Der Schnitt zeigt, wie die Trabekeln in kürzeren 
Reihen oder einzelnen Trabekelgliedern aufgelöst sind. Die gebogenen Horizontal- 
linien deuten nach einander folgende Wachsthumsperioden an. 

Originale im palaeontologischen Museum in München. 


Tafel XI. 


Fig. 1-7. Aulastraea Schäferi Ocınvır p. 107. — Fig. 1, zwei Aeste, oben 
schief geschnitten, der eine zeigt Knospenbildung nahe am Rand, 11/,mal vergrössert. 
Stramberg. — Fig. 2, Querschnitt mit breiter, blasiger Aussenzone und kleiner Innen- 
zone, auf welche die Septen beschränkt sind. „Absterbender Kelch“ mancher Autoren, 
11/,mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 3, natürlicher Querbruch mit Blasen. Fig. 3a, 
Oberfläche mit Epithek, natürliche Grösse. Stramberg. — Fig. 4, Quer- und Längs- 
schnitt. Grobe äussere Blasen, innere, feine Traversen, 11/,mal vergrössert. Fig. 4a 
Querschnitt. Beginnende Knospenbildung in der äusseren Zone, 11/,mal vergrössert. 
Stramberg. — Fig. 5, Längsbruch. Der innere Theil mit den Septen ist ausgewittert. 
Steile Stellung der Blasen gegen den centralen Theil, dieselben bilden eine Art Mauer, 
natürliche Grösse. Willamowitz. — Fig. 6. Ein erhaltener centraler Theil mit den 
groben äusseren Blasen, von aussen gesehen, natürliche Grösse. Willamowitz. — 
Fig. 7, Concentrisch gestreifte Epithekalringe, 11/,mal vergrössert. Stramberg. 


Tafel-Erklärung. 277 


Fig. 8-10. Amphiastraea eylindrica Ocınvız p. 106. — Fig. 8 Querschnitt 
durch den Stock, 4 mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 9 Längsschnitt durch den- 
selben Stock, 4mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 10, Stock von der Seite mit 
Epithek, natürliche Grösse. Stramberg. 

Fig. 11, 11a, 11b, 11e, 11d. Opisthophyllum Zitteli Ocınvız p. 102. — 
Fig. 11, Koralle von der Seite, natürliche Grösse. Stramberg. Fig. 11a, dasselbe 
Exemplar im Querschnitt, natürliche Grösse. Fig. 11b, dasselbe, Querschnitt, 2mal 
vergrössert. Fig. Ile, Längsschnitt, feine Traversen in der inneren Kelchzone, na- 
türliche Grösse. Stramberg. Fig. 11d, Längsschnitt, grobe Blasen in der äusseren 
Kelchzone, 11/,mal vergrössert. Stramberg. 

Fig. 12, 13, 14. Opisthophyllum minimum Ocızvır p. 103. — Fig. 12, 
Koralle von der Seite, natürliche Grösse, Inwald. Fig. 12a, Querschnitt desselben 
Exemplares, natürliche Grösse, — Fig. 13, junge Form, von der Seite, natürliche 
Grösse, Stramberg. Fig. 13a, Querschnitt desselben Exemplares, natürliche Grösse. — 
Fig. 14, Querschnitt eines anderen Exemplares von Koniakau, 11/,mal vergrössert. 
Fig. 14a, Längsschnitt, Blasen und Traversen zeigend, 1!/,mal vergrössert. Koniakau. 

Fig. 15, 15a, 15b, 15c, 16. Opisthophyllum vesiculare Ocııvız p. 102. — 
Fig. 15, Koralle von der Seite, mit Epithek, natürliche Grösse, Ignatziberg. Fig. 15a, 
dasselbe Stück im Querschnitt, natürliche Grösse. Fig. 15b, dasselbe Stück, Dünn- 
schliff quer, doppelte Grösse, Blasen und Traversen. Fig. 15c, dasselbe Stück, Dünn- 
schliff längs, doppelte Grösse, Traversen im Innern. — Fig. 16, Querschnitt eines 
Exemplares von Stramberg, natürliche Grösse. (ef. Taf. XIII, Fig. 14). 

" Fig. 17, 18,19. Amphiastraea gracilis Kor p. 105. — Fig. 17, Bruch- 
stück von der Seite, natürliche Grösse. Stramberg. — Fig. 18, einige Zellröhren von 
der Seite, natürliche Grösse. Kotzobenz. Fig. 18a, Oberfläche eines Exemplares von 
Kotzobenz, 2mal vergrössert. Fig. 18b, einige Kelche desselben Exemplares, 7 mal 
vergrössert. Fig. 18c, einige Kelche desselben Exemplares in Theilung, Stramberg, 
4mal vergrössert. — Fig. 19 und 19a, Dünnschliffe von Kotzobenz. Fig. 19, Quer- 
schliff, 4mal vergrössert. Septaldornen am Aussenrand der Kelche, Blasige Tra- 
versen im peripheren Theil. Fig. 19a, Längsschliff 3mal vergrössert. Septaldornen 
am Aussenrand der Kelche. 

Fig. 20, 20a. Stylosmilia Kobyi Ocınvır p. 117. — Fig. 20, Bruchstück, von 
der Seite, natürliche Grösse. Stramberg. Fig. 20a, Querschnitt desselben Exemplars, 
4mal vergrössert. Blasen und Knospen. 

Fig. 21, 22, 22a. Selerosmilia Strambergensis Ocııvız p. 111. — Fig. 21, 
Exemplar von Stramberg in natürlicher Grösse, von der Seite gesehen. — Fig. 22, 
angewittertes Exemplar von Ignatziberg, in natürlicher Grösse, Septen und Traversen 
zeigend. Fig. 22a, Querschnitt desselben Exemplares, natürliche Grösse. 

Fig. 23, 23a. Pseudothecosmilia Etalloni Kosr p. 112. — Fig. 23, zwei 
sich berührende Kelchröhren, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 24a, Querschnitt 
desselben Exemplares, 3mal vergrössert. 

Originale zu Fig. 17 im Museum für Naturkunde zu Berlin. Originale der übrigen 
Figuren im palaeontologischen Museum zu München. 


2718 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Tafel XI. 


Fig. 1, 1a, 1b. Aulastraea conferta Ocınyız p. 110. — Fig. 1, Stock schief 
anzeschliffen, natürliche Grösse von Stramberg. Fig, la, Querschliff durch ein paar 
Kelche, natürliche Grösse. Fig. 1b, Längsschnitt durch einen Kelch, natürl. Grösse. 

Fig. 2, 2a. Montlivaltia Renevieri Kory p. 197. — Fig. 2 und 2a, von 
Stramberg, natürliche Grösse. 

Fig. 3, 3a. Montlivaltia Cavalli w’Acn. p. 198. — Fig. 3 und 3a, von 
Ignatziberg, natürliche Grösse. 

Fig. 4. Montlivaltia obconica Msr. sp. p. 195. — Ansicht von oben, natür- 
liche Grösse, von Wischlitz. 

Fig. 5, 5a. Montlivaltia alata Ocıuvız p. 198. — Fig. 5, von der Seite, 
natürliche Grösse, Fig. 5a, von oben, natürliche Grösse, von Ignatziberg. 

Fig. 6, 10, 11 und 11a. Pleurosmilia eylindrica From. p. 138. — Fig. 6 
und 10 Querschnitte, natürliche Grösse. Fig. 6 von Stramberg, Fig. 10 von Ignatzi- 
berg. — Fig. 11, Abdruck, natürliche Grösse, Wischlitz. Fig. 11a, Abdruck einer 
Septalfläche mit Vertiefungen den Trabekeln entsprechend, Wischlitz. 

Fig. 7, 7a. Epismilia obesa Kosy p. 141. — Fig. 7, Steinkern (Ausguss des 
Kelches und der Interseptalräume), natürliche Grösse, von Bobrek. Fig. 7a, Abdruck 
eines Septums, natürliche Grösse. Trabekeln und Granulationen. 

Fig. 8. Pleurosmilia afl. infundibuliformis Mich. sp. p. 140. — Stein- 
kern, natürliche Grösse, Kotzobenz. 

Fig. 9, 13 und 15. Pleurosmilia crassa Mrwascn. p. 139. — Fig. 9, Quer- 


schnitt, natürliche Grösse, Wischlitz. — Fig. 13, Kelch von der Seite, mit Knospe, 
natürliche Grösse, Kotzobenz. — Fig. 15, Koralle schief geschnitten, natürl. Grösse, 
Koniakau. 


Fig. 12. Pleurosmilia Marcou Ir. p. 139. — Kelch von oben, natürliche 
Grösse, Stramberg. 

Fig. 14, 14a. Opisthophyllum vesieulare Ocıuvır p. 102. — Fig. 14, von 
der Seite, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 14a, dasselbe Exemplar, Querschnitt, 
natürliche Grösse. 

Fig. 16, 16a. Thecosmilia iruncata Ocıuyız p. 213. — Fig. 16, Stock von 
der Seite, Bruchfläche, Verlauf der Trabekeln, natürliche Grösse. Hüttenwerk Baska 
bei Friedeck in Mähren. Fig. 16a, dasselbe Stück, von oben, natürliche Grösse. 
Originale zu Fig. 2, 10 und 16 im Museum für Naturkunde zu Berlin. Originale der 

übrigen Figuren im palaeontologischen Museum zu München. 


Tafel XIV. 


Fig. 1, 1a. Thecosmilia Koniakensis Ocınvız p. 201. — Fig. 1, von Konia- 
kau, Theile eines Stockes in natürlicher Grösse. Fig. la, Querschnitt durch denselben. 
Fig. 2, 2a, 2b, 3, 3a. Thecosmilia longimana Quexst. sp. p. 203. — Fig. 2, 
von Stramberg, Theil eines Stockes natürlicher Grösse. Fig. 2a, 2b, Querschnitte 


Tafel-Erklärung. 979 


durch Kelche. — Fig. 3, 7. longimana var. lacerum, Ast natürlicher Grösse. Fig. 3a, 
Kelehquerschnitt natürlicher Grösse. 

Fig. 4, 4a. Thecosmilia virgulina Er. sp. p. 206. — Fig. 4, Aeste eines 
Stockes natürlicher Grösse. Fig. 4a, Querschnitt durch einige Kelche natürlicher 
Grösse; ein Kelch rechts 2mal vergrössert. 

Fig. 5, 5a, 5b, 5e. Thecosmilia flabella Buaımv. sp. var. compacta 
Koprr p. 207. — Fig. 5, von Chlebowitz, Aeste eines Stockes natürlicher Grösse. Fig. 5a, 
ein anderes Exemplar von demselben Fundort. Fig. 5b, Querschnitt eines Kelches 
natürlicher Grösse (von Iskritschin). Fig. 5e, Theil eines Stockes von Iskritschin im 
Querschnitt, natürlicher Grösse, rechts ein Kelch 2mal vergrössert. 

Fig. 6, 6a. Thecosmilia irregularis Er. p. 209. — Fig. 6, von Koniakan, 
verzweiste Aeste natürlicher Grösse. Fig. 6a, Querschnitt durch einen Kelch in 
Theilung begriffen. 

Fig. 7, 7a, 8. Thecosmilia Volzi OcınvıE p. 209. — Fig. 7, von Mittel- 
Bludowitz. Aeste in natürlicher Grösse, Fig. 7a, Querschnitt durch einen Kelch 
natürlicher Grösse. — Fig. S, von Ignatziberg. Schräger und Längsschnitt durch 
verzweigende Aeste. 

Fig. 9, 10, 10a, 11. Thecosmilia suevica Quensrt. sp. p. 212. — Fig. 9, von 
Koniakau, Querschnitt durch den Stock, natürliche Grösse. — Fig. 10, idem. Ein 
Stock mit sehr lappigen Umrissen. Fig. 10a, Tangentialer Längsschnitt durch 
mehrere Septen. — Fig. 11, Bruchstück im Quer- und Längsschnitt gezeichnet. In 
natürlicher Grösse, von Koniakau. 

Fig. 12. Thecosmilia moraviensis OcınvıE p. 210. — Von Ignatziberg. 
Theil eines Stockes im Querschnitt, natürliche Grösse. 

Originale im palaeontologischen Museum zu München. 


Tafel XV. 


Fig. 1, 1a, 1b, 1ec. Rhabdophyllia disputabilis Breker sp. p. 214. — 
Fig. 1, von Stramberg, einige Aeste in natürlicher Grösse. Fig. la, Querschnitte 
durch einen Kelch natürlicher Grösse. Fig. 1b, Querschnitt durch einen knospenden 
Kelch. Fig. le, Querschnitt 2mal vergrössert. 

Fig, 2, 2a. Rhabdophyllia cervina Er. p. 215. — Fig. 2, von Wischlitz, 
Astverzweigung in natürlicher Grösse. Fig. 2a, Kelchquerschnitt natürlicher Grösse. 

Fig. 3, 3a, 5b. Stylosmilia Koniakensis Ocıwvır p. 118. — Fig. 3, von 
Koniakau. Theil eines Stockes natürlicher Grösse. Die Aeste sehen auf der Schnitt- 
fläche unterbrochen aus durch häufige Krümmungen in ihrem Verlauf. Fig. 3a, Dünn- 
schliff quer durch einen Stock. Fig. 3b, Längsschliff. 

Fig. 4,5 Stylosmilia rugosa BEcKER sp. p. 117. — Fig. 4, von Koniakau. 
Natürliche Bruchfläche eines Stockes, die Krümmung der Aeste zeigend und Abdrücke 
der Epithek auf der Gesteinsmasse. — Fig. 5, von Koniakau. Kelche in natürlicher 
Grösse. Fig. 5a, ein Kelch vergrössert. 


980 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Fig. 6, 7. Isastraea Goldfussi Kosy sp. p. 190. — Von Stramberg. Fig. 6, 
Korallenstock natürlicher Grösse, — Fig. 7, junger Stock, Unterseite. 

Fig. 8, 10, 14, 14a, 15. Isastraea undans En. sp. p. 159. — Fig. 8, von 
Wischlitz. Verwitterte Oberfläche eines Stockes, deutliche Kelchumrandung durch 
ächte Mauer. — Fig. 10, von Stramberg. Etwas polirte Oberfläche eines Stockes. — 
Fig. 14, von Stramberg, Oberfläche eines ganzen Stocks, theilweise geschliffen. 
Fig. 14a, Dünnschliff, 2mal vergrössert. Marginale Knospung oder Theilung der 
Kelche deutlich zu sehen. Eine Scheidewand zwischen Knospe und Mutterkelch nur 
theilweise oder gar nicht gebildet. — Fig. 15, junges Exemplar von Stramberg. 

Fig. 9, 16. Isastraea variabilis Er. sp. p. 189. — Fig. 9, von Koniakau. 
Verwitterte Oberfläche, 2mal vergrössert. — Fig. 16, von Stramberg. Korallenstock 
in natürlicher Grösse, 

Fig. 11, 11a. Isastraea Thurmanni Er. sp. p. 190. — Fig. 11, von Stram- 
berg. Korallenstock mit verwitterter Oberfläche in natürlicher Grösse. Fig. 11a, 
einige Kelche, 2mal vergrössert, geschliffen. 

Fig. 12, 12a, 13, 13a. Isastraea eylindrica Ocınvır p. 191. — Von Stram- 
berg. Fig. 12, Korallenstock natürlicher Grösse, Oberfläche sehr glatt gerieben. 
Fig. 12a, Querschliff durch mehrere Kelche, 3mal vergrössert. — Fig. 13, ein sehr 
gut erhaltener Korallenstock. Verwitterte Oberfläche mehrerer Kelche, 3mal vergr. 

Fig. 17,17a. Isastraea Gourdani From. p. 192. — Fig. 17, verwitterte 
Oberfläche eines Korallenstockes in natürlicher Grösse. Fig. 17a, Querschlift, Kelche 
mit Knospen, 3mal vergrössert. 

Originale im palaeontologischen Museum in München. 


Tafel XVI. 


Fig. 1, 1a. Acanthogyra multiformis OcınvıE p. 132. — Fig. 1, Stock 
von oben, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. la, ein Kelch desselben 2mal vergr. 

Fig. 2, 2a, 2b. Acanthogyra columnaris OcınvıE p. 131. — Fig. 2, Bruch- 
stück von Stramberg, natürliche Grösse. Fig, 2a, einige Kelche desselben im Quer- 
schnitt, 2mal vergrössert. Fig. 2b, Längsschnitt desselben, 2mal vergrössert. 

Fig. 3, 3a, 4, 4a. Dendrogyra sinuosa OcınvıE p. 126. — Fig. 4, Stock 
von oben, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 4a, Querschnitt eines Kelches des- 
selben Exemplares, 3mal vergrössert. — Fig. 3, Querschnitt eines Kelches von Kotzo- 
benz, 3 mal vergrössert. Fig. 5a, ein Kelch desselben Exemplares mit erhaltenem 
Kelchrand, 3mal vergrössert. 

Fig. 5, 6, 6a. Selenegyra @Geikiei Ocıuvır p. 121. — Fig. 5, Exemplar von 
Stramberg, natürlicher Gösse. — Fig. 6, Querschliff, natürliche Grösse, von Stram- 
berg. Fig. 6a, ein Kelch desselben 4mal vergrössert. 

Fig. 7, 7a. Astrocoenia Bernensis Kosr p. 149. — Fig. 7, Stock in 
natürlicher Grösse von Stramberg. Fig. 7a, Querschliff desselben Exemplares, 5mal 
vergrössert. 


Tafel-Erklärung. 381 


Fig. 8, Sa. Astrocoenia crasso-ramosa Miıcn. sp. p. 150. — Fig. 8, 
Exemplar von Stramberg, 3mal vergrössert. Fig. 8a, ein einzelner Kelch, Smal vergr. 

Fig. 9, 9a. Astrocoenia Delemontana Kosrp. 150. — Fig. 9, Stock 
in natürl. Grösse, von Stramberg. Fig. 9a, ein Theil der Oberfläche, vergr. 

Fig. 10, 10a, 10Ob. Stephanocoenia favulus Tuurm. sp. p. 151. — Fig. 10, 
Stock von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 10a, Oberfläche desselben, 3mal ver- 
grössert. Fig. 10b, ein einzelner Kelch, 15mal vergrössert. 

Fig. 11,12. Oyathophora Claudiensis Er. p. 176. — Fig. 11, Exemplar 
von Kotzobenz, natürliche Grösse. — Fig. 12, von Ignatziberg, natürliche Grösse. 

Fig. 13. Cyathophoratithonica Ocınvız p. 177. — Von Koniakau, 
natürliche Grösse. 

Fig. 14, 14a. Cyathophora ylobosa Ocınvıs p. 178. — Fig. 14, Längs- 
schnitt, natürliche Grösse. Fig. 14a, Querschnitt, natürliche Grösse, von Koniakau. 

Fig. 15, 15a, 15b. Stylina foliosa Ocınvır p. 170. — Fig. 15, Theil der 
Unterseite eines Stockes von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 15a, dasselbe Exem- 
plar, Theil der Oberseite. Fig. 15b, Querschnitt, 6mal vergrössert. 

Originale im palaeontologischen Museum zu München. 


Tafel XVII. 

Fig. 1, 1a. Stylina arborea v’Acn. p. 168. — Fig. 1, Stock von der Seite, 
natürliche Grösse, Stramberg. Fig. la, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 2, 2a. Stylina granulosa From. p. 168. — Fig. 2, Stock von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 3. Stylina Waldeckensis Er. p. 172. — Einige Kelche, 6mal ver- 
grössert, Stramberg. 

Fig. 4, 4a, 4b. Stylina Kotzobenzis Ocınvır p. 169. — Fig. 4, Abdruck 
eines Stockes von Kotzobenz, natürliche Grösse. Fig. 4a, künstlich hergestelltes 
Positiv desselben, natürliche Grösse. Fig. 4b, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 5, 5a. Stylinu sulcata From. p. 171. — Fig. 5, Stock von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 3mal vergrössert. 

Fig. 6, 6a. Stylina tuberosa Ocınvır p. 171. — Fig. 6, von Koniakau, 
natürliche Grösse. Fig. 6a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 7, 7a. Stylina parvipora OcıLyır p. 133. — Fig. 7, Stock von 
Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 7a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 8, 8a. Stylina milleporacea Ocınvız p. 173. — Fig. 8, von Koniakau, 
natürliche Grösse. Fig. Sa, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig.9. Stylina tubulifera Puıtı. sp. p. 174. — Von Ignatziberg, einige 
Kelche, 3mal vergrössert. 

Fig. 10, 10a. Heliocoenia dendroidea Er. sp. p. 167. — Fig. 10, Stock 
von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 10a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Originale im palaeontologischen Museum zu München. 


282 Die Korallen der Stramberger Schichten. 


Tafel XVII. 


Fig.1,2, 2a. Stylina brevicosta Ocınvır p. 174. — Fig. 1, von Stram- 
berg, natürliche Grösse. — Fig. 2, von Kotzobenz, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige 
Kelche, 4mal vergrössert. 

Fig. 3, 3a. Heliocoenia Humberti Er. sp. p. 167. — Fig. 3, von Stram- 
berg, natürliche Grösse. Fig. 3a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 4, 4a. Stylina anthemoides Mexecn. sp. p. 172. — Fig. 4, von 
Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 4a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 5, 5a. Diplocoenia elathrata Er. sp. p. 164. — Fig. 5, von Koniakau, 
natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 6. Diplocoenia spissa Becker sp. p. 164. — Von Stramberg, nat. Gr. 

Fig. 7, 8, Sa. Diplocoenia Inwaldensis Ocınvır p. 164. — Fig. 7, von 
Inwald, natürliche Grösse. — Fig. 8, Inwald, natürliche Grösse. Fig. 5a, einige 
Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 9, 9a. Diplocoenia multiseptata Ocınvır p. 164. — Fig. 9, von 
Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 9a, einige Kelche, 3mal vergrössert. 

Fig. 10, 10a. OryptocoeniaThiessingi Kor p. 181. — Fig. 10, von 
Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 10a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Fig. 11. Convezastraea searadiata Goupr. sp. p. 179. — Stock von 
Stramberg, natürliche Grösse. 

Fig. 12, 12a. Convexastraea minima Er. sp. p. 170. — Fig. 12, von 
Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 12a, einige Kelche, 6mal vergrössert. 

Originale im palaeontologischen Museum zu München. 


Palaeontologische Studien 


über die 


Grenzschiehten der Jura- und Kreide-Formation 


im Gebiete 


der Karpathen, Alpen und Apenninen. 


Achte Abtheilung. 
Die Spongien der Stramberger Schichten 
Dr. Oskar Zeise. 
Mit Tafel XIX— XXI. 


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Stuttgart. 
E. Schweizerbart’sche Verlagshandlung (E. Koch.) 
1897. 


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Druck von Carl Hammer in Stuttgart. 


Die Bearbeitung der Stramberger Spongien wurde mir von Herrn Ge- 
heimrath von ZITTEL zu Anfang des Jahres 1891 anvertraut und in der Haupt- 
sache bereits im Herbste desselben Jahres, wo ich von München aus einem 
Rufe an die kgl. preuss. geologische Landesanstalt folgte, vollendet. Wenn 
die Veröffentlichung erst jetzt erfolgt, so hat dies seinen Grund in dem 
Wunsche des Herrn Geheimraths vox ZITTer, die Monographie der Stramberger 
Korallen, deren Drucklegung erst zu Anfang dieses Jahres beginnen konnte, 
der der Spongien voraufgehen zu lassen. Immerhin dürfte sich die Veröffentlichung 
der Spongien-Monographie durch meine Schuld noch um einige Monate ver- 
zögern, da ich schliesslich zu spät mit der durch das inzwischen erfolgte Er- 
scheinen des ersten Bandes von Raurr’s Palaeospongiologie nothwendig ge- 
wordenen Neudurcharbeitung begann. 

Das bearbeitete Material gehört zum weitaus grössten Theil der Mün- 
chener paläontologischen Sammlung an, wohin es durch den Kauf der vox 
HoHENEGGER’schen Sammlung gelangte. Der Rest stammt aus den Sammlungen 
der k. k. geologischen Reichsanstalt in Wien. Das Wiener Material verdanke 
ich durch Vermittlung des Herrn Geheimraths vox Zimmer der Güte des in- 
zwischen verstorbenen Herrn Director STur, der mir dasselbe bei meinem Be- 
suche in Wien, Ostern 1891, bereitwilligst zur Verfügung stellte. Im Wiener 
Hof-Museum fand ich von Stramberger Schwämmen nichts vor. 

Ich gebe mich der Hoffnung hin, dass mir das gesammte Stramberger 
Schwamm-Material zur Bearbeitung vorgelegen hat. Dasselbe ist wenig um- 
fangreich und mit Ausnahme eines kleinen Theils der Kalkschwämme fast 
durchweg von schlechter Erhaltung, sodass die Bestimmung häufig nur nach 
der äusseren Form und dem Canalsystem erfolgen konnte und desshalb auch 
von ? und cf. ein reicher Gebrauch gemacht werden musste, 

In der Systematik und Nomenclatur folgte ich von ZITTEL—RAUFF. Die 
Centralhöhle ist als Paragaster, die einströmenden Canäle als Epirrhysen, die 
ausströmenden als Aporrhysen bezeichnet. Die Eintrittsstellen der Epirrhysen 


IV Vorwort. 


an der Aussenseite des Skelets wurden Ostia, die am Paragaster liegenden 
Ausmündungen der Aporrhysen Ostia postica oder kurz Postica genannt. Die 
Ausmündungen der zum aporrhysalen System gehörigen Canäle auf der Aussen- 
seite des Schwammes heissen Naren. 

Die Tafeln wurden gleich nach meiner Uebersiedelung nach Berlin unter 
meiner Aufsicht von den Herren OnmAnn und PrıLuwirz mit schätzenswerther 
Sorgfalt auf Stein gezeichnet. Die Schnitte und Schliffe fertigte ich selbst 
im paläontologischen Institut der Universität München an. 

Es erübrigt mir noch, meinem hochverehrten Lehrer, Herrn Geheimrath 
voN ZITTEL, auch an dieser Stelle meinen herzlichsten Dank für die mir be- 
wiesene Güte und freundlichst gewährte Unterstützung auszusprechen. Zu 
danken habe ich ferner Herrn Professor HerrwiG in München und Herrn 
Geheimrath F. E. Schuzze in Berlin für die mir gütigst gestattete Durch- 
sicht der recenten Kalkschwamm-Präparate der ihnen unterstellten Sammlungen, 
ebenso Herrn Dr. Horer in München für seine liebenswürdige Hilfe bei Her- 
steliung von Präparaten aus meinem von der zoologischen Station zu Neapel 
bezogenen, recenten Material. Zu Dank fühle ich mich auch Herın Dr. Raurr 
verpflichtet, der auf meinerseits geäusserte Zweifel sein T’halamopora-Material 
einer erneuten, von demselben Erfolge begleiteten Untersuchung unterzog. 

Besonderen Dank schulde ich auch Herrn Geheimrath Dr. HAUCHECORNE, 
der mir gütigst erlaubte, das Stramberger Material in den Räumen der geo- 
logischen Landesanstalt unterzubringen, sowie die zur Fertigstellung der Ar- 
beit nothwendige, microscopische, wiederholte Durchsicht der Schlitfe eben- 
daselbst vorzunehmen, ferner den Herren Professor Dr. JAEKEL und Dr. Jon. 
BöHnm für ihre freundliche Untersützung beim Lesen der Correcturen. 


Berlin, im März 1896. 
Dr. O. Zeise. 


Erhaltungszustand. 


I. Silicea. 


Die Kieselspongien der Stramberger Schichten befinden sich in dem 
Stadium der vollständigen Verkalkung und zumeist in einem so schlechten 
Erhaltungszustande, dass die Zuweisung zu den Ordnungen und Familien sehr 
oft nur auf Grund der äusseren Form und des Canalsystems erfolgen konnte. 
Nur die Hexactinelliden machen zum Theil eine rühmliche Ausnahme; hier 
konnten an den meisten Stücken deutlich Sechsstrahler in kleinerem oder 
erösserem Verbande erkannt werden, wenn auch selten in so scharfer Ab- 
grenzung gegen das Sediment, wie es Taf. XIX, Fig. 4 von Sporadopyle cf. 
texturata var. subtexturata D’ORB. Sp. zeigt. Diese Ausnahme dürfte lediglich 
auf den im Vergleich zu den Lithistiden-Skeleten einfacheren und regel- 
mässigeren Gerüstbau der Hexactinelliden zurückzuführen sein, indem hier 
Verdickungen der Spieulae und andere secundäre Fossilisations-Erscheinungen 
nicht so leicht zur Unkenntlichmachung derselben führten. Doch wurde 
bei den Hexactinelliden einmal auch der denkbar schlechteste Erhaltungs- 
zustand beobachtet, der als das Endstadium der Verkalkung von Kiesel- 
spongien zu betrachten ist. Dieses Stadium zeigt Tremadietyon regulare n. Sp. 
Das Skelet mit sammt dem die Maschenräume ausfüllenden Sediment ist in 
eine einheitliche, klare, körnige Kalkspathmasse verwandelt; keine Andeutungen 
von Skeleteontouren sind erhalten geblieben. Die Sediment-Erfüllung der 
Canäle hingegen hat ihre ursprüngliche Beschaffenheit bewahrt; im durch- 
fallenden Licht ist von einer Aufhellung (oolithische Structuren, LoRETZ, RAUFF) ' 
so gut wie nichts zu bemerken. 

Ist es durchaus verständlich, dass dort — z. B. bei Tremadietyon 
regulare —, wo das die Maschenräume ausfüllende Sediment denselben kıy- 
stallinischen Zustand wie die Bälkchen erreichte, diese der Beobachtung sich 
entziehen müssen, so ist es andererseits schwer erklärlich, dass auch vielfach 
dort die Bälkchen nicht in Erscheinung treten, wo das Sediment erst eine 


! Lorerz: Untersuchungen über Kalk und Dolomit. Zeitschrift der deutschen geol. 
Ges. 1878, Bd. 30, pag. 387—416, Taf. 17, 18. — Raurr: Palaeospongiologie. Palaeonto- 
graphica 1893, 1894, Bd. 40, pag. 217—223. — Meine Beobachtungen an den Stramberger 
Spongien können die Einwände Raurr’s gegen Lorerz’s Hypothese der primären Entstehung 
der oolithischen Structuren (Aufhellung des Sediments) nur bestätigen. Raurr hat ent- 
schieden Recht, wenn er pag. 219 sagt: Die Aufhellung des kalkigen Sediments bezeichnet 
einen secundären Krystallisationsprocess und ist um so stärker, je weiter dieser vorge- 
schritten, je höher der krystallinische Zustand geworden ist. 


Palaeontologische Mittheilnnzen. Band 3. 19 


390 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


geringe Aufhellung erfahren hat. Es ist dies in den meisten der vorliegenden 
Schliffe zu sehen. Der Kalkspath der Bälkchen konnte — die im Gestein cir- 
eulirenden kalkigen Lösungen konnten die Hohlskelete eben mit nichts anderem 
als Kalkspath erfüllen — nun unmöglich durch Vorgänge irgend welcher Art 
auf geringere Krystallisationsgrade  (oolithische Structuren) zurückgeführt 
werden — wäre dies möglich, so müssten die Bälkchen sich allerdings wieder 
der Beobachtung entziehen, sobald Sediment und Skeletausfüllung denselben 
krystallinischen Zustand erreichten — und so scheint mir die Annahme, dass 
das Gestein unmittelbar nach oder während der Fortführung der Kieselsäure 
in sich zum Theil noch soweit beweglich war, dass die Hohlskelete durch 
nachdrängendes Sediment ausgefüllt werden konnten, einer gewissen Berechti- 
gung nicht zu entbehren. 

Bei den Lithistiden ist die Aufhellung des Sediments im Allgemeinen 
ungleich weiter vorgeschritten, doch kommt es auch hier und da vor, dass 
das die Spiculae einhüllende Sediment in fast noch ursprünglichem Zustande 
verblieben ist. Aber selbst in diesem günstigsten Erhaltungsstadium haben 
die Spieulae durch secundäre Krystallisation des ihnen unmittelbar anliegen- 
den Sedimentes Verdickungen und Verunstaltungen erfahren, die ein sicheres 
Erkennen derselben nur selten gestatten. Zum weitaus grössten Theile sind 
diese Verdickungen und Verunstaltungen jedoch bereits zur Verschmelzung 
(der einzelnen Spieulae gediehen, und in diesem Walle ist es zur Unmöglichkeit 
eeworden, eine Skeletbestimmung zu machen, die auch nur einen gewissen 
Grad von Wahrscheilichkeit beanspruchen könnte. Am Meisten erkennt man 
dann noch im auffallenden und durchfallenden Licht bei Loupenvergrösserung 
(s. Taf. XIX, Fig. 10b, 14a), während stärkere Vergrösserungen alles ver- 
schwommen erscheinen lassen. Die bei den Hexactinelliden besprochene Er- 
scheinung des Fehlens von Kalkspath-Spieulae in noch nicht aufgehelltem 
Sediment ist bei den Lithistiden vereinzelt auch zu beobachten und gilt hier- 
für dieselbe Erklärung, die oben versucht wurde. 

Das Sediment im Paragaster und in den Wassercanälen erscheint im 
Allgemeinen, allerdings mit häufigen Ausnahmen, im durchfallenden Licht 
dunkler (weniger durch secundäre Krystallisation aufgehellt) als die zwischen 
dem Skeletwerke befindliche Ausfüllungsmasse. — Die Stramberger Schwämme 
bestätigen daher den von Raurr vermutheten Einfluss der Hohlskelete — 
bevorzugte Leitungsbahnen für die eireulirenden Gewässer — auf die Meta- 
morphose von Kalkstem!. Häufige Ausnahmen sind aber, wie nochmals betont 
werden soll, vorhanden. Frappant tritt dies bei Seytalia tithonica n. sp. und 
Melonella ef. radiata Quexst. sp. in Erscheinung, wo die Paragaster- Aus- 
füllungen fast ganz aus Kalkspath bestehen. 


! Palaeospongiologie pag. 220, 221. 


Calearea. 391 


II. Calcarea. 


Der Erhaltungszustand der Kalkschwämme ist in Bezug auf die Skelet- 
Elemente auch als ungünstig zu bezeichnen; nur bei zwei Formen Rauffia 
elavata n. sp. und T’halamopora Zitteli n. sp. treten die Spiculae klar und 
scharf in Erscheinung, während bei allen übrigen Schwämmen Spiculae ent- 
weder garnicht oder nur undeutlich erkannt werden konnten. Dagegen ist 
das Fasergeflecht als solches von guter Erhaltung und hebt sich im auffallenden 
und durchfallenden Licht zumeist scharf und deutlich vom Sediment ab. Die 
angeschliffiene Faser hat bei dem grössten Theil der Pharetronen im auf- 
fallenden Licht ein milchweisses, glänzendes Aussehen und tritt im Allgemeinen, 
doch nicht ausnahmslos, um so deutlicher hervor, je dunkeler die sie ein- 
bettende Gesteinsmasse ist. Bei dieser Faser-Erhaltung kann man von vorn 
herein darauf rechnen, wenig glücklich in der Auffindung von Nadeln zu sein. 
Bei einer kleineren Anzahl, fast ausschliesslich der Gattung Rauffia ange- 
hörenden Schwämme, hat die Faser, so besonders bei Exemplaren von Ignazi- 
berg, Willamowitz und Kotzobenz, ein erdiges, kreideähnliches Aussehen. 
Dieser Erhaltungszustand ist für die mieroscopische Untersuchung der günstigste, 
und wenn auch nicht isolirte Spieulae gewonnen werden konnten, so treten doch 
in den Dünnschliffen die Nadeln zum Theil mit ausserordentlicher Schärfe her- 
vor (Taf. XXI, Fig. 12, 13). Einigen wenigen Exemplaren von Rauffia 
(Bobrek, Stanislowitz) mangelt, bei gleicher erdiger Beschaffenheit der Faser, 
das kreideähnliche Aussehen, und die Faser zeigt mehr gelbe bis braungelbe 
Tinten. Unter den Syconiden zeigen die meisten vorliegenden Exemplare von 
Thalamopora Zitteli n. sp. ebenfalls eine erdige, kreideähnliche Beschaffenheit 
des Skelets („Faser“), und die Dünnschliffe lassen auch hier wieder Nadeln 
in zum Theil vorzüglicher Erhaltung erkennen. (Taf. XXI, Fig. 24a, 25). 

Bei allen Kalkschwämmen, mit Ausnahme eines Exemplars von ? Myr- 
mecium grande n. sp. von Stramberg und verschiedenen Exemplaren von 
Strambergia nov. gen. heben sich die Fasern auf angeschliffenen Schnittflächen 
im auffallenden Lichte im Allgemeinen durch hellere, zumeist milchweisse 
Farbe von dem dunkeleren Gesteine ab. Bei den erwähnten Ausnahmen ist 
es meistens gerade umgekehrt, d. h. die Faser erscheint dunkel in der 
helleren Gesteinsmasse. Der Grund für dieses Verhalten liegt, wie die Unter- 
suchung im durchfallenden Licht darthut, darin, dass die Fasern bedeutend 
krystallinischer als das Sediment sind, deshalb mehr Licht absorbiren und 
dadurch dunkeler erscheinen als das dichtere, mehr Licht reflectirende Gestein. 

Das Bild, das diese angeführten Ausnahmen im auffallenden Lichte dar- 
bieten, ist das Normal-Bild aller übrigen Kalkschwämme im durchfallenden 
Lichte, entsprechend des im Vergleich zur Faser höheren Krystallisations- 
Zustandes des Sedimentes; doch kommen vereinzelte Ausnahmen bei Schwämmen 

19* 


299 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


von dunkelerem Gestein vor, wie z. B. bei ? Eusiphonella cf, Bronni MünstER 
sp. von ? Wischlitz, wo, trotzdem im auffallenden Licht die Faser sich hell 
aus dem Gestein abhebt, dieses im durchfallenden Licht zum Theil völlig 
undurchsichtig ist, während die Faser sich transparent erweist. (Taf. XX, 
Fig. 15b). 

Das Normal-Bild der Faser der. Stramberger Schwämme, das Dünnschlifte 
im durchfallenden Lichte gewähren, stellt Fig. 3a auf Taf. XX dar. Die Faser 
hebt sich dunkel und grenzt scharf ab gegen das in einen höheren krystalli- 
nischen Zustand übergeführte Gestein. Die Faser ist jedoch meistens dunkeler 
und weniger transparent als in Fig. 3a, erreicht jedoch nur in einem einzigen 
Präparat die Dunkelheit von Fig. 20 auf Taf. XX, so dass sie fast völlig 
undurchsichtig erscheint. Die Faser selbst ist zumeist in körnigen oder auch 
wellig faserigen Kalkspath übergeführt; letztere Structur findet sich vornehm- 
lich an den Rändern der Faser, die Skeletlücken umsäumend, und kann 
häufig gebogene, den Rändern der Faser sich anschmiegende Stabnadeln vor- 
täuschen. Da das Gestein immer nur körnige Structur aufweist, liegt der 
Gedanke nahe, die faserige Structur der Faser auf in ihr liegende Ursachen 
zurückzuführen, und da ist es dann sehr gut möglich, dass ursprünglich die 
die Skeletlücken umsäumenden, gebogenen Stabnadeln bei der Krystallin- 
werdung der Faser structurbestimmend wirkten'. 

Ein einziges Mal wurde bei gleich scharfer Abgrenzung der dunkeleren 
Faser gegen das in körnigen Kalkspath umgewandelte Gestein eine radial- 
faserige Structur der Faser beobachtet. (Taf. XX, Fig. 1Sb). 

Eine kleinere Anzahl von Dünnschliffen zeigt den schon erwähnten, 
Taf. XX, Fig. 15b abgebildeten, entgegengesetzten Typus, wo im durchfallenden 
Licht mehr oder weniger transparente Fasern sich scharf gegen das dunkele, 
so gut wie garnicht aufgehellte Sediment abgrenzen. 

In einer weiteren kleinen Anzahl von Dünnschliffen ist die Faser zum 
Theil nicht scharf gegen das Gestein begrenzt, sondern Faser und Gestein 
sehen mehr oder weniger unregelmässig ineinander über, was darauf zurück- 
zuführen ist, dass Faser und Gestein häufig nahezu dieselben Krystallisations- 
grade besitzen (Taf. XX, Fig, 1, 21, 22). Auch hier finden sich, wie in dem 
Normaltypus der Faser (Taf. XX, Fig. 3a) unregelmässig faserige Structuren, 
die neben gebogenen Stabnadeln an den Rändern der Faser auch grosse Drei- 
strahler in der Mitte der Faser vortäuschen können (Fig. 21, 22). 


1 Carver sagt Aehnliches: „The forms of the spieules thus more or less destroyed 
run into each other so as to assume shapes totally different from what they were originally, 
while the rest of the calcareous material in a state of solution becomes deposited in the 
form of fibre composed of one or more concentric layers enclosing the lines of spicules.“ 
(On the mieroscopie structure thin slices of fossil caleispongiae. Ann, a. Mag. Nat. Mist. 
3d. 12, p. 26— 30, 1883). 


Calecarea. 998 
2% 


Eines Erhaltungszustandes muss noch Erwähnung geschehen, der mich 
anfänglich dazu veranlasste der Frage näher zu treten, ob sich unter den 
Pharetronen nicht vielleicht fossile Asconen-Stöcke (cf. Auloplegma-Stock, 
| Pseudonardus-Form], HÄckeu Kalkschwämme, III. Bd. Taf. II, Fig. 8, 9, 10, 11) 
versteckten. Dieser Erhaltungszustand findet sich bei fast allen Exemplaren 
der Gattung Rauffia mehr oder weniger ausgeprägt, vereinzelt auch bei 
anderen Schwämmen, z. B. bei Peronidella tithonica. Auf angeschliffenen Schnitt- 
flächen erscheint die Faser nämlich nicht homogen, sondern man sieht in der 
Mitte der Faser einen mit der Gesteinsfarbe übereinstimmenden, dunkeleren 
Streifen verlaufen, den man a priori für einen Canal anzusprechen geneigt 
sein könnte. An Stellen, wo die Faser quer getroffen ist, erscheint innerhalb 
des rundlichen Querschnittes der Faser ein rundlicher, dunkeler Kern, so dass 
man in einen Schlauch hineinzusehen glaubt (Taf. XXI, Fig. 1b). Die micros- 
copische Untersuchung macht diese Vermuthung jedoch bald hinfällig; sie 
ergibt nämlich schon bei geringer Vergrösserung, dass der im durchfallenden 
Licht wieder transparenter als die Randpartien der Faser erscheinende, 
dunkele, centrale Streifen einen regelmässig zusammenhängenden Verlauf 
durchaus nicht besitzt (Taf. XXI, Fig. 10), und bei stärkeren Vergrösserungen, 
dass derselbe sich in ein Haufwerk von meist sagittalen Drei- und Vier- 
strahlern auflöst. Nadeln von ausserordentlicher Schärfe kommen aber auch 
in den dunkeleren Randpartieen der Faser vor (Taf. XXI, Fig. 12). Ganz 
vereinzelt ist eine mittlere, hellere Partie der Faser überhaupt nicht zu 
beobachten, sondern die Faser erscheint vielmehr von der Fossilisation in 
gleicher Weise an den Rändern und in der Mitte beeinflusst (Taf. XXI, Fig. 13). 

In Fig. 24, 24a, b auf Taf. XX ist zum Vergleich eine Hydrozoe (nov. gen.) 
abgebildet, die den Typus einer kleinen Anzahl Stramberger Hydrozoen dar- 
stellt, die man auf den ersten Blick für Kalkschwämme halten möchte (Sest- 
rostomella, Himatella). Diese Hydrozoen haben meist keulenförmige bis um- 
gekehrt kegelförmige Gestalt und sind bis zum Scheitel, der frei bleibt, mit 
einer meist runzeligen Deckschicht versehen. Das abgebildete Exemplar zeigt 
ein centrales Bündel von Verticalröhren (Sestrostomella), doch kommen auch 
Formen vor mit einem bis zur Wurzel reichenden Centralrohr (Himatella), 
wovon ein Exemplar sogar in dieses Centralrohr mündende radiale Bogen- 
canäle vortäuscht. Nicht allein die bei näherer Betrachtung mit der Loupe 
sich herausstellende Verschiedenheit des Verlaufs der anastomosirenden Kalk- 
fasern, sowie besonders des feineren Canalsystems, sondern auch das micros- 
copische Bild der Kalkfaser im durchfallenden Lichte (Taf. XX, Fig. 24 b), 
das von dem der Kalkschwämme total verschieden ist und constant bei allen 
bislang von den Hydrozoen angefertisten Schliffen sich wiederfindet, lässt 
diese macroscopisch kalkschwamm -ähnlichen Hydrozoen leicht als solche 
erkennen. 


294 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Die Pharetronen-Faser ist seit den grundlegenden Arbeiten von ZırmEn's 
über fossile Schwämme Gegenstand wiederholter Aeusserungen gewesen. 
von Dunıkowskt stellte als Erster die Behauptung auf, dass die Faser bei den 
meisten Pharetronen kein ursprüngliches, wie vos Zittern annahm, sondern ein 
secundäres, lediglich durch den Fossilisations-Process bedingtes Gebilde sei, 
und fasste die Pharetronen geradezu als eine Unterfamilie der Leuconen auf". 

Kurz vorher hatte allerdings schon STEINMAnN?, der jedoch die Kalk- 
schwamm-Natur der Pharetronen leugnete und sie vielmehr mit den Hydrozoen 
vereinigen zu müssen glaubte, die durch den Fossilisations - Process hervor- 
gerufene, secundäre Natur der Faser behauptet. Auf Grund angeblich in 
der Faser beobachteter Thaleophyten-Spuren nahm er aber im Gegensatze 
zu Von Dunıkowskı an, dass die Kalknadeln derselben ursprünglich nicht von 
Sarcode eingehüllt gewesen sein könnten, sondern durch Spongin oder kohlen- 
sauren Kalk zusammengehalten worden sein müssten. 

HınDe sprach sich bereits 1883° entschieden gegen die von DuntkowskT'sche 
Annahme aus und hält auch in seiner Monographie der Britischen Schwämme* 
an seiner Meinung fest, dass die Pharetronen-Faser ein ursprüngliches Gebilde 
sei, und dass die Pharetronen eine besondere, mit der Kreidezeit erlöschende 
Gruppe unter den Kalkschwämmen darstellen. 

Auch Pocra° wendet sich in gleicher Weise wie Hınpe gegen die vox Dunı- 
KkowskTsche Hypothese und bringt eine ganze Reihe von Gründen gegen 
diesselbe vor. 

In neuerer Zeit hat sich dann Raurr‘® in einer sehr inhaltreichen, vor- 
läufigen Mittheilung unter Anderem über die fossilen Kalkschwämme dahin 
geäussert, dass dieselben im Wesentlichen nieht von den recenten abweichen, 
und dass die Pharetronen-Faser nur eine secundäre, durch die Fossilisation 
bewirkte Erscheinung sei, dass ferner deren Kalknadeln, nicht wie STEINMANN 
noch heute annehme, ursprünglich durch Spongin oder eine andere Kitt- 
masse bündelweise zusammengehalten worden wären. Raurr kommt da- 
mit im Wesentlichen auf die v. DunıkowskT’sche Annahme zurück. In seiner 
Palaeospongiologie gibt Raurr” auch in dem Capitel über den Erhaltungs- 
zustand der fossilen Spongien für die Entstehung der Pharetronen-Faser eine 
höchst bemerkenswerthe Erklärung, die ebenso scharfsinnig ist wie sie ein- 
leuchtend erscheint. Die Untersuchung der Faser der Stramberger Phare- 


1 Palaeontographica Bd. 29, 1882—1883, p. 311—314. 

2 Neues Jahrbuch f. Min. etc. 1882, II. p. 182 u. 188. 

® Cat. of the fossil sponges of the Britisı Museum p. 158, 159. 

* The Palaeontographical Society Bd. für 1886, p. 64. 

5 Abh. d. k. Böhm. Ges. Wiss. Math. Nat. Classe, 7. Folge. I. Bd. 1885. p. 15 u. 16. 
$ N. Jahrb. f. Min. etc. 1891. Bd. I, p. 281. 

?” Palaeontographica 40. Bd. 1893. p. 205, 206. 


Canal-System. 295 


tronen hat nichts ergeben, was direet für oder gegen die Raurr'sche Annahme 
spricht. Nur aus der im Allgemeinen scharfen Abgrenzung — wo dies nicht 
der Fall ist, liegt eine Fossilisations-Erscheinung vor — der Faser gegen das 
Gestein muss der Schluss gezogen werden, dass, wenn die Kalknadeln auch 
nicht ursprünglich durch irgend eine Kittmasse zusammengehalten worden 
sind, dieselben doch im strieten Gegensatze zur Anordnung der Skeletelemente 
bei den Leuconen zu Faserzügen ursprünglich gruppirt gewesen sein müssen, 
denn es ist kein Fossilisations-Modus denkbar, der die ganz unregelmässig 
angeordneten Skeletelemente der Leuconen zu Faserzügen umgestalten könnte. 

Wenn daher von Dunıkowskı meint, die Pharetronen seien fossile Leuconen, 
so muss dem auf das Entschiedenste widersprochen werden. Wir kommen 
über die Auffassung von Zırrev’s nicht hinaus; die Pharetronen bleiben als 
eine besondere Gruppe unter den Kalkschwämmen bestehen. 

In Betreff der Deckschichten ist wohl im Allgemeinen der zuerst von 
v. Dunıkowskı ausgesprochenen Meinung beizupflichten, dass sie in ihrem heute 
vorliegenden Zustande nicht ursprünglich, sondern secundär sind. Auch Raurr 
vertritt diese Ansicht und nimmt an, dass die Deekschichten, ganz wie die 
Dermal-Skelete der lebenden Kalkschwämme, ursprünglich ohne mineralische 
Cemente nur aus unverschmolzenen Nadeln gebildet waren und die Nadeln 
erst durch die Fossilisation zu einer compaecten Masse zusammengekittet wor- 
len seien. Man darf allerdings die Möglichkeit nicht ausser Acht lassen, dass 
die Deckschichten zum Theil schon primär ein so dichtes, glattes Aussehen 
gezeigt haben, wie heute, wenigstens sprechen hierfür einige Beispiele unter 
den recenten Schwämmen. Häck&tv hat nämlich einige Leuconen beschrieben, 
deren Dermal-Skelet sich durch einen eigenthümlichen Stäbchen-Mörtel aus- 
zeichnet. „Dieser Stäbchen-Mörtel besteht aus Unmassen von äusserst kleinen, 
winzigen Stabnadeln, welche olne alle Ordnung und so dicht gedrängt in 
dem Syneytium durcheinander liegen, dass eine mörtelartige oder gypsartige 
Masse entsteht“. „Am stärksten entwickelt ist der Stäbehen-Mörtel bei 
Leucandra stilifera und Leucandra saccharata, wo er die weisse, glatte Ober- 
fläche wie ein fester Gypsguss oder Zuckerguss überzieht* !. 


Canal-System. 


Von den in seiner Palaeospongiologie (Bd. I, p. 127—137) von RAUFF 
unterschiedenen wichtigsten 9 Modificationen des Canalsystems fossiler Spongien 
kommen bei den Stramberger Spongien die Modificationen 1, 2, 3, 4, 6 (6a, 
6b, 6bb) vor. Unter Modification 6bb fällt das eigenthümliche Spalten- 


{ Die Kalkschwämme. I. Bd. p. 308. 1872, 


296 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Canalsystem, wie es z. B. von Onemidiastrum v. Zirteu bekamnt ist. Bei den 
Pharetronen ist bislang ein derartiges aporrhysales Spalten-Canalsystem nicht 
beobachtet worden. Von Interesse ist es daher, dass unter den Stramberger 
Pharetronen zwei Genera ein ausgeprägtes aporrhysales Spalten-Canalsystem 
besitzen; es sind die Gattungen Rauffia und Euzittelia. 

In zweifacher Hinsicht unterscheidet sich jedoch dieses Spaltensystem 
von dem von RAurr unter 6bb aufgeführten; einmal erreichen die Spalten 
nie die Aussenseite des Schwammes, zweitens liegen für die Entstehung der 
Spalten aus Verschmelzung dicht übereinander liegender Bogencanäle keine 
Anhaltspunkte vor, sondern es scheint vielmehr die Anlage der Spalten eine 
primäre zu sein. 

Die in einer wechselnden Anzahl vorhandenen Spalten setzen vom Para- 
gaster bis etwa in die Mitte der Schwammwand ein, wo sie spitz oder stumpf 
endigen. In vereinzelten Fällen gabeln sich die Spalten, welche meist nicht 
continuirlich die ganze Höhe des Schwamms durchsetzen, sondern hier und 
da Unterbrechungen erkennen lassen. 

Raurr betont, dass die Entstehung der Spalten aus Canälen z. B. bei 
Onemidiastrum voN ZITTEL stets deutlich an der Form der Spaltenmündungen zu 
sehen sei, die wie die Contouren einer Perlenkette in regelmässigen Abständen 
zusammengeschnürt werden. Auch seien neben den Spalten stets unver- 
schmolzene, scharf getrennt übereinanderliegende Canäle zu finden. Nichts 
von alledem zeigt das Spaltensystem der beiden Stramberger Gattungen, die 
Spalten setzen glatt durch bis auf die erwähnten Unterbrechungen, so dass 
die Annahme einer primären Anlage der Spalten einer gewissen Berechtigung 
nicht entbehrt (Taf. XX, Fig. 6, 6a und Taf. XXI, Fig. 1, 1a, Ib, 2, 5, 7). 


Beschreibung der Arten. 


Classe: Silicea Grar. 
Ordnung: Hexactinellidae O. Schmpr. 
Unter - Ordnung: Dictyonina VON ZITTEL. 
I. Genus: Tremadietyon von Zırteun 1878. 
1. Tremadietyon regulare n. sp. — Taf. XIX, Fig. 2. 


Dieser Schwamm liegt nur in Bruchstücken nebst den dazu gehörigen 
Abdrücken vor, wovon das eine Bruchstück Handgrösse erreicht. Nur die 
eine (? Ober-) Seite der Wand ist der Untersuchung zugänglich; die andere 
ruht im nicht abzulösender Gesteinsmasse. Die Form der Bruchstücke ist 
eben bis schwach wellig gebogen. Der Schwamm ist gross, wahrscheinlich 
tellerförmig, seine Wand kaum 4 mm dick. Die im fast geradlinigen Reihen 
alternirenden Ostien sind von gleicher, ovaler Form, was im Verein mit der 
durchweg gleichen Grösse derselben dem Schwamm ein ausserordentlich regel- 
mässig netzartiges Gefüge verleiht. Die Skeletelemente sind nicht mehr 
kenntlich und sammt der ihre Maschenräume ausfüllenden Gesteinsmasse in 
Kalkspath umgewandelt. Nur die in die ÖOstien hineinragenden verlängerten 
Strahlen sind hier und da noch zu erkennen, da die Sediment-Ausfüllung der 
Östien die Umwandlung in Kalkspath nicht mitgemacht hat. 

Bemerkungen: Von Tremadictyon reticulatum GOLDF. sp. unterscheidet 
sich diese Art durch die Dünne der Wand, ferner durch die regelmässig ovale 
Form der Ostien und deren geringere Grösse. 

Untersuchte Stücke: 2 und 2 Abdrücke; (1 Schliff) Geologische 
Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XIX, Fig. 2. Tremadictyon regulare n. sp. Theil eines handgrossen 
Bruchstücks. 


II. Genus: Cratieularia von ZıTTEen 1878. 


2. Gratieularia cf. parallela GoLDr. sp. 


1826—33. Scyphia parallela Goupruss. Petref. Germ. I. Th. p. 8, Taf. 3, Fig. 3. 

1857. — — Erarvon. Esquisse d’une description g6ol. du Haut- 
Jura p. 36. 

1867. —_ — v.HoHENEGGER. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 


298 Die Spongien der Stramberger Schichten, 


1877. Cratieularia parallela v. Zurwer. Stud. ü. foss. Sp. I. Abtlı. p. 46 u. N. J. für 
Min. etc. p. 555. 

1876—78. Spongites eylindritextus Quenstepr. Petref. Bd.5, p. 65, Taf. 117, Fig.9—15, 

1883. Cratieularia parallela Hıspe. Cat. foss. Sp. p. 94. 

1886. — — PocrA. Mit. aus dem Jahrb. d. kgl. Ungarischen geol. 

Anstalt p. 113. Taf. 23, Fig. 2a—t. 

Die untersuchten Stücke lassen sich — soweit der Erhaltungszustand 
dies zu beurtheilen erlaubt — von Craticularia parallela GoLDF, sp. aus dem 
weissen Jura nicht unterscheiden. Die äussere Gestalt der Schwämme, ferner 
Anordnung und Grösse der rundlichen Ostien stimmen durchaus überein. So 
können verkalkte Stücke des weissen Jura aus der Umgegend von Krakau 
mit den Stramberger Stücken geradezu verwechselt werden, da hier noch 
eine grosse Aehnlichkeit des Gesteins hinzutritt. Immerhin ist die Erhaltung 
zu unvollkommen, um die speeifische Identität mit Sicherheit behaupten zu 
können. Nur an einem Fragment, das wahrscheimlich von Kotzobenz stammt, 
kann die Innenseite beobachtet werden, während die Aussenseite durch an- 
haftendes Gestein der Beobachtung entzogen wird. Anordnung und Grösse 
der Postica stimmen an diesem Stück ganz mit den der mit den Postica ab- 
wechselnde Reihen bildenden Ostia der übrigen Stücke überein. Keiner 
der vorliegenden, mehr oder weniger eylindrischen, nach der Basis verjüngten 
Schwämme ist ganz erhalten. Das grösste Stück, dem Scheitel und Basis 
fehlt, hat eine Höhe von 90 mm. Der obere Durchmesser beträgt ca. 30 mm, 
der untere ca. 20 mm, die Wandstärke ca. 3 mm. 

Das Sechsstrahler-Skelet ist an angeschliffenen Flächen stellenweise leid- 
lich kenntlich. 

Untersuchte Stücke: 5. Geologische Reichsanstalt Wien; Palaeonto- 
logisches Museum München. 

Vorkommen: Stramberg, ? Kotzobenz; ferner im Ob. Jura von Würt- 
temberg und der Umgegend von Krakau; im Oxfordien von St. Claude; nach 
MozscH im Aargauer Jura; im Dogger (Parkinsoni-Sch., Klausschichten, Zone 
der Oppelia aspidoides) des Fünfkirchener Gebirges, Ungarn. 


3. Cratieularia cf. paradoxa Münster sp. 
1826—33. Seyphia paradoxza Goupruss. Petref. Germ. I. Theil. p. 86. Taf. 31, Fig. 6. 


1857. — _ Eraton. Esquisse d’une deseription g6ologique du 
Haut-Jura p. 36. 
1867. _ _ v. Honene6Ger. Denkschr. d. Wien, Akad.d.Wiss. p. 250. 


1876—78. Clathrispongia trochiformis, ventricosa et perlata Quenstepr. Petref. 
Bd. 5, p. 75--77 u. 80. Taf. 118, Fig. 2, 3, 6. 
1377. Cratieularia paradoxa v. Zirıer. Studien I. Abth. p. 46 und N. J. für 
Min. etc. p. 356 u. Handb. d. Pal. p. 174, Fig. 90. 
1883. _ E= Hınpe. Cat. of foss. Sponges p. 94. 


Cratieularia, 299 


Ein vereinzeltes, stark verwittertes Exemplar, dessen specifische Stellung 
unsicher bleiben muss, liegt vor; dasselbe ist trichterförmig, diekwandig und 
in der Nähe des Scheitels mit ringförmigem Absatz (Einschnürung) versehen, 
wie ihn Gorpruss bei Cr. paradoxa beschreibt. Die diese Art auszeichnen- 
den grossen Ostia und flachen Längsrippen sind schlecht kenntlich. Das 
Paragaster ist mit Gesteinsmasse erfüllt, so dass die Postica nicht zu be- 
obachten sind. Höhe des Schwammes ca. 85 mm, Scheitelbreite ca. 45 mm, 
Wandstärke 10—12 mm. Das Sechsstrahler-Skelet ist an einer Stelle ganz 
schwach angedeutet. 

Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg; ferner Ob. Jura von Schwaben und Franken, 
im Aargauer Jura; im Oxfordien von St.-Claude. 


4. Cratieularia cf. Schweiggeri GoLDF. sp. 
I 


1826—33. Scyphia Schweiggeri GoLpruss. Petref. Germ. I. Th. p. 91, Taf. 33, Fig. 6. 

1859. Dietyonocoelia Schweiggeri Braruon. Fitudes pal&ontologiques sur les terrains 
jurassiques du Haut-Jura II. Th. p. 137. 

1867. Scyphia Schweiggeri v. HouenssGer. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 

1576—78. Scyphia Schweiggeri Quexsteor. Petref. Bd. 5, p. 63, 64. Taf. 117, Fig. 3—5. 


Ein vereinzeltes, schwach gekrümmtes, dünnplattiges Bruchstück von 
35x55 mm Fläche und ca. 2 mm Wandstärke stimmt mit den von GoLpruss 
und QuENSTEDT gegebenen Abbildungen gut überein. Charakteristisch für die 
Species ist die kleinmaschige Anordnung der Ostia. Das Sechsstrahler-Skelet 
ist nicht erkennbar. 

Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg; ferner Ob. Jura von Schwaben und (nach 
MorscH) im Aargauer Jura; im Corallien von St. Claude; nach von Honen- 
EGGER im mittleren weissen Jura der Umgegend von Krakau. 


5. Cratieularia intrasulcata n. sp. 
Taf. XIX, Fig. 1, 1a. 


Ein einziges Bruchstück von Kotzobenz lässt auch die Beschaffenheit 
der Innenseite erkennen, wodurch es von Or. cf. parallela zu trennen war. 

Der Schwamm war wahrscheinlich spitz trichterförmig und ist etwas seit- 
lich zusammengedrückt. Die Wandstärke beträgt ca. 3 mm. Die kleinen rund- 
lichen Ostien stehen in rechtwinkelig sich kreuzenden, horizontal und vertical 
verlaufenden Reihen. Die verticalen Reihen divergiren entsprechend der 
Trichterform von unten nach oben, wodurch es zur Einschaltung immer neuer 
Reihen von Ostien kommt, was an unserem Bruchstück an einer Stelle deutlich 


300 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


zu beobachten, jedoch in der Abbildung nicht zum Ausdruck gelangt ist. Die 
Postica liegen in Längsfurchen. Auch die Innenseite zeigt die Einschaltung 
neuer Furchenreihen; die Abbildung Taf. XIX, Fig. la gibt dies an einer 
Stelle wieder. Vom Sechsstrahler-Skelet ist nichts zu erkennen. 
Bemerkungen: Von Cratieularia parallela Goupr. sp. unterscheidet 
sich diese Art wesentlich durch die in Furchen liegenden Postica. 
Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 
Vorkommen: Kotzobenz. 
Taf. XIX, Fig. 1. Craticularia intrasulcata n. sp. Aussenseite in nat. 
Gr.; Fig. 1a. Dasselbe Exemplar von der Innenseite. 


6. ? Cratieularia cf. elathrata Gotor. sp. 
1326—33. Scyphia clathrata Goupruss. Petref. I. Th. p. 8, Taf. 3, Fig. 1. 


1857. —_ —_ Eratvon. Esquisse d’une description geologique du 
Haut-Jura p. 36. 

1867. —_ — v. HOHENEGGER. Denkschr. d.Wien. Akad. d.Wiss. p.250. 

1876—78. Spongites — Quexstepr. Petref. Bd. 5, p. 72, Taf. 117, Fig. 22—24, 

1877. Craticularia clathrata v. Zırizt. Studien I. Abth. p. 46 und N. J. f. Min, 
pP. 355. 

1883. —_ — Hınpe. Cat. foss. Sponges p. 94. 

1393. — — — Mon. of British. foss. Sponges, Palaeont. Soc. 


Bd. für 1893, p. 198, Taf. XI, Fig. 5. 


Der äussere Erhaltungszustand des nur in einem Exemplare vorliegen- 
(den Schwammes ist so ungünstig, dass nicht einmal die das Genus Oraticularia 
kennzeichnende Anordnung der Ostien mit Sicherheit erkannt werden konnte. 
Immerhin weist der ganze Habitus des Schwammes auf einen Vergleich mit 
Or. clathrata hin. Der Schwamm ist gestreckt trichterförmig und dickwandig; 
seine Höhe beträgt 70 mm, seine grösste Breite 40 mm, die Wandstärke 10 
bis 12 mm. Das Skelet ist vortrefflich erhalten und tritt stellenweise so 
scharf heraus, dass dass Vorhandensein ursprünglich dichter Kreuzungsknoten 
mit Sicherheit angenommen werden kann. 

Untersuchte Stücke: 1, (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. 

Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben, im Aar- 
gauer Jura und im Oxfordien von St. Claude, sowie nach von HoHENEGGER 
im mittl. weiss. Jura von Krakau; ferner im Dogger (Inferior Oolithe, Parkin- 
soni-Zone) von Burton Bradstock, Dorset. 


7. Cratieularia sp. 
Ein ganz schwach gewölbtes, fast ebenflächiges Bruchstück und zwei 


ähnlich gestaltete Abdrücke liegen vor. Das Bruchstück misst 70x50 mm, 
Die Wandstärke übersteigt nicht 2 mm. Eine Einsenkung in der Wand ver- 


Sporadopyle. 501 


anlasste einen ergebnisslosen Vergleich mit Spongites eylindritextus familiaris 
Quexstepr (Taf. 117, Fig. 10). Eine specifische Bestimmung war aber un- 
thunlich. Vom Skelet ist nichts mehr zu erkennen. 

Untersuchte Stücke: 1 und 2 Abdrücke. Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg. 


8. ? Cratieularia sp. 


Hierzu rechne ich drei in fast ganzen Exemplaren vorliegende Stücke, 
deren Erhaltungszustand aber ein so schlechter ist, dass die generische Stellung 
unsicher bleiben musste. Sie sind in der Form und in der Wandstärke von 
einander verschieden, so dass sie vielleicht Vertreter dreier Species darstellen. 
Der eine Schwamm hat walzenförmige Gestalt; der Scheitel und die Basis 
sind abgebrochen. Die Höhe des vorhandenen Bruchstücks beträgt 130 mm, 
die Breite 45 mm, die Wandstärke 7—8 mm. Ein zweites Exemplar ist spitz 
trichterförmig; die Basis fehlt. Die Höhe misst 100 mm, die Scheitelbreite 
50 mm, die Wand 5 mm. Das dritte Stück hat eine gestreckt glockenförmige 
Gestalt und ist kurz gestielt; die Wand zeigt in der Nähe der Basis eine 
Ausstülpung. Die Höhe beträgt 95 mm, die grösste Breite 50 mm, die Wand- 
stärke 3—4 mm. Das Sechsstrahler-Skelet ist an angeschliffenen Flächen 
aller drei Stücke leidlich kenntlich. 

Untersuchte Stücke: 3. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Stramberg. 


III. Genus: Sporadopyle vox Zırteu 1878. 
9. Sporadopyle cf. pertusa GoLDF. Sp. 


1826—33. Scyphia pertusa pars GouLpruss. Petref. I. Th. p. 6, Taf. 2, Fig. 9 und 
p-. 92, Taf. 33, Fig. 11. 


1867. _ — _ v.HoHENEGGER. Denkschr. d.Wien. Akad. d.Wiss. p. 250. 
1876—78. _ — pars Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 126—129. Taf. 120, 
Fig. 61—69. 


1883. Sporadopyle texturata pars HınpE. Cat. of foss. Sponges p. 96. 


Zwei schlecht erhaltene Bruchstücke stehen der von GoLDFUuss |. c. 
Taf. 33, Fig. 11 (non Taf. 2, Fig. 8) abgebildeten Scyphia pertusa zum min- 
desten nahe und deuten auf eine etwas seitlich zusammengedrückte, becher- 
förmige Gestalt hin. Die Ostia sind dicht gedrängt und in sich schiefwinklig 
schneidenden Reihen angeordnet. Das Skelet ist vollständig zerstört. 

Bemerkungen: Der von Goupruss ]. c. Taf. 2, Fig. S als Scyphia 
pertusa abgebildete Schwamm ist sicher eine andere Art als der 1. e. Taf; 33, 


302 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Fig. 11 unter demselben Namen abgebildete; ersterer dürfte viel eher zu der 
l. e. Taf. 2, Fig. 9 abgebildeten Scyphia texturata zu stellen sein. Beschränkt 
man Scyphia pertusa auf die von GoLpruss p. 92 beschriebene und Taf. 33, 
Fig. 11 abgebildete Form, so fallen auch die von Quexstepr |. c. Taf. 120, 
Fig. 61—69 als Seyphia pertusa abgebildeten Schwämme zum grösseren Theile 
der Seyphia texturata GoLpr. zu; nur die in Fig. 67 und vielleicht auch 
Fig. 69 abgebildeten Stücke verbleiben bei Seyphia pertusa GoLDrF. — (JUEN- 
srepr’s Taf. 116, Fig. 15—23 und Taf. 117 abgebildeten „texturate Spon- 
eiten“ gehören dagegen zum grössten Theil zu Oratieularia. 

Hınpe führt in seinem Catalog p. 69 Scyphia pertusa GoLDF. als synonym 
mit Sporadopyle texturata GoLprF. sp. auf. Ich glaube aber, dass Seyphia 
texturata GoLDr. und Scyphia pertusa Goupr. (Taf. 33, Fig. 11; non Taf. 2, 
Fig. 8) zwei gute Arten darstellen, soweit das nach den Beschreibungen 
und Abbildungen zu beurtheilen möglich ist. Das unterscheidende Merkmal 
liegt in der Anordnung der Ostien. Während bei Seyphia pertusa Goupr. die 
dichtgedrängten Ostien in etwas sich schiefwinklig schneidenden, geraden Reihen 
stehen, finden wir bei Scyphia texturata eine Ostien-Anordnnng, die GOLDFUSS 
pag. 6 mit folgenden Worten beschreibt: „Die Oberfläche ist durch kaum 
merklich erhabene Leisten in kleine viereckige Felder getheilt, in welche 
abwechselnd rundliche Löcher eingsenkt sind.“ Bei dieser Form stehen die 
Ostia mithin im Quincunx. 

Untersuchte Stücke: 2. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Stramberge, Kotzobenz, ferner im Ob. Jura von Franken, 
nach Moxsch im Aargauer Jura und nach von HOoHENEGGER im mittleren 
weissen Jura von Krakau. 


10. Sporadopyle pertusa GoLDF. sp. var. plana n. v. 
Taf. XIX, Fig. 3. 

Ein vereinzeltes Fragment, von dem nur eine Seite der Beobachtung 
zugänglich ist; die andere Seite ruht in nicht abzulösender Gesteinsmasse. 
Die Form des Bruchstücks ist etwas uneben plattig; der Schwamm war da- 
her vielleicht tellerförmig. Die diehtgedrängten Ostien stehen in etwas schief- 
winklich sich schneidenden, annähernd geraden Reihen. Die Abbildung zeigt 
deutlich die Uebereinstimmung in der Anordnung der Östien mit der von 
Gonpruss 1. e. Taf. 33, Fig. 11 abgebildeten Seyphia pertusa aus dem Jura- 
kalke von Amberg. Das Skelet ist gänzlich zerstört. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Willamowitz. 

Taf. XIX, Fie. 3. Sporadopyle pertusa GOLDF. sp. var. plana n. v. in 
natürl. Grösse. 


Gen. indet. 


St 
2 


11. Sporadopyle cf. texturata GoLpr. sp. var. subtexturata D’ORB. 
Taf. XIX, Fig. 4. 

1826—33. Scyphia texturata Gouoruss. Petref. I. Th. p. 6, Taf 2, Fig. 9. 

2? Scyphia pertusa Goupr. Petref. I. Th. p. 6, Taf. 2, Fig. 5 (non Taf. 33, Fig. 11). 
1850. —  texturata et subtexturata v’ÖrBIGNY. Prodröme I. p. 388. 
1867. = = v. HOHENEGGER. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 
1876—78. Scyphia pertusa pars, Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 126—129. Taf. 120, 

Fig. 61—69. 

1877. Sporadopyle texturata v. Zurret. Studien I. Abth. p. 47; N. J. f. Min. p. 356. 
1883. — — pars, Hınpe. Catal. of foss. Sponges p. 9%. 


Ein einzelner, gut erhaltener, dickwandiger, becherförmiger Schwamm, 
dem die Basis fehlt, hat dichtgedrängte Ostien in Quincunxstellung. Die Iöhe 
beträgt 35 mm, die Breite 30 mm, die Wandstärke 6 mm. Das regelmässige, 
eubische Maschen bildende Skelet ist vorzüglich erhalten, sodass man die 
solide Natur der Kreuzungsknoten mit Sicherheit zu erkennen glaubt. 


Bemerkungen: Die Ostia stehen noch deutlich im Quincunx, treten 
aber näher aneinander als bei der von Gonpruss 1. c. Taf. 2, Fig. 9 abge- 
bildeten Form. Um daher die von ihm für Seyphia texturata pag. 6 ange- 
gebene, schematische Darstellung der Ostien-Anordnung bei unserer Form 
wieder erkennen zu können, müssen wir uns die einander sehr genäherten 
„kaum merklich erhabenen, rechtwinklig sich kreuzenden Leisten“ etwas 
wellig gebogen vorstellen. 

Unsere Form gleicht in der Anordnung der Ostien mehr der von GoLD- 
russ Taf. 32, Fig. 6 abgebildeten Scyphia texturata var. patellaeformis, für 
die D’OÖRBIGNY 1. c. p. 388 den Varietätsnamen subtextwrata vorschlug. 

Untersuchte Stücke: 1; (1 Schliff). Palaeontol. Museum München. 

Vorkommen: Wischlitz; ferner Ob. Jura von Franken und Schwaben; 
nach v. HOHENEGGER im mittleren weissen Jura von Krakau; nach Moxscu 
im Aargauer Jura. 

Taf. XIX, Fig. 4. Sporadopyle cf. texturata var. subtexturata D’ÜRB. SP., 
eine kleine Skeletparthie in Loupenvergrösserung. 


IV. Genus: genus indet. 
12. gen. indet. sp. 
ns DADE hen 23, 

Der nur in einem Bruchstück vorliegende, ebenfalls zu der Familie der 
Cratieulariden zu zählende Schwamm war vielleicht bauchig triehterförmig. 
Die Wand ist ungefähr 6 mm stark. Die Form und Anordnung der Östien 
ist durchaus unregelmässig. Die Innenseite war nicht zu beobachten. 


304 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Das Skelet ist fast ganz zerstört; nur an wenigen Stellen erscheinen 
Sechsstrahler schwach angedeutet. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XIX, Fig. 5: gen. indet. Ein Stück der äusseren Oberfläche in 
natürl. Grösse, die unregelmässige Form und Anordnung der Ostia zeigend. 


V. Genus: Cypellia von Zırren 1878. 


13. Cypellia cf. rugosa GoLDr. sp. 
Taf. XIX, Fig. 6. 


1826—33. Scyphia rugosa Goupruss. Petref. I. Th. p. 9, Taf. 3, Fig. 6. 
1867. Scyphia rugosa v. HouesesGer. Denkschrift. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 


1877. Cypellia — v. Zırıen. Studien I. Abth. p. 53; N. J. für Min. p. 364, 
Taf. 4, Fig. 1a; Handb. d. Pal. I. Bd. p. 179, Fig. 94. 
1886. ? — —  Poöra. Mit, a. d. Jahrb. d. kg. ungar. geol. Anstalt. p. 118. 


Die Form ist gedrungen keulenförmig, etwas gekrümmt und seitlich 
zusammengedrückt, die Oberfläche rauh. In der Nähe des abgerundeten Ober- 
randes ist eine ringförmige Wulst vorhanden. Das Paragaster ist tief ein- 
gesenkt und ungefähr vom gleichen Durchmesser wie die Wand. Die Höhe 
des einzigen Exemplars beträgt ca. 80 mm; die Basis fehlt. Der Scheitel- 
Durchmesser misst ca. 45 mm, die Scheitel-Wand ca. 15 mm. Auf ange- 
schliffenen Horizontal- und medianen Vertical-Schnitten tritt das Canalsystem 
nur sehr undeutlich hervor. Das Skelet selbst ist vollkommen zerstört, ausser 
am Oberrande, wo grosse kreuzförmige Sechsstrahler an der intacten Ober- 
fläche sichtbar sind. 

Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Franken und nach 
von HOHENEGGER im mittleren weissen Jura von Krakau; nach Moxsc# im 
Aargauer Jura, ferner im Dogger (Zone der Oppelia aspidoides) des Fünf- 
kirchener Gebirges, Ungarn. 

Taf. XIX, Fig. 6. Oypellia cf. rugosa GoLpr. sp. Eine Parthie des 
Oberrandes in schwacher Loupenvergrösserung, die oberflächlich gelagerten 
grossen Sechsstrahler zeigend. 


VI. Genus: gen. indet. 
14. gen. indet. sp. 
Taf. XIX, Fie. 13, 13a, b. 
Der becherförmige Schwamm ist diekwandig und zeigt ein abwärts 
verengtes Paragaster. Ostia und Postica konnten nicht erkannt werden. Das 
Skelet ist nur in schwachen, undeutlichen Spuren erhalten, die eine sichere 


Siphonia. 305 


Erkennung desselben nicht zulassen. Vielleicht liegen Sechsstrahler mit durch- 
brochenen Kreuzungsknoten vor (Lychnisk), doch kann das Skelet möglicher- 
weise auch lithistid sein. Der an der Basis abgebrochene Schwamm wird 
von einer mit Kalkspath erfüllten Kluft durchsetzt, an der eine seitliche Ver- 
schiebung stattgefunden hat und ist übrigens stark von Salzsäure angegriffen. 
Untersuchte Stücke: 1 (4 Schliffe). Geologische Reichsanstalt Wien. 

Taf. XIX, Fig. 13. gen. indet. sp. in nat. Gr. 
a a „ 13a, b. Zwei besonders deutlich erhaltene Skeletparthien 

in Loupenvergrösserung. 


Ordnung: Lithistida ©. Scamipr. 
Unter-Ordnung: Tetracladina VON ZITTEL. 
VII. Genus: Siphonia Parkınson 1882. 


15. Siphonia strambergensis nov. Sp. 
Ta XIX Rio 7. 


Es liegen drei ganze Exemplare in leidlich gutem Zustande vor; das 
Skelet ist bei zweien verhältnissmässig gut erhalten. Tetracladine Elemente 
konnten darin ziemlich sicher erkannt werden; die feineren Contouren der 
Elemente entziehen sich jedoch der Beobachtung. Die Form der Schwämme, 
sowie besonders das Canalsystem stimmen durchaus mit Siphonia überein, 
und ich nehme daher auch keinen Anstand, die drei Schwämme zu der bislang 
auf die Kreideformation beschränkt gewesenen Gattung Siphonia zu stellen. 

In den feigen- bis birnförmigen, ungestielten Schwamm ist das Para- 
gaster tief röhrenförmig eingesenkt. Das aporrhysale Canalsystem besteht 
aus groben ceirculären, auch den unteren Theilen des Umfanges folgenden 
nicht auf der Aussenseite ausmündenden Bogencanälen. Nach dem Paragaster- 
boden zu werden diese Canäle immer steiler und stellen sich schliesslich am 
Boden selbst senkrecht, indem sie als Röhrenbündel bis in die Schwammbasis 
fortsetzen. Das epirrhysale System besteht aus etwas feineren Bogencanälen, 
die von einem zwischen dem Paragasterboden und der Schwammbasis gelegenen 
Punkte fächerförmig nach aussen und oben ausstrahlen. Das eine Exemplar 
zeigt deutlich vertiefte, rundliche Ostia. 

Untersuchte Stücke: 3. Geologische Reichsanstalt Wien, Palaeonto- 
logisches Museum München. 


Vorkommen: Stramberg. 


Taf. XIX, Fig. 7. Siphonia strambergensis nov. sp. Median- und 
Horizontalschnitt in nat. Grösse. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 20 


306 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


16. ? Siphonia sp. indet. 


Ein vereinzeltes, am Scheitel abgebrochenes kleines Exemplar mit zu- 
gespitzter und etwas gekrümmter Basis. Das nicht tief eingesenkte Paragaster 
ist etwas seitlich gerückt. Vom aporrhysalen Canalsystem sind nur die vom 
Paragasterboden bis in die Basis fortsetzenden Verticalcanäle zu beobachten. 
Das epirrhysale Canalsystem ist nur noch durch zerstreut auf der Aussen- 
fläche liegenden Ostia angedeutet. Auf der Aussenfläche konnten Spuren 
tetracladiner Skeletelemente ziemlich sicher erkannt werden, während im Innern 
des Schwammes das Skelet gänzlich zerstört ist. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 


Vorkommen: Wischliz. 


17. ? Siphonia sp. indet. 


Ein vereinzelter Schwamm von vielleicht birnförmiger Gestalt; die Basis 
fehlt. Das Paragaster ist eng röhrenförmig und tief eingesenkt. Vom Canal- 
system konnte nichts weiter als die rundlichen Ausmündungen der Epirrhysen 
beobachtet werden. Skeletelemente sind nicht zu erkennen. 

Bemerkungen: Von Siphonia strambergensis unterscheidet sich dieser 
Schwamm durch das viel engere Paragaster. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: ?Koniakau (ohne Etiquette). 


VIII. Genus: Jerea LAmouroux 1821. 


18. ? Jerea tithoniea nov. sp. 
Ta XIX RIE.29: 


Ein vereinzelter am Scheitel und an der Basis abgebrochener Schwamm 
von annähernd umgekehrt flaschenförmiger Gestalt liegt vor. Die fragliche Ver- 
einigung mit der bislang auf die mittlere und obere Kreide beschränkten Gattung 
Jerea ist lediglich auf die Form und das Canalsystem gegründet; die Erhaltung 
des Skelets gestattet nicht, tetracladine Elemente mit Sicherheit zu erkennen. 
Das aporrhysale Canalsystem besteht aus emem dicken Bündel eng gestellter 
Verticalecanäle, das den Schwamm in semer ganzen Höhe durchsetzt; die 
peripherisch gestellten Canäle verlaufen in einer, mehr dem äusseren Umriss 
entsprechenden Biegung und scheinen zum Theil in die Aussenfläche auszu- 
münden (Naren). Ein epirrhysales System konnte nicht erkannt werden. Die 
Skeletelemente sind anscheinend von ansehnlicher Grösse, 


? Jerea. 307 


Bemerkungen: Von den Kreidearten unterscheidet sich die Stramberger 

Form vornehmlich durch die zahlreicheren und viel feineren Verticalröhren. 
Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 
Vorkommen: Stramberg. 


Taf. XIX, Fig. 9. ? Jerea tithonica nov. sp., verticaler Medianschnitt 
und etwas geneigter horizontaler Querschnitt in natürl. Grösse; letzterer zeigt 
deutlich die rundlichen Querschnitte der feinen Verticalröhren. 


19. ? Jerea (? Jereica) sp. 


Es liegt nur ein Bruchstück vor, welchem der Scheitel und die Basis 
fehlen. Vom Skelet ist nichts mehr zu erkennnen, so dass der Schwamm 
ebensogut auf die in Gestalt und Canalsystem Jerea ganz ähnliche rhizomorine 
Gattung Jereica bezogen werden könnte. Die Form ist bedeutend bauchiger 
als die vorhergehende. Ein centrales Bündel aporrhysaler, zum Theil hohler 
Verticalcanäle ist vorhanden; Epirrhysen konnten nicht erkannt werden. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Kotzobenz. 


20. ? Jerea nov. Sp. 
Taf. XIX, Fig. 10, 10a, b. 


Diese kleine, birn- bis kolbenförmige Art, die an der Basis abgebrochen 
ist, hat einen abgestutzten und etwas vertieften Scheitel. Auf der Seiten- 
fläche, da wo der Schwamm am stärksten ist, ist ein deutlich ausgeprägter, 
horizontaler Rand vorhanden. Oberhalb dieses Randes ist die Oberfläche 
rauh, unterhalb glatter. Das aporrhysale Canalsystem besteht aus wenig zahl- 
reichen aber verhältnissmässig groben Verticalcanälen, neben denen nach 
aussen zu auch mehr dem Schwammumriss parallel verlaufende Bogencanäle 
sich geltend machen. Die Aporrhysen münden in dem vertieften Scheitel. 
Ein epirrhysales Canalsystem konnte nicht erkannt werden. Die groben 
Skeletelemente sind zweifellos tetracladin, ihre feineren Contouren sind der 
3eobachtung allerdings nicht mehr zugänglich. 


Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. 
Vorkommen: Stramberg. 
Taf. XIX, Fig. 10. ? Jerea nov. sp., Aussenseite in nat. Grösse. 
: A el, N »  „»  WVerticaler Medianschnitt (andere 
Hälfte) in nat. Grösse. 
Taf. XIX, Fig. 10b. ? Jerea nov. sp., Skeletparthie aus der angeschliffenen, 
verticalen Medianfläche in Loupenvergrösserung. 
20* 


308 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Unter-Ordnung: Anomocladina voN ZITTEL. 
IX. Genus: CGylindrophyma vox Zırren 1878. 
21. ? Cylindrophyma sp. 


Ein vereinzelter Schwamm, der vielleicht dieser Gattung zuzurechnen 
ist. Da das Skelet vollständig zerstört ist, musste die fragliche Vereinigung 
mit der anomocladinen Gattung Oylindrophyma daher lediglich auf die äussere 
Form begründet werden. 

Bemerkungen: Von Oylindrophyma milleporata unterscheidet sich die 
Stramberger Form äusserlich durch die gedrungenere Gestalt. 

Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg. 


X. Genus: Melonella vox Zırren 1878. 
22. Melonella cf. radiata QuUENSTEDT sp. 


1826— 833. Siphonia pyriformis pars Goupruss. Petref. I. Th. p. 97. Taf. 35, Fig. 10, 
non Taf. 6, Fig. 7. 

1858. Siphonia radiata QuEnstept. Der Jura, p. 679. Taf. 82, Fig. 13. 

1876—78. Siphonia radiata Quessteor. Petref. Bd. 5, p. 249. Taf. 126, Fig. 60—72. 

1878. Melonella radiata v. Zırter. Studien. I. Abth. p. 71. Taf. 5, Fig. 7. 

1882. — — Bkruper. Sitzungsber. d. Wien. Akad. Jahrg. 1882. p. 465. 

1883. — —  Hinoe. Cat. of the foss. Sponges p. 56. 


Es liegen zwei Exemplare vor, von denen das eine apfelförmige, das 
andere mehr birnförmige Gestalt hat. Das Paragaster ist tief trichterförmig 
eingesenkt. Das Canalsystem tritt nur sehr undeutlich in Erscheinung, doch 
was vorhanden ist, deutet auf ein meridional angelegtes aporrhysales und ein 
von der Basis des Paragasters nach oben und aussen in schräger Richtung 
strahlendes epirrhysales System hm. Die rundlichen Ostia sind leidlich zu 
erkennen. Vom Skelet ist sehr wenig zu sehen, doch deutet das Erkennbare 
am meisten auf anomocladine Elemente hin. Bei dem apfelförmigen Exemplar 
glaubt man wenigstens Elemente von verdiekten Centren mit darausstrahlenden 
glatten Strahlen zu erkennen. 

Bemerkungen: Der apfelförmige Schwamm ähnelt sehr der von QuEx- 
stepr Taf. 126, Fig. 64 abgebildeten Siphonia radiata aus dem weissen Jura 
ö von der Alp; nur ist bei dem Stramberger Schwamm das Paragaster nicht 
ganz so tief eingesenkt. Das andere mehr birmförmige Exemplar gleicht in 
seiner Gestalt der auf derselben Tafel Fig. 72 abgebildeten Siphonia radiata 
ovalis aus dem weissen Jura ö von Heuberg. 


?nov. gen. Sp. 309 


Untersuchte Stücke: 2. Geologische Reichsanstalt Wien, 

Vorkommen: Stramberg; ferner im Oberen Jura von Franken und 
Schwaben, und nach MozscH im Aargauer Jura, ferner bei Sternberg in 
Böhmen. 


XI, Genus: ?nov. gen. 
23. ?!nov. gen. Sp. 
Taf. XIX, Fig. 8, 8a. 

Es liegt nur ein Exemplar vor, dessen Skelet ebenfalls eine so schlechte 
Erhaltung aufweist, dass die anomocladine Natur desselben mit Sicherheit nicht 
erkannt werden konnte. Die Gestalt ist kreiselförmig. Die äussere Oberfläche 
erscheint rauh, besonders nach dem Oberrande zu. In der Mitte des Scheitels 
senkt sich das im Querschnitt unregelmässig rundliche Paragaster bis etwas 
über die halbe Höhe des Schwammes ein. Das Canalsystem ist gut kenntlich. 
Das aporrhysale System besteht aus im oberen Theile des Schwammes zumeist 
nur der Scheitelfläche parallel verlaufenden groben Bogencanälen, die, wie 
es scheint, zum Theil an der Aussenseite ausmünden (? Naren). Die Aporr- 
hysen biegen sich nach der Basis zu mehr und mehr nach unten und stellen 
sich am Boden des Paragasters senkrecht. Das epirrhysale System besteht 
aus sehr feinen, gedrängt stehenden Canälen, die fächerförmig von der Basis 
aus nach der Scheitel- und der Seitenfläche ausstrahlen. 

Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XIX, Fig. 8, ?nov. gen. sp., Aeussere Oberfläche in nat. Grösse. 
8a., Verticaler Medianschnitt in nat. Grösse. 


b)] ” ” 


XI. Genus: ?nov. gen. 
24. !nov. gen. Sp. 
Taf. XIX, Fig. 12, 122. 

Die Zugehörigkeit auch dieses, nur in einem einzigen Exemplar vor- 
liegenden Exemplares zu den Anomocladinen ist eine unsichere. Das Wenige, 
was vom Skelet noch erkannt werden konnte, deutet noch am meisten auf 
anomocladine Elemente hin. 

Die Form ist umgekehrt kegelförmig, die Scheitelfläche etwas gewölbt. 
Ein Paragaster fehlt; dafür wird der Schwamm in seiner ganzen Höhe von 
einem dieken Bündel unregelmässig wellig gebogener Verticalröhren durch- 
setzt. Aporrhysale Bogencanäle scheinen nicht entwickelt. Ein besonderes 
epirrhysales Canalsystem konnte nicht erkannt werden. 

Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 


310 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Vorkommen: Stramberg. 
Taf. XIX, Fig. 12, ?nov. gen. sp. Verticaler Medianschnitt in nat. Gr. 
hs 5 „ 12a. Halber Querschnitt nahe der Scheitelfläche, in nat. 
Grösse. 


Unter-Ordnung: Rhizomorina von ZITTEL. 
XIII. Genus: Cnemidiastrum vox Zımten 1878. 
25. ? Cnemidiastrum sp. 


Nicht ohne Zweifel stelle ich ein vereinzeltes Bruchstück zu dieser 
Gattung. Da vom Skelet nichts mehr erhalten geblieben ist, wurde die 
Stellung zu der rhizomorinen Gattung Cnemidiastrum daher lediglich auf 
Form und Canalsystem gegründet. Die Gestalt ist wahrscheinlich kreisel- bis 
pilzförmig; der Scheitel vertieft. Die rissige Oberfläche deutet unschwer die 
für Onemidiastrum charakteristischen, welligen Radialspalten an; der Median- 
schnitt lässt auch thatsächlich die Querdurchschnitte dicht übereinander 
liegender Aporrhysen erkennen, die zuweilen miteinander verschmelzen, so 
dass wirkliche radiale Canalspalten entstehen. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Stramberg. 


26. ? Cnemidiastrum sp. 


Die zwei vorhandenen Bruchstücke deuten auf eine walzenförmige Ge- 
stalt hin. Die Skeletform ist nicht mehr zu erkennen; die Vermuthung, dass 
Onemidiastrum vorliegt, stützt sich lediglich darauf, dass auf der verticalen 
medianen Schnittfläche in ähnlicher Weise wie bei der vorigen Art das apor- 
ıhysale Canalsystem zu beobachten ist. 

Untersuchte Stücke: 2 (1 Schliff). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg, ? Wischlitz. 


XIV. Genus: Hyalotragos von Zımteu 1978. 


27. Hyalotragos cf. pezizoides GoLDF. Sp. 
Par XIX Bier 11: 


1826—33. Tragos pezizoides Goupruss. Petref. Germ. I. Th. p. 13, Taf. 5, Fig. 8. 
1867. Tragos pezizoides v. HonzxesGer. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 
187678. Tragos fistulosum Quensteor. Petref. Bd. 5, p. 278, Taf. 128, Fig. 15—23. 
1878. Hyalotragos pezizoides v. ZınteL. Stud. üb. foss. Spong. II. Abth, p. 112. 


Seytalia. 511 


1883. Hyalotragos pezizoides Hınpe. Cat. foss. Sp. p. 30. 
1887. — cf. — Bruper. Palaeontologische Beiträge zur Kenntniss 
der nordböhmischen Juragebilde, Lotos, Neue Folge Bd. 8, p. 24. 

Das kreiselförmige, mit vertieftem Scheitel versehene Exemplar fordert 
durch seinen ganzen Habitus zu einem Vergleich mit HAyalotragos pezizoides 
Gorpr. sp. auf. Von dem Hyalotragos kennzeichnenden Canalsystem zeigt 
der abgebildete, verticale Medianschnitt im Centrum deutlich die vom Scheitel 
bis zur Basis reichenden aporrhysalen Verticalröhren, neben denen sich aber, 
auch seitlich ebenfalls vom Scheitel kommende, aporrhysale, gebogene Canäle 
geltend machen, welche die Basis nicht erreichen, sondern, wie es scheint, zum 
Theil seitlich münden (? Naren). Ein besonderes epirrhysales Canalsystem 
konnte in dem vorliegenden vereinzelten Exemplar nicht erkannt werden. 
Die rhizomorine Natur des Skelets ist verhältnissmässig gut kenntlich trotz 
der vorhandenen Verdickungen der einzelnen Elemente; letztere erscheinen 
gross und locker miteinander verflochten. 

Untersuchte Stücke: 1; (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. 

Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben und Fran- 
ken, nach Mozscr im Aargauer Jura, ferner in Polen und bei Sternberg im 
nördlichen Böhmen und nach von HoHENEGGER im mitt]. weiss. Jura der Um- 
gegend von Krakau. 

Taf. XIX, Fig. 11. Hyalotragos cf. pezizoides GoLvF. sp. Verticaler 
Medianschnitt in nat. Grösse. 


XV. Genus: Platychonia von Zımteu 1878. 
28. ? Platychonia sp. 

Es liegen zwei Exemplare vor, die, nach ihrer mehr oder weniger blatt- 
förmigen Gestalt zu schliessen, vielleicht dieser Gattung angehören. Vom 
Skelet sind nicht einmal Spuren erhalten geblieben. 

Untersuchte Stücke: 2. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Stramberg. 


XVI. Genus: Seytalia vox ZımteL 1878. 


29. Seytalia tithonica nov. sp. 
Taf. XIX, Fig. 14, 14a. 


Die Gestalt ist walzenförmig, die Basis zugespitzt. Der Scheitel ist schwach 
gewölbt, das Paragaster eng röhrenförmig, fast bis zur Basis reichend. In das 
Paragaster münden zahlreiche, bogenförmige Aporrhysen, die meistens unver- 
ästelt mit fast gleich bleibendem Durchmesser bis in die Nähe der Oberfläche 


3123 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


reichen. Nach der Basis zu krümmen sich die Aporrhysen mehr und mehr 
nach unten und gehen schliesslich am Boden des Paragasters in Vertical- 
canäle über, die bis in die Basis fortsetzen. Die Epirrhysen sind ausser- 
ordentlich fein und zumeist nur durch die vom Paragasterboden aus in 
schräger Richtung nach oben und aussen strahlenden Skeletzüge angedeutet. 
Das Skelet ist verhältnissmässig gut erhalten, so dass die rhizomorine Natur 
desselben sicher erkannt werden konnte, wenngleich die feineren Contouren 
der Elemente durch Verdickungen zumeist der Beobachtung entzogen sind. 
Rhabden, die nach von Zıtteu der Gattung Seytalia auch eigenthümlich sind, 
treten als kleine isolirte rundliche Querschnitte in Erscheinung. 

Untersuchte Stücke: 1. Vielleicht gehört hierher noch ein zweiter 
schlecht erhaltener Schwamm von Willamowitz. Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg, ? Willamowitz. 

Taf. XIX, Fig. 14. Seytalia tithonica n. sp. Verticaler Medianschnitt 
in natürl. Grösse. 

Taf. XIX, Fig. 14a. Skelet in Loupenvergrösserung. Im Gegensatz 
zur sonstigen Darstellung ist das Skelet hier aus Versehen dunkel gehalten, 
die Gesteinsmasse hingegen hell. Diese Darstellung entspricht eigentlich dem 
wirklichen Bilde bei auffallendem Lichte. 


Classe: Calcarea Gray. 
Ordnung: Dialytina RAurr. 
Familie: Pharetronidae von ZITTEL. 
XVII. Genus: Eudea Lamourovx 1821. 
50. Eudea cf. perforata QUENSTEDT sp. 


1858. Spongites perforatus QuEnstept. Der Jura p. 698, Taf. 84, Fig. 26, 27. 
1876— 78. Orispongia perforata Quenstepr. Petref Bd. 5, p 192, Taf. 124, Fig. 22—28. 
1879. Eudea perforata v. Zurret, Studien, III. Abth. p. 27 u. N. J. für Min. etc. p. 22. 
1883. — = Hınoe. Cat. of the foss. Sponges p. 162. 
1837. _ n— Bruper. Palaeontolog, Beitr. zur Kenntn. d. nordböhmisch. 
Juragebilde, Lotos, Neue Folge, Bd. 8, p. 17, Taf. 2, Fig. 5a, b. 
Der nur in einem einzigen Exemplare vorliegende kleine keulenförmige 
Schwamm steht in Grösse und Form der von Quexstent Taf. 124, Fie. 25 
aus dem weissen Jura g von Nattheim abgebildeten Art am nächsten; die 
Stramberger Form ist ein klein wenig schlanker gebaut. Sie ist mit 
Ausnahme des Scheitels mit einer glatten, dichten Deckschicht versehen, 
in der nur ganz wenig gerandete rundliche Ostia liegen, die einen unge- 
fähren Durchmesser von 0,5 mm besitzen. Soweit erkannt werden konnte, 


Eudea. 313 


sind die mit diesen Ostien in Verbindung stehenden Vertiefungen ausser- 
ordentlich seicht. Ein weiteres Canalsystem zeigt der Schwamm nicht, wenig- 
stens konnte davon weder im verticalen Medianschnitt noch im Scheitel- und 
Wurzel-Querschnitt etwas bemerkt werden. Das Paragaster ist spitz trichter- 
förmig. Die groben im Mittel etwa 0,2 mm dicken Skeletfasern heben sich 
im durchfallenden und auffallenden Licht scharf von der zum grössten Teile 
in Kalkspath umgewandelten Gesteinsmasse ab. Stellenweise zeigt das Sedi- 
ment geringere Krystallisationsgrade, in welchem Falle die Grenze von Faser 
nnd Sediment mehr oder minder verschwommen ist. Die im auffallenden 
Lichte weisslich, im durchfallenden dagegen schmutzig grau erscheinende 
Faser hat auch an der Krystallisation Theil genommen. Skeletelemente sind 
nicht erhalten geblieben; alles, was man dafür anzusehen geneigt sein dürfte, 
sind Scheingebilde, die entweder Krystallgrenzen oder mit solchen in Ver- 
bindung stehenden Rissen ihre Entstehung verdanken. (Faser-Typus Taf. XX, 
Fig. 3a). 

Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaentolog. Museum München. 

Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben; nach 
MozscH im Aargauer Jura; ? Caquarelle (Jura bernois); Sternberg im nörd- 
lichen Böhmen. 


31. Eudea globata Quexstenr sp. 
Taf. XX, Fig. 18, 18a, b. 

1876— 78. Orispongia globata Quensteor. Petref. Bd. 5, p. 195, Taf. 124, Fig. 29—34. 

1879. Eudea globata v. Zırser. Studien, III. Abth. p. 27. 

1883. _ — Hmopr. Cat. of the foss. Sponges p. 162. 

Von dieser Art liegt nur ein vereinzeltes Exemplar vor, das von Kudea 
globata QUENSTEDT sp. nicht zu unterscheiden ist. Der kleine birnförmige 
Schwamm zeigt wiederum mit Ausnahme des Scheitels die characteristische 
glatte und dichte Deckschicht, die jedoch stellenweise abgerieben ist, so dass 
die Fasern sichtbar werden. Die Deckschicht wird unterbrochen von grossen, 
rundlichen, ziemlich stark gerandeten Ostien, deren Durchmesser im Mittel 
etwa 1,5 mm beträgt. Einen gleichen Durchmesser besitzt am Scheitel das 
den Schwamm bis in die Nähe der Basis durchsetzende Paragaster. Auf der 
verticalen medianen Schlifffläche sind unmittelbar am Paragaster Spuren von 
Aporrhysen angedeutet; sonst ist von einem besonderen Canalsystem nichts 
zu beobachten. Die Skeletfasern sind nicht ganz so grob wie bei der vor- 
hergehenden Art; ihr Durchmesser beträgt im Mittel etwa 0,18 mm. Die 
Faser hebt sich scharf gegen das in körnigen Kalkspath umgewandelte Sedi- 
ment ab. Auch die Faser ist krystallin geworden, zeigt aber im Gegensatze 
zu der fast aller übrigen Pharetronen radialstrahlige Structur. Nadeln konnten 
nicht erkannt werden. 


314 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: ?Chlebowitz (ohne Etiquette); ferner im Oberen Jura 
von Schwaben und ? Franken. 

Fig. 18. Eudea globata Quenstevr sp. Seitenansicht in 2facher Ver- 

grösserung. 
Fig. 15a. Verticaler Medianschnitt in 2facher Vergrösserung. 
Fig. 18b. Faser in 180 facher Vergrösserung. 


XVIII. Genus: Peronidella (antea Peronella) von Zırren. 1879. 


32. ? Peronidella cf. eylindrieca GoLDrF. sp. 
Taf. XX, Fig, 1. 


1826— 833. Scyphia eylindrica Goupruss. Petref. I. Th. p. 5, Taf. 2, Fig. 3 und 
Taf. 3, Fig. 12. 

1826—33. Scyphia elegans Goupruss. Petref. I. Th. p. 5, Taf. 2, Fig. 5, 13. 

1848. Scyphia eylindrica M’Coy. Ann. u. Mag. Nat. Hist. Bd. 2, p. 418. 


1867. _ —_ v. HouenesGer. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 

1876—78. Spongites eylindricus Quexstror. Petref. Bd. 5, p. 172, Taf. 123, Fig. 6, 
7, 9-15. 

1879. Peronella cylindrica v. Zırıet. Studien III. Abth. p. 32. 

18831. cd — Bruper. Sitzungsber. d. Wiener Akademie Jahrg. 81, 


p- 97 u. N. J. p. 25, Taf. II, Fig. 4. 
1883. Peronella cylindrica Hınpe. Cat. of the foss. Sponges p. 167, Taf. 33, Fig. 4. 


Der cylindrische, diekwandige Schwamm ist 45 mm hoch und 14 mm 
diek; das Paragaster besitzt einen Durchmesser von nur 3 mm. Die im 
Mittel etwa 0,16 mm dicken Fasern bilden ein lockeres wirres Geflecht. 
Im auffallenden Lichte heben sich die weisslich erscheinenden Fasern im All- 
gemeinen gut von dem dunkelen, graubraunen Sedimente ab. Im durchfallen- 
den Lichte sind die Grenzen bei Weitem weniger scharf, da das Sediment 
ausnahmsweise nur einen geringen Grad der Aufhellung erfahren hat und 
auch die Fasern nur geringe Krystallisationsgrade zeigen. Nadeln sind nur 
in Spuren erhalten geblieben (Triod, ? Rhabd.); stellenweise machen sich 
faserige Structuren geltend, die gebogene Stabnadeln vortäuschen können. 

Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Kotzobenz; ferner im Ob. Jura: Schwaben und Franken 
und nach Mozsc# im Aargauer Jura; ferner ? Coralline Oolith: Malton, York- 
shire; ferner Ob. Jura von Sternberg in Böhmen. 

Taf. XX, Fig. 1. ? Peronidella cf. cylindrica GoLpr. sp. Faser in 180- 
facher Vergrösserung mit Nadelspuren (Triod, ? Rhabd.) 


Peronidella. 315 


33. Peronidella tithonica nov. sp. 
Taf. XX, Fig. 16, 16a, b, 17. 


Diese Art ist klein, cylindrisch, diekfaserig. Die Aussenfläche ist mit 
groben, unregelmässig geformten Poren von verschiedener Grösse versehen, 
welche sich lediglich als Lücken des wirren Faserskelets erweisen. Die eben- 
falls Skeletlücken darstellenden groben Poren auf der Innenseite der Wand 
scheinen eine mehr regelmässig rundliche Form zu besitzen und weniger in 
der Grösse zu differiren. Die Faser, deren mittlerer Durchmesser etwa 
0,26 mm beträgt, hebt sich in auffallendem wie durchfallendem Licht scharf 
gegen das völlig m Kalkspath umgewandelte Sediment ab. Nadeln konnten 
in der krystallinen Faser mit Sicherheit nicht mehr erkannt werden. (Faser- 
Typus annähernd Taf. XX, Fig. 3a, doch ohne faserige Structuren an den 
Rändern der Faser.) 

Untersuchte Stücke: 6 Bruchstücke (4 Schliffe). Palaeontologi- 
sches Museum München. 

Vorkommen: Chlebowitz. 

Taf. XX, Fig. 16.  Peronidella tithonica, äussere Oberfläche. 

3 „ 16a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. 
en „  16b. Dasselbe Exemplar; der tangentiale Verticalschnitt 
der Paragasterwand zeigt die mehr rundlichen 
Poren der Wand-Innenseite. 
n R »„ 17.  Horizontaler Querschnitt eines zweiten Exemplars. 
Alle Figuren in 1'/2facher Vergrösserung. 


34. Peronidella sp. 


Eine kleine, nur in einem Exemplar vorhandene Art von etwa 9 mm Höhe, 
4 mm Dicke und 0,5 mm Paragaster-Durchmesser liegt vor. Die Oberflächen- 
Poren sind fein, Auf der Oberfläche ist stellenweise eine dichte Deckschicht 
vorhanden. Die Faser misst im Mittel etwa 0,17 mm; sie grenzt sich im 
auffallenden Lichte wenig deutlich, im durchfallenden hingegen sehr scharf 
gegen das zum Theil völlig in Kalkspath, zum Theil erst m einem geringen 
Aufhellungsstadium befindliche Sediment ab. Nadeln konnten in der mehr oder 
minder krystallinen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden; an den 
Rändern der Faser machen sich faserige Structuren geltend, die gebogene 
Stabnadeln vortäuschen können (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3a). 

Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaentologisches Museum 
München. 


316 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Vorkommen: Stramberg. 

Hierher gehört vielleicht noch ein Bruckstück von grösseren Dimen- 
sionen, das ebenfalls von Stramberg stammt. Die Faser ist gleich dick und 
die Deckschicht ebenfalls vorhanden. 


XIX. Genus: Eusiphonella vox Zınter. 1379. 


35. ? Eusiphonella cf. Bronni Münster sp. 
Al 20 dien ala alseı, 10: 

1826-83. Scyphia Bronni Münster in Goror. Petref. I. Th. p. 91, Taf. 33, Fig. 9. 

1854. Sceyphia Bronni Morrıs. Cat. Brit. Foss. p. 29. 

1859. Siphonocoelia elegans Fromenter. Introd. a Petude des &eponges foss p. 31, 

Taf. 1, Fig. 7. 
1559. Pareudea Bronni Kratvox. Etudes paleontologiques sur les terrains jur. du 
i Haut-Jura II. Th. p. 142. 
1864. Pareudea gracilis Erauton. Leth. Bruntr. p. 421, Taf. 58, Fig. 30. 
1876—78. Scyphia Bronni Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 183, Taf. 124, Fig. 1—15. 
1879. Eusiphonella Bronni v. Zırter. Stud. III. Abth. p. 35 und Handb. d. Pal. 
Ba. I, p. 191, Fig. 109. 

1883. Eusiphonella Bronni Hınve Cat. of. Br. foss. Sponges p. 178. 

1883. (?) Peronella ? Bronni Porrıs. Sui Terreni stratificati di Argentera (Valle 
della Stura di Cuneo). Memorie della Reale 
Accademia della Scienze di Torino. 2. ser. 
Bd. 34, p. 72, 77. 

Es liegt nur ein einziges Fragment vor; Basis und Scheitel fehlen. Die 
generische Bestimmung musste zweifelhaft gelassen werden. Gehört diese 
Form thatsächlich zu Busiphonella, so steht sie der Eusiphonella Bronmni 
Münster sp. zum mindesten nahe. Der cylindrische, dünnwandige Schwamm 
ist mit horizontalen Einschnürungen versehen, wie sie theilweise auch die von 
Quensteor Taf. 124, Fig. 1—15 abgebildeten Exemplare der Scyphia Bronni 
zeigen. Die Eusiphonella eigenthümliche Form und Anordnung der Postica 
konnte an einem kleinen, freigelegten Theile der Paragasterwand mit Sicherheit 
nicht erkannt werden, doch sind Andeutungen davon vorhanden. Ebensowenig 
konnten in Verticalschnitten horizontale Aporrhysen nachgewiesen werden. 
Dafür zeigt aber der horizontale Querschnitt in der Nähe der Basis (Taf. XX, 
Fig. 15a) regelmässige Unterbrechungen, die als Postica gedeutet werden 
müssen. Ein ähnliches Bild gibt Quexsreor Taf. 124, Fig. 4. Die zarten, im 
Mittel etwa nur 0,09 mm dicken Skeletfasern bilden ein lockeres Geflecht, sie 
heben sich im auffallenden und durchfallenden Lichte ziemlich scharf von dem 
dunkelen, nur einen ganz geringen Grad der Aufhellung zeigenden Sediment ab. 
Die Fasern befinden sich in einem ziemlich hohen Krystallisationsstadium; 
trotzdem sind Nadelspuren, die auf verschiedenwinkelige Triode hindeuten, 
erhalten geblieben. Nur einmal wurde ein verhältnissmässig gut erhaltenes 


Corynella. 517 


Triod beobachtet (Taf. XX, Fig. 15b), dessen Contouren bei dem Uebergang 
der Faser in den krystallinischen Zustand fast ganz erhalten geblieben sind. 
Zwischen gekreuzten Nicols erweist sich dieser Dreistrahler aber nicht mehr 
als ein einheitlicher Krystall wie die recenten Nadeln, sondern als aus meh- 
reren Krystallindividuen zusammengesetzt, die zum Theil auch noch über 
die Contouren hinaus in die Faser hineinragen. Ein Theil der Schliffe gibt 
auch den Faser-Typus Taf. XX, Fig. 21, 22 (Vortäuschung grosser Triode). 

Untersuchte Stücke: 1 (6 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: ? Wischlitz (ohne Etiquette); ferner Oberer Jura: Schwaben, 
Aargau; ?Argentera (Valle della Sturia di Cuneo) Nord-Italien; (Corallien) 
Caquerelle, Saint Claude; ferner im Dogger: (Great Oolite) Minchinhampton 
(Morrıs). 

Taf. XX, Fig. 15. Eusiphonella ef. Bronni in 1'/efacher Vergrösserung. 

3 a „ 15a. Horizontaler Querschnitt in der Nähe der Basis, in 
1'/sfacher Vergrösserung. 
„  15b. Skelet (Dreistrahler), in 180facher Vergrösserung. 


XX,. Genus: Corynella vox ZırtEL. 1879, 


Vox ZırTEu hebt als Hauptunterscheidungsmerkmal dieser Gattung gegen 
die äusserlich sehr ähnliche Gattung Peronidella (antea Peronella) das Vor- 
handensein eines Canalsystems hervor. Die groben Skeletfasern sind nach ihm 
hauptsächlich aus einfachen Stabnadeln zusammengesetzt, zwischen denen 
jedoch auch vereinzelt grosse Dreistrahler liegen. 

Vox Dunıkowskt ergänzt diese Diagnose auf Grund seiner Untersuchungen 
der Essener Formen folgendermassen: „Skelet hauptsächlich aus Dreistrahlern, 
ferner aus Stabnadeln und Vierstrahlern bestehend. Ein Hauptmerkmal dieser 
Gattung ist das Ueberwiegen der unregelmässigen Dreistrahler.“ 

Hınoe glaubt dagegen dem Canalsystem nicht die Bedeutung eines gene- 
rischen Unterscheidungsmerkmals beilegen zu können, da es nach seinen 
Beobachtungen eine wechselnde Entwicklung zeigt. So kann bei verschie- 
denen Individuen ein und derselben Species — z. B. bei Corynella foraminosa 
aus dem unteren Grünsand von Farringdon — das Canalsystem vorhanden 
sein oder ganz fehlen. Hınpe hält dafür, dass das Skelet allein ein sicheres 
Unterscheidungsmerkmal bietet. Dasselbe besteht nach ihm, wenn man als 
Typus der Gattung Corynella foraminosa GoLDF. sp. zu Grunde legt — die 
triasischen und jurassischen Formen zeigten keine Skeletelemente mehr — aus 
kleinen „filiform“, Dreistrahlern, die im Allgemeinen parallel miteinander in 
der Richtung der Faser angeordnet sind. Bei besonders günstigen Exemplaren 


318 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


zeigt die Oberfläche eine Schicht verhältnissmässig grosser Drei- und Vier- 
strahler. Stabnadeln hat Hmpe mit Sicherheit nicht nachweisen können. 

In seiner, im Erscheinen begriffenen Monographie der „British fossil 
Sponges“ gibt HınpE eine etwas veränderte Skeletdiagnose: „Skeletal fibres 
f three rayes-spicules; tuning-fork spicules and four-rayes spicules are 
present in some species“ (Palaeontological Society 1893, p. 220). 

Pocra erkannte hingegen, dass bei den böhmischen Kreide-Corynellen, 
die Faser meist aus Stabnadeln besteht, denen sich Dreistrahler von ver- 
schiedener Form zugesellen, und befindet sich mit dieser Beobachtung in 
Uebereinstimmung mit von ZITTEL. 

Die Stramberger Formen besitzen sämmtlich ein Canalsystem. Leider 
erlaubt ihr wenig günstiger Erhaltungszustand nicht, zur Skeletfrage Stellung 
zu nehmen. Vereinzelt konnten in der Faser verschiedenwinkelige Triode 
erkannt werden. 


36. Corynella afl. costata Sraun sp. 
Mat, XRRie32,213% 


1824. Alcyonites costata Srauı. Correspondenzblatt der Württemb. landw. Ver. 


p- 84, Fig. 29. 
1876— 78. Spongites astrophorus alatus (Juenstept. Petref. Bd. 5, p. 207, Taf. 124, 
Fig. 54—57. 
1879. Corynella costata v. Zırtet. Studien, III. Abth. p. 36. 
1883. _ — Himopr. Cat. of the foss. Sponges p. 180. 


Die nur in einem Exemplare vorliegende Form steht dieser Species zum 
Mindesten sehr nahe. Die Basis fehlt, doch lässt das vorhandene Fragment 
auf eine mehr oder minder cylindrische Gestalt schliessen. Der Oberrand ist 
abgerundet, der Scheitel schwach vertieft. Die Rippen treten nicht so stark 
hervor, wie bei den von Quaexsteor Taf. 124, Fig. 54—57 abgebildeten 
Exemplaren, auch setzen sie nicht über die ganze Oberfläche fort, sondern 
erleiden Unterbrechungen. Die Rippen erscheinen überhaupt weniger dem 
Schwammkörper aufgesetzt, als vielmehr durch grosse, länglich ovale Aus- 
buchtungen desselben hervorgerufen zu sein. Vereinzelt sind seicht in die 
Skeletmasse eingesenkte Ostia vorhanden, von denen auf der nackten Ober- 
fläche strahlenförmig sich manchmal verzweigende, offene Rinnen auslaufen. 
Das trichterförmige Paragaster reicht nicht bis zur Basis. Das aporrhysale 
Canalsystem besteht aus ziemlich groben, horizontalen, graden bis schwach 
bogenförmig gekrümmten, sich manchmal gabelnden Radialeanälen. Ein be- 
sonders epirrhysales System Konnte nicht erkannt werden. Das Skelet besteht 
aus einem wirren Geflecht ziemlich grober Fasern. Die Fasern haben eine 
mittlere Dicke von etwa 0,18 mm, in ihnen konnten verschiedenwinklige 


Corynella. 319 


Triode mit ziemlicher Sicherheit erkannt werden. (Faser-Typus annähernd 
Taf. XX, Fig. 1). Im auffallenden Lichte heben sich die Fasern zum Theil 
ziemlich scharf, im durchfallenden jedoch nur undeutlich yon der Gesteins- 
masse ab. Das Sediment ist zum Theil in Kalkspath umgewandelt, zum 
Theil findet sich noch fast ursprüngliches, nur eine geringe Aufhellung zei- 
gendes Sediment vor. Die Ausfüllungsmasse der Aporrhysen ist im Gegen- 
satze zur normalen Erhaltungsweise zumeist völlig in Kalkspath umgewandelt. 

Untersuchte Stücke: 1 (2 Schlifte). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: ?Koniakau (ohne Etiquette); ferner Oberer Jura: 
Schwaben; Aargau. 

Taf. XX, Fig. 2. Corynella aft. costata Stau sp. Seitenansicht im 
natürlicher Grösse. 

Taf. XX, Fig. 2a. Verticaler Medianschnitt in nat. Gr., andere Hälfte 
desselben Exemplars. 


37. Corynella sp. 


Es liegen drei unvollständige, schlecht erhaltene Exemplare von cy- 
lindrischer bis kolbenförmiger Gestalt vor. Epirrhysen und Aporrhysen sind 
vorhanden. Das tief eingesenkte Paragaster reicht bis in die Nähe der Basis. 
Es ist möglich, dass sie bei besserer Erhaltung speecifisch getrennt werden 
müssten. Die Faser ist bei allen drei Exemplaren ziemlich gleich dick, im 
Mittel etwa 0,23 mm. Im auffallenden wie im durchfallenden Lichte er- 
scheinen die Fasern sehr wenig scharf begrenzt. Das Sediment ist zum 
Theil in Kalkspath umgewandelt, zum Theil aber noch im Zustande der vor- 
geschrittenen oolithischen Structuren. Die krystalline Faser zeigt an ihren 
Rändern Structuren, wie sie auf Taf. XX, Fig. 3a dargestellt sind. Nadeln 
konnten mit Sicherheit nicht erkannt werden. (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3 a.) 

Untersuchte Stücke: 3 (4 Schliffe). Palaeontglogisches Museum 
München. Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg. 


38. Corynella sp. 
Taf. XX, Fig. 4. 

Ein Bruchstück unterscheidet sich von den vorigen bei sonst gleicher 
Grösse hauptsächlich durch dünnere Fasern, welche eine mittlere Dicke von 
etwa 0,5 mm besitzen und sich im auffallenden Lichte scharf, im durch- 
fallenden zum Theil weniger scharf von dem Sediment abheben. Letzteres ist 


390 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


theilweise in Kalkspath umgewandelt, zum Theil im Zustande der vorgeschrit- 
tenen oolithischen Structur. Nadeln konnten in der krystallinen dunkelen Faser 
mit Sicherheit nicht erkannt werden. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 20). 

Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: ? Wischlitz (ohne Etiquette). 

Taf. XX, Fig. 4: Corymella sp. Verticaler Medianschnitt in nat. Grösse. 


39. ?Corynella sp. 


Nur ein schlecht erhaltenes Bruchstück einer grossen, ? eylindrischen 
bis keulenförmigen Art ohne Basis liegt vor. Der Durchmesser am Scheitel- 
ende beträgt 23 mm. Der Oberrand ist abgerundet, der Scheitel etwas ver- 
tieft. Das Paragaster ist kurz, kaum 10 mm tief eingesenkt. Vom Grunde 
des Paragasters setzen etwas wellig verlaufende Canäle nach unten fort. Bogen- 
förmige Aporrhysen sind nur sehr schwach angedeutet. Epirrhysen konnten 
nicht erkannt werden. Die Skeletfasern sind grob, im Mittel etwa 0,23 mm 
dick und heben sich im auffallenden wie im durchfallenden Lichte zumeist 
wenig scharf vom Sediment ab. Letzteres ist zum grössten Theil in Kalkspath 
umgewandelt, vereinzelt aber auch noch im Zustand der vorgeschrittenen oolithi- 
schen Structur. Nadeln konnten in der krystallinen Faser mit Sicherheit nicht 
erkannt werden. Hier und da sind an den Rändern derselben Structuren vor- 
handen, wie sie Taf. XX, Fig. 3a darstellt. (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3a). 

Untersuchte Stücke: 1 (3 Schlifie). Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg. 


40. ? Corynella sp. 


Die sehr flache, kreiselförmige Art hat etwa 17 mm Höhe, 20 mm 
Durchmesser, etwas vertieften Scheitel und ein trichterförmiges, bis zur 
halben Höhe des Schwammes eingesenktes Paragaster. Die Aporrhysen 
bestehen aus Bogencanälen und sind ziemlich grob. Die etwa 0,18 mm dicken 
Skeletfasern grenzen im auffallenden Lichte nur sehr undeutlich, im durch- 
fallenden etwas schärfer gegen das Sediment ab. Letzteres ist wie bei den 
beiden vorhergehenden Arten beschaffen. Nadeln konnten in der Faser mit 
Sicherheit nicht nachgewiesen werden. Die Fasern haben die Taf. XX, Fig. 3a 
dargestellte Structur. 

Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg. 


os 
[So 
[are 


Myrmecium. 


41. Corynella moraviea nov. Sp. 
Taf. XX, Fig. 8, 8a. 

Das einzige Exemplar ist halbkugelig, breit und kurz gestielt. Basis 
und Stiel haben eine rauhe, horizontal concentrisch gerunzelte Deckschicht. 
Das triehterförmige Paragaster ist bis etwas über halbe Höhe in den Schwamm- 
körper eingesenkt. Die ziemlich groben Aporrhysen verlaufen mehr oder 
weniger parallel dem Umfang, stellen sich nach unten zu steiler und setzen 
vom Paragasterboden aus als senkrechte Canäle bis in den Stiel fort. Die 
Epirrhysen sind ebenfalls ziemlich grob und strahlen von der Basis fächer- 
förmig nach oben und aussen aus. Die Ostien sind gut kenntlich. Die ziemlich 
groben Fasern sind im Mittel etwa 0,19 mm dick und grenzen im durch- 
fallenden und auffallenden Lichte zumeist scharf vom Sediment ab. Letzteres 
ist zum grössten Theil in Kalkspath umgewandelt, stellenweise zeigt es beson- 
ders in den Canälen noch oolithische Structur. In den krystallinen, wenig 
durchsichtigen Fasern konnten Nadeln mit Sicherheit nicht erkannt werden. 
?Triod. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 3a; Faser jedoch bedeutend 
dunkeler). 

Bemerkungen: Man könnte geneigt sein, diesen Schwamm der Gat- 
tung Myrmecium zuzuweisen, denn er ähnelt äusserlich ausserordentlich den 
von QUENnSTEDT 1. c. Taf. 126, Fig. 30, 31, 14—18 abgebildeten, gestielten 
Exemplaren von Myrmecium hemisphaericum. Auch die stark ausgebildete 
Deckschicht würde dafür sprechen. Allein die ziemlich groben Skeletfasern, 
die bei Myrmecium von äusserster Feinheit sind, lassen dies nicht zu. 


Untersuchte Stücke: 1 (5 Schliffe). Palaeont. Museum München. 
Vorkommen: ? Wischlitz (ohne Etiquette). 
Taf. XX, Fig. 8. Corynella moravica n.sp. Seitenansicht in 1'/, facher 
Vergrösserung. 
Eon nn „ 8a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. 


XXI. Genus: Myrmecium GoLpruss 1826. 


42. ?Myrmecium cf. indutum QUENSTEDT Sp. 
TaRERXT B109,,9a,, 10, R 
1858. Spongites indutus Quensteor. Der Jura p. 698, Taf. 84, Fig. 21, 22. 
1876—78. Spongites indutus Quensteor. Petref. Bd. 5, p. 245, Taf. 126, Fig. 42—46. 
1879. Myrmecium indutum v. Zırrer. Studien, III. Abth. p. 38. 
1883. —_ —_ Hınpe. Cat. of the foss. Sponges p. 184. 


Der Schwamm ist klein, umgekehrt kegelförmig. Das Taf. XX, Fig. 9, 9a 
abgebildete Exemplar ist das grösste der drei vorliegenden, welche mit Aus- 
nahme des Scheitels von einer dichten, horizontal gerunzelten Deckschicht um- 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 21 


299 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


geben werden. Die Deckschicht ist zumeist nur in der Nähe der Basis von 
vereinzelten, kleinen, porenförmigen ?Ostien unterbrochen. Der Scheitel ist 
ganz flach convex gewölbt. Das kleine, runde, centrale Osculum ist von einer 
grösseren Anzahl unregelmässig gestellter, porenförmiger ?Ostien umgeben, den 
Oefinungen parallel dem Paragaster verlaufender, geradliniger Canäle. Die 
porenförmigen ?Ostien in der Nähe der Basis scheinen Ausmündungen der mehr 
peripherisch verlaufenden Canäle zu sein. Dieses, augenscheinlich das epir- 
rhysale darstellende Canalsystem wird dadurch merkwürdig, dass die Canäle sich 
nur vom Scheitel einsenken und zum Theil, nämlich die peripherisch gestellten 
in der Nähe der Basis wieder auszumünden scheinen, während von der ganzen 
mit Deckschicht versehenen Seitenfläche des Schwammes keine Canäle in die 
Schwamm-Masse einzudringen scheinen. Das Paragaster selbst ist tief ein- 
gesenkt und reicht bis zur Basis. In dasselbe münden — soviel ein verti- 
caler Medianschnitt erkennen liess — grobe Aporrhysen, die entgegen der 
vox Zırrev’schen Diagnose horizontal verlaufen und kurz und stumpf zu endigen 
scheimen. Die Postica liegen in Längsreihen. Das Skelet besteht aus einem 
engen Geflecht sehr dünner Fasern, die im Mittel nur einen Durchmesser von 
0,1 mm haben. Die krystalline Faser hebt sich im auffallenden und durch- 
fallenden Lichte nur undeutlich vom Sediment ab; letzteres ist fast überall 
in Kalkspath umgewandelt, nur an ganz vereinzelten Stellen noch oolithisch. 
Nadeln konnten mit Sicherheit in der Faser nicht erkannt werden; ? Triod. 
(Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 3a). 

Untersuchte Stücke: 3 (3 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben. 

Taf. AX, Fig. 9. 2? Myrmecium cf. indutum QUENSTEDT sp. Seiten- 

ansicht in 1'/, facher Vergrösserung. 
x h „ 9a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. 
» s #10.  Scheitelansicht eines anderen Exemplars in 11/s- 

facher Vergrösserung. 
11. Das dritte Exemplar; Schnittfläche taugential zur 

Paragasterwand (Postica). 


43. Myrmeeium cf. hemisphaericum GOLDF. sp. 
a ERRC ER 1272128, 14: 


1826—33. Myrmecium hemisphaericum Gotpruss. Petref, I. Th. p. 18. Taf. 6, 


Fig. 12. 
1826—33. Cnemidium rotula Goupruss. ib. p. 16, Taf. 6, Fig. 6. 
1840 —47. n— — Miconerin.  leconographie zoophytologique p. 115. 


Taf. 26, Fig. 7. 


Myrmecium. 323 


1860. Epitheles hemisphaerica Fronenter. Introduction A l’&tude des öponges fossiles 
p. 35, Taf. 2, Fig. 5. Mem. de la soeci6te 
Linneenne de Normandie. 

1365. Stellispongia rotula Yıcnwarn. Lethaea Rossica II. Bd. p. 112, Taf, 9, 

Fig. 3a, b. 

1867. Cnemidium rotula v. Honeneserr. Denkschr. d. Akad. d. Wiss. Wien p. 250. 

1876-—78. Spongites rotula Quexstepr. Petref. Bd. 5, p. 234, Taf. 126, Fig. 1—41. 

1579. Myrmecium hemisphaericum v. Zırıet. Studien, III. Abth. p. 38. 


1881. — rotula Bruper. Sitzungsber. d. Wiener Akademie, Jahrgang 
1881, p. 98. 

1883. Myrmecium hemisphaericum Hınpe. Cat. of the foss. Sponges p. 183. 

1857, _ — Bruper. Neue Beitr. zur Kenntn. d. nordböhm. 


Juragebilde, Lotos, N. F. Bd. 8, p. 16. 


Es liegen drei kleine kuglige bis halbkuglige Schwämme der Untersuchung 
zu Grunde. Zwei derselben besitzen an der Basis eine concave Anwachs- 
fläche (Taf. XX, Fig. 12 und 14). Die Deckschicht ist an der Basis vorhanden 
und auch an den Seiten angedeutet. Das Paragaster ist röhrenförmig, tief 
eingesenkt. Die Aussenfläche ist mit zahlreichen kleinen porenförmigen Ostien 
versehen, von denen schwach bogenförmig gekrümmte Epirrhysen nach dem 
Paragasterboden hinstrahlen. Das eine Exemplar (Fig. 14) zeigt an der Ober- 
fläche auch einige offene Rinnen. Die groben Aporrhysen sind nur noch in 
Spuren unmittelbar an der Paragasterwand angedeutet. Die Fasern bilden 
ein enges Geflecht und sind ausserordentlich dünn. Bei zwei Schwämmen 
erreichen die Fasern im Mittel nur eine Dicke von 0,06 mm. Der dritte 
Schwamm hat Fasern von grösserer Dicke, die im Mittel etwa 0,1 mm beträgt. 
‚Die wenig transparenten krystallinen Fasern heben sich im auffallenden und 
durchfallenden Lichte zumeist nur undeutlich vom Sediment ab. Nadeln 
konnten mit Sicherheit nicht erkannt werden. (Faser-Typen: Taf. XX, Fig. 1 
15, 22). 

Untersuchte Stücke: 3 (8 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 


re) 


Vorkommen: Stramberg (2) ?Koniakau (ohne Etiquette); ferner Ob. 
Jura: Franken und Schwaben; Aargau; Damvillers (Jura bernois); nach 
HoHENKRGGER auch in der Umgegend von Krakau; Sternberg im nördlichen 
Böhmen; Katarasse in der Krym. 


Taf. XX, Fig. 12.  Myrmecium cf. hemisphaericum GoLDF. sp. Seiten- 
ansicht in 1'/, facher Vergrösserung. 
12a. Dasselbe Exemplar im verticalem Medianschnitt. 
13. Ein anderes Exemplar (? Koniakau) im verticalen 
Medianschnitt in nat. Grösse. 
14. Das dritte Exemplar; Seitenansicht (offene Rinnen) 


in nat. Grösse. 
DE 


324 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


44. ? Myrmeeium grande nov. sp. 
Taf. XX, Fig. 19, 19a, 20. 


Es liegen zwei sich ergänzende Bruchstücke vor; bei dem einen fehlt 
der Scheitel, bei dem andern die Basis. Der Schwamm ist birnen- bis 
kolbenförmig und besitzt gewölbten Scheitel; seine Höhe beträgt etwa 
20 mm. Das Paragaster ist röhrig, tief eingesenkt. Die Aussenfläche ist 
mit zahlreichen kleinen, porenförmigen Ostien versehen, von denen schwach 
gekrümmte Epirrhysen nach dem Paragasterboden zu ausstrahlen. Das 
aporrhysale System besteht aus Bogenkanälen, die im Allgemeinen etwas 
stärker als die Epirrhysen sind. Die Deckschicht ist zum Theil auf der 
Aussenfläche sichtbar. Die ausserordentlich dünnen Fasern haben im Mittel 
eine Dicke von nur etwa 0,05 mm. Die Fasern der beiden Stücke zeigen 
grösstentheils optisch ein entgegengesetztes Verhalten. Während dieselben 
bei dem einen, nicht abgebildeten Stück sich normal, im auffallenden 
Licht weisslich gegen das dunkelere Sediment abheben, verhalten sie 
sich bei dem abgebildeten Schwamm zum. grössten Theil umgekehrt. Die 
Fasern heben sich hier dunkel aus dem helleren Sediment heraus und das 
Skelet zeigt damit ein Verhalten, wie es bei den Kieselschwämmen die Regel 
ist. Dementsprechend hebt sich im durchfallenden Lichte die Faser hell 
gegen das dunkele Sediment ab, ähnlich wie es Taf. XX, Fig. 15b zeigt. 
Der Grund für dieses abweichende Verhalten ist in dem ausnahmsweise ausser- 
ordentlich hohen krystallinen Zustand der Fasern zu suchen, während das 
Sediment in weit geringerem Grade an der Krystallisation theilgenommen 
hat. An einigen Stellen konnten aber auf der angeschliffenen verticalen 
Medianfläche im auffallenden Licht auch hell aus dem Sediment sich heraus- 
hebende weissliche Fasern beobachtet werden, so dass also nicht das ge- 
sammte Skelet das eben geschilderte Verhalten aufweist. Die Fasern des 
andern Exemplars zeigen zum Theil im durchfallenden Lichte eine sehr 
geringe Transparenz oder sind ganz undurchsichtig (Fig. 20). Nadeln konnten 
in den vorliegenden Schliffen mit Sicherheit nicht erkannt werden. 

Untersuchte Stücke: 2 (3 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XX, Fig. 19. ?Mwyrmecium grande nov. sp. Seitenansicht in 

1‘), facher Vergrösserung. 

Taf. XX, Fig. 19a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. 

: „ 20. Fasern des anderen Exemplars im durchfallenden 
Lichte bei 180facher Vergrösserung. 


n 


Crispispongia. 325 


XXII. Genus: Crispispongia Quensteor 1876. 
45. Crispispongia pezizoides von ZITTEL. 

1826—53. Manon peziza GoLpruss. Petref. I. Th. p. 94, Taf. 34, Fig 3a, b. 

1379. Crispispongia pezizoides v. ZirveL. Studien, III, Abth. p. 44. 

Hierzu bin ich geneigt, zwei kleine Exemplare von knolliger Gestalt zu 
stellen, die mit der von Goupruss Taf. 34, Fig. Sa abgebildeten Form 
durchaus übereinstimmen. Ihr Durchmesser beträgt etwa 10 mm; das eine 
lässt eine Anwachsstelle erkennen. Die mit einer dichten, glatten Deckschicht 
versehene Oberfläche wird von mehr oder weniger seicht in die Skeletmasse 
eingesenkten, verzerrten Oscula unterbrochen. Ein besonderes Canalsystem 
ist nur schwach angedeutet. Das Skelet wird aus einem ziemlich engen 
Geflecht verhältnissmässig dünner Fasern gebildet, welche im Mittel nicht 
stärker als 0,1 mm sind; diejenigen des einen Exemplares heben sich im 
auf- und durchfallenden Lichte zumeist scharf, die des andern nur sehr ver- 
schwommen vom Sediment ab, welches beim ersteren zum grössten Theil in 
Kalkspath umgewandelt, beim letzteren jedoch meistens noch wenig aufgehellt 
ist (wenig vorgeschrittene oolithische Structuren zeigt). In der kıystallinen, 
zum Theil dunkelen Faser konnten deutlich erkennbare Nadeln nicht mit 
Sicherheit nachgewiesen werden. (Faser-Typen des erstern Schwammes an- 
nähernd Taf. XX, Fig. 3a und 20, des zweiten Taf. XX, Fig. 1 und 15b.) 

Untersuchte Stücke: 2 (5 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg: ferner Oberer Jura: Schwaben und Franken. 


46. Crispispongia coniea nov. Sp. 
Taf. XX, Fig. 23, 23a. 


Es liegt nur ein Exemplar von kreisel- bis umgekehrt kegelförmiger 
Gestalt mit vertieftem Scheitel vor. In der dichten, glatten, den Schwamm- 
körper ganz überziehenden Deckschicht liegen grosse, rundliche, schwach 
gerandete Oscula, die nur ganz seicht in die Skeletmasse eingesenkt sind, 
so dass diese sichtbar wird. Die Fasern, welche stärker sind als bei der 
vorigen Art, erreichen eine Dicke bis zu 0,2 mm. Sie heben sich im auf- 
und durchfallenden Lichte zumeist wenig scharf vom Sediment ab, das gröss- 
tentheils noch dunkel bleibt (wenig vorgeschrittene oolithische Structuren 
zeigt). Nadeln konnten in der krystallinen Faser nicht mit Sicherheit erkannt 
werden. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 15 b.) 

Untersuchte Stücke: 1 (3 Schlifie). Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Strambereg. 


396 Die Spongien der Stramberger Schichten, 


Taf. XX, Fig. 23. Orispispongia conica nov. sp. Seitenansicht in nat. Gr. 
5 R „ 23a. Ein Osculum in schwacher Loupenvergrösserung. 
(In Fig. 23a wurde durch ein Uebersehen meinerseits die Ausfüllung: 

masse, welche gemäss der sonst beobachteten Darstellungsweise hätte Sch 

gezeichnet werden müssen, weiss gelassen. Fs stellen demnach die schwarzen 


Partien in dieser Figur ausnahmsweise die Fasern dar.) 


XXIII. Genus: Rauffia nov. gen. 


47. Rauffia elavata nov. sp. 
Taf. XXI, Fig. 1—13. 


Die Körper sind zumeist einfach und bilden selten Colonien mit ge- 
meinschaftlicher Basis. Die Gestalt ist keulenförmig und fast immer mit 
seichten, horizontalen Einschnürungen versehen. Eine Deckschicht ist am 
unteren Ende hier und da vorhanden. Der Scheitel ist abgestutzt oder 
flach gewölbt. Das Paragaster ist spitz trichterförmig und reicht bis zur 
Basis; sein Scheiteldurchmesser schwankt zwischen dem dritten bis vierten 
Theil des Schwammdurchmessers an derselben Stelle. Das Canalsystem ist 
abweichend von dem der bislang fossil bekannten Kalkschwämme entwickelt. 
Das aporrhysale System besteht aus einer wechselnden Anzahl von Radial- 
spalten, die sich vom Paragaster bis etwa in die Mitte der Wand erstrecken 
und hier mehr oder weniger stumpf endigen. Die Radialspalten lassen im 
Gegensatze zu denen der rhizomorinen Gattung Cnemidiastrum v. ZUTTEL 
keine Entstehung durch Verschmelzung von dicht übereimanderliegenden Bogen- 
kanälen erkennen, so dass die Annahme einer primären Entstehung derselben 
der Berechtigung nicht entbehrt. Die Radialspalten durchsetzen jedoch den 
Schwamm nicht continuirlich seiner ganzen Höhe nach, sondern sind manchmal 
unterbrochen, d. h. sie schliessen sich. Diese Unterbrechungen correspon- 
diren meistens, wenn sie überhaupt vorhanden sind, mit den horizontalen 
Einschnürungen und deuten wahrschemlich einen jeweiligen Wachsthumsstill- 
stand an. Ein epirrhysales Canalsystem wurde nicht beobachtet. Das Skelet 
bildet ein ziemlich enges Geflecht anastomosirender Fasern, die eine Stärke 
bis zu 0,25 mm erreichen, meistens jedoch, so besonders bei den jugend- 
licheren Exemplaren, bedeutend schwächer sind. Im auffallenden Lichte zeigt 
die angeschliflene, kreideähnliche Faser bei schwacher Loupenvergrösserung 
sowohl im Längs- als Querschnitt einen mehr oder weniger scharf von den 
Rändern sich abhebenden, dunkelen, centralen Kern (Taf. XXI, Fig. 1b), 
der in der Farbe mit der Matrix übereinstimmt. Im durchfallenden Lichte 
bei etwas stärkerer Vergrösserung tritt diese Erscheinung weniger deutlich 
hervor und der hier, ebenso wie die völlig in Kalkspath umgewandelte Matrix, 


Rauffia. 397 


hell und transparent erscheinende, centrale Kern erweist sich als durchaus 
unregelmässig und zusammenhangslos verlaufend (Taf. XXI, Fig. 10). Bei 
noch stärkerer Vergrösserung lösen sich die centralen transparenten Partien 
in ein Haufwerk von Nadeln auf, die jedoch nicht darauf beschränkt sind, 
sondern in zum Theil vorzüglicher Erhaltung auch in den mehr oder weniger 
dunkelen Randpartien vorkommen (Taf. XXI, Fig. 12). Einige Fasern 
zeigen diesen helleren centralen Kern nicht (Taf. XXI, Fig. 13). Diese Er- 
scheinung hängt daher nicht mit einer verschiedenen Ausbildung des Skeletes 
in der Mitte und an den Rändern der Faser zusammen, sondern ist lediglich 
ein besonderer Fossilisationsausdruck. Die Skeletelemente bestehen aus sagit- 
talen Drei- und Vierstrahlern, deren Lateralstrahlen in Bezug auf den Sa- 
gittalstrahl zuweilen convex oder concav gekrümmt sein können (Taf. XXI, 
Fig. 12b,d). 


Untersuchte Stücke: ca. 50 (40 Schliffe); Palaeontologisches Museum 
München. 


Vorkommen: Stramberg, Wischlitz, Stanislowitz, Bobrek, Ignaziberg, 
Willamowitz, Kotzobenz, ? Koniakau (ohne Etiquette). 


Taf. XXI, Fig. 1. Rauffia clavata nov. sp., von Ingnaziberg. Seit- 
licher Längsschnitt durch die Schwammwand 
(Radialspalten). 

= h „ 1a. Dasselbe Exemplar von der andern Seite (seitlicher 
Längsschnitt und geneigter Querschnitt). 

h F »„ 1b. Eine Skeletparthie mit Radialspalten aus Fig. 1 
in sechsfacher Vergrösserung. 


; . ‚ 2.  Seitlicher Längsschnitt und geneigter Querschnitt 
(Radialspalten) eines Exemplares von Wischlitz. 

. 2a. Dasselbe Exemplar; Seitenansicht. 

Rs er „ 4,8. von Wischlitz; Seitenansicht. 

5 R „ 5. von Stramberg; seitlicher Längsschnitt. (Radial- 
spalten.) 

n ‚ 5a. Dasselbe Exemplar; Seitenansicht. 

= a „ 3,6. von Kotzobenz; Seitenansicht. 

E RT ? von Koniakau (ohne Etiquette). Verticaler Median- 
schnitt. 

5 R „9. von Willamowitz; ein zusammengesetzter Schwamm 
(Colonie). 

en 5 „. 10. von Stanislowitz; Theil eines Querschnittes im 
durchfallenden Lichte bei 3Sfacher Vergrösserung. 

u Mr „ 11. von Bobrek; ein sagittaler Dreistrahler mit ge- 


krümmtem Lateralstrahl in 180facher Vergrösserung. 


398 Die Spougien der Stramberger Schichten. 


Taf. XXI, Fig. 12. von Willamowitz; Faser mit sagittalen Dreistrahlern 
in 140facher Vergrösserung. 
h „ 12a,b,c,d. Sagittale Drei- und Vierstrahler aus dem- 
selben Schliff in 180facher Vergrösserung. 
en „ 13. von Kotzobenz; Faser mit sagittalen Drei- und 
Vierstrahlern in 140facher Vergrösserung. 


XXIV. Genus: nov. gen. 


Schwamm trichter- oder becherförmig. Aeussere Oberfläche mit Warzen 
oder Dornen versehen, die Träger von Ostien (? Oscula) sind. Deckschicht 
auf der äusseren Oberfläche vorhanden. Ein besonderes Canalsystem scheint 
nicht entwickelt. 


48. nov. gen. Sp. 
Taf. XX, Fig. 3, 3a. 


Das einzige, nur schlecht erhaltene Exemplar ist klein, trichterförmig 
und besitzt eine Wandstärke von ca. 5 mm. Der abgerundete Oberrand ist 
wellenförmig gebogen; die äussere Oberfläche ist mit zerstreut liegenden 
Warzen versehen, deren jede ein Ostium (?Osculum) trägt. Die Deckschicht 
ist nur noch angedeutet. Die Innenseite ist, soviel erkannt werden konnte, 
nackt und hat keine Postica. Die im Mittel etwa 0,13 mm dicken, stark 
krystallinen Fasern heben sich im auffallenden und durchfallenden Licht 
zumeist nur undeutlich von dem in Kalkspath umgewandelten Sediment ab. 
Bilder, wie das Taf. XX, Fig. 3a dargestellte, sind äusserst selten. Nadeln 
konnten mit Sicherheit nicht erkannt werden. Die eigenthümlichen, an den 
Rändern der Faser auftretenden, die Skeletlücken umsäumenden faserigen 
Structuren (Taf. XX, Fig. 3a) konnten nicht als Nadelbegrenzungen ange- 
sprochen werden. 

Untersuchte Stücke: 1 (5 Schliffe). Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XX, Fig. 3. nov. gen. sp. in natürlicher Grösse. 

5 »  » 3a. Faser in 180facher Vergrösserung. 


49. nov. gen. Sp. indet. 
Taf. XX, Fig. 7. 


Der nur in einem einzigen Bruchstück zur Untersuchung vorliegende 
Schwamm ist wahrscheinlich von unregelmässiger, schlank becherförmiger 
Gestalt, soweit dies der etwas gebogene, walzenförmige und mit Einschnü- 


Euzittelia. 329 


rungen versehene Steinkern zu beurteilen erlaubt. Der Scheitel und die Basis, 
sowie der grössere Theil der Wand fehlen. Die Stärke der letzteren schwankt 
zwischen 3—5 mm. Die äussere Oberfläche ist kraus und mit zerstreut liegen- 
den Dornen versehen, deren jeder an seinem Ende ein Ostium (? Osculum) 
trägt. Die äussere Oberfläche ist mit einer dichten, glatten Deckschicht über- 
zogen. Die Innenseite ist der Beobachtung nicht zugänglich. Die im Mittel 
etwa 0,13 mm dicke Faser grenzt sich im auf- und durchfallenden Lichte zum 
Theil ziemlich scharf vom Gestein ab und lässt dann Bilder wie das Taf. XX, 
Fig. 3a von der vorigen Art dargestellte erkennen. Nadeln konnten in der 
krystallinen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden. Der Typus der Faser 
ist aus Taf. XX, Fig. 3a ersichtlich. 

Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe); Palaeontologisches Museum 
München. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XX, Fig. 7 nov. gen., sp. indet. in natürlicher Grösse. 


XXV. Genus: Euzittelia nov. gen. 
50. Euzittelia magnifiea nov. sp. 
Taf. XX, Eig. 5, 6, 6a. 


Es liegen zwei an der Basis abgebrochene Exemplare vor. Soweit aus 
den Bruchstücken auf die Form geschlossen werden kann, ist der Schwamm 
von knospen- oder gedrungen keulenförmiger Gestalt. Die Oberfläche ist 
unregelmässig längs gefurcht; die durch diese Furchen gebildeten Rippen 
sind durch horizontale Einschnürungon knotig. Der Schwamm erinnert auf 
den ersten Blick an die Gattung Blastinia, unterscheidet sich aber von der- 
selben, wie die nähere Untersuchung lehrt, durch den Besitz eines Para- 
gasters und aporrhysalen Spaltensystems. Das eng röhrenförmige Paragaster 
reicht wahrscheinlich bis zur Basis. Die radialen, aporrhysalen Spalten (5 an 
dem abgebildeten Exemplar Taf. XX, Fig. 6) dringen bis etwa in die halbe 
Schwammwand ein, verlaufen unregelmässig und endigen stumpf. Ein epir- 
rhysales Canalsystem konnte nicht erkannt werden. Die Dicke der Faser 
in der Wand schwankt zwischen 0,1—0,3 mm; noch stärker sind jedoch die, 
die das Paragaster und diejenigen, welche die Radialspalten unmittelbar be- 
grenzen. Sie sondern sich im auf- und durchfallenden Lichte zumeist undeut- 
lich und verschwommen vom Sediment ab; letzteres ist meistens noch dunkel, 
wenig vorgeschrittene oolithische Structuren zeigend. Nadeln konnten in den 
krystallinen Fasern mit Sicherheit nicht nachgewiesen werden. (Faser-Typus 
Taf. XX, 15b, 21, 22). 

Untersuchte Stücke: 2 (3 Schliffe); Palaeontologisches Museum 
München. 


3 Die Spongien der Stramberger Schichten. 
DU © o 


Vorkommen: ?Stramberg, ? Ignaziberg (ohne Etiquette). 
Taf. XX, Fig. 5. Euzittelia magnifican. sp. Seitenansicht in nat. Grösse. 


" 5 „ 6. Das andere Exemplar; Querschnitt in nat. Grösse. 
5 „ 6a. Dasselbe Exemplar; seitlicher Längsschnitt (Radial- 
spalten). 


51. Euzittelia sp. indet. 


Zu derseben Gattung dürfte noch ein winziger, zierlicher, nur in einem 
einzigen Bruchstück vorhandener gerippter Schwamm gehören. Paragaster 
und aporrhysale Radialspalten sind wie bei der vorhergehenden Art entwickelt. 

Untersuchte Stücke: 1; Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: Ignaziberg. 


XXVI. Genus: Strambergia nov. gen. 
52. Strambergia sp. 
1ER OR, re, hl. @D 


Den Rest der Pharetronen bildet eine Anzahl knolliger, unregelmässig 
gestalteter Schwämme mit zumeist krauser, höckeriger Oberfläche. Eine 
Deckschicht ist vorhanden oder fehlt. Allen diesen Schwämmen fehlen Para- 
gaster und Osculum. Auf angeschliffenen Durchschnitten bemerkt man im 
Innern zuweilen canalartige Hohlräume, die als Vertreter des aporrhysalen 
Canalsystems gedeutet werden könnten. Ostien scheinen vereinzelt auf der 
Oberfläche vorhanden zu sein, doch konnten keine von ihnen ausgehende 
Epirrhysen erkannt werden. Die Fasern bilden ein ziemlich lockeres Geflecht. 
Ihre Dicke ist selbst bei einem und demselben Individuum sehr verschieden 
und schwankt zwischen 0,05 mm und 0,28 mm. Die Fasern grenzen im 
durchfallenden Licht zumeist undeutlich verschwommen vom Sediment ab, 
welches zum Theil noch dunkel ist, zum Theil im Zustande vorgeschrittener 
oolithischer Structuren sich befindet. Nadeln konnten in der krystallinen 
Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden. Die microscopischen Bilder 
sämmtlicher Schliffe ähneln den Abbildungen Taf. XX, Fig. 21, 22. Zuweilen 
fügen sich Risse und Krystallgrenzen so aneinander, dass man grosse Drei- 
strahler vor sich zu haben glaubt, doch liegt immer nur Täuschung vor. 

Untersuchte Stücke: 7 (14 Schliffe); Palaeontologisches Museum 
München. Geologische Reichsanstalt Wien. 

Vorkommen: Stramberg. 

Taf. XX, Fig. 21. Strambergia sp. Faser in 180facher Vergrösserung. 

» nn. 22. Schliff eines anderen Exemplars; Faser in 180facher 
Vergrösserung. 


Tremacystia. 331 


Familie: Syconidae HAECKEL. 
Unter-Familie: Polysteganinae RAUurFr. 
XXVII. Genus: Tremacystia Hınpz 1883. 


Ich beschränke die Gattung Tremacystia durch Ausschluss der von 
Hınpz damit vereinigten Gattung Thalamopora. 


53. Tremacystia Hindei n. sp. 
Taf. XXI, Fig. 28, 29, 29a, b. 


Die kleinen, mit tiefen, horizontalen, den Querböden entsprechenden 
Einschnürungen versehenen, keulenförmigen Stockcolonien erster Ordnung, 
bestehen in den wenigen vorhandenen Exemplaren, aus einer Reihe von 5—4 an 
Grösse schnell zunehmenden, fast kugligen Einzelindividuen (Kammern). Das 
grösste Exemplar hat ohne die abgebrochene Anfangskammer eine Höhe von 
15 mm. Die Kammerwände und -böden sind verhältnissmässig dünn und von 
zahlreichen, feinen Radialkanälchen durchbohrt, die nach RAurr’s Unter- 
suchungen über diese Gattung als Skeletlücken für die -Geisselkammern an- 
gesehen werden müssen. Ausserdem werden die Böden noch von grösseren 
centralen Oefinungen, den jeweiligen Oscula, durehbohrt. Das Osculum der 
Scheitelkammer erreicht einen Durchmesser bis 1,75 mm. Es ist kein Oscular- 
rohr vorhanden; auch sind die Ränder der centralen Oeffnungen nicht unge- 
bördelt; die von dem Scheitel der vorhergehenden Kammer gebildeten Quer- 
böden wölben sich entsprechend der kugeligen Form der Kammern ziemlich 
beträchtlich in die darauf folgenden Kammern hinein. 

Die Schliffe zeigen, wenn auch in den Skeletelementen sehr verschwom- 
men, deutlich eine Zweischichtigkeit der Wand, und zwar nimmt das innere ? 
Dreistrahlerskelet etwa den vierten Theil der ganzen Dicke der Wand ein. 
Ein Schliff (Taf. XXI, Fig. 29c), der tangential der Wand gelegt ist, lässt 
ziemlich deutlich mehr oder weniger schräge Querschnitte von Elementen des 
Stecknadelskelets erkennen. Die Dreischichtigkeit der Kammerböden konnte 
in den vorhandenen Schliffen nicht erkannt werden. 

Bemerkungen: Das Skelet von Tremacystia ist nach den Unter- 
suchungen, die Raurr ‘ bei Tremacystia (Barroisia) anastomans MANT. sp. an- 
stellte, zweischichtig; es besteht aus einer inneren Dreistrahler- und einer 
äusseren Stecknadelschicht. Nur die Querböden machen hiervon eine Aus- 
nahme, sie sind dreischichtig, indem bei der jedesmaligen Bildung eines 
neuen Segmentes die gastral gelegene Skeletparthie der Seitenwand desselben 
über den Scheitel des vorhergehenden fortwächst. Hierdurch erklärt sich 


‘ N. Jahrb. für Min. etc. Bd. I p. 282—284, 1891. 


332 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


auch die Erscheinung — Tremacystia Hindei n. sp. zeigt dieselbe auch — 
dass beim Loslösen einer Kammer von der andern der Querboden sich 
(wohl zumeist in der Berührungsfläche der zweiten und dritten Schicht) mehr 
oder weniger glatt theilt, so dass der einen Kammer ein Scheitel, der andern 
ein Boden verbleibt. 
Von Tremaeystia d’Orbignyi Hınpz unterscheidet sich diese Art wesent- 
lich durch den Mangel eines Oscularrohrs und von Tremacystia Michelini 
SIMONOWITSCH Sp. durch die mehr kuglige Form ihrer Kammern. 
Untersuchte Stücke: 4 (6 Schliffe); Palaeontologisches Museum 
München. 
Vorkommen: Stramberg, Ignaziberg. 
Taf. XXI, Fig. 28. Tremacystia Hindei n. sp. von Stramberg, Seiten- 
ansicht in nat. Gr. 

lan „ 29. Ein zweites Exemplar von Stramberg, wovon nur 
die Scheitelkammer vorliegt; Scheitelansicht in 
nat. Grösse. 

Pe: „» 29a. Querbodenansicht desselben Exemplars in zweifacher 
Vergrösserung. 

une: „„ 29b. Verticaler Medianschnitt desselben Exemplars in 
nat. Grösse, 

aa » 29e. Schliff tangential der Wand, mehr oder weniger 
schräge Querschnitte von Nadeln des Stecknadel- 
skelets zeigend, von einem Exemplar von Ignazi- 
berg in 140 facher Vergrösserung. 


54. Tremaeystia tithoniea nov. sp. 
Taf. XXI, Fig. 27. 


Es ist ein einziges, von Gesteinsmasse eingeschlossenes Bruchstück vor- 
handen, das jedoch, da die Bruchfläche zum grösseren Theile in einen 
medianen Längsschnitt fällt, eine Diagnose zulässt. In der unteren Hälfte 
- springt die Bruchfläche etwas hinter die Medianebene zurück, so dass nicht 
ermittelt werden konnte, ob das die drei obersten Kammern durchsetzende 
Öscularrohr bis zur Basis reicht. Der Umriss der Bruchfläche gleicht dem 
Medianschnitt einer mit horizontalen Einschnürungen versehenen, gedrungenen 
Keule. Der Umriss der oberen drei Kammern ist gerundet rectangulär, der 
der unteren nach unten hin zunehmend kreisförmig. Der Uebergang der 
Kammern aus der gerundet rectangulären Form in die kreisförmige ist. jedoch 
nur scheinbar und lediglich dadurch bedingt, dass der Schwamm in seinem 
unteren Theile von der Bruchfläche seitlich getroffen wurde. Es ist wohl 
mit Sicherheit anzunehmen, dass der Umriss der unteren Kammern im Median- 


Thalamopora. 335 


schnitt auch gerundet rectanguläre Form besitzt und somit der ganze mediane 
Umriss dem Medianschnitt eines mit horizontalen Einschnürungen versehenen, 
nach unten vielleicht sich etwas verjüngenden Cylinders gleichen würde. Bei 
der Herstellung des Dünnschlifis mussten die beiden untersten Kammern ge- 
opfert werden; ebenso gingen die Durchschnitte des Oscularrohrs bei der 
Scheitel- und der dritten Kammer verloren (Taf. XXI, Fig. 27). Die Maasse 
in der folgenden Diagnose beziehen sich auf die ursprüngliche Bruchfläche, 

Es sind Stockeolonien erster Ordnung, von eylindrischer, nach der Basis 
zu sich vielleicht etwas verjüngender Form. Oberfläche mit horizontalen, den 
Querböden entsprechenden Einschnürungen versehen. Die Höhe des einzig 
vorliegenden Stückes beträgt 15 mm, die Breite der beiden obersten Kammern 
7,5 mm, die der dritten Kammer 7 mm. Die Zahl der niederigen, ca. 2 mm 
hohen, zusammengedrückt tonnenförmigen Kammern ist bei diesem Individuum 6. 
Die Kammern werden von einem engen, ca. 1 mm breiten Oscularrohr durch- 
setzt, das wahrscheinlich bis zur Basis reicht. Die Dicke der Kammerwände 
beträgt ca. 0,4 mm. Zahlreiche enge, gerade, im Querschnitt rundliche 
Canälchen, in denen nach den Untersuchungen RAaurr's die Skeletlücken der 
Geisselkammern zu erblicken sind, durchbohren Kammerwände und -Böden. 
Das Skelet der Wand und der Böden ist deutlich zweischichtig. Das innere 
(? Dreistrahler-) Skelet nimmt etwa den sechsten Theil der Dicke der Wand 
ein. Die Elemente des äusseren Stecknadelskelets sind zum Theil gut kennt- 
lich; die spezielle Gruppirung der nach aussen gerichteten Nadeln konnte 
jedoch nicht erkannt werden. 

Bemerkungen: Die neue Art unterscheidet sich von Tremaeystia sipho- 
noides Mıc#. sp. durch die grössere Anzahl ihrer Segmente (Tr. siphonoides 
2—4) und durch die geringere Höhe derselben (Tr. siphonoides 5—6 mm). Sie 
ist ferner unterschieden von Tremaeystia anastomans MünsT. sp., der sie sonst 
am nächsten kommt, durch ihr Vorkommen als Stockcolonie erster Ordnung. 

Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 

Vorkommen: ?(ohne Etiquette) nicht von Stramberg. 

Taf. XXI, Fig. 27. Tremaeystia tithonica nov. sp. Schliff in 2 facher 

Vergrösserung. 


XXVIIH. Genus: Thalamopora F. A. Römer 1841. 
Syn. Ceriopora pars GoLpr. Monticulipora pars D'ORB. ? Spongites (Scyphia) pars 
QuEnsTt. Tremacystia pars HınDe. 
Die Form, welche Fr. An. Römer! zur Aufstellung dieser Gattung ver- 
anlasste, wurde zuerst von GoLpruss? aus dem Grünsande von Essen als 


! Verst. d. Norddeutsch. Kreidegeb. p. 21, 1841. 
? Petref. Germ. p. 36, Taf. 10, Fig. 16, 1826—33. 


234 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


Ceriopora eribrosa beschrieben und abgebildet. Fast gleichzeitig mıt Römer 
stellte MicHeuin' für zwei Formen aus der Umgegend von Le Mans die Gattung 
Thalamopora auf, erkannte jedoch ausdrücklich die Priorität Römer's an. 
Von allen diesen Forschern wurde Z’halamopora zu den Bryozoen gestellt. 

D’ÖRBIGNY”, der die Formen von Le Mans nicht gekannt zu haben 
scheint, vereinigt wunderbarer Weise T’halamopora eribrosa GOLDF. sp. mit 
Monticulipora, was ein offenbares Verkennen des Baues der Essener Form be- 
deutet. Auch SımoxowırcH‘®, der Thalamopora zuerst eingehend beschrieb, 
beliess diese Gattung noch bei den Bryozoen. Erst Reuss® zweifelte an der 
Richtigkeit dieser systematischen Stellung, wies jedoch irrthümlich Z’halamo- 
pora den Foraminiferen zu. Moserer’ deutete dann auf die Wahrscheinlich- 
keit hin, dass diese Gattung zu den Hydromedusen und zwar zu der Familie 
der Stylasteriden gehöre. Erst Sremmann ® erkannte die richtige systema- 
tische Stellung, indem er Thalamopora mit den Pharetronen vereinigte, verfiel 
jedoch leider dem Irrthum, das Vorkommen fossiler Kalkschwämme überhaupt 
zu bestreiten und vereinigte die Pharetronen mit den Aleyonarien. Von Duxı- 
kowskı’, der die Einwendungen STEINMANN’s gegen die Kalkschwamm-Natur 
der Pharetronen zurückwies, stimmte mit ihm bezüglich der Pharetronen-Natur 
von Thalamopora überein und sah auch deutliche Dreistrahler. Auch Hype ®, 
der sich wegen Mangels an Material im Wesentlichen auf die Beobachtungen 
voN DunIkowskt's stützt, hält Z’halamopora für einen unzweifelhaften Kalk- 
schwamm, vereinigt aber diese Gattung mit einigen andern Gattungen (Sphaer- 
ocoelia, Barroisia) zu einer einzigen Gattung, die er mit dem Namen Trema- 
cystia belegt. 

Man kann Hmoe zwar die Berechtigung nicht absprechen, Sphaerocoelia 
und Barroisia zu einer Gattung zu vereinigen, da der Aufbau beider Formen 
der gleiche ist. T’halamopora aber zeigt einen davon wesentlich verschiedenen 
Bau, insofern jede Etage nicht von einem einzigen Individuum gebildet wird, 
so dass wie bei Sphaerocoelia und Barroisia Stämmechen von perlschnurartig 
aneinander gereihten Einzelindividuen entstehen, sondern aus einer grösseren 
oder kleineren Anzahl radiär gestellter Einzelindividuen zusammengesetzt ist. 
Die Gattung Thalamopora Römer bleibt daher bestehen. 


1 Tconogr. zoophytol. p. 209, Taf. 53, Fig. 8 u. 9, 1840—47. 

? Prodr. d. Pal. Bd. II, p. 184, 1850. 

3 Beitr. z. Kenntn. d. Bryoz. d. Essener Grünsandes. Verhandl. d. naturhist. Ver. 
d. preuss. Rheinlande und Westphalens 28. Jahrg. 1571, p. 26—30. 

* Palaeontographica Bd. 20, p. 137, Taf. 33, Fig. 11—15, 1871—75. 

5 Philos. Transact. of the Royal Society of London Bd. 169, p. 485, 1878. 

6 Neues Jahrb. f. Min. etc. 1882, II. Bd. p. 167 u. 168. 

? Die Pharetronen aus dem Cenoman von Essen, Palaeontographica Bd. 29 p. 353, 
1882— 83. 

® Catalogue of the fossil Sponges p. 171 il. 1883. 


Thalamopora. 335 


STEINMANN! hat nun entschieden mit Recht betont, dass von den in der 
Literatur vorhandenen T’halamopora-Arten sicher nur Th. eribrosa GoLDEF. Sp. 
(?= Th. vesiculosa Mıca. von L. Mans) in dieser Gattung verbleiben darf. 
So schuf er daher für Thalamopora Michelini SimoxowITcH aus dem Grün- 
sande von Essen die neue Gattung Sphaerocoelia. Vielleicht sind, soweit sich 
dies aus der Quenstepr'schen Beschreibung und Abbildung beurtheilen lässt, 
Spongites squamatus QuENSTEDT” und Spongites nodulosus QuENSTEDT (beide 
aus dem Weissen Jura des Örlinger Thals bei Ulm) zu Thalamopora zu ziehen, 
Arten, die von ZiTTEL zu der Gattung Peronella stellte, erstere allerdings mit 
einem Fragezeichen. 


Thalamopora bildet Stöcke erster Ordnung, seltener Colonien (Stöcke 
zweiter Ordnung) mit gemeinschaftlicher Basis. Die Gestalt ist cylindrisch bis 
keulenförmig und umgekehrt kegelförmig, gerade oder gebogen, zuweilen 
seitlich zusammengedrückt, selten mit horizontalen Einschnürungen versehen, 
so dass äusserlich Sphaerocoelia-ähnliche Formen entstehen. Der Schwamm 
wird vom Scheitel bis zur Basis von einem axialen Tubus (Oseularrohr) durch- 
zogen, um den sich in ihn mündende, in alternirenden Reihen gestellte, mehr 
oder weniger keulenförmige bis retorten-ähnliche, unmittelbar sich aneinander 
legende Kammern radiär gruppiren. Die einzelnen Kammern treten sowohl 
unter einander als auch mit der Aussenwelt durch sie durchbohrende, gerade 
Radialcanälchen (Poren) in Verbindung, welche nach den feinen Skeletanalysen 
von RAUFF die Skeletlücken für die Geisselkammern darstellen. Die Kam- 
mern endigen nach aussen meistens mit etwas kugelig gerundeten Köpfen, 
wodurch die Oberfläche ein traubiges Aussehen gewinnt. Ein Deck-Faser- 
geflecht ist vorhanden oder fehlt. 


Das Skelet ist nach Raurr zwei-, vielleicht auch dreischichtig. Das 
Stützskelet, das den inneren (oder nur mittleren ?) Theil der Wand einnimmt, 
besteht aus Dreistrahlern, die im Wesentlichen mehr oder minder parallel 
den Wandflächen gelagert sind, sonst aber eine bestimmte Ordnung nicht 
erkennen lassen. Der äussere Theil der Wand wird von einem sehr charac- 
teristischen Dermalskelet eingenommen, das aus mit den Köpfen auswärts 
gerichteten, sehr zarten Stecknadeln besteht, die sich um die Canälchen zu 
Kränzen büschelförmig nach aussen divergirender Nadeln gruppiren. Ein 
besonderes Gastralskelet konnte von Raurr bisher nicht aufgefunden werden. 


t loc. cit. p. 168. 

?2 Diese Form hat Quessteor bereits 1558 als Schwamm beschrieben, abgebildet 
und zugleich auf die Aehnlichkeit des Baues mit dem von Ceriopora cribrosa hingewiesen. 
Vergl. „Der Jura“ p. 699, Taf. 84, Fie. 23, ferner Petrefactenkunde Deutschlands, Bd. V, 
p. 335, Taf. 131, Fig. 31 und 32. 


336 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


55. Thalamopora Zitteli nov. sp. 
Taf. XXI, Fig. 14—25. 

Es sind Stockcolonien, fast ausschliesslich erster Ordnung, von gerader 
oder gekrümmter, zuweilen seitlich zusammengedrückter, unten zugespitzt eylin- 
drischer, umgekehrt conischer oder kurz keulenförmiger Gestalt. Das grösste 
der etwas zahlreicher vorliegenden Individuen hat eine Höhe von 38 mm 
und eine Scheitelbreite von 15 mm; die Basis fehlt, so dass es in Wirklich- 
keit noch höher war. Die in annähernd alternirenden Reihen radiär um den 
gemeinsamen Hohlraum sich gruppirenden, gekrümmt keulenförmigen Kam- 
mern (Einzelindividuen) erreichen eine Länge bis zu 4,5 mm und eine Höhe 
bis zu 1,25 mm; ihre convexe Seite ist nach dem Scheitel zu gerichtet. Sie 
münden meist ohne Umbiegung mit ihrem ganzen Querschnitt in den gemein- 
samen Hohlraum, was der fast nur aus den Querschnitten der einzelnen 
Kammerwände gebildeten Wand desselben ein sieb- bis netzartiges Aussehen 
verleiht (Taf. XXI, Fig. 20). Die Kammerwände selbst sind von zahlreichen, 
geraden Radialcanälchen, den Skeletlücken für die Geisselkammern, durch- 
bohrt, wodurch die Kammern sowohl unter einander als mit der Aussenwelt 
in Verbindung treten. Diese Canälchen erreichen einen Durchmesser bis zu 
0,2 mm und sind fast kreisrund. Die Kammerwände erscheinen überall ein- 
fach, so dass das Dach einer Kammer zugleich Theile der Böden der darüber- 
liegenden Kammern bildet (Taf. XXI, Fig. 24). Die Aussenseite des Schwammes 
ist, mit Ausnahme des Scheitels, von einem zarten Geflecht anastomosirender 
Fasern umgeben, das durchaus dem der Pharetronen gleicht. Die Lücken 
dieses Deck-Fasergeflechtes sind unregelmässig rundlich und übertreffen die 
fast kreisrunden Skeletlücken der Kammerwände nicht unbedeutend an Grösse 
(Taf. XXI, Fig. 14b). Wo dieses Deck-Fasergeflecht abgerieben ist und die 
Kammerköpfe unmittelbar an die Oberfläche treten, erhält diese ein mehr 
oder weniger traubiges Aussehen (Taf. XXI, Fig. 16b). Das Deck-Fasergeflecht 
ist in den seichten Vertiefungen zwischen den einzelnen Kammerköpfen 
stärker entwickelt als auf den Kammerköpfen, wodurch bei unversehrten 
Exemplaren die traubige Beschaffenheit der Aussenwand verborgen bleibt. 

Das Skelet der Kammerwände erscheint dreischichtig.. Es ist dies 
schon im auffallenden Lichte bei schwacher Vergrösserung angedeutet, indem 
ein dunkeler, centraler Kern in der weisslichen Faser sichtbar wird (Taf. XXI, 
Fig. 21ec). Im durchfallenden Lichte bei stärkerer Vergrösserung macht sich 
dieselbe Erscheinung geltend, nur mit dem Unterschiede, dass jetzt der 
centrale Kern hell und durchsichtig, die äussere und innere Randschicht hin- 
gegen schmutzig grau und wenig transparent erscheint (Taf. XXI, Fig. 24). 
Ob hier wirklich eine Dreischichtigkeit des Skeletes oder nur eine eigentüm- 
liche Fossilisationsversteinerung vorliegt, konnte in den vorhandenen Schliffen 


Thalamopora. 337 


[S\ 


nicht nachgewiesen werden. In Schliffen, die tangential der Kammerwand 
in dem transparenten, centralen Teile derselben verlaufen, löst sich dieser bei 
stärkeren Vergrösserungen in ein Hanfwerk von regulären und sagitalen Drei- 
strahlern auf, die unregelmässig, jedoch im Wesentlichen parallel der Kam- 
merwand den mittleren Abschnitt der Radialcanälchen umgürten (Taf. XXI, 
Fig. 24a, 25). In Schliffen, die die Kammerwand quer getroffen haben, zeigen 
sich daher central zumeist nur Nadeldurchschnitte (Taf. XXI, Fig. 23). Die 
äussere Randschicht (? Dermalskelet) scheint, wie es Raurr für T’halamopora 
cribrosa GOLDF. Sp. nachgewiesen hat, aus auswärts gerichteten Stecknadeln 
zu bestehen, jedoch konnte eine besondere Gruppirung nicht erkannt werden. 
Die ?innere Schicht (? Gastralskelet) konnte nicht in ihre Elemente aufge- 
löst werden. Die Faser-Analyse des Deck-Fasergeflechtes war auch erfolglos. 


Untersuchte Stücke: ca. 30 (6 Schliffe). Palaeontologisches Museum 
München. 
Vorkommen: Stramberg, Willamowitz, Wischliz, Koniakau, Kotzobenz, 
Ignaziberg. 
Taf. XXI, Fig. 14. Thalamopora Zitteli n. sp. von ? Stanislowitz (ohne 
Etiquette) Seitenansicht in nat. Grösse; an der Basis 


abgebrochen. 

5 h „ 14a. Dasselbe Exemplar; Scheitelansicht in nat. Grösse. 

Mn E tler R »„ 5 halbe Scheitelansicht in 2facher 

Vergrösserung. 

5 5 - alele: z »„ 5; Deck-Fasergeflecht in 6facher 
Vergrösserung. 

ler, „ 15. von Koniakau; horizontaler Querschnitt in nat. Gr. 

BEN 3; „ 15a. Ein Viertel desselben Querschnitts in 3facher Ver- 
grösserung,. 

5 „ 16. von Stramberg; Seitenansicht in nat. Grösse; an 


der Basis abgebrochen. 

En „ 16a. Dasselbe Exemplar; Scheitelansicht. 

= = ee ll6h: R R ; abgeriebene Aussenseite in 6- 
facher Vergrösserung (das Deck-Fasergeflecht fehlt, 
zum Theil auch die Kammerköpfe, so dass die Aus- 
füllungsmasse der Kammern zu Tage tritt). 

= A »„ 17. von Wischliz; Seitenansicht in nat. Gr. 

> „ 18. von Willamowitz; Stock zweiter Ordnung aus zwei 

seitlich verwachsenen Stöcken erster Ordnung mit 
gemeinschaftlicher Basis bestehend, 

2 MN „ 19. von Stramberg; Seitenansicht eines gänzlich abge- 
riebenen Exemplars in nat. Gr. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3, 2 


[39 


338 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


MAR XT Riewslgia, 


a: „ 20. 
= h 3 
” ” » 21a. 


” ” ” 2 1 b. 


[50] 
© 


h s nr DANE 


Dasselbe Exemplar; die Ausfüllungsmasse der zu- 
weilen annähernd 6seitigen Querschnitt zeigenden 
Kammern tritt zu Tage. 

von Koniakau in 6facher Vergrösserung; zeigt die 
Einmündungen der Kammern in den gemeinsamen 
Hohlraum (sieb- bis netzartige Wand). 

von Stramberg; horizontaler Querschnitt in nat. Gr. 
Ein Theil dieses Querschnittes in 6facher Ver- 
grösserung. 

Verticaler Medianschnitt desselben Exemplars in 
nat. Gr. 

Ein Theil des verticalen Medianschnittes in 6facher 
Vergrösserung. 

von Stramberg; seitlicher verticaler Schnitt in nat. 
Gr. (Deck-Fasergeflecht an den Seitenrändern des 
Schnittes sichtbar). 

von Koniakau; Theil aus dem Schliff eines verti- 
calen Medianschnittes; Kammerwand —= Querschnitt 
(Nadeldurchschnitte) mit einem Radialcanälchen in 
140 facher Vergrösserung. 

von Koniakau; Theil aus dem Schliff eines seit- 
lichen, etwas schief verlaufenden Verticalschnittes 
in 38 facher Vergrösserung. 

Dasselbe Präparat; Theil aus dem Schliff eines 
Schnittes tangential einer Kammerwand im centralen 
Theil derselben in 140 facher Vergrösserung. 

von Stramberg; Theil aus dem Schliff eines Hori- 
zontalschnittes; Schnitt an dieser Stelle tangential 
einer Kammerwand im centralen Theil derselben in 
140 facher Vergrösserung. 


56. Thalamopora Hoheneggeri n. sp. 


Taf. XXI, Fig. 26, 26a. 


Diese Art liegt nur in einem einzigen Exemplar von Stramberg vor; 
es wurde daher auf die Anfertigung von Präparaten verzichtet. Der Schwamm 
ist keulenförmig und mit 3 horizontalen Einschnürungen versehen, die den- 
selben in 4 tonnenförmige Segmente gliedern. Die Basis fehlt. Die Scheitel- 
kammern sind von mehr kugeliger Gestalt und weniger zahlreich als bei 
Thalamopora Zitteli. Das Deck-Fasergeflecht ist vorhanden, zum grössten 


Theil jedoch abgerieben. 


Schluss-Bemerkungen. 339 


Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. 
Vorkommen: Stramberg. 
Taf. XXI, Fig. 26. Thalamopora Hoheneggeri n. sp. Seitenansicht in 
nat. Gr. 
= = „ 26a. Scheitelansicht in 2facher Vergrösserung. 


Schluss-Bemerkungen. 


Im Ganzen sind aus den Stramberger Schichten 28 Spongien-Gattungen 
mit 56 Arten aufgeführt worden. Es entfallen davon auf die Kieselschwämme 
16 Gattungen mit 29 Arten, auf die Kalkschwämme 12 Gattungen mit 27 
Arten. Das Verhältniss der Kieselschwämme zu den Kalkschwämmen ist also 
nahezu ein gleiches. Ich lasse umstehend eine Liste der hier beschriebenen 
Arten nebst Angabe ihrer Fundorte folgen. 


Unter den Kieselschwämmen sind wahrscheinlich 2 nur in je einem 
Exemplare vorliegende Gattungen neu, ferner sicher 6 Arten, die sich auf die 
Gattungen Tremadictyon, Oraticularia, Siphonia, ? Jerea und Seytalia verteilen, 
wovon die 3 letzten Gattungen bislang nur in der mittleren und oberen Kreide 
bekannt waren. Unter den Kalkschwämmen konnten 4 neue Gattungen mit je 
einer Art beschrieben werden, ferner S neue Arten, die den Gattungen Peroni- 
della, Corynella, 2 Myrmecium, Orispispongia, Tremacystia und Thalamopora 
angehören, wovon letztere Gattung bislang auf die mittlere Kreide beschränkt 
war, wahrscheinlich aber in Quexseor’s Spongites squamatus aus dem Örlinger 
Thal (Schwaben) schon seit langem einen oberjurassischen Vertreter besessen 
hat. Die übrigen Schwämme gestatteten mit Ausnahme einer grösseren Anzahl, 
die wegen unvollkommener oder schlechter Erhaltung eine sichere Bestimmung 
nicht zuliessen, eine Identification mit oberjurassischen Formen besonders 
Schwabens und Frankens u. a. OÖ. Mit den von PırLer und FRoMENTeEr ! 
beschriebenen Tithon-Schwämmen (augenscheinlich nur Kalkschwämme) von 
Lemene sur Chambery konnte nach den Beschreibungen und Abbildungen 
keine Stramberger Form identifieirt werden. Keine einzige Stramberger Art 
ist im Neocom vertreten, dahingegen kommen 4 Arten, die allerdings zum 
Theil nicht ganz sicher identificirt werden konnten, im Dogger vor. Die 
Stramberger Spongien-Fauna besitzt ein durchaus oberjurassisches Gepräge. 


! Description geologique et pal&eontologique de la colline de L&mene sur Chambery, 
Chambery 1875. 


to 
[9) 
* 


340 


b; 


Die Spongien der Stramberger Schichten. 


nn mm — | —, 


1| 


{2} 


20 


22 


23 
24 


I & | 3 iR =] s N 2 P 
I3 | äs|2 |& = |2|2 |8|| Sonstige Funde Sonstige Funde 
| 8 a |8a 2 a | 'S | 
8) ser |= 2 Als d Ob. Jura Dogger 
Zu RE ED BE ee x 
— — —— —ı L — en  — —— — 
. | 
Spongiae. | | 
Classe: Silicea. 
Ordnung: Hexactinellida. 
Unt.-Ordn.: Dietyonina. | 
Tremadictyonregularen.sp. + — — — — - - — — 
Cratieularia cf. parallela | | | 
GOLDF. Sp. - . «||| — | — || — Schwaben, Aargau, | FünfkirchnerGebirge 
Krakau, St.Claude. (Ungarn), Parkin- 
soni-Sch., Claus- 
Sch., Zone der Op- 
Cratieularia cf. Dee | pelia aspidoides. 
MünsTER sp. . +|— | — | — | — | — |—| — |— | Schwaben, Franken, 
\ Cratieularia cf. Schweiggeri | Aargau, St.Claude. 
Goupr. Sp. 0 . +1 —|1— Il 171 _ Schwaben, Aargau, 
Cratieularia intrasulcata | | | Krakau, St Claude. | 
n. sp. je ll 
? Cr aticularia ek. clathrata | 
GoLDE. sp. +) — — Schwaben, Aargau, Burton Bradstock, 
\ Krakau, St.Clande. | (Dorset), Inferior 
| Oolite (Parkinsoni- 
| | Zone). 
Cratieularia sp. . . . » + — ||| | —- || — | — 
? ” Speer: „||| — | — | — | — | — — | — |— 
Sporadopyle cf. pertusa | | 
GOLDF. SP. +) -/+/— | — |—) — |— Franken, Aargau, 
Spor adopyle pertusa Goror. | Krakau. 
sp. var. plana n. \. .— [— | +1 — | — | — |—| — |— 
Sporadopyle cf. texturata | | | 
GoLpF. sp. var. subtex- | | | 
turata W’ORB — | — | — | — | — | + |—| — |— Franken, Schwaben, 
| Aargau, Krakau. 
genus indet. sp. . . ZI a { 
Cypellia ef. rugosa GoLpr. sp. I-+ | — || | Eranken, Aargau, ee: 
| ‚ Krakau. ngarn), Zone der 
genus indet. sp. || — — | Oppelin aspidoides. 
Ordnung: Lithistida. | 
Unt.-Ordn.: Tetracladina. | | 
Siphonia en n. | | | 
Sp- - | = =; | 
? Sıphonia w indet. . .|—|— |||) 4) ||) 
Ze: indt. . .|—|+|1—-|—- | |<) — | 
? Jerea eihonsas ee le —| | = 
? Jerea (? Jereica) Sp. + | — | | 
? Jerea n. Sp. . & ll = | ee 
| | ||| 
Unt.-Ordn: Anomocladina. | | | | | 
I} | 
?Cylindrophyma Sp... . | +|— |—| | == 
Melonella ef,radiata QST. Sp. | een —| Franken, Schwaben, 
| | ‚ Aargau u. Sternberg 
I im nördl. Böhmen. 
EINOYSBE CN WESD er: It | | 
?nov. gen. Sp | = 21 


Schluss-Bemerkungen. 


ee 
ale: sl=l2lE|8 | - R RS 
2 e ER 22|3|88 = | Sonstige Funde Sonstige Funde 
ee © [Zi IS] 
= Ei Sl g 3 S je el 8] Ob. Jura Dogger 
ae ee L el Zn 
Unt.-Ordn.: Rhizomorina. | | 
25| ?Cnemidiastrum Sp. . + -1-1- || || — — 
26| 2 ; sp - - II ||| + —|— | 
27) Hyalotragos cf. pezizoides 
GoLDF. Sp. 2... l+ ol | | — | — |— |) — |—|| Franken, Schwaben, 
Aargau, Polen, 
Krakau, Sternberg 
im nördl. Böhmen. 
28 ? Platychonia sp. +-|1-|j-|-)- |) — — 
29| Scytalia tithonica n. sp. +|— ?+ 
| Ulasse: Calcarea. | 
Ordnung: Dialytina. | 
Familie: Pharetronidae. | 
30| Eudea cf. perforata Quest. | | | 
sp. ; | a En — — — |—| Schwaben, Aargau, 
| ? Caquerelle (Jura 
bernois);Sternberg 
| im nördl. Böhmen. 
31] Eudea globata (JuENST. Sp. (EEE — Schwaben, Franken. | 
32| ? Peronidella ef cylindrica | 
GoLDF. Sp. .» .|=|1—-|—-1+[|— | — | — |— Schwaben, Franken, | 
| Aargau, Sternberg 
i.n.B.; ferner nach | 
M’Coy imÜoralline 
Oolite bei Melton 
Yorkshire. 
33| Peronidella tithonica n. sp. |— | — | — + - = |) 
54 SD: I+'1—1—-|— | —- | — —| — |) 
35 2 Busiphonella ch. Brom 
MüNsTER Sp. | | 21 — — Schwaben, Aargau, | Minchinhampton 
|  Caquerelle, Sauet| Great Oolite (nach 
|  Claude,?Argentera | Morris). 
Nord-Italien). 
36| Corynella afl. costata STaHt | ( 
BD... RN | — 1?+ _ ‚Schwaben, Aargau. 
37| Corynella sp. || _ — | 
38 er sp. \—1—1—-|— |? —) 
39 ? ” SP- | | — | ie || | 
AU; SD 2... .l4 ||| || 
al| Corynella moravica n.5p..|\— — — — — %— -—- — 
42) ? Myrmecium cf. indutum | 
QLENST. Sp. + \— — — | Schwaben. 
43, Myrmecium cf. hemisphaeri- | | | 
cum GoLDF. Sp. + ?4+ — | — | — | — — | — |— Franken, Schwaben, 
|  Aargau,Damvillers 
(Jura bernois),Kra- 
kau, Sternberg im 
nördl. Böhm, Ka- 
tarasse (Krym). 
44| 2Myrmecium grande n. sp. | - —  —-| | — —) — — 
45| COrispispongia pezizoides | | | 
v. ZITTEL . > I+ | | — |— Schwaben, Franken. 


349 Die Spongien der Stramberger Schichten. 


22 35|2|83 |3|2 |2| Sonstige Funde Sonstige Funde 
s 8 5°7|:|2|3 2/21 Ob. Jura Dogger 
a|# le |s 8 |F j2]® || 
_ = == nn 
Crispispongia conica n.sp.\ +) | — | | — | |—/ — | 
Rauffia clavata n.sp. . | +? ++ +1 —- | +44 4 
nov. gen. Sp. ER: [+1 — | — el 
nov. gen. sp. indet. 2 
Buzittelia magnifica n. sp. |e+|— | | — | |) — | —| — |— 
Buzittelia sp. indet. . .\|—\— | — | — | — | — |? — 
| Strambergia Sp. .|+1-|-1-|-|- | — — 
Familie: Syconidae. 
Unt.-Familie: Polysteganinae. 
Tremacystia Binde n. sp. \— | — | — ?H-|—- — — — | 
B tithonica n. sp. | + | — — | 4+1—- 
Thalamopora Zittei n. sp. + ++ +1 - + - + — 
„ Hoheneggeri n.sp. + ll | 


Register 


dritten Band der Palaeontologischen Mittheilungen. 


Die beschriebenen Gattungen und Arten sind mit einem * bezeichnet. 


Acanthocoenia 155. 158. Alveopora incrustata 235. 
Acanthogyra 98. 101. 128. "130. „ tacemosa 231. 232. 
„  basaltiformis 132. „ tuberosa 231. 
„ eolumnaris *131. 153. Alveoporinae 77. 
„ multiformis *132. Amblophyllia 200. 
„ subeompressa 129. *133. 134. Amphiastraea 75. 95.96.99. "104.182. 187. 
Aceryularia 186. „  basaltiformis 106. 
Acrocidaris *28. „  eylindriea *106. 
„  elongata 29. „  gracilis *105. 
„ formosa 29. Amphiastraeidae 77. 88. *95. 117. 182. 
„ nobilis”26. #28. 31. Anisocoenia 155. 
„ ovalis 29. Anisophyllum 157. 
„ striata 29. Anomocladina 308. 
„  subformosa 29. Anomophyllum 237. 
„ tuberosa 29. 


„ Münsteri 248. 
Acrosalenia aspera 6. 


Anomura 51. 
Acrosmilia 218. Anthophyllum 193. 
Actinaeis 78. 37. 


„  obconicum 195. 
Actinaraea 228. 229. 230. Aphiastraea 119. 120. 123. 150. 131. 
Actinastraea 148. 


Aplastraea 168. 
Actinocoenia 163. Aplocoenia 155. 
„  elathrata 164. 


Aplosmilia 98.100.119. 120.*122.128.131. 
Adelocoenia 168. 180. 


„ rugosa *123. 
Agaricia 185. 219. 225. 228. Aporosa 73. 77, 


„ favulus 151. 
Aleyonites costata 318. 
Allocoenia 151. 
Alveopora 228. 


Archaeocyathidae 77. 
Astraea 148. 151. 168. 175. 
185. 219. 225. 
„ alveolata 176. 


344 


Astraea Bourgueti 176. 

„ cavernosa 176. 

h j densicella 177. 

„ confluens 212. 220. 221. 

„ erasso-ramosa 150. 

„ decemradiata 174. 

„ gracilis 154. 

„ tubulifera 174. 
Astraeidae 77. *85. 89. *182. 
Astraeinae 136. 147. 182. 
Astraeomorpha 223. 
Astrocoenia 76. 146. 147. 

160. 182. 

„  Bernensis *149. 

„  erasso-ramosa *150. 152. 

„  Delmontana *150. 

„ pentagonalis 149. 

„  tenuisepta 150. 
Aulastraea 98. 99. *107. 

„  eonferta 109. *110. 

„ Schaeferi *107. 110. 
Aulopesma 293. 

Axophylliae 96. 98. 182. 
Axosmilia 134. 135. 
Barroisia 334. 
Baryphyllia 248. 252. 
Baryphyllum 157. 
Battersbyia 97. 

Blastinia 329. 
Blastosmilia 154. 
Brachyura 56. 
Branchastrea 168. 
Calamophyllia 115. 200. 202. 214. 

„ compacta 207. 

„  erassa 205. 

„ dichotoma 201. 

„ disputabilis 215. 

„ fHabellum 205. 207. 208. 

„ laevis 203. 

„ Mentonensis 208. 

„ radiata 115. 

„ strangulata 208. 

„ striata 207. 208. 

„ Virgulina 206. 

Calcarea 291. 312. 


Register. 


Calostylis 254. 255. 
Caryophyllia 193. 200. 214. 
Gentrastraea 220. 

Ceriopora 333. 

„ eribrosa 335. 
Cheilosmilia 96. 

Chonaxis 93. 
Cidaris *12. 

„ authentica 14. 

„ Blumenbachi *16. 

„ carinifera *14. 
cervicalis 19. 

„ Horigemma 20. 

„ gibbosa *18. 

„ glandaria 13. 

„ glandifera *12. 15. 

„ marginata *19. 

„ Ppropinqua *17. 

„ punctatissima 21. 

„ Strambergensis *16. 

„ Sturi *20. 

„ subpunctata *20. 
Cidarites gigantea Desori 23. 

„ pseudodiadema 32. 
Circophyllia 182. 

Cladocora laevis 203. 

„ trichotoma 210. 
Cladophyllia 96. 113. 115. 200, 

„ Babeana 115. 

Choffati 115. 

„  Clemeneia 115. 119. 

„ laevis 203. 

„  Mentonensis 115. 117. 118. 
Clathrispongia perlata 298. 
trochiformis 298. 

„  ventricosa 298. 
Cnemidiastrum 296. *310. 326. 
Cnemidium rotula 322. 
Coccophyllum 98. 107. 
Coelosmilia 134. 135. 

„  poculum 134. 
Collyrites *2. 

„ earinata *3. 

ovulum 3. 
transversa 1. 


Columnaria 97. 98. #116. 117. 
Columnastraea 155. 
Comoseris 217. 246. 

„ amplistellata 248. 

„ brevivallis #248. 

„ Irradians 247. 

„ maeandrinoides 247. 
Confusastraea 220. 
Conocoenia 168. 
Conophyllum 193. 
Convexastraea 155. *178. 

„  dendroidea 169. 

„ minima *179. 

„ sexradiata *179. 
Corynella *317. *319. *320. 

„ all. costata *318. 

foraminosa 317. 

„ moravica *321. 

Coscinaraea 85. 207. 250. 


Craticularia sp. *297. *300. *301. 


„ cf. elathrata *300. 

„ ıintrasulcata *299. 

„ cf. paradoxa *298. 

„ ef. parallela *297. 299. 

„ cf. Schweiggeri "299. 
Cribrispongia *325. 

© conica +39». 

„  Ppezizoides *325. 
Crustacea 50. 


Cryptocoenia 155. 168. 175. *180. 


„ alveolata 177. 
„ Claudiensis 176. 
„ compressa *180. 
„ Thiessingi "181. 
„  Waldeckensis 172. 
Cyathocoenia 151. 
Cyathophora 155. 157. *175. 
„ Bourgueti *176. 
„  Claudiensis *176. 
„ foveolata 178. 
„ globosa *178. 
„ Gresslyi 178. 
„ Jcaunensis 178. 
magnistellata 176. 
minima 179. 


Register. 34 


or 


Cyathophora Pironae 178. 
Richardi 176. 

„ tithonica 177. 

„ T'hurmanni 176. 
Cyathophyllidae 77. 182. 
Cyathophyllum 76. 92. 93. 

„  heterophylloides 75. 
Cyclolites 82. 85. 87. 193. 217. 
Cylindrophyma 308. 

„ milleporata 308. 
Cymosmilia 123. 128. 

Cypellia *304. 

„ ef. rugosa *304. 
Cystiphyllidae 96. 
Dactylocoenia 220. 

Decacoenia 168. 

„ Michelini 174. 
Decaphyllum 156. 157. 158. 161. 

„  Koeneni 156. 

Decapoda 50. 

Dendraraea 228. 

Dendastraea 185. 

Dendrocoenia 168. 

Dendrogyra 98. 111. 120. #124. 128. 131. 

„ rastellina 127. 

„ Sinuosa *126. 
Dendrohelia *142. 

„ coalescens *143. 
Dendrophyllia 258. 
Dendrosmilia 156. 

Dentipora coalescens 143. 

„  glomerata 174. 
Dermoseris trichotoma 201. 202. 
Dermosmilia 248. 252. 

„ Jlaxata 259. 
rugosa 260. 

„ simplex 258. 

„ suberassa 259. 
Desmosmilia 182. 214. 248. 
Diadema subangulare 34. 
Dialytina 312. 

Dichocoenia 147. 

Dietyonina 297. 

Dietyonocoelia Schweiggeri 299. 
Dimorpharaea 237. 


346 Register. 


Dimorpharaea Koechlini *238. 
Dimorphastraea 222. *225. 

coniea 2272 

». dubia #227. 

„ heteromorpha *226. 

„ vasiformis *228. 
Dimorphoseris 237. 


Diplaraea 85. 90. 153. 217. 248. 250. 258. 


laxata *259. 

„ nobilis *260. 

„ af. rugosa *260. 

„ simplex *258. 

„ suberassa *259. 
Diplocidaris "23. 

„ Desori 23. 

„. ktalloni #23. 
gigantea 23. 

„ Pustulifera 23. 
Diplocoenia 92. 155. 161. "163. 186. 

„  celathrata *164. 
Inwaldensis *165. 
Matheyi 164. 
multiseptata *165. 
„ profunda 164. 
spissa *164. 

„ stellata 165. 
Diplopodia 31. 

„ subangularis 34. 
Discoidea 6. 

Dromiacea 56. 
Dromiopsis 69. 
Dysaster altissimus 1. 
Echinus pulatus 37. 
Elasmocoenia 155. 161. 

„  explanata 155. 
Ellipsosmilia 141. 193. 
imallocoenia 198. 

„  erasso-ramosa 150. 
Enallohelia 76. 144. 160. 
Endophyllum 107. 109. 

„ abditum 109. 
Epismilia 134. 135. *141. 

cuneata *142. 

„  obesa *141. 

„ reptilis *142. 


” 


Epistreptophyllum 76. 90. 182. 214. 248, 
250. 251. 252. #259. 
„ commune 252. *255. 
„ eonicum *256. 
eylindratum 256. 
„ montis 257. 
„ tenue 252. 
Epitheles hemisphaerica 323. 
Eudea *312. 
„ globata *313. 
„ ef. perforata *312. 
Funomia laevis 203. 
„ Slabella 207. 
„ plicata 214. 
Euphyllia 77. 98. 121. 125. 
Eupsammia 78. *84. 89. 249. 
Eupsammidae 77. 89. 182. 248. 
Eupsamminae 77. 248. 250. 251. 
Eusiphonella *316. 
Bronni 316. 
„ ef. Bronni 292. *316. 
Eusmilia 122. 
Fusmilinae 134. 136. 155. 
Euzittelia 296. *329. "330. 
„ masnifica *329. 
Fascieularia 168. 
Favia 162. 
Faviacea 188. 
Flabellum 135. 
Fungia 76. 77. 78. *82. 84. 85. 148. 240. 
Fungidae 77. 89. 215. 
Funginae 77. 216. 240. 244. 251. 
Galathea 52. 
„ acutirostris *53. 
„ antiqua "54. 
eutecta *52. 
Meyeri *55. 
rugosa 54. 
strigosa 52. 
„  verrucosa *Db. 
„ Zitteli *52. 
Galatheidae *51. 
Galaxea 78. *80. 86. 87. 90. 91. 156. 
161. 162. 


» 


| Gastrosacus Wetzleri 53. 54. 


Register. 347 


(ebia *50. 
„  dura350. 
= litoralise Hl. 
Gemmastraea 168. 
Goniaraea 151. 
Goniastraea 78. 86. 150. 163. 188. 
„  Delemontana 192. 
„ favulus 147. 151. 152. 
Goniocoenia 148. 
Goniocora *F144. 
„ dubia *145. 
„ Haimei *145. 


Haplaraea 76. 78. 85. 90. 153. 182. 214. 


217. 248. 250. *261. 
„ columnaris 250. 261. 
„  elegans 262. 


Heliastraea 78. 85. 87. 93. 136. 162. 183. 


250. 
Heliocoenia 155. 156. 158. 161. *166. 

„ dendroidea 159. "167. 

„ Humberti *167. 
 Hemicidaris *25. 28. 

„ Avassizi *25. 31. 

„  crenularis *27. 

„  undulata 28. 

„  Zitteli *27. 
Heptastylis 88. 
Heterocoenia 91. 
Heterophyllia 97. 
Hexacoralla 73. 77. 
Hexactinellidae 297. 
Himatella 293. 
Holectypus *6. 

„ corallinus *7. 

„  orifieiatus *8. 
Holocoenia 155. 158. 
Holoeystis 155. 157. 158. 
Hyalotragos *310. 

„ ef. pezizoides 310. 
Jerea *506. "307. 

„  tithonica *306. 
Jereica 307. 

Isastraea 120. *185. 

„ eurtata 189. 

„  eylindriea *191. 


Isastraea explanata 191. 

„ favulus 151. 

„ Goldfussi *190. 

„ Gourdani *192. 

„ minima *192. 

„ Montispastelli 242. 

„  rastelliniformis 189. 190. 

» Thurmanni 189. *190. 

„ undans *189. 190. 192. 

„  variabilis *189. 192. 
Ktenodema 124. 

Lasmogyra 127. 

Lasmophyllia 193. 

Lasmosmilia 200. 

Latimaeandra 120. 185. 186. 187. 241. 

„ Amedei 242. 

„  aulonica 189. 

„ brevivallis 189. 

„ Culiaensis 191. 

„ Etalloni 191. 

„  Goldfussi 190. 

„ minima 192. 

„ plicata 214. 

„  Taramellii 191. 

„  Thurmanni 190. 

„ undans 189. 

„ variabilis 189. 
Latimaeandraraea 238. 
Latusastraea alveolaris 95. 
Leptophyllia 182. 207. #218. 255. 256. 261. 

„  cupulata 218. 

„ eyclolites *218. 

„  depressa 219. 

„  excelsa 256. 

„ Fromenteli 219. 

„ Intermedia 219. 

„  montis 252. 

„ Ihurmanni *219. 
Leptophyllum montis 257. 
Leucandra saccharata 295. 

„ stilifera 295. 
Lingulosmilia 96. 102. 
Lithistida 305. 
Lithodendron 112. 200. 214. 

„  confluens 212. 


345 


Lithodendron eylindratum 203. 204. 
„ dianthus 117. 
„  diehotomum 201. 
„ Nabellum 207. 
„ Jacerum 206. 
laeve 203. 204. 205. 207. 
„  Jongimanum 203. 204. 
„ magnum 206. 
„ plieatum 214. 
„ pressum 206. 
„ quadrilobus 212. 
„ kauracum 208. 
„ Tugosum 117. 
„  trichotomum 210. 
Lithoseris 252. 
„  eompressa 
Lobocoenia 166. 
„ eoalescens 145. 
Lobophyllia 122, 127. 
„ fHabellum 129. 
„  maeandroides 212. 213. 
suevica 212. 
Lophohohelia 79. 
Lophoseridae 247. 
Lophoserinae 77. 216. 217. #244. 247. 251. 
Lophoseris 245. 
Lophosmilia 154. 
Lythechinus 37. 
Macrura 50, 
Madracis 76. 147. 148. 160. 
Madrepora 76. 78. 88. 90. 153. 156. 160. 
166. 
„ ecoalescens 143. 
„ sublaevis 143. 
Madreporidae 77. 89. *152. 
Madreporinae 77. 
Maeandraraea *238. 247. 
„  erebriformis 240. 
„ laminata *239. 
„ tuberosa *239. 
Maeandrina 124. 127. 
„ Lotharinga 191. 
Maeandrophyllia 185. 
Manon peziza 325. 
Melonella *308. 


958. 


252. 255. 


168. 


200. 


”„ 


Register. 


Melonella ef. radiata 290. #308. 
Metaporhinus *1. 
„  convexus *1. 
„  Münsteri 1. 
„  transversus 1. 
Microphyllia 241. 
„ Amedei 242, 
„ dumosa 191. 
„ Thurmanni 190. 
„ undans 189. 
Microsolena 152. 155. 217. 
agariciformis 250. "232. 
cf. Bouri *233. 
catenata 234. 
cavernosa 233. 
„ keonica 231. 232. 
Edwardsi 232. 
excelsa 236. 
„ exigua 
„  expansa 238. 
Fromenteli 230. 232. 
„ gibbosa 233. 
granulata 250. 
irregularis 2393. 
„ Julii 230. 232. 
Köchlini 238. 
„ stellata *229. 
„ tuberosa *231. 232. 
„ variata 7250. 232. 
Mitrodendron 102. 112. 
„ mitratum 95. 112. 
Montieulipora 533. 534. 
Montlivaltia 76. 78. 86. 87. 
*193. 218. 
„ alata #198. 
„ Cavalli *198. 
„ erassisepta "196. 
eyclolites 218. 
„ dispar 195. 
„ Gyensis 195. 
nidiformis *197. 
„  obconica *195. 
Renevieri *197. 
„ rosula 198. 
truncata 196. 


930: 231.238. 


119. 123: 


140. 


*228. 237. 


Montlivaltia turbinata 199. 
Morphastraea 225. 
Mussa 77. 78. 79. 87. 184. 
Myriophyllia 124. 194. 
Myrmecium *321. 

„ grande 291. *324. 

„  hemisphaeriecum 321. *322. 

„ ef. indutum *321. 
Nucleolites convexus 1. 
Octocoenia 168. 
Oculina eoalescens 143. 
Oculinidae 77. 89. *142. 
Ömalophyllia 194. 
Öpistophyllum *101. 110. 115. 

„ lunare 119. 

„ minimum 103. 

„  vesiculare *102. 103. 126. 

„ Zitteli 102. 
Oppelismilia gemmans 199. 
Örispongia globata 313. 

perforata 312. 

Öxythyreus 56. 57. 58. 

„ gibbus *56. 57. 
Pachyclypeus *4. 

„ semiglobus 4. 
Pachysyra 99. 120. 125. 126. 161. 

„ costata 125. 
Parasmilia 134. 
Pareudea Bronni 316. 

gracilis 316. 

Pavonia 246. 
Pectinia 98. 
Pedina *35. 

„ sublaevis *35. 


Pentacoenia 155. 158 
Pentaphyllum 157. 158 
Perforata 73. 77. 


Perismilia 195. 
Peronella 335. 
„  eylindriea 314. 
Peronidella *314. *315. 
ef. eylindriea "514. 
tithonica 295. "5 
Petalaxis 93. 
Pharetronidae 312. 


Reeister. 


Phillipsastraea 76. 157. 156. 
| Phyllastraea 99. 125. 126. 161. 
Phyllocoenia 155. 162. 
Phymastraea 104. 105. 
Phytogyra 98. 120. 128. 
magnifica 128. 
rauraciensis 128. 
Pinacophyllum 98. 116. 
Pirrastraea 220. 
Placocoenia 155. 
Placophyllia 98. 100. 113. 156. 
„ dianthus 113. 114. 
rugosa 112. 117. 118. 
Platychonia *311. 
Plesiosmilia 137. 
infundibuliformis 140. 
„ turbinata 138. 
Pleurophyllia 113. 114. 115. 
„ alpina 117. 118. 
Pleurosmilia 134. 135. *137. 
erassa *159. 
eylindriea *138. 
aff. infundibuliformis "140. 
Marcou *139. 
„. turbinata 138. 
Pleurosmilinae 134. 


r Er sinuosum 215. 
Poeilloporidae 77. 89. *146. 
Poeilloporinae 77. 163. 
Polyphyllastraea 228. 233. 
Polyphyllia 193. 


Polyphylloseris 233. 
corticata 232. *235 


fascicularis 275. 


polymorpha 234. 236. 

„ tenuiseptata "234. 
Polystesaninae 331. 
Porites 76. 78. 88. 153. 
Poritidae 77. 153. 
Poritinae 216. 
Prionastraea 185. 
Prosopinidae *56. 
Prosopon aequilatum 64. 


Plieodendron plicatum rotundum 215. 


349 


350 


Prosopon angustum *61. 65. 

„  bidentatum *68. 

„ complanatiforme *66. 

„ complanatum *67. 

„ exeisum 61. 

„ Rraasir*63: 

„ grande *67. 

„ heraldicum *58. 

„ Heydeni 61. 

„ laeve 63. 

latum *66. 

„ longum 59. 

„ marginatum *64. 

„ mirum *60. 

„  ornatum *60. 

„ ovale *65. 

„  oxythyreiforme *57. 

„ paradoxum *58. 

„  polyodon *69. 

„ punctatum *62. 

„  pustulosum *63. 

„  tuberosum 63. 

„ verrucosum *62. 
Protoseris *245. 

„ Jaccardi 246. 

„ recurvata *245. 

„ robusta 245. *246. 
Psammocoenia 155. 
Psammogyra 98. 120. 125. 126. 
Psammohelia aspera 143. 

„ dendroidea 143. 

gibbosa 143. 
Psammosmilia 141. 
Pseudoagaricinae 251. 
Pseudoastraeinae 153. 182. 216. 

„ irregulares 216. 239. 250. 251. 

„ tegulares 216. 239. 247. 251. 
Pseudocidaris 17. 21. 

„ rupellensis 17. 
Pseudocoenia 168. 
Pseudodesorella *5. 

„  Orbignyi *5. 
Pseudodiadema *30. 

„  aroviense 54. 

„ Flamandi 32. 


Register. 


Pseudodiadema florescens *32. 

„  hemisphaericum 32. 

„ Lamarcki 32. 

„ pseudodiadema *31. 

„ subangulare *34. 

„ tranversum 32. 
Pseudothecosmilia 96. *111. 

„ Etalloni *112. 
Pterocorallia 76. 

Pygaster *10. 

„ Gresslyi *11. 
Pyrina *8. 

„  Guerangeri 8. 

„ leaunensis 8. *9. 
Raufiia 291. 296. *326. 

„ clavata *326. 
Rhabdocidaris *21. 

„ horrida 22. 

„ maxima *22. 

„ nobilis 22. 
Rhabdophyllia 185. 200. *214. 258. 

„  eervina *215. 

„ disputabilis *214. 

„ Edwardsii 208. 

„ fHabella 207. 

„ strangulata 208. 

„ undata 208. 

„  Valfinensis 208. 
Rhipidogyra 98. 120. *127. 131. 140. 

„  flabellum *129. 

„ minima *130. 

„ percrassa *129. 133. 134. 
Rhizomorina 310. 
Schizosmilia 96. 98. 100. 113. 115. 116. 

120. 156. 
Bollieri 115. 

„ excelsa 117. 118. 
Sclerosmilia *111. 

„ Laufonensis 111. 
rugosa 111. 
Strambergensis *111. 

Seyphia Bronni 316. 

„  elathrata 300. 

eylindrica 314. 


„ elegans 314. 


Register. 


Seyphia parallela 297. 

„  paradoxa 298. 

„ pertusa 301. 302. 303. 
rugosa 304. 

„ Schweiggeri 299. 

„ texturata 302. 303. 

5 e var. patellaeformis 303. 
Seytalia *311. 

„  tithonica 290. *311. 

Selenogyra 98. *119. 120. 122. 128. 131. 

„  Geikiei *121. 

Seriatopora 91. 
Seriatoporinae 77. 
Sestrostomella 293. 
Siderastraea 78. *82. 84. 85. 216. 219. 
240. 246. 
Siderofungia 216. 241. 
Silicea 289. 
Siphonia "305. 
„  Pyriformis 308. 
radiata 308. 

„ Strambergensis *305. 306. 

n 5 sp. indet. *306. 
Siphonocoelia elegans 316. 
Sphaerocoelia 334. 335. 

Spongites astrophorus 318. 

„ elathrata 300. 

„ eylindrieus 314. 

„  eylindritextus 298. 

n ci familiaris 301. 

„ Indutus 321. 

„ nodulosus 335. 

„  perforatus 312. 

„ squamatus 335. 

Spongophyllum 107. 109. 

„»  Büchelense 109. 
Sporadopyle *301. 

„ ef. pertusa *301. 

„ pertusa var. plana "302. 

„ texturata 301. 302. 303. 

„ ef. texturata var. subtexturata 289. 

"303. 
Stauria 97. "116. 
Stellispongia rotula 323. 
Stephanastraea 151. 


Stephanocoenia 76. 146. 147. 148. * 


155. 160. 182. 

„ favulus *151. 

„ pentagonalis 149. 
Stephanophyllia 84. 
Stomechinus "36. 

aroviensis 38. 
lineatus 38. 
perlatus *37. 

„  psammophorus 38. 

„ serialis 38. 
Strambergia 291. "330. 
Streptelasma 75. 


Stylina 75. 76. 93. 155. 157. 161. 


163. *168. 175. 180. 

„ arborea "169. 
athemoides *172. 
baeciformis 169. 
Bourgueti 177. 

„  brevieosta *174. 

„ coalescens 143. 
Deluei 171. 
dendroidea 167. 
digitiformis 167. 

‚ echinulata 171. 

„ fenestranis 175. 
foliosa *170. 
granulosa *168. 
Humberti 167. 
irradians 172. 
Kotzobensis *169. 
lobata 175. 
microcoma 169. 170. 
milleporacea "173. 

„  Nantuensis 170. 
parvipora *173. 

„ pleionantha 174. 
Ploti 175. 
sexradiata 179. 
spissa 164. 
suleata *171. 
Taramellii 173. 

„ tuberosa "171. 
tubulifera 159. 
tubulosa 174. 


*1T7A. 


162. 


359 Register. 


Stylina Waldeckensis *172. Thamnastraea Bourgeati 223 
Stylinidae 77. 89. *154. „ coneinna 154. 224. 
Stylocoenia 147. 155. „  confluens 212. *220. 
Stylogyra 127. „ (Coquandi 223. 

„ Nabellum 129. „ gibbosa *223. 225. 
Stylohelia dendroidea 143. „ globosa *223. 
Stylophora 147. „ gracilis 224. 
Stylophorinae 77. 91. *146. 148. 163. 182. „  heteromorpha 226. 
Stylophyllinae 182. „ Lomontiana 222. 225. 
Stylophyllopsis 85. 182. 188. 248. 249. „ af. Lomontiana "225. 

254. 261. „ mninima 224. 

„ polyactis 251. 254. 262. „  oculata *222. 

Stylophyllum 76. 78. 85. 89. 90. 182. 188. „  Perroni *243. 
248. 249. 254. „ portlandica 225. 

„ paradoxum 254. „ pusilla 154. 994 

„ tenuispinum 254. „ seriata 222. 

Stylosmilia *112. 113. 115. 116. 144. 155. | Thamnastraeinae 77. *82. 85. *216. 244. 

EKobyaszlale7e 249, 

„ Koniakensis *118. „ eancellatae 217. *228. 

„ Michelini 113. 115. 119. „ expletae 217. *218. 

„ radiata 118. Thamnoseris 216. 241. 

„ Tugosa *117. „. Amedei *249. 

Syconidae 331. „ arborescens 241. 
Synastraea 219. „  Montispastelli *242. 

0 Bour233. „ Perroni *243. 
Tetracladina *304. „  Strambergensis *243. 
Tetracoralla 73. „ Troteana 243. 
Thalamopora 331. "333. Theeidosmilia 96. 97. 106. 161. 

„ ceribrosa 334. 337. valvata 106. 

„  Hoheneggeri "338. Thecophyllia 193. 

„ Michelini 335. Thecosmilia 78. 86. 87. 115. 185. 194. 

„  vesiculosa 335. *200. 258. 

neh 291-7336. 338. „ annularis 210. 
Thalassina 51. -„ Buvignieri 210. 
Thalassinidae 50. „ Cartieri 199. 
Thamnaraea *152. 232. „ cervina 215. 

„  arboresens *153. 237. „ elathrata 200. 201. 214. 

bacillaris 231. „ Claudiensis 203. 205. 

„  Bouri 233. „ eonnecta 203. 207. 

sranulosa 231. „. eostata 212. 

„ pulchella *154. „  diehotoma 201. 202. 
Thamnastraea 78. 87. 182. 217. *219. 226. „ fiabella 201. *207. 

Das 2378 5 var. crassa "208. 
arachnoides 223. „ grandis 213. 
aspera "224. „  Gresslyi 208. 


Thecosmilia Jaccardi 203. 
„ irregularis 201. *209. 
„  Koniakensis, #201. 205. 207. 
„ Jlaevis 210. 
„ Langi 201. *212. 
„ laxata 259. 
„ Jongimana 201. *203. 206. 
„ magna 206. 
„ Moraviensis 201. *211. 
„ plicata 202. 
sueyica, 2012 211. 22127220: 
„ tithonica 213. 
„ triehotoma 188. 201. *210. 
„ kruncata 201. *213. 
„ virgulina 201. 203. *206. 
„ Volzi 201. *209. 
Thoracostraca 50. 
Tiriadendron 160. 
Tragos fistulosum 310. 
„  pezizoides 310. 
Tremaeystia *331. 333. 
„ anastomans 331. 333. 
„ Hindei *331. 
„  Michelini 332. 


Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 


Register. 353 


Tremaeystia d’Orbienyi 332. 

„ Siphonoides 333. 

„ tithonica *332. 
Tremadietyon 297. 

„ regulare 289. *297. 

„ reticulatum 297. 
Tremocoenia 168. 
Trismilia 135. 
Trocharaea 152. 217. 
Trochocyathinae 77. 
Trochoseris 218. 
Trochosmilia 90. 135. 218. 
Trochosmiliaceae 134. 
Trochosmilinae 77. *134. 135. 136. 
Turbinaria 78. 87. SS. 90. 153. 
Turbinarinae 77. 
Turbinolia 135. 193. 218. 

„  eyelolites 218. 
Turbinolidae 77. 88. "134. 135. 
Turbinolinae 77. 135. 
Ulophyllia maeandroides 212, 213. 
Zaphrentidae 77. 
Zaphrentis 75. 76. 


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