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LES REPTILES.
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AVEC UN ATLAS,
PAR M. DUVERNOY,
Professeur au Collèse de France.
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D'APRÈS SON ORGANISATION, —° MÇeou.,
POUR SERVIR DE BASE A L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX,
ET D'INTRODUCTION A L'ANATOMIE COMPARÉE,
PAR
GEORGES CUVIER.
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EDITION
ACCOMPAGNÉE DE PLANCHES GRAVÉES,
REPRÉSENTANT
: LES TYPES DE TOUS LES GENRES,
LÉS CARACTÈRES DISTINCTIFS DES DIVERS GROUPES ET LES MODIFICATIONS DE STRUCTURE
SUR LESQUELLES REPOSE CETTE CLASSIFICATION ;
#
PAR
UNE RÉUNION DE DISCIPLES DE CUVIER
MM. Audouin, Blanchard, Deshayes, Alcide D'Orbigny, Doyère, Dugès, Duvernoy, Laurillard ,
Milne Edwards, Roulin et Valenciennes.
Pr 0e
PARIS
FORTIN , MASSON ET C*, LIBRAIRES,
Successeurs de Crochard,
PLACE DE L'ÉCOLE-DE-MÉDECINE, N. f.
Imprimé chez Paul Renouard,
Rues Garancière, n. 5.
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CHÉLONIENS.
ANATOMIE.
CHARPENTE OSSEUSE.
Fig. 1-5. SQUELETTE de la TORTUE GÉOMÉTRIQUE.
La tête est vue de profil dans la fig. 1, en dessous dans la fig. 2,
en dessus dans la fig. 4, et par derrière dans la fig. 5.
Dans la fig. 2, qui est vue du côté inférieur, on a enlevé le
bouclier sternal pour mettre à découvert l’intérieur de la carapace.
La fig. 3 représente ce bouclier par sa face interne. a 1, a2, a 3,
a 4, sont les pièces osseuses paires de ce bouclier. a 9 est la pièce
impaire triangulaire ; c’est contre ses angles latéraux que viennent
s’articuler les clavicules.
Le bouclier supérieur est formé : 1° De la série médiane des
pièces vertébrales » 1— 512; 2° De la série des pièces marginales
d1 à d11; et 3° Des huit pièces intermédiaires a 1 à a 8, qui sont
les côtes.
On a indiqué, autant qu’il a été possible dans un aussi petit
dessin, les parties et les os de la tête, que l’on pourra comparer
avec les os de la tête d’un autre genre, pl. 2, fig. 2 (Vertébrés
ovipares ).
æ. Frontal. — a2. Frontal antérieur. — a 3. Frontal postérieur, — o-s. Occi-
pital supérieur. — x. Condyle. — k. Caisse. — e, Maxillaire supérieur. —5. Jugal.
— 1. Mâchoire inférieure. — 2. Apophyse coronoïde. — 3. Angulaire.
Les os des extrémités sont :
o. Omoplate. — cl. Clavicule. — cr. Coracoïdien. — Am. Humérus. — cb. Cu-
bitus. — r. Radius. — cr. Carpe. — mc. Métacarpe. — ph. Phalanges. La dernière
est enveloppée par l’ongle.
Pb. Pubis. — is. Ischion. L’iléon, troisième os du bassin, est caché par les
deux os précédens. |
&. Tibia. — p. Péroné. — tr. Tarse. — mt. Métatarse.
On voit dans la fig. 1 la face palmaire et la face plantaire de
ces extrémités. Le peintre les a figurées dans cette position, qui
n’est ni celle de la station, ni celle de la progression sur le sol,
pour en rendre les parties plus évidentes.
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ANATOMIE.
Reptiles, OA 2:
ANATOMIE DE LA TORTUE-COUI. Testudo radiala.
I. ORGANES L'ALIMENTATION.
La fig. 1 montre en (a) la plaque hyoïde; en (8, &.) les cornes moyennes ; en (e, e.) les
cornes postérieures ; en (d, d.) le mylo-hyoïdien, portion antérieure ; (e,e) portion moyen-
ne; (/,f) portion postérieure, Cette dernière portion répond au peaucier du cou. Ce
muscle étant le premier que l’on rencontre après avoir ouvert la peau , a été coupé dans
la ligne médiane, et ses deux moitiés latérales ont été renversées pour faire voir les
organes qu’elles recouvrent. (g) Est le génio-hyoïdien moyen, moitié droite, coupée vers
la ligne moyenne. (2) OEsophago omo-cératoidien du côté gauche,
Dans la fég. 2, (a) est la langue dont la surface est toute papilleuse, et la substance en
partie glanduleuse. L’humeur que sépare la glande lirguale s'échappe par les orifices
qu’on voit aux côtés de la langue. La figure fait voir ceux du côté droit en (b, b). Cet
_ Organe, très peu mobile, est plutôt ici le siège du goût, qu’un moyen de transport pour
les alimens.
Dans la fig. 1 on a dû faire disparaître l
le rectum qu’on voit en (ë) et les
de la circulation et de la r
tion urinaire,
Il. ORGANES DE LA CIRCULATION ET DE LA RESPIRATTON.
Dans la fig. x (x) le cœur est en position et vu par sa face inférieure; (2) est l'oreillette
gauche ; (3) l'oreillette droite ; (4) le tronc commun des artères pulmonaires; (5) la
branche droite de ce tronc; (6) la branche gauche; (7) le tronc commun de l'aorte
droite postérieure et de l’aorte antérieure ; (8) branche droite et gauche (9) de l'aorte
antérieure; (10) sons-clavière ou axillaire gauche ; (11) carotide commune gauche ;
(12) sous-clavière ; (13) carotide commune droite ; (14) continuation de l’aorte droite
postérieure ; (15) continuation de l'aorte gauche postérieure ; (16) tronc commun des
artères des viscères digestifs ou tronc cœliaque ; (17) réunion des deux aortes posté-
rieures.
La fg. 3 montre le cœur ouvert
jusque près de sa base. La moitié
De 1 à 2 est la coupe de la paroï spongieuse du cœur. De 2 à 3 est la surface de la cavité du cœur ou
de son ventricule unique. De 3 à 4 est la valvule qui tapisse ce ventricule. (5) Est le bord libre de
cétle valvule qui recouvre l'entrée de l’oreilletié gauche. (5) Est le bord libre de la même valyule qui
répond à l'embouchure de l'oreillette droite. On à passé une soie colorée (7) dans chacune de ces embou:
chures, afin de Jes mieux indiquer. {8) Est le sinus ou rudiment du véntricule pulmonaire. (9°) Est une
Proëéminence , comme carlilagineuse, qui se voit sur le bord de cette embouchure. {9) Est l'embouchure
de l'artère puhnonaire. (10) Celle du tronc commun de l'aorte droite postérieure et de l'aorte antérieure. e
{11) Celle de l'aorte gauche postérieure. (12) Est l'oreillette gauche. (13) L'oreillette droite ; {14 et 15} Sont
les veines pulmonaires droite et gauche.
Dans la fig, 1 (17°) est la trachée artère ; (18) la bronche droite ; (19) la bronche gauche ;
(20) le poumon gauche; (21) le poumon droit.
tk, k.) La série des poches externes de chacun des poumons : elles ÿ sont distinguées par des sillons
transverses qui répondent aux cloisons qui les séparent.
(1, 1.) Les poches internes de ces mêmes poumons. -
{m, m.) Sillon longitudinal qui répond à la séparation de ces deux séries de poches.
Dans la fig. 2 (0) est la glotte; (17: 18, 19.) comme dans la fig. 1.
(4, k, k.) Trois poches pulmonaires externes du côté droit, ouvertes. {m,m,m.) Poches internes du
même côlé ; les orifices de la bronche droite communiquant dans les cellules pulmonaires à mesure que
cette bronche se porte en srrière.
On voit que les parois de ces cellules sont elles-mêmes
duellement plus petites.
HI. ORGANES GENITO-URINAIRES.
Dans la fig. x la ligne ponctuée (gg; g-) indique la forme et l'étendue de la vessie urinaire.
(r, r.) Les deux reins. (t, t) Les testicules. 1f) Prostate, (v) Verge, un peu extraite du cloaque (2),
qui a été feudu par la face inférieure. (x) Sillon longitudinal et dorsal de la verge. (7j Le gland, vu par
sa face supérieure. On y voit en (æ) la fin du sillon longitudinal qui règne sur la ligne médiane du dos
de la verge.
Ces deux figures 1 et 2 sont originales.
œsophage, l'estomac, tout le canal intestinal, sauf
annexes du canal alimentaire pour faire voir les organes
espiration, ainsi que ceux de la génération et de la sécré-
Par une tranche horizontale faite d’arrière en avant,
supérieure a été relevée et portée en avant.
sous divisées en plusieurs séries de cellules gra-
La /ig. 4 est copiée de l'ouvrage de Bojanus. Elle représente uze p
nitaux femelles.
1. Est l’oviductus du côté droit, — 2. Son orifice, — 3. L'oviductus gauche tron-
qué et ouvert, — 4. Vessie urinaire. — 5, Son col ouvert. — 6. Le rein droit. —
7: Capsule surrénale. — 8, Uretère, — 9. Son orifice. — 10, Parois du cloaque in-
cisées et rabattues en dehors. —1r. OEuf dont une partie de l’enveloppe a été déchirée.
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Gray. CISTUDE DE LA CAROLINE. Dum. et Bibr. 1
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Ces deux espèces ont été dessinées d’après des individus que le |
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TORTUES D'EAU DOUCE. Emys. Brongniart.
Fig. 1. L'ÉMYDE D'HERMANN. Emys Hermanni. Schweig. Dict. des Sc.
nat., t. XIV, p. 435.
Dessiné au tiers de la grandeur naturelle, sur le même individu
de la collection du musée de Strasbourg , qui a servi à la description
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de Schweigger.
TORTUES MOLLES. Trionyx. Geoffroy.
Fig. 2. La TRIONYX CHAGRINÉE. Trionyx granosus. Schweig. Wagl.
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1 musée de Paris. Avec l’âge, les tubercules de la peau s’effacent. |
jh Genre CHÉLYDE. Chelys. Dumer. |
Fig. 2. LA MERTAMATA. Chelys fimbria. Dum.
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Fig. 2 a. Sa tête, vue en dessus.
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S.-GENRE CAIMAN. Ælligator. Cuv.
S.-GENRE GAVIAL. Cuv.
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SAURIENS.
FAMILLE DES CROCODILIENS.
GENRE CROCODILE. Crocodilus. Br.
S.-GENRE les CROCODILES proprement dits.
Fig. 1. Le CROCODILE A DEUX ARÈÊTES. Crocodilus biporcatus. Cuv.Réduit.
Fig. 1 a. Son squelette d’après un jeune individu.
Fig. 1 b. Sa tête vue en dessus.
Fig. 1 c. La tête du squelette vue en dessus.
Dessins originaux , d’après des individus du musée de Strasbourg.
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FAMILLE DES LACERTIENS.
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GENRE MONITOR proprement dit.
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GENRE DRAGONNE. |
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Fig. 2. LA GRANDE DRAGONNE. Monitor crocodilinus. Merr. \
Thorèctes dracæna. Dum. et Biber. Erpétol. t. 5. p. 56. | |
Fig. 2 a. Série des dents supérieures du même animal.
io Fig. 2. Branche droite de la mâchoire inférieure du même , vue par sa
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GENRE SAUVEGARDE. Teyus. Merrem.
Sous-GENRE SAUVEGARDE, proprement dit. |
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Fig: 1. Le GRAND SAUVEGARDE D’AMÉRIQUE. Lacerta teguixin. Linn.
beaucoup réduit.
Fig. 1 a. La tête du même, vue en dessus.
GENRE TACHYDROME. Tachydromus. Daud. |
Fig. 2. Le TACHYDROME OCELLÉ. T. ocellatus. Cuv. De la Cochinchine.
Fig. 2 a. La tête du même, vue en dessus.
Fig. 2 b. La mème, vue en dessous.
Fig.2 c. Région de l'anus du même.
Ces figures ont été dessinées d’après les exemplaires du musée de
Strasbourg.
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SAURIENS.
Famille des LACERTIENS.
Genre LÉZARD. Lacerta.
Fig. 1. Le GRAND LÉZARD OCELLÉ. Lacerta ocellata. Daud.
Fig. 1 a. Extrémité postérieure du corps du même, pour faire voir les
pores fémoraux et la fente transversale de l'anus.
Fig. 1 b. Sa tête. Vue en dessus.
Fig. 1 c. La même. Vue en dessous. — «. a. Le collier.
Fig. 1 d. Squelette de la tête du Lézard des Souches (Lac. Stirpium. D.).
Vu en dessus, de grandeur naturelle.
Fig. 1 e. Squelette de la tête du Lézard gris des murailles. Vu en
dessus, double de grandeur.
a. Est la double série des petites dents ptérygoïdiennes.
Dans la figure 3 :
1. Est la plaque occipitale.
2. Les pariétales.
3. L’interpariétale.
4. Les frontg-pariétaux.
5. La frontale.
6. La palpébrale antérieure.
7. La palpébrale postérieure.
8. La fronto-nasale.
9. L’internasale.
10. La rostrale.
11. Les internasales.
Voyez sur l'utilité de ces désignations dans la distinction des es-
pèces, le Mémoire de M. Milne Edwards intitulé : Recherches zoo0logt-
ques pour servir à l'Histoire des Lezards , etc. Annales des Sciences
naturelles, tom. XVI, p. 50.
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qu S.-GEnre STELLION ORDINAIRE. Sfellio. Daud. |
Fig. 1. LE STELLION DU LEVANT. Sfellio vulgaris. Daud.
{E | LE STELLION COMMUN. Dumer. et Biber. Erpétologie génér. t IV,
fl p. 528.
it S.-Grvre FOUETTE-QUEUE. Uromastix. Cuv.
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pan Fig. 2. LE FOUETTE QUEUE D'ÉGYPTE. Sfellio spinipes. Daud.
Uromastix spinipes. Merrem. — Dumer. et Biber. Erpétologie
génér. t. IV, p. 541.
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SAURIENS.
FAMILLE DES IGUANIENS.
SECTION DES AGAMIENS.
GENRE AGAME. Ægama. Daud.
S.-Genre. LES AGAMES ORDINAIRES.
Fig. 1. L’AGAME OCELLÉ DE LA NOUVELLE-HOLLANDE. Agama barbata. Cu.
Grammatophora barbata. Dum. et Bib.
D’après un jeune individu de même grandeur , dont les écailles
wavaient pas encore leur forme allongée.
Fig. 1 u. Tête et cou de la même espèce, vues en dessus , d’après un
individu adulte; demi-grandeur.
c. L’œil.
Fig. 1 h. Squelette de la tête de l'AGAME OMBRE.
S.-Gevre. LES CHANGEANS. Trapelus. Cuv.
Fig. 2. LE CHANGEANT D'ÉcyrTE. Trapelus Ægyptius. Geoffr.
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GENRE LYRIOCÉPHALE. Lyriocephalus. Merrem. |
d Fig. 2. LYRIOCÉPHALE PERLÉ. Lyriocephalus margaritaceus. Merrem. I!
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Fig. 1. L’ISTIURE D'AMBOINE. Jstiurus umboinensis. Cuv. IL
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Le PORTE-CRÈTE. Lac.
D’après des exemplaires du Muséum de Paris.
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SECTION DES AGAMIENS.
GENRE DRAGON. Draco. Lin.
Fig. 1. LE DRAGON FRANGÉ. Draco fimbriatus. Kuhl.
Cette espèce, qui est de Java, se distingue, entre autres, par les
traces blanches longitudinales du dessus de ses ailes et les bandes
transversales noires de ses doigts, et par quelques taches noires en-
tourées d’un cercle blanc, du dessus de son corps.
GENRE SITANE. Sitana. Cuv.
Fig. 2. LE SITANE DE PONDICHERY. Sitana Ponticeriana. Cu.
Fig. 2 a. Un pied de derrière, vu en dessous.
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GENRE IGUANE. Jquana. Cuv.
Fig. 1. L’IGUANE ORDINAIRE. Lacerta Iguana. L.
pe Fig. 2. TÊTE DU SQUELETTE de l’Zguane cornu, vue de côté.
nl Fig. 2 a. La même, vue en dessous. 3
| Dans ces deux figures : a, est l’intermaxillaire ; b, le nasal; 4, le
sun | | maxillaire; ec, le frontal principal; e, le frontal antérieur; z, le
| frontal postérieur; f, le lacrymal; 9, le jugal; x, los transverse;
+, le ptérygoïdien; r, le tympanique; », le pariétal; n, n , les ailes
du pariétal; b, le temporal; #, le mastoïdien ; g, g, loccipital la-
téral ; #, l’occipital inférieur ; s, le sphénoïde ; «, le palatin.
Fig. 2 e. Branche gauche de la mâchoire inférieure.
a. Le dentaire de cette mâchoire; e, l’angulaire; f, le surangulaire; c, le com-
plémentaire ; d, l’articulaire.
Fig. 2 b. Une dent fortement grossie, avec une dent de remplacement à
la base.
RTE La même tête a déjà été figurée dans les Recherches sur les osse-
| mens fossiles, tom. v, 2° partie, pl. xvI, fig. 23-29.
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2* SECTION. LES IGUANIENS. |
GENRE BASILIC. Basiliscus. Daud. |
Fig. 1. LE BASILIG A CAPUCHON. Basiliscus mitratus. Dum. et Bib. |
- Lacerta basiliscus. Linn. | |
D’après un exemplaire du Muséum de Paris provenant du cabinet L
de Séba.
GENRE ANOLIS. Ænolius. Cuv. |
Fig. 2. L’ANOLIS CAIMAN. Anoëis alligator. Dum. et Bib. 10
Le ROQUET DES ANTILLES. Lacerta bullaris. Gmel. |
de Paris. À
- D’après un exemplaire originaire de la Martinique. Du Muséum
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FAMILLE DES GECKOTIENS.
: Genre PLATYDACTYLE. Platydactylus. Cuv.
Fig. 1. Le PLATYDACTYLE À BANDES. Platydactylus vittatus. Dum. et
Biber.
Fig. 1 a. Un doigt, vu en dessous.
Genre HÉMIDACTYLE. Hemidactylus. Cuv.
Fig. 2. HÉMIDACTYLE TACHETÉ. Hemidactylus maculatus. Dum. et Biber.
D’après un individu du Musée de Paris , envoyé de Bombay par Poly-
dore Roux.
Cette espèce a le dos gris, largement tacheté de brun noirâtre,
et garni de tubercules trièdres , disposés en séries longitudinales.
Les jeunes ont ces tubercules très petits ; voilà pourquoi M. Cu-
vier présumait que cette espèce pourrait être la même que le Ma-
bouïa des murailles, qui est. d'Amérique. Voir le texte.
Fig. 2 a. Un doigt, vu en dessous.
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FAMILLE DES GECKOTIENS.
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Fig.1. LE GYMNODACTYLE DE MILIUS. Gymnodactylus Miliusii. Dum etBib.
Fig. 1 a. Un doigt grossi, vu en dessous.
S.-GENRE PHY LLURE. Cuv.
Fig. 2. LE PHYLLURE A RAME PLATE. Lacerta piatura. White. GYMNO-
DACTYLE PHYLLURE. Gymnodactylus phyllurus. Dumér. et Bibr.
Fig. 2 a. Un doigt du même, grossi et vu en dessous.
S.-Genre STÉNODACTYLE. Stenodactylus. Cuv.
Fig. 3. Une main de STÉNODACTYLE TAGHETÉ. $. gutlatus. CUY,
Fiy. 3 a. Un doigt du même, grossi, vu en dessous.
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FAMILLE DES CAMÉLÉONIENS. |
Genre CAMÉLÉON. Chamæleo. Cuv. |
Fig. 1. Le CAMÉLÉON ORDINAIRE, Cuv. Lacertu africana, L. Gmelin. |
Variété A. DUMÉRIL et BIBERON (Érpelologie generale, 1. 3, p. 201).
Fig. 14. La langue, vue en dessus, au moment où lanimal vient de
l’allonger à une petite distance pour saisir un insecle. En e,e parais-
sent à travers la peau, les muscles hyo-glosses, qui servent à la
faire rentrer dans la cavité buccale; (2) est une languette à surface pa-
pilleuse qui tient au plancher d’une poche glanduleuse, dont l'entrée
est marquée (c), qui est surmontée d’un bourrelet en (2) el dont la forme
conique se dessine à la face supérieure du gros bout de la langue. Le
fond de cette poche et le sommet du cône qu’elle forme sont en (d).
Les fig. 1 2 et 1 « sont destinées à faire comprendre le mécanisme
des mouvemens de cette langue, que lanimal lance, comme une
fronde, sur les insectes dont 1l fait sa proie, à une distance qui égale
quelquefois la longueur de son corps et de sa queue réunis.
.
On pourra lire les détails de ce mécanisme dans le mémoire de
M. Duvernoy, sur quelques particularités des organes de la deglutition |
de La classe des oiseaux et de celle des reptiles, communiqué à PAcadé- |
mie des sciences, le 22 février 1836, et inséré parmi ceux de la so- |
ciété d'histoire naturelle de Strasbourg. |
Dans la fig. 1 2 la langue fort allongée a été ouverte latéralement
par une incision longitudinale, de manière à faire voir: l’intérieur
du fourreau (g); la branche hyoïde (4) qui sert d’axe , dans Pélat de
repos au fourreau de la langue et à son gros bout. Le cordon tendi-
neux (f) qui attache ce gros bout à extrémité (#) de cette branche
hyoïde. Pour découvrir la lame aponévrotique (e) daus laquelle ce
tendon s’épanouit et qui tapisse le muscle annulaire (4, dj, on a im- |
cisé de même ce dernier muscle (2) et le muscle linguat longitudinal |
dont les deux tendons s’attachent à la lèvre supérieure et à la lèvre |
inférieure de la capsule.Ce musclese voit plus en détail dans la figure |
|
|
|
|
1 e. (4) est sa branche inférieure; (2) sa branche supérieure. On voil
qu’il est attaché à l'extérieur et sur le côté du muscle aunulaire
(4, d). Le muscle lingual longitudinal est un muscle pair ; (a) esl le
bord supérieur de l'entrée de la poche glanduleuse du gros bout de la |
langue , et a’ son bord inférieur,
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FAMILLE DES SCINCOIDIENS. |
Genre SCINQUE. Scincus. Daud.
Fig. 1. SCINQUE DES PHARMACIES. Scëncus officinalis. Schneid.
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S.-Gewre DIPLOGLOSSE. Diploglossus. Wiegman. |
Fig. 2. DipLoGLOssE D'HOUTTUYN. Déploglossus Houttuyni. Cocteau. Er- |
pétologie générale par MM. Duméril et Bibron. t. v, p. 577. | [
Tiliqua fasciata. Gray. |
Les espèces de ce sous-genre , comme les Tiliqua de Gray, dontil
est question dans le texte , dont point de dents au palais. Leur lan-
gue est écailleuse en avant, et papilleuse en arrière. L'espèce que
nous avons choisie, pour donner une idée de ce groupe, est origi- | |
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Fig. 2 a. La langue vue en dessus. |
(D'après nature.)
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S.-GENRE TRIDACTYLE. Dum. et Bibron.
Fig. 1. TRIDACTYLE VULGAIRE. Lacerta calcides L. Seps chaleidicus. Merr.
GENRE BIPÉDE. Bipes. Lacép.
Fig. 2. BIPÈDE LÉPIDOPODE. Bipes lepidopus. Lacép.
Fig. 2 a. Sa tête , vue en dessus, avec une partie de la langue.
Fig. 2b.L’exitrémité de l’abdomen , l’anus , les pieds et le commencement
de la queue. On voit, dans cette figure la rangée de pores au-devant
de l’anus.
(D’après nature.)
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Fig. 1 a. La tête du même, vue en dessus, de grandeur naturelle.
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Fig. 1. Le SCHELTOPUSICK DE PALLAS. Pseudopus Pallasii. Cuv. Lacerta
Fig.1 ». Squelette complet du même, demi-grandeur.
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Fig. 3. L’ACONTIAS PINTADE, (Ac. meleagris. Cuv. Anguis meleagris. L.)
Fig. 1. L’OPHISAURE VENTRAL. ( Ophisaurus ventralis.
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S.-GEexre ORVET proprement dit. ( Anguis. Cuv.)
Fig. 2. L’ORVET FRAGILE. (Anguis fragilis. L.)
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LES VRAIS SERPEIS.
Tribu des DOUBLE-MARCHEURS.
GENRE AMPHISBÈNE. Æmphishæna. 1.
Fig. 1. L’AMPHISBÈNE FULIGINEUX. À. fuliginosa. L.
Fig. 1 a. Sa tête, vue de profil.
Fig. 1h. La queue du même avec la fente de l'anus et l'extrémité de
l'abdomen.
_S.-Gexre LEPOSTERNON. Spix.
Fig. 8. LEPOSTERNON MICROCEPHALUS. Spix. Dessous de la tête et du
cou.
GENRE TYPHLOPS. Schn.
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Fig. 2. TYPHLOPS LOMBRICAL. Typhlops lumbricalis. Schn.
Fig. 2 a. La tête, vue en dessus. |
Fig. 2 b. Extrémité de l'abdomen avec l'anus et le commencement de
la queue. |
La figure 3 a été copiée de l’ouvrage de M. J. WAGLER, intitulé:
Descriptiones et icones amphibiorum. Fasce. IL, Tabl. xvr, f. 2.
Les autres figures ont été dessinées d’après des exemplaires du
Musée de Strasbourg.
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SERPENS PROPREMENT DITS.
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Genre ROULEAU. Tortrix. Oppel.
. Fig. 1. Le RUBAN. Tortrix Scylale. Oppel.
S.-GExre UROPELTIS. Cuv.
Fig. 2. Uropeltis philippinus. Extrémité de la queue.
Genre BOA. Boa. Linn.
Fig. 3. Le DEVIN. Boa constrictor. Linné.
Fig. 3 a. Sa tête vue en dessus.
Fig. 4. Tète de l’'ABOMA. Boa cenchris. L. Vue de profil. |
Fig. 4 a. Région de l'anus du même.
S.-Gevre SCYTALE. Merr. ( Pseudo-boa. Schneider.)
Fig. 5. Tête vue en dessus du Scytale coronata. Merr.
Fig. 5 a. Région de l'anus du même.
Toutes ces figures ont été dessinées sur des individus du musée de
Strasbourg.
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LES VRAIS SERPENS:
TRIBU DES SERPENS PROPREMENT DITSe |
GENRE BOA. |.
S.-GENRE ERIX. |
Fig. 1. L’ERIX TURC. Erix turcicus.
Fig. 1 a. Sa tête vu en dessus. fl
Fig. 1 b. La fin de son abdomen et sa queue vues en dessous. L
S..GEenre ERPETON. Lacépède.
|
|
Fig. 2. Tête de l’'ERPETON TENTACULÉ. Brpeton tentaculatus. Lacép. |
|
|
Fig. 2 a. La fin de l’abdomen et le commencement de la queue du même
vus en dessous.
Gewre des COULEUVRES. Coluber. Lin. |
S.-GENRE HETERODON. Beauvois. |
Fig. 3. L’HÉTERODON TACHETÉ. Coluber heterodon. Merrem. |
Fig. 3 a. Sa tête vue en dessus. :
La première figure originale complète de ce singulier serpent, est
celle qui a paru dans les Annales du Muséum, t. 11, pl. 4, et qui
est citée dans le texte. Mais cette figure ne montre distinctement
ni les écailles des tentacules , ni la terminaison des plaques sous-
abdominales en deçà de l'anus. Les figures au trait que nous don- |
nons expriment du moins ces caractères. |
Les figures 1 et3 sont originales et dessinées d’après des individus
du musée de Strasbourg. Les fig, 2et 2 &, sont copiées de l’Icono-
graphie du Règne animal, pl. 20.
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LES VRAIS SERPENS.
TRIBU DES SERPENS PROPREMENT DITS.
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Genre COULEUVRE. Coluber. L. |
S -GEvre PYTHON. Daud.
Fig. 1. PYTHON DE PÉRON. Python Peronii. Cuy. 4
. Cette espèce, originaire de la Nouvelle-Hollande , a été ainsi in-
scrite par M. Cuvier dans la collection du Muséum d'histoire natu-
relle. M. le docteur J. Wagler la figurée dans le fascicule de ses des- |
criptiones et icones amphibiorum. Tubingæ , 1828. |
Fig. 1 a. La tête du même , vue en dessus.
Fig. 1 b. La même , vue en dessous. |
(D’après nature.)
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RÈGNE AMAR. Septiles a. 29.
OPHIDIENS.
LES VRAIS SERPENS.
TRIBU DES SERPENS proprement dits. | LE
ut __ GENRE COULEUVRE. Cofuber. Lin.
nn S.-GEenre DENDROPHIS. Fitz.
A Fig. 1. DENDROPHIS COLUBRINA. Schlegel ( Essai sur la physionomie des
pr Serpens, p. 238. La Haye, 1837. DisPHoripr LALANDE. Dispholidus
AT At Lalandii. Duvernoy. Annales des Sc. natur., t. 26, p. 149 et 150 , et
En 1. 30, pl. 3, fig. 1-6 ).
Fig. 1 a. La tête vue en dessus.
Fig.1 b. — vue en dessous.
Fig. 1 d. Croquis pour indiquer la position des crochets.
(nn Fig. 1 e. Ces mêmes crochets grossis pour faire voir le sillon de leur face
(HAE) | antérieure.
AN Fig. 1 f. Ecaille du tronc appartenant à la dernière rangée qui touche aux Li
qu plaques abdominales,
Fig. 1 g. Ecaïlle de la rangée précédente. |
x Fig. 1 À. Une écaille de toutes les autres rangées du tronc , Sauf de la ligne
médiane dorsale.
Fig. 1 à. Une écaille de la rangée médiane dorsale.
Toutes ces écailles du tronc sont carénées ; mais dans la dernière |
la carène est médiane, et elle partage cette écaille en deux moitiés
symétriques. Dans la figure 2, la portion dorsale, celle au-dessus
{Un | de la carène , est beaucoup plus pêtite que celle au-dessous. Cette |
ant différence est encore sensible dans la figure y. Toutes ces écailles du |
A tronc sont d’ailleurs disposées en cercles ou par séries transversales. 1
Celles de la queue, au contraire, sont toutes de même forme, sans ..
carène et imbriquées.
il Ces caractères, joints à la présence de deux crochets postérieurs
nu ou dents présumées vénimeuses , et d’autres circonstances que nous |
Eat ne pouvons détailler ici, parmi lesquelles nous ferons remarquer
LE encore la forme cambrée de la tête, ont déterminé M. Duvernoy à
bn séparer cette espèce des Dendrophis , et à proposer d’en faire le type
Et d’un nouveau sous-genre, sous le nom de Dispholidus. Cette espèce-
pu type est dédiée à feu Lalande, qui l’a rapportée du Cap.
TE ( Voir les Annales des Sciences natuürelles citées plus haut). C’est |
If Il probablement le Coub. caracaras dont il est fait mention dans la
ann note du Règne animal qui se rapporte au genre Dendrophis.
Les fig. 1, 1 « et 1 » sont de nouvelles figures faites d’après 1
nature.
til il Les fig. 1d,1e,/f, 4, h, 1, ont été copiées de la pl. 3, 1.30, des An-
| NAN nales des Sciences naturelles.
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OPHIDIENS.
LES FRAIS SERPENS.
TRIBU DES SERPENS PROPREMENT DITS.
Genre COULEUVRE. Coluber. Lin. s |
S.-GENRE COULEUVRE propre. Coluber. Cuv.
Fig. 1. LE SERPENT D'ÉSCULAPE. Coluber Æsculapii. Schn.
Fig. 1 a. Sa tête, vue en dessus. |
Fig. 1 b. La même, vue en dessous.
Fig, 2. La tète du squelette de la rouleuvre à collier, Vue en dessous, pour
montrer la composition osseuse de l’appareil masticateur des serpens
non venimeux, comparativement à celle du même appareil dans
les serpens venimeux, que l’on pourra voir pl. 32, fig. 1 e. Les mêmes
os sont indiqués par les mêmes chiffres dans lune et autre figure. |
J 1. Intermaxillaire. — 2. Maxillaires. — 3. Ptérygoïdiens externes.
. —4, Piérygoïdiens internes.— 6. Arcades palalines.—6. Mastoïdiens.
— 7. 0s lympaniques. -— 8. Mandibules.
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OPHIDIENS.
SERPENS VRAIS.
Les VIPÈRES.
Genre VIPÈRE. Vipera. Daudin.
ç. Vipères dont la tête est couverte de petites écailles granulées.
La VIPËRE COMMUNE. Coluher. Redi. L. Gm. (du midi.)
Fig. 1. Tète et commencement du tronc. Vus en dessus.
Fig. 1 b. Tête et commencement du tronc. Vus en dessous.
Fig. 1 0. Tête et commencement du tronc. Vus de profil.
a, Est la dent vénimeuse dont la base est enveloppée par une gaîne membraneuse.
Nous avons dù changer la synonymie de cette espèce , donnée
dans le texte, le Coluber berus de L. devant se rapporter à l'espèce
suivante et non à celle-ci qui mexiste pas dans le nord.
q$. Vipères qui ont au milieu du dessus de leur tête trois plaques
plus grandes que les écailles qui les entourent.
Fig. 2. La VIPÈRE COMMUNE (du nord). Vipera Berus.
CoLuBEr BERUS. Linn. Gmel. — La PETITE VIPÈRE ( du texte ). — Co-
Luber chersea. L. Gm.— COLUBER PRESTER. Quand elle varie par sa
couleur noire-
Fig. 2 b. Tête et commencement du tronc. Vus en dessous.
Fig. 2 a. Tète et commencement du tronc. Vus de profil.
a. La dent vénimeuse.
Ces trois figures ont été dessinée d’après un individu provenant de
la Forêt noire.
Fig. 20. Écailles du dos pour montrer leur carène.
Toutes ces espèces de Vipères d'Europe, sauf la Vipère à museau
cornu, peuvent se rapporter aux deux espèces que nous avons fait
figurer et qui paraissent avoir leurs limites géographiques. La pre-
mère est commune dans le midi. Les formes aplaties et élargies
de sa tête la distinguent encore mieux que $6s couleurs. L'autre n€
se rencontre que dans le nord; sa tête a des formes arrondies qui
la rapprochent des couleuvres.
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LES VRAIS SERPENS.
TRIBU DES SERPENS proprement dits.
SERPENS VÉNIMEUX A CROCHETS ISOLÉS.
GENRE CROTALE. Crotalus. L. Vulgairement SERPENS A
Fig.
SONNETTES.
1. LE CROTALE DE LA GUYANE. Crotalus durissus, Au texte. Le CRo-
TALE CASCAVEL. Crotalus horridus. Schlegel. ( Essai sur la physionomie
des Serpens , p.561.) -
Fig.
Cette figure représente un jeune individu, de grandeur naturelle,
n'ayant encore qu’un cornet écailleux (x) à l’exirémité de sa queue.
Ce cornet est comprimé latéralement et posé de manière à présenter
ses côtés les plus étroits en haut et en bas. La fig. 1 » est celle des
dernières plaques abdominales , de la queue , et de cette même son-
nette vue par la face inférieure. La figure 1 e est ce même instrument
(5 de grandeur naturelle) tel qu’on l’observe chez les adultes II se
compose ici de douze petits cornets emboités , y compris le dernier x.
1 a. Tête de la même espèce , vue en dessous.
Les fig. 1 4 et 1 e sont destinées à faire connaître en détail l’appa-
reil vénimeux dans ces animaux.
Dans ces deux figures :
a. Est la glande vénimeuse. — 4’. Son canal excréteur. — 4. La glande salivaire
sus-maxillaire. — c, La salivaire sus-mandibulaire, — e, Le muscle temporal anté-
rieur. — €’. La portion mandibulaire. — i, Le muscle temporal moyen. — f. et f”. Le
muscle temporal postérieur. — g. Le digastrique. — 4. Le muscle ptérygoidien ex-
terne. — k. Le muscle ptérygoïdien interne. — /. Le sphéno-ptérygoidien. — m. Le
sous-occipito=articulaire. — #. Le sphéno-palatin. — 0. Le sphéno-vomérien. — q. Le
ligament articulo-maxillaire. — 2. Le muscle cervico-angulaire, — 4. Le vertébro-
mandibulaire. — u. Le costo-mandibulaire, — 1. L’os inter-maxillaire, — 2. Le ma-
xillaire. — 3. Le ptérygoïdien externe. — 4. Le ptérygoïdien interne. — 5. L'arcade
palatine. — 6. L’os mastoidien. — 5. L’os tympanique. .— 8, 8. Les mandibules.
Dans la fig. 1 e, 6 est un large tendon qui assujettit la glande véni-
meuse à l'os ptérygoïdien externe. Dans la même figure, le tendon #
du muscle piérygoïdien externe, se divise en deux : l’un va se fixer
à l’os maxillaire, et l’autre à la capsule des dents vénimeuses.
On pourra lire les détails descriptifs de cet appareil dans le mé-
moire de M. Duvernoy sur les Caractères tirés de l’'unatomie pour
distinguer les serpens venimeux des serpens non vénimeux, lu à l’Aca-
démie des Sciences le 25 octobre 1830, et imprimé, Annales des
ne sms natur., t. 26. Lesfig. 1 det { e sont copiées de la PI. 10 de ce
volume.
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OPHIDIENS.
LES VRAIS SERPENS.
SERPENS VENIMEUX, à crochets isolés.
GENRE NAJA.
Fig. 1. L& NAÿA «À LUNETTES. Naja tripudians. Merrem.
Fig. 1 a. La tête du même vue en dessous.
Fig. 1 b. La tête et le cou d’un jeune individu, pour montrer le gonfle-
ment du cou, l’écartement des écailles par l’extension momentanée de
la peau du cou, et la figure de lunettes qui se dessine sur cette région,
et caractérise, en partie, celte espèce.
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OPHIDIENS.
LES VRAIS SERPENS.
Fig. 2. L’ÉLAPS D'HYGIE. Elaps hygræ. Merrem
Fig. 1 b. Sa tôte vue en dessous.
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OPHIDIENS.
LES VRAIS SERPENS.
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TRIBU DES SERPENS PROPREMENT DITS.
SERPENS VENIMEUX A CROCHETS suivis de plusieurs petites dents ordi-
naires.
Grwri HYDRE. /lydrus Schneiïd.
S.-Grevrr HYDROPHIS. Daud. |
Fig. 1. HYDROPHIS COLUBRIN. Hydrophis colubrèna. Schlegel. Essai sur la
physionomie des serpens. PLATURUS FASCIATUS. Latreille. Reptiles, IV,
p. 183. Siebold , Fauna japonica, pi. 10.
_ Cette belle espèce d’hydrophis se distingue des autres espèces,
par des plaques abdominales beaucoup plus larges, au nombre de
198-242 , suivant la remarque de M. Schlegel. Notre figure 1-2 qui
représente le dessous de la tête , de la gorge et du cou monire les
premières de ces plaques. La figure 1-a est celle de la même partie
du corps vue de profil.
Cette espèce atteint quelquefois plus d’un mètre de longueur ; elle
vit dans les mers des Indes, de la Chine et de la Polynésie.
(D'après nature.)
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OPHIDIENS.
LES VRAIS SERPENS.
TROISIÈME TRIBU. — Serpens à plusieurs dents maxillaires dont la
première est un crochet à venin.
GENRE HYDRE. Hydrus. Schn.
S.-Genre PÉLAMIDE. Pelamis. Daud.
Fig. 1. La PÉLAMIDE BICOLORE, Dund. ydrus hicolor, Schneid. Hydrophis
pelamis, Schlegel.
Fig. 1 a. Sa tête, vue en dessus.
Fig. 1 b. La même, vue en dessous.
D'après un individu du Musée de Paris, rapporté de Pondichéry
par M. Belanger.
GENRE ACROCHORDE. Zcrochordus. Honrstedt.
SYNONYME. — S.-GENRE CHERSYDRE. Chersydrus. Cuv.
Fig. 2. L’ACROCORDE FASCIÉ, L'OULUR LIMPÉ. Acrochordus fasciatus.
Schaw.
Fig. 2 a. La tête, vue de profil.
Fig. 2 h. La même, vue en dessous.
Fig. 2 c. Quelques-unes des écailles grossies.
D’après un jeune individu représenté de grandeur naturelle.
Observations. — Le genre Chersydre que M. Cuvier a placé à la suite
des serpens de mer, doit être considéré comme synonyme du genre
Acrochorde, qui se trouve classé comme ce dernier genre de vrais ser-
pens non venimeux. La seconde des deux espèces de ce genre, celle
que nous avons fait figurer , était devenue le type du geure CAcrsy-
drus , Cuvier, parce que, d’après le rapport que lui en avait fait le
voyageur Leschenault, M. Cuvier avait regardé cette espèce comme
Lrès venimeuse et exclusivement aquatique ; tandis que l’Acrochordus
javensis, Lacépède, serait un serpent moins aquatique, qui vit aussi
à terre et ne serait point venimeux.
En réalité, aucune des deux espèces n’est venimeuse. Toutes deux
présentent les mêmes caractères génériques, dans le système de
dentition, qui est celui des Boas. Les petites écailles non imbriquées,
tuberculeuses, couvrent fout leur corps en dessus et en dessous,
ainsi que la tête.
La position des yeux, celle des narines rapprochées à l'extrémité
du museau, l'étendue de la vessie pulmonaire jusqu’au fond de la
cavité abdominale, ainsi que Pa observé M. Schlegel (0, r, p. 427),
sont des caractères organiques , qui indiquent les habitudes aquati-
ques de ces serpens, sans parler de la forme un peu comprimée de
leur queue et carénée de leur ventre Le genre Acrochorde devrait
en conséquence former le type d’une famille distincte, parmi les ser-
pens aquatiques, caractérisée surtout par l'absence d’un appareil
venimeux.
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Reptiles. a. 36 ter.
OPHIDIENS.
FAMILLE DES SERPENS NUS.
Genre CÉCILIE. Cœcilia. Lin.
Fig. x. La CÉcIr1E MEXIUAINE.— SIrAONOPS MEXICAIN. Siphonops mexicanus. Duméril et
Biberon. Erpétol. générale, t. vitt, E. 254.
Ce siphonops , que nous avons fait figurer d’après un individu du Musée d'Histoire
uaturelle de Paris, a beaucoup de rapport avec la Cécilie annelée, Cæcilia annulata
Srrix et la Cæcilia interrupta. Cuvrer. Elle en diffère par le nombre des plis annulaires :
dont on pent compter ici plus de 160.
Fig. 1 b. La tête et les premiers anneaux vus en dessus.
Fig. 1 ec. Les derniers anneaux vus du côté inférieur; l’anus est en x.
Fig. 1 d. Sept anneaux de la partie antérieure du corps, vus en dessus et dénudés des
mucosités épidermiques. |
Fig. 1 e. Anneaux de la partie antérieure du corps vus en dessous.
Fig. 1 f. Auneaux de la partie postérieure du corps vus de même en dessous. Les sillons
qui les séparent montrent une série de petits corps rouds qui paraissent glanduleux.
Les fig. 2 a,2bet2 c, représentent la tête osseuse de la Cécilie lombricoïde ? vue en des-
sus , de côté et en dessous, telles qu’elles ont été publiées dans la deuxième édition du
présent ouvrage (pl. VILL, fig. 1, 2 et 3).
Dans ces trois figures a, a , sont les intermaxillaires et les naseaux réunis, — b, b. Les maxillaires recou-
vrant Lorbite et percés d'un petit trou {i) pour l'œil. — c. Le frontal unique. — d, d. Les frontaux anté-
rieur3. — 6, e. Les pariétaux. — f, f. L'occipital supérieur. —g, 8. Les frontaux postérieurs. — k,k. Les
condyles de l'occipilal, — k, h. Les mastoïdiens et les cuisses reunies. — {, l. Apophyse postérieure de la
inandibule.
M. Cuvier, dont nous venons de faire connattre les déterminations, ne les donne
qu'avec doute? (Règne animal, tom. 111, p. 429 et 430, édit. de 1830.) Voir, pour
plus de détails , le texte de cet ouvrage.
La fie. 3 moutre la langue, l’intérieur de la cavité buccale et du commencement de l’æso-
phage de la Cécilie à ventre blanc. La fig. 4 représente les mêmes parties dans la Cécilie
glutineuse. Les différences qu’on y observe semblent justifier la séparation de ces deux
espèces en deux sous-genres. La première espèce est une Cécilie propre, et la seconde
un Epicrium. La langue de la Cécilie à ventre blanc a deux proéminences dans sa partie
la plus avancée qui résultent de son rapport avec les orifices internes des narines. Ces
proéminences viennent de ce que la langue se moule, après la mort, dans les trous des
narines internes. La position de ces trous, indiquée dans la Cécilie a ventre blanc par
celle des proéminences dé la langue, montre que, dans cette espèce, les orifices internes
des narines ne sont pas en arrière, ainsi que cela est exprimé dans le texte, pour toutes
les Cécilies. L’os hyvide a trois paires d’anneaux déjà signalés par M. Cuvier, en 1829,
dans le texte de cet ouvrage, comme indiquant des branchies dans le jeune âge. L’ori-
fice de la glotte se voit dans l'angle rentrant de la dernière paire. Ces deux figures
sont copiées d’un mémoire de M. Duvernoy, ayant pour titre : Fragmens sur l’organi-
sation des Serpens ( Annales des Sciences naturelles, t. xxx, pl. 13, fig. 7 et 8).
Les fig. 5 et 6 sont les écailles de deux espèces de Céeilies, telles qu'on les découvre en
soulevant le bord postérieur de chaque anneau. Elles y sont implantées par leur bord
antérieur, le postérieur restant libre. Il y en a ordinairement plusieurs rangs, soit dis-
posés en quinconce et imbriqués, comme dans la Cécilie à wentre blanc, soit autrement.
(Voir l’Erpétologie générale de MM. Duméril et Biberor, pl. 83, fig. 3 et 4 a.)
La fig. 5 représente plusieurs écailles de la Cécilie à ventre blanc, de grandeur naturelle.
Ces écailles sont sur plusieurs rangs, pour chaque anneau, et se recouvrent comme des tuiles
La fig. 5 a est une de ces écailles grossie de trois diamètres.
La /ig. 6 montre plusieurs écailles de la Cécilie mexicaine, également de grandeur na-
turelle,
La /ig. 6 a représente une de ces écailles grossie de cinq diamètres,
On peut trouver dans la forme, la structure, la proportion et l’arrangement de ces écailles,
suivant les espèces , des différences spécifiques très prononcées. Ces écailles ont été des-
sinées d’après nature par M. de Quatrefages.
La fig. 7 montre les viscères de la Cæcilia interrupta, Cuv. Siphonops annulatus, War.
1, est la péricarde; 2, le ventricule ; 3, la portion droite de l'oreillette; 4, la portion gau-
che; 5, le bulbe artériel, placé dans un enfoncement de ces deux portions, qui semblent
indiquer extérieurement une division de l'oreillette en deux. Rien de semblable ne se
voit à la paroi supérieure de cette même poche, qui est continue et unique de ce côté,
extérieurement comme à l’intérieur.
a. Trachée-artère.— b. Poumon droit.— «. Poumon gauche,— d. OEsophage.— e. Estomac.— f. Sa partie
Pilorique. — g. Le duodénum. — h. Etranglement qui stpare la fin de l'intestin grêle du gros intestin. —
i, Retum , ou dernière partie de tout le canal alimentaire, — k. Le foie divisé en une série de lobules, plus
dstinets et mieux séparés du côté interne ou de la ligne médiane que du côté externe. —{. Vésicule du fiel.
— m.Canal biliaire épais. — n. Pancréas.— 0. La rate. Celle ci de forme eyliudrique a un petit appendice qui
joint le pancréas —p, p, p et p’ p° p’ sont Les épipluons dont le burd renferme uu ruban de graisse. —{ el q'
sont les glandes spermatiques ou les testicules. — r,r. Les reins —v, La vessie urinaire, — s. La verge,
Ceile-ci, placée à droite du rein droit, au-dessous de l’épiploon du méme côté, qui la sépare de cet organe,
est un long fourreau, singuliéreinent aminci et efilé à son extrémité, à parois raides, Ce fourreatt à son
embouchure dans le cloaque, Cette dernière poche (+) est l'aboutissant du rectum en avant de la vessie
urinaire (e) par sa paroi iuférieure et un peu à droite, On y remarque des plis longitudinaux très prouoncés,
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Les GRENOUILLES. Rana. 1.
Les GRENOUILLES proprement dites. Rana. Laurenti. |
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Pig. 1. La GRENOUILLE COMMUNE ou verte. Rana esculente.
Fig. 2. La GRENOUILLE TAUREAU.
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Les RAINETTES. Hyla. Yaurenti.
Fig. 8 e13 a. La RAINETTE COMMUNE. Hyla arborea. Laurenti. |
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BATRACIENS.
GRENOUILLES.
GENRE CRAPAUD. Bufo. Laurenti.
Fig. 1. LE CRAPAUD BRUN. Bufo fuscus. Laurenti. ÆRœsel. XVII, XVIII
et AIX. Ranu bombinator. Gmel. Pelobates fuscus. Wagler. ::5::
Nous avons fait figurer un individu mâle de cette espèce , à cause de ses
caracières particuliers.
Ce n’est ni un Crapaud, ni une Grenouille > hi un Bombinator, comme
l'a pensé Gmelin.
Des denis à la mâchoire supérieure, les pieds de derrière entièrement
palmés, le tympan caché sous la peau, le rapprocheraient, à la vérité,
des Bombinators; mais il en diffère par l’absence des parotides, et il a
encore moins de tubercules à la peau. Un ongle tranchant, semi-lunaire,
remarquablement grand, comme dans la Rana cultripes. Cuv., achève de
le distinguer extérieurement des genres précédemment nommés. Il en dif-
fère encore par son crâne et sa mâchoire supérieure à surface rugueuse,
déjà décrits et figurés par Ræsel , pl. XIX. L’un ei l’autre plus larges, plus
ossifiés, recouvrent en partie la fosse temporale derrière l'orbite.
Ces caractères sont encore plus marqués dans la Rana cultripes. Cuv.,
dont l’ongle est noir, même dans le Tétard ; tandis qu’il est incolore dans
le Bufo fuseus. Nous pensons que ces deux espèces, qui diffèrent encore
par l’habitatum (la Rana cultripes envoyée à M. Cuvier par M. Dugès, est
du midi) et par quelques caractères de Couleur, doivent être réunis dans
un même genre, et nous adoptons pour elle le nom générique de Pelo-
bates que Wagler a donné au Bufo fuscus. La femelle du mâle, que nous
avons fait figurer, a une taille bien plus grande. Sa couleur est vert-pré,
avec de grandes taches brunes et de petites plus foncées ; il y en a > parmi
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ces dernières, qui sont roug$e-vermillon , telles qu’on les voit dans les fi-
gures de RoϾsel.
Notre figure 1 est peinte d’après un individu du musée de Strasbourg,
pris dans le grand-duché de Baden. Il répandait , étant en vie, une forte
odeur d'ail. Le même musée possède une femelle des environs de cette
ville, prise dans un trou » le 14 octobre 1837. Elle n'avait pas l'odeur d’ail
des mâles ; son ventre était plein d'œufs.
Fig. 3. Le CRAPAUD COMMUN. Rana bufo. L. Figure peinte d’après le
vivant.
GENRE DACTYLETHRE. Dactylethra. Cuv.
Fig. 2 €t 2 a. Le DACTYLETHRE DE DELALANDE. Dactylethra Deta-
landii. Guv Cette figure est peinte d’après un individu du musée de
Strasbourg.
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BATRACIENS.
GRENOUILLES.
Genre BOMBINATOR. Merrem.
Fig. 1 et 1u. Le BOMBINATOR A VENTRE JAUNE. Bombinator igneus. Merr.
— Bufo igneus. Laurenti.-- Rana bombina. Linné.
Ces deux figures sont de grandeur naturelle. Il faut ajouter aux ca-
ractères indiqués par M. Cuvier, qui distinguent ce genre et le rap-
prochent des Grenouilles proprement dites, l’existence de dents
maxillaires, intermaxillaires et vomériennes, et l’absence des paro-
tides, ainsi que l’a observé M. Lereboullet, conservateur des collec-
tions de la Faculté des Sciences de l'académie de Strasbourg ( Voir le
journal de l’Institut, n° 180. 19 oct. 1836, p. 345).
GENRE PIPA. Pipa. Laurenti.
Fig. 2. Le PrPA DE SURINAM. Rana pipa. Lin. Femelle en état de gestation
avancée , dessinée d’après un individu du Muséum d'histoire naturelle de
Strasbourg. Deux tiers de la grandeur naturelle. L’existence des extrémités
dans les petits Pipas, encore renfermés dans les cellules dorsales de cette
femelle, prouverait que les animaux de ce genre ne sont pas sujets aux
mêmes métamorphoses que les autres Batraciens anoures; et que toutes
leurs transformations organiques se passent dans l’état fœtal.
Quatre cellules du côté gauche, une du même côté, mais plus en
arrière, et trois du côté droit, également en arrière, sont vides. Les
gros tubercules ronds et noirs, qui se voient au centre, répondent à
des cellules fermées par leur opercule. Celui-ci se compose d’une peau
noire, un peu chagrinée, qui se détache circulairement au niveau de
la peau, comme une valve de capsule végétale déhiscente , lorsque le
petit Pipa a complété sa vie intra-utérine. Sous un opercule qui
commençait à se détacher , et que j’ai soulevé, j'ai vu un petit pipa
ayant les quatre membres et toutes les formes de sa mère. Ces ani-
maux sont, en quelque sorte, aux ovipares, ce que les didelphes sont
aux vivipares.
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1. BOMBINATOR À VENTRE JAUNE. (Bombinator igneus.)
(Pipa Surinamensis. )
2.PIPA DE SURINAM.
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Genre SALAMANDRE, Salamandra. Brongniart.
S.-GENRE DES SALAMANDRES TERRESTRES.
Fig. 1. La SALAMANDRE COMMUNE. Salamandra maculosa. Latr.
Fig. 1 a. Squelette de sa tête. Vu de profil.
Fig. 1 b. Le même vu en dessus.
Fig. 1 e. Le même vu en dessous.
S.-Genre pes SALAMANDRES AQUATIQUES. Triton. Laur.
Fig. 2. La SALAMANDRE CRÊTÉE. Salamandra cristata. Lair.
Fig. 2 a. Squelette de la tête. Vu de profil.
Fig. 2 b. Le même vu en dessus.
Fig. 2 ec. Le même vu en dessous.
Cessix figures, représentant le squelette de la tête des Salamandres
terrestres et aquatiques, sont une copie de celles publiées par M. Cu-
vier, dans ses Recherches sur les ossemens fossiles, tom. V, 2° partie.
PI. xxv et xXVI.
Voici les différens os de la tète qu’on peut y reconnaitre :
ce. ec. Sont les frontaux.
c & Les pariétaux.
g. g. Les os du nez.
f. f. Les intermaxillaires.
k. Le frontal antérieur.
4. Le maxillaire.
b. b. Les occipitaux.
e. Os analogue au rocher.
m. Le ptérygoïdien.
n. Le itympanique.
o. Os jugal? ou articulaire.
d. Le sphénoiïde.
4. &. Les vomers.
w, Aile orbitaire du sphénoïide
On pourra voir la description de ces os dans l’ouvrage cité.
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Genre AMPHIUMA. Garden.
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Fig. 1. L’AMPHIUMA A TROIS DOIGTS. Amphiuma tridactylum. Cuv.
(D’après nature.)
Fig. 2. LE MÉNOBRANCHUS LATÉRAL. Menobranchus lateralis. Harl.
On a consulté, pour les couleurs, des figures coloriées de M. Le-
Genre MENOBRANCHUS. Harlan.
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Reptiles. D, Jus sis.
BATRACIENS.
GENRE MENOPOMA. Harlan.
Fig. 1. La GRANDE SALAMANDRE DE L’AMÉRIQUE SEPTENTRIONALE. Meno-
poma alleghaniensis, Harlan.
* Fig. 1 a. Son crâne, vu en dessous.
Fig. 1 b. Le même, vu en dessus.
GENRE AXOLOTT.. Cuvier.
SIREDON. Wagjler.
Fig. 2. L’AXOLOTL DES MEXICAINS. Siren pisciformis. Shaw.
Fig. 2 a. Extrémité postérieure du corps , vue en dessous.
Fig. 2 b. Le crâne, vu en dessous.
Fig. 2 e. Le même, vu en dessus.
Les figures 1, 2 et 2 a ont élé dessinées d’après nalure.
Les figures 1 a et 1h, 2h et 2 c sont copiées des Recherches sur les
ossemens fossiles de Cuvier (t. V, 2° partie, pl. xxvI, f. 4 et 5; el
pl. xxvix, fig. 24 et 25 de lédit. in-4).
Les lettres ont la même signification que celles de la pl. 40. Mais
nous prions de lire, dans celle-ci, pour les frontaux , 6, e, au lieu de
e, e; et pour les pariétaux, €’, c', au lieu de é, é. Il faudra lire aussi o
os jugal? ou intermédiaire; au lieu de o os jugal? ou articulaire. Enfin
nous avons ajouté l'indication p,p, de la mâchoire inférieure dans la
fig. 1 h.
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BATRACIENS.
GENRE PROTÉE. Proteus. Laurenti.
Fig. 1. Le PROTÉE. ( Proteus anguinus. Laürenti.) Dessiné d’après na-
ture.
Fig. 1 a. Partie antérieure du squelette du protée. (D’après la figure
donnée par M. Cuvier, dans ses Rech. sur les ossem. foss. 1.5, 2° par-
tie, édit. in-45, pl. xxvir, fig. 14.)
GENRE SIRÈNE. ( Siren. L.)
Fig. 2. La SIRÈNE LACERTINE. ( Siren lacertinu. L.)
Fig. 2 a. Partie antérieure du squelette de la sirène. (D’après M. Cuvier
op. tèt. pl. XXVIT, p. 1.)
Dans les figures 1 a et2 a, on voit la tête , l'os hyoïde et les os ou cartilages des bran-
chies , les premières vertèbres et les extrémités antérieures. Les mêmes lettres où chiffres
indiquent les mêmes partics dans l’une et l’aütre figure. Parmi les os de la tête, on pourra
distinguer : les os du nez, g ; — les inter-maxillaires, f;=——un rudiment de maxillaire; k ; —
les palatins, /;— les frontaux principaux, c; — les pariétaux, c'; —le rocher, e ; —l’oc-
cipital postérieur , & ; — le tympanique, 0 ; — trois des quatre os de la mâchoire infé-
rieure : 4. Le dentaire qui est impair. — £. L’articulaire qui est Pair. —r. L’angulaire de
même. Le quatrième ou l’operculaire ne se voit pas. — L'hyoïde se compose de deux
branches 2 qui lé suspendent au crâne au moyen d'un ligament. Ce ligament manque
dans la fig. 2 a, de sorte que ces branches ont l'air, très mal-à-propos, d’être attachées
à l’angle de la mâchoire. — r. Est le cartilage lingual qu’elles supportent en avant. — 5.
La première pièce osseuse, impaire du même appareil qui supporte les branchies. — 3.
La seconde pièce impaire qui n'existe que dans la sirène. — 4. La branche hyoïde paire,
qui supporte l'arc branchial extérieur 5, — 8. La seconde branche paire de l’hyoïde, qui
supporte deux arcs branchiaux (6 et 7) dans le protée et trois, 6, 7 eto, dans la sirène.
L’extrémité antérieure a une épaule dans laquelle on peut distinguer l’omoplate 13, les
clavicules 14 et les coracoïdiens 15. Dans la sirène 16, est une portion ossifiée du cartilage
coracoïdien. On voit en 17 l’os du bras, et en 18 les deux os de l’avant-bras, — 19 est la
première vertèbre, 20, la seconde , etc. — 7, à, i, Les rudimens de côtes.
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ANINLAIL. Reptiles. Pl. 42
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