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Full text of "Revue suisse de zoologie"

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REVUE SUISSE 


ZOOLOGIE 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 


ANNALES 


DE LA 


SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE 
MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE 


Maurice BEDOT 


DIRECTEUR DU MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE 
AVEC LA COLLABORATION DE 


MM. les Professeurs E. Béranecx (Neuchâtel), H. BLaxc (Lausanne), 
O. Fuurmaxx (Neuchâtel), T. Sruper (Berne), E. Yuxc (Genève) 


et F. Zscnokke (Bäle), 


TOME 21 


Avec 5 planches 


GENÈVE 


IMPRIMERIE ALBERT KUNDIG 


1916 


TABLE DES MATIÈRES 


. Benor, M. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes. 


5° période (1881-1890). 


. AxpRÉ, E. Anomalie de l’appareil buccal d’Ascaris megalo- 


cephala. Avec 2 figures dans le texte 


. Brux, R. Le problème de l'orientation lointaine chez les 


Fourmis 


. Fuxrmaxw, O. Notes helminthologiques suisses. Avec la 


planche 1. 


. Forez, À. Fourmis du Congo et d’autres provenances récol- 


tées par MM. Hermann Kohl, Luja, Mayné, etc. Avec 
7 figures dans le texte 


. Carz, J. Acridiens nouveaux ou peu connus du Muséum de 


Genève. Avec la planche 2. 


7. Conwerz, V. Sur l'orientation chez les Fourmis 


10. 


#1: 


. Caappuis, P.-A. Viguierella cœca Maupas. Hiezu Tafel 3 


und 4 . 


. DE Lesserr, R. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou 


(suite). Avec 26 figures dans le texte. 


Axpré, E. Contribution à l’étude de la faune infusorienne 
du Léman. Avec la planche 5 . 


Benor, M. Sur le genre Xirchenpaueria . 


Pages 


TABLE DES AUTEURS. 
PAR 


ORDRE ALPHABÉTIQUE 


Axpré, E. Anomalie de l'appareil buccal d’Ascaris megaloce- 
DL AN ee à VERS AR Ve AP DS AS DE 


AxoRÉé, E. Contribution à l’étude de la faune infusorienne du 


RémMafe:zs. STU PIE A Re EE Ne 2TEe CT CT 


Benoor, M. Matériaux pour servir à l'Histoire des Do Fa 


» Sürle-gente Kirchenpauerias."." 2". 02"100 
Brun, R. Le problème de l'orientation lointaine chez les 
ouest ue 2e cr Ne ES NN) ner Re HN 

Care, J. Acridiens nouveaux ou peu connus; ,.: .:,:. . 


Cuarpuis, P.-A. Viouierella cœca Maupas ... . . . 
Corxerz, V. Sur l’orientation chez les Fourmis. . . . . . 
Forez, À. Fourmis du Congo et d’autres provenancés . .. 
Funrmaxx, O. Notes helminthologiques suisses. . . . 


Lessenr (pE), R. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou 


Pages 


301 


RÉEMVIE"S UNSS EMDIE AO OLO'GTIE 
Vol. 2%, n° 1. — Février 1916. 


MATÉRIAUX 
pour servir à 
l'Histoire des Hydroïdes 


PAR 


M. BEDOT 


5° PÉRIODE! 


(1881 à 1890) 


Les Millepores et, parmi les Méduses, les formes aberrantes 
et celles qui n’appartiennent pas notoirement aux groupes des 
Leptoméduses et des Anthoméduses, ne figurent pas dans nos 
Matériaux. Bien que les genres Wicrohydra, Limnocodium, 
Limnocnidia et Polypodium soient compris par Srecuow (1909) 
dans la famille des Æydridae, nous les laisserons également de 
côté pour le moment. Notre travail comprendra done, à l'excep- 
tion du genre parasite Mnestra, toutes les espèces rentrant dans 


1 Voir : M. Benor. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes. 1re pé- 
riode. Rev. suisse de Zool. T. 9, pp. 379-515. Genève, 1901, 80. 

Idem. 2e période. Ibid. T. 13, pp. 1-183. 1905. 

Idem. 3e période. Ibid. T. 18, pp. 189-490. 1910. 

Idem. 4e période. Ibid. T. 20, pp. 213-469. 1912. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 1 


2 M. BEDOT 


l’ordre des Hydridea que Pocne établit dans son Système des 
Coelentérés ! 

Les indications placées immédiatement au-dessous des noms 
des espèces renvoient aux pages des périodes précédentes des 
Matériaux où ces espèces. sont décrites sous le même nom. 
Pour avoir la synonymie complète d’une espèce, il faut donc 
ajouter à ces indications celles des synonymes qui peuvent 
figurer dans chaque période. Par exemple, au-dessous du nom 
d'Obelia dichotoma, on trouve : voir : Matériaux I, p. 429; 
Il, p.49; IT, p. 334 et IV, p. 327. Mais, pour compléter la syno- 
nymie de cette espèce, il faut ajouter les synonymes d’Eucope 
articulata et d'Obelia sphaerulina, mentionnés à la p. 327 des 
Matériaux IV, ceux de Laomedea dichotoma cités à la p. 334 
des Matériaux III, etc. 

Les variétés qui n’ont pas reçu de nom spécial sont réunies 
à leur espèce. 

Dans l’Index bibliographique, les ouvrages écrits en russe, 
dont nous n'avons pas trouvé de traduction ou de résumé et 
que nous n'avons pas pu analyser, sont placés entre paren- 
thèses. 

Nous tenons à exprimer notre {très vive reconnaissance à 
MM. Baze, Rironie et Srecow, les savants zoologistes aux- 
quels on est redevable de travaux si intéressants sur les 
Hydroïdes, qui ont bien voulu nous aider de leurs précieux 
conseils. 

Nous devons encore rappeler aux zoologistes qui consulte- 
ront ces Matériaux, que nous n'avons pas la prétention de 
donner la synonymie définitive des espèces citées, mais que 
notre but a été de réunir et de grouper provisoirement toutes 
les données qui pourront permettre de faire plus tard une revi- 
sion critique de la systématique des Hydroïdes. 

Une liste des corrections à faire dans Les 4 premières périodes 
de ces Matériaux se trouve à la fin de ce travail. 


IF. Pocne. Das System der Coelenterata. Pet Naturg., PTE 80, Abt. A, 


Heft 5, pp. 47-128. Berlin, 1914, 8o, 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 3 


INDEX BIBLIOGRAPHIQUE ! 


1837. Sars, M. Zur Entwickelungsgeschichte der Mollusken und 
Zoophyten. In : Arch. Naturg. Jahrg. 3, Bd. 1, pp. 402-407. 
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n° 6, pp. 86-92. Gôttingen, 1847, 8°. 

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1854, 8. 

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1874. Hizcexporr. [Ueber einige für die japanische Fauna neue 
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1871-78, 4°. 

1878. Lecue, W. Ofversigt ôfver de af Svenska Expeditionerna 
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Bd. 16, N° 2, 86 pp., 2 pl. Stockholm, 1878, 4°. 

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1880. Juzzrex, J. Description d’une espèce nouvelle du genre 
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Paris, 1880, 8°. 

- 1880. Scauzze, F. E. On the structure and arrangement of the 


1 Les 11 premières indications bibliographiques de cet index se rapportent à 
des ouvrages qui auraient dû figurer dans les périodes précédentes. 


A M. BÉDOT 


soft parts in Euplectella aspergillum. In : Trans. R. Soc. 
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1880, 40. 

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1881 {b). Craus, C. Ueber Aequorea Forskalea Esch. als Aequo- 
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1881 (c). Craus, C. Beiträge zur Kenntniss der Geryonopsiden- 
und Eucopiden-Entwicklung. In : Arb. zool. Inst. Univ. Wien, 
T. 4, Heft 1 (1881), pp. 89-120, pl. 1-4. Wien, 1882, 8°. 

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1881 (b). Du Pzessis, G. Observations sur la Cladocoryne floc- 
coneuse (Cladocoryne floccosa Rotch). In : Mitt. zool. Stat. 
Neapel, Bd. 2, pp. 176-196, pl. 9. Leipzig, 1881, &°. 

1881 (a). Fewkes, J. W. Report on the Acalephæ. Ex : Reports 
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1880, by the U. S. Coast Survey Steamer BLake.….. In : Bull. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 5 


Mus. comp. Zool. Harvard Coll., Vol. 8, pp. 127-140, 4 pls. 
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pl. 21. London, 1881, 8°. KSATAT> 


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6 M. BEDOT 


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pp. 162-165. London, 1881, 8°. 

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1881, 8°. 

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Paris 1881048 

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dendrium racemosum Cav. In : Mitt. zool. Stat. Neapel, Bd. 3, 
Heft 1 (1881), pp. 1-14, pl. 1. Leipzig, 1882, &. 

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N96;37pp. "pl 7410. Pans 18818 

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with descriptions of supposed new species, and notes on the 
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tirage à part antidaté en 1881. 

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Anat. Physiol., (Physiol. Abt.), Jahrg. 1882, pp. 125-151, pl. 1. 
Leipzig, 1882, 8°. 

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Jahrg. 5, pp. 483-484. Leipzig, 1882, 8°. 

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Bull. Mus. comp. Zool. Harvard Coll., Vol. 9, pp. 251-289, 
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Vol. 9, pp. 291-310, 1 pl. Cambridge, 1881-82, 8°. 

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pp. 43-44. Leipzig, 1882, &. | 

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pp. 491-493. Leipzig, 1882, 8. 


8 M. BEDOT 


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HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 9 


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In : Journ. linnean Soc., (Zool.) Vol. 19, pp. 132-161, pl. 7-26. 
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Résumé par l’auteur sous le titre : The origin of metagenesis 


ET: 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 17 


among the Hydromedusæ. In : Johns Hopkins Univ. Cire., 
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HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 27 


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en russe publié dans le même volume. 

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tion de l’endoderme des Hydroméduses. In : Rev. Sc. nat. 
Soc. Natural. S'-Pétersbourg, An. 1, p. 148. S'-Pétersbourg, 


28 M. BEDOT 


1890, &. — Résumé d'un mémoire en russe publié dans le 

même volume. | 

1890 (c). Scnimkewirscx, W. Sur le développement de l'embryon 
des Hydroméduses. In: Rev. Sc. nat. Soc. Natural. S'-Péters- 
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d’un mémoire en russe publié dans le même volume. 

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Versuchen an Hydra. In: Arch. mikrosk. Anat., Bd. 36, pp. 627- 
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| 
1 
: 
7 2 
- 


Sertularia abietina 


Abielinaria abietina 


) 


Sertularia abietina 


ÉTAT DES GENRES ET DES ESPÈCES 


HYDROÏDES 


Gen. Abietinaria Kirchenpauer 1884. 


Abietinaria abietina (Linné). 


Syn.: Sertularia abietina Linné. 


Voir : Matériaux I, p. 463 ; II, p. 109; IL, p. 365 et IV, p. 360. 


D) 


LEUCKART 1847 (c) p. 87. 
BYERLEY 185% p. 104. 
DANIELSSEN 1861 p. 46. 
LEsLie a. HERDMAN 1881 p. 16. 
STORM 1882 p. 18, 21. 
ZELLER 1883 p. 106. 
CARUS 1884 p. 14. 
KIRCHENPAUER 188% p. 17. 
KIRCHENPAUER 1884 p. 29, 33, 
GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. 
INWERSEN 1885 p. 4. 
M'IxrosH 1885 p. 434, pl 
PENNINGTON 1885 p. 115, pl 
HERDMAN 1886 (a) p. 10. 


HERDMAN 
KÜKENTHAL U. 


WEISSENBORN 1886 p. 778. 


35-37. 


46, fe.:5: 
8, fig. 2. 


1886 (b) p. 330. 


30 M. BEDOT 


Sertularia abietina MeLcy, Hicks a. 
HerpMAN 1886 p. 110. 
» » BALE 1887 p. 107. 
» » BERGH 1887 p. 339. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » THOMPSON 1887 p. 387. 
» » ALLMAN 1888 p. LVI, LXII, LXIX, 62, 
pl. 27, fig. 2, 24. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 206, 208, 210, 211. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 96. 
» » DRIESCH 1889 p. 200, 202, 203, 221, 225. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » HoyLe 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 17, 18, 27. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 397. 
Abietinaria abietina MARKTANNER 1890 p. 245, pl. à, fig. 8. 


Abietinaria abietina var. abietiformis Kirchenpauer. 


Abietinaria abietina 
var. abieliformis  KIRCHENPAUER 1884 p. 32. 
Abietinaria abietina var. minor Kirchenpauer. 
Abietinaria abietina 
var. minor  KIRCHENPAUER 1884 p. 32. 
Abietinaria abietina var. purpurea Kirchenpauer. 
A bietinaria abietina 
var. purpurea  KIRCHENPAUER 1884 p. 32. 
Abietinaria anguina (Trask). 
Syn. : Sertularia anguina Trask. 
Voir : Matériaux III, p. 366 et IV, p. 361. 


Abietinaria labiata KIRCHENPAUER 1884 p. 34, 37, pl. 14, fig. 5. 


Abietinaria cartilaginea Kirchenpauer. 


Abietinaria cartilaginea  KiRCHENPAUER 1884 p. 36, pl. 14, fig. 6. 


POP OP PORC 


À 0. té tintin mn mi 2 eo. à 


a a dd Em de en tnt ln te à de éd) à on de ÉD RS CSSS, dd nd D 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 31 


Abietinaria filicula (Ellis et Solander). 


Syn.: Sertularia filicula Ellis et Solander. 
Voir : Matériaux I, p. 471; IT, p. 113; IL, p. 369 et IV, p. 363. 


Sertularia filicula 


Abietinaria filicula 
Abietinaria filicula 


BYERLY 

LESLIE et HERDMAN 
LELLER 
KIRCHENPAUER 


var. clarki  KiIRCHENPAUER 


Sertularia filicula 


» » 
» » 
» » 
» » 
» » 


Abietinaria filicula 


Abielinaria inconst 


THOMPSON 
PENNINGTON 
HERDMAN 
HERDMAN 
MELLY, HIcks a. 
HERDMAN 
BALE 
MARKTANNER 


1854 p. 104. 
1881 p. 16. 
1883 p. 106. 
1884 p. 29-36. 


1884 p. 33. 
1884 p. 4, 5. 
1885 p. 114. 
1886 (a) p. 3, 10. 
1886 (b) p. 330. 


© 


1886 p. 104, 110. 
1887 p. 407. 
1890 p. 245, 247, pl. 5, fig. 9. 


Abietinaria inconstans (Clark). 


Syn. : Sertularia inconstans Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 364. 


ans KIRCHENPAUER 


1884 p. 36. 


Abietinaria juniperus Kirchenpauer. 


Abietinaria juniperus  KiRCHENPAUER 


Abietinaria melo 


Abietinaria merki 


Abietinaria tilesii 


1884 p. 33, 37, pl. 14, fig. 2. 


Abietinaria melo Kirchenpauer. 


KIRCHENPAUER 


1884 p.33, 36, 37, pl. 14, fig. 4. 


Abietinaria merki Kirchenpauer. 


KIRCHENPAUER 


188% p. 35-37, pl. 44, fig. 1. 


Abietinaria tilesii Kirchenpauer. 


KiRCHENPAUER 


1884 p. 34-37, pl. 14, fig. 3. 


A2 M. BEDOT 


Abietinaria variabilis (Clark). 
Syn. : Sertularia variabilis Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 369. 


Abietinaria variabilis KTRCHENPAUER 1884 p. 35, 37. 
Sertularia variabilis MuRDoCH 1885 p. 165. 
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 395, pl. 14, 
- fig. 4, 5. 


Gen. Acanthella Allman 1888. 


Acanthella effusa (Busk). 
Syn. : ? Plumularia scabra Lamarck. 


Voir : Matériaux ILE, p. 353 et IV, p. 343. 


A canthella effusa ALLMAN 1883 p. 2, 27, pl. 6. 
Plumularia effusa BALE 1884 p. 31, 129, 132, 143, "pl. 
18, fig. 5. 
Plumularia scabra BALE 1884 p. 145, 156. 
Plumularia effusa LENDENFELD 1885 (a) p. 473. 
Plumularia scabra LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626. 
Acanthella effusa LENDENFELD 1885 (a) p. 479, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 984. 
Plumularia scabra LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
Acanthella effusa LENDENFELD 1885 (d) p. 644. 
Plumularia effusa BALE 1887 p. 78, 80, 94. 
Plumularia scabra LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 
Acanthella effusa LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 
» » ALLMAN 1888 p. LX, LXV, LXVI, LXIX. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 610, pl. 14, 
fig. 4. 
» » MaRKTANNER 1890 p. 260. 


BILLARD (1907), en étudiant les Hydroïdes de la collection LamARCK, a constaté 
que la Plumularia scabra de cet auteur était synonyme de P. effusa Busk et 
par conséquent de l’Acanthella effusa d’ALLman. 11 conserve à cette espèce le 
nom de Plumularia scabra Lamarck. Malheureusement, les échantillons types 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 33 


de Lamarck sont privés de la portion terminale des branches, dont les hydro- 
clades sont remplacés par des appendices épineux. Or, c’est là le caractère sur 
lequel est fondé le genre Acanthella. I nous semble donc que, dans ce cas, on 
ne doit pas changer le nom spécifique donné par ALLMAN et que l’on ne peut 
que mettre P. scabra avec un ? dans les synonymes d’Acanthella effusa. 


Gen. Acanthocladium Allman 18853. 


Acanthocladium angulosum (Liamouroux). 


Syn.: Aglaophenia angulosa Lamouroux. 


Voir : Matériaux III, p. 233 et IV, p. 241. 


Acanthocladium huxleyi  ALLMAN 18893 -p.:2, 8,419) 3308 
pl. 9 et 20, fig. 1-3. 
Aglaophenia huxleyr BALE. 1884 p. 14, 21, 102, 127, 150, 
161,:hl2 1560007 
17,-6ie.8: 
À glaophenia angulosa BALE 1884 p. 162. 
Aglaophenia huxleyi LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 646. 
» » BALE 1887 p. 79, 77, 98, 100. 
Acanthocladium huxleyi Barr 1887 p. 89. 
À glaophenia huxleyi LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 
Acanthocladium huzxleyi  ALLMAN 1888 p. LX, LXVI, LXIX. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 
A glaophenia huxleyi KIRKPATRICK 1890 (a) p. 609. 
Acanthocladium huxleyi  MarKTANNER 1890 p. 261. 


Gen. Acaulis Stimpson 1854. 


Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239. 


Acaulis primarius Stimpson. 
Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239. 
Acaulis primarius FEWKES __ 1890 p. 433, fig. 1-3. 
Rev. Suisse pe Zoou. T. 24. 1916. 3 


34 M. BEDOT 


Gen. Acharadria Wright 1863. 
Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239. 


Acharadria larynx Wright. 
Voir : Matériaux IIT, p. 232 et IV, p. 239. 


Acharadria larynx PENNINGTON 1885 p. 56. 
» ) Du PLessis 1888 p. d44. 


Gen. Acladia Marktanner 1890. 


Acladia africana Marktanner. 


Acladia africana MARKTANNER 1890 p. 261, pl. 5, fig. 11-11 a. 
Gen. Actinogonium Allman 1871. | 
Voir : Matériaux III, p. 233 et IV, p. 240. 


Actinogonium pusillum (van Beneden). 
Voir : Matériaux II, p. 65; III, p. 233 et IV, p. 240. 


Coryne van Benedeni REES 1884 p. 573. 
» » » PENNINGTON 1885 p. 48. 
» » » BÉTENCOURT 1888 p. 202. 
» » » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23. 


Gen. Aglaophenia Lamouroux 1812. 
Voir : Matériaux I, p. 422; IL, p. 40; III, p. 233 et IV, p. 240. 


Aglaophenia acacia Allman. 


Aglaophenia acacia ALLMAN 1883 p. 37, 38, 55, pl. 12, 
fig. 1-4. 
» » QUELCH 1885 (a) p. 10, 
» » ALLMAN “888 "p: LIX; RL EXDS 
» ph DRIESCH 1890 (b) p. 675. 
» » var. MARKTANNER 24890 p.270, pLiT AEUTE 


Aglaopheniamediterranea MaRKTANNER 1890 p. 286 (Expl. des pl.). 


sidi Ed dal 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 39 


Aglaophenia acanthocarpa Allman. 


Voir : Aglaophenia divaricata. 


Aglaophenia acutidentata Allman. 
Aglaophenia acutidentata ALLMAN 1886 p. 151, pl. 22, fig. 1-4. 
BizLARD (1910) considère cette espèce comme synonyme d'A glaophenia pluma. 
Aglaophenia allmani Nutting. 
Voir : Matériaux IV, p. 240. 
A glaophenia ramosa FEWKES 1881 (a) p. 127, 131. 


» » ALLMAN 1883 p. 2. 


Aglaophenia alopecura Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 240. 


A glaophenia alopecura  MARKTANNER 1890 p. 263, pl. 6, fig. 20 et 
pl: 7, 46.24 


Aglaophenia angulosa Lamouroux. 


Voir : Acanthocladium angulosum. 


Aglaophenia apocarpa Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 241. 


Aglaophenia apocarpa  FEWKES 1881 (a) p. 127, 128. 


Aglaophenia arcuata Lamouroux. 


Voir : Halicornaria arcuata. 


Aglaophenia ascidioides Bale. 


Aglaophenia ascidioides BALE 1882 p. 28, 32, 45, pl. 13, fig. 5. 


36 M. BEDOT 


Aglaophenia attenuata Allman. 


A glaophenia attenuata  ALLMAN 1883 _p. 12, 37, pl. 11, fig. 7-9. 
» » ALLMAN 1888 P. LXIIT, LXIX. 


Aglaophenia avicularis Kirchenpauer. 
Voir : Halicornopsis elegans. 
Aglaophenia balei Marktanner. 


A glaophenia balei MARKTANNER 1890 p. 272, pl. 7, fig. 19, 20. 


Aglaophenia bicuspis G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 241. 


Aglaophenia bicuspis STORM 1880 p. 122. 
» » STORM 1882 p. 3, 24, 27, 30. 
» » ALLMAN 1883 p. 90. 
» » MARKTANNER 1890 p. 277. 


Aglaophenia bispinosa Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 242. 


Aglaophenia bispinosa  FEwKkes 1881 (a) p. 137. 
» » ALLMAN 1883 p. 7, 33. 
Lytocarpus bispinosa ALLMAN 1883 p. 12. 
Lytocarpus (Aglaophenia) 
bispinosa  ALLMAN 1883 p. 11. 
Aglaophenia bispinosa  Acassiz, A. 1888 p. 136, fig. 431-433. 


Aglaophenia brachiata (Lamarck). 
Voir : Matériaux II, p. 234 et IV, p. 242. 


Aglaophenia brevicaulis Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 242. 


Aglaophenia brevicaulis BALE 1882 p. 20. 
» » BALE 188% p. 171, pl. 18, fig. 6. 
» »  LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 


HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 37 


Aglaophenia brevirostris (Busk). 


Voir : Matériaux III, p. 234 et IV, p. 242. 


Aglaophenia brevirostris  BaLe 


» LENDENFELD 
» LENDENFELD 
» LENDENFELD 
» KIRKPATRICK 


1884 p. 169. 

1885 (a) p. 484, 627. 
1885 (d) p. 645. 
1887 (c) p. 29. 

1890 (a) p. 60%, 611. 


Aglaophenia calamus Allman. 


À glaophenia calamus ALLMAN 
» » QuELCH 
» » ALLMAN 
» » DRiEscH 


1883 p. 39, pl. 12, fig. 5-8. 
1885 (a) p. 11. 

1888 p. LXIIT, LXIX. 

1890 (b) p. 675. 


Aglaophenia chalarocarpa Allman. 


À glaophenia chalarocarpa ALLMAN 
? » 


BizLARD (1910) considère cette espèce comme synonyme d’A glaophenia pluma. 


» DRIESCH 


1886 p. 138, 150, pl. 21, fig. 1-4, 
1890 (b) p. 660. 


Aglaophenia coarctata Allman. 


Aglaophenia coarctata  ALLMAN 


» » 


» » 


ALLMAN 
DRIESCH 


1883 p. 4, 39, pl. 19, fig. 7-9. 
1888 p. LXVI, LXIX. 
1890 (b) p. 674. 


Aglaophenia conferta Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 242. 


Aglaophenia constricta Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 242. 


Aglaophenia crucialis Lamouroux. 
Voir : Matériaux HE, p. 422; II, p. 41 ; UN, p. 234 et IV, p. 242. 


Aglaophenia crucialis BALE 


» 


D) 


LENDENFELD 


1884, p. 150, 168, pl. 18, fig. 8. 
1885 (a) p. 483, 627. 


38 M. BEDOT 
Aglaophenia crucialis LENDENFELD 1885 (d) p. 645. 
» » BALE 1887 p. 87. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4 
Aglaophenia macrocarpa BALE 1888 p. 791, pl. 21, fig. 3-4. | 
| 
Aglaophenia cupressina Lamouroux. Ne 
Voir : Matériaux I, p. 422; II, p. 41; III, p. 234 et IV, p. 243 
À glaophenia cupressina  ALLMAN 1883 p. 36. ' 
Aglaophenia macgillivrayi ALLMAN 1883 p. 2, 15, 34, 38 pl 20 
et 20, fig. 4-6. 
» » BALE 1884 p. 20, 31, 150, 151, 170, 
pl. 18, fig. 19-24. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. 
» » BALE 1887 p. 87. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 
» » ALLMAN 1888 p. XVI, LX, LXVI, LXIX. C4 
» » DRiEsCH 1890 (b) p. 660, 666, 669, 675. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 
» » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 12. 
» » MARKTANNER 1890 p. 268. 


Aglaophenia delicatula (Busk). 


Voir : Matériaux III, p. 235 et IV, p. 243. 


Aglaophenia delicatula Barr 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
KIRKPATRICK 


Aglaophenia dichotoma Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux II, p. 41; 


Aglaophenia dichotoma  Preper 


Il, p. 235 et IV, p. 243. 


1884 p. 23, 150, 167, pl. 14, 
fig. 4, pl. 17, 1840 

1885 (a) p. 483, 627. | 

1883 (d) p. 646. 

1887 (c) p. 29. 

1890 (a) p. 604. 


1884 p. 218. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 39 


Aglaophenia distans Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 243. 


Aglaophenia distans ALLMAN 1883 p. 33. 
Lytocarpus (A glaophenia) 

l distans  ALLMAN 1883 p. 11. 
Lytocarpus distans ALLMAN 1883 p. 12. 
Aglaophenia distans BALE 1887 p. 8ÿ. 


Aglaophenia divaricata (Busk). 


Voir : Matériaux III, p. 235 et IV, p. 243. 


A glaophenia acanthocarpa BALE 1882 p. 27. 

A glaophenia divaricata  Bave 1882 p. 19, 28, 30. 45. 

Aglaophenia m'eoyi BALE 1882 p. 27, 28, 30, 36, 46, pl. 
14, fig. 2. 

À glaophenia divaricata BALE 1884 p. 13, 150-152, 155, 162- 


165, 182, pl. 45, fig. 7, 
8, pl. 17, fig. 6-7. 


Aglaophenia ramosa BALE 1884 p. 150, 163, 164, pl. 18, 
fig. 15-16. 

À glaophenia m'coyi BALE 1884 p. 164%, pl. 15, fig. 7, pl. 
F7 her0: 

A glaophenia divaricata  LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627. 

Aglaophenia ramosa LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627. 

A glaophenia divaricata  LEeNDENFELD 1885 (d) p. 646. 

A glaophenia ramosa LENDENFELD 1885 (d) p. 646. 

» » MSLLER 1885 p. 934. 

Aglaophenia laxa Ripcey a. QueLcH 1885 p. 496. 

Lytocarpus ramosus ALLMAN 1886 p. 154, pl. 25, fig. 1-3. 

A glaophenia ramosa LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 

Aglaophenia acanthocarpa BaLe 1887 p. 85, 86, 103, 110. 

Aglaophenia divaricata BALE 1887 p. 76, 78, 85-87, 89, 97, 
99, 100, 110. 

Aglaophenia laxa BALE 1887 p. 103. 

Aglaophenia m'coyi BALE 1887 p. 76. 

Aglaophenia ramosa BALE 1887 p. 87, 106, 110. 

Lytocarpus ramosus BALE 1887 p. 110. 


A0 M. BEDOT | ; 


Plumularia divaricata BALE 1887 p. 106, 110. 
À glaophenia divaricata  LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 
À glaophenia ramosa LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 
Aglaophenia divaricata  MARKTANNER 1890 p. 267. 

» » var. Mn coyi MARKTANNER 1890 p. 267. 


Aglaophenia dolichocarpa Allman. 


Aglaophenia dolichocarpa ALLMAN 1886 p. 152, pl. 24, fig. 1-5. 


Aglaophenia dromaius Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 244. 


Aglaophenia elegans Lamouroux. 


Voir : Halicornopsis elegans. 


Aglaophenia elongata Meneghini. 
Voir : Matériaux II, p. 41; IL, p. 235 et IV, p. 244. 


A glaophenia elongata CARUS 1884 p. 16. 
» » GRÆFFE 1884 p. 359. 
» » PIEPER 1884 p. 217. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660. 
» » MARKTANNER 1890 p. 262, 270, pl. 7, fig. 8 
et 12. 


Aglaophenia filamentosa (Lamarck). 


Voir : Lytocarpus filamentosus. 


Aglaophenia filicula Allman. 


Aglaophenia filicula ALLMAN 1883 p. 12, 36, 38, 55, pl. 14, 


fig. 1-6. 
» » BALE 1887 p. 97. 
» RAS ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX. 
» » MARKTANNER 1890 p. 272. 


Pour BizLarD (1910) cette espèce est synonyme d”’A glaophenia tubulifera. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 41 


Aglaophenia flexuosa Lamouroux. 
Voir : Matériaux I, p. 422; II, p. 42; IL, p. 236 et IV, p. 245. 


Aglaophenia flexuosa BALE 1884 p. 32, 172. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 485, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 


Aglaophenia formosa (Busk). 
Voir : Matériaux III, p. 236 et IV, p. 245. 


À glaophenia formosa BALE 1884 p. 32, 168, pl. 18, fig. 7. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. 
» » BALE 1887 p. 87. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 
» » MARKTANNER 1890 p. 264, pl. 6, fig. 11. 


Aglaophenia fusca Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux [, p. 423; IL, p. 42; HI, p. 236 et IV, p. 245. 
A glaophenia fusca MARKTANNER 1890 p. 266, 268, 274, 275, 
pl." 6, fe z 


Aglaophenia gracilis Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 246. 


Aglaophenia gracilis FEWKES 1881 (a) p. 127, 131, 132. 


Aglaophenia gracillima Fewkes. 


Aglaophenia gracillima  FEWKES 1881 (a) p., 129, 134, pl. 3, 
fig. 6, 8. 


Aglaophenia helleri Marktanner. 
Aglaophenia helleri MARKTANNER 1890 p. 271, pl. 7, fig. 3,14, 15. 
Aglaophenia helleri var. MARKTANNER 1890 p. 271, pl. 7, fig. 13, 16. 
Aglaophenia heterocarpa Bale. 


A glaophenia heterocarpa BALE 1882 p. 31, note. 


42 M. BEDOT 


Aglaophenia hians (Busk). 


Voir : Halicornaria hians. 


Aglaophenia huttoni de COUGHTREY. 
Voir : Matériaux IV, p. 247. 
A glaophenia huttoni BALE 1887 p. 103. 


Aglaophenia huttoni de KIRCHENPAUER. 
Voir : Matériaux IV, p. 247. 


Aglaophenia huttoni BALE 1887 p. 103. 


Aglaophenia ilicistoma Bale. 


Aglaophenia ilicistoma BALE 1882 p. 33, 45, pl. 14, fig. 4. 


Aglaophenia incisa Coughtrey. 
Voir : Matériaux IV, p. 247. 
À glaophenia incisa BALE 1887 p. 103. 


Aglaophenia insignis Fewkes. 
A glaophenia insignis FEWKES 1881 (a):p:+129; 13400 
fig. 4, 6. 


Aglaophenia integra G.-O. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 247. 


Aglaophenia integra STORM 1880 p. 122. 
» » STORM 1882 p. 10,15, 20, 23,27, 29,930. 
» » MABKTANNER 1890 p. 277. 


Aglaophenia kirchenpaueri (Heller). 

Voir : Matériaux IIF, p. 236 et IV, p. 248. 
A glaophenia kirchen- 

paueri  CARUS 1884 p. 16. 


» » DRIESCH 1890 (b) p. 660. 
» » MARKTANNER 1890 p. 263, pl. 7, fig. 9 et 22. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 43 


Aglaophenia latecarinata Allman. 


Aglaophenia minuta 


Voir : 


FEWKES 


Aglaophenia latecarinala  ALLMAN 


Matériaux IV, p. 248. 


1881 (a) p. 129, 132, pl. 3, fig. 7, 
1886 p. 151, pl. 23, fig. 5-6. 


Aglaophenia lendenfeldi Bale. 


Aglaophenia kirchen- 


paueri  LENDENFELD 1885 (a) p. 480, 626, pl. 15 
fig. 20, 23. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. 
» » BALE 1887 p. 87, 100. 
Aglaophenia lendenfeldi  Bare 1887 p. 87, 100. 
Aglaophenia kirchen- 
paueri  LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 


Aglaophenia lignosa Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 248. 


Aglaophenia ligulata Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 248. 


Aglaophenia longicornis Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 248. 


Aglaophenia longicornis BALE 1882 p. 20. 
1884 p. 14, 149, 157, pl. 14, 
fig. 7-8, pl. 17, fig. 5. 


» » BALE 


» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. 

» » BALE 1887 p. 76-78, 97. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 

» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 

» » MARKTANNER 1890 p. 267. 


Aglaophenia longirostris Kirchenpauer. 


Voir : Halicornaria longirostris. 


AA M. BEDOT 


Aglaophenia lophocarpa Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 249. 


Aglaophenia lophocarpa  FEWkEs 1881 (a) p. 131. 


Aglaophenia microdonta Pieper. 


Aglaophenia microdonta  Carus 1884 p. 16. 
» » PIEPER 1884 p. 217. 


Aglaophenia mæbiusi Schulze. 


Voir : Matériaux IV, p. 249. 


Nous avons changé le nom spécifique de mœæbii en mæbiusi pour obéir aux 
règles de la nomenclature zoologique. 


Aglaophenia myriophyllum (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 493; IL, p. 42; IfI, p. 237 et IV, p. 249. 


Plumularia myrio- 


phyllum  BYERLEY 1854 p. 105. 
A glaophenia myrio- 
phyllum BALE 1882 p. 29. 

» » STORM 1882 p. 23, 27, 30. 
Lytocarpus myriophyllum AvLMan 1883 p. 11, 12, 38. 
Lytocarpus (A glaophenia) 

myriophyllum  ALLMAN 1883 p. 11. 
À glaophenia myrio- 
phyllum Marion 1883 (a) p. 108. 

» » MARION 1883 (b) p. 23. 

ss » BALE 1884 p. 21, 148, 162. 

» » CaRuS 1884 p. 16. 

» » PIEPER 1884 p. 217. 
Lytocarpus myriophyllum PENNINGTON 1885 p. 130. 


Lytocarpus (Aglaophenia) 
myriophyllum  ALLMAN 1886 p. 155. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 4) 


Aglaophenia myrio- 


phyllum  Mezry, Hicks a. 


» » Nicxocs a. HADDON 
» » BALE 

» » Lo Braxco 

» » DALLA TORRE 

» » SEGERSTEDT 

» » BOoURNE 

» » BOURNE 

» » DRIESCH 


Lytocarpus myriophyllum MarKTANNER 


1886 p. 112. 

1886 p. 615. 

1887 p. 85. 

1888 p. 3806. 

1889 p. 95. 

1889 p. 21, 22, 27. 

1890 (a) p. 319. 

1890 (b) p. 398. 

1890 (b) p. 660, 666. 

1890 p. 277, pl. 7, fig. 10-41. 


Aglaophenia octodonta (Heller). 


Voir : Matériaux IIL, p. 237 et IV, p. 250. 


Aglaophenia octodonta  Carus 


» » GRÆFFE 
» » DRIESCH 
» » MARKTANNER 


1884 p. 16. 
1884 p. 346, 353. 
1890 (b) p. 660. 
1890 p. 271. 


Aglaophenia parva Pieper. 
Voir : Matériaux IV, p. 250. 


Aglaophenia parva CARUS 
» » PIEPER 


1884 p. 16. 
1884 p. 218. 


Aglaophenia parvula Bale. 


Aglaophenia parvula BALE 


» » LENDENFELD 
» » BALE 
» » LENDENFELD 
» » LENDENFELD 
» » BALE 


1882 p. 27-29, 31, 35, 46, pl. 
14, fig. 3. 

1883 (d) p. 370, Expl. pl. 18, 
fig. 4. 

1884 p. 21, 29, 148, 150, 152, 
165, 167, pl. 14, fig. 3, 
pl. 17, fig. 10. 

1885 (a) p. 483, 489, 490, 627. 

1885 (d) p. 646. 

1887 p. 78, 86, 87, 97. 


RE coratd 


46 M. BEDOT 


Aglaophenia parvula LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4 
» » BALE 1888 p. 790. 
» » MARKTANNER 1890 p. 269. 


Aglaophenia patagonica (4’Orbigny). 
Voir : Matériaux IL, p. 43; Il, p. 238 et IV, p. 250. 
Aglaophenia pennaria (Linné). 


Voir : Lytocarpus pennarius. 
Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander). 
Voir : Halicornaria pennatula. 


Aglaophenia perforata Allman. 


Aglaophenia perforata  ALLMAN 1886 p. 150, pl. 21, fig. 5-8. 
? » > PE DRIESCH 1890 (b) p. 660. 


Aglaophenia perpusilla Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 251. 
Aglaophenia perpusilla  ALLMAN 1886 p. 152. 


Aglaophenia philippina Kirchenpauer. 
Voir : Lytocarpus philippinus. 
Aglaophenia phæœnicea (Busk). 
Voir : Lytocarpus phæniceus. 


Aglaophenia phyllocarpa Bale. 
Aglaophenia phyllocarpa Bare 1888 p. 793, pl. 21, fig. 9-10. 


Aglaophenia pluma (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 425; Il, p. 44; IL, p. 240 et IV, p. 252. 


Plumularia cristata BYERLEY 1854 p. 104. 
Aglaophenia pluma BaLR 1882 p. 29, 31, 35, 36. 
» » MEREJKOWSKY 1882 (a) p. 280. 


À glaophenia pluma 


HISTOIRE 


MEREJKOWSKY 


MEREJKOWSKY 


WEISMANN 


DES HYDROÏDES. — V. 47 


1882 (b) p. 583, 585 ss., pl. 
29 À, fig. 1-6, 8, 11, 17. 

1883 (b) p. 115. 

1883 p. 191, 229, pl. 6, fig. 4, 
pl. 9, fig. 5, 6. 


» » BALE 1884 p. 21-23, 32, 148, 150, 
151, 161, 166, 168, pl. 
18, fie. 17. 
» » CaRUS 1884 p. 15. 
Aglaophenia uncinata CARUS 1884 p. 16, Ex. Syn. p. p. 
À glaophenia pluma GRÆFFE 1884 p. 346, 355. 
» » PIEPER 1884 p. 186, 2157. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 483, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 646. 
» » PENNINGTON 1885 p. 128, pl. 9, fig. 5, pl. 10, 
fig. 1-2. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12. 
» » Meczy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p, 112. 
» » NicHoLs a. HappoN 1886 p. 615. 
» » THOMPSON 1886 p. 317. 
» » BALE LES He D"8), 87: 
» » BÊTENCOURT 1887 p. 67, 
» ) LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 213. 
» » Lo Branco 1838 p. 387. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 22, 27. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 397. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660. 
Aglaophenia pluma var.  DriescH 1890 (b) p. 666-668, 675. 
Aglaophenia pluma MARKTANNER 1890 p. 262, pl. 7, fig. 1, 2, 18. 


Aglaophenia pluma (Linné) var. dichotoma Sars. 


Plumularia pluma 


var. dichotoma  Sars 1857 (a) p. 164. 


A glaophenia pluma 
var. dichotoma  Hixcks 1868 p. 287, pl. 63, fig. 1 a. 
» » » PIEPER 1884 p. 217. 
» » » MARKTANNER 1890 p. 270. 


48 M. BEDOT 


Aglaophenia plumifera Kirchenpauer. 


Voir: Matériaux IV, p. 252. 


Aglaophenia plumosa Bale. 


Aglaophenia plumosa BALE 1882 p. 27, 29, 30, 37, pl. 14, 

fig. 6. 

» » BALE 1884 p. 18, 149, 153, pl. 14, 
fig. 5, pl. 17, fig. 12. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. 

» » LENLENFELD 1885 (d) p. 647. 

» » PENNINGTON 1885 p. 129, pl. 10, fig. 1. 

» » BALE 1887 p. 87, 99, 110. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 


Aglaophenia prolifera Bale. 


Aglaophenia prolifera BALE 1882 p. 28, 34, 46, pl. 14, fig. 5. 


Aglaophenia pusilla Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 252. 


Aglaophenia radicellata G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 253. 


Aglaophenia radicellata Storm 1882 p. 24, 27. 
» » MARKTANNER 1890 p. 277. 


Aglaophenia ramulosa Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 253. 


Aglaophenia ramulosa  FEWKES 1881 (a) p. 127, 128. 
» » BALE 1882 p. 20. 
» » BALE 1884 p. 170, pl. 18, fig. 11. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 49 


Aglaophenia rhynchocarpa Alman. 
Voir : Matériaux IV, p. 253. 


Aglaophenia rhynchocarpa Fewxes 1881 (a) p. 131. 


Aglaophenia rigida Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 253. 
Aglaophenia rigida FEWKES 1881 (a) p. 131. 
» » Quecca 1885 (a) p. 11. 
Aglaophenia robusta Fewkes. 


Aglaophenia robusta FEWKES 1881 (a) p. 129, 132. 


Aglaophenia roretzi Marktanner. 


À glaophenia rorelzi MARKTANNER _ 4890 p. 271, pl. 6, fig. 22-22 a. 


Aglaophenia rostrata Kirchenpauer. 


Voir : Lytocarpus phœniceus. 


Aglaophenia rubens Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 253. 


Aglaophenia rubens BALE 1882 p. 20. 
» » BALE 1884 p. 149, 157, pl. 18, fig. 9. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 
» » MARKTANNER 1890 p. 275, 276. 


Aglaophenia savignyana Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux I, p. 426 ; IL, p. 45; II, p. 241 et IV, p. 253. 


Aglaophenia savigniana  Carus 1884 p. 17. 

Aglaophenia savignyana Piper 1884 p. 218. 

Aglaophenia savigniana  DriescH 1890 (b) p. 660, 666. 
Aglaophenia savignyana  MARKTANNER 1890 p. 267, pl. 6, fig. 13. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. A 


50 M. BEDOT 


Aglaophenia sigma Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 254. 
Aglaophenia simplex (d'Orbigny). : 
Voir : Matériaux Il, p. 45; III, p. 241 et IV, p. 254. 


A glaophenia simplex PIEPER 1884 p. 186. 


Aglaophenia sinuosa Bale. 
Aglaophenia sinuosa BALE 1883 p. 790, pl. 21, fig. 1-2. 
Aglaophenia speciosa (Pallas). . 
Voir : Matériaux I, p. 426; !T, p. 46; II, p. 241-et IV, p. 254. 


Plumularia speciosa BALE 1884 p. 171. 


Aglaophenia squarrosa Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 254. 


A glaophenia squarrosa BALE 1882 p. 20. 
» » BALE 1884 p. 149, 156, pl. 18, fig. 10. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 
» » MARKTANNER 1890 p. 268, pl. 6, fig. 19. 


Aglaophenia struthionides (Murray). 
Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 254. 


A glaophenia arborea CLARKE 1888 p. 86. 
A glaophenia struthionides CLARKE 1888 p. 86, fig. 80 et pl. s$ n°. 
p. 86, fig. 3. 
» » MARKTANNER 1890 p. 265, pl. 6, fig. 21. 


Aglaophenia superba Bale. 


A glaophenia superba BALE 1882 p. 28, 31, 33, 45, pl. 13, 
fig. 4. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 51 
Aglaophenia tricuspis Mac Crady. 
Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 254. 


Aglaophenia trifida L. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 242 et IV, p. 255. 


Aglaophenia tubiformis Marktanner. 


À glaophenia tubiformis  MARKTANNER 1890 p. 269, 270, pl. 7, fig. 4, 
9, 47. 
» » var. MARKTANNER 1890 p. 270, pl. 7, fig. 6. 


Aglaophemia tubulifera Hincks. 


Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 255. 


A glaophenia tubulifera BALE 1882 p. 29, 36. 
» » PENNINGTON 1885 p. 129. 
» » QUELCH 1885 (a) p. 11. 
» » HOYLE 1889 p. 460. 
» » BOoURNE 1890 (b) p. 397. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660. 


Aglaophenia urceolifera (Lamarck). 
Voir : Halicornaria urceolifera. 
Aglaophenia urens Kirchenpauer. 


Voir : Lytocarpus uwrens. 


Aglaophenia vitiana Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux [V, p. 255. 


Aglaophenia vitiana BALE 1884 p. 152. 
» » BALE 1887 p. 85, 103. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 611. 


Aglaophenia. (2) whiteleggei Bale. 


Aglaophenia (?) white- 
leggei BALE 1888 p. 794, pl. 21, fig. 8. 


52 M. BEDOT 


Gen. Aglaophenopsis Fewkes 1881. 


Aglaophenopsis hirsuta Fewkes. 


Aglaophenopsis hirsuta  FEWKES 1881 (a) p. 129, 133, pl. 4, fig: 
2, 10, pl. 2, fig. 3. 


Gen. Amalthæa O. Schmidt 1852. 
Voir : Matériaux IIE, p. 243 et IV, p. 256. 


Amalthæa islandica Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 256. 


Amalthæa januari (Steenstrup). 
Voir : Matériaux IIL, p. 243 et IV, p. 256. 
Amalthæa januari LOMAN 1889 p. 269, 270. 


Amalthæa sarsi (Steenstrup). 
Voir : Matériaux [IL, p. 243 et IV, p. 256. 


Corymorpha sarsi WEISSMANN 1883 p. 129. 
Amalthæa sarsi LOMAN 1889 p. 269, 270. 


Amalthæa uvifera Ô. Schmidt. 
Voir : Matériaux LIT, p. 244 et IV, p. 256. 


? Corymorpha uvifera Storm 1882 p. 11, 28, 30. 
Amalthæa uvifera LOMAN 1889 p. 268, 270. 


Amalthæa vardüensis Loman. 


Amalthæa vardüensis LOMAN 1889 p. 271, fig. 5 et pl. 13. 


Gen. Amphibrachium Schulze 1880. 


Amphibrachium euplectellæ Schulze. 


Amphibrachium euplectellæ Scaurze 1880 p. 672, fig. 1. 
» » JicKELt 1883 p. 049. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 53 


Gen. Anisocola Jickeli 1883. 


KIRCHENPAUER (1876) avait divisé le genre Plumularia en 
3 sous-genres : /socola, Anisocola et Monopyxis. JICKELI (1883) 
a pris Zsocola et Anisocola comme noms de genres, mais cela 
n’a pas été adopté. 


Gen. Antennella Allman 1877. 


Voir : Matériaux IV, p. 257. 


Antennella allmani Armstrong. 


Voir : Matériaux IV, p. 257. 


Antennella gracilis Allman. 


es 


e- 


Voir : Matériaux IV, p. 257. 


| YA 2 ; 9 87 HA +7 À 
Antennella gracilis FEWKES 1881 (a) p. 127. Y_s D 


Antennella secundaria (Gmelin). 


Syn. : Plumularia secundaria (Gmelin). 


Voir : Matériaux I, p. 461; IE, p. 100 ; IL, p. 354 et IV, p. 344. 


Plumularia secundaria  Carus 1884 p. 18. 
» » PIEPER 1884 p. 216, 220. 
» » DRIESCH 1890 (a) p. 661. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659-662, 669, 673. 
» » MARKTANNER 1890 p. 251, 252, pl. 6, fig. 4. 


Antennella siliquosa Hincks. 
Syn. : Plumularia siliquosa Hincks. 


Voir : Matériaux IV, p. 345. 


Plumularia siliquosa  PENNINGTON 1885 p. 127. 


À 7 


54 M. BEDOT 


Gen. Antennopsis Allman 1877. 


Voir : Matériaux IV, p. 257. 


Antennopsis hippuris Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 257. 
Antennopsis hippuris FEWKES 1881 (a) p. 128, 133. 
» » BALE 1887 p. 82. 
Antennopsis ramosa Fewkes. 


Antennopsis ramosa FEWKES 1881 (a) p.129, 133, pl. 3, fig. 3. 


Gen. Atractyloides Fewkes 1889. 


Atractyloides formosa Fewkes. 


Atractyloides formosa  FEWKESs 1899 (b) p. 101, pl. &, fig. 2, 3, 5. 
Hydroid FEWKES 1889 (c) p. 599, fig. 10, 10 a. 


Gen. Azygoplon Allman 1883. 


Le genre Azygoplon d'ALLMAN étant synonyme d’AHalicor- 
nopsis Bale (1882) doit être supprimé. BALE (1888) à repris le 
nom d’Azygoplon pour un autre genre de Plumularides représenté 
par son À. productum. STECHOW (1909) fait rentrer cette espèce 
dans le genre Diplocheilus d'ALLMAN, et BALE (1914) la place 
actuellement dans le genre Kirchenpaueria de JICKELI; nous la 
mettons provisoirement dans le genre Diplocheilus. 

Voir la remarque au genre Xirchenpaueria. 


Gen. Azygoplon Bale 1888. 


Ce genre doit être supprimé. Voir ci-dessus. 


\ 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Gen. Bimeria Wright 1859. 
Voir : Matériaux III, p. 245 et IV, p. 257. 
Dimeria (2) gracilis Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 257. 
Bimeria humilis Allman. 

Voir : Matériaux IV, p. 257. 
Bimeria vestita Wright, 

Voir : Matériaux II], p. 245 et IV, p. 257. 


Bimeria vestita LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. 
» » PENNINGTON 1885 p. 68. 
» » MEcy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 100. 
» » ALUMAN 1888 p. k. 
» » Du Pcessis 1858 p. 541. 


Gen. Blastothela Verrill 1878. 


Voir : Matériaux IV, p. 258. 


Blastothela rosea Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 258. 


Gen. Bougainvillia Lesson 1836. 
Voir : Matériaux IF, p. 48; LIL, p. 245 et IV, p. 258. 


Bougainvillia carolinensis (Mac Crady). 
Voir : Matériaux IT, p. 246 et IV, p. 258. 


Margelis carolinensis BROOKS 1882 p. 136, 143. 


Bougainvillia fruticosa Allman. 
Voir : Matériaux II, p. 246 et IV, p. 258. 


Bougainvillia fruticosa Du PLessis 1881 (a) p. 146. 
» » LEsLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. 


56 M. BEDOT 


Bougainvillia fructicosa  HAMANN 1882 (a) p. 523. 
Bougainvillia fruticosa  PiePER 1884 p. 150. 

» » PENNINGTON 1885 p. 70. 

» » Du PLessis 1888 p. 941. 

» » Lo Braxco 1888 p. 387. 

» » MARKTANNER 1890 p. 200. 


Bougainvillia muscus Allman. 
Voir : Matériaux IIT, p. 246 et LV, p. 258. 


Bougainvillia muscus:  Carus 1884 p. 3. 
» » GRÆFFE 1884 p. 349. 
» » PIEPER 1884 p. 150. 
» » PENNINGTON 1885 D; #20 
» » MELzzy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 100. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. 


Bougainvillia ramosa (van Beneden). 
Voir : Matériaux II, p. 48; IL, p. 246 et IV, p. 258. 
Syn.: Margelis ramosa. 

Voir : Matériaux II, p. 138. 


Bougainvillia ramosa Du PLEssis 1881 (a) p: 146. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. 
Bougainvillia fruticosa  WeiSmMANN 1883 Expl. pl. 12. 
Bougainvillia ramosa WEISMANN 1883 p. 113, 218, pl. 12, fig. 
19, 13. = 
Lizusa octocilia WEISMANN 1883 p. 114. 
» » CARUS 1884 p. 24. 
? Bougainvillia ramosa  PiePEr 1884 p. 220. 
» » R&ES 1884 p. 79. 
» » PENNINGTON 1885 p. 70. 
» » CLuBB us 1886 p. 115. 
Bougainvillea brilannica HErDMAN 1386 (a) p. 12. 
Bougainvillia britannica  HERDMAN 1886 (b) p. 325, 327, 330. 
Margelis britannica HADDON 1886 (a) p. 526. 


Bougainvillia britannica M'Ixrosh 1887 (b) p. 99. 


Qt 
1 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 
Bougainvillia ramosa Du PLEssIs 1888 p. 541. 
Lizzia octocilia Du PLEssis 1388 p. 541. 
Bougainvillia ramosa Lo Bianco 1888 p. 387. 
Lizusa octocilia DALLA TORRE 1889 p. 95. 
Margelis ramosa DALLA ToRRE 1889 p. 95. 
Bougainvillia britannica 
(Margelis ramosa)  M'INrosx 1889 p. 264, 272, 278, 282, 288, 
289, 293. 
Bougainvilla ramosa SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 393. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 678. 
Bougainvillia britannica  M’Ixrosa 1890 (b) p. 297, 298. 
É — 
Dougainvillia rugosa Clarke. 
Bougainvillia rugosa CLARKE 1882 p. 135, 140, pl. 8, fig. 
21-24. 
Dougainvilha superciliaris (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux II, p. 248 et IV, p. 259. 
Syn. : Hippocrene superciliaris L. Agassiz. 
Voir : Matériaux Il, p. 135. 
Bougainvillia super- 
ciliaris WAGNER 1385 p. 60, 72, 73, pl. 2, fig. 
5-9, pl. 3, fig. 1. 
Bougainvillia paradoxa  M’Ixrosu 1890 (a) p. 42. 


Gen. Calamphora Allman 1888. 


Ce genre ne renferme qu'une espèce C. parvula qui, d’après 
HARTLAUB (1901) et BILLARD (1910), serait une Sertularella. 
STECHOW (1913) conserve ce genre en en modifiant la diagnose. 


Calamphora parvula Allman. 


Calamphora parvula ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIII, 29, pl. 
10, fig. 3, 34. 


58 M. BEDOT 


Gen. Callicarpa Fewkes 1881. 


Callicarpa gracilis Fewkes. 


Callicarpa gracilis FEWKES 1881 (a) p. 129, 134, pl. 2, fig. 
12510,77: 
» » ALLMAN 1883 p. 3 (note), 13. 
» » AGASSIZ, À. 1888 p. 137, fig. 438, 439. 


Gen. Calycella Hincks 1859. 


Voir : Matériaux III, p. 248 et IV, p. 260. 


Calycella fastigiata (Alder). 


Voir : Matériaux IIT, p. 249 et IV, p. 260. 


Calycella fastigiata STORM 1882 p. 17, 27. 
» » PENNINGTON 1885 p. 98. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » HoyLe 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 25. 


Calycella obliqua Hincks. 
Voir : Matériaux IV, p. 260. 
Calycella plicatilis (Sars). 


Voir : Matériaux IL, p. 249 et IV, p. 260. 


Calycella plicatilis STORM 1882 p. !8. 
» » THOMPSON 1884 p. 4, 8. 
Calicella plicatilis VERRILL 1885 (a) p. 517, 537, pl 9, 
fig. 30. 
Calycella plicatilis BERGH | 1887 p. 332, 334. 
» » MARKTANNER 1890 p. 213. 


Calycella producta G.-0. Sars. 


Voir : Lovenella producta. 


HISTOIRE 


DES HYDROÏDES. — V. 


Calycella pygmæa Hincks. 


Voir : Halisiphonia pygmaæa. 


Calycella quadridentata Hincks. 


Voir : 


Matériaux IV, p. 261. 


Calycella quadridentata  Taompsox 1884 p. 4, 7, pl. 1, fig. 20. 
Calycella syringa (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 432. IL, p. 34, IL, p. 249 et IV, p. 261. 

Campanularia syringa  BYERLEY 1854 p. 105. 
Calycella syringa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. 

» » STORM 1882 p. 17. 

» » CARUS 1884 p. 10. 
Campanularia syringa  KLaaTscH 188% p. 581. 
Calycella syringa PIEPER 1884 p. 152, 165. 

» » REES 1884 p. 579. 

» » THOMPSON 1884 p. 4, 7, 8, pl. À, fig. 21. 
Campanularia syringa  Gapeau De KERVILLE 1885 p. 178. 
Calycella syringa PENNINGTON 1885 p. 98, pl. 5, fig. 4. 

» » HErDMAN 1886 (a) p. 3. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 

» » Mezcy, Hicks à. 

HERDMAN 1836 p. 106. 

» » BERGH 1887 p. 334. 

» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 

» » THOMPSON 1887 p. 389, 392. 

» » BÉTENCOURT 1838 p. 208. 

» » HALLEZ 1889 p. 40. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 25. 

» » BOURNE 1890 (b) p. 395. 

» » MARKTANNER 1890 p. 213. 


Gen. Calyptospadix Clarke 1882. 


Calyptospadix cerulea Clarke. 


Calyptospadix cerulea 


CLARKE 


1882 p. 135, 136, pl. 7, fig. 1-9, 


60 M. BEDOT 


Gen. Calyptothuiaria Marktanner 1890. 


Calyptothuiaria clarki Marktanner. 


Calyptothuiaria clarki  MaRKTANNER 1890 p. 243, pl. 5, fig. 6-6 a. 


Calyptothuiaria magellanica Marktanner. 


Calyptothuiaria 
magellanica  MARKTANNER 1890 p. 244, pl. 5, fig. 7. 


Gen. Campaniclava Allman 1864. 


Voir : Matériaux IT, p. 250 et IV, p. 261. 


Campaniclava cleodoræ (Gegenbaur). 
Voir : Matériaux III, p. 250 et IV, p. 262. 


Campaniclava cleodoræ  WKISMANN 1883 p. 26. 
» » CARUS 1884 p. 2. 
» » Du PLessis 1888 p. 532. 
» » ALCOCK 1892 p. 208. 


Gen. Gampanopsis Claus 1881. 


Campanopsis Sp. ? 


Campanopsis CLaus 1881 (c) p. 90 ss., pl. 1-2. 
» Jicken 1883 p. 623, pl. 27, fig. 11-20. 


Cette espèce est très probablement la forme Polype de la Méduse Octorchis 
gegenbuuri. 


Gen. Campanularia Lamarck 1816. 
Voir : Matériaux I, p. 428; II, p. 48; II, p. 250 et IV, p. 262. 


Campanularia amphora A. Agassiz. 


Voir : Matériaux IE, p. 251 et IV, p. 262. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 61 


Campanularia angulata Hincks. 


Voir : Matériaux IE, p. 251 et IV, p. 262. 


Campanularia angulata  WEismMaNN 1881 (b) p. 12. 
» » HAMANN 1882 (a) p. 524. 
» » VARENNE 1882 (b) p. 627, 659, 667, 678, 


680, 687, pl. 29, pl. 
30, fig. 6-8. 


» » LENDENFELD 1883 (e) p. 549. 
» » GRÆFFE 1884 p. 357. 
» » METSCHNIKOFF 1884 p. 145. 
» » PENNINGTON 1885 p. 87, pl. 4, fig. 6. 
» » THALLWITZ 1885 p. 438 note. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » MELLY, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 103, 105. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 41, 69, 70. 
» » Nicnozs a. HappoN 1886 p. 615. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 206, 212. 
» » Driesca 1889 p. 194, 195, 222. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » HOYLE 1889 p. 460. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 394. 
» » MARKTANNER 1890 p. 210. 


Campanularia antipathes (Lamarck). 


Voir : Laictorella antipathes. 


Campanularia bilabiata Coughtrey. 


Voir : Matériaux IV, p. 262. 


Campanularia borealis Marktanner. 


Campanularia borealis  MARKTANNER 1890 p. 206. 


Campanularia brasiliensis Meyen. 


Voir : Matériaux If, p. 48; III, p. 251 et IV, p. 262. 


62 M. BEDOT 


Campanularia calceolifera Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 251 et IV, p. 263. 


Campanularia caliculata Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 252 et IV, p. 263. 


Campanularia caliculata Srorm 
Campanuluria coliculata  Jickeui 


Campanularia caliculata LENDENFELD 


Clythia poterium LENDENFELD 
Laomedea repens LENDENFELD 
Campanularia caliculata Carus 

» » GRÆFFE 

» » PIEPER 

» » LENDENFELD 

» » LENDENFELD 

» » PENNINGTON 

» » HERDMAN 

» » HERDMAN 

» » Meccy, Hicks a. 

HERDMAN 

» » METSCHNIKOFF 

» » LENDENFELD 

» » BALE 

» » SEGERSTEDT 

» » MARKTANNER 


Campanularia caliculata var. makrogona (Lendenfeld). 


Campanulina calyculata 
var. Mmakrogona LENDENFELD 
Campanularia caliculata 
var. makrogona BALE 


Campanularia carduella Allman. 


Campanularia carduella  ALLMAN 


1882 p. 14, 28. 

1883 p. 631, pl. 27, fig. 26-32, 
pl. 28, fig. 1-3. 

1883 (e) p. 499, 526. 

1883 (e) p. 537. 

1883 (e) p. 37. 

1884 p. 9. 

1884 p. 397. 

1884 p. 152. 

1885 (b) p. 910, 922. 

1885 (d) p. 660. 

1885 p. 86. 

1886 (a) p. 12. 

1886 ‘b) p. 329. 


1886 p. 104. 

1886 (b) p. 20, 41, 69, 70. 

1887 (c) p. 40. 

1888 p. 755, 775, 776, pl. 13, 
fig. 1-3. 

1889 p. 13, 25. 

1890 p. 204, 206. 


1885 (b) p. 922. 


1888 p. 755, pl. 13, fig. 4-8. 


- 


1886 p. 139, pl. 7, fig. 1-2. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 63 


Campanularia cheloniæ Alman. 


Campanularia cheloniæ  ALLMAN 1888 p. LXVIIT, 22, pl. 11, fig. 
2, 24. 


Car] 


Campanularia chinensis Marktanner. 


Campanularia chinensis  MARKTANNER 1890 ‘p. 203, pl.-3, fig: 1. 


Campanularia circula Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 263. 


Campanularia circula  Taompson 1887 p. 387, 391. 
» » MARKTANNER 1890 p. 203. 


Campanularia clytioides . (Lamouroux). 


Voir : Matériaux III, p. 252 et IV, p. 263. 


Campanularia compressa Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 263. 


Campanularia coronata Clarke. 


Voir : Matériaux IV, p. 263. 


Campanularia crenata Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 264. 


Campanularia cylindrica d’ALLMAN. 


Voir : Matériaux IV, p. 264. 


Campanularia cylindrica de CLARK. 
Voir : Matériaux IV, p. 264. 


Campanularia cylindrica Fewxes 1889 (b) p. 101. 


64 M. BEDOT 


Campanularia decipiens (Wright). 
Voir : Matériaux IT, p. 253 et IV, p. 264. 


Campanularia decipiens  LESLIE a. HekDMAN 1881 p. 13. 
» » PENNINGTON 1885 p. 88. 


Campanularia denticulata Clark. 
Voir : Matériaux IV. p. 264. 


Campanularia denticulata MaRKTANNER 1890 p. 205. 


Campanularia everta Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 264. 
Campanularia everta FEWKES 1889 (b) p. 104. 


Campanularia exigua (Sars). 
Voir : Matériaux III, p. 253 et IV, p. 265. 


Campanularia exiqua MARION 1883 (b) p. 23. 
» » CARUS SES pe QT en. 
» » PENNINGTON 1883 p. 88. 
PRO STANES » DRIESCH 1889 p. 194, 195. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » MARKTANNER 1890 p. 204. 


Campanularia flexuosa (Alder). 
Voir : Matériaux I, p. 430 ; II, p. 50; III, p. 253 et IV, p. 265. 


Campanularia flexæuosa  Srorm 1880 p. 123. 
» » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 13. 
Laomedea flexæuosa SCHMIDTLEIN 1881 p. 171. 
Campanularia flexuosa  VARENNE 1881 (a) p. 345. 
» » VARENNE 1881 (b) p. 1032. 
» » WEISMANN 1881 (a p. 64. 
» » LENZ 1882 p. 171, 177. 
» » STORM 1882 P. 13, 15, 28, 29. 
» » VARENNE 1882 (b) p. 620, 621... 666, 667, 


672, 678... 698, pl. 30, 
fig. 1-5, pl. 31, fig. 1-2, 
pl. 33, fig. 1-2, pl. 36, 
fig. 1-4. 


HISTOIRE 


Campanularia flexuosa 


» » 


» » 
» ) 
» » 
» » 


Laomedea gelatinosa 
Campanularia flexuosa 
Laomedea flexmosa 
Campanularia flexuosa 


» » 
» » 
» » 
» ) 
» » 


Laomedea flexzuosa 
Campanularia flexuosa 


» » 
Laomedea flexuosa 
Campanularia flezuosa 


? » » 
» » 
» » 
» » 


LENDENFELD 
MaARION 
WEISMANN 


BRAUN 


CARUS 
PIEPER 
PIEPER 
THOMPSON 
LENDENFELD 
PENNINGTON 
THALLWITZ 
HERDMAN 


KÜKENTHAL u. 
WEISSENBORN 
Meccy, Hicks a. 
HERDMAN 
NicHoLs a. HADDON 
METSCHNIKOFF 


BÉTENCOURT 
ALLMAN 
BÉTENCOURT 
Lo Bianco 
BRAUN 
DRIESCH 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
MaARKTANNER 


DES HYDROÏDES. — V. 


1883 (e) p. 549. 

1883 (a) p. 29, 31. 

1883 p. 4, 140, 144, 219, 2 
226, 233, 241, 242, 
26%, pl. 24, fig. 1-7. 


1884 p. 90, 106, 114, 117, 120, 


121. 
1884 p. 9. 
1884 p. 164. 
1884 p. 149. 


1884 p. 4, 8. 
1885 (a) p. 352. 
1885 p. 87, pl. 4, fig. 5. 


1885 p.389, 390, pl. 12, fig. 1-9. 


1886 (b) p. 329. 


1886 p. 778. 


1886 p. 104. 
1886 p. 615. 


1886 (b) p. 69. 


1887 p. 67. 


1888 p. XXXIV. 


1888 p. 206. 
1888 p. 388. 
1889 p. 79. 

1889 p. 194. 


1889 p. 10, 14, 23. 
1890 (b) p. 394. 
1890 p. 20%, 205. 


Campanularia fragilis Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 254 et IV, p. 265. 


? Campanularia fragilis PenniGron 


1885 p. 88. 


Campanularia fusiformis Clark. 


Campanularia fusiformis FEewkes 
Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 


Voir : Matériaux IV, p. 265. 
1889 (b) p. 104. 


66 M. BEDOT 


Campanularia gegenbauri Sars. 


Voir : Matériaux III, p. 254 et IV, p. 266. 


Campanularia gigantea Hincks. 


Voir : Matériaux IIL, p. 255 et IV, p. 266. 


Campanularia gigantea  Carus 1884 p. 9. 
» » PIEPER 188% p. 164. 
? » » PENNINGTON 1885 p. 88. 


Campanularia gracilis Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 266. 


Campanularia grandis Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 266. 


Campanularia hincksi Alder. 
Voir : Matériaux IIT, p. 255 et IV, p. 266. 


Campanularia hincksi Storm 1882 p. 3, 14. 
» » PENNINGTON 1885 p. 85. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12. 
» »  HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » MELLY, HICKS a. 
| HERDMAN 1886 p. 104. 
» » _BERGH 1887 p. 333. 
» » _BÉTENCOURT 1888 p. 206. | 
» » KIRKPATRICK 1889 p. 446. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 13, 25. | 
» » MARKTANNER 1890 p. 204. 1 
Campanularia integra Macgillivray. 
Voir : Matériaux IL, p. 53: LIL, p. 255 et IV, p. 266. , 
Campanularia integra LesLie a. HERDMAN 1881 p. 13. ÿ 
» » CARUS 1884 p. 8. 
; » PIBPER : "1884 p. 152. 4 
» » PENNINGTON 1885 p. 86. 


Le 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 67 


Campanularia integra  BERGH 1887 p. 333. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » MARKTANNER 1890 p. 206, 207. 


Campanularia integriformis Marktanner. 
Campanularia integri- 


formis  MARKTANNER 1890 p. 204, 206, pl. 3, fig. 2. 


Campanularia juncea Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 267. 


Campanularia juncea MARKTANNER 1890 p. 205. 


Campanularia macrocyttara (Lamouroux). 
Voir : Matériaux II, p. 53; ILE, p. 256 et IV, p. 267. 


Campanularia macro- 


cyltara BALE 1884 p. 56, pl. 2, fig. 6. 
Campanularia macro- 
cyllaria  LENDENFELD 1885 (a) p. 402, 621. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 660. 
Campanularia macro- 
Cytharia  LENDENFELD 1887 (c) p. 40. 


Campanularia macroscypha Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 267. 


Campanularia macro- 
scypha  FEWKES 1881 (a) p. 129. 


Campanularia maior Meyen. 
Voir : Matériaux [I, p. 53; HI, p. 256 et IV, p. 267. 


Campanularia marginata Bale. 


Campanularia marginata BALE 1884 p. 54, pl. 1, fig. 2. 
_ Laomedea marginata LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 630. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 
Campanularia marginata BALE 1888 p. 757, 758. 


» »  MARKTANNER 1890 p. 206. 


68 M. BEDOT 


Campanularia neglecta (Alder). 


Voir : Matériaux IL, p. 256 et IV, p. 267. 


Campanularia neglecta  PENNINGTON 1885 p. 87. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » MEccY, Hicks a. 
HerDMAN 1886 p. 105. 
» » BERGH 1887 p. 339. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 204, 206. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 25. 


Campanularia occidentalis Fewkes. 


Campanularia occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 101. 


Campanularia ptychocyathus Allman. 
Campanularia ptycho- 
cyathus  ALLMAN 1888 p. LXIIT, LX VII, 20, pl. 10, 
fig. 2, 24. 
Campanularia pygmæa Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 267. 


Campanularia raridentata Alder. 


Voir : Matériaux III, p. 257 et IV, p. 267. 


Campanularia rari- 


dentata  GRÆFFE 1884 p. 357. 
» » PENNINGTON 1885 p. 88. 
» » MEYSCHNIKOFF 1886 (b) p. 84. 
» 2 HINCKS 1887 p. 133, pl. 12, fig. 5. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 207. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 394. 


» » MARKTANNER 1890 p. 205, pl. 3, fig. 3 a-b. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 69 


Campanularia reptans (Lamouroux). 
Voir : Matériaux I, p. 432, I, p. 54, IL, p. 257 et IV, p. 267. 


Campanularia reptans BALE 1884 p. d3, pl. 2, fig. 8. 
Laomedea reptans LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 629. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 17. 
Sertularia reptans DAI.LA TORRE 1889 p. 96. 


Campanularia retroflexa Allman. 


Campanularia retrofleæa  Accman 1888 p. LXVII, LXVIIL, 21, pl. 
11, fig. 1,10. 


Campanularia (2) serrulata Bale. 
Campanularia (?) 
serrulata BALE 1888 p. 757, pl. 12, fig. 4. 
Campanularia speciosa Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 267. 


Campanularia (?) spinulosa Bale. 


Campanularia (?) 


spinulosa BALE 1888 p. 756,757, pl. 19, fig. 5-7. 
Campanularia (?) 
bispinosa BALE 1888 p. 796 (Explic. des pl.). 


Campanularia thyroscyphiformis Marktanner. 


Campanularia 
thyroscyphiformis  MARKTANNER 1890 p. 206, pl. 3, fig. 4. 
Campanularia tincta Hincks. 
Voir : Matériaux III, p. 257 et IV, p. 268. 
Campanularia tincta BALE 1882 p. 20. 
» à BALE 1884 p. 37, pl. 1, fig. 4-6, pl. 
19, fig. 29. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 621. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 660. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. 


M. BEDOT 


Campanularia tulipifera Allman. 


Campanularia tulipifera  ArvLMAN 


Campanularia tulpifera  PFEFFER 


1888 p. LXIV, LXVIITI, 20, pl. 


10, fig. 1-1 b. 
1890 p. 367. 


Campanularia turgida Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 268. 


Campanularia urceola Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 268. 


Campanularia vermicularis van Beneden. 


Voir : Matériaux IT, p. 258 et IV, p. 268. 


Campanularia verticillata (Linné). 


Voir : Matériaux [, p. 433; IT, p. 55 


Campanularia verticillata BYeRLEY 


» LESLIE à. HERDMAN 

» THOMPSON 

» PENNINGTON 

» HERDMAN 

» HERDMAN 

» MELcLY, HIcks à. 
HERDMAN 

» BERGH 

» BÉTENCOURT 

» THOMPSON 

» BÉTENCOURT 

» DALLA TORRE 

» DRIESCH 

» SEGERSTEDT 

» DRIESCH 

» MARKTANNER 


: JL p. 258 et IV, p. 268. 


1854 p. 105. 
1881 p. 13. 
1884 p. 4, 8. 
1885 p. 86. 
1886 (a) p. 6. 
1886 (b) p. 329. 


1886 p. 104. 
1887 p. 333. 

1887 p. 67. 

1887 p. 387, 389. 391. 
1888 p. 207. 

1889 p. 96. 


1889 p. 19%, 198, 217, 223, 295, 


fig. 11, 12. 
1889 p. 14, 25. 


1890 (b) p. 671, 679, 685. 


1890 p. 203. 


ana riadé — "ri 7 S s S nt à 


AE 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. A 


Campanularia volubiliformis Sars. 
Voir : Matériaux IIT, p. 259 et IV, p. 269. 


Campanularia volubili- 


formis CaRUS 1884 p. 8. 
» » PIEPER 1884 p. 149. 
» » MARKTANNER 1890:p. 204. 


Campanularia volubilis (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 433; IT, p. 56; III, p. 259 et IV, p. 269. 


Campanularia volubilis  Leuckarr 1847 (c) p. 87. 
» » BYERLEY 1854 p. 105. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12. 
» » STORM 1882 p. 14. 
» » CaRUs 1884 p. 8, Ex. Syn. pp. 
» » | GRÆFFE 1884 p. 397. 
» » THOMPSON 1884 p. L, 8. 
» » PENNINGTON 1885 p. 89. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » MELLY, Hicks a. 
: HerDMAN 1886 p. 103. 
» » HoyLE 1889 p. 460. 
» » BOURNE 1890 ‘b) p. 394. 
» » MARKTANNER 1890 p. 204, 205, 207, pl. 3, 
fig. 5. 


Gen. Campanulina van Beneden 1847. 


Voir : Matériaux II, p. 57; UT, p. 260 et IV, p. 261. 


Campanulina borealis Thompson. 
Campanulina borealis THOMPSON 1887 p. 388, 389, 391, pl. 14, 
fig. 1. 
Campanulina languida Hæckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 269. 


HæckeL (1879) a donné le nom de Campanulina lanqguida au Polype qui 


FEAR M. BEDOT 


doit produire la Méduse Phialidium lanquidum ; mais il ne l’a pas décrit. Les 
citations relatives au Phialidium languidum se trouvent donc à leur place 
parmi les Méduses. 


Campanulina panicula G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 269. 


Campanulina panicula  Srorm 1882 p. 16, 28, 30. 


Campanulina repens Allman. 


Voir : Matériaux IIT, p. 260 et IV, p. 269. 


Campanulina repens Lescie a. HERDMAN 1881 p. 13. 
» » STORM 1882 p. 16. 
» » PENNINGTON 1885 p. 93. 
» » THOMPSON 1887 p. 391. 


Campanulina tenuis van Beneden. 


Voir : Matériaux II, p. 57; IIT, p. 260 et IV, p. 270. 


Campanulina acuminata  CLAUS 1881 (c) p. 94, 111. 

» » LesLie à. HERDMAN 1881 p. 13. 

» » STORM 1882 p. 16. 

» » CLAUS 1883 p. 87. 
Campanulina tenus CLAUS 1883 p. 87. 

» » WEISMANN 1883 p. 240. 
? Campanulina acuminala GRÆFFE 188% p. 398. 

» » PENNINGTON 1885 p. 95. 
Campanulina tenuis METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 85. 
Campanulina acuminata  BOURNE 1890 (b) p. 395. 


Campanulina turrita Hincks. 
Voir : Matériaux IT, p. 261 et IV, p. 270. 


Campanulina turrita PENNINGTON 1885 p. 93. 
» » DRIESCH 1889 p. 198. 
» » MARKTANNER 1890 p. 210. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. F3: 


Gen. Geratella Gray 1868. 
Voir : Matériaux III, p. 261 et IV, p. 270. 

STECHOW (1913), qui à pu faire une nouvelle étude du type de 
Solanderia gracilis, a montré que le genre Ceratella devait être 
supprimé, étant synonyme de Solanderia. 

Ceratella fusca Gray. 


Voir : Solanderia fusca. 


Ceratella procumbens Carter. 


Voir : Solanderia procumbens. 


Ceratella spinosa Carter. 


Voir : Solanderia spinosa. 


Gen. Chitina Carter 1873. 


Voir : Matériaux IV, p. 271. 


Chitina ericopsis Carter. 


Voir : Matériaux IV, p. 271. 


Gen. Gionistes Wright 1861. 


Voir : Matériaux III, p. 262 et IV, p. 271. 


Cionistes reticulata Wright. 
Voir : Matériaux III, p. 262 et IV, p. 271. 


Clionistes reticulata Lesuie a, Herpman 1881 p. 8. 
Cionistes reticuluta PENNINGTON 1885 p. 44. 


74 M. BEDOT 


Gen. Gladocarpus Allman 1874. 
Voir : Matériaux IV, p. 271. 
Cladocarpus compressus Fewkes. 
Cladocarpus compressus  FEWKES 1881 (a) p. 129, 135, pl. 1, fig. 


D, 9, pl. 3, ie 


Cladocarpus cornutus Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 271. 


Cladocarpus crenatus (Fewkes). 


A glaophenia crenata FEWKES 1881 (a) p. 129, 132. 
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 135. 


Cladocarpus crenatus var. allmani Ritchie 1909. 


Cladocarpus formosus ALLMAN 1883 p. 2, 14, 50, 514, 55, pl. 16, 
fig. 4, 3. 
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXVI. LXIX. 


Voir la note à Cladocarpus formosus. 


Cladocarpus dolichotheca Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 271. 
Cladocarpus dolichotheca  ALLMAN 1883 p. 14, 50, 51. 


Cladocarpus flexilis Verrill. 


Cladocarpus flexilis VERRILL 1885 (a) p.517, 537, pl. 9, fig. 29. 
» » VERRILL 1885 (b) p. 447. 


Cladocarpus formosus Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 271. 


Cette espèce a été établie en 1874 par ALLMAN, qui a cru la retrouver, plus 
tard, dans les récoltes du CHALLENGER. Mais Rircnie (1909), qui a examiné 
l'échantillon du CHALLENGER, a montré qu'il appartenait à une autre espèce, 
C. crenatus, dont il représente une variété : var. allmani. 


1 
OT 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Cladocarpus paradiseus Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 272. 


Cladocarpus paradisea  FEWKES 1881 (a) p. 128. 
1883 p. 14. 


Cladocarpus paradiseus  ALLMAN 
1888 p. 137, fig. 436. 


Cladocarpus paradisea  AGassiz, À. 
Cladocarpus pectiniferus Alman. 
Cladocarpus pectiniferus  ALLMAN 1883 p.14, 15, 50,52,55, pl. 17. 
» » ALEMAN 1888 p. LIX, LXIT, LXIX. 
Cladocarpus pourtalesi Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 272. 


Hadocarpus speciosus Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 272. 


Cladocarpus tenuis Clarke. 


Voir : Matériaux IV, p. 272. 


Cladocarpus ventricosus Alman. 
Voir : Matériaux IV, p. 272. 


Cladocarpus ventricosus  FEWKES 1881 (a) p. 136. 
» » ALLMAN 1883 p. 14, 50, 51. 


BALE 1887 p. 76. 


» » 
Gen. Cladocoryne Rotch 1871. 
Voir : Matériaux LIL, p. 262 et IV, p. 272. 


Cladocoryne floccosa Rotch. 


Voir : Matériaux IIT, p. 262 et IV, p. 272. 


Cladocoryne floccosa Du PLEssis 1881 (a) p. 145. 
» » Du PLessis 1881 (b) p. 176 ss., pl. 9. 
» » HAMANN 1882 (a) p. 522, pl. 20, fig. 2. 


» » GRÆFFE 1883 (b) p. 320. 


76 M. BEDOT 


Polycoryne helleri GRÆFFE 1883 (b) p. 202ss., pl. 1, fig. 1-5. 
Cladocoryne floccosa WEISMANN 1883 p. 59, 97, 216, pl. 17, fig. 
6-11. 

» » CARUS 1884 p. 2. 

» » GRÆFFE 1884 p. 353. 

» » PIEPER 1884 p. 149. 

) » PENNINGTON 1885 p. 78. 

» » THALLWITZ 1885 p. 390, 430 

) » Du PLESsIs 1888 p. 534. 

» » Lo Branco  : 1888 p. 387. 

» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 606. 

» » MAaRKTANNER 1890 p. 202. 


Cladocoryne haddoni Kirkpatrick. 


Cladocoryne haddoni KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 605, pl. 44, 


fig. 2 


me 


Cladocoryne pelagica Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 272. 
Cladocoryne pelagica Du PLEssis 1881 (b) p. 178, 190, 195. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 606. 


Gen. Cladonema Dujardin 1843. 
Voir : Matériaux Il, p. 58; IIT, p. 263 et IV, p. 273. 


Cladonema radiatum Dujardin. 
Voir : Matériaux II, p. 58 et 132; III, p. 263 et IV, p. 273. 


Cladonema radiatum Du PLEssis 1881 (a) p. 144. 
» » Du PLessis 1881 (b) p. 179. 
» » JICKELI 1883 p. 602, pl. 26, fig. 1-10. 
» » LENDENFELD 1883 (e) p. 502. 
» » WEISMANN 1883 p. 119, 130, 218, 258, 
l pl. 192, fig. 2-5. 
» » CARUS 1884 p. 26. 
» » GRÆFFE 1884 p. 353. 
» » PENNINGTON 1885 p. 53. 


SCT PEN OP RPE 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 
Cladonema dujardini HARTLAUB 1887 p. 655. 
Cladonema radiatum HARTLAUB 1887 p. 655. 

» » Du PLESSIS 1888 p. 5306. 
Stauridium cladonema Du PLessis 1888 p. 536. 
Cladonema radiatum Lo Bianco 1888 p. 387. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 22, 23. 


Gen. Clava Gmelin 1788. 


Voir : Matériaux I, p. 435; IT, p. 58; IIL, p. 263 et IV, p. 273. 


Clava diffusa Allman. 
Voir : Matériaux IIL, p. 263 et IV, p. 273. 


Clava diffusa PENNINGTON 1885 p. 37. 


Clava leptostyla XL. Agassiz. 


Voir : Matériaux IIL, p. 264 et IV, p. 273. 


Clava leptostyla PILLSBURY 1882 p. 181, pl. 
» » PENNINGTON 1885 p. 37. 
» » Mezzy, HIcks a. 
HERDMAN 1886 p. 97. 
» » CLARKE 1888 p. 79, fig. 70. 


Clava multicornis (Forskàl). 


Voir : Matériaux I, p. 435; IL, p. 58; III, p. 264 et IV, p. 274. 


Clava multicornis BYERLEY 1854 p. 103. 
» » DANIELSSEN 1861 p. 46. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 7. 
» » STORM 1882 p. 5, 28-30. 
» » CARUS 1884 p. 1, ex. syn. pp. 
» » PENNINGTON 1885 p. 36, pl. 2, fig. 1. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 8. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » KÜKENTHAL U. 


Werssexsorx 1886 p. 778. 


1 
= 


78 


Clava multicornis 


Clava nodosa 


» » 


Clava simplex 
» » 


» » 


M. BEDOT 


MELzzy, Hicxs a. 
HERDMAN 


BÉTENCOURT 
BÉTENCOURT 
Du PLessis 
SEGERSTEDT 
BOURNE 


1886 p. 
1887 p. 
1888 p. 
1888 p. 
1889 p. 


STE 
66. 
204. 
30. 
22. 


1890 (b) p. 391. 


Clava nodosa Wright. 


Voir : Matériaux IIL, p. 265 et IV, p. 274. 


LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 7. 


PENNINGTON 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


1885 p. 


37. 


Clava simplex Lendenfeld. 


1885 (a) p. 349, 621. 


1883 (d) 


p. 627. 


1887 (c) p. 16. 


Clava squamata (Müller). 


Voir : Matériaux [, p. 435; IT, p. 59; III, p. 265 et IV, p. 274. 


Coryne squamata 
Clava squamata 


Clava cornea 


» ) 


Clava squamata 


LEUCKART 


LESLIE a. HERDMAN 


LENZ 
STORM 
WEISMANN 
BALE 
GRÆFFE 
PENNINGTON 
THALLWITZ 


_DALLA TORRE 


SEGERSTEDT 


- BOURNE 


MARKTANNER 


_ MARKTANNER 


1847 (c) p. 87. 


1881 p. 


1882 p. 
1882 p. 
1883 
1884 


1885 
1885 


1889 p. 


1889 p. 


P 
P 
1884 D. 
P 
P 


2e 
177. 
>, 29. 


. 21, 215, pl. 5, fig. 4-12. 
UT 


347. 


37: Dl2,0S: 2: 
. 389, 412, pl. 13, fig. 


21-99. 
96. 
6, 23. 


1890 (b) p. 391. 


1890 p. 
1890 p. 


+99 
199 


| 
À 
1 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 79 


Gen. Clavopsis Græffe 1883. 


Pour STECHOW (1913) ce genre est synonyme de Diplura. 


Clavopsis adriatica Græfte. 


Clavopsis adriatica GRÆFFE 1883 (a) p. 82ss., pl. (sans n°). 


Gen. Clavula Wright 1859. 
Voir : Matériaux III, p. 267. 
Ce genre, qui avait été supprimé, à été rétabli. 
Voir la note au genre Turris. 


Clavula neglecta (Lesson). 
Syn. : Turris neglecta Lesson. 
Voir : Matériaux I, p. 488; II, p. 152; IIL, p. 403 et IV, p. 387. 
Syn.: Turritopsis polynema Hæckel. 
Voir : Matériaux IT, p. 443 et IV, p. 435. 


Turris neglecta LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 7. 
» » WEISMANN 1883 p. 26. 
» » PENNINGTON 1885 p. 39, pl. 2, fig. 3. 
Oceania polycirrha BROOKS 1886 p. 387. 
Turris neglecta CLUBB 1886 p. 115. 
Oceania globulosa M’INTosH 1889 p. 289, 293. 
» » M’Ixrosx 1890 (b) p. 297. 


HarrLauB (1911) réunit cette espèce à Turritopsis nutricula et à Dendroclava 
dohrni, sous le nom de Turritopsis polycirrha. 


Gen. Clytia Lamouroux 1812. 
Voir : Matériaux I, p. 436 ; II, p. 60; IIL, p. 267 et IV, p. 275. 


2 Clytia elongata Marktanner. 


? Clytia elongata MARKTANNER 1890 p. 215, pl. 3, fig. 11. 


s0 M. BEDOT 


Clytia eucopophora Hæckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 275. 
Méduse : Eucopium primordiale. 
Clytia eucopophora WEISMANN 1883 p. 158. 


HæckeL (1879) à donné le nom de Clylia eucopophora au Polype qui produit 
la Méduse Eucopium primordiale. Mais il ne l’a pas décrit et s’est borné à dire 
qu’il ressemblait beaucoup à Clytia johnstoni. 


Clytia flavidula Metschnikoff. 


Clytia flavidula METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241-243, 257, 260, 
pl. 22, fig. 9-10, 15. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20... 86; pl. 2, fig. 


1-12, 21-23, 25-36, 
pl. 3, fig. 1-8. 


Clytia intermedia L. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 268 et IV, p. 275. 


Clytia johnstoni (Alder). 


Voir : Matériaux IT, p. 60; II, p. 268 et IV, p. 275. 


Epenthesis bicophora CLAUS 1881 (c) p. 117. 
Clytia johnstoni . Du PLESssis 1881 (a) p. 147. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12. 
» » SCHMIDTLEIN 1881 p. 171. 
Clytia bicophora BROOKS 1882 p. 139. 
Clytia johnstoni STORM 1882 p. 3, 12, 28, 29. 
» » VARENNE 1882 (b) p. 697. 
Clythia johnstoni CLAUS 1883 p. 87. 
Clytia johnstoni WEISMANN 1883 p. 158, 159, 220. 
Eucope affinis CARUS 1884 p. 28. 
Eucope campanulata CARUS 1884 p. 28. 
Clythia johnstoni GRÆFFE 1884 p. 356. 


Clytia johnstoni KLAATSCH 1884 p. 540, 565, 575. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. S1 


? Clytia pohnstoni var. KLAATSCH 1884 p. 540 ss., pl. 25-27. 
Clytia johnstont PIEPER 1884 p. 152. 
» » REES 1884 p. 577, >89. 
» » PENNINGTON 1885 p. 79, pl. 4, fig. 2. 
» » VERRILL 1885 (a) p. 537. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
Clytia volubilis LORENZ 1886 p. 28. 
Clytia johnstoni MELLY, HICKs a. 
HERDMAN 1886 p. 191. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 242. 
» » Nicaos a. Happon 1886 p. 615. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 204, 207. 
» » Lo BIANCO 1888 p. 387. 
» » M’INrosH 1889 p. 268. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 11, 25. 
» » BourNE 1890 (b) p. 394. 
» » M'Ixrosa 1890 (b) p. 303. 
» » MARKTANNER 1890 p. 205. 
Clytia volubilis MARKTANNER 1890 p. 215. 
Clytia volubilis var. MARKTANNER 1890 p. 216, pl. 3, fig. 42: 


Clytia lævis W eismann. 


Clytia lævis WEISMANN 1883 p. 158, 159, 220. 


Clytia noliformis (Mac Crady). 


Voir : Matériaux IIT, p. 270 et IV, p. 276. 


Campanularia noliformis Brooks 1882 p. 136, 138. 
Platypyæis cylindrica Brooks 1882 p. 138, 139. 


Clytia viridicans Metschnikoff. 


Clytia viridicans Merscanikorr 1886 (a) p. 241-243, 257, 260, 
pl. 29, fig. 11-13, 16. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20.....85, pl. 2, fig. 


k 43-20, 24, pL. 3, fig. 9. 
À Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 6 


82 M. BEDOT 


Gen. Cordylophora Allman 1844. 


Voir : Matériaux IL, p. 62; IIT, p. 271 et IV, p. 277. 


Cordylophora lacustris Allman. 


Voir: Matériaux IL, p. 62; III, p. 271 et IV, p. 277. 


Cordylophora lacustris  WEISMANN 1881 (c) p. 26. 

» » LENZ 1882 p: 171 477: 

» » JICKELI 1883 p. 601. 

» » WEISMANN 1883 p. 2, 29, 215, fig. 5-6, pl. 
15, fig. 6-7, pl. 16, fig. 3. 

» » MARTENS 1883 p. 198. 

» » BRAUN 1884 p. 90, 106, 114, 417, 119. 

» » KRÆPELIN 1884 p. 319. 

» » PENNINGTON 1885 p. 40, pl. 2, fig. 4. 

» » Porrs 1885 p. 218, 219. 

» » KRÆPELIN 1886 p. 6, 8. 

» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 69. 

» » NusSBAUM 1887 (c) p. 282. 

» » ALLMAN 1888 p. L. 

» » CLARKE 1888 p. 78. fig. 69. 

» » ZACHARIAS 1888 p. 22z. 

» » DRIESCH 1890 (b) p. 678. 

» » MARKTANNER 1890 p. 199. 

» » WAGNER 1890 p. 281. 


Cordylophora whiteleggei Lendenfeld. 


Cordylophora whiteleggei LENDENFELD 1886 (b) p. 97, 98, pl. 6, fig. 
11-12. 
Cordylophora whitelegqii  MARKTANNER 1890 p. 199. 


Cette espèce est très probablement synonyme de C. lacustris, comme le 
pense SrecHow (1919). 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 99 


Gen. Corydendrium van Beneden 1844. 


Voir : Matériaux I, p. 437 ; Il, p. 62; III, p. 272 et IV, p. 278. 


Corydendrium parasiticum (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. #37; II, p. 62; III, p. 272 et IV, p. 278. 


Corydendrium parasi- 


ticum Du PLESSIS 1881 (a) p. 146. 
» » HAMANN 1882 (a) p. 524, pl. 20, fig. 8, 
pl. 21, fig. 18-19. 
) ) MÉREJKOWSK Y 1883 (a) p. 82. 
» » WEISMANN 1883 p. 34, 215, 252, 261, 289, 


ps 


fig. 7, pl. 14, 15, fig. 
1-5, pl. 16, fig. 1, 2, 4. 


» ) CARUS 1884 p. 1. 

» » THALLWITZ 1885 p. 434. 

» » Du PLESsIs 1888 p. 530. 

» » Lo BraNco 1888 p. 387. 

» » LOMAN 1889 p. 263, 264, fig. 2. 

» » DRIESCH 1890 (b) p. 678-680, fig. 6. 
» » ISCHIKA WA 1890 p. 456, pl. 20, fig. 71. 
» » MARKTANNER 1890 p. 200. 


Gen. Corymorpha Sars 1835. 


Voir : Matériaux IL, p. 63; II, p. 273 et IV, p. 278. 


Corymorpha antarctica Pfefter. 


Corymorpha antarctica  PFRFFER 1889 p. 53. 
» » PFEFFER 1890 p. 518, 567. 


Corymorpha nutans Sars. 
Voir : Matériaux IL, p. 63; IL, p. 273 et IV, p. 278. 


Corymorpha nutans Du PLESsIs 1881 (a) p. 147. 
» » LESLIE a. HERDMANX 1881 p. 11. 


84 M. BEDOU 


Corymorpha nutans WEISMANN 1881 (b) p. 10. 

» » WEISMANN 1883 p. 129. 

» » PENNINGTON 1885 p. 77, pl. 4, fig. 4. 

» » HADDON 1886 (a) p. 524, 525. 

» » MELcy, HIcks a. 

HERDMAN 1886 p. 101. 

Steenstrupia galanthus  DaLLa TORRE 1889 p. 95. 
Steenstrupia flaveola FEWKES 1889 (b) p. 109. 
Steenstrupia rubra FEWKES 1889 (b) p. 109. 
Corymorpha nutans LOMAx 1889 p. 269, 270. 

» » BOURNE 1890 (b) p. 394. 


Gen. Coryne Gærtner 1774. 


Voir : Matériaux I, p. L37; Il, p. 63; III, p. 274 et IV, p. 278. 


Coryne cæspes Allman. 
Voir : Matériaux IIL, p. 274 et IV, p. 279. 
Coryne cæspes CARUS 1884 p. 2. 


Coryne cerberus Gosse. 
Voir : Matériaux IIL, p. 274 et IV, p. 279. 


Slauridia cerberus Du PLESsIs 1888 p. 537. 


Coryne conferta Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 279. 
Coryne conferta PFEFFER 1890 p. 567. 


Coryne vel Syncoryne cylindrica Kirkpatrick. 


Coryne vel Syncoryne 
cylindrica  KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 605, pl. 14, 
| fig: 4. 


Coryne fruticosa Hincks. 
Voir : Matériaux IIT, p. 275 et IV, p. 279. 


Coryne fruticosa PENNINGTON 1885 p. 48. 
» » BERGH RA8S7 p:t338: 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 99 


Coryne fruticosa BÉTENCOURT 1888 p. 202. 
) » BOURNE 1890 (b) p. 392. 
» » MARKTANNER 1890 p. 200. 


Coryne fucicola (Filippi). 


Voir : Matériaux IIT, p. 275 et IV, p. 279. 


Halobothrys fucicola CARUS 1884 p. 2. 

Coryne vermicularis PENNINGTON 1885 p. 48. 
» » . BÉTENCOURT 1888 p. 202. 

Coryne fucicola Du PLEssIs 1888 p. 533. 


Coryne muscoides (Linné). 


Voir : Matériaux I, p. 438; Il, p. 63; IT, p. 275 et IV, p. 279. 


Coryne vaginata WEISMANN 1883 p. 49. 
» » PENNINGTON 1885 p. A7. 

oh » HADDON 1886 (a) p. 524. 
» » Du PLESSIS 1888 p. 533. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 392. 


Coryne nutans Allman. 
g Voir : Matériaux III, p. 276 et IV, p. 279. 


? Coryne nutans PENNINGTON 1885 p. 49. 


Coryne pusilla Gærtner. 
Voir : Matériaux I, p. 438; Il,/p. 64; II, p. 276 et IV, p. 279. 


Coryne pusilla BYERLEY 1854 p. 103. 

» » LEsLie a. HERDMAN 1881 p. 8. 

» » WEISMANN 1881 (a) p. 61. 

» » STORM 1882 p. 6, 7, 28-30. 

» » JICKELI 1883 p. 611. 

» » LENDENFELD 1883 (e) p. 540. 

Ds, » WEISMANN 1883 p. 49, 216, pl. 13, fig. 1, 
9, 4, 9-11, 13-14, 16. 
€ » » CARUS 1884 p. 2. 
! » » PENNINGTON 1885 p. 46, pl. 3, fig. 2. 


» » HaDDoN 1886 (a) p. 24. 


86 M. BEDOT 


Coryne pusilla HERDMAN 1886 (a) p. 8. 
» » Meccy, HIcks à. 
HERDMAN 1886 p. 98. 
» » THOMPSON 1886 p. 317. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 
» » Du Pcessis 1888 p. 533. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 392. 


Coryne pusilla var. napolitana. 
Goryne pusilla 
var. napolitana  WEISMANN 1883 p. 49, pl. 13, fig. 3, 5-8, 
12:19, M7EUS 


Gen. Corynitis Mac Crady 1859. 


Voir : Matériaux III, p. 278 et IV, p. 280. 


Corynitis agassizi Mac Crady. 
Voir : Matériaux IIL, p. 278 et IV, p. 280. 


Corynitis agassizi BROOKS 1882 p. 136. 


Gen. Corynopsis Allman 1864. 


Voir : Matériaux III, p. 279 et IV, p. 280. 


Corynopsis alderi (Hodge). 
Voir : Matériaux III, p. 279 et IV, p. 280. 


Corynopsis alderi PENNINGTON 1885 p. 44. 


Gen. Cryptolaria Busk 1857. 
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 280. 


Cryptolaria abies Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 281. 


Cryptlolaria abies FEWKES 1881 (a) p. 127, 128, 130, pl. 4, 
fig. 3, 8. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 
Cryptolaria abyssicola Allman. 
1888 p. LVII,, LXIV, LX VIII, 


ALLMAN 
31. 38, 40, 42, pl. 18, 


Cryptolaria abyssicola 
fig. 2,2 a. 
Cryptolaria conferta Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 281. 
1881 (a) p. 128-130. 


Cryptolaria conferta FEWKES 
» » QUELCH 1885 (a) p. 1, 3, pl. 2, fig. 1. 
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 136, fig. 434, 435. 


Cryptolaria crassicaulis Allman. 
1888 p. LVII, LXVII, LXVI, 
L1, pl. 19, fig. 3, 3 a. 


1889 p. 198. 


Cryptolaria crassicaulis  ALLMAN 


» DRIESCH 


Cryptolaria diffusa Allman. 
1888 p. LVIT, LXIIT, LX VII, 38, 


ALLMAN 
&S pl 21 62h re 


Cryptolaria diffusa 
Cryptolaria elegans Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 281. 


Cryptolaria exserta Johnston. 


Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281. 


Cryptoluria flabellum Allman. 


Cryptolaria flabellum ALLMAN 1888 p. LVIT, LXIT, LXVIEL. 40, 
pl. 19; fie. a. 


Cryptolaria geniculata Allman. 

1888 p. LVII, LXV, LXVIIL, 38, 
41, pl. 20, fig. 1,1 4, 1 6. 

1889 p. 198. 


Cryptolaria geniculata  ALLMAN 


» DRIEsCH 


88 M. BEDOT 


Cryptolaria gracilis Allman. 
Cryptoluria gracilis ALLMAN 1888 p. LVII, LXV, LX VIII, 42, 
pl. 20, fig. 2, 2 a. 
Cryptolaria humilis Allman. 
Cryptolaria humilis ALLMAN 1888 p. LVII, LXII, LXVIIL, 39, 
pl. 18, fig. 1-1 b. 
Cryptolaria longitheca Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 281. 
Cryptolaria longitheca  FEWKkEs 1881 (a) p. 128. 


Cryptolaria prima Busk. 
Voir : Matériaux II, p. 280 et IV, p. 281. 


Cryptolaria prima KIRCHENPAUER 1884 p. 16. 
» » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 13. 


Cryptolaria pulchella Allman. 


Cryptolaria pulchella ALLMAN 1888 p. LVII, LXVII, LXVII, 
40, pl. 49,0. 22240 
» » DRIESCH 1889 p. 198. 


Gen. Cuspidella Hincks 1866. 
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281. 


Cuspidella costata Hincks. 
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281. 


Cuspidella costata PENNINGTON 1885 p. 99. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 395. 


Cuspidella grandis Hincks. 
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 282. 


Cuspidella grandis PENNINGTON 1885 p. 99. 
» » VERRILL 1885 (a) p. 537. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 09 


Cuspidella grandis METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 


Cuspidella humilis Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 282. 


Cuspidella humilis CARUS 1884 p. 10. 

» » PIEPER 1884 p. 165. 

» » PENNINGTON 1885 p. 99. 

» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. 
Calycella humilis HALLEZ 1889 p. 40. 


Cuspidella pedunculata Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 282. 
Gen. Dehitella Gray 1868. 
Voir : Matériaux IIL, p. 280 et IV, p. 282. 


Dehitella atrorubens Gray. 


Voir : Matériaux IIE, p. 281 et IV, p. 282. 


Dehitella atrorubens BALE 1884 p. 48, 49. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 612, 631. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 667. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 45. 


Gen. Dendroclava Weismann 1883. 


Voir la note à : Clavula neglecta. 


Dendroclava dohrni Weismann. 


Dendroclava dohrni WEISMANN 1883 p. 26, 245, pl. 12, fig. 6-9. 
» » Brooks 1886 p. 389, 391. 
» » Du PLessis 1888 p. 531. 


90 M. BEDOT 


Gen. Desmoscyphus Allman 1876. 


Voir : Matériaux IV, p. 282. 


Desmoscyphus acanthocarpus Alman. 


Desmoscyphus acantho- 
CATPUS  ALLMAN 1888 p. LXIII, LXIX, 73, pl. 53, 
fig. 2-2c. 


Desmoscyphus buski Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 282. 


Desmoscyphus buskri BaLx 1887 p. 103. 


Desmoscyphus humilis Armstrong. 


Voir : Matériaux IV, p. 283. 


Desmoscyphus longitheca Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 283. 
Desmoscyphus longitheca Barr 1884 p. 101. 


Desmoscyphus pectinatus Allman. 


Desmoscyphus pectinatus  ALLMAN 1888 p. LIX, LXIIT, LXV, LXIX, 
70, 71, pl. 34, fig. 1-1 b. 


Gen. Dicoryne Allman 1859. 


Voir : Matériaux III, p. 281 et EV, p. 283. 


Dicoryne annulata Lendenfeld. 


Dicoryne annulata LENDENFELD 1885 (a) p. 491, 628, pl. 17, 
tig. 30. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 648. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 31. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 91 


Dicoryne conferta Alder. 
Voir : Matériaux III, p. 281 et IV, p. 283. 


Dicoryne conferta LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. 
» » PENNINGTON 1885 p. 68. 
» » HOYLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. 


Dicoryne flexuosa G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 283. 


Dicoryne flexuosa VERRILL 1885 (a) p. 536. 


Gen. Dictyocladium Allman 1888. 


Dictyocladium dichotomum Allman. 


Dictyocladium dicho- 
lomum  ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 29, 76, 
77, pl. 36, fig. 2-2 a. 


Biccaro (1910) fait rentrer cette espèce dans le genre Selaginopsis. 


Gen. Diphasia L. Agassiz 1862. 


Voir : Matériaux 1, p. 439; II, p. 66; II, p. 281 et IV, p. 283. 


Diphasia alata Hincks. 
Voir : Matériaux III, p. 282 et IV, p. 285. 


Diphasia alata PENNINGTON 1885 p. 112. 

Thuiaria pharmacopola  ALTMAN 1888 p. LVIIL, LXIT, LXIX, 66, 
pl. 31, fig. 1-1 d. 

Phujaria pharmacopola  Diasscu 1889 p. 213. 

Diphasia alata MARKTANNER 1890 p. 237. 


Diphasia attenuata Hincks. 
Voir : Matériaux 1, p. 439; IL, p. 66; IIT, p. 282 et IV, p. 284. 


Diphasia attenuata LESLIE a. HerpMAN 1881 p. 15. 
» » BALE 1882 p. 19. 


92 M. BEDOT 


Diphasia altenuata BALE 1884 p. 31, 100, pl. 9, fig. 2. 
» » CaARUS 1884 p. 12. 
» » GRÆFFE 1884 p. 356. 
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 17. 
? Dynamena atlenuata  PIEPER 1884 p. 186. 
Diphasia attenuata LENDENFELD 1885 (a) p. 415, 623. 
» » LENDENFELD 18835 (d) p. 633. 
» » PENNINGTON 1885 p. 109. 
» » HADDox 1886 (a) p. 525. 
» » MEezcy, HICks a. 
HERDMAN 1886 p. 109. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 210. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » HoyLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 18, 26. 


Diphasia bipinnatä Allman. 


Diphasia bipinnata ALLMAN 1886 p. 136, pl. 12, fig. 1-2. 


Diphasia corniculata (Murray). 


Voir : Matériaux III, p. 282 et IV, p. 284. 


Diphasia coronifera Allman. 
Voir ; Matériaux III, p. 282 et IV, p. 284. 


Diphasia coronifera Quer.cx 1885 (a) p. à. 


Diphasia digitalis (Busk). 
Syn.: Sertularia digitalis Busk. 
Voir : Matériaux IN, p. 368 et IV, p. 363. 


Diphasia digitalis BALE 1884 p. 98, 101, pl. 9, fig. 3-5. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 415, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 633. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 


» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 93 


Diphasia elegans G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 284. 
Diphasia elegans QueLcH 1885 (a) p. à. 
» » MARKTANNER 1890 p. 251. 


Diphasia fallax (Johnston). 
Voir : Matériaux IT, p. 113; III, p. 282 et IV, p. 284. 


Sertularia fallax DANIELSSEN 1861 p. 47. 
Diphasia fallax LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15. 
» » STORM 1882 p. 10, 14, 20, 24. 
? Dynamena pinnata BALE 188% p. 73. 
Diphasia fallax KIRCHENPAUER 1884 p. 17. 
» » PENNINGTON 1885 p. 110. 
» » MELLY, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 109. 
» » HoyLe 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 17, 26. 
» » MARKTANNER 1890 p. 237. 
Diphasia mutulata (Busk). 
Syn. : Sertularia mutulata Busk. 
Voir : Matériaux IIT, p. 372 et IV, p. 365. 
Diphasia mutulata BALE 1884 p. 98, 101, pl. 9, fig. 6-9. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 416, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 633. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 
» » MARKTANNER 1890 p. 237. 


Diphasia pinaster (Ellis et Solander). 
Voir : Matériaux I, p. 442; II, p. 69; IT, p. 283 et IV, p. 285. 


Sertularia margarila BYERLEY 1854 p. 104. 
Diphasia pinaster CARUS 1884 p. 12. 
» » PENNINGTON 1885 p. 110. 
» » Quezca 1885 (a) p. 1, 5. 
» » Mezcy, Hicks a. 


HERDMAN 1886 p. 109. 


94% 


Diphasia pinaster 


M. BEDOT 


ALLMAN 


DRIESCH 
HoYLE 

BOURNE 
BOURNE 


1888 p. LVI, LVII, LXIL, LXIX, 
63, pl. 30, fig. 2-2 c. 

1889 p. 213. 

1589 p. 460. 

1890 (a) p. 319. 

1890 (b) p. 396. 


Diphasia pinaster var. arcuata. 


Diphasia pinaster 


var. 


arcuata 


QUELCH 


1885 (a) p. à. 


Diphasia pinnata (Pallas). 
Voir : Matériaux I, p. 472; IX, p. 115; IIL, p. 284 et IV. p. 285... 


Diphasia pinnata 


31, 98, pl. 9, fig. 4. 


81. 


1885 (a) p. 415, 623. 


1885 p. 111, pl. 6, fig. 3. 


BALE 1882 p. 19. 
BALE 1884 p. 

CARUS 1884 p. 13. 
REES 1884 p. 
LENDENFELD 

LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 
PENNINGTON 

LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 
HALLEZ 1889 p. 40. 


Diphasia rosacea (Linné). 


Voir : Matériaux I, p. 444 ; IT, p. 74; III, p. 285 et IV, p. 285. 


Sertularia rosacea 


Diphasia rosacea 


» 


» 


Dynamena rosacea 


Diphasia rosacea 


BYERLEY 1854 
LESLIE a. HERDMANX 1881 
BALE 1884 
BALE 1884 
PENNINGTON 1885 
HERDMAN 
MELcy. Hicks a. 
HERDMAN 1886 
BÉTENCOURT 1887 
BÉTENCOURT 1888 
DRIESCH 1889 
SEGERSTEDT 1889 
MARKTANNER 1890 


Etes Or Er D © 


. 104. 


15: 


1400; 107: 


73. 


. 109. 
1886 (b) p. 330. 


. 108. 


67. 


Ca10,) 2144; 


213. 


48:26: 


238. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 95 


Diphasia scalariformis Kirkpatrick. 


Diphasia scalariformis  KiRKPATRICK 1890 (a) p. 60%, 605, 609, pl. 


15, fig. 3. 
Diphasia subcarinata (Busk). 
Syn. : Sertularia subcarinata Busk. 


Voir : Matériaux III, p. 377 et IV, p. 368. 


Diphasia sub-carinata BALE 1882 p. 45. 
Sertularia sub-carinata BALE 1882 p. 18. 
Diphasia sub-carinata BALE 1884 p. 98, 102, pl. &, fig. 1, 
pl. 19, fig. 18. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 416, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 633. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Diphasia tamarisca (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 476; IL, p. 116; II, p. 286 et IV, p. 285. 


Sertularia lamarisca BYERLEY 1854 p. 104. 
Diphasia tamarisca LesLie a. HERDMANX 1881 p. 15. 
» » STORM 1882 p:39;, 21, 27. 
» » CARUS 1884 p. 13. 
» » PENNINGTON 1885 p. 111, pl. 6, fig. 2. 
» » MELLY, Hicxs a. 
» » HerpMaAN 1886 p. 109. 
» » DRiIEsCH 1889 p. 213. 
» » HOyYLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 17, 26. 


Gen. Diplocheilus Allman 1855. 


Voir la note au genre Kirchenpaueria. 


Diplocheilus mirabilis Allman. 


1883 p. 49, pl. 8, fig. 4-7. 
1885 (a) p. 48, 627. 


ALLMAN 
LENDENFELD 


Diplocheilus mirabilis 


» » 


96 M. BEDOT 


Diplocheilus mirabilis LENDENFELD 1885 (d) p. 644. 
» » BALE 1887 p. 91. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. 
» » BALE 1888 p. 775, 776. 


Diplocheilus productus (Bale). 


Plumularia producta BALE 1882 p. 39, 46, pl. 15, fig. 1. 

» ) BALE 1884 p. 133, pl. 10, fig. 4. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 

» » BALE 1887 P. 76, 96. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 
Azygoplon productum BALE 1888 p. 774, 783, pl. 19, fig. 1-5. 
Plumularia producta BALE 1888 p. 773. 


Gen. Diplocyathus Allman 1888. 


Diplocyathus dichotomus Allman. 


Diplocyathus dichotomus  ALLMAN 1888 p. LXV, LX VIII, 17, pl. 8, 
fig. 1-3. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Gen. Diplura Greene-Allman 1864. 
Voir : Matériaux II, p. 66; IIT, p. 287 et IV, p. 286. 


Diplura fritillaria (Steenstrup). 
Voir : Matériaux Il, p. 66; III, p. 288 et IV, p. 286. 
Amphicodon fritillaria  DarLA Torre . 1889 p. 95. 


Gen. Dynamena Lamouroux 1812. 
Voir : Matériaux I, p. 439 ; IL, p. 66; IIL, p. 288 et IV, p. 286. 


Dynamena bilateralis Brooks. 


Dynamena bilatteralis Brooks 1882 p. 136, 142. 
Dinamena bilateralis BROOKS 1884 p. 711. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 97 


Dynamena lucernaria Kirchenpauer. 


Voir: Matériaux II, p. 289 et IV, p. 286. 


Dynamena pluridentata Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux III, p. 290 et IV, p. 286. 


Dynamena serra sec. Heller. 


Voir : Matériaux [IT, p. 290 et IV, p. 287. 


 Dynamena serra PIEPER 188% p. 186, 187. 


Dynamena tubuliformis Marktanner. 


Dynamena tubiformis MARKTANNER 1890 p. 234. 
Dynamena tubuliformis  MaAukTANNER 1890 p. 238, pl. 4, fig. 10. 


Gen. Ectopleura L. Agassiz 1862. 
Voir : Matériaux II, p. 292 et IV, p. 287. 


Ectopleura dumortieri (van Beneden). 


Voir : Matériaux IE, p. 126; III, p. 292 et IV, p. 287. 


Ectopleura dumortieri  FEWKES 1882 (b) p. 296. 
» » GRÆFFE 1884 p. 394. 
» » PENNINGTON 1885 p. 76. 
» » MEeLzzy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 101. 
» » DaALLA TORRE 1889 p. 95. 


Gen. Eleutheria Quatrefages 1842. 


Voir : Matériaux IV, p. 287. 


Eleutheria dichotoma Quatrefages. 
Voir : Matériaux IL, p. 133; IL, p. 413 et IV, p. 287. 


Clavatella prolifera Du PLESSIS 1881 (a) p. 145. 

Eleutheria dichotoma Du P£Lessis 1881 (a) p. 146. 

» » Du PLESsIs 1881 (b) p. 179. 
Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 7 


98 


Clavatella prolifera 
Eleutheria dichotoma 
» » 


Clavatella prolifera 


Eleutheria 

Clavatella prolifera 
) » 

Eleutheria dichotoma 


» ) 


M. BEDOT 


WEISMANN 
CARUS 
GRÆFFE 
PIEPER 
PENNINGTON 
HARTLAUB 
HARTLAUB 
HARTLAUB 
Du PLESSIs 
Du PLEssis 
HARTLAUB 


1883 p. 298. 
1884 p. 26. 
1884 p. 353. 
1884 p. 149. 
1885 p. 57. 
1886 p. 707. 
1886 p. 706. 
1887 p 
1888 p 

1888 p. 536, 537. 
1889 p 


Gen. Eucopella Lendenfeld 1883. 


Eucopella campanularia Lendenfeld. 


Eucopella campanularia  LENDENFELD 


» » 
» » 
» » 
» ) 


Eucopella campanula 


Eucopella campanularia 


LENDENFELD 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 


MARKTANNER 
WAGNER 


1883 (c) p. 188. 


1883 (e) p. 497 ss., pl. 27-32. 


1884 p. 60. 


1885 (a) p. 352, 608, 630. 


1885 (d) p. 658. 
1887 (a) p. 38. 


1888 p. 748, 751, pl. 13, fig. 


9-13. 
1890 p. 211. 
1890 p. 300. 


Gen. Eudendrium Ehrenberg 1834. 


Voir : Matériaux I, p. 445; IT, p. 74; III, p. 293 et IV, p. 288. 


Eudendrium annulatum Norman. 
Voir : Matériaux III, p. 293 et IV, p. 288. 


Eudendrium annulatum LENDENFELD 


» » 
» » 
» ) 
D) ) 
» )) 


PENNINGTON 
QueLca 
LORENZ 
SEGERSTEDT 
MARKTANNER 


1885 (a) p. 351, 353. 
1885 p. 61. 

1885 (a) p. 2. 

1886 p. 25. 

1889 p. 8, 21. 

1890 p. 200. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. = V. 99 


Eudendrium arbuscula Wright. 
Voir : Matériaux LI, p. 293 et IV, p. 288. 


Eudendrium arbuscula  Lestie a. HerpMAN 1881 p. 9. 


» » STORM 1882 p. 3, 9, 28, 29. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 391, 353. 
» » PENNINGTON 1585 p. 61. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 9, 24. 

» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 608. 


Eudendrium armatum Tichomiroff. 


Eudendrium armatum TICHOMIROFF 1890 p. 276, 277, 298-300. 
» » WAGNER 1890 p. 276, 277, 298-300. 


Eudendrium attenuatum Allman. 
Voir : Matériaux [V, p. 288. 


Cette espèce doit être supprimée, sa description étant trop incomplète pour 
qu'il soit possible de la reconnaître. 


Eudendrium capillare Alder. 
Voir : Matériaux IIT, p. 293 et IV, p. 288. 
Syn.: Eudendrium tenue À. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 297 et IV, p. 291. 


Eudendrium capillare  Lestie a. HERDMAN 1881 p. 9. 


» » WEISMANN 1881 (a) p. 114. 

» » WEISMANN 1881 (bp, 2207 AU Dit 

fer. 

» » STORM 1882 p. 8, 28. 

» ) WEISMANN 1883 p. 5, 6, 91, 109, 218, pl. 

1-2. 

» » CARUS 1884 p. à. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. 
Eudendrium tenue LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. 
Eudendrium capillare  PENNINGTON 1885 p. 62. 

» » THALLWITZ 1885 p. 390, 430. 


» » HaAppox 1886 (a) p. 224. 


100 M. BEDOT 


Eudendrium capillare  HEeRDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » MeLcy, Hicks à. 
HERDMAN 1886 p. 98. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 68. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 
» Ù BÉTENCOURT 1888 p. 203. 
» » Du PLESssIS 1888 p. 539. 
) » Lo Biaxco 1888 p. 388. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
) » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 24. 
» » BocRNE 1890 (b) p. 393. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 608. 
» » WAGNER 1890 p. 286, 298. 


Eudendrium carneum Clarke. 
Eudendrium carneum CLARKE 1882p..195, 137 DL 
10-17. 
Eudendrium cochleatum Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 289. 


Cette espèce indéterminable doit être supprimée. 


Eudendrium dispar L. Agassiz. 
Voir : Matériaux II, p. 294 et IV, p. 289. 


Eudendrium dispar LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. 
» » CLARKE 1888 p. 79, fig. 71 et pl. sans n°, 
p. 86, fig. 4. 


Eudendrium distichum Clarke. 


Voir : Matériaux IV, p. 289. 


Eudendrium exiguum Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 289. 


Cette espèce indéterminable doit être supprimée. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 101 


Eudendrium eximium Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 289. 


Eudendrium fruticosum Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 289. 


Eudendrium generale Lendenfeld. 


Eudendrium generale LENDENFELD 1885 (a) p. 621. 
Eudendrium generalis  LENDENFELD 1885 (a) p. 351, pl. 6, fig. 1-2. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 628. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 16. 
» » K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604, 607, pl. 15, 
e fig. 1-2. 


Eudendrium gracile Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 289. 


Cette espèce indéterminable doit être supprimée. 


Eudendrium infundibuliforme Kirkpatrick. 


Eudendrium infundi- 
buliforme  KirkpATRICK 1890 (a) p. 604-606, pl. 14, 
fig. 3. 


Eudendrium insigne Hincks. 
Voir : Matériaux IIL, p. 294 et IV, p. 289. 


Eudendrium simplex CaRUs 1884 D. 5. 
Eudendrium humile GRÆFFE 1884 p. 349. 
Eudendrium simplex PIEPER 1884 p. 150. 
Eudendrium insigne LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. 

» » PENNINGTON 1885 p. 62. 

» » LORENZ 1886 p. 25, 26. 

» » MARKTANNER 1890 p. 200. 
Eudendrium simplex MARKTANNER 1890 p. 200. 


Eudendrium laxum Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 289. 


M. BEDOT 


Eudendrium minimum Mereschkowsky. 


Voir : Matériaux IV, p. 290. 


Eudendrium novæ-zelandiæ Marktanner. 


Eudendrium novæ- 


celandiæ  MARKTANNER 1890 p. 201, pl. 3, fig. 24. 


Eudendrium pusillum Lendenfeld. 


Eudendrium pusillum LENDENFELD 1885 (a) p. 352, 590, 621. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 628. 
» » LENDENFELD 1887 {c) p. 16. 


Voir la note à Halecium pusillum. 


Eudendrium pygmæum Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 290. 


Eudendrium racemosum (Cavolini). 


Voir : Matériaux I, p. 446; UT, p. 74; IIE, p. 295 et IV, p. 290. 


Eudendrium racemosum  ScHMiDTLEIx fee MN 9 BE 
» » WEISMANN 1881 (a) p. 113, 114. 
» » WEISMANN 1881 (b) p. 1ss., pl. 1, fig. 1-6,8. 
» » WEISMANN 1881 (c) p. 35, pl. 10, fig. 20-25. 
» » HAMaANx 1882 (a) P. 522, pl. 20, fig. 6, 


pl. 21, fig. 6-10. 


» » WEISMANN 1883 p. 5-7, 19, 60, 92, 247, 
225,247-249,272,273, 
276, 282, fig. 4,9, pl.3, 
Let 5, fig. 1-2 

» » CARUS 1884 P. ER 

» » GRÆFFE 1884 p. 349. 

» » METSCHNIKOFF 1884 p. 145. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. 

» » KLAATSCH 1886 p. 645. 

» » ISHIKAW A 1887 p. 669 ss., figg. 


» » ALLMAN 1888 p. XXXIV. 


Eudendrium racemosum 


Voir : Matériaux 1, p. 446; TE, p. 75 ; 


Eudendrium rameum 


Voir : Matériaux I, p. 446; IL, p. 76; II, p. 296 et IV, p. 290. 


Eudendrium ramosum 


» 


» 


» 


D) 


HISTOIRE 


Du PLEssis 
Lo Bianco 
DRiEscH 
WAGNER 


BYERLEY 

LESLIE a. HERDMAN 

WEISMANN 

WEISMANN 

STORM 

CaARUS 

Môgius 

LENDENFELD 

PENNINGTON 

MEczy, Hicks a. 
HERDMAN 

BERGH 

THOMPSON 

ALLMAN 


KIRKPATRICK 
BOURNE 
BOURNE 
DRIESCH 
MARKTANNER 
PPEFFER 


LEUCKART 
BYERLEY 
DANTELSSEN 

LESLIE a. HERDMAN 
WEISMANN 
WEISMANN 


DES HYDROÏDES. 


1888 
1888 


1890 (b) p. 674, 677, 678. 
1890 p. 276, 286, 298-300. 


II, p.29 et IV, p. 290. 


1854 
1881 
1881 
1881 
1882 
1881 
1884 
1885 
1885 


1886 
1887 
1887 
1888 


1889 
1890 
1890 
1890 
1890 
1890 


1847 
1854 
1861 
1881 


1881 (a) p. 111, 113, 114. 


1881 


avi 


p. )38. 
p. 388. 


Eudendrium rameum (Pallas). 


p. 103. 

De 

(a) p. 114. 

(b) p. 10. 

D: 8:°17::28009. 
p. 4. 

p. 64. 

(a) p. 351, 353. 
p. 99. 


p.98, 
p.332. 
p. 389, 391. 


103 


p. LVI, LXIV, LXVIIL &, 


pl. 2, fig. 1-2. 
p. 446. 
(a) p. 308, 319. 
{b) p. 393. 
(b) p. 681. 
p. 201. 
p. 483. 967. 


Eudendrium ramosum (Linné). 


(c) p. 87. 
p. 103. 
p. 46. 

par 9 


(b) p. 3. 


104 M. BEDOT 


Eudendrium ramosum  WEISMANN 1881 (c) p. 21, 34, 36, pl. 7. 
» » BRooKks 1882 p. 136. 
» » HAMANN 1882 (a) p. 522, pl. 21, fig. 1-5. 
» ) STORM 1882 p. 3, 8. 
) ) JICKELt 1883 p. 376, pl. 16.0pl47 
fe: 4-14 
» ) MERKEJIKOWSKY 1883 (a) p. 82. 
» » WEISMANN 1883 p. 92, 97, 104, 246, 276. 
» » CARUS 1884 p. à. 
» » GRÆFFE 1884 p. 346, 348. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. 
» » PENNINGTON 1885 p. 60, pl. 3, fig. 5. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » LORENZ 1886 p. 25. 
» » MELcy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 98, 99. 
) » BERGH 1887 p. 332. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 
» » ALLMAN 1888 p. XVIII. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203. 
» » Du PLEssIs 1888 p. 238. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
) » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 24. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 393. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 677-679. 
» » MARKTANNER 1890 p. 201. 
» » SCHNEIDER 1890 p. 321, 366, 368, pl. 19, 
fig. 47. 
» » WAGNER 1890 p. 286. 


Eudendrium rigidum Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 291. 


Eudendrium tenellum Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 291. 


Eudendrium tenue À. Agassiz. 


Voir : Eudendrium capillare. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 105 


Eudendrium vaginatum Allman. 
Voir : Matériaux III, p. 297 et IV, p. 292. 
Eudendrium vaginalum  LENDENFELD 1885 (a) p. 301, 353. 


» » PENNINGTON 1885 p. 62. 


Eudendrium vestitum Allman. 


Eudendrium vestitum ALLMAN 1888 p. L, LXIV, LXVIIL, 3, 
pl. 4 gi 
» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Gen. Filellum Hincks 1868. 


Voir : Matériaux II, p. 77; III, p. 297 et IV, p. 292. 


Filellum bouvieri Jullien. 


Filellum bouvieri JULLIEN 1880 p. 291, fig. 


Filellum immersum Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 292. 


Filellum serpens (Hassal). 


Voir : Matériaux IL, p. 77; III, p. 298 et IV, p. 292. 


Filellum serpens JULLIEN 1880 p. 292 

» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. 

» » STORM 1882 p. 18. 

» » PENNINGTON 1885 p. 100. 

» » MezcY, Hicks a. 
À HerpMax 1886 p. 106. 
; » » BERGH 1887 p. 334. 
4 » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392. 
L » » BéTEeNcouRT 1888 p. 208. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 25. 


106 M. BEDOT 
Gen. Garveia Wright 1859. 
Voir : Matériaux III, p. 298 et IV, p. 292. 


Garveia nutans Wright. 


Voir : Matériaux IL, p. 298 et IV, p. 292. 


Garveia nutans LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
» » HaAManx 1882 (a) p. 499-501. 
» » PENNINGTON 1885 p. 67, pl. 3, fig. 6. 
» » HADDON 1886 (a) p. 924. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 3, 4, 6-8, 12. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 319, 329. 
» » MELLY, HIcks a. 
HErDMaAN 1886 p. 99. 
» » ALLMAN 1888 p. X. 


Gen. Gattya Allman 1886. 
Gattya humilis Allman. 


Gattya humilis ALLMAN 1886 p. 156, pl. 26, fig. 5-7. 


Gen. Gemmaria Mac Crady 1859. 


Voir : Matériaux III, p. 299 et IV, p. 293. 


Gemmaria implexa (Alder). 
Voir : Matériaux ILL, p. 299 et IV, p. 293. 


Zanclea implexa Du PLessis 1881 (a) p. 14%. 
Gemmaria impleæa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 9. 
» » JICKELI 1883 p. 611, 656, pl. 26, fig. 

23-30. 

Zanclea implexa CARUS 1884 p. 26. 

Gemmaria implexa GRÆFFE 1884 p. 353. 

Zanclea implexa PENNINGTON 1883 p. d1. 

Gemmaria impleæa ALLMAN 1888 p. XVII. 


» » SCHNEIDER 1890 p. 367. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 107 
Gen. Gonothyræa Allman 1864. 
Voir : Matériaux I, p. 448; II, p. 77; HI, p. 300 et IV, p. 293. 


Gonothyræa gracilis (Sars). 


Voir : Matériaux IT, p. 300 et IV, p. 293. 


Laomedea gracilis var.  Sars 1857 (a) p. 160, pl. 2, fig. 5. 
Gonothyræa gracilis STORM 1882 p. 3, 6, 46. 
» » MaRION 1883 (b) p. 23. 
» » CARUS 1884 p. 9. 
Gonothyrea gracilis PIEPER 1884 p. 164. 
Gonothyræa gracilis PENNINGTON 1885 p. 91. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 207. 
» » SEGERSTEDT 1889 p.13, 25. 


Gonothyræa gracilis (Sars) var. 
Voir : Gonothyræa gracilis. 


Gonothyræa hyalina Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 301 et IV, p. 294. 


Obelia hyalina Du PLESSIS 1881 (a) p. 148. 
Gonothyræu hyalina STOoRM 1882 -p. 3, 15, 28, 29. 
9 » » CARUS 1884 p. 10. 
? » » PENNINGTON 1885 p. 91. 
» » HaADDon 1886 (a) p. 525. 
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392. 
» » BÉTENCOURT 1838 p. 207. 
» » CLARKE 1888 p. 84, 85. 
» » MARKTANNER 1890 p. 209, 210. 


Gonothyræa loveni Allman. 
Voir. : Matériaux I, p. 448: I, p. 77; III, p. 301 et IV, p. 294. 


Gonothyræa loveni LESLE a. HERDMAN 1881 p. 13. 
» » VARENNE 1881 (a) p. 346. 
» » VARENNE 1881 (b) p. 1032, 1033. 


108 


Gonothyræa loveni 


M. BEDOT 


WEISMANN 


HAMANN 
LENZ 
STORM 
VARENNE 


LENDENFELD 
MaARION 
WEISMANN 


CaRus 
PENNINGTON 
THALLWITZ 
HADDON 
HERDMAN 


MELLY, Hicks a. 
HERDMANN 


BÉTENCOURT 
BRAUN 
SEGERSTEDT 


1881(c) p. 19, pl. 8 et pl. 
fig. 13. 

1882 (a) p. 501. 

1882 p. 177. 

1882 p. 3, 15, 28-30. 

1882 (b) p. 641, 672, 701, pl. 
33, fig. 4-5, pl. 36, 
fig. 5-9. 

1883 (e) p. 549. 

1883 (a) p. 29. 

1883 p. 134,219 pl AURA 
fig. 1-4, pl. 24, fig. 8-9. 

1884 p. 9. 

1885 p. 90. 

1885 p. 390, 428. 

1886 (a) p. 24. 

1886 (b) p. 329. 


1886 p. 105. 
1888 p. 207. 

1889 p. 70, 79. 
1889 p. 13, 25. 


Gonothyræa tenuis Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 294. 


Gen. Grammaria Stimpson 1854. 


Voir : Matériaux III, p. 302 et IV, p. 295. 


Grammaria abietina (Sars). 


Voir : Matériaux III, p. 303 et IV, p. 295. 


Salacia abirtina 


Grammaria abietina 


STORM 
WEISMANN 
PENNINGTON 
STUXBERG 
BERGH 
THOMPSON 
MARKTANNER 


1882 p. 18. 
1883 p. 160. 
1885 p. 100. 
1886 p. 164, 186. 
1887 p.334. | à 
1887 p. 389, 393. 
1890 p. 212, 247. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 109 


Grammaria gracihs Stimpson. 


Voir : Matériaux II, p. 303 et IV, p. 295. 


Grammaria insignis Allman. 


Grammaria insignis ALLMAN 1888 p. LVII, LXIHET. LXVIT. 
47,49, pl. 23, fig. 3-3 D. 

» » PFEFFER 1889 p. 93. 

» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Grammaria intermedia Pfefter. 


Grammaria intermedia  PFEFFER 1889 p. 53. 
» » PFEFFER 1890 p. 518, 567. 


Grammaria magellanica Allman. 


Grammaria magellanica  ALLMAN 1888 p. LVIIT, LXVII, LXVIIT, 
47, 48, pl. 23, fig. 2-20. 

» » PFEFFER 1889 p. 53. 

» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Grammaria stentor Allman. 


Grammaria stentor ALLMAN 1888 p. LVIIL, LXIV, LXVIIT, 
L8, pl. 23, fig. 1-1 «a. 
» » PFEFFER 1889 p. 53, 04. 
» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Gen. Gymnangium Hincks 1874. 


HixCks (1874 a) proposait que, si l’on démembre le genre 
Aglaopheniu, on donne le nom de Gonangium aux espèces dont les 
gonothèques ne sont pas protégées. Ce genre n’a pas été adopté. 


Gen. Gymnocoryne Hincks 1871. 


Voir : Matériaux II, p. 303 et IV, p. 295. 


Gymnocoryne coronata Hincks. 
Voir : Matériaux IL, p. 303 et IV, p. 295. 


110 M. BEDOT 
Gen. Halatractus Allman 1871. 
Voir : Matériaux ILE, p. 304 et IV, p. 295. 


Halatractus nanus Alder. 


Voir : Matériaux II, p. 63; II, p..304 et IV, p. 295. 


Corymorpha nana PENNINGTON 1885 p. 78. 
Halatractus nanus LOMAN 1889 p. 268, 270. 
Corymorpha nana MARKTANNER 1890 p. 203. 


Gen. Halecium Oken 1815. 


Voir : Matériaux [, p. 448 ; II, p. 78; III, p. 304 et IV, p. 296. 


Halecium arboreum Allman. 


Halecium robustum ALLMAN 1888 p. 10, pl. 4, fig. 1-3. 
Halecium arboreum 

(robustum)  ALLMAN 1888 p. LXIV, LXVII. 
Halecium robustum PFEFFER 1890 p. 567. 


Halecium articulosum Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 296. 


Halecium beani Johnston. 
Voir : Matériaux II, p. 78; LIL, p. 304 et IV, p. 296. 


Halecium beani LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15. 
» » SToRM 1882 p. 3, 19, 27. 
» » WEISMANN 1883 p. 161. 
» » CARUS 1884 p. 11. 
» » PIEPER 1884 p. 166. 
» » THOMPSON 1884 p. 4, 6. 
» » PENNINGTON 1885 p. 103. 
ES » VERRILL 1885 (a) p. 537. 
» ) HERDMAN 1886 (b) p. 330. 
» » LoRENz 1886 P. 27 
» » Meczy, Hicks à. 


HERDMAN 1886 p. 106. 


EE ER pe 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 1 Pi a 


Halecium beani Nicuocs a. Happox 1886 p. 615. 
» » BERGH 1887 p. 334. 
) » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » ALLMAN 1888 p. LVI, LXIT, LXV, LXVHIT, 
12, pl. 12, fig. 3, 3 a. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 209. 
» » DRIESCH 1589/D: 1997 
» » HoYLeE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26. 
) » BOURNE 1890 (b) p. 396. 
» » HALLEZ 1890 p. 96. 
» » MARKTANNER 1890 p. 218. 


Halecium boreale Lorenz. 
Halecium boreale LORENZ 1886 p. 25, 26, pl. 2, fig. 1-2. 
» » MARKTANNER 1890 p. 217. 
Halecium capillare (Pourtalès). 


Voir : Matériaux III, p. 305 et IV, p. 296. 


Halecium crenulatum Hincks. 


Voir : Matériaux IV, p. 296. 


Halecium curvicaule Lorenz. 
Halecium curvicaule LORENZ 1886 p. 25, 27, pl. 2, fig. 3-4. 
» » MARKTANNER 1890 p. 218. 
Halecium cymiforme Allman. 
Halecium cymiforme ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVIIL, 9, 14, 
15, pl 7, fig. 1-5. 


Halecium delicatulum Coughtrey. 


Voir : Matériaux IV, p. 297. 


Halecium delicatulum RIDLEY 1881 (a) p. 103. 
» » BALE 1887 p. 103. 
» » PFEFFER 1890 p. 483, 567. 


; L2 
112 M. BEDOT 


Halecium dichotomum Allman. 


Halecium dichotomum ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVIII, 13, 19, 
16, pl. 6, fig. 1-4. 


Halecium edwardsianum (d'Orbigny). 


Voir : Matériaux II, p. 78: II, p. 305 et IV, p. 297. 


Halecium fastigiatum Allman. 


Halecium fastigiatum ALLMAN 1888 p. LXIIE, LXVIIT, 43, pl. 15, 
fig. 2, 2 a. 
» » DriescH 1889 p. 198. 


Halecium filicula Alman. 
Voir : Matériaux IV, p. 297. 
Halecium filicula VERRILL 1885 (a) p. 537. 


Halecium filiforme Alder. 


Voir : Matériaux III, p. 305 et IV, p. 297. 


Halecium flexile Allman. 


Halecium flexile ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVII, LX VII, 
11, pl:.5, fig.252% 
» » DRiEsCH 1889 P. 198. 
» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Halecium geniculatum Norman. 
Voir : Matériaux NT, p. 305 et IV, p. 297. 


Halecium geniculatum  PENNINGTON 1885 p. 105. 


Halecium gracile. 


Les 2 espèces décrites sous le nom d’Halecium gracile par VErRiLz (1873 e) 
et BaLe (1888) doivent être distinguées et le nom de cette dernière devra être 
changé. HarrcauB (1905) croit que l’A. gracile de Bave est synonyme d’A. flexile 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 11115 


Allman, BizzarD (1910), qui a examiné le tvpe d’ALLMAN, partage cetle opinion. 
Mais JineraoLu (1904), étudiant des Hydroïdes de Patagonie, a trouvé FH. flexile 
Allman et H. gracile Bale et donne une description de ces 2 espèces. D'autre 
part, Morz-Kossoswka (1911), qui a trouvé en abondance l’H. gracile Bale à 
Port-Vendres, n’admet pas que cette espèce soit synonyme d'A. flexile ANman. 
En attendant de nouvelles recherches sur ce sujet, nous laisserons figurer 
provisoirement les 2 espèces de VErriL et BALE sous le même nom. 


Halecium gracile de VERRILL. 


Voir : Matériaux IV, p. 297. 


Halecium gracile de BALE. 


Halecium gracile 


/ 
BALE 


1888 p. 759,760, pl. 14, fig. 1-3. 


Halecium halecinum (Linné). 


Voir : Matériaux I, p. 448; IT, p. 78; [IL, p. 305 et IV, p. 297. 


Sertularia halecina LEUCKART 1847 (c) p. 87. 
Halecium halecinum BYERLEY 1854 p. 103. 


» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. 
» » STORM 1882 p. 19. 
» » VARENNE 1882 (b) p. 697. 
» » MaRION 1883 (b) p. 23. 
» » WEISMANN 1883 p. 160,161, 163, 221.271, 
285, 286, pl. 24, fig. 10. 
» » CaRus 1884 p. 11. 
» » GRÆFFE 1884 p. 396. 
» » PIEPER 1884 p. 166. 
» » REES 188: p. 981. 
» » PENNINGTON 1885 p. 102, pl. 5, fig. 2. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 10. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » LORENZ 1886 p. 26. 
» » MEczy, Hicxks a. 
HERDMANX 1886 p. 106. 
; » » Nicnozs a. Happon 1886 p. 615. 
; » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
| » » BéTEeNcourRT 1888 p. 209. 


Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 


114 M. BEDOT 


Halecium halecinum DALLA TORRE 1889 p. 96. 
) ) DriescH 1889 p. 198, 199, 225. 
» ) HALLEZ 1889 p. 40. 
» ) HOoYLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 26. 
) » BOURNE 1890 (b) p. 396. 
) » MARKTANNER 1890 p. 217. 


Halecium labrosum Alder. 
Voir : Matériaux LIT, p. 306 et IV, p. 298. 


Halecium labrosum CARUS 1884 p. 11. 
» » PiEPER 1884 p. 166, 168. 
) » PENNINGTON 1885 p. 104. 


) ) LORENZ 1886 p. 27. 


Halecium lamourouxianum (d’'Orbigny). 
Voir : Matériaux Il, p. 79; II, p. 306 et IV, p. 298. 
Halecium macrocephalum Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 298. 


Halrcinm macrocephalum Fewxes 1881 (a) p. 128. 


Halecium marsupiale Bergh. 


Halecium marsupiale BERGH 1887 p. 334, pl. 28, fig. 2 a-b. 


Halecium muricatum (Ellis et Solander). 
Voir : Matériaux I, p. 449; IL, p. 80: II, p. 307 et IV, p. 298. 


Halecium muricatum LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. 
» » STORM 1882 p. 19, 27. 
» » THOMPSON 1884 p. 4, 6. 
» » PENNINGTON 1885 p. 103. 
» » HoyYLe 1889 p. 460. 


Halecium mutilum Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 299. 
Halecium mutilum PFEFFER 1890 p. 567. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 115 


Halecium nanum Alder. 


Voir : Matériaux IT, p. 307 et IV, p. 299. 


Halecium parvulum Bale. 
Halecium parvulum BALE 1888 p. 760, pl. 14, fig, 4-5. 
» ) MARKTANNER 1890 p. 215, 218, pl. 3, fig. 22. 
Halecium patagonicum (d'Orbigny). 
Voir : Matériaux II, p. 80; INT, p. 307 et IV, p. 299. 


Halecium plumosum Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 307 et IV, p. 299. 


Halecium plumosum LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15. 
» » STORM 1882 p. 19. 
» » PENNINGTON 1885 p. 104. 
» » DRIEsCH 1889 p. 198, 199. 


Halecium (2) plumularioides Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 299. 


Halecium pulchellum (Pourtalès). 
Voir : Matériaux III, p. 307 et IV, p. 299. 


Halecium pusillum (Sars). 


Eudendrium pusillum  Sars 1857 (a) p. 154, pl. 1, fig. 14-16. 
» » ALLMAN 1864 (c) p. 362. 
» » ALLMAN 1871 p. 319. 
» » CARUS 1884 p. 4. 
Halecium ophiodes CARUS 188% p. 11. 
» » Preper 1884 p. 167. 


Nous avions considéré l’Eudendrium pusillum de Sars (1857) comme étant 
une espèce indéterminable (Mat. II, p. 458). Mais BrocH (1912), qui a pu 
examiner les types de Sars, a constaté que celte espèce était un Halecium. 
Il le nomme Halecium pusillum (M. Sars) et lui donne comme synonyme l'A. 
ophiodes de Pieper (1884). Il convient de remarquer que l'on a décrit 3 espèces 
sous le même nom : Eudendrium pusillum Wright — Perigonimus repens ; 


116 M. BEDOT 


E. pusillum Sars — Halecium pusillum : et E. pusillum Lendenfeld, qui con- 


serve seul son nom primitif. 


Halecium robustum. 


On a décrit, jusqu’à présent, 4 espèces différentes d’Halecium sous le nom 
spécifique de robustum. 

Ce sont : 

19 . robustum de Verrizz (1873 b); 

20 H. robustum de Piper (1884) ; 

30 J. robusitum d'ALLMAX (1688). 

Ce dernier auteur ayant constaté, pendant la publication des Hydroïdes du 
CHALLENGER, que Ce nom avait déjà été employé, l’a changé contre celui 
d'H. arboreum. 

40 I. robustum de Nurrin@ (1901). 

En attendant que l’on ait fait une revision de ce genre, nous laisserons 
figurer les 2 premières espèces sous leur nom de robustum accompagné de 
celui de l’auteur. 


Halecium robustum de VERRILL. 
Voir : Matériaux IV, p. 299. 


Halecium robustum de PIEPER. 


Halecium robustum Preper 1884 p. 166. 
» » CARUS 1884 p. 11. 
Haloikema lankesteri BOURNE 1890 (b) p. 395, pl. 26, fig. 1-2. 


Halecium scutum Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 300. 


Halecium sessile Norman. 
Voir : Matériaux II, p. 307 et IV, p. 300. 


Halecium sessile STORM 1882 p. 3, 19, 27, 29. 
» » PENNINGTON 1885 p. 105. 
» » VERRILL 1885 (a) p. 537. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26. 


Halecium siphonatum (Pourtalès). 
Voir : Matériaux II, p. 308 et IV, p. 300. 


als nd dar 0 à. 


Halecium telescopicum 


Halecium tenellum 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 117 


Halecium tehuelchum (4'Orbigny). 


Voir : Matériaux IF, p. 80 ; HIT, p. 308 et IV, p. 300. 


Halecium telescopicum Allman. 


ALLMAN 


1888 p. LXV, LXVIIT, 10, pl. 5, 
fig. 1-1 «. 


Halecium tenellum Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 308 et JV, p. 300. 


HAMANN 
» WEISMANN 
» . BALE 
» LENDENFELD 
» LENDENFELD 
» PENNINGTON 
» LORENZ 
» METSCHNIKOFF ‘ 
» LENDENFELD 
» DRIESCH 
» HALLEZ 
» SEGERSTEDT 
» BOURNE 
» DRIESCH 
» MARKTANNER 


1882 (a) p. d28. 

1883 p. 160, 161, 163, 164, 
220, 271, 286, pl. 11; 
fig. 5-6. 

1884 p. 65. 

1885 (a) p. 405, 622. 

1885 (d) p. 661. 

1885 p. 104. 

1886 p. 25, 27. 

1886 (b) p. 69, 70. 

1887 (c) p. 40. 

1889 p. 198, 199, 225. 

1889 p. 40. 

1889 p. 16, 26. 

1890 (b) p. 396. 

1890 (c) p. 150. 

1890 p. 218. 


Halecium tenellum Hincks var. mediterranea Weïismann. 


Halecium tenellum 


var. meditteranea 


WEISMANN 


1883 p. 160. 


Gen. Halicornaria Allman 1874. 


Halicornaria allmani Marktanner. 


Halicornaria plumosa  ALLMAN 
» » BALE 
» » ALLMAN 


1883 p. 92, pl. 18. 
1887 p. 90. 
1888 p. LXIII, LXIX. 


118 M. BEDOT 


Halicornaria allmanti MARKTANNER 1890 p. 277. 
Halicornaria allmant var. MARKTANNER 1890 p. 277, pl. 6, fig. 23. 
Halicornaria plumosa MARKTANNER 1890 p. 277, 278. 


BALE (1886) ayant montré qu’il y avait déjà une A. plumosa d'ARMSTRONG, 
MarkTANNER (1890, p. 277, note) a changé le nom donné par ALLMAN contre 


celui d’Halicornaria allmani. 


Halicornaria arcuata (Lamouroux). 


Syn.: Aglaophenia arcuata Lamouroux. 
Voir : Matériaux I, p. 422; IL, p. 40; IT, p. 234 et IV, p. 241. 


Aglaophenia arcuata CARUS 1884 p. 16. 
Halicornaria cornuta ALLMAN 1886 p. 153, pl. 23, fig. 1-4. 


Bizcarp (1907) a montré que cette espèce devait rentrer dans le genre 


Halicornaria. 


Halicornaria ascidioides Bale. 


Halicornaria ascidioides BALE 1884 p. 148, 175, 176, 183, pl. 
413, tig.:2 pl 16460 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 
» » BALE 1887 p. 100. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 


Halicornaria baileyi Bale. 


Halicornaria baileyi BALE 1884 p. 175, 177, 179, 183, pl. 
413, fig. 4, pl. 16, fig. 2. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486. 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 


Halicornaria bipinnata Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 301. 


Halicornaria flabellata Marktanner. 


Halicornaria flabellata  MaRKTANNER 1890 p. 278, pl. 6, fig. 14. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 119 


Halicornaria furcata Bale. 


Halicornaria furcata BALE 1884 p. 175, 178, pl. 13, fig. 3, 
pl. 16, fig. 5. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 
» » BALE 1887 p. 101. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 


Halicornaria haswelli Bale. 


1884 p. 175, 180, pl. 13, fig. 5, 
pl. 16, fig. 8. 


Halicornaria haswelli BALE 


» » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 

» » MARKTANNER 1890 p. 278. 


Peut-être synonyme de A. allmani sec. BiicarD (1910, p. 45). 


Halicornaria Mans (Busk). 


Syn.: Aglaophenia hians (Busk). 
Voir : Matériaux IV, p. 246. 


Halicornaria hians BALE 1884 p. 175, 179-181, pl. 13, 


LENDENFELD 


fig. 6, pl. 46, fig. 7. 
1885 (a) p. 487, 627. 


» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 
» » KIRKPATRIOK 1890 (a) p. 604. 
» » MARKTANNER 1890 p. 278. 
Halicornaria humilis Bale. 
Halicornaria humilis BALE 1884 p. 121, 174, 182, pl. 43, 
lg. 8, pl. 16, fig. 6. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
» » BALE 1887 p. 80. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 


120 M. BEDOT 


Halicornaria \dicistoma Bale. 


Halicornaria ilicistoma BALE 1884 p. 174, 183, 184, pl. 14, 
fier, 2, pl:46: 66209; 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 488, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
) » LENDENFELD 1887 (C) p. 27. 


Halicornaria insignis Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 301. 


Halicornaria longirostris (Kirchenpauer). 


Syn. : Aglaophenia longirostris Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 249. 


Aglaophenia longirostris BALE 1882 p. 20. 

A glaophenia thompsoni BALE 1882 p. 28, 29, 31, 33, 46, pl. 
14, fig. 1. 

Halicornaria longürostris BALE 1884 p. 148, 174, 181, 183, 185, 


pl: 413,:18.7, plu 
fig. 3, pl. 19, fig. 30. 


Halicornaria thompsoni BALE 1884 p. 182. 
Halicornaria longirostris LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 


» » MARKTANNER 1890 p. 278. 279. 
Halicornaria longirostris x 
var. thompsoni  MARKTANNER 1890 p'279. 


Halicornaria pennatula (Ellis et Solander). 


Syn. : Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander). 
Voir : Matériaux I, p. 424; Il. p. 44; III, p. 239 et IV, p. 251. 


A glaophenia pennatula BALE 1882 p. 34. 
Halicornaria pennatula  PENNINGTON 1885 p. 132, pl. 9, fig. 6. 
A glaophenia pennatula  HALLEz 1890 p. 96. 


Halicornaria plumosa Armstrong. 
Voir : Matériaux IV, p. 301. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 121 


Halicornaria prolifera Bale. 


Halicornaria prolifera  Bare 1884 p. 148, 17%, 183, pl. 14, 
fig. 4, .pl446,-fg: 10: 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. 
) » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 


Halicornaria ramulifera Allman. 
Voir : Matériaux LV, p. 301. 


Halicornaria ramulifera BALE 1887 p. 90. 


Halicornaria saccaria Allman. 


Voir : Lytocarpus saccartus. 


Halicornaria setosa Armstrong. 
Voir : Matériaux IV, p. 301. 


Halicornaria setosa BALE 1884 p. 153. 


Halicornaria speciosa Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 302. 


Halicornaria speciosa ALLMAN 1883 p. 53. 
» » BALE 188% p. 174. 
» » BALE 1887 p. 75, note. 


Halicornaria superba Bale. 


Halicornaria superba BALE 1884 p. 148, 175, 177, pl. 13, 
| fig. 1, pl. 16, fig. 4. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. 
» » BALE 1887 p. 75, 90. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 
» » MARKTANNER 1890 p. 279., 


M. BEDOT 


Halicornaria urceolifera (Lamarck). 


Syn. : Aglaophenia urceolhifera (Lamarck). 


Voir : Matériaux I, p. 427; II, p. 46; IT, p. 243 et IV, p. 255. 


Gen. Halicornopsis Bale 1882. 


Halicornopsis elegans (Lamouroux). 


Syn. : Aglaophenia avicularis Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 241. 


Syn.: Aglaophenia elegans Lamouroux. 


Voir : 


Aglaophenia aviculuris 
Halicornopsis avicularis 
A glaophenia avicularis 
À zygoplon rostratum 
Halicornopsis avicularis 


A zygoplon rostratum 
Halicornopsis avicularis 
Halicornopsis rostratum 
Halicornopsis avicularis 
Halicornopsis rostrata 

A glaophenia avicularis 
A zygoplon rostratum 
Halicornopsis avicularis 
Halicornopsis rostratum 
Halicornopsis avicularis 
Halicornopsis rostrata 
A zygoplon rostratum 

) ) 


Halicornopsis avicularis 


Matériaux III, p. 235 et IV, p. 244. 


BALE 
BALE 
ALLMAN 
ALLMAN 
BALE 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 

BALE 

BALE 

BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
ALLMAN 
MARKTANNER 
MARKTANNER 


1882 p. 20. 

1882 p. 26, pl. 13, fig. 3. 

1883 p. 54. 

1883 p. 54, pl. 19, fig. 1-3. 

1884 p. 185, pl. 10, fig. 1-2, 
pl. 19, fig. 32. 

1885 (a) p. 488, 628. 

1885 (a) p. 488, 628. 

1885 (b) p. 984. 

1885 (d) p. 643. 

1885 (d) p. 643. 

1887 p. 101. 

1887%p113, JL A0 

1887. p. 73, 77, 91, 101, 405: 

1887 p. 105. 

1887 (c) p. 27. 

1887 (c) p. 27: 

1888 p. LXIV, LXIX. 

1890 p. 279. 

1890 p. 279. 


O9 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 12 


Gen. Halisiphonia Allman 1888. 


Halisiphonia megalotheca Allman. 


Halisiphonia megalotheca ArLMax 1888 p. LXIV, LXVIIL, 31, 40, 
pl. 16, fig. 1-1 a. 
» » HÆCKkEL 1889"p. 77,76. 


Halisiphonia pygmæa Hincks. 
Syn. : Calycella pygmæa Hincks. 


Voir : Matériaux IV, p. 260. 


Lafea pygmæa PENNINGTON 1885 p. 97. 
» » | HADDON 1886 (a) p. 225. 
Halisiphonia pygmæa MARKTANNER 1890 p. 212, pl. 3, fig. 13. 


Halisiphonia spongicola Hæckel. 


Halisiphonia spongicola  Hxckez 1889 p. 77, pl. 4, fig. 9. 


Gen. Halocordyle Allman 1871. 


Voir : Matériaux II, p. 309 et IV, p. 302. 


Le genre Halocordyle n'a pas été admis, la seule espèce qu'il 
renfermait, Æ1. tiarella, pouvant rentrer dans le genre Pennaria. 


Halocordyle trarella (Ayres). 


Voir : Pennaria tiarella. 


Gen. Holoikema Bourne 1890. 


Ce genre, synonyme d’Æalecium, doit être supprimé. 


1294 M. BEDOT 


Gen. Halopteris Allman 1877. 
Voir : Matériaux IV, p. 302. 


Halopteris carinata Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 302. 
Halopteris carinata BALE 1887 p. 80. 


Gen. Hebella Allman 1888. 


Hebella contorta Marktanner. 


Hebella contorta MARKTANNER 1890 p. 215, pl. 3, fig. 17 a-17 b. 


Hebella cylindrata Marktanner. 
Hebella cylindrata MARKTANNER 1890 p. 214, pl. 3, fig. 15. 


Hebella cylindrica (Lendenfeld). 


Lafwa cylindrica LENDENFELD 1885 (b) p. 908, 912, pl. 40, 
fig. 4-5. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 630. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 
» » MARKTANNER 1890 p. 214. 


Hebella parasitica (Ciamician). 
Syn.: Lafœa parasitica Ciamician. 


Voir : Matériaux IV, p. 314. 


Lafwa parasitica Jickeui 1883 p. 629, pl. 27, fig. 21-25. 
» » CARUS 1884 p. 10. 
» » GRÆFFE 1884 p. 355, 397. 
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 912. 

Hebella parasitica MARKTANNER 1890 p. 213. 


Hebella scandens (Bale). 


Lafæa scandens BALE 1888 p. 758, pl. 13, fig. 16-19. 
Hebella scandens MARKTANNER 1890 p. 214, pl. 3, fig. 16. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 12! 


Q1 


Hebella striata Allman. 


Hebella striata ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVII, 29, 30, 
pl. 415, fig. 3-3 «. 
ps » » PFEFFER 1890 p. 567. 


Gen. Heterocordyle Allman 1864. 
Voir : Matériaux III, p. 310 et IV, p. 302. 


Heterocordyle conybearei Allman. 
Voir : Matériaux IIT, p. 310 et IV, p. 302. 


Heterocordyle conybeari  WEISMANN 1883 p. 84, 217, pl. 11, fig. 7-9. 
» » PENNINGTON  . 1885 p. 69. 
» » Lo Branco 1888 p. 388. 

Heterocordyle conybearei  MaRkTANNER 1890 p. 200. 


Gen. Heteroplon Allman 1883. 


Heteroplon pluma Allman. 


Heteroplon pluma * ALLMAN 1883 p. 32, pl. 8, fig. 1-3. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 480, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 644. 
» » BALE 1887 p. 78. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. 


D’après BirzarD (1910, p. 36), cette espèce est synonyme de Plumularia 
glutinosa. 


Gen. Heteropyxis Heller 1868. 
Voir : Matériaux II, p. 310 et IV, p. 302. 


Ce genre, qui renfermait des Nemertesia et des Plumularia, doit 
être supprimé. 


Gen. Heterostephanus Allman 1864. 


Voir : Matériaux III, p. 311 et IV, p. 303. 


Heterostephanus annulicornis (Sars). 
d Voir : Matériaux If, p. 311 et IV, p. 303. 


126 M. BEDOT 
Gen. Hippurella Allman 1877. 
Voir : Matériaux IV, p. 303. 


Hippurella annulata Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 303. 


Hippurella annulata FEWKES 1881 (a), p. 128, 134, pl. 1, fig. 
À, pl. 2, fig. 4, 5, 8: 
» » ALLMAN 1883 p. 3 (note), 13. 
» » QuELCH 1885 (a) p. 6. 
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 137, fig. 437. 


Gen. Hybocodon L. Agassiz 1860. 


Voir : Matériaux IIT, p. 311 et IV, p. 303. 


Hybocodon prolifer L. Agassiz. 


Voir : Matériaux IIT, p. 311 et IV, p. 303. 


Gen. Hydra Linné 1746. 


Voir : Matériaux I, p. 450; IT, p. 81; I, p. 312 et IV, p. 304. 


Hydra carnea L. Agassiz. 


Voir : Hydra oligactis. 


Hydra gracilis L. Agassiz. 


Voir : Hydra viridis. 


Hydra hexactinella Lendenfeld. 


Hydra hexactinella LENDENFELD 1886 (a) p. 679, pl. 48, fig. 1-4. 
» » LENDENFELD 1886 (b) p. 96, 98, pl. 6, fig. 
13-14. 


HE ro, 


Lo di à 0) 


é stef 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 127 


Hydra oligactis Pallas. 


Voir : Matériaux I, p. 450 ; Il, p. 81; ILE, p. 313 et IV, p. 304. 


Hydra fusca 


Hydra vulgaris 
Hydra fusca 


) » 
» D] 
» » 


Hydra rhætica 
Hydra vulgaris 


Hydra oligactis 
Hydra fusca 
Hydra oligactis 
Hydra fusca 

) » 

D) » 
Hydra oligactis 
Hydra fusca 
Hydra oligactis 


Hydra fusca 
» » 
» » 


Hydra oligactis 
) » 

Hydra fusca 

H ydra oligactis 

Hydra rœseli 


LEYDiG 
HAMANN 
HAMANN 
JiCKELI 


* LANKESTER 


BRANDT 
HAMANN 
KOROTNEFF 


JICKELI 
JICKELI 


JUNG 
WEISMANN 
BALE 
KRÆPELIN 
GIBSON 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
PENNINGTON 
BRECKENFELD 
KRÆPELIN 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
NUSSBAUM 
LENDENFELD 
NUSsSBAUM 


Syn: Aydra carnea L. Agassiz. 


Voir : Matériaux LL, p. 312 et IV, p. 304. 


1881 p. 150. 

1882 (b) p. 545, pl. 26, fig. 16. 

1882 (c) p. 462. 

1882 (b) p. 493. 

1882 (a) p. 248-251, pl. 20, fig. 
16, 18, 22, 24. 

1883 (b) p. 439. 

1883 (b) p. 368 ss. 

1883 p. 315 ss., pl. 14, fig. 3, 
12-14. 

1883 p. 667. 

1883 p. 391, 392, 394, 405, 
664, 670, pl. 17, fig. 
16-21, pl. 18, fig. 3, 
ph D Le 

1883 p. 339, 342, 346, 349 

1883 p. 17. 

1884 p. 38, 187. 

1884 p. 319. 

1885 p. 29 ss., pl. 1. 

1885 (a) p. 348, 621. 

1885 (a) p. 348, 621. 

1885 (b) p. 908. 

1885 (d) p. 627. 

1885 p. 139. 

1886 p. 2225. 

1886 p. 6, 8. 

1886 (a) p. 679. 

1886 (b) p. 95, 98. 

1886 p. 132. 

1887 (c) p. 15. 

1887 (c) p. 268, 269. 


128 


Hydra fusca 


Hydra oligactis 
Hydra fusca 
Hydre brune 
Hydra fusca 


Hydra carnea 


Hydra fusca 


M. 


NUSSBAUM 


NUSSBAUM 
CLARKE 
GIROD 
GRFENWOOD 


LEIDY 
LEipy 
ZACHARIAS 
CHATIN 
GREENWOOD 
NUSSBAUM 
SCHNEIDER 


BEDOT 


2 


1887 (c) p. 267 ss., pl. 14, fig. 
34-36, 38-46, pl. 15, 
fig. 48-51, pl. 20, 
Hé AE: 

1887 (c) p. 268. 

1888 p. 73, 77, fig. 63. 


1888 p. 10 ss. 

1888 p. 317 ss., pl. 6, fig. 9 et 
pl. 7e 

1838 p. 311. 

1888 p. 311. 

1888 p. 224. 

1890 p. 415. 

1890 p. 582. 

1890 p. 113 ss. 

1890 p. 321 ss, pl 17000048 


et pl. 19, fig. 7, 32-35, 
37-43. 


Hydra rubra Lewes. 


Voir : Matériaux IIL, p. 313 et IV, p. 305. 


Hydra tenuis Ayres. 


Voir : Matériaux II, p. 314 et IV, p. 305. 


Hydra viridis Linné. 


Voir : Matériaux I, p. 452; II, p. 82; IIL, p. 314 et IV, p. 305. 


Hydra viridis 
Hydra 
Hydra viridis 


Syn. : Hydra gracilis L. Agassiz. 
Voir : Matériaux IIT, p. 312 et IV, p. 304. 


BYERLEY 
BRANDT 
LEYDIG 
BLOMFIELD 
BraAxpr 
HAMANN 
HAMANN 
JICKEL 


1854 p. 105. 

1881 p. 140 ss. 

1881 p. 150. 

1882 p. 238. 

1882 p. 1265s., pl. 1, fig. 16-18. 
1882 (b) p. 545, pl. 26, fig. 15. 
1882 (c) p. 457 ss., 462, pl. 26. 
1882 (b) p. 492. 


HISTOIRE 


Hydra viridis 


» » 
» ) 
» D) 
» ») 
» » 
» » 
» » 
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» » 
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» » 
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» D] 
» » 
» » 
» » 
» D] 
» » 
) ») 
» » 
» ) 
» » 
» » 


Hydre verte 

Hydra viridis 
Hydra gracilis 
Hydra viridis 


D) » 


LANKESTER 


LANKESTER 
MARSHALL 
BRANDT 


BRANDT 
HAMANN 


JICKELI 


JUNG 
KOROTNEFF 
BALE 
BRAUN 
GRAFF 
KRÆPELIN 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
PENNINGTON 
BuRECKENFELD 
KRÆPELIN 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
NussSBAUM 
LENDENFELD 
NUSSBAUM 


ALLMAN 
CLARKE 
G1ROD 
GREENWOOD 
Leiny 

LEIDY 
CHATIN 
SCHNEIDER 


DES HYDROÏDES. — V. 129 


1882 (a) p. 229 ss., pl. 20, fig. 
15, 17, 19-21, 23. 

1882 (b) p. 87. 

1882 p. 665 ss. 

1883 (a) p. 244, 255 (note), 

265, 267. 

1883 (b) p. 439, 440. 

1883 (b) p. 368. 

1883 p. 374, 391, 393, 394,405, 

664, pl. 18, fig. 1, 12, 14. 

1883 p. 339, 343, 347, 319. 

1883 p. 315, 318. 

1884 p. 187. 

1884 p. 90, 11%, 117, 119. 

1884 p. 520 ss. 

1884 p. 319. 

1885 (a) p. 348, 621. 

1885 (d) p. 627. 

1885 p. 139, pl. 9, fig. 7. 

1886 p. 222 ss., fig. 17-23. 

1886 p. 6. 

1886 (a) p. 679. 

1886 (b) p. 96, 98. 

1886 p. 132. 

1887 (c) p. 15. 

1887 (c) p. 267 ss., pl. 15, fig. 
52-55, pl. 16, 17 et 
pl. 18, fig. 80-88. 

1388 p. XLV. 

1888 p. 73, 77, fig. 64. 

1888 p. 2ss. à 

1888 p. 321, pl. 6, fig. 10. 

1888 p. 311. 

1888 p. 311. 

1890 p. 415. 

1890 p. 354. 


Les observations de Lerny (1888) montrent que Hydra gracilis est synonyme 


d'Hydra viridis. 


Rev. Suisse bE Zoo. 


À. 24.4916; 


130 


M. BEDOT 


Hydra viridis Linné var. bakeri Marshall. 


Hydra viridis var. bakeri MARSHALL 


ZLACHARIAS 


1882 p. 666 ss., pl. 37, fig. 
1-10, 12. 


1888 p. 225. 


Hydra vulgaris Pallas. 


Voir : Matériaux [, p. 453; IL, p. 83; IT, p. 315 et IV, p. 306. 


Hydra vulgaris 

» » 
Hydra grisea 
Hydra aurantiaca 
Hydra grisea 
Dex » 


Hydra vulgaris 


Hydra grisea 


Hydra aurantiaca 


» » 
Hydra attenuala 
Hydra vulgaris 

» » 
Hydra attenuata 
Hydra aurantiaca 
Hydra grisea 


BYERLEY 
LeYpiG 
BRANDT 
LANKESTER 
LANKESTER 
JICKELI 
MARSHALL 


BRANDT 
BRANDT 
HAMANN 
JICKELI 


JUNG 
KOROTNEFF 


NUSSBAUM 
PENNINGTON 
PENNINGTON 
BRECKENFELD 
NUSSBAUM 
NussBaUM 
NussBaum 


1854 p. 105. 

1881 p. 150. 

1882 p. 137 ss. 

1882 (a) p. 248, 251. 

1882 (a) p. 248, 251. 

1882 (b) p. 492. 

1882 p. 665, 670, 671,676, 682, 
686, 688, 693, 698, 
poux 

1883 (a) p. 255 (note). 

1883 (b) p. #39, 440. 

1883 (b) p. 368. 

1883 p. 391, 392 ss., pl. 17, fig. 
12-15, 22-23, pl. 18, fig. 
2, 4-7, 9, 10, 13, 15-24. 

1883 p. 339, 340, 345, 348. 

1883 p. 315 ss., pl, 14, fig. 1, 
2, 4-11. 

1885 p. 387. 

1885 p. 135. 

1885 p. 135. 

1886 p. 222 ss. 

1887 (c) p. 273. 

1887 (c) p. 270, 273. 

1887 (c) p. 267 ss., pl. 13, 14, 
fig. 33,37, 47, pl. 15, 
fig. 56-59, pl. 18, fig. 
89,. pl. 19,20, fig 
108-116, 120, 122. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 131 


Hydra trembleyi NUSSBAUM 1887 (c) p. 268, 269, 271. 
Hydra vulgaris NUSSBAUM 1887 (c) p. 268, 272. 
» » CLARKE 1888 p. 76. 
Hydra grisea GREENWOOD 1888 p. 317 ss. 
Hydra aurantiaca KOROTNEFF 1888 p. 29. 
» » BRAUER 1890 p. 457. 
Hydra grisea CHATIN 1890 p. 415. 
» » ISCHIKA WA 1890 p. 436 ss., pl. 18, fig. 4-40. 
» » NUSSBAUM 1890 p. 113 ss. 
» ) SCHNEIDER 1890 p. 354. 
Hydra vulgaris SCHNEIDER 1890 p. 324. 


Gen. Hydractinia van Beneden 1841. 


Voir : Matériaux I, p. 453. Il, p. 85; IE, p. 316 et IV, p. 306. 


Hydractinia antarctica Studer. 


Voir : Matériaux IV, p. 306. 


Hydractinia arborescens Carter. 


Voir : Matériaux IV, p. 307. 


Hydractinia calcarea Carter. 


Voir : Matériaux IV, p. 307. 


Hydractinia carica Bergh. 


Hydractinia carica BERGH 1887 p. 331, pl. 28, fig. 1. 


Hydractinia echinata (Fleming). 


Voir : Matériaux IL, p. 85; II, p. 316 et IV, p. 307. 


Hydractinia grisea  - Leuckarr 1847 (c) p. 87. 
Hydractinia echinata BYERLEY 1854 p. 103. 
» » : KLEINENBERG 1881 p. 332. 


» » LESLIE 4. HERDMAN 1881 p. 8. 
» » CLARKE 1882 p. 135, 141, pl. 9, fig. 40. 


132 M. BEDOT 


Hydractinia echinata HAMANN 1882 (a) p. 501. 

» » STOoRM 1882:p; 7; 1028 90: 

» » VARENNE 1882 (b) p. 697. 

» ) WEISMANN 1883 p. 3,4, 66, 70, 73, 216, 

pl. 23. 

» » CARUS 1884 p. d. 

» » MôBius 1884 p. 65. 

» » REES 1884 p. 979. 

» » GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. 

» » PENNINGTON 1885 p. 41. 

» » THALLWITZ 1885 p. 390, 432. 

» » VERRILL 1885 (a) p. 537. 

» » WAGNER 1885 p. 49, 60, 69, 71, 72, pl. 

1, fig. 1-14, 16, 17. 

» » HADDON 1886 (a) p. 524. 

» » HERDMAN 1886 (a) p. 3, 10. 

» » LORENZ 1886 p. 27. 

» » MELLY, HIcks a. 

HERDMAN 1886 p. 97. 

» » Nicuozs a. Happon 1886 p. 615. 

» » BERGH 1887 p. 331. 

» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 202. 

» » CLARKE 1888 p. 82, fig. 74. 

» » Du PLEssis 1888 p. 541. 

» » DALLA TORRE 1889 p. 96. 
Hydraclina grisea DALLA TORRE 1889 p. 96. 
Hydractinia echinata HoYLE 1889 p. 460. 

» » SEGERSTEDT 1889 p.07, 23. 

» » BOURNE 1890 (b) p. 392. 

» » MARKTANNER 1890 p. 202. 

» » WAGNER 1890 p. 276. 


Hydractinia levispina Carter. 
Voir : Matériaux IV, p. 308. 


Hydractinia monocarpa Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 308. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. -- V. LS: 


Hydractinia polyclina Li. Agassiz. 


Voir : Matériaux IE, p. 318 et IV, p. 308, 
Hydractinia polyclina BROOKS 1882 p. 136, 146. 
» » CLARKE 1882 p. 141. 
» » WAGNER 1885 p. 70. 
Hydractinia sodalis Stimpson. 
Voir : Matériaux IIL, p. 318 et IV, p. 308. 


Gen. Hydrallmania Hincks 1868. 


Voir : Matériaux I, p. 454; IL, p. 86; II, p. 319 et 1V, p. 309. 


Hydrallmania bicalycula Coughtrey. 
Voir : Matériaux IV, p. 309. 


Hydrallmania bicalycula  Bare 1887 p. 103. 


Hydrallmania falcata (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 454 et 470; IH, p. 86; I, p. 319 et IV, p. 309. 
1847 (c) p. 87. 
1854 p. 104. 
1880 p. 122. 
1881 p. 9, 14, 16. 


Plumularia falcata LEUCKART 
BYERLEY 


STORM 


) » 


Hydrallmania falcata 


» » … LESLIE à. HERDMAN 
» » STORM 1882 p. 18, 21, 27, 29. 
Aglaophenia falcata ZELLER 1883 p. 106. 
Hydrallmania falcata  Rees 1884 p. 583. 
» » THOMPSON 1884 p. 4, à. 
» » M’INrosH 1885 p. 434. 
» » PENNINGTON 1885 p. 118, pl. 8, tig. 3. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330. 
» » MELLY, Hicks a. 
HerpmMaN 1886 p. 114. 
» » BERGH 1887 p. 537. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
à » » THOMPSON 1887 p. 389, 395. 
; » » BÉTENCOURT 1888 p 


. 206, 208, 210, 212. 


134 M. BEDOT 


Hydrallmania falcata DALLA TORRE 1889 p. 96. 
» » DRIESCH 1889 p. 200, 209, fig. 7, 8. 
» » HA LLEZ 1889 p. 40. 
» » HOYLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 18, 19, 22, 27. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 397. 
» » MARKTANNER 1890 p. 222, 2395, 238. 


Hydrallmania falcata (L.) var. bidens Mereschkowsky. 


Voir : Matériaux [V, p. 309. 


Hydrallmania franciscana (Trask). 
Voir : Matériaux III, p. 320 et IV, p. 310. 


Hydrallmania francisana Taomrson 1887 p. 395. 


Gen. Hydranthea Hincks 1868. 


Voir : Matériaux IT, p. 320 et IV, p. 310. 


Hydranthea margarica Hincks. 


Voir : Matériaux II, p. 320 et IV, p. 310. 


Hydranthea margarica  GRÆFFrE 1884 p. 359. 
» » PENNINGTON 1885 p. 67. 
» » HÆCKEL 1889 p. 79. 


Gen. Hydrella Gœtte 1880. 


Voir : Matériaux IV, p. 310. 


Hydrella ovipara Goœtte. 
Voir : Matériaux IV, p. 310. 


Hydrella ovipara CARUS 1884 p. 12. 
» » ALLMAN 1888 p. XXXV, note. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 135 


Gen. Hydrichthys Fewkes 1887. 


Hydrichthys mirus Fewkes. 


Hydrichthys mirus FEWKES 1887 p. 604. 
» ) FEWKES 1888 (a) p. 224, pl. k. 5. 
» » FEWKES 1888 (b) p. 392. 


Gen. Hydrodendron Hincks 1874. 


Voir : Matériaux IV, p. 310. 


Hydrodendron gorgonoide (G.-0. Sars). 
Voir : Matériaux IV, p. 310. 


Halecium gorgonoide STORM 1882 p. 3, 20, 27, 29. 
» » ALLMAN 1883 p. 7 (note). 


Gen. Hypanthea Allman 1876. 
Voir : Matériaux IV, p. 310. 


Hypanthea aggregata Allman. 


Hypanthea aggrequta ALLMAN 1888 p. LVIE, LXIV, LX VII, 26, 
28, pl. 14, fig. 1,4 a. 
» » MARKTANNER 1890 p. 211. 
» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Hypanñthea atlantica Marktanner. 
Hypanthea allantica MARKTANNER 1890 p. 211, pl. 3, fig. 14. 


Hypanthea georgiana Pfeffer. 


Hypanthea georgiana PFEFFER 1889 p. 54. 
» » PFEFFER 1890 p. 518, 567. 


Hypanthea hemisphærica Allman. 


Hypanthea hemisphærica ArrLMax 1888 p. LVII, LXVII, LXVII, 
27, plié, Me. 2,2 a: 
» » PFEFFER 1889 p. 54. 
mt » PFEFFER 1890 p. 567. 


M. BEDOT 


Hypanthea repens Allman. 


Hypanthea repens 


Voir : 


ALLMAN 


MARKTANNER 


PFEFFER 


Matériaux IV, p. 310. 


1888 p. 26, 28. 
1890 p. 211. 
1890 p. 567. 


Gen. Hypopyxis Allman 1888. 


Hypopyxis labrosa Allman. 


Hypopyxis labrosa 


ALLMAN 


1888 p. LXV, LXIX, 74, pl. 35, 
fig. 1-1 «a. 


Gen. Idia Lamouroux 1816. 


Voir : Matériaux [, p. 454; 11, p. 87; HI, p. 321 et IV, p. 311. 


Idia pristis Lamouroux. 


Voir : Matériaux I, p. 454; I, p. 87; IE, p. 321 et IV, p. 3114. 


Idia pristis 


Diphasia rectangularis 


» D) 
Idia pristis 
» » 
Diphasia reclangularis 
Idia pristis 


D] ) 


Diphasia rectangularis 
Idia pristis 


BALE 
BALE 


LENDENFELD 
LENDENFELD 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
HiINCKS 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
ALLMAN 


BALE 
BALE 
KIRKPATRICK 
MARKTANNER 


1882 p. 44. 

1884 p. 30-33, 56, 113, pl. 7, 
fig. 1-2, pl. 19, fig. 33. 

1885 (a) p. 419, 624. 

1885 (b) p. 909, 914. pl. A, 

fig. 6-8. 

1885 (d) p. 633. 

1885 (d) p. 634. 

1887 p. 134. 

1887 (c) p. 20. 

1887 (c) p. 21. 

1888 p. IV, LIX, LXIIT, LXVI, 
LXIX, 83, pl. 39, fig. 
1-10. 

1888 p. 748. 

1888 p. 748. 


1890 (a) p. 604, 606. 


1890 p. 215, 213, 280. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 15% 


Gen. Isocola Jickeli 1883. 


Ce genre n’a pas été adopté. 
Voir la remarque au genre Awnisocola. 


Gen. Kirchenpaueria Jickeli 1883. 


Le genre Airchenpaueria de JiCKELI (1883) devrait comprendre 
les Plumularides dont les nématophores sont nus et non pas ren- 
fermés dans une enveloppe de périsarque. Malheureusement, ce 
genre à été établi d’après l'étude de fragments de colonies qui, de 
l’avis de KIRCHENPAUER (in : JICKELI), n'étaient pas suffisants pour 
permettre de déterminer exactement l'espèce. JICKELI ne leur à 
donc pas donné de nom spécifique. 

ALLMAN à établi, également en 1883, le genre Diplocheilus, 
dont 1l décrit une espèce, D. mirabilis, et qui a les mêmes carac- 
tères que Kirchenpaueria. Le nom de Diplocheilus avait été choisi 
par ALLMAN pour rappeler que l’hydrothèque présentait une dupli- 
cature de sa paroi interne; or, on sait que ce caractère (dia- 
phragme) se rencontre chez beaucoup d’autres Plumularides. 

Les genres Xirchenpaueria et Diplocheilus sont donc synonymes 
et ont été établis à la même époque. 

BILLARD n’admet ni le genre Xérchenpaneria (1904), ni le genre 
Diplocheilus (1910), les espèces qu'ils renferment ne devant pas, 
d’après cet auteur, être séparées des Plumularia. 

TORREY (1904) et STECHOW (1909) adoptent le genre Diplo- 
cheilus, tandis que BALE (1894 et 1914) et WARREN (1908) se 
prononcent en faveur du genre Xirchenpaueria. 

Il nous semble préférable d'admettre, au moins provisoirement, 
le genre Diplocheilus. On ne peut pas, en effet, le supprimer sim- 
plement par le fait que son nom est mal choisi. D'autre part, il a 
l'avantage d’avoir été établi d’après l'étude d’une colonie en bon 
état et à laquelle l’auteur à donné un nom spécifique. Mais de nou- 


138 M. BEDOT 


velles recherches devront montrer si l’on doit conserver ce genre en 
y faisant rentrer d’autres espèces de Plumularia, ou s’il convient 
de le supprimer définitivement comme le voudrait BILLARD. 


Gen. Lafæa Lamouroux 1821. 


Voir : Matériaux Il, p. 88; I, p. 321 et IV, p. 311. 


Lafœa calcarata A. Agassiz. 


Voir : Matériaux IT, p. 321 et IV, p. 311. 


Lafaæa capillaris G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 311. 


Lafæwa capillaris STORM 1882 p. 17, 27, 30. 
» » THoMPsoN 1884 p. 3, 4, 7, pl 1. fig. 19. 
» » LORENZ 1886 p. 25, 28. 
» » THOMPSON 1887 p. 393. 
» » MARKTANNER 1890 p. 216. 


Brocx (1909) considère cette espèce comme synonyme de L. qgracillima. 


Lafæa coalescens Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 314. 


Lafoœa convallaria Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 311. 


Lafæa convallaria FEWKES 1881 (a) p. 128, 129. 


Lafæa costata (Bale). 


Campanularia costata BALE 1884 p. 96, pl. 1, fig. 3. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 621. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 660. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. 
» » BALE 1888 p. 797, 766. 


Lafæa costata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608. 


HISTOIRE 


Voir : 

Campanularia dumosa 
» » 
? Coppinia arcta 
Lafæa dumosa 
» » 

? Coppinia arcta 
Lafæa dumosa 


? Coppinia arcta 
Lafæa dumosa 

» ) 
? Coppinia arcla 
Lafæa dumosa 

D » 
? Coppinia arcta 


9 » » 


Lafwa dumosa 


? Coppinia arcta 
Lafœa dumosa 
Campanularia dumosa 
Lafwa dumosa 


» » 
» » 
» D] 


Halisiphonia dumosa 
Lafwa dumosa 


» » 


LEUCKART 

BYERLEY 

LESLIE a. HERDMAN 

LESLIE à, HERDMAN 

RiDLEY 

STORM 

STORM 

CaRus 

R&EES 

PENNINGTON 

PENNINGTON 

VERRIL 

HERDMAN 

HERDMAN 

HERDMAN 

HERDMAN 

Meccy, Hicxs a. 
HERDMAN 

MELLY, Hicks a. 
HERDMAN 

STUXBERG 

ALLMAN 


BÉTENCOURT 
BÉTENCOURT 
DALLA TOoRRE 
Hoy£ce 
KIRKPATIRICK 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
MARKTANNER 
MARKTANNER 
PFEFFER 


DES HYDROÏDES. — V. 


Lafæa dumosa (Fleming). 


Matériaux If, p. 88; IT, p. 321 et IV, p. 312. 


1847 (c) p. 87. 
1854 p. 105. 

1881 p. 14. 

1881 p. 13. 

1881 (a) p. 103. 
1882 p. 18, 27, 30. 
1882 p. 17. 

1884 p. 10. 

1884 p. 581. 

1885 p. 101. 

1885 p. 96, pl. 4, fig. 7. 
1885 (a) p. 537. 
1886 (a) p. 5. 
1886 (a) p. 10. 
1886 (b) p. 329. 
1886 (b) p. 329. 


1886 p. 106. 


1886 p. 106. 
1886 p. 164, 186. 


1888 p. LVI, LXII, LX VII, 33, 
34, pl. 15, fig, 1,1 a. 


1888 p. 208, 210. 
1888 p. 208. 
1889 p. 96. 

1889 p. 460. 
1889 p. 446. 
1889 p. 15, 26. 
1890 (b) p. 395. 
1890 p. 212. 
1890 p. 212, 213. 
1890 p. 483, 567. 


Lafæa dumosa (Fleming) var. robusta G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux II, p. 323 et IV, p. 313. 


140 


Lafæa eleguns 


Lafæa fruticosa 


» » 
»} » 
» » 


Lafœa gracillima 
Lafæa fruticosa 
Lafæa gracillima 
Lafœwa fruticosa 


» » 
» » 
» »» 
» )) 
») )) 


Lafœa gracillima 
Lafæa fruticosa 


» ) 
D] ») 
» )) 
) » 
» ») 
D) » 
D] ) 


Lafwa gracillima 
Lafwa fruticosa 


Lafæa gigas 


» D) 


M. BEDOT 


Lafœa elegans Fewkes. 
FEWKES 1881 (a) p. 129. 


Lafæa elongata Armstrong. 
Voir : Matériaux [V, p. 313. 


Lafœa fruticosa Sars. 
Voir : Matériaux Ill, p. 323 et IV, p. 313. 


FEWKES 1881 (a) p. 129. 

LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 14. 

BALE 1882 p. 19. 

STORM 1882 p. 17. 

STORM 1882: p.17, 22: 

BALE 1884 p. 31, 64, pl. 2, fig. 4. 

BALE 1884 p. 04. 

THOMPSON 1884 p. 3, 4,7, pl. 1, fig. 17, 18. 

LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622. 

LENDENFELD 1885 (d) p. 630. 

PENNINGTON 1885 p. 97. 

STUXBERG 1886 p. 164, 186. 

BErGH 1887 p. 334. 

BERGH 1887 p. 334. 

BÉTENCOURT 1887 p. 67, note. 

LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 

THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392. 

ALLMAN 1888 p. LVI, LX VIE, LX VII, 30, 
34, pl. 16, fig. 2, 2 a. 

HOYLE 1889 p. 460. 

SEGERSTEDT 1889 p. 15, 26. 

BouRNE 1890 (b) p. 395. 

MARKTANNER 1890 p. 217, pl. 3, fig. 20. 

MARKTANNER 1890 p. 217, pl. 3; fg-1822400 

PFEFFER 1890 p. #83, 567. l 


Lafæa gigas Pieper. 


PiEPER 1884 p. 165. 
CARUS 1884 p. 10. 


 héite hdi EE D MT 
5 RS érai C'OER 


HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 


Lafæu grandis Hincks. 


Voir : Matériaux IV, p. 314. 


? Lafæwa grandis THOMPSON 1884 p. 3, 4, 7, pl. 


on » THOMPSON 1887 p. 393. 


Lafæa halecioides Allman. 


Voir : Lafoœa pinnata. 


Lafæa parasitica Ciamician. 


Voir : Hebella parasitica. 


Lafæœa parvula Hincks. 
Voir : Matériaux I, p. 323 et IV, p. 314. 


Lafæa parvula PENNINGTON 1885 p. 97. 


Lafœa pinnata G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 315. 
Syn.: Lafœa halecioides Alman. 


Voir : Matériaux IT, p. 323 et IV, p. 314. 


Lafœa helicioides FEWKES 1881 (a) p. 129. 
Lafæwa pianata STORM 1882 p. 17, 27. 
Lafæa halecioides BALE 1887 p. 91. 


Cette espèce devra peut-être passer dans le genre Zygophylax. 
Voir : Browne (1907, p. 27) et Bizcaro (1910, p. 7). 


Lafæa pocillum Hincks. 
Voir : Matériaux LL, p. 324 et IV, p. 315. 


Lafæa pocillum Carus 1884 p. 10. 
» » PIEPER 1884 p. 165. 
» » PEXNINGTON 1885 p. 97. 
» » HaDDoN 1886 (a) p. 525. 
» » BERGH 1887 p. 333. 
» » THOMPSON 1887 p. 393. 


AA 


142 M. BEDOT 


Lafœa robusta Clarke. 


Voir : Matériaux IV, p. 315. 


Lafœa serrata Clarke. 
Voir : Matériaux IV, p. 315. 


Lafœa sibirica Thompson. 
Lafæwa sibirica THOMPSON 1887 p. 388, 389, 393, pl. 14, 
fig.2: 
Lafœa tenellula Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 315. 
Lafæa tenellula QuELcH 1885 (a) p. 2. 


Lafæa venusta Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 316. 
Lafæa (Hebella) venusta  ALLMAN 1888 p. 29. 


Gen. Lafæœina Sars 1869. 
Voir : Matériaux II, p. 324 et IV, p. 316. 


Lafæœina tenuis Sars. 
Voir : Matériaux Il, p. 324 et IV, p. 316. 


Lafæina tenuis ALLMAN 1883 p. 6 (note). 
» » BALE 1884 p. 24. 
» » THOMPSON 1884 p. 3, A, 8. . 
» » MARKTANNER 1890 p. 213. 


Gen. Laomedea Lamouroux 1912. 
Voir : Matériaux I, p. 498, 45%; IT, p. 89; IL, p. 324 et IV, p. 316. 
Ce genre doit être supprimé pour les raisons que nous avons déjà 
données. (Voir : Matériaux III, p. 324.) 


Laomedea diaphana A. Agassiz. 


Voir : Obelia geniculata. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES., — V. 143 


Laomedea gigantea À. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 325 et IV, p. 316. 


Les descriptions de Laomedea gigantea, L. pacifica et L. rigida, données par 
A. AGassiz (1865 (c), p. 93, 94), sont trop incomplètes pour permettre de 
reconnaitre l’espèce et même le genre auquel elles appartiennent. Nous les 
placerons done parmi les espèces indéterminables. 


Laomedea pacifica A. Agassiz. 
Voir : Matériaux IIE, p. 325 et IV, p. 316. 


Voir la note à Laomedea gigantea. 
Laomedea rigida A. Agassiz. 
: Voir : Matériaux ILE, p. 325 et IV, p. 317. 
Voir la note à Laomedea qigantea. 
Laomedea torresi Busk. 


Voir : T'hyroscyphus torresi. 


Gen. Lar Gosse 1857. 


Voir : Matériaux HI, p. 325 et IV, p. 317. 


Lar sabellarum Gosse. 
Voir : Matériaux IIL, p. 325 et IV, p. 317. 


Syn.: Wüllsia stellata. 
Voir : Matériaux If, p. 152 et IT, p. 444. 


Lar sabellarum JICKELI 1883 p. 649. 
» » BALE 1884 p. 15. 
» » LENDENFELD 1884 (C) p. 284. 
» » PENNINGTON 1885 p. 4d, pl. 3, fig. 1. 
» » M’INrosH 1887 (b) p. 104. 
Wüillia stellata FEWKES 1889 (b) p. 110. 
» » M’INrosH 1890 (b) p. 304. 


144 M. BEDOT 
Gen. Leptoscyphus Allman 1864. 
Voir : Matériaux III, p. 326 et IV, p. 317. 


Leptoscyphus grigoriewi Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 317. 


Leptoscyphus tenuis Allman. 
Voir : Matériaux IT, p. 326 et IV,:p.-317. 


Leptoscyphus tenuis Môgius 1884 p. 65. 
» » PEN NINGTON 1885 p. 95. 
» » ALLMAN 1888 p. XXIX. 


Gen. Lictorella Allman 1888. 


Laictorella antipathes (Lamarck). 
Syn.: Campanularia antipathes (Lamarck). 
Voir : Matériaux I, p. 429: Il, p. 48; IL, p. 251 et IV, p. 262. 


Campanularia antipathes BALE 1884 p. 92, 53, pl. 2, fig. à. 

Campanularia rufa BALE 1884 p. 54, pl. 1, fig. 41. 

Laomedea antipathes LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622. 

Laomedea rufa LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622. 

Laomedea antipathes LENDENFELD 18835 (d) p. 629. 

Laomedea rufa LENDENFELD 1885 (d) p. 630. 

Campanularia rufa BALE 1887 p. 91. 

Laomedea antipathies  : LENDENFELD 1887 (c) p. 17. 

Laomedea rufa LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 

Lictorella halecivides ALLMAN 1888 p. LXV, LXVII, 35, 37, 
pl. 17, fig. 1, 2°9Exce 
syn. 

» » DRikscH 1889 p. 202. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608. 

Campanularia rufu MARKTANNER 1890 p. 206. 


BRowxe (1907) a montré que Lictorella halecioides Alman (1888) était diffé- 
rente de Lafæa halecioides Alman 187%, laquelle est synonyme de Lafæa - 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 145 


pinnata G.-0. Sars. D'autre part, Bizcarp (1910) a reconnu que Laclorella 
halecioides Allman (1888) était synonyme de Serlularia antipathes Lamarck et 
doit par conséquent porter le nom de Lictorella antinathes. 


Lictorella cyathifera Allman. 


Lictorella cyathifera ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIL, 36, pl. 11, 
fig. 3, 3 4. 
» » DRIESCH 1889 p. 202. 


Gen. Lineolaria Hincks 1861. 
Voir : Matériaux II, p. 326 et IV, p. 318. 


Lineolaria flexuosa Bale. 


Lineolaria fleruosa BALE 188% p. 61, 62, pl. 1, fig. 7-9. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 405, 622. 
» RP LENDENFELD 1885 (d) 631. 
» » BALE 1887 P. 91. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 


Lineolaria spinulosa Hincks. 


Voir : Matériaux I, p. 326 et LV, p. 318. 


! 


Lineolaria spinulosa BALE 1882 p. 20. 
» » BALE 188% p. 24, 61, pl. 1, fig. 10-11, 
pl. 19, fig. 38. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 405, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 630. 
» »  LENDENFELD . 1887 (c) p. 18. 
; Gen. Lovenella Hincks 1568. 


Voir : Matériaux IL, p. 90; ILE, p. 326 et IV, p. 318. 


Lovenella clausa (Lovén). 
Voir : Matériaux Il, p. 90; LIT, p. 326 et IV, p. 318. 
Lovenella clausa CLARKE 1882 p. 139. 
» » FEWKES 1882 (b) p. 297. 


Rev. Suisse pe Zoo. ‘L. 24. 1916. 10 


146 M. BEDOT 


Lovenella clausa PENNINGTON 1885 p. 89. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 89. 
) ) SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. 


Lovenella gracilis Clarke. 


Lovenella gracilis CLARKE 1882 p: 135, 139, :pl-19/0h1P° 


25-39. 
) » FEWKES 1882 (b, p. 297-298. 


Lovenella producta (G.-0. Sars). 
Syn. : Calycella producta G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 260. 


Calycella producta STORM 1882 p. 18, 28, 30. 
Lovenella producta SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. 


Gen. Lytocarpus Allman 1883. 


Genre formé par ALLMAN aux dépens du sous-genre Lytocarpia 
de KIRCHENPAUER. Voir la note au genre Nematophorus. 


Lytocarpus filamentosus (Lamarck). 
Syn.: Aglaophenia filamentosa (Lamarck). 
Voir : Matériaux I, p. 422; Il, p. 41; II, p. 235 et IV, p. 245. 


Aglaophenia patula BALE 1884 p. 152. 
Plumularia filamentosa BALE 1884 p. 144. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
Halicornaria mitrata ALLMAN 1886 p. 153, pl. 22, fig. 5-6. 
À glaophenia patula BALE 1887 p. 87. 

Plumularia filamentosa  LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 
Lytlocarpus patulus MARKTANNER 1890 p. 274, pl. 6, fig. 12. 


Lytocarpus grandis (Clarke). 
Syn. : Nematophorus grandis Clarke. 
Voir : Matériaux IV, p. 322. 


Nematophorus grandis Brooks 1882 p. 142. 


nd = :: :- 


HISTOIRE 


DES HYDROÏDES. — V. 


147 


Lytocarpus longicornis (Busk). 


Syn. : Plumularia longicornis Busk. 
Voir : Matériaux III, p. 351 et IV, p. 342. 


Lylocarpus longicornis 
Plumularia longicornis 
Lylocarpus longicornis 


») » 


ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 
MARKTANNER 


1883 p. 
1883 p. 
1888 p. 
1890 p. 


2,45, pl. 19, fig. 4-6. 
47. 

LXVI, LXIX. 

266. 


Lytocarpus pennarius (Linné). 


Syn.: Aglaophenia pennaria (Linné). 
: Matériaux IIT, p. 238 et IV, p. 250. 


Voir 

Lytocarpus secundus 
Aglaoyhenia spicata 

A glaophenia banksi 
Lytocarpus secundus 
Aglaophenia crispula 
Lylocurpus secundus 
A glaophenia crispata 
Aglaophenia secunda 


ALLMAN 
BALE 

BALE 

BALE 

HINCKS 
ALLMAN 
MARKTANNER 
MARKTANNER 


1883 p. 
1884 
1887 
1887 
1887 
1888 
1890 p. 
1890 p. 


a eee 


2, 13, 36, 42, pl. 14. 


Aie 
107 


89. 
134. 


. LX, LXVI, LXIX: 


273. 
273. 


Lytocarpus philippinus (Kirchenpauer). 


Syn.: Aglaophenia philippina Kirchenpauer. 


Aglaophenia philippina 
» » 
» » 


A glaophenia urens 


A glaophenia philippina 
À glaophenia urens 

» » 
À glaophenia phillipina 


» » 


Voir : Matériaux IV, p. 251. 


ALLMAN 
JiCKELI 
WEISMANN 
BALE 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
RiDLEY a. QUELCH 
BALE 

LENDENFELD 
ALLMAN 

BALE 


1883 p. 
1883 p. 
1883 p. 
1884 p. 


1885 (a) 


h7. 

647, 655, 667. 

476: 

31, 149, 153, 155, 173, 
pl. 14, fig. 6, pl. 17, 
fig. 9. 

p. 481, 627. 


1885 (d) p. 647. 


1885 p. 
1887 p. 


496. 
87. 


1887 (c) p. 30. 


1888 p. 
1888 p. 


a 2 
788. 


148 M. BEDOT 


A glaophenia (Lytocarpus) 

1888 p. 789. 

1888 p. 787, 789. 

1888 p.786, 789, pl. 21, fig. 3-7. 
1890 (b) p. 660, 666. 

1890 (a) p. 604. 

1890 p. 274, pl. 6, fig. 46. 


phillipina BALE 
A glaophenia wrens BALE 
Lylocarpus phillipinus BALE 
Aglaophenia philippina  Driescu 
Lytocarpus philippinus  KiRKPATRICK 
) » MARKTANNER 
Lylocarpus philip- 


pinus Var.  MARKTANNER 1890 p. 276, pl. 6, fig. 15. 


_ Lytocarpus phæniceus (Busk). 
Syn.: Aglaophenia phœnicea (Busk). 
Voir : Matériaux IIL, p. 240 et IV, p. 251. 
Syn.: Aglaophenia rostrata Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 253. 


A glaophenia rostrata ALLMAN 1883 p. 43. 

Lytocarpus spectabilis  ALLMAN 1883 p. 8, 12, 15, 43, pl. 15. 
À glaophenia aurita BALE 1884 p. 169, pl. 18, fig. 18, 19. 
À glaophenia phænicea BALE 1884 p. 18, 23, 149, 152, 159, 


173, pl: 45; fig.M465e 
pl. 17, fig. 1-4, pl. 19, 
fig. 31. 


Aglaophenia aurita LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. 
Aglaophenia phœnicea LENDENFELD 1885 (a) p. 482. 
À gluophenia phœnicæ LENDENFELD 1885 (a) p. 627. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 646. 
Aglaophenia aurita LENDENFELD 1885 (d) p. 645. 
Aglaophenia phœnicea BALE 1887 p. 75, 77, 87, 99. 


À glaophenia (Lytocarpus) 


phœnicea BALE 1887 p. 99. 

A glaophenia rostrata BALE 1887 p. 100. 

Lylocarpus phœniceus BALE 1887 p. 87. 
Lylocarpus spectabilis BALE 1887 p. 99. 
A glaophenia aurita LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4 
A glaophenia phœnicæ LENDENFELD 1887 (c) p. 30. 
Lylocarpus spectabilis ALLMAN 1888 p. LXV, LXVI, LXIX.: | 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 675. | 


D CO RE 


LÉ 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 149 


Lytocarpus phœniceus K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604. 
» » MARKTANNER 1890 p. 271, 272, 276, pl. 6, 
fig. 18-18 4. 


Lytocarpus racemiferus Allman. 


Lytocarpus racemifera  ALLMAN 1883 p. 8. 

Lytocarpus racemiferus  ALLMAN 1883 p. 12, 38, 41, pl. 13. 
» » BALE 1887 p. 84, 87, 89. 
» » ALLMAN 1888 p. LX, LXII, LXIX. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 675. 


Lytocarpus saccarius Allman. 
Syn.: Halicornaria saccaria Alman. 


Voir: Matériaux IV, p. 301. 


Lytocarpus saccarrius ALLMAN 1883 p. 13. 
Halicornaria saccaria BALE 1884 p. 156. 
» » BALE 1887 p. 83. 
Halicornaria (Lyto- 
carpus) saccarit BALE 1888 p. 788. 
Halicornaria saccaria MARKTANNER 1890 p. 268. 


Lytocarpus urens (Kirchenpauer). 
Syn.: Aglaophenia urens Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux [, p. 427 : IL, p. 46; III, p. 243 et IV, p. 255. 


Aglaophenia urens ALLMAN 1883 p. 47. 
» » HixcxsS 1887 p. 134. 
Lylocarpus urens BALE LR88 p. 789. 


Gen. Lytoscyphus Pictet 1893. 
Voir : Matériaux If, p. 90 ; ILE, p. 326 et IV, p. 318. 


Lytoscyphus fruticosus (Esper). 
Voir : Matériaux I, p. 471 ; IL, p. 91; II, p. 327 et IV, p. 318. 


Sertularella fruticosa  KiRCHENPAUER 1884 p. 52, 54. 
» » BALE 1887 p. 103. 
Campanularia fruticosa  MARKTANNER 1890 p. 205. 


150 M. BEDOT 


Lytoscyphus marginatus (Allman). 
Syn.: Obelia marginata Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 331. 


Campanularit insignis  FEWKES 1881 (a) p. 129. 

Obelia marginata FEWKES 1881 (a) p. 128. 

Campanularia insignis  ALLMAN 1888 p. LXII, LXVIIL, 19, 25, 
pl: 9 He APE 

Obelia marginata ALLMAN 1888 p. 19. 

Campanularia insignis  Driescx 1889 p. 202. 


Gen. Melicertum Eschscholtz 1829 sensu L. Agassiz 1862. 
Voir : Matériaux IV, p. 319. 


Nous avons attribué par erreur (Matériaux IV, p. 319) le genre 
Melicertum à OKEN. 

PERON et LESUEUR, en 1809, ont créé le genre Melicerta. Mais 
ce nom avait déjà été donné, en 1803, par SCHRANK, à un genre 
de Rotateurs. En 1815, OKEN, après avoir cité le genre Meli- 
certa dans les Rotateurs (p. 49), emploie de nouveau le nom de 
Melicerta avec un ? à propos du groupe de Carybdea. dans lequel 
il place C. perla (p. 125). 

Dans le System der Akalephen, d'ESCHSCHOLTZ (1829, p. 105), 
on trouve l'indication suivante: Melicertum Oken (Melicerta 
Peron). Il y à évidemment une erreur, et si l’on abandonne: Meli- 
certa Peron et Lesueur, on doit admettre: Melicertum Eschscholtz. 


Melicertum campanula L. Agassiz. 


Voir.: Matériaux IE, p. 423 et IV, p. 319 et 412. 


Melicertum campanula  CLaus 1881 (c) p. 89. 
Melicertium campanula  MeTsCHNiKOFF 1886 (b) p. 84. 
Melicertum campanula  FEWKEs 1888 (a) p. 233. 


der ss 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Gen. Merona Norman 1865. 


Voir : Matériaux III, p. 327 et IV, p. 319. 


Merona cornucopiæ Norman. 


Voir : Matériaux [I, p. 327 et IV, p. 319. 


Tubiclava cornucopiæ GRÆFFE 


» » PENNINGTON 


1884 p. 347. 
1885 p. 38. 


Gen. Monobrachium Mereschkowsky 1877. 


Voir : Matériaux IV, p. 320. 


Monobrachium parasitum Mereschkowsky. 


Voir : Matériaux IV, p. 320. 


Monobrachium parasi- 
licum  LECHE 
» » WAGNER 
Monobrachium parasitum Bencn 
Monobrachium parasi- 
ticum WAGNER 
» » WAGNER 


1878 p. l4. 
1885 p. 8. 
1887 p. 332. 


1889 p. 11688. 
1890 p. 273 ss.. pl. 8 et 9. 


Gen. Monocaulus Allman 1864-1871. 


Voir : Matériaux Ill, p. 328 et IV, p. 320. 


Monocaulus glacialis (Sars). 


Voir : Matériaux III, p. 328 et IV, p. 320. 


Corymorpha glacialis STORM 
? Corymorpha arctica WEISMANN 
Monocaulus glacialis VERRILL 
Corymorpha glacialis STUXBERG 

» » ALLMAN 
Monocaulus glacialis LOMAN 
Corymorpha glacialis MARKTANNER 


1882 p. 11. 
1883 p. 129. 
1885 (a) p. 336. 
1886 p. 164, 186 
1888 p. à. 

1889 p. 269, 270. 
1890 p. 203. 


152 M. BEDOT 


Monocaulus grænlandica Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 320. 


Monocaulus imperator Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 320. 


Monocaulus imperator ALLMAN 1885 p. 752, fig. 265. 
» » ALLMAN 1888 p.IX,XXIIE, LXVI-LXVIIL, 
5, pl. 3, fig. 1-7. 
» » LOMAN 1889 p. 270. 


Monocaulus pendulus (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux ILf, p. 328 et IV, p. 320. 


Corymorpha pendula Brooks 1882 p. 145. 
» » WEISSMANN 1883 p. 429, pl:112, fig 4 
» » CLARKE 1888 p. 81. 
Monocaulis pendula CLARKE 1888 p. 81, fig. 73. 
Monocaulus pendula LOManN 1889 p. 269, 270. 


Gen. Monopoma Marktanner 1890. 


Monopoma variabilis Marktanner. 


Monopoma variabilis MARKTANNER 1890 p. 246, pl. 5, fig. 10 «, b,c. 
Monopoma variabilis var. MarKTANNER 1890 p. 247. 


Gen. Monosklera Lendenfeld 1885. 


LENDENFELD (1885 (b) p. 908, 910) a créé ce genre pour une 
espèce qui est synonyme d’Obelia geniculata; il doit donc dispa- 
raitre. 

Gen. Monostæchas Allman 1877. 
Voir : Matériaux IV, p. 321. 


Monostæchas dichotoma Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 321. 
Monoslæchas dichotoma  Fewkes 1881 (a) p. 128. 
» » ALLMAN 1833 p. 15. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 153 
Monostæwchas dichotoma  Driesca 1890 (b) p. 676. 
Monostæchas dichotoma  KinkPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Monostæchas quadridens (Mac Crady). 


Voir : Matériaux IIf, p. 328 et IV, p. 321. 


Gen. Myriothela Sars 1851. 


Voir : Matériaux IF, p. 91; IE, p. 328 et IV, p. 321. 


Myriothela cocksi (Vigurs). 


Voir : Matériaux LE, p. 92 ; ILE, p. 329 et IV, p. 321. 


Myriothela cocksi ._ STORM 1882 p. 7, 28, 30. 

» » PENNINGTON 1885 p. 8, pl. 9, fig. 4. 
Myriothèle KOROTNEFF 1888 p. 21 ss., pl. 1 et 2. 
Myriothela phryqra Bourxe 1890 (b) p. 392. 


Myriothela phrygia (Fabricius). 
Voir : Matériaux Il, p. 92; ILE, p. 329 et IV, p. 322. 


Myriothela phryqia STORM 1880 p. 122. 
» » : STOKM 1882 p. 8, 28, 30. 
» » ALLMAN 1888 p. XXI, XLIV. 
» » DriescH 1890 (c) p. 154. 


Gen. Nematophorus Clarke 1879. 
Voir : Matériaux IV, p. 322. 


Ce genre n’a pas été admis. NUTTING (1900, p. 121) à montré 
que la seule espèce qu’il renfermait devait rentrer dans le genre 
Lytocarpus. 


Nematophorus grandis Clarke. 


Voir : Lytocarpus grandis. 


M. 


BEDOT 


Gen. Nemertesia Lamouroux 1812. 


Voir : Matériaux, I, p. 455, II, p. 92, ILE, p. 330 et IV, p. 332. 


Nemertesia antennina (Linné). 


Voir : Matériaux I, p. 455; II, p. 92; III, p. 330 et IV, p. 322. 


Syn. : Nemertesia pentasticha (Pieper). 


Voir : 


Antennularia antennina 
» » 
Antennularia cruciata 


Antennularia antennina 


» » 
)) » 
» » 
» )) 
» » 
» D) 
» » 
» » 


Nemertesia antennina 
Nemertesia cruciata 
Nemertesia pentasticha 
Antennularia janini 
Antennularia antennina 
Antennularia cruciata 
Antennularia pentasticha 
Antennularia antennina 

)) D] 

» D] 
Nemertlesia antennina 
Antennularia antennina 


BYERLEY 


LESLIE a. HERDMAN 


Pieper 
HAMANN 


MEREJKOWSKY 


MEREJKOWSKY 


STORM 
VARENNE 


ALLMAN 
MARION 
MARION 
WEISMANN 


CaRus 
CaRuS 
CARUS 
GRÆFFE 
PIEPER 
PIePER 
PIEPER 
REES 


PENNINGTON 


Queccx 
VERRILL 
WAGNER 
HERDMAN 
HERDMAN 


Matériaux IV, p. 324. 


1854 p. 104. 

1881 p. 17. 

1881 p. 41 ss., pl. 2, fig. 1-4. 

1882 (a) p. 529. 

1882 (a) p. 280. | 

1882 (b) p. 583, 595 ss., pl. 29 

B; h9.41:1%2.0 

1882 p. 3. 21. 

1882 (b) p. 678, 679, 680, pl. 
31, fig. 3-5. 

1883 p. 15, 24-26. 

1883 (a) p. 94, 108. 

1883 (b) p. 23. 

1883 p. 188, 222, pl. 5, fig. 3, 


pl. 9, fig.:9; 
188% p. 19. 
188% p. 19. 
1884 p. 19. 
1884 p. 399. 
1884 p. 187. 
1884 p. 218. 
1884 p. 218. 
1884 p. 585. 


1885 p. 123, pl. 9, fig. 2. 
1885 (a) p. 6, 9. 

1885 (a) p. 537. 

1885 p. 8. 

1886 (a) p. 10. 

1886 (b) p. 330. 


HISTOIRE 


Antennularia antennina 


» 2] 
» » 
» D] 
» ? » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 


MELLY, Hicks a. 
HERDMAN 

NicHocs a. HADDON 

BÉTENCOURT 

BÉTENCOURT 

Lo Braxco 

HALLEZ 

LoMAN 

SEGERSTEDT 

BOURNE 

BoURNE 

HALLEZ 

MARKTANNER 


DES HYDROÏDES. — V. 


1886 p. 112. 
1886 p. 615. 
1887 p. 67. 
1888 p. 
1888 p. 387. 

1889 p. 40. 

1889 p. 263. 

1889 p. 14, 49, 27. 
1890 (a) p. 319. 
1890 (b) p. 393, 397. 
1890 p. 95. 


1890 p. 260, 261, 279. 


210, 212, 214. 


ot 


L'étude des Hydroïdes de la collection Lamouroux a conduit BizLarn (1909) 
à rapporter la Cymodocea ramosa Lmx. à Nemertesia antennina (L.) et nous 


avions adopté cette manière de voir dans la 3° période de nos Matériaur. 


Mais nous nous demandons, maintenant, s’il n°v a pas eu, peut-être, une con- 


fusion parmi les spécimens de cette collection, car en examinant les figures 


données par Lamouroux (1816, pl. 7, fig. 1) on voit que la colonie de Cymo- 


docea ramosa qu’il représente a absolument l'aspect caractéristique de N. ra- 


mos«. 


Nemertesia cymodocea (Busk). 
Voir : Matériaux II, p. 331 et IV. p. 323. 


Syn. : Nemertesia decussata Kirchenpauer. 


Antennularia decussata 
Antennularia cymodocea 
» » 
Antennularia decussata 
Antennularia cymodocea 
Antennularia cymodoca 
Antennularia cymodocea 
Anteunularia decussata 
» » 

Nemertesia decussata 
Antennularia cymodocea 


» » 


PrEPER 
BALE 

BALE 

BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
QueLcH 
BALE 

BALE 
LENDENFELD 
KIRKPATRICK 


Voir : Matériaux IV, p. 323. 


41-43. 
20. 
32, 146. 


1881 p. 
1882 p. 
1884 p. 
1884 p. 147. 
1885 (a) p. 626. 
1885 (a) p. 478. 
1885 (d) p. 642. 
1885 (a) p. 9. 
1887 p. 82. 
1887 p. 82. 
1887 (c) p. 26. 
1890 (a) p. 610. 


156 M. BEDOT 


Nemertesia decussata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 610. 
Antennularia decussata  MARKTANNER 1890 p. 258, pl. 0, fig. 7. 


Nemertesia decussata Kirchenpauer. 


Voir : Nemertesia cymodocea. 


Nemertesia fascicularis (Allman). 
Antennularia fascicularis ALLMAN 1883 p. 22-24, pl. 4, fig. 5, 6. 
» » ALLMAN 1888 p. LXIII, LXIX. 


Nemertesia hexasticha Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 323. 


Antennularia hexasticha Piper 1881 p. 42. 
Nemertesia hexasticha JICKELI 1883 p. 646. 
Antennularia hexasticha  Quel.cH 1885 (a) p. 9. 


Nemertesia intermedia Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 324. 


Nemertesia irreqularis (Quelch). 


Antennularia irregularis QUELcH 1885 (a) p. 8, pl. 2, fig. 4. 


Nemertesia johnstoni Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 324. 


Antennularia johnsloni  PIEPER 1881 p. 42, 43. 
» » QuELcH 1885 (a) P. 9. 


Nemertesia norvegica (G.-0. Sars). 
Voir : Matériaux IV, p. 324. 


Heleropyxis norvegica SToRM 1882 p. 3, 22, 27. 
Antennularia norvegica  QueLcu 1885 (a) p. 10. 
Heleropyxis norvegica BALE 1887 p. 81-82. 


En | 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 415 


Nemertesia paradoxa Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 324. 
Antennularia paradoæa  PIEPER 1881 p. 22. 
Nemertesia pentasticha (Pieper). 


Voir : Nemertesia antennin«. 


Nemertesia perrieri Billard var. antennoides Billard. 


Antennularia janini MARKTANNER 1890 p. 259, pl. 6, fig. 9-9 a. 


Nemertesia ramosa Lamouroux. 
Voir : Matériaux I, p. 457; Il, p. 93; IL, p. 331 et IV, p. 324. 
Syn. : Nemertesia simplex (Allman). 


Voir : Matériaux IV, p. 325. 


Anteñnularia ramosa BYERLEY 1854 p. 104. 

» » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 17. 

» » HAMANN 1882 (a) p. 529, 530, pl. 25, 

fig. 12-14. 
Antennularia ramulosa  MEREIKOWSKY 1882 (a) p. 280. 
Antennularia ramosa MEREJKOWSKY L882 (b) p. 585, 595 ss., pl. 29 
B, fig. 7-8, 10. 

Nemertesia janinia JICKEU 1883 p. 646. 
Anlennularia ramulosa  MEREIKOWSKY 1883 (a) p. 82. 
Antennularia ramosa MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 115. 
Nemertesia janini CARUS 1884 p.19; 
Nemertesia ramosa CaARUS 1884 p. 19. 
Antennularia ramosa PENNINGTON 1885 p. 123. 
Antennularia janini QuELCH 1885 (a) p. 9. 
Antennularia profunda  Querca 1885 (a) p. 10, pl. 2, fig. >. 
Antennularia ramosa QUELCH 1885 (a) p. 10. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 323, 330. 

» » MELLY, Hicks a. 

HexpmMaAn 1886 p. 112. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 


» » BÉTENCOURT 1888 p. 212, 214. 


158 M. BEDOT 


Antennularia ramosa Lo Bianco 1888 p. 387. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 95. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » HoyLe 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 20, 22, 27, pl. 1, tig. 1. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 397. 
» » MARKTANNER 1890 p. 259, pl. 6, fig. 8. 


Voir Ja note à Nemertesia anlennina. 


Nemertesia simplex (Allman). 


Voir : Nemertesia ramosa. 


Nemertesia tetrasticha (Meneghini). 
Voir : Matériaux ILE, p. 332 et IV, p. 325. 


Heteropyxis tetrasticha  Pieper 1881 p. 4, 42. 
Nemertesia tetrasticha CARUS 1884 p. 19. 
Heteropyæis tetrasticha  PIeper 1884 p. 166, 186, 187, 188. 
Antennularia tetrasticha Quricn 1885 (a) p. 10. 
» » MARKTANNER 1890 p. 259, 260, pl. 6, fig. 40. 


Nemertesia triseriata (Pourtalès). 
Voir : Matériaux IL, p. 333 et IV, p. 325. 


La description de cette espèce, donnée par PourraLËs, est trop incomplète 
pour permettre de la reconnaître. Nous la placerons donc dans les espèces 
indéterminables. 


Gen. Nemopsis J. Agassiz 1850. 


Voir : Matériaux IIL, p. 333 et IV, p. 326. 


Nemopsis bachei L. Agassiz. 
Voir : Matériaux Il, p. 140; IE, p. 333 et IV, p. 326. 


Nemopsis bachei Brooks 1882 p. 136, 143. 
» » Brooks 1883 (a) p. 468. 
» » FEWKES 1888 (a) p. 233. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 159 


Gen. Nuditheca Nutting 1900. 
Voir : Matériaux IV, p. 326. 
Nuditheca dalli (Clark). 


Voir : Matériaux IV, p. 326. 


Gen. Obelia Peron et Lesueur 1809-Hincks 1868. 


Voir : Matériaux I, p. 457 ; II, p. 95 ; LI, p. 333 et IV, p. 326. 


Obelia adelungi Hartlaub. 


Obelia adelungi HARTLAUB 1884 p. 164,166,171, 172, 182, 
fig. 1, pl PRE 
5, 6, pl. 12, fig. 20, 


23, 91. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 95. 
» » WAGNER 1890 p. 297. 
Obelia andersoni Hincks. 
Obelia andersoni Hixcks 1887 p. 132, pl. 12, fig. 2-4. 
Obelia angulosa Bale. 
Obelia angulosa BALE 1888 p. 752, 754, pl. 12, fig. 3. 


Obelia arruensis Marktanner. 


Obelia arruensis MARKTANNER 1890 p. 210, pl. 3, fig. 8. 


Obelia australis Lendenfeld. 


Obelia australis LENDENFELD 1885 (a) p. 604, 630. 
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 920, pl. 43, 
fig. 19-22, 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. 
» » BALE 1888 p. 748, 753, pl. 12, fig. 1-2. 


» » MARKTANNER 1890 p. 209. 


160 M. BEDOT 


Obelia bicuspidata Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 326. 


Obelia bicuspiutlala Hixcks 1887 p. 133. 


Obelia bidentata Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 326. 
Obelia bidentata BALE 1888 p. 756. 


Obelia (2) bifurca Hincks. 


? Obelia bifurca Hixcks 1887 p. 133, pl. 12, fig. 4. 


Obelia chinensis Marktanner. 


Obelia chinensis MARKTANNER 1890 p. 209, pl. 3, fig. 6-7. 


Obelia commissuralis Mac Crady. 
Voir : Matériaux I, p. 334 et IV, p. 326. 


Obelia commissuralis Brooks 1882 p. 136. 


Obeliu dichotoma (Linné). 


Voir : Matériaux I, p. 429; If,-p. 49; INT, p. 334 et IV, p. 327. 


Campanularia dichotoma Lreuekarr 1847 (c) p. 87. 
Laomedea dichotomu BYERLEY 1854 p. 105. 
Obelia dichotoma Du PLESssis 1881 (a) p. 148. 

» » LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 12. 

» » STORM 1882 p. 3, 13, 28-30. 

» » MARION 1883 (b) p. 23. 

» » WEISMANN 1883 p. 157, 220. 
Laomedea dichotoma LELLER 1883 p. 106. | 
Obelia sphærulina Carus 1884 p. 29. 
Obelia dichotoma R&ES 1884 p. 579, 587. 
Obelia sphærulina REES 1884 p. 587. 
Obelia dichotoma THOMPSON 1884 p. 4, 8. 

» » PENNINGTON 1885 p. 83. 


ms » VERRILL 1885 (a) p. 537. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 161 


Obelia dichotoma HERDMAN 1886 (a) p. 8. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 

» » MELLY, HIcks a. 

HERDMAN 1886 p. 103. 

» » NicHozs a. HappoN 1886 p. 615. 

» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 

» » THOMPSON 1887 p. 389, 391, 392. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 205. 
Obelia sphærulina DALLA TORRE 1889 p. 94. 
Obelaria dichotoma DRIESCH 1889 p. 195. 
Obelia dichotoma DRIESCH 1889 p. 194. 

» » HALLEZ 1889 p. 40. 
Obelia dichotoma var. SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. 
Obelia dichotoma BouRNE 1890 (b) p. 394. 

» » MARKTANNER 1890 p. 208, 209. 
Obelia dichotoma var. MARKTANNER 1890 p. 209. 


Obeliu divaricata Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 327. 


Obelia flabellata Hincks. 


Voir : Matériaux If, p. 95 et 140; IN, p. 336 et IV, p. 328. 


Obelia flabellata SToRM 1882 p, 3, 13, 28-30. 
» » PENNINGTON 1885 p. 84. 
» » WAGNER 1885 p. 60, 69, pl. 1, fig. 15. 
» » HADDoN 1886 (a) p. 524. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329. 
» » Meccy, HIcks a. 
HErDMAN 1886 p. 102. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 205, 206, 210. 
Obelaria flabellata DRIESCH 1889 p. 195. 
Obelia flabellata DriEscH 1889 p. 194. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. 
» » MARKTANNER 1890 p. 209, 210. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 11 


162 


M. BEDOT 


Obelia fusiformis (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux IT, p. 336 et IV, p. 328. 


Obelia gelatinosa (Pallas). 


Voir : 
Campanularia gelatinosa 
Laomedea gelatinosa 
Obelia gelatinosa 

» )) 
Campanularia gelatinosa 
Obelia gelatinosa 


? Obelia leucostyla 
? Obelia gelatinosa 


Laomedea gelatinosa 


Matériaux I, p. 430; II, p. 50; IN, p. 336 et IV, p. 328. 


LEUCKART 1847 (c) p. 87. 
BYERLEY 1854 p. 105. 
Du PLessis 1881 (a) p. 148. 
LENZ 1882 p. 177. 
LENZ 1882 p. 171, 
S'TORM 1882 p. 12, 13. 
WEISMANN 1883 p. 157. 
CARUS 1884 p. 30. 
CaRUS 1884 p. 29. 
GRÆFFE 1884 p. 356. 
HARTLAUB 1884 p. 164. 
REES 1884 p. 577. 
GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. 
PENNINGTON 1885 p. 82, pl. 4, fig. L. 
HERDMAN 1886 (b) p. 329. 


MELcy, Hicks a. 


HERDMAN 1886 p. 102. 
BERGH 1887 p. 333. 
BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
BÉTENCOURT 1883 p. 205. 
Lo BrANco 1888 p. 388. 
DRIESCH 1889 p. 194, 195, 197, 198, 
204, 218. 
DRIESCH 1890 (b) p. 670, 671, 681. 
MARKTANNER 1890 p. 210. 


Obelia geniculata (Linné). 


Obelia gelatinosa 

9 D] )) 
» D) 
) » 
» » 
)) » 
D] » 
) » 
» » 
» » 

Voir : 


Matériaux [, p. 430, 431; IT, p. 51; IL, p. 338 et IV, p. 329. 


Syn.: Laomedea diaphana À. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 324 et IV, p. 316. 


Campanularia geniculata Levckarr 


Laomedea geniculata 


BYERLEY 


1847 (c) p. 87. 
1854 p. 105. 


HISTOIRE 


Obelia geniculata 


» D) 

» » 

» » 

) » 

» » 

» » 
Campanularia lairi 
Obelia geniculata 

» ) 

» » 


Obelia lucifera 
Campanularia geniculata 
Obelia geniculata 

» ) 
Laomedea lairii 
Obelia geniculata 
Monosklera pusilla 


» pas 
Laomedea lairii 
Obelia geniculata 

» » 
Schizocladium ramosum 
Obelia geniculata 
Laomedea geniculata 
Obelia geniculata 


Thaumantias lucida 
» » 


Obelia geniculata 


» » 
Laomedea lairii 
Monosklera pusilla 
Obelia geniculata 


Du P£LEssis 
LESLIE à, HERDMAN 
SCHMIDTLEIN 
VARENNE 

BALE 

HAMANN 

STORM 

VARENNE 
WEISMANN 

BALE 

BALE 

CARUS 

HARTLAUB 
HARTLAUB 
KLAATSCH 
RATHBUN a. TARR 
THOMPSON 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
PENNINGTON 
PENNINGTON 
VERRILL 
WAGNER 
WAGNER 


CLUBB 

HERDMAN 

MEzzy, Hicks a. 
HERDMAN 

Nicozs a. HADDON 

BÉTENCOURT 

LENDENFELD 

LENDENFELD 

LENDENFELD 


DES HYDROÏDES. 


RAY: 163 


1881 
1881 
1881 
1881 


(a) p. 148, ex. syn. p. p. 

Dr 42. 

nazis 

(a) p. 346. 

1882 p. 19. 

1882 (a) p. 526. 

1882 p. 42. 

1882 (b) p. 659, 696, pl. 35. 

1883 p. 157, 220, 240, 263. 

1884 p. 53, pl. 2, fig. 7. 

1884 p. 31, 59, pl. 2, fig. 2. 

1884 p. 29. 

1884 p. 

1884 p. 

1884 p. 54? 

1884 p. 215. 

1884 p. L, 8. 

1885 (a) p. 403, 622. 

1885 (a) p. 590, 603, 630. 

1885 (b) p. 908, 911, pl. 
fig. 1-3. 

1885 (d) p. 629. 

1885 (d) p. 629. 

1885 (d) p. 657. 

1885 p. 81, pl. 4, fig. 3. 

1885 p. 92. 

1885 (a) p. 594. 

1885 p. 46, 48, 49, 53, 69. 

1885 (pas de pages), pl. 4, fig. 

15 A. 
1886 p. 116. 
1886 (b) p. 325, 330. 


40, 


1886 p. 102. 
1886 p. 615. 
1887 p. 67. 
1887 (c) p. 17. 
1887 (c) p. 17. 
1887 (c) p. 37. 


164 


Obelia geniculata 


Obelia lucifera 
Obelaria geniculata 
Obelia geniculata 

» » 
Thaumantias lucifera 
Obelia geniculata 


Obelia geniculata var. 1 
») » VAT Ne 
» » var. 3 


M. BEDOT 


ALLMAN 


BALE 
BÉTENCOURT 
Lo Bianco 
DALLA TORRE 
DRIESCH 
DRIESCH 
GRABER 
M'Inrosx 
SEGERSTEDT 
BOoURNE 
DRIESCH 
M'Ixrosx 
MARKTANNER 
MARKTANNER 
MARKTANNER 
MARKTANNER 


1888 p. LVI, LXIV, LXVIT, 
LXVIIL, 23, 28, pl. 12, 
hole 4rar 

1888 p. 752, 754, 775. 

1888 p. 206. 

1888 p. 388. 

1889 p. 94. 

1889 p. 195. 

1889 p. 194-196, 216. 

1889 p. 745. 

1889 p. 264, 272, 278. 

1889 p. 12, 25. 


1890 (b) p. 394. 
1890 (b) p. 660. 
1890 (b) p. 302. 


1890 p. 
1890 p. 
1890 p. 
1890 p. 


207, 208. 

207. 

208, pl. 3, fig. 9. 
208. 


Obelia helgolandica Hartlaub. 


Obelia helgolandica 


? Obelia longicyatha 


HARTLAUB 


DaALLA TORRE 
WAGNER 


VERRILL 


1884 p. 


1889 p. 


1890 p. 


Obelia hyalina Clarke. 
Voir : Matériaux IV, p. 330. 


Voir : Matériaux IV, p. 330. 
1885 (a) p. 537. 


Obelia longissima (Pallas). 


165. 166, 172, 178, 
182, fig. LL, pl. 11, fig. 
3, 4, 13. 

95. 


297. 


Obelia longicyatha Allman. 


Voir: Matériaux I, p. 457; IL, p. 95; IL, p. 341 et IV, p. 330. 


Obelia longissima 
Eucope polystyla 


LesLie a. HeRDMAN 1881 p. 12. 


CLAUS 


1882 p. 287. 


Eucope polystyla 
Obelia polystyla 
Obelia longissima 


Obelia polystyla 
Obelia longissima 
Eucope polystyla 
Obelia longissima 
Obelia polystyla 
Obelarie longissima 
Obelia longissima 


» D) 


HISTOIRE 


CLAUS 
MEREIKOWSKY 
CARUS 
RKES 
PENNINGTON 
Meczy, Hicxs a. 
HERDMAN 
METSCHNIKOFF 
THOMPSON 
ALLMAN 
CLARKE 
DALLA TORRE 
DrrescH 
DRIESCH 
BOURNE 


Obelia marginata 


Voir : Lytoscyphus marginatus. 


DES HYDROÏDES. — V. 


165 


1883 p. 86. 
1853 (b) p. 99. 
1884 p. 30. 
1884 p. 579. 
1885 p. 83. 


1886 p. 102. 

1886 (b) p. 20, 26, 54. 
1887 p. 387, 389, 391. 
1888 p. XXXVII. 

1888 p. 83, 84. 

1889 p. 95. 

1889 p. 195. 

1889 p. 194, 195, 197. 
1890 (b) p. 39%, 


Allman. 


Obelia piriformis (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux III, p. 342 et IV, p. 331. 


Obelia plicata 
2) » 
) ) 
ty » 
nu » 
» » 
» » 


Obelia plicata var. 


Obelia plicata Hincks. 
Voir : Matériaux IT, p. 342 et IV, p. 331. 


JICKELI 
CaRus 
HARTLAUB 
PIEPER 
PENNINGTON 
DriescH 
MARKTANNER 
MARKTANNER 


1883 p. 634, pl. 28, fig. 5-8. 
1884 p. 30. 

1884 p. 164. 

1884 p. 164. 

1885 p. 84. 

1889 p. 198. 

1890 p. 208, 210. 

1890 p. 208. 


Obelia polygena Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 332. 


Obelia pygmæa Coughtrey. 
Voir : Matériaux IV, p. 332. ? 


166 M. BEDOY 


Gen. Oorhiza Mereschkowsky 1877. 


Voir : Matériaux IV, p. 332. 


Oorhiza borealis Mereschkowsky. 


Voir : Matériaux IV, p. 332. 


Oorhiza borealis WAGNER 1885 p. 60, 69,.71, pl. 1, fig. 
18-20, pl. 2, fig. 1-4. 
Hydractinia borealis BERGH 1887 p. 331. 
Hydractinia (oorhiza) 
borealis  BerGu 1887 p. 332. 
Oorhiza borealis BERGH 1887 p. 331. 


Gen. Opercularella Hincks 1868. 


Voir : Matériaux IL, p. 95; LILI, p. 342 et IV, p. 332. 


Opercularella lacerata (Johnston). 
Voir : Matériaux Il, p. 95; ILE, p. 342 et IV, p. 332. 


Opercularella lacerata  Lestie a. HErDMAN 1881 p. 13. 


» » WEISMANN 1883 p. 150, 190, 220, 226, pl. 
24, fig. 2-6. 

» » PENNINGTON 1885 p. 94. 

» » THALLWITZ 1885 p. 389, 403, pl. 12, fig. 
10-12. 

» » MELLy, Hicxs a. 

Herman 1886 p. 105. 

» » BÊTENCOURT 1888 p. 208. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 95. 

» » MARKTANNER 1890 p. 215. 


Opercularella pumila Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 332. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 167 


Gen. Ophiodes Hincks 1866. 


Voir : Matériaux IIL, p. 343 et IV, p. 332. 


Ophiodes mirabilis Hincks. 


Voir : Matériaux III, p. 343 et IV, p. 333. 
Ophiodes mirabilis WEISMANN 1883 p. 95. 
» » PENNINGTON 1883 p. 105. 


Gen. Ophionema Hincks 1874. 


Voir : Matériaux IV, p. 353. 


Ophionema parasiticum G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 333. 


Ophiodes parasitica ALLMAN 1883 p. 6 (note). 


Gen. Oplorhiza Allman 1877. 


Voir : Matériaux IV, p. 333. 


VERRILL (1885 (a)) écrivait par erreur Opalorhza. 


Oplorhiza parvula Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 333. 


Oplorhiza parvula ALLMAN 1883 p. 6 (note). 
Opalorhiza parvula VERRILL 1885 (a) p. 537. 


Gen. Pachycordyle Weismann 1883. 


Pachycordyle napolitana Weismann. 


Pachycordyle napolitana  Wrismanx 1883 p. 87, 217, pl. 6, fig. 6. 


168 M. BEDOT 
(en. Pasythea Lamouroux 1812. 
Voir : Matériaux 1, p. 458; IT, p. 96; IE, p. 344 et IV, p. 334. 


Pasythea gracilis Dana. 


Voir : Matériaux II, p. 96; LIT, p. 344 et IV, p. 334. 


Pasythea hexodon Busk. 
Voir : Matériaux IIT, p. 344 et IV, p. 334. 


Pasythea hexodon BALE 1884 p. 113, pl. 9, fig. 43. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 419, 624. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 634. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 
» » BALE 1888 p. 757,771, pl. 14. fig. 8-9. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Pasythea philippina Marktanner. 
Pasythea philippina MARKTANNER 1890 p. 234, 239, pl. 4, fig. 8-8 a. 


Pasythea quadridentata (Ellis et Solander). 
Voir : Matériaux I, p. 458; Il, p. 96; IL, p. 34% et IV, p. 334. 


Pasythea quadridentata BALE 1884 p. 31, 112, pl. 7, fig. 3. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 419, 624. 
» » LENDENFELD - 1885 (d) p. 633. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. 
» » BALE 1888 p. 770, 771, 784, pl. 14, 
fig. 6-7. 
» » MARKTANNER 1890 p. 234. 


Pasythea quadridentata (EN. et Sol.) var. balei Billard. 
Voir : Matériaux I, p. 440; IT, p. 68; I, p. 344 et IV, p. 334. 


Dynamena obliqua BALE 1884 p. 94. 
Sertularia obliqua BALE 1884 p. 96. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 


» » LENDENFELD 1887 (e) p. 43. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V, 169 


Gen. Pennaria Oken 1815. 


Voir : Matériaux I, p. 458; IT, p. 96; II, p. 344 et IV, p. 334. 


Pennaria adamsia 


)» » 
» )) 
) » 


Pennaria australis 
} ) 


Pennaria rosea 


Pennaria australis 
Pennaria rosea 
Pennaria australis 
Pennaria rosea 
Pennariu australis 
Pennaria rosea 


Pennaria adamsia Lendenfeld. 


LENDENFELD 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
MARKTANNER 


1885 (a) p.595, 629, pl. 25, fig. 
43-48, pl. 26, fig. 49. 

1885 (4) p. 653. 

1887 (c) p. 34. 

1890 p. 201. 


Pennaria australis Bale. 


BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 
BALE 


1884 p. 45. 

1885 (a) p. 593, 629. 

1885 (a) p. 594, 629, pl. 24, 
fig. 40-42. 

1885 (d) p. 653. 

1885 (d) p. 653. 

1887 (c) p. 34. 

1887 (c) p. 34. 

1888 p. 747. 

1888 p. 747. 


Pennaria disticha Goldfuss. 


Voir : Matériaux I, p. 459; [T, p. 96; III, p. 344 et IV, p. 334. 


Pennaria cavolinii 


» » 
) » 
» » 
» » 
» » 
» » 
) » 


Du PLESssIs 
HAMANN 


HAMANN 
MEREJKOWSK Y 
WEISMANN 


BALE 
CARUS 
LENDENFELD 


1881 (a) p. 147. 

1882 (a) p. 481, 520, pl. 21, 
fe AAA ZDIS29 
fig. 12. 

1882 (b) p.546, pl. 26, fig. 17-18. 

1883 (a) p. 82. 

1883 p. 121, 218, pl. 17, fig. 1-5, 

pl. 18. 

1884 p. 45. 

1884 p. 6. 

1885 (a) p. 995. 


170 M. BEDOT 


Pennaria cavolinii THALLWITZ 1885 p. 389, 408, pl. 12, fig. 
13-14, pl. 13, fig. 15-20. 
» » Lo Branco 1888 p. 389. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 678. 
Pennaria pennaria MARKTANNER 1890 p. 201. 


Pennaria gibbosa Li. Agassiz. 
Voir : Matériaux IIL, p. 345 et IV, p. 335. 


Pennaria gibbosa Du PLessis 1881 (a) p. 147. 
» » HAMANN 1882 (a) p. 520. 
» » WEISMANN 1883 p. 121. 
» » BALE 1882 p. 45. 
» » CARUS 1884 p. 6. 


Pennaria inornata Brooks. 


Pennaria inornata BROOKS 1882 p. 136, 144. 


Pennaria symmetrica Clarke. 
Voir : Matériaux IV, p. 339. 


Pennaria symmetrica BALE 1888 p. 747. 


Pennaria tiarella (Ayres). 
Syn. : Halocordyle tiarella (Ayres). 
Voir : Matériaux II, p. 309 et IV, p. 302. 


Pennaria tiarella Brooks 1882 p. 136. 
» » CLARKE 1888 p. 80, pl. sans n°, p. 86, 
fig. 1, 2. 
Globiceps tiarella RATHBUN a. TaRR 1884 p. 216. 


Gen. Pentandra Lendenfeld 1884 (b). 


Pentandra balei Lendenfeld. 


Pentandra balei LENDENFELD 1885 (a) p. 490, 628, pl. 14, 
fig. 18, pl. 16, fig. 
20127 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 171 


Pentandra balei LENDENFELD 1885 (d) p. 648. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 31. 


Pentandra parvula Lendenfeld. 


Pentandra parvula LENDENFELD 1885 (a) p. 489, 628, pl. 14, 
fig. 19, pl. 16, fig. 
24, 25. 
» » LENDENFELD 1885 (d, p. 648. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 31. 


Gen. Perigonimus Sars 1846. 
Voir : Matériaux II, p. 97; III, p. 345 et IV, p. 335. 
Perigonimus abyssi G.-0. Sars. 


Voir : Matériaux IV, p. 335. 


Perigonimus abyssi STORM 1880 p. 122. 
» » STORM 1882 p. 10. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. 


Perigonimus apicatus Brooks. 


Perigonimus ( Stomatoca) 
apicata Brooks 1884 p. 711. 


Perigonimus (©) bitentaculatus (Wright). 
Voir : Matériaux IT, p. 345 et IV, p. 335. 


Perigonimus bitenta- 
culatus  LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
? » » PENNINGTON 1885 p. 66. 


Perigonimus cidaritis Weismann. 


Perigonimus cidaritis WEISMNAN 1883 p. 117, 118, pl. 12, fig. 
10-11. 


Perigonimus (2) coccineus (Wright). 


Voir : Matériaux IT, p. 345 et IV, p. 335. 


Perigonimus coccineus  LesLie a. HerDMAN 1881 p. 10. 
? » » PENNINGTON 1885 p. 66. 


172 M. BEDOT 


Perigonimus formosus Fewkes. 


Perigonimus formosus  FEWKES 1889 (b) p. 102. 


Perigonimus linearis (Alder). 


Voir : Matériaux III, p. 346 et IV, p. 336. 


Perigonimus linearis Du PLEssis 1881 (a) p. 146. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
» » WEISMANN 1883 p. 116, 117. 
» » CaRUus 1884 p. 4. 
? » » PENNINGTON 1885 p. 65. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203. 
? » » Du PLessis 1888 p. 540. 
» » Lo Bianco 1888 p. 389. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 22. 
» » MARKTANNER 1890 p. 206. 


Perigonimus (?) miniatus (Wright). 
Voir : Matériaux II, p. 346 et IV, p. 336. 


Perigonimus miniatus  LesLiE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
? » PENNINGTON 1885 p. 66. 


Perigonimus minutus Alman. 
Voir : Matériaux II, p. 346 et IV, p. 336. 


Perigonimus minutus PENNINGTON 1885 p. 64. 


Perigonimus multicornis Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 336. 


Perigonimus muscoides Sars. 
Voir : Matériaux Il, p. 97; ILE, p. 346 et IV, p. 336. 


Perigonimus muscoides  Srorm 1882 p. 3, 6, 10, 2%, 28, 29. 
» » WEISMANN 1883 p. 115, 116. 
» » SEGERSTEDT 1889,p. 9, 22, 24. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Perigonimus nutans Hincks. 
Voir : Matériaux IV, p. 336. 


? Perigonimus nutans PENNINGTON 1885 p. 66. 


Perigonimus palliatus (Wright). 
Voir : Matériaux II, p. 347 et IV, p. 336. 


Perigonimus palliatus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
» » PENNINGTON 1885 p. 69. 


Perigonimus (?) quadritentaculatus (Wright). 


Voir : Matériaux IIL, p. 347 et IV, p. 336. 


Perigonimus quadri- 
tentaculatus  LesLie a. HERDMAN 1881 p. 10. 
? » » PENNINGTON 1885 p. 66. 


Perigonimus repens (Wright). 
Voir : Matériaux IE, p. 347 et IV, p. 337. 


Perigonimus repens LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
» » STORM 1882 p. 10, 28-30. 
» » WEISMANN 1883 p. 116. 
» » Carus 1884 p. 4. 
» » PIEPER 1884 p. 149. 
» » PENNINGTON 1885 p. 64. 
» » Du PLESsIs 1888 p. 539. 
» » HoYLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 9, 24. 
» » BOouURNE 1890 (b) p. 393. 
» » MARKTANNER 1890 p. 200. 


Perigonimus serpens Allman. 
Voir : Matériaux II, p. 348 et IV, p. 337. 


Perigonimus serpens WEÆISMANN 1883 p. 116. 
» » CARUS 1884 p. 4. 
» » PENNINGTON 1885 p. 69. 
» » CHUN 1889 p. d24. 


» » FEWKES 1889 (b) p. 102. 


173 


174 M. BEDOT 


Perigonimus sessilis (Wright). 
Voir : Matériaux IIT, p. 348 et IV, p. 337. 


Perigonimus sessilis LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
» » WEISMANN 1853 p. 116. 
) ) PENNINGTON 1885 p. 64. 


Perigonimus steinachi Jickeli. 
Perigonimus steinachi JIcKEn 1883 p. 617, 658, pl. 27, fig. 1-9. 
» » GRÆFFE 1884 p. 350. 
Perigonimus sulfureus Chun. 


Perigonimus sulfureus  CHuN 1889 p. 524. 


Perigonimus vestitus Allman. 
Voir : Matériaux IIL, p. 348 et IV, p. 337. 


Perigonimus vestitus LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 10. | 
» » JICKELI 1883 p. 621, 667. 
» » WEISMANN 1883 p. 116, 117. 
» » PENNINGTON 1885 p. 65. 
» » SEGERSTED l 1889 p. 22. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 393. 


Gen. Perisiphonia Allman 1888. 


Perisiphonia filicula Allman. 


Perisiphonia filicula ALLMAN 1888 p. LVII, LXII, LXV, 
LXVIIT, 43-46, pl. 22, 
fig. 1-4. 
» » DRIESCH 1889 p. 202. 


Perisiphonia pectinata Allman. 


Perisiphonia pectinata  ALLMAN 1888 p. LVII, LXV, LXVIIT, 
43-45, pl. 21, fig. 2-20. 


QT 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Î 


1 


Gen. Pleurocarpa Fewkes 1881. 


Pleurocarpa ramosa Fewkes. 


Pleurocarpa ramosa FEWKES 1881 (a) p. 129, 136, pl. 3, fig. 
XD: 
» » ALLMAN 1883 p. 14. 
» » BALE 1887 p. 89. 
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 137, fig. 440. 


Gen. Plumularia Lamarck 1816. 


Voir : Matériaux [,.p. 459; If, p: 97; IIT, p. 348 et IV, p. 337. 


Plumularia abietina Allman. 


Plumularia abietina ALLMAN 1883 p.21, pl..3: 
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXIV, LXIX. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


BiccarD (1910, p. 35) considère cette espèce comme une simple variété de 
Plumularia insignis. 


Plumularia aglaophenoides Bale. 


Plumularia aglaophe- 


noides BALE 1884 p. 20, 122, 124, 126, pl. 
10, fig. 6. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 625. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 
» » BALE 1887 p. 79, 94. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 


BicLarD (1907) croit que cette espèce est synonyme de Plumularia sulcata 
Lamarck ou n’en est qu’une variété. 


Plumularia alata Bale. 


Plumularia alata BALE 1888 p. 782, pl. 19, fig. 6-10. 


176 M. BEDOT 


Plumularia annuligera Quelch. 


Plumularia delicatula QuELcH 1885 (a) p. 8, pl. 2, fig. 3. 
» » QueLca 1885 (b) P. 156. 
Plumularia annuligera  QueLcx 1885 (b)-p. 156. 


Plumularia armata Allman. 


Plumularia armata ALLMAN 1883 p. 9, 22, pl. 4, fig. 3, 4. 
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. 
» » Driesca 1890 (b) p. 676. 


Plumularia attenuata Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 337. 
Plumularia attenuata FEWKES 1881 (a) p. 128, 130. 


Plumularia aurita Bale. 


Plumularia aurita BALE 1888 p. 784,pl. 19, fig. 15-19. 


Plumularia australis Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 337. 


Plumularia obliqua 


var. australis BALE 1882 p. 20. 
Plumularia australis BALE 1884 p. 13, 142, 143, pl. 12, 
fig. 7-8, pl. 19, fig. 
L3-4l. 
Plumularia obliqua 
var. australis  PIEPER 1884 p. 216. 
Plumularia australis LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 639. 
» » BALE 1882p. 16:79: 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 24. 


Plumularia badia Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 338. 
Plumularia badia BALE 1882 p. 20. 
» » BALE 1884 p. 31, 128, pl. 18, fig. 1-2. 


Li 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 17 


Plumularia radia LENDENFELD 1883 (a) p. 473, 626. 
Plumularia badia LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 

» » BALE 1887 p. 78. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 


Plumularia bifrons (Heller). 
Voir : Matériaux ILE, p. 349 et IV, p. 338. 


Anisocola bifrons JickeLt 1883 p. 646. 


Plumularia bifrons CARUS 1884 p. 18. 


Plumularia buski Bale. 


Plumularia buski BaLk 1884 p. 40, 195, pl. 10, fig. 3, 
pl. 19, fig. 34-35. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 625. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 
» » BALE 1887 p. 79, 94, 108. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 


Plumularia caliculata Bale. 


Plumularia caliculata BALE 1838 p. 780, pl. 20, fig. 9-14. 


Plumularia californica Marktanner. 


Plumularia californica  MaRKTANNER 1890 p. 255, pl. 6, fig. 4-4 a. 


Plumularia campanula Busk. 
Voir : Matériaux IIL, p. 349 et IV, p. 338. 


Plumularia campanula Bars 1882 p. 19, 45, 46. 

Plumularia indivisa BALE 1882 p. 39, 46, pl. 15, fig. 1. 
Plumularia laxa ALLMAN 1883 p. 19, pl. 1, fig. 5, 6. 
Plumularia campanula BALE 1884 p. 31, 32, 121, 124%, 126, 


197, pl. 10, fig. 3. 
Plumularia campanula 


var. B. BALE 1884 p. 195. 
Plumularia indivisa BALE 1884 p. 121, 125. 
Plumularia campanula  LeNDenreLD 1885 (a) p. 473, 625. 
Plumularia laxa LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626. 
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 12 


178 M. BEDOT 


Plumularia rubra LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626, pl. 13, 
fig. 11, 12, pl. 14, 
fig. 16. 

Plumularia torresia LENDENFELD 1885 (a) p. 477, 626, pl. 13, 
fig. 13, 14, pl. 14, 
fig. 16. 

Plumularia campanula  LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 

Plumularia laxa LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 

Plumularia rubra LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 

Plumularia torresia LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 

Plumularia campanula BALE 1887 p. 79, 80, 94. 

Plumularia laxa BALE 1887 p. 79, 94. 

Plumularia campanula  LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 

Plumularia laxa LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 

Plumularia rubra LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 

Plumularia torresia LENLENFELD 1887 (c) p. 25. 

Plumularia laxa ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. 

Plumularia campanula  BaLe 1888 p. 747, 776, 778, pl. 20, 

fig. 1-6. 
Plumularia laxa BALE 1888 p. 776. 
Plumularia rubra BALE 1888 p. 746, 777, 778, pl. 20, 
fig. 1-6. 

Plumularia torresia BALE 1888 p. 747, 776, 777. 

Plumularia laxa DRIESCH 1890 (b) p. 676. 

Plumularia campanula  MaRKTANNER 1890 p. 255. 

Plumularia laxa MARKTANNER 1890 p. 261. 

Plumularia rubra MARKTANNER 1890 p. 256. 


Plumularia catharina Johnston. 

Voir : Matériaux II, p. 97; IIL, p. 349 et IV, p. 338. 
Syn.: Plumularia geminata Allman. 

Voir : Matériaux IV, p. 341. 


Plumularia catharina 
Plumularia geminata 
Plumularia catharina 


LEUCKART 
FEWKES 


LESLIE à. HERDMAN 


1847 (c) p. 87. 
1881 (a) p. 128. 
1881 p. 17. 


» » STORM 1882 P. 29 21: 
» » ALLMAN 1883 p. 15, 22, 23. 
» » BALE 1884 P. 1921. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 179 


Plumularia catharina  PENNINGTOoN 1885 p. 125. 
» » MELLY, Hicks a. 
HerDMAN 1886 p. 113. 
» » BALE 1887 p. 81. 
» ) DALLA TORRE 1889 p. 95. 
» » HoYLE 1889 p. 460. 
Plumularia catharinæ  SEGERSTEDT 1889 p. 214, 27, pl. 1,.fig. 2. 
Plumularia catharina BOURNE 1890 (b) p. 398. 
» » Dniescu 1890 (a) p. 661. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 669, 670, 
672. 
» DNA MARKTANNER 1890 p. 252, 253. 


Plumularia catharina Johnston var. alternans Driesch. 


Plumularia catharina 
var. allernans  DRIESCH 1890 (a) p. 661. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 662, 664- 
666, 672, 673, 676. 
Plumularia caulitheca Fewkes. 


Plumularia caulitheca  FEWKES 1881 (a) p.129, 130, pl. 3, fig. 4. 


Plumularia clarkei Nutting. 


Voir : Matériaux IV, p. 338. 


Plumularia compressa Bale. 


Plumularia compressa BALE 1882 p. 21, 43, 44, 47, pl. 15, 

fig. à. 

» » BALE 1884 p. 13, 142, 14h, pl. 12, 
fig. 9-10, pl. 19, fig. 
39-40. 

» LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 639. 

» » BALE 1887 p. 79. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 24. 

» » BALE 1888 p. 784, 785, pl. 19, fig. 14. 


180 M. BEDOT 


Plumularia cornucopiæ Hincks. 
Voir : Matériaux IV, p. 339. 


Plumularia cornucopiæ  PENNINGTON 1885 p. 128. 
» » MARKTANNER 1890 p. 257. 


Probablement synonyme de Plumularia diaphana Heller. 


Plumularia cornuta Bale. 


Plumularia cornuta BALE 1884 p. 132, pl. 11, fig. 1-2. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 6926. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 
» » BALE 1887 p. 78, 81, 95. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 


Plumularia cylindrica Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 339. 


Plumularia cylindrica  ALLMAN 1883 p. 20. 
» » BALE 1884 p. 146. 
» » KIRKP ATRICK 1890 (a) p. 609. 


Plumularia delicatula Bale. 


Plumularia delicatula  Bare 1882 p. 40, pl. 15, fig. 2. 
» » BALE 1884 p. 137, pl. 11, fig. 5. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 
» » BALE 1887 p. 79. 

Plumularia delicata LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 

Plumularia delicatula Base 1888 p. 776. 


Plumularia diaphana Heller. 
Voir : Matériaux IIT, p. 349 et IV, p. 339. 


Plumularia diaphana CaRus 1884 p. 18. 
» » Pieper 1884 p. 220. 
» » MARKTANNER 1890 p. 252. 


| pue 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 181 


Plumularia disticha Heller. 
Voir : Matériaux II, p. 350 et IV, p. 339. 


Plumularia disticha PIRPER 1881 p. 41. 
Isocola disticha JiCKELI 1883 p. 646, 647. 
Heteropyæis disticha BALE 1884 p. 124. 
Plumularia disticha CaRUs 1884 p. 17. 

» » PIEPER 1884 p. 187, 188. 


D’après Broca (1911) cette espèce serait une jeune colonie de Nemertesia 
tetrasticha. 


Plumularia dolichotheca Allman. 


Plumularia dolichotheca  ALLMAN 1883 p. 20, pl. 1, fig. 7, 8. 
» » ALLMAN 1888 p. LXVI, LXIX. 


Plumularia echinulata Lamarck. 
Voir : Matériaux I, p. 459; Il, p. 98; IE, p. 350 et IV, p. 340. 


Plumularia echinulata  VARENNE 1881 (a) p. 346. 
» » WEISMANN 1881 (c) p. 7, 16, 18. pl. 9, fig. 
14-19. 
» » VARENNE 1882 (b) p. 620, 629, ... 697, pl. 
| 31, fig. 6-9, pl. 32. 
? Plumularia echinata  MamonN 1883 (a) p. 24. 
Plumularia echinulata Marion 1883 (a) p. 24. 
» » WEISMANN 1883 p. 151, 172, 184-187, 221, 


pl. 6, fig. 1-3, pl. 7, fig. 
1-7, pl. 8, 9, fig. 1-4. 


» » CARUS 1884 p. 18. 

» » PENNINGTON 1885 p. 126. 

» » THALLWITZ 1885 p. 390, 427. 

» » BÊTENCOURT 1887 p. 67. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 213. 

» » HALLEZ 1889 p. 40. 

» » BouRNE 1890 (b) p. 398. 

» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 669, 670, 
672, 673, 675, 683, 
686, 687. 

» » MARKTANNER 1890 p. 254. 


182 M. BEDOT 


Plumularia elegantula G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 340. 


Plumularia elegantula  Srorm 1882 p. 23, 27. 


Plumularia filicaulis Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 340. 


Plumularia fiicaulis BALE 1884 p. 24. 32, 121, 134, pl. 11, 
fie... 6-7, cpl. ARE 
h1-42. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 

» » BALE 1887 p. 76, 79, 80. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 

» » BALE 1888 p. 774, 783. 


Plumularia filicaulis Kirchenpauer var. indivisa Bale. 


Plumularia filicaulis 


var. indivisa BALE 1884 p. 134. 


Plumularia filicula Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 340. 


Plumularia flabellum Allman. 


Plumularia flabellum ALLMAN 1883 p. 19, pl. 1, fig. 1-4. 
» » ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX. 


BizcarD (1910, p. 34) considère cette espèce comme une simple variété de 
Plumularia insignis. 


Plumularia fragilis Hamann. 


Plumularia fragilis HAMANN 1882 (a) p. 501, 502, 529, pl. 
24, fig. 18-20, pl. 
25, fig. 1-7. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 183 


Plumularia frutescens (Ellis et Solander). 
Voir : Matériaux I, p. 460 ; IL, p. 98; IN, p. 350 et IV, p. 340. 


Plumularia frutescens  MereIkowskY 1882 (b) p. 584. 
» » STORM 1882 p. 22, 27. 
» » ALLMAN 1883 p. 20. 
Isocola frutescens JiCKELI 1883 p. 643, 667, pl. 28, fig. 24. 
Plumularia frutescens Barr 1884 p. 22. 
» » CARUS 188% p. 17. 
» » GRÆFFE 1884 p. 399. 
» » PENNINGTON 1885 p. 127. 
1socola frutescens LOMAN 1889 p. 264. 
Plumularia frutescens  Secersrenr 1889 p. 21, 27. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 398. 
Plumularia frutescens DRIESCH 1890 (b) p. 659, 663-666, 669- 
674, 676, 683. 684, 
fig. 3. 


Plumularia geminata Allman. 


Voir: Plumularia catharina. 


Plumularia glutinosa (Lamouroux). 


Voir : Matériaux IT, p. 351 et IV, p. 341. 


Plumularia goldsteini Bale. 


Plumularia goldsteini  BaLe 1882 p. 41, pl. 15, fig. 7. 
» » Bar 1884 p. 137, pl. 11, fig. 9. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 
» » BALE 1887 p. 79. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 


Plumularia gracilis Lendenteld. 


Plumularia gracilis LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626, pl. 14, fig. 
17, pl. 17, fig. 28, 29. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 


184 M. BEDOT 
Plumularia gracilis LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 
» » BALE 1888 p. 746. 
Plumularia gracillima G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 341. 


Plumularia gracillima  Sroru 1882 p. 3, 15, 22, 24, 27, 29. 
» » VERRILL 1885 |a) p. 537. 
) ) BALE 1887 p. 81. 
» » SEGERSTEDT 1889 p :21, 27. 


Plumaularia halecioides Alder. 
Voir : Matériaux IIL, p. 351 et IV, p. 341. 


Plumularia halecioides Baie 1882 p. 40. 
» » MEREJKOWSK Y 1882 (a) p. 280. 
» » MEREJKOWSKY 1882 (b) p. 585, 592, ss., pl. 29 
A, fig. 19-23, pl. 29 
B, fig. 3-6, 11-13. 
Anisocola halecioides var. Jickeut 1883 p. 636.642,647,667,668, 
670, pl. 28, fig. 10-23. 
Plumularia halecioides  WEISMANN 1883 p. 184, 188, 190, 222, 243, 


244, pl. 24, fig. 11-12. 
Plumularia halecioides 


var. adriatica  WEISMANN 1883 p. 184. 
Plumularia halecioides BALE 1884 p. 137. 
Plumularia halecioides 

var. adriatica  CARUS 1884 p. 18. 
Plumularia halecioides  GRÆFFE 1884 p. 346, 355. 

» » METSCHNIKOFF 1884 p. 144. 

» » PI&PER 1884 p. 188. 

» » PENNINGTON 1885. p. 127, pl. 9, fig. 3. 
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 428. 

» » BÉrENCOURT 1887 p. 67. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 213. 

» » DRIESCH 1889 p. 224. 

» » LOoMaN 1889 p. 263, fig. 1. 


» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 663, 671- 
675, 683. | 
» » MARKTANNER 1890 p. 254. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 185 


Plumularia helleri Hincks. 
Voir : Matériaux Il, p. 99; IF, p. 351 et IV, p. 341. 


Plumularia helleri CARS 1884 p. 18. 
) » PIEPER 1884 p. 187, 219. 
» » MARKTANNER 1890 p. 251, pl. 6, fig. 3. 


Plumularia hians Marktanner. 
Plumularia hians MARKTANNER 1890 p. 253, pl. 6 fig. 6. 
Cette espèce ne doit pas être confondue avec la Plumularia hians de Busk 


— Aylaophenia hians). 


Plumularia hyalina Bale. 


Plumularia hyalina BALE 1882 p. 41, pl. 15, fig. 9. 
» » BALE 1884 p. 141, pl. 12, fig. 4-5. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. #75, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 639. 
» » BALE 18871p. 78; 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 24. 


Plumularia insignis Allman. 


Plumularia insignis ALLMAN 1883 p. 21, pl. 2. 
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXIV, LXIX. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


Plumularia lagenifera Allman. 
Plumularia lagenifera  ALLMAN 1886 p. 157, 158, pl. 26, fig. 1-3. 


Probablement synonyme de Plumularia selacea. 


Plumularia liechtensterni Marktanner. 


Plumularia liechtensterni MARKTANNER 1890 p. 252,257, pl. 6, fig. 2-2 a. 


Plumularia longicornis Busk. 


Voir: Lytocarpus longicornis. 


186 M. BEDOT 


Plumularia macrotheca Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 342. 


Plumularia megalocephala Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 342. 
Plumuluria megalo- 


cephala  Quecca 1885 (a) p. 8. 


Plumularia multinoda Allman. 


Plumularia multinoda  ALLMAN 1886 p. 157, pl. 26, fig. 4-6. 


Plumularia obconica Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 342. 


Plumularia obconica BALE 1882 p. 20. 
» » ALELMAN 1883 p. 24. 
» » BALE 1884 p. 127, pl. 18, fig. 3-4. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 
» » BALE 1887 p. 79. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 


Plumularia obliqua Johnston. 


Voir : Matériaux IE, p. 99; HI, p. 352 et IV, p. 342. 


Plumularia obliqua BALE 1882 p. 19, 39. 
» » BALE 1884 p. 123, 138, 140, 142-144, 
pl. 12, fig. 1-3. 
» » Carus 1884 p. 18. 
) » PIEPER 1884 p. 216. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. 
» » PENNINGTON 1885 p. 126. 
» » BALE 1887 p. 76, 78, 79, 96. 
» » BÊTENCOURT 1887 p. 67. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 
» » BALE 1888 P. 783. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 213. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 187 


Plumularia obliqua DRiESCH 1890 (b) p. 659-661, 673-675, 


683, 686. 
1890 p. 254. 


» » MARKTANNER 


Plumularia obliqua Johnston var. robusta Bale. 


Plumularia obliqua 


var. robusta BALE 1884 p. 139. 


Plumularia oligopyxis Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 342. 


Plumularia oligopyxis BALE 1887 p. 103. 


» » MARKTANNER 1890 p. 254. 


Plumularia pinnata (Linné). 
Voir: Matériaux I, p. #60 ; IL, p. 100; TEE, p. 352 et IV, p. 343. 
1881 p. 17. 


Plumularia pinnata LESLIE a. HERDMAN 


» » STORM 1882 p. 4, 22. 

» » VARENNE 1882 (b) p. 629, 630. 
Isocola pinnata JICKErI 1883 p. 646, 647. 
Plumularia pinnata WEISMANN 1833 p. 172. 

» » CaRUs 1884 p. 17. 

» » GRÆFFE 188% p. 399. 

» » PikPER 1881 p. 187, 188. 

» » PENNINGTON 1885 p. 124. 

» » HERDMAN 1886 (a) p. 12. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 323, 330. 


HERDMAN 1886 p. 115. 

» » BéTencourT 1887 p. 67. 

» » BéTENCOURT 1888 p. 214. 

» » HALLEZ 1889 p. 40. 

» » HoÿLe 1889 p. 460. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 20, 21, 27. 

» » BOURNE 1890 (b) p. 398. 

» » DrikscH 1890 (b) p. 659, 660, 670, 672, 
673, 675, 683, 686, 
687. 

» » MARKTANNER 1890 p. 253. 


MEccy, Hicxs a. 


185 M. BEDOT 


Plumularia pulchella Bale. 


Plumularia pulchella BALE 1882 p. 42, pl. 15, fig. 6. 
» » BALE 1884 p. 140, pl. 12, fig. 6, 
pl: 1006787: 
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. 
D ) LENDENFELD 1885 (d) p. 639. 
» » BALE 1887 p. 78. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 24. 
» ) BALE 1888 p. 784. 


Plumularia ramsayi Bale. 


Plumularia ramsayi BALE 1884 p. 131,133, pl. 11, fig. 3-4. 
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 473. 626. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 
» » BALE 1887 p. 78. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. 
» » BALE 1888 p. 746. 
» » K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Plumularia ramulifera Allman. 


Voir : Matériaux LIT, p. 353 et IV, p. 343. 


Plumularia rugosa Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 343. 
Plumularia scabra Lamarck. 


Voir: Acanthella effusa. 


Plumularia secundaria (Gmelin) 


Voir: Antennella secundaria. 


Plumularia setacea Linné. 
Voir : Matériaux I, p. 461 ; IT, p. 101; IL, p. 354 et IV, p. 344. 


Plumularia setacea BYERLEY 185% p. 104. 
» » LESLIE 4. HERDMAN 1881 p. 17. 
» » WEISMANN 1881 (c) p. 16. 


Plumularia setacea 


Anisocola setacea 
Plumularia setacea 


» » 
D] » 
» » 
» » 


Plumularia tripartita 


» » 


Plumularia setacea 


» D) 
» » 
» ) 
» D) 


Plumularia tripartita 
Plumularia setacea 


Plumularia tripartita 
Plumularia setacea 


» » 
» » 
» » 
» » 


HISTOIRE 


BALE 
MEREJKOWSK Y 
STORM 

JICKELI 

BALE 

CARUS 
GRÆFFE 
METSCHNIKOFF 
PIEPER 
LENDENFELD 


LENDENFELD 
PENNINGTON 
QUELCH 


MEeLLy. HICKs à. 
HERDMAN 


METSCHNIKOFF 
BÉTENCOURT 
LENDENFELD 
BALE 


BALE 
BÉTENCOURT 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
DRiesc4 


MARKTANNER 


DES HYDROÏDES. — V. 139 


1882 p. 40. 

1882 (b) p. 58%. 

1882 p. 22, 27. 

1883 p. 641, pl. 28, fig. 9. 

1884 p. 137. 

1884 p. 17. 

1884 p. 359. 

1884 p. 144, pl. 13, fig. 4. 

1884 p. 187, 188. 

1885 (a) p. #77, 626, pl. 12, fig. 
8-10. 

1885 (d) p. 640. 

1885 p. 124, pl. 9, fig. 4. 

1885 (a) p. 8. 


1886 p. 113. 

1886 (b) p. 20, 41, 69. 

1887 p. 67. 

1887 (c) p. 25. 

1888 p. 747, 778, 780-782, 785, 

pl. 20, fig. 14-18. 

1838 p. 747, 779. 

1888 p. 212, 214. 

1889 p. 20, 27. 

1890 (b) p. 398. 

1890 (b) p. 659, 660, 665, 669, 
670, 672-676, 683, 
685. 

1890 p. 255. 


Plumularia setacea (1) var. gaimardi Billard. 


Voir : Matériaux If, p. 99, HT, p. 355 et IV, p. 344. 


Isocola qaymardi 


Plumularia setaceoides 


» » 


JICKELI 


BALE 
BALE 


1883 p. 646. 


Plumularia setacenides Bale. 


1882 p. 40, 47, pl. 15, fig. 4. 
1884 p. 136, pl. 11, fig. 8, pl. 19, 
fig. 36. 


190 


Plumularia setaceoides 


M. 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 
LENDENFELD 
BALE 


BEDOT 


1885 (a) p. 474, 626. 

1885 (d) p. 641. 

1887 p. 78, 96. 

1887 (c) p. 26. 

1888 p. 776, 781, pl. 20, fig. 7-8. 


Plumularia siliquosa Hincks. 


Voir: Antennella siliquosa. 


Plumularia similis Hincks. 


Voir : Matériaux HE, p. 355 et IV, p. 345. 


Plumularia similis VARENNE 

» » MARION 

» » PENNINGTON 

» » MEccy, Hicks a. 

HERDMAN 

» » BOURNE 

» » DR1ESCH 

» » MARKTANNER 


1882 (b) p. 629, 630. 
1883 (a) p. 29. 
1885 p. 126. 


1886, p. 113. 

1890 (b) p. 398. 

i890 (b) p. 672, 673, 675, 683, 
687. 

1890 p. 252. 


Plumularia spinulosa Bale. 


Plumularia spinulosa BALE 
» » BALE 
» » LENDENFELD 
» » LENDENFELD 
» » BALE 
» » LENDENFELD 
» » BALE 


Plumularia stylifera 


1882 p. 49, pl. 15, fig. 8. 

1884 p. 139, 141, 142, pl. 49, 
_ fig. 11-12. 

1885 (a) p. 475, 626. 

1885 (d) p. 639. 

1887 p. 76, 78. 

1887 (c) p. 25. 

1888 p. 783, pl. 19, fig. 14-13. 


Plumularia stylifera Alman. 


ALLMAN 


» » ALLMAN 


1883 p. 22, pl. 4, fig. 1-2. 
1888 p. LXIII, LXIX. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 191 


Plumularia sulcata Lamarck. 


Voir : Matériaux IIT, p. 355 et IV, p. 345. 


Plumularia sulcata BALE 1#84 p. 145. 
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626. 
) » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 


Plumularia tenella Verrill. 
Voir : Matériaux IV, p. 345. 


Plumularia tenella CLARKE 1888 p. 86. 


Plumularia tuba Kirchenpauer. 


Voir : Matériaux IV, p. 345. 


Plumularia turgida Bale. 
Plumularia turgida BALE 1888 p. 779, 786, pl, 20, fig. 
12-13. 
Plumularia variabilis Quelch. 


Plumularia variabilis QueLca 1885 (a) p. 6, pl. 2, fig. 2. 


Plumularia ventriculiformis Marktanner. 
Plumularia ventriculi- 


formis  MARKTANNER 1890 p. 256, pl. 6, fig. 5-5 a. 


Plumularia verrilli Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 345. 


Plumularia verrilli CLARKE 1888 p. 86. 


Plumularia wattsi Bale. 


Plumularia wattsi BALE 1887 p. 95. 
» » BALE 1888 p. 779. 


12 
| 


192 M. BEDOT 


Gen. Pluriserialia Kirchenpauer 1876. 


KIRCHENPAUER (1876, p. 43, note) avait rangé sous ce nom, au 
Musée de Leipzig, les espèces de Sertularides qui ont plus de deux 
rangées d’hydrothèques. 

Plus tard (1884, p. 7), il a fait rentrer ces espèces dans le genre 
Selaginopsis d'ALLMAN. Le genre Pluriserialia doit donc dispa- 
raitre. 

Gen. Podocoryne Sars 1846. 


Voir : Matériaux IE, p. 102; III, p. 255 et IV, p. 345. 


Podocoryne aculeata (Wagner). 
Voir : Matériaux II, p. 103 : IT, p. 355 et IV, p. 345. 


Podocoryne aculeata CARUS 1884 p. 6. 
» » BERGH 1887 p. 331, 


Podocoryne areolata Alder. 
Voir : Matériaux II, p. 356 et IV, p. 346. 


Podocoryne areolata PENNINGTON 1885 p. 43. 
) » BERGH 1887 p. 331. 
» » KIRKPATRICK 1889 p. 416. 


Podocoryne carnea Sars. 
Voir : Matériaux IL, p. 103; ILE, p. 356 et IV, p. 346. 


Hydractinia carnea DANIELSSEN 1861 p. 46. 
Podocoryne carnea STORM 1880 p. 123. 
Podocoryne tubulariae  Srorm 1880 p. 123. 
Podocoryne carnea Du PLESSIS 1881 (a) p. 144. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8. 
» » .. VARENNE 1881 (a) p. 346. 
» » VARENNE 1881 (b) p. 1032, 1033. 
» » FEWKES 1882 (b) p. 295. 
» » HaMANX 1882 (a) p. 483, 498, 517, 520, 


pl. 20, fig. 1, 3, 4. 
» » STORM 1882 p. 6, 29. 


Podocoryne tubulariue 
Podocoryne carnea 


» » 


Dysmorphosa carnea 
Cylaeis exiqua 
Podocorygne carnea 


Dysmorphosa carnea 
Podocoryne carnea 


Dysmorphosa carnea 
Podocoryne carnea 


» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 


» » 
» » 
» » 


# 


STOoRM 
VARENNE 


VARENNE 


JICKELI 
WEISMANN 
CARUS 
GRÆFFE 
GRÆFFE 
PIEPER 
PENNINGTON 
THALLWITZ 


ALLMAN 

Du PLessis 
Du P£Lessis 
ISHIKAWA 

Lo BiANco 
DALLA TORRE 


. BRAUN 


M'Ixrosx 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
MARKTANNER 
M'Inrosx 
WAGNER 


HAMANN 


LENDENFELD 
Brooks 
WAGNER 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 193 


1882 p. 6, 28, 30. 

1882 (a) p. 892 ss. 

1882 (b) p. 645, 659-664, 674, 
678, 683, 683, 697, 
704, pl. 33, fig. 6- 
15, pls. 34,37 et 38. 

1883 p. 621, 653, pl. 27, fig. 10. 

1883 p. 63, 216, pl. 19. 

1884 p. 24. 

1884 p. 347. 

1884 p. 347. 

1884 p. 149. 

1835 p. 42, pl. 2, fig. 5. 

1885 p. 389, 422, pl. 14, fig. 


1888 p. XVIL. 
1888 p. 542. 
1888 p. 942. 
1888 p. 621 ss., fig. 1-6. 
1888 p. 389. 
1889 p. 95. 
1889 p. 70, 79. 
1889 p. 282. 
1889 p. 6, 23. 
1890 (b) p. 392. 
1890 p. 202. 
1890 (b) p. 299. 
1890 p. 276. 


Podocoryne haeckel Hamann. 


1882 (a) p. 479, 481, 498, 519, 
pl. 24, fig, 15-16. 

1883 (e) p. 502. 

1884 p. 710, 711. 

1890 p. 276, 277. 


Podocoryne inermis Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 347. 


194 M. BEDOT 


Podocoryne proboscidea Hincks. 
Voir : Matériaux IIL, p. 358 et IV, p. 347. 


Podocoryne proboscidea  PENNINGTON 1885 p. 43. 


Gen. Polycoryne Graeffe 1883. 


GRÆFFE (1883 (b) p. 202), après avoir décrit la Pofycoryne 
helleri a reconnu (1883 (b) p. 320) que cette espèce était synonyme 
de Cladocoryne floccosa. Ce genre doit donc être supprimé. 


Gen. Polyplumaria G.-0. Sars 1874. 
Voir : Matériaux IV, p. 347. 


Polyplumaria flabellata G.-0. Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 347. 


Diplopteron insigne ALLMAN 1883 p. 30. 
Polyplumaria insignis  ALLMAN 1883 p. 31. 
Polyplumaria (Diplop- 
leron) insignis  ALLMAN 1883 p. 31. 
Polyplumaria pumila ALLMAN 1883 p. 31, 55, pl. 4, fig. 7, 8. 
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX. 
Polyplumaria flabellata  MARKTANNER 1890 p. 278. 


Gen. Protohydra Greef 1869. 
Voir : Matériaux IIT, p. 358 et IV, p. 348. 
Protohydra leuckarti Greef. 


Voir : Matériaux IT, p. 358 et IV, p. 348. 


Gen. Rhizogeton L. Agassiz 1862. 
Voir : Matériaux III, p. 358 et IV, p. 348. 
Rizogeton fusiformis L. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 358 et IV, p. 348. 
Rhizogelon fusiformis WEISMANN 1883 p. 251. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES., — V. 195 


Gen. Rhizohydra Cope 1883. 
Genre douteux ! 


Rhizohydra flavitincta Cope. 


Rhizohydra flavitincta Core 1883 p. 140. 


Espèce douteuse ! 


Gen. Rhizonema Clark 1876. 


Voir : Matériaux IV, p. 348. 


Rhizonema carnea Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 348. 


Gen. Rhizorhagium Sars 1874. 


Voir : Matériaux IV, p. 348. 


Rhizorhagium roseum Sars. 
Voir : Matériaux IV, p. 348. 


Rhizorhagium roseum STORM 1882 p. 9, 28, 29. 


Gen. Schizotricha Allman 1883. 


BILLARD (1910, p. 44), discutant la valeur des caractères sur 
lesquels est fondé ce genre, arrive à la conclusion qu’il devrait 
disparaître, étant synonyme de Polyplumaria. NUTTING (1900) 
conserve les deux genres. 


Schizotricha multifurcata Allman. 


Schizotricha multifurcata ALLMAN 1883 p. 9, 29, pl. 7, fig. 4, 5. 
» » ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


196 M. BEDOT 


Schizotricha unifurcata Allman. 


Schizotricha unifurcata  ALLMAN 1883 p. 28-30, pl. 7, fig. 1-3. 
» » ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


Gen. Sciurella Allman 1885. 


Sciurella indivisa Allman. 


Sciurella indivisa ALLMAN 1883 p. 9, 15, 23, 26, pl. 5: 
Antennularia cylindrica BALE 1884 p. 146, pl. 10, fig. 7. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 478, 626. 

Sciurella indivisa LENDENFELD 1885 (a) p. 479, 626. 
Antennularia cylindrica  LENDENFELD 1885 (d) p. 642. 
Sciurella indivisa LENDENFELD 1885 (d) p. 644. 
Antennularia cylindrica  LENDENFELD 1887 (c) p. 26. 
Sciurella indivisa LENDENFELD 1887 (c) p. 28. 

» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. 
Antennularia cylindrica  KiRKPATRICK 1890 (a) p. 609. 
Sciurella indivisa KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608, 609. 


Gen. Selaginopsis Allman 1876. 


Voir : Matériaux I, p. 462 et IV, p. 349. 


Selaginopsis allmani Norman. 
Voir : Matériaux IV, p. 349. 


Selaginopsis allmani KIRCHENPAUER 1884 p. 12, 15. 


Selaginopsis bidentata (Allman). 
Voir : Matériaux IV, p. 349. 


Selaginopsis bidentata KIRCHENPAUER 1884 p 11, 16. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 197 


Selaginopsis cedrina (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 467; Il, p. 111; III, p. 367 et IV, p. 349. 
Syn.: Selaginopsis pacifica Mereschkowsky. 


Voir : Matériaux IV, p. 351. 


Selaginopsis cedrina KIRCHENPAUER 1884 p. 8, 45, 16, pl. 114, fig. 
1-1 b. 
Selaginopsis pacifica KIRCHENPAUER 1884 p. 9. 


Selaginopsis cylindrica (Clark). 


Voir : Matériaux IV, p. 349. 


Selaginopsis cylindrica  KiRCRENPAUER 1884 p. 12, 15, 16. 
Thuiaria cylindrica MURDoCH 1885 p. 166. 
Selaginopsis cylindrica  MARKTANNER 1890 p. 243. 


Selaginopsis decemserialis Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 349. 


Selaginopsis decemserialis KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. 


Selaginopsis fusca (Johnston). 


Voir : Matériaux IV, p. 350. 


Selaginopsis fusca KIRCHENPAUER 1884 p. 13, 15, 16. 
» » PENNINGTON 1885 p. 117. 
Sertularia fusca DRIESCH 1889 p. 213. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 19, 27. 
Selaginopsis fusca MARKTANNER 1890 p. 219, 243. 


_ Selaginopsis mirabilis (Verrill). 


Voir : Matériaux IV, p. 350. 


Selaginopsis mirabilis KIRCHENPAUER 1884 p. 10, 12, 16. 
Polyserias mirabilis LENDENFELD 1886 (a) p. 480. 
Selaginopsis mirabilis  BaLe 1887 p. 105. 


» » BERGH 1887 p. 337. 


198 M. BEDOT 


Selaginopsis novae-zelandiae (Thompson). 


Voir : Matériaux IV, p. 350. 
Selaginopsis novae- 
zelandiae  KiRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. 
» » BALE 1887 p. 103. 


Selaginopsis obsoleta (Lepechin). 
Voir : Matériaux I, p. 472; Il, p. 114; III, p. 372 et IV, p. 350. 
Selaginopsis obsoleta KIRCHENPAUER 1884 p. 10, 15, 16, pl. 11, fig. 2. 


Selaginopsis ochotensis Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 351. 


Selaginopsis ochotensis  KIRGHENPAUER 1884 p. 14, 16. 


Selaginopsis pacifica Mereschkowsky. 


Voir: Selaginopsis cedrina. 


Selaginopsis pinaster (Lepechin). 
Voir : Matériaux IV, p. 351. 
Selaginopsis pinus KIRCHENPAUER 1884 p. 11, 15, 16, pl. 11, fig. 4. 


Selaginopsis pinnata Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 351. 


Selaginopsis pinnata KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. 


Selaginopsis purpurea (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 474; IL, p. 116; II, p. 376 et IV, p. 351. 
Selaginopsis purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 9, 15, 16, pl. 11, fig. 3. 


Selaginopsis salicornia (Allman). 
Syn.: Thuiaria salicornia Allman. 
Voir : Matériaux IIL, p. 392 et IV, p. 380. 


Selaginopsis salicornia  KiRcHENPAL ER 1884 p. 13, 15, 16. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 199 


Selaginopsis thuja Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 351. 


Selaginopsis thuja KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. 


Selaginopsis triserialis Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 352. 
Selaginopsis triserialis  KiRCHENPAUER 1884 p. 14-16. 
Selaginopsis urceolifera Kirchenpauer. 


Selaginopsis urceolifera  KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 15, pl. 11, fig. 5. 


Gen. Sertularella Gray 1848. 


Voir : Matériaux IL, p. 104; II, p. 359 et IV, p. 352. 


Sertularella albida Kirchenpauer. 
Voir : Matériaux IV, p. 352. 
Sertularella albida KIRCHENPAUER 1884 p. 42, 53. 


Sertularella allmani Hartlaub. 


Sertularia secunda 


Lunilateralis|  ALLMAN 1888 p. LXIV, LXVII. 
Sertularia unilateralis  AtLMAN 1888 p. 53, pl. 25, fig. 2-2 4. 
» » DRIESCH 1889 p. 201. 
Sertularia secunda 
(unilalteralis)  MARKTANNER 1890 p. 227 
Sertularia unilateralis  PFEFFER 1890 p. 567. 


Il règne une grande confusion dans la svnonvmie de cette espèce el les 
indications que nous avons données dans les Matériaux IV p. 360 devront être 
modifiées. 

L'espèce qui doit porter ce nom a été découverte en 1824 par Lamouroux 
qui l’appelait Sertularia unilateralis. 

En 1876, ALLMan décrivit sous le nom de Sertularella unilateralis une autre 
espèce à laquelle HarrLauB (1901) a donné le nom de Sertularella antarctica 
n. nom. 


200 M. BEDOT 


En 1886, ALLMAN donne le nom de Sertularia unilateralis à une espèce qui 
n'est autre que la Sertularia bispinosa (Gray) ainsi que l’a reconnu BiLLARD 
(1910). 

Enfin, dans la monographie des Hydroïdes du Challenger (1888 p. 53), 
ALLMAN décrivit de nouveau une Sertularia unilaleralis n. sp. Mais, en cours 
de publication, il reconnut que ce nom avait été déjà employé et dans lexpli- 
cation de la pl. 25 le changea contre celui de Sertularia secunda. Malheureu- 
sement, l'introduction de ce nouveau nom eut pour résultat d’embrouiller 
encore plus la question, car il existait déjà une Serlularia secunda Carus (1884), 
une Sertularella secunda Kirchenpauer (1884), et l'espèce d’ALLMAN devait 
passer du genre Sertularia dans le genre Sertularella ! 

En effet, Carus (1884 p. 14) fait figurer dans son Prodromus Faunæ Medi- 
terraneæ une Sertularia secunda N. Crs à laquelle il donne comme synonyme : 
Lynamena secunda Menegh. et: ? D. reptans Costa. Il est peu probable que la 
D. reptans Costa soit synonyme de l'espèce de MeNeGini et nous l’avons fait 
figurer (Matériaux If p. 114) dans la synonymie de Sertularia gracilis Hassal. 
Quant à la D. secunda Meneghini, elle est synonyme de Sertularia lamourou:xi 
M. Edw. ; c’est donc sous ce nom que nous placerons la $S. secunda de CARüs. 

La Sertularella secunda Kirchenpauer (1884) est une bonne espèce à laquelle 
on peut donner comme synonyme la S. limbata Allman ainsi que HArTLAUB (1901) 
Va montré. 

Quant à la Sertularia unilateralis-secunda d'ALLMAN (1888) nous la ferons 
figurer sous le nouveau nom de Sertularella allmani que Harrzaus (1901) lui 


a donné. 
Sertularella amphorina Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 352. 
Sertularella annulata Marktanner. 
Sertularella annulata MARKTANNER 1890 p. 227, pl. 4, fig. 4-4 b. 
Sertularella antarctica Hartlaub. 
Sertularella unilateralis  ArLMaN 1876 (c) p. 114. 
» » ALLMAN 1879 p. 282, pl. 18, fig. 10-11. 
» » STUDER 1879 P. 120, 132. 
» » KIRCHENPAUER 1881 p. 39, 40, 50, 53. 


Voir les notes à Sertularella allmani et S. unilateralis. { 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Sertularella arboriformis Marktanner. 


Sertularella arboriformis MarkTANNER 


1890 p. 228, pl. 4, fig. 5. 


Sertularella arbuscula (Lamouroux). 


Voir : Matériaux [, p. 465; Il, p. 110; IL, p. 359 et IV, p. 352. 


Syn. : Sertularella ramosa Thompson. 


Voir : Matériaux IV, p. 357. 


Sertularella ramosa BALE 1882 p. 19. 
Sertularia arbuscula ZELLER 1883 p. 106. 

» » BALE 1884 p. 95, pl. 8, fig. 11. 
Sertularella ramosa BALE 1884 p. 111, pl. 8, fig. 4. 


Sertularella arborea 


KIRCHENPAUER 


1884 p. 41, 53, pl. 15, fig. 1-1 b. 


Sertularella ramosa KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 53. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. 
Sertularia arbuscula LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. 


Sertularella ramosa 
Sertularia arbuscula 


LENDENFELD 
LENDENFELD 


1885 (d) p. 632. 
1885 (d) p. 662. 


Sertularella crassipes ALLMAN 1886 p. 133, pl. 8, fig. 4-5. 
Sertularella cuneata ALLMAN 1886 p 134. pl. 9, fig. 1-2. 
Sertularella ramosa LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 

Sertularia arbuscula LENDENFELD 1887 (c) p. 40. 

Sertularella arborea MARKTANNER 1890 p. 221, 222, 228. 


Sertularella arbuscula (Liamouroux) var. pinnata (Kirchenpauer). 


Sertulurella arborea 


var. pinnala  KIRCHENPAUER 1884 p. 42. 
Sertularella arborea 


var. pinnala  MARKTANNER 1890 p. 222. 


BizLarD (1910) a montré que la S. arborea de KiRCHENPAUER était synonyme 
de S. arbuscula (Lamouroux). La var. pinnata se rapporte donc à cette espèce. 


Sertularella articulata (Allman). 


Sertularia articulata ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 614, pl. 29, 
fig. 3, 34. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


2 
© 
2 


M. BEDOT 


Sertularella clarki Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 352. 
Sertularella clarki KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 54. 
Sertularella conica Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 352. 


Sertularella contorta Kirchenpauer. 


Serlularella contorta KIRCHENPAUER 1884 p. 39, 53, pl. 15, fig. 2-2 a. 


Sertularella crassicaulis (Heller). 
Voir : Matériaux ILE, p. 359 et IV, p. 353. 


Serlularia crassicaulis  Carus 1884 p. 15. 
Sertularella crassicaulis  Pigper 1884 p. 186. 
» » MARKTANNER 1890 p. 225. 


Sertularella difjusa Allman. 


Sertularella diffusa ALLMAN 1886 p. 136, pl. 11, fig. 1-2. 
Sertularia diffusa var.  MARKTANNER 1890 p. 229, pl. 4, fig. 6 a-6 6. 


Sertularella distans (Lamouroux). 
Voir : Matériaux I, p. 469 ; IT, p. 111; Il, p. 359 et IV, p. 353. 


Sertularia distans BaLe 1884 p. 97. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 414, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 
» » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 42. 


Sertularella divaricata (Busk). 


Voir: Sertularella johnstoni. 


Sertularella episcopus Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 353. 


Sertularella episcopus RIDLEY 1881 (a) p. 105. 
? Sertularia fusiformis Rice 1881 (a) p. 105. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 203 
Sertularella episcopus KIRCHENPAUER 1884 p. d1, 54. 
» » BALE 1887 P. 103. 
Sertularia fusiformis PFEFFER 1890 p. 483, 568. 


Sertularella exigua Thompson. 


Voir : Matériaux IV, p. 353. 
Sertularella exiqua KIRCHENPAUER 1882 p. 41, 53. 
» » BALE 1887 p. 103. 


Voir la note à Sertularella qaudichaudi. 


Sertularella formosa Fewkes. 


Sertularella formosa 


FEWKES 


1881 (a) p. 129, 130. 


Sertularella fruticulosa Püppig. 


Sertularella fruticulosa 


» » PüepiG _ 1884 p. 50. 
Sertularella fusiformis Hincks. 
Voir : Matériaux III, p. 360 et IV, p. 353. 

? Sertularella simplex BALE 1882 p. 19, 2%, 45. 
Sertularella fusiformis  Carus 188% p. 12. 

» » GRÆFFE 1884 p. 356. 

» » KIRCHENPAUER 1884 p. 4d, 30, 53. 
? Sertularella simplexz  KIRCHENPAUER 1884 p. 43, 53. 
Sertularella fusiformis Piper 1884 p. 185. 
? Sertularia simplex LENDENFELD 1885 (b) p. 984. 
? Sertularella simplex MULLER 1885 p. 534. 
Sertularella fusiformis  PENNINGTON 1885 p. 108. 
? Sertularella simplex LEÉNDENFELD 1886 (a) p. 478. 

» » BALE 1887 p. 106. 
Sertularella fusiformis  DRiEscH 1889 p. 200. 

» » HoYyLE 1889 p. 460. 
? Sertularia simplex MARKTANNER 1890 p. 226. 


KIRCHENPAUER 


1884 p. 50, 53, pl. 16, fig. 8,80. 


D’après Harrzaus (1901) la Sertularia simplex de Hurron (1872) est syno- 
nyme de Sertularella fusiformis, tandis que, d’après BaLe (1887), elle est 
synonyme de S. polyzonias. 


204 M. BEDOT 


Sertularella gaudichaudi (Lamouroux). 
Voir : Matériaux IE, p. 485; IIL, p. 360 et IV, p. 354. 


Sertularella qaudichaudr  KiRCHENPAUER 1884 p. 38, 93. 

Sertularia exiqua ALLMAN 1888 p. 55, pl. 26, fig. 2, 2a. 
Sertularia laxa [exiqua]  ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX. 
Sertularia exiqua DRIESCH 1889 p. 202. 

Sertularia laxa MARKTANNER 1890 p. 226. 


En 1888, ALLMAN a donné (p. 55) le nom de /axa à une Serlularia, mais, 
reconnaissant que ce nom avait déjà été employé (par Lamarcx en 1816 pour 
l'espèce nommée aujourd’hui Lytoscyphus fruticosus), il le changea (1888, 
Expl. pl. 26) contre celui de Sertularia exigqua. Ce nom a malheureusement 
amené une nouvelle confusion, car il existait déjà une Sertularia exiqua décrite 
en 4877 (b) par ALLMAN lui-même. En outre, THomPsoN avait donné le nom de 
Sertularella exiqua à une autre espèce (1879). 

BILLARD, après avoir examiné les Lypes des espèces récoltées par le CHALLENGER, 
a montré que la Sertularia laxa-exiqua décrite par ALLMAN en 1888 était syno- 
nyme de Sertularella gaudichaudi. 


Sertularella gayi (Lamouroux). 
Voir : Matériaux I, p. 472; IL, p. 105; IE, p. 360 et IV, p. 354. 


Sertularella gayi WEISMANN 1881 (c) p. 17. 
» » STORM 1882 p. 20, 27, 29, 30. 
» » WEISMANN 1883 p. 165. 
» » GRÆFFE 1884 p. 396. 
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 17, 41, 42, 53. 
» » PENNINGTON 1885 p. 107, pl. 5, fig. 4. 
» » BéTENCOURT 1888 p. 209, 210. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » Hoy£e 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26. 
» » BOURNE 1890 (a) p. 319. 
» » BOURNE 1890 (b) p. 396. 


Sertularella gayi (Lamouroux) var. robusta Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 354. 
Sertularella gayi 
var. robusta  FEWKES 1881 (a) p. 128, 130. 
» » » KiRCHENPAUER 1884 p. 41, 42, 53. 


[Se 
© 
[SL 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Sertularella gigantea Mereschkowsky. 


Voir : Matériaux IV, p. 354. 


Sertularella gigantea THOMPSON 1884 p. 3-5, pl. 1, fig. 4-6, 8. 
Sertularia gigantea THOMPSON 1884 p. 3. 
Sertularella gigantea BERGH 1887 p. 339. 

» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 393. 


Sertularella greenei (Murray). 
Voir : Matériaux ILE, p. 360 et IV, p. 355. 


Sertularella greenei KIRCHENPAUER 1884 p. 47, 53. 
Sertularella longicollis  KIRCHENPAUER 1884 p. 47. 


Sertularella indivisa Bale. 


Sertularella indivisa BALE 1882 p. 24, pl. 12, fig. 7. 
» » BALE 1884 p. 105, 108, pl. 3, fig. 5, 
pl. 19; 822% 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 
» » BALE 1888 p. 763-765, pl. 45, fig. 1-2. 
» » -_ MARKTANNER 1890 p. 224. 


Sertularella infracta Kirchenpauer. 


Serlularella infracta KIRCHENPAUER 1884 p. 46, 54. 
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 478. 
» » BALE 1887 p. 107. 


Sertularella integra Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 355. 


Sertularella integra KIRCHENPAUER 1884 p. 52, 54. 
» » BALE 1887 p. 103. 


A 
g) 
2Ÿ} 


206 M. BEDOT 


Sertularella johnstoni (Gray). 
Voir : Matériaux II, p. 105; IIL, p. 361 et IV, p. 355. 
Syn.: Sertularella divaricata (Busk). 
Voir : Matériaux IL, p. 359 et IV, p. 353. 


1881 (a) p. 104. 

1882 p. 19, 24, 25. 

1882 p. 45. 

1882 p. 25, pl. 12, fig. 9. 


Sertularella johnstoni RIDLEY 
» » BALE 
Sertularella divaricata BALE 
Sertularella pygmaea BALE 
Serlularia (Sertularella ?) 
divaricata BALE 1882 p. 18. 
1884 p. 32, 110, pl. 3, fig. 9, 


pl. 19, fig. 20. 


Sertularella divaricata BALE 


Sertularella johnstoni BaLe 1884 p. 32, 104, 108-110, pl. 3, 
fig. 7, pl. 19, fig. 24. 
Sertularella pygmaea BALE 1884 p. 108, pl. 3, fig. 8, pl. 19, 


fg::49 


Sertularella johnstoni KIRCHENPAUER 1884 p. 4, 46, 49, 53. 
Sertulareila purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 54, pl. 16, fig. 3-30, 
Sertularella divaricata  LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. 
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. 
Sertularella pygmaea LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. 
Sertularella divaricata  LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 
Sertularella pygmaea LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 
Sertularella johnstoni MULLER 1885 p. 534. 
Sertularella capillaris ALLMAN 1886 p. 133, pl. 8, fig. 1-3. 
Sertularella johnsoni ALLMAN 1886 p. 133. 
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1886 (a) p. 478. 
Serlularella purpurea LENDENFELD 1886 (a) p. 478. 
Sertularella divaricata  BaLe 1887 p. 94, 107. 
Sertulurella johnstoni BALE 1887 p. 93, 106-109. 
Sertularella purpurea BALE 1887 p. 93, 108. 
Serlularella divaricata  LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 
Sertularella pygmaea LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 
Sertulariu johnstoni ALLMAN 1888 p. 61. 
Serlularella divaricata  Baue 18838 p. 758, 762. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 207 


Sertularella divaricata 


var. dubia BALE 1888 p. 761, pl. 16, fig. 1-2. 

Sertularella divaricata 
var. sub-dichotoma BALE 1888 p. 758, 761, 762, 766, pl, 
16, fig. 3-4. 
Sertularella johnstoni BALE 1888 p. 761, 762. 
Symplectoscyphus 
australis  MARKTANNER 1890 p. 235, pl. 4, fig. 9-9 a. 

Sertularella divaricata  MARKTANNER 1890 p. 235. 
Sertularella johnstoni MARKTANNER 1890 p. 228, 235. 
Sertularella pygmaea MARKTANNER 1890 p. 226. 
Sertularia johnstonr PFEFFER 1890 p. 483, 568. 


Sertularella laevis Bale. 


Sertularella laevis BALE 1882 p. 24, pl. 12, fig. 6. 
» » BALE 1884 p. 107. pl. 3, fig. 2, pl. 49, 
fig. 26. 
» » LEXDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 


Sertularella lagena Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 355. 


Sertularella lagena KIRCHENPAUER 1884 p. 40, 53. 
Sertularia lagena PFEFFER 1890 p. 568. 


Sertularella longitheca Bale. 


Sertularella longitheca BALE 1888 p. 762, pl. 16, fig. 5-6. 


Sertularella macrotheca Bale. 


Sertularella macrotheca BALE 1882 p. 25, pl. 13, fig. 1. 
» + BALE 1884 p. 107, pl. 3, fig. 4, pl. 19, 
fig. 24. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. 
» » LENDENFELD 1883 (d) p. 632. 
ÿ-* | » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 


208 M. BEDOT 


Sertularella margaritacea Allman. 


Sertularella margaritacea ALLMAN 1886 p. 133, pl. 7, fig. 3-4. 


Sertularella microgona Lendenfeld. 


Sertularella microgona  LENLENFELD 1885 (a) p. 416, 623, pl. 7, fig. 
1-3. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 
î à BALE 1888 p. 745, 763, pl. 16. fig. 8. 


Sertularella milneana (d’Orbigny). 
Voir : Matériaux I, p. 105; II, p. 361 et IV, p. 355. 


Sertularia milneana KIRCHENPAUER 1884 p. 52, 94. 


Sertularella mulleri Kirchenpauer. 


Sertularella mulleri KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 50, 54, pl. 16, fig. 
7-7 b. 
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 478. 


Sertularella neglecta Thompson. 
Voir : Matériaux IV, p. 356. 


Sertularella neglecta. BALE 1882 p. 19, 24. | 

» » BALE 1884 p. 110, pl. 3, fig. 3, pl. 19, 

fig. 22-23. 

» » KIRCHENPAUER 1884 p. 48, 54. 
Sertularella sonderi KIRCHENPAUER 1884 p. 50,54, pl. 16, fig. 4-4 b. 
Sertularella neglecta LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 

» » BALE 1888 p. 765. 

» » MARKTANNER 1890 p. 224. 


Sertularella novarae Marktanner. 


Sertularella novarae MARKTANNER 1890 p. 226, pl. 4, fig. 3-3 b. 


HISTOIRE 


DES HYDROÏDES. — 


V. 


Sertularella pallida Püppig. 


Sertularella pallida 


» » 


Sertularella pinnala 


KIRCHENPAUER 
PôrpiG 


Sertularella pinnata Clark. 


Voir : 


Matériaux IV, p. 396. 


KIRCHENPAUER 
LORENZ 
MARKTANNER 


1884 p. 47, 93. 
1886 p. 25, 26. 


1890 p. 223, pl. 4, fig. 2. 


Sertularella polyzonias (Linné). 


Voir : Matériaux I, p. 473; Il, p. 106; LIT, p. 361 et IV, p. 356. 


Sertularia polyzontias 
Serlularia ellisir 
Sertularella polyzonias 
D) » 
Sertularia ellisii 
Sertularella polyzonius 


» » 
» » 

) ))) 
» ) 
» » 


Serlularia polyzonias 
» » 


Sertularella polyzonias 


» » 


Sertularella ellisii 


Sertularella kerquelensis 


Serlularella polyzonias 


BYERLEY 
HiNcKks 


LESLIE a. HERDMAN 


RIDLEY 
SCHMIDTLEIN 
\VEISMANN 
BALE 
HAMANN 
SrorRM 
MaRioN 
WEISMANN 


ZELLER 
BALE 
BALE 


CaRus 
GRÆFFE 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 


Rev. Suisse DE Zooc. TL. 24. 1916. 


185% p. 104. 
1872 (a) p. 118. 
1881 p. 13. 
1881 (a) p. 104. 
1881 p. 172. 
1881 (c) p. 17. 
1882 p. 15. 


1882 (a) pl. 25, fig. 10-11. 


1882 p. 20. 
1883 (a) p. 108. 


1883 p. 165, 221, 252, pl. 


fig. », pl. 7, fig. 8, 


1883 p. 106. 
1884 p. 93. 
1884 p. 


1884 p. 12. 
1884 p. 390. 
1884 p. 52, 4. 
1884 p. 40, 53. 


1884 p. 37-40, 42, 49-53. 


32, 104, pl. 3, fig. 
pl. 19, fig. 25. 


209 


1884 p. 48, 53, pl. 16, fig. 6-6 a. 
1884 p. 48. 


210 M. BEDOT 


Sertularella polyzonias 


forma gracilis KIRCHENPAUER 1884 p. 38. 
Sertularella polyzontas 
forma gr'acillima KIRCHENPAUER 1884 p. 38. 
Sertularella polyzonias  PIEPER 1884 p. 185. 


188% p. 216. 
1884 p. à, pl. 1, fig. 7. 
1885 (a) p. 417, 623. 


RATHBUN a. TARR 
THoMPsON 
LENDENFELD 


» » LENDENFELD 1885 (b) p. 984. 

) » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. 

» » PENNINGTON 1885 p. 106, pl. 5. fig. 3. 

» » THALLWITZ 1885 p. 390, 426. 

» » HERDMAN 1886 (a) p. 6. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 330. 

») D LENDENFELD 1886 (a) p. 478. 

» » MEczy, Hicks a. 

HErDMAN 1886 p. 108. 
) » Nicaocs a. HapnoN 1886 p. 615. 
» » BALE 1887 p. 106. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 
» » THOMPSON 1887 p. 393, 394. 
Sertularia polyzonias ALLMAN 1888 p. LVL, LVIII, LXVIT, 
LXIX, 55, pl. 26, fig. 
3, 34. 

Sertularella polyzonias  Bave 1888 p. 763. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 209. 

Sertularia ellisii Lo Branco 1888 p. 389. 

Sertularella polizonias  Diuescn 1889 p. 200. 

Sertulurella polyzonius  HaLLEz 1889 p. 40. 

Sertularia (Sertularella) 

polyzomas PFEFFER 1889 p. 54. 

Sertularella polyzonias  Secersrent 1889 p. 16, 26. 

» » BOURNE 1890 (b) p. 396. 

» » DRIESCH 1890 (c) p. 149 ss. 

» » MARKTANNER 1890 p. 214, 215, 224, 225. 
Sertularia polyzonias PFEFFER 1890 p. 483, 567. 
Sertularia (Sertulurella) 

polyzonias PFEFFER 1890 p. 519. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 241 


Sertularella polyzonias (L.) var. gigantea Hincks. 
Voir : Matériaux IV, p. 357. 
Sertularella polyzonias 
forma giqantea KIRCHENPAUER 1884 p. 38. 
Sertularella polyzonias 
var. gigantea THoMPsoN 1884 p. 6. 


Cette variété est probablement synonyme de Sertularella qigantea Meresch- 
kowsky. 


Sertularella polyzonias (L.) var. robusta Verrill. 
Voir : Matériaux IV, p. 357. 
? Sertularella polyzonias 
forma robusta KIRCHENPAUER 1884 p. 38. 


Sertularella quadricornuta Hincks. 
Voir : Matériaux IV, p. 357. 


Sertularella quadricornis THompson 1884 p. 6, pl. 1, fig. 9. 


Sertularella quadrifida Hartlaub. 


Thuiaria quadridens ALLMAN 1888 p. LXVIL, LXIX, 66, pl. 31, 
fig. 2, 2a. 


Cette espèce n’est pas la même que celle qui a été décrite par Bace (1884) 
sous le nom de T'huiaria quadridens. HarrLAuB (1901), en a changé le nom 
pour éviter toute confusion. 


Sertularella ramosa Thompson. 


Voir : Sertularella arbuscula. 


Sertularella reticulata Kirchenpauer. 


Sertularella reticulata  KiIRCHENPAUER 1884 p. 40, 53, pl. 15, fig. 4-4 b. 
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 478. 
» » BALE 1887 p. 107. 


24 M. BEDOT 


Sertularella rubella Tilesius. 
Sertularella rubella KIRCHENPAUER 1884 p. 48, 53, pl. 16, fig. 2-2 0. 
) ) TILESIUS 1884 p. 48. 
Sertularella rugosa (Linné). 
Voir : Matériaux 1, p. 475; Il, p. 107; IL, p. 362 et IV, p. 358. 


Sertularia rugosa BYERLEY 1854 p. 104. 
Sertularella rugosa LesLie a. HERDMAN 1881 p. 15. 

» » STORM 1882 p. 20. 
Sertularia rugosa BALE 1884 p. 93. 
? Sertularella patagonica  KIRCHENPAUER 1884 p. 42, 44, 53. 
Sertularella rugosa KIRCHENPAUER 1884 p. 37, 41-44, 53. 

» » THOMPSON 1884 p. 6, pl. 1, fig. 12. 
Sertularella rugosa var. THOMPSON 1884 p. 4,6, pl.1,fig. 10,11, 18. 
Sertularella rugosa PENNINGTON 1885 p. 107, pl. 6, fig. 1. 

) » HERDMAN 1886 (a) p. 8. 

» » THOMPSON 1887 p. 389, 394. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 210. 

» » HALLEZ 1889 p. 40. 

» » HoYLE 1889 p. 460. 

» » SEGERSTEDT 1889 p. 17, 26. 

» » MARKTANNER 1890 p. 222. 


Sertularella secunda Kirchenpauer. 


Sertularella secunda KIRCHENPAUER 1884 p. 40, 50, 54, pl. 15, fig. 
7-7 a. 
Sertularella limbata ALLMAN 1886 p. 134, pl. 9, fig. 3-4. 


Sertularella sieboldi Kirchenpauer. 
Serlularella sieboldi KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 50, 54, pl. 16, fig. 


DENT: 


Sertularella solidula Bale. 


Sertularella solidula BALE 1882 p, 24, pl. 12, fig. 8. 
» » BALE 1884 p. 106, pl. 3, fig. 6, pl. 19, 
fig. 28. 


HISTOIRE 


Sertularella solidula 
» » 
» D] 


)} » 


LENDENFELD 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 


DES HYDROÏDES. — V. ie 


© 


1885 (a) p. 417, 624. 


1885 (d) p. 631. 
1887 (c) p. 19. 
1888 p. 764, 765, pl. 15, fig. 3-4. 


Sertularella spinosa Kirchenpauer. 


Sertularella spinosa 


KIRCHENPAUER 


1884 p.43, 53, pl. 15, fig. 5,5 a. 


Sertularella squamata Kirchenpauer. 


Sertularella squamata 


KIRCHENPAUER 


1884 p. 44, 53, pl. 15, fig. 6-60. 


Sertularella subdichotoma Kirchenpauer. 


Sertularella johnstoni 
var. subdichotoma 


Sertularella subdichotoma KiRCHENPAUER 


» » 


» » 


KIRCHENPAUER 


LENDENFELD 
BALE 


1884 p. 46. 

1884 p. 46, 54, pl. 16, fig. 1-1 b. 
1886 (a) p. 478. 

1887 p. 107. 


Sertularella tenella (Alder). 
Voir : Matériaux IE, p. 108; LIL, p. 363 et IV, p. 358. 


Sertularia tenella 
Sertularella geniculala 
Sertularella robusta 
Sertularella tenella 

» }» 
Sertularella geniculata 
Sertularella robusta 
Sertularella tenella 


» » 
» » 
» » 
» » 
» » 


Sertularella geniculata 


BALE 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
PENNINGTON 
LORENZ 

BALE 
BÉTENCOURT 
BALE 
BÉTENCOURT 
HALLEZ 
KIRKPATRICK 
SEGERSTEDT 
MARKTANNER 


1884 p. 93. 

1884 p. 43, 44, 53. 
1884 p. 42, 43, 53. 
1884 p. 43-45, 53. 
1885 p. 108. 

1886 p. 25, 26. 
1887 p. 102, 106. 
1887 p. 67. 

1888 p. 703. 


1888 p. 210. 


1889 p. #0. 

1889 p. 446. 

1889 p. 17, 26. 

1890 p. 222, pl. k, fig. 1. 


Sertularella tilesii Kirchenpauer. 


Sertularella tilesii 


KIRCHENPAUER 


1884 p. 39, 33, pl. 15, fig. 3-36. 


M. BEDOT 


Sertularella tricuspidata (Alder). 


Voir : Matériaux I, p. 477; IT, p. 108; III, p. 364 


Sertularella tricuspidata  Ridcey 


Sertularia tricuspidata 
Sertularella tricuspidata 


Sertularella tricuspidata (Alder) var. 


Sertularella tricuspidata 
var. acuminata 


D ) ) 


BALE 


KIRCHENPAUER 
RATHBUN a. TARR 


THOMPSON 
Murpoca 
PENNINGTON 
LORENZ 
BERGH 
THOMPSON 


DRIEsCH 
MARKTANNER 


KIRCHENPAUER 


THoMPsoN 


et IV, p. 359. 


1881 p. 455. 


1884 p. 94, 
1884 p. 45, 


104. 


46, 47, 53. 


1884 p. 216. 
1884 p. 4, 6. 
1885 p. 166. 
1885 p. 107. 


1886 p. 26. 


1887 p. 335. 


1887 p. 387, 389, 394, pl. 14, 


1889 p. 200. 


1890 p. 222, 


acuminata Kirchenpauer. 


1884 p. 45. 


1887 p. 394. 


Sertularella tridentata (Lamouroux). 


Voir : Matériaux I, p. 477; Il, p. 117; 


Lhuiaria lata 
Sertularia tridentata 
Thuiaria lata 
Sertularia tridentata 
Thuiaria lata 
Sertularia tridens 
Sertularia tridentata 
Sertularia tridens 
Thuiaria lata 
lhuiaria diaphana 
Thuiaria lata 
Sertularia tridens 
Thuiaria lata 


BALE 

BALE 

BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
ALLMAN 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


IT, p. 364 


1882 p. 26, 
1884 p. 94, 
1884 p. 14, 
1885 (a) p. 
1885 (a) p. 
1885 (b) p. 
1885 (b) p. 
1885 (d) p. 
1885 (d) p. 
1886 p. 145 
1887 p. 107 


et IV,p. 3959, 
45, pl. 13, fig. 2. 


97. 


116, 120, pl. 7, fig. 4. 


414, 623. 
420, 62%. 
985. 
985. 
666. 
634. 


DUR CIRE ES 


1887 (c) p. 44. 


1887 (c) p. 


21. 


EL 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Ph 


Thuiaria hyalina ALLMAN 1888 p. LVII, LXIIT, LXIX, 56, 
69, pl. 33, fig. 2, 24. 
Thuiaria lata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 60%. 


Sertularella trimucronata Allman. 


Sertularella trimucronataæ ALLMAN 1886 p. 135, pl. 10, fig. 1-2. 


Sertularella trochocarpa Allman. 
Sertularella trochocarpa  ALLMAN 1886 p. 135, pl. 10, fig. 3-4. 
» » BALE 1887 p. 109. 
Sertularella turgida (Trask). 
Voir : Matériaux IIE, p. 364 et IV, p. 359. 


Sertularia turgida KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 53. 


Sertularella unilateralis (Lamouroux). 
Voir : Matériaux Il, p. 108; IT, p. 364 et IV, p. 360. 
Sertularia unilateralis  CouGnTkEY 1876 (a) p. 29. 


La synonymie de cette espèce qui figure dans les Matériaux IV, p. 360 est 
inexacte et doit être remplacée par celle que nous donnons ci-dessus. Les 3 cita- 
tions que nous avions indiquées, soit ALrMAn 1876 (ce) et 1879, et Sruper 1879 
‘se rapportent à Sertularella antarctica. 

Voir la note à Sertularella allmani. 


Sertularella variabilis Bale. 
Sertularella variabilis BALE 1888 p. 764, pl. 15, fig. 5-9. 
Gen. Sertularia Linné 1748. 
Voir : Matériaux 1, p. 463; 1, p. 109; I, p. 365 et IV, p. 360. 


Sertularia abietina Linné. 


Voir: Abietinaria abietina. 


216 M. BEDOT 


Sertularia acanthostoma Bale. 


Sertularia acanthostoma  BALr 1882 p. 21, 23, pl. 12, fig. 4. 
» ) BALE 1884 p. 66,85, 86, pl. 4, fig. 7,8. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. 
) » LENDENFELD 1887 (c) p. 44. 


Sertularia actoni Philhppi. 
Voir : Matériaux ITT, p. 366 et IV, p. 361. 


La description de cetté espèce est trop incomplète pour qu’on puisse la recon- 
naître. Nous la mettons dans les espèces indéterminables. 


Sertularia albimaris Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 364. 
Sertularia albimaris THOMPSON 1884 p. 3-6, pl. 1, fig. 1-3. 
» » THoMPsON 1887 p. 388, 394, 395. 
Sertularia anguina Trask. 


Voir: Abietinaria anguina. 


Sertularia annulata Allman. 


Sertularia annulata ALLMAN 1838 p. LXV, LXVIIT, 52, pl. 24, 
fig. 2, 24. 
» » DRiESCH 1889 p. 202. 


D'après BrzzarD (1910) cette espèce ne serait qu’une variété de la Serlula- 
rella gayi (Lamouroux) ; il lui donne le nom de var. allmani. 


Sertularia aperta Allman. 
Sertularia aperta ALLMAN 1886 p. 138, 150, pl. 13, fig. 1-2. 


Sertularia arctica Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 361. 


Sertularia arctica THOMPSON 1884 p. d. 
» ) THOMPSON 1887 p. 388, 389, 394, 395, pl. 
15, fig. 6-8, pl. 16, fig. 
12, 13. | 


HISTOIRE 


DES HYDROÏDES. — V. 


Sertularia argentella Pennimgton. 


Sertularia argentella 


PENNINGTON 


1885 p. 117, pl, 8, fig. 1. 


Sertularia australis (Kirchenpauer). 


Voir : Matériaux III, p. 366 et IV, p. 361. 


Sertularia australis 
Dynamena australis 
Sertularia australis 


» » 
» » 
» )) 
» » 
)) » 


BALE 
BALE 
BALE 
LENDENFFLD 
LENDENFELD 
BALE 
LENDENFELD 
BALE 


1882 p. 18. 

1884 p. 74. 92. 

1884 p. 72, pl. 8, fig. 7-8. 
1885 (a) p. 408, 622. 
1885 (d) p. 662. 

1887 p. 93. 

1887 (c) p. 41. 

1888 p. 770. 


Sertularia bicuspidata Lamarck. 


Voir : Matériaux I, p. 467; LU, p. 410; IL, p. 366 et IV, p. 361. 


Sertulauria bicornis 
Serlularia divergens 
Dynamena divergens 
Sertularia bicornis 
Sertuluria bicuspidata 
Sertularia divergens 


Sertularia bicuspidata 
Sertularia divergens 
Dynamena divergens 
Sertularia bicornis 
Sertularia bicuspidata 
Sertularia divergens 
Sertularia bicornis 
Sertularia divergens 
» » 

Sertularia bicornis 
Sertularia divergens 


BALE 
BALE 
BALE 
BALE 
BALE 
BALE 


CaARUS 
CARUS 
P1EPER 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


1882 p. 22, pl. 19, fig. 3 
1882 p. 44. 
1884 p. 34, 82. 


1882 p. 83, 92, pl. 5, fig. 9. 


1884 p. 71, 72. 


1884 p. 81, 83, 84, 92, pl. 


12 


1 


ig. 3, pl. 19, tig. 16. 


1884 p. 14. 

1884 p. 14. 

1884 p. 186. 

1885 (a) p. 410, 623. 
1885 (a) p. 408. 
1885 (a) p. 410, 623. 
1885 (d) p. 663. 
1885 (d) p. 664. 
1887 p 93. 

1887 (c) p. 41. 

1887 (c) p. 42. 


Dans les Matériaux IV, p. 3614, il faut enlever de la synonymie de S. bicus- 


pidala Y'indication : Sertularia flosculus Thompson 1879, qui doit rentrer dans 


la synonymie de Sertularia turbinata. 


218 M. BEDOT 


Sertularia bidens Bale. 


Sertularia bidens BALE 1884 p. 70, 72, 115, pl. 6. fig. 
(QN à) EL 1e RE le 
» LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 
» » LENDENFELN 1887 (c) p. 43. 
» » MARKTANNER 1890 p. 228. 


Sertularia bispinosa (Gray). 
Voir : Matériaux II, p. 110 ; IT, p. 367 et IV, p. 362. 


Sertularia bispinosa BALE 1882 p. 17. 

? Sertularia pulchella BALE 1882 p. 18, 4>. 

Sertularia bispinosa BALE 1884 p. 31. 68, 69, pl. 6, fig. 2, 
pl. 19, fig. 4-5. 

? Sertularia pulchella BALE 1884 p. 71, pl. 6, fig. 5, pl. 19, 


Diphasia symmetrica 
? Sertularia pulchella 
Sertularia bispinosa 
Diphasia symmetrica 
Serlularia bispinosa 
? Sertularia pulchella 
Sertularia bispinosa 
Sertularia unilateralis 
Serlularia bispinosa 
» ) 

Diphasia symmetrica 
? Sertularia pulchella 
Sertularia bispinosa 
Diphasia symmetrica 
Sertularia bispinosa 

? Sertularia pulchella 
Serlularia bispinosa 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
ALLMAN 
ALLMAN 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 

BALE 
MARKTANNER 
MARKTANNER 
PFEFFER 


fig. 10. 


1885 (a) p.414, 693, pl. 8, ig. 7. 


1885 (a) p. 408, 622. 
1885 (a) p. 407, 622, 
1885 (d) p. 633. 
1885 (d) p. 633. 
1885 (d) p. 665. 
1886 p. 140. 


1886 p. 139, pl. 13, fig. 5-7. 


1887 p. 92. 

1887 (c) p. 42. 
1887 (c) p. 20. 
1887 (c) p. 43. 
1888 p. 745. 
1888 p. 745. 
1890 p. 229, 231. 
1890 p. 230. 
1890 p. 568. 


Sertularia carolinensis Verrill. 


Voir : Matériaux IV, p. 362. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 219 


Sertularia catena Allman. 


Sertularia catena ALLMAN 1888 p. LXITI, LXIX, 58, pl. 28, 
fig. 2, 24. 
» » DRIESCH 1889 p. 202. 


Sertularia clausa Allman. 
Sertularia clausa ALLMAN 1888 p. LXVIL, LXVII, 54, pl. 
25, fig. 3, 34. 
Sertularia complexa Clarke. 
Voir : Matériaux IV, p. 362. 


Sertularia compleæa BALE 1888 p. 769, pl. 18, fig. 1-4. 


Sertularia compressa Mereschkowsky. 
Voir : Matériaux IV, p. 362. 


Sertularia conferta (Kirchenpauer). 
Voir : Matériaux I, p. 367 et IV, p. 362. 


Sertularia conferta BALE 1884 p. 93, pl. 8, fig. 9 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 661. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 40. 
Dynamena conferta BALE 1888 p. 769. 


:Sertularia confervaeformis Esper. 
Voir : Matériaux [, p. 468; IT, p. 111 ; III, p. 367 et IV, p. 363. 


Sertularia cornicina (Mac Crady). 
Voir : Matériaux III, p. 367 et IV, p. 363. 


Dynamena cornicina BROOKS 1882 p. 143. 


Sertularia crenata Bale. 


Serlularia crenata BALE 1884 p. 18, 66, 86, pl. 4 fig. 2. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. 


» » LENDENFELD 1887 (C) p. 44. 


220 M. BEDOT 


Sertularia crinoidea Allman. 


Sertularia crinoidea ALLMAN 1886 p. 141, pl. 16, fig. 1-2. 


BizLarD (1910) considère cette espèce comme synonyme de Sertularia mi- 

nima Thompson. 
Sertularia cylindritheca Allman. 
Sertularia cylindritheca  ALLMAN 1888 p. LXILL, LXIX, 59/60 
pl. 29, fig. 1-1 «. 
Sertularia digitalis Busk. 
Voir: Diphasia digitalis. 
Sertularia dijÿmphnae Bergh. 


Sertularia dijmphnae BERGH 1887 p. 335, pl. 28, fig. 3 a-c. 


Sertularia disticha Bosc. 
Voir : Matériaux I, p. 440 ; IT, p. 67; IL, p. 368 et IV, p. 363. 


Sertularia disticha CARUS 1884 p. 14. 
Dynamena disticha PrkPER 1884 p. 186. 


Sertularia echinocarpa Allman. 


Sertularia echinocarpa  ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 57, 60, 
pl. 28, fig. 1-1 a. 
» » DRiEscH 1889 p. 199. 
) » PFEFFER 1890 p. 568. 


Sertularia elongata Lamouroux. 
Voir : Matériaux I, p. 469; II, p. 112; ILL p. 369 et IV, p. 363. 


Sertularia elongata BALE 1882 p. 18. 
ÿ j BALE 1884 p. 31, 33, 72, 73, 97, 115, 
116, pl. 6, fig. 7-8, pl. 
19, fig. 7. 
? Sertularia scandens BALE 1884 p. 97. 
Sertularia elongata LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. 


? Sertularia scandens LENDENFELD 1885 (a) p. 414, 623. 


HISTOIRE 


Sertularia elongata 
? Serlularia scandens 
Sertularia lycopodium 


Sertularea mille[olium 


Sertularia elonyata 
» » 


Sertularia millefolium 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
MÜLLER 
MÜLLER 
ALLMAN 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


DES HYDROÏDES. — V. 


1885 (d) p. 666. 


1885 (d) p. 666. 

1885 p. 934. 

1885 p. 934. 

1886 p. 140, pl. 15, fig. 1-6. 
1886 (a) p. 480. 

1886 (a) p. 480. 


[Es 
[De 


one 


Sertularia elongata BALE . 1887 p. 106. 
» » LENDENFELD 1887 (ec) p. 44. 
? Sertularia scandens LENDENFELD 1887 (c) p. 44. 
Sertularia elongata BALE 1888 p. 770. 
» » MARKTANNER 1890 p. 228, 220, 233. 
Sertularia abielinoides  PrEFFER 1890 p. 568. 
: ; : : re 
Sertularia evansi Ellis et Solander. 
f 
Voir : Synthecium evansi. Î 


Sertularia exigua Allman (1877 non 1888). 
Voir : Matériaux IV, p. 363. 
1890 p. 239. 


Sertularia exiqua MARKTANNER 


Voir la note à Sertularella gaudichaudi. 


Sertularia exserta Allman. 


Sertularia exserta ALLMAN 1888 p. XVII, LXIV, LXIX, 56, 
] 70, pl. 27, fig. 1-1c. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


Sertularia filicula Ellis et Solander. 


Voir: Abietinaria filicula. 


Sertularia filiformis Allman. 
Sertularia filiformis 
(gracilis)  ALLMAN 
Sertularia gracilis 
Sertularia filiformis 


ALLMAN 


DRiescH 1889 p. 199. 


1888 p. LVIIT, LXVIT, LXVII. 
1888 p. 51, pl. 24, fig. 1, 1a. 


* 


vu 


1/ 


[Es] 
[ee 
D 


M. BEDOT 


Sertularia flexilis Thompson. 


Voir : Matériaux IV, p. 364. 


Sertularia fleæilis BALE 1882 p. 18. 
» » BALE 1884 p. 78, pl. 8, fig. 1. 
) ) LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 


Sertularia geminata Bale. 


Sertularia geminata BALE 1884 p. 78, 92, pl. 5, fig. 6-7, 
pl. 19, fig. 15. 
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 409. 
Sertularia germinata LENDENFELD 1885 (a) p. 622. 
Sertularia geminata LENDENFELD 1885 (d) p. 664. 
Desmoscyphus orifissus  ALLMAN 1886 p. 143, pl. 17, fig. 1-4. 
Sertularia geminata LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 


Sertularia geniculata Bale. 
Sertularia geniculata BALE 1888 p. 768, pl. 17, fig. 6-11. 


Cette espèce ne doit pas être confondue avec la Sertularia geniculata d’ALCMAR, 
qui est synonyme de Sertularia producta. 


Sertularia grosse-dentata (Kirchenpauer). 
Voir : Matériaux IIT, p. 371 et [V, p. 364. 


Sertularia (Dynamena) 


grosse-dentata BALE 1882 p. 20. 
Sertularia grosse-dentata BALE 188% p. 94, pl. 8, fig. 10. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 


Sertularia huttoni Marktanner. 


Sertularia huttoni MARKTANNER 1890 p. 233, pl. 4, fig. 7. 


[Es] 
[Er 
oc 


HISTOIRE DES HYDROIDES, — V. 


Sertularia imbricata Busk. 


Voir: ZThuiaria imbricatu. 


Sertularia implexa Allman. 


Sertularia implexa ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVIIL 54, pl. 
26, fig. 1-1 a. 
» » PFEFFER 1890 p. 567. 


Sertularia inconstans Clark. 


Voir: Abietinaria inconstans. 


Sertularia insignis Thompson. 


Voir : Matériaux IV, p. 364. 


Serlularia insignis | BALE 1882 p. 18. 
» » BALE 1884 p. 66, 86, pl. 8, fig. 2-3. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 44. 


Sertularia integritheca Allman. 


Sertularia integritheca ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX, 60, pl. 29, 
fig. 2-2 a. 


Sertularia interrupta Pfeftter. 


Sertularia interrupla PFEFFER 1889 p. 55. 
» » PFEFFER 1890 p. 519, 568. 


Sertularia irregularis Lendenfeld. 


Sertularia irreqularis LENDENFELD 1885 (a) p.406, 622, pl. 8, fig. 6. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. #2. 


224 M. BEDOT 


Sertularia lamourouxi M. Edwards. 
Voir : Matériaux I, p. 440 ; Il, p. 67 ; IE, p. 371 et IV, p. 369. 
Syn.: Sertularia pourtalesi Nutting. 
Voir : Matériaux IV, p. 366. 


Sertularia distans FEWKES 1881 (a) p. 128. 
Diynamena distans BALE 1884 p. 79, 82, 83. 
Sertularia tenuis BaLe 1884 p. 82, pl. 5, fig. 4, 5; pl 
pl. 19. fig. 16. 

Sertularia gracilis CARUS 1884 p. 13. 
Sertularia secunda CARUS 1884 p. 14. 
Dynamena distans PIEPER 1884 p. 186, 187. 
Dynamena secunda PIEPER 1884 p. 186, 187. 
Sertularia tenuis LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 66%. 
Sertularia gracilis P&NNINGTON 1885 p. 113. 

» » MELcy, Hicks a. 

HEnDMAN 1886 p. 110. 

Serlularia tenuis BALE 1887 p. 93. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. 
Sertularia distans ALLMAN 1888 p. 50, 51. 
Serlularia secunda DriescH 1889 p. 213-216, 221, fig. 9 a. 
Serlularia gracilis HALLEZ 1890 p. 96 
Dynamena distans MARKTANNER 1890 p. 239-242, pl. 5, fig. 2-24. 
Dynamena gracilis MARKTANNER 1890 p. 232, 239, 240, 242, pl. 

à, fig. 3. 

» » var.  MARKTANNER 1890 p. 241, pl. 5, fig. 4. 
Dynamena mediterranea  MARKTANNER 1890 p. 242, pl. à, fig. 5-d a. 
Sertularia distans MARKTANNER 1890 p. 239. 

Sertularia tenuis MARKTANNER 1890 p. 241. 


Nous admettons pour celte espèce la synonvmie donnée par BizLarp (1906 
p. 187) tout en maintenant le nom de S. lamourouxi au lieu de S. distans 
(voir Matériaux II, p. 371). Les différences que l'on peut constater dans les 
descriptions des espèces que nous comprenons dans cette synonymie sont dues 
surtout à l’écartement des hydrothèques et à la longueur des articles dont 
BicLaRD à montré la grande variabilité. Nous n'avons pas de données précises 
sur la longueur des hydrothèques, mais, dans tous les cas, ce caractère seul 
serait à peine suffisant pour permettre d'établir une variété. 


[Re 
IN 
Qt 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


: Sertularia leiocarpa Allman. 


Sertularia leiocarpa ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVII, 52, pl. 
25, fig. 1-1 4. 


Sertularia macrocarpa Bale. 


Sertularia macrocarpa BALE 1884 p. 80, pl. à, fig. 2, pl. 19, 
fig. 11. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 664. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. 
» 8 4 MARKTANNER 1890 p. 232. 


Sertularia maplestonei Bale. 


Sertularia maplestonei BALE 1884 p. 70, 115, pl. 6, fig. 4, 
pl.:.19;f028 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 
Sertularia mapleslonii  LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 
Sertularia maplestonei  MARKTANNER 1890 p. 231. 


Sertularia marginata Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 365. 


Sertularia marginata MARKTANNER 1890 p. 238. 


Sertularia megalocarpa Allman. 


Sertularia megalocarpa  ALLMAN 1886 p.139, 142, pl. 16, fig. 5-7. 


Sertularia minima Thompson. 
Voir : Matériaux IV, p. 365. 


Sertularia minima BALE 1882 p. 17, 22, 45. 
Sertularia pumiloides … BALE 1882 p. 21, 45, pl. 12, fig. 2. 
Sertularia minima BALE 1884 p. 31, 89, 92, pl. 4, fig. 
9-10, pl. 19, fig. 19-13. 
Sertularia pumiloides BALE 1884 p. 90. 
Sertularia minima LENDENFELD. 1885 (a) p. 411, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 15 


226 M. BEDOT 

? Sertularia humilis ALLMAN 1886 p. 143. 

Sertularia minima ALLMAN 1886 p. 138, pl. 13, fig. 3-4. 
» » BALE 1887 p. 109. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. 


MARKTANNER 


1890 p. 226, 231. 


Sertularia minuta Bale. 


Sertularia minuta BALE 1882 p. 21, pl. 12, fig. 1. 
» » BALE 1884 p. 90, pl. 4, fig. 3-4, pl. 
19, fig. 14. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. 
» » BALE 1887 p. 110. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 


Sertularia mutulata Busk. 


Voir: Diphasia mutulata. 


Sertularia operculata Linné. 
Voir : Matériaux I, p. 441; UT, p. 68; IIL, p. 373 et IV, p. 366. 


BYERLEY 1854 p. 104. 
LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16. 


Sertularia operculata 


» » BALE 1882 p. 15, 17, 44. 
Dynamena operculata BALE 1884 p. 73, 94. 
Sertularia operculata BALE 1884 p. 13, 31, 67, 69, 70, pl. 
6,-fig. 4, pl. 19,45 
» » CARUS 1884 p. 14. 
Sertularia serra CaRus 1884 p. 14. 
Sertularia operculata LENDENFELD 1885 (a) p. 407, 408, 622. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. 

» » PENNINGTON 1885 p. 113, pl. 7, fig. 3 
Sertularia crinis ALLMAN 1886 p. 139, pl. 14. fig 1-2. 
Sertularia operculata ALLMAN 1886 p. 138, 148. 

» » HERDMAN 1886 (a) p. 6, 10. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 330. 


Meccy, Hicks a. 


HERDMAN 1886 p. 110. 


Er 


Sertularia operculata 
Dynamena fasciculata 
Sertularia operculata 


Voir: Synthecium orthogonium. 


Sertularia patula 


» 


» 


Sertularia penna 


» 


» 


» 


NicHozs a. Happon 1886 p. 615. 


BALE 
ALLMAN 


BALE 
BÉTENCOURT 
LENDENFELD 
BÉTENCOURT 
DRIESCH 
MARKTANNER 
PFEFFER 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


1887 p. 92. 


1888 p. LVI, LVIIL, LXVII, 
LXIX, 61, pl. 30, fig. 


À, 144. 


1887 p. 92. 
1887 p. 67. 


1887 (c) p. 42. 
1888 p. 210, 211. 


1889 p. 213. 


1890 p. 229, 231. 
1890 p. 483, 368. 


Sertularia orthogonia Busk. 


Sertularia patula Busk. 


BALE 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 


BALE 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


Voir: Sertularia lamourouxi. 


Voir : Matériaux III, p. 374 et IV, p. 366. 


1882 p. 18. 


1884 p. 88, 89, pl. 5, fig. 10. 


1885 (a) p. 411, 693. 
1885 (d) p. 662. 
1887 (c) p. #1. 

1888 p. 766, 767. 


Sertularia penna (Kirchenpauer). 


Voir : Matériaux LIL, p. 374 et IV, p. 366. 


1882 p. 18. 


1884 p. 74, pl. 8, fig. 5-6. 
1885 (a) p. 409, 622. 
1885 (d) p. 663. 

1887 (c) p. 41. 


Sertularia pourtalesi Nutting. 


228 M. BEDOT 


Sertularia producta Allman. 


Sertularia producta 
[geniculata]  ALLMAN 1888 p. LXVI, LXIX, expl. pl. 


28, fig. 3. 
Sertularia geniculata ALLMAN 1888 p. 59, 60, pl. 28, fig. 3-3 b. 
» » DRIESCH 1889 p. 202. 


Sertularia pulchella (d’Orbigny). 


Voir : Matériaux Il, p. 70; III, p. 374 et IV, p. 366. 


Sertularia pumila Linné. 
Voir : Matériaux I, p. 442; IT, p. 70; IIE, p. 375 et IV, p. 367. 


Sertularia pumila LEUCKART 1847 (c) p. 90. 
» » BYERLEY 1854 p. 104. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16. 
» » VARENNE 1881 (a) p. 346. 
VAE » LENZ 1882 p. 177. 
» » STORM 1882 p. 12, 21, 29. 
» » VARENNE 1882 (b) p. 637, pl. 33, fig. 3. 
» » WEISMANN 1883 p. 169, 221, pl. 9, fig. 7-8. 
» » CARUS 1884 p. 13. 
Sertularia (Dynamena) 
pumila KIRCHENPAUER 1884 p. 16. 
Sertularia pumila PENNINGTON 1885 p. 112, pl. 7, fig. 1. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330. 
» » KÜKENTHAL U. 
WEISSENBORN 1886 p. 778. 
» » Mezcy, Hicks a. 
HErDMAN 1886 p. 109. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 23, 69. 
» > ta Nicuozs a. HapnoN 1886 p. 615. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » ALLMAN 1888 p. XXXIII, 50, 63, note. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 212. 
» » CLARKE 1888 p. 86. 


» » DRIESCH 1889 p. 213-216, 222, fig. 9 bd. 


HISTOIRE 


Sertularia pumila 
» » 


Dynamena pumila 


SEGERSTEDT 
BOURNE 
MARKTANNER 


DES HYDROÏDES. — V. 229 


1889 p, 18, 27. 
1890 (b) p. 396. 
1890 p. 239, pl. 4, fig. 11. 


Sertularia ramulosa Coughtrey. 


Sertularia recta 


» » 
» ) 
» » 
» » 


Voir : Matériaux IV, p. 368. 


Sertularia recta Bale. 


BALE 
BALE 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


1882 p. 21, 23, pl. 12, fig. 5. 
1884 p. 79; 81 (pl eee 
1885 (a) p. 410, 622. 

1885 (d) p. 66%. 

1887 (c) p. 43. 


Sertularia simplex Lendenfeld. 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 


1885 (b) p. 909, 913, 984. 
1885 (d) p. 662. 
1887 (c) p. 41. 


Sertularia subcarinata Busk. 


Voir : Diphasia subcarinata. 


Sertularia tridentata Busk. 
Voir : Matériaux II. p. 378 et IV, p. 368. 


Sertularia tridentata BALE 1882 p. 18. 
» » BALE 1884 p. 79, pl. 9, fig. 10. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 985. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 44. 


Sertularia trigonostoma Busk. 
Voir : Matériaux III, p. 378 et IV, p. 368. 


Sertularia trigonostoma BALE 1884 p. 84, pl. 5, fig. 8. 
per. » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 41. 


230 M. BEDOT 


Desmoscyphus obliquus  ALLMAN 1888 p. LIX, LXIIT, LXV, LXIX, 
72, pl. 34, fig. 3-3 a. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 
Sertularia trigonostoma  KiRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Sertularia trispinosa Coughtrey. 


Voir : Matériaux IV, p. 368. 


Sertularia trispinosa RIDLEY 1881 (a) p. 104. 
» » BALE 1882 p. 17. 
» » BALE 1884 p. 31, 69, pl. 6, fig. 3, pl. 
1908.40: 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. 
» » BALE 1887 p. 92. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 
» » PFEFFER 1890 p. 483, 568. 


Sertularia tuba Bale. 


Sertularia tuba BALE 1884 p. 87, 116, pl. 4, fig. 11, 
pl 19 he 7: 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 41. 
» » MARKTANNER 1890 p. 238. 


Sertularia tumida Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 368. 


Sertularia tumida MARKTANNER 1890 p. 239. 


Sertularia turbinata (L:amouroux). 
Voir : Matériaux I, p. 445; II, p. 73; I, p. 378 et IV, p. 368. 


Sertularia flosculus THOMPSON 1879 p. 164%, pl. 17, fig. 2, 2 a. 
» » BALE 1882 P. 18, Al, 
Sertularia loculosa BALE 1882 p. 18. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 231 


Dynamena marginata BALE 1884 p. 73. 

Sertularia loculosa BALE 1884 p. 91, 104, pl. 4, fig. 5-6. 
ne 9 6e. ,42,- pl. 19, 
fig. 9. 

Sertularia turbinata BALE 1884 p. 96. 

Sertularia loculosa LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. 

Sertularia turbinata LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623. 

Sertularia loculosa LENDENFEILD 1885 (d) p. 664. 

Sertularia turbinata LENDENFELD 1885 (d) p. 661. 

Serlularia amplectens ALLMAN 1886 p. 141, pl. 16, fig. 3-4. 

Sertularia loculosa BALE 1887 p. 93. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. 

Sertularia turbinata LENDENFELD 1887 (c) p. 40. 

Desmoscyphus gracilis ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX, 71, 
pl. 34, fig. 2-2 c. 

Sertularia loculosa BALE 1888 p. 770. 

Dynamena marginata DRIESCH 1889 p. 215. 


Nous avons admis, pour cette espèce, la synonymie donnée par BILLARD 
(1910 p. 19). 


Sertularia unguiculata Busk. 


Voir : Matériaux II, p. 379 et IV, p. 369. 


Sertularia unquiculata BALE 1882 p. 45. 

Thuiaria ambiqua BALE 1882 p. 19, 45. 

Sertularia unguiculata  BarE 1884 p. 31, 76, 92, pl. 6, fig. 
9-12, pl. 19, fig. 8. 

Thuiaria ambiqua KINCHENPAUER 1884 p. 25, 28. 

Sertularia unguiculata  LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 664. 
Desmoscyphusunquiculata ALLMAN 1886 p. 144. pl. 17, fig. 5-7. 
l'huiaria ambiqua LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 

Sertularia unguiculata  LENDENFELD 1887 (c) p. 43. 

» » MARKTANNER 1890 p. 231. 


Sertularia variabilis Clark. 


Voir: Abietinaria variabilis. 


[E) 
Qc 
[Re 


M. BEDOT 


Gen. Silicularia Meyen 1834. 
Voir : Matériaux IL, p. 117; ILE, p. 379 et IV, p. 369. 
On devra mettre dans ce genre les espèces que nous avons main- 
tenues provisoirement dans le genre Æypanthea. 
Silicularia rosea Meyen. 


Voir : Matériaux Il, p. 118; III, p. 379 et IV, p. 369. 


Gen. Solanderia Duchassaing et Michelin 1846. 
Voir : Matériaux IE, p. 379 et IV, p. 369. 
Voir la remarque au genre Ceratella. 
Solanderia fusca (Gray). 


Syn. : Ceratella fusca Gray. 
Voir : Matériaux II, p. 262 et IV, p. 270. 


Ceratella fusca BALE 1884 p. 48, 49, 50. 
5 » LENDENFELD 1885 (a) p. 612, 631. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 667. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 45. 
» » BALE 1888 P. 745, 748. 


Solanderia gracilis Duchassaing et Michelin. 


Voir : Matériaux IIT, p. 380 et IV, p. 369. 


Solanderia labyrinthica (Hyath). 
Ceratella labyrinthica HyaTH 1877 p. 551. 


Solanderia procumbens (Carter). 


Syn. : Ceratella procumbens Carter. 
Voir : Matériaux IV, p. 270. 


HISTOIRE 


DES HYDROÏDES. — 


V. 


Solanderia spinosa (Carter). 


Syn. : Ceratella spinosa Carter. 


Voir : 


Matériaux IV, p. 270. 


Gen. Statocodium Allman 1871. 


ALLMAN (1871, p. 279, note) indiquait ce nom comme pouvant, 
au besoin, être donné aux Syncorynes qui se reproduisent soit par 


gonophores fixés, soit par méduses. Ce nom n’a pas été adopté. 


Gen. Stauridium Dujardin 1843. 


Voir : Matériaux II, p. 119; II, p. 380 et IV, p. 369. 


Stauridium productum Wright. 


Voir : Matériaux III, p. 380 et IV, p. 369. 


Stauridium productum 
» » 

Stauridia producta 

Stauridium productum 


» » 


Stauridia producta 
Stauridium productum 
» » 


» » 


Gen 


Du PLessis 


LESLIE u. HERDMAN 1881 p. 
CARUS 1884 p. 
PENNINGTON 1885 p. 
KËKENTHAL U. 

WEISSENBORN 1886 p. 
Du PLEssIs 1888 p. 
Lo Bianco 1888 p. 
M'Inrosx 1889 p. 
M'INTosH 


55. pl. 3, fig. 3. 


778. 
D37. 
389. 
273. 


1890 (b) p. 299. 


. Staurocoryne Rotch 1872. 


Voir : 


Matériaux IV, p. 370. 


Staurocoryne wortleyi Rotch. 


Voir : 


Matériaux IV, p. 370. 


1881 (a) p. 145, ex. syn. pp. ? 


234 M. BEDOT 


Gen. Staurotheca Allman 1888. 


SCHNEIDER (1897, p. 527), considère ce genre comme synonyme 
de Selaginopsis, mais BILLARD (1910, p. 29) a montré qu’il devait 
être maintenu. 


Staurotheca dichotoma Allman. 


Staurotheca dichotoma ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 76, pl. 36, 
fig. 1-1 a. 
» » PFEFFER 1890 p. 568. 


Gen. Streptocaulus Allman 1883. 


Streptocaulus pulcherrimus Allman. 


Streptocaulus pulcher- 
TiMUS  ALLMAN 1883 p. 15, 48, pl. 16, fig. 1-3. 
» » ALLMAN 1885 p. 751, fig. 264. 
» » QuELCH 1885 (a) p. 11, pl. 1, fig. 5. 
» » ALLMAN 1888 p. LXHH, LXIX. 
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676. 


Gen. Stylactella Hæckel 1889. 


Stylactella abyssicola Hæckel. 


Stylactella abyssicola HÆCKEL 1889 p. 79, 81, pl. 2, fig. 7. 
Stylactis abyssicola HÆCKEL 1889 p. 76. 


Stylactella spongicola Hæckel. 


Stytactella spongicola HÆCKEL 1889 p. 79, 80, pl. 2, fig. 5, 6. 
Stylactis spongicola HÆCKEL 1889 p. 76. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 235 


Stylactella vermicola (Allman). 


Stylactis vermicola ALLMAN 1888 p. LXVI, LXVIIL, 2, pl. 1, 
fig. 2,24. 

Stylactella vermicola HÆCKEL 1889 p. 79. 

Stylactis vermicola HÆCKEL 1889 p. 78, 79, 80. 


Gen. Stylactis Allman 1864. 


Voir : Matériaux LIT, p. 381 et IV, p. 370. 


Stylactis arge Clarke. 


Stylactis arge CLARKE 1882 p. 135, 138, pl. 8, fig. 
18-20. 


Stylactis fucicola (Sars). 
Voir : Matériaux III, p. 381 et IV, p. 370. 
Stylaclis fucicola CARUS 1884 p. 3. 


Stylactis inermis Allman. 
Voir : Matériaux LL, p. 381 et IV, p. 370. 


Stylactis inermis Du PLEssis 1888 p. 541. 
» » CARUS 1884 p. 3. 


Stylactis sarsi (Sars). 


Voir : Matériaux IE, p. 381 et IV, p. 370. 


Gen. Symplectoscyphus Marktanner 1890. 


SCHNEIDER (1897, p. 525) a montré que ce genre ne pouvait pas 
être maintenu et tombait en synonymie de Sertularella. HARTLAUB 
(1901) et BILLARD (1910) ont adopté cette opinion. 


236 M. BEDOT 


Gen. Syncoryne Ehrenberg 1834-Allman 1864. 


Voir : Matériaux IL, p. 119 ; IL, p. 381 et IV, p. 370. 


Syncoryne clavata Grætte. 
Syncoryne clavata GRÆFFE 1884 p. 351. 


GRærFE admettait que la méduse de cette Syncoryne était la Sarsia clavata 
de KEFERSTEIN, mais HarrLAuB (1907) croit qu’il s’agit plutôt de la Dipurena 
dolichogaster Hæckel. Nous la laisserons figurer dans les méduses. 


Syncoryne decipiens Dujardin. 
Voir : Matériaux If, p. 119; IE, p. 381 et IV, p. 370. 


Syncoryne decipiens Leslie a. HERDMAN 1881 p. 9. 
» » PENNINGTON 1885 p. 90. 
» » M’Ixrosa 1887 (b) p. 99, 100. 
» » M'INTrosH 1890 (b) p. 299. 


Syncoryne eximia Allman. 
Voir : Matériaux IIT, p. 382 et IV, p. 371. 


? Syncoryne eximia Du PLessis 1881 (a) p. 144. 

» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8. 

» » STORM 1882 p. 7. 

» » PENNINGTON 1885 p. 49. 

» » HADDON 1886 (a) p. 524. 

» » BéTENCOURT 1887 p. 66. 

» » BÉTENCOURT 1888 p. 203. 
Sarsia eximia DacLa Torre 1889 p. 95. 
Syncoryne eximia M'Inrosx 1889 p. 273. 

» » BOoURNE 1890 (b) p. 392. 

» » M’INrosH 1890 (b) p. 299. 


Syncoryne ferox (Wright). 
Voir : Matériaux Il, p. 383 et IV, p. 374. 


Syncoryne ferox LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 9. 
» » PENNINGTON 1885 p. 91. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, 


Le 257 


Syncoryne frutescens Allman. 
Voir : Matériaux III, p. 383 et IV, p. 371. 


Syncoryne frutescens PENNINGTON 1885 p. 51. 


Syncoryne glandulosa Dujardin. 
Voir : Matériaux II, p. 119; III, p. 383 et IV, p. 371. 


Syncoryne græfjei (Jickeli). 


Coryne graeffei JICKELI 1883 p. 607, 668, 670, pl. 26, 
fig. 11-22, pl. 28, fig. 4. 
» » GRÆFFE 1884 p. 352. 
Syncoryne (Coryne) 
graeffei  GRÆFFE 1884 p. 392. 


Syncoryne gravata (Wright). 
Voir : Matériaux LIL, p. 383 et IV, p. 371. 


Syncoryne gravata LEsLiE a. HERDMAN 1881 p. 9. 
» » PENNINGTON 1883 p. 50. 


Syncoryne loveni Sars. 
Voir : Matériaux II, p. 120 ; I, p. 384 et IV, p. 371. 
Syncoryne loveni WEISMANN 1883 p. 56. 


Syncoryne minima (Lendenfeld). 


Sarsia minima LENDENFELD 1885 (a) p. 584, 628, pl. 21, fig. 
34, 35. 
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 945. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 649. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. 


Syncoryne mirabilis (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux II, p. 120; III, p. 385 et IV, p. 372. 


Sarsia mirabilis FEWKES 1881 (b) p. 141, 148, 155, pl. 3, 
fig. 11, 12. 
Syncoryne mirabilis CLARKE 1882 p. 138. 


» » WEISMANN 1883 p. 96. 


238 M. BEDOT 


Sarsia mirabilis FEWKES 1888 (a) p. 224, 225. 
» » FEWKES 1889 {c) p. 598. 


Syncoryne occidentalis Fewkes. 


Syncoryne occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 99, pl. 3, fig. 2, 3. 


Syncoryne pulchella Allman. 
Voir : Matériaux IL, p. 132; IIL, p. 386 et IV, p. 372. 


? Syncoryne pulchella Du Pcessis 1881 (a) p. 144. 
Codonium pulchellum CARUS 1884 p. 20. 
Syncoryne pulchella LENDENFELD 1884 (c) p. 585. 
» » PENNINGTON 1885 p. d0. 
» » Du PLESsIs 1888 p. 535. 
Sarsia (Codonium) 
pulchella  MIxrosa 1889 p. 272. 
» » M’INTosH 1890 (b) p. 299. 


Syncoryne radiata (Lendenfeld). 


Sarsia radiata LENDENFELD 1884 (c) p. 584 ss. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 583, 628, pl. 20, 
fig. 31, 32. 
» » LENDENFELD 1885 (c) p. 637, pl. 30. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 649. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. 


Syncoryne reticulata (A. Agassiz). 
Voir : Matériaux III, p. 386 et IV, p. 372. 


? Ectopleura turricula  FEWKES 1882 (b) p. 296. 
? Sarsia turricula FEWKES 1882 (b) p. 296. 
Syndictyon reticulatum WAGNER 1885 p. 75. 


Syncoryne rosaria (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux IV, p. 372. 


Sarsia rosaria FEWKES 1885 (b) p. 164, 165. 
Syncoryne rosaria FEWKES 1889 (b) p. 100, pl. 4, fig. 1-4. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 239 


Sarsia rosaria FEWKES 1889 (c) p. 597. 
(Sarsia)Syncorynerosaria FEWKES 1889 (c) pl. 25, fig. 7. 
Syncoryne FEWKES 1889 (c) p. 598, fig. 8, 9. 


Syncoryne sarsi Lovén. 
Voir : Matériaux IT, p. 120; LIL, p. 386 et IV, p. 373. 


Syncoryne sarsi LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8. 
» » HaAMaNN 1882 (a) p. 524, pl. 20, fig. 11. 
» » HAMANN 1882 (b) (pas de page), pl. 26, 
fig. 21. 
» » LENZ 1882 p.171, 177. 
» » STORM 1882 p. 29. 
» » WEISMANN 1883 p. 55 ss., 216, 245. 
» » THOMPSON 1884 p. 4, 8. 
» » PENNINGTON 1885 p. 49. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23. 


Gen. Synthecium Allman 1871. 
Voir : Matériaux IIL, p. 387 et IV, p. 373. 


Synthecium alternans Allman. 


Synthecium alternans ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 79, 80, pl. 
37, fig. 2-2 4. 
Sertularella cylindrica BALE 1888 p. 765, pl. 16, fig. 7. 


Synthecium campylocarpum Allman. 


Synthecium campylo- 


carpum  ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 78, 80, pl. 
37, fig. 1-10. 
» » MARKTANNER 1890 p. 214, 248. 


Synthecium elegans Allman. 
Voir : Matériaux III, p. 387 et IV, p. 373. 


Synthecium elegans LENDENFELD 1885 (a) p. 909, 943. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. 
» » ALLMAN 1886 p. 137, 138. 


240 M. BEDOT 


Synthecium ramosum ALLMAN 1886 p. 137, pl. 12, fig. 3-4. 
Synthecium elegans LENDENFELD 1887 (c) p. 18. 
» » ALLMAN 1888 p. 78, 79. 
Synthecium ramosum ALLMAN 1888 p. 78. 
Synthecium elegans MARKTANNER 1890 p. 224, 248. 


Synthecium evansi (Ellis et Solander). 
Syn. Sertularia evansi Ellis et Solander. 


Voir : Matériaux I, p. 440; IT, p. 68; II, p. 369 et IV, p. 363. 


Sertularia tubulosa CaRus 1884 p. 13. 
Dynamena tubulosa ALLMAN 1886 p. 137. 

» » BALE 1888 p. 766. 
Sertularia tubulosa DRIESCH 1889 p. 213, 215. 
Synthecium evansi MARKTANNER 1890 p. 248. 


Synthecium orthogonium (Busk). 
Syn. : Sertularia orthogonia Busk. 


Voir : Matériaux IIL, p. 374 et IV, p. 366. 


Sertularia orthogonia BALE 1884 p. 88, pl. 9, fig. 11. 

» » LENDENFELD 1885 (a) p. #11, 623. : 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 662. 

» » LENDENFELD 1887 (c) p. 41. 

» » BALE 1888 p. 766. 

» » BALE 1888 p. 767, pl. 17, fig. 1-5. 
Synthecium orthogonium  KiRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 
Sertularia orthogonia MARKTANNER 1890 p. 248. 


Synthecium sertularioides (Lamouroux). 


Voir : Matériaux IV, p. 373. 


Sertularia sertularioides BALE 1884 p. 96. 

Sertularia tubiformis BALE 1884 p. 95, pl. 8, fig. 12. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. 

Sertularia typica LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623. 

Sertularia tubiformis LENDENFELD 1885 (d) p. 662. 


Sertularia typica LENDENFELD 1885 (d) p. 662. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 241 


Sertularia tubiformis LENDENFELD 1887 (c) p. #1. 
Sertularia typica LENDENFELD 1887 (c) p. 41. 
Dynamena tubiformis MARKTANNER 1890 p. 248. 


Synthecium tubithecum (Allman). 
Voir : Matériaux IV, p. 374. 
Sertularia tubitheca FEWKES 1881 (a) p. 128. 
» » MARKTANNER 1890 p. 214, 248. 


Gen. Thecocladium Allman 1886. 


BILLARD (1910, p. 12) fait rentrer la seule espèce connue de ce 
genre, T°. flabellum, dans le genre Sertularella. 


Thecocladium flabellum Alman. 


Thecocladium flabellum  ALLMAN 1886 p. 149, pl. 19, fig. 4-5. 
» » ALLMAN 1888 p. LXIIL, LXIX, 81, pl. 38, 
fig. 1-4. 
» » MARKTANNER 1890 p. 244. 


Gen. Thimaria Armstrong 1879. 
Voir : Matériaux IV, p. 375. 
STECHOW (1913) croit que ce genre est synonyme d’Zdia. Il 


suppose que le nom de Thimaria est dù à une faute d'impression 
pour Thuiaria. 


Thimaria compressa Armstrong. 
Voir : Matériaux IV, p. 375. 
Thimaria compressa BALE 1884 p. 31, 113. 


Gen. Thuiaria Fleming 1828. 
Voir : Matériaux I, p. 478; II, p. 121; Il, p. 388 et IV, p. 375. 


Thuiaria acutiloba Püppig. 


Thuiaria acutiloba KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28, pl. 12, fig. 2. 


» » PôPpr& 1884 p. 19. 
Rev. Suisse DE Zooz. TL. 24. 1916. 16 


242 M. BEDOT 


Thuiaria annulata Kirchenpauer. 


Thuiaria annulata KIRCHENPAUER 1884 p. 26, pl. 13, fig. 5. 


Thuiaria argentea (Linné). 


Voir : Matériaux IL, p. 121 ; II, p. 388 et IV, p. 379. 


Sertularia argentea BYERLEY 1854 p. 104. 
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16. 
» » LELLER 1883 p. 106. 
» » CaARuUS 1884 p. 14. 
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 17. 
» » PIEPER 1884 p. 185. 
» » REES 1884 p. 583. 
Thuiaria (Sertularia) 
argentea YHOMPSON 1884 p. 4, 5. 
Sertularia argentea GADEAU DE 
KERVILLE 1885 p. 178. 
» » PENNINGTON 1885 p. 115, pl. 7, fig. 2. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330. 
» » Meczy, Hicks a. 
HerDMAN 1886 p. 110. 
» » BERG 1887 p. 339. 
» p. BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » THOMPSON 1887 p. 387, 396, 398. 
Thuiaria argentea THOMPSON 1887 p. 397. 
Thuiaria argentea var. THOMPSON 1887 p. 398, pl. 21, fig. 23, 24. 
Thuiaria (Sertularia) 
argentea THOMPSON 1887 p. 396, 398. 
Sertularia argentea ALLMAN 1888 p. 65, 67. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 211. 
» » CLARKE 1888 p. 85, 86, fig. 78. 
» » DRIESCH 1889 p. 200, 204, 206, 221. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » HOYLE 1889 p. 460. 
» » SEGERSTEDT 1889 p. 22. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 396. 


» » MARKTANNER 1890 p. 223, 229, 230, 232, 233. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 


v. 243 


Thuiaria articulata (Pallas). 
Voir : Matériaux I, p. 467; II, p. 122; IN, p. 389 et IV, p. 376. 


Syn.: Thuiaria persocialis Allman. 


Thuiaria articulata 


Thuiaria lonchitis 
Thuiaria neglecta 
Thuiaria personalis 
Thuiaria neglecta 
Thuiaria articulata 
» » 
Thuiaria persocialis 
Thuiaria articulata 
» » 


» » 


» » 
» » 
» » 


Thuiaria pectinata 


Thuiaria persocialis 

Thuiaria articulata 

Thuiaria lonchitis 

Thuiaria articulata 
» )» 


Thuiaria lonchitis 


var. 


Voir : Matériaux IV, p. 379. 


BYERLEY 

LESLIE à. HERDMAN 
STORM 

QUELCH 

Carus 
KIRCHENPAUER 


KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
PôppiG 
THOMPSON 
THOMPSON 
THOMPSON 
R&ES 
PENNINGTON 
MEeccy, Hicks a. 
HERDMAN 
STUXBERG 
BERGH 
THOMPSON 
ALLMAN 


ALLMAN 
DRIESCH 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
MARKTANNER 
MARKTANNER 


1854 p. 
1881 p. 
1882 p. 
1883 p. 
1884 p. 
188% p. 


1884 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1885 p. 


1886 p. 
1886 p. 
1887 p. 
1887 p. 
1888 p. 


1888 p. 
1889 p. 
1889 p. 


104. 

ET: 

21. 

248. 

15. 

17, 22, 26, 28, pl. 14, 
fig. 8. 

22, 24, 28, pl. 14, fig. 7. 
27. 

28. 

27. 

h. 

&, pl. 1, fig. 14, 15. 

>. 

D82. 

119. 


111. 

165, 186. 

337. 

387, 396. 

LXIIT, LXIX, 69. pl. 33, 
fig. 1-1 a. 

76. 

209. 

19, 27. 


1890 (b) p. 397. 


1890:p. 
1890 p. 


233, 236. pl. 5, fig. 1. 
236. 


Thuiaria cartilaginea Kirchenpauer. 


Thuiaria cartilaginea 


» » 


KIRCHENPAUER 
MÜLLER 


1884 p. 
1885 p. 


25, pl. 13, fig. 2. 
534. 


244 M. BEDOT 


Thuiaria cartilaginea  LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 
» » BALE 1887 p. 106, 107. 


Thuriaria coronata Allman. 


Voir: Thuiaria coronifera. 


Thuiaria coronifera Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 376. 
Syn. : Thuiaria coronata Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 376. 


Thuiaria coronata KIRCHENPAUER 1884 p. 28. 


Thuiaria coronifera KIRCHENPAUER 1884 p. 19. 


Thuiaria crassicaulis Allman. 
Voir : Matériaux 1V, p. 376. 


Thuiaria crassicaulis KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28. 


Thuiaria crisioides (Lamouroux). 
Voir : Matériaux II, p. 123; LI, p. 390 et IV, p. 377. 


Dynamena crisioides BALE 1884 p. 117. 
Thuiaria crisioides BALE 1884 p. 117. 

» » KIRCHENPAUER 1884 p. 24, 28. 
Dynamena crisioides BALE 1887 p. 107. 
Sertularia crisioides BALE 1887 p. 107. 

» » BALE 1888 p. 773. 


Thuiaria cupressina (Linné). 
Voir : Matériaux IT, p. 193 ; IIL, p. 390 et IV, p. 377. 


Sertularia cupressina BYERLEY 1854 p. 104. 
» » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 16. 
» » REES 1884 p. 583. 
Thuiaria (Sertularia) 
cupressina  THUMPSON 1884 p. 5. 
Sertularia cupressina PENNINGTON 1885 p. 116. 


» » VERRILL 1885 (a) p. 537. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 245 
Sertularia cupressina Meccy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 114. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67. 
» » THOMPSON 1887 p. 387, 396, 398. 
Thuiaria (Sertularia) 
cupressina - THOMPSON 1887 p. 396-398, pl. 20, fig. 19. 
Sertularia cupressina ALLMAN 1888 p. 65. 
Thuiaria cupressina ALLMAN 1888 p. LVI, LXII, LXIX, 67, 
pl. 32, fig. 1-1 c. 
Sertularia cupressina BÊTENCOURT 1888 p. 210, 211. 
» » DRIESCH 1889 p. 200, 202,205, 224, 
fig. 4, 5. 
» » HALLEZ 1889 p. 40. 
» » BOURNE 1890 (b) 396. 
» » MARKTANNER 1890 p. 230, 232, 233. 


Thuiaria cupressoides (Lepechin). 
Voir: Matériaux I, p. 469: II, p. 1424; III, p. 391 et IV, p. 377. 


Thuiaria cupressoides KIRCHENPAUER 1884 p. 18, 28, pl. 12, fig. 1. 
» De THOMPSON 1887 p. 387. 
Thuiaria (Sertularia) 
cupressoides THOMPSON 1887 p. 396. 


Thuiaria dalli Nutting. 
Voir : Matériaux IV, p. 377. 


Thuiaria distans Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 378. 


Thuiaria distans KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28. 
Thuiaria dolichocarpa Allman. 
Voir: Thuiaria zelandica. 


Thuiaria doliolum Püppig. 


Thuiaria doliolum KIRCHENPAUER 1884 p. 27, 28, pl. 13, fig. 4. 
» » PôPpiG 1884 p. 27. 


246 M. BEDOT 


Thuiaria elegans Kirchenpauer. 


Thuiaria elegans KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 28, pl. 12, fig. 5. 


Thuiaria fabricii Levinsen. 


Voir : Matériaux II, p. 124; IT, p. 391 et IV, p. 378. 


Thuiaria flexilis Allman. 


Voir : Matériaux IIf, p. 392 et IV, p. 378. 


Thuiaria gigantea Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 378. 


Thuiaria gigantea KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 28. 


Thuiaria heteromorpha Allman. 
Thuiaria heteromorpha  ALLMax 1886 p. 147, pl. 20, fig. 1-5. 
Thuiaria polymorpha ALLMAN 1886 p. 149. 
Thuiaria hippuris Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 378. 


Thuiaria hippuris KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28. 


Thuiaria imbricata (Busk). 
Syn. : Sertularia imbricata Busk. 
Voir : Matériaux III, p. 371 et IV, p. 364. 


Thuiaria imbricata KIRCHENPAUER 1884 p. 18, 28, pl. 12, fig. 3. 


Thuiaria interrupta Allman. 


Thuiaria interrupta ALLMAN 1886 p. 145, pl. 16, fig. 8-10. 


Thuiaria latiuscula (Stimpson). 


Voir : Matériaux IIL, p. 392 et IV, p. 379. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 2417 


Thuiaria laxa Allman. 
Voir : Matériaux II, p. 392 et IV, p. 379. 


Thuiaria laxa KiRCHENPAUER 1884 p. 20, 28. 
» » THOMPSON 1884 p. 4. 


Thuiaria lichenastrum (Pallas). 


Voir : Matériaux I, p. 472; II, p. 125; III, p. 392 et IV, p. 379. 


Thuiaria lichenastrum  KiRCHENPAUER 1884 p. 23, 26, 28, pl. 13, fig. 1. 
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 
» » BALE 1887 p. 107. 


Thuiaria monilifera (Hutton). 


Voir : Matériaux [V, p. 379. 


Thuiaria cerastium KIRCHENPAUER 1884 p. 20, 28. 

» » LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 
Thuiaria monilifera BALE 1887 p. 102, 103. 
Thuiaria cerastium BALE 1887 p. 103. 


Thuiaria persocialis Allman. 


Voir: Thuiaria articulata. 


Thuiaria pinnata Allman. 
Voir : Matériaux IV, p. 379. 


Thuiaria pinnata FEWKES 1881 (a) p. 128. 
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28. 


Thuiaria plumosa Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 380. 


Thuiaria plumosa KIRCHENPAUER 1884 p. 21. 
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 396-398, pl. 
: 18, fig. 16, pl. 21, fig. 
26-27. 


248 M. BEDOT 


Thuiaria plumulifera Allman. 
. Noir : Matériaux IV, p. 380. 
Thuiaria plumulifera KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28. 
» » BERGH 1887 p. 336. 
Thuiaria polycarpa Püppig. 


Thuiaria polycarpa KIRCHENPAUER 1884 p. 27, 28, pl. #3, fig. 3. 
» » PôPpiG 1884 p. 27. 


Thuiaria quadridens Bale. 


Thuiaria quadridens BALE 1884 p. 119, pl. 7, fig. 5-6. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 420, 624. 
» » LENDENFELD 1885 (b) p.909, 915, pl. 40, fig.9. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 634. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 21. 
Thuiaria vincta ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 68, pl. 32, 
fig. 2, 24. 
Thuiaria quadridens BALE 1888 p. 772. 
Thuiaria vincta KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 


Thuiaria ramosissima Allman. 


Thuiaria ramosissima ALLMAN 1886 p. 146, pl. 18, fig. 4-5. 
» » THOMPSON 1887 p. 396. 


Thuiaria robusta Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 380. 


Thuiaria robusta KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 22, 28. 
» » … Taompsox 1887 p. 387, 389, 396-398, pl. 
19, fig. 17, pl. 21 fig. 25. 


Thuiaria salicornia Allman. 


Voir : Selaginopsis salicornia. 


Thui 


» 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Thuiaria sertularioides Allman. 


Voir : Matériaux LV, p. 380. 


aria sertularioides  ALLMAN 1888 p. 65, note. 


» MARKTANNER 1890 p. 242. 


Thuiaria similis Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 380. 


Thuiaria (Sertularia) 


Thui 


Thuiaria stelleri 


» 


similis THOMPSON 


Thuiaria sinuosa Bale. 


aria Sinuosa BALE 


T'huiaria stelleri Tilesius. 


KIRCHENPAUER 


» TILESIUS 1884 p. 20. 


Thuiaria subarticulata Coughtrey. 


Voir : Matériaux IV, p. 380. 


1887 p. 387, 396. 


1888 p. 772, pl. 18, fig. 9-10. 


1884 p. 20, 28, pl. 12, fig. 4. 


Thuiaria bidens 
Thuiaria bipinnata 
Thuiaria subarticulata 


KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
KiRCHENPAUER 


1884 p. 24, 26, 28. 

1884 p. 95. 

1884 p. 24, 28. 

1885 (a) p. 406, 622, pl. 7, fig. 


Sertularia fertilis  LENDENFELD 
k, 5. 

» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. 
Thuiaria bidens LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 
Thuiaria subarticulata  LENDENFELD 1886 (a) p. 479. 
Thuiaria bidens BALE 1887 p. 103. 
Thuiaria subarticulata BALE 1887 p. 102, 103. 
Sertularia fertilis LENDENFELD 1887 (c) p. #4. 

» » BALE 1888 p. 746. 
Thuiaria subarticulata Barr 


1888 p. 746, pl. 18, fig. 5-8. 


250 


Sertularia tenera 


M. BEDOT 


Thuiaria tenera (G.-0. Sars). 
Voir : Matériaux IV, p. 381. 


THOMPSON 
THOMPSON 


SEGERSTEUT 
MARKTANNER 


1884 p. à. 

1887 p. 388, 389, 395, pl. 15, 
fig. 9-11. 

1889 p. 18, 27. 

1890 p. 230, 246. 


Thuiaria tetracythara (Lamouroux). 
Voir : Matériaux III, p. 392 et IV, p. 381. 


Salacia tetracyttara 


Thuiaria fenestrata ; 


Salacia tetracyttara 
Thuiaria fenestrata 


» » 


BALE 
BALE 


LENDENFELD 
LENDENFELD 
BALE 
LENDENFELD 
BALE 
BALE 
KIRKPATRICK 


1884 p. 118, 119. 

1884 p. 116, 118, pl. 7, fig. 7, 
pl. 9, fig. 14. 

1885 (a) p. 420, 624. 

1885 (d) p. 634. 

1887 p. 107. 

1887 (c) p. 21. 

1888 p. 773. 

1888 p. 772, 773. 

1890 (a) p. 604. 


Thuiaria thuiarioides Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 381. 


Sertularia thuiaroides THOMPSON 


Thuiaria thuja 


Thujaria thuja 


1887 p. 387, note. 


Thuiaria thuja (Linné). 
Voir : Matériaux I, p. 476; II, p. 125; II, p. 393 et IV, p. 381. 


DANIELSSEN 
FEWKES 

LESLIE a. HERDMAN 
STORM 

QuEeLcH 

CaARUS 
KIRCHENPAUER 
PENNINGTON 
THoMPsON 

DRiEscH 


1861 p. 47. 

1881 (a) p. 135. 

1881 p. 17. 

1882 p. 21, 27, 29. 

1883 p. 248. 

1884 p. 15. 

1884 p. 18, 22. 

1885 p. 119, pl. 9, fig. 1. 

1887 p. 396. 

1889 p. 200, 206, 209, 210, 221, 
295, fig. 6. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 
Thuiaria thuja SRGERSTEDT 1889 p. 
» » MARKTANNER 1890 p. 


Thuiaria turgida Clark. 


Voir : Matériaux IV, p. 381. 


Thuiaria turgida KIRCHENPAUER 1884 p. 
» » TuompsoN 1887 p. 


[Se 
Qt 
ES 


Mo 


19/27, 
237. 


19, 24, 28. 
387, 389, 396, 398, pl. 
17, fig. 14-15. 


Thuiaria vegæ Thompson. 


Thuiaria vegae THOMPSON 1887 p. 


Thuiaria zelandica Gray 


387, 389, 397, 398, pl. 
20, fig. 18, 20-22. 


Voir : Matériaux [f, p. 126; III, p. 393 et IV, p. 382. 


Syn.: Thuiaria dolichocarpa Allman. 


Voir : Matériaux III, p. 378. 


Thuiaria dolichocarpa  Quercx 1883 p. 
Thuiaria zelandica QueLca 1883 p. 

» » KIRCHENPAUER 1884 p. 
Thuiaria hippisleyana  ALLMAN 1886 p. 


Thuiaria dolichocarpa BALE 1887 p. 
Thuiaria zelandica BALE 1887 p. 


248. 

247, 88. 

28. 

146, pl. 19, fig. 1-3. 
102, 108. 

108. 


Thuiaria zelandica Gray var. valida Quelch. 


Thuiaria zelandica 


var. valida  QueLcH 1883 p. 249. 


Gen. Thyroscyphus Allman 


197%: 


Voir : Matériaux III, p. 393 et IV, p. 382. 


Thyroscyphus ramosus Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 382. 
Thyroscyphus ramosus  ALLMAN 1888 p. 


» » DRIESCH 1889 p. 
» » MARKTANNER 1890 p. 


LXIIT, LXVIII, 24, pl. 


12, fig. 2, 2a. 


198. 
210. 


252 M. BEDOT 
Thyroscyphus simplex (Lamouroux). 
Voir : Matériaux II, p. 393 et IV, p. 382. 
Thyroscyphus torresi (Busk). 
Syn.: Laomedra torresi Busk. 
Voir : Matériaux IIL, p. 325 et IV, p. 317. 
Campanularia torresi BALE 1884 p. 52, pl. 2, fig. 3. 
Laomedea torresi LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 629. 
» » LENDENFELD 18872/0)1p 47e 
Thyroscyphus simplexæ  ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIT, 25, pl. 43, 
fig. 1-2. 
» » DRIESCH 1889 p. 198. 
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 60%. 
Campanularia toresi KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. 
Thyroscyphus vitiensis Marktanner. 
Thyroscyphus vitiensis  MARKTANNER 1890 p. 210, pl. 3, fig. 10. 
Gen. Tiarella Schulze 1876. 
Voir : Matériaux IV, p. 362. 
Tiarella singularis Schulze. 
* Voir : Matériaux IV, p. 382. 
Tiarella singularis HAMANN 1882 (a) p. 497. 
Thiarella singularis JICKELI 1883 p. 667. 
Tiarella singularis CARUS 1884 p. 6. 
» » GRÆFFE 1884 p. 353. 
» » Du PLessis 1888 p. 538. 


Tharella singularis LOMAN 1889 p. 271 note. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 293 
Gen. Tima Eschscholtz 1829. 
Voir : Matériaux IV, p. 382. 


Tima formosa À. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 442 et IV, p. 382. 


Tima formosa FEWKES 1881 (b) p. 157, pl. 6, fig. 1, 4-6. 
» » CLAUS 1881 (c) p. 96. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 80. 
Gen. Trichydra Wright 1857. G\CAL ? 

Voir : Matériaux IL, p. 394 et IV, p. 383. Lo?" lo; > 

ss 20% SM 

; : e © COR RYi- 

Trichydra pudica Wright. MitiB k 

Voir : Matériaux II, p. 394 et IV, p. 383. RTE mn a 

Trichydra pudica LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. Ep rs 7 

Sue 


» » PENNINGTON 1885 p. 101. 


Gen. Tubiclava Allman 1863. 
Voir : Matériaux IT, p. 394 et IV, p. 383. 


Tubiclava fruticosa Allman. 
Voir : Matériaux IIL, p. 394 et IV, p. 383. 


Tubiclava fruticosa PENNINGTON 1885 p. 38. 


Tubiclava lucerna Allman. 
Voir : Matériaux HI, p. 394 et IV, p. 383. 


Tubiclava lucerna PENNINGTON 1885 p. 38. 
Gen. Tubularia Linné 1758. 
Voir : Matériaux I, p. 478; IL, p. 126; IL, p. 395 et IV, p. 383. 


Tubularia attennoides Coughtrey. 
Voir : Matériaux IV, p. 383. 


254 M. BEDOT 


Tubularia attenuata Allman. 
Voir : Matériaux II, p. 395 et IV, p. 383. 


T'ubularia attenuata LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. 
» » PENNINGTON 1885 p. 79. 


Tubularia bellis Allman. 
Voir : Matériaux III, p. 395 et IV, p. 383. 


Tubularia bellis PENNINGTON 1885 p. 75. 
» » BouRNE 1890 (b) p. 394. 


Tubularia borealis Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 383. 


l'ubularia borealis THOMPSON 1887 p. 391. 


Tubularia britannica Pennington. 


Tubularia britannica PENNINGTON 1885 p. 75, pl. 3, fig. 8. 
» » MELLY, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 101. 


Tubularia couthouyi L. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 395 et IV, p. 384. 


Tubularia cristata Mac Crady. 
Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384. 


Parypha cristata BROOKS 1882 p. 136. 

Tubularia cristata Con 1882 (a) p. 247. 
» » Conx 1882 (b) p. 483. 
» » BRo0KS 1884 p. 711. 


Tubularia crocea (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384. 
Pharypha crocea CLARKE 1888 p. 80, fig. 72. 


Tubularia elegans Clark. 
Voir : Matériaux IV, p. 384. 


Tubularia gracilis 


» D) 


» » 


HISTOIRE 


LENDENFELD 


LENDENFELD 
LENDENFELD 


DES HYDROÏDES. — V. 


Tubularia gracilis Lendenfeld. 


1885 (a) p. 


1885 (d) p. 654. 
1887 (c) p. 35. 


Tubularia humilis Allman. 


Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384. 


Tubularia humilis 


» » 


Voir : Matériaux I, p. 479; II, p. 127; III, p. 397 et IV, p. 384. 


Tubularia indivisa 


» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
) » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 
» » 


PENNINGTON 
Happon 


BYERLEY 

DANIELSSEN 

FEWKES 

LESLIE a, HERDMAN 

HAMANN 

STORM 

JICKEL 

CaRuS 

LENDENFELD 

MuRDOCH 

PENNINGTON 

RiDLEY a. QUELCH 

VERRILL 

HADDON 

HERDMAN 

HERDMAN 

KÜKENTHAL u. 
WEISSENBORN 

Mercy, Hicks a. 

HERDMAN 

NicHocs a. HADDON 

BÉTENCOURT 

THOMPSON 


1885 p. 75. 
1886 (a) p. 524. 


Tubularia indivisa Linné. 


1854 p. 103. 
1861 p. 46. 


1881 (a) p. 127, 128. 


1881 p. 11. 


1882 (a) p. 499-501, pl. 24, fig. 5. 
1882 p. 3, 9, 10, 15. 


1883 p. 597, 598. 
188% p. 7. 

1885 (a) p. 598. 
1885 p. 166. 
1885 p. 71. 

1885 p. 496. 


1885 (a) p. 517, 536. 


1886 (a) p. 524. 


1886 (a) p. 3, à, 8. 


1886 (b) p. 329. 
1886 p. 778. 


1886 p. 100. 
1886 p. 615. 
1887 p. 66. 
1887 p. 389, 391. 


LD 
Qt 


597, 629, pl. 27, 
fig. 54-52. 


256 


T'ubularia indivisa 


M. BEDOT 


ALLMAN 
BÉTENCOURT 
CLARKE 
HOoyYLE 
KIRKPATRICK 
Mac MUNN 
Mac MuNN 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
BouRNE 
MARKTANNER 


1888 p. IX, XII, XXX VIIE, ss. 
1888 p. 204, 207, 210. 

1888 pl. sans n°, p. 80. 

1889 p. 460. 

1889 p 446. 

1889 (a) p. 87. 

1889 (b) p. 55, 58. 

1889 p. 9-11, 13, 17,18, 21, 24. 
1890 (a) p. 319. 
1890 (b) p. 393. 
1890 p. 202. 


Tubularia insignis Allman. 


Voir : 


Matériaux IT, p. 399 et IV, p. 385. 


Tubularia (2) kerguelensis Studer. 


Voir : 


Matériaux IV, p. 385. 


Tubularia larynx Ellis et Solander. 
Voir : Matériaux I, p. 480; II, p. 128; III, p. 399 et IV, p. 385. 


Tubularia coronata 
T'ubularia larynx 
Tubularia coronata 
Tubularia larynx 
T'ubularia coronata 


))] » 
Tubularia larynx 

» » 
Tubularia coronata 

» » 
Tubularia larynx 
T'ubularia coronàta 
Tubularia larynx 


» » 


LEUCKART 
BYERLEY 

LESLIE a. HERDMAN 
LESLIE à. HERDMAN 
HAMANN 


HAMANN 
HAMANN 
HaAMANN 
KRUKENBERG 
STORM 
STORM 
JICKELI 
JiCKELI 

= MEREJIKOWSKY 


1847 (c) p. 87. 

1854 p. 103. 

1881 p. 11. 

1881 p. 11. 

1882 (a) p. 473, 485, 499-501, 
d10-514,517, pl. 22. 
fig. 1-7, pl. 23, fig. 
2-10, 43. 

1882 (b) p. 546. 

1882 (a) p. 499-501, 510, 514. 

1882 (b) p.546, pl. 26, fig. 10-14. 

1882 p. 3759. 

1882 p. à, 11, 30. 

1882 p. 3, 11, 28. 

1883 p. 598, 600. 

1883 p. 598, 600, 655. 

1883 (a) p. 82. 


T'ubularia larynx 

» ) 
Tubularia coronata 
Tubularia larynx 


» » 
» » 
» » 


Tubularia coronata 
Tubularia larynx 


Tubularia coronata 
Tubularia larynx 
Tubularia coronata 
L'ubularia larynx 


Tubularia coronata 
Tubularia larynx 

? Tubularia muscoides 
Tubularia larynx 
Tubularia coronata 
Tubularia larynx 
Tubularia coronata 
Tubularia larynx 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 257 
CaRUs 1884 p. 7 
REES 1884 p. 979. 
THOMPSON 1884 p. 8, 
THoMPsoON 1884 p. 4, 8 


PENNINGTON 
HERDMAN 
KÜKENTHAL U. 

WEISSENBORN 
Mezzy, Hicks 

a. H£&RDMAN 
MELLY, Hicks 

a. HERDMAN 
BÉTENCcOURT 
ALLMAN 
BÉTENCOURT 
CLARKE 
Du PLessis 
Lo Bianco 
DALLA TORRE 
DALLA TORRE 
DaLLA TORRE 
SEGERSTEDT 
BOURNE 
BouURNE 
MARKTANNER 
SCHNEIDER 


1885 p. 73, pl. 3, fg. 7. 
1886 (a) p. 8. 


1886 p. 778. 


1886 p. 100, 104. 

101. 

66, 

XVII, XXX VIIL, ss. 
204. 

74, fig. 64. 

542. 

390. 

96. 

96. 


1886 p. 

1887 p. 

1888 p. 

1888 p. 

1888.p. 

1888 p. 

1888 p. 

1889 p. 

1889 p. 

1889 p. 96. 

1889 p. 11, 24. 

1890 (a) p. 309, 319. 

1890 (b) p. 393. 

1890 p. 202. 

1890 p. 321,323, 364,367,368, 
pl. 19, fig. 44-46. 


Tubularia mesembryanthemum Allman. 


Voir : Matériaux IT, p. 401 et IV, p. 386. 


Tubularia 
Tubularia mesem- 


BALFOUR 


bryanthemum  KLEINENBERG 


» » 


» » 


METSCHNIKOFF 
HAMANN 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 


1879 p. 140 (de la trad. franc.). 


1881 p. 332. 

1881 p. 437. 

1882 (a) p. 499-501, 510, 512, 
>14, pl. 22, fig. 8-14, 
17,pl. 23, fig. 11,13, 
pl. 24, fig. 1-4, 10-14. 


17 


258 


Tubularia mesem- 


Tubularia parasitica 


brya nihemum 


M. 


HAMANN 
JICKELI 


MaRIoN 
WEISMANN 
CARUS 
GRÆFFE 
PrePpErR 
THALLWITZ 


KLAATSCH 


BEDOT 


METSCHNIKOFF 


ALLMAN 
Du PLEssis 


SCHIMKEWITSCH 


SCHNEIDER 
WAGNER 


1882 (b) p. 546, 547. 

1883 p. 580 ss., 597-600, 651, 
655, 663, pl. 25. 

1883 (a) p. 29. 

1883 p. 127, 219. 

1884 p. 7. 

1884 p. 346, 354. 

1884 p. 150. 

1885 p. 389, 416, pl. 13, fig. 
30-33, pl. 14, fig. 34-42. 

1886 p. 632 ss., pl. 33. 

1886 (b) p. 20, 41, 69. 

1888 p. XXXIX ss. 

1888 p. 943. 

1890 (b) p. 148. 

1890 p. 367. 

1890 p. 298, 299. 


Tubularia microcephala (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux III, p. 401 et IV, p. 386. 


Tubularia pacifica Allman. 


Voir : Matériaux III, p. 402 et IV, p. 386. 


KOROTNEFF 


Tubularia parasitica Korotneff. 


1887 p. 486ss., pl. 23, fig. 18-22. 


Tubularia polycarpa Allman. 


Voir : Matériaux IIL, p. 402 et IV, p. 386. 


Tubularia ralphi 


BALE 
HALLEY 
LENDENFELD 
LENDENFEILD 
LENDENFELD 


Tubularia ralphi Halley. 


1884 p. 42. 
1884 p. 42. 

1885 (a) p. 597, 629. 
1883 (d) p. 654. 
1887 (c) p. 35. 


[e 
Qt 
Ve) 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Tubularia regalis Bœck. 
Voir : Matériaux II, p. 402 et IV, p. 386. 
Tubularia regalis BERGH 1887 p. 333. 


Tubularia simplex Alder. 
Voir : Matériaux IIF, p. 402 et IV, p. 387. 


Tubularia simplex PENNINGTON 1885 p. 74. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 319, 329. 
» » Mecy, Hicks a. 
HERDMAN 1886 p. 100. 
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66. 
» » BÉTENCOURT 1888 p. 204. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 96, 


Tubularia spectabilis (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux III, p. 402 et IV, p. 387. 


Tubularia spongicola Lendenfeld. 


Tubularia spongicola LENDENFELD 1885 (a) p. 597, 629, pl. 26, 
fig. 50. 
» Tao LENDENFELD 1885 (d) p. 654. 
Tubularia spongicula LENDENFELD 1887 (c) p. 35. 


Tubularia tenella (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux III, p. 403 et IV, p. 387. 


Gen. Turris Lesson 1843. 
Voir : Matériaux II, p. 403 et IV, p. 387. 


Le nom de Turris étant, depuis 1797, attribué à un genre de 
Mollusques, HARTLAUB (1911) lui a substitué celui de Neoturris. 
D’autre part, Turris neglecta, dont WRIGHT (1859 a) a décrit le 
Polype sous le nom de Clavula, est placée par A.-G. MAYER (1910) 


260 M. BEDOT 


et STECHOW (1913), dont nous adopterons l'opinion, dans le genre 
Clavula. 


Turris neglecta Lesson. 


Voir : Clavula neglecta. 


Gen. Turritopsis Mac Crady 1859. 


Voir : Matériaux IV, p. 388. 


Turritopsis nutricula Mac Crady. 


Voir : Matériaux III, p. 443 et IV, p. 388. 


Modeeria multitentacula  FEwKkeEs 1881 (b) p. 149, pl. 3, fig. 7-10. 
Modeeria multitenticulata Brooks 1882 p. 144. 

Turritopsis nutricula Brooks 1882 p. 136, 143. 

Modeeria multitentacula  FEWKES 1882 (b) p. 294, 295. 

Modeeria nutricula FEWKES 1882 (b) p. 294. 

Turritopsis nutricula BROOKS 1883 (a) p. 465. 

Modeeria multitentacula  FEWKES 1883 p. 79. 

Modeeria multitentaculata Brooks 1886 p. 389. 

Modeeria nutricula Brooks 1886 p. 389. 

Turritopsis nutricula Brooks 1880 p. 360, 388 ss., pl. 37. 


Dans les Matériaux IT, p. 443, il faut enlever de la synonymie de T'urri- 
topsis nutricula les citations d’Acassiz, L. 1860-62, et d’Acassiz, A. 1865 (a) 
et 1865 (c) qui se rapportent à Calycidion formosum. 

Voir en outre la note à Clavula neglecta. 


Gen. Vorticlava Alder 1856. 


Voir :- Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388. 


Vorticlava humilis Alder. 
Voir : Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388. 


Vorticlava humilis . PENNINGTON 41885 p. 96. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 261 


Vorticlava proteus Wright. 


Voir : Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388. 


Vorticlava proteus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12. 
» » PENNINGTON 1885 p, 96. 


Gen. Wrightia Allman 1871. 


Voir : Matériaux II, p. 405 et IV, p. 388. 


Wrightia arenosa (Alder). 


Voir : Matériaux fIl, p. 405 et IV, p. 388. 


Wrightia arenosa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. 
Atractylis arenosa SCHMIDTLEIN 1881 p. 171. 
Wrighlia arenosa WEISMANN 1883 p. 87. 

» » CARUS 1884 p. 3. 

» » PENNINGTON 1885 p. 63. 
Atractylis arenosa Lo BIANCO 1888 p. 387. 
? Perigonimus arenaceus  BOURNE 1890 (a) p. 319. 


Gen. Zygodactyla Brandt 1834. 


Voir : Matériaux IT, p. 406 et IV, p. 389. 


Zygodactyla vitrina (Gosse). 
Voir : Matériaux I, p. 486; II, p. 143; INT, p. 406, 429 et IV, p. 389. 


Aequorea vitrina CLAUS 1881 (b) p. 298, 312. 
Polycanna vitrina CLAUS 1881 (b) p. 300, 310. 
Aequorea vitrina CLAUs 1881 (c) p. 96. 
Aequorea (Zyqodactyla) 
vitrina CLAUS 1881 (c) p. 90, 

Aequorea vitrina CLAUS 1883 p. 77, 84. 
Polycanna vitrina CLAUS 1883 p. 78. 
Zygodactyla vitrina LENDENFELD 1885 (a) p. 608. à 

pu » PENNINGTON 1885 p. 94. 

» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 79. 


Polycanna vitrina FEWKES 1889 (a) p. 521. 


262 


Zygophylax profunda 


» 


Z'ygophylax tizardensis 


Aequorea albida 


) » 


Voir 
A equorea ciliata 


» » 


Aequorea discus 


» » 


» 


Gen. Zygophylax Quelch 1885. 


Zygophylax profunda Quelch. 


QUELCH 
KIRKPATRICK 


1885 (a) p. 4, pl. 1, fig. 4. 
1890 (b) p. 13. 


Zygophylax tizardensis Kirkpatrick. 


KIRKPATRICK 


1890 (b) p. 19, pl. 3, fig. 3. 


MÉDUSES 


(Anthoméduses-Leptoméduses). 


Aequorea albida A. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 407 et IV, p. 389. 


CLAUS 
CLAUS 


1881 (b) p. 301, 308, 341. 
1883 p. 78, 89, 84. 


Aequorea cihiata Eschscholtz. 
: Matériaux IL, p. 130 ; IL, p. 407 et IV, p. 389. 


CLAUS 
CLAUS 


1881 (b) p. 292, 295. 
1883 p. 65, 67. 


Aequorea discus Hæckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 389. 


CLAUS 


CLAUS 
CARUS 


1881 (b) p. 290, 304, 305, 306, 
311. | 

1883 p. 76, 79, 84, 86. 

1884 p. 33. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 263 


Aequorea eurodina Péron et Lesueur. 
Voir : Matériaux I, p. 481 ; II, p. 1430 ; UN, p. 407 et IV, p. 390. 


Aequorea eurodina CLAUS 1881 (b) p. 295. 
» » CLAUS 1883 p. 66, 67. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631, 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. 


Aequorea forskalea Péron et Lesueur. 
Voir : Matériaux I, p. 482; Il, p. 130 ; III, p. 407 et IV, p. 390. 


Aequorea forskalea CLAUS 1881 (b) p. 283 ss. 
» » CLAUS 1881 (c) p. 90, 95. 
» » CLAUS 1882 p. 284 ss., fig. 1-4. 
» » CLaus 1883 p. 61 ss., pl. 16-20. 
» » MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 122. 
» » CARUS 1884 p. 33. 
» » GRÆFFE 1884 p. 399. 
Aequorea forskalii MEYSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. 
Z'ygodactyla rosea METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 257, 261, 262. 
Aequorea forskalii METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20 .… 54. 
Zygodactyla rosea Lo Branco 1888 p. 390. 
Aequorea aequorea MARKTANNER 1890 p. 280. 


Aequorea violacea M. Edwards. 
Voir : Matériaux IL, p. 131; IE, p. 408 et IV, p. 390. 


Aequorea violacea CLaus 1881 (b) p. 292, 295, 306, 311. 
» » CLAUS 1883 p. 65-67, 81, 84. 
» » CARUS 1884 p. 33. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262. 


Amalthaea amoebigera Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 390. 


Amphicodon amphipleurus Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 391. 
Amphicodon amyphi- 
. pleurus  KELLER 1883 (b) p. 628. 


264 M. BEDOT 


Amphicodon globosus (Sars). 


Voir : Matériaux IIT, p. 408 et IV, p. 391. 


Amphinema apicatum (Mac Crady). 
Voir : Matériaux III, p. 408 et IV, p. 391. 


Amphinema titania (Grosse). 
Voir : Matériaux [, p. 482; I, p. 131 ; IE, p. 408 et IV, p. 391. 


Amphinema titania DaLLa TORRE 1889 p. 95. 


Bathycodon pyramis Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 392. 


Bathycodon pyramis CaRUs 1884 p. 21. 


Derenice capillata Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 392. 


Derenice huxleyi Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 392. 


Berenice rosea (Lamarck). 


Voir : Matériaux I, p. 482; Il, p. 131; IL, p. 408 et IV, p. 392. 


Callitiara polyophthalma Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 392. 


Calycidion formosum Fewkes. 


T'urrilopsis nutricula AGassiz, L. 1860-62 vol. 4, p. 347. 
» » AGASssIZ, À. 1865 (a) p. 97, fig. 22-23. 
» » AGASSIZ, A. 1865 (c) p. 164, 167, 224, fig. 
269-270. 
Turritopsis nutricola FEWKES 1881 (b) p. 153, pl. 4, fig. 4, 


7-10. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 265 


Calycidion formosum FEWKES 1882 (b) p. 294. 
Turritopsis nutricula FEWKES 1882 (b) p. 294, 295. 


A.-G. Mayer (1910) considère cette espèce comme synonyme de Podocoryne 
carnea. HARTLAUB (1911) hésite à admettre cette synonymie. 
Voir, dans les Polypes, la note à T'urrilopsis nutricula. 


Calycopsis typa Fewkes. 


Calycopsis typa FEWKES 1882 (b) p. 301, 304, pl. 1, 
tig. 34. 
» » FEWKES 1885 (a) p. 601. 
» » VERRILL 1885 (a) p. 594. 
» » FEWKES 1886 p. 958. 


Cannota dodecantha Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 392. 


Cannota dodecantha LENDENFELD 1885 (a) p. 600, 630. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 655. 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 36. 


Catablema campanula (Fabricius). 
Voir : Matériaux I, p. 482; II, p. 132; ILL, p. 409 et IV, p. 393. 


Catablema eurystoma Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 393. 


Catablema vesicaria (A. Agassiz). 
Voir : Matériaux IT, p. 409 et IV, p. 393. 


? Turris episcopalis FEWKES 1881 (b) p. 147, pl. 3, fig. 1-6. 
» » FEWKES 1885 (a) p. 598, 600. 
» » FEWKES 1886 p. 957, 958. 
» » FEWKES 1888 (a) p. 232. 


Chromatonema rubrum Fewkes. 


Chromatonena rubrum  FEWKES 1882 (b) p. 304, :305, pl. 14, 
fig. 40. 
» » FEWKES 1885 (a) p. 601. 


— Thaumantias rubrum sec. A.-G. Mayer). 


266 M. BEDOT 


Cladocanna polyclada Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 393. 


Cladocanna polyclada LENDENFELD 1885 (a) p. 601, 630. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 36. 


Cladocanna thalassina (Péron et Lesueur). 
Voir : Matériaux I, p. 482; I, p. 132; INT, p. 409 et IV, p. 393. 


Cladocanna thalassina  LENDENFELD 1885 (a) p. 600, 630. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 36. 


Codonium conicum Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 394. 


Codonium gemmiferum (Forbes). 
Voir : Matériaux II, p. 132 ; II, p. 409 et IV, p. 394. 


? Sarsia gemmipara WAGNER 1885 p. 78. 


Codonium princeps Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 394. 


Codonorchis octaedrus Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 394. 


Conis cyclophthalma Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 394. 
Conis cyclophthalma CaRUs 1884 p. 23. 


Conis mitrata Brandt. 
Voir : Matériaux Il, p. 433; IL, p. 410 et IV, p. 395. 


Corynitis arcuata Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 395. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 267 


Ctenaria ctenophora Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 395. 


Cubogaster dissonema Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 395. 


Cubogaster gemmascens Haeckel. 
Voir : Matériaux I, p. 410 et IV, p. 395. 


Cybogaster gemmascens  Carus 1884 p. 24. 
Cubogaster gemmascens  GrarD 1888 p. 317. 


Cytaeandra polystyla Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 395. 


Cytaeis macrogaster Haeckel. 


Voir : Matériaux II, p. 410 et IV, p. 396. 


Cytaeis nigritina Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 396. 


Cytaeis polystyla Will. 
Voir : Matériaux III, p. 410 et IV, p. 396. 


Cytaeis pusilla Gegenbaur. 
Voir : Matériaux II, p. 410 et IV, p. 396. 


Cytaeis pusilla CARES 1884 p. 24. 
» » CHUN 1888 p. 12. 


Cytaeis tetrastyla Eschscholtz. 
‘Voir : Matériaux IL, p. 133; II, p. 4114 et IV, p. 396. 


Cytaeis tetrastyla CaRus 1884 p. 24. 
Bougainvillea coeca METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. 
Cytaeis tetrastyla METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. 


[el 


68 M. BEDOT 


Dendronema stylodendron Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 397. 


Dicodonium adriaticum Grætffe. 


Dicodonium adriaticum  GRÆFFE 1884 p. 391. 


Dicodonium cornutum Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 397. 


Dicodonium dissonema Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 397. 


Dicodonium dissonema  LENDENFELD 1885 (a) p. 85, 628. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 649. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. 


Dicranocanna furcillata Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 397. 


Dinema ocellata (Busch). 
Voir : Matériaux II, p. 411 et IV, p. 397. 


Dinema ocellatum CARUS 1884 p. 21. 
» » Du PLEssIs 1888 p. 532. 


Dinema slabberi van Beneden. 


Voir : Matériaux I, p. 483; IN, p. 133; LE, p. #11 et IV, p. 397. 


Dinematella cavosa Fewkes. 


Dinematella cavosa FEWKES 1881 (b) p. 151, pl. 2, fig. 2,3, 
pl. 4, fig. 3. 
» » FEWKES 1884 p. 195, fig. 1. 


(= Stomotoca dinema sec. A.-G. MAYER). 


Dipleuron parvum Brooks. 
Dipleuron parvum BROOKS 1882 p. 135, 139. 


(— Eucheilota duodecimalis var. parvum, sec. A.-G. MAYER). 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 269 


Dipleurosoma amphithectum Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 397. 


Dipleurosoma hemisphaericum (Allman). 
Syn. : Dipleurosoma irrequlare Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 398. 
Dipleurosoma hemis- 
phaerica  HADDON 1886 (a) p. 326. 
Dipleurosoma 1rrequlare  Hapnox 1886 (a) p. 526. 
Dipleurosoma (A me- 
trangia) hemisphaerica  METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 89. 


Dipleurosoma irregulare Haeckel. 


Voir: Dipleurosoma hemisphaericum. 


Dipleurosoma typica (Boeck). 


Voir : Matériaux IIT, p. 411 et IV, p. 398. 


Dipurena catenata (Forbes). 
Voir : Matériaux III, p. 411 et IV, p. 398. 


Dipurena catenata CaRUS 1884 p. 21. 
Slabberia catenata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 259. 


Dipurena cervicata Mac Crady. 
Voir : Matériaux III, p. 4114 et IV, p. 398. 


Dipurena cervicata FEWKES 1881 (b) p. 155. 
Dipurena conica FEWKES 1881 (b) p. 155. 


Dipurena dolichogaster Haeckel. 
Voir : Matériaux IE, p. 412 et IV, p. 398. 


Dipurena dolichogaster  METrscHNIKOFF 1886 (a) p. 258. 
Dipurena fertilis METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 258 ss. 
» » Lo BraNco 1888 p. 388. 


M. BEDOT 


270 
Dipurena halterata (Forbes). 


Voir : Matériaux Il, p. 133; ILE, p. 412 et IV, p. 399. 


Dipurena ophiogaster Haeckel. 


Voir : Matériaux ILE, p. 412 et IV, p. 399. 


Dipurena strangulata Mac Crady. 


Voir : Matériaux IIL, p. 412 et IV, p. 399. 
1881 (b) p. 155, pl. 4, fig. 5. 


Dipurena stranqulata FEWKES 
1882 p. 136. 


Dipurina stranqulata BROOKS 
Dissonema saphenella Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 399. 


Dissonema saphenella LENDENFELD 1885 (a) p. 599, 630. 


» » LENDENFELD 1885 (d) p. 655. 
LENDENFELD 1887 (c) p. 35. 


» » 


Dyscannota dysdipleura Haeckel. 
Voir : Matériaux IL, p. 412 et IV, p. 399. 


Dysmorphosa fulqurans À. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 412 et IV, p. 400. 
Dysmorphosa fulqurans  FEWKkEs 1881 (b) p. 145, 147. 


FEWKES 1883 p. 79. 
Brooks 1884 p. 711. 


» » 


» » 


Dysmorphosa minima Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 400. 


Dysmorphosa minima GIARD 1888 p. 317. 
DaALLA TORRE 1889 p. 95. 


» » 


Dysmorphosa octostyla Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 400. 
1884 p. 24. 


Dysmorphosa octostyla  Carus 
1888 p. 317. 


» » GIARD 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 271 


Ectopleura ochracea A. Agassiz. 


Voir : Matériaux IIT, p. 413 et IV, p. 400. 


Ectopleura ochracea FEWKES 1881 (b) p. 155. 
» » BROOKS 1882 p. 136. 
» » FEWKES 1882 (b) p. 295, pl. 1, fig. 15, 
16, 35, 36. 
» » FEWKES 1883 p. 85. 
» » FEWKES 1888 (a) p. 225 note. 


Eirene coerulea L. Agassiz. 
Voir : Matériaux ILE, p. 419 et IV, p. 400. 


Irene coerulea CLaus 1881 (c) p. 97. 


Eïirene gibbosa (Mac Crady). 


Voir : Matériaux IT, p. 419 et IV, p. 401. 


Irene gibbosa CLAUS 1881 (ec) p. 97. 
Eïrene gibbosa BRooks 1882 p. 136. 
Phortis gibbosa BROOKS 1883 (a) p. 470. 


Eïrene pellucida (Busk). 


Voir : Matériaux [, p. 483; IL, p. 135; IL, p. 419 et IV, p. 401. 


Dionaea lucullana CLaus 1881 (c) p. 102. 

Geryonia pellucida CLaus 1881 (c) p. 102, 108. 

Irene pellucida CLAUS 1881 (c) p. 90, 96, 97, 102 ss., 
pl. 3. 

Lrene (Tima) pellucida  CLaus 1881 (c) p. 102, 107-108. 

? Irene pellucida MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 123, fig. 7. 8. 

» » CARUS 1884 p. 32. 

Eïrene pellucida GRÆFFE 1884 p. 358. 

Tima cari METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262. 

Tima pellucida METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262. 


_» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 54, 73, 80. 


272 M. BEDOT 


Eïirene viridula (Péron et Lesueur). 
Voir : Matériaux [, p. 483; IF, p. 136; II, p. 419 et IV, p. 404. 


Irene viridula CLAUS 1881 (c) p. 97, 102. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 95. 


Eleutheria claparedei Hartlaub. 
Voir : Matériaux II, p. 413 et IV, p. 401. 


Eleutheria claparedei HARTLAUB 1889 p. 668. 


Epenthesis cymbaloidea (Slabber). 
Voir : Matériaux I, p. 483; Il, p. 134; LL, p. #13 et. IV, p. 402. 


Epenthesis cymbuloidea  CLaus 1881 (c) p. 117. 

? Thaumantias thompsoni CruBs 1886 p. 116. 

? » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. 

? » » HERDMAN 1886 (b) p. 325-327, 330. 
Epenthesis cymbaloidea Brooks 1888 (b) p. 160. 


Epenthesis folleata Mac Crady. 
Voir : Matériaux II, p. 413 et IV, p. 402. 


Epenthesis folliata BROOKS 1882 p. 139. 

Oceania folliata BROOKS 1882 p. 135. 

Epenthesis folleata FEWKES 1882 (b) p. 298, pl, 1, fig. 10-14. 
Epenthesis folliata Brooks 1888 (b) p. 148-150, 160-162. 


Epenthesis maccradyi Brooks. 
Epenthesis McCradyi BROOKS 1888 (b) p. 148 ss., pl. 13-15. 
» » SCHIMKEWITSCH 1890 (a) p. 55. 


— Phalidium maccradyi sec. A.-G. MAYER.) 


Epenthesis maculata (Forbes). 
Voir ; Matériaux IL, p. 434; HE, p. 414 et IV, p. 402. 


Thaumantias maculata  M’INrosH 1889 p. 278, 282. 
KE » M'INrosH 1890 (b) p. 301. 


9 
ut 
C0 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 
Eucheilota quadralis Fewkes. 


Eucheilota quadralis FEWKES 1883 p. 87, pl. 1, fig. 13. 


Eucheilota ventricularis Mac Crady. 


Voir : Matériaux III, p. 414 et IV, p. 402. 


Eucheilota ventricularis  FEWKES 1881 (b) p. 159, pl. 5, fig. 7-10, 
» » Brooks 1882 p. 135, 139. 
» » FEWKES 1882 (b) p. 297. 


Eucope annulata Lendenfeld. 


Eucope annulata LENDENFELD 1885 (a) p. 602, 630, pl. 28, fig. 
»3-57. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. 


Eucope hyalina Lendenfeld. 


Eucope hyalina LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 920, pl. 42, 
fig. 16-18. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 37. 


Eucope minuta Metschnikoff. 
Voir : Matériaux IL, p. 415 et IV, p. 403. 


Eucope obliqua Brooks. 


Eucope obliqua BROOKS 1882 p. 136, 140. 
(=? Obelia geniculata sec. A.-G. MAYER.) 


Eucope octona (Forbes). 
Voir : Matériaux IL, p. 134 : LIL, p. 415 et IV, p. 403. 


Thaumantias octona CLUBB 1886 p. 115. 
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12. 
» » HERDMAN 1886 (b) p. 326, 327, 330. 
» » M'Ixrosx 1889 p. 278, 289. 
» 0 M'INrosH 1890 (b) p. 300. 
Rev. Suisse DE Zooz. ‘l. 24. 1916. 18 


[Re 
1 
Æ> 


M. BEDOT 


Eucope parasitica A. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 415 et IV, p. 403. 


Eucope polygastrica Metschnikoff. 


Eucope polygastrica MErscHniKOrr, Eu.L. 1872 p. 231. 
») » LANG 1886 p. 761. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. 


Cette espèce figure à tort dans les Matériaux IV, p. 418, parmi les syno- 
nymes de Phialidium variabile où la plaçait HarckeL (1880 p. 651). Elle est 
peut-être synonyme de Gastroblasta raffaeli, sec. A.-G. Mayer. 


Eucope polygena À. Agassiz. 
Voir : Matériaux II, p. 415 et IV, p. 403. 


Eucope pontica Metschnikoff. 


Voir : Matériaux Ill, p. 415 et IV, p. 403. 


Eucope thaumantoides Gegenbaur. 
Voir : Matériaux LIL, p. 415 et IV, p. 403. 
Eucope thaumantoides  MerscHNIKOorF 1886 (b) p. 85. 


Eucopium pictum (Keferstein et Ehlers). 
Voir : Matériaux IT, p. 416 et IV, p. 402. 


Eucopium pictum CLaus 1881 (c) p. 117. 
» » CARUS 1884 p. 28. 


Eucopium primordiale Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 404. 


Eucopium primordiale  Craus 1881 (ce) p. 147. 
» » CLAUS 1883 P. 87. 
» » WEISMANN 1883 p. 158. 


» » CARUS 1884 p. 28. 


[Se] 
=] 
Qt 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Eucopium quadratum (Forbes). 
Voir : Matériaux If, p. 134; IT, p. 416 et IV, p. 404. 


Eucopium quadratum CLAUS 1581 (ce) p. 117. 
» » MôBius 1884 p. 69. 
Thaumantias quadrata  MIxrosa 1889 p. 289. 
» » M'INrosa 1890 (b) p. 300. 


Euphysa aurata Forbes. 
Voir : Matériaux IL, p. 134; III, p. 416 et IV, p. 404. 


Euphysa mediterranea  WEISMANN 1883 p. 129. 
» » CaRus 1884 p. 22. 
» » GRÆFFE 1884 p. 354. 

Euphysa aurata MôBius 1884 p. 65. 

Euphysa mediterranea Du PLessis 1888 p. 543. 


Euphysa australis Lendenfeld. 


Euphysa australis LENDENFELD 1885 (a) p. 586, 628, pl. 21, 
fig. 33. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 650. 


Euphysa virgulata À. Agassiz. 
Voir : Matériaux I, p. #17 et IV, p. 405. 


Eutima cuculata Brooks. 


Eutima cuculata Brooks 1882 p. 136, 140. 


Eutima emarginata Brooks. 
Eutima emarginata Brooks 1882 p. 136, 141. 


(= Eutima mira sec. A.-G. MAYER.) 


Eutima gracilis Fewkes. 


Eutima gracilis FEWKES 1881 (b) p. 158 pl. 5, fig. 1-4. 
» » Brooks 1886 p. 397. 


(—= Eutima mira sec. A.-G. MAYER). 


LD 
1 
[ep] 


M. BEDOT 


Eutima insignis (Keferstein). 
Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405. 


Eutima limpida A. Agassiz. 


Voir : Matériaux LIT, p. 417 et IV, p. 405. 
Eutima limpida FEWKES 1881 (b) p. 158. 
» » Brooks 1886 p. 397. 


Eutima mira Mac Crady. 


Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405. 


Eutima mira FEWKES 1881 (b) p. 158. 
» » BROOKS 1882 p. 136, 141. 
» » BROOKS 1884 p. 709, 711. 
» » Brooks 1886 p. 360, 394, ss., pl. 38-39, 
fig. 2-7. 


Eutima pyramidalis L. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405. 
Eutima pyramidalis BROOKS 1886 p. 397. 


Eutimalphes indicans (Romanes). 


Voir : Matériaux IV, p. 406. 


Eutimalphes pretiosa Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 406. 


Eutimalphes pretiosa LENDENFELD 1885 (a) p. 607, 630. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 657. 
Eutimolphes pretiosa LENDENFELD 1887 (c) p. 37. 


Eutimeta gentiana Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 406. 


Eutimium elephas Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 406. 


Eutimium elephas DALLA TORRE 1889 p. 95. 


[Os] 
1 
Fe | 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 


Gastroblasta raffaelei Lang. 


Gastroblasta raffaelei LANG 1886 p. 735, pl. 20-21. 
» » BROOKS 1888 (b) p. 161, 162. 
» » M'Ixrosu 1890 (a) p. 43. 


Gastroblasta timida 


)) )] 


Gastroblasta timida Keller. 


KELLER 1883 (b) p. 622 ss., pl. 35. 
LANG 1886 p. 736, 759-761. 
Brooks 1888 (b) p. 161. 


Gemmaria cladophora À. Agassiz. 


Voir : Matériaux ILE, p. 417 et IV, p. 406. 


Gemmaria gemmosa Mac Crady. 


Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 407. 


Gemmaria gemmosa 


» » 


FEWKES 1881 (b) p. 150, pl. 1, fig. 8-12. 
FEWKES 1884 p. 196, fig. 2. 


Gemmaria sagittaria Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 407. 


Globiceps globator (Leuckart). 


Voir : Matériaux HE, p. 4i7 et IV, p. 407. 


Globiceps globator 


CARUS 1884 p. 22. 


Gonionemus verltens À. Agassiz. 


Voir : Matériaux IE, p. 418 et IV, p. 407. 


Halitiara formosa 


» » 


Halitiara formosa Fewkes. 


FEWKES 1882 (a) p. 276, pl. 4, fig. 2. 
FEWKES 1883 p. 79. 


(= Protiara formosu sec. A.-G. MAYER.) 


278 M. BEDOT 


Halopsis ocellata À. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 418 et IV, p. 407. 


Halopsis ocellata CLAUS 1881 (b) p. 307. 
» » CLAUS 1883 p. 68, 82. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 81, 84. 
» » FEWKES 1888 (a) p. 233, pl. 3 fig. 1. 


Hippocrene macloviana (Lesson). 


Voir : Matériaux Il, p. 135; IIL, p. 418 et IV, p. 407. 


Hippocrene mertensi À. Agassiz. 


Voir : Matériaux IL, p. 135; IIT, p. 418 et IV, p. 408. 


Hippocrene platygaster Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 408. 


Hippocrene pyramidata Forbes. 
Voir : Matériaux IT, p. 418 et IV, p. 408. 


Trenium quadrigatum Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 409. 


Laodicea calcarata A. Agassiz. 
Voir : Matériaux LIT, p. 419 et IV. p. 409. 


Laodicea calcarata CLAUS 1881 (c) p. 89. 
Laodice (Lafoea) 
calcarata  METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. 


Laodicea cruciata (Forskäl). 
Voir : Matériaux [, p. 483; IT, p. 136; IIT, p. 420 et IV, p. 409. 


Cosmetira punctata SCHMIDTLEIN 1881 D. 164. 
Laodice cruciata CARUS 1884 p. 27. 
Laodicea cruciata GRÆFFE 1884 p. 357. 


Thaumantias pilosella  CLups 1886 p. 115. 


7 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 279 


Laodice cruciata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239. 

» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20 .…. 149, pl. 4, fig. 

17-31, pl. 5, fig. 1. 
Laodicea cruciata Nicuocs a. Happon 1886 p. 615. 
Laodice cruciata Dal.LA TORRE 1889 p. 95. 
Thaumantias pilosella M'IxrosH 1889 p. 272, 277, 282, 289, 293. 
Laodice cruciata MARKTANNER 1890 p. 280. 
Thaumantias pilosella  MInrosa 1890 (a) p. 40. 
» » M'Ixrosx 1890 (b) p. 299, 300. 


Le Polype de cette Méduse, observé par METscHNIKOFF, appartient probable- 
ment au genre Cuspidella. 


Laodicea salinarum (Du Plessis). 
Voir : Matériaux IV, p. 409. 
Limnorea proboscidea Haeckel. 
Voir: Limnorea triedra. 
Limnorea triedra Péron et Lesueur. 


Syn. : Limnorea proboscidea Haeckel. 
Voir : Matériaux I, p. 484; [E, p. 137; IN, p. 421 et IV, p. 410. 


Limnorea triedra HAECKEL 1882 p. 2. 
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 591, 629. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 33. 


Lizusa multiciia Haeckel. 
. Voir : Matériaux IV, p. 410. 


Lizusa multicilia CaRus 1884 p. 25. 


Lizusa prolifera Lendenfeld. 


Lizusa prolifera LENDENFELD 1885 (a) p. 589, 629, pl. 23, 
fig. 38-39. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 33. 


(— Bougainvillia prolifera sec. A.-G. MAYER.) 


280 M. BEDOT 


Lizzella hyalina (van Beneden). 
Voir : Matériaux IL, p. 421 et IV, p. 410. 


Lizzella octella Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 410. 


Lazzia blondina Forbes. 


Voir: Matériaux II, p. 137 ; III, p 421 et IV, p. 410. 


Lizzia blondina MôBius 1884 p. 65. 
» » WAGNER 1885 p. 60, 72, 73, pl. 3, fig. 
2-5. 
» » Du PLESssIs 1888 p. 542. 
» » M’IxrosH 1889 p. 288. 
» » M'INrosH 1890 (b) p. 297, 298. 


Lizzia elisabethae Haeckel. 


Voir : Matériaux [V, p. 411. 


Mabella gracilis Fewkes. 
Mabella gracilis FEWKES 1881 (b) p. 146, pl. 6, fig. 2, 3. 


(= ? Podocoryne fulqurans sec A.-G. MAYER.) 


Margelis maniculata Haeckel. 
Voir : Matériaux III, p. 422 et IV, p. 411. 
Margelis maniculata CARUS 1884 p. 25. 


Margelis principis Steenstrup. 
Voir: Matériaux II, p. 437 ; III, p. 422 et IV, p. 411. 


Margelis trinema Lendenfeld. 


Margelis trinema LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 918, pl. 41, 
TE BA 
» » LENDENFKLD 1885 (d) p. 652. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 33. 


(— Bougainvillia trinema sec. A.-G. Mayer.) 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 281 


Margelis zygonema Haeckel. 


Voir : Matériaux II, p. 422 et IV, p. 411. 


Margellium gratum (A. Agassiz). 
Voir : Matériaux III, p: 422 et IV, p. 414. 


Lizzia grata FEWKES 1881 (b) p. 14%, pl. 1, fig. 1-7. 
» » MOEBIUS 1884 p. 69. 


Melicertella panocto Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 412. 


Melicertidium octocostatum (Sars). 
Voir : Matériaux Il, p. 138; III, p. 422 et IV, p. 412. 
Stomobrachium octo- 
costatum  M’INTosH 1889 p. 261, 288, 289, 294, 298, 


300. 
Melicertum (Stomobra- 


chium) octocostatum  M’Ixros 1890 (b) p. 304. 


Melicertissa clavigera Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 412. 


Melicertum georgicum A. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 423 et LV, p. 412. 


Mesonema abbreviata Eschscholtz. 
Voir : Matériaux Il, p. 138; II, p. 423 et 1V, p. 412. 


Mesonema abbreviatum  CLaus 1881 (b) p. 309. 
» » CLAUS 1883 p. 83. 


Mesonema bairdi Fewkes. 


Mesonema bairdi FEWKES 1886 p. 959, 960, 962. 


(—Aequorea forskalea, sec. A.-G. MAYER.) 


282 M. BEDOT 


Mesonema cœrulescens Brandt. 
Voir : Matériaux II, p. 139 ; II, p. 423 et IV, p. 413. 


Mesonema coerulescens  CLAUS 1881 (b) p. 301. 
» » CLAUS 1883 p. 78. 


Mesonema cyaneum (L. Agassiz). 
Voir : Matériaux III, p. 424 et IV, p. 413. 


Mesonema cyaneum FEWKES 1886 p. 959, 960. 
Zygodactyla cyanea FEWKES 1886 p. 960. 
Mesonema cyaneum FEWKES 1889 (a) p. 521. 
Zygodactyla cyanea FEWKES 1889 (a) p. 521. 


Mesonema dubium Brandt. 


Voir : Matériaux IT, p. 139, IIT, p. 424 et IV, p. 413. 


Mesonema eurystoma Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 413. 


Mesonema eurystoma CLAUS 1881 (b) p. 287, 295, 300, 305, 
306, 311. 
Aequorea eurystoma CLAUS 1883 p. 81. 
Mesonema eurystoma CLAUS 1883 p. 63, 67, 78, 81, 84. 
» » CARUS 1884 p. 33. 


Mesonema macrodactylum Brandt. 


Voir : Matériaux If, p. 139; IN, p. 424 et IV, p. 413. 


Mesonema pensile Haeckel. 
Voir : Matériaux I, p. 484; IT, p. 139 ; HE, p. 424 et IV, p. 413. 


Aequorea pensile CLAUS 1881 (b) p. 297. 
Mesonema pensile DAVIDOFF 1881 p. 622. 
Aequorea pensile CLAUS 1883 p. 68. 
Mesonema pensile CaRus “ 1884 p. 33. 

» » LANG 1886 p. 799. 


Stomobrachium mirabile  Lanc 1886 p. 753-756. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 283 


Microcampana conica Fewkes. 


Microcampana conica FEWKES 1889 (b) p. 1114, pl. 4, fig. 8. 
Microcampana FEWKES 1889 (c) p. 595, 596, fig. 5. 


Mitrocoma annæ Haeckel. 
Voir : Matériaux IIL, p. 424 et IV, p. 414. 


Mitrocoma annae Carus 1884 p. 31. 
Halopsis annae METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. 
Mitrocoma annae METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240, 260. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 23... 82, pl. 3, fig. 
20-33, pl.4,fig.1-16. 
» » Lo Branco 1888 p. 388. 


Le Polype de cette Méduse, observé par MerscaniKorr, rentre probablement 
dans le genre Cuspidella. 


Mitrocoma minervæ Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 414. 


Mitrocomella polydiademata (Romanes). 


Voir : Matériaux IV, p. 414. 


Mitrocomium annæ Lendenfeld. 


Mitrocomium annae LENDENFELD 1885 (a) p. 606, 630, pl. 29, 
fig. 58-60. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 657. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. 


(= Mitrocoma lendenfeldi, sec A.-G. MAYER.) 


Mitrocomium cirratum Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 414. 


Mitrocomium cirratum  Carus 1884 p. 30. 


Modeeria formosa Forbes. 
Voir : Matériaux II, p. 140 ; UI, p. 425 et IV, p. 414. 
Modeeria formosa FEWKES 1881 (b) p. 149. 


284 M. BEDOT 
Modeeria irenium Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 415. 
Nemopsis crucifera (Forbes). 
Voir : Matériaux II, p. 425 et IV, p. 415. 


Nemopsis favonia Haeckel. 
Voir : Matériaux I, p. 485; Il, p. 140 ; IL, p. 425 et IV, p. 415. 


Favonia octonema HAECKEL 1882 p. 2. 

Nemopsis favonia LENDENFELD 1885 (a) p. 591, 629. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 62. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 34. 


Nemopsis heteronema Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 415 


Nemopsis heteronema HAECKEL 1882 p. 2. 


Oceaniopsis bermudensis Fewkes. 


Oceaniopsis bermudensis  FEWkEs 1883 p. 86, pl. 1, fig. 8-10. 


(— Eucheilota bermudensis, sec. A.-G. MaYer.) 


Octocanna octonema Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 416. 


Octocanna octonema CLAUS 1881 (b) p. 298, 307, 308. 
» » CLAUS 1883 p. 69, 77, 82. 


Octocanna polynema Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 416. 


Octocanna polynema CLAUS 1881 (b) p. 307. 
» » CLaus 1883 p. 82. 


Octonema eucope Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 416. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 285 


Octorchandra canariensis Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 416. 


Octorchandra germanica Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 416. 
Octorchandra germanica  CLAUS 1881 (c) p. 104. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 95. 


Octorchandra variabilis (Mac Crady). 
Voir : Matériaux IT, p. 426 et IV, p. 416. 


Eutima variabilis FEWKES 1881 (b) p. 158. 
» » BROOKS 1886 p. 394, 396, pl. 39, fig. 1 
pl. 40. 


Octorchidium tetranema Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. #16. 


Octorchidium tetranema  CLAUS 1881 (c) p. 100. 
» » CARUS 1884 p. 32. 


Octorchis campanulatus (Claus). 


Voir : Matériaux IV, p. 417. 


Liriopsis campanulatus  CLaus 1881 (c) p. 104. 
Octorchis campanulatus  CLaus 1881 (c) p. 100, 1014. 
» » CARUS 1884 p. 32. 


Octorchis gegenbauri Haeckel. 
Voir : Matériaux III, p. 426 et IV, p. 417, 


Octorchis gegenbauri CLAUS 1881 (c) p. 90, 96, 101. 
» » CARUS 1884 p. 32. 
» » GRÆFFE 1884 p. 398. 
Octorchis (Eutima) 
gegenbauri BROOKS 1886 p. 396, 398, 404. 
Octorchis gegenbauri METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20... 79, pl. 3, fig, 


10-19. 


286 M. BEDOT 


Octorhopalon fertilis Lendenfeld. 


Octorhopalon fertilis LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 919, pl. 42, fig. 
14-15. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 655. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 36. 


(= ? Laodicea fertilis sec. A.-G. MAYER). 


Orchistoma agariciforme Keller. 


Orchistoma agariciforme Carus 1884 p. 28. 
» » KELLER 1884 p. 418, pl. 21. 


Orchistoma pileus (Lesson). 
Voir : Matériaux IL, p. 141; IE, p. 427 et IV, p. 417. 
Orchistoma pileus KELLER 1884 p. 417. 


Orchistoma steenstrupi Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 417. 
Orchistoma steenstrupi  KELLER 1884 p. 417, 420. 


Pandea conica (Quoy et Gaimard). 


Voir : Matériaux IL, p. 141; III, p. 427 et IV, p. 417. 


Oceania conica SCHMIDT LEIN 1881 p. 164. 
Pandea conica CARUS 1884 p. 22. 

» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 24. 
Oceania conica Lo Bianco 1888 p. 389. 
Pandaea conica MARKTANNER 1890 p. 202. 
Oceania conica M’INTrosH 1890 (b) p. 297. 


Pandea minima Lendenfeld. 


Pandaea minima LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 916, pl. 42, 
fig. 10-12. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 650. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. 


ns, 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Voir : Matériaux I, p. 485; II, p. 141; ILE, p. 427 et IV, p. 418. 


Pandea saltatoria (Sars). 


Phialidium gregarium (A. Agassiz). 


Voir : 


Matériaux III, p.427 et IV, p. 416. 


Phialidium languidum (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux LIL, p. 427 et IV, p. #18. 


Phialidium languidum 
Oceania languida 


» » 
» D) 
» » 
» D) 


CLAUS 

BROOKS 
FEWKES 
FEWKES 
FEWKES 
FEWKES 


1881 (c) p. 1114. 
1882 p. 139. 

1882 (b) p. 298. 
1883 p. 86. 

188% p. 196, fig. 3. 
1888 (a) p. 234. 


Phialidium variabile (Claus). 


Voir : Matériaux I, p. 485; IL, p. 142; 


Phialidium variabile 
Eucope (Phialidium) 
variabilis 
Phialidium variabile 
Eucope (Phialidium) 
variabilis 
Phialidium variabile 


» » 
» » 
» » 


Phialidium variabilis 
Thaumantias convexa 
Phialidium variabile 

» » 
Eucope variabilis 
Geryonia planata 
? Oceania flavidula 
Phialidium ferrugineum 
Phialidium variabile 


DaviDOFF 


CLaAUs 
CLAUS 


CLAUS 

CLAUS 
\VEISMANN 
CaRus 
GRÆFFE 

REES 

CLUBB 
HADDON 

LANG 
METSCHNIKOFF 
METSCHNIKOFF 
METSCHNIKOFF 
METSCHNIKOFF 
METSCHNIKOFF 


II, p. 428 et IV, p. 418. 
1881 p. 620, fig. 


1881 (b) p. 310. 
1881 (c) p. 94, 110, 411. 


1883 p. 83. 

1883 p. 87. 

1883 p. 240. 

1884 p. 31. 

1884 p. 356. 

1884 p. 589. 

1886 p. 114, 116. 
1886 (a) p. 525. 
1886 p. 753, 755, 798. 
1886 (a) p. 242. 
1886 (a) p. 241. 
1886 (a) p. 239, 241. 
1886 (a) p. 241, 243. 


287 


1886 (a) p. 243, 244,257, 260. 


288 M. BEDOT 


Phialidium viridicans METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 243. 
T'haumantias convexa THOMPSON 1886 p. 317. 
Phialidium variabile DALLA TORRE 1889 p. 95. 
» » M'INrosx 1889 p. 278, 289. 
? Phialidium variabile 
var. convexra  M'IxTosx 1889 p. 289. 
? Phialidium variabile 
var. globosa  M’INrosH 1889 p. 289. 
? Phialidium variabile 
var. sarnica  M'INTosH 1889 p. 289. 
? Thaumantias gibbosa  M’INrosa 1889 p. 278. 
Thaumantias globosa 
(Phialidium variabile) MIxrosa 1889 p. 272. 
? Thaumantias globularis M'Inrosx 1889 p. 288. 


? Thaumantias (Phia- 
lidium) variabile 
var. globosa  MIxtTosx 1889 p. 289. 
? Thaumantias (Phia- 
lidium) variabile 


var. #nconspicua  M'INrosH 1889 p. 289. 
Phialidium variabile M'Ixrosx 1890 (b) p. 302. 
? Phialidium variabile 

var. convexa  M’INTOosH 1890 (b) p. 302. 
? Phialidium variabile 

var. globosa  M'IxTosx 1890 (b) p. 302. 
? Phialidium variabile 

var. inconspicua  M’INrosH 1890 (b)\ p. 302. 
? Phialidium variabile 

var. sarnica  M’'INTosH 1890 (b) p. 302. 
? Thaumantias gibbosa  M’Ixros 1890 (b) p. 304. 


Nous réunissons provisoirement sous le nom de Phialidium variabile toutes 
les espèces qui ont été décrites sous ce nom ou qui figurent dans la synonymie 
établie par HagckeL. Mais plusieurs auteurs, et entre autres BRoWNE (1896), ont 
montré que de nombreuses espèces avaient été à tort réunies sous ce nom. 
Nous espérons pouvoir en faire une révision dans un prochain fascicule de nos 
«Matériaux ». Dans les Matériaux IV, p. 419, il faut enlever de la synonymie 
de Phialidium variabile la citation : Eucope polygastrica, Merscanixorr E. u. L. 
1872, qui appartient à une espèce distincte. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 289 


Phialis cruciata (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux III, p. 428 et IV, p. 419. 


Halopsis cruciata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241, 260. 
Phialis cruciata ME&TSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241, 261. 
Halopsis cruciata METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 81, 84. 


Phialium duodecimale (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux ILE, p. 429 et IV, p. 419. 


Eucheilota duodecimalis  FEWKES 1881 (b) p. 159. 
» ‘» Brooks 1882 p. 140. 
» » FEWKES 1882 (b) p. 297. 
Phialium duodecimale FEWKES 1882 (b) p. 297, pl. 1, fig. 17-21. 


Plotocnide borealis Wagner. 


Plotocnide borealis WAGNER 1885 p. 60,72, 74, pl. 4, fig. 1-2. 


(= Protiara borealis sec. A.-G. MAYER.) 


Polycanna americana Fewkes. 


Polycanna americana FEWKES 1886 p. 959. 
» » FEWKES 1889 (a) p. 522, 523. 


(= Aequorea forskalea sec. A.-G. MAYER.) 


Polycanna crassa (A. Agassiz). 
Voir : Matériaux IIL, p. 429 et IV, p. 419. 


Aequorea crassa CLAUS 1881 (b) p. 297. 
Aequorea (Zygodactyla) 
crassa CLAUS 1881 (b) p. 301. 
Aequorea crassa CLAUS 1883 p. 68. 
Aequorea (Polycanna) 
crassa  CLAUS 1883 p. 82. 
Aequorea (Zygodactyla) 
crassa  CLAUS 1883 p. 78. 
Polycanna (Z'ygodactyla) 
crassa FEWKES 1886 p. 959, 960. 
Polycanna crassa FEWKES 1889 (a) p. 523. 
Zygodactyla crassa FEWKES 1889 (a) p. 521. 


* Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 19 


290 M. BEDOT 


Polycanna flava A. Agassiz. 
Voir : Matériaux III, p. 429 et IV, p. 420. 


Aequorea (Cremalostoma) 


flava  CLaAUs 1881 (b) p. 301. 

Crematostoma flava CLAUS 1881 (b) p. 302. 
) » CLAUS 1883 p. 79. 

Cremastoma flava FEWKES 1889 (a) p. 521. 

Polycanna flava FEWKES 1889 (a) p. 523. 


Polycanna fungina Hæckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 420. 
Aequorea (Polycanna) 


fungina  CLAUS 1881 (b) p. 297. 
Polycanna fungina CLAUS 1881 (b) p. 301, 307, 308. 
Aequorea (Polycanna) 
fungina  CLAUS 1883 p. 76. 
Polycanna fungina CLAUS 1883 p. 77, 78, 82, 83. 
» » FEWKES 1889 (a) p. 521, 523. 


Polycanna germanica Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 420. 


Aequorea (Polycanna) 


germanica  CLAUS 1881 (b) p. 297. 
Polycanna germanica CLAUS 1881 (b) p. 298, 300, 308, 311. 
Aequorea (Polycanna) 
germanica  CLAUS 1883 p. 76. 
Polycanna germanica CLaus 1883 p. 77, 78, 82, 84. 
» » FEWKES 1886 p. 959. 
» » DALLA TORRE 1889 p. 94. 
» » FEWKES 1889 (a) p. 521. 


Polycanna groenlandica (Péron et Lesueur). 
Voir : Matériaux I, p. 485; II, p. 143; III, p. 429 et IV, p. 420. 


Aequorea groenlandica  CLAUS 1881 (b) p. 297, 301. 
Zygodactyla groenlandica FrwKkes 1881 (b) p. 156, pl. 5, fig. 5, 6, 
11, 12. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 291 


Aequorea groenlandica  CLAUS 1883 p. 68, 78. 
Aequorea (Zygodactyla) 

groenlandica  CLAUS 1883 p. 69. 
Zygodactyla groenlandica FewKkes 1885 (a) p. 597. 
Polycanna (Zygodactyla) 

groenlandica  FEWKES 1886 p. 959, 962. 
Zygodactyla groenlandica Crarke 1888 p. 87, fig. 81. 
Polycanna groenlandica  Fewkes 1889 (a) p. 522, 523. 
Zygodactyla groenlandica FEWKEs 1889 (a) p. 521-523. 


Polycanna italica Haeckel. 
Voir : Matériaux I, p. 486; IT, p. 143 ; IT, p. 429 et IV, p. 420. 


Polycanna italica CLAUS 1881 (b) p. 284, 298, 300, 311. 
Polycanna rissoana CLAUS 1881 (b) p. 311. 
Aequorea rissoana CLAUS 1883 p. 62. 
Polycanna italica CLAUS 1883 p. 62, 77, 78, 84. 
Polycanna rissoana CLAUS 1883 p. 84. 

» » CARUS 1884 p. 34. 
Polycanna italica FEWKES 1886 p. 959. 

» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. 

» » FEWKES 1889 (a) p. 521. 


Polyorchis campanulatus (Chamisso et Eysenhardt). 


Voir : Matériaux IL, p. 143; IL, p. 430 et IV, p. 421. 


Polyorchis penicillata (Eschscholtz). 
Voir : Matériaux II, p. 144; III, p. 430 et IV, p. 421. 


Polyorchis penicillata FEWKES 1889 (b) p. 103, pl. &, fig. 6, 7. 
» » FEWKES 1889 (c) p. 593, fig. &, pl. 23. 


Polyorchis pinnatus Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 421. 


Polyorchis saltatrix (Tilesius). 


Voir : Matériaux IV, p. 421. 


292 M. BEDOT 


Proboscidactyla brevicirrata Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 421. 


Proboscidactyla flavicirrata Brandt. 


Voir : Matériaux If, p. 144; IIF, p. 430 et IV, p. 422. 


Protiara tetranema (Péron et Lesueur). 


Voir : Matériaux 1, p. 486: IL, p. 144; ILE, p. 430 et IV, p. 422. 


Pteronema ambiguum (Lesson). 
Voir : Matériaux IT, p. 144, IT, p. 430 et IV, p. 422. 


Pieronema ambiquum LENDENFELD 1885 (a) p. 592, 629. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 652. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 34. 


Pteronema darwini Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 422. 


Pteronema darwini LENDENFELD 1885 (a) p. 592, 629. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 652. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 34. 


Ptychogastria polaris Allman. 


Voir : Matériaux IV, p. 422. 


Ptychogena lactea A. Agassiz. 
Voir : Matériaux IL, p. 430 et IV, p. 422. 


Ptychogena lactea HARCKEL 1882 p. 6, 7. 


» » AGASSIZ, À. 1888 p. 128, fig. 422. 


Ptychogena pinnulata Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 422. 


Plychogena pinnulata HAECKEL 1882 p. 6, pl. 2. 


RÉuil ; n°, =. 


Voir : 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 


V. 293 


Ratkia blumenbachi (Rathke). 


Oceania blumenbachi 
Rathkea blumenbachi 


Voir : Matériaux [, p. 486; IL, p. 


FEWKES 


FEWKES 


Matériaux If, p. 144; ILE, p. 430 et IV, p. 425. 


1881 (b) p. 142, 146. 
1881 (b) p. 147. 


Rathkia fasciculata (Péron et Lesueur!). 


Lizzia kôllikeri 
Rathkea fasciculata 


SCHMIDTLEIN 
CARUS 
METSCHNIKOFF 
METSCHNIKOFF 


Lizzia (Rathkea) kôllikeri Caux 
Lizzia koellikeri 
Rathkea fasciculata 
Lizzia kôllikeri 


Voir : 


Lo BIANCO 
MARKTANNER 
M'INrosH 


145 ; 


LT, p. 
1881 p. 


1884 p. 
1886 (a) 


131 et LV, p. 493. 
164. 

25, 

) p. 239. 


1886 (b) p. 20. 72, pl. 1, fig. 


1888 p. 
1888 p. 
1890 p. 


18-31. 
12. 


388. 
202. 


1890 (b) p. 298. 


Rathkia octopunctata (Sars). 
Matériaux II, p. 138, 145 ; IT, p. 431 et IV, p. 423. 


Cytaeis octopunctata 


Lizzia octopunctata 


» 


) 


Cytaeis octopunctata 
Rathkea octopunctata 


Lizzia oclopunctata 


» 


» 


Rathkea octopunctata 


» 


» 


) 


SARS, M. 
FEWKES 
FEWKES 
MôBius 
MôBits 
CLuBB 
CLARKE 
GIARD 


var. rubropunctala Gran 
Rathkea octopunctata 
Lizzia octopunctata 


DaLLA TORRE 
M'IxrosH 


M'Ixrosx 
M'INTrosH 


1837 p. 


406. 


1881 (b) p. 142, 143. 


1883 p. 
1884 p. 
1884 p. 
1886 p. 
1888 p. 
1888 p. 


1888 p. 
1889 p. 
1889 p. 


79. 

65. 

65. 

117. 

83, fig. 75. 
317, pl. 21. 


319, expl. pl. 21. 

95. 

264,272, 273, 278, 288, 
289. 


1890 (a) p. 43. 
1890 (b) p. 297, 298. 


Rhegmatodes floridanus L. Agassiz. 


Voir : 


Matériaux IIT, p. 432 et IV, p. 423. 


M. BEDOT 


Rhegmatodes globosa (Eschscholtz). 


Voir : Matériaux IL, p. 145; TIL, p. 432 et IV, p. 424. 


Rhegmatodes tenuis À. Agassiz. 


Voir : Matériaux IIT, p. 432 et IV, p. 424. 


Rhegmatodes thalassina (Péron et Lesueur). 


Voir : Matériaux [, p. 486; IL, p. 145 ; IL, p. 432 et IV, p. 424. 
Rhegmatodes thalassina 


LENDENFELD 1885 (a) p. 611, 631. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. 


Saphenella dissonema Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 424. 


Saphenia bitentaculata (Quoy et Gaimard). 


Voir : Matériaux Il, p. 146; ILE, p. 432 et IV, p. 424. 
Saphenia bitentaculata  Carus 


1884 p. 31. 
? Siphonorhynchus 


bitentaculatus  MerTscHNIKorF 1886 (a) p. 261. 


Saphenia dinema (Péron et Lesueur). 


Voir : Matériaux I, p. 486; Il, p. 146; I, p. 433 et IV, p. 424. 
Saphenia dinema 


FEWKES 1881 (b) p. 152. 
ARS » GRÆFFE 1884 p. 34. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. 


Saphenia mirabilis (Wright). 


Voir : Matériaux III, p. 433 et IV, p. 495. 


Sarsia clavata Keferstein. 


Voir : Matériaux II, p. 146; III, p. 433 et IV, p. 425. 
Sarsia clavata GRÆFFE 1884 p. 351. 


Voir dans les Polypes la note à Syncoryne clavata. 


NN 
Le] 
Qt 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 


Sarsia macrorhyncha Busch. 


Voir : Matériaux II, p. 433 et IV, p. 425. 


Sarsia pattersoni Haddon. 


Sarsia pattersont HADDON 1886 |a) p. 525. 


Sarsia prolifera Forbes. 


Voir : Matériaux II, p. 147; III, p. 433 et IV, p. 425. 


Codonium codonophorum  K£ELLER 1883 (b) p. 628. 
Sarsia prolifera WAGNER 1885 p. 78. 
» » FEWKES 1889 (c) p. 298. 


Sarsia radiata Lendenfeld. 


Voir aux Hydroïdes : Syncoryne radiata. 


Sarsia siphonophora Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 426. 


Sarsia siphonophora KELLER 1883 (b) p. 628. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 259. 


» » Lo Bianco 1888 p. 389. 


Sarsia tubulosa (Sars). 


Voir : Matériaux II, p. 147; IL, p. 434 et IV, p. 426. 


Sarsia tubulosa WEISMANN 1883 p. 2, 58. 
Sarsia syncoryne LENDENFELD 1884 (c) p. 985. 
Sarsia tubulosa LENDENFELD 1884 (c) p. 586, 588. 
» » WAGNER 1885 p. 51, 52, 54, 60, 72, 76, 


ñg., pl. 3, fig. 6, 15-16, 
18, pL. 4, fig. 3-12. 


» » CLUBB 1886 p. 115. 
» » HaDDoN 1886 (a) p. 525. 
» » M'IxrosH 1889 p. 268, 272, 278, 282. 


» » M’INTrosH . 4890 (b) p. 299. 


296 M. BEDOT 


Staurobrachium stauroglyphum (Péron et Lesueur). 


Voir: Matériaux I, p. #86; II, p. 147; III, p. 434 et IV, p. 426. 


Staurodiscus heterosceles Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 427. 


Staurodiscus tetrastaurus Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 427. 


Staurophora mertensi Brandt. 


Voir : Matériaux IT, p. 147 ; HE, p. 434 et IV, p. 427. 
? Staurophora mertensi  FEWKES 1885 (b) p. 164, 165. 


Staurophora vitrea Sars. 


Voir : Matériaux III, p. 435 et IV, p. 427. 


Staurostoma arctica Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 427. 


Staurostoma laciniata (1. Agassiz). 
Voir : Matériaux II, p. 148 ; Ill, p. 435 et IV, p. 427. 


Staurophora laciniata FEWKES 1882 (a) p.289,exp.pl.7.fig.16, 
17: 
» » FEWKES 1885 (a) p. 598, 600. 
» » WAGNER 1885 p. 54, 60, 72, 80, pl. 4, 
fig. 14-20, pl. 5, fig. 9. 
» » FEWKES 1886 p. 958. 
» » FEWKES 1888 (a) p. 233. 


Steenstrupia cranoides Haeckel. 
Voir : Matériaux III, p. 435 et IV, p. 428. 


Steenstrupia cranoides  CARuS 1884 p. 22. 
» » GRÆFFE 1884 P. 324. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 297 


Steenstrupia gracilis Brooks. 
Steenstrupia gracilis Brooks 1882 p. 136, 144. 


(= Steenstrupia rubra sec. A.-G. MAYER.) 


Steenstrupia lineata Leuckart. 


Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 428. 


Steenstrupia lineata CARUS 1884 p. 21. 
» » GRÆFFE 1884 p. 394. 
» » Du PLEssis 1888 p. d43. 


Steenstrupia occidentalis Fewkes. 


Steenstrupia occidentalis  FEWKkES 1889 (b) p. 107, pl. 3, fig. 1. 
Steenstrupia californica  Fewkes 1889 (c) pl. 24, fig. 6. 


(— Hybocodon chilensis Hartlaub sec. A.-G. MAYER.) 


Stomobrachium lenticulare Brandt. 


Voir : Matériaux IL, p. 148; III, p. 436 et IV, p. 498. 


Stomobrachium tentaculatum 1. Agassiz. 


Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 428. 


Stomotoca atra A. Agassiz. 


Voir : Matériaux IT, p. 436 et IV, p. 429. 


Stomotoca pterophylla Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 429. 
Stomatoca periphylla FEWKES 1889 (a) p. 513, 593. 


Stomotoca rugosa A.-G. Mayer 1900. 


Stomatoca apicata FEWKES 1881 (b) p. 151, 152, pl. 2, fig. 
0: 

? Stomatoca apacala Brooks 1882 p. 136. 

? Stomatoca apacta Brooks 1882 p. 144. 


Amphinema apicatum BROOKS 1883 (a) p. 473. 


298 M. BEDOT 


Stomatoca apicata BROOKS 1884 p. 711. 
» » CLARKE 1888 p. 83 pl. sans n° p. 82. 
» » FEWKES 1889 (a) p. 524. 


Syndictyon nodosum (Busch). 
Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 429. 
Syndictyon nodosum CARUS 1884 p. 20. 


Tetranema aeronuuticum (Forbes). 


Voir : Matériaux IL, p. 148 : IE, p. 436 et IV, p. 429. 


Tetranema eucopium Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 429. 


T'etranema eucopium CARUS 1884 p. 27." 


Thamnitis nigritella (Forbes). 
Voir : Matériaux IL, p. 148 ; LIL, p. 437 et IV, p. 429. 


Bougainvillia nigritella  M’Ixrosa 1889 p. 294. 
» » M'INrosH 1890 (b) p. 298. 


Thammnitis tetrella Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 430. 


Thamnostoma dibalia (Busch). 
Voir : Matériaux III, p. 437 et IV, p. 430. 


Thamnostoma dibalia CARUS 1884 p. 25. 
Thamnostoma dibolia GRÆFFE 1884 p. 348. 


Thamnostoma macrostoma Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 430. 


Thamnostylus dinema Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 430. 
T'hamnostylus dinema HABCKEL 1882 p. 2, pl. 1. 


HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 299 


Thaumantias cellularia (A. Agassiz). 


Voir : Matériaux IT, p. 437 et IV, p. 430. 


Thaumantias crucifera Romanes. 


Voir : Matériaux IV, p. 430. 


Thaumantias eschscholtzi Haeckel. EC y 


Voir : Matériaux IV, p. 430. & 


Thaumantias forbesi Haeckel. 


DE 


Voir : Matériaux IV, p. 430. \G 


Thaumantias helicobostrica Romanes. 


Voir : Matériaux IV, p. #30. 


Thaumantias hemisphaerica (Gronovius). 
Voir : Matériaux I, p. 486; IT, p. 148; IIL p. 437 et IV, p. 431. 


Thaumantias inconspicua Lestie a. HeRDMAN 1881 p. 13. 
» » STORM 1882 p. 14. 
Thaumantias hemis- 


phaerica  Môgius 1884 p. 65. 
Thaumantias inconspicua  PENNINGTON 1885 p. 89. 
Thaumantias hemis- 

phaerica Crus 1886 p. 116. 
Thaumantias punctata  CLups 1886 p. 116. 
Thaumantias hemis- 

phaerica  HapDox 1886 (a) p. 525. 

» » HERDMAN 1886 (b) p. 327, 330. 
Thaumantias inconspicua METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 84. 
Thaumantias hemis- 

phaerica  DALLA TORRE 1889 p. 95. 
; ; M'Ixrosn 1889 p. 277,278. 289, 288, 289, 


293, 204, 297. 300. 
8, 288, 289. 
7 


19 © 
I 1 


Thaumantias inconspicua  M'Ixros 1889 p. 
Thaumantias pileata M'Ixrosu 1889 p. 


300 M. BEDOT 


Thaumantias hemis- 


phaerica  MINrosH 1890 (b) p. 297, 301. 
Thaumantias inconspicua M’INrosx 1890 (b) p. 297. 
Thaumantias pileata M°INTOSH 1890 (b) p. 301. 


Thaumantias purpureus Romanes. 


Voir : Matériaux IV, p. 431. 


Thaumantias versicolor Mettenheimer. 
Voir: Matériaux IIL, p. 438 et IV, p. 431. 


Tiara conifera Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 431. 


Tiara ducalis (Forbes). 


Voir : Matériaux IIL, p. 438 et IV, p. 431. 


Tiara octona (Forbes). 
Voir : Matériaux I, p. 487; Il, p. 149; INT, p. 438 et 1V, p. 431. 


Tiara octona HADDON 1886 (a) p. 525. 
Oceania (Tiara) octona  M’Ixrosx 1889 p. 264. 
Oceania turrita M'INrosx 1889 p. 288, 289. 
Tiara (Oceania) octona  M’IxrosH 1889 p. 289, 293. 
Oceania octona M'INTosH 1890 (b) p. 297. 
Oceania (Tiara) octona  M'INrosx 1890 (b) p. 297. 


Tiara papua (Lesson). 
Voir : Matériaux II, p. 150; ITT; p. 439 et IV, p. 431. 


Tiara papua LENDENFELD 1885 (a) p. 587, 628. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 650. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. 


Tiara pileata (Forskäl). 
Voir : Matériaux I, p. 487; Il, p. 150 ; HI, p. 439 et IV, p. 432. 


Oceania pileata FEWKES 1881 (b) p. 149. 
» » SCHMIDTLEIN 1881 p. 163, 164. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. _ V. 301 


Tiara pileata HAMANN 1882 (b) p. 548, pl. 26, fig. 6. 
» » HAMANN 1883 (a) p. 426. 
» » CaRus 1884 p. 23. 
» » GRÆFFE 1884 p. 395. 
» » R&Es 1884 p. 589. 
» » WAGNER 1885 p. 70, 78, pl. 4. fig. 13. 
» » var. coccinea WAGNER 1885 p. 79. 
D) » 
var. smaragdina WAGNER 1885 p. 79. 
Tiara pileata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239. 
» dre METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 24, 29, 37, pl. 1, 
fig. 1-17. 
? Tiara leucostyla METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 23, 40, 46,48, 75, 77. 
Oceania pileata Lo Branco 1888 p. 389. 
Tiara pileata DaLLA TORRE 1889 p. 95. 
Oceania episcopalis M'IxrosH 1889 p. 278. 
Tiara pileata MARKTANNER 1890 p. 202. 
Oceania episcopalis M'IxrosH 1890 (b) p. 297. 
Oceania pileata M'Ixrosa 1890 (b) p. 297. 


Tiara reticulata Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 432. 


Tiara rotunda (Quoy et Gaimard). 
Voir : Matériaux II, p. 151 ; III, p. 440 et IV, p. 432. 


Tiara rotunda CaARüS 1884 p. 23. 


Tiaropsis diademata L. Agassiz. 
Voir : Matériaux Il, p. 151; I, p. 440 et IV, p. 432. 


Tiaropsis diademata FEWKES 1882 (a)p. 277, pl. 7, fig. 13, 14. 
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240. 


T'iuropsis macleayi Lendenfeld. 


T'iaropsis macleayi LENDENFELD 1885 (a) p. 605, 630, pl. 93, 
fig. 37. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 657. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. 


302 M. BEDOT 


Tiaropsis mediterranea Metschnikoff. 


Tiaropsis mediterranea  METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239, pl. 22, fig. 6-8. 


Tiaropsis multicirrata (Sars). 
Voir : Matériaux II, p. 151; IE, p. 440 et IV, p. 433. 


Tiaropsis mulhicirrala  METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240. 
Thaumantias melanops … Me Ixrosx 1887 (a) p. 711. 
Tiaropsis multicirrhata  DacLa TORRE 1889 p. 95. 
Thaumantias melanops  M’Ixrosx 1889 p. 272, 277, 282, 288, 289, 
pl. 5, fig. 5. 
» » M'IxrosH 1890 (a) p. 40, pl. 8, fig. 1. 
» » M’INrosH 1890 (b) p. 297, 300, 301. 


Tima bairdi (Johnston). 
Voir : Matériaux IT, p. 151; IIE, p. 441 et IV, p. 433. 


Tima bairdi FEWKES 1881 (b) p. 157. 
» » CLARKE 1888 pl. sans n°, p. 82. 
» » M'Inrosx 1889 p. 261, 263, 289, 298, 300. 
» » M'INrosH 1890 (a) p. 41, pl. 8, fig. 2. 
» » M’INrosH 1890 (b) p. 303. 


Tima flavilabris Eschscholtz. 
Voir : Matériaux Il, p. 152; IT, p. 4k1 et IV, p. 433. 


Tima flavilabris SCHMIDTLEIN 1881 p. 164. 
» » Lo Bianco 1888 p. 390. 
» » MARKTANNER 1890 p. 280. 
? Tima flabellaris M’INTosH 1890 (b) p. 304. 


Tima forbesi Peach. 


Voir : Matériaux ILE, p. 441 et IV, p. 433. 


Tima teutscheri Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 454. 


Toxorchis arcuatus Haeckel. 


Voir : Matériaux IV, p. 434. 


- ,séséhih 2 
à « 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 303 


Turris constricta Patterson. 
Voir : Matériaux Ill, p. 442 et IV, p. 434. 
Turris digitalis Forbes. 
Voir : Matériaux II, p. 192; III, p. 442 et IV, p. 434. 


Turritopsis armata (Kôülliker). 


Voir : Matériaux IIF, p. 442 et IV, p. 434. 


Turritopsis armata CARUS 1884 p. 23. 

Oceania armata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239, 241. 

T'urrilopsis armata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239. 

Oceania armata METSCHNIKOFF 1886 (b) p:20,::78..pl4, fig. 
32-39. 


Turritopsis lata Lendenfeld. 


Turrilopsis lata LENDENFELD 1885 (a) p. 588, 628, pl. 29, 
fig. 36. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 33. 


Turritopsis pleurostoma (Péron et Lesueur). 
Voir : Matériaux I, p. 488 ; II, p. 152; IIL, p. 443 et IV, p. 435. 


Turritopsis pleurostoma  LENDENFELD 1885 (a) p. 588, 628. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 33. 


Turritopsis polynema Haeckel. 


Y 


Voir aux Hydroïdes : Clavula neglecta. 


Wailletta ornata (Mac Crady). 
Voir : Matériaux ill, p. 443 et IV, p. 435. 


Wallia ornata BROOKS 1882 p. 136, 144. 
» » FEWKES 1882 (b) p. 299, pl. 1, tig. 22-24. 
» » FEWKES 1889 (b) p. 110. 


304 M. BEDOT 


Wallsia cornubica Peach. 


Voir : Matériaux ILE, p. 443 et IV, p. 435. 


Willsia furcata Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 435. 


Wallsia occidentalis Fewkes. 


Willia occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 109, pl. 5, fig. 3. 


(—= Proboscidactyla occidentalis, see. A.-G. MAYER.) 


Zanclea costata Gegenbaur. 
Voir : Matériaux III, p. 444 et IV, p. 436. 


Zanclea costata CARUS 1884 p. 25. 


Zygocanna costata Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 436. 


Z'ygocanna costata LENDENFELD 1885 (a) p. 608, 630. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 658. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. 


Zygocanna pleuronota (Péron et Lesueur). 
Voir : Matériaux I, p. 488; IL, p. 193; IL, p. 444 et IV, p. 436. 


Zygocanna pleuronota LENDENFELD 1885 (a) p. 609. 

Zygocanna pleuranata  LENDENFELD 1885 (a) p. 630. 

Zygocanna pleuronota  LENDENFELD 1885 (d) p. 658. 
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 38. 


Zygocannota purpurea (Péron et Lesueur). 
Voir : Matériaux I, p. 488 ; 11, p. 153; III, p. 444 et IV, p. 436. 
Aequorea (Zygocannota) 


purpurea  CLAUS 1883 p. 82. 
Zygocannola purpurea  LENDENFELD _ 1885 (a) p. 609, 631. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. 


» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 305 


Zygocannula diploconus Haeckel. 
Voir : Matériaux IV, p. 436. 


Zygocannula diploconus  LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. 


Zygocannula undulosu (Péron et Lesueur). 


Voir : Matériaux I, p. 488 ; II, p. 153; IIL, p. 444 et IV, p. 436. 


Zygocannula undulosa  LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631. 
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. 
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. 


Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 20 


306 


Gen. Ahelinaria 


Gen. 


À. 
À. 


> L à à 


> à à 


> > à à 


abietina 
abietina 


var. abietiformis 
. abietina 
var. minor 
. abielina 
var. purpurea 
. anquina 
. cartilaginea 
. filicula 
. filicula 
var. Clarki 


. inconstans 
. Juniperus 
. labiata 


. melo 

. merki 

. tulesii 

. variabilis 


Acanthella 


A. 
. Acanthocladium 
A. 
A. 


effusa 


angulosum 
huxleyi 


. Acladia 
À. 


africana 


M. BEDOT 
INDEX 
HYDROIDES 
KIRCHENPAUER 1884 
(LINNÉ) 1758 
KIRCHENPAUER 1884 
KIRCHENPAUER 1884 
KIRCHENPAUER 1884 
(TRASK) 1857 
KIRCHENPAUER 1884 
(Ezuis et SOLANDER) 1786 
KIRCHENPAUER 1884 
(CLARK) 1876 
KIRCHENPAUER 1884 
KIRCHENPAUER 1884 
KIRCHENPAUER 1884 
KIRCHENPAUER 1884 
KIRCHENPAUER 1884 
(CLARK) 1876 
ALLMAN 1883 
(Busk) 1852 
ALLMAN 1883 
(LAMOUROUX) 1816 
ALLMAN 1883 
MARKTANNER 1890 
MARKTANNER 1890 


— Abielinaria  fili- 


cula. 


— Abielinaria an- 


quina. 


— A canthocladium 
anqulosum. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 307 


Gen. Aequorea PÉRON et LESUEUR 1809 —= p. p. Zygodactyla. 
A. (Zygodactyla) 
vitrina, sec. CLAUS 1881 (c) — Zygodactyla 
vitrina. 
Gen. Aglaophenia LAMOUROUX 1812 
A. acacia ALLMAN 1883 
A. acanthoCarpa  ALLMAN 1876 (b) — Aglaophenia diva- 
ricata. 
A. aculidentata ALLMAN 1886 
A. angulosa LAMOUROUX 1816 — Acanthocladium 
angulosum. 
A. arcuata LAMOUROUX 1816 — Halicornaria 
arcuata. 
A. ascidioides BALE 1882 
A. attenuala ALLMAN 1883 
A. aurita KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus  phoe- 
niceus. 
A. avicularis KIRCHENPAUER 1872 — Halicornopsis 
elegans. 
A. balei MARKTANNER 1890 
A. banksi KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus penna- 
rius. 
A. calamus ALLMAN 1883 
A. chalarocarpa  ALLMAN 1886 
A. coarctata ALLMAN 1883 
A. crenata FEWKES 1881 (a) — Cladocarpus cre- 
nalus. 
A. crispata KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus penna- 
rius. 
A. divaricata 
var. m’Coyi MARKTANNER 1890 — À glaophenia diva- 
ricata. 
A. dolichocarpa  ALLMAN 1886 
A. elegans LAMOUROUX 1816 — Halicornopsis 
elegans. 
A. filamentosa  (LAMARCK) 1816 — Lylocarpus  fila- 
mentosus. 
A. filicula ALLMAN 1883 


A. gracillima FEWKES 1881 (a) 


308 


À. 
À. 
A. 


A. 
A. 


À. 
. Kirchenpaueri 


helleri 
heterocarpa 
hians 


buxleyi 


ilicistomu 


insignis 


. lendenfeldi 
. longirostris 


. m’CoYiI 

. macgillivrayi 
. Macrocarpa 

. mediterranea 
. microdonta 

. parvula 

. pennaria 


. pennatula 


. perforata 
. philippina 


. (Lytocarpus) 
phillipina 


. phoenicea 


. (Lytocarpus) 
phoenicea 


. phyllocarpa 


M. BEDOT 


MARKTANNER 
BALE 

Busk 
KIRCHENPAUER 
BALE 

FEWKES 


LENDENFELD 


BALE 
KIRCHENPAUER 


BALE 
ALLMAN 
BALE 
MARKTANNER 
PIEPER 


BALE 
(LINNÉ) 


1890 
1882 
1852 
1872 
1882 
1881 (a) 
1885 (a) 


1887 
1872 


1882 
1883 
1888 
1890 
1884 


1882 
1758 


(ELis et SOLANDER) 1786 


ALLMAN 
KIRCHENPAUER 


BALE 


(Bus) 


BALE 


BALE 


1886 
1872 


1887 


1888 


— Halicornaria 
hians. 
— Acanthocladium 
anqulosum. 


— Aglaophenia len- 
denfeldi. 


— Halicornaria lon- 
girostris. 
— Aglaophenia diva- 
ricata. 
— Aglaophenia 
cupressina. 
— Aglaophenia cru- 
cialis. 
— Aglaophenia 
acacia. 


— Lytocarpus penna- 
rius. 

— Halicornaria pen- 
natula. 


— Lytocarpus philip- 


pinus. 


— Lytocarpus philip- 
pinus. 

— Lylocarpus  phoe- 
niceus. 


—: Lylocarpus  phoe- 
niceus. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 309 


A. pluma 


var. dichotoma (Sars) 1857 (a) 
A. plumosa BALE 1882 
A. proifera BALE 1882 
A.ramosa  Busk sec. BALE 188% — Aglaophenia diva- 
ricata. 
A. robusta FEWKES 1881 (a) 
A. roretzi MARKTANNER 1890 
A. rostrata KIRCHENPAUER 1872 — Lytlocarpus  phoe- 
niceus. 
A. secunda KIRCHENPAUER 1872 — Lylocarpus  pen- 
narrus. 
A. sinuosa BALE 1888 
A. spicata LAMOUROUX 1816 — Lylocarpus  pen- 
naTius. 
A. spinosa AI]. sec. FEWKES 1881 (c) Ind. 
A. superba BALE 1882 
A. thompsoni BALE 1882 — Halicornaria lon- 
girostris. 
A. tubiformis MARKTANNER 1890 
A. urceolifera LAMARCK 1816 — Halicornaria ur- 
ceolifera. 
A. urens BaLe 1884 — Lytocarpus philip - 
pinus. 
A. urens KIRCHENPAUER 1872 — Lylocarpus urens. 
A. whiteleggei BALE 1888 
Gen. À glaophenopsis FEWKES 1881 (a) 
A. hirsuta FEWKES 1881 (a) 
Gen. Amalthaea Scumipr, 0. 1852 
À. vardüensis LoMAN 1889 
Gen. Amphibrachium  ScHuLze 1880 
A. euplectellae SCHULZE 1880 
Gen. Anisocola JICKELI 1883 — Plumularia. 
A. bifrons Heller sec. JIcKErx 1883 — Plumularia  bi- 
frons. 
A. halecioides 
Alder sec. JIcKELI 1883 —= Plumularia  hale- 
cioides. 
A.setacea Ellis sec. JIcKkELt 1883 — Plumularia  seta- 


ce«. 


310 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Antennella 
À. secundaria 


A. siliquosa 


. Anlennopsis 


À. ramosa 


. Antennularia 


A. cruciata 


A. cylindrica 
A. decussata 


> 


. dichotoma 
A. fascicularis 


A. hexasticha 
A. irregularis 
A. janini 

A. janini 

A. norwegica 
A. pentasticha 
A. profunda 
A. ramulosa 
A. tetrasticha 
Atractyloides 


A. formosa 
Azygoplon 


Gen. Azygoplon 


A. productum 


A. rostratum 


M. BEDOT 


ALLMAN 
(GMELIN) 
(HINCKS) 
ALLMAN 
FEWKES 
LAMARCK 
PIEPER 


BALE 
KIRCHENPAUER 


HALLEZ 
ALLMAN 


KIRCHENPAUER 
QuELcH 
GRÆFFE 
MARKTANNER 
QueLcu 
PIEPER 
QuEeLcH 
MEREJKOWSKY 
Queccx 
FEWKES 
FEWKES 
ALLMAN 

BALE 


BALE 


ALLMAN 


1877 (b) 

1788-93 

1877 (a) 

1877 (b) 

1881 (a) 

1816 — Nemertesia. 

1881 — Nemertesia anten- 

nina. 

1884 — Sciurella indivisa. 
1876 — Nemertesia  cymo- 
docea. 

1890 md. 

1883 — Nemertesia  fasci- 
cularis. 

1876 — Nemertesia hexas- 
ticha. 

1885 (a) == Nemertesia irrequ- 
laris. 

1884 — ? Nemeriesia anten- 
nina. 

1890 — Nemertesia perrieri | 
var. antennoides. 

1885 (a) — Nemertesia norve- 
gica. 

1880 — Nemertesia anten- 
nina. 

1885 (a) — Nemertesia 

ramosa. 
1882 (a) — Nemertesia 
ramosa. 

1885 (a) — Nemerltesia tetras- 
ticha. 

1889 (b) 

1889 (b) 

1883 — Halicornopsis. 

1888 — Diplocheilus. 

1888 — Diplocheilus  pro- 
ductus. 

1883 — Halicornopsis ele- 


gans. 


D ET PT 
Lt 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Bougainvillia 
B. fruticosa 


B. paradoxa 


B. rugosa 


. Calamphora 


C. parvula 


. Callicarpa 


C. gracilis 


. Calycella 


C. producta 
C. pygmaea 


Calyptospadix 
C. cerulea 
Calyptothuiaria 
C. clarki 

C. magellanica 
Campanopsis 
C. sp? 
Campanularia 
C. antipathes 


C. bispinosa 


C. borealis 


C. caliculata 


var. makrogona 


. Ccalycella 

. carduella 
. cheloniae 
. Chinensis 
. Costata 


PAPAS RME Ep 


. fruticosa 
C. insignis 


C. integriformis 


sec. 


HISTOIRE DES 


LESSON 
WEISMANN 


M'Ixrosx 


CLARKE 
ALLMAN 
ALLMAN 
FEWKES 
FEWKES 
Hixcks 
SARS, G.-0. 
HINCKS 


CLARKE 
CLARKE 
MARKTANNER 
MARKTANNER 
MARKTANNER 
CLAUS 
CLAUS 
LAMARCK 
(LAMARCK) 


BALE 
MARKTANNER 


(LENDENFELD) 
LENDENFELD 
ALLMAN 
ALLMAN 
MARKTANNER 
BALE 
MARKTANNER 


FEWKES 


MARKTANNER 


HYDROÏDES. — 


1836 
1883 


1890 (a) 


1882 
1888 
1888 
1881 (a) 
1881 (a) 
1859 
1874 
1874 (b) 


1882 
1882 
1890 
1890 
1890 
1881 (c) 
1881 (c) 
1816 
1816 


1888 
1890 


1885 (b) 
1883 (c) 
1886 
1888 
1890 
1884 
1890 


1881 (a) 


1890 


V. Shl4l 


— Bougainvillia ra- 
mos«. 

— Bougainvillia su- 
perciliaris. 


— Lovenella producta. 
— Halisiphonia pyq- 


maeux, 


—= Lictorella  anii- 
pathes. 
— Campanularia (?) 


spinulosa. 


Ind. 


— Lafoea costata. 

— Lytoscyphus fruti- 
COSUS. 

— Lyloscyphus mar- 
ginatus. 


312 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


C. marginata 

C. occidentalis 
C. ptychocyathus 
C. retroflexa 

C. rufa 


.(?) serrulata 

. (2) spinulosa 

. thyroscyphi- 
formis 

C. torresi 


C. tulipifera 
C. undulata Lmx. çec. 
. urnigera Lx. sec. 


(>: 


Campanulina 
C. borealis 
C. calyeulata 
var. makrogona 


Ceratella 
C. fusca 
C. labyrinthica 


C. procumbens 


C. spinosa 
Cladocarpus 

C. compressus 

C. crenatus 

C. crenatus 

var. allmani 

C. flexilis 

C. formosus 

C. formosus 


C. pectiniferus 


. simplex Lmx. sec. 


M. BEDOT 


BALE 
FEWKES 
ALLMAN 
ALLMAN 
BALE 


BALE 
BALE 
BALE 


MARKTANNER 
BALE 


ALLMAN 
BALE 
BALE 
BENEDEN 
THOMPSON 


LENDENFELD 


GRAY 
GRAY 
HYATT 


CARTER 


CARTER 
ALLMAN 
FEWKES 
(FEWKES) 


RITCHIE 

VERRILL 
ALLMAN 
ALLMAN 


ALLMAN 


1884 
1889 (b) 
1888 
1888 
1884 


1888 
1884 
1888 


1890 
1884 


1888 
1884 
1884 
1847 
1887 


1885 (b) 


1873 

1874 (b) 
1881 (a) 
1881 (a) 


1909 

1885 (a) 
1874 (b) 
1883 


1883 


— Lictorella  anti- 


pathes. 


Ind. 


— Thyroscyphus tor- 
resi. 


Ind. 
Ind. 


— Campanularia ca- 
lyculata var. ma- 


krogona. 

— Solanderia. 

— Solanderia fusca. 

— Solanderia  laby- 
rinthica. 

— Solanderia  pro- 
cumbens. 

— Solanderiaspinosa. 

— Cladocarpus  cre- 


natus var. allmani 


dt. “ini 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 
Cladocoryne RorcH 1871 
C. haddoni KIRKPATRICK 1890 (a) 
Cladonema DUJARDIN 1843 
C. dujardini HARTLAUB 1887 
. Clava GMELIN 1788-93 
C. simplex LENDENFELD 1885 (a) 
Clavopsis GRÆFFE 1883 
C. adriatica GRÆFFE 1883 (a) 
Clavula WRIGHT 1859 
C. neglecta (LESsON) 1843 
. Clytia LAMOUROUX 1812 
C. (?) elongata MARKTANNER 1890 
C. flavidula METSCHNIKOFF 1886 (a) 
C. laevis WEISMANN 1883 
C. viridicans METSCHNIKOFF 1886 (a) 
Cordylophora ALLMAN 1844 
C. whiteleggei LENDENFELD 1886 (b) 
Corymorpha SARS 1835 
C. antarctica PREFFER 1889 
C. arctica . WEISMANN 1883 
Coryne GAERTNER 177% 
C. vel. Syncoryne 
cylindrica KIRKPATRICK 1890 (a) 
C. graeffei JICKELI 1883 
C. pusilla 
var. napolitana WEISMANN 1883 
Cryptolaria Busk 1857 
C. abyssicola ALLMAN 1888 
C. crassicaulis ALLMAN 1888 
C. diffusa ALLMAN 1888 
C. flabellum ALLMAN 1888 
C. geniculata ALLMAN 1888 
C. gracilis ALLMAN 1888 
C. humilis ALLMAN 1888 
C. pulchella ALLMAN 1888 
Dendroclava WEISMANN 1883 
D. dohrni WEISMANN 1883 


V. 


— Cladonema radia- 
tum. 


— ? Monocaulus gla- 
cialis. 


314 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Desmoscyphus 
D. acanthocarpus 


D. gracilis 
D. obliquus 
D. orifissus 


D. pectinatus 
D. unguiculata 


Dicoryne 

D. annulata 
Dictyocladium 
D. dichotomum 
Diphasia 

. bipinnata 

. digitalis 

. mutulata 


SOS 


. pinaster 
var. arcuala 
. rectangularis 
. scalariformis 
. subcarinata 


CNHSRSRS 


. Symmetrica 


Diplocheilus 
D. mirabilis 
D. productus 
Diplocyathus 
D. dichotomus 
Dynamena 


D. attenuata sec. 


D. bilateralis 


D. gracilis sec. 


D. mediterranea 


M. BEDOT 


ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 


ALLMAN 
ALLMAN 


ALLMAN 
ALLMAN 


ALLMAN 
LENDENFELD 
ALLMAN 
ALLMAN 
AGASssiz, L. 
ALLMAN 
(Busk) 
(Busk) 


QUELCH 


LENDENFELD 


KIRKPATRICK 
(Busk) 
LENDENFELD 


ALLMAN 
ALLMAN 
(BALE) 
ALLMAN 
ALLMAN 
LAMOUROUX 
PIEPER 


Brooks 
MARKTANNER 


MARKTANNER 


1876 (b) 
1888 
1888 
1888 


1886 


1888 
1886 


1859 


1885 (a) 


1888 
1888 
1862 
1886 
1852 
1852 


1885 (a) 
1885 (b) 
1890 (a) 
1852 

1885 (a) 


1883 
1883 
1882 
1888 
1888 
1812 
1884 


1882 
1890 


1890 


— Sertularia 
nata. 

—= Sertularia 
nostoma. 

— Serlularia 
nala. 


turbi- 
trigo- 


gemi- 


— Sertularia unqui- 


culata. 


— Îdia pristis. 


— Sertularia 


nos«a. 


— ? Diphasia 


nuala. 


bispi- 


atte- 


— Sertularia lamou- 


Touxt. 


roux. 


— Sertularia lamou- 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 315 


D. tubiformis MARKTANNER 


D. tubiformis Lmx. sec. MARKTANNER 


D. tubuliformis MARKTANNER 
Eucopella LENDENFELD 
E. campanula LENDENFELD 
E. campanularia  LENDENFELD 
Eudendrium EHRENBERG 


E. arbuseulum 
d'Orb. sec. RipLeY 


E. armatum TICHOMIROFF 
E. attenuatum ALLMAN 

E. carneum CLARKE 

E. cochleatum ALLMAN 

E. exiguum ALLMAN 

E. generale LENDENFELD 
E. gracile ALLMAN 

E. infundibuliforme KinkpaATRICK 
E. novae-zelandiae MARKTANNER 
E. pusillum SARS 

E. pusillum LENDENFELD 
E. simplex PIRPER 

E. tenue AGASSIZ, À. 
E. vestitum ALLMAN 
Filellum Hixcks 

F. bouvieri JULLIEN 
Gattya ALLMAN 

G. humilis ALLMAN 
Grammaria STIMPSON 
G. insignis ALLMAN 

G. intermedia PFEFFER 

G. magellanica ALLMAN 

G. stentor ALLMAN 
Gymnangium Hixcks 


1890 p. 234 


— Dynamena tubuli- 


formis. 
1890 p. 248 — Synthecium sertu- 

larioides. 

1890 

1883 (c) 

1887 (c) — Eucopella campa- 
nularia. 

1883 (c) 

1834 


1881 (a) Ind. 

1890 

1877 (b) Ind. 

1882 

1877 (b) Ind. 

1877 (b) Ind. 

18835 (a) 

1877 (b) Ind. 

1890 (a) 

1890 

1857 (a) 

1885 (a) 

1884 — Eudendrium  in- 
signe. 

1865 — Eudendrium capil- 
lare. 


— Halecium pusillum. 


1888 
1868 
1880 
1886 
1886 
1854 
1888 
1889 
1888 
1888 
1874 (a) Supp. 


316 


Gen. Halecium 


ES PAS En 


ERRIRRRDERRSZ 


. arboreum 

. boreale 

. curvicaule 

. Cymiforme 
. dichotomum 
. fastigiatum 


flexile 


. gracile 

. marsupiale 
. ophiodes 

. parvulum 
. pusillum 

. robustum 


. robustum 

. telescopicum 
. tenellum 
var. medilerranea 
. Halicornaria 
. allmani 

. arcuala 

. ascidioides 
. baileyi 

. Cornuta 


. flabellata 

. furcata 

. haswelli 

. hians 

. humilis 

. ilicistoma 

. longirostris 
. longirostris 
var. thompsoni 


. mitrata 


. pennatula 


M. BEDOT 


OKEN 
ALLMAN 
LORENZ 
LORENZ 
ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 
BALE 
BERGH 
PIEPER 
BALE 
(SaRS) 
ALLMAN 


PIEPER 
ALLMAN 


WEISMANN 
ALLMAN 
MARKTANNER 
(LAMOUROUX) 
BALE 

BALE 
ALLMAN 


MARKTANNER 
BALE 

BALE 

(Busk) 

BALE 

BALE 


(KIRCHENPAUER) 


MARKTANNER 


ALLMAN 


1815 
1888 
1886 
1886 
1888 
1888 
1888 
1888 
1888 
1887 
1884 
1888 
1857 (a) 
1888 


1884 
1888 


1883 
1874 (b) 
1890 
1816 
1884 
1884 
1886 


1890 
1884 
1884 
1852 
1884 
1884 
1872 


1890 


1886 


(Ezzis et SoLANDER) 1786 


— Haleciumpusillum. 


— Halecium arbo- 
reum. 


— Halicornaria ar- 
cuata. 


— Halicornaria lon- 
grostris. 

— Lytocarpus  fila- 
mentosus. 


Le 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 

H. plumosa ALLMAN 1883 
H. prolifera BALE 1884 
H. saccaria ALUMAN 1876 (b) 
H. (Lytocarpus) 

saccaria BALE 1888 
H. superba BALE 1884 
H. thompsoni BALE 1884 
H. urceolifera (LAMARCK) 1816 
Halicornopsis BALE 1882 
H. avicularis BALE 1882 
H. elegans (LaMourRoUx) 1816 
H. rostratum LENDENFELD 1885 (b) 
Halisiphonia ALLMAN 1888 
H. dumosa MARKTANNER 1890 
H. megalotheca ALLMAN 1888 
H. pygmaea (Hixcks) 1874 (b) 
H. spongicola HAECKEL 1889 
Halobothrys sec. CARUS 1884 
H. fucicola sec. CARUS 1884 
Halocordyle ALLMAN 1871 
H. tiarella (AYRES) 1854 
Haloikema BouRNE 1890 (b) 
H. lankesteri BouRNE 1890 (b) 
Hebella ALLMAN 1888 
H. contorta MARKTANNER 1890 
H. cylindrata MARKTANNER 1890 
H. cylindrica (LENDENFELD) 1885 (b) 
H. parasitica (CIAMICIAN) 1880 
H. scandens (BALE) 1888 
H. striata ALLMAN 1888 
Heteroplon ALLMAN 1883 
H. pluma ALLMAN 1883 


317 


— Halicornaria all- 
mant. 

— Lylocarpus  sac- 

carius. 


— Lytocarpus sacca- 
raus. 


— Halicornaria lon- 
girostris. 


— Halicornopsis 
elegans. 


— Halicornopsis 
elegans. 


— Lafoea dumosa. 


— Coryne 

— Coryne fucicola. 

Supp. —= Pennaria. 

— Pennaria tiarella. 

Supp. — Halecium. 

— Halecium robustum 
Pieper. 


318 


Gen. Hydra 
H. carnea 
H. gracilis 
H. hexactinella 
H. viridis 


var. bakeri 
sec. 


H. viridis 
Gen. Hydractinia 


H. borealis 


H. (Oorhiza) borealis 


H. carica 
. Hydrichthys 
H. mirus 
Gen. Hypanthea 
H. aggreqata 
H. atlantica 
H. georgiana 


H. hemisphaerica 


Gen. Hypopyxis 
H. labrosa 
Isocola 


I. disticha 


Gen. 


I. frutescens 
[. gaymardi 
I. pinnata 


Gen. Kirchenpaueria 
Gen. Lafoea 

L. costata 
. Cylindrica 
. elangans 
. giqgas 
. gracillima 
. halecioides 
. parasitica 
L. pygmaea 


RARES LE 


sec. 


sec. 


sec. 


sec. 


M. BEDOT 


LINNÉ 

AGASssIZz, L. 
AGASsiZz, L. 
LENDENFELD 


MARSHALL 
JICKELT 
BENEDEN 
BERGH 
BERGH 
BERGH 
FEWKES 
FEWKES 
ALLMAN 
ALLMAN 
MARKTANNER 
PFEFFER 
ALLMAN 
ALELMAN 
ALLMAN 
JICKELI 
JICKELI 


JICKEL 
JICKELI 
JICKELI 


JICKELI 
LAMOUROUX 
(BALE) 
LENDENFELD 
FEWKES 
PrkPER 
HINCKS 
ALLMAN 
CIAMICIAN 
HINCKS 


1746 

1851 (a) 
1851 (a) 
1886 (a) 


1882 
1883 
1841 
1887 
1887 
1887. 
1887 
1887 
1876 (c) 
1888 
1890 
1889 
1888 
1888 
1888 
1883 
1883 


1883 
1883 
1883 


18383 
1821 
1884 
1885 (b) 
1881 (a) 
1884 
1874 (a) 
1871 
1880 
1868 


— Hydra oligactis. 
— Hydra viridis. 


— ? Hydra oligactis. 


— Oorhiza borealis. 
— Oorhiza borealis. 


Supp. = Plumularia. 


— Plumularia  dis- 
ticha. 
— Plumularia  fru- 


tescens. 

— Plumularia setacea 
var. gaimardi. 

— Plumularia 
nala. 

Supp. — Diplocheilus. 


pin- 


— Hebella cylindrica.. 


— Lafoea fruticosa. 
— Lafoea pinnata. 
— Hebella parasitica. 


— Halisiphonia  pyg- 


mae«. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 
L. scandens BALE 1888 
L. sibirica THOMPSON 1887 
L. (Hebella) venusta ALLMAN 1888 
Eaomedea LAMOUROUx 1812 
L. antipathes LAMOUROUX 1816 
L. diaphana AGASSIZ, A. 1862 
L. gigantea AGASSIZ, À. 1865 
L. marginata LENDENFELD 1885 (a) 
L. pacifica AGASSIZ, À. 1865 
L. rigida AGASSIZ, À. 1865 
L. rufa LENDENFELD 1885 (a) 
L. torresi Busk 1852 
L. undulata sec. LENDENFELD 1885 (a) 
Lictorella ALLMAN 1888 
L. antipathes (LAMARCK) 1816 
L. cyathifera ALLMAN 1888 
L. halecioides ALLMAN 1888 
Lineolaria Hixcks 1861 
L. flexuosa BALE 1884 
Lizzia FORBES 1846 
L. octocilia Du PLEssIs 1888 
Lovenella Hixcks 1868 
L. gracilis CLARKE 1882 
L. producta (Sars G.-0.) 1874 
Lytlocarpus ALLMAN 1883 
L. bispinosa ALLMAN 1883 
L. (Aglaophenia) 
bispinosa ALLMAN 1883 
L. distans ALLMAN 1883 
L. (Aglaophenia) 
distans ALLMAN 1883 


319 


— Hebella scandens. 


— Lafoea venusta. 

Su pp. 

== Lictorella  anti- 
pathes. 

— Obelia geniculata. 

Inmd. 


— Campanularia 


marginal. 

md. 

Ind. 

— Lictorella anti- 
pathes. 

— Thyroscyphus tor- 
rest. 

md. 

— Lictorella  anti- 
pathes. 


— pp. Bougainvillia. 
— Bougainvillia ra- 


mosa. 

— Aglaophenia  bis- 
pinosa. 

— Aglaophenia  bis- 
pinosa. 

— Aglaophenia  dis- 
ans. 

— Aglaophenia  dis- 


tans. 


320 


Gen. 
Gen. 


Gen. 


Gen. 


L 


filamentosus 


. grandis 
. longicornis 
. myriophyllum sec. 


. (Aglaophenia) 


myriophyllum sec. 


L. 


L. 
. Lytoscyphus 
L. 
. Margelis 
M. 


. patulus 


. pOnnarius 

. philippinus 
. phoeniceus 
. racemiferus 
. ramosus 


. SACCATIUS 
. secundus 


spectabilis 
urens 
marginatus 


britannica 


Melicertum 
Modeeria 


M. 


M. 


multitentacula 


nutricula 


. Monopoma 


M. variabilis 


Monosklera 


M. pusilla 


Nematophorus 


N; 


grandis 


sec. 


M. BEDOT 


(LAMARCK) 
(CARKE) 
(Busk) 
ALLMAN 


ALLMAN 


MARKTANNER 


(LINNÉ) 
(KIRCHENPAUER) 
(Busk) 

ALLMAN 
ALLMAN 


ALLMAN 
ALLMAN 


ALLMAN 


(KIRCHENPAUER) 
PicTET 
(ALLMAN) 
STEENSTRUP 
HADDON 


ESCHSCHOLTZ 
FORBES 
FEWKES 


FEWKESs 


MARKTANNER 
MARKTANNER 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
CLARKE 
CLARKE 


1816 

1879 

1852 

1883 — Aglaophenia, my- 
riophyllum. 

1883 — Aglaophenia  my- 
riophyllum. 

1890 — Lylocarpus  fila- 
mentosus. 

1758 

1872 

1852 

1883 

1886 — Aglaophenia diva- 
rical. 

1876 (b) 

1883 — Lylocurpus penna- 
Tius. 

1883 — Lylocarpus  phoe- 
niceus. 

1872 

1893 

1877 (b) 

1850 — pp. Bougainvillia. 
1886 (a) — Bougainvillia ra- 
mosa. 

1829 

1846 — pp. Turritopsis. 

1881 (b) — Turrilopsis nutri- 
cula. 

1882 (b) — Turritopsis nutri- 
cula. 

1890 

1890 

1885 (b) Supp. — Obelia. 

1885 (b) — Obelia geniculata. 

1879 Supp. — Lytocarpus. 

1879 — Lylocarpus  gran- 


dis. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Nemertesia 


N. cruciata 


N. cymodocea 

N. fascicularis 
N. irregularis 
N. janinia 

N. pentasticha 


N. perrieri 


var. antennoides 


N. simplex 

N. triseriata 
Obelaria 

0. geniculata 
O. longissima 
Obelia 

. adelungi 

. andersonti 

. angulosa 

. ATTUENSIS 

. australis 

. (2) bifurca 
. chinensis 

. helgolandica 


SD OS S ES. S © 


. Mmarginata 


Oceania 

O. polycirrha 
Opalorhiza 

O. parvula 
Pachycordyle 
P. napolitana 
Pasythea 

P. philippina 
Pennaria 

P. adamsia 


_ P. australis 


P. inornata 


LAMOUROUX 


. CARUS 


(Busk) 
(ALLMAN) 
(QUELCH) 
JICKELI 
(PIEPER) 


BILLARD 
(ALLMAN) 
(POURTALES) 
HAECKEL 
DRIEscH 
Driescx 
PÉRON et LESUEUR 
HARTLAUB 
HiNCKs 

BALE 
MARKTANNER 
LENDENFELD 
Hixcxs 
MARKTANNER 
HARTLAUB 
ALLMAN 


PÉRON et LESUEUR 
KEFERSTEIN 
VERRILL 
VERRILL 
WEISMANN 
WEISMANN 
LAMOUROUX 
MARKTANNER 
OKEN 
LENDENFELD 
BALE 

BROOKS 


Rev Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 


1812 
1884 


1851 
1883 
1885 (a) 
1883 
1880 


1904 
1877 (b) 
1869 
1879 
1889 
1889 
1809 
1884 
1887 
1888 
1890 
1885 (a) 
1887 
1890 
1884 
1877 (b) 


1809 
1862 
1885 (a) 
1885 (a) 
1883 
1883 
1812 
1890 
1815 
1885 (a) 
1884 
1889 


321 


— Nemertesia anten- 


nina. 


— Nemertesiaramosa. 
— Nemertesia anten- 
nin«. 


— Nemertesiaramosa. 
Id. 
Supp. — Obelia. 


— Obelia geniculata. 
— Obelia longissima. 


— Leploscyphus mar- 
ginatus. 

—= pp. Clavula. 

— Clavula neglecta. 

Erreur pour Oplorhiza. 

— Oplorhiza parvula. 


21 


Gen 


P. pennaria 

P. rosea 

P. tiarella 
. Pentandra 

P. balei 

P. parvula 


. Perigonimus 


P. apicatus 


P. (Stomatoca) 


P. arenaceus 


P. cidaritis 
P. formosus 
P. steinachi 


P 


. sulfureus 


Gen. Perisiphonia 


lé 
P 


. filicula 
. pectinata 


Gen. Pleurocarpa 


P. 


ramosa 


Gen. Plumularia 


P 


. abielina 
. aglaophenoïides 
. alata 


. annuligera 
. antennata 


. armala 
. aurita 
. buski 
. caliculata 
. californica 
. catharina 
var. allernans 
. caulitheca 
.compressa 
. Cornula 


. delicata 


M. BEDOT 


MARKTANNER 
LENDENFELD 
(AYRES) 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
SARS 
(BROOKS) 


Brooks 


BOoURNE 
WEISMANN 
FEWKES 
JICKELI 
CHUN 
ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 
FEWKES 
FEWKES 
LAMARCK 
ALLMAN 
BALE 
BALE 
QuELcH 
QuELcH 
ALLMAN 
BALE 
BALE 
BALE 
MARKTANNER 


DRIESCH 
FEWKES 
BALE 

BALE 
LENDENFELD 


1890 
1885 (a) 
1854 
1884 (b) 
1885 (a) 
1885 (a) 
1846 
1884 


188% 


1890 (a) 
1883 
1889 (b) 
1883 
1889 
1888 
1888 
1888 
1881 (a) 
1881 (a) 
1816 
1883 
1884 
1888 
1885 (b) 
1885 (a) 
1883 
1888 
1884 
1888 
1890 


1890 (a) 
1881 (a) 
1882 
1884 
1887 (c) 


— Pennaria disticha. 
— Pennaria australis. 


— Perigonimus  api- 
catus. 
—? Wrightia arenosa. 


Ind. 


— Plumularia delica- 
tula. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 9129 


P. delicatula BALE 1882 
P. delicatula QueLcx 1885 (a) — Plumularia annu- 
ligera. 
P. dolichotheca ALLMAN 1883 
P. echinata MARION 1883 (a) — ? Plumularia echi- 
nulala . 
P. effusa Busk 1852 — Acanthella effusa. 
P. filamentosa LAMARCK 1816 — Lytlocarpus  fila- 
mentosus. 
P. filicaulis 
var. 2ndivisa BALE 1884 
P. flabellum ALLMAN 1883 
P. fragilis HAMANN 1882 (a) 
P. geminata ALLMAN 1877 (b) — l'lumularia catha- 
rin«. 
P. goldsteini BALE 1882 
P. gracilis LENDENFELD 1885 (a) 
P. halecioides 
var. adriatica WEISMANN 1883 — Plumularia  hale- 
cioides. 
P. hians MARKTANNER 1890 
P. hyalina BALE 1882 
P. indivisa BALE 1882 — Plumularia  cam- 
panula. 
P. insignis ALLMAN 1883 
P. lagenifera ALLMAN 1886 
P. laxa ALLMAN 1883 — Plumularia  cam- 
panula. 
P. lichtensterni MARKTANNER 1890 
P. longicornis Busk 1852 — Lylocarpus longi- 
COTnAs. 
P. multinoda ALLMAN 1386 
P. obliqua 
var. robusta BALE 188% 
P. pluma 
x var. dichotoma Sars 1857 (a) — Aglaopheniapluma 
var. dichotoma. 
P. producta BALE 1882 — Diplocheilus  pro- 


ductus. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


. pulchella 
. radia 
. ramsayi 


D TT © 


. rubra 


P. scabra 
P. secundaria 


P. setaceoides 
P. siliquosa 


P. spinulosa 
P. stylifera 
P. torresia 


P. tripartita 


. turgida 
. variabilis 


acer inc ae) 


. wattst 


. Pluriserialia 
. Podocoryne 


P. haeckeli 


. Polycoryne 


P. helleri 


Polyplumaria 
P. insignis 


P. (Diplopteron) 


insignis 


P. pumila 


Rhizohydra 
R. flavitincta 
Sarsia 

S. minima 


. ventriculiformis 


M. BEDOT 


BALE 
LENDENFELD 
BALE 
LENDENFELD 


LAMARCK 
(GMELIN) 


BALE 
HINCKS 


BALE 
ALLMAN 
LENDENFELD 


LENDENFELD 


BALE 

QuELcH 
MARKTANNER 
BALE 
KIRCHENPAUER 
SARS 
HAMANN 
GRÆFFE 
GRÆFFE 


SARS, G.-0. 
ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 
CopE 

CopE 


LESSON 
LENDENFELD 


1882 
1885 (a) 
1884 
1885 (a) 


1816 
1788-93 


1882 
1877 (a) 


1882 
1883 
1885 (a) 


1885 (a) 


1888 
1885 (a) 
1890 
1887 
1876 
1846 
1882 (a) 
1883 (b) 
1883 (b) 


1874 
1883 
1883 
1883 
1883 
1883 


1843 
1885 (a) 


— Plumularia badia. 


— Plumularia  cam- 
panula. 

—? Acanthellaeffusa. 

— Antennella secun- 
daria. 


— Antennella sili- 
quosa. 


— Plumularia  cam- 
panula. 

— Plumularia seta- 
cea. 


Supp. — Selaginopsis. 


Supp. — Cladocoryne. 
floc- 


— Cladocoryne 
COs«. 


= Polyplumaria fla- 
bellala. 


— Polyplumaria fla- 
bellata. 

= Polyplumaria fla- 
bellata. 


== p. p. Syncoryne. 
— Syncoryne minima. 


ra ch Li Ééédlg ni 


Gen. 


Gen: 


Gen. 


Gen. 


S. (Codonium) 


HISTOIRE 


pulchella M’Ixrosa 


S. radiata 
Schizotricha 

S. multifurcata 
S. unifurcata 
Sciurella 

S. indivisa 
Selaginopsis 

S. bidentata 

S. mirabilis 

S. pacifica 


S. pinus 


S. salicornia 
S. urceolifera 
Sertularella 
S. allmani 
annulata 


S. 
© $. antarctica 
S. 


arborea 


S. arborea 


var pinnata 


S. arboriformis 
S. arbuscula 


var. pinnata 


S. articulata 
S. Capillaris 


S. clarki 
S. contorta 
S. crassipes 


S. cuneata 


LENDENFELD 
ALLMAN 

ALLMAN 

ALLMAN 

ALLMAN 

ALLMAN 

ALLMAN 
(ALLMAN) 
(VERRILL) 
MERESCHKO WSKY 


KIRCHENPAUER 


(ALLMAN) 
KIRCHENPAUER 
GRAY 
HARTLAUB 
MARKTANNER 
HARTLAUB 
KIRCHENPAUER 


KIRCHENPAUER 
MARKTANNER 
(KIRCHENPAUER) 
(ALLMAN) 
ALLMAN 
MERESCHKOWSK Y 
KIRCHENPAUER 


ALLMAN 


ALLMAN 


DES HYDROÏDES. — 


1889 


1885 (a) 
1883 
1883 
1883 
1883 
1883 
1876 (b) 
1876 (b) 
1873 (b) 
1878 (d) 


1884 


1871 
1884 
1848 
1901 
1890 
1901 
1884 


1884 
1890 
1884 
1888 
1886 
1878 (d) 
1884 


1886 


1886 


V. 


— Syncoryne pul- 


chella.  * 


— Selaginopsis 


Qt 


— Syncoryne radiata. 


cedrina. 


— Selaginopsis 


pinaster. 


— Serlularella arbus- 


cula. 


— Sertularella arbus- 


cula var. pinnata. 


— Serlularella  john- 


sloni. 


| 


— Sertularella arbus- 


cula. 


— Sertularella arbus- 


cul«. 


M. BEDOT 


S. cylindrica BALE 1888 — Synthecium alter- 
nans. 
S. diffusa ALUMAN 1886 
S. divaricata (Busk) 1852 — Sertularella john- 
sloni. 
S. divaricata 
var. sub-dichotoma BALE 1888 — Sertularella john- 
stoni. 
S. divaricata 
var. dubia BALE 1888 — Sertularella john- 
stont. 
S. ellisi HINCKS 1879 (a) — Sertularella poly- 
zonias. 
S. formosa FEWKES 1881 (a) 
S. fruticulosa PoEPPiG 1884 
S. indivisa BALE 1882 
S. infracta KIRCHENPAUER 1884 
S. johnstoni 
var. subdichotoma KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella subdi- 
chotoma. 
S. laevis BALE 1882 
S. limbata ALLMAN 1886 — Sertularella 
secunda. 
S. longicollis KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella 
greenei. 
S. longitheca BALE 1888 
S. macrotheca BALE 1882 
S. margaritacea  ALLMAN 1886 
S. microgona LENDENFELD 1885 (a) 
S. mulleri KIRCHENPAUER 1884 
S. novarae MARKTANNER 1890 
S. pallida PogpprG 1884 
S. patagonica sec. KIRCHENPAUER 1884 — ? Sertularella ru- 
gosa. 


S. polyzonias 
forma gigantea KiRCHENPAUER 1884 — Sertularella polyzo- 
nias var. giyantea. 
S. polvzonias 
forma gracillima KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella  poly- 
zonias. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 


S. polyzonias 


forma gracilis KIRCHENPAUER 


S. polyzonias 


forma robusta KiIRCHENPAUER 


S. purpurea 
S. pygmaea 


S. quadricornis 


S. quadrifida 
S. ramosa 


. reticulata 
. rubella 


S 
S 
S. secunda 
S. sieboldi 
S. solidula 


S. sonderi 


S. spinosa 

S. squamala 

S. subdichotoma 

S. tilesii 

S. tricuspidata 
var. acuminata 

S. trimucronata 

S. trochocarpa 

S. unilateralis 


S. variabilis 
Sertularia 
S. abietina 


S. acanthostoma 
S. actoni 
S. amplectens 


KIRCHENPAUER 


BALE 


THOMPSON 


HARTLAUB 
THoMmPpsoN 


KIRCHENPAUER 
TILESIUS 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
BALE 
KIRCHENPAUER 


KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 
KIRCHENPAUER 


KIRCHENPAUER 
ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 


BALE 
LiNNÉ 
LINNÉ 


BALE 
PHicipPr 
ALLMAN 


1884 


188% 
1884 
1882 
1884 


1901 
1879 


1884 
1884 
188% 
1884 
1882 
1884 


1884 
1884 
1884 
1884 


1884 
1886 
1886 
1876 (c) 


1888 
1748 
1758 


1882 
1866 
1886 


V. 


327 


— Serlularella  poly- 


zonias. 


— Sertularella polyzo- 
nias var, robusta. 

— Serlularella  john- 
stoni. 

— Sertularella john- 
stoni. 

— Sertularella  qua- 
dricornuta. 


—= Sertularella arbus- 


cula. 

— Sertularella  ne- 
glecta. 

— Sertularella  an- 
larctica. 


— Abielinaria  abie- 
tina. 


Ind. 
—= Sertularia  turbi- 


nala. 


un 


un CG 


ua 


. anguina 


. annulata 
. aperta 

. argentella 
. articulata 


. bicornis 


. bidens 
. catena 
. clausa 
. crenata 


. Crinis 


. crinoidea 
. cylindritheca 
. diffusa var. 


. digitalis 
. diÿmphnae 
. distans 


. echinocarpa 
. evansi 
. eœiqua 
. Exigua 


. exserta 
. fertilis 


. filicula 


. filiformis 
. filiformis 


(gracilis) 


. flosculus 


sec. 


M. BEDOT 


TRASK 


ALLMAN 
ALLMAN 
PENNINGTON 
ALLMAN 


BALE 


BALE 
ALLMAN 
ALLMAN 
BALE 
ALLMAN 


ALLMAN 

ALLMAN 
MARKTANNER 
Busk 

BERGH 

ALLMAN 

ALLMAN 

ELLIS et SOLANDER 
ALLMAN 


ALLMAN 


ALLMAN 
LENDENFELD 


ELLIs et SOLANDER 


ALLMAN 


ALLMAN 


THoMmPsoN 


1857 — Abietinaria  an- 
quina. 

1888 

1886 

1885 

1888 — Sertularella  arti- 
culata. 

1882 — Serlularia bicuspi- 
data. 

1884 

1888 

1888 

1884 

1886 —= Sertularia opercu- 
lata. 

1886 

1888 

1890 — Sertularella  dif- 
fusa. 

1852 — Diphasia digitalis. 

1887 

1877 (b) — Sertularia lamou- 
rouxi. 

1888 

1786 — Synthecium evansi. 


1877 (b) (Non 1888) 


1888 —= Sertularella  qau- 
dichaudi. 

1888 

1885 (a) — Thuiaria subarti- 
culata. 

1786 — Abietinaria  fii- 
cula. 

1888 

1888 — Sertularia fihfor-. 
mis. 

1879 — Sertularia  turbi- 


nata. 


CG Ga 


nm CA Un tn 


(a) 


un n CG & 


un 


. Johnstoni 


. geminala 
. geniculata 
. geniculata 


. germinata 
. gigantea 


. gracilis 


. huttoni 
. imbricata 


: implexa 
. inconstans 


. Integritheca 
. interrupta 
. irreqularis 


. lagena 
. laxa (exigua) 


. leiocarpa 

+ MACrOCArpA 
. Mmaplestonei 
. Mmegalocarpa 
. Minula 

- Mutulata 


. ortogonia 


(Sertularella) 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. 


sec. 


. grandis Allm, sec, 
. bumilis 


sec. 


sec. 


BALE 
BALE 
ALLMAN 


LENDENFELD 


THOMPSON 


ALLMAN 


PFEFFER 
ALLMAN 
MARKTANNER 
Busk 


ALLMAN 
CLARK 


ALLMAN 
PFEFFER 
LENDENFELD 
ALLMAN 


PFEFFER 


ALLMAN 


ALLMAN 
BALE 
BALE 
AT.LMAN 
BALE 
Busk 


Busk 


polyzonias sec. PFr£FFER 


1884 
1888 
1888 


1885 (a) 
1884 
1888 


1890 
1886 
1890 
1855 


1888 
1876 (a) 


1888 
1889 
1885 (a) 
1888 


1890 
1888 
1888 
1884 
1884 
1886 
1882 
1852 


1852 


1889 


V. 


— Sertularia 
ducta. 

—= Sertularia 
nala. 


—= Sertularella 


ganteua. 


329 


pro- 


gemi- 


gt- 


— Sertularia filifor- 


mis. 
Ind. 
Ind. 


—= Thuiaria 
cala. 


imbri- 


— À bietinaria incons- 


tans. 


— Sertularella Johns- 


lon. 


— Sertularella 


gena. 


— Sertularella 


dichaudi. 


— Diphasia 
lata. 


la- 


qau- 


mutu- 


= Synthecium ortho- 


gonium 


— Sertularella poly- 


zonias. 


330 


Gen. 


Fr 
2 


un 


. producta 
. producta 
(geniculata) 


S. pumiloides 


un 


un 


un 


S. 
S. 
S. 
S. 


. recta 
. secunda 


. secunda 
(unilateralis) 


. Simplex 
. Subcarinata 


. tenuis 
. thuiaroides 
. tridens 


. tuba 
. tubiformis 


. tubulosa 
. typica 


. unilateralis 
. unilateralis 
. variabilis 


. Solanderia 


fusca 
labyrinthica 
procumbens 
spinosa 


Statocodium 


sec. 


sec. 


M. 


ALLMAN 


ALLMAN 


BALE 


BALE 


CARUS 


ALLMAN 


LENDENFELD 
Busk 


BALE 


THoMPsoN 


LENDENFELD 


BALE 
EDWARDS 


CARUS 
LENDENFELD 


ALLMAN 


ALLMAN 


CLARK 


BEDOT 


DUCHASSAING et 


MICHELIN 


(GRAY) 
(Hyarr) 
(CARTER) 
(CARTER) 
ALLMAN 


1888 
1888 
1882 
1882 
1884 


1888 


1885 (b) 
1859 


1884 
1887 
1885 (b) 


1884 
1836 


1884 
1885 (a) 


1886 
1888 


1876 (a) 


1846 
1868 
1877 
1873 
1873 
1871 


— Sertularia  pro- 
ducta. 


— Sertulariaminima. 


— Sertularia lamou- 
TOUR. 

— Sertularella  all- 

mani. 


— Diphasia subcari- 
nala. 
— Sertularia lamou- 


TOUxA. 

— Thuiaria  thuia- 
rioides. 

— Sertularella  tri- 
dentata. 


— Synthecium  sertu- 
larioides. 

— Synthecium evansi. 

— Synthecium  sertu- 


larioides. 

— Sertularia  bispi- 
nos«. 

— Sertularella  all- 
mant. 


— Abielinaria varia- 
bilis. 


Supp. 


Gen 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Stauridia 

S. cerberus 

Staurotheca 

S. dichotoma 
Steenstrupia 
S. flaveola 


S. rubra 


Streptocaulus 
S. pulcherrimus 
Stylactella 

S. abyssicola 
S. spongicola 
S. vermicola 
Stylactis 

S. abyssicola 


S. arge 
S. spongicola 


S. vermicola 


Symplectoscyphus 


S. australis 


Syncoryne 
S. clavata 
S. graeffei 
S. (Coryne) 


graeffei sec. 


S. minima 

S. occidentalis 
S. radiata 

S. rosaria 
Synthecium 
S. alternans 


S. campylocarpum 


S. evansi 


HISTOIRE 


WRIGHT 
Du PLESssIs 
ALLMAN 
ALLMAN 
FORBES 
FEWKES 


FEWKES 


ALLMAN 
ALLMAN 
HAECKEL 
HAECKEL 
HAECKEL 
(ALLMAN) 
ALLMAN 
HAECKEL 


CLARKE 
HAEFCKEL 


ALLMAN 


MARKTANNER 
MARKTANNER 


EHRENBERG 
GRÆFFE 
(JICKELI) 


GRÆFFE 
(LENDENFELD) 
FEWKES 
(LENDENFELD) 
(AGassiz, A.) 
ALLMAN 
ALLMAN 
ALLMAN 


DES HYDROÏDES. — 


1858 
1888 
1888 
1888 
1846 
1889 (b) 


1889 (b) 


1883 
1883 
1889 
1889 
1889 
1888 
1864 
1889 


1882 
1889 


1888 


1890 
1890 


1834 
1884 
1883 


188% 
1885 (a) 
1889 (b) 
1885 (a) 
1860-62 
1871 
1888 
1888 


(ELris et SOLANDER) 1786 


V. 


— Slauridium. 


331 


— Coryne cerberus. 


— pp. Corymorpha. 


— Coryÿmorpha 
tans. 

— Corymorpha 
tans. 


— Stylactella 
sicola. 


nu- 


nu- 


abys- 


== Stylactella spongi- 


cola. 


— Stylactella vermi- 


cola. 
— Sertularella. 


— Sertularella johns- 


ton. 


— Syncoryne graeffei. 


332 M. BEDOT 


S. orthogonium (Busk) 1852 
S. ramosum ALLMAN 1886 — Synthecium elegans. 
Gen. T'hecocladium ALLMAN 1886 
T. flabellum ALLMAN 1886 
Gen. Thiarella sec. JICKELI 1883 — Tiarella. 
T. singularis sec. JickEeLI 1883 = Tiarella  singula- 
ras. 
Gen. Thuiaria FLEMING 1828 
T. acutiloba PogpriG 1884 
T. annulata KIRCHENPAUER 1884 
T. (Sertularia) 
argentea sec. THOMPSON 1884 — Thuiaria argentea. 
T. bipinnata KIRCHENPAUER 1884 — Thuiaria subarti- 
culata. 
T'. cartilaginea KIRCHENPAUER 1884 
T. coronata ALLMAN 1874 (e) — Thuiaria coroni- 
fera. 
T. (Sertularia) 
cupressina sec. THOMPSON 1884 — Thuiaria cupres- 
sina. 
T. (Sertularia) 
cupressoides sec. THOMPSON 1887 — Thuiaria cupres- 
soides. 
T. diaphana ALLMAN 1886 — Sertularella  tri- 
dentata. 
T. dolichocarpa ALLMAN 1876 (b) —Thuiaria zelandica. 
T. doliolum PogppiG 1884 
T. elegans KIRCHENPAUER 1884 
T. heteromorpha  ALLMAN 1886 
T. hippisleyana ALLMAN 1886 —= T'huiaria zelandica. 
T. hyalina ALLMAN 1888 — Sertularella  tri- 
dentata. 
T. imbricata (Busk) 1855 
T. interrupta ALLMAN 1886 
T. lata BALE 1882 — Sertularella  tri- 
dentata. 
T. lonchitis sec. KIRCHENPAUER 1884 = Thuiaria  articu- 
lata. 


T. monilifera (HuTToN) 1873 


«I 071 LL: 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 333 


T. neglecta 
T. pectinata 
T. persocialis 
T. personalis 


T. pharmacopola 
T. polycarpa 
T. polymorpha 


T. quadridens 


T. quadridens 
T'. ramosissima 
T. salicornia 


T. (Sertularia) 
similis sec. 
. SinuOsa 


. veqae 


à 
T. stelleri 
‘ 
T. vincta 


T. zelandica 

var. valida 
Thyroscyphus 
T. simplex 


T'. torresi 
T. vitiensis 
Tibiana 


T. fasciculata sec. 


T. ramosa sec. 
Tubularia 

T. britannica 

T. gracilis 

T. parasitica 


PoeppiG 
ALLMAN 
ALLMAN 
KIRCHENPAUER 


ALLMAN 
PorppiG 
ALLMAN 


ALLMAN 


BALE 
ALLMAN 
ALLMAN 


THOMPSON 
BALE 
TILESIUS 
THOMPSON 
ALLMAN 


QuEercx 
ALLMAN 
ALLMAN 


(Busx) 
MARKTANNER 
LAMARCK 
BALE 

BALE 

LINNÉ 
PENNINGTON 
LENDENFELD 
KOROTNEFF 


188% — Thuiaria  articu- 
lata. 

1888 — Thuiaria  articu- 
lala. 

1876 (b) — Thuiaria  articu- 
lala. 

1884 — Thuiaria  articu- 
lata. 

1888 — Diphasia alata. 

1884 

1886 — Thuiaria  hetero- 
morpha. 

1888 — Sertularella  qua- 
drifida. 

1884 

1886 

1871 — Selaginopsis  sali- 
corni«. 

1887 —= Thuiaria similis. 

1888 

1884 

1887 

1888 — Thuiaria  quadri- 
dens. 

1883 

1877 (b) 

1888 — Thyroscyphus tor- 
r'esi. 

1852 

1890 

1816 Supp. 

1884 Ind. 

1884 Ind. 

1758 

1885 

1885 (a) 

1887 * 


334 M. BEDOT 


T. ralphi HALLEY 1884 

T. spongicola LENDENFELD 1885 (a) 
Gen. Turris LESSON 1843 Supp.=— p.p. Clavula. 

T. neglecta LESSON 1843 — Clavula neglecta. 
Gen. Turritopsis Mac CRADY 1859 (a) 

T. nutricula Mac CRADY 1859 (a) 

T. polynema HAECKEL 1879 — Clavula neglecta. 
Gen. Zygophylax Quecca 1885 (a) 

Z. profunda QueLca 1885 (a) 

Z. tizardensis KIRKPATRICK 1890 (b) 

MÉDUSES : 


ANTHOMÉDUSES et LEPTOMÉDUSES. 


Gen. Aequorea PéRoN et LESUEUR 1809 (a) 
A. aequorea MARKTANNER 1890 — Aequorea  forska- 
lea. 
A. Crassa CLAUS 1881 (b) — Polycanna crassa. 
A. (Polycanna) 
crassa CLAUS 1883 — Polycanna crassa. 
A. (Zygodactyla) 
crassa CLAUS 1881 (b) — Polycanna crassa. 
A. eurodina Péron et Lesueur 1809 (b) 
A. eurystoma CLAUS 1883 — Mesonema  eurys- 
é toma. 
A. (Crematostoma) 
flava CLaus 1881 (b) — Polycanna flava. 
A. forskalea PÉRON et LESUEUR 1809 (a) 
A. (Polycanna) 
fungina CLaus 1881 (b) — Polycanna fungina.. 


? Les Méduses, dont on a constaté le développement aux dépens d’une espèce con-. 
nue de Polype, figurent dans l’fndex des Polypes. On a mentionné, dans cet Index, 
plusieurs Méduses qui ont déjà été citées dans les « Périodes » précédentes, mais dont les. 
noms d'auteurs ont dû être corrigés conformément aux règles de la nomenclature. 


Gen. 


Gen. 
Gen. 
Gen. 
Gen. 
Gen. 
Gen. 
Gen. 
Gen. 


Gen. 


Gen. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 
A. (Polycanna) 
germanica CLAUS 1881 (b) 
A. (Zygodactyla) 
groenlandica CLAUS 1883 
A. pensile Esch. sec. CLAUS 1881 (b) 
A. (Zygocannota) 
purpurea CLAUS 1883 
A. (Zygodactyla) 
vitrina CLAUS 1881 (c) 
Amphinema HABCKEL 1879 
À. apicatum sec. Brooks 1883 (a) 
À. titania (Gosse) 1853 (a) 
Berenice ESCHSCHOLTZ 1829 
B. rosea (LAMARCK) 1816 
Bougainvillia LESSON 1836 
B. coeca METSCHNIKOFF 1886 (a) 
Calycidion FEWKES 1882 (b) 
C. formosum FEWKES 1882 (b) 
Calycopsis FEWKES 1882 (b) 
C. typa FEWKES | 1882 (b) 
Catablema HAECKEL 1879 
C. campanula (FABRICIUS) 1780 
Chromatonema FEWKES 1882 (b) 
C. rubrum FE&WkEs 1882 (b) 
Cladocanna HAECKEL 1879 
C. thalassina (Péron et LesuEur) 1809 (b) 
Codonium HABCKEL 1879 
C. gemmiferum (FORBES) 1848 
Cremastoma FEWKES 1889 (a) 
C. flava FEWKES 1889 
Dicodonium HAECKEL 1879 
D. adriaticum GRÆFFE 1884 


V. 


339 


—= Polycanna germa- 


nica. 


— Polycanna  groen- 
landica. 
— ? Mesonema  pen- 


sile. 


— Zygocannota pur- 
purea. 


— Zygodactyla  vi- 
trina. 


— Slomoloca  rugosa. 


— Cylaeis tetrastyla. 


Erreur pour : Crema- 
lostoma. 
— Polycanna flava. 


336 M. BEDOT 
Gen. Dinematella FEWKES 1881 (b) 
D. cavosa FEWKES 1881 (b) 
Gen. Dipleuron BROOKS 1882 
D. parvum Brooks 1882 
Gen. Dipleurosoma Boeck 1861 
D. hemisphaericum (ALLMAN) 1874 (F) 
D. irregulare HAECKEL 1880 =— Dipleurosoma he- 
misphaericum. 
D. (Ametrangia) 
hemisphaerica METSCHNIKOFF 1886 (b) — Dipleurosoma he- 
misphaericum. 
Gen. Dipurena Mc CrADY 1859 
D. halterata (FoRBEs) 1846 
Gen. Eirene ESCHSCHOLTZ 1829 
E. gibbosa (Mc CRADY) 1859 (b) 
Gen. Epenthesis Mc CRaDy 1859 (b) 
E. cymbaloidea (SLABER) 1778 
E. maccradyi BROOKS 1888 (b) 
E. maculata (FORBES) 1848 
Gen. Eucheilota Mc CRADY 1859 (b) 
E. quadralis FEWKES 1883 
Gen. Eucope GEGENBAUR 1856 (b) 
E. annulata LENDENFELD 1885 (a) 
E. hyalina LENDENFELD 1885 (b) 
E. obliqua Bnooks 1882 
E. octona (FORBES) 1848 
E. polygastrica METSCHNIKOFF 1872 
E. (Phialidium) 
variabilis CLAUS 1881 (b) — Phialidium varia- 
bile. 
Gen. Eucopium HAECKEL 1879 
E. quadratum (FORBES) 1848 
Gen. Euphysa FoRBES 1848 
E. australis LENDENFELD 1885 (a) 
Gen. Eutima Mc CRADY 1859 
E. cuculata Brooks 1882 
E. emarginata Brooks 1882 
E. gracilis FEWKES 1881 (b) 


E. limpida 


AGASSIZ, A. 


1869 (a) 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gastroblasta 
G. raffaelei 
G. timida 


. Halitiara 


H. formosa 


. Halopsis 


H. annae 


. Hippocrene 


H. macloviana 
H. mertensi 


. Irene 
[. (Tima) pellucida 
. Laodice 
L. (Lafoea) calcarata 
. Laodicea 


L. calcarata 


. Limnorea 


L. proboscidea 
L. triedra 
Lizusa 

L. prolifera 
Lizzia 

L. octocilia 


Mabella 

M. gracilis 
Margelis 

M. britannica 


M. trinema 
Melicertidium 
M. octocostatum 


. Melicertum 
M. (Stomobrachium) 


FEWKES 
FEWKES 
AGASSIZ, A. 
METSCHNIKOFF 
MERTENS 
(LESSON) 
AGASSIZ, A. 
HAECKEL 
CLAUS 
HAECKEL 
METSCHNIKOFF 
LESSON 
AGASSIZ, À. 
HAECKEL 
HAECKEL 
PÉRON et LESUEUR 
HAECKEL 
LENDENFELD 
FORBES 


. Du PLESssIs 


FEWKES 
FEWKES 
STEENSTRUP 
HADDON 


LENDENFELD 
HAECKEL 
(SARS) 
ESCHSCHOLTZ 


octocostatum M’INrosx 


Mesonema 
M. bairdi 
Microcampana 
M. conica 


ESCHSCHOLTZ 
FEWKES 
FEWKES 
FEWKES 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. EYE 
KELLER 1883 (b) 
LANG 1886 
KELLER 1883 (b) 


1882 (a) 
1882 (a) 
1865 
1886 (a) 
1834 
1836 
1865 (c) 
1879 
1881 (c) 
1879 
1886 (b) 
1843 
1862 (a) 
1879 
1879 
1809 (b) 
1879 
1885 (a) 
1846 
1888 


1881 (b) 
1881 (b) 
1850 

1886 (a) 


1885 (b) 
1879 
1835 
1829 


1890 (b) 


1829 
1886 

1889 (b) 
1889 (b) 


ee) 
US 
1 


— Mitrocoma annae. 


— Eïirene. 

— Eïirene pellucida. 
— Laodicea. 

—= Laodicea calcarata. 


— Limnorea triedra. 


— Bougainvillia 
ramosa. 


— Bougainvillia 
ramosa. 


— Melicertidium octo- 
costatum. 


22 


398 


Gen 


Gen. 


Gen. 


. Mitrocomium 

M. annae 
Modeeria 

M. multitentacula 


M. nutricula sec. 


Oceania 

0. (Tiara) octona 
O. polvcirrha 

. Oceaniopsis 

O. bermudensis 


. Octorchis 


0. (Eutima) 
gegenbauri 
. Octorhopalon 
O. fertilis 
. Urchistoma 
O. agariciforme 
0. pileus 
. Pandea 
P. conica 
P. minima 
P. saltatoria 
. Phialidium 
P. variabile 
P. variabile 
var, CONVexa 


P. variabile 
var. globosa 


P. variabile 
var. inconspicua 


P. variabile 
var. sarnica 


P. viridicans 


M. 


HAECKEL 
LENDENFELD 
FORBES 
FEWKES 


FEWKES 


PÉRON et LESUEUR 


M’Ixrosx 
KEFERSTEIN 
FEWKES 
FEWKES 
HAECKEL 


BROOKS 
LENDENFELD 
LENDENFELD 
HAECKEL 
KELLER 
(LESSON) 
LESSON 


(Quoy et GAIMARD) 


LENDENFELD 
(SARS) 
LEUCKART 
(CLAUS) 


M'Ixrosx 


M'IxTosx 


M'Inrosa 


M'IxrTosa 


METSCHNIKOFF 


1879 

1885 (a) 

1846 

1881 (b) — Turritopsis nu- 
tricula. 

1882 (b) — Turritopsis nu- 
tricula. 

1809 (b) 

1889 — Tiara octona. 

1862 — Clavula neglecta. 

1883 

1883 

1864 

1886 

1885 (b) 

1885 (b) 

1879 

1884 

1843 

1837 

1827 

1885 (b) 

1835 

1856 

1864 

1889 — ? Phialidium  va- 
riabile. 

1889 — ? Phialidium va- 

riabile. 
1890 (b) — ? Phialidium  va- 
riabile. 

1889 — ? Phialidium  va- 
riabile. 

1886 (a) — Phialidium varia- 


bile. 


Gen. Plotocnide 
P. borealis 

Gen. Polycanna 

P. americana 

P. (Zygodactyla) 

crassa 

P. groenlandica 

P. (Zygodactyla) 
groenlandica 


P. rissoana 
. Polyorchis 
P. campanulatus 


P. penicillata 
. Protiara 
P. tetranema 
. Pleronema 
P. ambiquum 
. Rathkea 
R. octopunctata 
var. rubropunctata 


Rathkia 

R. blumenbachi 
Rheygmatodes 
R. globosa 


Gen. 
Gen. 
R. thalassina 


Saphenia 
S. bitentaculata 


Gen. 


S. dinema 
Sarsia 
S. gemmipara 


Gen. 


S. minima 


S. paltersoni 
S. (Codonium) 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 339 
WAGNER 1885 
WAGNER 1885 
HAECKEL 1879 
FEWKES 1886 
FEWKES 1886 — Polycanna crassa. 
(PÉRON et LESUEUR) 1809 (b) 
FÊWKES 1886 — Polycanna  groen- 
landica. 
CLAUS 1881 (b) — Polycanna italica. 
AGASSIZ, À. 1862 
(CHamrsso et 
EYSENHARDT) 1821 
(ESCHSCHOLTZ) 1829 
HAECKEL 1879 
(Péron et LESUEUR) 1809 (b) 
HAECKEL 1879 
(LESSON) 1830 
HAECKEL 1879 — Rathkia. 
GiarD 1888 — Rathkia octopunc- 
tata. 
BRANDT 1837 
(RATHKE) 1835 
AGassiz, L. 1862 
(ESCHSCHOLTZ) 1829 
(PÉRON et LESUEUR) 1809 (b) 
ESCHSCHOLTZ 1829 
(Quoy et GAIMARD) 1827 
(PÉRoN et LESUEUR) 1809 (b) 
LESSON 1843 
WAGNER 1885 — ? Codonium gemmi- 
ferum. 
LENDENFELD 1885 (a) — Syncoryne mi- 
nima. 
HADDON 1886 (a) 
1889 — Syncoryne pul- 


pulchella M’Ixros 


chella. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


S. radiata 


S. syncorvne 

S. tubulosa 
Staurobrachium 
S. stauroglyphum 
Staurostoma 

S. laciniata 
Steenstrupia 


S. californica 


S. gracilis 
S. occidentalis 
Stomatoca 
. apacata 
. apacta 


un Un 


. apicata 


un 


. periphylla 


. Stomotoca 


S. atra 
S. rugosa 


. Tetranema 


T. aeronauticum 
Thamnitis 

T. nigritella 
Thaumantias 


T. globularis 


T. hemisphaerica 


T. (Phialidium) va- 
riabile var. glo- 


bosa 


T. (Phialidium) va- 


riabile var. 
conspicua 


in- 


M. BEDOT 


LENDENFELD 


LENDENFELD 

(SaRS) 

HAECKEL 

(PÉRON et LESUEUR) 
HAECKEL 

(AGassrz, L.) 
FORBES 


FEWKES 


Brooks 
FEWKES 
NORMAN 
BROOKS 
Brooks 
FEWKES 


FEWKES 


AGaAssiz, L. 
AGASSIZ, À. 
MAYER, A.-G. 
HAECKEL 
(FORBES) 
HAECKEL 
(FORBES) 
ESCHSCHOLTZ 


M'Ixrosx 


(GRONOVIUS) 


M'Inrosx 


M'INrosx 


1885 (a) 


1884 (c) 
1835 
1879 
1809 (b) 
1879 
1850 (a) 
1846 
1889 (c) 


1882 
1889 (b) 
1869 
1882 
1882 
1881 (b) 
1889 (a) 


1862 
1862 (a) 
1900 
1879 
1848) 
1879 
1848. 
1829 
1889 


1760 


1889 


1889 


— Syncoryne 
diata. 


Ta 


— Sarsia tubulosa. 


— Steenstrupia  occi- 


dentalis. 


— Stomoloca. 


— Stomotoca 


T'ugos« . 


— Stomoloca rugosa. 


— Siomoloca rugosa. 
— Stomotoca  ptero- 
phylla. 


9 Phialidium  va- 
riabile. 


? Phialidium va- 
riabile. 


? Phialidium va- 


riabile. 


4 


Gen 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen. 


Gen 


. Tiara 
T. leucostvla 
T'. oclona 
l. papua 
T. pileata 
T. pileata 


var. COCCinea 


— 


. pileata 


var. Smaragdina 


T. rotunda 
Tiaropsis 
T. macleayi 
l', mediterranea 
. Tima 

T. bairdi 

T. flabellaris 
: Turris 

T. episcopalis 


. Turritopsis 
T'. lata 
T. nutricula 


T. pleurostoma 
T. polynema 
Waillia 

W. occidentalis 


Willsia 

W. occidentalis 
Zygocanna 

Z. pleuronota 
Z'ygocannota 

Z. purpurea 

. Zygocannula 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 
LESSON 1837 
METSCHNIKOFF 1886 (b) 
(FORBES) 18406 
(LESSON) 1843 
(FoRskAL) 1775 
WAGNER 1885 
WAGNER 1885 
(Quoyx et Garmarp) 1827 
AGaAssiz, L. 1850 
LENDENFELD 1885 (a) 
METSCHNIKOFF 1886 (a) 
ESCHSCHOLTZ 1829 
(JOHNSTON) 1833 
M'Ixrosx 1890 (b) 
LESSON 1837 

. FEWKES 1881 (b) 
Mc CRraDYy 1859 
LENDENFELD 1885 (a) 

sec. FEWKES 1881 (b) 
(Péron et Lesueur) 1809 (b) 
HAECKEL 1879 
AGaAssiz, L. 1862 
FEWKES 1889 (b) 
ForBes 1846 
FEWKES 1889 (b) 
HAEëCkEL 1879 
(PÉRoN et LESUEUR) 1809 (b) 
HAECKEL 1879 
(Pérox et Lesugur) 1809 (b) 
HAECKEL 1879 
(Pérox et Lesueur) 1809 (b) 


Z. undulosa 


341 


? Tiara pileata. 


— Tiara pileata. 


— Tara pileata. 


— Catablema 


? Tima flavilabris. 


vesica- 


— Calycidion formo- 


— Clavula neglecta. 


— Wallsia 


occiden- 


342 M. BEDOT 


LISTE DES CORRECTIONS A FAIRE DANS LES 4 PREMIÈRES 
PÉRIODES DES MATÉRIAUX 


De nombreux changements apportés à la synonymie des espèces ont été 
mentionnés au fur et à mesure de la publication de ces matériaux. Nous 
ne les indiquerons donc pas dans cette liste et prions nos lecteurs, lorsqu'ils 
consultent dans une des « Périodes » la synonymie d’une espèce, de voir 
dans les périodes suivantes si elle n’a pas été modifiée. 

Les ouvrages qui, par erreur, n'ont pas été cités dans la période à laquelle 
ils appartiennent, sont placés en tête de l’index bibliographique des périodes 
suivantes. 


Are Période. 


P. 401, ligne 15, lire : Groenlandica, au lieu de : Grœenlandica. 
» 401 » 416 » (pp. 343 et 442-445), au lieu de : (pp. 442-445). 
» 403 » 4 après Gmelin 1788, ajouter la note suivante : 
Hopkinson a cherché à déterminer exactement les dates 
de publication des différentes parties de la 13° édition du 
Systema Naturae de Linxé publiée par GMeLIN. D'après ses 
recherches, la partie 6 du vol. 1, dans laquelle se trouvent 
les Hydroïides, aurait paru en 1791. Nos lecteurs pourront, 
s’ils le jugent nécessaire, mettre cette date à la place de 
celle de 1788-1793 que nous avions indiquée pour cet 
ouvrage dont les différents volumes ne portent pas de date. 
Voir : HopkinsoN, J., Dates of publication of the separate 
parts of Gmelin's Edition (13h) of the Systema Naturae 
of Linnaeus. In : Proc. Zool. Soc. London (1907), pp. 1035- 
1037. London, 1907, 8°. 
P. 403, ligne 15, lire : 1789 BerkenHouT, au lieu de : 1795 BERKENHOUT. 
» 406 » 2 après la citation de SAvIGNY et AUDOUIN, Explication, etc. 
ajouter la note suivante : 
Il n’est pas possible d'établir avec précision la date de 
publication de cet ouvrage. En effet, le titre du vol. 1 est 


* «pil 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 343 


daté de 1809 et, en tête de la 4° partie de ce volume, qui 
comprend l’explication sommaire des planches par AUDOUIN, 
se trouve une note montrant que cet auteur n’a pu com- 
mencer ce travail qu'après le 19 mars 1825. 


. 406, ligne 7, lire : 1809 (a), au lieu de : 1810 (a). 


406  » 9 » 218, au lieu de : 217. 

&06 » 412 » 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

408  » 24 enlever les 4 premières lignes de l'appendice. 
&13 » 18 lire : 1809, au lieu de : 1810. 


WA » 21 »  Pasythea, au lieu de : Pasytea. 


419, dans les Zoophyta heterohyla, l'accolade est mal placée. Les genres 
appartiennent à la famille des Ceratophyla tubulosa. 
420, au dessous de : 3, Cellariées, ajouter : Gen. : Lafoea. 


-423, lignes 23-24, lire : (Myriophillum) pelagium, au lieu de : (Myriophyl- 


lum) pelagicum. 

432, ligne 6, lire : Blainville 1830, au lieu de : Blainville 1834. 

k33  » 41 » Blainville 1830, au lieu de : Lamarck 1836. 

36 - » 4, après 1777, ajouter : p. 3. 

440  » 13 et 14, enlever les citations : Dynamena distans AupouIx et. 
SAvVIGNY qui doivent être placées à la même page 
sous : Dynamena distans [Sertularia lamourouxi]. 

442, enlever la ligne 19 commençant par : Sertularia pectinata… Cette 
indication doit rentrer dans la synonymie de Diphasia 
pinnata. 

457, enlever la ligne 12 commençant par : ? Cymodocea ramosa... et la 
mettre dans les synonymes de Nemertesia antennina. 

457, ligne 22, lire : 1809, au lieu de : 1810. | 

473, enlever la ligne 7 commençant par : Jameson... et la mettre dans les 
synonymes de Sertularia fusca. 

481, ligne 28, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

482, lignes 7, 12, 16, 26, 29, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

483 » 3, 12, 18, 21, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

483, ligne 23, lire : Laodicea, au lieu de: Laodice. 

484, lignes 10, 11, 12, 23, 31, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

k84k » 12 et 21, lire: Callirhoë, au lieu de : Callirhoe. 

485 oo» 2, 11, 24, 25, 31, lire : 1809 (b), au lieu de 1810 (b). 

485, ligne 17, lire : Pandea, au lieu de : Pandaeu. 

486, lignes 2, 5, 12, 16, 18, 19, 23, 26, lire : 1809 (b), au lieu de : 
1810 (b). 


34 


gà 


) 


A M. BEDOT 


486, ligne 15, lire: Rathkia fasciculala (Péron et Lesueur), au lieu de : 
Rathkea fasciculata Haeckel. 

487, lignes 13, 14, 33, 34%, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

L88 » 10, 14, 16, 19, 23, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 

489, ligne 6, lire : 1816, au lieu de : 1815. 

O1 » 412 » 1830, aulieu dé: 1834. 

&9%  » A1  » Gonothyraea, au lieu de : Gonotyraea. 

496 » 143 » Hixcxs, au lieu de : HixKs. 

497 » 30 » 1809, au lieu de : 1810. 

499 » 2 après: (ELruis et SOLANDER), ajouter : 1786. 

499, lignes 22 et 23, lire : 1819, au lieu de : 1820. 

503, ligne 32, lire : 1819, au lieu de : 1820. 

506, lignes 5 et 34, lire : 1819, au lieu de : 1820. 

509, : '».-3,4,/3,78,9, 743; 46, -18::40,-227 26728. lire 2180080 
lieu de : 1810. 

510, ligne 14, lire : Callirhoë, au lieu de : Callirhoe, 

510, lignes 3, 6, 10, 11, 12, 14, 15, 16, lire : 4809, au lieu de : 1810: 

D11,.: » 2°22,025, 28:31, 52,39, 34, lire : 1809 an lieu-de-= 19106 

512 » 8, 11, lire : 1809, au lieu de : 1810. 

13. ». 141,13, 416, 18,26, 28,30, 32, 36,1ire : 1809, au leude:"1840 

>13, ligne 23, lire : 1850, au lieu de : 1849. 

514, lignes 2, 4, 7, 9, 12,44, 16, 18, 24, 25, 27, 29, 34,35, lire : 4809 
au lieu de : 1810. 

915, ligne 3, lire: 1809, au lieu de : 1810. 

515  » 16  »  Rathkia Branor 1837, au lieu de : Rathkea BrAnpr 1838... 


2e Période. 


2, ligne 15, après Milne Enwanps (1828), ajouter : de Tnompson (1831). 

9: » 11. »%222%/ajouter pl" fig. 2'el3. 

8, lignes 22 ss, modifier comme suit la citation de BRANDT Prodromus : 
1835. Branor, J. F. Prodromus descriptionis anima- 
lium ab H. MerTENsIO in orbis terrarum circumnavi- 
gatione observatorum. Fasc. 1. In : Rec. Actes de la 
séance publique de l’Acad. Sc. St-Pétersbourg, tenue 
le 29 décembre 1834, pp. 201-277. St-Pétersbourg, 
1835, 40. 

9, ligne 12, lire : 1835 Merrens, au lieu de : 1834 MERTENS. 


D] 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 345 


14, ligne 24, après 234-236, ajouter : pl. 2, fig. 1. 


23 


48 


» 


» 


dernière, ajouter : Ce travail a été publié à part, comme thèse 
de doctorat, à Würzburg, en 1847. 
6, après pl. 4, ajouter : fig. 1, 3-13. (Excel. Syn.) 


50, enlever la ligne 10 : Laomedea dichotoma TuoMas... qui se rapporte à 


Obelia longissima. 


53, ligne 19, lire : 1824 (c), p. 202, au lieu de : 1824 (b), p. 202. 


D8 
62 
63 
6% 


» 


26 » 1836, p. 74, au lieu de : 1836, p. 75. 

dernière, lire : FaBricios, au lieu de : FaBiaus. 

6, lire : fig. 3a— 3g, au lieu de: fig. 3 à, g 3. 

dernière, enlever la citation : Syncoryne pusilla BENEDEN, qui 
figure déjà à Coryne van Benedeni. 


66, remplacer les trois dernières lignes par : OKEN (1817, p. 1541) et Gray 


(4843, p. 294) écrivent Dynamene. La Dynamene 
abietinoides de Gray est, d’après BALE (1884), syno- 
nyme de Sertularia elongata. 


69, lignes 27, 29, 32 et 34, enlever les citations de Sertularia pectinata, 


qui se rapportent à Diphasia pinnata. 


70, ligne 6, enlever la citation de Sertularia peclinata, qui se rapporte à 


74 
76 
85 
88 
91 
92 
95 
96 
103 


112 
117 
121 
122 


126 


Diphasia pinnata. 
1, lire : Echinochorium, au lieu de : Echinocorium. 
dernière, lire : 1780, p. 441, au lieu de : 1870, p. 444. 
14, lire : Echinochorium, au lieu de : Echinocorium. 
16, après p. 222, ajouter : pl. 3, fig. 2, 3. 
19, lire : 1851, au lieu de : 1850. ; 
1 »  cocksi (Vigurs), au lieu de : Coksii G. O. Sars 1873. 
7 » 1809, au lieu de : 1810. 
21 » 477, au lieu de : 447. 
25, enlever : pl. 2, fig. 5-11, qui se rapporte à Stylactis 
| sarst. 
dernière, lire : Hydrallmania, au lieu de : Hgdrallmania. 
16, lire : tricuspidala, au lieu de : trucuspidata. 
26, supprimer la citation : Sertularia fastigiata FABricius, qui se 
rapporte à Thuiaria fabricir. 
25, supprimer la citation : DaLyELL 1847-48, qui se rapporte à 
Thuiaria cupressina. 
28, supprimer la citation : JonnxsroN 1847, qui se rapporte à 
Tubularia simplex. : 


127, lignes 32 et 33, mettre un ? avant Tubularia calamaris. 


346 M. BEDOT 


P.198, ligne 34, supprimer la citation : Tubularia muscoides Thompson, qui se 


rapporte à Coryne muscoides. 
136  » 14, lire : Laodicea, au lieu de : Laodice. 
137 » 12 » Laodicea, au lieu de : Laodice. 
164  » 4 » Gen. Dynamene OKEN 1817, au lieu de: GRAY 1843. 
161 » 9 »  Echinochorium, au lieu de : Echinocorium., 
164  » 926 » 1809, au lieu de : 1810. 
174, lignes 12, 23, 32, lire : 1809. au lieu de : 1810. 
175  » 16, 24, lire : 1809, au lieu de : 1810. 
175 » 31,32 » 1835, au lieu de : 1834. 
176, ligne dernière, lire : 1809, au lieu de : 1810. 
177, lignes 10 et 12, lire : 1835, au lieu de : 1834. 
178, ligne 8, lire : 1809, au lieu de : 1810. 
178, lignes 26 et 28, lire : 1835, au lieu de : 1834. 
179 » 1 et 6 » 1809. au lieu de : 1810. 
180  » 14, 15 et.39, lire : 1835, au lieu de : 1834. 
ABLE » 3, 143 et14 » 1835, au lieu de : 1834. 


3e Période. 


. 202, ligne 8, lire : Art. 5, au lieu de : Art. 6. 


211 » 8 »  parasitism, au lieu de : parasitisme. 

222 op» 24 »  Hixcxs, au lieu de : Hinxs. 

241 » 13, après : p. 39, 40, 82, ajouter : pl. 2, fig. 4. 

AR: 22 DAT fig. 2, ajouter : et pl. 64, fig. 3. 

247 » A1, lire: Eudendrium, au lieu de : Endendrium. 

248 » 11 » 1856, au lieu de : 1856 (a). 

254 5 A9: 5 phil, fig. h-7, atheu de: pl, 6,9: 

294. 5 45. pl fie. MAret 2 raulieu de pl AE 

256 » A1 »  Campanularia integra. au lieu de : Campanularia 
neglecta. 

271 » 14 après: Allman, ajouter : 1844. 

277 » 21 »  Syncoryne, au lieu de : Syncaryne. 

280, lignes 6 et 7, lire : Joaxson, au lieu de : JOHNSTON. 

288, ligne 10, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 

298 » 4 »  Taomson, au lieu de : THOMPSON. 

304» 1 »  Gonothyraea, au lieu de : Gonothryraea. 

308 » 22 » 1874, au lieu de : 1883. 

309 » 10 » 1874 (b), au lieu de : 1883. 


NT CRT EN 


316 


» 


à) 


» 


HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 34 


En | 


. 310, ligne 10, lire : Halybotrys, au lieu de : Halybothrys. 


Hydra, au lieu de : Hydrea. 


330, enlever la ligne 14 commençant par Cymodocea ramosa… 
333, ligne 24, lire : 1809, au lieu de : 1810. 


338 
339 
343 
343 


12 
23 
19 
22 


Forbes, au lieu de : Farbes. 
Là au lieu de : 35. 

297, au lieu de : 397. 
1860, au lieu de : 1862. 


343, lignes 23 à 26, à remplacer par : L. AGassiz (1860-62, vol. 3, p. 45, 


46) a donné une courte diagnose des genres Parypha 
et Thamnocnidia, qui rentraient dans la famille des 


Tubularidae (ibid, vol. 4, p. 342). Ces genres n’ont 
pas été adoptés, les espèces. 


399, ligne 8, après : synonymie, ajouter : ainsi que l’avait déjà fait remar- 


374 
383 
387 
387 
41% 


» 


24 


11, lire : 


26 
27 
6 


» 


» 


» 


» 


quer Hincxs (1872 (c), p. 391). 

Hincxs (1868), ajouter : THompson, D’A. W. (1879). 
GEGENBAUR, au lieu de : GKGENBAUR. 
1860, au lieu de : 1862. 
vol. 3, p. 45, 46, au lieu de : vol. 4, p. 342. 
Thaumantias, au lieu de : T'haumautias. 


415, lignes 29 et 30, lire : pl. 9, fig. 9 et 10, au lieu de : pl. 8, fig. 18. 
416, ligne 21, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 

dernière, lire : 1856, au Jieu de : 1856 (a). 

15, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 


417 
418 
419 
419 


) 


» 


» 


13 
14 


) 


» 


1856, au lieu de : 1856 (a). 
Tima gibbosa, au lieu de : Timagibbosu. 


420, lignes 17 et 18, lire : 1856, au lieu de 1856 (a). 
428, ligne 8, lire : reridicans, au lieu de : viridiscens. 
428, lignes 8, 9, 10, lire : 1856, au lieu de 1856 (a). 
428, ligne 30, lire : Phialidium, au lieu de : Philidium. 


431 
436 


» 


» 


7 
2 


» 


» 


1856, au lieu de : 1856 (a). 
1856, au lieu de : 1856 (a). 


439, lignes 24, 25, 26, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 
454, ligne 13, lire : ALLMAN, au lieu de : Hixcxs. 


457 
458 
460 


» 


» 


29 


» 


turricula, au lieu de : turricola. 


23 remplacer : Ind. par — Halecium puxillum. 


29 lire: —= Nemertesia tetrasticha, au lieu de : ? Nemertesia 
Tamos«a. 
37 »  Cymodocea, au lieu de : Cynodocea. 


348 M. BEDOT 


. 466, lignes 6, 22, 23, lire : 1809, au lieu de : 1810. 


466, ligne 31, lire : 1860, au lieu de : 1862. 

468  » 34 »  Aglaophenia angulosa, au lieu de : Plumularia angulosa. 
470, lignes 21 et 22, lire : THoMSoN, au lieu de : THoMPsoON. 
476, ligne 10, lire : 1860, au lieu de : 1862. 

479 » 3 » 1809, au lieu de : 1810. 

480 » 26 » 1867. au lieu de : 1866. 

81 » 31 »  EÉpenthesis, au lieu de : Epeuthesis. 
482 » 21 » 1809, au lieu de : 1810. 

183 » 412 » 1809, au lieu de : 1810. 

8h  » 30 » 1809, au lieu de : 1810. 

L85 » 3 » 1809, au lieu de : 1810. 


4e Période. 


. 217, lignes 26 à 28. Le titre du mémoire d'ULyaniN, 1872, doit être mis 


entre parenthèses. 
258 » 11 et 13, lire : fruticosa, au lieu de : fruclicosa. 
259, ligne 22, lire : Hippocrene, au lieu de : Hyppocrene. 
259, lignes 25 et 27, lire : Calathophora, au lieu de : Calatophora. 
277, ligne 12, après : Allman, ajouter : 1844. 
282 » 1 enlever : 1866. 
300, ligne 23, lire : 1874, au lieu de : 1876. 
300  » 26 » 1874, au lieu de : 1876. 
300 » 27 » (1874 (b), p. 476), au lieu de : 1876 (b), p. 276. 
301  » A1 » insignis, au lieu de : instgnis. 
322 » 21 » (Linné), au lieu de : Lamouroux. 
324 » 9 après KIRCHENPAUER, ajouter : 1876. 
326 » 16 lire 1809, au lieu de : 1810. 
346  » 4 »  Rhizocline, au lieu de : Rhizoclina. 
394  » 29 »  Mereschkowsky, au lieu de : Meretchkowsky. 
361, enlever la ligne 28 commençant par : Sertularia flosculus THOMPSON, 
1879... qui se rapporte à Sertularia turbinata. 
370, au dessous de la ligne 10, ajouter : Voir: Matériaux III, p. 381. 
372, ligne 21, lire : Codonium, au lieu de : Codomium. A 
373 » 16 » 1871, au lieu de 1876. 
373, au dessous de la ligne 16, ajouter : Voir: Matériaux III, p. 387. 
383, » » à, ajouter: Voir: Matériaux III, p. 394. 
389, » » 1, ajouter: Voir: Matériaux LIT, p. 406. 


ÉTPIRRTS 


410 
mb) 


DR TEA) 


» à 


HISTOIRE 


Lizzella, au lieu de 


DES HYDROÏDES. — V. 


. MO, ligne 6, lire: Lizusa, au lieu de : Lizusia. 
: Lizella. 
Modeeria, au lieu de : Mooderia. 


418, enlever la ligne 24 commençant par : ? Eucopa polygastrica.… qui se 


463 


D 22 0) 
» » 
DR 29 /r 
DID) 
DAS) 
D 2600 


rapporte à une espèce distincte (voir: Mat. V). 


Calathophora, au lieu de : Calatophora. 


1809 (a), au lieu de 
1809 (b), au lieu de 
1809 (b), au lieu de 


Modeeria, au lieu de : Mooderia. 


1809 (b), au lieu de 


: 1810. 
: 4810. 
: 1810 (b). 


: 4810. 


464, lignes 2, 3, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810. 


465, ligne 7, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 


465 


DATE) 


Spirocodon, au lieu de : Spirodon. 


cu É 
DR A F7 
s AE 


ne LA 
: DE 


REVUES SUTSSE DE ZOUMOGTrE 
Vol. 24, n9 2. = Février 1916. 


Anomalie de l'appareil buccal 


d’'Ascaris megalocephala 
PAR 


Emile ANDRÉ 


Genève 
Avec 2 figures. 


L'individu présentant la curieuse anomalie décrite ci-dessous 
faisait partie d’une famille de 37 Ascaris megalocephala, de 
l'intestin d’un Cheval abattu à Genève, en février 1916. Cet 
individu était du sexe femelle : il mesurait 245"" de longueur, 
c'est-à-dire qu'il était de dimensions moyennes. L’intestin 
était normal et les organes génitaux, en particulier les tubes 
_ovariens, étaient bien développés. L’anomalie consiste dans le 
fait que les trois lèvres, ou mâchoires, sont remplacées par 
quatre appendices en forme de languettes. Ceux-ci sont aplatis, 
le grand axe de leur section transversale étant tangent à la 
surface du corps ; ils sont larges, à la base, de 2"" environ, et 
vont en s'atténuant graduellement jusqu'à l'extrémité libre qui 
est filiforme. Leur longueur est de 14 à 15". La mâchoire 
impaire dorsale et la mâchoire droite sont remplacées chacune 
par un appendice (fig. À, 1 et 2) mesurant, le premier, 15", le 
deuxième, 14"" ; la mâchoire gauche est représentée par deux 
appendices (fig. À, 3 et 4), de 14"" de long, dont l’un est interne 
et l’autre externe. Au milieu de ces appendices s'ouvre la bouche 
qui est presque béante. 


Rev. Suisse DE Zooc. T. 24. 1916. 23 


DD2 L. ANDRÉ 


Lorsque l'animal était frais, les appendices étaient mous et 
souples et ils n'étaient pas étendus parallèlement entre eux, 
mais diversement contournés. L’Ascaride n’a certainement pas 
été capable, étant donné la consistance de ces prolongements, 
d'attaquer la muqueuse de l’intestin de son hôte, soit pour se 
nourrir, soit pour se fixer. Il a dû se contenter, pour son alimen- 
tation, du contenu de l'intestin de son hôte, ou des produits de 


A 


F16. A. — Extrémité antérieure anormale d'Ascaris megalocephala. Gross. 
2 fois ; 1, appendice remplaçant la mâchoire droite ; 2, appendice rempla- 
çant la mâchoire dorsale ; 3 et 4, appendices remplaçant la mâchoire gauche. 

Fic. B. -- Coupe transversale d’un des appendices. Gross. 25 fois ; 1, cuticule 
et hypoderme; 2, muscles longitudinaux. (Le dessin au trait se prête mal à la 


représentation exacte des stries des éléments musculaires ; celles-ci devraient 


être beaucoup plus fines et plus serrées.) 


sécrétion ou de désagrégation de la muqueuse du tube digestif. 
On admet que, à l'encontre de ce que l’on peut constater chez 
d’autres représentants de ce genre, l’Ascaris megalocephala ne 
se nourrit pas du sang de l'animal qu'il parasite ; cela semble 
être confirmé par les considérations ci-dessus. En effet, si la 
conformation anormale de la bouche de lindividu que nous 
décrivons, l'avait empêché de se nourrir comme ses congénères, 
cela se serait fort probablement traduit par des dimensions 
au-dessous de la normale, où par un moindre développement 
des organes génitaux. | 


ASCARIS MEGALOCEPHALA 399 


Les appendices buccaux de notre Ascaride étaient finement 
mais nettement striés dans le sens de la longueur, surtout sur 
leur face interne. Cette striation s'explique par la faible épais- 
seur de la cuticule qui lui permet de mouler exactement les 
fibres musculaires longitudinales qui remplissent ces appen- 
dices. Si l’on pratique une coupe (fig. B) au travers de ceux-ci, 
on constate, en effet, que la cuticule est si ténue qu’elle est 
presque imperceptible ; de même la couche hypodermique est 
énormément réduite. Cette ténuité de la couche cuticulaire 
rend très plausibles la mollesse et la souplesse de ces appen- 
dices. Comme on peut le voir sur la fig. B, les muscles consti- 
tuent presque toute la masse des appendices. On voit aussi que 
la partie contractile des éléments musculaires forme partout, 
non pas une gouttière, mais un Canal, comme si, dans ces appen- 
dices, ne se trouvaient que les prolongements des éléments 
musculaires du corps et non pas des éléments complets. 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 
Vol. 24, n° 3. — Février 1916. 


Le problème de l'orientation lointaine 


chez les Fourmis 


et la 


doctrine transcendentale de V. Cornetz 
PAR 


R. BRUN, D' Méd. 
(Zurich). 


Dans deux travaux récents, V. Corxerz ! relate quelques expé- 
riences fort intéressantes concernant la faculté d'orientation 
nocturne chez la Fourmi Tapinoma nigerrimum Nyl. En inter- 
prétant ces expériences, et surtout dans une introduction théo- 
rique précédant le premier de ces travaux, l’auteur revient 
encore sur sa théorie d’un sens spécial, purement interne, perce- 
vant des directions absolues de l’espace, en critiquant spéciale- 
ment, cette fois, certaines opinions que j'ai développées dans 
ma récente monographie ?. Je remercie Cornerz des compli- 
ments qu’il a bien voulu me faire à cette occasion, mais j'aurais 


! Corwerz, V. I. Observations nocturnes de trajets de Fourmis. Rev. Suisse 
de Zool., vol. 22, p. 583, 1914. 

— II. Fourmis dans l'obscurité. Arch. de Psych., XIV, p. 342, 1914. 

? Brun, R. Die Raumorientierung der Ameisen und das Orientierungsproblem 
im Allgemeinen. (Gustav Fischer). Iena, 1913. 

Voir aussi, du même auteur : Das Orientierungsproblem im Allgemeinen 
und auf Grund experimenteller Forschungen bei den Ameisen. Biol. Centralbl., 
35, p. 190, 1915. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916, 24 


356 R. BRUN 


préféré le voir suivre le fil de mes argumentations de point en 
point. Tout en rejetant mes opinions qui différent des siennes, 
il ne fait cependant que reproduire les mêmes anciens argu- 
ments de ses nombreux écrits, ignorant complètement 
les nombreuses contre-expériences que j'ai opposées 
à sa doctrine transcendentale. 

Ceci m'oblige à une réplique. Je parlerai seulement des 
divergences que CoRNETz a spécialement mentionnées dans ses 
deux travaux cités. Elles concernent : 


1. La mémoire des lieux, le tournoiement de TurNER, la 
théorie des « lieux connus » et la vision de grands objets loin- 
tains de la part des Fourmis. 

2. Les nouvelles expériences de CorxerTz et leur interpréta- 
tion. 

3. Le rôle des sensations kinesthésiques et d’un prétendu 
« sens statolithique » dans l’orientation des Fourmis. 

4. Enfin le côté philosophique du problème. 


Je me suis prononcé, dans mon livre, en faveur d’une vraie 
mémoire associalive des lieux, existant, au moins, chez les 
Fourmis supérieures. Ma conclusion était fondée sur une analyse 
détaillée de nombreux faits que j'ai observés moi-même ou que 
lon trouve dans la littérature. Certaines de ces observations 
me paraissaient aussi confirmer l'opinion de Sanrscur' et d’au- 
tres, que les Fourmis (comme du reste les Abeilles) n’appren- 
nent que peu à peu à connaître les environs de leur demeure ?, 


1 Sanrscoui, F. Comment s’orientent les Fourmis. Revue suisse de Zool.Tome 21, 
p. 411, 1913. 

? A l'endroit cité par Cornerz (p.142) j'ai écrit textuellement : « Die nähere und 
fernere Umgebung ihres Nestes » ; voulant indiquer par ces comparatifs mêmes 
l'étendue relativement restreinte de cette connaissance acquise des lieux. 
Or, il paraît que je n'ai pas su me faire comprendre de M. Cornerz comme je 
l'aurais désiré, puisqu'il traduit mes mots par «...les environs proches et loin- 
tains de leur demeure..., » ce qui donnerait à ma phrase une signification beau- 
coup plus absolue et générale que je ne le voulais. un 


F- 


) 


FOURMIS 97 


© 


au cours de voyages d'exploration répétés souvent, et de plus en 
plus étendus (« Orientierungsreisen »). Or, selon CorNErTz(l. c., 
n° 1), cette opinion ne serait qu'une croyance vulgaire touchant 
un peu à l’anthropomorphisme et depuis longtemps réfutée par 
ses expériences sur le tournoiement de Turxer ’. Tout en don- 
nant un résumé assez circonstancié de ces dernières expé- 
riences, CoRxeTz ne tient cependant aucun compte des obser- 
vations positives parlant en faveur de mes opinions ci-dessus 
citées et que j'ai mentionnées en plusieurs endroits de ma 
monographie. Ainsi, à la page 141 de mon livre, j'ai attiré lat- 
tention du lecteur sur la curieuse conduite que l’on peut obser- 
ver chez les Fourmis, quand leur nid a été subitement enlevé 
et transporté dans un endroit nouveau, loin de emplacement 
primitif. Rien de plus suggestif alors que l'observation des pre- 
mières sorties des petits bourgeois auxquels on a joué ce tour. 
Après avoir longtemps hésité à l'entrée même {si c'est un nid ar- 
tificiel) ou sur le matériel entassé de leur demeure, on les voit 
enfin sortir par flots. Tout en s’éparpillant dans les directions les 
plus variées, les Fourmis ne s’avancent cependant que pas à pas, 
les antennes en l'air comme pour flairer et se retournant à 
chaque instant en reculant un peu, paraissant vouloir se graver 
dans la mémoire les différents aspects de la scène. Ainsi, les 
Fourmis ont l’air d'explorer méthodiquement d’abord, par des 
petites poussées collectives, la région proche du nid, avant de 
s’aventurer plus loin, de sorte que, pendant les premiers 
jours qui suivent un tel déplacement artificiel, on ne réussit 
jamais à trouver des exploratrices isolées allant faire un voyage 
lointain et à des distances considérables. Une conduite tout à 
fait analogue s’observe aussi dans les premières sorties des 
Fourmis au printemps, ou encore quand on met un nid artificiel 
en communication avec un long couloir en verre ou avec une 
table à expériences. Ce dernier cas a été décrit et analysé par 


1 Turner. In : Journ. of comp. Neurol. and Psychol., Chicago 1907, fut le pre- 
mier à diriger l'attention sur le fait que les Fourmis rentrant d'une excursion 
lointaine vont fréquemment tournoyer longuement à deux pas de leur trou avant 
de le retrouver. 


358 R. BRUN 


Ch. Enxsr ! chez la Formica pratensis. En lisant l’intéressant 
travail de cet auteur, on ne peut s'empêcher d’être frappé par 
l’étroite analogie du phénomène en question avec le vol d’orien- 
tation des jeunes Abeilles, connu chez les apiculteurs de 
langue allemande sous le nom de « Vorspiel ». Or, depuis les 
belles expériences de v. BuTrEL-REEPEN *, FOREL* et autres, on 
sait que les Hyménoptères ailés à demeure fixe s’orientent à 
l’aide de la vue, soit à l’aide d’une mémoire visuelle des 
lieux, successivement acquise et toujours enrichie par des asso- 
ciations nouvelles. Le « Vorspiel » n’est que le premier anneau 
dans cette chaîne associative ininterrompue, acte instinctif dont 
le but est l'acquisition d’un certain nombre d’engrammes indivi- 
duels, représentant, dans leur ensemble, une connaissance rela- 
tive (quoique extrêmement limitée) du monde environnant. 
Donc, ayant constaté un phénomène tout à fait analogue chez les 
Fourmis, on ne se trompera guère en l’interprétant de la même 
manière. CORNETZ (1, p. 594) fait valoir contre cette interpréta- 
tion le fait que les Tapinoma font souvent la première étape de 
leurs excursions lointaines sur une voie commune avant de se 
séparer pour faire des voyages isolés. Mais c’est là évidemment 
un fait secondaire, qui n’a rien à voir avec le phénomène que je 
viens de décrire et qui est précisément caractérisé par 
l’absence de toute excursion lointaine durant une assez longue 
période initiale. 

L'existence du « voyage d’orientation » chez les Fourmis m'a 
paru être un argument contre la théorie de Corxerz. En effet, si 
les Fourmis étaient capables de revenir à coup sûr d’un endroit 
quelconque, à l’aide d’une donnée sensorielle interne de direc- 
tion pure, elles n'auraient évidemment pas besoin d’une explo- 
ration méthodique, de loin en loin, des environs de leur nid. - 


! Erxsr, Ch. Xritische Untersuchungen über die psychischen Fähigkeiten der 
Ameisen. Arch. f. d. gesamte Psychologie, 1914. 

? v. Burrec-Rexpen. Sind die Bienen Reflexmaschinen ? Biol. Centralbl., 1900. 
— Leben und W’esen der Bienen. Braunschweig, 1915. 

3 Fonec. Expériences et remarques critiques sur les sensations des insectes. 
Riv. di Se. biol. IL et 111, 1900-1901. — Das Sinnesleben der Insekten. München 
(Reinhardt), 1910. 


FOURMIS 399 


Cette objection m'est retournée par CorNETz (I, p. 594). Il répond 
à son tour que « justement, la constatation de cette faculté de 
l’œil-boussole devrait avant tout modifier lopinion anthropo- 
morphique supposant la nécessité d’une connaissance acquise 
progressivement avant d'aller au loin. » Après quoi, CoRNETz 
cite le cas des Messor, qui, revenus à proximité du nid, d’une 
course lointaine de 25 à 30 mètres dans « l’inconnu », vont errer 
lamentablement à deux pas de leur trou (Phénomène de TURNER), 
là où leurs deux moyens d'orientation, agissant séparément ou 
conjointement, lœil-boussole et le « sens des attitudes » {soit 
le sens de direction absolue) ne leur servent plus à rien. 

Or, on se rend facilement compte que les Fourmis, même dans 
leurs voyages isolés, loin du nid, ne se trouvent que très rare- 
ment dans « l’inconnu » dans le sens absolu du mot, livrées 
exclusivement à leur boussole optique ou encore au sens mysté- 
rieux de CorNETz. On aime à citer comme preuve d’une pareille 
supposition le phénomène de PréRox ': la marche parallèle ou 
conservation de la direction ancienne après transport latéral. 
Mais comment se fait-il alors que ce phénomène fasse 
presque régulièrement défaut(mêmechezles Fourmis 
psychiquement inférieures), lorsque le transport laté- 
ral a eu lieu en un terrain essentiellement dissemblable 
à celui de l’emplacement primaire ? Dans la très grande 
majorité des cas, les Fourmis se montrent alors complètement 
désorientées, au lieu d'exécuter la marche parallèle de PrÉRoN, 
comme elles le font lorsque l'emplacement secondaire est sem- 
blable au premier. À mon avis, ce fait négatif est une preuve 
indiscutable que les Fourmis, dans leurs voyages loin- 
tains, font usage aussi de certaines données mnémi- 
ques générales relatives aux propriétés topochimi- 
ques et visuelles du terrain parcouru, — nolions qui se 
coordonnent en s’associant au repère fourni par l’œil-boussole, 
contribuant ainsi, dans une certaine mesure, à l’orientalion de 
la petite bestiole isolée. Ce n’est qu’en cas d'absence complète 


! Bull. Inst. gén. Psychol., 190%. 


360 R. BRUN 


de tout repère topo-visuel différencié que le mécanisme de 
Sanrscui1 fonctionne seul, mais ce cas simplifié est si rarement 
réalisé dans la nature que j'avais été obligé d’en créer artifi- 
ciellement les conditions afin de pouvoir étudier isolément la 
puissance pure de la faculté de l'œil boussole ou encore de la 
faculté olfactive. Il y a aussi lieu de croire que ces notions 
mnémiques générales du terrain parcouru ne résultent pas uni- 
quement de l'aller récent, mais qu’elles ont été successive- 
ment acquises au cours de nombreuses excursions antérieures, 
faites dans la même direction. 

En tout cas, il faut convenir avec Sanrscui que la preuve 
certaine que telle ou telle Fourmi, voyageant seule aux envi- 
rons du nid, se trouve en terrain inconnu pour elle, ne pourra 
être établie que très exceptionnellement. 

En passant maintenant à l’analyse expérimentale du 
tournoiement de Turner, si bien faite par CoRNETz ! et 
citée par lui contre l'opinion en question, il y a lieu de constater, 
tout d’abord, que ces expériences, loin de fournir un argument 
contre l'existence d’une mémoire des lieux chez les Fourmis, 
la confirment plutôt, tout en ne permettant aucune conclusion 
sur la manière dont cette connaissance relative des lieux a été 
acquise. 

L'expérience de Counerz consistait à capturer des Fourmis à 
l'entrée de leur nid et à les transporter ensuite en un lieu quel- 
conque, à une distance de plusieurs mètres. Il est vrai que 
Cornerz, avec des Fourmis à courte vue indistincte (Fourmis 
qu'il qualifie, non sans raison, d’ « espèces inférieures »), obte- 
nait, à de rares exceptions près, des résultats négatifs, vu 
que ces Fourmis, après un tel «transport primaire », n’exécu- 
taient que des tournoiements déréglés et ne retrouvaient leur 
trou que par pur hasard. Chez les « espèces supérieures », à 


1 Cornerz. Texte explicatif de l'album faisant suite aux trajets de Fourmis, 
p. 1-8, Mém. Inst. gén. Psychol., Paris, 1912. k 

— La connaissance du monde environnant pour une Fourmi d'espèce supé- 
rieure. Rev. des Idées, 1912, 

— De lu durée de la mémoire des lieux, ete. Arch. de Psychol., 1912. 


FOURMIS 301 


vue relativement distincte, le résultat est différent. Ici, lon voit 
presque toujours, après un court trajet initial plus ou moins 
méandrique, se produire un acte de soudaine reconnais- 
sance, de sorte que la Fourmi, en un endroit quelconque 
qui, le plus souvent, ne diffère en rien de son entourage, va 
tout à coup se diriger droit vers le nid. Capturée de nouveau à 
l'entrée de celui-ci et replacée en ce « lieu connu C1 », elle s'y 
reconnait de suite, prenant de nouveau la direction à peu près 
exacte vers le nid. En la reportant maintenant à un point inter- 
médiaire (J) du trajet C& — N qu'elle venait de parcourir (point 
qui peut même être rapproché jusqu'à un mètre du lieu connu 
C1), on la voit de nouveau livrée au hasard, errant çà et là, jus- 
qu'à ce qu’elle ait trouvé un second lieu connu C2 où le phéno- 
mène de reconnaissance (prise de la direction vers N) se repro- 
duit. 

Corxerz croit devoir conclure de ces résultats que même Îles 
Fourmis supérieures n’ont qu’une connaissance très imparfaite 
de la région proche de leur gîte; mémoire discontinue 
« comme un petit catalogue de lieux connus C isolés dans l'in- 
connu. À chaque image visuelle d’un tel lieu s'associe le sou- 
venir de la direction à peu près exacte C — N. » 

J'ai fait deux objections à cette interprétation (1. €., p. 156). 

Premièrement, la supposition que les Fourmis puissent fixer 
des images visuelles différenciées d’un petit lieu quelconque, 
situé par exemple au milieu d’une place déserte et ne différant 
en rien de son entourage, cette supposition, dis-je, m'a paru 
extrémement invraisemblable. 

Puis, je me suis efforcé de démontrer qu'une pareille con- 
naissance locale isolée, même si elle existait, devrait être par- 
faitéement inutile à la Fourmi pour s'orienter vers un second 
lieu N. Logiquement, la prise d’une direction ne peut résulter 
que d’un acte d'association sensorielle du point de départ avec 
le point final du voyage à exécuter !; cette association peut être 


1 C'est au fond l’axiome géométrique disant qu'une ligne est déterminée 
par deux points au moins. 


362 R. BRUN 


directe ou indirecte, au moyen de points de repères intermé- 
diaires. Supposer la possibilité d’une mémoire pour la 
prise d’une direction absolue de l’espace, non déter- 
minée par des points de repère, revient donc à préco- 
niser une hypothèse transcendentale (métaphysique) 
inconcevable à la raison logique et inadmissible en 
science. 

La première objection n’est pas même prise en considération 
par CoRNETZ. Quand à la seconde, il la reconnait irréfutable, 
n'essayant guère de la contester et déclarant seulement que ce 
phénomène de réorientation en un lieu C lui avait paru telle- 
ment énigmatique qu'il s'était cru obligé de recourir à une 
hypothèse métaphysique. Or, j'ai donné une explication simple 
du phénomène en question, en suggérant que ladite réorienta- 
tion mystérieuse en ces « lieux connus C » n’est pas, dans la 
plupart des cas, due à une reconnaissance de ces lieux-mêmes, 
mais plutôt à la réidentificalion visuelle de certains grands objets 
lointains auxquels la position relative du nid est associée. 
Corxerz, préférant toujours son hypothèse transcendentale, me 
réplique que cette supposition ne lui expliquerait pas pourquoi 
cette reconnaissance ne s’effectuerait que dans un lieu restreint 
C et non pas en un lieu J tout rapproché de C et intermédiaire 
du trajet C — N que les Fourmis venaient de parcourir. Il paraît 
donc lui avoir échappé que j'ai prévu cette dernière objection 
et y ai répondu quelques lignes plus bas, à la page 156 de mon 
livre, où j'ai textuellement écrit : « ...Und der Umstand, dass 
die plôtzliche Richtungsänderung nur an ganz bestimmten 
Punkten erfolgt, kônnte damit zusammenhängen, dass das 
betreffende Objekt nur solange erkannt und mit der Lage des 
Nestes assoziiert wird, als es unter einem ganz bestimmten 
Gesichtswinkel erscheint... » J'ai comparé l'effet produit par des 
objets lointains (arbres, murailles, etc.) proches du nid à Pelfet 
du phare indiquant de nuit au marin la position du port. Il va 
sans dire, cependant, que la réidentification visuelle d’un tel 
objet, plus ou moins sombre et indistinctement perçu (quoique 
ayant une forme définie par comparaison à une simple zone lumi- 


FOURMIS 363 


neuse), demandera une concentration aperceptive beaucoup plus 
élevée que l'orientation sur un centre lumineux, tel que le soleil. 
IL est du reste fort probable qu’il s'agit souvent, dans ce cas, plu- 
tôt de reconnaissance d’une constellation, c’est-à-dire d’un 
ensemble de plusieurs objets lointains, formant un groupement 
caractéristique, que de récognition d’un seul repère. Quoi qu'il 
en soit, on fera bien de se rappeler que l'acte psychique de 
la reconnaissance différenciée (homophonie mnémique de 
SEMON !) est toujours un phénomène relativement complexe. 
IL résulte d’une représentation interne de plusieurs impressions 
(engramimes)associées, dont la réalisation («ecphorie»)ne dépend 
pas seulement de la vivacité des engrammes en jeu, mais en- 
core de bien d’autres circonstances accessoires, comme : degré 
de perturbation de la bête lors du transport, son activité psychi- 
que générale à ce moment, etc., bref, de cet ensemble de 
circonstances diverses que SEMON a désigné sous le terme de 
« situation énergétique générale, externe et interne. » Ainsi 
s'explique le fait que l’on est quelquefois surpris par une réaction 
négative de la part d’une Fourmi que l’on croit avoir replacée 
exactement dans la même situation que celle d’une première 
expérience. 

D'autre part, il ne faut pas non plus oublier qu’à cette limite 
inférieure de l’activité cérébrale plastique, telle qu’elle est repré- 
sentée par les Insectes sociaux, même les associations indivi- 
duellement acquises s'effectuent dans des voies extrêmement 
bornées. Attachées, le plus souvent, à des situations étroite- 
ment déterminées, elles ne peuvent se réactiver qu’à condition 
que ces situations spécifiques se reproduisent au complet. 
Une légère dissemblance suflira souvent pour arrêter net un tel 
automatisme secondaire qui, en tant qu'il ne laisse qu'un jeu 
minime à cette association combinée connue chez l’homme 
sous le terme de « représentation raisonnée », affecte quelque- 


1! Skmox. Die Mneme. Leipzig, 1908 (2, Ed.). La terminologie exacte et neutre 
de SemMoN me parait particulièrement bien convenir à la psychologie comparée 
en tant qu'il s'agit de la désignation des phénomènes mnémiques. 


364 R. BRUN 


fois le caractère des « réflexes conditionnels » de PAwLow et 
de KALISCHER !. 

Pour en venir aux exemples, il me suflira de citer les trois 
cas suivants, que J'ai observés plus d’une fois au cours de mes 
nombreuses expériences de contrôle et qui démontrent que 
les choses ne se passent pas toujours aussi schématiquement 
que CorneTz veut bien nous le faire croire. En effet, il n’est 
pas rare que l’on puisse observer les faits suivants : 

1. Des Fourmis capturées près du nid, ou sur un parcours 
collectif, ou encore en voyage isolé, et transportées en un lieu x 
tout à fait quelconque, s’y reconnaissent de suite, courant 
droit vers le nid, sans tournoiement préalable. (Voir dans mon 
livre les observations 36, 1 b et d, p. 168, et 36, 4 y, p. 173.) 

2. Par contre, d’autres, après un tel transport, paraissent 
complètement désorientées au premier abord, mais, reve- 
nues par hasard, au cours d’un tournoiement excen- 
trique, en ce même lieu inconnu de tout à l’heure, s’y 
reconnaissent cette fois, et prennent la direction du 
nid:(O0bs.:30"#6€,-p."173.) 

3. Enfin, il arrive parfois, qu'une Fourmi reportée en un 
« lieu connu C » où elle avait fait acte de reconnaissance tout 
récent, ne s y reconnaît plus celte fois, mais se met à tournoyer 
au hasard. (Obs. 40, b 6, p. 192.) 

De tels résultats paradoxaux d’une expérience fort simple en 
apparence nous apprennent que, dans les cas réels, on ne se 


1 L’éminent physiologiste russe PawLow a fait l'intéressante découverte, chez 
le Chien, que des stimulants actuels tout à fait hétérogènes (par exemple opti- 
ques), lorsqu'ils accompagnent constamment un acte instinetif tel que le manger, 
finissent à s'associer étroitement à ce dernier acte. Cette association se mani- 
feste par le fait que plus tard la seule réapparition de ces stimulants accessoi- 
res, en l'absence de toute nourriture, suffit pour produire le réflexe de la saliva- 
tion qui primairement est exclusivement lié au contact d’un aliment. Or, chose 
plus intéressante encore, si l’on applique maintenant un changement minime à 
ce slimulant secondaire (en remplaçant par exemple un disque rouge par un 
carreau de la même couleur). on voit aussitôt aboli ce réflexe conditionnel, qui 
se montre ainsi exclusivement lié à une forme toute définie. Ce dernier fait a 
élé ingénicusement utilisé par KaLiscHEer et d’autres pour déterminer le degré 
d'acuité des différentes facultés sensorielles, comme par exemple l’acuité acous- 
tique, chez les animaux supérieurs. 


FOURMIS 30) 


trouve pas toujours en présence d’une simple alternative. En 
psychologie comparée, il faut toujours tenir compte des diffé- 
rents degrés par lesquels les phénomènes psychiques peuvent 
se manifester. 

Passant maintenant à la question principale, à savoir si les 
Fourmis sont capables ou non de percevoir des grands objets 
éloignés et de s’en servir comme repères, je dois formellement 
insister sur ce point, que la vision lointaine des Fourmis n'est 
pas, comme CornerTz le prétend (1, p. 586-87) « une supposition 
aucunement démontrée », mais qu'il s’agit d’un fait établi. 
D'abord, ce fait a été directement constaté par FOoREL 1, SANTSsCHI 
et autres. 

FoREzL versa un jour un sac rempli de Lasius fuliginosus au 
milieu d’une route ensoleillée. S’étant accroupi auprès d'elles 
pour les observer, il se vit aussitôt poursuivi par ces Fourmis 
lucifuges qui, d’un seul élan, se dirigèrent rapidement sur lui 
et le suivirent partout où il se tourna, et cela jusqu’à 5 mètres 
de distance! Afin de bien juger la portée de cette observa- 
tion fortuite, il faut savoir que cette Fourmi ne possède que 
200 facettes environ à chaque œil et qu’elle se range par consé- 
quent parmi les « espèces inférieures » par rapport au déve- 
loppement de sa faculté de vision distincte. 

SanrscHi?, ayant trouvé un nid de Camponotus maculatus 
subsp. barbaricus, au pied d’un Palmier isolé dans une plaine 
découverte, captura un certain nombre de Fourmis et les sema 
dans un rayon de 2 à 3 mètres autour de l'arbre. Au lieu de 
tournoyer longuement (comme elles font d'habitude en pareil 
cas), la plupart de ces Fourmis se mirent aussitôt à courir con- 
centriquement vers le Palmier et retrouvèrent ainsi le nid en 
très peu de temps. «Quelques-unes », ajoute SaNTSsGHr, « étaient 
momentanément désorientées lorsqu'elles passaient au fond 
d’une dépression (sillon d’un terrain de labour) qui pouvait leur 
cacher le Dattier ». Cette dernière constatation est particulière- 


! Forez. Fourmis de la Suisse, 187%, p. 120-21. 
2 Sanrscui, L. c., p. 382-83. 


366 R. BRUN 


ment intéressante parce qu’elle confirme une objection de 
Corxerz disant (1, p. 587) que cette prétendue vision lointaine 
serait à chaque instant sérieusement compromise, vu la peti- 
tesse de l’Insecte, par rapport à laquelle la moindre bosse du 
sol prendrait les dimensions d’une colline masquant lho- 
rizon. C’est là précisément ce qui arrive, mais il paraît que 
pour le maintien d’une direction générale il suffit pleinement 
que le repère visuel éloigné soit perçu par intervalles. Il est du 
reste fort probable que, durant ces courtes éclipses, la kines- 
thésie (sens des déviations) puisse intervenir dans une certaine 
mesure pour garantir la continuation quasi rectiligne de la 
direction générale. Il suflit de se rappeler le cas d'un homme 
se dirigeant à travers une forêt clairsemée, pour se faire une 
idée d’un pareil mécanisme visuo-kinesthésique associé. Jai 
moi-même provoqué expérimentalement le phénomène de déso- 
rientation passagère décrit par SANTScHt en entassant devant 
une F. sanguinea retournant à sa demeure une barrière de 
sable haute de 10 centimètres et longue de 3 mètres environ 
(L. e., fig. p. 26, 159, texte p. 163, 7). La Fourmi en fut visible- 
ment troublée; déjà 20 centimètres avant d'arriver à l'obstacle, 
elle dévia fortement à gauche, faisant un long crochet pour le 
contourner. Mais comme elle n’en finissait pas, elle revint sur ses 
pas et se décida à franchir la barrière, reprenant seulement 
alors son orientation primitive. 

Parmi mes propres expériences, ce fut surtout la suivante 
(L e., p. 124, observ. 26 c) qui me suggéra pour la première 
fois La possibilité d’un repérage visuel sur des grands objets 
plus ou moins éloignés et vaguement perçus, de la part de cer- 
taines espèces de Fourmis. En mai 1913, j'assistais à un démé- 
nagement d’une grande colonie de F. rufa, dans mon jardin. 
À un moment donné, il y avait deux parcours parallèles, traver- 
sant un chemin du jardin à une distance de 4 mètres. J'en- 
ferme une recruteuse ! marchant sur Ty1 dans une boîte et je la 
transporte sur T}», en terrain similaire. Je m'attendais à la voir 
continuer son chemin sur ce second parcours allant au même but 


ie , Dh 
Fourmi portant une congénère. 


FOURMIS 367 


et à peu près dans la même direction. Il n’en fut rien, car aussitôt 
qu'elle fut sortie de la boite, ma Fourmi tourna à droite, et, 
corrigeant entièrement le considérable déplacement latéral, ne 
reprit son orientation primitive qu'après être rentrée en Ti ! 

L'analyse du cas est simple : transport latéral de 4 mètres sur 
un terrain de parcours absolument analogue au terrain primitif, 
comme direction et comme caractères lopochimiques. Néan- 
moins, la marche parallèle de Préron (orientation virtuelle de 
SANTSGHI) n'a pas lieu, mais il y a, au contraire, abandon de la 
direction primitive et réorientation directe sur Tp1. Par consé- 
quent, ni l’olfaction, ni l’œil-boussole de Saxrscni, ni non plus 
le mystérieux sens de CorxETz, ne peuvent êlre en jeu. La 
« kinesthésie » (repérage sur les positions successives de l'axe 
médian du corps) est également exclue, par la simple raison que 
le déplacement imposé à la Fourmi se fit par transport passif. 
A force d'exclusion, nous arrivons donc à la seule explication 
possible, soit que cette Fourmi avait reconnu en Tp2 quelque 
grand objet distant (ou une constellation d'objets pareils) qui lui 
avait servi de repère pour le maintien de sa direction générale 
sur Tp1, dans cette partie spéciale dudit parcours. 

Afin d’élucider la question à fond, je me suis servi d’une nou- 
velle méthode qui peut suppléer aussi dans une certaine mesure 
à l'observation pénible des voyages isolés, assez rares chez cer- 
taines espèces par rapport au nombre des courses collectives. 
Dans cette méthode, que j'ai appelée l'expérience de la 
marche forcée, l’on procède comme suit. On force des Four- 
mis à s'enfuir de leur nid ou de leur parcours habituel, puis on 
leur fait exécuter, en les dirigeant avec les mains, un trajet arti- 
ficiel d’une étendue et d’une configuration fixées d'avance, dans 
une direction quelconque. La Fourmi avec laquelle j'expéri- 
mentais de préférence était la F. sanguinea. Un nid de cette 
espèce se trouvait sur les bords d’une grande place sablonneuse 
qui me servait d'arène. 

Je fis d’abord exécuter des trajets simples de 5 à 10 mètres 
dans une seule direction. Le résultat fut invariablement le 
même : aussitôt libérées, les Fourmis regagnaient leur point 


368 R. BRUN 


de départ par la ligne la plus directe ; à peine y avait-il une 
légère sinuosité. Je leurs fis faire alors des trajets rectangu- 
laires jusqu’à 17 mètres de distance, dans deux directions 
successives. Elles en revenaient promptement, mais, cette fois, 
en fermant directement le polygone par la ligne de l’hypothé- 
nuse, donc, à l'encontre de la règle de CornEerTz qui leur aurait 
prescrit la réversion successive des deux directions de laller. 
Ce retour direct ne pouvait done s'expliquer ni par l’œil-bous- 
sole de Sanrscui, ni par le sens directeur absolu de CoRNnerz. 
Mais peut-être les points terminaux f du voyage forcé étaient- 
ils des « lieux connus CG » pour les Fourmis ? Une simple expé- 
rience de contrôle nous démontre qu’il n’en est rien. Pour le 
vérifier je n'avais qu’à transporter mes Fourmis préalablement 
en f'avant de leur faire exécuter le trajet angulaire. Or, après 
ce transport passif, elles étaient absolument incapables de se 
réorienter vers le nid, alors que ces mêmes Fourmis, reportées 
en N et forcées maintenant de faire le trajet N — f sur leurs 
propres jambes, retournaient promptement « à vol d’Abeilles », 
comme d'ordinaire. Reste la théorie de la kinesthésie, soit 
l'acquisition d’une «représentation d'ensemble » du polygone 
décrit et de la compensation à faire, au moyen d’une association 
compliquée de la notion musculaire de l'angle avec la sensa- 
tion « podométrique » des deux longueurs parcourues. Il fallait 
donc empêcher le fonctionnement de la kinesthésie. Dans ce 
but j’impose à mes Fourmis des voyages compliqués en leur 
faisant-faire des demi-cercles énormes ou encore des trajets 
polygonaux d’une forme tout à fait quelconque, à nombreux 
crochets et détours. Mais les Fourmis retournaient toujours 
sans la moindre hésitation; dans le premier cas elles suivaient 
à peu près la sécante, dans le second elles prenaient la résul- 
tante approximative de la somme totale des diverses directions 
de l'aller. Serait-on disposé à soutenir là encore l'hypothèse 
de la kinesthésie ? Ce serait les déclarer capables de résoudre 
à l’improviste un problème de p'animétrie, qui donnerait des 
maux de tête à l'élève d’une école supérieure, même s'il avait 
à le calculer sur le papier. * 


FOURMIS 309 


Jusqu'ici, les résultats de notre analyse parlent singulière- 
ment en faveur de la supposition d’une réorientation visuelle, 
aux points terminaux / de ces voyages forcés, au moven d’une 
réidentification de quelque grand objet éloigné situé près 
du nid ou derrière lui, et servant de repère grâce à cette 
position relative. Pour en avoir la preuve directe, il faudrait 
donc supprimer ce mécanisme, soit en éliminant les objets 
supposés dudit repérage (objets inconnus du reste !), soit en les 
cachant à la vue directe de la Fourmi. Pour des raisons faciles 
à concevoir, je choisis la seconde éventualité. Je fis exécuter à 
une Fourmi un trajet angulaire énorme, de 34 mètres, trajet 
qui la conduisit loin au delà de l'arène habituelle de mes expé- 
riences, en un point final f d’où la vue directe était barrée par 
des arbres interposés. Néanmoins, ma Fourmi revint. Cepen- 
dant, au lieu de reprendre directement par lhypoténuse, comme 
toutes ses amies avaient fait lorsqu'il s'agissait de trajets angu- 
laires, elle commença cette fois en reprenant la seconde direc- 
tion de l'aller, conformément à la règle de CorxerTz. Mais dès 
qu’elle eut regagné la grande place de sable, elle changea brus- 
quement de direction et revint au nid par l’hypoténuse. 

Je fis enfin les expériences de contrôle suivantes : 

1. Je supprimai le sens visuel chez ces Fourmis « supérieu- 
res » en noircissant la cornée de leurs yeux à facettes d’après 
la méthode de Forez! Les individus ainsi traités étaient 
absolument incapables de retourner directement, même après 
un trajet forcé rectiligne de 2 mètres seulement, et ils étaient 
obligés d'attendre le passage d’une congénère pour se faire 
emporter. 

2. J'ai aussi appliqué la méthode de la marche forcée à des 
« Fourmis inférieures », à courte vue indistincte (Lasius niger, 
Myrmica laevinodis), en leur faisant faire des trajets de 4 à 6 
mètres seulement, rectilignes ou à deux directions successives. 
Les résultats furent caractéristiques. Dans le premier cas (tra- 
jets simples), il y avait bien des retours directs, mais ces retours 


1 Forez. Das Sinnesleben der Insekten, p. 48. München, 1910. 


370 R. BRUN 


manifestaient un manque de précision remarquable (erreurs 
latérales jusqu’à 30°). Dans le second cas, ce manque de süreté 
était encore plus marqué: la marche diagonale ne se manifestait 
qu'au commencement, pendant les premiers décimètres ; puis 
apparaissait une vague tendance à prendre la seconde direction 
de l'aller, et enfin le « retour » dégénérait en un tournoiement 
excentrique. Toutefois, il y avait là une intéressante différence 
entre les deux espèces. Le Lasius (ayant environ 180 facettes 
à chaque œil, d’après mes observations) finit par atteindre le 
bord de la place (avec une erreur latérale de 1",6, il est vrai, et 
après avoir fortement sinué) et s’y réorienta tout à coup vers N, 
tandis que les Myrmica (n'ayant que 105-115 facettes d’après 
FoREL) se perdaient en un tournoiement sans fin. 

Je pense que ces expériences sont concluantes. Procédant par 
la méthode de l’exclusion, nous avons élucidé progressivement 
la nature de ce facteur inconnu qui a permis à des Fourmis supé- 
rieures de se réorienter immédiatement, après les péripéties 
les plus variées, vers leur point de départ, dans un lieu f quel- 
conque distant de plus de 10 mètres. Après avoir soigneuse- 
ment écarté toute autre éventualité, nous nous sommes arrêté 
à la seule interprétation possible, soit que ce facteur inconnu 
était bien la vision, à savoir la vision différenciée, plus ou 
moins distincte, permettant l’aperception de certains grands 
objets éloignés dont les formes sont associées avec la position 
relative du nid. 

Au point de vue physiologique, on ne peut rien objecter de 
sérieux à cette interprétation des faits. Il me paraît au contraire 
que la physiologie de l’œil composé impose a priort l'existence 
du mécanisme visuel décrit, étant donné que chaque objet du 
monde environnant doit forcément se dessiner sous quelque 
forme dans le système dioptrique de l’Insecte et que laper- 
ception plus ou moins nette de ces formes projetées dépend 
principalement de la grandeur de l’objet correspondant !, Puis 


Il y a lieu de remarquer ici que l'opinion vulgaire, qui représente les 
Insectes comme des « myopes », ne tient pas debout dans le sens littéral (opti- 
que) du mot, Dans une intéressante brochure (Wie die Tiere sehen, verglichen 


FOURMIS al 


il y a des considérations d'ordre plutôt phylogénétique parlant 
également en faveur de ladite interprétation : c’est le fait que 
chez les autres Hyménoptères sociaux on a la preuve que lorien- 
tation lointaine est presque exclusivement visuelle. 

Dans la plupart de mes expériences sur la marche forcée, 
l’image visuelle des objets-repères était probablement simulta- 
nément associée avec la position relative du nid. Mais le cas de 
cette Fourmi qui, après un trajet énorme (34 mètres) sul réaliser 
un retour direct, ce cas, dis-je, me semble clairement indi- 
quer que les Fourmis supérieures (comme organisation psychi- 
que) sont capables même d'enregistrer un complexe d’engram- 
mes successivement associés, correspondant à une série de 
plusieurs repères visuels se succédant au cours d’un seul et 
même voyage. Car, évidemment, la Fourmi dont nous avons 
parlé avait dû se fixer un second point de repère au moment où, 
dans sa progression involontaire, elle venait de perdre de vue 
le premier, et celte même nécessité s'était peut-être imposée 
encore une ou plusieurs fois avant que le point final f du 
voyage füt atteint. 

Un mécanisme pareil ne diffère plus, en principe, de celui de 
l'orientation visuelle lointaine telle qu’elle est réalisée chez 
l'homme et chez les animaux supérieurs, et qui se base sur une 
vraie mémoire des lieux, c’est-à-dire sur la présence d’un 
certain nombre d’engrammes différents, liés entre eux par 
association successive continue. La présence d’une telle 
mémoire chez les Fourmis supérieures (du moins dans 
ses commencements) me paraît être hors de doute. J'ai 
vu par exemple des Fourmis(F. rufa, sanguinea) qui, replacées 
sur l'emplacement d’un ancien nid abandonné depuis 15 jours 
et à plus de 30 mètres de distance du nouvel établissement, s’y 
reconnurent de suite, courant droit vers le nouveau nid en 


mit dem Menschen, Wien, 1915) Tscarrmak fait sur cette question la remar- 
que suivante : « ...Anderseits liefern die Facettenaugen auch von fernen Objek- 
ten fast ebenso scharfe, allerdings weniger gut aufgelôüste Bilder als von nahen 
Gegenständen, Die übliche Bezeichnung der Gliedertiere als « kurzsichtig » ist 
also nur mit Vorbehalt anzunehmen. » 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 25 


372 R. BRUN 


suivant exactement l’ancien terrain de parcours, si souvent 
parcouru, lors du déménagement. Jai déerit (1. c. p. 164-174) 
une série d'observations similaires, en les analysant en détail. 

Il y a donc lieu de modifier quelque peu l’axiome de CoRNETz 
disant que « le retour est fonction de laller », dans ce sens 
qu'un retour actuellement observé chez telle ou telle Fourmi ne 
doit pas nécessairement se fonder uniquement sur les données 
mnémiques d’un aller actuel, mais qu’il peut se baser aussi sur 
des ecphories d’engrammes fixés au cours de nombreux voyages 
antérieurs. 

Il va sans dire que, chez les Fourmis, celte mémoire des lieux 
ne peut être exclusivement — ni même de préférence — une 
mémoire visuelle. Ce n’est que la locomotion orientée, la 
prise de direction par exemple d’un lieu N vers un second 
lieu N1, qui est déterminée en première ligne par la vision 
lointaine. Quant à la récognition elle-même de ces lieux, — 
acte primaire devant nécessairement précéder la prise de direc- 
tion, — elle est très probablement due autant à certains 
engrammes topoolfactifs qu'a l’aperception visuelle des détails 
desdites localités, en supposant toujours que ces lieux se 
distinguent de leur entourage par un cachet topochimique indi- 
viduel. Cette dernière condition était remplie par exemple dans 
le cas de ces Fourmis que nous avions replacées sur le dôme 
à matériaux de leur ancien nid abandonné depuis 15 jours. 
C'était probablement la recognition topoolfactive de ces décom- 
bres familiers qui fit d’abord surgir, dans le cerveau des 
Fourmis, le souvenir du parcours N — N1 si souvent répété 
autrefois. Les complexes visuels lointains correspondant à la 
première étape de ce chemin furent ensuite recherchés, el ainsi 
de suite, la réitération successive de ce parcours se réalisa 
d'étape en étape, selon la loi mnémique de l’ecphorie succes- 
sive (SEMON). Nous avons vu du reste, au commencement de ce 
chapitre, que le sens topochimique ne cesse de fournir des 
données mnémiques générales sur toutes les étapes de la marche 
elle-même. Cette engraphie coordonnée se simplifie considé- 
rablement lorsqu'une partie du chemin est pour ainsi dire 


FOURMIS 19 


«canalisée » par des contours topiques préformés, comme 
pieds de murs, bords de trottoirs, talus, etc. Il est clair que, 
par le fait de la localisation asymétrique (unilatérale) de ces 
complexes visuo-topochimiques, les deux directions rela- 
tives d’un tel chemin seront immédiatement déterminées, de 
sorte que la Fourmi, à chaque étape de son voyage, sera au 
courant de la direction relative du point terminal qu’elle cherche 
à atteindre, par rapport à celle du point de départ. L'existence 
de ce mécanisme, depuis longtemps présumé par TurNER, CoRr- 
NETZ, SanTscHi, ERNST et autres a été physiologiquement 
démontré par moi-même (1. c., p. 92 ss.) chez le Lasius ‘fuligt- 
nosus, à l’aide d’une nouvelle méthode permettant l’étude isolée 
des facultés topoolfactives, à l'exclusion de tout autre repérage, 
notamment de l’œil-boussole. 


Il 


Dans ses nouvelles expériences, CoRNETz croit tenir la preuve 
certaine que, chez les Fourmis, la reprise d’une direction quel- 
conque maintenue auparavant dans l’espace, peut, en principe, 
s'effectuer indépendamment de tout repère sensoriel externe. 

La première série desdites expériences, publiée dans cette 
Revue, n’est qu'une répétition, la nuit et en grand, de la vieille 
expérience de BoxxET. Par une nuit sombre (sans lune) CORNETZ 
interrompt une piste très fréquentée de Tapinoma nigerrimum 
Nyl, par balayage et lavage violents du terrain, sur une longueur 
de 3 à 4 mètres. En observant ce qui se passe au moyen d’une 
lampe, qu'il « masque de temps en temps », il constate que la 
communication se rétablit dans le même laps de temps, que 
si l'expérience avait été faite de jour, soit en 15 à 18 minutes. 
Le soir suivant, CorNerz répète l'expérience, mais cette fois il 
fait poser un plancher en bois sur le milieu de la partie détruite 
de la piste, recouvrant le sol sur 2 mètres de large et 1 à 2 centi- 
mètres au-dessus du terrain. La piste se reconstitue dans le 
même temps de 15 à 18 minutes. 

Ces expériences sont sans doute intéressantes, mais je ne 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. PAST 


374 R. BRUN 


trouve pas que les repères externes y aient été suflisamment 
éliminés. D'un côté, CoRNETZ a opéré la nuit afin d’enlever 
aux Fourmis toute possibilité de s'orienter par la vue, de 
l’autre, il introduit cette même possibilité en se servant d’une 
lampe pour observer. À moins que, durant l'observation, ee 
phare providentiel ait continuellement changé de place, il 
a dû donner un excellent repère secondaire aux Fourmis 
traversant les premières l’espace interrompu de la piste, suivant 
la règle générale que des impressions secondaires peuvent 
varier pour un stimulant vectoriel principal disparu, lors- 
qu'elles ont constamment accompagné ce dernier avant sa dispa- 
rition ?, L’occultation temporaire d’une telle source lumineuse 
n'empêche aucunement les Fourmis de se repérer, sans compter 
le fait qu'une occultation telle que Corxerz l’a pratiquée laissera 
toujours une périphérie de luminosité relative du côté de 
« l'astre » éclipsé. Il est vrai que, dans la seconde variante de 
l'expérience, le plancher improvisé cachait l'aspect direct de la 
source lumineuse aux Fourmis s’engageant en dessous. Mais, en 
revanche, l'intervalle qu’il y avait entre le sol et ladite planche 
laissait filtrer une longue bande de lumière du côté éclairé par 
la lampe, formant comme une zone unilatérale de luminosité 
relative, dont l'intensité était relevée encore par le contraste 
avec l'obscurité régnant sous la planche. 

Les expériences de la seconde série (Arch. de Psychol.) sont 
plus difficiles à expliquer. Il suffira pour nos besoins d’en résu- 
mer ici la variante la plus perfectionnée : une attrape (os de 
côtelette) est posée, le jour, en un lieu +, non loin d’une colonie 
de Tapinoma nigerrimum. Afin d'habituer les Fourmis à obscu- 
rité, la provende est recouverte d’un couvercle métallique cireu- 
laire reposant sur trois petites cales, de façon à ne laisser qu'une 
mince fente de 2"" environ entre son bord et le sol. Bientôt, 
deux files de Fourmis s’établissent vers la provende, l’une par- 
tant d’un nid situé dans l'Ouest, l’autre d’un nid dans le Sud- 
Ouest. Quand la nuit est tombée, l'os, couvert de 300 à 400 


? Voir p. 36-37 de mon livre. 


FOURMIS 319 


Fourmis, est rapidement enlevé et porté en un second lieu 1, 
préparé d'avance sous une tonnelle de jardin. En déposant los, 
Corxerz le fait encore tourner de 90-180°, puis remet le cou- 
vercle. Ces manœuvres ont forcément dû s’exécuter à l’aide 
d'une lampe, mais aussitôt que le couvercle est posé, CORNETz 
laisse la scène dans l'obscurité, se contentant de revenir tous 
les quarts d'heure pour voir ce qui s’est passé. Ce qu’il constate 
alors, en relevant le couvercle, est en effet très curieux : peu à 
peu l’on voit se former deux groupes distincts de Fourmis sor- 
tant par-dessous le converele et poussant à peu près dans les 
mêmes directions générales (Ouest et Sud-Ouest) dans lesquelles 
les deux pistes Les auraient conduites si elles avaient été trans- 
portées en même temps. Aucune Fourmi n'est vue errant dans 
les autres directions. 

Ce résultat est en effet étonnant. Mais, en y réfléchissant, on 
doit pourtant se dire que même ces expériences, du reste admi- 
rablement conduites, n’offrent pas la garantie d’une élimination 
absolue (dans le sens physiologique du mot) de tout repère 
sensoriel externe. La plus noire des nuits, sans lune ni étoiles, 
n'est pas encore identique à l'obscurité absolue, surtout pas 
dans les centres civilisés où l’on rencontrera toujours quelque 
part de faibles lueurs, réflexes de la blancheur d’une façade 
éclairée ou provenant d’un bec de gaz lointain !, etc. Toutes ces 
lueurs donneront naissance, dans leur entourage, à des zones 
moins sombres que d’autres situées du côté opposé, et cela 
même sous la tonnelle de Cornerz. Aussi longtemps quil y 
aura encore cette mince fente de 2"" entre le couvercle et le 
sol, il faudra donc admettre la possibilité que les Fourmis 
qui se trouvent au dessous soient capables de percevoir et de 
localiser lesdites zones différentes sur leurs yeux à facettes. 
On dira qu'une pareille perception est des plus invraisemblable 
à cause de l'extrême faiblesse d'intensité des lueurs en ques- 
tion. Or, cette objection tombe d’elle-même en considérant le 


1 On sait que ces sources artificielles abondent en rayons ultra-violets, rayons 
auxquels les Fourmis sont particulièrement seusibles. 


376 R. BRUN 


fait physiologique que la susceptibilité de la rétine à la lumière 
peut accroître, dans la chambre noire, jusqu’à 1400-8000 fois 
sa puissance normale"! 

CornerTz dit avoir fait l'expérience nocturne afin d'éviter une 
des principales sources d’erreur du procédé de LugBock, qui, 
selon lui, consisterait « à poser une boîte fermée sur une 
ou plusieurs Fourmis marchant dans un milieu éclairé... La 
Fourmi se montre toujours plus ou moins perturbée et il y a de 
quoi »! Et plus loin: «Il est clair que la perturbation que l’on 
observe peut tout aussi bien provenir du violent contraste des 
luminosités que de la suppression d’un repérage visuel éven- 
tuel. » 

La fameuse expérience de LusBocx eut le malheureux sort 
d'être généralement mal comprise, car, comme je l’ai démon- 
tré dans mon livre, elle fut également citée à faux par BETHE 
et même par WasMann. En réalité, LuBBocx fit exactement 
comme Corxerz, c'est-à-dire qu'il habitua d’abord ses Fourmis 
(Lasius niger) à s'engager librement sous sa « hat box » et 
à la traverser en file avant de commencer son expérience. 
Cette dernière ne consistait donc pas, comme CORNETZ s’ima- 
gine, à poser la boîte sur des Fourmis « marchant dans un 
milieu éclairé », mais bien à faire tourner de 180° le disque 
sur lequel elles marchaient, au moment où les Fourmis se 
trouvaient engagées sous la boîte. Sur 30 Fourmis qui traver- 
saient la boîte, 19 ne paraissaient pas s’apercevoir de 
cette conversion?, puisqu'elles continuaient à marcher dans 
la même direction relativement au support, alors que, dans 
une première expérience, où elles avaient eu l'horizon libre au 
moment de la conversion, toutes les Fourmis avaient tourné 
en sens inverse, de manière à garder leur orientation absolue 
dans l’espace. D'autre part, LuBBock avait démontré que la con- 
version du support restait toujours inaperçue des Fourmis 


1 Voir: Ticensrenr, Lehrbuch der Physiologie, Il, p. 240, 3me édit., Leipzig, 
1905. 

2 Le reste en fut probablement averti par le renversement de luminosité qui 
eut lieu au trou d'entrée et de sortie de la boîte, par suite de la conversion. 


FOURMIS SPP 


quand la source lumineuse participait au mouvement 
de rotation. 

CorxerTz prétend en outre (II, p. 343) que, avant lui, l’on ne 
s'était servi que du procédé de LusBock pour éliminer léclai- 
rage. Il paraît donc lui avoir échappé que j'ai décrit dans ma 
monographie (p. 68) une méthode permettant d'éliminer 
à coup sûr le mécanisme de l’oeil-boussole, sans sup- 
primerl'éclairage etmème sans aucunement perturber 
les Insectes mis à cette épreuve. On y arrive en se servant 
du principe de « l'éclairage bipolaire. » 

Un nid artificiel contenant une colonie de Fourmis se trouve 
en communicalion avec la périphérie d’une grande table circu- 
laire, tournant dans tous les plans de l’espace. La nourriture, ou 
des larves à rechercher par les Fourmis, sont placées exacte- 
ment dans le centre du disque. L’éclairage est donné, non pas 
par une, mais par deux bougies (ou lampes électriques) de taille 
et longueur égales, placées en deux points diamétralement oppo- 
sés de la table, soit dans l’axe transversal, soit dans lPaxe lon- 
gitudinal par rapport au trajet N — C à exécuter. Tout ce 
système se trouve encore au milieu d’une chambre noire, dont 
les parois n'offrent aucun point de repère à la vision distincte 
des Fourmis. 

Il est clair que, par une disposition pareille, toute Fourmi en 
sera réduite à la plus complète impossibilité de discerner visuel- 
lement entre les deux directions relatives de leur axe d'orienta- 
tion, lorsque, se trouvant dans le centre du système, elle voudra 
repartir vers le nid. Car elle recevra des deux côtés des impres- 
sions absolument identiques (comme qualité et localisation sen- 
sorielle) et sujettes aux mêmes déplacements relatifs, qu'elle 
parte dans la direction du nid ou dans la direction opposée. 
Par contre, elle ne sera pas empéchée de se servir de son œil- 
boussole pendant l'aller de N en C, tant qu’elle n'aura pas atteint 
le centre. 

I. Dans une première série, j'expérimentai avec le Lasius 
fuliginosus. Pour des raisons techniques (en vue d’autres obser- 
vations à faire), je fis marcher ces Fourmis sur un pont en papier 


378 R. BRUN 


traversant la table par le centre et se terminant en une petite 
plate-forme, à l’autre extrémité du diamètre. Ces préparatifs 
terminés, je fis les expériences suivantes. 

1. Je verse une grande quantité de larves sur la plate-forme ; un 
vif service de transport s'engage. Les Fourmis porteuses d’une 
larve se précipitent généralement sans hésitation sur le pont, 
qu’elles traversent rapidement dans toute sa longueur, arrivant 
ainsi au nid sans accident. 

2. Quelques heures plus tard, toutes les larves qui restaient 
sont ôtées de la plate-forme et mises au milieu du pont. Les 
Fourmis arrivant du côté du nid s’arrétent toutes auprès de ce 
tas et se promènent longuement dessus en examinant les larves; 
finalement, ayant fait leur choix, chacune s’empare d’une larve 
et veut partir vers le,nid. Pas moins de 50 °/o s’en vont, 
cependant, dans la fausse direction, s’égarant ainsi 
sur la plate-forme et cherchant désespérément l’en- 
trée de leur tube. 

3. J'ajuste maintenant une mince balustrade en papier au côté 
gauche de la partie moyenne (traversant le cercle interne du 
disque) de mon pont, de sorte que les Fourmis voyageant du 
nid vers la plate-forme ont cette balustrade à leur gauche, tandis 
qu’au retour elles la touchent constamment avec l’antenne 
droite. Je leur donne trois jours pour se familiariser avec cette 
disposition, après quoi je répète l'expérience 2. Le résultat est 
frappant. Cette fois, les trois quarts des Fourmis partant du 
milieu se précipitent dans la bonne direction, et parmi les autres 


1 Les lecteurs connaissant les expériences de Berne se demanderont peut- 
être pourquoi ces Fourmis n'ont pas suivi l'indication directrice ressortis- 
sant de la soi-disant « polarisation olfactive » du chemin ? Or, lors d'une révi- 
sion des expériences de Berme, je fis la découverte que le phénomène de Berre 
(désorientation des Fourmis devant une partie de piste tournée de 1809) n’est 
positif que sur les « pistes à Pucerons », tandis qu'il disparait rapidement sur 
toutes les pistes qui ont servi pendant un certain temps à un transport de 
couvée. Par une autre série d'expériences, j'ai encore démontré que ce curieux 
phénomène n'est point dû à une « polarisation » dans le sens propre du mot, 
mais bien à une décroissance progressive d'intensité de certains composants 
odorants dans les deux directions de la piste. 


ss 


FOURMIS 379 


qui s'étaient trompées, un grand nombre corrigent leur route, 
bien avant d’avoir atteint la plateforme, quand leur antenne 
gauche vient par hasard en contact avec la balus- 
trade. Je tourne alors le cercle interne de ma table de 180°, 
de sorte que ladite balustrade va maintenant flanquer le côté 
opposé du pont. Aussitôt, la proportion indiquée se renverse : 
les trois quarts des Fourmis courent maintenant dans la mau- 
vaise direction et un quart seulement dans la bonne. Les 
Fourmis sont donc capables, non seulement de distin- 
guer les impressions topo-olfactives venant de leur 
côté ‘droit, de celles: provenant de leur gauche, 
mais encore d'associer ces impressions constam- 
ment unilatérales avec la direction relative de leur 
route. 

Il. Une seconde série d'expériences à éclairage bipolaire 
a porté sur la Formica rufa, espèce plus intelligente que la 
première, mais presque incapable de suivre une piste odorante. 
Je supprimai le pont, laissant les Fourmis se promener libre- 
ment sur la table. Leur tâche était de trouver du miel au centre 
et de se récrienter ensuite vers le nid. Comme le tube de sortie 
était exactement posé dans le rayon, les Fourmis se dirigeaient 
généralement assez droit vers le centre, en continuant la « cana- 
lisation topokinétique » de leur marche de début. Mais, pour le 
retour, elles ne se tiraient pas mieux d’affaire que les Lasius. 
Incapables de distinguer la bonne direction du côté 
opposé, elles en étaient réduites à hésiter continuel- 
lement, pendant des heures!) entre les deux côtés, 
n’osant s'éloigner définitivement du centre qu'après 
unvtémpstresrlong,-et. lorsque, ayant désespéré de 
sortir de ce dilemme, elles se livraient à un tournoie- 
ment excentrique. Une fois, au moment où une Fourmi de 
taille énorme venait d'arriver au miel, j'éteignis les bougies, 
laissant la bestiole dans l'obscurité la plus complète. Le jour 
suivant je la retrouvai sur le disque, toujours errante et à bout 
de forces. 

Je varie alors l'expérience en donnant au disque de ma table 


380 R. BRUN 


une inclinaison de 20° du côté du nid. Les Fourmis doivent donc 
monter sur ce plan incliné pour aller du nid au miel, et descen- 
dre pour regagner le nid. Elles montent, en effet, en se dirigeant 
assez bien. Pendant qu’elles mangent, je renverse doucement 
l'inclinaison du disque, de sorte que le nid occupe maintenant 
le point culminant de la périphérie. Le résultat de cette expé- 
rience, sept fois répétée, est invariablement le même. Après 
une hésitation de 2 à 5 minutes, les Fourmis descendent 
toujours vers le point le plus bas de la périphérie, cher- 
chant là vainement, pendant un certain temps, l'entrée du nid, 
et se livrant ensuite à un tournoiement déréglé : Orientation 
virtuelle sur la gravitation (« baresthésie »). 

Cette dernière expérience est particulièrement intéressante 
parce qu'elle nous permet de trancher une question qui, depuis 
longtemps, avait donné lieu à une vive controverse, à savoir si 
les Insectes sont sensibles ou non à la force de la gravitation. 
On sait que R. pe Gourmoxr !, Cornerz ? et autres, pour des 
raisons théoriques, ont cru devoir répondre négativement à 
cette question. Une fois de plus, les faits l'ont emporté sur la 
théorie. 

Je pose maintenant cette question : Siles Fourmis sont capa- 
bles de se diriger au moyen d’une donnée interne de direction 
absolue de l’espace, comment se fait-il alors que cette faculté 
mystique va justement disparaître dans les cas d'élimination 
exacte du repérage externe, c’est-à-dire, là, où elle aurait été 
de la plus haute utilité ? 

Jusqu'à nouvelle démonstration, on fera donc-bien de soup- 
conner toujours la présence persistante d'une source lumineuse 
localisée, la où l’on constate la marche parallèle de PréRoN 
après l'expérience de transport ou après conversion du sup- 
port ÿ. 


!R. pe Gourmonr, Promenades philosophiques. 1. Le sens topographique 
chez les Fourmis. Revue des Idées, 1909. 

2? Cornerz, Le sens topographique chez Les Fourmis. Ibid., 1909. 

3 N'est-il pas aussi significatif que ce phénomène n'est jamais obtenu chez 
les espèces aveugles, comme par exemple Solenopsis ? 


FOURMIS 381 


[IT 


L'interprétation que CorxerTz lui-même donne à ses dernières 
expériences differe essentiellement de sa conception originale. 
IlLest vrai qu'il continue à supposer une cause effective interne, 
puisqu'il croit avoir constaté la reprise d’une direction, aupara- 
vant maintenue, en l’absence de tout repère sensoriel externe: 
Mais cette donnée interne n’a plus rien à voir avec la « mémoire 
absolue d’une direction isolée dans l’espace », dont l’auteur 
parlait dans ses publications antérieures ; c’est une donnée 
interne relationnelle, en tant qu'elle résulte du « repérage 
interne successif et ininterrompu d'une position du plan médian 
du corps par rapport à une position dominante (sens interne des 
déviations) ! ». C'est donc cette faculté d'orientation kinesthé- 
sique que P. BonNiER a appelée le « sens des attitudes», et 
qui, bien avant BoNNIER, avait déjà été préconisée par DARWIN, 
L. MORGAN, REYNAUD. PIÉRON et autres. 

Je conviens qu'il n'y a aucune difficulté à faire intervenir un 
tel mécanisme dans l’expérience première de CoRNETz, où il 
s'agissait, pour les Fourmis, de rétablir, la nuit, une piste inter- 
rompue sur quelques mètres. Dans ce cas, en effet, les Fourmis 
n'avaient qu'à maintenir leur direction générale à travers la 
zone détruite, au moyen de ce sens très fin des déviations, afin 
de retrouver, à l’autre bout, la continuation de leur piste recti- 
ligne. Il en est autrement pour la seconde série de ces expé- 
riences nocturnes. Ici, la suppression de la trace odorante est 
combinée avec le transport passif et avec la conversion du sup- 
port. Il y a donc là interruption de successions d’atti- 
tudes et, par conséquent, perte du repère de la position domi- 
nante, à moins que les Fourmis ne se soient aperçues du trans- 
port, ainsi que du sens et du degré de la conversion qu'elles 
avaient subie. Mais les Fourmis, comme les Insectes en général, 
manquent entierement de l’organe statique indispensable pour 


Bec. pra92 


392 R. BRUN 


la perception de déviations passives (dans le plan horizontal) 
de l’axe médian du corps À. 

CoRNETz paraît identifier plus ou moins le « sens des atti- 
tudes » avec la fonction statique. Or, les organes statiques 
(canaux semi-circulaires du labyrinthe, statocystes) ne trans- 
mettent à l'organisme qu’une modeste partie de cet ensemble 
de sensations internes, «proprioceptives », dont l’enre- 
gistrement combiné (simultané et successif) sert de base à 
l'orientation dite « kinesthésique ». Ils n'indiquent que des 
changements brusques, actifs ou passifs de la position du 
plan médian du corps dans les trois dimensions de l’espace. Les 
stimulants respectifs sont transmis à un centre spécial (le cere- 
bellum), où ils déterminent un « réflexe statotonique » qui 
aboutit à un renforcement du tonus ou à une contraction subite 
de certains groupes de muscles, engagés dans la compensation 
du mouvement subi, empêchant ainsi une chute passive. Il est 
vrai que le résultat de cette action réflexe peut s'enregistrer 
secondairement dans un centre supérieur («sens myostatique »). 
Mais la majeure partie de ce réflexe compliqué reste sous le 
seuil de la conscience, se passant dans des centres auto- 
matiques inférieurs (moelle épinière, moelle allongée, rhomben:- 
céphale, mésencéphale.) Les centres sensuo-kinétiques supé- 
rieurs de l’écorce cérébrale (lieu dépositaire des engrammes 
kinétiques successives) sont surtout renseignés par les sensa- 
tions musculaires combinées provenant des mouvements 
actifs. Le «sens des attitudes » est donc en premier lieu un 
enregistrement complexe de « figures kinétiques » sériées, au 
moyen de la myesthésie active, consciente. 

Il est vrai que les Tapinoma de CorNETz s’apercevaient du 
transport subi, car elles s’en montraient toujours plus ou moins 
perturbées, courant pêle-méle sur leur os dans toutes les direc- 


! Nous avons vu, du reste, que des rotations passives du support restent 
inaperçues des Fourmis lorsque le repère optique tourne en même temps ou que 
le sens visuel est supprimé. Ce n'est que par négligence de ce fait capital que 
Berue (Pflügers Archiv, 1898) avait pu interpréter le tournoiement de Lussock 
comme étant dû à un réflexe statique. 


FOURMIS 383 


ons, pendant plusieurs minutes. Il faudrait donc admettre que 
tous ces mouvements déréglés soient encore rapportés à la 
« position dominante » que les Fourmis avaient maintenue en 
marchant sur leur piste vers la provende. Il va sans dire que 
l’'accomplissement d’une tâche pareille dépasserait de beaucoup 
les facultés associatives de nos petits Insectes, impliquant la 
présence d’un cerveau hautement perfectionné. Lorsque CORNETZ 
croit quand même devoir admettre une supposition aussi invrai- 
semblable, je lui retourne le compliment d’anthropomorphisme 
qualifié qu'il a bien voulu me faire. 

La supposition d’une faculté kinesthésique particulièrement 
développée chez les Fourmis s'appuie surtout sur les expé- 
riences de Szymaxsxy !. Cet auteur faisait dévier des Formica 
rufa de leur chemin collectif en leur mettant en travers un 
obstacle infranchissable. Après avoir contourné cet obstacle, les 
Fourmis regagnaient leur piste invariablement par l'hypoténuse, 
par un angle de 75° environ, quelle que fût la longueur de la 
barrière. Sanrseui ?, qui a contrôlé l'expérience de SZYMANSKkY 
chez le Messor barbarus (espèce à courte vue indislüincte) n’a 
pu retrouver cette même constance. D'abord, l’angle de recou- 
pement de la piste était des plus variable ; puis, il arrivait sou- 
vent que ces Fourmis continuaient à marcher dans la direction 
déviée, longtemps après que l'obstacle avait été dépassé. Parfois 
elles finissaient même par se perdre. 

Dans l'expérience de la marche forcée, nous avions constaté 
une différence analogue, entre Fourmis supérieures et infé- 
rieures, par rapport à la capacité de réaliser un retour direct 
après des trajets forcés angulaires de grande étendue ; tandis 
que les Formica étaient toujours capables, en pareils cas, d’exé- 
cuter un retour en ligne diagonale, cette faculté surprenante 
était rudimentaire chez les Lasius et surtout chez les Myrmica. 
L'analyse expérimentale nous a révélé ici la marche diagonale 
comme étant un phénomène visuel. Il y a donc lieu de partager 


1 Szymansky, Zin Versuch, das Verhäliniss zwischen modal verschiedenen 
Reizen in Zahlen auszudrücken. Pflügers Arch. f. d. ges. Phys., 138, 1911. 
He: pe 414 8: 


384 R. BRUN 


l'opinion de Sanrscui, que cette régularité de lPangle de recou- 
pement observé par SzyYMaxsky ne résulte guère d’une « repré- 
sentation kinétique d'ensemble » de l’angle décrit (Winkelvor- 
stellung), mais qu'elle est également due à un repérage visuel ". 
Toutefois, je ne conteste pas que les Fourmis ne soient pas 
aussi aidées, dans une certaine mesure, par des données kiné- 
tiques simples, telles que par exemple : « déviation à droite, 
nécessité d'une compensation à gauche », etc. Quoi qu'il en 
soit, il faut se souvenir que les expériences de Saxrsoui (et les 
miennes) ne parlent pas en faveur d’une faculté kinesthésique 
particulièrement raffinée chez les Fourmis. Pour élucider cette 
question à fond, il faudra répéter les expériences dans les con- 
ditions exactes de ma méthode d'élimination du repérage visuel. 


IV 


Tout en admettant actuellement la possibilité d'un repérage 
interne relationnel comme cause effective dans certaines de 
ses observations, CorxETz n’a nullement renoncé à sa concep- 
tion originale d’un sens de direction absolu. Mais il a ré- 
servé celte hypothèse pour ces cas extrêmes où des Fourmis 
se seraient manifestées capables de reprendre une direction 
quelconque de l’espace, auparavant maintenue, en l'absence de 
tout reptre sensoriel externe et après un long intervalle 
impliquant une interruption de successions d’atti- 
tudess 

A l'heure actuelle, CornEerz se rend pleinement compte du 


1 Vue directe de la piste à regagner (Sanrscni), recognition de quelque grand 
repère visuel éloigné, ou encore concurrence sensorielle des deux localisations 
successives de la source lumineuse. La dernière de ces trois suppositions me 
paraît la plus vraisemblable. 

* Ce cas serait par exemple réalisé, selon lui, chez ces Fourmis qui, après 
une pluie de plusieurs jours, — pluie changeant entièrement le monde minus- 
cule de ces « lilliputiens », — retournent directement et sur la même voie qu'au- 
trefois à un lieu de provende antérieurement visité. Comme SaxTscui et moi 
l'ont démontré, ce miracle apparent s'explique cependant très simplement 
comme acte de mémoire visuel, c'est-à-dire comme orientation visuelle 
successive sur les anciens repères visuels (grands objets éloignés). 


| 
| 


FOURMIS 389 


caractère transcendental de cette hypothèse. Il avoue qu’en 
admettant la possibilité d’un « sens et mémoire d’une direction 
isolée dans l’espace », il se place «en dehors du domaine de la 
raison logique », faisant un « saut dans l'inconnaissable ». Il 
réalise fort bien qu'une telle supposition devra être qualifiée 
d' « imagination inconcevable », puisqu'elle va à l'encontre des 
règles de la raison logique, et que « cette possibilité n’est pas 
admissible pour la théorie de la connaissance ». Il reconnaît 
que, par conséquent, son idée ne représente pas «un dire scien- 
tifique, mais bien métaphysique et même mystique », impliquant 
« la croyance à l’inconnaissable. » 

On ne saurait s'exprimer mieux pour se dédire d’une hypo- 
thèse reconnue insoutenable. C’est un suicide philosophique. 
Mais Cornerz se tire d'affaire en déclarant simplement que 
« l’inconcevable n’est pas par cela méme l'impossible », et que, 
pour lui, « les deux domaines, celui du raisonnement et celui 
de l'imagination (sentiment) peuvent fort bien coexister sans 
conflit. » Il ne voit donc aucune nécessité de se plier à la tyrannie 
de Kanr qui a défendu d’inventer des hypothèses transcenden- 
tales lorsque les explications physiques manquent; et, se refu- 
sant « à toujours trainer ce quadruple boulet de la raison 
logique qui est: espace, temps, causalité et rapport du sujet à 
l’objet », il réclame d’un geste superbe « le droit de librement 
imaginer. » 

Cet ordre d'idées me paraît ressortir d’une double erreur. 

1. Corxerz ignore les frontières entre les deux domaines : 
celui de la science (raisonnement) et celui de l'imagination. Il 
a parfaitement raison lorsqu'il dit que ces deux domaines peu- 
vent fort bien coexister sans conflit. Ils le peuvent précisément 
parce qu'il n’y a aucun rapport possible entre eux. La 
science n’embrasse que le monde des phénomènes physiques, 
dont les notions nous parviennent sous la forme d'aperceptions 
sensorielles. Elle ne fait que rechercher, au moyen de toutes 
les ressources de la sensualité inerme ou armée, les causes 
physiques (déterminantes) des aperceptions variées ; elle a 
expliqué un phénomène lorsqu'elle en a déterminé toutes les 


380 R. BRUN 


conditions d'apparition, ou, en d’autres termes, lorsqu'elle Pa 
réduit à d’autres phénomènes déja connus. Quand ces condi- 
tions sont actuellement indémontrables pour tel ou tel phéno- 
mène, à cause de l’état arriéré de notre connaissance, la science 
est en droit d'établir une hypothèse péremptoire. En tant 
qu'une pareille hypothèse indique le chemin'à suivre pour les. 
efforts de la recherche expérimentale, elle peut être favorable à 
cette dernière et souvent mener à la découverte des détermi- 
nants inconnus. Mais quel sens peut bien avoir une hypo- 
thèse qui, en ramenant un phénomène à une cause 
métaphysique, le rend à jamais insaisissable pour la 
raison logique? 

2. L'erreur essentielle est cependant là où CorNErTz croit pou- 
voir s'affranchir des règles de la raison logique elle-même. Il 
ne s’est donc pas tout à fait rendu compte de la provenance de 
ces règles! Il parait lui avoir échappé que ce ne sont pas des 
« lois » dans le sens commun du mot, lois que l’on peut recon- 
naître ou enfreindre selon sa fantaisie, mais que ce sont ces 
chaînes éternelles, forgées par l’organisation même de notre 
cerveau humain et qu'il est impossible de franchir tant que 
l'on ne peut pas sortir de son cerveau. Ce sont, en un mot, les 
conditions formelles, nécessaires, de la possibilité de 
l’aperception et du raisonnement, les règles que Kaxr 
a appelées les notions (ou catégories) à priori de Paper- 
ception et de la raison. 

Les notions a priori de l’aperception (notion empirique ou 
expérience sensorielle) sont : l’espace et le temps. Jamais l’on 
ne rencontrera un phénomène qui ne se manifeste pas dans le 
cadre de ces coordonnées. De même, les catégories de la raison 
logique ne sont autres que les conditions formelles de la pos- 
sibilité du raisonnement rationnel. On ne saurait concevoir une 
notion rationnelle en dehors des formes de la pensée humaine. 
Comme ces dernières notions ne sont, elles-mêmes, que des. 
abstractions de notions aperceptives, il est clair que la raison 
ne peut s'appliquer qu'aux objets réels, c’est à-dire qu’elle doit. 
rester dans le monde des phénomènes. 


D > u2 "à 


FOURMIS 307 


La causalité est du nombre de ces catégories de la raison 
logique. On ne saurait imaginer un phénomène sans forcément 
lui supposer une cause physique. Supposer des causes surnatu- 
relles à des phénomènes physiques n’est qu’un faux-fuyant, car 
la causalité ne saurait s'arrêter à une « dernière cause » ; allant 
de fil en aiguille, elle se verra aussitôt forcée de se demander 
quelle pourrait bien être la cause physique de ladite « cause » 
métaphysique ? En refoulant un problème dans le domaine de 
l’inconnaissable, on ne l’a donc, certes, pas « expliqué ». Une fois 
dans ce domaine, la fantaisie est libre de se promener dans 
des idées vides !. Autant dire alors que les Fourmis se dirigent 
par l’intervention d'une « force spirite », que de leur supposer 
une « mémoire pour des directions isolées dans l’espace. » Je 
ne conçois pas de différence essentielle entre ces deux manières 
de voir. 


CONCLUSIONS 


1. Les Fourmis « supérieures » (à vue relativement distincte) 
sont capables de percevoir par la vue de grands objets lointains 
et de s’en servir comme repères indicateurs de la position rela- 
üve du nid. Dans une certaine mesure, cette faculté appartient 
aussi aux espèces «inférieures », à courte vue indistincte. 

2. Les Fourmis supérieures sont capables de fermer directe- 
ment un polygone par l’hypothénuse, même à des distances très 
considérables. Cette faculté n’est pas due à la kinesthésie (sens 
des angles), mais bien à la fixation d’un repère visuel lointain. 

3. Chez ces mêmes espèces, une vraie mémoire associée des 
lieux existe jusqu’à un certain degré. La recognition des « lieux 
connus » est probablement fonction du sens topochimique, 
tandis que la prise de direction s'effectue surtout par mémoire 
visuelle (réitération successive des repères visuels différenciés). 


! A vrai dire, mème la fantaisie ne peut sortir du domaine des catégories. 
La fantaisie n'est que le libre jeu d'esprit consistant à inventer des combinai- 
sons nouvelles de causes déterminantes physiques déjà counues. Ainsi, même 
les « esprits » des contes de Fées et des spirites doivent toujours « apparaître » 
sous quelque forme matérielle, pour se manifester à l'aperception des mortels. 


388 R. BRUN 


4. Des données topochimiques, d’un ordre plus général, y 
jouent cependant aussi un certain rôle comme repères secon- 
daires. En cas de localisation nettement linéaire, elles peuvent 
même dominer l'orientation. 

5. L'orientation virtuelle après transport (la marche parallèle 
de PréRoN) est toujours fonction de l’œil-boussole, c’est-à-dire 
de la localisation zonale d’une source lumineuse dans les yeux à 
facettes. 

Démonstration : Incapacité d'orientation dans l’expérience à 
éclairage bipolaire. 

6. Les Fourmis sont incapables d'associer une succession 
complexe de positions diverses du plan médian du corps. Un 
tel repérage interne relationnel (sens kinesthésique des atti- 
tudes) n'existe probablement que dans des limites restreintes. 

7. Un sens statique fait entièrement défaut chez les Fourmis. 

8. Par contre, les Fourmis sont sensibles à la force de gravi- 
tation et elles sont même capables de se repérer, sur un plan 
incliné, à l’exclusion de tout autre repère sensoriel externe 
(baresthésie). 

9. Un repérage interne absolu : « sens et mémoire d’une direc- 
tion isolée dans l’espace », n'existe ni chez les Fourmis, ni chez 
aucun être vivant. 

a) Démonstration expérimentale : Incapacité des Fourmis de 
s'orienter en cas d'élimination totale de tout stimulant rela- 
tionnel, externe et interne. 

b) Démonstration philosophique : Impossibilité, pour la raison 
logique, de concevoir une direction isolée dans l’espace. 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 
Vol. 24, n° 4. — Mars 1916. 


Notes helminthologiques suisses 


PAR 


le D' O0. FUHRMANN, / 
(Neuchâtel). 


Avec la planche 1. 


I. Sur une nouvelle espèce de cercaire à queue fourchue. 


Au mois d'octobre de l’année passée nous avons rapporté 
d’une excursion au bord du lac de Neuchâtel, près d’Auvernier, 
un certain nombre de Limnea auricularia qui furent distribuées 
dans trois petits aquariums contenant huit Macropodes jeunes 
et adultes ; trois heures, après tous ces Poissons étaient morts. 
Sans nous rendre bien compte de la cause de cette mortalité 
subite, mais supposant pourtant que la présence des Mollusques 
devait être une des causes de cette mortalité, nous les avons 
tous jetés (une vingtaine) dans un grand aquarium à eau cou- 
rante contenant 150 litres d'eau et renfermant diverses espèces 
de Poissons. Le lendemain, une dizaine de Poissons, Ablettes, 
Epinoches, jeunes Truites et jeunes Brochets avaient subi le 
même sort que les Macropodes. Il devenait évident que la 
présence des Mollusques était la cause de cette mortalité, et 
en disséquant une Limnée, nous trouvâmes dans le foie de cet 

Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 26 


390 O0. FUHRMANN 


animal une quantité énorme de cercaires à tous les stades de 
développement. C'est sans doute l’éclosion de ces cercaires, 
s’attaquant en grand nombre aux Poissons, qui avait été la cause 
de leur mort. Ces cercaires, pénétrant en grand nombre dans 
les voies circulatoires, à travers la peau et les branchies, 
avaient sans doute, à l’aide de l’armature de l'extrémité anté- 
rieure du corps et de la ventouse ventrale, produit des hémorra- 
gies et obstructions de capillaires. Nous avons omis de recher- 
cher ces lésions, mais BLocHmanx ‘, dans une intéressante étude 
intitulée : Sterben von Aquariumfischen durch Einwanderung 
von Cercaria fissicauda La Val, avait déjà observé et étudié 
le même phénomène. BLocaMaxx, en étudiant le cœur et le sang, 
ainsi que le cerveau, y trouva de nombreux cercaires. Ces Vers 
en migration produisent des extravasions ; il en trouva dans la 
cavité du péricarde et dans les vaisseaux branchiaux, dans l’or- 
bite ainsi que dans ke corps vitré de l'œil. Il observa dans la 
chambre de l'œil et dans le corps vitré, mais surtout à travers 
la rétine, les lésions très nettes produites par la pénétration 
des larves. 

Sur une vingtaine de Limnea auricularia, trois seulement se 
montrèrent infestées par les sporocystes de Trématodes, et, chez 
deux surtout, l'infection était énorme. 

Les cercaires que contenaient les sporocystes appartiennent à 
un groupe intéressant dont nous ne connaissons en Europe que 
neuf espèces, dont six ont été trouvées en Allemagne et trois 
en Italie ?. Les cercaires à queue fourchue se rencontrent dans 
Viviparus viviparus (Cercaria sp.), V. faciatus (Cercaria minuta 
Ercol.), Bithynia tentaculata (Cercaria sp.), Planorbis corneus 
(Cercaria gracilis La Val.), Limnea stagnalis (Cercarta furcata 
Nitzsch, C. fissicauda La Val., C. ocellata La Val.), et Limnea 
auricularia (Cercaria aculeata Ercol.). La Cercaria bipartita 
Sons. provient d'un Mollusque inconnu. Dernièrement, Corr ? 


! Centralblait f. Bakt. u. Paras. Abt I, vol. 56, 1910, p. 47-49. 

? Lüne, M. Trematodes in: Die Süsswasserfauna Deutschlands, Heft. 17, 1909. 

? Corr, W.-W. Larval Trematodes from North American fresh water Snats. 
Journal of Parasitology, vol. I, 1914, p. 65-84. 


NOTES HELMINTHOLOGIQUES 391 


a trouvé à Chicago, dans Limnea reflexra, un cercaire du mème 
type qu'il a appelé C. douthitti. 

Cercaria letifera nov. sp., ainsi que nous appellerons le nou- 
veau parasite trouvé dans Zimnea auriculartia, ressemble à l’es- 
pèce observée par Ercoraxi ! en Italie. Il se développe dans des 
sporocystes de forme cylindrique atteignant 2"",3, exception- 
nellement 3"" de long, et dont le diamètre est généralement 
Q"m 1, rarement 0"",18. Ces sporocystes vermiformes ressem- 
blent beaucoup par leur forme au Turbellaire Stenostoma leucops 
et ils présentent des mouvements de reptation d'Annélides 
assez vifs. On distingue très nettement une région antérieure 
céphalique qui, pendant que l’animal est en mouvement, est 
dirigée en avant, et se trouve même, dans certains cas, délimitée 
par un étranglement. Cette partie du corps est compacte et 
remplie de cellules, tandis que le reste du corps est creux et 
présente une paroi formée d’une simple couche de cellules, 
épaisse de 0"",009. Les œufs parthénogénétiques qui y naissent 
ont un diamètre de 0"",009. 

Ercorant (loc. cit. p. 47) dit des sporocystes de Cercaria 
aculeata, la seule forme qui entre en ligne de compte pour 
savoir si notre espèce est nouvelle, qu'ils sont longs de 1"" 
avec un diamètre de 0"",08 à l'extrémité postérieure. Cet 
auteur ajoute plus loin : «L’estremità anteriore termina un vero 
poro, che non pud dirsi buccale, perchè nellinterno non vidi 
traccia d’'intestino. » 

Les sporocystes de notre espèce sont de forme plus élan- 
cée et ne montrent pas trace de pore en avant. L'intérieur 
est en général rempli de jeunes cercaires à tous les stades de 
développement, ainsi que de quelques exemplaires complè- 
tement développés. Ces derniers doivent sans doute s'échapper 
du sporocyste par un pore que nous n'avons pu observer. Le 
nombre énorme de sporocystes qui peut se trouver à l’inté- 
rieur du foie du Mollusque parle en faveur d’une reproduction 


! ErcoLant, G. Dell'adattamento della specie all'ambiente. Nuove ricerche 
sulla storia genetica dei Trematodi. Mem. Accad. Sc. Istituto Bologna. T. 3, 
1881. p 42. 


392 O. FUHRMANN 


asexuelle, par division transversale du sporocyste. Sur les coupes 
transversales, nous constatons que les sporocystes ne se trou- 
vent pas dans les tubes glandulaires, mais dans le tissu con- 
jonctif qui enveloppe les tubes hépatiques. 

Dès que les œufs parthénogénétiques sont arrivés au stade 
de 16 blastomères, l'embryon forme une petite masse cellulaire 
compacte, presque sphérique, dont le diamètre est de 0"",027. 
Lorsqu'il a déjà atteint une longueur de 0"",054 et un diamètre 
de 0"",039, on ne constate encore que des cellules sans aucune 
trace de différenciation d’organes. C'est seulement quand 
l'embryon a atteint une longueur de 0"",1 que la formation de 
la région caudale apparaît par un léger rétrécissement du tiers 
postérieur de son corps ; une différenciation des organes inter- 
nes ne semble pas encore commencée. Lorsque l'embryon a 
atteint 0"",11, l’'appendice caudal est un peu mieux développé, 
et à son extrémité apparaissent déjà deux petits bourrelets 
indiquant le commencement de la formation de la partie bifur- 
quée de la queue du cercaire. À ce stade, on remarque nette- 
ment le commencement de la formation de la ventouse buccale 
et mieux encore celle de la ventouse ventrale, très rapprochée 
de l'extrémité postérieure. Dans la larve longue de 0"",0144, 
les deux appendices de la queue sont déjà longs de 0"",018, et 
la partie antérieure de la queue mesure 0"",36, tandis que le 
corps est long de 0"",09. La larve avant atteint une longueur de 
0,225 la région caudale se délimite beaucoup plus nettement 
du corps, et, dans des larves longues de 0"",28, le corps, qui a 
0®®,14, montre l'appareil digestif bien développé et la ventouse 
ventrale bien différenciée, mais encore dépourvue de son arma- 
ture: 

Les cercaires complètement différenciés, ayant quitté les spo- 
rocystes et nageant très activement, sont longs de 0"",6. Le 
corps a de 0"",2 à 0"",26, la partie impaire de la queue 
mesure de 0"",18 à 0"",2, landis que sa partie fourchue est 
longue de 0"",16 à 0"",2. La largeur du corps est de 0"",44 à 


0°",056; celle de la partie impaire de la queue 0"",032 à 
0,036. 


NOTES HELMINTHOLOGIQUES 393 


Le corps du cercaire est, comme celui de Cercaria aculeata 
Ercolani, armé de fins crochets à son extrémité antérieure 
seulement; ces rangées de crochets, qui sont au nombre de 4 à 
5, ne s'étendent que sur 0"",014 à 0%%,016, tandis que dans 
l'espèce d'Ercorant c’est le tiers antérieur du corps qui en est 
couvert, d’après sa description, mais d’après son dessin ce 
n'est que le quart antérieur du corps qui porte de fines épines. 
En outre, la ventouse ventrale, qui chez C. letifera a un diamètre 
de 0®",027 et une profondeur de 0"",03, est armée, sur tout son 
bord, d’une cinquantaine de petits crochets (0“",0027) bien plus 
grands que les très fines épines de l'extrémité antérieure. Cette 
armature manque complètement à C. aculeata Erc. Tandis que 
chez cette dernière la ventouse ventrale se trouve un peu en 
arrière du milieu du corps, chez C. letifera la ventouse est située 
presque en entier dans le dernier tiers du corps. Nous n'avons 
pu voir, de l’organisation interne, que le système digestif et 
les gros troncs du système excréteur. La ventouse buccale avec 
un diamètre de 0"",23 est profonde de 0"",054 et suivie direc- 
tement par un petit pharynx long de 0"",028. Le pharynx se 
trouve entouré par quatre grosses cellules probablement glan- 
dulaires. L’intestin s'étend déjà jusque près de l’extrémité 
postérieure. C’est là qu’on voit une petite vésicule excrétrice, 
de laquelle deux troncs partent en avant. La région caudale 
impaire est, chez l'animal vivant, régulièrement segmentée à sa 
surface ; elle porte en outre des soies tactiles très nombreuses. 
Il n'ya rien de particulier à signaler sur sa structure interne. 
Nous ne pouvons, malheureusement, donner aucun renseigne- 
ment sur l’évolution de ce parasite, dont l'hôte intermédiaire 
est sans doute une ou plusieurs espèces de Poissons et dont 
l'hôte définitif doit probablement être cherché dans le groupe 
des Poissons ou des Oiseaux piscivores. 


2. Une nouvelle espèce de cercaire sans queue. 


Le nombre des formes de cercaires complètement dépourvus 
de queue est assez restreint et la plupart ont été observés dans 


394 O. FUHRMANN 


des Mollusques terrestres. L'Index-catalogue de W. Srices et 
A. Hassarr ! signale trente et une espèces différentes, dont un 
assez grand nombre doivent sans doute être rayées, parce que 
l’on ne sait s'il ne s’agit pas simplement de jeunes Distomes 
enkystés. Dans les Gastropodes d’eau douce, cinq espèces seu- 
lement ont été observées (v. LÜKE, loc. cit. p. 208); trois furent 
trouvées dans des rédies, habitants des Limnées et des Planor- 
bes, deux espèces dans des sporocystes de Limnea lacustris et 
Acroloxus (Ancylus) lacustris. Notre nouvelle forme ressemble 
surtout à Cercariaeum paludinae impurae Fil, parce que, comme 
chez cette espèce, toute la peau est armée; mais ce sont des” 
écailles et non des épines qui couvrent le corps de notre 
espèce. 

En disséquant une Limnea auricularia var. ampla, du petit 
lac de St-Blaise (près Neuchâtel), nous avons trouvé dans le foie 
de cet animal cinq rédies, dont la plus petite mesurait 2"",2, la 
plus grande 3"",5, avec un diamètre de Om, 4, Ces rédies possè- 
dent une petite ventouse buccale d’un diamètre de 0°",06 et un 
intestin sacciforme qui occupe toute la largeur de la rédie et 
n'est long que de 0"",36 ; il est rempli d’une masse brunûtre, 
provenant sans doute du foie, et qui forme chez l'animal vivant 
une pelite tache visible à l'œil nu. Le corps de la rédie ne possé- 
dait aucun appendice. Toutes ces rédies sont remplies de dix- 
sept à trente cercaires sans queue, arrivés tous au même degré 
de développement. On ne voit que de très rares amas cellulaires 
non différenciés contre les parois de la rédie. 

Le cercaire est long de 0"",36 et sa cuticule, qui est armée 
d’écailles, est plus épaisse en avant (0"",0072) où ces formations 
cuticulaires sont beaucoup plus grandes qu’en arrière (0,036). 
Les petites écailles recouvrent toute la surface du corps, à l’ex- 
ception d’une étroite zone médiane située entre la ventouse 
buccale et la ventouse ventrale (fig. 11, 12). Les écailles sont 
larges de 0"",0036 jusqu’à la hauteur de la ventouse ventrale ; 


? W. Sries and A. Hassazr. /ndex catalogue of medical and veterinary 
z0ology. Trematoda. Hygienic Laboratory, Bulletin n° 37, 1900. 


NOTES HELMINTHOLOGIQUES 395 


de là, elles deviennent beaucoup plus petites et sont souvent 
difficiles à voir. Sur le pourtour des ventouses, et surtout sur 
la ventouse ventrale, se trouvent quelques rangées d’écailles 
très fines. Ces écailles s'étendent même jusqu'au bord interne 
de sa cavité. La ventouse ventrale a un diamètre de 0"",108 à 
0,128, sa profondeur est de 0"",08; elle est donc aussi grande 
ou même un peu plus grande que la ventouse buccale qui, elle, 
a un diamètre de 0"",1 à 0"",112. Le pharynx qui a une lon- 
gueur de 0"",4, se trouve, comme chez Cercariaeum planorbis 
carinati, immédiatement en arrière de la ventouse buccale ; 
l’æœsophage est très court. Sur tous les individus renfermés 
dans les rédies nous avons trouvé à l'extrémité postérieure un 
testicule (diamètre 0,072) nettement développé et, devant lui, 
un petit ovaire. Cette disposition indique que nous nous trou- 
vons en présence de la larve d’une espèce du genre Asymphylo- 
dora Looss, caractérisée surtout par l'existence d’un seul testi- 
cule. Si nous parcourons la liste des espèces du genre susnommé 
habitant nos Poissons, nous trouvons que À. tincae seul possède 
un corps couvert d’écailles cuticulaires. Ces écailles, larges de 
0"%,0036 chez notre larve, ont 0"",004 chez l'adulte. Nous pen- 
sons donc avoir trouvé la larve du Distome À. tincae (— Disto- 
mum perlatum Nordm.), assez répandu dans l'intestin de Tinca 
tinca. Comme les cercaires sont dépourvus de queue, il est fort 
probable qu’un second hôte intermédiaire manque et que la 
Tanche s’infecte en mangeant les Mollusques dont le foie con- 
tient des rédies remplies de cercaires. Max LünE (loc. cit. p.93) 
croit que la larve de À. tincae est Cercariaeum paludinae 
impurae (Fil.), vivant dans Bithynia tentaculata, où Ficrppr a 
trouvé des rédies dont l'intestin sacciforme occupe le premier 
tiers de l'animal, tandis que chez notre espèce cet organe occupe 
seulement 1/; à ‘/6 de la longueur du corps de la rédie. En 
outre, les écailles de l'extrémité antérieure du corps sont si 
distinctes que Fizipp1 ! n'aurait pas écrit que l'animal est couvert 


! Fiuiepr, Ph. pe. Troisième mémoire pour servir à l'histoire génétique des 
Trématodes. Mem. R. Acad. Sc. Torino, T. 18, 1859, p. 201. 


396 O. FUHRMANN 


d’épines si tel n’était pas le cas. Nous croyons donc que l'espèce 
que nous venons de décrire se rapproche plus de À. tincae que 
le cercaire de Fizrpp1, mais n’ayant pas pu faire des expériences 
de nutrition avec les larves que nous avons trouvées, nous pro- 
posons de nommer ce cercaire Cercariaeum Squamosum. 


EXPLICATION DE LA PLANCHE 1 


FiG. 1. — Sporocyste de Cercaria letifera n. sp. 

Fi. 2, 3, 4, 6, 10. — Développement de la Cercaria letifera n. sp. 
F1G. 7, 8. — Cercaria letifera n. sp. 

FiG. 9. — Rédie de Cercariaeum squamosum n. sp. 


Fic. 11, 12. — Cercariaeum squamosum n. sp. 


7 
* 


Rax Suisse de Zool. T. 24. 196. 


ass ie cree 
D pee 


vs 


Fuhrmann:— Cercaires 


RENMUDEESUTISSE DE :ZOOrOGIE 
Vol. 24, no 5. — Avril 1916. 


Fourmis du Congo 


et d'autres provenances 


récoltées 


par MM. Hermann Kohl, Luja, Mayné, etc. 


Aug. FOREL 


Avec 7 figures dans le texte. 


Je laisse de côté les formes déjà fort connues ou n’offrant 
pas d'intérêt. 


l'e Sous-famille Ponerinae Lep. 


Ponera coeca Sant. 
®.S'-Gabriel, Congo (KouL). 


Ponera ergatandria For. r. Petri n. st. 

$. Longueur : 2,9, Ressemble à la r. cognata Sant., mais 
elle présente au milieu de lépistome, devant, un sillon longi- 
tudinal qui rappelle celui de la sulcatinasis Sant. Du reste, 
beaucoup plus grande et avec l’écaille moins épaisse et plus 
haute. Les yeux sont plus grands que chez la r. cognata, com- 
prenant 5 à 6 facettes plates. La tête est plus large, surtout der- 
rière, aussi plus échancrée et un peu plus courte. La couleur 

Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 27 


398 A. FOREL 


est d’un brun roussâtre ou d’un roux brunâtre avec les antennes 
et les mandibules d’un roux jaunâtre. La pubescence est plus 
forte que chez la r. cognata, mais moins forte que chez la sulcati- 
nasis. Peut-être ferait-on mieux de rapporter cette forme comme 
race à la sulcatinasis. 

S'-Gabriel, Congo (Ko. 


Plectroctena minor Em. 
5. Q. S'-Gabriel, Congo (KouL). 


Platythyrea Conradti Em. 

5 G. S'-Gabriel, Congo (Kour). Habite des arbres creux et 
leurs branches. Les trous de sortie sont recouverts de fines 
matières végétales, dans lesquelles on trouve des Fourmis para- 
sites. Piqüûre fort douloureuse. 


Platythyrea modesta Em. 
$. S'-Gabriel, Congo (Ko). 


Pachycondyla (Bothroponera) Svent n. sp. 

Longueur : 9%%—10"",5, Bien plus grande que sa parente la 
gabonensis André. Mandibules lisses, luisantes, avec de gros 
points épars et quelques rides vers l'extrémité, armées de quatre 
dents usées; le bord terminal peu distinct du bord interne. Tête 
rectangulaire, un peu plus longue que large, aussi large devant 
que derrière, à bord postérieur légèrement concave et à côtés 
faiblement convexes. Epistome sillonné au milieu, mais sans 
dents devant (avec 2 dents chez la gabonensis). L’épistome est 
avancé devant ; son bord antérieur est convexe. Yeux assez 
grands, convexes, situés distinctement en avant du milieu. Le 
scape dépasse un peu le bord postérieur de la tête. Articles 2 à 6 
du funicule plus longs qu’épais ; articles 7 à 10 aussi épais que 
longs. Suture promésonotale distincte ; suture mésoépinotale 
obsolète. Pronotum 2 fois plus large que long, un peu subépaulé. 
Epinotum armé de 2 épines divergentes, obtuses à l'extrémité, 
aussi longues que l'intervalle de leurs bases et plus longues que 
cette dernière, dirigées en haut et un peu en arrière. Face déclive 


FOURMIS DU CONGO 399 


avec une légère carène longitudinale. Ecaille semblable à celle 
de la gabonensis, mais les épines sont bien plus longues (com- 
parées avec la figure de la v. s/riatidens Sant.). Les 2 épines 
latérales sont presque aussi longues que la hauteur de lécaille. 
Les 3 épines médianes sont étroites et très longues, mais plus 
courtes que les latérales ; la médiane environ 5 fois plus longue 
que la largeur de sa base. Abdomen à peine rétréci derrière son 
premier segment. 

Entièrement male ou subopaque ; thorax et tête plutôt subopa- 
ques. Tête assez grossièrement réticulée avec un peu de fine 
sculpture au fond des réticulations, et, entre deux, avec des 
rides longitudinales, surtout sur le front. Thorax grossièrement 
réticulé et assez finement et irrégulièrement sculpté au fond, 
avec des rides transversales grossières sur le pronotum; écaille 
plus luisante, avec des mailles réliculées, allongées, assez gros- 
sières. Sauf sa face antérieure, l'abdomen est mat, assez densé- 
ment et finement strié en long, avec des réticulations allongées 
entre les stries et des points piligères, saillants et épars. Pilo- 
sité dressée abondante, assez épaisse, mais pointue au bout, 
plutôt courte, d’un brun roussâtre sur le corps, rousse sur les 
membres. Pubescence assez abondante et formant un léger 
duvet sur les membres, qui sont subopaques et densément 
ponctués. La pubescence est éparse sur le corps. Noire. Mandi- 
bules, scape, pattes, lobes des arêtes frontales, devant des joues 
et de l’épistome, bord postérieur des segments abdominaux et 
bord antérieur des articles du funicule roussâtres. Cuisses et 
reste des funicules bruns. 

Congo (Kour). Reçue par M. Wasmanx. Cette espèce diffère 
de la gabonensis par les longues épines de lécaille et de Pépi- 
notum, par sa grande taille, par le manque de dents à lPépis- 
tome, ainsi que par sa sculpture, etc. 


Leptogenys Stuhlmanni Mayr r. camerunensis SUtz V. angus- 
ticeps n. var. | 

$. Longueur : 9"",7. Diffère du type de camerunensis par sa 
tête plus étroite et sa couleur bien plus foncée, brune, avec les 


400 A. FOREL 


pattes, les antennes, les mandibules et les extrémités des 
segments abdominaux seules roussâtres. Chez le type de la 
camerunensis, qui est entièrement roussâtre, la tête est aussi 
large devant que sa longueur, tandis qu'elle est bien plus 
longue chez la v. angusticeps, avec les côtés distinctement plus 
convexes. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), un seul exemplaire. Je crois devoir 
faire une race distincte de la camerunensis Stitz. 


Anochetus Traegaordhi Mayr. 
ÿ. Congo (Ko). 


Anochetus Bequaertt For. | 

©. Congo (Kouxr). Q@ (non encore décrite). Longueur : 7°",5. 
Tout à fait semblable à l’ouvrière ; les mêmes dents obtuses et 
courtes à l'épinotum. Mésonotum subopaque, densément strié 
en long. Ailes un peu enfumées. Couleur du corps un peu plus 
claire que chez le type, d'un brun roussâtre. Pronotum avec 
quelques rides transversales. 


Phyracaces nkomoensis n. sp. 

$. Longueur : 4"",2—4"",6. Fort rapproché de Cooperi 
Arnold et de Foreli Sant. Mandibules lisses et luisantes avec de 
gros points épars. Arêtes latérales des joues, courtes, luisantes, 
mais élevées. Yeux au milieu, convexes, occupant près du tiers 
du côté de la tête. Articles 2 à 7 du funicule 2 fois plus épais 
que longs ; les 3 derniers articles forment une massue. 

Le scape atteint le tiers postérieur de la tête. Celle-ci plus 
longue que large (d°1/: à peine), avec les côtés convexes, mais 
aplatis derrière et bordés en dessous ; le bord postérieur large- 
ment échancré et un peu plus large que le bord antérieur. Thorax 
fortement convexe d’avant en arrière, plus faiblement de droite 
à gauche, sans sutures, mais avec un bord aigu, tout le long des 
côtés et entre la face basale et la face déclive de l’épinolum ; ce 
dernier bord est interrompu au milieu. Le dos du: thorax n’est 
pas tout à fait 2 fois plus long que large. Face déclive de Pépi- 
notum très abrupte, plane, bordée latéralement, ayant vers son 


FOURMIS DU CONGO AO 


milieu deux petites carènes longitudinales ; elle est séparée de 
la face basale par deux très petites dents. Pétiole rectangulaire, 
11}: fois plus large que long, concave devant, convexe de côté 
et derrière, bordé devant et de côté, distinctement convexe 
dessus, ayant à ses angles postérieurs deux petites dents trian- 
gulaires, plus grandes que celles de l’épinotum. Sa face anté- 
rieure, un peu concave, est verticalement tronquée et bordée 
aussi de bas en haut. En bas, dessous, le pétiole a un lobe trian- 
gulaire. Postpétiole 1 ?34 fois plus long que le pétiole et 17/4 fois 
plus long que large. Distinctement plus large que le pétiole, 
avec les côtés un peu convexes, surtout assez fortement convexe 
dessus et dessous, ayant bien plus l'aspect d’un segment abdo- 
minal étranglé derrière que chez le Coopert, il est néanmoins 
bordé et concave devant, ayant dessous, devant, une dent obtuse. 
Abdomen proprement dit largement articulé au postpétiole avec 
lequel il forme du reste un fort étranglement. Pattes moyennes; 
les cuisses ont un lobe articulaire fort grand à leur extrémité 
postérieure, avant laquelle il est d’ailleurs amine. | 

Luisant, avee une forte ponctuation profonde, égale et assez 
dense, sur tout le corps, bien plus fine et plus espacée, et bien 
plus superficielle sur les membres. Pilosité dressée, roussâtre, 
irrégulière, assez longue, éparse sur le corps et sur les mem- 
bres, plus abondante sur l’aplatissement postérieur subbordé 
du pygidium. Pubescence éparse, peu apparente partout. Noir; 
pattes et antennes brunes ; tarses, aplatissement du pygidium, 
extrémité des mandibules et massue des antennes roussâtres. 

S'-Gabriel, Congo (Kour). Diffère de Coopert et de Braunst 
par la forme du postpétiole ; de Foreli par sa sculpture tout 
autre. Le thorax est bien plus franchement bordé que chez 
Cooperi. La tête est plus large derrière et plus échancrée que 
chez Cooperi r. congolensis. 


Phyracaces Cooperi Arnold r. congolensis n. st. 

$. Longueur : 4"",2. Diffère du type d’ARNOLD par sa tête 
bien plus étroite derrière et plutôt plus large devant, puis sur- 
tout par sa ponctuation infiniment plus fine, aussi fine sur tout 


402 A. FOREL 


le corps que sur l’abdomen, plus espacée que chez nkomoensis. 
Les antennes forment une massue bien moins distincte que 
chez ce dernier. Les angles de l’épinotum et du pétiole sont à 
peine dentiformes. Le postpétiole, bien plus nodiforme que chez 
nkomoensis, bien moins largement articulé à l'abdomen pro- 
prement dit, est distinctement plus large que long, tout à fait 
rectangulaire, bordé de côté. Du reste, comme le type. 

S'-Gabriel, Congo (KouL). D’après Arnozp le Cooperi diffère 
de Braunsi par sa taille plus grande, ses yeux plus petits, ses 
scapes plus longs et sa ponctuation plus forte. 


2% Sous-famille Dorylinae Leach. 


Dorylus (Anomma) funereus Em. 
g' Congo (KouL). 


Dorylus (Anomma) Wilwerthi Em. 
g' Congo (Ko). 


Dorylus (Anomma) Stanleyi For. 
g' Congo (KouL). 


Dorylus (Anomma) opacus For. 
g' Congo (Ko). 


Dorylus (Anomma) Emeryi Mayr. 
$ Congo (KoxL), recu par M. Wasmaxwx. Chez l’opacus Ÿ, la 
tête est plus plate que chez l’'Emeryr. 


Dorylus (Anomma) Kohli Wasm. v. Frenisyt n. var. 

$. Longueur : 4""—-8%% 5, Plus petit que la forme typique et 
surtout beaucoup plus mat, surtout la tête qui est à peine un peu 
subopaque, presque mate. La tête est aussi légèrement plus 
plate avec les côtés un peu plus droits que chez le type. Congo 
(KouL). 


Dorylus brenipennis Em. v. Marschalli Em. 
? Congo (Kouz, reçu par M. WasManN). 


FOURMIS DU CONGO 403 


3% Sous-famille J/yrmicinae Lep. 


Sima (Pachysima) aethiops Sm. 

ÿ ©. Watikaia sur le fleuve Chopo, Candolo sur lOkiavo- 
Lindi, dans les branches creuses d’une plante myrmécophile 
(Barberia fistulosa Mast.). 


Sima Oberbecki For. 

® Leopoldville, Bas-Congo (KouL), dans la même plante que 
S. (Pachysima) aethiops. 

® non encore décrite. Longueur : 7°", Mésonotum à peine 
plus large que le reste. Les ailes manquent. Du reste absolu- 
ment semblable à l’ouvrière, mais la tête est encore plus longue, 
1 ?3 fois plus longue que large. Il s’agit d’une petite @ à peine 
aussi grande que l’ouvrière typique. 


Sima Mocqueryst André. 
$ÿ Congo (Kour), même plante que les précédentes. 


Sima anthracina Sant. 
ÿ S'-Gabriel, Congo (Kohl), même plante que Les précédentes. 


Sima Prelli For. v. odiosa n. var. 

ÿ. Longueur: 6%", Diffère du type par sa couleur entière- 
ment noire, avec les mandibules, les antennes et les pattes rous- 
sâtres, les cuisses brunes et le milieu des funicules obscurei. 
La tête est aussi un peu plus longue et les funicules légère- 
ment plus grêles. Prise avec la Sima Mocquerysi, au même 
endroit. 


Sima ophthalmica Em. 

$ Bengemeza et S'-Gabriel, Congo (Kour), même plante que 
les précédentes ; élève des Pucerons. 

Les Ÿ sont un peu plus grandes que le type, d'environ 4"". 
L’épinotum est fort bossu ; ses deux faces passant de l’une à 
l’autre. Le pétiole est bas, étroit ; son nœud également convexe, 
très peu distinct de son court pétiole antérieur et bien 2 fois 


404 A. FOREL 


plus longs que large. Le postpétiole plus large, cupiliforme, est 
un peu plus long que sa largeur postérieure. 


Myrmicaria eumenoides Gerst. 
$ Q Romé près Stanleyville Congo (Kouz). M. KouxL a aussi 
récolté la v. congolensis. 


Myrmicaria exigua And. 
Congo (KouL). 


Myrmicarta exigua And. v. rufiventris For. 

ÿ Makanga Congo (Kouz). Ici encore M. KoxL a trouvé cette 
forme dans de petits nids sur les feuilles, mais il dit qu'ils sont 
faits avec une toile tissée ou filée, entremêlée de matériaux 
végétaux, et non en simple carton. 


Cremastogaster concava Em. 

ÿ @ ©. Pris plusieurs fois à S'-Gabriel, etc., sur des nids de 
Termites, dans les cases supérieures d’appendices coniques, au 
haut des dits nids. Envoyé aussi par le prof. Wasmanx. 


Cremastogaster pauciseta Em. r. grossulior n. st. 

?. Longueur : 2%",9-=3%,2." Difrére avant tout de lespese 
typique par sa taille bien plus large et bien plus robuste. La tête 
n'est pas rétrécie, ni convexe derrière les yeux comme chez l’es- 
pèce typique, mais elle est large avec un bord postérieur à peu 
près droit. Les scapes sont un peu plus courts, dépassant le bord 
postérieur seulement de leur épaisseur. Le thorax a à peu près 
la même forme, mais il est plus robuste ; l’'échancrure mésoépi- 
notale est moins profonde, la face basale de l’épinotum bien 
plus longue, avec des épines bien moins longues, plus courtes 
qu'elle et moins verticales. Thorax et pédicule bien moins lui- 
sants. Epinotum et pronotum subopaques, assez fortement réti- 
culés. Couleur d’un jaune plus roussâtre, plus foncé, avec seule- 
ment la moitié postérieure de l'abdomen brune. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), dans les nectaires floraux d’un buis- 
son. Mon Cr. dolens (1910) n’est guère qu’une race de pauciseta 
Em., auquel je l'avais déjà comparé du reste. 


FOURMIS DU CONGO 405 


Cremastogaster luctans For. v. rugosior. Sant. 
$ Congo (KouL). 


Cremastogaster Ruspolit For. v. atriscapis For. 

Pris une fois à S'-Gabriel, dans une plante myrmécophile, et 
une autre fois dans un grand nid de carton (aussi à S'-Gabriel) 
appliqué sur une plante de Cacao où il cultivait des Coccides en 
grand, arrêtant ainsi le développement des fruits. Parfois les 
fruits étaient eux-mêmes recouverts de carton. 


Cremastogaster nigeriensis Sant. V. wtlniger n. var. 

ÿ. Longueur: 2""—2"",1, Plus petite que le type et de cou- 
leur plus foncée, brun clair, avec les */; postérieurs de l'abdomen 
et la tête d’un brun foncé, la massue des antennes et les tarses 
d'un roux jaunâtre. Le reste des antennes et des pattes d'un 
brun clair. Les épines sont plus longues et bien plus pointues, 
de moitié plus courtes que la face basale. La tête est aussi plus 
étroite, un peu plus longue, plus rétrécie et plus convexe der- 
rière ; les articles de la massue sont un peu plus longs et plus 
grêles et le scape plus long. L’Insecte est moins lisse, la tête 
un peu subopaque, distinctement réticulée, de même que le 
thorax. Du reste identique. 

©. Longueur : 8"",1. Même couleur que lP Ÿ. Quelques fai- 
bles stries longitudinales sur la tête. Mésonotum lisse. Epino- 
tum inerme, avec une courte face basale ridée en travers et 
presque horizontale et une haute face déclive subverticale. Les 
ailes manquent. Tête rectangulaire, plutôt plus large que longue. 
Le scape atteint à peine le bord postérieur. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), dans une plante myrmécophile. 
Cette forme diffère du Wéllwerthi Sant., sa voisine, par la sculp- 
ture plus faible du thorax, par son pronolum sans angles et bien 
plus convexe, seulement subbordé. Elle me paraît néanmoins 
constituer un passage du nigeriensis au Willwerthi. Elle res- 
semble aussi au Muralli For., mais en diffère par son pétiole 
élargi devant, par son thorax étranglé, etc. 


406 A. FOREL :; 


Cremastogaster censor For. r. Junodi n. st. 

$. Longueur : 3"",3. Plus petit que le type dont il diffère en 
outre par une carène longitudinale au milieu du mésonotum qui 
est un peu moins concave derrière. La tête est en outre un peu 
moins large et surtout subopaque, presque mate, avec des rides 
longitudinales très serrées et fines, tandis qu’elle est lisse chez 
le type du censor. L’abdomen est par contre fort lisse, plus que 
chez le type. La couleur est la même, à part la tête qui est brune. 

Récolté par M. Juxon au Transvaal à Shilowana (Musée de 
Genève). Dans ma description du type j'ai oublié le caractère 
principal, c’est-à-dire la forme du thorax qui est toute différente 
du senegalensis dont j'en avais fait une race. Chez le senega- 
lensis le promésonotum est fortement convexe en tous sens; 
chez le censor la moitié antérieure du pronotum est ascendante, 
passe par une courbe brusque au reste du pronolum et au méso- 
notum qui sont presque plats. à peine convexes. Par suite, l’épi- 
notum est à la même hauteur que le mésonotum, séparé de lui 
seulement par une suture profonde et enfoncée. C’est pourquoi 
je crois devoir séparer le censor, comme espèce distincte, du 
senegalensis. 


Cremastogaster australis Mayr v. sycites n. var. 

$. Longueur: 4"",2. Bien plus petit que le type, avec les deux 
nœuds plus étroits, le pétiole peu élargi devant et la couleur plus 
foncée, d’un brun roussâtre, avec le vertex et l’occiput bruns et 
l’abdomen noir. 

Townsville, N. Queensland, reçu de M. DonISTHORPE. 


Cremastogaster vulcania Sant. r. Godefreyi For. v. forami- 
nicipoides n. var. 

Longueur : 3"",8—4"",6. Noir, mandibules, antennes et 
pattes brunes ; tête subopaque, presque mate, très densément 
et finement striée, avec d’assez gros points enfoncés, rappelant 
ceux du foraminiceps Sant. 

Bulawayo, Rhodesia (ArnoLp) (N° 108). Je l'avais considéré 
dans le temps (Annales Soc. Ent. Belg. 1913, page 124) comme 
simple variété du vulcania, sans lui donner de nom. 


FOURMIS DU CONGO 407 


J'ai eu le tort de rattacher la r. Godefreyt au foraminiceps 
Sant., dont le pronotum bordé et presque concave en dessus à 
une toute autre forme. Les épines sont aussi bien plus courtes 
chez le Godefreyi. Du reste toutes ces espèces sont très voisines 
et pleines de transitions. 


Cremastogaster Menilekt For. r. Satan n. st. 

$. Longueur: 3"%,6—4"",1. Sculpture et épinotum d’alulai 
Em., mais le mésonotum et le pronotum sont bien plus conca- 
ves, comme chez le type du Menileki. La couleur est d’un brun 
roussâtre, avec la tête presque noire. Les épines sont pointues 
et assez courtes, le pétiole en trapèze renversé, assez long et à 
côtés droits. Postpétiole petit, sillonné. La tête est lisse. 

Congo (KouL). 


Cremastogaster Menileki For. r. Satan For. v.satanula n. var. 

$. Longueur: 2"",4—2"",6. Diffère du précédent, outre sa 
petite taille, par son abdomen presque noir, par ses scapes un 
peu plus longs, dépassant distinctement le bord postérieur, et 
par ses épines plus longues aussi. 

Trouvé dans la fente d'une écorce d’arbre couverte d’une toile 
avec matériaux végétaux. S'-Gabriel, Congo (Kour). Les deux 
formes précédentes diffèrent de pronotalis Sant. par leur post- 
pétiole sillonné et leur pétiole moins anguleux. D’après SANTscui, 
le C. alulai serait une race de Menilekt, tandis qu'EMERrY veut 
rattacher mon scrutans comme race à l’alulai. Le dédale des 
transitions est presque infini. 


Cremastogaster kasaiensis For. 

$ ® S'-Gabriel et autres lieux, Congo, récolté par M. KouL 
sous 28 numéros différents. Les ailes de la © sont d’une couleur 
brune assez foncée, fort accentuée. L’énorme différence entre 
l$ et la © est partout la même ou peut s’en faut. L'ouvrière 
varie entre 2", 1 et 3"",2, Toutes les Fourmis ont été récol- 
tées dans les internodium de plantes myrmécophiles. L'ana- 
logie du Cr. kasaiensis avec diverses races du Buchneri est 
telle que je suis obligé, malgré tout, d’en faire une simple race 


408 A. FOREL 


de cette espèce. La ® surtout ressemble à s’y méprendre à celle 
de la r. Winkleri For. J’ai donc pensé qu'il pouvait s’agir de 
simples fourmilières commençantes, d'autant plus que M. Ko 
a trouvé souvent une © seulé avec les $. Néanmoins, dans 
8 numéros différents, il m'a envoyé entre 50 et 100 ouvrières 
de chacun. L'un d’eux avait plusieurs 9. Il est danc inadmis- 
sible que toutes ces fourmilières fussent commençantes et je 
dois maintenir le kasaiensis, au moins comme race. La taille de 
la © varie entre 7"",8 et 97,3. 


Cremastogaster impressa Mayr sens. strict. 

$ © o Kilongalonga, Congo (KouL), dans une tige creuse de 
Buchnacrodendron speciosum Gürke et dans d’autres plantes 
myrmécophiles à S'-Gabriel. 

g' encore inédit. Longueur : 3°",6. Mandibules formant une 
seule dent aiguë. Epinotum inerme. Pétiole en trapèze renversé 
fort élargi devant. Mésonoltum densément strié en long. Entière- 
ment noir, avec les antennes, les tibias et les tarses roussâtres, 
les cuisses brunes et les ailes subhyalines. Chez la Q, la pre- 
mière moitié des ailes est brunâtre (un peu comme chez certains 
Lasius d'Europe). Cette espèce est très voisine de la forme que 
j'ai appelée Cr. excisa, r. Andreï, surtout de sa variété gordo- 
nensis For. Ces formes constituent un passage de lexcisa à 
l'empressa. 


Cremastogaster impressa Em. v. sapora n. var. 

$. Longueur: 3"",6—4"%, Diffère du type par son proméso- 
notum subopaque et réticulé, sans rides longitudinales. Les 
épines sont beaucoup plus courtes, à peu près comme chez 
l’excisa v. Kohliella For. La couleur est variée de roux et de 
brun foncé sur le thorax ; la tête est brune derrière, roussâtre 
devant. Du reste comme le type. 

®. Longueur : 5"",4. Beaucoup plus petite que le type, avec 
les ailes presque hyalines (légèrement brunâtres chez Le type). 
L’épinotum a deux faibles dents obtuses. La tête est plus large 
que le thorax. Du reste comme le type. 


k MEL 


FOURMIS DU CONGO 409 


Congo (Kour). Cette forme fait un peu transition à l'ercisa 
Mavr. 


v 


Cremastogaster excisa Mayr.r. Andret For.v. Kolhliella n. var. 


= 


ÿ. Longueur : 2"",7—3"%,6. Très semblable au type de la 
race, mais les épines sont plus courtes, longues à peine comme 
1 de leur intervalle. La portion tronquée du mésonotum, der- 
rière, est très abrupte, formant presque un angle droit avec 
le dos. 


S'-Gabriel, Congo (KouL) dans des plantes myrmécophiles. 


Cremastogaster Buchneri For. v. Graeteri n. var. 

5. Longueur: 3"",5—3"",7, Beaucoup plus petite que le type, 
auquel il est du reste fort semblable. La tête est un peu plus 
longue, distinctement plus longue que large et moins échan- 
crée derrière. Epines plus courtes, longues comme à peine 1/3 
de leur intervalle. La sculpture, surtout sur la tête, est plus 
superficielle, seulement subopaque. Du reste identique. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), nid fait en carton. 


Cremastogaster Buchnerti For. r. Winkleri For. 
? Congo (Kour), dans une plante myrmécophile. 


Cremastogaster Buchneri For. r. Winklert For, v. Ficken- 
deyt For. 

ÿ Leopoldville, Congo inférieur ; S'-Gabriel, etc., Congo 
(KouL) avec des Coccides, 1 fois vers des Termites, nichant 
autour des plantes. 

En outre M. KouL a récolté diverses formes intermédiaires 
entre la r. Winklert et la v. Fickendeyt, une fois dans un nid, 
probablement volé, de Tetramorium aculeatum, d'autres fois 
dans des plantes myrmécophiles, ou dans des nids de Termites. 
Le n° 68 porte la très intéressante remarque suivante : « Fourmi 
« des plantes. Vit dans et sur la plante myrmécophile Plectronia 
« laurentit de Wilde. À 5 mètres du sol, se trouvait un tronc 
« portant le nid en carton de la Fourmi qui avait 40 à 50 cm. de 


410 A. FOREL 


« haut. Mais La Fourmi habite en même temps toutes les bran- 
« ches creuses de la plante. Makanga sur le fleuve Okiavo. » 

De là, on peut conclure qu’il n’y a pas contraste absolu entre 
les nids en carton du Buchnerti et l'habitat des tiges creuses. 


Cremastogaster Buchneri For. r. Winkleri For. v. transversi- 
ruginota n. Var. 

$. Longueur: 3"",2—4"%, Aussi grand que les plus grands 
Winkleri, dont elle se distingue par son mésonotum bien plus 
fortement tronqué derrière (presque comme chez lercisa r. 
Andrei). et dont la carène s’arrète derrière, vers le milieu. Puis, 
la face basale de lépinotum a des rides transversales grossières. 
Le pétiole est un peu plus large devant; tout le thorax est un 
peu plus robuste. 

Motombe sur le fleuve Okiavo. Pris dans un nid de carton 
de 50 cm. de haut. Cette forme ressemble beaucoup à l’impressi- 
ceps Mayr v. Lujana For., mais ce dernier a le promésonotum 
fort et uniformément convexe, plus convexe mème que l’im- 
pressiceps typique, et sans carène. 


Cremastogaster Buchnerti For. r. Laurenti For. v. theta For. 

$ ® S'-Gabriel, Congo (KouL), dans les buissons. Une fois 
déménageant la nuit de nids de carton qui se trouvaient sur un 
arbre coupé. 

® (encore inédite). Longueur: 5"",7—6"". Brune, avec les 
pattes, les anterines et les mandibules roussâtres. Scutellum et 
postsculellum verticalement tronqués, face déclive de l’épino- 
tum de même. La face basale, courte et oblique, se termine par 
2 épines pointues plus longues que la largeur de leur base. 
Pétiole presque circulaire. Postpétiole sans sillon distinct (dis- 
tinct chez | $). Luisant et presque lisse, sauf quelques rides 
superficielles sur la tête. Celle-ci bien plus large que longue. 


Cremastogaster Buchneri For. r. africana Mayr v. Camena 
n. var. 
ÿ. Longueur: 3%%,3—3"%,7, Très près de la var. variegata 


FOURMIS DU CONGO 411 


Mayr, dont elle se distingue par sa couleur un peu plus fon- 
cée, sa taille un peu plus grande, puis surtout par ses épines 
bien plus courtes, subdentiformes, très épaisses à la base, par 
la carène plus nette du mésonotum et par la suture promésono- 
tale plus enfoncée, faisant un peu feston de côté. Même sculp- 
ture que variegata. Chez le type de la r. Laurenti For. la suture 
promésonotale est aussi enfoncée que chez la var. biemarginata 
For. de la r. africana. 

Olombo, Congo (Kouz). 

Si Je récapitule l’étude précédente, j'en tire la conclusion qu'il 
y a là un dédale de formes transitoires qui, à mon avis, nous 
forcera de réunir les espèces suivantes comme races au Cr. 
Buchneri For.: kasaiensis For., vulcania Santschi, émpressiceps 
Mayr, excisa Mayr, impressa Em., Kohli For., Alulai Em. et 
même Menileki For. Peut-être même devra-t-on aller plus loin, 
mais pour le moment je m'arrête. En effet, la longueur des 
épines, la formé et la carène du mésonotum, la forme du prono- 
tum, celle du pétiole et du postpétiole varient tellement que les 


caractères qu’on a donnés autrefois comme spécifiques ne tien- 


nent plus debout. Les mœurs cartonnières et internodiales, 


nous venons de le prouver, montrent aussi des transitions. 


Cremastogaster {(Atopogyne) Luciae For. 
® Congo (KouL. 


Cremastogaster (Oxygyne) Stadelmanni Mayr. 
5 S'-Gabriel, Congo (Kour), dans de grands nids de cartons 
contre les troncs d’arbres. 


Cremastogaster (Decacrema) solenopsisoides Em. r. flavida 
Mayr v. convexiclypea n. var. 

ÿ. Longueur : 2""—2""%,5. Se distingue du type de la race 
par son épistome beaucoup plus convexe et par sa couleur encore 
beaucoup plus pâle, d’un jaunâtre terne. Le mésonotum est 
aussi fortement creusé en long d’un bout à l’autre entre les 
2 arêtes, plus que chez le type. Les épines sont un peu plus 
longues. Du reste identique. 


412 A. FOREL 


PA 


@ Longueur : 4"",6. Antennes de 10 articles, comme chez 
l’ ÿ. Ailes faiblement teintées de jaunâtre, à nervures pâles. 
Tête bien plus longue que large ; le scape n'alteint que son 
cinquième postérieur. Massue moins distinctement biarticulée 
que chez l’ouvrière. Thorax plus étroit que la tête. Deux épines 
assez pointues à l’épinotum. Couleur d’un jaune un peu plus 
brunâtre que chez l’ouvrière. 

g Longueur : 1"",5—1""9. Mandibules très courtes, ne se 
rejoignant pas, obtuses à l'extrémité. Thorax un peu plus large 
que la tête. D’un jaune brunâtre sale ; pattes et antennes jaune 
clair et pâle. Du reste comme la Q. 

S'-Gabriel, Congo (Kout). Dans une plante myrr mécophile. 


Cremastogaster (Decacrema) petiolidens n. sp. 

ÿ. Longueur : 1"%,6—2"%, Mandibules étroites, lisses, lui- 
santes, ponctuées. Tête rectangulaire distinctement plus longue 
que large (d° 1/3 environ), avec les côtés convexes et le bord pos- 
térieur un peu convexe aussi et plus étroit que le bord anté- 
rieur. Epistome court, un peu déprimé dans le sens longitu- 
dinal. Les yeux, petits et plats, situés à peine en avant des côtés, 
n'ont qu'une dizaine de facettes. Scape court, distant du bord 
postérieur d'environ 2 fois son épaisseur. Massue épaisse, de 
2 articles. Funicule de 9 articles ; dont les 2" et 3"° peu dis- 
tinctement séparés ; articles 3 à 5 deux fois plus épais que longs. 
Pronotum assez distinctement épaulé. Sutures distinctes. Le 
pronotum a, entre son cou et son dos, un escalier antérieur fort 
abrupt. Mésonotum faiblement, mais distinctement convexe, 
nullement excavé, ni en long, ni derrière. Pas d’échancrure 
mésoépinotale marquée, mais simplement un assez fort enfon- 
cement de la suture. Face basale de l’épinotum un peu plus large 
que longue, convexe devant, concave entre les deux épines. 
Celles-ci sont triangulaires, à base très large, à peine ou pas 
plus longue que cette dernière, constituant deux très larges 
dents pointues. Face déclive plus courte que la basale. Pétiole 
carré, à peine ou pas plus large devant que derrière, muni de 
4 dents ; les antérieures petites, mais les postérieures très appa- 


7 + 


FOURMIS DU CONGO 413 


rentes, pointues et fortes. Le postpétiole très étroit, avec un 
sillon médian étroit, mais fort distinct. Pattes courtes. 

Lisse et luisant, avec une fine ponctuation éparse. Quelques 
fines stries sur le devant de la tête et quelques réticulations sur 
l’épinotum. Pilosité dressée extrêmement éparse et très courte. 
Pubescence très courte et diluée. Roussâtre ou rougeûtre avec 
la tête et l'abdomen bruns. 

Congo (KouL), sans reniarques spéciales. Cette curieuse espèce 
diffère du solenopsisoides par la forme du thorax et du pétiole, 
par ses petits yeux, etc. Elle ressemble aussi au Muralti For., 
mais celui-ci a 11 articles, pas de dents au pétiole, le postpétiole 
sans sillon, la tête toute autre, etc. 


Pheidole speculifera Em. v. cubangensis For. 

%. Vers le poste de Lisala au dessus de Nouvel-Anvers sur 
le Congo. Cette variété est plus près du type de lespèce que la 
race crassinoda Em., à laquelle je l'avais autrefois rapportée. 


Pheidole Bucholzi Mayr. 

$ © Makanga, Congo (KouL), chez des Termites, reçue aussi 
par M. Wasmanx avec la Q. 

® (encore inédite). Longueur : 8"",6. Mandibules luisantes 
grossièrement striées et poncluées, à bord externe presque 
droit. Tête un peu plus large que le thorax, concave derrière et 
grossièrement ridée en long, les rides divergeant en arrière. 
Le scape atteint le 5"* postérieur de la tête. Mésonotum et 
scutellum un peu moins grossièrement ridés en long que la 
têle, finement réticulés et subopaques comme elle. Epinotum 
ridé en travers avec de larges épines. Postpétiole un peu plus 
large que long, 3 fois plus large que le pétiole, rhombiforme, 
ridé en travers et subopaque. Premier segment de l’abdomen 
subopaque, densément réticulé. Les ailes manquent. Couleur 
d’un roussâtre uniforme. Du reste comme le 9}. 


Pheidole caffra Em. r. Bayeri n. st. 
%. Longueur : 5"". Tête plus petite que chez la var. amoena 
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 28 


44 A. FOREL 


For., un peu plus longue, plus étroite derrière, où elle est 
plutôt moins large qu’au milieu. Elle est aussi moins déprimée 
à l’occiput, à peu près comme chez la r. abyssinica For. Le 
scape est plus long que chez toutes deux; 1l atteint presque 
le tiers postérieur de la tête. Le thorax est aussi plus grêle 
que chez les deux autres formes citées ; le tubercule supérieur 
du pronotum est plus faible. Par contre le mésonotum est plus 
profondément enfoncé au milieu, présentant un bourrelet anté- 
rieur et un postérieur fort élevés. Face basale de l’épinotum 
bien plus longue que large, plus étroite que chez amoena 
et abyssinica ; épines subverticales, assez grêles, pointues, 
longues comme les ?;; de leur intervalle. Postpétiole un peu 
plus long que chez la r. abyssinica, mais à peine plus étroit ; 
du reste conformé de même. Le pétiole est un peu plus long 
et plus étroit. La tête est luisante avec des rides très régu- 
lières sur le front où elles ne sont pas réticulaires ; elles le 
deviennent sur les côtés et surtout sur l’occiput où elles diver- 
gent et qui n’est nulle part lisse. Ces rides sont plus grossières, 
mais bien moins serrées que chez la r. abyssinica. En outre, 
l’occiput a derrière une large impression médiane qui est à 
peine sensible chez l'abyssinica. Thorax ridé en travers, abdo- 
men lisse. Pilosité dressée roussâtre et éparse. Scapes et tibias 
avec une longue pubescence adjacente. D'un brun foncé presque 
noir. Mandibules, scapes et cuisses bruns. Funicules, tarses et 
articulations roussâtres. 

$. Longueur: 2"%,7. Tête bien plus longue que large, plus 
longue que chez abyssinica. Elle est surtout plus rétrécie et 
convexe derrière, formant à peine un bord postérieur distinct. 
Le scape dépasse la tête des ?/5 de sa longueur (d’un tiers chez 
abyssinica). Mésonotum et épinotum comme chez le 9%, plus 
allongés que chez abyssinica, de même que les deux nœuds du 
pédicule. Lisse avec quelques stries obliques sur les joues ; 
épinotum réticulé. Presque noire, mandibules jaunâtres, mem- 
brés comme chez le %, ainsi que la pilosité. 

Kasindi, Congo (D' Bayer), reçu du Musée de Bruxelles par 
M. SCHOUTEDEN. é 


VPN"... 


FOURMIS DU CONGO 415 


Pheidole Aurivillit Mayr r. kasatensis For. 

$, 4, © Congo (Koui,. 

® (encore inédite). Longueur : 5"",1. Relativement petite. 
Mandibules luisantes, ponctuées, striées à la base. Tête en tra- 
pèze, rétrécie devant, un peu plus large derrière que longue, à 
bord postérieur droit. Thorax court à dos aplati. Abdomen 
tronqué devant. Tête plutôt luisante, grossièrement ridée en 
long. Sauf le devant du scutellum, tout le reste est mat, le 
thorax densément ridé et l'abdomen densénient réticulé-ponc- 
tué. De gros points piligères, surtout sur labdomen. Pilosité 
et pubescence comme chez le 9. D'un noir brunâtre ; cuisses 
brunes au milieu ; le reste des membres, les mandibules et une 
tache à l’angle antérieur de l’abdomen, roussâtres. La Q a été 
trouvée à S'-Gabriel, dans un nid de Termites abandonné. 


Pheidole megacephala F. rx. nkomoana n. st. 

%. Longueur : 2"",6—3"",1. Mandibules avec une fine ponc- 
tuation plus abondante que chez le type de l'espèce. La tête est 
relativement plus petite que chez le type; ses côtés sont moins 
convexes et ses angles occipitaux bien plus aigus, laissant entre 
eux deux une concavité plus grande. Les yeux sont plus con- 
vexes et le scape est plus long, atteignant le tiers postérieur. 
Le promésonotum est moins convexe, avec des tubercules supé- 
rieurs plus accentués et une impression transversale nette au 
milieu du mésonotum. Les pattes et les antennes (massue y 
comprise) sont sensiblement plus grêles. Les arêtes frontales 
se prolongent jusqu’au quart postérieur de la tête, laissant en 
dehors un espace un peu plus lisse, et les rides longitudinales 
vont même un peu plus loin, jusqu'au 5° postérieur. Pilosité 
un peu plus longue, plus espacée et plus fine. Epinotum plus 
luisant et plus lisse. D'un roux jaunâtre. Pattes et antennes 
jaunes. Pédicule et tête d’un roux un peu brunâtre. Milieu de 
l'abdomen brun. La couleur varie du reste ; souvent la tête est 
brune et l'abdomen jaune-brunâtre. Tout le reste est comme 
chez le type de l'espèce. 

$. Longueur: 1"",8—2"",2, Tête rétrécie et convexe derrière 


416 A. FOREL 


avec un bord postérieur indistinct, fort étroit, un peu moins 
convexe. Yeux fort convexes. Le scape dépasse l’occiput de plus 
d’un tiers de sa longueur. Promésonotum moins convexe que 
chez le type, avec une impression transversale indistincte au 
mésonotum. Face basale de l’épinotum 2 fois plus longue que 
large. Nœud du pédicule, comme tout l’Insecte, plus allongé 
que chez le type. Membres, pilosité et pubescence comme chez 
le 9}, de même que les variations de couleur. Sculpture comme 
chez le type, un peu plus lisse. 

®. Longueur 5". Tête moins rétrécie devant et plus concave 
derrière que chez Le type. Mandibules comme chez le 4. Arêtes 
frontales très distinctement prolongées jusqu'au 5"° postérieur 
de la tête, laissant en dehors un espace lisse. Postpétiole 2 fois 
plus large que long. Rides de la tête comme chez le type, mais 
un peu plus lâches. Pilosité, pubescence et couleur comme 
chez le %. 

d'. Longueur: 3,5. Les yeux fort grands atteignent presque 
le bord antérieur de la tête en surplombant un peu ses côtés. 
Thorax beaucoup moins large que chez le type. Aïles faiblement 
jaunâtres, avec des nervures assez pâles. Les ocelles sont beau- 
coup moins grands que chez le type et la tête est plus prolongée 
derrière entre les yeux. Brunâtre, mandibules, antennes et 
pattes jaunâtres. 

S'-Gabriel, Congo (Kouz). Trouvé plusieurs fois sous 6 numé- 
ros différents, toujours dans des plantes myrmécophiles, tandis 
que M. KouL a trouvé plusieurs fois les Pherdole megacephala 
et punctulata, mais avec leur autre habitat bien connu. Cette 
race diffère des r. Santschi et atrox par la forme de locciput. 
Elle se rapproche un peu de la r. Gietleni For. de Madagascar, 
mais en diffère aussi. J’ai reçu par M. Wasmanx la même race, 
mais d'une variété un peu moins différente de l’espèce typique. 
La r. nkomoana mérite peut-être de constituer une espèce dis- 
tincte. 


Pheidole rotundata For. r. impressifrons Wasm. 
%, $ Congo (KouL), reçue par M. WasMANN. 


FOURMIS DU CONGO 417 


Je maintiens mon sous-genre Al/lopheidole contre l'opinion de 
M. EMERy. 


Oligomyrmex angolensis Sant. r. congolensis n. st. 

%. Longueur : 1",4—1"%,5., Un peu plus grand que le type ; 
sculpture identique, ainsi que la forme de la tête, mais celle-ci 
a une très petite crête, de chaque côté, sur locciput. Le thorax 
n'a par contre presque pas d’échancrure. L'épistome est forte- 
ment échancré au milieu de son bord antérieur, mais il n'a pas 
les carènes latérales que dessine et décrit Saxrscui chez le type. 
La tête est subopaque et densément striée devant. Le reste du 
corps est assez luisant et peu sculpté, d’un jaune terne et sale. 
Tête d'un jaune brunâtre, antennes et pattes jaunes. L'extrémité 
du scape dépasse à peine le milieu de la tête. Les dents de 
l’épinotum sont plus courtes que chez le type, petites et trian- 
œulaires. 

$. Longueur : 0"",9. Sculpture de la tête, qui est mate, un 
peu plus réticulaire et moins striée que chez le 4. Le scape 
atteint le quart postérieur. Echancrure mésoépinotale un peu 
plus forte, les dents de lépinotum aussi. Le pétiole est plus 
épais et plus arrondi au sommet que chez le 9, où son nœud 
parait plus haut et plus comprimé que chez le type. D’un jaune 
un peu roussàtre assez uniforme, avec les pattes jaunes. 

Congo (Kour). Cette race diffère de Jeanneli Sant., qui a la 
tête lisse, par ses côtés convexes et non droits. La tête du 4 
est bien plus longue que chez Alluaudi, mais moins longue que 
chez Jeanneli; elle est un peu intermédiaire entre angolensis 
s. str. et Alluaudui. 


Monomorium albopilosum Em. v. Thales For. 

$ Shilowana, Transvaal, récolté par M. Juxop et reçu du 
Musée de Genève. 

La v. diserta For. du M. Salomonis doit être rapportée à la 
r. termitarium et non pas au Salomonts s. str. Le Monomorium 
Schultzei For. est très rapproché de la race /ermitarium For. du 
Salamonits L. 


418 A. FOREL 


Monomorium Oscaris For. r. springvalense, Y. paterna For. 
ÿ S'-Gabriel, Congo (Kour), dans une plante myrmécophile. 
Cette forme ressemble aussi assez au M. Schultzei For. 


Monomorium rhopalocerum Em. v. gabrielensis n. var. 

$. Longueur: 1"",2—1"",4. Diffère du type par le nœud du 
pétiole plus court, bien plus comprimé d'avant en arrière, plus 
pointu au sommet et aussi moins large. L'échancure du thorax 
est encore plus profonde. Du reste comme le type. 

©. Longueur : 3,2. La tête a les côtés convexes ainsi que 
le bord postérieur ; elle est presque aussi large derrière que 
longue. Le scape dépasse le bord postérieur d’à peine son épais- 
seur. Thorax court et fort convexe. Pilosité du corps fine et 
assez abondante. Celle des membres, subadjacente. Pétiole 
comme chez l’ouvrière. Jaunâtre, avec l'abdomen d’un brun 
foncé, tronqué devant. Les ailes manquent. 

S'-Gabriel, Congo (KoxL), dans un petit nid de Termite. 


Monomorium (Mitara) exiguum For. r. flavescens n. st. 

$. Longueur: 1""—1"",3, Entièrement d’un jaune sale avec 
la tête un peu plus foncée, d’un jaune un peu brunâtre. La tête 
est plus allongée et plus rectangulaire que chez le type, d'un 
tiers plus longue que large. Les scapes, plus courts, n’attei- 
gnent que le tiers postérieur de la tête. L'étranglement du 
thorax est sensiblement plus fort que chez le type qui est 
presque noir, comme la var. bulawayensis For. 

S'-Gabriel, Congo (Ko), pris trois fois dans des plantes 
myrmécophiles. 

J'ai décrit la var. bulawayensis en 1913. Comme j'ai décrit 
sous le même nom un Monomorium amblyops Em. r. bula- 
«wayense en 1914, et que dernièrement on commence (je pense 
avec raison) à interdire l'emploi du même nom pour les variétés 
du même genre, je me permets de changer le nom précédent 
en M. amblyops Em. r. Prossae n. st. 


Podomyrma Delbrücki For. 
& Townsville, Nord Queensland, envoyé par M. DoNISTHORPE. 


FOURMIS DU CONGO 419 


C’est une variété chez laquelle les dents du pronotum sont un 
peu plus fortes et pointues et où les côlés du mésonotum ont 
aussi une protubérance dentiforme plus nette. Je ne lui donne 
pas de nom spécial. 


Atopomyrmex Mocquerysi André var. curvbispina For. 
Lumbulumbu, Congo (KouL), courant sur un tronc d'arbre. 


Rhoptromyrmex Rothneyi For. v. intermedia For. 
$ MontMatang, Sarawak (G.-E. BRyYANT), envoyé par M. Doxis- 
THORPE. 


Rhoptromyrmex opacus Em. 
$ Congo (KouL). 


Rhoptromyrmex globulinodis Mayr r. Alberti n. st. 

$. Longueur: 2"",1—2"",5. Diffère du type de Mayer par son 
occiput bien moins concave, par les côtés de la tête moins 
convexes, le scape un peu plus long, le pétiole plus étroit et la 
couleur d’un jaune roussâtre avec les membres jaunes. Mais il 
est lisse et luisant comme le type, ce qui le distingue d’opacus. 

Congo (Koui). 


Tetramorium guineense F.r. Peutli n. st. 

$. Longueur : 2"",4—2"%,6. Ressemble à la v. Phasias For., 
mais elle s’en distingue, et bien plus encore du type de l'espèce, 
par la forme du nœud du pétiole. Celui-ci est plus bas et plus 
arrondi devant, comprimé en toit au sommet, presque sous forme 
d’arête s’élevant en arrière. Sa face postérieure est un peu con- 
cave, du reste abruptement tronquée. Les épines sont larges, 
fortes, recourbées en avant. La sculpture est plus grossière que 
chez la var. Phasias, plus semblable à celle du type de l’espèce, 
mais la tête est plus réticulée et moins ridée. Couleur comme 
chez le type de l'espèce, mais la Fourmi est bien plus petite. 
Les articles 2 à 5 du funicule sont très courts et très petits. 

©. Longueur : 3"",1. Beaucoup plus petite que le type de 
guineense. Comme du reste chez l’ouvrière, les arêtes frontales, 
prolongées jusqu’au 10"*° postérieur de la tête, laissent entre 


420 A. FOREL 


elles et les yeux presque un demi-scrobe, ou, si l’on veut, un 
scrobe superficiel avec faible sculpture. La tête est rectangu- 
laire, d’un quart plus longue que large. Les mandibules sont, 
comme chez l’ouvrière, lisses et luisantes avec des points épars 
et très fins (subopaques et sculptées chez le type, luisantes, 
mais bien plus ponctuées chez la v. Phastas). La tête est aussi 
large à son quart antérieur que derrière, un peu plus large que le 
thorax. Epines très épaisses, peu courbées en avant. Les épines 
inférieures de lépinotum ne sont pas beaucoup plus courtes ; 
elles sont translucides et courbées en avant. Ailes un peu jau- 
nâtres, à nervures pâles. Tout le reste, en particulier le pétiole, 
comme chez l’ouvrière. La pilosité et la pubescence de l’ouvrière 
et de la ® sont comme chez le type. 
Congo (KouL), reçu par M. WAsMann. 


Tetramorium aculeatum Mayr. 

5 © SS'-Gabriel, Congo (KouL), dans de petits nids de carton 
construits sous une feuille, souvent très fréquents sur le même 
arbre, jusqu'à 50 ou plus. Cette espèce aime les bas-fonds humi- 
des. Trouvé aussi par M. KouL au Poste de Lisala et ailleurs. 


Tetramorium aculeatum Mayr v. major For. 
$ © S'-Gabriel, Congo (KouL), nids plus grands que chez le 
type. 


Tetramorium aculeatum Mayr v. Wasmanni For. 
$ Q S'-Gabriel, Congo (KouL), nichant comme le type sur 
une feuille de Palmier. 


Tetramorium aculeatum Mayr v. rubroflava n. var. 

ÿ. Longueur : 2"",6—3""1. Tout semblable au type de l’es- 
pèce, dont il a aussi les longues épines et toute la forme du 
corps. Néanmoins, les épines sont moins divergentes, le bord 
postérieur de la tête est un peu plus distinct et les membres 
sont légèrement plus grêles, le scape dépassant le bord posté- 
rieur d’un peu plus du tiers de sa longueur. La sculpture est 
aussi un peu plus fine et un peu plus serrée. Couleur entière- 


FOURMIS DU CONGO 421 


ment d'un jaune à peine roussâtre. Quelquefois la tête, le pro- 
thorax et les cuisses un peu brunâtres. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), trouvé dans des nids tissés en soie, 
fixés sur les feuilles, et que M. Kouz dit être semblables à ceux 
des Oecophylla et des Polyraachis. De ce fait, je conclus que le 
carton des nids du 7. aculeatum n’est probablement que super- 
posé à une toile filée (combinaison de carton et de toile), comme 


je lai prouvé pour beaucoup de Polyrhachis. 


Tetramorium africanum Mayr. 

$ S'-Gabriel, Congo (KouL). Construit des nids semblables à 
ceux du 7. aculeatum, mais beaucoup plus grands; sa piqûre 
est horrible, pire que celle de la Pachysima aethiops, et on la 
craint beaucoup. 


Tetramorium sericeiventre Em. r. inversa Sant. 
$ S'-Gabriel, Congo (KouL). 


Tetramorium camerunense Mayr v. Gegatimti n. v. 

Se bongueur : 12,327". D'un roux jaunâtre clair, avec les 
membres jaunes, le postpétiole et l'abdomen bruns. Les stries 
de la tête sont aussi plus serrées que chez le type de l'espèce. 

©. Longueur : 2"",6. Tête un peu plus large que le thorax. 
Scape distant du bord postérieur de son épaisseur. Mésonotum 
et scutellum régulièrement striés en long. Le mésonotum est 
bordé sur le dos de chaque côté par une arête noirâtre qui 
n'existe pas chez l’ouvrière. Face basale de l’épinotum ridée en 
travers. Epines fortes, aussi longues que leur intervalle. Cou- 
leur comme chez l’ouvrière, mais la tête et Le thorax plus foncés, 
roussâtres ; Le thorax varié de brun. Les ailes manquent. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), dans un nid de Termites abandonné. 


Tetramorium simillimum Sn. 

$ © S S'-Gabriel, Congo (Kour), sous une tuile. En compa- 
rant le type de la © du Tetramorium pygmaeum Em., que m'a 
donné dans le temps M. Emery, je la trouve absolument iden- 
tique à la © du sémillimum, et par conséquent synonyme. 


429 A. FOREL 


Tetramorium simillimum Sm. r. isipingense For. v. Dumezi 
n.. var. 

$. Longueur: 2"",1—2"",5. Plus petit que le type de la race. 
Les dents de l’épinotum sont un peu plus fortes et plus dis- 
tinctes. Le nœud du pétiole est un peu moins arrondi. Le scape 
de l’antenne est plus court, distant du bord postérieur, qui est 
plus concave, de 2 l/: fois son épaisseur au moins. Le demi- 
scrobe en dehors des arêtes frontales est aussi notablement 
plus net. Toute la Fourmi a une stature un peu plus robuste. 
Couleur un peu plus foncée sur la tête, mais plus claire sur 
l'abdomen. 


S'-Gabriel, Congo (Koxr) dans une plante myrmécophile. 


Tetramorium Meressei n. sp. 

ÿ. Longueur: 2"",6—2"",9. Aussi grand que la r. istpingense 
ci-dessus. Mandibules luisantes, faiblement ponctuées, à 6 ou 
7 dents indistinctes ; épistome caréné au milieu, à bord antérieur 
à peine ou pas échancré. Tête absolument rectangulaire, d'un 
quart à peine plus longue que large, à bord postérieur faiblement 
échancré au milieu. Yeux convexes, au milieu des côtés. Arêtes 
frontales atteignant presque le bord postérieur de la tête, lais- 
sant en dehors un demi-scrobe à sculpture plus faible. Une arête 
latérale distincte est entre les yeux et le bord antérieur de la 
tête. Le scape atteint environ le 10"* postérieur de la tête. Suture 
promésonotale obsolète. Angles antérieurs du pronotum obtus, 
mais assez marqués. Promésonotum médiocrement convexe en 
tout sens. Suture mésoépinotale pas très distincte; étranglement 
mésoépinotal très faible, tout juste visible. Face basale de l’épi- 
notum, un peu moins de 2 fois plus longue que large, sans bord 
distinct, bien plus longue que la face déclive, qui est bordée et 
terminée par 2 petites dents triangulaires. Celles-ci sont un 
peu plus courtes que les dents inférieurs de l’épinotum qui sont 
aussi plus pointues. Pétiole muni en dessous d'une petite dent 
oblique ; son nœud, à peine plus long que le pédicule antérieur, 
est un peu plus haut et surtout encore beaucoup plus arrondi, 
devant, derrière et dessus que chez le sémillimum r. isipingense 


pal ME fus dis 
y J 


FOURMIS DU CONGO 423 


chez lequel il est encore assez nettement cubique. Postpétiole 
court, encore plus haut que le nœud du pétiole, un peu plus 
large que lui, aussi large que long, 1 ‘2 fois plus haut que long, 
verticalement tronqué derrière. 

Luisant. Tête et thorax assez grossièrement ridés en long, 
les rides régulières sur le front, plus réticulées ailleurs. Nœuds 
du pétiole et du postpétiole assez grossièrement et obliquement 
réticulés de côté, lisses derrière ; abdomen lisse, avec une 
ponctuation piligère abondante et très distincte. Le nœud du 
pétiole est comprimé en haut en forme de toit, comme chez le 
guineense r. Peutli, quoiqu'il ait du reste une autre forme ; le 
sommet du postpétiole est aussi rétréci. Tout le corps et les 
membres sont recouverts d’une abondante pilosité très fine, 
jaune pâle, longue, d'aspect laineux, plus courte sur les 
membres, mais nullement polyfide. D’un roux un peu brunûtre. 
Pattes, antennes et mandibules jaunâtres; milieu de Pabdo- 
men indistinctement brun. 

Congo (Ko). Cette espèce a une fausse ressemblance avec 
le guineense r. Peulti. Sa carène latérale des joues, sa pilosité 
et ses deux nœuds sont très particuliers. 


Triglyphothrix gabonensis André v. Boulognet n. var. 

ÿ. Longueur : 3"",5—3"",8. Se distingue du type de l’espèce 
par les nœuds du pétiole et du postpétiole qui sont tous deux 
moins larges ; en outre, la sculpture de la tête, du thorax et des 
nœuds est plus forte et bien plus rugueuse, les rendant subopa- 
ques (le type est assez luisant et plutôt ponctué). La couleur est 
aussi plus foncée, d’un brun foncé, avec les membres et les 
mandibules roussâtres. 

Congo (KouL). 


Leptothorax (Goniothorax) Evelynae n. sp. 

ÿ. Longueur : 2"",3—2"",5, Mandibules assez luisantes, très 
finement ridées ou réticulées, armées de 4 dents. Epistome sans 
carène, avancé fortement devant en lobe arrondi, avec le bord 
entier. Tête rectangulaire, de presque !/4 plus longue que large, 
distinctement rétrécie d’arrière en avant, à bord postérieur et à 


42% A. FOREL 


côtés presque droits, avec l'angle postérieur arrondi. Yeux plutôt 
grands, au milieu. Le scape atteint presque le bord postérieur. 
Dernier article du funicule 3 fois plus long que lavant-dernier ; 
ses articles 2 à 8 presque deux fois plus épais que longs. Angles 
antérieurs du pronotum distinctement anguleux, mais pas den- 
tiformes. Thorax subbordé latéralement. Suture promésonotale 
obsolète. Promésonotum faiblement convexe. Le mésonotum a 
une dent latérale obtuse à son quart postérieur. Echancrure 
mésoépinotale très faible en tout sens, presque xulle sur le dos, 
mais la suture est distincte. Face basale 1 ?/: fois plus longue 
que large. Epines un peu obtuses, subhorizontales, peu diver- 
gentes, aussi longues que leur intervalle. Face déclive plus 
courte que la basale, assez bordée, munie en bas d’une dent 
triangulaire. Nœud du pétiole presque conique, mais arrondi 
au sommet. Sa base est 2 fois plus longue que le pédicule an- 
térieur et son sommet étroit est néanmoins 1 !2 fois plus large 
que long. Postpétiole presque 2 fois plus large que long et que 
le nœud du pétiole, un peu plus bas que ce dernier, néanmoins 
un peu plus haut que long. Les deux nœuds sont arrondis en 
tout sens. Cuisses un peu renflées au milieu. 

Subopaque. Tête parsemée d'assez gros points, fossettes très 
abondants, mais fort superficiels et en outre, dans les points 
comme ailleurs, extrêmement finement et faiblement réticulés. 
Ca et là, surtout devant, quelques stries longitudinales. Le 
thorax etles deux nœuds ont la même sculpture fine, mais, au 
lieu de gros points, le promésonotum a d'assez grosses rides 
longitudinales superficielles et la face déclive de l’épinotum des 
rides transversales. Abdomen lisse et luisant avec des points 
épars, finement réticulé et un peu subopaque devant; de même 
les pattes et les scapes. Pilosité sétiforme obtuse un peu plus 
longue et moins abondante que chez l’innocens For., nulle sur 
les membres. Pubescence jaunâtre claire fort distincte et adja- 
cente sur le corps et sur les membres. Entièrement d’un jaune 
très terne, à peine teinté de brunâtre, avec l’abdomen et les 
membres plus clairs, fort pâles. 

®. Longueur: 2"%,7, Absolument semblable à l’ouvrière. 


FOURMIS DU CONGO 425 


Tête à peine plus large que le thorax. Mésonotum. distincte- 
ment ridé en long; rides assez serrées. Ailes un peu jaunâtres,. 
à tache marginale brune. Tout le reste, aussi la couleur, comme 
chez l’ouvrière. 

S'-Gabriel, Congo (KouL) dans une plante myrmécophile. 

Cette espèce, très semblable à ce que j'avais appelé Tetra- 
morium (Leptothorax ?) innocens, me prouve définitivement que 
cette dernière forme était un Leptothorax et non pas un Tetra- 
morium. L'Evelynae diffère de l’innocens par la forme tout 
autre du nœud de son pétiole bien plus mince (plus court) et 
plus arrondi au sommet. Les épines et les scapes sont plus 
longs, l’échancrure thoracique plus faible, la couleur analogue. 
Si M. KouL n'avait pas prouvé le contraire, on serait tenté d’attri- 
buer à l’innocens et à l’Evelynae des mœurs psammophiles analo- 
gues à celles du groupe Laurae. Tous deux sont des Gontothorax. 


Leptothorax (Goniothorax) Grisont n. sp. 

$. Longueur: 2"%,7—2"%,9, Mandibules étroites, densément 
striées, assez luisantes, armées de 4 dents. Epistome fortement 
lobé, entier devant comme chez le précédent. Aire frontale dis- 
tincte, un peu arrondie derrière. Tête presque 1 1}; fois plus 
longue que large, ayant presque exactement la même forme que 
chez l'Evelynae. Mais les angles postérieurs sont presque aigus 
et l’occiput subbordé entre sa face antérieure et sa face posté- 
rieure. Les veux, situés au milieu, assez grands, paraissent 
légèrement enfoncés entre deux convexités des côtés. Le scape 
atteint le bord postérieur. Antennes de 12 articles. Le dernier 
article du funicule n’est pas 2 fois plus long que le précédent; 
les articles 3 à 7 ne sont qu'un peu plus épais que longs ; tous 
les autres plus longs qu'épais. Thorax très peu convexe en tout 
sens, subdéprimé et subbordé latéralement. Angles antérieurs 
du pronotum très distincts, subdentiformes. Suture proméso- 
notale assez distincte, aussi distincte que la suture mésoépino- 
tale. Aucune échancrure mésoépinotale, pas même d’enfonce- 
ment à la suture. Epines de l'épinotum obtuses, longues comme 
les ?/; de leur intervalle. Face basale presque 2 fois plus longue 


426 A. FOREL 


que large ; face déclive bien plus courte. Nœud du pétiole eubi- 
que, à peine plus large que long, presque sans pédicule anté- 
rieur, rappelant celui du Leptothorax corticalis Schenk. Postpé- 
tiole très petit, presque de moitié plus court que le nœud du 
pétiole, mais au moins 2 fois plus large que long, bien plus 
large que le nœud du pétiole. Abdomen tronqué devant. Cuisses 
renflées au milieu. 

Mat, grossièrement réticulé. Sur la tête, les réticulations sont 
un peu séparées les unes des autres sous formes de fossettes, 
rappelant un peu la sculpture de l’Evelynae ; leur fond est rabo- 
teux. Abdomen lisse et luisant, de même que les membres et la 
face déclive de lépinotum. Les réticulations ont un aspect légè- 
rement longitudinal sur le front et transversal sur la face basale 
de l’épinotum. Pilosité épaisse, très courte (à peine plus longue 
que chez l’innocens), tronquée, jaunâtre, médiocrement abon- 
dante sur le corps, nulle sur les membres. Pubescence diluée 
partout et très adjacente. D’un brun presque noir, avec les 
scapes, la première moitié du funicule, les mandibules, les 
tarses et Les articulations d’un jaunâtre sale. Le tiers postérieur 
de l'abdomen d’un brun clair. 

q Longueur: 3"". Tête rectangulaire arrondie, à peine plus 
longue que large. Le scape dépasse un peu le bord postérieur; 
antennes de 13 articles assez égaux, sauf le dernier. Thorax 
plus large que la tête ; épinotum inerme, arrondi, sa face déclive 
courte. Nœud du pétiole plus long que large presque sans pédi- 
cule antérieur, ailes subhyalines, à nervures et tache pâles. 
Noir, mandibules et membres d’un jaune pâle. Les mandibules 
ont deux dents. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), sous l’écorce d’un Mango. Cette 
espèce rappelle un peu le genre Nesomyrmex Wheeler, mais 
elle a 12 articles aux antennes. 

M. EmEery croit pouvoir identifier mon sous-genre Caulo- 
myrma avec le genre Nesomyrmex Wheeler, fondé sur une 
seule ©. Mais le genre de WueELEr a la tête bordée derrière. 
Pour le moment. je crois devoir maintenir mon sous-genre 
Caulomyrma jusqu'à ce que la question soit mieux éclaircie. 


FOURMIS DU CONGO 427 


Cataulacus Weissi Sant. 

ÿ Q o'.S'-Gabriel, Congo (KouL), dans une plante myrméco- 
phile (Randia myrmecophila de Wire). 

Q® (encore inédite). Longueur : 4"",5. Du reste toute sem- 
blable à l'ouvrière, mais l’abdomen est presque 2 fois plus long 
que large, avec les côtés presque parallèles. Mésonotum et 
scutellum régulièrement ridés en long, un peu plus étroits que 
la tête. Ailes jaunâtres, à nervures pâles. Du reste comme l’ou- 
vrière. 

œ Longueur : 3"%,5. Tête presque triangulaire, très rétrécie 
devant, aussi large derrière que le thorax, avec 2 dents poin- 
tues de chaque côté. Epines de l’épinotum longues et grêles, 
aussi longues que leur intervalle. Un appendice bidenté sous le 
pétiole. Du reste comme la Q. 


Cataulacus brevisetosus For. r. Lujae For. 

Œ & Ÿ S'-Gabriel, Congo (Kour), dans une plante myrméco- 
phile. Il s’agit d’une variété plus petite encore que le type. 
ÿ . Longueur : 2°",5—2"",6. ©. Longueur: 3",9—4"%, Gf. Lon- 


EUeUr 0 1:09. 


Cataulacus guineensis Sm. 

$ © Motombé sur l'Okiavo. Dans un nid de Guêpes maçonnes 
abandonné, sur un tronc d'arbre. S'-Gabriel, courant en para- 
biose amicale avec un Cremastogaster. Congo (KouL). 


Cataulacus erinaceus Sttz. 

ÿ © Congo (KouL). 

® (encore inédite). Longueur : 9"",5. Thorax aussi large que 
la tête. Mésonotum, scutellum et face basale de l’épinotum avec 
des rides longitudinales régulières. Abdomen seulement un peu 
plus long que chez l'ouvrière ; les ailes manquent. 


Strumigenys (Trichoscapa) Escherichi For. r. cognata Sant. 
Congo (KouL). 


Strumigenys (Trichoscapa) Maynei n. sp. 
$. Longueur: 1"",9—2"*, Diffère de l’Escherichi For. et de 


428 A. FOREL 


sa r. cognata par le pronotum plus large, sans carène médiane, 
très distinctement et assez densément ridé en long. Il n’y a pas 
d'escalier derrière le mésonotum, par contre une forte échan- 
crure mésoépinotale, le promésonotum étant fort convexe et la 
face basale de l’épinotum aussi, sur le profil. Tout l’Insecte est 
mat, sauf l'abdomen, le postpétiole et les membres. D'un 
roussâtre franc, parfois d'un roux jaunâtre. La pubescence 
est bien plus claviforme que chez ÆEscherichi et sa race co- 
gnata Sant. (partout). Ressemble aussi un peu à la biconvexa 
Sant., mais bien plus grande, n'ayant pas de membrane à 
l’épinotum, puis une autre sculpture. Pour le reste, comme 
Eschericlu. 

©. Longueur : 2,5. Thorax un peu plus large que la tête. 
Mésonotum assez fortement ridé et réticulé, plus faiblement à 
son milieu, devant. Une tache brune entre les ocelles. Les ?/s 
antérieurs de l'abdomen bruns. Epines de lépinotum fortes. 
Pilosité dressée fortement clavée, comme du reste chez l’ou- 
vrière, et un peu plus courte que chez Escherichi. Les ailes un 
peu enfumées de jaune brunâtre. Pubescence un peu moins 
clavée que chez l’ouvrière. 

g. Longueur : 2"",2. Une petite lacune entre la base des 
mandibules. Antennes longues et assez filiformes. Scape à peine 
2 fois plus long qu'épais. Tête bien plus longue que large; thorax 
plus large que la tête. Une petite dent triangulaire entre les 
faces de l’épinotum dont la déclive est plane et oblique. Nœud 
du pétiole arrondi, plus court que son pédicule antérieur. Abdo- 
men lisse; tout le reste du corps mat, densément réticulé- 
ponctué. Ailes d’un jaune pâle à nervures pâles, d’un brun noir 
avec les membres, les mandibules et le tiers postérieur de 
l'abdomen roussâtres. 

Congo (Ko). 

Une variété récoltée par M. R. MAYNÉ au Congo ($ et Q) se 
distingue par sa tête un peu plus courte et plus large, et surtout 
par sa pubescence encore plus clavée. Les stries du proméso- 
notum sont légèrement plus fines, je l’appelle var. latiuscula 
n. var. La taille est la même. 


FOURMIS DU CONGO 429 


Acromyrmex Môlleri For. r. Meinerti For. v. globoculis n. var. 
ÿ. Longueur: 4%,5—5%",2. Se distingue du type de la race 
par ses yeux plus convexes, hémisphériques. Les épines supé- 
rieures de l’occiput sont aussi plus courbées, la tête un peu plus 
étroite derrière, la pubescence un peu plus forte et la couleur 
un peu plus terne. Ressemble à la r. modesta For., à laquelle 
elle fait transition, mais qui a les yeux bien moins convexes. 

Guyane anglaise, reçu par M. CRAWLEY. 

L'ouvrière de Meinerti est longue de 3 à 5", Elle est bien 
moins grêle et bien moins pubescente que la modesta. Sa tête 
est bien plus large, moins rétrécie derrière où elle à des épines 
obliques et presque droites (horizontales et courbées chez la 
modesta). Je l'ai reçue des provinces de Rio-de-Janeiro, de Säo 
Paulo, de Para, etc. 


4e Sous-famille Dolichoderinae For. 


Semonius Schultzei For. 
ÿ S'-Gabriel, Congo (KouL). 


Tapinoma Arnoldi For. 

ÿ (?) (encore inédite). Longueur : 2"",5. Tête rectangulaire, 
bien plus longue que large, à bord postérieur droit ; plus large 
que le thorax. Le scape n’atteint que le cinquième postérieur de 
la tête. Articles 2 à 10 du funicule plus épais que longs. Yeux 
au tiers antérieur. Thorax allongé, subcylindrique. Pilosité et 
pubescence comme chez l’ouvrière. Entièrement brune. Les 
membres comme le reste. 

Natal, récoltée autrefois par M. Haviraxp. Je rapporte cette 
Q à l’Arnoldi avec un certain doute. 


Engramma Kohli n. sp. 

Q®. Longueur : 1"%,8—2"",2, Mandibules luisantes, fortes, à 
bord externe fortement courbé, armées d’au moins 7 ou 8 dents, 
poilues, peu et très finement ponctuées. La forte échancrure 
de Pépistome occupe le 5° de son bord antérieur; elle est semi- 

Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. | 29 


430 A. FOREL 


circulaire, aussi profonde que large devant. Milieu de l’épistome 
presque deux fois plus haut que l’échancrure. La tête est plus 
ou moins trapéziforme, presque 2 fois plus large derrière qu'à 
son bord antérieur, un peu moins profondément échancrée der- 
rière que chez Æ. Lujae For., avec les côtés beaucoup moins 
convexes ; elle est aussi longue que sa largeur postérieure. Les 
petits yeux, situés au milieu, n’ont guère que 10 à 12 facettes. 
Le scape atteint le bord postérieur de l’occiput. Articles 2 à 9 
du funicule plutôt un peu plus épais que longs. Promésonotum 
faiblement convexe. Echancrure mésoépinotale profonde et 
assez large. Epinotum fort convexe ; sa face basale presque 
double de la déclive. Ecaille et abdomen comme chez E. Lujae. 
Entièrement luisante et lisse. Ponctuation très fine et très 
éparse. Pilosité dressée pâle, très éparse sur le corps, nulle 
sur les membres. Pubescence jaune, fort distincte partout, très 
adjacente, formant un faible duvet qui ne cache nullement la 
sculpture. D’un jaune assez terne, un peu roussâtre. Abdomen 
brun. 
©. Longueur: 4"%,7—6"%, Mandibules comme chez l’ouvrière, 
mais armées de 9 à 10 dents. Bord postérieur de la tête plus 
faiblement échancré. Le scape n’atteint pas le bord postérieur ; 
il s'en faut de son épaisseur. Tête du reste comme chez l’ou- 
vrière, aussi large derrière que le thorax ; celui-ci assez plat 
en dessus, y compris la face basale de l’épistome (convexe chez 
l’ouvrière): face déclive oblique, 2 fois plus longue. L’écaille 
est marquée devant par un bourrelet convexe ; le pétiole a en 
dessous une lamelle allongée, longitudinale, pâle, à demi trans- 
lucide, qui est indistincte chez l’ouvrière. Abdomen grand. 
Tout le corps assez densément et beaucoup plus fortement 
ponctué que chez l’ouvrière, ce qui le rend subopaque. Membres 
moins-densément ponctués. Pubescence et pilosité comme chez 
l’ouvrière ; cette dernière un peu plus abondante. Brune. Tête 
et thorax variés de roussâtres. Mandibules, antennes et cuisses 
roussâtres ; pédicule, tibias et tarses d’un jaune sale. 
S'-Gabriel, Congo (Ko). Pris sous 4 numéros différents 
dans des plantes myrmécophiles. 


FOURMIS DU CONGO 431 


Engramma Zimmert For. r. okiavoensis n. st. 

Longueur : 4""—4"",4. Dillère du type par sa taille plus 
grande, par les côtés de la tête moins convexes, par son scape 
bien plus court ne dépassant le bord postérieur que de moins 
d’'/; de leur longueur. Les arêtes frontales sont encore plus 
distantes l’une de l’autre que chez le type. L’épinotum est plus 
long, bien plus long que large. Les deux stigmates de la large 
échancrure thoracique proéminent au fond du métanotum. 
L'orifice du cloaque est presque apical, comme chez les Tech- 
nomyrmex. La couleur est inverse de celle du type: noire, 
avec l'abdomen, les funicules, les mandibules et le bout des 
tarses d’un roux jaunâtre. Parfois l'abdomen est brun. 

Sur le fleuve Okiavo, près de S'-Gabriel, Congo (KouL), dans 
un grand nid d’un blanc gris, mou, tissé et mêlé de matières 
végétales fines, adossé à un tronc d'arbre. Le nid avait 50 em. 
de long, 20 à 30 cm. de large et 3 à 4 cm. d'épaisseur. La partie 
de l'écorce recouverte par le nid était remplie de grands Coc- 
cides cultivés par les Fourmis. Celles-ci sont paisibles et 
répandent une odeur particulière quand on les touche. Cette 
odeur ressemble à celle des machines. 

Comme pour le type, c'est avec doute que je rattache cette 
race au genre Éngramma. 


Engramma Ilgt For. 

ÿ Makanga, Congo (KouL) sur des nectaires floraux, cultivant 
aussi des Coccides. Exemplaires un peu plus petits que le type. 
Eonseur:2/%,5220",0. 


Engramma Laurenti Em. v. congolensis n. var. 

ÿ Longueur: 2"",4—2"",8. Diffère du type par sa couleur 
beaucoup plus claire, entièrement d’un jaune roussâtre, terne et 
pâle chez tous les individus. La tête est aussi légèrement moins 
large, surtout derrière ; le promésonotum est un peu moins 
convexe et la face basale de l’épinotum un peu plus haute. La 
pilosité et la pubescence sont un peu plus faibles, la ponctua- 
tion par contre plus forte, surtout sur la tête, qui est subopaque 
devant, réticulée-ponctuée. 


432 A. FOREL 


Q (?) Longueur : 5"",4. D’un brun noirâtre. La large et pro- 
fonde échancrure de l’épistome est comme chez le type de 
l'espèce et de la race. Subopaque, densément ponctuée, en 
partie réticulée-ponctuée. Membres et mandibules d’un brun 
plus roussâtre. Les ailes manquent. 

S'-Gabriel et Bengemeza, Congo (KouL), dans des plantes 
myrmécophiles, comme l’Engramma Kohli. Je ne crois pas 
faire erreur en rattachant la femelle prise isolément à cette 


même race. 


Engramma Lujae For. r. Wasmanni n. st. 

$. Longueur: 2"",7—3"", Même taille que le type de l'espèce 
dont elle diffère surtout par sa sculpture beaucoup plus forte. 
densément ponctuée, qui la rend subopaque, du moins en 
partie, et par sa pubescence beaucoup plus forte aussi. De plus, 
la tête est moins large, moins profondément échancrée derrière, 
avec les côtés moins convexes. Les yeux sont notablement plus 
petits. La couleur est d’un brun noirâtre, avec la tête d’un roux 
jaunâtre, à peu près comme chez le type. 

®. Longueur: 2"",7, Ailes brunâtres avec une cellule dis- 
coïdale distincte, une seule cellule cubitale et la nervure trans- 
verse s’unissant à la nervure cubitale à son point de partage. 
La tête est indistinctement plus longue que large avec les côtés 
très peu convexes et le bord postérieur superficiellement con- 
cave. La tête est bien moins large que celle de l’ouvrière, aussi 
large que le thorax qui est petit et assez plat. Couleur brune 
avec l'abdomen presque noir ; le front, les joues et les mandi- 
bules d’un roux un peu brunâtre. Tout le reste comme chez 
l'ouvrière, en particulier l’épistome. 

œ. Longueur: 2"",9. Un peu moins luisant que le type de 
l'espèce ; couleur un peu plus foncée, presque noire; du reste 
identique. 

Congo (KouL); reçue par M. Wasmann. 


Engramma Wolfi n. sp. (Fig. 1.) 
$. Longueur: 3"",8—4"%,1, Longue et étroite, plus encore 
que l'E. Zimmeri. Bord terminal des mandibules très long, armé 


FOURMIS DU CONGO 433 


d’au moins dix dents, bien plus long que le bord interne. Echan- 
crure de l’épistome très large, au moins comme un tiers du bord 
antérieur, néanmoins semi-Circulaire, presque aussi profonde 
que sa largeur, suivie derrière, au milieu, d’une impression 
triangulaire, toute analogue à l'aire frontale. Le milieu de Pépis- 
tome, comme chez l'E. Lujae, est aussi long de côté qu’au milieu 
jusqu’à l’échancrure. Aire frontale indistincte. Tête ovale, à côtés 
très convexes, d’un bon cinquième plus longue qu’elle est large 
au tiers postérieur, très rétrécie devant et derrière, où ses angles 
sont très arrondis et où le milieu est concave, le bord postérieur 
étant indistinet. Yeux très grands, situés plutôt en arrière du 
milieu, peu convexes, occupant le quart des côtés. Le scape 


aire frontale 


impression 


Freud: 
Epistome de l’£Engramma Wolfi For. Ÿ. (Emma Forel, del.) 


dépasse l’occiput des deux cinquièmes de sa longueur. Tous les 
articles du funicule, qui n’est nullement renflé à l'extrémité, 
subégaux, presque deux fois plus longs qu’épais. Thorax étroit, 
allongé ; pronotum un peu plus large que long. Suture proméso- 
notale enfoncée, séparant la convexité du mésonotum, qui est 
plus long que large, de celle du pronotum. Echancrure méso- 
épinotale forte et surtout très large. Au fond, un métanotum fort 
distinct, avec ses stigmates. Vu de dessus, l’épinotum, encore 
plus étroit que le mésonotum, est 1 !/2 fois plus long que large ; 
vu de profil, il est bossu, avec les deux faces convexes, mais sur- 
tout le sommet. Face déclive un peu plus longue que la basale. 
Pétiole allongé et étroit, ayant à peine un bord d’écaille un peu 
aigu devant, entièrement recouvert par l'abdomen qui forme en 
avant une pointe obtuse avancée. Pattes très longues. 

Thorax, sauf la face déclive de l’épinotum, fortement réticulé- 


43% A. FOREL 


ponctué et presque mat (chez certains individus seulement 
densément ponctué et subopaque). Tête densément ponctuée, 
subopaque ; abdomen luisant, faiblement chagriné, avec direc- 
tion transversale des rides. Membres ponctués. Pilosité dressée 
presque nulle, sauf aux deux extrémités du corps et en dessous. 
Pubescence assez longue et assez abondante sur le corps et sur 
les membres, sans toutefois cacher la sculpture. Presque noire. 
Mandibules et membres bruns. Tarses et articulations plus 
clairs, un peu jaunâtres. 

S'-Gabriel, Congo (KouL), dans la forêt vierge sur le sol, parmi 
des feuilles pourries ; prise une fois à la lampe. Cette espèce 
est très caractéristique, fort différente de Zimmeri et des autres. 
Reçue aussi par M. WasManNnx. 


rime 
+) 


Sous-famille Camponotinae For. 
Genre Santschiella nov. gen. 


ÿ. Antennes de 12 articles. Ouverture du cloaque apicale, 
circulaire, ciliée. Mandibules triangulaires de forme ordinaire. 
Epistome triangulaire, arrondi derrière et prolongé entre les 
insertions des antennes. Arêtes frontales presque nulles, limi- 
tées au bord intérieur de l'insertion des antennes. Yeux énor- 
mes, même plus grands que chez les Gigantiops ; ils convergent 
d’arrière en avant où ils se rapprochent fortement l’un de lau- 
tre. Trois ocelles frontaux. Tête bordée en dessous, derrière, 
d’une arête transparente, terminée par un bord abrupt et suivie 
d’une dent. Thorax profondément échancré entre le mésonotum 
et l’épinotum. Ce dernier bossu, armé de deux épines à sa face 
déclive. Pétiole surmonté d'un nœud très épais, qui est tronqué 
et bordé derrière. Gésier inconnu. 

Je place ce genre dans ma section des Procamponotinae à 
côté des Hyrmoteras et des Dimorphomyrmex. Je suis, en effet, 
obligé de réunir le genre Dimorphomyrmex aux Procampono- 
linae, eu égard à son gésier qui ressemble beaucoup à celui des 
Myrmoteras, d’après la figure d'Anpré. Je donne ici la figure 


FOURMIS DU CONGO 435 


du gésier du Genre Myrmoteras et l’on pourra juger (fig. 4). Je 
n'ai pas osé disséquer le gésier du nouveau genre Santschiella, 
représenté seulement par deux exemplaires dont je dois rendre 
l’un. Ce singulier genre de Camponotinae à des affinités diver- 
ses, d’un côté avec les Dolichoderinae (épistome), de l’autre 
avec Myrmoteras (arêtes frontales), même avec les Ponerinae 


(pétiole). Il a tout l'aspect fossile d’un reliquat phylogénique. 


Frc-n2° 
Santschiella Kohli For. $#, vue de côté. 
(Emma Forel, del.) 


—-- sépales 


—--- boule 
Fic. 3. Fic. 4. 
Santschiella Kohli For. ÿŸ, Gésier du Myrmoteras Binghami For. 
tête vue de devant. (Emma Forel, del.) 


(Emma Forel, del.) 


On pourra fixer définitivement sa position en étudiant plus tard 
son gésier, quand on retrouvera la Fourmi. En attendant je 
renvoie aux deux figures 2 et 3. 


Santschiella Kohli n. sp. (Fig. 2et3.) 
ÿ. Longueur: 3"",6. Mandibules luisantes, lisses, avec quel- 
ques points épars très fins, armées de 7 ou 8 dents irrégulières, 


436 A. FOREL 


dont une ou deux très petites ; leur bord extérieur est plus long 
que le bord terminal. Le bord antérieur de Pépistome est régu- 
lièrement convexe. Epistome sans carène, avec une fossette 
clypéale se confondant avec la fossette antennaire. Aire frontale 
grande, plus haute que sa largeur; sillon frontal indistinct, très 
faible. Vue de devant (fig. 3), la tête paraît un peu plus longue 
que large, fortement rétrécie devant, avec le bord postérieur 
faiblement convexe et trois ocelles fort distincts, mais assez 
petits. De face, les énormes yeux paraissent bien plus larges 
que la distance qui sépare leurs extrémités antérieures. Ils 
sont fortement convexes, surplombant les côtés de la tête. 
Vue de côté, la tête paraît extrêmement épaisse et courte, pas 
beaucoup moins épaisse que sa longueur. Son tiers posté- 
rieur est bordé d'une arête translucide qui s'élève d’arrière 
en avant, où elle se termine par un bord abrupt. Un peu plus 
en avant, on voit une seconde dent triangulaire sur le profil. 
Entre les deux arêtes, la tête est un peu excavée. Le scape 
atteint presque le 4 postérieur de la tête. Le funicule va en 
s’épaississant vers l'extrémité ; ses articles 2 à 10 sont plus épais 
que longs ; le premier et le dernier seuls plus longs qu'épais. 
Le scape, retiré en arrière, est entièrement caché sous les yeux 
surplombants, sans qu'il y ait de scrobe. Pronotum, sans le 
cou, deux fois plus large que long et fortement convexe. Suture 
promésonotale très distincte, un peu enfoncée. Mésonotum peu 
convexe, mais abaissé derrière, devant l’échancrure. Au fond de 
cette dernière, apparaissent les deux stigmates métanotaux. Face 
basale de l’épinotum fortement convexe (bossue); la face déclive 
aussi longue que la basale, ayant au milieu de ses côtés une 
forte épine à large base, pointue à l'extrémité et recourbée en 
haut. Tout à la base, deux très petites dents obtuses subépino- 
tales. Le nœud du pétiole est un peu plus haut qu'épais et 
tronqué devant et derrière, 1 ‘3 fois plus large que long. Mais 
tandis que sa face antérieure s’arrondit en haut pour passer au 
sommet, qui est convexe, la troncature postérieure est concave 
et bordée, terminée de chaque côté, en haut, par une dent trian- 
gulaire obtuse de chaque côté du sommet. Le bord supérieur 


FOURMIS DU CONGO 437 


du nœud est lui-même relevé. L’abdomen est plutôt petit, de 
forme ordinaire. Les cuisses antérieures sont un peu renflées. 

Médiocrement luisante, sauf l’occiput et les pattes qui sont 
lisses et fort luisants. Tout le reste est extrêmement finement 
pointillé ou chagriné et légèrement subopaque. Sur le devant 
de la tête, qui devient presque mat, cette sculplure est plus 
profonde et plus dense, prenant une direction longitudinale. 
Pubescence très courte et fort éparse partout. Pilosité dressée 
nulle, sauf vers l'extrémité de l’abdemen, surtout dessous, où 
elle est jaunâtre, courte, obtuse et tronquée au bout. 

D'un roussâtre clair, avec les pattes, les mandibules, les 
scapes et le premier article du funicule d’un jaune roussâtre. 
Le reste du funicule et une bande transversale assez étroite à 
l'extrémité de chacun des deux premiers segments de l'abdo- 
men d’un brun foncé. 

S'-Gabriel, Congo (Kour). Je renvoie aux figures 2 et 3. Cette 
espèce a été prise avec d’autres. Il n’y a pas d'indication sur ses 
mœurs. Je suppose qu'elle vit sur les arbres, d’où elle était 
tombée ou descendue. 


Plagiolepis exigua For. 
5 Congo (Ko). 


Plagiolepis pygmaea Latr. v. punctum For. 
$ S'-Gabriel, Congo (Ko). 


Plagiolepis pygmaea Latr. v. mediorufa n. var. 

$. Longueur: 1"",1—1"",4. Diffère du type de l'espèce par 
sa taille, et par sa tête plus étroite, qui n’est nullement échan- 
crée, plutôt convexe derrière, avec les côtés convexes. La cou- 
leur est caractéristique. Tête et abdomen bruns. Thorax d’un 
jaune plus ou moins rougeûtre. Cuisses et funicules brunâtres, 
le reste des membres jaunâtre. 

S'-Gabriel, Congo (Kour) dans une plante myrmécophile 
(3 numéros). Cette variété ressemble à s’y méprendre à la PL. 
(Anacantholepis) Van der Kelleni For. v. polita Sant., mais avec 
le métanotum d’une vraie Plagiolepis. 


438 A. FOREL 


Acantholepis capensis Mayr. v. anceps n. var. 

ÿ. Longueur: 2"",4—2"",7. La pilosité est semblable à celle 
de la race depilis Em. L’'écaille et l’épinotum tendent un peu à 
la forme de l'A. simplex For. Du reste semblable au type. 

Congo (KouL), nichant dans la terre. 


Acantholepis capensis Mayr. r. Junodi n. st. 

ÿ. Longueur: 2"",5—2"",8. Diffère de la r. incisa For., dont 
elle a l’écaille bispineuse, par ses pattes et ses scapes, couverts 
de soies blanchâtres subadjacentes, par les soies jaunâtres et 
assez pointues du corps, par sa tête beaucoup plus large, par 
ses scapes plus courts, ne dépassant guère la tête que du quart, 
enfin par l’incisure moins profonde du thorax. Elle diffère de 
curta Em. par les épines de l’écaille et par sa tête moins large. 

Shilowana, Transvaal (Juxon). Reçue du Musée de Genève. 


Acantholepis simplex For. v. minuta n. var. 

$. Longueur: 1"",5. Diffère du type, outre sa très petite 
taille, par sa stature plus robuste et par ses scapes plus courts 
qui ne dépassent guère le bord postérieur de plus de leur épais- 
seur. Elle diffère de la v. laevis Sant. en outre par sa couleur 
noir de jais et par sa tête plus large. 

Shilowana, Transvaal (Juxop). Reçue du Musée de Genève. 


Prenolepis Kohlt n. sp. 

$. Longueur: 37°,6-—47". Mandibules presque mates, très 
densément striées, armées de 6 dents. Epistome caréné, forte- 
ment voûté, surtout au quart antérieur et au quart postérieur de 
la carène. Aire frontale triangulaire ; arêtes frontales presque 
droites, à peine divergentes ; sillon frontal distinct. Yeux au 
tiers postérieur, grands. Tête presque d’un quart plus longue 
que large, à côtés assez convexes, du reste rectangulaire, aussi 
large devant que derrière, à bord postérieur droit (à peine fai 
blement concave au milieu et convexe de côté). Le scape dépasse 
le bord postérieur de la moitié de sa longueur. Articles du funi- 
cule 3 fois plus longs que larges, le premier plus court. Promé- 
sonotum faiblement convexe. Mésonotum au moins 1 ‘2 fois 


FOURMIS DU CONGO 439 


plus long que large. Echancrure thoracique assez forte et large. 
Epinotum bossu ; sa face basale fort convexe ; sa face déclive 
oblique, presque plane, plus longue que la basale. Les stigmates 
métanotaux proéminent au fond de la suture. Ecaille très haute, 
verticale, assez étroite, obtuse au sommet, un peu convexe 
devant, plane derrière. Pattes longues. 

Mate ou à peine subopaque. Densément réticulée-ponctuée ; 
abdomen plutôt subopaque. De gros points enfoncés ou fos- 
settes un peu allongées sur l’abdomen et l'occiput. Des soies 
assez grossières, mais pointues, médiocrement abondantes sur 
l'abdomen et la tête, plus rares sur le thorax, nulles sur les 
membres. Pubescence diluée partout et courte, entièrement 
adjacente. D'un roux brunâtre ; pattes et antennes d’un roux 
Jaunâtre. 

® (?) Longueur: 5""—5"",2. Tête bien plus étroite que le 
thorax, à bord postérieur droit et large. La tête est un peu plus 
large que longue, dépassée par le scape d’un bon tiers de sa 
longueur. Le second article du funicule est plus court que les 
autres, qui ne sont guère plus de 2 fois plus longs que larges. 
Ailes faiblement enfumées de jaune brunâtre, à nervures brunes. 
Pilosité plus rare et plus courte que chez l’ouvrière ; écaille 
moins obtuse au sommet. Brune. Antennes, mandibules ettibias 
roussâtres. Sculpture, pubescence et tout le reste comme chez 
l’ouvrière. 

S'-Gabriel, Congo (Kour). C’est avec doute que je rapporte 
la Q à l’ouvrière ; elle a un autre numéro, et les différences du 
funicule et de l’écaille donnent à réfléchir. Cette espèce, malgré 
son thorax peu rétréci, rentre, comme première espèce afri- 
caine, dans le genre Prenolepis s. str., qui se trouve ainsi 
réparti dans les cinq parties du monde, même dans les faunes 
néarctique et néotropique. 


Prenolepis (Nylanderia) Butteli For. r. Bryanti n. st. 

$. Longueur: 2", Aussi petite que le type de l'espèce dont 
elle diffère surtout par son éclat métallique pourpré. La tête 
est en outre bien plus étroite derrière, avec les côtés plus con- 


A) A. FOREL 


vexes. Le scape est un peu plus court et la scuipture plus forte 
(tête et thorax presque mats). À part l'éclat métallique, la cou- 
leur est plus brune. Les tarses et les tibias antérieurs et moyens 
sont blanchâtres. 

Mont Matang, Ouest Sarawak (G. E. BryYanT) envoyée par 


M. DONISTHORPE. 


Prenolepis (Nylanderia) Grisont n. sp. (Fig. 5.) 

5. Longueur: 2"%—2%% 1, Mandibules luisantes, ponctuées, 
fortement croisées, étroites, à bord terminal fort oblique. Epis- 
tome subcaréné, convexe. Tête d’un bon quart plus longue que 
large, presque plus large devant que derrière, où son bord pos- 
térieur est assez convexe, tandis que les côtés le sont à peine. 
Yeux au milieu, assez grands et plats. Le scape dépasse la tête 


Metanotum 
---— Epinotum 


RG 20; 


Prenolepis (Nylanderia) Grisoni For. Ÿ Profil du thorax. 
(Emma Forel, del.) 


de plus des ?/; de sa longueur. Promésonotum assez faiblement 
convexe. Mésonotum presque 1 1 fois plus long que large. Un 
long métanotum, aussi long que les % du mésonotum, avec 
2 stigmates proéminant en dents au milieu, constituent une 
constriction notable du thorax. L’échancrure de ce dernier est 
située entre le métanotum et l’épinotum. Ce dernier forme une 
bosse très convexe, presque hémisphérique, bien plus haute 
que le reste du thorax, sans distinction entre face basale et 
déclive, mais terminée derrière, en bas, de chaque côté, par 
une petite dent triangulaire, pointue, très nette. Ecaille assez 
épaisse et fort basse, inclinée en avant, obtuse au sommet, 
Pattes plutôt longues. Premier segment de l’abdomen avancé 
devant. 

Tout le corps lisse et luisant avec des aspérités sétigères et, 
par-ci par-là, un pli longitudinal. Corps et membres parsemés 


FOURMIS DU CONGO 441 


des soies raides, obtuses, brunes et épaisses propres aux 
Nylanderia, plus courtes sur les membres que sur le corps. 
Pubescence très diluée. Abdomen, écaille et épinotum d’un 
brun très foncé. Tête, cuisses, tibias, scapes et pronotum d’un 
brun plus clair. Mésonotum, mandibules, funicules, articula- 
tions et paltes d’un jaune plus ou moins brunätre. 

Bengemeza, Congo (Kour) dans une plante myrmécophile. 
Cette singulière espèce, bien caractérisée par la forme de la tête, 
de l’épinotum et du métanotum allongé, est absolument diffé- 
rente de Traegaordhi, albipes, Jaegerskiôldi et Weissi, mais il 
n'est pas impossible qu’elle soit l’ouvrière encore inconnue 
de Waelbroecki Em., dont je ne connais que le mâle. 


Prenolepis (Nylanderia) longicornis Latr. v. Hagemannt For. 
$ S'-Gabriel, Congo (KouL), sous une tuile. 


Machaeromyrma nov. subgen. Je me permets d’instituer 
pour le Cataglyphis bombycina Rog. le nouveau sous-genre 
Machaeromyrma, caractérisé par son grand dimorphisme et par 
la singulière structure en épée des mandibules du 9}. Le nid et 
les mœurs de cette espèce sont aussi fort caractéristiques et 
différents des autres. 


Camponotus (Dinomyrmex) Wellmannt For. 

$ major (encore inédite). Longueur : 17°". Tête large de 6°" 
et longue de 6"",5 (sans les mandibules'. Elle est en forme de 
trapèze, élargie d'avant en arrière, profondément et largement 
échancrée à son bord postérieur. Angles occipitaux plutôt 
étroits, à peine dépassés par le scape obliquement placé. La tête 
est subopaque, plutôt mate, densément réticulée ou réticulée- 
ponctuée. Epistome caréné, avec un lobe antérieur rectangu- 
laire. Tout le reste comme chez la © et l’ouvrière minor. 

Bamayanga, Congo, Musée du Congo belge. Reçu de M. ScHou- 
TEDEN. 


Camponotus(Dinomyrmex) WellmanntiFor.v.rufipartis n. var. 
$ minor. Longueur : 13"". Tête plus longue et surtout 


4492 A. FOREL 


relativement plus étroite devant que chez le type, plus d’une 
fois et demie plus longue que sa largeur antérieure : les côtés, 
assez convexes, divergent bien moins en avant. Le scape ne 
dépasse le bord postérieur de guère plus que de sa moitié. Le 
thorax, le funicule et les tarses sont d’un brun roussâtre, en 
partie roux ; le reste est d’un brun foncé moins noir que chez 
le type. 

?. Longueur : environ 23"", Tête à peine plus longue, mais 
un peu plus étroite que chez Le type. Couleur comme chez lou- 
vrière minor, mais les pattes entières, y compris les hanches, 
et une partie des métapleures sont roussâtres. La pubescence 
des pattes est un peu plus soulevée que chez le type. 

œ. Longueur: 12"",8. Mandibules longues à bord terminal 
tranchant. Epistome comme chez la Q. Tête 1 1/2 fois plus longue 
que large, à bord postérieur confondu avec le bord articulaire, 
mais sans cou. Les côtés sont droits et parallèles devant les 
yeux, convexes et convergents derrière. Le scape dépasse le 
bord postérieur de ses deux tiers. Ailes teintes d’un jaune un 
peu roussâtre. D’assez grosses fossettes sur le mésonotum. 
Brun; tibias, tarses, funicules, mandibules et quelques taches 
sur le thorax derrière roussâtres. 

Congo (KouL). 


Camponotus (Myrmoturba) maculatus F. r. Solon For. 
ÿ. Lumbulumbu, Congo (KouL), dans un arbre creux. 


Camponotus (Myrmoturba)maculatus F.r. Brutus For. 
5 Q © Congo (Kour). Font la chasse aux Termites et répan- 
dent une odeur âcre. 


Camponotus (Myrmoturba) acwapimensis Mayr. 
$ ©. Fait son nid sous la terre. Congo (Kouxr) (aussi la var. 
Poultont For.). 


Camponotus(Myrmoturba) conspicuus Sm. r. Williamsi n. st. 
ÿ major. Longueur : 10"",5—13%%, Différe du type par ses 
scapes plus longs, dépassant le bord postérieur de plus d’un 


FOURMIS DU CONGO h43 


tiers de leur longueur, par sa stature plus grêle, par sa tête 
plus étroite derrière, par son écaille plus épaisse vers la base, 
par les poils plus longs sur le corps et plus abondants sur les 
joues, enfin par sa couleur plus foncée, d’un brun châtain uni- 
forme, avec les hanches et les cuisses d’un roux jaunâtre. Il 
diffère en outre du fumidus Rog. v. festinatus Wh. par ses poils 
obliques aux tibias, par ses arêtes frontales plus divergentes, 
par son épistome plus large devant, par des fossettes sur les 
joues et par son écaille plus épaisse, presque aussi épaisse à la 
base que haute. 

Guadeloupe (Antilles), sur des arbres autour du tronc desquels 
il construit des tunnels à laide de détritus. Récolté par M. C.-B. 
Wiziams et reçu par M. DONISTHORPE. 


Camponotus(Myrmotarsus) nigricans Rog.r. enganensis n.st. 

®. Longueur: 18"". Tête, sans les mandibules, longue et 
large de 5"", Aïles teintes d'un jaune brunâtre. La tête, en 
forme de trapèze, a Les côtés droit et-le bord postérieur con- 
vexe au milieu et des 2 côtés, avec une concavité au tiers latéral. 
Le scape, placé obliquement, dépasse à peine l’occiput. Tète 
mate, densément réticulée-ponctuée, avec une abondante ponc- 
tuation espacée. Le front, l’épistome, les lobes occipitaux et les 
joues sont luisants, seulement réticulés ou chagrinés. Le scape 
est distinctement déprimé. Mésonotum, scutellum et abdomen 
lisses et luisants. Epinotum et côtés du thorax réticulés et 
subopaques. La tête est bien plus large que le thorax. Noir; 
tarses et funicule bruns. 

Ile d'Engano près Sumatra, reçu du Musée de Genève. Cette 
race diffère du type par sa taille plus grande (surtout la tête) et 
par la sculpture du vertex. 


Camponotus (Myrmotrema) foraminosus For. s.str. 

$ Q S'-Gabriel, Congo (KouL), pris nombre de fois dans des 
plantes myrmécophiles, une fois dans une branche sèche de 
Cacao, une autre fois dans la Randia myrmecophila v. glabra 


de WILpE. 


AAA A. FOREL 


Q (encore inédite). Longueur : 10""—11"",5. Tout à fait sem- 
blable à l’ouvrière, en particulier pour la sculpture, la pubes- 
cence et la pilosité. Mésonotum avec deux arêtes parallèles, 
mat, ainsi que le scutellum. Les ailes sont colorées de brun 


roussâtre. Tête plus large que le thorax. 


Camponotus (Orthonotomyrmex) chrysurus Gerst. r. acutts- 
quamis Mavr. 

get ®.c' (encore inédit). Longueur : 11"",8. Ailes d’un jaune 
brunâtre vers le bord antérieur. Mandibules avec une seule dent 
et le bord terminal tranchant. Epistome avec un lobe trapé- 
zoïdal, sans carène. Tête 1 1} fois plus longue que large. Pu- 
bescence un peu plus faible que chez la Q@. Noir, tarses, man- 
dibules et funicule brunâtre. Congo (KouL). 


Camponotus (Orthonotomyrmex) Meinerti For. 
$ ©. Reçu aussi par M. Wasmanx ; les ouvrières font un peu 
passage à la r. Reginae For. 


Camponotus (Orthonotomyrmex) Mayri For. r. Ledieui n. st. 

$. Longueur : 10%". Plus grand et surtout plus allongé que le 
type. Tête d’ '/; plus longue que large, avec le bord postérieur 
fortement convexe, pas plus large derrière les yeux qu'au 6° 
antérieur. Diffère en outre du type par ses scapes fortement 
dilatés à leur moitié postérieure, par sa pilosité jaunûâtre fine, 
bien plus abondante sur tout le corps, oblique sur les membres 
(longue et dressée sous les cuisses). L’épinotum et le nœud 
sont en outre grossièrement réticulés et de toute autre forme. 
L’épinotum n’est pas bordé ; sa face basale est très convexe et 
se termine derrière, après être redescendue, par une courte face 
déclive, concave et lisse, sans former d’angle avec elle. Le nœud 
est aussi épais que sa hauteur, convexe en dessus, très peu plus 
large que long, avec ses faces antérieure et postérieure subver- 
ticales (un peu convexes). Cette race diffère de la r. Sankisianus 
For., surlout par sa sculpture, puis par la forme de l’épinotum 
et par sa forte pilosité. Le reste est comme chez le type, en 
particulier la fine sculpture mate, réticulée-ponctuée. 


FOURMIS DU CONGO 445 


Shilowana, Transvaal, récolté par M. Juxon et reçu du Musée 
de Genève. Un seul exemplaire. Cette race mérite presque de 
constituer une espèce. 


Camponotus (Orthonotomyrmex) Maynei n. sp. 

ÿ. Longueur : 5",3—7"%, % major. Mandibules subopaques, 
finement réticulées et densément ponctuées : en outre de grosses 
fossettes, carieuses au fond. Tête d’un sixième plus longue que 
large, rétrécie et imprimée en travers à son sixième antérieur, 
puis rectangulaire derrière, avec les bords latéraux à peine con- 
vexes et le bord postérieur un peu concave; occiput un peu dé- 
primé derrière. Arêtes frontales longues et divergentes. Epis- 
tome assez plat, rectangulaire, sans carène, un peu plus long que 
large, comme chez les Myrmotrema. Yeux au quart postérieur, 
assez plats. Le scape atteint tout juste l’occiput. Promésonotum 
peu convexe, subbordé. Pronotum 1 ‘2 fois plus large que long. 
Mésonotum fortement rétréci derrière. Pas d’échancrure méso- 
épinotale, mais la suture est fortement marquée. Face basale de 
l’épinotum carrée, plate, obtusément bordée, légèrement plus 
longue que large. Face déclive, un peu plus longue que la face 
basale, plane comme elle, subverticale (faiblement oblique), 
formant avec la face basale un bord obtus et un angle de peut- 
être 95 degrés. Ecaille biconvexe, à bord tranchant, médiocre- 
ment épaisse. Cuisses légèrement renflées au milieu et un peu 
déprimées. 

Entièrement subopaque, réticulé-ponctué, avec le thorax mat. 
La tête est en outre couverte d’abondantes fossettes carieuses 
au fond, moins denses sur l’occiput que sur l’épistome et les 
joues, tout à fait identiques à. celles des Myrmotrema. Pilosité 
dressée assez courte et diluée, d’un blanc jaunâtre, assez épaisse 
et tronquée à l'extrémité, nulle sur les membres. Une rangée 
de soies blanches sur l’écaille et 3 ou 4 soies au bout des cuisses 
et des scapes. Pubescence presque nulle. Noir. Antennes et 
tarses roux, le reste des pattes et l'extrémité du funicule bruns. 

$ minor. Tête en trapèze, bien plus large derrière que de- 
vant, un peu plus longue que large, avec les côtés droits et le 


Rev. Suisse DE Zoou. T. 24. 1916. 30 


446 A. FOREL 


bord postérieur un peu convexe. Mandibules sculptées comme 
chez l’ouvrière major. Epistome caréné, de forme ordinaire, en 
trapèze élargi devant. Les yeux, très postérieurs, sont grands, 
distants du bord postérieur de la tête seulement du tiers de 
leur longueur. Le scape dépasse le bord postérieur de plus du 
quart, presque du tiers de sa longueur. Tout le reste, y compris 
la face basale de l’épinotum, identique à louvrière major, mais 
la tête est entièrement mate et n’a aucune grosse fossette 
carieuse. 

®. Longueur : 8"",9. Tête plus longue que large, à côtés et 
bord postérieur presque droits, distinctement plus large der- 
rière que devant, avec des angles postérieurs marqués, à courbe 
brusque. La tête est à peine plus large que le thorax. Face basale 
de l’épinotum, vue de profil, fortement convexe, séparée du 
postscutellum par une incisure profonde ; elle est plus courte 
que la haute face déclive. Du reste comme l’ouvrière major, 
avec les mêmes fossettes sur la tête. Aïles presque hyalines, 
très faiblement teintées de jaunâtre, avec les nervures et la 
tache pâles. 

Congo (R. Mayxé) Musée de Bruxelles; reçu de M. Scxou- 


TEDEN. 


Camponotus (Myrmamblys) Ferreri For. r. akka n. st. 

$ minor. Longueur : 5"",5. Tête 2 fois plus longue que large, 
faiblement rétrécie d'avant en arrière, où son bord terminal est 
en même temps le bord'articulaire. Epistome à bord antérieur 
laiblement convexe, en forme de trapèze élargi en avant, fort 
convexe, subcaréné au milieu. Les yeux sont au milieu. Le 
scape dépasse le bord postérieur des */; de sa longueur. Thorax 
très étroit (surtout le long épinotum), faiblement et également 
convexe d’un bout à l’autre. Ecaille conique, épaisse à la base, 
subacuminée au sommet. Pattes longues et minces. 

Luisant, faiblement chagriné. Pilosité dressée, très éparse sur. 
le corps, nulle sur les membres; pubescence très courte et 
diluée. Tête et abdomen bruns ; tout le reste d’un roux jaunâtre 


pâle un peu brunûtre. 


FOURMIS DU CONGO 447 


®. Longueur: 9". Diffère du type (basé sur la Q) par sa 
pilosité plus éparse, par sa sculpture plus faible devant et par 
ses mandibules à bord externe courbé. La taille est aussi plus 
grande, le bord postérieur de la tête plutôt un peu concave au 
milieu. Epistome subcaréné comme chez l’ouvrière minor. Les 
yeux sont plus petits, n’occupant guère que le quart des côtés. 
Le scape est plus long dépassant la tête de plus de 3 fois son 
épaisseur. La face basale de l’épinotum est bien convexe, mais 
ne remonte pas distinctement en arrière. Les tibias sont comme 
chez le type, sans petits piquants. Tout le corps est luisant, 
faiblement chagriné. Couleur comme chez l’ouvrière minor, 
mais l’épistome et les joues sont d’un roux jaunâtre bien moins 
distinct du brun foncé de la tête que chez le type. 

Congo (KouL). 


Polyrhachis (Hagiomyrma) ammonoeides Rog. v. Crawleyi 
n. var. 

$. Longueur: 5"",5—6"",5. Plus petite que le type. La tête 
est plus allongée, 1 !/4 fois plus longue que large, son bord 
postérieur est bien plus étroit et bien plus convexe que chez le 
type ; la pelisse de l'abdomen est un peu moins mordorée, plus 
simplement dorée. Du reste identique. 


Australie du Nord, reçue de M. CRAWLEY. 


Polyrhachis (Myrma) laboriosa Sm. 

$ © S'-Gabriel, Congo (KouL). Dans un nid composé de feuil- 
les, reliées entre elles par un lâche tissus de fils entremêlés de 
matériaux végétaux. 


Polyrhachis (Myrma) militaris F. r. cupreopubescens For. 
v. nkomoensis n. var. 

ÿ. Longueur : 10"",5—12"", L’épinotum a des épines ver- 
ticales et fortement recourbées en avant (2 fois plus longues 
que l'épaisseur de leur base) au lieu de dents, rappelant ainsi 
la v. epinotalis For., dont elle diffère du reste par sa tête non 
rétrécie derrière et par sa sculpture qui est comme chez le 
type de la race. La sculpture est moins dorée que chez le 
type. Dans ma description de l’epinotalis, j'ai négligé de rendre 


448 A. FOREL 


attentif à sa tête fortement rétrécie derrière les yeux, jusqu’à 
un bord postérieur presque confondu avec le bord articulaire. 
Les côtés rétrécis sont néanmoins convexes et les yeux sont 
très convexes, presque hémisphériques. La stature est aussi plus 
gréle que chez le type de la cupreopubescens, de sorte que je 
crois devoir faire de l'epinotalis une race séparée. 

Q. Longueur : 12"%,5—13"", Tout à fait semblable au type de 
la race ; ailes brunâtres comme chez le type de l'espèce ; thorax 
un peu plus large que la tête. L’épinotum n’a que des dents 
pointues, un peu plus longues que larges. 

og‘. Longueur : 7%—7mm 5, Ailes un peu plus claires que chez 
la ®. Subopaque où mate. Pelisse plus faible que chez la Q. 
Tête 1 !/s fois plus longue que large, avec un bord postérieur 
convexe assez nel. 

Congo (KouL); prise avec le Camponotus (Myrmoturba) macu- 
latus Brutus, faisant la chasse aux Termites. Reçue aussi par 
M. Wasman. 


Polyrhachis (Myrma) concava André. 

ÿ © Congo (Kour). 

Q (encore inédite). Longueur : 7"",5. Tête comme chez l’ou- 
vrière, plus étroite que le thorax ; ce dernier n’a de concavité 
qu'entre les deux petites dents obtuses de l’épinotum, dont la 
face basale, 2 fois plus large que longue, fortement bordée, est 
convexe en avant et a les bords latéraux convexes. Le scutellum 
est subcaréné au milieu. Les ailes manquent. Du reste comme 
l’ouvrière. 


Polyrhachis (Myrma) Alluaudi Em. v. anteplana n. var. 

$. Longueur: 6"",3. Diffère du type de l’espèce, d’après la 
description, par son épinotum et ses dents plus longues, ainsi 
que par son pronotum qui est presque plat. La fissure transver- 
sale mésoépinotale est verticale, très étroite et profonde. Les 
dents de l’épinotum sont triangulaires, un peu recourbées en 
avant ; les épines du pronotum sont moins de 2 fois plus lon- 
gues que la largeur de leur base. 

Congo (Kouz. 


FOURMIS DU CONGO 449 


Polyrhachis (Myrma) Otleti n. sp. 

$. Longueur : 6,7, Appartient au groupe de la P. Revoili 
André et lanuginosa Sant., dont elle diffère par son pronotum 
bordé. Mandibules subopaques, très finement réticulées, avec 
d’abondants gros points enfoncés, armées de 5 dents. Tête à 
peine d’ ‘/; plus longue que large, à bord postérieur convexe et 
à côtés peu convexes, un peu plus étroite devant que derrière. 
L'épistome est caréné, peu convexe, fortement avancé en avant 
en lobe trapéziforme. Le bord antérieur du lobe est court, 
droit, à peine subdenté à l'extrémité. Arêtes frontales longues, 
sinueuses, divergentes. Yeux fort convexes, presque semicireu- 
laires. Le scape dépasse le bord postérieur de presque la moitié 
de sa longueur. Thorax bordé, à dos assez convexe en tout 
sens. Les bords du mésonotum et de l’épinotum sont obtus, 
ceux du pronotum aigus, convexes, se prolongeant devant en 
deux épines, longues comme 1 ‘2 fois la largeur de leur base. 
Pronotum 1 ‘2 fois plus large que long; le mésonotum un 
peu moins large; les deux sutures distinctes. Face basale de 
l'épinotum rectangulaire, 1 ‘/4 fois plus large que longue, sépa- 
rée de la face déclive par un rebord transversal très net, un 
peu interrompu au milieu. La face déclive est oblique, un peu 
plus courte que la basale, à peine subbordée, un peu concave 
de profil. Le pétiole a une dent en dessous. Son écaille épaisse 
et biconvexe est un peu plus haute qu'épaisse, armée de 
4 épines, dont les supérieures, 2 fois plus longues que les laté- 
rales, sont courbées en arrière, à peine plus courtes que leur 
large intervalle ; le bord supérieur est un peu convexe. Face 
antérieure de l'abdomen tronquée, un peu concave (faiblement) ; 
pattes plutôt épaisses, comme la stature de tout le corps qui est 
robuste. 

Mate ; abdomen à peine un peu subopaque. Fine sculpture 
foncière densément réticulée-ponctuée, aussi sur les membres. 
En outre, la tête et le thorax sont ridés en long, plutôt réticulés 
sur les côtés. Ces rides et réticulations sont denses, médiocre- 
ment grossières. Tout le corps et les membres abondamment 
recouverts d’une pilosité dressée, fine, pointue, jaunâtre, et 


450 A. FOREL 


assez longue, un peu moins abondante sur l'abdomen qui a par 
contre une pubescence assez diluée, jaunâtre, plus abondante 
que la tête et le thorax, de même que les membres. Entièrement 
noire, avec les membres brun foncé; seconde moitié des funi- 
cules et extrémité des mandibules roussâtres. 

Q. Longueur : 8"", Toute semblable à l’ouvrière. Tête un peu 
plus étroite que le thorax. Le pronotum n’a que 2 fortes dents 
triangulaires. Epinotum, écaille et tout le reste comme chez 
l'ouvrière. Ailes brunes. Sur le scape on voit très distincte- 
ment deux sortes de poils, les uns très longs et les autres plus 
courts. 

d. Longueur : 6"",7. Tête un peu plus large que longue. 
Epistome caréné, plus convexe que chez l’ouvrière, à bord anté- 
rieur convexe, sans lobe. Arêtes frontales très rapprochées 
devant et très divergentes derrière. Tête un peu plus étroite 
que le thorax. Ecaille sans épines, épaisse, arrondie au sommet. 
Articles médians du funicule seulement un peu plus longs 
qu'épais. Pilosité et pubescence plus faibles que chez l'ouvrière. 
Couleur identique à celle de la ®, mais les funicules sont 
entièrement bruns. 

S'-Gabriel, Congo (Kour). Nid dans la fente d’une écorce 
d'arbre qui, sur une longueur de 8 cm. et une largeur de 2 i/2, 
était recouverte d’une toile filée, mêlée de matériaux végétaux. 


Polyrhachis (Myrma) decemdentata André. 
® Congo (KouL). 


Polyrhachis (Myrma) Spitteleri n. sp. (Fig. 6.) 

ÿ. Longueur : 4"",5. Mandibules subopaques, très densément 
striées, avec des points épars et le bord externe assez convexe. 
Tête en trapèze arrondi, un peu plus longue que sa largeur pos- 
térieure (au quart postérieur, où elle est large comme 1 2 fois 
le bord antérieur), avec le bord postérieur très convexe. Epis- 
tome caréné, biéchancré, convexe, mais sans lobe bien accentué 
au bordantérieur. Arêtes frontales, sinueuses, divergentes. Yeux 
médiocrement convexes, un peu en avant du tiers antérieur. Le 


LL 


FOURMIS DU CONGO L51 


scape dépasse l’occiput d'un fort tiers de sa longueur. Thorax 
assez convexe, surtout le promésonotum, nullement bordé. Pro- 
notum 1 !/3 lois plus large que long, bien plus large devant que 
derrière et moins convexe que chez la monista, portant devant 
2 épines un peu aplaties, tout à fait analogues à celles de la m0- 
nista, mais d’un tiers plus courtes et dirigées subhorizontalement 
en avant et de côté. Suture promésonotale très distincte, mais 
nullement enfoncée, au contraire de la monista. Mésonotum 2 
fois plus large que long. Au lieu d’échancrure,une incisure étroite 
entre le mésonotum etl’épinotum, mais de moitié moins profonde 
que chez la monista. Face basale de l’épinotum rectangulaire, 
11/3 fois plus large que longue et terminée par 2 longues épines 


; | Ÿ - Epinotum 


Fic. 6. 
Polyrhachis {Myrma) Spitteleri For. % (Emma Forel, del.) 
Profil du thorax. 


divergentes, subverticales, un peu recourbées en avant, plus 
longues que la face basale qui est assez horizontale. Face dé- 
clive subverticale, à peine plus courte que la basale avec laquelle 
elle forme un angle presque droit, à peine obtus. Ecaille épaisse, 
biconvexe, mais bien plus haute qu'épaisse, surmontée de 
4 épines équidistantes, toutes courbées en arrière, comme chez 
la monista, les supérieures plus longues que leur intervalle, 
mais plus courtes et moins fortes que les latérales. Abdomen 
tronqué et un peu concave devant. 

Tout le corps mat, finement et densément réticulé-ponctué ; 
les membres plutôt subopaques avec la même sculpture. La 
tête et Le thorax sont en outre densément striés-ridés en long 
(pas très grossièrement). Sur l'abdomen les réticulations font 
transition à des rides longitudinales plutôt fines. Le corps, 
surtout le thorax, et aussi en partie les tibias sont couverts de 
la même pilosité épaisse, presque tronquée, rousse et hérissée 


452 A. FOREL 


qu'on voit chez la montista. Cuisses et antennes sans poils 
dressés. Pubescence jaunâtre, très courte et adjacente, surtout 
visible surles membres, où elle est diluée, presque nulle ailleurs. 
Noire. Tibias, funicules, tarses et extrémité des mandibules 
brunâtres. 

Congo (Ko) (N° 5). Cette curieuse espèce (un seul exem- 
plaire) est très proche parente de la monista Sant., dont elle 
diffère essentiellement par le manque complet d’incisure pro- 
mésonotale ainsi que par son épinotum cubique. Le corps est 
bien moins strié et plus ridé, mat et non pas luisant. Le méso- 
notum est ridé en long au lieu d'être strié en travers, etc. 


Polyrhachis (Myrma) monista Sant. 

ÿ © Kilongalonga, Congo (KoxL), dans un nid de carton qui 
se trouvait dans une feuille enroulée. Je suppose, qu'ici comme 
ailleurs, le carton recouvrait un tissu de fils. 


Polyrhachis (Myrma) Revoilt André. 

5 Q © Congo (Kout); pris ensemble. La longueur des épines 
varie chez l’'ouvrière. Chez les exemplaires de M. Kouz les épines 
inférieures sont longues comme les */; des supérieures, chez 
d’autres seulement comme la moitié. L’abdomen est subopaque, 
parfois assez luisant. Le bord postérieur de la tête est peu con- 
vexe, presque 2 fois plus large que son bord antérieur extrême. 
La tête est densément ridée-striée en long, les épines du pro- 
notum 2 fois plus longues que la largeur de leur base. Le thorax 
est plutôt réticulé avec direction longitudinale, mais un peu ridé 
sur le pronotum, dont les épines sont plus larges à la base chez 
les individus de M. Kouz. Longueur : 5"—6"",5, 

La femelle, seule décrite par AxpRé, a les ailes brunes. Celles 
de M. Kouz sont longues de 6."#7—7%%, L’épinotum qui, chez 
l’ouvrière, a une dent pointue presque verticale et très nette, est, 
chez la ©, soit complètement inerme, comme le dit ANDRÉ, soit 
parfois muni d’une petite dent obtuse. Suivant les individus, le 
mésonotum est simplement réticulé ou il a en outre quelques 
rides longitudinales. 

o (encore inédit). Longueur: 4"",5—5"", Ailes d’un brun à 


FOURMIS DU CONGO 453 


peine plus pâle que chez la ©. Mandibules armées de 4 dents. 
Tête avec un large bord postérieur convexe, presque 2 fois plus 
large que le bord antérieur. Finement réticulé et subopaque 
sans sculpture grossière. Ecaille très épaisse et basse, sans 
dents. Pilosité dressée, éparse partout, très courte et oblique 
sur les tibias et les scapes. 

Je ne puis trouver de différences entre Revoili et la descrip- 
tion de natalensis Sant. Weissi Sant., ne me paraît être qu'une 
variété plus striée sur le thorax, comme l'indique Sanrsceur. 
M. Saxrscui a eu la bonté de m'indiquer encore par lettre quel- 
ques autres différences. 


Polyrhachis (Myrma) Revoili André v. Donisthorpet n. v. 


5 Longueur: 5"",2—5"",6. Epines pronotales bien plus 
longues que chez le type, mais pilosité identique. Forme de la 
tête et sculpture, par contre, comme chez la variété conduensis 
For. 


North Rhodesia, reçue par M. H. DONISTHORPE. 


Polyrhachis (Myrma) Revoili André r. Volkarti n. st. 

®. Longueur : 6"",5. Beaucoup plus grêle que le type de l’es- 
pèce. La tête est beaucoup plus étroite et plus allongée, d’un quart 
plus longue que large, avec bord postérieur un peu rétréci der- 
rière les yeux, a peine plus large que le bord antérieur. C’est 
au bord postérieur des yeux que la tête est le plus large. L’épis- 
tome caréné à un lobe antérieur bien plus long que chez le 
type. Le scape dépasse Le bord postérieur de plus de la moitié 
de sa longueur (du moins chez le type). Thorax bien plus large 
que la tête. Pronotum bidenté. L’épinotum a deux angles à 
peine dentiformes ; il est du reste comme chez le type. Ecaille 
plus étroite et plus haute que chez le type; ses épines supé- 
rieures, fortement recourbées en arrière à l'extrémité, ne di- 
vergent que faiblement. Les épines latérales sont très courtes, 
seulement un peu plus longues que la largeur de leur base. 
Tout l’Insecte est mat, densément réticulé-ponctué ; les cuisses 
seules sont subopaques. La tête est longitudinalement ridée ; 
de même les côtés de l’abdomen. Le mésonotum a quelques 


454 A. FOREL 


faibles rides longitudinales. La pilosité dressée est notablement 
moins abondante que chez le tvpe, surtout sur l'abdomen où 
elle est rare ; aussi un peu éparse sur les membres. La pubes- 
cence est, par contre, au moins aussi abondante que chez le type, 
mais un peu plus courte. Noire, Mandibules et membres bruns ; 
moitié terminale du funicule roussâtre. 

Congo (KouL). Un seul individu. 

L'étude des formes précédentes montre les transitions du 
Sous-Genre Myrma Bill. au Sous-Genre Cyrtomyrma For. par 
les formes Otleti, Spitteleri, Monista et Revoili. On peut douter 
si l’on doit rattacher ces trois dernières formes au Cyrtomyrma 
ou au Myrma. Par contre, pour les deux suivantes, surtout pour 
l’'Alexisi, je crois que le doute n’est guère possible. 


Polyrhachis (Cyrtomyrma) Kohli n. sp. 

$. Longueur : 4%%,5--5%%,5. Mandibules subopaques, densé- 
ment ponctuées et striées vers la base, armées de 4 dents, à bord 
externe peu convexe. Toutle corpstrès étroitetgrèle. Tête 1'/2 fois 
plus longue que large, sans bord postérieur autre que le bord arti- 
culaire. Derrièrelesyeux,sescôtésconstituentune forte convexité, 
à peu près semicirculaire ; devantles yeux, ils sont presque droits, 
convergeant un peu en avant. Situés au milieu, les yeux sont 
fort convexes, presque semicirculaires, occupant presque le 
quart des côtés. Epistome sans carène, avancé devant en lobe 
arqué, assez convexe de profil. La tête est assez épaisse de 
dessous en dessus, bordée en dessous d’une arête longitudi- 
nale. Le front est peu convexe devant, mais fortement courbé 
au milieu des arêtes frontales qui, jusque-là, sont distinctement 
convergentes et assez relevées; puis elles divergent modé- 
rément en S. Le scape dépasse le bord articulaire de la tête 
des */; de sa longueur. Le thorax est bien 3 fois plus long que 
large. Le pronotum, un peu plus long que large, a deux dents 
triangulaires assez obtuses, un peu plus longues que l’épais- 
seur de leur base. Mésonotum d’un quart plus large que long. 
Face basale de l’épinotum d’un quart plus longue que large, 
bordée derrière d’une arête vive assez élevée et interrompue 
au milieu par une échancrure. De côté, cette arête constitue un 


FOURMIS DU CONGO 455 


angle dentiforme, à partir duquel elle se continue en avant, 
bordant de côté les premiers ?/; de la face basale. Le reste du 
dos du thorax n’est pas bordé, à part la première moitié du prono- 
tum, devant et de côté, bordée par la continuation de sa dent. Face 
déclive de l’épinotum un peu plus courte que la basale, ayant 
vers le bas deux stigmates proéminant en dents obtuses et une 
petite carène médiane vers le haut. Ecaille très épaisse, bicon- 
vexe, presque aussi épaisse que sa hauteur, surmontée en haut 
de deux épines droites, subverticales (peu divergentes), aussi 
longues que leur intervalle. De côté, elle a en outre 2 dents 
latérales pointues, plus longues que larges et rapprochées des 
épines. Abdomen un peu concave devant, vers le bas. Pattes 
longues et grêles. 

Subopaque. La sculpture consiste partout en réticulations 
plutôt fines, entremêlées sur la tête et le thorax de rides longi- 
tudinales plus ou moins distinctes et pas très grossières. Pilo- 
sité dressée, fine, jaunâtre, plutôt longue, abondante sur la tête, 
le thorax, les tibias et les scapes, moins abondante sur l’abdo- 
men et les cuisses. Pubescence longue et très distincte, égale- 
ment répartie sur tout le corps et les membres, jaunâtre, mais 
ne formant nulle part un duvet et ne cachant nullement la sculp- 
ture. Noire ; membres d’un brun foncé ; une grande partie des 
tarses et des tibias, extrémité des mandibules, et les “/; termi- 
naux des funicules roussâtres. 

©. Longueur : 6"",5. Identique à l’ouvrière, mais le prono- 
tum n’a que 2 petites dents obtuses. Thorax un peu plus large 
que la tête et presque entièrement mat. Les ailes manquent. Les 
épines supérieures de l’écaille sont à peine plus longues que les 
?/; de leur intervalle ; les dents latérales pas plus longues que 
larges. Tout le reste comme chez l’ouvrière. 

Congo (Kour). Cette espèce est remarquable par sa taille 
étroite et grêle. 


Polyrhachis (Cyrtomyrma) Alexisti n. sp. (Fig. 7.) 

$. Longueur: 3"%,5—4"%, Mandibules luisantes, assez lisses, 
faiblement ponctuées, armées de 5 dents. Tête trapéziforme, un 
peu plus longue que sa largeur vers les yeux, à côtés très peu con- 


456 A. FOREL 


vexes. Le bord postérieur, faiblement convexe, est large au moins 
1 1/2 fois comme le bord antérieur. Epistome convexe, sans 
carène, avec un lobe antérieur trapéziforme, bidenté devant, 
droit entre les dents. Arêtes frontales très rapprochées entre 
les articulations des antennes, divergentes devant et derrière 
où elles sont sigmoïdes. Yeux au quart postérieur. Le scape 
dépasse l’occiput d’au moins les ?/; de sa longueur. Thorax 1 
fois plus long que large. Pronotum 2 fois plus large que long, 
bordé devant et de côté jusqu’à sa moitié, formant à ses angles 
antérieurs une dent très large, subhorizontale, assez pointue, 
mais à base si large qu’elle ne la dépasse que de peu, tout en 
constituant l’angle qui sépare les côtés du devant. Mésonotum 


77 Epinotum 


Fire. 7: 
Polyrhachis (Cyrtomyrma) Alexisi For. Ÿ (Emma Forel, del.) 
Profil du thorax. 


presque 3 fois plus large que long. Suture mésoépinotale peu 
distincte. Tout le thorax est fortement convexe en tout sens. 
Mais l’épinotum, extrêmement haut, est aussi extrêmement 
court, formant derrière, d’abord une forte convexité, dans un 
sens presque vertical, puis, plus bas, une concavité allant jus- 
qu'à l’articulation. On peut à peine distinguer une apparence 
d'angle entre ce qui serait une face basale convexe et une face 
déclive concave. De droite à gauche, l’épinotum est, de même, 
fortement convexe, sans trace de bord, de dents ni d’épines. 
Ecaille biconvexe, assez épaisse, surmontée de deux épines 
droites, un peu plus longues que la moitié de leur intervalle, 
et de deux dents latérales pointues, un peu plus longues que 
larges. Abdomen très convexe. 

Subopaque. Tête densément striée en long, plutôt réticulée 
sur les côtés, avec l’épistome assez finement et irrégulièrement 
réticulé. Tout le reste du corps est densément réticulé ou réti- 


er 


FOURMIS DU CONGO 457 


culé-ponctué, avec quelques rides longitudinales assez indis- 
tinctes sur le thorax. Pilosité dressée nulle, sauf aux deux extré- 
mités du corps, qui ont quelques poils. Pubescence très courte 
et très diluée sur le corps, un peu plus distincte sur les membres, 
jaunâtre. Noire, membres brun foncé ; funicule, sauf le premier 
article, et extrémité des mandibules, d’un roux jaunâtre. 

©. Longueur: 5,5. Tête beaucoup plus longue que chez 
l’ouvrière, d'un bon quart plus longue que large, en trapèze 
peu marqué, seulement un peu plus étroite devant que der- 
rière ; Le bord postérieur est peu convexe. Thorax plus large 
que la tête, court, haut. L’épinotum a une face basale très con- 
vexe, mais assez marquée, passant par une courbe à une face 
déclive subverticale et deux fois plus haute qu’elle. Abdomen 
tronqué et un peu concave devant (chez l’ouvrière aussi). L’épi- 
notum a des rides transversales assez distinctes, tandis que le 
mésonotum et le scutellum ont la même sculpture que chez 
l’ouvrière. Sur la partie postérieure de l'abdomen les réticula- 
tions tendent à se transformer en ponctuation très dense. Les 
ailes manquent. Tout le reste comme chez l’ouvrière. 

Congo (KouL). Cette curieuse espèce ressemble à la P. Cyr- 
tomyrma) laevissima Sm., mais s’en distingue non seulement 
par sa petite taille et par sa sculpture, mais encore par la grande 
hauteur de son épinotum bossu. Je la dédie à la mémoire de 
mon grand-oncle Alexis FOREL qui guida mes premiers pas dans 
l’entomologie dès 1859. 

Nous devons à M. Hermann KouL, outre de nouvelles formes 
de Fourmis très intéressantes, entre autres celles des plantes 
myrmécophiles, de fort importantes données biologiques qui 
viennent éclaircir les mœurs de beaucoup de formes. 


APPENDICE. 


L'interdiction récente de répéter le même nom dans le même 
genre pour les variétés me contraint à renommer les formes 
suivantes : 

Camponotus (Myrmoturba) Gallienit n. sp. de Madagascar 
(= concolor For. 1891 nec. Alu v. concolor 1890). 


458 A. FOREL 


Camponotus (Myrmoturba) oblongus Sm. v. binominata 
n. var. (— v. opaca For. 1907, nec. Emery 1899). 

Camponotus (Myrmoturba) maculatus F.r. carolinus n. st. 
— luteolus Em. 1905 nec. r. hova For. v. luteola For. 1897). 

Camponotus (Orthonotomyrmex) lateralis OÙ. r. spissinodis 
n. st. (déjà renommé) (= crassinodis For. 1894, nec. C. macula- 
tus F. r. mitis Sm. v. crassinodis For. 1892). 

Dolichoderus Taschenbergi Mayr. v. wheeleriella n. var. (=. 
gagates Wh. 1905, nec. sp. gagates Em. 1890). 

De plus je me permets de donner le nom d’Esdras n. var. à 
une petite variété du Camponotus (Myrmobrachys) planatus 
Rag. longue de 4-4"",3, provenant d’Orizaba, au Mexique, 
variété qui se distingue par sa couleur tachetée de roussâtre et 
de brun sur la tête, le thorax et l'abdomen. Je l'avais appelée 
variegata in litt., nom déjà emplové par Sm. en 1858. 

Dernièrement M. Emery (Académie des Sciences de Bologne, 


21 mars 1915, page 6) a institué un nouveau sous-genre qu'il 


nomme Attomyrma du genre Aphaenogaster, avec subterranea 
comme type. La seule différence appréciable consiste dans le 
thorax étroit des femelles chez les Aphaenogaster s. str. (type 
testaceo-pilosa Luc.). M. EmErY supposait alors que les Aphaeno- 


gaster sens. str. n'avaient pas d'ailes chez la ® ou simplement 


des rudiments, ce qui est une erreur, car je possédais depuis 
longtemps des © ailées de testaceo-pilosa et plus tard M. EMERY 
en a élevé lui-même. M. Emery place de plus les Aphaeno- 
gaster longiceps et Sagei For. dans ses Attomyrma, lors même 
que ce dernier n'a qu’une seule cellule cubitale aux ailes. Le 
fait d’avoir le thorax plus ou moins large variant suivant les 
races d'une même espèce, même parfois suivant les individus 
(M. Emery cite lui-même la v. Tyrrhena du Messor barbarus 
structor), je ne puis admettre qu'on fonde un sous-genre sur 
pareils caractères et je me refuse à adopter le sous-genre 
Atitomyrma Em., qui contient des formes hétérogènes. Je laisse 
le Sage dans le sous-genre Deromyrma For. 

M. Emery m'écrit qu'il considère mon Atopula Jacobsoni 
(Fauna simalurensis 1915, page 25) comme un Leptothorax. Je 
suis d'accord (voir ibidem page 27), mais dans le cas il faudra 


59 


> 


FOURMIS DU CONGO 


aussi faire de l'A. ceylonica Em., avec la var. Taylorti For., des 
Leptothorax et non des Atopula. 

M. Emery a fondé une r. æegyptiacus du C. (Myrmoturba) 
maculatus F., qui n'est à mon avis qu'une simple variété à 
tibias jaunes (Emery, Bull. Soc. Ent. France, 10 février 1915, 
p. 79). En effet: 1° M. Emery ne cite pas les caractères de la 
couleur du corps du maculatus indiqués par LaTReiLze. 2° Je 
possède moi-même des m#aculatus typiques à tibias brun-noir 
provenant de l'Afrique équatoriale ($ @ d') qui ne sont pas le 
melanocnemis Sant. 3° M. Emery n'indique pas les caractères 
les plus importants du melanocuemis. Ce dernier n’est en tout 
cas pas synonyme de la var. aegyptiaca Em. qui ne me paraît 
différer du type que par la couleur des tibias. 

M. Emery pense que mon sous-genre Caulomyrma (de Lepto- 
thorax) est synonyme du genre Nesomyrmex Wh. Ce dernier 
n'est fondé que sur une seule Q et se distingue, outre les an- 
tennes de 11 articles, par sa tête bordée derrière. Ne connais- 
sant pas le type de Nesomyrmex, je maintiens, provisoirement 
du moins, et jusqu'à plus ample information le sous-genre 
Caulomyrma. Quant à la suppression, ou plutôt à la transfor- 
mation en sous-genre du genre Dicroaspis Em., je pense aussi 
qu'il vaudrait peut-être mieux attendre de plus amples connais- 
sances. 

Dans le Bulletin de l'American Museum of Natural History, 
1915, p. 395, M. WHE£ELER croit devoir identifier ma Solenopsis 
pylades avec la saevissima Sm., prétendant que la description 
de Suiru s'applique parfaitement à la Pylades jaune. Il en fait de 
plus une simple race de geminata, disant que Xyloni Mac Cook 
et maniosa Wh. sont intermédiaires. Je ne puis absolument 
pas admettre la synonymie de M. WHE£ELER, car : 1) je possède 
des geminata et des pylades de toutes les parties de l'Amérique 
tropicale à l’est des Andes ; 2) Je conteste que la description 
de Suirx permette de savoir à laquelle des deux espèces appar-. 
tient sa saevissima. Il ne dit pas un mot de la structure des 
mandibules et parle même distinctement d'un « worker minor » 
qu’il décrit séparément de la grande %, ce qui va bien mieux à 
la geminata qu'à la Pylades. Je maintiens donc le nom de 


460 A. FOREL 


Pylades. Reste la question des intermédiaires que je n’ai jamais 
vus ni du Brésil, ni de Colombie, ni de l’Argentine où la Pylades 
seule paraît exister. La différence entre les ouvrières major et 
les © de Pylades et de geminata est si grande que jusqu’à nou- 
vel ordre je crois devoir maintenir la différence spécifique, 
malgré les formes plus ou moins intermédiaires des Etats-Unis. 
A bien des égardsles $. aurea Wh. et Gayi Spin. ne sont certes 
pas plus différentes de geminata que la Pylades. 

Enfin je propose le nom de Myrmoplatys n. subgenus pour le 
groupe asiatique des Myrmomalis, qui décidément diffère trop 
du groupe néotropique pour y demeurer. Type: Korthalsiae Em. 
Dans les Myrmoplatys c'est surtout chez la © et chez l’ouvrière, 
seulement devant, que la tête est déprimée. La chitine est en 
général lisse. 

MM. Morrice et DurranT (Trans. Ent. Soc., London 1914, 
page 421 [1915]) ont institué en remplacement du Genre Lasius F. 
(1804) qu'ils disent tombé par synonymie de Lasius Jurine (1801, 
Apide), un nouveau Genre Donisthorpea. Mais ces auteurs ne 
tiennent aucun compte des sous-genres Acanthomyops Mayr. 
Dendrolasius Ruszky et Chthonolasius Ruszky, dont le dernier 
est à mon avis synonyme de Lasius s. str. et ne pouvait être 
maintenu. Donc, suivant mon opinion, la synonymie doit être la 
suivante, si MORRICE et DURRANT ont raison : 

Genre Acanthomyops Mayr. (1862) 
— Lasius F. 1804 (non Jurine 1801) 
— Donisthorpea Morrice et Durrant ; 

Type : claviger Roger, 

Subgen. Chthonolasius Ruszky, ‘type : niger L. (flavus ex. 
Ruszky). 

Sugen. Dendrolasius Ruszkv, type : fuliginosus Latr. 

P.S. M. Emery m'écrit qu’à son avis il vaudrait mieux prendre 
pour Lasius le nom nouvellement déterré par WHEELEr de For- 
micina Shuck., nom en partie basé sur le Lasius flavus. Je n’ai 
rien à y opposer, pourvu qu'on en finisse une bonne fois avec 
ces déménagements perpétuels des anciens noms. 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 
Vol. 24, n° 6. — Juillet 1916. 


Acridides nouveaux ou peu connus 


du Muséum de Genève 
PAR 


J. CARL 


Assistant au Muséum de Genève. 


Avec la planche 2. 


Parmi les Acridides non déterminés qui se trouvent au Mu- 
séum de Genève, nous avons rencontré un certain nombre 
d'espèces nouvelles, de provenances diverses, et d’autres dont 
la position systématique ou la synonymie donne lieu à quel- 
ques remarques. Trop peu nombreuses pour servir de base à 
une étude monographique, ces observations nous semblent 
cependant dignes d’être publiées sous forme de notes qui se 
succéderont au fur et à mesure de nos recherches. Des cir- 
constances indépendantes de notre volonté nous obligent à 
adopter ce mode de publication, bien qu’il manque d'unité au 
point de vue systématique et géographique. Pour remédier 
jusqu’à un certain point à cet inconvénient et pour faciliter aux 
spécialistes la consultation de ces notes, nous donnerons à 
la fin de ce mémoire un index des espèces et des genres dont 
nous parlerons. 


I. PYRGOMORPHINÆ. 
Tapesia cuisinieri n. sp. 


©. Espèce de grande taille. Brune ; la tête et Le pronotum brun 
rougeûtre ; ce dernier passant au jaune vers le bord postérieur. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 31 


462 JS UICARE Ù 


Antennes, dessous du fastigium et pattes antérieures noirs. 
Fémurs intermédiaires et postérieurs noirs sur les faces interne 
et inférieure, bruns sur les faces externe et supérieure ; genoux 
postérieurs noirs ; übias intermédiaires et postérieurs noirs, 
avec la moitié basale de la face externe brune à l’exception du 
condyle ; tarses noirs. Métanotum et la base des 1°" et-2%° 
segments abdominaux noirs ; chaque segment ventral avec une 
petite tache noire brillante dans l’angle antérieur ; plaque sous- 
sénitale noire, avec deux taches triangulaires brunes. 

Fastigium un peu plus court que large à la base, légèrement 
ascendant et un peu concave, étroitement arrondi à lextrémité, 
avec les côtés peu courbés. Front, vu de côté, sinué en angle 
obtus. Antennes atteignant vers l’arrière le bord postérieur des 
lobes latéraux du pronotum. Pronotum très semblable à celui 
de T.spumans, avec la prozone un peu plus large que la méta- 
zone ; celle-ci légèrement élevée, avec les bourrelets radiants 
très obtus, Le bord postérieur arrondi et offrant quatre petites 
côtes. Elytres ovalaires, avec la nervulation testacée et les 
aréoles noirâtres. Ailes très atrophiées. 

Abdomen lisse et brillant ; les tergites cependant assez régu- 
lièrement ponctués vers leur bord latéral. 

Fémurs postérieurs faiblement et graduellement atténués 
vers les genoux, non sinués devant ceux-ci; carènes obtuses. 
Fémurs intermédiaires distinctement dilatés vers l'extrémité. 


©. Longueur du corps : 60"". 


» des antennes : 19". 

» du pronotum : 17". 

» des élytres : 1677. 
Largeur » TES 


Longueur des fémurs postérieurs : 26". 


1 ©. Konakry, Guinée française. (L. Cuisinier leg.). 

Cette espèce est, par certains caractères, voisine de deux 
autres espèces de l'Afrique occidentale, T. oberthüri Bol. et 
T. anchietae Bol. Elle se rapproche de la première par la forme 
et la brièveté des élytres et de la seconde par les antennes plus 


ACRIDIDES 463 


longues et l'abdomen non rugueux. Par contre, elle se distingue 
des deux, outre certaines particularités de la couleur, par sa 
taille plus grande et par les fémurs postérieurs relativement 
plus longs. 


Monistria vinosa n. sp. 


g'. D’un rouge vineux très foncé; le vertex étroitement 
bordé d'orange, cette couleur se continuant sur la carène fron- 
tale entre les antennes; une étroite bande ferrugineuse com- 
mence à la base des antennes, traverse les joues et se prolonge, 
en devenant plus large et plus floue, dans la partie inférieure 
des lobes latéraux du pronotum. Les tergites abdominaux por- 
tent sur les flancs une série de petites taches rouge clair, à 
peine calleuses, une bordure latérale jaunâtre et des marbru- 
res jaunâtres au-dessus de celle-ci, sur les derniers segments ; 
le ventre jaune porte une bande médiane pourpre, diffuse, qui 
s’élargit sur les derniers segments et renferme ici des macu- 
les jaunes. Pattes de la couleur du corps, les fémurs posté- 
rieurs un peu plus clairs en dessous ; épines des tibias blan- 
châtres, à pointe noire. 

Front non sinué. Fastigium du vertex à peu près aussi long 
que large. Antennes épaisses, courtes, à peine plus longues 
que le pronotum. 

Apophyse du prosternum semiélliptique, creuse vers l'avant, 
non épaissie à l'extrémité comme chez HW. pustulosa. 

Elytres ovalaires, larges. 

Extrémité de l’abdomen comme chez le œ de M. pustulosa 
Stäl . 


Longueur du corps : 23". 


» du pronotum : 5,5. 
» des élytres : 2"",5. 
» des fémurs postérieurs : 13%, 


L '. Kosziusko, Nouvelles-Galles du Sud, 1600 à 2000 m. 
d'altitude. 
Cet exemplaire se distingue du SG de 1. pustulosa Stäl par le 


464 JAICARÉ 


corps plus robuste, la couleur générale, l’absence des callosi- 
tés, la brièveté des antennes et la forme de l’apophyse du 
prosternum. Il se pourrait que ce soit le G° de M. ligata Bol. 


Monistria profundesulcata n. sp. 


Q. Gette espèce se distingue de tous ses congénères par son 
pronotum qui, vu de profil, n’est pas légèrement bombé en 
avant du sillon typique, mais très légèrement enfoncé, et porte 
des sillons très marqués; le premier sillon, près du bord anté- 
rieur, qui, chez les autres espèces, est nul ou indistinct sur le 
dos, est ici très profond et large sur tout son parcours ; lPétroit 
espace entre ce premier sillon et le bord antérieur du prono- 
tum, ainsi que la métazone, sont densément et assez grossiè- 
rement ponctués ; l’espace entre le premier et le dernier sillon 
est lisse sur les côtés, très finement ridé sur le dos entre les 
sillons. 

Couleur générale jaune-ferrugineux ; les */; distaux des an- 
tennes, le mésothorax, les côtés du dos du métathorax et une 
tache sur la base des élytres sont noirs. Les arcs géniculaires 
des fémurs postérieurs sont rouge-brun, les tibias postérieurs 
deviennent foncés vers l'extrémité, surtout en dessous. Le 
corps ne porte pas de callosités colorées. 

Antennes relativement longues, presque deux fois aussi lon- 
gues que le pronotum. Fastigium du vertex plus long que 
large et distinctement ascendant. Front vaguement sinué. Apo- 
physe du prosternum en forme de langue, à bord tranchant et 
non épaissi au sommet comme chez M. pustulosa. Elytres en 
ovale très large et un peu irrégulier, le bord interne moins 
fortement courbé que le bord externe. 


Longueur du corps : 34". 


» du pronotum : 7", 
» des élytress tn 
» des fémurs postérieurs : 14", 


1 ©. Australie. 


a 


ACRIDIDES 465 


Genre Pseudomorphacris n. gen. 


L'examen du type ® de BRuNNER, conservé au Musée de 
Gênes, et d’un exemplaire identique de Palon (Pegü) nous a 
montré que Westra notata Br. n'appartient pas au genre Tagasta 
Bol. (— Mestra Stai), mais doit être considérée comme type 
d’un genre nouveau, intermédiaire entre les sections Tagastae 
et Atractomorphae de Bozivar. 

Il se distingue des Tagastae par les fémurs postérieurs, dont 
la face inférieure externe est aussi large que la face externe 
médiane et se rencontre avec celle-ci sous un angle presque 
droit. Les lobes réfléchis du pronotum ont le bord postérieur 
légèrement et régulièrement arqué et l’angle postérieur aigu, 
mais non prolongé en arrière (par opposition à Afractomorpha 
et Buyssoniella). Les tibias postérieurs sont ronds dans les 
2/3 basaux et ont les bords supérieurs obtus dans le 1}; distal, 
comme chez Tagasta. Le 2" article des tarses postérieurs est 
beaucoup plus court que le 1°" (ce qui le distingue du genre 
malgache Schulthessia Bol.). Le prosternum a le bord antérieur 
épaissi, mais complètement dépourvu de tubercule. 


Pseudomorphacris notata (Br.) 


Chez la Q, les élytres sont beaucoup moins fortement arron- 
dis à l’extrémité, qu'ils ne le sont d’après la figure de BRUNNER 
chez le G', plutôt subacuminés. La lame supraanale et les cerci 
de la ® se prolongent en pointe spiniforme. 


Orthacris incongruens n. sp. 


d. Tête et corps d’un vert olivacé intense, avec une étroite 
bande latérale claire depuis les antennes jusqu’à la base des 
hanches postérieures ; cette bande est jaune devant les yeux et 
sur les pleures, vert clair sur les joues et sur le pronotum, et 
bordée de callosités rouges sur ce dernier, du côté supérieur ; 
les pattes antérieures et moyennes sont d’un vert rougeûtre, les 
fémurs postérieurs sont roux, les tibias postérieurs, par contre, 


466 FICRET 


vert olivacé comme le corps. Le tympan du 1° segment abdo- 
minal est bien développé. Les tibias postérieurs sont pourvus 
d’épine apicale externe. Le sommet du vertex est très obtus. 
Le prosternum porte un tubercule conique aigu assez long. Les 
lobes mésosternaux sont séparés par un espace plus large que 
la moitié de chaque lobe. Dernier tergite abdominal sinué de 
chaque côté, mais assez profondément incisé (non sinué en arc) 
au milieu ; ses deux lobes sont triangulaires obtus. Lame supra- 
anale triangulaire, carénée. Gerci coniques, légèrement recour- 
bés vers le bas à l'extrémité, pas beaucoup plus courts que la 
lame supraanale. Lame sous-génitale en capuchon presque 
hémisphérique, non comprimée, offrant une petite carène 
médiane dans sa partie ascendante. 


Longueur du corps : 20". 


» » pronotum : ns pe 
» des fémurs postérieurs : 10". 
1 G. Indes. 


Cette espèce se rapproche beaucoup de ©. filiformis Bol. et 
ruficornis Bol., par la présence du tympan et de l’épine apicale 
externe sur les tibias postérieurs, comme aussi pour la colora- 
üon du corps; mais elle s’en distingue par les fémurs posté- 
rieurs plus longs, l'intervalle mésosternal plus large, la lame 
sous-génitale non comprimée, etc. 


Verdulia dohrni Bol. 


Deux © très décolorées correspondent assez bien à la diagnose 
de cette espèce, connue de Sumatra; mais les élytres et les 
fémurs postérieurs sont plus longs : Longueur des élytres 22", 
des fémurs postérieurs 19", 


2.Q. Java. 
Geloius finoti Bol. 


Cette espèce est remarquable par son dimorphisme sexuel 
tres prononcé. Bozrvar le fait ressortir pour ce qui concerne 


‘dé 


ACRIDIDES 467 


la forme des antennes, des fémurs antérieurs et la taille, mais 
il ne mentionne pas les grandes différences de coloration. 

d. Le pronotum est brun foncé, avec quelques granulations 
claires au milieu du dos et deux grandes taches arrondies, 
jaune clair, un peu calleuses, penchées l’une vers l’autre, dans 
la moitié inférieure des lobes réfléchis. Le mésonotum et le mé- 
tanotum sont jaunes, avec quelques petites taches foncées ; 
les pleures sont noirâtres. L’abdomen, en dessus, est brun fon- 
cé, faiblement bariolé de jaune ; l'extrémité et le ventre sont 
jaune-brun. Fémurs postérieurs jaune paille sur toute la face 
externe, avec la face interne bleuâtre jusqu’au milieu et oran- 
gée vers les genoux. Tibias postérieurs orangés dans la moitié 
basale, noirâtres dans la moitié distale. 

La ® est beaucoup plus bigarrée. Le pronotum est en ma- 
jeure partie jaune, avec un dessin brun en forme d’aigle double 
sur le dos, quelques petites taches noires sur les lobes réflé- 
chis et une rangée de taches punctiformes noires le long des 
bords antérieur et postérieur. Les segments de l’abdomen sont 
jaunes, avec des marques foncées assez constantes, notamment 
un triangle brun sur le dos au bord postérieur et 5 points noirs 
disposés en triangle, dont la base est le bord antérieur du 
segment et dont la pointe est marquée par le plus grand de ces 
points et se trouve au milieu du dos de chaque segment, à la 
même place que la pointe du triangle brun ; en outre, chaque 
segment porte sur les côtés 3 points noirs un peu plus grands, 
disposés en triangle obtus. Ventre jaune brunâtre. Pattes mar- 
brées de brun et jaune. Fémurs postérieurs bruns sur la face 
externe et plus ou moins marbrés de jaune, avec une grande 
tache antémédiane arrondie, jaune, qui occupe toute la largeur 
de la face externe et supérieure; les genoux sont également 
jaunes ; la face interne est noire, marquelée de jaune vers les 
genoux. Tibias postérieurs noirs, avec une petite partie basale 
jaune correspondant à la longueur des genoux des fémurs, et 
la face supérieure tout entière, ou au moins son bord externe, 
jaune. 

Ces différences de couleur du corps et des pattes des deux 


468 J. CARL 


sexes sont si marquées et si constantes qu’onse croirait en pré- 
sence de deux espèces différentes !; mais la couleur de la tête 
est la même dans les deux sexes : elle est jaune terne; le fasti- 
gium du vertex est brun; le vertex offre une bande brune, élar- 
gie vers l'arrière, où elle est rejointe par deux stries brunes 
obliques, qui partent de la partie supérieure des yeux; la face 
porte une bande transversale brune entre les yeux et une autre 
bande au milieu, cette dernière se prolongeant à travers les 
joues. Tous ces dessins de la tête sont un peu moins apparents 
chez la © que chez le &. | 


II. CYRTACANTHACRINEÆ. 
A. Espèces asiatiques et australiennes. 
Quilta mitratum Stal. 


Le genre Quilta a été très bien caractérisé par SrâL. La seule 
espèce qu’il renferme, Q. mitratum Stäl, des Iles Keeling ? dans 
l’Océan indien, n’avait pas été retrouvée depuis sa découverte. 
Les exemplaires du Muséum de Genève, provenant de Java, 
concordent bien avec la description originale, sauf pour ce qui 
concerne la couleur. Ils portent tous une bande foncée, très 
étroite chez la ©, un peu plus large chez le G', qui commence 
derrière les yeux et s’étend le long du bord supérieur des lobes 
latéraux du pronotum jusqu’à l'insertion des élytres ; Les fémurs 
postérieurs portent le long du milieu de la face externe une 
série de points noirs au nombre de 3-10. Ces différences de 
coloration peuvent s'expliquer par le fait que les exemplaires 
de Sri étaient conservés à l’alcool. Les cerci du G' sont grèles 
et relevés presque verticalement, la plaque suranale est forte- 
ment acuminée vers l'extrémité, sillonnée dans sa moitié 
basale. 


! Nous nous sommes adressé à M. Bozivar pour avoir la confirmation de 
ce fait ; mais nous n'avons pu obtenir jusqu'à présent aucun renseignement. 

? Non pas Keelong, comme l'indique Kirsy (Syn. Cat.Orthopt. vol. 3. p. 
392). 


ACRIDIDES 469 


Longueur du corps : G 22"", ® 26"". 


» du pronotum : G 4"",5, Q 6". 
» désélytres:/0' 18"; 92278, 
» des fémurs postérieurs : gf 12", Q 14%, 


é 0:09 0° Java. 


[| Q. Cochinchine. 

Ce dernier exemplaire représente peut-être une espèce auto- 
nome ; il ne porte point de bandes sur la tête et le thorax, ni 
de points noirs sur les fémurs postérieurs ; par contre, les 
genoux postérieurs sont noirs, le lobe postérieur du pronotum, 
la base des élytres et le fastigium du vertex sont brun fuligi- 
neux. Les élytres sont plus longs que chez les exemplaires de 
Java. 

Rexx ! a décrit sous le nom de Quilta pulchra, une espèce 
de Sumatra, qui se distinguerait de Q. mitratum Stal précisé- 
ment par l’absence des principaux caractères génériques de 
Quilta ! Cette espèce appartient donc à un autre genre. 


Genre Macroquilta n. gen. 


Genre appartenant au groupe des Oxryae Br. 
 Q@. Front, vu de côté, modérément oblique ; carène frontale 
effacée à proximité du clypeus, largement sillonnée dans toute 
sa longueur, à bords très obtus et droits ; carènes latérales 
assez saillantes, légèrement déviées vers les yeux au-dessous 
des antennes. Yeux un peu plus longs que la distance entre 
leurs bords inférieurs et la base des mandibules. Fastigium 
du vertex plus large que long, obtus. 

Pronotum arrondi dans la prozone, légèrement déprimé dans 
la métazone; vu d’en haut, légèrement ensellé et un peu di- 
laté vers l'arrière, dépourvu de carènes latérales. Métazone un 
peu plus courte que le reste du pronotum, son bord postérieur 
obtusément arrondi. Bord inférieur des lobes réfléchis formant 
au milieu un petit lobe arrondi; ce bord est épaissi en 


1 Bull. Amer. Museum of Nat. Hist., vol. XXVI, p. 190, fig. 14, 15. — 1909. 


470 J. CARL 


bourrelet sur toute sa longueur, mais surtout dans sa partie 
postérieure, qui de ce fait est distinctement relevée vers 
l'angle postérieur, formant en dessus une sorte de gouttière 
et offrant en dessous un court pli dans lequel s’engage le bord 
supérieur des hanches antérieures; angle postérieur saillant, 
émoussé. 

Tubercule du prosternum long, conique, aigu. 

Lobes mésosternaux et métasternaux distinctement séparés. 

Elytres et ailes bien développés. 

Bord apical dorsal des fémurs postérieurs avec une épine 
médiane très distincte et les angles supérieurs interne et ex- 
terne prolongés en une épine (comme chez Quilta Stäal). Lobes 
géniculaires prolongés en une épine très aiguë. 

Tibias postérieurs dilatés vers l’extrémité, à bords lamellai- 
res et tranchants ; l’épine apicale externe bien développée. 

Valves génitales de la @ crochues à lextrémité; leur bord 
denticulé. 

Ce genre rappelle Quilta Stäl par les angles dorsaux très 
aigus des genoux, mais s’en distingue par le fastigium du ver- 
tex beaucoup plus court et diffère de tous les genres de ce 
groupe par la conformation du bord inférieur du pronotum. 

Certains caractères des élytres.et de la lame sous-génitale de 
la © ont peut-être dans ce cas, eux aussi, une valeur généri- 
que ; mais comme ils se présentent sous une forme analogue 
aussi chez certaines espèces du genre Oxya, mais font défaut 
chez d’autres espèces de ce genre, nous préférons les réserver 
pour la description de l’espèce. 


Macroquilta longipennis n. sp. 
Fig. 1, 2. 


Q.Vertjaunâtre. Tête presque unicolore, avec de faibles ponc- 
tuations foncées sur la face et des traces d’une ligne postocu- 
laire oblique ; le bord du fastigium du vertex assombri. 

Pronotum lisse et luisant, faiblement coriacé dans la méta- 
zone; la carène médiane distincte seulement près du bord an- 


nu 


RE 


ACRIDIDES 471 


térieur et dans la métazone, mais remplacée par un fin sillon 
dans la mésozone ; le bord antérieur du pronotum arrondi et 
très faiblement sinué au milieu, le bord postérieur faiblement 
échancré au milieu. Les lobes réfléchis portent au-dessus du 
milieu une strie longitudinale olivâtre, diffuse vers le haut, 
mais limitée et rehaussée sur ke côté inférieur par une large 
bordure jaune clair. 

Le tiers supérieur des méso- et métapleures est noir, bordé 
de jaune vers Le bas. 

Elytres longs et étroits, dépassant de beaucoup l'abdomen 
et même les fémurs postérieurs, obtusément arrondis à lPex- 
trémité, membraneux et transparents, mais coriacés et jaune 
opaque dans leur quart basal, où le champ médiastin se dilate 
en un large lobe arrondi dont le limbe est membraneux ; ner- 
vure médiastine jaune, courbée et saillante sur la courbe; les 
nervures radiales sont très foncées dans leur moitié basale ; 
le champ anal offre, dans son tiers basal, derrière la veine ulnaire 
antérieure, une strie couverte d’une pubescence jaunâtre très 
dense, fine et courte. 

Ailes longues et étroites, hyalines. 

Fémurs postérieurs avec les arcs géniculaires interne et ex- 
terne foncés. Tibias postérieurs avec une ligne brune sur le 
bord externe de leur face inférieure ; les épines au nombre de 
9 de chaque côté, jaunes à pointe noire. 

Lame sous-génitale de la Q terminée en un lobe médian 
obtus et une apophyse conique de chaque côté, offrant sur la face 
inférieure une impression longitudinale lisse, de chaque côté 
une carène denticulée, aiguë, et entre l’impression médiane et 
les carènes une pubescence fine et très dense (comme chez cer- 
taines Oxrya). 


Longueur du corps : 38", 
» du pronotum : 9,5. 
» des élytres : 45", 
» des fémurs postérieurs : 21", 


1 9. Rockhampton, Australie. 


72 JHGARE 


= 


Oxya minuta n. sp. 


q, ©. Taille très petite. Corps couleur de paille, avec une 
bande olivacée peu apparente derrière les yeux et dans la partie 
supérieure des lobes latéraux du pronotum ; cette bande parfois 
bordée d’une strie blanchâtre; le disque du pronotum et l’oc- 
ciput sont parfois également assombris, brunâtres, cette cou- 
leur se confondant avec la bande latérale ou séparée d’elle par 
une strie pâle. Pattes unicolores ; le bord postérieur des seg- 
ments abdominaux brun châtain. 

Elytres raccourcis, ne dépassant pas le bord postérieur du 
3" segment abdominal, ne se touchant que dans leur moitié 
basale ; ils sont acuminés à l’extrémité et ont l’aire médiastine 
distinctement dilatée. 

Lame sous-génitale de la Q sans carènes et sans dents, fai- 
blement prolongée entre la base des valves et faiblement inei- 
sée au milieu du bord postérieur. ! 

Cercei du S'très grèles et très aigus, subspiniformes. Plaque 


PART VS 


suranale du G' assez brusquement rétrécie derrière le milieu. 


Longueur. du corps: 9 192%, G'A5mms, 
» duspronotum :0 A0 5 oem, 
» dés fémurs post.:0 42m 0x 0eme 
» desrélptres s OH: CDR 


À 
fi 
"ol 

4 


GS G', ® ®. Java; (D' L. ZEHNTNER lepg..). 

Voisine de ©. rufipes Br., dont elle se distingue aisément par 
ses élytres encore plus courts, les pattes postérieures unicolo- 
res, le bord postérieur du pronotum plus fortement arrondi, 
avec l’angle à peine indiqué, les cerci du G' encore plus grêles 
et la lame supraanale du G plus brusquement rétrécie. 


Tauchira mirabilis n. sp. 


d,?. Tête et corps noir brillant, avec les dessins blancs ou 
blanc jaunâtre suivants : Une bande étroite depuis le fastigium 
du vertex par l’occiput, le pronotum etles ?/; du bord supérieur 


ACRIDIDES 473 


des élytres ; une ceinture irrégulière, interrompue par la carène 
frontale, sur la tête au-dessous des yeux, prolongée sous forme 
d’une bande étroite le long du bord inférieur du pronotum et 
sur les méso- et métapleures, où elle est interrompue ; une tache 
dorsale carrée sur le segment abdominal 1; une petite tache 
dorsale près du bord postérieur des segments abdominaux 2, 
3 et 4; une ceinture occupant toute la partie dorsale sur les 
segments abdominaux 5, 6 et 7; une étroite bande passant par 
les stigmates et formant la bordure latérale de tous les segments 
abdominaux dorsaux, séparée des ceintures dorsales des seg- 
ments 5, 6 et 7 par une zone noire plus ou moins large; une 
petite tache à la base des mandibules. Poitrine noire, avec des 
taches brunes diffuses ; ventre brun, devenant noir vers l’extré- 
mité. Antennes avec la face supérieure blanc terne ou blanc 
verdâtre ; la face inférieure noire, passant au bleu-vert vers la 
base. Pattes antérieures et moyennes rouge sanguin, avec les 
tarses et parfois aussi les tibias verts. Fémurs postérieurs noirs, 
avec une macule basale rouge, ronde, sur le côté externe près 
de l’articulation et Le plus souvent avec un anneau subapical 
rouge plus ou moins distinct. Tibias postérieurs bleu d'azur ou 
bleu de Prusse, avec les épines de la même couleur. 

Antennes très longues, égalant chez le G‘ la longueur de la 
tête, du pronotum et des deux premiers segments abdominaux 
pris ensemble, chez la © un peu plus courtes. Front, pronotum, 
métanotum et pleures assez grossièrement ponctués ; la partie 
dorsale des segments abdominaux 1 à 4 moins fortement 
ponctués, les segments suivants lisses. Elytres rudimentaires, 
latéraux, étroits, légèrement élargis dans la partie apicale, 
avec l’extrémité arrondie ; ils atteignent le bord postérieur du 
1° segment abdominal. Ailes absentes. Apophyse du prosternum 
terminée par 3 tubercules, dont les deux latéraux sont beau- 
coup plus grands que le médian. Bord postérieur du pronotum 
très distinctement émarginé au milieu. Tibias postérieurs avec 
10 ou 11 épines sur le bord interne et 9 ou 10 épines sur le 
bord externe ; l’épine apicale externe distincte. | 

Plaque sous-génitale de la ® avec le bord postérieur presque 


47% TUCARL 


régulièrement arrondi. Dernier tergite du G‘ avec une petite 
dent très obtuse de chaque côté du sinus médian ; cerci coni- 
ques, aigus, de la longueur de la lame supraanale, qui a la forme 


d’un triangle régulier. 


Longueur du corps : SG 16*", @r9DDmM, 
» du pronotum : 6° 3"", Q 47". 
» dés élyirés "02878 0uSee 
» des fémurs postérieurs : G 10"",5, Ç 12%%,5. 


10 9,9%. Bua-Kraeng, Célèbes mérid., à environ 1700 m. 
d'altitude. ; 

Cette espèce est bien caractérisée par son dessin très net et 
très apparent et la richesse des couleurs; sauf les variations 
indiquées, le dessin semble être très constant chez les individus 
de la même localité. 


Tauchira samanga n. SP. 


œ. Très semblable à l'espèce précédente pour la coloration 
de la tête et du thorax, la forme, longueur et couleur des 
élytres ; mais le front est entièrement noir par le fait que la 
bande blanchâtre ‘inférieure ne forme pas une ceinture autour 
de la tête, mais s'arrête aux carènes externes en se prolongeant 
vers le haut entre celles-ci et Les yeux; mandibules, elypeus et 
labrum en majeure partie blanc verdâtre ; poitrine rouge. La 
couleur de l'abdomen et des pattes entièrement différente. Les 
tergites abdominaux noirâtres, avec une étroite bande médiane 
blanchâtre, une large bordure latérale blanchâtre et des traces 
d’une petite tache claire sur le bord postérieur de chaque seg- 
ment. Pattes antérieures et moyennes vertes. Fémurs posté- 
rieurs orangés, avec les genoux noirâtres, un anneau subapical 
jaunâtre précédé d’un anneau olivâtre, une tache oblique et une 
tache longitudinale subbasale olivâtres dans l'aire externe. 
Tibias postérieurs bleu verdâtre. 

Le front, le thorax et la partie dorsale des tergites abdomi- 
naux ont une ponctuation un peu plus dense que chez T. mira- 


ACRIDIDES 475 


bilis. L’apophyse du prosternum est comme chez cette espèce. 
(Notre unique exemplaire étant mutilé, nous ne pouvons fournir 
aucune indication sur les antennes, les tarses postérieurs et les 
pièces anales.) 


Longueur du corps : g' environ 18". 


» du pronotum : 3"",5. 
» des élytres : 272,5. 
» des fémurs postérieurs : 117%. 


1 G'. Samanga, Célèbes mérid. 


Tauchira vidua n. sp. 


©. Taille plus grande que chez T. lucida Krauss et T. mira- 
bilis n. sp. Le dessin est presque identique à celui de 7. samanga, 
mais les bandes sont moins apparentes, étant jaune-brun sur 
un fond châtain ou brun foncé; labre, clypeus et mandibules 
brun foncé; palpes jaunâtres ; antennes brun clair; la large 
zone latérale foncée des tergites abdominaux renferme sur 
chaque segment une strie courbe jaune-brun, peu apparente ; 
poitrine brune; ventre brun, légèrement plus foncé vers l’extré- 
mité. Pattes de la 1'° et 2"° paire vertes. Fémurs postérieurs 
avec les faces inférieure et interne rouge sanguin, sans taches, la 
face externe orangée et munie d’une strie médiane foncée dans 
la partie épaisse, la face supérieure avec 3 taches foncées peu 
nettes ; Les genoux noirâtres. Tibias postérieurs noirs, avec une 
strie verdâtre en dessus, les épines noires. Tarses postérieurs 
verts. 

La ponctuation du corps est un peu plus fine, mais beaucoup 
plus dense que chez les espèces précédentes ; elle se trouve, 
quoique plus éparse, aussi sur les côtés de l'abdomen et sur 
les derniers segments abdominaux. Le bord postérieur du pro- 
notum est très faiblement émarginé. Apophyse du prosternum 
bituberculé, le tubercule médian étant entièrement oblitéré. 
Elytres dépassant un peu le bord postérieur du 1° segment 
abdominal, de la même forme que chez T. mirabilis, mais le 


476 J. CARL 


champ anal légèrement dilaté près de la base. La plaque sous- 
génitale de la ® a le bord postérieur distinctement prolongé au 
milieu et obtus-arrondi. Les tibias postérieurs portent sur le 
bord interne 12 épines et sur le bord externe 10 épines ; l’épine 
apicale externe est réduite à un petit tubercule. 


Longueur du corps : 29". 


» du pronotum : 57". 
» des élyires* 57%; 
) des fémurs postérieurs : 16". 


1 ©. Patunuang, Célèbes méridional. 

Malgré la grande ressemblance dans le dessin du corps, nous 
ne croyons pas pouvoir considérer cette espèce-c1 et 7. samanga 
comme étant les 2 sexes de la même espèce, à cause des grandes 
différences dans la coloration des pattes postérieures. En outre, 
la différence de taille entre ces 2 exemplaires est beaucoup 
plus grande qu’elle ne l’est d'ordinaire entre les deux sexes 
de la même espèce chez les Tauchira (p. ex. T. lucida Krauss, 
buae Bol. et mirabilis n. sp.). 


Racilia exigua n. sp. 


æ.®. Couleur générale verte; une étroite bande noire de cha- 
que côté derrière les yeux, passant par le pronotum et prolongée 
sur les élytres, dont les bords antérieur et postérieur seuls res- 
tent pâles ; les bords du fastigium du vertex sont noir-brillant ; 
antennes brunes, avec le dernier article pâle et l’article basal 
vert; labre glauque. Pattes vertes; les fémurs postérieurs du 
d passant souvent au rouge sanguin dans la partie épaisse, 
avec les genoux entièrement ou en partie noirs; tibias posté- 
rieurs bleu-vert, leurs épines brun-jaune à pointe noire. 

Fastigium arrondi en avant dans les deux sexes, distincte- 
ment plus long que large chez le G', à peu près aussi long que 
large chez la ©. Antennes de la Q un peu plus courtes, celles 
du & 1 ‘2 fois aussi longues que la tête et le pronotum pris 
ensemble. Ponctuation assez forte sur le front et le pronotum, 


2 


ACRIDIDES 477 


faible sur le dos des tergites abdominaux. Bord postérieur du 
pronotum tronqué et tres légèrement émarginé. Apophyse du 
prosternum avec le bord apical divisé en 4 petits tubercules 
subégaux. Elytres rudimentaires, ne dépassant pas le milieu 
du 2"° segment abdominal, environ 2 fois aussi longs que 
larges, avec le bord anal droit, le bord costal régulièrement 
courbé et l'extrémité arrondie. Ailes absentes. Tibias posté- 
rieurs dépourvus d’épine apicale externe. ÿ 

Dernier tergite du g' avec une petite dent obtuse de chaque 
côté de l'incision ronde du milieu. 

Lame supraanale du G triangulaire-aiguë, avec deux carènes 
qui divergent vers l'arrière ; cerci coniques, aigus. Valves gé- 
nitales de la & presque droites, inermes ; lame sous - génitale 
@ tronquée. 


Longueur du corps : ® 18"", of 14". 


RU DEGNOQUm: 0 "anR 5 SUR, 
» desrelyires ON 5 mm 
» des fémurs postérieurs: Q 11%, G' 9m, 


12 S c', 4 Q ©. Pasoeroean et les Mts. Tengver, Java orient. 
OO 


Cette espèce a l’habitus des Tauchira précédemment décrites, 
mais les caractères distinctifs du genre Racilia (longueur du 
fasugium, valves génitales de la © inermes). L’épine apicale 
externe des tibias postérieurs étant déjà atrophiée chez les 
Racilia, son absence complète ne justifie pas la création d’un 
genre nouveau; il en est de même de l'absence des ailes et de 
l’atrophie des élytres. Par contre, le bord postérieur du prono- 
tum est décrit comme formant un angle obtus plus ou moins 
distinct chez À. femoralis S\à et aurora Br., tandis qu’il est 
tronqué-émarginé chez l'espèce de Java. 


Genre Æreroglyphus Krauss. 


Afin de faciliter la détermination des espèces, d'établir leurs 
affinités et d'attirer l'attention sur certains caractères morpho- 
logiques négligés jusqu'à ce jour, nous faisons précéder les 

Rev Suisse pe Zooz. T. 24. 1916. J2 


478 J-ACARE 


descriptions des espèces nouvelles d’un essai de groupement 


d'après différents caractères. 


I. Lame sous-génitale ©. 1. Pourvue de 2 carènes den- 
ticulées : Æ. tarsalis Stâl, citrinolimbatus Br., tonki- 
nensis n. SP. 

2. Dépourvue de carènes : daganensis Karsch, furcifer 
Serv., or'yZzivorus n. Sp. 

IT. Valves génitales supérieures ©. 1. Fortement acu- 
minées vers l’extrémité : /{. furcifer, tarsalis, citrino- 
limbatus, tonkinensis. 

2. Beaucoup moins fortement acuminées : Æ. daganen- 
SiS, OrYZVOrUS. 

III. Lame sous-génitale du SG. 1. Acuminée : Æ. daganen- 
sis, furcifer, tarsalis, citrinolimbatus. 

2. Comprimée latéralement, tronquée et formant une 
arête verticale vive : A. vastator n. sp. 

IV. Cerci du G'. 1. Brièvement bifurqués à l’extrémité : A. 
furcifer. 

2. Obtus-tronqués à l'extrémité et saillant en petit tuber- 
cule obtus sur le côté interne : X. daganensis. 

3. Atténués en pointe : /. tarsalis, citrinolimbatus. 

4. Très obliquement tronqués en pointe dans leur tiers 
apical : Æ. vastator, (?) oryzivorus. 

V. Lobes mésosternaux. 1. Subcontigus au milieu; leur 
intervalle par conséquent pointu vers l’avant: #. daga- 
nensis (S', ®), oryzivorus (®), vastator {S). 

2. Nettement séparés par un intervalle légèrement 
biconcave : A. furcifer (S', ®), tarsalis (X, Q®), citrino- 
limbatus (S, ®), tonkinensis (©). 

VI. Dernier sillon du pronotum. 1. Distinctement et régu- 
lièrement courbé vers l'avant, sur le dos : Æ. daga- 
nensis, furcifer, oryzivorus. 

2. Offrant seulement une petite saillie vers l'avant, au 
milieu du dos : /. vastator. 


3. Droit sur le dos: H. tarsalis, citrinolimbatus, tonki- 


nensis. 


ACRIDIDES 47 


VII. Métazone du pronotum. 1. Ayant “} de la longueur du 
pronotum ; son bord postérieur en angle arrondi: 77. 
tarsalis, citrinolimbatus, tonkinensis, vastator. 

2. Ayant ?/; de la longueur du pronotum ; son bord pos- 
térieur largement arrondi ou en angle très obtus et 
émoussé: /1. daganensis, furcifer, oryzivorus. 


Ce tableau montre que certaines espèces se trouvent toujours 
dans le même groupe, quel que soit le caractère visé. Il en est 
ainsi pour /1. tarsalis, citrinolimbalus et tonkinensis, qui, en 
raison de leurs grandes affinités morphologiques, pourraient 
être considérés comme des formes géographiques de la même 
espèce. Des rapports très étroits existent également entre 
H. daganensis et H. oryzivorus. Si nous donnons néanmoins à 
tonhinensis et oryzivorus le rang d'espèces, c’est parce que 
nous n'en connaissons encore que la ®. 

D'autres parties du corps varient aussi plus ou moins, sui- 
vant les espèces, mais ces variations ne se prêtent pas à un 
aperçu synoptique, vu qu'elles sont reliées par des formes de 
passage. C’est le cas pour la forme de la plaque suranale du & 
et pour le bord inférieur des lobes réfléchis du pronotum. 

Dans les descriptions des espèces nouvelles qui suivent, nous 
ne considérerons que les caractères distinctifs non contenus 
dans les tableaux analytiques et, en première ligne, la coloration. 


Hieroglyphus tonkinensis n. sp. 


®. Vert jaunâtre, avec très peu de marques noires. Face et ver- 
tex offrant une ponctuation foncée assez dense. Antennes 
comme chez A. tarsalis et citrinolimbatus. Le fond des sillons 
du pronotum est noir sur les côtés du dos seulement, mais 
non au milieu et sur les lobes latéraux; l’ourlet du bord 
postérieur n’est pas orangé comme chez citrinolimbatus. Aux 
pattes postérieures, le fémur ne porte extérieurement qu'un 
petit point noir à la base de l’arc géniculaire et intérieurement 
une strie transversale, irrégulière, noire devant les genoux ; le 
tibia offre une petite tache noire supéro-interne derrière le con- 


480 JÉCARE 


dyle et une autre à l'extrémité, à la base de léperon interne ; 
les tarses postérieurs sont unicolores, vert jaunâtre (chez tar- 
salis et citrinolimbatus, les tbias sont noirs sur tout leur 
pourtour près de la base et à l’extrémité, et les articles 1 et 2 
du tarse sont noirs, avec une tache jaune à l'extrémité). Elytres 
dépassant un peu les fémurs postérieurs, mais n'atteignant 
pas l’extrémité de l'abdomen. 


Longueur du corps : 55°". 


» du pronotum : 10%". 
» des élytres: 357%. 
) des fémurs postérieurs : 247%. 


1 ©. Than-Moi, Tonkin. 


Hieroolyphus oryzivorus n. Sp. 
5". y 


©. Probablement vert à l’état frais. Face sans ponctuation 
foncée. Antennes brun noir, devenant olivacées vers la base. 
Sillons du pronotum noirs sur les lobes latéraux seulement, et 
le premier sillon dorsal à ses deux extrémités. Méso- et méta- 
pleures avec les soudures noires. Pattes postérieures sans la 
moindre tache noire, ou avec une fine strie médiane foncée sur 
le dessus des genoux. Elytres raccourcis, n’atteignant pas l’ex- 
trémité des fémurs postérieurs. 


1 ©, Murshidabad (Hindoustan). 
L ©, portant l'étiquette : «Pha-pha »; détruit le riz dans le dis- 
trict de Bilaspia, Indes centrales. 


MaxweLL-LErroy, dans un rapport sur les dégâts causés par 
les criquets dans l'Hindoustan en 1903-1904 ? cite « Hterogly- 
phus furcifer Serv. » parmi les espèces nuisibles. Il l’appelle : 
«The rice grasshopper » et ajoute: «This is the familiar Pha- 
pha of the Central-Provinces, of Gujarat, Belgaum, Mysore and 


? Mem. of the Dept. of Agriculture in India, vol. I, p. 53-54, PI. VIII, fig. 4 
et PI. X, fig. 7 et 8, 1906. 


"4 


k, 


ACRIDIDES 481 


other parts of India. It occurs chiefly in rice land or other wet 
land and is very widely distributed in India ». 

Il est probable que les indigènes donnent le nom de «Pha- 
pha » à plusieurs espèces de Æieroglyphus. L'espèce figurée par 
MaxwELL LEFROoY n'est certainement pas //. furcifer, parce que 
les cerci n’ont pas la forme caractéristique pour cette espèce et 
parce que, d’après la figure, les pattes postérieures ne portent 
point de marques noires. Ces figures se rapportent donc pro- 
bablement à //. oryzivorus, dont le & se rapprocherait par la 
forme des cerci de //. vastator n. sp., tout en étant bien dis- 
ünct par la coloration. Il aurait les élytres beaucoup plus longs 
que ceux de la ©, dépassant considérablement les fémurs pos- 
térieurs; mais c’est là un caractère qui varie beaucoup chez 
certaines espèces de Hieroglyphus, même chez les individus 
du même sexe (4. daganensis p. ex. possède une forme gf à 
élytres longs et une autre forme c' à élytres très raccourcis). 

C’est précisément le fait qu'on trouve dans les Indes centra- 
les un Æieroglyphus S concordant avec 4. daganensis et ory- 
ziworus pour la coloration, mais se distinguant du premier par 
la forme des cerci, qui nous engage à considérer oryzivorus 
de l’Inde comme spécifiquement distinct de daganensis du Sé- 
négal et de lui attribuer ce Œ. 

Quoi qu'il en soit, il est certain que d’autres espèces de 
Hieroglyphus, et probablement 7. furcifer, causent des 
ravages dans les plantations. 


Hieroglyphus vastator n. sp. 


g'. Vert jaunâtre. Face sans ponctuations foncées. Pronotum 
offrant de larges stries noires un peu irrégulières le long des 
sillons ; ces stries sont interrompues au milieu du dos et réu- 
nies en haut de chaque côté du dos par une ligne longitudinale 
noire qui part du premier sillon et se prolonge, en divergeant 
un peu, sur la métazone jusqu'au bord postérieur du pronotum ; 
les deux premières stries sont réunies, elles aussi, en bas, par 
une strie longitudinale noire, la deuxième et troisième émettent 


482 J. CARL 


une saillie triangulaire vers l’avant, au milieu des lobes laté- 
raux. Pleures marquées de bandes obliques noires presque 
aussi larges que les intervalles et finement bordées de noir au- 
dessus des hanches. Elytres dépassant de beaucoup les fémurs 
postérieurs et même l'extrémité de l'abdomen, assez transpa- 
rents ; la nervure radiale devenant foncée vers la base. Pattes 
postérieures ayant les genoux entièrement noirs, sauf la partie 
distale des lobes géniculaires, qui est pâle; tibias postérieurs 
offrant un anneau noir près de la base et une strie noire sur la 
face inférieure ; l'extrême bord apical des tibias et les éperons 
également noirs, les épines pâles, à pointe noire. Tarses uni- 
colores, pâles. 

Lame suranale du G‘f obtuse, graduellement atténuée vers 
l'extrémité (chez daganensis, et moins distinctement chez 
tarsalis, citrinolimbatus et furcifer, elle est subitement rétré- 
cie un peu avant l'extrémité). 


Longueur du COrpS : 35m 


: du pronotum : 9,5. 
» des élytres : g7um 
» du fémur postérieur: 20", 


L g' des Indes, portant la mention: «Cet Insecte causerait 
des ravages ». 

Abstraction faite de ses particularités morphologiques (voir 
es tableaux analytiques), cette espèce se distingue à premiere 
vue de toutes les autres par le grand développement des mar- 
ques noires sur le pronotum et les pattes postérieures. 


Genre Parahieroglyphus n. gen. 


Ce genre a tout à fait l’habitus du genre Æieroglyphus. Ws’en 
distingue par les élytres très courts, les ailes abortives, seule- 
ment de moitié aussi longues que les élytres chez la © et en- 
core beaucoup plus courtes chez le G‘ et par la conformation de 
l'extrémité de l'abdomen dans les deux sexes. Chez la ©, la 
lame sous-génitale présente à l'extrémité deux ineisions qui la 


è 
“ 
mr 


Di 0°. ‘ft Aie DS 


ACRIDIDES 483 


divisent en un lobe médian sémielliptique et deux lobes laté- 
raux digitiformes un peu plus courts (fig. 5). Chez le œ, l’ab- 
domen (fig. ") s'épaissit graduellement depuis le milieu vers 
l'arrière; les cerci sont volumineux, dirigés vers le haut et 


divisés en trois parties. Le c'est beaucoup plus petit que la @. 


Parahieroglyphus bilineatus n. sp. 
Fig. 3-5. 

d,®.Jaunâtre (peut-être vert à l’état frais), avec les marques 
foncées suivantes : un trait oblique surles joues au-dessous des 
yeux, tantôt très distinct et noir, tantôt à peine indiqué; une 
ligne longitudinale noire de chaque côté, entre le dos et les lo- 
bes latéraux du pronotum, n’atteignant pas son bord antérieur, 
mais se prolongeant en arrière sur la nervure radiale des ély- 
tres ; une marque noire en forme de L sur les lobes latéraux du 
pronotum, descendant le long du deuxième sillon et brisée vers 
avant ; un trait oblique noir sur les mésopleures et les méta- 
pleures ; les fovéoles et un étroit bord latéral sur le mésoster- 
num, noirs ; sur les tibias antérieurs et moyens, en dessus, une 
petite tache basale noire et, séparée d’elle, un trait brun plus ou 
moins distinct le long du bord supérieur externe; sur les fé- 
murs postérieurs, le bord apical supérieur finement brun, une 
petite tache noire à la base de chaque arc géniculaire et une 
autre, plus petite encore, sur les bords inférieurs des genoux 
à la base de chaque lobe ; sur les tibias postérieurs (probable- 
ment vert marin à l’état frais) un petit anneau basal noir, sou- 
vent décomposé ou réduit chez la ©, parfois (o‘) un trait brun 
dans la partie basale du bord supérieur externe, une strie brun- 
noir occupant toute la face inférieure du tibia dans la partie ba- 
sale, mais effacée ou réduite à une fine ligne sur Le bord ex- 
terne vers l’extrémité, toujours séparée de la marque noire à la 
base. 

Tête, vue de profil, un peu plus oblique que chez les Æiero- 
glyphus. Le fastigium du vertex court et large, convexe en 
avant, avec un sillon transversal vague à sa base. Antennes 
minces, filiformes, jaunâtres. Pronotum avec une faible carène 


484 Jet CARL 


médiane lisse, également distincte dans toute sa longueur et 
parcourue d’un sillon très fin. Toute la surface du pronotum 
ponctuée ; la ponctuation est plus dense et un peu plus fine sur 
la métazone, dont la longueur est un peu plus d’un tiers de 
celle du pronotum tout entier et dont le bord postérieur forme 
un angle très obtus et arrondi. Les sillons transversaux du 
pronotum un peu moins profonds que chez les Hieroglyphus, 
les deux antérieurs ondulés, le dernier très légèrement courbé 
vers l’avant sur le dos. 

Lobes mésosternaux contigus au milieu chez le &, subconti- 
gus chez la Q. 

Elytres lancéolés, raccourcis, ne dépassant pas le 2° seg- 
ment abdominal, mais se couvrant un peu par la partie basale 
de leur bord postérieur. 

Ailes très rudimentaires et dépassant à peine le métathorax 
chez le G, un peu plus longues, atteignant presque l'extrémité 
du 1° segment abdominal chez la © ; jaunâtres, avec une strie 
longitudinale foncée, assez large à la base; elles semblent ne 
pas pouvoir s'ouvrir et ne plus servir au vol. 

Valves génitales de la © non crochues à l'extrémité. Lame 
sous-génitale du & courte, conique, émoussée. Dernier tergite 
du SG large, à bord postérieur très légèrement concave ou droit, 
étroitement noirci. Lame suranale du & triangulaire, assez 
aiguë, à bords latéraux renflés dans la moitié basale. Cerci du 
d' (fig. 3°, c) très gros, divisés en 3 parties inégales : une partie 
externe en forme d'oreille, concave vers l’intérieur, à bords 
noircis ; une partie intermédiaire en forme d’une large spatule 
arrondie sur une tige très courte, à bords noircis; et enfin une 
partie interne beaucoup plus courte, en forme d’apophyse sty- 
loïde. 


Longueur du corps: Q 39%", g' 22m, 
» des élytres : (®) 102%: q GHncE: 


» des'ailes 2104520 tam. 
» du ‘pronotum®s © Jin EC anne 
» des fémurs postérieurs: Q 19%, c 12m, 


129,13 5, 1 larve. Indes orientales, Himalaya. 


ACRIDIDES :85 


leratodes brachypterus n. sp. 
Fig. 6. 

La © se distingue de la seule espèce de Teratodes connue 
jusqu’à présent, 7. monticollis Gray (fig. 7), par les caractères 
suivants: la crête du pronotum est moins élevée, par consé- 
quent moins arquée, denticulée depuis le premier tiers ; la méta- 
zone est un peu moins fortement prolongée en arrière; ses bords 
postérieurs ne forment pas un sinus huméral large, mais sont 
très faiblement et régulièrement sinués sur toute leur longueur. 
Elytres tres courts, ovalaires, ne dépassant pas le 3° segment 
abdominal. Carène supérieure externe des fémurs postérieurs 
dépourvue de denticules, n’offrant que de petits nodules. 

Couleur générale vert intense; les tibias postérieurs et le 
bord de la crête du pronotum sont vert jaunâtre, les bords pos- 
térieurs de la métazone, jaune pâle. La sculpture diffère à peme 
de celle de 7. monticollis, mais la taille est beaucoup plus pe- 
tite et les fémurs postérieurs sont plus longs par rapport au 
corps et aux fémurs antérieurs. 


Longueur du corps : 45%". (60"".) 
» du pronotum: 22". (37°".) 
Hauteur maximale du pronotum : 16", (26"".,) 
Longueur des fémurs antérieurs: 7%",5. (10"%.) 
» » » postérieurs: 227". (22%%.) 


Les chiffres entre parenthèses indiquent les mesures corres- 
pondantes d’une ® moyenne de 7. monticollis. 
1 ©. Madura, Indes méridionales. 


Genre Zonkinacris n. gen. 


Corps robuste. Tête, thorax, ventre, élytres et pattes cou- 
verts d’une pubescence blanche, très fine, pas très dense, 
sauf sur les tibias postérieurs, où elle est sensiblement plus 
dense. 


486 I VEABL 


Tête grande, un peu plus large et plus haute que le prono- 
tum. Yeux grands, peu obliques, elliptiques, un peu plus longs 
que la partie infraoculaire des joues; leur intervalle un peu 
plus étroit (g') ou de la même largeur que la carène frontale; 
celle-ci droite, basse, non saillante et à peine dilatée entre les 
antennes, effacée vers le labre, à bords obtus et subparallèles ; 
carènes latérales obtuses, légèrement réfléchies vers les yeux 
au-dessous des antennes. Front plus haut que large. Fastigium 
du vertex court et obtus, très incliné et passant sans limite 
nette dans la carène frontale. Antennes minces, filiformes. Dos 
du pronotum arrondi, vu de côté droit, sans trace de ca- 
rènes latérales ; carène médiane très faible, distincte sur la 
métazone seulement. Métazone plus courte que le reste du 
pronotum, à bord postérieur obtusément arrondi. Ailes et ély- 
tres raccourcis dans les deux sexes. Apophyse du prosternum 
conique, aiguë. Lobes mésosternaux plus larges que longs, et 
plus larges que leur intervalle, qui est subcarré chez la 9, 
mais plus long que large chez le G. Lobes métasternaux 
séparés. 

Pattes robustes. Fémurs postérieurs épais; leur carène su- 
périeure lisse, prolongée à l’extrémité en une petite épine; les 
lobes géniculaires arrondis. Tibias postérieurs arrondis, non 
dilatés vers l'extrémité, à épines nombreuses et régulièrement 
disposées, mais dépourvus d’épine apicale externe. 1% article 
des tarses postérieurs deux fois aussi long que le deuxième. 

Valves génitales de la © légèrement courbées à l’extrémité, 
acuminées, les supérieures denticulées sur le bord. 

Abdomen du & légèrement épaissi vers l’extrémité, dont les 
pièces sont formées et disposées comme dans le groupe amé- 
ricain des Melanopli. 

Ce genre rappelle, par son habitus général et par sa 
livrée, le groupe des Coptacrae ou les Traulia, mais s’en distin- 
gue par le pronotum plus régulièrement arrondi, la carène 
supérieure des fémurs lisse. Il se distingue des Traulia, en 
outre, par le front droit, non sinué au-dessous des antennes, 
et par le fastigium plus court et plus fortement incliné. 


ACRIDIDES 487 


Tonkinacris decoratus n. sp. 


© ,0'. Frontet partie inférieure des joues verts, ponctués. An- 
tennes ferrugineuses, brunes vers l'extrémité et jaunes à la base. 
Vertex et pronotum parcourus par trois larges bandes noires, 
séparées par des bandelettes jaunes, soit une bande médiane, 
qui commence entre les yeux, et, de chaque côté, une bande 
postoculaire aussi large que la hauteur des yeux; cette der- 
nière est bordée, en bas, d’une bande jaunâtre qui commence à 
la base des antennes, passe au-dessus des yeux et se confond 
plus ou moins sur le pronotum avec la couleur olivâtre claire 
de la moitié inférieure des lobes réfléchis. 

Pronotum offrant une ponctuation très dense et assez gros- 
sière, qui se transforme en une sorte de réticulation rugueuse 
sur le dos de la prozone; la carène médiane, distincte sur la mé- 
tazone, nulle (®) ou à peine indiquée (g) sur la prozone; les 
sillons distincts, le dernier assez profond. Bord antérieur très 
largement arrondi, suivi sur le dos d’une gouttière étroite et 
vague, prolongeant le 1° sillon des lobes réfléchis. Bord in- 
férieur de ceux-ci formant un angle obtus, leur partie anté- 
rieure légèrement sinuée, la partie postérieure droite, l'angle 
postérieur émoussé. Pleures ponctuées, poitrine lisse. 

Elytres lancéolés, à pointe arrondie, raccourcis dans les 
deux sexes, n’atteignant pas le milieu des fémurs postérieurs, 
de couleur brun noirâtre, avec une assez large bande ulnaire 
jaune et un éclaircissement jaune ou jaune-brun diffus au mi- 
lieu de la partie antéradiale ; ces différentes couleurs sont dé- 
terminées en même temps par le fond et par la nervulation. 
Ailes arrondies, légèrement enfumées. 

Pattes antérieures et moyennes vertes. Fémurs postérieurs 
ornés de 2 bandes transversales noires, presque complètes ou 
seulement indiquées par des taches dans l'aire supérieure et 
des stries sur la carène inférieure externe ; parfois il y a encore 
une tache basale supérieure ; les faces inférieures et internes 
rouge orangé Ou sanguin; genoux noirs, avec un étroit bord 
apical pâle. Tibias postérieurs vert glauque, devenant plus pâles 


488 J. CARL 


vers la base, qui est occupée par un anneau noir; la face infé- 
rieure noire dans le tiers apical; épines présentes presque jus- 
qu'à la base, au nombre de 10-12 sur chaque bord. 

Abdomen jaune-brun; les tergites devenant parfois jaune vif 
vers le bord latéral. 

Lame sous-génitale du G‘° courte, arrondie et prolongée en 
une petite pointe acuminée au milieu. Dernier tergite large- 
ment et profondément sinué, avec deux petits tubercules au 
milieu. Lame suranäle triangulaire, avec deux carènes longitu- 
dinales assez rapprochées dans la moitié basale, ensuite brus- 
quement brisées vers l'extérieur et très écartées l’une de l’au- 
tre. Cerci comprimés, recourbés vers le haut et terminés en 
pointe obtuse. 


Longueur du corps : 5° 28"", © 42mm, 


» dupronoturm Grer, O; 40 
» des élytres : g' 13m, © 18mm, 
» des fémurs postérieurs: cf 17"", © 22mm, 


13,3 ©, Than-Moi, Tonkin, Juin-Juillet (Frunsrorrer leg.) 


B. Espèces africaines et malgaches. 


Oxyrrhepes elegans Bol. 
Fig. 8. 


On ne connaissait jusqu’à présent que la © de cette espèce. 
Le GS‘ est de taille beaucoup plus petite que la Q et a les fé- 
murs antérieurs et intermédiaires distinctement épaissis. Co- 
loration comme chez la ®. Elytres dépassant un peu l'extrémité 
de l'abdomen; cependant leur longueur semble varier un peu 
chez la © ; le Muséum de Genève possède 3 © chez lesquelles 
les élytres atteignent ou dépassent même un peu l'extrémité 
de l'abdomen. 

L'extrémité abdominale (fig. 8) diffère considérablement de 
celle des autres espèces d’'Oxyrrhepes. Le dernier tergite est 
profondément échancré en arc au milieu et porte de chaque 
côté de l’échancrure un tout petit tubercule, encore plus petit 


ACRIDIDES 489 


que chez O. extensa (Walk.) (— lineatitarsis StÂL, d’après KirBY) 
(fig. 10), au lieu de la dent aiguë appuyée sur la plaque suranale 
que présente ©. procerus (fig. 9). Plaque suranale terminée en 
angle obtus, sillonnée dans toute sa longueur, les bourrelets qui 
accompagnent le sillon ne formant pas une figure en pointe de 
lance derrière le milieu, comme c’est le cas chez O. procerus 
Burm. Cerci tout autrement conformés que chez ©. procerus, 
assez larges à la base, ensuite amincis et cylindriques, puis de 
nouveau comprimés et de largeur égale jusqu’à extrémité, qui 
est arrondie ; depuis le milieu, ils sont légèrement courbés 
vers le bas: ils dépassent considérablement la lame suranale. 
Lame sous-génitale assez obtuse, ne dépassant les cerci que 
d’un tiers de sa longueur. 

Pour mieux faire ressortir les différences dans la forme des 
parties anales et génitales, nous figurons, à côté de celles de 
O. elegans, celles de ©. procerus et de O.extensa. Ces diffé- 
rences Justifieraient presque une coupe générique. 

Chez ©. procerus, la lame sous-génitale s’élève derrière l’ex- 
trémité de la plaque suranale en un tubercule conique. ©. ex- 
tensa (Walk.) est caractérisée par la plaque suranale brusque- 
ment rétrécie derrière le milieu et terminée en angle aigu, et 
par ses cerci grêles, aigus et presque droits. 

Des exemplaires provenant de Ruanda (Afrique orientale alle- 
mande, J.Carz leg.), que Bozivar a déterminés comme Paroxyr- 
rhepes karschi Bol. , ainsi que deux exemplaires du Came- 
roun portant le nom d’Oxryrrhepes karschi Bol. (étiquetés de 
la main de Borivar) sont absolument identiques aux exemplai- 
res désignés par KarscH comme ©. procerus Burm. (« Barom- 
bistation, Kamerun, ex. coll. Karscu »). De même, la séparation 
spécifique d’O. /radieri Bol. ne semble pas être justifiée. 


Mesambria ferrugata Brancs. 


Le G' seul était décrit. Notre exemplaire G° correspond bien 
à la description de BraxcsiK, sauf pour quelques détails dans 


1 Nous n'avons trouvé ces deux noms nulle part dans la littérature. 
P 


490 VEUGARL 


la coloration. Sur le pronotum, toute la partie des lobes réflé- 
chis située en dessous et en arrière de la bande oblique noire 
est testacé très clair. Chez les deux sexes, l’ourlet postérieur 
du pronotum porte de petites taches noires sur de petits tuber- 
cules ou sur des rugules longitudinales. Les élytres n’ont pas 
toute la moitié antérieure noire, mais seulement les ?/; ou 
#4 de sa longueur, tandis que la partie apicale est envahie par 
la couleur ferrugineuse de la moitié postérieure. Enfin, sur les 
fémurs postérieurs, les bandes foncées médiane et postmédiane 
du dessus s'étendent plus ou moins sur laire interne des fé- 
murs. Sur ces deux derniers points, nos exemplaires Q concor- 
dent avec le G'. Mais les lobes réfléchis du pronotum de la Q 
sont unicolores, sans la tache noire et la partie inférieure 
éclaircie de ceux du &. 


®. Longueur du corps: 32". 


» du pronotum: 6,5. 
» des élytres : 6". 
» des fémurs postérieurs : 18", 


19,2 9. Madagascar. 


Cyrtacanthacris schistocercoides Brancs. 


Une série de 23 exemplaires nous permet de constater quel- 


ques variations de couleur: la grande tache claire dans la par- 


tie inférieure des lobes latéraux du pronotum est tantôt blan- 
châtre, tantôt jaune et même jaune vif. Chez certains exem- 
plaires, le pronotum porte une étroite bande médiane jaune, 
qui se prolonge aussi sur le vertex. Les fémurs sont rarement 
unicolores, mais portent souvent des traces de 2 anneaux plus 
foncés ou, au moins en dessus, deux taches transversales fon- 
cées distinctes. 


Genre Parallaga ner. 


Tête médiocre. Yeux très grands, saillants, en ellipse large, 


obliques, beaucoup plus hauts que la partie infraoculaire des 


ACRIDIDES AO 


joues, séparés par un intervalle très étroit. Sommet du vertex 
très incliné, vu de dessus sinué en angle obtus en avant, cette 
sinuosité correspondant au relief de la carène frontale qui n’est 
pas sillonnée, mais présente d’un bord à l’autre une dépression 
large et peu profonde; les contours de la carène frontale rap- 
pellent un fer à cheval, dont les branches se rapprochent gra- 
duellement au-dessous des antennes et s’effacent sans atteindre 
la soudure clypeale ; cette carène a sa plus grande largeur entre 
les antennes. Carènes latérales distinctes, légèrement conver- 
ventes vers le haut et déviées vers les yeux au niveau des anten- 
nes. Front large et bas, très oblique lorsqu'on le voit de côté. 
Antennes minces, filiformes. Thorax nettement déprimé; prono- 
tum sans trace de carènes médiane et latérale, arrondi sur les 
côtés du dos, qui est légèrement aplati, avec les lobes réfléchis 
beaucoup plus longs que hauts, à bord inférieur presque droit, 
angle antérieur obtus, angle postérieur arrondi, bords antérieur 
et postérieur droits, obliques en sens inverse, ce dernier sans 
sinus huméral; sur le dos, le bord antérieur est légèrement 
arqué, le bord postérieur largement sinué en angle obtus ; mé- 
tazone très courte, ayant au milieu moins d’un quart de la 
longueur du pronotum. 

Tubercule du prosternum court, épais et obtus. Lobes mé- 
sosternaux courts, avec l'angle interne postérieur très peu 
accusé, séparés par un intervalle très court et à peu pres aussi 
large que chaque lobe; lobes métasternaux contigus le long 
d’une ligne de soudure assez longue. 

Elytres et ailes absents. 

Fémurs antérieurs et moyens épaissis. Fémurs postérieurs 
épais, courts, restant épais sur toute leur longueur et faible- 
ment rétrécis devant les genoux ; la carène supérieure externe 
obsolète ; la carène supérieure médiane lisse, effacée sur les 
genoux; l'aire inférieure externe normale, non dilatée; lobes 
géniculaires et angles supérieurs des genoux arrondis. Tibias 
postérieurs sans épine apicale externe. 2° article des tarses 
postérieurs beaucoup plus court que le 1°". 

Abdomen cylindrique, non épaissi à extrémité. Plaque sous- 


492 J. CARL 


anale courte, naviculaire; lame supraanale large, arrondie à 
l'extrémité, largement canaliculée au milieu dans le tiers basal. 
Cerci amincis derrière le milieu. Dernier segment abdominal 
largement sinué sur le dos, avec deux petits tubercules, entre 
lesquels l'anneau est complètement interrompu. 

Ce genre doit être proche du genre Allaga Karsch, de Zan- 
zibar, dont il se distingue par l'absence d’élytres et d’ailes et 
par les dimensions normales de l'aire inférieure externe des 
fémurs postérieurs du SG. Il en diffère peut-être aussi par la 
forme de la carène frontale, que KarscH n'a pas décrite chez 
Allaga. 

Parallaga pigra n. sp. 

d. Brun-châtain clair. Antennes foncées, avec la base jau- 
nâtre. Tête et thorax offrant une ponctuation dense et assez 
grossière, qui s’efface graduellement sur l'abdomen. 

Pronotum avec une ligne médiane anguleuse et les sillons 
noirs ; son bord antérieur accompagné tout autour d’un sillon 
large, qui est suivi du 1°’ sillon ordinaire, interrompu sur le dos. 
Tergites abdominaux ornés d’une étroite bordure postérieure 
brune et d’une bordure antérieure noirâtre, plus large et élar- 
gie sur les côtés ; ces bordures sont plus étroites et moins 
nettes sur les derniers segments. Fémurs postérieurs ne dé- 
passant pas l’abdomen, un peu plus foncés que le corps, avec 
les genoux assombris et les arcs géniculaires noirs. Tibias pos- 
térieurs armés de chaque côté de 9 épines robustes, noires, avec 
la base jaune terne. 


Longueur du corps : 27"". 
» du pronotum : 5". 
) des fémurs postérieurs: 13", 


Te Madagascar. 
Genre T'hisotcetrus Br. 


Comme Borivar!, nous considérons comme principale diffé- 
rence entre les genres Thisoicetrus et Euprepocnemis la forme 


! Acridiens d'Afrique .… Mem. Soc. ent. Belg., T. XVI, p. 125, 1908. 


ACRIDIDES 493 


des cerci, étant donné que le nombre des épines des tibias pos- 
térieurs est un caractère inconstant, différent parfois même 
suivant le sexe, de telle façon qu'en se basant sur ce caractère, 
on attribuerait le g' à Euprepocnemis et la Q à Thisoicetrus. 


Aperçu de quelques espèces et variétés. 


1. Lobes mésosternaux séparés par un intervalle 2-3 fois 
aussi long que large. Fémurs postérieurs portant sur les 
deux faces une rangée de taches en chevron. (Elytres non 
tachetés) : T. jucundus n. sp. 


1.1. Lobes mésosternaux séparés par un intervalle sub- 
carré où un peu plus long que large. Fémurs postérieurs 
presque unicolores, ou ornés de grandes taches, bandes 
ou anneaux noirs. 

2. Elytres tachetés. 

3. Taille grande. Cerci du G‘ arrondis à l'extrémité, unico- 


lores : 7. littoralis var. aethiopica n. var. 

3. 3. Taille moyenne (©) ou petite (&); cerci du o noirâtres 
dans la moitié basale, blanchâtres dans la moitié apicale, 
très larges, terminés en pointe émoussée : T. speciosus 
(Sjôst.). 

2. 2. Elytres non tachetés. Ailes bleues ou violettes vers la 
base. 


à 


. Champ anal des élytres entièrement vert; fémurs posté- 
rieurs avec de grands anneaux et des taches noires ; tibias 
postérieurs rouges dans la partie distale: 7. praestans 
n. Sp. 

4. 4. Champ anal des élytres avec une strie jaune-vert; fémurs 

postérieurs avec peu de noir sur la face externe; tibias 

postérieurs bleu-vert dans la partie distale : T. brevicornis 

n. Sp. 


Thisoicetrus littoralis (Ramb.) 
Var. aethiopica n. var. 


Comparés aux exemplaires du Bassin de la Méditerranée, 
1 og et 1 © du Sénégal frappent par leur taille plus grande. 
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 33 


49% J. CARL 


Longueur du corps: ? 50°", 6° 397". 
» des élytres: 9 38%, 28", 


La bande médiane du pronotum est très claire, d’un brun 
jaune, mais bordée de deux lignes d’un noir intense. Sur les 
fémurs postérieurs, la tache basale fait défaut, les deux bandes 
sont effacées (g‘) ou presque effacées en dessus et réduites sur 
les faces externe et interne à une tache appuyée contre la carène 
supérieure. Les élytres portent chez la © les bandes nébu- 
leuses de T. liüttoralis, tandis que chez le G elles portent 
des taches plus foncées, de forme et grandeur très variables, 
qui sont disposées d’une façon irrégulière et ne confluent pas 
pour former des bandes. 

Par les taches des élytres, le G rappelle un peu la Q de T. 
speciosus (Sjüst.). 

Malgré ces différences, nous ne croyons pas devoir séparer 
ces exemplaires spécifiquement de 7. littoralis, étant donné 
que les pièces anales et génitales du GS‘ ne présentent pas de 
différences appréciables avec cette espèce. 


15,1 9 Sénégal. 


Thisoicetrus speciosus (Sjôst.)! 
Fig. 15. 
Euprepocnemis speciosa. Ssôüsrepr, in: Arkiv für Zoologi. Bd. 8, N° 6, 
p. 23, Taf. I, Fig. 3. 1915. 

g, @. Brun marron clair. Tête à ponctuation très faible et 
éparse sur la côte frontale, un peu plus forte et plus serrée sur les 
côtés du front et dans la partie inférieure des joues chez la 9, 
plus forte et plus uniforme chez le S. Carène frontale à bords 
subparallèles, légèrement rétrécie au-dessus des antennes chez 
le G', moins distinctement chez la Q. Joues avecune bande infrao- 


* Nous publions la description complète de cette espèce, telle que nous 
l'avions rédigée avant de connaître le travail de Ssüsrenr. Dans la descrip- 
tion qu'en donne cet auteur, les dimensions des deux sexes sont interverties ; 
les ailes sont décrites comme étant plus ou moins teintées de bleu, tandis 
qu'elles sont hyalines chez nos exemplaires. 


ACRIDIDES 495 


culaire noire, qui descend jusqu'aux angles des mandibules, pré- 
cédée d’une étroite bande perpendiculaire, jaunâtre diffuse, qui 
longe le bord antérieur des yeux et s'étend jusque sur les man- 
dibules, et suivie d'une bande postoculaire de la même couleur 
qui n’atteint pas le bord inférieur des joues et qui est limitée 
de noir en haut et en arrière. Vertex avec une large bande mé- 
diane brune et, de chaque côté de celle-ci, une bande jaune plus 
étroite; ces 3 bandes s'arrêtent à l'angle supérieur des veux. 
Yeux unicolores, bruns, non rayés. 

Antennes du & plus longues que la tête et le pronotum pris 
ensemble, comprimées et légèrement dilatées, brun-rouge, à 
la base et vers l’extrémité brun foncé; celles de la Q un peu 
plus courtes, nettement filiformes et plus claires. 

Pronotum avec la bande médiane brune très large, à bords 
subparallèles ou très légèrement arqués, séparée des carènes 
latérales par une strie vert jaunâtre, très étroite en avant, mais 
sensiblement élargie sur la métazone. Carènes latérales bien 
prononcées sur la pro- et la mésozone, mais effacées vers le 
bord postérieur de la métazone. Les lobes latéraux grossière- 
ment ponctués et rugueux dans la pro- et la mésozone, mais 
présentant une sculpture plus fine et plus serrée dans la mé- 
tazone, le disque faiblement rugueux dans les parties vertes, 
mais lisse dans la bande brune. 

Elyires atteignant à peine ou dépassant légèrement l’extré- 
mité de l'abdomen, mais n’atteignant pas l'extrémité des fémurs 
postérieurs ; verts, Le champ anal unicolore, le reste parsemé de 
nombreuses petites taches brun-noir, subcarrées ou arrondies, 
irrégulièrement disposées dans la moitié basale, mais formant 
souvent des séries ou même des bandes transversales dans la 
moitié distale de l’élytre ; l'extrémité de celui-ci toujours en- 
tiérement occupée par une tache foncée, plus grande, mais un 
peu plus claire que toutes les autres. Ailes hyalines, avec lex- 
trémité des champs enfumée. 

Lobes mésosternaux séparés par un espace presque aussi 
large que long (©), ou même un peu plus large que long. Tu- 
bercule prosternal très obtus, faiblement incliné en arrière. 


496 JMCARE 


Fémurs postérieurs brun clair en dessus et à l'extérieur, 
jaunâtre en dessous et à l’intérieur. La face externe avec une 
strie foncée dans la partie médiane le long de la carène supero- 
externe et un autre tronçon de strie ou une petite tache vers 
l’angle des deux carènes; ces deux mêmes stries sur la face 
interne, où elles se dilatent en forme de taches. Les tibias pos- 
térieurs portent dans la moitié basale un anneau jaune entre 
deux anneaux noirs, souvent effacés en dessus; la moitié dis- 
tale est verte ou olivatre sur les faces interne, externe et supé- 
rieure, mais composée d’une partie proximale jaune pâle et 
d'une partie distale noirâtre sur la face inférieure; épines 
blanchâtres, à pointe noire, au nombre de 12 sur la carène ex- 
terne et de 10-12 sur la carène interne. Les tergites abdomi- 
naux 4-9 du avec une petite tache noire, oblique, sur les côtés. 

Cerci du c' (fig. 13) courts et larges, leur bord supérieur en 
arc assez régulier, le bord inférieur beaucoup plus faiblement 
courbé et formant avec le bord supérieur un angle aigu 
émoussé; la moitié basale des cerci est brune, la moitié distale 
blanc terne. Lame sous-génitale sans tubercules ; lame supra- 
anale subtriangulaire, légèrement sinuée de chaque côté avant 


l'extrémité, qui est émoussée. 


Longueur du corps: & 28%", © 37-4100, 
» des élytres : G' 16", © 24-297". 
) des fémurs postérieurs : G' 18"", Q 24-28", 


6 9,3 of. Colonie du Cap. 


Thisoicetrus jucundus n. Sp. 
Fig. 15. 
? Cyrtacanthacris pictipes. Warxer, Catalogue of Dermaptera TIT, 
… p. 575,576. 1870. 
S', Q. Brun verdâtre. Tête presque unicolore, olivâtre, sans 
bandes: perpendiculaires sur les côtés ; la bande médiane brune 


du vertex assez étroite, de sorte que les bandes jaune-brun, peu 
apparentes, qui l’accompagnent, s'étendent vers l’avant jusqu’au 


ACRIDIDES 497 


fastigium. Front à ponctuation plutôt faible et éparse. Yeux le 
plus souvent rayés de brun. Antennes des deux sexes filifor- 
mes et cylindriques, à peine aussi longues que la tête et le 
pronotum pris ensemble, jaunâtres dans leur partie basale et 
devenant brun ou brun-pourpre dans la partie distale. Prono- 
tum avec une bande médiane brun foncé large, à bords 
presque parallèles et, de chaque côté de celle-ci, une bande 
vert brunâtre très étroite en avant et dilatée vers lPextérieur 
sur la métazone, où les carènes latérales, obtuses déjà sur la 
pro- et la mésozone, s’effacent complètement. Lobes réfléchis 
olivâtres ou bruns, souvent avec des indications de taches 
claires dans la pro- et la mésozone, la métazone passant sou- 
vent au vert vers le haut ou entièrement verte; la pro- et la 
mésozone présentent d'assez grandes aires lisses ; la métazone 
par contre présente une ponctuation régulière et très dense. 

Tubercule du prosternum jaune clair, assez long, incliné en 
arrière et atteignant presque le bord antérieur du mésoster- 
num, légèrement étranglé à la base. 

Elytres dépassant l'extrémité de l'abdomen et des fémurs 
postérieurs, légèrement brunis à la base, mais subhyalins de- 
puis le premier tiers, avec deux étroites bandes peu appa- 
rentes, jaunes par la nervulation , dont l'une derrière la veine 
ulnaire postérieure et l’autre, moins distincte encore, devant 
la radiale antérieure; du reste, la nervulation est brun foncé. 
Ailes hyalines, non enfumées vers l'extrémité. Lobes du méso- 
sternum aussi longs que larges, à bords internes convexes; leur 
intervalle très étroit, 2!/: fois aussi long que large. 

Pattes antérieures et moyennes, ainsi que les fémurs posté- 
rieurs, olivâtres sur les côtés supérieur et externe, vert-jaune 
sur les côtés inférieur et interne. Les fémurs postérieurs por- 
tent sur les faces interne et externe une série médiane de 
taches noires en chevrons, au nombre de 10-12; cette série 
commence à une certaine distance de la base, et se perd vers 
l'angle apical; les lunules géniculaires sont noires, réunies 
en-dessous par une bande noire; lobes géniculaires jaune vif. 
Tibias postérieurs jaunes dans leur partie basale, avec deux an- 


498 JNCART 


neaux foncés diffus, souvent en partie effacés, et l’étranglement, 
derrière le condyle, noir; la partie distale est rouge sanguin ; 
les épines, 10 sur le côté interne et 10 ou 11 sur le côté externe, 
sont d’un blanc jaunâtre avec la pointe noire. Tarses postérieurs 
rouge sanguin. Cerci du G'(fig. 15) beaucoup plus longs que la 
lame supraanale, incurvés derrière celle-ci et légèrement re- 
courbés vers le bas; leurs bords supérieur et inférieur presque 
parallèles, Pextrémité acuminée. Lame supraanale obtuse. 


Longueur du corps: Q 48", c 382, 


» WU DrON OPUS 20 POP UGUNANES 
» desélytres: 9:937e8 29m, 
») des fémurs postérieurs : (®) PNR e; J2mm 


2; o', & 9. Cap de Bonne Espérance. 

Cette espèce occupe dans le genre Thisoicetrus une position 
un peu isolée en raison de la longueur des lobes mésosternaux 
et de la forme très étroite de leur intervalle, ainsi que par son 
tubercule prosternal et par la coloration de ses fémurs posté- 
rieurs. Au point de vue de la coloration, elie concorde bien 
avec la description que donne Waiker de Cyrtacanthacris 
pictipes, du sud de l'Afrique, espèce que Kirpy (Syn. Cat. of 
Orthoptera, vol. II, p. 561. — 1910) place dans le genre Eupre- 
pocnemis. Mais les dimensions différant beaucoup de celles 
données par WaIkER, nous nous voyons obligé de décrire 
notre espèce comme nouvelle. 


Thisoicetrus brevicornis n. Sp. 


Fig. 14. 


g,®.Brun. Tête avec une bande infraoculaire noire, précédée 
d’une bande verticale claire entre les yeux et les antennes, et 
une petite bande noire postoculaire. Front à ponctuations très 
éparses et petites chez la ©, plus fortes et plus nombreuses 
chez le G'. Antennes courtes, distinctement plus courtes que 
la tête et le pronotum pris ensemble, noires, filiformes chez la 
? , légèrementcomprimées chez le &. Une bande médiane brun- 


sb «. Arme. 


6 CHE 


ACRIDIDES L99 


rouge foncé, bordée de noir, s'étend depuis le fastigium du 
vertex jusqu’au bord postérieur du pronotum; de chaque côté 
d'elle il y a une bande vert-jaune, dont la largeur atteint à peine 
la moitié de celle de la bande médiane. Lobes réfléchis du pro- 
notum bruns, l’ourlet du bord postérieur alternativement brun 
et jaunâtre. Tout le pronotum est grossièrement ponctué et ru- 
gueux; la sculpture est un peu plus fine et plus serrée dans la mé- 
tazone. Bord postérieur du disque du pronotum légèrement con- 
vexe, tronqué ou très faiblement émarginé au milieu; carènes 
latérales bien prononcées ; tubercule du prosternum très obtus, 
incliné en arrière. Pleures, poitrine et abdomen bruns, unico- 
lores. Lobes du mésosternum à peine plus larges que longs, 
leur intervalle un peu plus long que large. Elytres bruns, semi- 
transparents, avec la nervulation brun-rouge et les nervures 
principales brun-noir, sauf la nervure anale, qui se trouve au 
milieu d’une étroite bande longitudinale vert jaune, formant le 
prolongement des bandes latérales du disque du pronotum. Le 
champ discoïdal présente parfois des traces de taches brun foncé. 
Les élytres atteignent l'extrémité des fémurs postérieurs ou 
la dépassent légèrement ; les fémurs eux-mêmes dépassent 
à peine l’extrémité de l’abdomen chez la Q@, mais sont relative- 
ment un peu plus longs chez le c. Ailes subhyalines, bleu- 
âtres, enfumées dans toute la partie antérieure et vers l'extré- 
mité des champs axillaires. Fémurs brun-gris; l’aire interne porte 
une grande tache noire au milieu et une autre tache noire, plus 
petite, dans l’angle des deux carènes ; l'aire externe est plus 
ou moins fortement obscurcie le long de la carène supérieure ; 
les lunules géniculaires sont noires; chez le o', les genoux 
sont entièrement noirs et précédés d’un anneau jaunâtre ou 
orangé. Tibias postérieurs vert-bleu ; en-dessous, près de la 
base, il y a des traces d’une bande pâle, un peu plus distinct 
chez le ‘que chez la Q ; épines jaune-brun, avec la base plus 
foncée et la pointe noire, au nombre de 9-10 sur le côté externe 
et de 10-11 sur le côté interne. Tarses postérieurs de la même 
couleur que les tibias. Cerci du (fig. 14) avec la moitié api- 
cale recourbée obliquement vers le bas, et formant avec la 


500 J:ICARL 


moitié proximale un angle assez prononcé; la partie distale est 
plus large que la partie basale et arrondie à l'extrémité. Lame 
supraanale du G' plus courte que les cerci, avec l'extrémité ar- 
rondie et formant au milieu une petite pointe obtuse. Segment 
anal avec une petite dent de chaque côté de l’échancrure mé- 
diane. Lame sous-génitale très obtuse. 


Longueur du corps : GRASSE CA RE 
» des élytres: (®) por ay qymm 
» des fémurs postérieurs: (®) ADR q dam 


? 9,2 of. Madagascar. 

Cette espèce est remarquable par la couleur peu apparente 
des pattes postérieures et la grande différence de taille entre 
les deux sexes. 


T'hisoicetrus praestans n. Sp. 
Fig. 16. 

æ,.®.Vertolivâtre. Tête avec les bandes infraoculaires noires 
assez larges et occupant aussi la partie basale des mandibules ; 
les bandes noires postoculaires peu distinctes; bandes mé- 
dianes du vertex effacées sur le fastigium. Antennes plus lon- 
œues que la tête et le pronotum pris ensemble, noires, avec les 
derniers articles jaunâtres en dessus. Front avec une ponctua- 
tion assez forte, mais pas très serrée. Pronotum grossièrement 
ponctué et rugueux; lobes réfléchis et pleures unicolores, vert- 
olive ou brunâtres ; bande médiane du disque brun-noir, légè- 
rement dilatée dans la mésozone, à peine plus large que cha- 
cune des deux bandes vertes qui l’accompagnent. Tubercule du 
prosternum droit, légèrement acuminé. Lobes mésosternaux 
distinctement plus larges que longs; leur intervalle subcarré. 
Elytires dépassant l'extrémité des fémurs, avec le champ anal 
vert, le reste uniformément bruni, subopaque, avec la nervula- 
tion brune et les nervures principales noirâtres. Ailes subtrans- 
parentes, bleues, avec Les bords antérieur, externe et toute la 
partie apicale antérieure et axillaire assez fortement enfumés, 
surtout chez le G. Abdomen olivâtre clair; les tergites du & 


dl 
CONTI El 


ACRIDIDES 501 


noirs sur le dos et dans la moitié antérieure des flancs. Fémurs 
postérieurs jaunes, avec les genoux entièrement noirs, un an- 
neau postmédian noir, fermé en dessous, et un anneau médian 
noir un peu oblique, ouvert en dessous et prolongé dans l'aire 
externe sous forme d'une large bande jusqu’à la base du fémur; 
dans les aires internes et supero-interne, il y a une tache sub- 
basale noire, non reliée avec l'anneau. Tibias postérieurs dans 
la partie basale avec un anneau jaune entre deux anneaux noirs, 
dans la moitié apicale rouge vif; les épines, au nombre de 10- 
11 de chaque côté, sont de la couleur de la partie corres- 
pondante du tibia, mais elles ont toutes l’extrémité noire. 
Tarses postérieurs avec les 1°" et 2"° articles rouge sanguin, 
le 3° article vert ou brun, plus ou moins fortement noirci vers 
l’extrémité. Lame suranale graduellement acuminée en pointe 
émoussée, très légèrement sinuée avant l'extrémité. Cerci lé- 
sgerement dilatés et faiblement recourbés vers le bas, après le 
milieu, arrondis à lextrémité (fig. 16). 


Longueur du corps: $ 52°", g' 35%". 


» dessélytres : 0: 45%, 5 29", 
Ù des fémurs postérieurs : ® 30"", G 20"". 


1 G', 1 9. Antongil, Madagascar. 

Par son aspect général et par la couleur des pattes, cette 
espèce rappelle beaucoup le genre Æoraeocerus Sauss., mais 
s’en distingue déjà par les antennes qui sont presque filiformes, 
non fortement dilatées au milieu et comprimées comme chez 
Horaeocerus SG. En outre, la partie apicale des tibias postérieurs 
est rouge vif, et non verte, et la tache basale de l’aire externe 
des fémurs postérieurs est reliée avec le premier anneau noir 
pour former une bande, alors qu’elle en est séparée chez Ho- 
raeocerus, où, en outre, l'anneau postmédian est ouvert en des- 
sous ; le champ anal des élytres est entièrement vert, tandis 
qu'ilne porte qu’une étroite bande verte chez Horaeocerus ; 
enfin, les ailes sont bleuâtres chez T. praestans, mais hyalines 
et moins fortement enfumées vers lextrémité chez A. nigri- 
cornis. Ces différences de coloration servent surtout à distin- 


502 PINCARL 


guer les ® © des deux espèces, vu que dans ce sexe les carac- 
tères génériques, fournis par la forme des antennes, sont 
moins prononcés. 

_ Une autre espèce voisine, de Madagascar, Thisoicetrus no- 
bilis (Brancs.), se distingue déjà de la nôtre par l’absence de 
la bande médiane brune sur le pronotum et la présence d’un 
seul anneau foncé sur les fémurs postérieurs. 


C. Espèces américaines. 


Aeolacris caternaultit (Feisth.) 


Xiphicera caternaulti. Freisraamez, Mag. de Zool. Sér. 1. VIT. PI. 
184. — 1837. 

Xiphicera octomaculata. Scunner, Proc. Boston Soc. Nat. Hist., 
p. 337. — 1869. 

Aeolacris octomaculata. Scupper, ibid., p. 269 (nota) — 1875. 

» » Giczio-Tos, Boll. Mus. Torino, vol. XIII, 

n° 311, p. 51. — 1898. 

Aeolacris caternaultii. Picrer et Saussure, Cat. d'Acridiens, Mitt. 
schweiz. ent. Ges., Bd. VII, p. 340. — 1887. 

Aeolacris caternaulti ex p. L. Bruxner, Biol. Centrali-Americana. 
Orthoptera, vol. Il, p. 224. — 1907. 

Aeolacris caternaultit ex p. Kirsy, À syn. Cat. of Orthoptera, vol. 
III, p. 367. — 1910. 

Aeolacris bella. Reux, Proc. Ü. S. Nat. Mus., vol. XXX VI, p. 114- 
117, fig. 3-5. — 1909. 


Un exemplaire ç', provenant de Cayenne, correspond très 
bien à la description et à la bonne figure que donne FEISTHAMEL 
de Xiphicera caternaultii, avec la seule différence que la bande 
marginale foncée des ailes s'étend un peu moins loin vers le 
bord interne et que les deux taches jaunes sur les lobes laté- 
raux du pronotum sont très peu apparentes. 

Il résulte déjà de la description et de la figure originale que 
caternaultit appartient au genre Aeolacris Scudd., distinct de 


cp 


ACRIDIDES 503 


Elaeochlora par l'absence de crête médiane sur le pronotum, 
dans les deux sexes, et par la dilatation lamellaire des épines 
basales internes des tibias postérieurs. Scupner (1875), Picrer 
et SAUSSURE (1887) ont déjà attribué l’espèce de FEISTHAMEL au 
genre Aeolacris. Mais ces deux derniers auteurs ont fait erreur 
en considérant Xiphicera octolunata Serv. comme synonyme 
de Aeolacris caternaultii (Feisth.). L'espèce de SERvVILLE est, 
comme l’a fait remarquer GiGrio-Tos (Bull. Mus. Torino, vol. 
XII, n° 301, p. 3. 1897), une Ælaeochlora. Mais Gicrzio-Tos, 
induit en erreur par la synonymie indiquée par SAUSSURE et 
Picrer, et appliquant la loi de la priorité, l’a désignée comme 
Elaeochlora caternaultit. L. BRüuNNER et KiRBY par contre em- 
ploient le nom juste de Aeolacris caternaultii, mais commet- 
tent la même faute que leurs précurseurs en considérant X5- 
phicera octolunata Serv. comme synonyme de 4e. caternaultii 
(Feisth.). En résumé, l'espèce de SERvILLE doit porter le nom: 
Elaeochlora octolunata (Serv.) et l'espèce de FEISTHAMEL le 
nom : Aeolacris caternaultit (Feisth.). 

Reste à savoir si l'espèce de Scupper, À. octomaculata, est 
synonyme de À. caternaultit, comme le suppose Kirgy. Jus- 
qu'à présent, je doutais de cette synonymie pour des raisons 
géographiques; mais après avoir pu constater qu’un c prove- 
nant de l’'Equateur et déterminé par GiGrio-Tos comme Aeola- 
cris octomaculata Scudd. est absolument identique à notre 
exemplaire de Cayenne et à la description et figure données par 
FEISTHAMEL, je me vois obligé de réunir ces deux espèces. 

Récemment, REHN a décrit sous le nom de À. bella une 
espèce du Brésil qui serait très voisine de À. octomaculata Seud. 
et ne s’en distinguerait que par des caractères de valeur dou- 
teuse. Cette espèce est certainement synonyme de À, caternaultii 
(Feisth.), bien que Rex aflirme qu'il n’y ait pas de rapports 
étroits entre ces deux espèces («no close relationship exists with 
Aeolacris caternaultit Feisth.»). Il faut croire que Rex n'a pas 
consulté la diagnose et la figure originale de cette dernière 
espèce et a été, lui aussi, induit en erreur par d’autres auteurs. 
Le fait qu'il compare son espèce présumée nouvelle avec À. 


504 NCA 


octomaculata et ne trouve que des différences insignifiantes 
vient encore confirmer l’idée que les trois noms caternaultit 
Feisth., octomaculata Scudd. et bella Rehn se rapportent à la 
même espèce, dont l’habitat s'étend par conséquent sur une 
très grande partie de l'Amérique du Sud tropicale. 


Munatia biolleyi n. sp. 
Fra ut. 


œ. Coloration. Antennes violet foncé; front et joues 
jaune terne, avec une faible macule violette au-dessous des 
antennes, sur la côte faciale; une large bande violette com- 
mence derrière les antennes et se continue derrière les yeux. En 
dessus, la tête présente une bande médiane jaune, mais le pro- 
cessus du vertex est finement bordé de violet. Les bandes de 
la tète se continuent sur le pronotum, qui présente donc éga- 
lement une étroite bande médiane jaune, occupant la crète; 
de chaque côté de celle-ci, il y a une large bande violette, régu- 
lière vers le haut, mais descendant en saillie triangulaire jus- 
qu'au milieu des lobes latéraux, qui sont jaunes, parfois divisés 
en deux aires jaunes par un prolongement diffus de la bande 
violette allant le long du 2° sillon transversal jusqu’au bord 
inférieur des lobes latéraux. Mésopleures violettes, métapleures 
jaunes dans leur partie antérieure, violettes dans leur partie 
postérieure. Poitrine et ventre jaune brunâtre. Elytres olivâtre 
foncé, avec le champ anal jaune vif, cette couleur se prolon- 
geant sous forme d’un bord étroit jusque près de l'extrémité 
de l’élytre. Ailes jaune pâle, un peu verdâtres, avec une large 
bande marginale brun foncé, qui s’atténue vers l'arrière et ne 
s'étend pas sur le bord interne de l'aile. Cette bordure est assez 
nettement délimitée vers l’intérieur; elle est traversée par une 
fine strie claire le long de la veine anale; les veinules trans- 
versales dans la bande sont un peu plus foncées que la bande 
elle-même. 

Pattes gris jaunâtre ; les genoux des pattes postérieures sont 
étroitement bordés de jaune ; les tibias postérieurs passent au 


sh ‘ 


ACHIDIDES 505 


violet en dessus, leurs épines internes sont jaunes, avec la 
point noire sur le côté externe, mais noires sur toute leur face 
interne. 

Sculpture. Tête très faiblement ponctuée; la crête fron- 
tale indiquée sur l’écusson facial par 2 carènes obtuses un peu 
écartées au milieu. Le pronotum et les pleures ponctués - ru- 
gueux ; la ponctuation est plus grossière sur les pleures et sur la 
métazone que sur la pro- et la mésozone du pronotum. Poitrine 
et abdomen également ponctués, la première plus fortement 
que le dernier. La face, les joues, le pronotum et les fémurs 
portent des granulations piligères noires, qui sont le plus 
nombreuses et le plus distinctes sur la tète et sur les fémurs 
postérieurs. 

Formes. La carène médiane du pronotum est élevée en 
une crête assez régulière, finement crénelée, très faiblement 
échancrée par les deux premiers sillons transversaux et accom- 
pagnée de chaque côté d’une impression large, très nette, 
derrière le 3° sillon transversal. Elytres à bord antérieur régu- 
lièrement courbé dans toute sa longueur. Ailes 2 !/; fois aussi 
longues que larges. 


Œ. Longueur du corps: 45"", (Q 75). 
» du pronotum : 12,5. (Q 20). 
» des élytres: 46°". (Q 60). 
» des ailes: 41%, (© 56). 
Largeur maximum des ailes: 18". (© 24). 
Longueur des fémurs postérieurs: 29%%, (9 35). 


Nous rapportons à cette espèce une ® qui se rapproche du 
par la sculpture, la forme des élytres et le développement de la 
carène médiane du pronotum, mais s’en distingue de la façon 
suivante: La taille est beaucoup plus grande, le corps et les 
élytres sont couleur de feuilles mortes, sans bandes jaunes; la 
bande marginale des ailes est plus diffuse etentièrement effacée 
vers l'avant. La crête du pronotum est légèrement arquée, plus 
distinctement crénelée et accompagnée de chaque côté, aussi 
sur les sillons transversaux antérieurs, d’une petite impression. 


506 FLCARE 


2 œ. Costarica (Carillo, « herbes, au soleil »), P. Brozzey leg. 
1 ©. Costarica. 


La seule espèce de ce genre signalée jusqu’à ce jour en Amé- 
rique centrale, Wf. punctata Stàl, est trop brièvement décrite 
pour fournir une base de comparaison, en ce qui concerne les 
formes et la sculpture. Par la couleur, elle semble différer 
considérablement de MW. biolleyi, notamment par la présence 
de 4 taches noirâtres sur les côtés du thorax du c'. Ces taches 
font cependant défaut chez le G' non adulte que REHN a déter- 
miné comme M. punctata Stäal. Il se pourrait que cet exem- 
plaire représente un jeune de M. biolleyi ou d’une espèce 
voisine. 

De même, M. australis L. Br. ', du Paraguay, porte une livrée 
plus modeste que M. biolleyt et est en outre beaucoup plus 
petite que celle-ci. 


Munatia decorata n. sp. 
Fig. 12. 


œ. Bien distincte de l'espèce précédente par les caractères sui- 
vants : La bande violette derrière les yeux peu prononcée, pas- 
sant insensiblement au jaune-vert des joues ; la bande médiane 
jaune du pronotum un peu plus large; les lobes latéraux vio- 
lets, avec deux taches jaune soufre, rondes, un peu calleuses, 


dont l’une placée dans la prozone à demi-hauteur du lobe, 


l'autre plus grande, un peu plus bas dans la méso- et la méta- 
zone. Les méso- et métapleures portent chacune une tache 
jaune. Les élytres sont vert jaunâtre dans le champ marginal 
et anal, violettes dans le champ discoïdal. Le disque des ailes 
est jaune soufre, sans nuance verdâtre, mais légèrement rosé 
sur les deux côté de la veine anale; la bande marginale est 
brun clair et se perd lentement vers l’intérieur; elle devient 
brun-noir dans le champ huméral de l'aile. L’abdomen porte 
parfois une bande latérale jaune pâle. Pattes vertes; Les tibias 


! Proc. U. S. Nat. Mus. vol: XXX, p. 644. 1906. 


9 
$ 


ACRIDIDES 507 


postérieurs vert-jaune en dessous, olivâtres ou violets en 
dessus. 

Face et joues fortement ponctuées, la face plus fortement 
arrondie, sans traces de la crête frontale. Les granules noires 
sur la tête, le thorax et les fémurs postérieurs font défaut. 

La carène médiane du pronotum est distincte, mais non pas 
élevée en une crête comme chez M. biolleyi; il n’y a point 
d'impression à côté d’elle sur le dernier sion transversal. Le 
bord antérieur des élytres est presque droit dans son tiers 
apical, les élytres par conséquent plus étroits dans cette partie 
et plus aigus à l'extrémité que chez M. biolleyi. Les ailes sont 
plus largement arrondies et plus étroites, trois fois aussi longues 
que larges, avec le champ huméral plus aigu à l’extrémité et 
dépassant davantage le champ axillaire, qui de son côté est plus 
nettement détaché du champ postaxillaire sur le bord. 


gd. Longueur du corps : 45", 


» du pronotum : 13". 
» des élytres: 50", 
» dés'ailes: 1402 


Largeur maximum des ailes: 42m, 
Longueur des fémurs postérieurs : 17", 


2 Πof. Costarica (Carrillo 600 m., Cariblanco 600 m., ver- 
sant Atlantique). P. Biozzex leg. 

Deux larves G de la même provenance présentent la même 
coloration du corps que les G adultes. 


Diponthus invidus n. sp. 


d,®.Brun jaunâtre. Front et partie inférieure des joues bruns, 
densément et assez grossièrement ponctués-rugueux ; la partie 
postoculaire et le vertex à ponctuations plus fines et plus éparses, 
la première vert cuivré; le vertex peu incliné, occupé par une 
bande médiane ferrugineuse. Antennes noires, avec les deux 
articles basaux bruns. Pronotum, méso- et métapleures densé- 
ment ponctués-rugueux, avec un assez fort reflet de graisse. 


508 IS CARIE 


Disque du pronotum, vu de côté, un peu renflé dans la prozone, 
mais plus bas et tout à fait plat dans la métazone, où il forme, 
avec les lobes réfléchis, un angle droit et assez fortement 
accusé; le bord antérieur est légèrement échancré en arc au 
milieu, le bord postérieur forme un angle obtus et émoussé; 1l 
n'y a pas trace de carène médiane ; le disque offre une bande 
médiane régulière, testacée, entre deux bandes noires, assez 
apparentes sur la métazone, qui est testacée, mais se confon- 
dant extérieurement sur la prozone avec la couleur brun foncé 
ou noirâtre des parties latérales de cette zone; le bord anté- 
rieur de la prozone est jaune vif depuis l'angle antérieur jus- 
qu'à la rencontre des bandes noires près de l’échancrure mé- 
diane ; il n’y a pas de bandes obliques sur les lobes réfléchis. 
Méso- et métapleures unicolores, brun profond chez la Q, noi- 
râtres chez le Œ. Poitrine et abdomen brun-châtain, ce dernier 
avec une strie médiane dorsale plus claire. Tubercule du pro- 
sternum comprimé, obtus, droit, non recourbé vers l’arrière. 
Mésosternum et métasternum assez fortement et grossièrement 
ponctués ; les lobes mésosternaux séparés par un intervalle un 
peu plus large qu'eux chez la ®, mais un peu plus étroit chez 
le . Elytres atteignant à peine l’extrémité des fémurs posté- 
rieurs chez les deux sexes, dépassant un peu l’extrémité de 
l'abdomen chez le SG, mais ne l’atteignant pas chez la Q ; ils ont 
leur plus grande largeur au premier tiers et sont symétrique- 
ment arrondis à l’extrémité; opaques, jaunâtres en lumière 
transmise et brun enfumé en lumière réfléchie, avec les ner- 
vures et nervules noirâtres, sauf les radiales antérieure et 
moyenne d’une part et l’ulnaire postérieure et l’anal et les ner- 
vules entre elles d'autre part; celles-ci sont jaunes et détermi- 
nent ainsi deux stries jaunes sur l’élytre. Ailes translucides et 
un peu jaunâtres dans la partie antérieure, subhyalines dans la 
partie postérieure. Pattes antérieures et moyennes brun clair. 
Fémurs postérieurs avec les faces supérieure, inférieure et ex- 
terne couleur café au lait, cette dernière lavée de brun, avec 
la ligne médiane zigzaguée noirâtre ; face interne bleu-noir 
jusque près du genou ; lobes géniculaires internes noirs. Tibias 


= 
FAITES 
TPFEALE 


ACRIDIDES 509 


postérieurs d’un rouge vineux, passant au brun sur la face ex- 
terne ; épines jaunes ou brunes, avec la pointe noire. Tarses 
bruns. G‘: Cerci grêles, styliformes, aigus, pointus à l'extré- 
mité. Plaque suranale avec les côtés arrondis, mais lextré- 
mité prolongée au milieu en petite pointe obtuse; sa surface 
offre près de l’extrémité une petite carène noire formant un 
angle ouvert vers la base ; le segment anal qui la précède porte 
de chaque côté de l’échancrure médiane une dent spiniforme 
noire. 

La différence de taille entre les deux sexes est plus considé- 
rable que chez les autres espèces, sauf D. dispar et D. permistus. 


Longueur du corps: 6 30"", Q 48%". 
» du pronotum: 0 677,5, 0: 102,5. 
» des’élytres::c" 220%, © 28m", 
» des fémurs postérieurs: G' 16"", © 23", 


2 © co‘. Brésil; 2 © Q Theresopolis (Sta. Catharina), Brésil 
méridional ; 1 ® Uruguay. 

Cette espèce se distingue de presque tous ses congénères 
par sa livrée très peu bariolée et par la coupe des élytres, qui 
se rétrécissent graduellement depuis le 1° tiers et sont régu- 
lièrement arrondis à l’extrémité, tandis que chez les autres 
espèces Le bord antérieur est plus fortement courbé vers l’ex- 
trémité. Elle est, en outre, bien caractérisée par la sculpture 
dense et plutôt grossière du thorax et par la forme du prono- 
tum, qui rappelle un peu celui de D. puelchus Pict. et Sss. mais a 
le disque de la métazone encore plus plat, plus fortement pro- 
longé vers l'arrière, distinctement plus long que la prozone et 
formant avec les parties latérales un angle plus prononcé. Par 
la coloration des ailes et des élytres, elle rappelle un peu D. 
electus Serv., espèce suffisamment distincte par la forme et les 
autres particularités de la coloration. Enfin, elle doit avoir une 
certaine ressemblance superficielle avec D. crassus L. Br., du 
Paraguay (Ent. News, vol. XXI, p. 303-304. 1910), espèce dé- 
crite avec très peu de détails sur les formes, mais sans doute 
spécifiquement distincte de la nôtre en raison de sa taille plus 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916 HS 1 


510 J. CARL 


petite, de l’absence de stries jaunes sur les élytres, dont la ner- 
vulation est testacée sur un fond très foncé, de la correspon- 
dance de couleur entre les faces interne et externe des 
fémurs, etc. 


Arnilia saussurei n. sp. 


Corps vert; une bande pâle s’étend depuis l’extrémité infé- 
rieure des yeux à travers les joues, le long du bord inférieur 
des lobes latéraux du pronotum et sur les pleures, jusqu'aux 
hanches postérieures ; cette bande est plus ou moins distincte 
suivant les individus et surtout apparente lorsqu'elle est accom- 
pagnée vers le haut d’une zone vert foncé. Antennes foncées, 
les deux articles basaux jaune-vert; les tarses postérieurs 
rouge rose ou rouge sanguin. Ailes hyalines, légèrement bleu- 
âtres vers la base et au bord antérieur. Le disque du prono- 
tum teinté de violet. Abdomen vert, avec une bande dorsale 
diffuse bleu-vert, renfermant sur chaque segment deux petits 
traits jaunes. Antennes filiformes chez les deux sexes, chez le 
o' aussi longues, chez la @ un peu plus courtes que la tête et 
le pronotum pris ensemble. Fastigium du vertex un peu plus 
long que large à la base et muni d’un petit sillon médian chez 
le c', un peu plus court, plus obtus et moins distinctement sil- 
lonné chez la ©. 

Tête lisse, thorax et pleures avec une ponctuation dense et 
assez forte, mais la prozone et la mésozone des lobes latéraux 
sont lisses par place; une ligne lisse indique, sur la métazone, la 
carène médiane du pronotum, qui est presque entièrement effa- 
cée sur la prozone et la mésozone. Pronotum légèrement selli- 
forme. Tubercule du prosternum cylindrique, épais, très obtus 
et presque droit. Tibias postérieurs avec 7 ou 8 épines sur le 
côté externe. Fémurs postérieurs atteignant à peine l'extrémité 
de l'abdomen dans les deux sexes. Elytres dépassant l’extré- 
mité des fémurs postérieurs avec un peu plus d’un quart de leur 
longueur. 

Plaque sous-génitale du G‘ un peu plus longue que large, 
enfoncée le long de la ligne médiane, avec les angles obtus, non 


ACRIDIDES 511 


prolongés en forme de dents ou d'épines; elle est surmontée 
par un appendice impair, en forme de tête d’Oiseau lorsqu'on 
le voit de côté, étroit et lancéolé lorsqu'il est vu de dessous. 


Plaque suranale et cerci comme chez À. vttreipennis Marsch. 


Longueur du corps : o' 23,5, Q 28", 
nc'Alsriroa. $ 95 
» des € y tres oo" 210m © ,25mm;, 


» des fémurs postérieurs: ‘12,5, © 15mn- 


og c', 8 ®. Cayenne. 

Cette espèce appartient au groupe de A. vitreipennis Marsch., 
marschalli L. Br. et minor L. Br.', mais s’en distingue par la 
lame sous-génitale du &', qui est plus courte et dont les angles 
postérieurs ne sont pas prolongés en dents. 

2  o' provenant de Cuba (Gunpracx leg.) représentent pro- 
bablement une variété géographique de cette espèce. Ils s’en 
distinguent par les sillons transversaux du pronotum moins 
profonds et moins distincts sur le dos, par les angles de la pla- 
que sous-génitale un peu saillants, en forme de tubercules 
obtus, mais non de dents aiguës comme chez vitreipennis et 
minor, et par une légère différence dans la forme de l'appen- 
dice de la lame sous-génitale. 

Le genre Arnilia n'avait pas encore été signalé aux Antilles. 


Henia frenata Marschall. 


Un of de Bânos, dans l’Equateur, correspond à la descrip- 
tion donnée par MARscHALL et complétée par, Gi@rio-Tos, sauf 
pour certains caractères de coloration: l’occiput ne porte au- 
cune tache ou bande noirâtre; les genoux des fémurs posté- 
rieurs sont noirs et précédés d’un anneau jaune terne peu appa- 
rent; les tibias postérieurs sont bleu verdâtre vif et deviennent 
vert-marin pâle vers la base; leur extrémité n'est pas assom- 
brie. Sur les ailes, le bord antérieur est distinctement bleu et 
les nervures principales sont bleues dans leur partie basale. 


1 Comp. Brunxer L., Biologia Centrali-americana, Orthoptera, vol. 2, 
p. 255. 1908. 


512 J. CARL 


Dellia multicolor n. sp. 


®.Espece voisine de Dellia insulana Stäl, mais bien distincte 
de celle-ci par la coloration et par quelques caractères mor- 
phologiques. 

Tête, pronotum et pleures verts, avec des bandes jaunes plus 
étroites que les parties vertes qui les séparent, notamment de 
chaque côté une bande jaune commençant derrière la partie 
supérieure des yeux et s'étendant jusqu'au bord postérieur du 
pronotum ; une autre bande jaune commençant au-dessous des 
yeux, passant par la partie inférieure des lobes latéraux du 
pronotum et se prolongeant sur les méso- et métapleures, plus 
ou moins découpée par les sillons verts du pronotum et par 
les soudures obliques des pleures. Antennes rouge-sanguin, 
passant au rouge pourpre dans la moitié apicale, avec les deux 
derniers articles blanchâtres et les deux premiers articles verts. 
Métanotum et tergites abdominaux brun clair, avec une strie 
médiane et de chaque côté une strie subdorsale noirûtre ; les 
flancs, au-dessous de cette dernière, sont rouge-sanguin sauf le 
bord postérieur de chaque segment qui est noir. Ventre égale- 
ment rouge. Fémurs antérieurs et moyens rouge-sanguin ; les 
tibias verts, avec une strie noirâtre sur la face antérieure; 
tarses testacés. Fémurs postérieurs brun très clair, avec la par- 
tie interne de l’aire inférieure rouge-sanguin; genoux noirs, 
sauf la partie distale des lobes géniculaires externes et l’ex- 
trême bord postérieur des genoux en dessus, qui sont brun- 
jaune. Tibias postérieurs vert très pâle dans la partie basale, 
devenant noirs dans la partie apicale, sauf une strie entre les 
faces externes et supérieures qui reste vert pâle; épines bru- 
nâtres, avec la pointe noire ; tarses postérieurs pâles, le méta- 
tarse noirâtre en dessus. 

Elytres très courts, n'atteignant pas le bord postérieur du 
métanotum ; jaune terne avec les bords et une strie médiane 
foncés; ils sont lancéolés, avec l'extrémité arrondie. Bord pos- 
térieur du pronotum largement et faiblement sinué au milieu, 


4 


br 


ACRIDIDES 513 


mais plus distinctement que chez insulana. Valves génitales 
un peu plus courtes que chez insulana, les valves supérieures 
non droites et lisses comme chez insulana, mais légèrement 
courbées, avec leur bord supérieur distinectementcrénelé. 
Cette dernière particularité est exceptionnelle dans le genre 
Dellia, mais ne nous semble pas justifier la création d'un nou- 
veau genre ou sous-genre, vu la concordance parfaite qui existe 
dans tous les autres caractères morphologiques importants 
entre cette nouvelle espèce et le type du genre Dellia, D. in- 


suland. 


©. Longueur du corps: 22mm, 


» du pronotum: 4"m,5, 
» des élytres : 27m, 
» des fémurs postérieurs : 13", 


2 @Q ©. Cuba (H. pe SaAussURE leg:.). 


Adimantus cubiceps (Gerst.) 


Cette espèce n'avait pas été retrouvée depuis que GERSTÂCKER 
(1873) l’a décrite du Brésil. Kirgy, dans son catalogue, l’attribue 
au genre Adimantus Stl. Elle concorde en effet avec ce genre 
en ce qui concerne l’habitus général, la configuration si carac- 
téristique de la tête, les sillons du pronotum, la poitrine, l’ex- 
trémité abdominale des deux sexes, les pattes, etc. Mais elle se 
distingue des deux autres espèces, À. ornatissimus Burm. et 
A. oitticeps Blanch. par le fait que la métazone du pronotum 
n’est pas surélevée, mais se trouve presque sur le même plan 
que la prozone. Bien que ce caractère serve de guide dans le 
tableau dichotomique des genres donné par GiGzio-Tos (1898), 
nous ne croyons pas devoir le considérer comme essentiel, 
étant donné que le genre Adimantus possède tout un ensemble 
d’autres caractères, qui permettent de le distinguer des autres 
genres du groupe des A/euae. 

Nos quatre exemplaires concordent assez bien avec la dia- 
gnose originale du &', sauf pour la taille, qui est plus grande. 


514 TIRCART 


Longueur du corps: 35%, Ç 40-45mm, 


» du pronotum: g'6mu, © 8mm, 
» des élytres 79" 302,0 400, 
» des fémurs postérieurs : ct 19m, © 24mm, 


GersrTÂckeR indique pour l’envergure des élytres 52m; 
chez nos ‘elle est de 65m, 

Les ailes sont légèrement teintées de bleu vers la base. Les 
genoux postérieurs ne sont pas entièrement noirs, comme le 
dit GERSTÂcKER, mais portent seulement en dessous une petite 
tache basale noire ; les deux barres noires de la face interne se 
trouvent l’une au milieu, l’autre aux */: de la longueur des 
fémurs. Les articles des antennes sont étroitement bordés de 
jaune à l'extrémité. La lame sous-génitale du G‘ n’est pas trian- 
gulaire-aiguë, comme la décrite GERSTÂCKER, mais courte, 
scaphoïde, avec le bord supérieur très obtusément pointu au 
milieu. 


1 g. 2 ©. Rio-Grande do Sul, Brésil. 1 S. Montevideo. 


Adimantus vitticeps (Blanch.) 


Cette espèce, à moins qu'elle ne soit synonyme de À. orna- 
tissimus (Burm.), n’était connue jusqu’à présent que du Brésil 
occidental et du Paraguay. Outre un c‘ de provenance incon- 
nue, nous possédons une Q provenant de Ce ce qui 
prouve combien vaste est l'habitat de certaines espèces d’ Qi 
thoptères dans le continent sud-amérieain. 


Dichroplus fraternus n. sp. 


Pre17> 


®. Très semblable à D. amoenus Stäi pour la taille, l’habitus 
général, les élytres, la forme et la coloration du pronotum et 
la présence de huit épines externes aux tibias postérieurs, maïs 
différent par les caractères suivants : 


ACRIDIDES 2515 


Le front et les joues sont brun très foncé, mouchetés ou mar- 
brés de brun plus clair, les joues parfois brun-roux. Les ély- 
tres sont moins arrondis que chez amoenus et un peu plus longs, 
atteignant presque l'extrémité du troisième segment abdominal ; 
ils sont presque unicolores, brun testacé, ou un peu plus foncés 
dans la partie antéradiale, mais n’offrent pas la strie radiale 
claire, distincte chez D. amoenus. Les pattes antérieures et 
intermédiaires sont olivâtre foncé. Les fémurs postérieurs sont 
brun-roux, avec les genoux brun foncé et les deux bandes noï- 
râtres, interrompues en dessous seulement ; sur la face externe, 
les deux bandes sont anguleuses vers l’avant et la bande anté- 
rieure se prolonge obliquement vers la base de telle façon 
qu'elle renferme une petite tache ovalaire claire près de la ca- 
rène inférieure externe; la base porte en dessus une petite 
tache diffuse foncée. Les tibias postérieurs sont vert olivacé, 
avec le condyle basal noir, suivi d’une étroite zone subbasale 


pâle. 


Longueur du corps: 26m, 


» du pronotum: 5m, 
» des'élytres:-82n, 
» des fémurs postérieurs : 15m, , 


4 Q Minas Geraes; (FRUHSTORFER leg.). 

Cette espèce rappelle aussi, par son aspect général, D. vitta- 
tus L. Br. (Sec. Rep. of the Merchants’ Locust Invest. Comm. 
p. 72, 78, fig. 43. 1900); mais elle s’en distingue par les élytres 
un peu plus courts, sans strie radiale claire, par extension plus 
grande des marques foncées sur les fémurs postérieurs et par 
la présence de huit épines externes (au lieu de neuf) sur les 
tibias postérieurs. 


516 J. CARL 


INDEX. 


L: PYRGOMORPHINAE. 


Pages. 
1... Tapesia- Cuisiner En ER ENPS CAE GRENIER ER 
2. Montistrid vins 0 Sp: HTML TPE RSA CIRE 
3. Monistria profundesulcatan."Sp:2 24.0 2000 
Pseudomorphacrisn gen PSE I CORRE 
4; Pseudomorphacris notata(Br.)" 1 901,114 0000 
5., OrthatGrts inconpruens un; 8p: 2000200008 000 
6. -Verdulie'dohrnt Bols Part RON ES Te ARTE 
7... Gelotus RO BELL ET EN RE EEE UT SP TORRES 
IT. CYRTACANTHACRINAE. 
A. Espèces asiatiques et australiennes. 
8.. Quilta; mitraltmrStaliesie CU NC PSP 
Macroguiianésens5;t; Der TELE RESTES 
9. Macroquilta longipennis ny Sp" 40520410 ER 
40. OLya MERrULan. pee 0 8 DS 0 RP ANSE TORRES 
11. Tauchira mirabulisn Sp "27710 0 PRE | 
12. Tauchira' samanga n: 8pi LL OP TANT MENRREE ; 
13.' Taucliratidua 1 8par 4 Re UNE TON ANR F 
14. Racilia erisut nn 6p:; 50 RP MINE CHOISIE de 
Hieroglifhus Rise TOP TER 0 | SD NU IE 
15: Hieroglyphus tonkinensis n./8p.1: 1, 24,744 00808 
16. Hteroglyphus oryzivorus n8p0, 17,7... 2 
17. Hieroglyphus Vastaionen: spi. 7e ONE | 
Parahieroglyphusn: gen CUS En, 2 LITE A ES | 
18. Parahieroglyphus\bilineatus:n. sp... 406 SOMSSE ; 
192 Teratodes braclyprerusin- ep het 2700 ICRA 
lonkinacris 0 Gen rire re TEE ME . . 485 


20. Tonkinacris decoratus n. APE D a RE TOUTES 487 


[SA 


30. 
SL: 
32. 
57 À 
34. 
35. 
36. 
37. 
38. 
39. 


D D ND D D 
=] D 


ACRIDIDES 


B. Espèces africaines et malgaches. 


Oxyrrhepes elegans Bol. 

Mesambria ferrugata Brancs.. sr 
Cyrtacanthacris schistocercoides Brancs. . 
Parallaga n. gen. 

Parallaga pigra n. sp. 

Thysoicetrus Br. 


Thysoicetrus littoralis RnB: var. aethiopican. 


Thysoicetrus speciosus (Sjüst.) 
Thysoicetrus jucundus n. sp. 
Thysoicetrus brevicornis n. sp. 
Thysoicetrus praestans n. sp. 


C. Espèces américaines. 


Aeolacris caternaulti (Feisth.). 
Munatia biolleyt n. sp. 
Munatia decorata n. sp. 
Diponthus invidus n. sp. 
Arnilia saussuret n. sp. 
Henia frenata Marschall 
Dellia multicolor n. sp. 
Adimantus cubiceps (Gerst.) 
Adimantus vitticeps (Blanch. 
Dichroplus fraternus n. sp. 


ar. 


Pages. 
488 
489 
490 
490 
492 
492 
493 
494 
496 
498 
500 


502 
504 
506 
507 
510 
511 
512 
513 
514 


14 


c = cerci; d. s.v. — dernier segment ventral ; L. sa. — lame suranale; 

l. g. et [. sg. — lame sous-génitale; y. g. — valves génitales. 

Fig. 1. — Macroquilta longipennis n. sp. ©. Tête et thorax, vus de 
côté. 

Fi. 2. — Macroquilta longipennis n. sp. Q. Tête et thorax, vus d’en 
haut. 

F6. 3. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. Gf. 1, 5 X 1. 

Fc. 3°. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. cf. Extrémité de l’ab- 
domen, face postérieure. 

Fic. 4. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. @.1,5 X 1. 

Fic. 5. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. ®. Extrémité de l’ab- 
domen, vue de dessous. 

Fi. 6. — Teratodes brachypterus n. sp. ©. Partie antérieure du 
corps. Lx 1. 

Fic. 7. — Teratodes monticollis Gray © . Partie antérieure du corps. 
LEA. 

Fi. 8. — Oxyrrhepes elegans Bol. G‘. Extrémité de l'abdomen. 

Fic. 9. — Oxyrrhepes procerus (Burm.) Extrémité de l’abdomen. 

Fig. 10. — Oxyrrhepes extensa ( Walk.) Extrémité de l'abdomen. 

FiG. 11. — Munatia biolleyi n. sp. Elytre et aile droits. 

Fic. 12. — Munatia decorata n. sp. Elytre et aile droits. 

Fi. 13. — Thisoicetrus speciosus (Sjôst). Œ. Cercus. 

Fic. 14. — Thisoicetrus brevicornis n. sp. cf. Cercus. 

Fi. 15. — Thisoicetrus jucundus n. sp. cf. Cercus. 

Fic. 16. — Thisoicetrus praestans n. sp. c‘. Cercus. 

Fiç. 17. — Dichroplus fraternus n. sp. Q. Fémur postérieur, face 


J. CARL 


EXPLICATION DE LA PLANCHE 2 


Abréviations. 


externe. 2 X 1. 


CT TE PA TS 


Rev. Suisse de Zoo. T. 24 1916. 


TC Acrdides nouveaux. 


REVUELSURSSEUD'EWZO'OLOGIME 
Vol e22- n°027" inner t9To 


Sur l'Orientation chez les Fourmis. 


PAR 


V. CORNETZ 


A propos des lignes que me consacre M. le D'° Brux dans 
cette Revue, il y a une chose qui me paraît d'importance au 
point de vue objectif. Il s’agit de la vieille expérience de Boxer, 
c’est-à-dire du balayage d’une piste de Fourmis, expérience que 
j'ai perfectionnée en la faisant de nuit, sur plusieurs mètres, 
avec lavage en grand du sol et couverture de ce sol au moyen 
d’un plancher, puis que j'ai relatée dans cette Revue. De cette 
vieille expérience, Gaston Bonxier avait déjà dit qu'elle lui 
paraissait concluante en faveur d’un sens particulier. M. le 
D' Brux admet à ce propos « ce sens très fin des déviations ». 
Ceci est ma propre expression et je suis heureux de faire cette 
constatation. En effet, le but principal des polémiques que j'ai 
soutenues, à propos du retour de la Fourmi au gîte, était de faire 
accepter aux myrmécologues qu’il y avait dans ce retour, dans 
bien des cas, quelque chose de tout autre qu'une reconnais- 
sance visuelle, tactile ou olfactive, du milieu extérieur, quelque 
chose d’interne. Du moment que l’on admet la possibilité de ce 
sens très fin des déviations, c’est donc qu'il faut appliquer aux 
Fourmis les idées de P. Boxnier sur le « sens des attitudes » et 
celles d’Exxer sur « le sentiment et la mémoire des positions 
et des différences de position dans l’espace du plan médian du 
corps ». Cette idée d’Exxer, dont l'expression est un peu 
longue, ne m'a été connue que récemment par un travail de 


Revue suisse de zoologie, vol. 24 (1916), p. 381, lignes 21 et suivantes. 


Rev. Suisse DE Zoo. L. 24. 1916. 35 


520 V. CORNETZ 


Szyuaxski!. Elle correspond, de par ses termes, à l’idée émise 
dans mon tout premier mémoire sur les Fourmis et que j'expri- 
mais sous la forme «sens des angles décrits » ou « sens de 
l’angulation ». Je crois me rappeler que M. le D' Brux ne cite 
pas ExNER dans son livre. 

Cette petite polémique a donc eu un résultat pratique, me 
parait-il, car Popinion de M. le D' BruN nrest très précieuse, 
en ce qui touche la myrmécologie et la biologie. Quant à 
la philosophie, je ne répondrai rien à ce sujet, le rationa- 
lisme kantien me paraissant, à moi et à bien d’autres, depuis 
longtemps suranné, dans sa plus grande partie. 

Je dois dire, cependant, que, dans un autre ordre de faits, j'ai 
conservé intacte mon opinion touchant une faculté qu'aurait 
d’après moi la Fourmi en plus du sens très fin des déviations. 
Je veux parler de tous les cas de conservation d’une direction 
après un très long temps écoulé, cas que j'ai exposé jadis dans 
cette Revue. Je crois toujours fort possible que la Fourmi puisse 
avoir « la mémoire d’une direction isolée dans l’espace » et je le 
crois encore plus depuis que j'ai lu M. le D' Brux sur ce sujet, 
parce que je comprends mieux, après cette lecture, le désaccord 
irréductible entre nous à ce propos. En effet, M. le D'Brux étant 
kantien, l’espace est pour lui une forme a priori de notre enten- 
dement (Kanr). Pour moi, qui n’ai jamais accepté le dogme 
kantien, l’espace est une notion a posteriori, notion subjective 
découlant de nos sensations humaines. C’est pourquoi je ne 
vois aucune difficulté à supposer que l’espace peut être quelque 
chose de tout autre pour la Fourmi que-pour l’homme. Homo- 
gène pour l'esprit humain, l’espace peut fort bien être hétéro- 


gène pour la Fourmi. 


T Szymansxr. Versuche über den Richtungssinn beim Menschen. Arch. f. ges. 
Physiol., Bonn, 1913. — Voir aussi: V. Corxerz. Le cas élémentaire du sens 
de la direction chez l'homme. Bull. Soc. Géographie d'Alger, 1913. 


np 


RE VUE" SUISSE DE*ZOOLOGIE 
Vol 24 /n0,8 "Juillet 1916: 


Viguierella coeca Maupas. 


Ein Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der Crustaceen 


(unter Benützung eines Manuskriptes von E. Maupas) 
VON 


P.-A. CHAPPUIS. 


(Aus der Zoologischen Anstalt der Universität Basel). 


Hiezu Tafel 3 u. 4. 


GESCHICATLICHES 


Im Jahre 1891 erschien in den Comptes rendus de l'Académie 
des sciences eine kleine Notiz von Maupas (19) über einen in Al- 
gier aufgefundenen Harpacticiden, den er Belisarius viguterti 
nannte. Im folgenden Jahre verôffentlichte Mrazek (20) einen 
Beitrag zur Kenntnis der Harpacticiden des Süsswassers, in 
welchem er ein dem Belisarius ähnliches Tier als Phyllogna- 
thopus paludosus beschrieb. In einem Nachtrag nimmt er Stel- 
lung zu Maupas’Belisarius und sagt : «obgleich die Beschrei- 
bung ziemlich kurz gehalten ist und jeder Abbildung enthehrt, 
erkannte ich doch sogleich in dem Belisarius viguieri Maupas 
meinen Phyllognathopus.» 

Seitdem wurden diese zwei Beschreibungen nicht mehr ver- 
glichen, und es ist daher erklärlich, dass während zehn Jahren 
der Irrtum — denn als solchen muss ich die von MRrAZEK vorge- 
nommene Identifizierung ansehen — bestehen blieb. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916, 36 


D22 P.-A. CHAPPUIS 


Da der Name Belisarius schon von einem andern Autor einem 
blinden Skorpione verliehen worden war, taufte Maupas den 
von ihm gefundenen Krebs um, und bemerkt dazu in den Arch. 
d. Zool. exp.:(3) T°77/;p: 566 (Fussnote): 

« Lorsque je fis connaître (Comptes rendus de l’Académie des 
sciences, 11 juillet 1891) cet intéressant et nouveau Copépode 
d’eau douce, je l'avais baptisé du nom de Belisarius vigutert. 
Mais j'appris presque immédiatement que M. E. Simon avait 
déja employé le nom de Belisarius comme terme générique pour 
un Scorpion aveugle. Afin de remédier à ce double emploi, je 
changeai sur les tirages à part de ma note Belisarius viguteri 
en Viguierella coeca, dénomination sous laquelle ce Copépode 
est cité à plusieurs reprises par M. PERRIER dans son grand 
traité de zoologie. Très peu de temps après moi, MRAZEK, qui 
avait rencontré la même espèce en Bohême, la publiait (Zool. 
Jahrb. Abt.f. Syst., Bd. VIII, p.97) sous le nom de Phyllogna- 
thopus paludosus. Sa synonymie ainsi bien établie, c'est sous 
le nom de Viguterella coeca qu'elle devra dorénavant être citée. » 

Wenn ich in meinen früheren Verôffentlichungen (23) den- 
noch den Namen Phyllognathopus anwandte, so geschah dies, 
weil KESSLER unter der gleichen Bezeichnung einige Monate 
früher vom Excretionsorgan, das ich in diesen Schriften zu 
erklären versuchte, gesprochen hatte. 

1595 erwähnt HarrwiG (14 und 15) den Cruster aus der Mark 


Brandenburg, in einer seiner Faunenlisten, zum ersten Male 


8; 
unter dem Namen Phyllognathopus viguiert. Er konstatierte 
ebenfalls als erster einen Unterschied in der Furcalbewehrung 
zwischen seinen Exemplaren und den Abbildungen MrAzer’s. 
SCOURFIELD (23) fand den Krebs in England und gibt ein gutes 
Habitusbild des Tieres, das er unter dem Namen Belisarius 
vigutert citiert. KessLer (17) erbeutete Vigutierella in einem 
Schulaquarium in Dresden. 

Im Sommer 1913 fand auch ich diesen seltenen Copepoden in 
einem Pumpbrunnen der Umgebung Basels in Gesellschaft von 
Bathynella natans (3). Ich bestimmte ihn als Phyllognathopus 
viguieri; doch fielen mir sofort die später genannten Unter- 


: 
; 


VIGUIERELLA COECA 523 


schiede zwischen meiner Form und den Abbildungen MRazEK’s 
auf. Ich beobachtete den pulsativen Apparat in der Maxillen- 
drüse, den MrAzEek nicht sah und als eine, durch Muskelkon- 
traktionen hervorgerufene Täuschung erklärte. Um meiner Be- 
stimmung vôüllig sicher zu sein, bat ich Herrn Maupas mir eine 
ZLeichnung oder ein Exemplar von Viguterella zur Verlügung zu 
stellen. Da der franzôsische Forscher durch Krankheit verhin- 
dert war, die angefangenen Arbeiten selbst zu vollenden, über- 
gab er mir in hochherzigster Weise das gesamte Dossier über 
diesen Kruster. Ich stellte die Indentität meiner Tiere mit den- 
jenigen Maupas fest, konnte an Hand des reichlichen Materials, 
das sich in meinen Zuchtgläsern vorfand, die Beobachtungen 
Maupas kontrollieren und vervollständigen und fand seine Auf- 
zeichnungen in allen Punkten bestätigt. 

Ich môchte an dieser Stelle Herrn Maupas meinen herzlichsten 
Dank für sein Zutrauen aussprechen und hoffe, das von ihm mir 
überlassene Material voll ausgenützt zu haben. 

Gleichzeitig sei es mir gestattet, Herrn Prof. D'F. ZscHokkE 
und Herrn D'R. MExzEL für das rege Interesse, das sie meiner 
Arbeit stets entgegenbrachten, sowie für manchen Rat bestens 
zu danken. 

Im Laufe meiner Untersuchungen gewann ich die Ueberzeu- 
œung, dass Viguierella coeca Maupas und Phyllognathopus palu- 
dosus Mrazek nicht identisch seien, sondern zwei verschiedene 
Formen darstellen, die ich im folgenden nüher beschreiben 
werde. 


Viguierella coeca Maupas. 


(Taf. 3, Fig. 1, 2.) 


Das Weibchen misst im ausgewachsenen Zustande, die Fur- 
calborsten nicht eingerechnet, zwischen 570 und 600 y; das 
Männchen, welches etwas kleiner ist, 530—560 u. Der Kôürper 
ist walzenfürmig, schwach in dorsoventraler Richtung zusam- 
mengepresst, und zeigt im Allgemeinen die Eigentümlichkeiten 
des Harpacticiden-Habitus. Er bestehtaus zehn Segmenten beim 
Weibchen und, dem entsprechend, 11 beim Männchen. Bei 


524 P.=A. CHAPPUIS 


Viguierella ist das Kopfsegment nicht mit dem ersten Thora- 
calring, der das erste Beinpaar trägt, zusammengewachsen ; die 
Thoracalsegmente werden hierdurch um eines vermehrt, was 
diese Gattung von Canthocamptus, Epactophanes u.s.w. unter- 
scheidet. Das erste Segment oder Kopfsegment geht nach vorn 
in ein ziemlich breites, nach der ventralen Seite zu gebogenes 
Rostrum über, das in eine Spitze ausgezogen ist und zwei 
Sinneshaare trägt. 

Die erste weibliche Antenne (Fig.9) ist achtgliedrig und reicht, 
zurückgebogen, etwa bis zum ersten Toracalsegment. Sie wird 
gewôhnhch horizontal getragen und besitzt am vierten Segment 
einen Sinneskolben, der bis zur Hälfte des siebenten Gliedes 
reicht. 

Die erste Antenne des G'(Fig. 10) ist ebenfalls achtgliedrig und 
prähensil. : 

Sie dient bei der Kopulation zum Festhalten des @ an den 
Furkalborsten. Im ganzen Aufbau gleicht diese Antenne der 
der Canthocamptiden. 

Die zweite Antenne (Fig. 11) besteht aus vier Segmenten mit 
einem eingliedrigen Aussenast, der dem zweiten Segmente 
entspringt und fünf Borsten trägt. 

Die Mandibel (Fig. 12) trägtan ihrer Kaufläche einige kleinere 
Zähne und besitzt einen zweiästigen Palpus, dessen Aeste ein- 
oliedrig sind. 

Die Maxillen sind kräftig gebaut ; ihre Form ersieht man am 
besten aus den Figuren 13 und 14. 

Der Maxillarfuss (Fig. 15) bildet eine breite Platte mit reicher 
Beborstung. Die zweite Maxille und der Maxilliped sind auf 
gleicher Hôühe inseriert. 

Die Schwimmfüsse. Die vier ersten Schwimmfusspaare 
sind bei beiden Geschlechtern gleich und bestehen beim ersten 
bis dritten Paare aus einem dreigliedrigen Exopoditen und einem 
schwächer beborsteten dreigliedrigen Endopoditen. Das vierte 
Fusspaar hingegen hat einen zweigliedrigen Endo- und einen 
dreigliedrigen Exopoditen. Der fünfte Fuss desQ (Fig. 16) besteht 
aus zwei durch.eine tiefe Spalte getrennten Teilen. Der innere 


VIGUIERELLA COECA 525 


Teilträgt, wie bei den meisten G'Canthocamptiden, zwei dickere 
Borsten, während der äussere deren vier von geringerer Länge 
zahlt. Ein Aussenranddorn ist vorhanden. Beim 5. Beinpaar 
des S'(Fig. 17) ist das Basalglied verkümmert und besteht nur 
aus einer Dornenreihe und einem darüber sich befindlichen 
dreieckigen Fortsatz. Das Endglied ist länglich, mit sechs 
Borsten. 

Die Abdominalsegmente sind, das letzte ausgenommen, 
alle ungefähr gleich lang, und tragen, mit Ausnahme der ersten, 
in ihrem vordern Viertel einen Borstenkranz. Das zweite weib- 
liche und das zweite und dritte männliche Segment besitzen 
ausserdem an ihrem hintern Rande eine ununterbrochene Reihe 
feinster Härchen. Die sonstige Beborstung des Hinterleibes 
von Viguterella coeca scheint ziemlich variabel zu sein. 

Die weibliche Furka (Fig. 26) ist von der des Männchens ver- 
schieden. Die plumpen quadratischen Furcaläste tragen die bei 
den Harpacticiden übliche Anzahl von Borsten. Eine Abweichung 
besteht in einer ungleichmässigen Entwicklung der Apical- 
borsten. Es sind nämlich statt der zweiten und dritten, die 
zweite und vierte vom Innenrand aus gezählt grüsser wie die 
zwei andern, die nur noch als zwei kleine Härchen vorhanden 
sind. Beim Weibchen sind die zwei gut entwickelten Borsten 
halb so lang und doppelt so breit wie die des Männchens. Sie 
bilden eine Lamelle, die an ihrem äusseren Rand gefiedert ist. 
Die männlichen Borsten sind schlank, die grôssere ist fünf mal 
so lang wie die kürzere. 

Der weibliche Geschlechtsapparat (Fig. 19) besteht 
aus zwei Ovarien, die nahe beieinander in der Näühe des Ge- 
hirnes, auf der dorsalen Seite des ersten Toracalsegmentes 
liegen. Von da aus führen zwei schlauchartige Oviducte zuerst 
rostral bis zum ersten Drittel des Kopfsegmentes, um dann, 
nach unten umbiegend, kaudal bis zum Beginn des neunten Seg- 
mentes weiterzuführen, wo der erste immer mit Eiern ange- 
füllte Teil aufhôrt. Von da aus wenden sich die Eileiter wieder 
nach vorn bis etwa ins zweite Toracalsegment, biegen dann 
wieder um und münden, sich verbreiternd, am fünften Seg- 


526 P.-A. CHAPPUIS 


mente aus. Die beiden Oviducte haben wie die der andern Har- 
pacticiden getrennte Geschlechtsüffinungen (Fig. 18). Bei der 
Kopulation heftet das Männchen den Spermathophor an die cen- 
tral zwischen den zwei fünften Füssen gelegene Vulva. Von 
dieser aus führen zwei dürine Kanäle zu den zwei in der Fort- 
setzung der Oviducte gelewenen Receptacula, in denen die Sper- 
matozoen aufbewahrt werden. 

Wir kônnen am Eileiter drei verschiedene Teile unter- 
scheiden : 1. die Reifungszone, die vom Ovarium bis ins neunte 
Segment reicht, und in welchem das neugebildete Ei den zur 
Entwicklung des Embryos nôtigen Dotter erhält ; 2. den ablei- 
tenden Teil, der vom neunten Segment wieder aufwärts führt 
und nach einer Umbiegung im zweiten Kôrpersegment im 
vierten in den dritten Teil übergeht, in welchem die Eier, die 
gelegt werden sollen, befruchtet und mit einer Schicht klebrigen 
Stoffes umgeben werden. 

Entgegen der bei der Behandlung der Eiablage von Maupas 
geäusserten Ansicht, dass die zwei beiderseits in der Verlän- 
gerung der Oviducte gelegenen Schläuche den Klebstoff liefern, 
mit dem die Eier an der Unterlage des Weibchens befestigt 
werden, bin ich der Meinung, dass diese zwei Gebilde die Recep- 
tacula darstellen. Der Klebstoff der bei andern eiersäcketragen- 
den Arten den Eisack bildet, wird von dem mit grossem excreto- 
rischen Zellen ausgekleideten Endteil des Eileiters geliefert. In 
diesem Teile findetauch die Befruchtung statt. Durch ein dünnes, 
stark hyalines Rohr wird der Samen vom Receptaculum in den 
Eileiter geführt, in welchem das Ei von dem noch dünnflüssigen 
Klebstoff umgeben liegt. Bei noch unreifen Weibchen ist die 
erste Schleife des Oviductes noch nicht gebildet. Der Eileiter 
geht direkt vom Ovarium aus nach hinten zu der Geschlechts- 
üffnung. Derobere Teil zwischen dem Ovarium und dem zweiten 
Toraxsegment ist elastisch und dehnt sich nun je nach der Bil- 
dung der Eier nach hinten zu aus. Er bildet so jene erste Schleife, 
in der die Eier solange liegen bleiben, bis sie genügend Dotter 
angesammelt haben. Die Eier sind sphärisch, mit einem Durch- 


messer von ca. 50u. Es wird zu gleicher Zeit aus jeder Ge- 


VIGUIERELLA COECA 527 


schlechtsüffnung je ein Ei ausgestossen. Das Weibchen trägt 
keine Eiballen, die Eier werden einzeln abgelegt. 

Das männliche Geschlechtsorgan (Fig. 21). Der un- 
paare Hoden liegt im vorletzten Abdominalsegment. Der 
Samenleiter steigt, nachdem er eine erste Schlinge im zweiten 
und dritten Abdominalsegment beschrieben hat, bis zu Anfang 
des zweiten Thoracalsegmentes, um dann caudal umbiegend am 
ersten Abdominalsegment auszumünden. Der Spermatophor 
ist schlank, flaschenfürmig, mit einem langen Pedunculus ver- 
sehen. Er liegt am Ende des Samenleiters. Auf der gleichen 
Seite wie der Hoden befindet sich in der Hühe des Ausführungs- 
ganges eine Drüse, die allem Anscheine nach die Funktion einer 
Klebdrüse übernommen hat. Sie besteht aus einem länglichen 
keulenfürmigen Drüsenteil und einer kugligen, stark lichthre- 
chenden Sammelblase. Diese Drüse scheint der umgeänderte 
zweite Hoden zu sein, denn 1. trifft man entweder den rechten 
Hoden entwickelt und dann liegt der Drüsenapparat links, oder 
es ist umgekehrt der linke Hoden entwickelt und der drüsige 
Apparat liegt rechts ; 2. findet man hin und wieder, in seltenen 


Fällen, dass der Hoden sich ebenfalls als drüsiger Apparat ent- 


wickelt, so dass wir keine Hoden sondern zwei symetrisch 
nebeneinander liegende Drüsen haben (Fig. 20). Maupas nannte 
in seiner vorläufigen Mitteilung dieses Organ die Kopulations- 


drüse, da sie, wie wir sehen werden, bei der Begattung eine 


wichtige Rolle spielt. Die Homologie der Hoden und der Kopu- 
lationsdrüse betrachte ich alserwiesen, obwohles mirbeimeinen 
Untersuchungen nie gelang, ein anormales Männchen mit zwei 
entwickelten Hoden zu finden. 

Das Excretionsorgan von Viguierella besteht vom ersten 
Copepodit-Stadium an aus einer Maxillendrüse, während der 
Nauplius eine Antennendrüse besitzt, die aus einer doppelten 
Schlinge besteht, in dessen Zentrum das Cœlomsäckchen liegt. 
Die Zahl der excretorischen Zellen ist wegen der Kleinheit des 
Organs nicht festzustellen. In meiner Mitteilung über dieses 
Organ (2) wurde die Funktion dieses äusserst interessanten und 
von MRazek angezweifelten Organs eingehender beschrieben. 


528 P.-A. CHAPPUIS 


[ch verweise hiemit auf meine frühere Verôffentlichung, aus der 
ich folsæendes entnehme: «Die Maxillendrüse, welche das ein- 
zige Excretionsorgan abgibt, besteht aus einem vielfach gewun- 
denen Gang, der seitlich am hintern Rande des Cephalothorax 
sich befindet. Die Ausmündung selbst ist nicht schwer zu er- 
kennen, das Verbindungsstück zwischen dem excretorischen 
Teil und der Mündung aber ist so mit Muskeln überdeckt, dass 
es verschiedener Aufhellungsmittel bedurfte, bis ich den Ver- 
lauf dieses Teiles des Apparates feststellen konnte. » 

«Das Coelomsäekchen ist glockenformig. Von Rändern 
dieser Glocke zieht sich eine hyaline Membran gegen das Innere, 
wo sie an einem kugelfürmigen, hin und wieder flachen, mit 
kôrnigem Plasma angefüllten Zellkomplex sich anheftet. Diese 
Zellen sind einerseits durch einen Muskel mit dem Binde- 
gewebe verbunden, während sie anderseits mit einem elasti- 
schen Bande am Grunde des Bechers angewachsen sind. An 
das Coelomsäckchen schliesst sich dann der Nephridialgang an, 
welcher, soweit es sich beurteilen lässt, von einer strukturlosen 
Membran gebildet wird. Die Anordnung der Windungen des 
Nephridialkanals scheint auf Grund Maupas’ und meiner Beob- 
achtung konstant zu sein. 

Die Bewegungen die von MAUPAS, SCOURFIELD, KESSLER und 
mirin der Maxillendrüse beobachtet worden sind, entstehen 
nun dadurch, dass sich der Muskel im Coelomsäckchen zusam- 
menzieht und so eine Bewegung des Zellkomplexes hervorruft, 
die schon mit geringer Vergrôsserung (> 100) zu bemerken ist. 

In der Verôffentlichung im Zoologischen Anzeiger ist leider 
ein Fehler stehen geblieben. Es heisst dort: « Seltsamerweise 
mündet der ausführende Gang nicht, wie es bei allen andern 
Copepoden der Fall ist, am hintern Rande der zweiten Maxille 
aus, sondern, wie dies schon von Maupas festgestellt worden 
ist, erst ein Segment weiter hinten, am ersten Maxilliped. » 

Viguierella macht in dieser Hinsicht keine Ausnahme, und 
ich bin jetzt überzeugt, dass die Ausmündung dieser Drüse 
sich an der gleichen Stelle befindet wie bei den andern Cope- 
poden. 


VIGUIERELLA COECA 529 


Das Blutgefäss- und Nervensystem bieten nichts besonderes. 


Sie sind wie bei andern Harpacticiden gebaut. 


Viguterella paludosa (Mrazek).! 


Das von Mrazek in Bühmen gefundene Tier, Phyllognathopus 
paludosus, welches von ihm sofort als mit Viguterella identisch 
erklärt wurde, unterscheidet sich in folgenden Punkten von 


Viguierella coeca 


Viguierella coeca Phyllognathopus paludosus 

Länge ohne Furkalborsten 570-6002 650u 
IT. Antenne  viergliedrig dreigliedrig 
Mandibelkaulade: verjüngt sich eine breite Platte 
Furka © : die zwei entwickelten Bor- gleich lang 

sten halb so lang wie beim Männchen 
Analplatte ohne Dornen mit 7-11 Dornen 
Excretionsorgan mit pulsatil. Apparat ohne Apparat 


Wir haben es also hier mit einem Tier zu tun, das sich von 
Viguierella erheblich unterscheidet. Ich schlage daher vor, diese 
zwei Formen als zwei verschiedene Arten der Gattung Viguie- 
rella aufzufassen. 


BIOLOGIE 


Als blinder Kruster ist Viguierella meiner Ansicht nach 
ein Hôhlentier, das, wenn auch hin und wieder in Moospolstern 
auftretend, nur zufällig an diese Orte gelangt. Die unterirdi- 
schen Gewässertreten an manchen Stellen an die Erdoberfläche, 
wo sich dann mehr oder weniger ausgedehnte Moospolster 
bilden. In diesen künnen sich Tiere wie Viguierella, die an 
wenig Feuchtigkeit gebunden sind und sich durch hervor- 
ragende Fruchtbarkeitauszeichnen, ansiedeln und fortpflanzen. 
Die andern moosbewohnenden Harpacticiden, wie Æpacto- 


! So muss in Zukunft, wie aus der Notiz Maupas’ hervorgeht, die Mrazek’sche 
Art genannt werden. 


- 


530 P.-A. CHAPPUIS 


phanes sind, obwohl noch nicht subterran nachgewiesen, wahr- 
scheinlich auch Hôhlenkruster, oder haben ihre Augen durch 
beständiges Bewohnen des lichtarmen Untergrundes der Moos- 
polster eingebüsst. 

Maupas, der erste, der Viguterella fand, berichtet in seinen 
Notizen folgendes über den Ort, an dem er diesen Kruster ent- 
deckte: «Vers la fin de novembre 1891 je trouvai deux femelles 
adultes de ce petit Crustacé sur une de mes cultures de Dero 
furcata. Elles se nourrissaient de jaune d’œuf et des défécations 
du Naïdien. D'où venaient-elles ? je l’ignore. Je les isolai sur 
une préparation à part avec couvre objet supporté par de gros 
poils. En leur donnant de temps en temps un peu de jaune 
d'œuf ou des déjections de Dero, elles vécurent en très bonne 
santé et pondirent de nombreux œufs. 

Retrouvé en mars 1901 au Jardin d’Essai d'Alger. J'avais 
gratté, à la surface de la coupe pourrie d’une tige de Bananier 
tronquée à ras de terre, des débris plus ou moins décomposés 
de cette tige, en vue d’y rechercher des Nematodes. J'ai été très 
surpris d’y rencontrer d'assez nombreux exemplaires de Viguie- 
rella de tout âge, nauplius, metanauplius et adultes. Ils vivaient 
dans cette matière végétale en décomposition, très humide et 
presque liquide. » 

MRAzEKk fand seinen Phyllognathopus in feuchtem Moos, das 
«in Alt Bunzlau in Bühmen auf einer Sumpfwiese unweit der 
Elbe gesammelt worden war». Er bemerkt noch: «die Tiere 
wurden zwischen Hypnum gefunden, und es ist fast unglaublich 
wie wenig Wasser sie zu ihrem Gedeihen bedürfen; denn sie 
erhielten sich am Leben in Moos, das mehrere Tage hindurch 
fast trocken dastand ». 

HarrwiG fand seinen Phyllognathopus in Material das am 
5. Mai 1890 am Ufer des Scharmützelsees bei Buckow gesam- 
melt worden war. 

SCOURFIELD bemerkt zu seinem Funde : 

«This /Belisarius) has only been obtained in this country from 
the Royal Botanic Gardens, Regen’s Parc, London and Kew 
Gardens, where I find it almost constantly in the cups formed 


VIGUIERELLA COECA 531 


by the leawes of the Bromeliaceous plants. On one occasion at 
Kew I also found it in pitchers of one of the Pitcher plants. » 

Kesscer entdeckte diesen interessanten Kruster in einem 
Dresdener Schulaquarium : « Nachforschungen über die Her- 
kunft des Materials sind bis jetzt ergebnislos geblieben. Man 
wird aber wohl den Ursprungsort in der Dresdener Umgebung 
annehmen dürfen »; berichtet er in seiner Notiz im Zoologischen 
Anzeiger Bd. 43, und an anderer Stelle: «Seit 1911 besteht 
also die Kolonie in einem kleinen Aquarium, dessen Boden 
mit einer hohen Humus- und Moosschicht bedeckt ist. Es wird 
nichts für die Tiere getan, von Zeit zu Zeit wird nur das ver- 
dunstete Wasser ersetzt, ja es kann sogar vorkommen, dass 
das Aquarium ganz austrocknet, ohne dass es den Tieren 
schadet. » 

Von mir wurde Viguierella in vier verschiedenen Sod- oder 
Pumpbrunnen aus der näheren Umgebung Basels gefunden, 
und ausserdem noch in einem Schulaquarium in Glarisegg bei 
Steckborn (Kanton Thurgau). Die obengenannten Tiere lebten 
in Brunnen, die von einer grüsseren Wasserader des Grund- 
wassers durchflossen wurden und sich stets am Fusse eines 
Hügels befanden. In zwei Fällen lebten die Tiere in Gesellschaft 
von seltenen Vertretern der Grundwasserfauna, wie Bathynella 
natans VEsp. und Parastenocaris fontinalis mihi, was unzwei- 
felhaft auf die subterrane Herkunft unserer Tiere hinweist. 

Auch ich stellte fest, dass Viguierella sehr wenig Feuchtig- 
keit braucht, um zu leben und sich fortzupflanzen ; trocknet 
das Wasser aber ganz aus, so sterben alle Kruster ab. Die Tem- 
peraturunterschiede, die Vigutierella ohne Schaden ertragen 
kann, sind beträchlich. Maupas konstatierte, wie wir später sehen 
werden, dass sich seine Versuchstiere bei einer Temperatur 
von 15°-29° entwickelten. In den Brunnen Mittel-Europas ist die 
Temperatur ziemlich konstant. Sie schwanktzwischen 8° und 12°. 
Die Nahrung unseres Copepoden besteht aus Detritus sowie 
aus allen organischen Stoffen, die durch die Spalten des üfters 
schadhaften Brunnendeckels durch das Regenwasser hinunter- 
geschwemmt werden. 


592 P.-A. CHAPPUIS 


Kopulation. Die Kopulation wurde von Maupas in seinen No- 
tizen eingehend beschrieben. Er sagt dort über seine Beobacht- 
ungen !: 

«2. Juni 6 Uhr morgens. Endlich konnte ich einer Kopula- 
üon beiwohnen, und habe sie in allen äusserlichen Einzelheiten 
beobachtet. Die beiden Individuen waren die Nr. 6 und 7 die 
ich am 28. Mai isoliert hatte, um die sechs letzten Entwicklungs- 
stadien beobachten zu kônnen. Gestern Abend um sieben Uhr 
konnte ich feststellen, dass keines der beiden Versuchstiere 
die elfte und letzte Häutung vollbracht hatte. Heute Morgen um 
fünf Uhr fand ich dieselbe vollendet. Diese zwei Tiere haben 
also ihre endgültige Form zwischen sieben Uhr abends und 
fünf Uhr Morgens angenommen. Um sechs Uhr führte ich sie 
auf ein frisches Präparat über. Sogleich fasste das Männchen 
das Weibchen bei den Furkalborsten, sich mit den Antennen 
daran festhaltend. Darauf krümmte es sich nach hinten, und 
mit der Ventralseite an der des Weibchens anliegend, versuchte 
es seine Genitalüffnung mit der des Weibchens, das sich ruhig 
verhielt, in Verbindung zu bringen. Nach zwei bis drei schnell 
aufeinanderfolgenden vergeblichen Versuchen gelang es dem 
Männchen, sich Bauch an Bauch eng an das Weïbchen zu fixieren. 
In diesem Augenblick umklammerten seine Antennen immer 
noch die weiblichen Furkalborsten und die Tiere verharrten 
etwa eine halbe Minute in dieser Stellung. Nach dieser Zeit liess 
das Männchen die weiblichen Furkalborsten fahren und bemühte 
sich, sich vorwärts und rückwärts krümmend vom Weibchen 
loszulüsen. Das Männchen haftete nur noch mit der Genital- 
ôffnung am Weibchen. Sofort lüst sich der Kontakt ein bischen, 
und die zwei Tiere blieben nur noch durch einen kurzen, dicken 
Faden vereinigt, der die zwei Genitalôffnungen verband. In- 
folge von zwei bis drei Erschütterungen lüste sich der Faden 
vom Weibchen und wurde vom Männchen fortgetragen. Als 
dieser Faden sich loslüste, entdeckte ich einen Spermathophor, 


ER. 


* Die franzüsischen Notizen Maupas’ werden im folgenden in môglichst wôrt- | 
licher Uebersetzung citiert. é 


: 


roc 


VIGUIERELLA COECA 533 


der an der Genitalüffnung des Weibchens angeheftet war, und 
auch dort blieb. Das Weibchen scheint bei diesem Akt, der im 
ganzen 1 2 bis 2 Minuten gedauert hat, eine ziemlich passive 
Rolle zu spielen. » 

«In den Kulturen in denen sich mehrere Männchen und 
Weibchen zusammenfinden, kann man ôüfters beobachten, wie 
die ersteren sich mit ihren ersten Antennen an die Furka der 
Weibchen anklammern. Zahlreiche Fälle wurden bis jetzt be- 
obachtet, und ich sah immer die Weibchen, sich heftig 
bewegend, nach kurzer oder längerer Zeit sich der Männchen 
entledigen, trotz den Bemühungen derselben sich mit der Ven- 
tralseite an diejenige ihrer Gefährtinnen zu legen. » 

« Die Männchen machen also üfters erfolglose Kopulations- 
versuche. Wahrscheinlich lassen sich diese Misserfolge darauf 
zurückführen, dass die Weibchen schon befruchtet waren 
und darum die Annäherung der Männchen nicht ertragen 
konnten. » 

«In der eben beschriebenen Beobachtung hingegen hatte ich 
ein junges Weibchen, das in der Isolation reif geworden war, 
und das Männchen, sobald ich es ihr gab, annahm. Zweilels- 
ohne würde es genügen, die gleichen Bedingungen wieder her- 
zustellen um einer neuen Kopulation beizuwohnen. Es ist sehr 
wahrscheinlich, dass das Spermatophor durch die allgemeine 
Kontraktion des männlichen Kôürpers, während er sich nach 
hinten krümmt, übergeführt wird. Da die zwei Geschlechtsüft- 
nungen in diesem Moment in unmittelbarer Berübrung sind, 
wird der Spermatophor beim Austritt aus der männlichen Oeff- 
nung direkt an die weibliche Oeffnung gelangen und dort fest- 
gekittet, ohne dass die Beine bei diesem Transport eine Rolle 
spielen. Ausserdem scheint mir der kurze und dicke Strang, 
der bei den Krämmungen des Männchens nach rückwärts er- 
scheint und aus welchem der Spermatophor austritt die Existenz 
eines etwas protraktilen Rohres anzuzeigen, mit Hülfe dessen 
der Spermatophor vom Ende des Vas deferens nach der 
weiblichen Geschlechtsüffnung getragen wird. Durch das Ab- 
tôten eines Weibchens unmittelbar nach der Kopulation habe 


534 P.-A. CHAPPUIS 


ich eine Erklärung der Rolle erhalten, die die Drüse, die ich 
fortan Kopulationsdrüse nennen werde, spielt. » 

«Ich sah, dass in der Tat die ganze Oberfläche des Genital- 
segmentes dieses Weibchens von einer dicken Schicht einer 
in Zickzack ausgezogenen hyalinen Substanz überdeckt wurde, 
die gleiche die immer das Reservoir der ebengenannten Drüse 
anfüllt. Diese Schicht überdeckte in der Breite den ganzen 
Raum zwischen den zwei Geschlechtsüffnungen des Weibchens 
und griff sogar über ihre äusseren, lateralen Enden hinaus. 
In der Länge breitete sie sich fast bis zur hinteren Grenze 
des Segmentes aus. Die Schicht hatte ihr zickzackf6rmiges 
Aussehen beibehalten, nur waren die Winkel weiter geüffnet. 
Der Pedunculus des Spermatophors war vollständig in dieser 
Masse eingegraben, die ihn mit seinem Ende genau in der Mitte 
zwischen den zwei weiblichen Geschlechtsüffnungen festhielt. 
Daraus folgt, dass die Drüse die Aufgabe hat, eine klebrige 
Masse zu produzieren, die bei der Kopulation im gleichen Au- 
genblick wie der Spermatophor ausgestossen wird und dazu 
dient, den letzteren an das Weibchen zu befestigen. » 

«Man kôünnte die Sekretion der Kopulationsdrüse mit der 
der männlichen Nematoden vergleichen, die diese auf der Vulva 
der Weibchen zurücklassen. Die beiden Klebstoffe gleichen 
sich sehr und spielen allem Anschein nach die gleiche Rolle. » 

Dies sind Maupas’ Beobachtungen, zu denen ich nichts wei- 
teres beifägen kann, denn seine äusserst genaue Beschreibung 
stimmt in den hauptsächlichsten Punkten mit dem was ich ge- 
sehen überein. 


Eiablage. Auch darüber finden sich Notizen von Maupas vor, 
die ich hier in extenso gebe. Eine Eiablage konnte ich selbst 
nicht beobachten. 

«Heute habe ich zum erstenmal einer Eiïablage beigewohnt. 
Im Moment, wo ich dazu kam, trug die Mutter auf jeder Seite 
ein Ei, das unterhalb des rudimentären Fusses angehängt war. 
Die zwei Eier waren wahrscheinlich soeben aus den Eileitern | 


VIGUIERELLA COECA 239 


Minute mit den Eiern herum, und liess sie dann auf einem 
Haufen Detritus, der sich auf ihrem Wege befand, liegen. » 

« Diese Art scheint also ihre Eier paarweise zu legen, um sie 
dann einzeln auf ihrem Wege fallen zu lassen. » 

«Ich habe nie ein ® mit Eiersäcken getroffen, wie man es 
bei Cyclops und andern Copepoden findet. » 

« 27. Februar 1892. — Ich habe zum zweitenmal einer Eiab- 
lage beigewohnt. Das Q hat wieder gleichzeitig zwei Eier ge- 
legt, die es auf geratewohl wie das erstemal hat fallen lassen. 
Es war je ein Ei auf jeder Seite des Leibes. » 

«17. März 1892. — Ich habe soeben einer neuen Eiablage 
beigewohnt, und habe sie besser beobachten künnen als die 
zwei vorhergehenden. » 

«Ich habe nun die Gewissheit, dass die Q Q immer zwei Eier 
auf einmal legen, und dass infolgedessen jeder Eierleiter einen 
elgenen Ausgang besitzt, den man übrigens ein bischen seit- 
wärts unterhalb des fünften Beinpaares deutlich sieht. » 

« Als ich das © erblickte, waren die Eier eben aus den Ei- 
leitern ausgestossen worden, und befanden sich, durch die im 
Oviduct erfahrene Compression noch etwas deformiert, in der 
Nähe des fünften Beinpaares. Das © lag unbeweglich auf dem 
Rücken und stellte sich sehr vorteilhaft für die Beobachtung 
dar. Nach etwa einer Minute wurden die Eier, auf Grund ihrer 
eigenen Elastizität vollständig sphärisch. Das Q setzte sich 
dann wieder in Gang, sich auf der Seite mit den Füssen forthe- 
wegend. Zu dieser Zeit mussten die Eier mit einer klebrigen 
Masse umgeben sein, da verschiedene im Wasser schwimmende 
Trümmer an ihnen hängen blieben. Von Zeit zu Zeit blieb das 
Q wieder stehen, und bemuühte sich, mit den Füssen die leichte 
Last von sich zu werfen. Nach wenig Zeit gelang es ihm auch, 
sich davon zu entledigen, und die Eier wurden im Präparat 
liegen gelassen. » 

« 18. August 1892. — In der Eiablage die ich am 17. März be- 
obachtete, habe ich die Viscosität der Eier im Moment wo sie 
den Eileiter verlassen, constatiert. Dieser Klebstoff muss den 
®, die im freien Zustand auf fester Unterlage herumkriechen 


536 P.-A. CHAPPUIS 


und laufen, die Befestigung der Eier an ihre Unterlage ermüg- 
lichen. Ich habe übrigens ôfters beobachtet, dass unter den 
Eiern die auf meinen Präparalten d. h. zwischen zwei Gläs- 
chen gelegt worden waren, einige so fest hafteten, dass ich sie 
nicht durch einen zwischen diese Gläser geleiteten Wasser- 
strom entfernen konnte. Diejenigen Eier, die nicht am 
Glase befestigt waren, waren stets von Trümmern jeder Art 
umgseben. » 

« Diese Eigenschaft mussihren Ursprungin einer Klebschicht 
haben, die das ganze Eiï umgibt. Der Klebstoff selbst muss aus 
dem länglichen Reservoir herstammen, das unterhalb des Geni- 
talporuses in nächster Nähe der Oeffnung des Oviductes liegt. » 

« Der längliche Behälter wird von einer Drüse, die an seinem 
inneren Ende liegt gespeist, und dieser ganze Apparat entspricht, 
wenn auch nicht homolog, so doch analog der Cementdrüse 
mancher parasitischer Copepoden » (siehe Bemerkung pag. 6). 


Entwicklung. Die Entwicklung dieses hüchst interessanten 
Harpacticiden ist bis jetzt nur aus der kurzen Notiz in Maupas’ 
vorläufiger Verôflentlichung bekannt. Ich kann nun diese An- 
gaben aus den wertvollen Aufzeichnungen Maupas’ und aus 
eigenen Beobachtungen vervollständigen und werde versuchen, 
eine môglichst genaue Beschreibung des Werdens von Viguie- 
rella zu geben. 

Nachdem das Ei von der Mutter losgelüst, auf einer Unterlage 
festgeklebt oder mit Detritus umgeben, drei bis vier Tage ge- 
ruht hat, schlüpft der junge Krebs aus. Ueber diesen Akt lie- 
gen auch noch einige Beobachtungen Maupas’ vor: 

«9. Junt 1892. Ich habe soeben gesehen, wie drei Nauplien 
aus den Eiern geschlüpft sind. Dies geschieht genau wie ich 


es schon bei Canthocamptus staphylinus beobachtet habe. ». 


« Die Eihülle zerreisst plôtzlich wie durch eine Art Explosion; 


im gleichen Augenblicke schrumpft sie stark zusammen und 
stüsst den Nauplius aus. Er befindet sich nur noch von einer 
feinen hyalinen Membran umgeben. Diese zweite Hülle ist an-. 


VIGUIERELLA CO£ECA 537 


nach schwillt sie jedoch an, wahrscheinlich unter dem Einfluss 
osmotischer Kräfte. » | 

«Anfänglich und noch während etwa einer Minute, bleibt 
der Nauplius unbeweglich, doch bald fängt er an, sich in sei- 
nem engen Gefängnisse zu regen, und in dem er seine Glieder 
reckt und sich nach allen Seiten herumdreht, trägt er dazu bei, 
die Wände der zweiten Eihuülle zu erweitern. » 

«Er bleibt auf diese Weise drei bis vier Minuten einge- 
schlossen, bis durch das Zusammenwirken seiner Bemühungen 
und der Osmose die feine Membran nachgibt und zerreisst. 
Der Nauplius ist frei und schwärmt im freien Wasser herum. » 

« Welche morphologische Bedeutung haben diese zwei Mem- 
branen ? Ist die erste ein Chorion und die zweite eine vitelline 
Membran, oder ist die erste eine vitelline Membran und die 
zweite ein Produkt des Embryos ? » 

«Jurixe beschreibt das Ausschlüpfen von Wonoculus quadri- 
cornis rubens mit Einzelheiten, die beweisen, dass diese Art 
das Ei in einer Membran eingehüllt verlässt, die der Genfer 
Beobachter nicht gesehen hat, wahrscheinlich wegen ihrer ex- 
tremen Feinheit. » 

Nachdem der Nauplius nun ausgeschlüpft ist, folgt eine Serie 
von Häutungen, elf an der Zahl. Maupas hat auch darüber sehr 
eingehende Untersuchungen angestellt und um ein vollstän- 
diges Bild der Arbeïtsweise dieses Forschers zu geben, werde 
ich alle Versuche Maupas”, wie sie in seinen Notizen angegeben 
sind, hier aufführen. 

«Die Zeiten die auf den Tabellen angegeben sind, geben 
nicht die genaue Zeit jeder Häutung an, da ich dieselben nicht 
beobachten konnte, sondern einfach die Stunde in welcher ich 
sah, dass die Häutungen vollbracht waren. » 

Isolierung A. Den 17. Januar ïisoliere ich ein Q@ das 
nächstens reif wird und das noch mit keinem c‘ in Kontakt 
war. Am 25. und 26. legt es zehn Eier und hält mit der Eïablage 
an. Ich lasse es bis zum 29. auf dem gleichen Präparat, wie 
die Eier und behalte diese bis zum 5. Februar, ohne dass sie 
ausschlüpfen. 

Rev. Suisse De Zooz. TL. 24. 1916. PAT 


CS 
LJ 
7 


538 P.-A. CHAPPUIS 


Den 29. Januar versetzte ich das Q auf ein neues Glas, in- 
dem ich ihr zwei G' als Gefährten beigebe. Am 1. Februar sehe 
ich, wie die o' & das ® verfolgen und sich mit den ersten An- 
tennen an den Furkalzweigen festklemmen. Es schüttelt sich 
energisch, ihren Copulationsversuchen Widerstand leistend, 
und es gelingt ihr in wenig Zeit, sich der Umklammerung zu 
entziehen. Die ΠG', ihre Verfolgung fortsetzend, fassen das Q 
wenige Zeit später wieder, und der Kampf beginnt von neuem. 

Leider kann ich dem Ausgange desselben nicht beiwohnen, 
da ich meinen Beobachterposten verlassen muss. 

Den 2. Februar finde ich einige Eier 


DCS » » » 15  Eier und 
ET eu » » »y _25—30. Den 5. bemerke ich die 


ersten Nauplien die soeben ausgeschlüpft sind. Es ist daher 
offensichtlich, dass die zehn ersten Eier, die in der Abwesenheit 
der g° q' gelegt worden waren, steril geblieben sind, da sie 
nicht befruchtet waren. Am 3. März ist das ® gestorben. Ich hatte 
es am 17. Januar,, als es die Reife erreicht hatte, von einem Prà- 
parat genommen, auf dem sich nur jugendliche Exemplare 
befanden. Es hatte noch keine Eier gelegt, konnte demnach zu 
dieser Zeit etwa 15 Tage alt sein. Angenommen, das Q sei am 
1. Januar geboren worden, so ergibt sich eine Lebensdauer von 
ca. zwei Monaten. 

31. Januar 1892. — Es werden zwei Nauplien isoliert. Nr. 1 
ist am 30. Januar, Nr. 2 am 31. Januar ausgeschlüpft. 


Temp. Datum | Nr Nr. 2 Bemerkungen 

15° 91. Januar | 1. Häutung 

152 1. Februar ve » 1. Häutung 

1162 Le » oe » 2, » 
10 34 » a » D. » 

i72 Ge » La » 4, » 

1710 Le » 6. » 4. » 

7 6. » qe » De » 

7 7 » 8 » 5e » 


= 
OR | 
© oO 
© © 

ES 

© © 

D ot 


dé À tm DE : Dé 


VIGUIERELLA COECA 539 


Femp. Datum Nr: 1 Nre2 Bemerkungen 
16° | 10. Februar 11. Häutung 7. Häutung Nr. 1 erwachsen 
149 AE » 7 » 

4140 | 2e » 8. ) 

13° 15: » E » 

&O 1%. » 9° » 

140 05: » 10. » 
15° 16. » 10. » Nr.lverschwunden 
16° APS 11. » Nr. 2 erwachsen 
18. » Nr.2 verschwunden 


Die zwei Exemplare, die hier isoliert, und in ihrer Entwick- 
lung verfolgt wurden, waren & ©. Nachdem sie beide ihre Reïfe 
erreicht hatten, verschwanden sie von dem Präparat ohne 
irgend welche Spur zu hinterlassen. Dieses Verschwinden kann 
sich nur durch das Entweichen des Tieres aus dem Präparat 
erklären. In der Tat ist dieser kleine Copepode sehr wander- 
lustig und in einem feuchten Orte kriecht er behende von dem 
Wassertropfen weg, indem er sich auf dem Glase herumwälzt. 
Meine zwei o' &', die im Wasser des Präparates nicht mehr 
die ihnen zusagenden Existenzbedingungen fanden, oder viel- 
leicht von dem bei diesen Tieren sehr ausgeprägten Sexualtrieb 
auf die Suche nach einem @ getrieben, sind aus dem Präparat 
herausgekrochen und auf dem Objektiräger fortgeschlichen. 

Von dem vierten Stadium an hat das Nr. 2 verschiedene Verspä- 
tungen in seiner Metamorphose erlitten, während die vier ersten 
Stadien in der gleichen raschen Weise einander gefolgtwaren wie 
bei Nr. 1. Diese Verspätungen rühren von einer Manupulation her, 
die am 4. Februar ausgeführt wurde, und in der ich mittelst Pi- 
petten die zwei kleinen Crustaceen von dem ursprünglichen 
Präparat auf einen neuen Objektträger überführte. 

Es ist nun môglich, dass bei dieser Uebertragung das Nr. 2 
zu Schaden kam und in seiner Entwicklung gehemmt wurde. 

12. Februar. — Ich finde, dass Nr. 2 aus dem achten Stadi- 
um in das neunte übergegangen ist; es hat seine vier Bein- 
paare und die sieben Segmente, aber auf der linken Seite zeigt 


540 P.-A. CHAPPUIS 


sich eine Schwellung an, die sich von der Mundgegend bis 


zum vierten Beinpaar hinunterzieht. Die Geschwulst ist voll- 


ständig hyalin. 

13. Februar. — Nr. 2 hat, indem es die neunte Häutung voll- 
brachte, die gewühnliche Gestalt wieder angenommen. 

Den 28. Mar 1892 isoliere ich einzeln sechs Metanauplien 
Li NE teint) 


Datum'|Temp-/Ne SL Nr. 24Nr. 2 ENr 4 Nr: 5 Nr. 6 


29. Mai! 25° |6.Htg.\5. Htg.|5. Htg.|5. Htg.|5. Hig.|5. Htg. 
30. » 240 728 6,7 6 6 67%) 66,7 
a. 2 23° 9,404 8,9 7,8 8.9 8,9 8 


luna? 11 10 9,10 10 10 9,10 9. h. morgens 

de 2770) — 11 — WT — — 7 h. abends 

DETON 244 == == 11 — a 11 ù h. morgens 
® g' @| ® (ej Q 


Bei einer Temperatur von 24—25° erfolgen die Häutungen 
alle vierzehn Stunden. 

Ich behielt dasQ Nr. 4, indem ich ihm das G'Nr.3 gab. Eslegte 
sein erstes Ei den 2. Juni um ein Uhr abends, d. h. ein bischen 
weniger als 24 Stunden nach der Häutung. 


4. Juni 44 Eier, von neuem isoliert 


TOR TRS » » » » 
LUN ES MED » » » » 
VS PSS TRE PE » » » » 
DD 0 AOC » » » 
LOST NS) » » » 
Da ue SON CEE 2 » » » 
AGE D PES EE » » » 
29. » 42 » » » » 


2. Jul 2 » das Q ist gestorben 
Total 418 Eier. 


Am 17. verschwand das G spurlos. 


Die Temperatur vom 25.—28. Mai betrug im Mittel ein wenig 
mehr als 26°. Ich bin sicher, dass die zwei Eier von denen ‘} 


VIGUIERELLA COECA 541 


das Pärchen stammt, frühestens den 24. abends gelegt worden 
waren, und dass sie am 26. ausschlüpften. Das Q lebte also 38 
Tage, das Πmindestens 52. 

Juni 1892. — Es werden zwei Eier, die im Laufe des Nach- 


mittags des 3. Juni velegt worden sind, isoliert. 


Datum |Temp. Zeit Nr Zeit Nree2 
3..Juni | 24° isoliert isoliert 
LEE 299 | nichts neues nichts neues 
;} Na 25° 7 ha. | ausgeschlüpft ha ausgeschlüpft 
GE 2749 8 h. m. | 4. Häutung 12m 1. Häutung 
TE 5 249 5 h. m. 2 » 5 h. m De » 
A Qu: 240 8 h. 30 m o: » 121h0m ae » 
8: 9 JE 5 h. m &. » ion 4, » 
8: » 20 6 h. m 5 » 10 h. m 5. » 
SA» 249 9h. a 6. » — — 
9. » 249 — — D h. m. 6. » 
SEA 240 9 h. m 7 » TNISLEX 7e » 
11MES 249 5 h. m 8 » 5hh:om: 8. » 
AO > 240 8 h. 30 m. 9 » J'hsar 9; » 
10. » 240 10 h. a. .| 10 » == — 
10 1» 249 === == 5 h. m 10. » 
5 1 }S ere 249 10 h. a. nichts neues 10. h. a. nichts neues 
IPS 25° SEM 11. Stadium 9:h0m: 11. Stadium 
19-95 26° 5 h. m. d' nichts neues | 5. h. m Q nichts neues 
l'E) 26° | 12 h. a. die ersten Eier 


Diese Kultur, in der durch Zufall ein © und ein ç° auf das 
gleiche Präparat kamen, liefert mir den Beweis, dass der Ge- 
schlechtsunterschied keine Aenderungen in der Schnelligkeit der 
Entwicklung bringt. 

Sie bestand aus : 


1. Die Periode der embryonalen Entwicklung 2 Tage 3.-5. Juni 
o F5 » des freilebenden Larvenstadiums6 » 5.-11. » 
d: » » bis zur Reife 2 » PRE A » 


Total der zur Entwicklung nôütigen Zeit 10 Tage, bei 
einer mittleren Temperatur von 241/2° C. 
Den 7. Juniisoliere ich zwei Eier, die um 9 h. m. gelegt worden 
waren. 


2e ds lé sis pi tint Mass 


542 P.-A. CHAPPUIS 


Datum Temp. Nr: | Nr°12 
7. Juni 249 Isolierung | Isolierung 
(0 1), 249 10 h.15 m. schlüpft aus 12 h. m. schlüpft aus 
122000) 250 6. Stad. 7 h. a. 
19 000 26° 6. Stad. 5 h. m. 
157400) 26° 11° 1Stad. 45 h9m;: 41. Stad./#7"Hh.4a; 
Periode der Entwicklung im Ei — 2 Tage 
» »  freien Larvenstad. Nr. 1 weniger als 6 Tage 
» » » » Nr. 2 mehr als 6 Tage 


Die zwei Nauplien schlüpften in einem Zwischenraume von 
15/4 Stunden aus, aber das Nr. 2 führte seine elfte Häutung 
mindestens zehn Stunden nach Nr. 1 aus. 

Isolierung B. 10. März. Ich finde die ersten Eier auf 
dem Präparat, auf dem ich am 13. Februar das Q und die zwei 
o go‘ (von Isolierung A) isoliert hatte, und auf welcher es 
wieder begonnen hatte Eier zu legen. Die wenigen Eier, die 
ich heute zählte, waren durch drei oder vier reife Q gelegt 
worden. Angenommen diese ® entstammen den Eiern, die 
am 20. bis 24. Februar gelegt worden waren, was sehr gut 
-môglich ist, so sehen wir, dass sie 18—19 Tage benôütigen, 
um sich zu entwickeln. Nach meinen Aufzeichnungen waren 
die fraglichen Q® am 24., spätestens am 25. Februar, aus den | 
Eiern geschlüpft. Die elf Häutungen, die je alle 24 Stunden 
erfolgen, führen uns bis zum 6. März. Von diesem Datum an 
verflossen noch vier Tage, während welcher die kleinen 
Crustaceen, obwohl äusserlich erwachsen, noch keine Eier 
legten. Diese Periode ist ohne Zweifel der Entwicklung der 
A ne gewidmet. 

Die ganze vorgeschlechtsreife Entwicklung lässt fn somit 
in folgende drei Perioden einteilen : 


1. Periode der Entwicklung im Ei 4 Tage 
2. Periode des freien Larvenstadiums FL 
3. Periode der Reifung der Geschlechtsdrüsen A : 


Total der vorgeschlechtsreifen Entwicklung 19 Tage 


«A. 


_, fe bis di 


VIGUIERELLA COECA 543 


Die Temperatur schwankte zwischen 17 und 20° Celsius. Ich 


habe die jungen Tiere, die auf dem Präparat vom 15. Februar 


waren, aufsgezogen und 22 Q und 24 6° erhalten. 


9. März. Ich isoliere ein junges © und zwei junge og‘ c', die 


ich dem Präparat vom 15. Februar entnehme. Die Eier, denen 


diese Tiere entschlüpften, waren am 20. Februar auf dem oben 


erwähnten Präparat gelegt worden. Ich konnte in ihr, trotzdem 


ich sie gründlichst untersuchte, zur Zeit der Wegnahme des 
© und der g c' keine Spur eines Eies bemerken, ein Zeichen 
*dafür, dass die Q noch keine reifen Eier besassen. 


13. März 24 Eier 


144» "40 
Por 44 
LOS. 90 
NON 300 
DU EE 20 
1% 52522 
PUS 2 
stadien. 


» 


und 3 Nauplien 
» 8 » 
» 15 » 
» viele » 


zahlreiche » und Metanauplien 
» » » » Total 70 Eier 
» » » » 3 Copépoid- 


Ich entferne die zwei Œ œ und das © und versetze sie auf ein 


anderes Präparat. 


21März 5 
RU 12 
AL 518 
D 27 
AD En >: : A0 


5 Nauplien 


Ich entferne abermals das Weibchen mit seinen zwei Männ- 


chen und versetze sie auf ein neues Präparat. 


26. Mürz 2 Eier 


AT: » 7 
Den nr 27 
5 1 COUPE SR 2 
1. April 40 
A one," 40 


» 


» 


ein oder zwei Nauplien 
sechs bis sieben Nauplien. 


544 P.-A. CHAPPUIS 


Ich entferne abermals das Weibchen mit seinen zwei Männ- 
chen und versetze sie auf ein neues Präparat. 


6. April 3 Fier 


FL » 1765 
8. » 19 °» 
9, » 35 ‘°» 


10. »  einige Nauplien 

11. » 27 Eïer, mehrere Nauplien. 

Versetzung des @ und der GG‘ auf ein neues Präparat. 

12. April 4 Eier 

APS SSRÈCE he LI 2 RES 

LAS LOS 

LÉ MONET 

16.  » 36 » und vier Nauplien 

LAS STD D: SÉCRE PP) 

Erneute Versetzung des ® und der G G auf ein neues Prà- 
parat. 


21. April 6 Eier 


ASE ST MAS CS 
D: ID AUD 
Verzetzung des Q und der S ©. Fe 4 
27: April'-6"Fier:.= 5 


DE FD 95 

30. » 14%) 

2 Mai 2  » ein Nauplius 
AN 16 » vier » 
8. » das ® ist gestorben. 


Ich behalte die zwei GG, indem ich ihnen ein neues © beigebe. 


11. Mai ist das eine œ verschwunden. 
21. » » » zweite G', das seit einigen Tagen dahinzu- 
siechen schien, gestorben. Das junge @ und die Infusorien, die 
mit ihm lebten, sind gesund, so dass nur das hohe Alter des 4 
Krebses als Todesursache angesehen werden kann. À 
Das Q®, das hier isoliert wurde, lebte vom 24. Februar, dem 


L er 
VIGUIERELLA COECA J49 


Tage des Ausschlüpfens aus dem Ei bis zum 8. Mai, also 74 
Tage. Während seiner Reife, die am 10. März begann, habe ich 
mit Gewissheit 306 gelegte Eier gezählt, aber diese Zahl müsste 
noch ein wenig erhôht werden, da das Zählen einige Schwierig- 
keiten bereitet. Ich bin überzeugt, einige Eier übersehen zu 
haben. Die Eier wurden regelmässig während der ganzen Reife- 
periode gelegt, und wenn einige Unterbrechungen vorkamen, 
so sind diese dem unvermeidlichen Wechsel in Qualität und 
Menge der Nahrung zuzuschreiben. In den letzten Tagen er- 
fuhr die Zahl der gelegten Eier eine Abnahme, die sich durch 
das Alter des Tieres erklären lässt. Das Maximum des Geleges 
innert 24 Stunden betrug 18—20 Eier. 

Das &', das ich bis zu seinem Tode beobachtete, lebte vom 
24. Februar, dem Tage seines Auschlüpfens, bis zum 21. Mai, 
also 87 Tage, oder 13 Tage länger als das ©, das am gleichen 
Tage geboren und unter den gleichen Bedingungen ernährt 
wurde. » 

Die c' scheinen übrigens immmer länger zu leben als die Q: 
In der Tat waren die zwei GG der Isolierung À noch wohl- 
auf beim Tode ihres ©. Leider hatte ich nicht die exakte Zeit 
ihrer Geburt notiert, und kann nun keine bestimmten Schlüsse 
ziehen über die Zeit, die das c' länger lebt als das ©. 

In dem Versuche B waren die zwei G'Πzur gleichen Zeit 
geboren wie ihr ® und beide haben es überlebt. Das eine c° 
ist leider drei Tage nach dem Tod des © entwischt, sodass 
ich nicht, wie mit dem zweiten, die genaue Zeit bestimmen 
konnte, um die es das © überlebte. » 

« Algier, Juli 1892. 

Zucht im Dunkeln. «Am 1. Juliisoliere ich fünf Eier, die 
dem Ausschlüpfen nahe sind, und stelle sie in eine Dunkel- 
kammer. 


Datum Temp. 

Hub, 26° Nauplius 

AU 26° 1. Copepodidstadium. 
RE 27° reife Tiere 


546 P.-A. CHAPPUIS 


Datum Temp. 
8. Juli 26€ die ersten sechs unbefruchteten Eier 
05 DT viele Eier 
10.16) 27° 1 Nauplius, ich entferne die 5 erwachsenen 
112409 28° viele Nauplien 
135% 29° 1. Copepodidstadium 
16: PTE reife Tiere 
1790 27 die ersten Eier 
1205 2 ich isoliere drei © und drei c' auf dem 
gleichem Präparat 
» 27° einige Eier 
220 26° einige Nauplien, ich entferne die erwach- 


senen Tiere. 


Isolierung eines © ohne c. 


«Ich isoliere sechs junge © die vom © der Isolierung B her- 
stammen. Ich hatte sie als Metanauplien dem andern Präparat 
entnommen, und als ich sicher war, sechs © vor mir zu 
haben, vereinigt. 

«Sie begannen Eier zu legen am 1. April, 13, am 11. April 
sind es neunzig. 

11. April. — Die Eiablage hat sich in denletzten Tagen sehr 
vermindert, es scheint, dass die © die ohne g'isoliert sind, die 
Fähigkeit Eier zu legen verlieren. 

« Die neunzig Eier sind, obwohl ich sie längere Zeit auf- 
bewahrte, nicht ausgeschlüpft. 

«Am 11. April überführe ich die © in ein neues Glas und 
gebe ihnen 9 cf bei.» 


12. April 14 Eier 

43 » 45 » 

16. »  zahlreiche Nauplien des ersten Stadiums 
17.  »  immer zahlreicher werdende Nauplien. 


A; die ersten neunzig Eier haben sich nicht entwickelt, da sie 
nicht befruchtet waren. » 


: 


VIGUIERELLA COECA 547 


Soweit Maupas. Fassen wir die Ergebnisse seiner Beobach- 
tungen zusammen. Der Krebs durchläuft während seines freien 
Larvenlebens elf verschiedene Larvenstadien und erhält bei der 
elften Häutung seine endgültige Gestalt. 

Diese elf Stadien bestehen aus sechs Nauplien und fünf Cope- 
poditstadien. 

Bei einer mittleren Temperatur von 16° C. entwickelt sich Vi- 
guterella innerhalb zwülf Tagen vom Ausschlüpfen aus dem Eï 
an gerechnet. Also eine Häutung alle 24 Stunden. 

Bei einer mittleren Temperatur von 18° C. ist die 


Periode der Entwicklung im Ei 4 Tage 
» des Larvenstadiums LE RS 
» bis zur Reife L'AE 


Total der zur Entwicklung nôtigen Zeit 19Tage: 


es erfolgt eine Häutung alle 23 Stunden. 

Bei einer mittleren Temperatur von 25° C. erfolgen die Häu- 
tungen alle 17 Stunden. 

Bei einer mittleren Temperatur von 25° ist die 


Periode der embryonalen Entwicklung 2 Tage 
» des freilebenden Larvenstadiums 6 » 
» bis zur Reife 25 


Total der zur Entwicklung nôütigen Zeit: 10 Tage. 


Es erfolgt eine Häutung alle 13 Stunden. 

Bei einer mittleren Temperatur von 27° erfolgen die Häut- 
ungen alle neun bis zehn Stunden. 

Die Anzahl der Eier, die gelegt werden, schwankt zwischen 
306 und 418. 

Die Lebensdauer ist bei den® © bei 18° C. 74 Tage, die Zeit, 
die das Ei zum Reifen braucht, nicht eingerechnet. 

Bei ebenfalls 18° C. lebte das © ca. 63 Tage, während bei 
26° C. die Lebensdauer sich auf ca. die Hälfte reduzierte, d. h. 
38 Tage. Die Männchen leben etwas länger. 


Besprechung der Stadien. Die elf Larvenstadien von Viguie- 


224 


548 P.-A. CHAPPUIS 


rella künnen in drei von eimander- verschiedene Entwicklungs- 
stufen getrennt werden: Zwei Orthonauplius-, vier Metanau- 
plius- und fünf Copepoditstadien. Was die Gliederung und 
efiederung der Extremitäten bei jedem einzelnen Nauplius- 
stadium anbetrifft, so müchte ich auf die Abbildungen ver- 
weisen. 

Der Nauplius selbst misst beim Verlassen der Eïhülle 75% 
und wird nach jeder Häutung durch Ausbildung eines neuen 
Seygmentes grôüsser. Die neugebildeten Segmente tragen meis- 
tens noch keine Extremitäten; doch künnen sie bei genauer Beob- 
achtung deutlich von einander unterschieden werden. Die 
Zahl der Orthonauplien beträgt zwei. Die Orthonauplien tragen 
alle drei Gliedmassen, die, wie auch der übrige Kôrper, unter 
dem Kopfschild verborgen sind und als erste und zweite An- 
tenne und Mandibel gedeutet werden müssen. Diese Extremi- 
tâten sind die einzigen voll ausgebildeten Beinpaare der Nau- 
plien. 

Stark dorsoventral abweplattet, erscheint der erste Ortho- 
nauplius (Taf. 3, Fig. 3) fast kreisrund. Er besitzt beim Aus- 
schlüpfen aus dem Ei die drei den Nauplius charakterisierenden 
Gliedmassenpaare, die je ein Segment des Kôürpers bezeichnen. 
Den Abschluss des Tieres bilden zwei kurze, auf beiden Seiten 
des Afters inserierte Borsten, die durch alle Entwicklungssta- 
dien zu verfolgen sind. Sie bilden das vierte Segment, welches 
als erste Anlage des Furkalsegmentes zu betrachten ist. 

Nach der ersten Häutung sehen wir, dass ein funftes Segment 
gebildet worden ist, das später die Maxille tragen wird. Von die- 
ser selbst aber ist bis zum ersten Metanaupliusstadium nichts 
zu sehen. Bei der Häutung schiebt sich zwischen dem dritten 
und vierten Segment ein neues ein, sodass das ehemalige vierte 
Segment nun zum fünften geworden ist. Dieses Segmentist sehr 
undeutlich vom dritten getrennt, da es nicht durch eine Chitin- 
falte abgegrenzt wird. Der Kôrper selbst ist ein wenig länger 
geworden und das ganze Tier misst nun schon 90% (Taf.3, Fig. 4). 

Immer noch vom Kopfschilde ganz verdeckt erscheint uns 
der erste Metanauplius(Taf.3,Fig.5), der die 1. Maxille als kleine 


VIGUIERELLA COECA 549 


Borste angedeutet hat. Die Zahl der Segmente ist auf sechs 
gestiegen. Bei scharfer Beobachtung kann man am Ende des 
fünften Segments eine Andeutung der 2. Maxille und des Ma- 
xillipeden bemerken. Es sind nachweisbar die zwei verküm- 
merten Extremitäten zweier Segmente, die aber nun zusammen- 
sœeschmolzen sind. Auf diesem Stadium besitzt der Nauplius 
schon alle Anlagen für die Gliedmassen, deren zugehôrige 
Segmente, vom ersten Copepoditen an, das Kopfsegment bil- 
den. Der Abschluss des Kürpers, das sechste Segment, bleibt 
von dieser Häutung an fast in der gleichen Form bis zum ersten 
Copepodit bestehen. Die kleinen Aenderungen, die es erfährt, 
weisen immer deutlicher auf die zweiästige Form des zukünfti- 
gen Kôürperendes hin. Die nun folgenden Häutungen dienen 
der Anlage der Schwimmfüsse. Bei dem zweiten Metanauplius 
(Taf. 3, Fig. 6) entsteht schon eine Andeutung einer Gliederung 
des Kürpers. An den Seiten des neu hinzugekommenen sech- 
sten Segmentes tritt ein kleiner Zipfel auf, der die Anlage des 
ersten Beinpaares darstellt. Die 1. Maxille hat sich ebenfalls 
umgeändert und erscheint nun als zwei kleine Dürnchen. Von 
der 2. Maxille und dem Maxillepeden ist noch wenig zu sehen, 
sie bleiben auch auf dem dritten Metanaupliusstadium in ihrer 
Entwicklung stehen. Dieses dritte Metanaupliusstadium (Taf. 3, 
Fig. 7), das aus der vierten Häutung hervorgeht, hat wieder ein 
Segment mehr, das des zweiten Schwimmfusses. Aenderungen 
in der Gestalt der bisher gebildeten Gliedmassenanlagen sind 
nicht zu bemerken. Erst nach der fünften Häutung, auf dem 
vierten und letzten Metanaupliusstadium (Taf, 3, Fig. 8), tritt ein 
grosser Unterschied gegenüber dem vorhergehenden Stadium 
auf. Die 1. Maxille, die bis jetzt nur durch zwei feine, äusserst 
hyaline Borsten angedeutet war, tritt nun in Form einer Lamelle 
hervor, die zwei kurze apikale und eine längere mediane Borste 
trägt. Diese Borste, die am Innenrande der 1. Maxille inseriert 
ist, ist an ihrer Wurzel verdickt und gewôühnlich nach der In- 
nenseite zu gebogen. Die 2. Maxille und der Maxilliped erschei- 
nen als eine zweilappige Ausbuchtung am Ende des Kopfseg- 
mentes, und sind beide auf gleicher Hôhe inseriert, wie dies ja 


“a AS 


350 P.-A. CHAPPUIS 


auch beim erwachsenen Tiere der Fall ist. Die zweite Maxille 
besitzt noch unbestimmte Formen, während der Maxilliped 
schon eine der endgültigen Form ähnliche Gestalt angenommen 
hat. Die zwei ersten der vier noch folsenden Segmente tragen 
schon fertige Anlagen der Schwimmfüsse, während das dritte 
nur eine Andeutung seiner späteren Gliedmassen besitzt. Die 
drei primären Extremitäten des Nauplius sind fast ohne Ver- 
änderungen durch alle Stadien hindurch gleich geblieben. Auch 
in dem vierten Metanaupliusstadium erfahren sie keine Modi- 
fikationen. 

Der Uebergang vom letzten Metanaupliusstadium zu dem 
ersten Copepodit bedeutet einen gewaltigen Fortschritt in der 
Entwicklung unseres Krusters. In diesem erscheint zum ersten- 
male das Tier im Prinzip in seiner endgültigen Gestalt. Die 
dem Nauplius eigentümlichen Extremitäten sind zur ersten und 
zweiten Antenne und Mandibel geworden, deren Gliederung 
noch nicht ganz durchgeführt ist. Die Maxillen und der Maxillar- 
fuss stellen sich in ihrer definitiven Form dar. Von den 
Schwimmfüssen, sind die zwei ersten schon als zweiästige mit 
eingliedrigen Exo- und Endopoditen versehene Fusspaare vor- 
handen. Das dritte Fusspaar ist durch eine mit Borsten verse- 
hene Schuppe am dritten Thoraxsegment angedeutet. Es folgen 


5 


nun noch zwei Segmente, von denen das erste durch die Häut- 
ung neu hinzugekommen ist, während das zweite, das Endseg- 


ment des vierten Metanauplius darstellt, das bei dieser Häut- 
ung die als zwei Hôücker angedeuteten Furkaläste abgetrennt 
hat. Das Endsegment, das schon beim Nauplius durch Teilung 
bei jeder Häutung ein neues Kôrpersegment bildete, behält 
diese Funktion der Segmentbildung bei. Die Stelle an der die 


Teilung stattfinden wird, ist äusserlich zu erkennen, indem. 
dieser immer grüsser als die andern Segmente sich darbietende 3 
Kôrperteil sich durch einen Bôrstchenkranz auszeichnet, derin 
halber Hôhe sich rings um den Leibesring hinzieht. 

Die nun folgenden fünf Häutungen bringen den jugendlichen ] 
Copepoden immer näher der definitiven Gestalt. In jedem. 
Stadium besitzt der Harpacticide ein Kôrpersegment mehr als 


VIGUIERELLA COECA 501 


im vorhergehenden, die Beinpaare wachsen nach und nach und 
erhaltenihre typische Gestalt. Schon im ersten Copepoditstadium 
kônnen wir die Bildung von Anlagen der Geschlechtsorgane 
erkennen. Sie bestehen bei zukünftigen Weibchen aus zwei 
kleinen, eiformigen Gebilden, die in der Nähe des Gehirnes 
liegen, und einen dünnen Schlauch von ihrem vorderen 
Ende gegen das Endsegment, das noch ungeteilte sechste 
Kôrpersegment, hinsenden. Parallel der äusseren Entwicklung 
schreitet auch die innere Organisation vorwärts, sodass nach 
der elften Häutung das Tier, wie wir schon gesehen haben, bei 
günstiger Temperatur nur vier Tage braucht, um die ersten 
Eier zu legen. 

Der erste Autor der sich eingehend mit der Entwicklung der 
Copepoden beschäftigte und die Zahl der durchlaufenen Stadien 
mit einer speziellen Berücksichtigung der Gliedmassen festzu- 
stellen versuchte, war OBErG (21). Das Material, das er durch 
Planktonfänge in der Kielerbucht erhielt, bestand fast aus- 
schliesslich aus Gymnopleen-Larven, sodass dadurch der Kennt- 
nis der Cyplopiden- und Harpacticiden-Entwicklung nicht viel 
gedient war. Diese Tatsache brachte Dierricn (7) dazu, die 
Süsswassercopepoden zu bearbeiten, wobei er, sich eng an 
OBerG haltend, alle drei im Süsswasser freilebenden Familien 
dieser Ordnung berücksichtigte. Das Hauptresultat von Dier- 
RicH’s Arbeit ist die genaue Feststellung und Beschreibung der 
verschiedenen Stadien bei je einem Vertreter dieser Familien. 

Wie wirim Vorhergehenden gesehen haben, besitzt Viguie- 
rella sechs Naupliusstadien, während Drerricn für Cyclopiden 
und Harpacticiden deren fünf feststellte. Daraus sucht er durch 
Ueberlegungen biologischer Natur die Tendenz dieser Familien 
zu erklären, die Zeit, die sie als Larven zu leben haben, müg- 
lichst zu verkürzen. 

OBERG, wie auch Drerricn, konnten an ihren Naupliiden keine 
Segmentation feststellen, sondern schlossen nur von ausgebil- 
deten Extremitäten aufein zugehôriges Segmentzurück; manch- 
mal war sogar eine Längenzunahme des Abschnittes zwischen 
dem zuletzt angelegten Extremitätenpaar und den Schwanzbor- 


552 P.-A. CHAPPUIS 


sten der einzige Anhaltspunkt für die Annahme der Bildung 
eines neuen Segmentes. 

Dass bei jeder Häutung ein neues Segment entsteht, scheint 
eine feststehende Tatsache zu sein, und dass eine Concentra- 
tion in der Entwicklung der Cyclopiden und Harpacticiden statt- 
findet, müssen wir als hôchst wahrscheinlich annehmen, da uns 
nur hôchstens sechs Stadien zur Bildung von sieben neuen 
Segmenten zur Verfügung stehen. Viguterella zeigt nun als 
Nauplius eine gewisse Segmentation des Kürpers, und bildet 
frühzeitig die Anlagen der Thoracalbeine aus, so dass wir ganz 
deutlich den Uebergang eines Stadiums in das andere beob- 
achten kôünnen. Auf dem vierten Naupliusstadium bildet sich 
die Anlage des ersten Thoracalbeinpaares aus, und von da an 
wird jeweilen bei jeder Häutung bis zum ersten Copepoditen 


nur ein einziges Segment angelegt. Die Concentration hat also. 


früher stattgefunden, undzwaraufdemzweiten Naupliusstadium, 
wo die zwei Segmente, die die grôsste Tendenz haben zu- 
sammenzuschmelzen, das der zweiten Maxille und das des 
Maxillipeden gebildet werden. 

Da man nun bei Viguierella genau die Bildung der Thoracal- 
beinpaare verfolgen kann, und eine Anlage der ersten Maxille, 
obwohl diese noch nicht äusserlich sichthar ist, schon beim 
zweiten Naupliusstadium sich erkennen lässt, sehe ich mich 
veranlasst, wenigstens für das von mir untersuchte Tier die 
Annahme OgerG’s, dass beim Verlassen der Eibülle die Nauplien 
nur drei Segmente besitzen, für Vigutierella nicht in Anwendung 
zu bringen. Der Auffassung KorscHEeLT's und HEIDERS wäre 
hier eher beizutreten ; sie lautet : 


€Wenn auch am Kôrper des Nauplius eine Segmentierung 


äusserlich nicht erkennbar ist, so müssen wir an demselben 
doch folgende Segmente trennen. Ein vorderes präorales oder 
primäres Kopfsegment, den hintersten Kürper-Abschnitt als 


das End- oder Analsegment, und die dazwischengelegenen … 
echten Rumpfsegmente. Alsletztere werden wir den derzweiten 
Antenne zukommenden Leibesabschnitt, ferner ein Mandibular- 
segmentannehmen müssen. Der Nauplius wäre sonach aus dem 


PR. POUR 


| 


: 


VIGUIERELLA COECA 553 


primären Kopfsegment, zwei aufeinanderfolæenden Rumpfseg- 
menten und dem Endsegment zusammengesetzt. Môglicher- 
weise ist auch die Region der ersten Antenne ein eigenes 
Rumpfsegment, welches frühzeitig seine Selbstständigkeit ver- 
loren hat. Das Kopfsegment und Endsegment sind zu den 
Rumpfsegmenten in einen gewissen Gegensatz zu stellen, inso- 
ferne nur den letzteren echte Extremitäten zukommen. Das 
Endsegment des Nauplius enthält die hinterste, zum späteren 
Analsegment sich ausbildende Kürperpartie, und eine an der 
vorderen Grenze derselben gelegene Knospungszone, von 
welcher die stetige Produktion neuer Rumpfsegmente ausgeht. » 
Das vierte « Segment» wäre also kein Segment im wahren 
Sinne des Wortes, sondern ein Kürperabschnitt, dem die Funk- 
tion der Neubildung von Segmenten gegeben ist. 

Wie wir im folgenden sehen werden, fällt das Auftreten einer 
Extremität nicht mit der Bildung des Segmentes, dem sie an- 
sehôrt,zusammen, sondern erfolgt erst auf dem darauffolgenden 
Stadium. Das erste Copepoditstadium zum Beispiel besitzt drei 
Beinpaare, wovon das dritte aus einer ungegliederten Lamelle 
besteht. Auf diesem Stadium aber tritt dieses dritte Beinpaar 
als neue Extremität auf, währenddem das vierte Segment die 
aus der entsprechenden Häutung hervorgegangene Neubildung 
darstellt. Aehnlich verhält es sich bei dem zweiten Copepoditsta- 
dium, bei welchem das vierte Beinpaar auftritt und das fünfte 
Thoracalsegment gebildet wird. Wir haben also hier einen An- 
haltspunkt für die Bildung der Gliedmassen und Segmente der 
Naupliuslarven. Die Ansicht Korscaezr’s und Herner's, der wir in 


den vorhergehenden Zeilen beigetreten sind, dass die frisch 


aus dem Ei ausgeschlüpften Nauplien nicht aus drei, sondern 
aus vier deutlich voneinander zu unterscheidenden Segmenten 
bestehen, wird bekräftigt. 

Auf dem dritten Naupliusstadium tritt zum erstenmale die 
erste Maxille auf; diese gehôrt aber zu einem Segment das, 
wenn die obenerwähnte Beobachtung verallgemeinert wird, 
schon im vorhergehenden Stadium gebildet wurde. Es besitzt 
also schon das zweite Orthonaupliusstadium fünf Segmente. 


Rev Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 38 


a 4 


D: P.-A. CHAPPUIS 


Æ 


Es ist daher selbstverständlich, dass im ersten Orthonauplius 
die Scheidung zwischen Endsegment und Mandibelsegment 
vorgenommen werden muss, da ja kein Anhaltspunkt dafür 
vorhanden ist, dass vom ersten auf den zweiten Orthonauplius 
zwei Segmente gebildet werden kôünnten. 

Eine Bestätigung dieser Ansicht ist die Beobachtung OBErG's, 
der bei Oithonia im zweiten Orthonaupliusstadium einen Hôcker 
mit zwei langen, aber äusserst dünnen Borsten bemerkt, die 
an der gleichen Stelle inserieren, an der nach der darauffolgen- 
den Häutung die Borste auftritt, die als erste Anlage der ersten 
Maxille gedeutet wurde. 

O8ErG selbst konnte sich, da er auf dem ersten Orthonaup- 
liusstadium nur drei Segmente annahm, diese Erscheinung nicht 
erklären. Er bemerkt dazu: «Es träte hier also die Andeutung 
einer Extremität auf, ehe das dazu gehürige Kürpersegment ge- 
bildet wäre, denn von diesem findet sich sonst keine Andeut- 
ung, im Gegenteil ist sogar die Trennung von Mandibel und 
Analsegment nur undeutlich. » 

Die Segmente, die später beim erwachsenen Tiere den Cepha- 
lothorax abgeben, sind auch bei den Naupliuslarven nie deut- 
lich von einander abgesetzt, und erst das erste Beinpaar bei 
Viguierella und das zweite bei Epactophanes sind von dem vor- 
hergehenden Segmente durch eine mehr oder weniger deut- 
liche Chitinfalte getrennt. Die Bemerkung O8Eer&s betreffend 
die Trennung zwischen Mandibel und 1. Maxillarsegment ist 
daher hinfällig. 

Die Behauptung, dass eine Extremität nicht zu gleicher Zeit 
wie das dazugehôürige Segment selbst, sondern erst im darauf- 
folgenden Stadium auftritt, scheint mir ziemlich allgemein gül- 
tig zu sein, wenivstens traf dieses Gesetz bei allen von mir un- 
tersuchten Gattungen der Harpacticiden zu. Demnach wäre also 
die Auffassung über die verschiedenen Neubildungen der Seg- 
mente, die Dierricx in semer Arbeit für Canthocamptus an- 
gibt, umzuändern. 


Maupas betont an zwei verschiedenen Stellen seiner Arbeiten | 
die Genauigkeit seiner Beobachtungen Canthocamptus staphy- 


VIGUIERELLA COECA 5959 


linus betreffend, bei dem er sechs Naupliusstadien beobachtet 
haben will. 

Aufeine Anfrage meinerseits antwortete mir sein Freund 
Herr Prof. Viauier: «Il (Maupas) m'a prié de vous affirmer à 
nouveau son absolue certitude relativement au nombre des 
mues, qu'il a toujours vues au nombre de six. 

Etant donné le soin apporté par M. Maupas à ses cultures, je 
considère comme impossible qu'il ait pu se tromper plusieurs 
fois à ce sujet. Il esthien plus vraisemblable qu’un des stades 
a échappé à M. Dierricu, car il serait un peu surprenant, quoi- 
que je ne voie pas de raisons pour que ce soit impossible, que 
ses Canthocamptus staphylinus diffèrent en cela de ceux d'ici. » 

Dieser Erklärung Maupas’ steht eine ebenso kalegorische 
Dierricæs gegenüber: 

«Man künnte mir hier den Einwand machen, ich hätte die ersten 
Stadien beider Familien übersehen. Dem müchte ich entgegen- 
halten, einmal, dass ich die Nauplien habe unter dem Deckglas 
schlüpfen sehen, zum andern einen Hinweis auf die Literatur. 
... Craus hat eben geschlüpfte Nauplien mit starker Be- 
wehrung gezeichnet. Ferner müchte ich auf Hozcx hinweisen, 
der das Bild eines zweiten Nauplius (erster Metanauplius mit 
Anlage der Maxille) ausdrücklich als «Larve von Canthoc. sta- 
phylinus nach einmaliger Häutung » bezeichnet. » 

Dass sich Maupas bei der Bestimmung des Harpacticiden ge- 
irrt hätte ist, obschon diese Familie zu dieser Zeit noch wenig 
bekannt war, unwahrscheinlich. Es wäre hier vielmehr in Er- 
wägung zu ziehen, ob nicht bei den europäischen Formen die 
Verkürzung in der Entwicklung erst nach der Bildung der 
Mittelmeersenke entstanden sei, und dadurch die nordafrikani- 
schen Formen unabhängig von den europäischen sich haben 
entwickeln kônnen. 

Dass nicht alle Podopleen diese Verkürzung in der Entwick- 
lung durchgemacht haben, zeigt die im vorhergehenden Teile 
beschriebene Entwicklung von Viguierella. Auch bei Epacto- 
phanes habe ich mit ziemlicher Sicherheit die Sechs-Zahl der 
Nauplien festgestellt. Von den Harpacticiden des Süsswassers 


590 P.-A. CHAPPUIS 


würde also nur das Genus Canthocamptus fünf Nauplius besit- 
zen, während die andern mit Ausnahme von Witocra, Apsteinia, 
Moraria, Parastenocaris üu. s. W., die noch nicht untersucht 
worden sind, deren sechs besitzen. 

Wie die Podopleen OBErG’s und DrerricH’s zeigt auch Vi- 
guterella die Tendenz, den Gang der Entwicklung abzukürzen. 
Dieser Vorgang ist aber bei dieser Form noch nicht so weit ge- 
diehen und ermôglichte mir den verschiedenen Naupliusstadien 
jeweilenihre zugehôürigen Neubildungen zuzuweisen. Bei Vigute- 
rella, ähnlich wie bei Canthocamptus, macht sich diese Tendenz 
bemerkbar, die neugebildeten Extremiläten, mit Ausnahme der 
ersten Maxille, während des ganzen Naupliuswerdeganges als 
Anlagen bestehen zu lassen, um erst beim ersten Copepodit- 
stadium mit mehr oder weniger fertigen Beinpaaren aufzutreten. 

Dieser Prozess der Verkürzung des freilebenden Larvenstadi- 
ums ist bei Viguterella erst in seinem Anfangsstadium, wäbhrend 
er bei Canthocamptus-Arten weiter gediehen ist. Das Extrem 
in dieser Hinsicht aber leistet Cyclops fimbriatus, der, wie ich 
ôfters zu beobachten Gelegenheit hatte, auf dem vierten Meta- 
naupliusstadium nur die erste Maxille als neugebildete Extre- 
mität besitzt. Auch die bescheidenen Andeutungen von Bein- 
paaren, wie sie bei C. strenuus vorhanden sind, werden unter- 
drückt. Otthonia nimmt eine Mittelstellung ein, obwohl diese 
marine Form als solche nicht mit den im Süsswasser vorkom- 
menden Formen verglichen werden kann. 

Die Erklärung, die Drerrica für die geschilderte Tendenz 
gibt, ist ziemlich einleuchtend, doch wäre ihre Richtigkeit an 
Hand eines grôsseren Materials zu kontrollieren. 

Die von Drerricn untersuchten Formen waren fast ausschliess- 
lich pelagisch oder doch litoral in grôsseren Wasseransamm- 


lungen lebende Tiere. Für C. strenuus gibt A. GRÂTER eine pe- 


lagische und eine litorale Form an, und Canthoc. staphylinus 
ist einer der wenigen Harpacticiden die in Planktonfängen er- 
wähnt werden. Da nun Dierricu die Tendenz einer Verkürzung 
der larvalen Lebensdauer auf Momente biologischer Natur zu- 
rückführt, so wäre eine Untersuchung der kriechenden, also der 


VIGUIERELLA COECA 557 


am ausgesprochensten an geringe Wassermengen gebundenen 
Formen ein wertvoller Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der 
Copepoden gewesen. Zugleich hätte die Entwicklung dieser, 
den Witterungseinflüssen wie Kälte, Hitze, Eintrocknen und 
Einfrieren, am meisten unterworfenen Formen eine Bestätigung 
der von ihm aufgestellten Behauptungen, wenigstens für Cyclo- 
piden geliefert. 

Eine solche Arbeit fällt nicht in den Rahmen dieser Mitteil- 
ung. Sie soll nur ein kleiner Beitragzur Entwicklungsgæeschichte 
der Crustaceen sein. Doch môchte ich hier die Aufmerksamkeit 
der zukünftigen Bearbeiter der Entwicklungsgeschichte ir- 
gend einer Familie der Crustaceen darauf lenken, die verschie- 
denen Entwicklungsstadien nicht beim ersten besten Vertreter 
der Familie zu verfolgen, sondern nach Berücksichtigung der 
biologischen Verhältnisse die zwei Extreme herauszugreifen 
und zu bearbeiten. 

In unserem Falle hätte Dierricn, um nicht unvollständig zu 
bleiben, zum Beispiel Cyclops strenuus und Cyclops fimbriatus, 
der eine ausgesprochen kriechende Form und sehr verbreitet 
ist, untersuchen sollen. Dieser letztere hat auch den Vorteil, 
einer der zur Beobachtung der verschiedenen Stadien sich am 
besten eignenden Cyclopiden zu sein, da er in geringen Wasser- 
mengen und bei relativ hohen Temperaturen leben und sich 
fortpflanzen kann. 

Meine an diesem Copepoden angestellten Versuchen ergaben 
sünstige Resultate. 

Die Tiere lebten drei Wochen auf einem Objektträger unter 
einem Deckglase das durch Plasticinfüsschen unterstützt war. 

Ich konnte so die Entwicklung verfolgen, ähnlich wie es 
Maupas für Viguierella getan hatte. Die Angaben, die Dierricn 
für die verschiedenen Entwicklungsstadien von Cyclops strenuus 
gibt, stimmen im allgemeinen auch für die verschiedenen Sta- 
dien von C. fimbriatus; nur zeigt sich bei dieser kriechenden 
Form das Bestreben der Verkürzung der iarvalen Form noch 
deutlicher. Der auffälligste Unterschied zwischen den zwei er- 
wähnten Formen ist bei letzterer Art der Verlust aller äusseren 


558 P.-A. CHAPPUIS 


Gliedmassen-Anlagen, mit Ausnahme der ersten Maxille, bei 
den neu auftretenden Segmenten, bis zum ersten Copepoditen. 

Von den Harpacticiden wären in Frage gekommen, nicht die 
zwei einzigen littoral auftretenden, und in jeder grôüsseren 
Wasseransammlung vorkommenden Formen, sondern eine 
dieser beiden und Canthocamptus pygmæus oder zschokket, 
die in jedem Moospolster auftreten. 

Es zeigt sich bei den Harpacticiden überhaupt eine starke 
Tendenz von der Lebensweise im offenen Wasser nach und 
nach zum Aufenthalt in Moospolstern überzugehen. Erst seit 
dem diese näher untersucht worden sind, hat auch die Zahl 
der bekannten Harpacticiden, die noch vor einigen Jahren gering 
war, zugenommen. 

Die Züchtung dieser Tiere stôsst indessen auf grosse 
Schwierigkeiten, da die Eier sehr selten, und dann nur in ge- 
ringer Anzahl geleot werden. Auch verlangt das Beobachten 
auf Moospolster lebender Copepoden umständliche Manipula- 
tionen. 

Fassen wir die Resultate dieser Arbeit zusammen, s0 sehen 
wir, dass Viguterella Wwahrscheinlich ein blinder Kruster von 
phylogenetisch hohem Alter ist. Für diese Annahme sprechen 
die verschiedensten Momente wie z. B. die Zahl der Nauplius- 
stadien, die noch in hrer ursprünglichen Anzah]l vorhanden sind, 
die getrennten Geschlechtsüffnungen und die unpaare Copula- 
tionsdrüse, die als Rudiment des zweiten Hodens der œ anzu- 
sehen ist, und das Vorhandensein eines freien ersten Thoracal- 
segmentes mit dem ersten Beinpaare. Vielleicht kann auch der 
Besitz eines pulsatilen Apparates in der Maxillendrüse, der auch 
bei Bathynella natans, einem Kruster dessen Verwandte schon 
im Perm und Carbon vorkommen, allerdings nicht in gleicher 
Form, doch mit gleicher Funktion, auftritt, als altertümliches 
Merkmal aufsefasst werden. 

Die verschiedenen Fundstellen von Viguierella weisen aufein 


sehr geringes Feuchtigkeitsbedürfnis unserer Form hin; doch … 


scheint diese, obwohl sie allein von mir in subterranen Gewäs- 
sern gefunden worden ist, in solchen ihren Ursprung zu haben. 


VIGUIERELLA COECA 559 


Für diese Behauptung sprechen die Augenlosigkeit und das 
Alter der Form. Man kônnte mir hier den Einwand machen, 
die wenigen Fundorte, an denen ich Viguierella subterran 
lebend vorgefunden habe, seien durch Zufall von diesem Kruster 
bevôlkert worden und Blindheit sei keine unbedingte Folge. 
des Hühlenlebens. 

Dem gegenüber müchte ich bemerken, dass Viguterella ein 
Bewohner der Spalten und Risse der Erdrinde ist, und sich in 
die von RacovirTza aufsestellte Gruppe der «Troglophiles» stellt. 
Viguierella Wurde noch nie in Hôhlen gefunden, weil dieses 
Tier sich gar nicht dort aufhält und andere Orte, wie die dem 
Menschen unzugänglichen Spalten, wurden bis jetzt noch nicht 
untersucht. Die oberirdischen Fundorte deuten darauf hin, 


dass Viguierella, die vor Zeiten gezwungen oder freiwillig die 


unterirdischen Gewässer als Wohnort angenommen hatte, nun 
wieder zur Erdoberfläche zurückkehrt und dort infolge ihrer 
grossen Anpassungsfähigkeit sich ansiedelt. 


SYSTEMATIK 


Wie wir am Anfang schon gesehen haben, weicht Vigute- 
rella coeca Maup. in einigen Merkmalen von Phyllogna- 
thopus paludosus Mrazek ab. Wir haben es also hier mit zwei 
von einander verschiedenen Formen der gleichen Gattung zu 
tun, deren Diagnose im Anschluss an Vax Douwe (Nr. 24) fol-. 
gender Massen lauten würde. 


Subfamilie LONGIPEDIHDAE. : 
Gattung Viguterella Maupas. 


Erster Thoracalring nicht mit dem Kôrper verwachsen, daher 


Rumpfdes © aus zehn, der des g'aus elf Segmenten bestehend ; 


erste Antenne achtgliedrig, Nebenast der zweiten Antenne ein- 
gliedrig. Mandibulartaster aus zweigliedrigen Aëesten bestehend, 


zweiter Maxillarfuss undeutlich zweigliedrig. Auf das etwas 


560 P.-A. CHAPPUIS 


stärker chitinisierte Basalglied folgt das beinahe kreisrunde 
Endglied, welches ausser verschiedenen gewôhnlichen Borsten 
drei kurze, zahnartige und befiederte Borsten trägt. Sämtliche 
Beine kurz. Eiballen nicht vorhanden. Spermathophoren keulen- 
formig, mit langem Hals. 


Viguierella coeca Maupas. 


Erste Antenne achtgliedrig, zweite Antenne viergliedrig; 
Rostrum ventralwärts gebogen, in eine Spitze ausgezogen, mit 
zwei Tasthaaren. Maxilliped undeutlich zweigliedrig, blatt- 
formig. Analplatte glatt, unbedornt. Furka schlank, dVR 
Borsten beim © halb so lang wie beim ©, kurz, blattformig. 
Beim of nur eine gut entwickelte, ziemlich kurze, normale End- 
borste; erstes bis drittes Bein in beiden Aesten dreigliedrig, 
viertes Bein Enp. zwei-, Exp. dreigliedrig. Fünftes Bein Q: 
Basal und Endglied gleich lang, an der Basis verschmolzen. 
Fünftes Bein Go‘: Basalglied verkümmert, nur aus einer Stachel- 
reihe und einem darüber befindlichen dreieckigen, beborste- 
ten Zipfel bestehend; Endglied länglich mit sechs Borsten. In 


der Maxillendrüse ein pulsatiler Apparat. Länge 570—600 


®, 530—560u S. 


Viguierella paludosa Mrazek. 


Erste Antenne achtgliedrig, zweite Antenne dreigliedrig. 


Rostrum fast viereckig, mit zwei Tasthaaren. Maxilliped : « 


zweigliedrig, blattf‘rmig. Analplatte mit sieben bis elf kleinen 
Zähnen. Furka schlank, divergent; nur eine gut entwickelte 
kurze Endborste. Erstes bis drittes Bein in beiden Aesten drei- 
gliedrig. Viertes Bein : Endopodit zweigliedrig, Exopodit drei- 


gliedrig. Fünftes Bein des © : Basal und Endglied gleich lang, ‘4 


an der Basis verschmolzen. Fünftes Bein des G‘: Basalglied ver- 


kümmert, nur aus einer Stachelreihe und einem darüberbefind- 


lichen Dorn bestehend. Endglied länglich, mit sechs Borsten. 


Ueber den Bau des G‘ist sonst nichts bekannt. Maxillendrüse 4 


ohne pulsatilen Apparat. Länge 650 x ©. 


nn à dE" tien ds 2e De 
7 


VIGUIERELLA COECA 561 


GEOGRAPHISCHE  VERBREITUNG 


Viguierella coeca Wurde bis jetzt an folgenden Orten gefunden: 

Algier, an zwei Orten, von Maupas. 

Deutschland, in der Mark Brandenburg, von HarTwIG, und 
in Dresden, von KESSLER. 

England, im botanischen Garten von Regentspark und in 
Kew Garden, von SGOURFIELD. 

Schweiz, in Basel und im Kanton Thurgau, von P. A. 
CHaPpPuis. 

Viguierella paludosa wurde von MrRazek in Bühmen beo- 
bachtet. 


LITERATURVERZEICHNIS. 


1. Cazmax, W.T. Crustacea; in: Treatise on Zoology, edited by 
Sir Ray Lancaster, Part. VII, Fase. III, London. 1909. 
2. Cuappuis, P. A. Ueber das Excretions-Oroan vor Phyllognatho- 
pus viguieri. Zool. Anz., Bd. 44, 1914. 
3. In. Bathynella natans und ihre Stellung im System. Zool. Jahrb., 
Abt. Syst., Bd. 40. 1916. 
4. Craus, C. Zur Anatomie und Entwicklungsgeschichte der Cope- 
poden. Arch. f. Natgesch., 24. Jahrg., Bd. 1. 1858. 
5. In. Untersuchungen zur Érforschung der genealogischen Grund- 
lagen des Crustaceensystems. Wien. 1876. 
6. In. Neue Beobachtungen über die Organisation und Entwicklung 
von Cyclops. Arb. Zool. Inst., Wien, Bd. X. 1892. 
7. Dierricu, W. Die Metamorphose der freilebenden Süsswasser- 
copepoden. Leitschr. f. wissensch. Zoologie, Bd. 63. 1915. 
8. Douwe, C. van. Copepoden : in : Süsswasserfauna Deutschlands. 
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9. Giesssrecar W. Zur Morphologie der Ma: zilipeden. Mitt. der 
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10. In. Crustacea in : Laxc, Handbuch der Morphologie der wirbel- 
losen Tiere. Bd. 4, Arthropoda, 1. u. 2. Liefg. 1913. 


18. 


19: 


A nu 


P.-A. CHAPPUIS 


Grirer A. Die Copepoden der Umgebune von Basel. Rev. Suisse 
Zool., FMASMONS: 

Grirer E. Die Copepoden der unterirdischen Gewässer. Arch. f. 
Hydrobiol., Bd. VI. 1910. 

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lebenden Copepoden. Leitschr. f. wiss. Zool., Bd. 32. 1879. 
Haxsex J. H. Zur Morphologie der Mundgliedmassen. Lool. Anz., 
16. Jahrg. 1893. 

Harrwic, W. Die Krebstiere der Provinz Brandenburg. Naturw. 
Wochenschrift. 1895. 

KessLer E. Ueber ein Excretionsorgan bei der Harpacticiden-Gat- 
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KorscueLt E. u. Heiner C. Vergleichende Entwicklungsgeschichte 
der wirbellosen Tiere. Spezieller Teil, Bd. 1,2. 1893-1909. 

La Rocue, R. Die Copepoden der Umgebung von Bern. Dissert., 
Bern. 1906. 

Maupas M. Sur le Belisarius viguieri, un nouveau copépode d'eau 
douce. C. R. Acad. sciences, T. 115, part 2. 1892. 

Mrazek, Al. Beitrag zur Kenntnis der Harpacticiden Fauna des 
Süsswassers. Zool. Jahrb., Abt. f. Syst., Bd. 7. 1894. 

OserG M. Die Metamorphose der Planktoncopepoden der Kieler- 
bucht. Wiss.Meeresunters., Kiel, Abt. Kiel, N. F.. Bd. IX. 1905— 
1906. 

Scumeir, O. Deutschlands freilebende Süsswassercopepoden. 
1892. 

ScourFiELD D. J. Synopsis of the British freshwater  Entomo- 
straca. Journ. of the Quekett Micr. Club (2). 1904. 


Wocrr, E. Die Fortpflanzungsverhältnisse unserer einheimischen 


Copepoden. Zool. Jahrb., Abt. f. Syst., Bd. 22. 1905. 


ET: 


dns nr Lohan 2e Pat An din Sie it DE SDS de Sd Sd 


D'OR 


VIGUIERELLA COECA 563 


ERKLÂARUNG DER TAFELN 


TAFEL 3. 


Die bei den Naupliusstadien angegebenen Zahlen beziehen sich bei allen 
Stadien auf die gleiche Gliedmasse, und zwar bedeuten : 


D = 


O1 æ Co 


IUT 


Erste Antenne. 
Zweite Antenne. 
Mandibel. 

Erste Maxille. 


Zweite Maxille. 


LA 


) © I o Ot 


— Maxilliped. 

— Erstes Beinpaar. 

— Zweites Beinpaar. 

— Anlage des dritten Beinpaares. 
— Furka-Anlage und Analsegment. 


Die Figuren 1 und 2 sind von Maupas selbst, die anderen teilweise nach 


seinen Skizzen gezeichnet. 


Frc. 
Fic. 
Fic. 
Fic. 
Fic. 
Firc. 
Fic. 
Fic. 


Habitusbild von Viguierella coeca Maupas. Q Vergr. x 220. 


» 


» 


» 


Erstes Naupliusstadium. Vergr. >< 300. 


. Zweites 
. Drittes 


Viertes 


. Fünftes 
. Sechstes 


» 


» » œ » > PAU 
» >Tal0: 
» >< 300. 
» >< 300. 
» >< 300. 
» >< 300. 


564 


Er: 
F1G. 
lite 
Fré: 
Fc. 
Frc. 
Frc. 
FrG. 
Fire: 
Fc: 
Fi. 
Firc. 


FrG. 
FiG. 
Pics 
re: 
FiG. 
Firc. 


9 


10. 
. Zweïte » GA 
. Mandibel. 

. Erste Maxille. 

. Zweite » 


D D ND 
D 2 


ROIS NUIRS 
Qt 


… 


+ © 


me 


P.-A. CHAPPUIS 


Erste Antenne Q. 


Erste » Œ: 


. Maxilliped. 

. Fünftes Beinpaar Q. 
. Fünftes » ei 
®, Geschlechtsfeld mit Spermatophor. 


. Lweïites Beinpaar. 
Viertes » 
Drittes » 

. Erstes » 
©, Furka. 


TAFPEL &. 


. ®, Geschlechtsorgane. 
Anomalie des Geschlechtsorgans des G'- 
. , Geschlechtsorgane. 


à 
| 


Lt Beck & Frur.-Cenéve: 
Maupas et PA.Chappuis del. 


P. A ChappuiSi- Viguierella. 


Rev Suisse de Zool. T' 24-1916. 


: Mi 


Lith. Reck & Frur,-Genéve. 


P A Chappui$ :- Viguierella. 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 
Vol. 24, n° 9. —_ Décembre 1916. 


RÉSULTATS SCIENTIFIQUES DE LA MISSION ZOOLOGIQUE SUÉDOISE 
AU KILIMANDJARO, AU MÉROU, ETC. (1905-1906) 
SOUS LA DIRECTION DU PROF. Dr YNGVE SJOÜSTEDT 


Araignées du Kilimandjaro et du Mérou 


(Suite!) 
PAR 


R. de LESSERT 


Avec 26 figures dans le texte. 


IT 
Pisauridae. 


Genre EuProsrHenors Pocock 1897. 


1. Euprosthenops proximus n. sp. 
(Fig. 1 à 4.) 

Forme très voisine d’£. bayaonianus (Brito Capello), dont 
elle se différencie surtout par la forme de l’apophyse tibiale des 
pattes-mâchoires et l’aire des yeux médians en trapèze aussi 
long (mais non plus long) que large en arrière. Chez E. baya- 
ontanus, l'aire des yeux médians est, d’après Simon (1898, p. 12), 
à peine plus longue que large en arrière et, d’après Srrann (1908, 
p- 104), un peu plus longue que large. 


! Pour la première partie Cf. Rev. suisse Zool.. vol. 23, pp. 439-533. 1915. 
Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 39 


566 R. DE LESSERT 


Le G d'E. bayaonianus n’est connu que par une figure de 
Simox (1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 299 A), représentant la 
patte-mâchoire droite du côté externe et une description de 
SrrAND, loc. cit. Ce dernier auteur ne mentionne toutefois pas 
la forme de lapophyse tibiale des pattes-mâchoires. 

E. prospiciens O. P. Cambridge 1907, p. 827, pl. 50, fig. 38 à 
4A0(— GS dE.australis Simon, d’après Simon, 1910*, p. 206)se rap- 
proche d’'E. proximus n. sp. par le tibia des pattes-mâchoires 
présentant «<a short, tapering, slightly curved apophysis at its 
extremity on the outer side » que la fig. 40 de CAMBRIDGE ne 
permet cependant pas de reconnaître. Chez Æ. australis Simon 
1898, p. 12, l'aire des yeux médians est beaucoup plus longue 
que large. 

d : Céphalothorax brun-rouge, à pubescence fauve clair’, 
marqué d’une bande médiane mal définie, de stries rayonnantes 
et de deux bandes submarginales jaunes, à pubescence blanche. 
Deux lignes incurvées de pubescence blanche en arrière des 
yeux latéraux postérieurs, se rejoignant en avant et se prolon- 
geant jusqu'à l'intervalle des yeux médians antérieurs, en des- 
sinant une figure piriforme. Pédoncules oculaires divisés lon- 
gitudinalement en 2 parties, l’externe à pubescence blanche, 
l’interne à pubescence fauve. Une tache blanche, dilatée vers 
le bas, des yeux médians antérieurs au bord inférieur du ban- 
deau. Yeux situés sur des taches noires et cerclés de poils fauve 
clair. Chélicères jaunes, rayées de noirâtre en avant, revêlues 
de pubescence blanchâtre. Pièces buccales noirâtres, éclaircies 
en avant. Sternum jaune, à pubescence fauve-blanchâtre, coupé 
d'une bande longitudinale noirâtre, diffuse. Pattes fauve-rou- 
geûtre, à pubescence fauve, les tibias ornés, à chaque extrémité, 
d’un anneau noirâtre. Pattes-mâchoires fauve-rougeûtre, variées 
de noirâtre sur les fémurs, patellas et tibias. Abdomen brun 
foncé, presque entièrement occupé en dessus par un folium 
longitudinal isabelle, à pubescence blanchâtre, liséré de blanc, 


à bords sinueux. Ce folium est parcouru par une bande longi- 


! La pubescence des téguments est formée de poils plumeux. 


, 778 
“à 


CE 
if 


ARAIGNÉES 567 


tudinale noirâtre, à bords également sinueux, à pubescence 
fauve clair, marquée en avant d’une tache lancéolée plus foncée, 
finement bordée de blanc. Région ventrale coupée d’une bande 
longitudinale noirâtre, indistincte, à pubescence fauve-doré, 
limitée par 2 traits blanchâtres presque parallèles. 

Yeux antérieurs en ligne très fortement procurvée, les laté- 
raux situés à l’extrémité inférieure de pédoncules qui sont 
obtus, divergents et occupent les angles du bandeau. Yeux 
médians antérieurs un peu plus petits que les latéraux, séparés 
par un intervalle environ égal à leur rayon. Yeux postérieurs 
subégaux, en ligne très fortement recurvée, les médians séparés 
l’un de l’autre par un intervalle d’‘/; inférieur à leur diamètre 
et des latéraux par un intervalle excédant un peu leur diamètre. 
Yeux latéraux postérieurs (situés sur le côté externe de tuber- 
cules bas) occupant un espace transverse à peine plus étroit 
que celuides yeux latéraux antérieurs. Yeux médians des2 lignes 
formant un trapèze plus étroit en avant qu’en arrière (mais non 
2 fois); ce trapèze est, vu en dessus, à peine plus large en ar- 
rière que long, et, vu un peu en avant, aussi long que large en 
arrière. Yeux médians antérieurs plus petits (d'environ d’1) 
que les postérieurs. Base des yeux latéraux antérieurs (vus en 
avant) au niveau du bord inférieur du bandeau. 

Marge inférieure des chélicères pourvue de 3 dents subé- 
gales,équidistantes. Pattes incomplètes (il manque à notre exem- 
plaire les pattes IV, et une partie des pattes LIL); les tibias, pro- 
tarses et tarses garnis de longs crins fins, arqués. 

Pattes-mächoires (fig. 1 à4). Tibia de même longueur en dessus 
que la patella, plus long que large, à côtes presque parallèles, 
muni, à son bord apical externe, vers le milieu, d’une apophyse 
brun foncé, dirigée obliquement en avant et en bas. Cette apo- 
physe est, vue du côté externe (fig. 1), conique, avec l’extré- 
mité antérieure arquée en haut, obtuse (dans cette même posi- 
tion, l’apophyse tibiale d’£. bayaonianus paraît, d’après la figure 
de Simox, 1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 229 À, cylindrique, ter- 
minée en petit crochet à l'extrémité). Vue en dessous et un peu 
en arrière (fig. 4), l'apophyse tibiale est resserrée vers le milieu, 


568 R. DE LESSERT 


puis dilatée et obtusément tronquée à l'extrémité (qui est exca- 
vée en dessus). Tarse presque 2 fois plus long que tibia + patella 
dongueur 3°%,3), ovale, longuement et régulièrement atténué 
en avant en rostre subaigu, plus de 2 fois plus court 
que le bulbe, plus de 3 fois plus court que le tarse , muni en 
dessous de 2 longues épines. Bulbe (fig. 3), muni de 3 apophyses 
dirigées en avant, naissant à peu près au même niveau dans la 


Rrc-ule Ercua: 
Fr6:2: ÉrG' LE 
Euprosthenops proximus n. sp. G. 
F1G. 1. — Patte-mâchoire droite du côté externe. 
Fi1G. 2. — Lame médiane du bulbe du côté externe et un peu en dessous. 
F1G. 3. — Partie antérieure du tarse et du bulbe en dessous. 
F1G. 4. — Apophyse tibiale en dessous et un peu en arrière. 


moitié basale. 1° Du côté externe, un stylus noir, arqué en avant, 
puis recourbé en haut et en arrière, muni de 2 spinules paral- 
lèles, obliques, sur la courbure antérieure. 2° Dans la région 
médiane, une lame plus longue que large, obliquement située, 
recouvrant toute la partie antérieure du stylus, son extrémité 
antérieure recourbée perpendiculairement en haut en crochet 


1 D'après SrranD (1908 p. 105), le rostre serait 2 fois plus court que le tarse 


chez Æ. bayaonianus, ce qui ne correspondrait pas à la figure précitée de 


SIMON. 


- 


ARAIGNÉES 569 


noir, presque droit, subaigu. De chaque côté, les bords de la lame 
sont repliés en haut, le bord externe étant anguleux, l’interne 
convexe et muni d’un denticule à peine visible (fig. 2.) 3° Au 
bord interne, une petite saillie obtuse. 

Longueur totale, 16%"; longueur du céphalothorax 5.5""1, 

Pattes! 1 — 462,5 € 

Habitat : Kibonoto, zone des cultures (1 G', type, XIT). 


2. Euprosthenops armatus Strand 1913. 
(Fig 5. 6.) 

La description d’'£. armatus GS demande à être complétée 
comme suit: 

d : Céphalothorax brun foncé, avec 2 bandes submarginales 
blanches, assez étroites et légèrement sinueuses, séparées 
du bord du céphalothorax par un intervalle environ égal à 
leur largeur, atteignant en avant la base des pédoncules 
oculaires. Céphalothorax orné en outre d’une ligne médiane 
longitudinale blanche, se prolongeant en avant jusqu’à l’inter- 
valle des yeux médians antérieurs et d’une tache trapézoïdale 
blanche des yeux médians antérieurs au bord inférieur du ban- 
deau. Pédoncules des yeux latéraux antérieurs noirs, éclaireis 
à la base. Bandes submarginales, ligne médiane et tache trapé- 
zoïdale antérieure recouvertes de pubescence blanche *%. Une 
ligne marginale de pubescence blanche reliée à la bande 
submarginale par de la pubescence blanche et fauve. Chélicères 
jaunes, teintées de brun du côté externe. Pièces buccales 
jaunes. Sternum jaune, avec, vers le milieu, 2 taches incurvées 
noirâtres, qui n'existent pas chez le type. Pattes jaunes, légè- 
rement teintées de noirâtre ; de petits anneaux interrompus, 
noirâtres, à chaque extrémité des tibias.Pattes-mâchoires jaune- 
testacé. Pubescence des chélicères, pièces buccales, sternum, 


! Y compris les pédoncules oculaires. 

? D'après Srranp», les dimensions d'Æ. bayaonianus G' sont : longueur totale, 
20mm ; longueur du céphalothorax, 8mm, 5; pattes | — 59mm, 4. 

* La pubescence des téguments est formée de poils plumeux. 


570 R.: DE LESSERT 


hanches des pattes, pattes-mâchoires, blanche ; celle des pattes, 
fauve-blanchâtre. Abdomen jaune clair, presque entièrement 
occupé en dessus par une tache longitudinale noire, à bords un 
peu découpés et sinueux, présentant en avant une ligne médiane 
longitudinale éclaircie (la pubescence de l'abdomen est effacée 
en dessus chez nos exemplaires). Flancs ornés d’une bande 
longitudinale noirâtre. Région ventrale blanc-testacé (avec des 
traces de lignes latérales plus foncées), à pubescence blanche. 

Yeux présentant la disposition typique chez les Euprosthenops, 
mais différant d'E. proximus par les caractères suivants: les 
yeux médians antérieurs sont un peu plus gros que les latéraux; 
les yeux médians postérieurs sont séparés l’un de l’autre par 
un intervalle à peine inférieur à leur diamètre et des latéraux 
par un espace 2 fois plus grand que leur diamètre Yeux latéraux 
postérieurs occupant un espace transverse nettement plus étroit 
que celui des yeux latéraux antérieurs. Yeux médians des 2 lignes 
subégaux !, formant un trapèze un peu plus étroit en avant. Ce tra- 
pèze est, vu en dessus, à peine plus large en arrière que long 
et, vu en avant, un peu plus long que large en arrière. Base des 
yeux latéraux antérieurs (vus en avant) située légèrement plus 
bas que le bord inférieur du bandeau. 

Marge inférieure des chélicères pourvue de 3 dents sub- 
égales, équidistantes. 

Pattes-mâchoires (fig. 5,6). Patella de même longueur environ 
que le tibia; ce dernier article est, vu en dessus (fig. 5), légè- 
rement arqué, régulièrement élargi en avant, et présente à son 
bord apical, du côté externe, une saillie obtuse, précédée, sur 
le côté externe de l’article, d’une apophyse dirigée perpendi- 
culairement en dehors, comprimée, séparée de la saillie anté- 
rieure par une échancrure triangulaire. Vue en dessus, l’apophyse 
perpendiculaire externe est conique, avec le bord postérieur 
presque droit, le bord antérieur un peu sinueux, l’extrémité 
libre recourbée en avant en petit crochet aigu, noir (le bord pos- 


Par ses yeux médians subégaux, £. armatus diffère des Æ£. bayaonianus, 
australis et proximus et se rapproche au contraire des Æ. pulchellus et an- 
nulipes. 


ARAIGNÉES 571 


térieur de l’apophyse est également noir). Vue du côté externe 
et un peu en arrière (fig. 6), cette apophyse est large, légèrement 
dilatée en avant, avec les angles antérieurs obtus et le milieu du 
bord antérieur avancé en dent triangulaire, aiguë. Vue en des- 
sous, l’apophyse tibiale paraît un peu excavée en avantet convexe 
en arrière. Tarse plus long que tibia + patella. ovale allongé, 
terminé en rostre eflilé, plus court que le bulbe, plus de 2 fois 
plus court que le tarse. Bord externe du tarse présentant, dans 
le 1/3 basal, une dilatation triangulaire obtuse ; à la base du tarse, 
du côté interne, une petite saillie arrondie. Bulbe pourvu à lex- 


Frc. 5. Fic. 6. 
Euprosthenops armatus Strand '. 
F1G. 5. — Patte-mâchoire gauche en dessus. 
F1G. 6. — Patte-mâchoire gauche du côté externe et un peu en arrière. 


trémité de 2 apophyses peu distinctes : l’interne (? conducteur 
du stylus) brun-rouge, arquée, canaliculée du côté externe, ter- 
minée en pointe très aiguë, dirigée en dehors ; l’externe en 
dent subtriangulaire, obtuse, noire, dirigée obliquement en 
bas. Ces 2 apophyses sont visibles du côté externe (fig. 6). 

Longueur totale, 13""; longueur du céphalothorax, 5"",11 
Pattes IV — 34m. | 

Ha bitat : Ngare na nyuki (2 ©, I). 


1 Y compris les pédoncules oculaires. Chez le type, la longueur totale est 
de 11 à 12mm, celle du céphalothorax de 4mm,5, celle des pattes IV de 29mm,5, 
Les pattes sont dans l’ordre I, 11, HIT, IV. 


572 R. DE LESSERT 


Genre SPENGERELLA Pocock 1898. 


L. Spencerella lineata Pocock 1898. 
(Fig. 7 à 10). 

Pococx (1898, p. 215) n’a décrit que le c' de $. lineata ; je 
donne ici la diagnose de la ® et quelques détails complémen- 
taires sur la patte-mâchoire du Œ. 

® : Sous l’alcool, le céphalothorax est jaune clair, revêtu de 
poils brun-noir, à l'exception d’une bande médiane graduelle- 
ment rétrécie en avant. Sur la région thoracique, 2 étroites 
bandes latérales claires, un peu sinueuses et effacées, ainsi que 
des traits rayonnants foncés, peu distincts. Yeux situés sur des 
taches noires. Desséché, le céphalothorax est couvert sur les 
côtés de pubescence ! blanchâtre et, sur la bande médiane, de 
pubescence très blanche, formant, au niveau des yeux médians 
postérieurs, un fascicule triangulaire de poils plus longs, diri- 
gés en avant. Pubescence de la face blanche, assez longue et 


serrée ; deux lignes parallèles de pubescence blanche du côté 


externe des yeux médians postérieurs au côté externe des yeux 
latéraux antérieurs. Chélicères jaunes, teintées de noir, avec 2 
lignes de pubescence blanche sur la face antérieure. Pièces 
buccales noirâtres ; sternum noirâtre, graduellement éclaire et 


jaune sur les bords, coupé d’une étroite bande médiane jaune: 


clair, atténuée en arrière et couverte de pubescence blanche. 
Pattes-mâchoires jaunes, variées de noir. Pattes jaune foncé en 
dessus, obscurcies et noirâtres en dessous, à pubescence fauve 
et blanche. Abdomen brun-noir en dessus, coupé d’une bande 
médiane claire, lisérée de blanc, à côtés presque droits et pa- 
rallèles, atteignant les filières en arrière. Pubescence de l’ab- 
domen fauve obscur, celle de la bande médiane d'un blanc pur. 
Région ventrale jaunâtre, ornée d’une bande longitudinale 
noirâtre, coupée d’une bande plus claire. Pubescence de la ré- 
gion ventrale blanche et fauve. 


1 La pubescence des téguments est formée de poils plumeux, à l'exception 
des poils bruns du céphalothorax qui sont simples et assez épais. 


à 


PACS 
nd dit 0 De db its ÉTÉ, de TD D ES SC ÉD on de és ÈS à ossi ei COS 


ARAIGNÉES 573 


Aire oculaire plane, proclive. Yeux antérieurs en ligne très 
fortement procurvée, disposés en trapèze plus large en avant 
qu'en arrière ; ce trapèze, vu en avant, est presque aussi long 
ou aussi long que large en avant, avec les yeux latéraux (situés 
sur des pédoncules courts et obtus) d'1/3 plus gros que les mé- 
dians. Yeux latéraux antérieurs séparés par un intervalle un 
peu plus grand que leur diamètre ; yeux médians antérieurs sé- 


LT 


Spencerella lineata Pocock ©. 


F1G. 7. — Céphalothorax et abdomen en dessus. 
FiG. 8. -— Epigyne. 


parés par un intervalle un peu plus petit que leur diamètre. 
Yeux médians antérieurs et postérieurs formant un trapèze 
plus étroit en avant qu’en arrière. Ce trapèze est, vu en dessus, 
nettement plus large en arrière que long et, vu en avant, à 
peine plus large en arrière que long. Yeux médians antérieurs 
d’'/: plus petits que les postérieurs. Yeux postérieurs subégaux, 
en ligne fortement recurvée, les médians plus resserrés, sépa- 
rés l'un de l’autre par un intervalle environ égal à leur 
diamètre et des latéraux par un intervalle presque double 
de leur diamètre. Yeux latéraux postérieurs situés sur des tu- 


574 R., DE LESSERT 


bercules bas. Yeux latéraux antérieurs occupant un espace à 
peine plus étroit que celui des yeux médians postérieurs. Ban- 
deau très étroit, vu en avant, moins long que le diamètre des 
yeux latéraux antérieurs. Angles externes du bandeau proémi- 
nents, obtus. 

-Chélicères munies, à la marge inférieure, dé 3 dents be 
les, subéquidistantes. Tibias des pattes pourvus en dessous de 
3-3 longues épines et de 2 épines apicales plus petites. 

Abdomen long et étroit, régulièrement atténué en arrière, 
environ 4 fois plus long que large en avant. Epigyne (fig. 8) en 
plaque plus large que ee munie de chaque côté d’une la- 
melle à bord interne arrondi et noir !; bord antérieur de la pla- 
que présentant une échancrure rectangulaire, testacée, limitée 
de chaque côté par une lamelle brun-rouge, arrondie en avant. 
L’échancrure est suivie en arrière d'une dépression mal définie 
fauve-rouge, à bord postérieur procurvé ?. 

Longueur totale, 12". ; longueur du céphalothorax, 3.6 à 4", 

d : Coloration comme chez la 9, avec les pattes (sauf les 
pattes III) moins obscurcies en dessous, mais cependant tein- 
tées et mouchetées de noir. Pattes-mâchoires jaunes, variées 
de noir, à pubescence blanche. Abdomen fauve clair, avec une 
ligne obscure de chaque côte de la bande médiane ; flancs mou- 
chetés de noir. 

Pattes-mâchoires (fig. 9 et 10)%. Patella convexe en dessus, et 
munie d’un long crin antérieur. Tibia aussi long en dessus que 
la patella, plus long que large, pourvu, du côté externe, d’une 
saillie subbasale et a une apophyse apicale, dirigée obliquement 
en avant. Saillie subbasale du tibia jaune, légèrement bilobée ; 


1 Les bords internes des lamelles dessinent une figure en x à branches dis- 
jure 
? L'épigyne de S. lineata est du même type que chez S. signata Pocock 1902, 


pl. 3, fig. 4. Cette dernière espèce (dont la Q seule est Rn) diffère de S. 


lineata par l'écartement et la grandeur relative des yeux. 

# La patte-mâchoire de S. lineata figurée par Pocock (pl. 8, fig. 17) est vue 
en dessous et un peu du côté externe ; les apophyses ont donc une forme un 
peu différente que dans nos fig, 9 et 10; l’'apophyse tibiale subbasale parait ob- 


tuse, l’apophyse apicale plus aiguë ; l’'apophyse apicale du bulbe est terminée 4 


en poiute plus longue. 


F 
+ 
. 
L 
1 


ARAIGNÉES 575 


vue en dessus (fig. 9), elle est obliquement tronquée du côté 
externe, avec les angles obtus. Apophyse apicale du tibia, vue 
du côté externe, obliquement située ; vue en dessus (fig. 9), 
cette apophyse paraît formée de 2 parties, dont la postérieure est 
fauve et obtuse, l’antérieure noire, obliquement tronquée à Pex- 
trémité avec l’angle postérieur obtus, l’antérieur aigu et précédé 
d’un denticule à peine visible. Tarse plus long que tibia + 
patella, ovale allongé, terminé en rostre grêle. plus court que 
le bulbe, plus de 2 fois plus court que le tarse. Le bulbe est situé 


F1G.,9. 


Spencerella lineata Pocock c'. 


F16. 9. — Patte-mächoire gauche en dessus. 
Fic. 10. = Extrémité du bulbe en dessous. 


obliquement et déborde le tarse des deux côtés. Stylus naissant 
au bord interne du bulbe, arqué du côté externe, atteignant, 
presque l’extrémité d’un conducteur digitiforme, obtus. Ce der- 
nier est caché en partie en dessous par une apophyse recourbée 
du côté externe en forme de griffe acérée (fig. 10). 
Longueur totale, 11.5". ; longueur du céphalothorax, 3.8". 
Habitat: Kibonoto, zone des cultures (2 9, 1 S', XII). 


Spencerella lineata var: sexmaculata n. var. 


Deux Q différant du type par leur céphalothorax orné, de 
chaque côté, de 3 taches noires, arrondies, disposées en série 


14 


576 : R. DE LESSERT 


longitudinale sur les bandes latérales. L’abdomen de ces exem- 
plaires est ratatiné (après l'oviposition) et présente une bande 
médiane noirâtre, marquée en avant d’une zone longitudinale 
éclaircie, testacée et, en arrière, d’une série de chevrons A tes- 
tacés peu distincts. 
Longueur totale, 10". ; longueur du céphalothorax 4%". 
Même habitat que le type. | 


Genre TErrAGoNoPHTHALMA Karsch 1878. 


D’après Simon (1892-1903, vol. 2, p. 1044), Pococx a reconnu 
que l'espèce qu’il avait citée en 1899, p. 862, sous le nom de 
Tetragonophthalma phylla appartient en réalité au genre Pha- 
laea Simon. 

Pococx en déduit que le genre Phalaea Simon doit prendre 
le nom de Tetragonophthalma Karsch et le genre Tetragonoph-  n 
thalma Simon celui de Perenethis L. Koch.Cette opinion n’est 
pas partagée par SImox et ne paraît reposer sur aucun fait précis. 
Rien !, dans la diagnose originale de Karscx, qui ne mentionne 
pas la dentition des chélicères chez Tetragonophthalma phylla, 
ne permet de rattacher avec certitude cette espèce au genre 
Phalaea Simon, caractérisé par la présence de 4 dents à la marge 


inférieure des chélicères. 

Seul l’examen du type permettra de tirer la question au clair 
et de dire si c’est le point de vue de Simox ou de Pococx qui 
doit prévaloir. 

L'étude d'exemplaires adultes du Kilimandjaro m'a permis 
de reconnaître que 7. phylla Karsch est une espèce différente … 
de celle que Srmox a figurée sous ce nom et que j'appelle F. 
simont. 

Nos Go‘ correspondent bien en effet, par la forme de l’apophyse … 


lé, ds Re. 2: ui, 


! Sauf peut-être les yeux latéraux antérieurs qui sont plus gros que les mé- 
dians dans la figure de Karscn (18782, p.328), caractère qui concorde mieux avec … 
le genre Phalaea Simon qu'avec le genre Tetragonophthalma Simon. Mais | 
peut-on se fier à la figure de Karsca qui ne correspond pas au texte pour les … 
yeux postérieurs ? 


ARAIGNÉES 577 


tibiale de la patte-mâchoire, à la fig. 300 B de Srmox (1892-1903, 
vol. 2, p. 286). La seule © que nous.possédions se différencie 
par contre de la description et de la figure de Karson 1878*, p. 
329, pl. 9, fig. 4) par sa livrée, la longueur relative des pattes, 
ainsi que par certains détails dans la disposition des yeux. 
Karsen ne décrit ni ne figure l'épigyne, de sorte que l’on ne 
peut se rendre compte si le type est adulte. 

T. simoni se distingue de 7. sindica Simon 1897°, p. 295 par 
son bandeau moins long; elle est également voisine de Perene- 
this venusta L. Koch dont la @ est décrite par L. Kocn', le G' 
par Tnorezz (1881, p. 372). P. venusta L. Koch est synonyme de 
Tetragonophthalma unifasciata (Dol.). 


1. Tetragonophthalma (?) simont n. nom. 
(Fig. 11 à 14) 

Syn. T. phylla. Simox 1892-1903, vol. 2, pp. 286, 1044, fig. 300 B. (non 
T. phylla. Karsca 1878 et Pocock 1899). 

Q : Céphalothorax jaune clair, coupé d’une bande large mé- 
diane brun-rouge, à côtés parallèles, un peu plus large que 
l'aire oculaire et ornée de 2 lignes noires en arrière des yeux 
médians postérieurs. Région thoracique marquée d’une étroite 
bande marginale noirâtre, mal définie. A sec, le céphalothorax 
est revêtu de pubescence ? blanche, qui est plus serrée et d’un 
blanc plus purle long de la bande médiane foncée, qu’elle encadre 
de2lignes parallèles. Pubescence de la bande médiane fauve clair 
(effacée). Chélicères jaunes. vaguement rayées de noirâtre en 
avant. Pièces buccales jaunes, teintées de noirâtre. Sternum 
jaune, avec 2 bandes marginales noirâtres. Pattes-mâchoires 
jaunes, tachées de noir sur les fémurs, patellas et tibias. Pattes 
jaune foncé, obscurciesetnoirâtres en dessous ; hanches tachetées 
denoir ; protarses indistinctement annelés de noir à chaque extré- 
mité*; tarses jaune clair, obscurcis à l'extrémité. Fémurs IV 


_ lIn: Kocu und KeyserLine 1871-1890, P. 1, p. 980, pl. 85, fig. 7. 
? La pubescence des téguments est formée de poils plumeux. 
3 Chez T. phylla Karsch, les tibias I et II sont largement annelés de brun. 


578 R. DE LESSERT 


éclaircis, presque entièrement jaune clair. Pubescence des ché= " 
licères, du sternum et des pattes, blanche. Abdomen jaune 
clair, marqué de linéoleslongitudinales interrompues, noirâtres, 
confluentes sur les flancs. Abdomen orné en dessus d’une bande 
longitudinale noire à côtés sinueux et découpés (surtout en ar- 
rière), lisérés de blanc; bande noire coupée d’une zone longi- 
tudinale éclaircie, diffuse. Région ventrale jaunâtre, rayée de 
noirâtre et coupée d’une bande médiane, rétrécie en arrière, 
d'un blanc jaunâtre. Pubescence de l'abdomen blanche et fauve 


PPT" RS FPT Nr. 12 


£N 7 


Frc:12: F1c. 14. 


Tetragonophthalma (?) simoni n. nom. 


F1c. 11. — G'. Patte-mächoire gauche en dessus. 

F1c. 12. — CG. Patte-mâchoire gauche du côté externe. 
Fic. 13. — 9. Epigyne (sous l'alcool). 

F1ic. 14. — GG. Processus médian du bulbe en dessous. 


clair (très effacée en dessus), celle de la région ventrale d’ur 
blanc sale. ; ze 
Yeux antérieurs en ligne fortement procurvée ?, subéquidis- 
tants, les médians à peine plus rapprochés, d'environ ‘/s plus - 
gros que les latéraux, séparés l’un de l’autre par un intervalle h 


« 


‘ Une ligne passant par le sommet des yeux latéraux antérieurs n'atteindrait | 
pas la base des médians. ‘0 


Hd 


ARAIGNÉES 579 


un peu plus petit que leur diamètre et des latéraux par un inter- 
valle environ égal au diamètre des latéraux. Yeux postérieurs 
subégaux ’, en ligne fortement recurvée, les médians séparés 
l’un de l’autre par un intervalle excédant un peu leur diamètre et 
des latéraux par un intervalle plus de 2 fois plus grand que leur 
diamètre. Yeux médians des deux lignes subégaux, disposés 
en trapèze un peu plus étroit en avant qu’en arrière ; ce trapèze 
est, vu en dessus, aussi large en arrière que long; vu un peu 
en avant, il est un peu plus long que large en arrière. Yeux la- 
téraux postérieurs occupant un espace transverse plus large que 
la ligne des yeux antérieurs. Yeux latéraux antérieurs et pos- 
térieurs situés sur des tubercules bas, noirs. 

Bandeau plan et vertical, 2 fois plus long que le diamètre des 
yeux latéraux antérieurs. Marge inférieure des chélicères munie 
de 2 dents, dont l’antérieure la plus petite. 

Pattes dans l'ordre IV, I, IT, IT (les pattes I et IT étant subé- 
gales)?. 

Epigyne (sous l'alcool, fig. 13) en plaque noirâtre, plus large 
que longue, largement arrondie en avant, rétrécie et obtusé- 
ment triangulaire en arrière, marquée, sur la ligne médiane 
longitudinale, de 2 traits parallèles contigus, divergeant en 
avant, recourbés en dehors, puis en arrière, ensuite coudés 
transversalement en dedans, se rejoignant presque sur la ligne 
médiane de manière à former 2 boucles. Région postérieure de 
la plaque ornée de 2 taches allongées, noires, obliques, réunies 
en forme de V en arrière. Desséchée, la plaque de l'épigyne est 
divisée transversalement en 2 régions par une fine carène 
chitineuse, fauve-rouge,un peu recurvée: région antérieure un 
peu bombée, région postérieure excavée et renfermant une 
pièce bilobée noire *. 


! Karscu décrit les yeux latéraux postérieurs de T. phylla comme un peu plus 
gros que les médians et séparés de ces derniers par un intervalle environ égal 
à leur diamètre, ce qui ne correspond pas à la figure qu'il en donne (p. 328). 

? Les pattes de 7. phylla sont, d’après Karscs, dans l’ordre I, IT, IV, III. 

3 A sec, l'épigyne présente une certaine ressemblance avec celui de Perene- 
this venusta L. Koch. [Koca und KeyserLinc 1871-1890, P. I, pl. 85, fig. 7e = 
T. unifasciata (Dol.).] 


380 R. DE LESSERT 


Longueur totale, 10"",5; longueur du céphalothorax, 4,2. 
Pattes IV:= MF 0085; 

g: Coloration comme chezla © ,aveclesprotarses des pattesnon 
annelés. | 

Pattes-mâchoires jaunes, à pubescence blanche. Tibia, vu 
en dessus, plus long que large, avec le bord interne un peu 
convexe, l’externe droit, prolongé en avant en longue apophyse 
brun foncé, dirigée obliquement en avant, non accolée au tarse. 
Cette apophyse est, vue en dessus (fig. 11), régulièrement at- 
ténuée en avant, terminée en pointe fine, comprimée; vue du 
côté externe (fig. 12), elle est presque droite, étroite, à côtés 
parallèles, un peu dilatée à la base et obtusément tronquée à 
l’extrémité. Vu du côté interne, le bord apical du tibia est muni, 
à l'angle inférieur, d’une saillie obtuse, assez large, rétrécie à la 
base. Tarse plus long que les 2 articles précédents, arrondi en 
arrière, irrégulièrement atténué en avant presque dès la base, à 
bords un peu sinueux, présentant une petite dilatation obtuse 
versletiers basal, du côté externe. Rostre triangulaire, large, plus 
court que le bulbe, plus de 2 fois plus court que le tarse. Bulbe 
assez volumineux, débordant le tarse du côté externe (fig. 11), 
muni de 3 apophyses principales. Vers le milieu, un processus 
profondément échancré en avant et divisé en deux branches, 
dont l'interne est jaune, translucide, arrondie en avant, et 
l’externe est comprimée, dirigée obliquement du côté externe 
et terminée en fin crochet noir (fig. 14). Du côté externe, le 
bulbe présente un conducteur du stylus dirigé en avant, arqué 
du côté interne, un peu dilaté et obliquement tronqué à l’extré- 
mité, renfermant un stylus fin qui le dépasse de beaucoup et se 
recourbe en arrière en forme de $S. Entre la base du conducteur 
et le processus médian, une apophyse testacée, grêle, recourbée 
perpendiculairement en bas à l'extrémité en crochet spiniforme, 
arqué, noir. 

Longueur totale, 10,7 à 13"",5; longueur du céphalothorax, 
ann 2) | 

Habitat: Ngare na nyuki (1 ©, I), Kibonoto, zone des cul- 
tures (2 , Il). | 


ET 


nr 


ARAIGNÉES 581 


Genre Roraus Simon 1898. 


L. Rothus aethiopicus (Pavesi) 1883. 
(Fig. 15 à 18) 
On peut, semble-t-il, rapporter à l'Ocyale aethiopica de Pavesi 
(1883, p. 71), la forme décrite par Pocock (1902, p. 16), sous le 


nom de Aothus lineatus, ainsi que les quelques exemplaires du 


Kilimandjaro que je mentionne ici. 

Comme Simox (1907, p.8) l’adéjà fait remarquer, Ocyale aethio- 
pica Pavesi doit rentrer dans le genre Rothus, qui se distingue 
du genre Pisaura (Ocyale) par ses yeux antérieurs en ligne 
procurvée (les médians étant d’1/3 plus petits que les latéraux, 
qui sont proéminents), ses yeux médians antérieurs 2 fois plus 
petits que les postérieurs, son bandeau beaucoup moins long. 

Nos exemplaires ne diffèrent en rien d’essentiel de la des- 
cription de PAvesr, qui n’est malheureusement accompagnée 
d'aucune figure ; l’'épigyne de la Q est du même typeque chez. 
lineatus Pocock 1902, pl. 3, fig. 2, mais comme nous ignorons 
la disposition des yeux de cette espèce et que sa taille est un peu 
plus forte, la synonymie est encore un peu douteuse. 

D’après les données de Srranp (1913, p. 419) sur la grandeur 
relative, l’écartement des yeux antérieurs et la longueur du 
bandeau de P. insula Strand, cette espèce doit être transférée au 
genre Rothus. Il ne serait même pas impossible que P. insula, 


1 Chez P. mirabilis (CI1.), type du genre Pisaura, les yeux antérieurs, subégaux, 
sont en ligne droite. Yeux médians antérieurs un plus écartés l’un de l'autre que 
des latéraux, séparés l’un de l’autre par un intervalle un peu plus petit que leur 
diamètre et des latéraux par un intervalle à peine plus grand que leur rayon. 
Yeux postérieurs en ligne fortement recurvée (plus petits que chez les Rothus), 
subégaux, les médians séparés l’un de l’autre par un intervalle égal à leur dia- 
mètre et des latéraux par un intervalle presque double. Aire des yeux médians 
en trapèze plus étroit en avant qu'en arrière (mais non 2 fois); vu en dessus, ce 
trapèze est beaucoup plus large en arrière que long; vu en avant, il est aussi 
large en arrière que long (mais non plus long que large en arrière). Yeux mé- 
dians antérieurs environ d’?/, plus petits que les postérieurs. Bandeau subver- 
tical, 3 fois plus long que le diamètre des yeux latéraux antérieurs, un peu 
plus court que l'aire des yeux médians. 


Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 40 


582 R. DE LESSERT 


dont l’épigyne dessine «eine charakteristische brillenähnliche 
Figur » puisse être considérée comme synonyme de À. aethio- 
picus. 

R. purpurissatus Simon 1898, p. 14, diffère de R. aethiopicus 
par sa livrée et sa taille plus forte, mais il est apparemment très 
voisin de cette espèce par la forme de l’épigyne. 

® : Céphalothorax brun-noirâtre, coupé d'une bande médiane 
longitudinaleassez étroite, d’un blanc jaunâtre, teintée de noirâtre 
en avant, couverte de pubescence fauve-blanchâtre. Un peu 
avant l'aire oculaire, 3 lignes longitudinales de pubescence 
claire, dont la médiane droite et les 2 latérales arquées, se 
rejoignant en avant pour former un fascicule de poils orangés 
au niveau des yeux médians postérieurs. Ce fascicule est trian- 
gulaire, et dirigé obliquement en avant. Des poils orangés autour 
des yeux médians postérieurs. Sur le bandeau, 2 traits obliques 
de pubescence blanchâtre des yeux latéraux antérieurs aux 
angles inféro-externes du bandeau, et une tachette claire au bord 
inférieur du bandeau, sous l’intervalle des yeux médians anté- 
rieurs. Yeux situés sur des taches noires. Chélicères brunes, 
teintées et tachées de noirâtre en avant. Pièces buccales brun- 
noirâtre, éclaircies à l’extrémité. Sternum noirâtre, coupé 
d’une bande longitudinale irrégulière claire, resserrée vers le 
milieu, eflilée en arrière et accompagnée, de chaque côté, de 3 
points clairs. Pattes tachées et teintées de noir. Hanches criblées 
de points noirs en dessous. Abdomen entièrement recouvert en 
dessus d’un folium noirâtre, entaillé, de chaque côté, dans le t/s 
postérieur, d’une échancrure ovale, testacée. Folium vaguement 
éclairci et brun-rougeâtre dans la région médiane longitudinale 
et présentant en avant une étroite tache longitudinale brun- 
rougeâtre. Région ventrale noirâtre, avec une bande médiane 
longitudinale blanc-testacé, coupée de 2 lignes noiràtres rap- 
prochées. 

Yeux antérieurs en ligne nettement procurvée', les médians 


1 Une ligne tangente au bord supérieur des yeux latéraux antérieurs passerait 
par le centre des médians. 


ARAIGNÉES 583 


d’''; plus petits que les latéraux (qui sont proéminents), un 
peu moins écartés l’un de l’autre que des latéraux, séparés l’un 
de l’autre par un intervalle plus petit que leur diamètre et 
des latéraux par un intervalle égal à leur diamètre. Yeux pos- 
térieurs en ligne fortement recurvée, gros, subégaux, les 
médians séparés l’un de l’autre par un intervalle un peu plus 
grand que leur rayon et des latéraux par un intervalle environ 
égal à leur diamètre. Aire des yeux médians en trapèze presque 
2 fois plus étroit en avant qu’en arrière ; vu en dessus, ce tra- 
pèze est beaucoup plus large en arrière que long; vu en avant, 
il est un peu plus large en arrière 
que long. Yeux médians antérieurs 
2 fois plus petits que les posté- 
rieurs. Bandeau subvertical, envi- 
ron aussi long que le diamètre des 
yeux latéraux antérieurs ?. 

Tibias T munis de 4-4 épines en 


dessous, protarses I de 3-3 épines Fic. 15. 
en dessous. Rothus aethiopicus (Pavesi) Q. 
Epigyne (fig. 15) en plaque brun- Fic. 15. — Epigyne. 


rouge, environ 2 fois plus large 
que longue, présentant au milieu une fossette assez profonde 
en forme de U à branches longitudinales divergeant un peu en 
avant. Rebord postérieur de la fossette mince, fortement dilaté 
de chaque côté en lamelles piriformes?, déprimées au milieu 
et limitées par un rebord extérieur noir en forme de C. Bord 
antérieur de la fossette mal défini. En avant de la plaque de 
l’'épigyne, une région noirâtre marquée de 2 taches testacées 
écartées. 
Longueur totale, 10"",5; longueur du céphalothorax, gum 5, 
« : Pattes-mâchoires fauve testacé ou rougeàtre, variées de 
noirâtre. Tibia environ de même longueur en dessus que la pa- 


1 Chez le G', le bandeau est à peine plus court que le diamètre des yeux 
latéraux antérieurs. 

? Ces lamelles, reliées par le bord postérieur procurvé de la fossette forment 
une figure «a guisa di occhialini inversi», comme l’a très bien observé PAvesr. 


584 R. DE LESSERT 


tella, à peine plus long que large au milieu, ses bords interne 
et inférieur anguleux, son bord externe muni, dans la moitié 
antérieure, d’une carène déprimée, élevée et tranchante, obli- 
quement située. Cette carène, vue en dessus (fig. 18), est ar- 
rondie à la base et soudée à l’article : elle est libre dans son 1/3 
antérieur, légèrement resserrée, puis un peu dilatée et tron- 
quée droit à l’extrémité; vue en-dessous et un peu du côté 


Fic. 18. 
Rothus aethiopicus (Pavesi) G. 
Fic. 16. — Extrémité du stylus, du conducteur du stylus et de la lame apicale 
du bulbe en dessous. 
F1c. 17. — Apophyse externe du tibia vue en dessous et un peu du côté externe. 
F1G. 18. — Patte-mâchoire gauche en dessus. 


externe (fig. 17), son angle antéro-interne est arrondi, son angle … 
antéro-externe prolongé en avant en petite pointe acérée recour- ; 
bée en forme de griffe. Tarse plus long que tibia + patella, ovale 
allongé, terminé en rostre triangulaire obtus, un peu plus court , 
que le bulbe. Bulbe situé obliquement et débordant les bords 
externe et interne du tarse. Stylus naissant à l’angle basal 
interne du bulbe, arqué en avant le long du bord antérieur, son 
extrémité reposant sur un conducteur triangulaire obtus, trans- 
lucide. Bord postérieur du conducteur recouvert par une lame 


_ 


ARAIGNÉES 585 


arquée, terminée en pointe aiguë, recourbée en forme de griffe, 
limitant une petite échancrure externe (fig. 16). 

Longueur totale, 10"*; longueur du céphalothorax, 4 à 
uns. 

Habitat: Kibonoto,zonedes cultures (1Q ,4', V, VIIL, IX, X). 

R. aethiopicus est assez largement répandu en Afrique, son 
habitat s'étendant de l'Erythrée (Pavesi) à la colonie du Cap 
(Pococx. 


Genre Cisprus Simon 1898. 


1. Cispius (?) affinis n. sp. 
(Fig. 19, 20). 

Très voisin de C. simont de Lessert 1915, p. 52, pl. 3. fig. 88, 
dont il diffère surtout par la ligne des yeux antérieurs à peine 
procurvée, les yeux médians postérieurs un peu plus écartés et 
la forme de lépigyne. | 

® : Dessins et coloration du céphalothorax comme chez C. 
simont. La bande médiane claire est fortement resserrée, en 
forme de X, vers le milieu de la région céphalique et ses côtés 
sont presque parallèles sur la région thoracique (fig. 19). Deux 
petits traits noirâtres, parallèles, en arrière des yeux médians 
postérieurs. Bandes submarginales thoraciques mal définies et 
interrompues en avant. Yeux situés sur des taches noires. 
Bandeau noirâtre, avec une petite tache claire au bord inférieur, 
sous les yeux médians antérieurs, et2traits obliques des yeuxlaté- 
raux antérieurs aux angles inféro-externes du bandeau. Chéli- 
cères et pièces buccales teintées de noirâtre. Sternum noirûtre, 
coupé longitudinalement d’une tache en fer de lance très res- 
serrée en avant, fortement dilatée et anguleuse vers le milieu 
de sa longueur, graduellement rétrécie en arrière. Pattes fauve- 


olivâtre, tachées de noirâtre ; hanches criblées de points noirâ- 


tres et ornées d’un anneau apical noirâtre ; trochanters variés de 
noirâtre ; fémurs lachés et subannelés de noirâtre, criblés de 
points noirâtres en dessous; patellas teintées de noirâtre en 
dessous ; tibias et protarses munis d'un étroit anneau basal in- 


rat , | 


586 R. DE LESSERT 


terrompu et d’un anneau apical plus large, noirâtres ; tarsesobs- 
curcis à l’extrémité. Abdomen (fig. 19) presque entièrement 
occupé en dessus par un folium noirâtre, limité par une étroite 
bordure claire. Le folium est légèrement festonné dans la moitié 
antérieure ; il est entaillé de chaque côté, dans la moitié posté- 
rieure, d’une échancrure ovale, un peu oblique ; en arrière de 
cette échancrure, le folium est subtriangulaire, un peu denti- 
culé et atteint les filières. Le folium est coupé en avant d’une 
bande médiane longitudinale mal définie, testacée, suivie en 


Frc. 19. F1c. 20. 


Cispius (?) affinis n. sp. ©. 


F1G. 19. — Céphalothorax et abdomen en dessus. 
Fic. 20. -— Epigyne. 


arrière de 3 traits transversaux un peu recurvés, testacés. Flancs 
noirâtres, tachetés de testacé. Région ventrale testacée, noirâtre 
sur les bords, avec une bande médiane noirâtre coupée d’une 
bande plus claire. Filièresnoirâtres. Parties claires destéguments 
couvertes de poils plumeux, blancs. | 

Yeux antérieurs en ligne à peine procurvée! (en ligne droite 
par leurs bases), les médians à peine plus gros que les latéraux, 
plus écartés l’un de l’autre que des latéraux, séparés l’un de 
l’autre par un intervalle un peu plus petit que leur diamètre, et 


? Chez C.simoni et chez le type du genre (C. variegatus Simon) la ligne anté- 
rieure des yeux est à peinerecurvée. 


re #- 
RS 
| 


, 


_ 


ARAIGNÉES 587 


des latéraux par un intervalle égal à leur rayon. Yeux posté- 
rieurs en ligne fortement recurvée, subégaux, les médians 
séparés l’un de l’autre par un intervalle environ égal à 
leur diamètre (un peu plus petit que leur diamètre chez C. simoni) 
et des latéraux par un intervalle un peu plus grand (d'environ "/s). 
Aire des yeux médians en trapèze plus étroit en avant qu’en ar- 
rière ; vu en dessus, ce trapèze est beaucoup plus large en ar- 
rière que long ; vu en avant, il est un peu plus large en arrière 
que long. Yeux médians antérieurs et postérieurs subégaux (les 
antérieurs sont un peu plus petits que les postérieurs chez C. 
simoni). Bandeau subvertical, plus de 2 fois plus long que le 
diamètre des yeux latéraux antérieurs, plus court que l'aire des 
yeux médians. 

Epigyne du même type que chez C. simoni, c’est-à-dire creusé 
d’une fossette limitée par 2 rebords latéraux cintrés et un rebord 
transversal antérieur. Chez C. simont de Lessert 1915, pl. 3, 
fig. 88, le rebord antérieur de la fossette, divisé en 2 arcs trans- 
versaux se rejoignant sur la ligne médiane, forme un angle 
saillant à l’intérieur de la fossette, qui paraît semi-circulaire. 
Chez C. affinis (fig. 20), Le rebord antérieur est presque droit, en 
forme d'accolade ——, dont l'angle médian postérieur, peu 
développé, n'avance qu’à peine à l’intérieur de la fossette, qui 
est ovale transverse. La forme de la fossette varie du reste selon 
l’angle sous lequel on la regarde; vue d’un peu en avant, elle 
paraît plus rétrécieen arrière que vue normalement. Les rebords 
latéraux ne se rejoignent pas en arrière sur la ligne médiane et 
leurs extrémités postérieures sont séparées par une dépression 
finement striée. Le fond de la fossette est occupé par une pièce 
lisse et brillante, déprimée dans la région médiane postérieure 
et présentant 2 lobes latéraux obliques, peuélevés, convergeant 
en arrière. 

Longueur totale, 6"",5; longueur du céphalothorax, 2"",7. 

Habitat : Ngare na nyuki (2 ®, dont le type, XI). 

Si C. simoni et affinis appartiennent réellement au genre 
Cispius Simon (dont le type, C. variegatus, m'est inconnu en 


nature), il semble douteux que ce dernier genre mérite d'être 


588 R. DE LESSERT 


séparé du genre Pisaura, dontilne se distinguerait guère que par 
les caractères suivants: l’aire formée par les yeux médians est, vue 
en avant, un peu plus large en arrière que longue chez le genre 
Cispius, etaussi large en arrière que longue chez le genre Pisaura 
{mais non plus longue que large comme l'indique Simon 1892-1903, 
vol. 2, p. 294); les yeux antérieurs sont subégaux chez les Pi- 
saura et, chez les Cispius, les médians sont un peu plus gros 
que les latéraux. 

Chez C. simoni les yeux présentent la disposition suivante : 

Yeux antérieurs en ligne à peine recurvée (en ligne droite 
par leurs sommets), les médians un peu plus gros que les laté- 
raux, plus écartés l’un de l’autre que des latéraux, séparés l’un 
de l’autre par un intervalle un peu plus petit que leur diamètre 
(d'environ !/3)et des latéraux par un intervalle plus petitque leur 
rayon. Yeux postérieurs en ligne fortement recurvée, subégaux, 
les médians séparés l’un de l’autre par un intervalle un peu 
plus petit que leur diamètre et des latéraux par un intervalle 
un peu plus grand (d'environ ‘/1). Aire des yeux médians en tra- 
pèze plus étroit en avant qu’en arrière; vu en dessus, ce tra- 
pèze est beaucoup plus large en arrière que long; vu en avant, 
il est un peu plus large en arrière que long. Yeux médians an- 
térieurs un peu plus petits que les postérieurs. Bandeau sub- 
vertical, plus de 2 fois plus long que le diamètre des yeux la- 
téraux antérieurs, plus court que l’aire des yeux médians. 


Genre Doromepes Latreille 1804. 


1. Dolomedes smithi n. sp. 
(Fig. 21 et 22) 

g : Céphalothorax fauve clair, garni de petits crins noirs peu 
serrés; une bande marginale de longue pubescence ! serrée, 
très blanche (interrompue seulement en arrière au niveau de 
l'abdomen), recouvrant en avant tout lebandeau. Quelques poils 


? La pubescence des téguments est formée de poils simples. 


ARAIGNÉES 589 


blancs sur l’aire oculaire. Yeux situés sur des taches noires. 
Chélicères, pièces buccales, sternum, pattes fauve-testacé. Pat- 
tes-mâchoires fauve-testacé, garnies (comme les pattes) de crins 
noirs ; pubescence du tarse fauve-blanchâtre; bulbe fauve-rou- 
geâtre et testacé. Pubescence de l'abdomen ! brun-ferrugineux à 
reflets dorés, abondamment mouchetée de blanc-argenté sur les 
côtés. En avant, une bande médiane cunéiforme, rétrécie en 
arrière, bordée de tachettes blanches se rejoignant en arrière 


Fic. 21. Fic, 22. 
Dolomedes smithi n. sp. c'. 
Fi. 21. — Patte-mächoire gauche en dessous. 
F1G. 22. — Patte-mächoire gauche du côté externe. 


de la bande et formant une ligne interrompue atteignant presque 
l'extrémité postérieure. Dans la moitié postérieure, 2 séries laté- 
rales de points blancs. Flancs divisés en 2 régions par une étroite 
bande longitudinale oblique, brune: la supérieure blanche, 
mouchetée de brun, l’inférieure blanche. Région ventrale gri- 
sâtre, à pubescence d’un blanc sale. 

Céphalothorax arrondi, à peine plus long que large. 

Yeux antérieurs en ligne presque droite, avec les médians 


1 Sous l'alcool, l'abdomen est noir, avec une zone longitudinale testacée; la 
tache cunéiforme antérieure est bordée de noir et prolongée en arrière en ligne 
coupée de traits transversaux parallèles. 


590 R. DE LESSERT 


d’'}; plus gros que les latéraux, plus écartés l’un de l’autre que 
des latéraux, séparés par un intervalle environ égal à leur dia- 
mètre !. Yeux postérieursenlignenettementrecurvée, subégaux, 
les médians un peu plus rapprochés l’un de l’autre (d'environ 
1/6) que des latéraux, séparés par un intervalle excédant un peu 
leur diamètre. Yeux latéraux postérieurs, situés sur des tuber- 
cules obliques, peu élevés. Yeux médians disposés en trapèze 
un peu plus étroit en avant qu'en arrière ; vu en dessus, ce tra- 
pèze est plus large en arrière que long; vu un peu en avant, il 
est aussi long que large en arrière. Yeux médians antérieurs un 
peu plus petits que les postérieurs. 

Bandeau légèrement proclive, 2 fois et ‘/2 plus long que les 
yeux médians antérieurs. 

Marge inférieure des chélicères munie de 4 dents. 

Tibias I pourvus de 4-4 épines inférieures. Une épine de 
chaque côté des patellas. 

Patte-mâchoire : Fémur armé en dessus de 3 épines en série 
longitudinale, de 2 épines antérieures rapprochées, d’une épine 
interne et d'une épine externe subapicales. Patella environ 2 fois 
plus longue que large, munie d’une épine interne et de 2 supé- 
rieures, une subbasale et une apicale. Tibia pourvu d’une épine 
de chaque côté en dessus et d’une épine interne. Tibia plus 
long que la patella, légèrement élargi en avant, présentant en 
dessous à l'extrémité, du côté externe, une touffe de crins obli- 
ques et, au bord externe, près du bord supérieur, une apophyse 
subapicale, dirigée en avant, divergeant un peu en dehors. Cette 
apophyse, vue de profil (fig. 22), est assez large, subrectangulaire 
à la base, avec l’angle apical inférieur droit, et muni d’un den- 
ticule noir, l’angle apical supérieur prolongé en avanten appen- 
cice grêle, légèrement sinueux, très faiblement resserré vers 
le milieu, puis dilaté à l'extrémité qui est obtuse. Tarse un peu 
moins long que les 2 articles précédents, ovale, terminé en rostre 
subtriangulaire, obtus, moins long que le bulbe. Bord externe 


1 La ligne des yeux antérieurs est nettement plus large que celle des médians 
postérieurs. 


150 
* 


ARAIGNÉES 591 


du tarse (vu en dessus) presque droit, obliquement tronqué à la 
base ! qui est prolongée en arrière en saillie obtusément trian- 
gulaire. Le bulbe (fig. 21) présente comme chez D. fimbriatus 
(CL) 3 apophyses principales: 1° une lame interne assez 
large, arquée en avant, atténuée à l'extrémité, subaiguë ; 
2° une apophyse longitudinale médiane, dirigée en avant, 
sigmoide, creusée en gouttière à l'extrémité et recourbée du 
côté externe, terminée en pointe noire, aiguë ; 3° un conducteur 
du stylus, situé au bord antéro-externe du bulbe, assez grêle, 
comprimé, recourbé en !/}2 cercle en arrière, renfermant inté- 
rieurement à sa base un petit crochet (fig. 22). 

Longueur totale, 7,2; longueur du céphalothorax, 3"",7; 
nl 5nn: 


Habitat : Kilema (1 G', type, VD. 


Genre Voraprus Simon 1898. 


1. Voraptus (?) extensus n. sp. 
(Fig. 23 à 26) 


Q : Céphalothorax (fig. 23) noirâtre, orné de 3 bandes longitu- 
dinales jaunes: une médiane assez large, atteignant en avant 
les yeux antérieurs (coupée d’une ligne longitudinale interrom- 
pue, noirâtre) et 2 submarginales ramifiées et diffuses en avant. 
Les dessins du céphalothorax sont beaucoup plus nets chez un 
exemplaire subadulte, dont les 3 bandes sont parallèles et dontles 
bandes submarginales, très étroites, se prolongent en avant 
jusqu’au bandeau. Yeux situés sur des taches noires. Chélicères 
jaunes, vaguement teintées de noirâtre en avant. Pièces buc- 
cales jaunes. Sternum jaune, avec des tachettes marginales ef- 
facées, noirâtres. Pattes-mâchoires et pattes très indistinctement 
variées de noirâtre, marquées de tachettes noirâtres à la base 
des épines. Abdomen gris-testacé, orné en dessus d’un folium 
longitudinal plus foncé, légèrement festonné sur les bords et 


! L'angle antérieur de la troncature est un peu saillant et obtus. 


592 R. DE LESSERT 


EA 


éclaircisurla ligne médiane antérieure.Région ventralebrunûtre, 
avec une zone médiane éclaircie, blanchâtre. Pubescence ! du cé- 
phalothorax formée de poils à reflets dorés. Pubescence de l’ab- 
domen très effacée, folium liséré de poils blancs. Région ven- 
trale revêtue de poils fauve-blanchâtre. 

Céphalothorax presque aussi large (2"",7) que long (3°), am- 
plement arrondi de chaque côté, atténué et tronqué droit en 
avant ; vu de profil, (fig. 26), il est presque plan en dessus, un 


HIG-R20: Fic. 2% 
Fre. 25. 
Voraptus (?) extensus n. sp. ©. 
F1c. 23. — Céphalothorax et abdomen en dessus. 
Fic. 24. — Epigyne (sous l'alcool). 
Fic. 25. — Aire oculaire vue en avant. 


peu élevé en arrière ; face proclive, un peu convexe ; bandeau 


subvertical, environ 2 fois plus long que les yeux médians an- 
* 


térieurs. 
Yeux situés sur des tubercules bas, noirs. Yeux antérieurs 


(fig. 25) en ligne à peine procurvée, les médians un peu plus. 


gros que les latéraux, environ 2 fois plus écartés l’un de l’autre 
que des latéraux, séparés par un intervalle environ double de 
leur diamètre. Yeux postérieurs en ligne fortement recurvée, 


! La pubescence des téguments est formée de poils simples (non plumeux). 


ARAIGNÉES 593 


occupant presque toute la largeur de la région céphalique, petits, 
subégaux, très espacés. Yeux médians postérieurs un peu plus 
écartés l'un de lautre (d’'/;) que des latéraux, séparés par un 
intervalle environ 5 fois plus grand que leur diamètre. Yeux 
médians postérieurs occupant un espace transverse égal à la ligne 
des yeux antérieurs. Yeux médians disposés en trapèze très 
rétréci en avant (presque 2 fois plus étroit en avant qu’en ar- 
rière); vu en dessus, ce trapèze est 2 fois plus large en arrière 
que long. Yeux médians sub- 
égaux. 

Chélicères bombées en 
avant. leur marge inférieure 
munie de 3 dents subégales, 
rapprochées. Labium environ 


; £ N 
aussi long que large, tronqué 
enavant,ne dépassant pas en Fic.. 26. 
avant le milieu des lames. Voraptus (?) extensus n. sp. ©. 


Sternum arrondi, aussi large  Fic 26. — Céphalothorax de profil. 
que long, terminé en arrière 
en pointe très courte, non prolongée entre les hanches posté- 
rieures. | 

Pattes (dans l’ordre : I, IV, IT, IT), longues et gréles, diri- 
gées longitudinalement, les pattes T plus de 3 fois plus longues 
que le corps. Tibias [ munis de 4-4 épines en dessous ; tarses 
arqués, mais non flexibles !. 

Abdomen (fig. 23) allongé, obtusément tronqué en avant, 
atténué en arrière, environ 2 fois plus long que large. 

Epigyne (sous l'alcool, fig. 24) en plaque noirâtre, mal définie, 
plus longue que large, légèrement dilatée en avant, marquée de 
2 traits longitudinaux dessinant une figure fusiforme allongée. 
Cette figure est très ellilée en avant, tronquée droit en arrière, 
bordée de chaque côté, en arrière, de 2 taches noirâtres et ren- 
ferme au milieu une sorte de gland allongé. A sec, l’épigyne 


! Différant ainsi du type du genre Voraptus, V.tenellus (Simon), dont les tarses 
sont filiformes et flexibles. 


594 R. DE LESSERT 


présente en arrière 2 lamelles séparées par un étroit canal, 
légèrement élargi en avant. Ce canal est fermé dans la région 
antérieure par une pièce longitudinale très effilée en avant et 
divisant une dépression ovale. 

Longueur totale, 6"",5; longueur du céphalothorax 3"" ; lon- 
gœueur des pattes I, 21", des pattes IIT, 8°",5. 

Habitat : Kibonoto, zone des cultures ( 1 ® ad. type, 1 @ 
subad., sans date). 


_r : 


CATALOGUE DES PISAURIDAE D'AFRIQUE 


Famille Pisauridae. 


Gen. CariperTa Simon 1898. 


|. C. madagascartensis (Lenz) 1886. 


Ocyale madagascariensis (S'Q). Lexz 1886, p. 402, pl. 10, fig. 8, 14; 
1891, p. 171. 

C. vittata. Simon 1892-1903, vol. 2, p. 295, note 1. 

C. madagascariensis. SrraND 1915, p. 76. 


Habitat : Madagascar (LENZ, Simon), Nossi-bé (LENZ, STRAND). 


Gen. Cisprus Simon 1898. 


l. C.(?) affints n. sp. 
C. (?) affinis (Q ). ne Lessert 1916, p. 585, fig. 19, 20. 
Habitat : Afr. or. all. (be LESSERT). 
2. C. flavidus Simon 1909. 


C. flavidus (Q). Srmox 1909, p. 388. 


Habitat : Congo francais (Simon). 


3. C. simoni de Lessert 1915. 


C. simoni (Q ). ne Lesserr 1915, p. 52, pl. 3, fig. 88; 1916, p. 588. 


Habitat : Ouganda (be LESSERT). 


596 R. DE LESSERT 


4. C. variegatus Simon 1898. 


C. variegatus (Q). Simon 1898, p. 19. 
Habitat : Cabinda (Landana ) (SImoN). 


Gen. Crapycenis Simon 1898. 


1. C. (?) angusta Thorell 1899. 
C. (?) angusta {Q). Taorezz 1899, p. 82. 
Habitat : Cameroun (THORELL). 
2. C. insignis (Lucas) 1839. 


Dolomedes insignis (Q). Lucas 1839, p.33, pl. 6, fig. 12. 


Habitat : Iles Canaries (Lucas). 


Gen. Doromepes Latreille 1804. 


1. D. acteon Pocock 1903 !. 


D. acteon (9). Pococx 1903, p. 260. 
Habitat : Cameroun (Pococx). 
2. D. batesi Pocock 1903. 


D. Batesii (Q). Pococx 1903, p. 261. 
Habitat : Cameroun (Pococx). 


3. D. fernandensis Simon 1909. 


D. fernandensis (@). Simon 1909, p. 389. 
Habitat : Ile Fernando Poo (Srmon). 


1 Dolomedes agelenoides. WaLckenarr et Gervais 1837-47, vol. 2, p. 454; 
Lucas 1846, p. 131, pl. 4, fig. 9 — Agelena agelenoides (Walck.) 1837. 


CORRE 7 Es Fa 


ARAIGNÉES 597 


4. D, lomensis Strand 1906. 


D. lomensis (Q subad.). Srraxp 1906, p. 90. 
Habitat : Togo (Lome) (SrTranp). 


». D. macrops Simon 1906 . 
D. macrops (Q juv.). Simon 1906, p. 1170; 1907, p. 8. 


Habitat : Soudan anglo-égyptien (Nil blanc) (Simon). 


6. D. palpiger Pocock 1903. 
D. palpiger |Q). Pococx 1903, p. 262. 


Habitat : Cameroun (Pococx). 


7. D. saccalavus Strand 1907. 
D. saccalavus (Q subad.). SrranD 1907?, p. 742; 1907-08, p. 150. 
Habitat : Nossi-bé (SrrAND). 


8. D). smithi n. sp. 
D. smithi (5). ne Lesserr 1916, p. 588, fig. 21, 22. 


Habitat : Kilimandjaro (ne LESSERT). 


9. D). transfuga Pocock 1899. 
D. transfuga (S ad., Q juv.). Pococx 1899, p. 869, pl. 57, fig. 24. 


Habitat : Guinée espagnole (Pococx). 


Gen. EuprosrnenoPs Pocock 1897. 


1. £. annulipes Strand 1913. 
E. annulipes (& subad.). SrraxD 1913, p. 416. 


Habitat : Congo oriental (Srran»). 


? Dolomedes ocreatus. C. L. Kocu 1841, p. 211, pl. 10 — Zoropsis spinimanus 
{L. Dufour). — Dolomedes Dufourii. Warckenarr et Gervais 1837-47, vol 2, p. 
455 en est peut-être synonyme. 


Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. &1 


598 R. DE LESSERT 


SR D RUES Strand 1913. 


E. armatus (G @). SrraND 1913, p. 417; De Lesserr 1916, p. 569, 
Sos, 0! | 


Habitat : Afr. or. angl. et all. (STRAND, DE LESSERT). 


3. Æ. australis Simon 1898. 


(2) Podophthalma Bayaoniana. !:Karscx 1878, p. 326, pl. 2, fig. 8; 
Pavest 1881, p. 553. 

E. australis (Q). Simon 1898, p. 12 ; 1910*. p. 206 ; Pococx 1898, p. 
312: 18981 p.215: 1898; n:1498: | 

E. prospiciens (SG). CamsrioGE O. P. 1907, p. 827, pl. 50, fig. 38 à 40. 

Habitat : Lac Tanganyika, Plateau Nyika, lac Nyassa (Pococx), 
Mozambique (Inhambane) (Karscn, Pavest), Mashonaland, Trans- 
vaal, Natal (CamBrinGE, Pococx), Bechuanaland, Griqualand 
(SIMON). 

Espèce répandue dans toute l’Afrique australe où elle rem- 
place l'E. bayaonianus de l’Afrique intertropicale. 


4. E. bayaonianus (de Brito Capello) 1867. 


Podophthalma bayonianna (Q). Brrro Carezo (de) 1867, p. 13, pl.2, 
fig. 1; Simon 1876, p. 14; 1884, p. 7; 1887, p. 264; 1891, p. 299; 
Karscx 1879, p. 344; Pavest 1883, p. 77 ; 1883*, p.497 ; 1897, p. 178. 
-(?) Podophthalma spec. Kocu L. 1875, p. 36, pl. 4, fig. 3. 

(?) Podophthalma affinitata.* CamsriGe O. P. 1877, p. 569. 

Euprosthenops bayaonianus (5). Simon 1892-1903, vol. 2, p. 286, 
fig. 299A ; 1904, p. 443 ; 1909,p. 387; SrranD 1968*, p. 104 ; (?) FLower 
1900, p. 973. 


Habitat : Guinée portugaise, Côte d'Ivoire, Cameroun, Con- 
go belge (Stanley Pool, Kinshassa, rives de l’Ouellé) (Simon), 
Cabinda (Landana, Chinchoxo) (KarscH, Simox), Angola (de Briro 


1 Pococx 1898P , p. 438, présume que les formes citées sous le nom de P, 
Bayaoniana par Karscu 1878 et Paves: 1881 se rapportent en réalité à £. australis: 
? Décrit sur un exemplaire incomplet ; synonymie douteuse. 


1 


no 


EPORNTrTE 


a 
+ à OT 


ARAIGNÉES 599 


CaPELLO, ? CAMBRIDGE), Soudan anglo-égyptien (? FLoweRr, Simon), 
Erythrée (? L. Kocu), Ethiopie (Pavesr), 
E. bayaonianus (?) var. pedatus.* Srran 1913, p. 414. 


Habitat : Afr. or. all., lac Kivou (Srraxp). 


5. E. hilaris (O0. P. Cambridge) 1877. 


Podophthalma hilaris (Q subad.). Camsr1nGE O. P. 1877, p.569, pl. 
57, fig. 7; Simon 1892-1903, vol. 2, p. 288. 


Habitat: Ethiopie, Afr.or.(Simox), Madagascar (CAMBRIDGE). 


6. £. proximus n. sp. 
E. proximus (G'). ne Lesserr 1916, p. 565, fig. 1-4. 


Habitat : Kilimandjaro (pe LESSERT). 


7. E. pulchellus Pocock 1902. 
E. pulchellus (Q). Pococx 1902, p. 18, pl. 3, fig. 6. 
Habitat : Colonie du Cap (Pococx). 


Gen. HycroPopa Thorell 1894. 


1. 4. africana Simon 1898. 
H. africana (S Q). Simon 1898, p. 21. 


Habitat : Sierra Leone, Congo français (Srmox). 


2. H. borbonica (Vinson) 1863. 


Dolomedes Borbonicus (S'). Vinsox 1863, p. 25, 299, pl. 12, fig. 1. 
Hygropoda borbonica. Simox 1892-1903, vol. 2, p. 305, fig. 322, 323 
G. H. 


Habitat : Ile de la Réunion (VINSsON) ?. 


! Sans doute un lapsus pour pedata. | 

? Dans sa faune de l'Ile Aldabra, Vorcrzxow 1902, p. 547, 563 signale Do- 
 lomedes borbonicus (Vins.) et Peucetia lucasi (Vins.) qu’il rattache tous deux à 
la famille des Lycosidae, et qu'il qualifie de cosmopolites. Ces deux erreurs 
nous déterminent à n’en pas tenir compte ici. 


600 R. DE LESSERT 


3. À. madagascarica Strand 1907. 
H. madagascarica (Q). SrranD 1907°, p. 742 ; 1907-08, p. 152. 


Habitat : Nossi-bé (SrrAnp). 


Gen. HyPpsrrayzza Simon 1903. 


1. 1. linearis Simon 1903. 
H. linearis (Q juv.). Simon 1903, p. 38. 


Habitat : Madagascar (SImoN,. 


Gen. Iscnarea L. Kocx 1872. 


1. J. (?) incerta (O0. P. Cambridge) 1877 1. 


Podophthalma incerta (Q subad.). CamBrinGe O. P. 1877, p. 570, pl. 
57, fig. 8. 


Habitat : Madagascar (CAMBRIDGE). 


2. I. longiceps Simon 1897. 
I. longiceps (Q). Simon 1897, p. 281. 
Habitat : Ile Maurice (Simon). 


Gen. Maypacrus Simon 1898. 


1. M. bilineatus (Pavesi) 1895. 


Tetragonophthalma bilineata (Q). Pavesr 1895, p. 524; 1897, p. 178; 
Simon 18974, p. 390 ; SrranD 1908, p. 47, pl. 2, fig. 16. 

Tetragonophthalma Stuhlmanni. Büsexsere und Lez 1894, p. 37, 
pl. 2, fig. 19; Pococx 1898°, p. 518. 

Maypacius vittiger. Simox 1898, p. 13. 

Maypacius bilineatus. Simox 1906, p. 11694 

Habitat : Ethiopie (Pavesr, Simon, Srranp), Afr. centr., Ou- 
ganda (Simox), Afr. or. angl. (Pococx), Zanzibar (BôsENBERG und 
LEnz), Madagascar (Simon). 


! D'après Simon 1892-1903, vol. 2, p. 288, il faut peut-être rapporter Podoph- 
thalma incerta Cambridge au genre Zschalea. 


ARAIGNÉES 601 


Gen. Nizus O, P. Cambridge 1876. 
1. V. camerunensis (Thorell) 1899. 


Charminus camerunensis (S Q). Taorezz 1899, p. 83. 


Habitat : Cameroun (THORELL). 


2. N. curtus O. P. Cambridge 1876. 


N. curtus (Q subad.). CauBrinGE O. P. 1876, p. 596, pl. 60, fig. 13; 
CamrinGE F. O. P. 1898, p. 31. 


Habitat : Egypte (CAMBRIDGE). 


3. NW. oblongus Pavesi 1897. 
N. oblongus (Q subad.). Pavesr 1897, p. 177. 
Habitat : Ethiopie (Pavesi). 


4. N. pictus (Simon) 1888. 
Tallonia picta (Q juv.). Simon 1888, p. 223. 
Habitat : Nossi-bé (Simon). 


5. N. sparassiformis Strand 1907, 


N. sparassiformis (Q). Srrano 1907, p. 741 ; 1907-08, p. 143 ; 1915, 
p- 76. | 


Habitat : Nossi-bé (SrrAND). 


Gen. PHALAEA Simon 1898. 


1. P. aculeata Strand 1906. 
P. aculeata (Q). Srrann 1906, p. 86. 


Habitat : Cameroun (STRAND). 


9. P. canescens Simon 1898. 


P. canescens (Q). Simon 1898, p. 14 ; 1909, p. 387. 


Habitat : Guinée portugaise, Congo (Srmox). 


602 R. DE LESSERT 


3. P. crassa Thorell 1899. 
P. crassa (o). THorELL 1899, p. 80. 


Habitat : Cameroun (THORELL). 


4. P. ferox Pocock 1899. 
P. ferox {Q). Pocock 1899, p. 863, pl. 55, fig. 6, 6a. 


Habitat : Afr. occ. trop. (sans indication de localité) (Pococx) 


rep: margtnata Strand 1907. 


P. marginata (S subad.). Srrann 1907, p. 183. 


- 


Habitat : Cameroun (Srranp). 


6. P. thomensis Simon 1909. 


P. thomensis (Q). Simon 1909, p. 388. 
Habitat : Ile S. Thomé (Simon). 


7. P. vulpina Simon 1898. 


P. pulpina (5 @). Simox 1898, p. 14. 
Habitat : Congo (Simon). 


Gen. Pisaura Simon 1885. 


1. P. conspersa (Karsch) 18791. 


_ Ocyale conspersa (Q). Karscn 1879*, p. 831. 
Habitat : Congo français (Loango) (Karscu). 


! La description d' Ocyale conspersa est tout à fait insuffisante, l'auteur n'y 
faisant mention ni de la disposition oculaire, ni de l’épigyne. 

Il faut citer ici une espèce de Syrie et de Palestine, Dolomedes consocius 
(SG Q) Camsripce O. P.1872, p. 320 — Ocyale consocia Kuzczynski 1911, p. 48, 
pl..2, fig. 57, 59. — Selon Kuzezywsktr, loc. cit, Ocyale atalanta Aupouin 
1825, p. 150, pl. 4, fig. 10 ; 1827, p. 374, de Syrie, serait voisin de P. mirabilis 
(CI.) ou de P. consocia (Cb.) et la désignation générique de Pisaura devrait 
être remplacée par celle, plus ancienne, d'Ocyale. 


n 


ET PO TN POP TEE 


Lu? à 


ARAIGNÉES 603 


2. P. ducis Strand 1913. 
P. ducis (Q). SrranD 1913, p. 419. 


Habitat : Afr. or. all., Lac Kivou (Srranp). 


3. P. mtrabilis (Clerck) 1757 !. 

Philodromus quadrilineatus. Lucas 1839, p. 34, pl. 6, fig. 11. 

Dolomedes mirabilis. Lucas 1846, p. 130. 

Ocyale mirabilis. Bück 1861, p. 389; Pavesr 1873, p. 181; 1880, 
p. 376; 1884, p. 453; Simon 1883, p. 262, 286 ;,1885, p. 6; 1886, p.511 
WarBurTON 1892, p. 219; BôsENBERG 1895, p. 7. 

Pisaura mirabilis. Simox 1889, p. 301; 1889*, p. 305 ; 1897°, p. 112; 
1908, p. 54. 

Pisaura rufofasciata. Srrano 1908*, p. 107 ; 1911, p. 195. 

Habitat : Iles Açores(Srmox), Ile Madère (Bôcx, WARBURTON, 
Simox)?, Iles Canaries(Lucas, SIMON, BüSENBERG, STRAND), Algérie 
(Lucas), Tunisie (PAVES1, SIMON). 

P. mirabilis var. maderiana (& Qj. Scamrrz 1895, p. 197; KuLc- 
zyNsKi 1899, p. 422, pl. 9, fig. 116, 123. 

P. rufofasciata maderiana. SrranD 1915, p. 38. 

Habitat : Iles Porto Santo et Madère (Scamirz, KuLczYNsKi), 
Iles Canaries (STRAND). 


4. P. rothiformis Strand 1908. 
P. rothiformis (&). S'rranp 1908, p. 278. 
Habitat : Cameroun (SrrAND). 
. P. rothiformis var. orientalis (). Srrann 1913, p. 420. 


Habitat:Congo or. (Lac Albert-Edouard, Ruwenzori)(STRAND). 


| 5. P. valida Simon 18863. 
P. valida (Q). Simox 1886*, p. 354 ; 1909, p. 388. 
Habitat : Sénégal (Dakar), Guinée portugaise (SrmMox). 
1 Cf. Kuzczynskr 1899, pl. 9, fig. 115, 117. 


2? (?) var. maderiana Kulez. 
8 Peut-être synonyme de P. conspersa (Karsch), d'après Simon 1892-1903, 


vol. 2, p. 289. 


604 R. DE LESSERT 


Gen. Roraus Simon 1898. 


1. À. aethiopicus (Pavesi) 1883. 


Ocyale aethiopica (S Q@). Paves: 1883, p. 71 ; 1883*, pp. 497, 499. 

(?) Rothus lineatus. Pocock 1902, p. 16, pl. 3, fig. 2. 

Rothus aethiopicus (G subad.). Srranp 1908, p. 47 ; DE Lesserr 1916, 
p. 581, fig. 15 à 18. 

(2) Pisaura insula. Srranp 1913, p. 418. 


Habitat : Erythrée (Keren) (Pavest), Ethiopie, (?) Ouganda, 
Afr. or. all. (Srranp), Kilimandijaro (pe LesserT), (?) Colonie du 
Cap (Pococx). 

2. R. atlanticus Simon 1898. 


R. atlanticus (Q juv.). Simon 1898, p. 14; (?) Srranp 1908, p. 47. 
Habitat: Algérie, Tunisie (Simon), (?) Ethiopie (STrAND). 


3. À. auratus Pocock 1900. 


R. auratus (@). Pococx 1900, p. 326; 1902, pl. 3, fig. 3. 
Habitat : Petit Namaqualand (Pococx). 


4. R. catenulatus Simon 1898. 


R. catenulatus (Q). Simon 1898, p. 15 ; (?) Srranp 1908, p. 107. 
Habitat:(?) Ethiopie (Srranp), Griqualand (Kimberley) (Srmox). 


4 


5. R. obscurus Strand 1907. 


R. obscurus (Q ad., G subad.). S'rranD 1907*, p. 545 ; 1907°, p. 698. 
Habitat : Colonie du Cap (STRAND). | 


6. À. purpurissatus Simon 1898. 


R. purpurissatus (Q). Simon 1898, p. 14; (?) Simon 1907, p. 8. | 
Habitat : (?) Soudan anglo-égyptien, Erythrée(Keren)(SImoN). … 


ARAIGNÉES 605. 


7. À. vittatus Simon 1898. 


R. vittatus (Q). Simon 1898, p. 15; Pococx 1902, pp. 16, 17. 
Habitat : Colonie du Cap (Simon, Pococx). 


Gen. SPENCERELLA Pocock 1898. 


L. S. lineata Pocock 1898. 


S. lineata (5). Pococx 1898*, p. 215, pl. 8, fig. 17; (Q) pe LesserrT 
1916, p. 572, fig. 7 à 10. 


Habitat : Kilimandjaro (pe Lesserr), Natal (Pocock). 
S. lineata var. sexmaculata (Q). ve LessertT 1916, p. 575. 
Habitat : Kilimandjaro (bE LESSERT). 

2. S. signata Pocock 1902. 


S. signata (9). Pococx 1902, p. 17, pl. 3, fig. 4. 
Habitat : Colonie du Cap (Pocoex). 


Gen. TapiNoTHELE Simon 1898. 


1. T. astuta Simon 1898. 


T. astuta(Q). Simon 1892-1903, vol. 2, p. 313, note 1. 
Habitat : Zanzibar (Simon). 


Gen. TAPINOTHELELLA Strand 1909. 


1. 7. laboriosa Strand 1909. 


T. laboriosa (juv.). Srranp 1909, p. 586. 
Habitat : Colonie du Cap (SrranD). 


606 R. DE LESSERT 


Gen. TETRAGONOPHTHALMA Karsch 1878. 


1. T. brevipes Strand 1906. 
T. brevipes (Q subad.). Srranp 1906, p. 685 ; 1908, p. 45, pl. 2, fig. 11. 
Habitat : Ethiopie (Srranp). 


2. T. phylla Karsch 1878. 
T. phylla (Q ? ad.). Karsox 1878°, p. 329, pl. 9, fig. 4. 
Habitat : Côte de l’Or (Accra) (KarscH). 


3. T.(?) simoni n. nom. 


T. phylla (5). Simox 1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 300 B. 
T. simoni (S Q). »e Lesserr 1916, p. 577, fig. 11 à 14. 


Habitat : Kilimandjaro (ne LESSERT). 


Gen. THarassius Simon 1885. 


1. T. albocinctus (Doleschal 1859)". 


(?) T. albocinctus (Q). Taorezz 1899, p. 82 ; (c') Simon 1892-1903, 
vol. 2, p. 298, fig. 307, 308 D, E. 


Habitat : (?) Cameroun (THORELL). 


2. T. araneoides Strand 1913. 
T. araneoides (Q juv.). Srranp 1913, p. 423. 


Habitat : Congo or. (lac Albert-Edouard, Ruwenzori) (SrRAND). 


3. T. auratus Pocock 1899. 
T. auratus (Q). Pocock 1899, p. 866, pl. 57, fig. 20. 


Habitat : Guinée espagnole (PococKk). 


lin: Verh. nat. Ver. Nederl. Ind., Bd. 5, p. 9, pl. 15, fig. 4. 1859, d'après 
THoreLz 1895, p. 227. 


Selon Kuzczynskr 1901,p. 51, note, les Ctenus pallidus L. Koch 1875, p. 84, 
pl. 7, fig. 7 et torvus Pavesi 1883, p. 74, ne sont pas des Thalassius, comme 


certains auteurs l’ont prétendu. 


ARAIGNÉES . 607 


4. T. batesi Pocock 1899. 
T. batesi (Q). Pococx 1899, p. 867. 


Habitat : Guinée espagnole (Pococx). 


5. T. bukobensis Strand 191%. 


T. bukobensis (Q). Srranp 1913, p. 421. 
Habitat: Afr. or. all. (Srranp). 


6. T°. fimbriatus (Walckenaer) 1837 !. 


Ctenus fimbriatus (Q). Warckewaer et Gervais 1837-47, vol. 1. 
p. 364; CauBriDGE F. O. P. 1898, p. 15. 
Thalassius fimbriatus. Simon 1892-1903, vol. 2, p. 298, fig. 306 C. 


Habitat : Colonie du Cap ( WALCKkENAER). 


7. T. formosus Pocock 1899. 
T. formosus (Q subad.). Pocock 1899, p. 865, pl. 57, fig. 19. 


Habitat : Guinée espagnole (Pococxk). 


8. T°. fulvus Kulezynski 1901. 


T. fulous (9). Kuzczynskr 1901, pp. 3, 50, pl. 2, fig. 48. 
Habitat : Erythrée (Ghinda) (Kurcezynsxr). 


9. T. guineensis (Lucas) 1858. 


Olios guineensis (&). Lucas 1858, p. 405, pl. 13, fig. 6. 
T. guineensis (SG Q). Pocock 1899, p. 864, pl. 57, fig. 18. 
(2) T. rubromaculatus (Q)?. Taorecz 1899, p. 81. 


Habitat : (?} Cameroun (THoreLL), Guinée espagnole (Pococx), 
Gabon (Lucas). 


1 Simon 1892-1903, vol. 2, p. 299 mentionne 7. ferox de l'Afrique occiden- 
tale ; j'ignore où cette espèce a été décrite. 

2 T. rubromaculatus Thorell est sans doute synonyme de Olios guineensis 
Lucas, au moins de l’espèce que Pococx 1899, p. 864, décrit sous ce nom 
(Simon 19032, p. 106). 


608 R. DE LESSERT 


10. T. ienornatus Pocock 1899. 


T. inornatus (Q). Pococx 1899, p. 865. 


Habitat : Guinée espagnole (Pococx). 


11. T. insignis Pocock 1899. 


T. insignis (Q). Pococx 1899, p. 868, pl. 57, fig. 23, 23a; Simon 
19032, p. 106. 


Habitat : Guinée espagnole (Pococx, SImox). 


1227/ye0Strand 1907; 
T. leo (Q subad.). Srraxp 1907?, p. 741; 1907-08, p. 145. 
Habitat : Nossi-bé (STRAND). 


13. T. leonensis Pocock 1899. 


T. spenceri (ad. part.). CamsrinGE F. O. P. 1898, p. 30*. 
T. leonensis (9). Pocock 1899, p. 867, pl. 57, fig. 21; Simon 1903, 
p- 106; 1909, p. 390 ; S'rranp 1907°, p. 701. 


Habitat : Sierra Leone (CaMBRIDGE, Pocock, Simon), Guinée 
espagnole, Congo français, Ile do Principe (Srmow), Afr. or. all. 
(STRAND). 

14. T. leucostictus Pocock 1899. 


T. leucostictus (Q subad.). Pococx 1899, p. 866. } 


Habitat : Guinée espagnole (Pococx). 


15. T. majungensis Strand 1907. 


T. majungensis (Q). SrranD 1907, p. 741; 1907-08, p. 148. 
Habitat : Madagascar (SrrAND). 


 F. O. P. Camsripce a décrit, sous le nom de T. spenceri, deux espèces de 
Thalassius ; l'une, originaire du Cap, est le type de T. spenceri F. O.P.Cam- 
bridge, l’autre de Sierra Leone, doit porter le nom de 7. leonensis Pocock. 


ARAIGNÉES 609 


16. T. margaritatus Pocock 1898. 
T. margaritatus (Q). Pococx 1898°, p. 518, pl. 41, fig.8; (x) Srranp 
1908*, p. 108, pl. 2, fig. 1a. 
Habitat : Ethiopie (Srraxp), Afr. or. angl. (Pococx). 


17. T. massajae (Pavesi) 1883". 


Dolomedes Massajae (Q)- Pavesr 1883, p. 69 ; 1883?, p. 499. 
Habitat : Choa (Pavesr). 


18. 7. pictus Simon 1898. 


T. pictus (Q juv.). Simon 1898, p. 17; (?) Srranp 1906, p. 88. 


Habitat: (?) Togo (Lome) (Srranp), Congo français (Ogoué) 
(SIMON). | 
19. 7. schubotzi Strand 1913. 


T. Schubotzi (Q). SrranD 1913, p. 421. 
Habitat : Congo or., Ouganda (lac Albert) (Srranp). 


20. T. spencert F. O. P. Cambridge 1898. 
T. spenceri (ad. part.) ? (Q). Causrince F. O. P. 1898, p. 29, pl. 4, 
fig. 1 a, b, 8. 


Habitat : Colonie du Cap (CamMBRIDGE). 


21. T. spinosissimus (Karsch) 1879. 


Ctenus spinosissimus (Q). Karscn 1879, p. 345, fig. 1. 
Thalassius spinosissimus. Simon 1891, p. 299 ; Camsrince F. O. P. 
1898, p. 17. 


Habitat: Cabinda(Chinchoxo) (Karsca), Congo belge (Stanley 
Pool, Kinshassa) (Simon). 


7 SrrAnDp 1907c, p. 701, rapporte D. Massajae Pavesi au genre Thalassius. 

? L’exemplaire cité par CamBrincr de Sierra Leone — T. leonensis Poc., cf. 
p- 608, note 1. Il n'est pas impossible, d'après CamBr1DGE, que T. spenceri soit 
synonyme de T. fimbriatus (Walck). 


610 R. DE LESSERT 


99, T. radiatolineatus Strand 1906. 


T. radiato-lineatus (Q). SrranD 1906*, p. 671; 1908*, p. 111, pl. 2, 
fig. 2a. 


Habitat : Ethiopie (Simon). 


23. T. regalis Pocock 1899. 


T. regalis (Q). Pococx 1899, p. 868, pl. 52, fig. 22. 


Habitat : Guinée espagnole (Pococx). 


24. T. rossi Pocock 1902. 


T, Rossit}(Q). Pococx 1902;-p. 45° pl:3, fi. "1. 
Habitat : Natal (Pococx). 


25. T. ruwenzoricus Strand 1913. 
T. ruwenzoricus (Q). SrranD 1913, p. 420. 


Habitat : Congo or.(lac Albert-Edouard, Ruwenzori)(SrRAND). 


26. 7. unicolor Simon 1897. 


T. unicolor (Q). Simon 18974, p. 389 ; CamBriDGE F. O. P. 1898, p.29, 
pl: 4% fig:2. 


Habitat : Ethiopie (Simon). 


Gen. Voraprus Simon 1898. 


1. V. aerius Simon 1698. 
V. aerius (c'). Simon 1898, p. 23. 
Habitat : Cabinda (Landana) (SrmoN). 


2. V.(?) extensus n. sp. 


V.(?) extensus (Q). ne Lesserr 1916, p. 591, fig. 23 à 26. 


Habitat : Kilimandjaro (ne LESSERT). 


ARAIGNÉES 611 


3. V. tenellus (Simon) 18931. 


Dendrolycosa tenella (3 @). Simon 1893, p. 208. 
Voraptus tenellus. Simon 1897°, p. 385 ; Hirsr 1911, p. 382. 


Habitat : Iles Séchelles (Simon, Hirsr). 


Espèces incertaines. 


Aranea virescens. Poirer 1789, p.345 [?— Dolomedes fimbriatus (C1.)] 

Chiasmopes comatus. PAvEst 1883, p. 79 ; 1883*, p. 499 ?. 

Dolomedes hyppomene. Aupouix 1825, p. 148, pl. 4, fig. 9; 1827, 
p. 371. 

Dolomedes sp. Srrann 1913, p. 424. 

Euprosthenops sp. SrranD 1915, p. 76. 

Tetragonophthalma phylla. Pococx 1899, p. 862 = Phalaea sp. (cf. 
pr LesserT 1916, p. 576). 

Thalassius sp. SrraxD 1913, p. 422 ; 1915, p. 75. 


! Il faut aussi rapporter (d'après Simon 1892-1903, vol. 2, p. 311, note 2)au 
genre Voraptus le Dolomedes exilipes (Q) de Lucas 1858, p. 385, pl. 12, fig. 1, 
que Pococx 1899, p. 862, a considéré comme synonyme (?)de Tetragonophthalma 
phylla Karsch. 

? Le genre Chiasmopes Pavesi 1883, p. 77, fondé sur deux individus imma- 
tures du Choa doit être voisin du genre Euprosthenops (Cf. Simon 1892-1903, 
“vol. 2, p. 297). 


1825. 


1827. 


1861. 


1895. 


1894. 


4867. 


1872. 


1876. 


R. DE LESSERT 


INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 


Aupouix, V. Explication sommaire des Planches d'Arachnides 
de l'Egypte et de la Syrie, publiées par Jules-César Savigny, 
membre de l'Institut; offrant un exposé des caractères natu- 
rels des genres, avec la distinction des espèces. Ex : Descrip- 
tion de l'Egypte ou Recueil des observations et des recherches 
qui ont été faites en Egypte pendant l'expédition de l’armée 
française, publié par les ordres de Sa Majesté l'Empereur 
Napoléon le Grand. Histoire naturelle, vol. 1, pp. 99-186, 
pl. 1-9. Paris, 4° avec atlas f° (1809). 

— Id., 2% éd., vol. 22, pp. 291-436. Paris, &. 

Bücx, G. Vorläufige Uebersicht der während der Reise der k. k. 
Fregatte Novara von den Herren Naturforschern gesammelten 
Spinnen. Verh.k.k.z0ol.-bot. Ges. Wien, Bd.11, pp. 387-390. 

BôüsenserG, W. Beitrag zur Kenntnis der Arachniden-Fauna 
von Madeira und den Canarischen Inseln. Abh. naturw. 
Ver. Hamburg, Bd. 13, pp. 1-13, 1 pl. 

BôsexserG, W. und Lenz, H. Ostafrikanische Spinnen, gesam- 
melt von Herrn Dr. F. Stuhlmann in den Jahren 1888 und 
1889. Mitt. naturh. Mus. Hamburg (Beïheft Jahrb. Hamb. 
wiss. Anst.), Jhg. 12 (1895), pp. 25-51, pl. 1-2 

Briro CareLLo (de), F. Descripcäo de algumas pe: nosas 
ou pouco conhecidas de crustaceos e arachnidios de Portugal 
e possessôes portuguezas do ultramar. Mem. Acad. Real Sc. 
Lisboa, CI. Sc. math., phys. e nat. {n.s.), vol. 4, P. 1, pp. 1-17, 
pltet-2. 

CamBriGE, O. P. General List of the Spiders of Palestine and 
Syria, with Descriptions of numerous new Species and Cha- 
racters of two new Genera. Proc. zool. Soc. London, 1872, 
pp. 212-354, pl. 13-16. 

— Catalogue of a Collection of Spiders made in Egypt, with 
Descriptions of rew Species and Characters of a new Genus. 
Proc. zool. Soc. London, 1876, pp. 541-630, pl. 58-60. 


ARAIGNÉES 613 


1877. CamsrinGe, O. P. On some new Species of Araneidea, with 
Characters of two new Genera, and some Remarks on the 
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1907. — On some New and Little-known Araneidea. Proc. zool. Soc. 
London, 1907, pp. 817-829, pl. 50. 

1898. CausrinGE, F. O0. P. On the Cteniform Spiders of Africa, Arabia 
and Syria. Proc. zool. Soc. London, 1898, pp. 13-32, pl.3 et 4. 

1900. Frower, S. S. Arachnids (XI). Ex: Notes on the Fauna of the 
White Nile and its Tributaries. Proc. zool. Soc. London, 
1900, p. 973. 

1911. Hinsr, S. The Araneæ, Opiliones and Pseudoscorpions. Ex : 
The Percy Sladen Trust Expedition to the Indian Ocean in 
1905 under the leadership of Mr J. Stanley Gardiner, vol. 3, 
IV° 18. Trans. Linn. Soc. London (2), Zool., vol. 14, P. 3, 
pp. 379-395, 11 fig. 

1878. Karscu, F. Uebersicht der von thm (Herrn W. Peters)in Mossam- 
bique gesammelten Arachniden. Monatsber. k. Akad. Wiss. 
Berlin, 1878, pp. 314-338, pl. 1, 2. 

1878*. — Éxotisch-araneologisches. ZLeitsch. ges. Naturw. (3), Bd. 3 
[51], pp- 322-333, pl. 9. 

1879. — Westafrikanische Arachniden, gesammelt von Herrn Stabs- 
arzt Dr. Falkenstein. Zeitsch. ges. Naturw. (3), Bd. 4 [52], 
pp. 329-373, figg. 

1879. — Westafricanische Myriopoden und Arachniden, gesammelt 
von Herrn Stabsarzt D' Falkenstein. Zeitsch. ges. Naturw. 
(3), Bd. 4 [52], pp. 825-837, pl. 11, fig. 1-6. 

1841. Kocu, C. L. Arachniden und Myriapoden aus der Regentschaft 
Algier. Ex: Wacxer, M. Reisen in der Regentschaft Algier, 
in den Jahren 1836, 1837 und 1838, Bd. 3, pp. 211-225. Leip- 
zig, 8°, avec atlas 4°. 

(Le vol. 3 porte aussi le titre: Bruchstücke zu einer Fauna 
der Berberei, mit besonderer Rücksicht auf die geographische 
Verbreitung der Thiere am Becken des Mittelmeeres, nach 
den von Moritz Wagner in der Regentschaft Algier gesam- 
melten Materialen.) 

1875. Kocu, L. Aegyptische und Abyssinische Arachniden, gesam- 
melt von Herrn C. Jickeli, beschrieben und abgebildet von 
D: L. Koch. Nürnberg, 4°. 

Rev. Suisse pe Zooz. T. 24. 1916. 42 


614 R. DE LESSERT 


1871-1890. Kocu, L. und KeyserziNG, E. Die Arachniden Australiens 
nach der Natur beschrieben und abgebildet. Nürnberg, 4°. 
(P. 1, 1871-1883 ; P. 2, 1885-1890) !! | 

1899. Kurczvxski, VI. Arachnoidea opera Rev. E. Schmitz collecta in 
insulis maderianis et in insulis Selvages dictis. Dissert. math. 
et phys. Acad. Litt. Cracoviensis, vol. 36, pp. 320-461, 
pl. 6-9. 

4901. — Arachnoidea in colonia EÉrythraea a Dre K. M. Levander. 
collecta. Dissert. math. et phys. Acad. Litt. Cracoviensis, 
vol. 41, pp. 1-64, pl. 1 et 2. 

4911. — Fragmenta arachnologica (IX). XVI. Aranearum species 
nonnullae in Syria a Rev. P. Bovier-Lapierre et in Palaestina 
a Rev. E. Schmitz collectae. XVII. Araneae nonnullae Euro- 
peae. Bull. Acad. Sc. Cracovie, CI. Sc. math. et nat., 1911; 
pD:.12-75; (pl: 4%et 2: 

1886. Lenz, H. Beiträge zur Kenntniss der Spinnenfauna Madagas- 
cars. ZLool. Jahrb., Bd. 1, pp. 379-408, pl. 10. 

1891. — Spinnen von Madagascar und Nossibé. Mitt. naturh. Mus. 
Hamburg (Jahrb. Hamb. wiss. Anst.), Jhg. 9, P. 1 (1892), 
pp. 161-182, pl. 1 et 2. 

1915. Lesserr (de), R. Arachnides de l’'Ouganda et de l'Afrique orien- 
tale allemande. Ex: Voyage du D'J. Carl dans la région 
des Lacs de l'Afrique centrale. Rev. suisse Zool., vol. 23, 
pp. 1-89, pl. 1-3, 1 fig. 

4945. — Araignées du Kilimandjaro et du Mérou. 1. Oxyopidæ et 
Agelenidæ. Ex: Résultats scientifiques de la mission zoolo- 
gique suédoise au Kilimandjaro, au Mérou, etc. (1905-1906), 
sous la direction du Prof. D' Yngve Sjüstedt. Rev. suisse 
Lool., vol. 23, pp. 439-533, 60 fig. 

1916. — Araignées du Kilimandjaro et du Mérou. XI. Pisauridæ. Ex : 
Résultats scientifiques de la mission zoologique suédoise au 
Kilimandjaro, au Mérou, etc. (1905-1906), sous la direction 
du Prof. D' Yngre Sjüstedt. Rev. suisse Zool., vol. 24, 
pp. 565-620, 26 fig. 


! Les dates des pages de la P. 1 sontindiquées à la p. 1477. Le mémoire de Kocx 
a été continué par KEYsERLING à partir de la p. 1282 (1881). 

Les dates des pages de la P. 2 sont: pp. 1-48, 1885; pp. 49-152, 1886; 
pp. 153-232, 1887; pp. 233-274, 1890. 


ARAIGNÉES 615 


1758. LinxE, C. Systema Naturae, vol. 1. (Ed. 10, reformata). Hol- 
miae, 8°1. 

1839. Lucas, H. Arachnides, Myriapodes et Thysanoures. Ex : Barker- 
Wsss,P.etBEerraeLor, S., Histoire naturelle des Iles Canaries, 
vol. 2, P. 2 (1836-1844). Entomologie, pp. 19-52; pl. 6 et 7. 
Paris, 4°. 

1846. — Histoire naturelle des animaux articulées. P. 1. Crustacés, 
Arachnides, Myriapodes et Hexapodes. Ex: Exploration 
scientifique de l'Algérie pendant les années 1840, 1841, 1842, 
publiée par ordre du gouvernement et avec le concours d’une 
commission académique. Sciences physiques. Zoologie I. 
4 vol. avec atlas. Paris, 4°. 

1858. — Arachnides. Ex: Voyage au Gabon, Histoire naturelle des 
Insectes et des Arachnides recueillis pendant un voyage fait 
au Gabon en 1856 et en 1857 par M. H. C. Deyrolle. Arch. 
ent., Thomson, vol. 2, pp. 380-436, pl. 12, 13. 

1873. Pavesr, P. Catalogo sistematico dei Ragni del Cantone Ticino, 
con la loro distribuzione orizzontale e verticale, e cenni sull” 
Araneologia elvetica. Ann. Mus. civ. Genova, vol. 4, pp.5-215. 

1880. — Studi sugli Aracnidi africani. |. Aracnidi di Tunisia. Ann. 
Mus. civ. Genova, vol. 15 (1879-1880), pp. 283-388. 

1881. — Studi sugli Aracnidi africani. W. Aracnidi d’Inhambane, 
raccolti da Carlo Fornasini e consideraziont sull aracnofauna 
del Mozambico. Ann. Mus. civ. Genova, vol. 16 (1880-1881), 
pp. 536-560. 

1883. — Aracnidi del Regno di Scioa. Ex: Spedizione italiana nell 
Africa equatoriale. Risultati zoologici. Ann.Mus. civ. Genova, 
vol. 20 (1883-1884), pp. 5-105. [Dans le tirage à part sous le 
titre : Studi sugli Aracnidi africani. WI. Aracnidi del Regno 
di Scioa e consideraziont sull aracnofauna d'A bissinia.] 

1883*. — Consideraziont sull’aracnofauna dell A bissinia. Rendiconti 
Ist. Lombardo Sc. e Lett. !2), vol. 16, pp. 496-501. 

1884. — Aracnidi (II). Ex: Materiali per lo Studio della Fauna tuni- 
sina raccolti da G.e L. Doria. Ann. Mus. civ. Genova, vol. 20: 
(1883-1884), pp. 446-486. 


1 D'après Simon 1910, p. 266, il sera toujours impossible d'identifier l'Aranea 
flavissima (d'Egypte) décrite par Lixxé 1758, p. 622; il n’est également pas 
possible de savoir à quelle espèce du genre Lycosa s'applique la description 
de l’Aranea Tarantula Linné 1758, p. 622 (de Barbarie). 


616 R. DE LESSERT 


1895. Pavesi, P. Aracnidi{(X VIII). Ex: Æsplorazsione del Giuba e dei 
suoi affluenti compiuta dal Cap. V. Bottego durante gli Anni 
1892-1893 sotto gli auspicii della Societa Geografica ltaliana. 
Risultati zoologici. Ann. Mus. civ. Genova (2), vol. 15 [35], 
PP: nos 537. 


1897.  Aracnidi Africani. IX. Ar a Somali e Galla 
ee 1e don Eugenio dei Principi Ruspoli. Ann. Mus. civ. 
Genova (2), vol. 18 [38] (1897-1898), pp. 151-188. 

1898. Pococx, R. I. On the Arachnida taken in the Transvaal and in 
Nyasaland by M W. L. Distant and D' Percy Rendall. Ann. 
Mag. nat. Hist. (7), vol. 1, pp. 308-321, fig. 1-3. 

1898. — The Arachnida from the Province of Natal, South Africa, 
contained in the HR of the British Museum. Ann. Mag. 
nat. Hist. (7), vol. 2, pp. 197-226, pl. 8. | 

1898. — The Arachnida from the Regions of Lakes Nyasa and Tan- 
ganyika contained in the Collection of the British Museum. 
Ann. Mag. nat. Hist. (7), vol. 2, pp. 429-448, pl. 13. 

1898. — On the Scorpions, Spiders and Solpugas, collected by 
M' C. Steuart Betton in British East Africa. Proc. zool. Soc. 
London, 1898, pp. 497-524, pl. 41, 42. 

1899. — On the Scorpions, Pedipalps and Spiders from Tropical 
West Africa represented in the Collection of the British Mu- 
seum. Proc. zool. Soc. London, 1899, pp. 833-885, pl. 55-58. 

1900. — Some new Arachnida from Cape Colony. Ann. Mag. nat. 
Hist. (7), vol. 6, pp. 316-333. 


4902. — Descriptions of some new Species of African Solifugae and 
Araneae. Ann. Mag. nat. Hist. (7), vol. 10, pp. 6-27, pl. 2,3 
1903. — Some new Spiders from the Camaroons collected by 


M: G. L. Bates, Ann. Mag. nat. Hist. (7), vol. 11, pp. 258-264. 

1789. Porrer (l'Abbé). Voyage en Barbarie, ou lettres écrites sur 
l’ancienne Numidie pendant les années 1785 et 1786. P. 1. 
Partis... 

1895. Scamirz, E. Arachnidios da Madeira. Ann. Sci. nat. Porto. 
vol. 2, pp. 197-199. 

4876. Simox, E. Etude sur les Arachnides du Congo. Bull. Sôc: zool, 
France, vol. 1, pp. 12-15, 216-224. 

1883. — Etudes arachnologiques, 14° mém. XXI. Matériaux pour 
servir. à la Faune arachnologique des iles de l'Océan Atlan- 
tique (Açores, Madère, Salvages, Canaries, Cap Vert, Sainte- 


ARAIGNÉES 617 


Hélène et Bermudes). Ann. Soc. ent. France (6), vol. 3, 
pp: 259-314, pl. 8. 

1884. Simox, E. Arachnides recueillis à Khartoum (Soudan Égyp- 
tien) par M. Vossion, vice-consul de France, et appartenant 
au Muséum de Paris. Bull. Soc. zool. France, vol. 9, pp. 1-28, 
pli. 

1885. — Etude sur les Arachnides recueillis en Tunisie, en 1883 et 
1884 par MM. À. Letourneux, M. Sedillot et Valery Mayet, 
membres de la mission de l'exploration scientifique de la Tu- 
nisie. Ex: Exploration scientifique de la Tunisie, publiée 
sous les auspices du ministère de l’Instruction publique. 
Paris, 8°. 

1886. — Aräcnidos. Ex: Quinoca, F. Apuntes de un Viaje por el 
Sähara occidental. An. Soc.esp.Hist. nat., vol. 15, pp.511-512. 

1886. — Etudes arachnologiques, 18° mém. XXVI. Matériaux pour 
servir à la faune des Arachnides du Sénégal. (Appendice : 
Descriptions de plusieurs espèces africaines nouvelles.) Ann. 
Soc. ent. France (6), vol. 5 (1885), pp. 345-396. 

1887. — Etudes arachnologiques, 19° mém. XXVII. Arachnides re- 
cueïllis à Assinie (Afrique occidentale) par MM. M. Chaper 
et C. Alluaud. Ann. Soc. ent. France (6), vol. 7, pp. 261-276. 

1888. — Etudes arachnologiques, 21° mém. XXXI. Descriptions 
d'espèces et de genres nouveaux de Madagascar et de Mayotte. 
Ann. Soc. ent. France (6), vol. 8, pp. 223-236. 

1889. — Liste des Arachnides recueillis aux Iles Canaries en 1888, 
par M. le D' Verneau. Bull. Soc. zool. France, vol. 14, 
pp: 300-304. 

188%. — Liste préliminaire des Arachnides recueillis aux Açores par 
M. Jules de Guerne, pendant les campagnes de l’«Hirondelle» 
(1887-1888). Bull. Soc. zool. France, vol. 14, pp. 304-305. 

1891. — Etudes arachnologiques, 23° mém. XXXVII. Arachnides re- 
cueïllis sur le haut Congo par M. Ant. Greshoff. Ann. Soc. 
ent. France, vol. 60, pp. 297-299, fig. 

1892-1903. — Histoire naturelle des Araignées. 2° éd. Paris, 8° (vol.1, 
1892-1895 ; vol. 2, 1897-1903) :. 

1893. — Mission scientifique de M. Ch. Alluaud aux iles Séchelles 


! Les dates des fascicules sont indiquées par l’auteur pour le vol. 1 à la 
p. 108%, pour le vol. 2 à la p. 1080. 


618 KR. DE LESSERT 


(mars, avril, mai 1892). Arachnides. Bull. Soc. zool. France, 
vol. 18, pp. 204-211. 

1897. Simon, E. Etudes arachnologiques, 28° mém. XLIV. Arach- 
nides recueillis par M. Ch. Alluaud à l'ile Maurice en 1896. 
Ann. Soc. ent. France, vol. 66, pp. 276-281. 

1897. — Etudes arachnologiques, 29° mém. XLVI. Arachnides re- 
cueillis en 1895 par M. le D' A. Brauer (de l’Université de 
Marburg) aux iles Séchelles. Ann. Soc. ent. France, vol. 66, 
pp: 370-388, figg. 

1897. — Arachnides recueillis par M. M. Maindron à Kurrachee et 
à Matheran (près Bombay) en 1896. Bull. Mus. Hist. nat., 
vol. 3, pp. 289-297. 

1897. — Arachnides recueillis à l’ile Madère par M. A. Fauvel en 
1896. Bull. Soc. ent. France, 1897, pp. 111-1143. 

18972, —- Araneae (Appendix B.) Ex: Donarzpson Smir, A., Through 
unknown African countries, the first expedition from Somali- 
land to lake Rudolf, pp. 386-391. London, New-York, 8. 

1898. — Descriptions d’Arachnides nouveaux des familles des Agele- 
nidæ, Pisauridæ, Lycosidæ et Oxyopidæ. Ann. Soc. ent. Bel- 
gique, vol. 42, pp. 5-34. 

1903. — Descriptions d'Arachnides nouveaux. Ann. Soc. ent. Bel- 
gique, vol. 47, pp. 21-39. 

1903. — Arachnides de la Guinée espagnole. Mém. Soc. esp. Hist. 
nat., vol. 1, 1903-1910, pp. 65-124. 

1904. — Etude sur les Arachnides recueillis au cours de la mission 
du Bourg de Bozas en Afrique. Bull. Mus. Hist. nat., vol. 10, 
pp. 442-448. 

1906. — Araneida (NII). Ex: Ergebnisse der mit Subvention aus der 
Erbschaft Treitl unternommenen zoologischen Forschungs- 
reise D' F. Werners nach dem ägyptischen Sudan und Nord- 
Uganda. Sitz.-Ber. k. Akad. Wiss. Wien, math.-naturw.K1., 
Bd. 115, pp. 1159-1176. | 

1907. — Arachnides recueillis en Egypte et le long du Nil Blanc par 
la mission zoologique suédoise, 1901. Ex: Results ofthe Swe- 
dish Zoological Expedition to Egypt and the White Nile 1901 
under the Direction of L. A. Jägerskiôld, n° 21, pp. 1 à 10, 
Uppsala, 8°. 

1908. — Araignées. Ex: Gapeau DE Kervize, H., Voyage zoologique 
en Khroumirie (Tunisie), maiï-juin 1906, pp. 51-55. Paris, 8°. 


ARAIGNÉES 619 


1909. Simon, E. Arachnides recueillis par L. Fea sur la côte occiden- 
tale d'Afrique (P. 2j. Ann, Mus. civ. Genova (3), vol. 4 [44] 
(1908-1910), pp. 335-449, fige. 

1910. — Catalogue raisonné des Arachnides du Nord de l'Afrique 
(P. 1). Ann. Soc. ent. France, vol. 79 {1910-1911), pp. 265-332, 
fige. 

1910%. — Arachnoidea (XI). Araneae (II). Ex : Scaurrze L., Zoologische 
und anthropologische Ergebnisse einer Forschungsreise im 
westlichen und zentralen Südafrika, ausgeführt in den Jahren 
1903-1905, Bd. 4, Systematik und Tiergeographie, Lief. 1. 
Jena. Denkschr., Bd. 16, pp. 175-218. 

1906. Srraxp, E. Tropisch-afrikanische Spinnen des Kgl. Naturalien- 
Kabinetts in Stuttgart. Jahresh. Ver. Naturk. Württemberg, 
Jhg. 62, pp. 13-103, 3 fige. 

1906°. — Diagnosen nordafrikanischer, hauptsächlich von Carlo Frei- 
herr von Erlanger gesammelter Spinnen. Zool. Anz., Bd.30, 
pp. 604-637, 655-690. [p.680, Anhang I. Diasnosen neuer, von 
Oscar Neumann in Süd-Aethiopien gesammelter Spinnen ; 
p. 687, Anhang II. Diagnosen fünf neuer tropisch-afrikani- 
scher Spinnen]. 

1907. — Eïinige Spinnen aus Kamerun, Java und Australien. Jahrb. 
Nass. Ver. Naturk., Jhg. 60, pp. 177-219. 

1907%. — Vorläufige Diagnosen afrikanischer und südamerikanischer 
Spinnen. Zool. Anz., Bd. 31, pp. 525-558. 

1907°. — Diagnosen neuer Spinnen aus Madagaskar und Sansibar. 
Zool. Anz., Bd. 31, pp. 725-748. 

1907. — Afrikanische Spinnen (exkl. Aviculartiiden), hauptsächlich 
aus dem Kapland. Zool. Jahrb. (Abt. Syst.), Bd.25, Heft 5/6, 
pp. 557-731. 

1907-1908. — Beilräge zur Spinnenfauna Madagaskars. Nyt. Mag. 
Naturv., Bd. 46, pp. 1-227. [Bd. 46: Hft. 1, pp. 1-96. 1907: 
Hft. 2, pp. 97-227. 1908]. 

1908. — Verzeichnis der von Oscar Neumann in Süd-Aethiopien ge- 
sammelten Spinnen. Arch. Naturg., Jhg. 74, Bd. 1, Hft. 1, 
pp. 13-66, pl. 2, fig. 1-27. 

1908. — Nordafrikanische Spinnen, hauptsächlich von Carlo Freiherr 
von EÉrlanger gesammelt (Dictynidae, Éresidae, Sicariidae, 
Dysderidae, Caponiidae, Palpimanidae, Zodariidae, Uroc- 
teidae, Pholcidae, Agelenidae, Pisauridae) mit Verzeichnis 


620 R. DE LESSERT 


der gesamten systematisch-faunistischen Lileratur über afri- 
kanischen Spinnen. Arch. Naturg., Jhg. 74, Bd. 1, Hft. 1, pp. 
67-128, pl. 2, fig. 1a-8a. 

19082. S'rraxp, E. Exotisch-araneologisches. 11. Spinnen aus Kame- 
run. Jahrb. Nass. Ver. Naturk., Jhg. 61, pp. 260-281. 

1909. — Spinnentiere von Süd-Afrika und einigen Inseln, gesammelt 
bei der Deutschen Südpolar-Expedition 1901-1903. Ex: 
Deutsche Südpolar-Expedition 1901-1903, Bd. 10, ZoologieIl, 
pp. 543-596. Berlin, #4. 

1911. — Arachniden von der kanarischen Insel Gomera, gesammelt 
von Herrn Prof. D'W. May. Arch. Naturg., Jhg. 77, Bd. 1, x 
Hft. 2, pp. 189-201. 

1913. — Arachnida. I. Ex: Wissenschaftliche Ergebnisse der Deut- 
schen Zentral-Afrika-Expedition 1907-1908 unter Führung 
Adolf Friedrichs, Herzogs zu Mecklenburg, Bd. IV, Zoolo- 
gie IL, Lief. 11, pp. 325-474. Leipzig, 8°. 

1915. — Systematisch-faunistische Studien über paläarktische, afri- 
kanische und amerikanische Spinnen des Senckenbergischen 
Museums. Arch. Naturg., Jhg. 81, Abt. À, Hft. 9, pp. 1-153. 

1881. Tnorecz, T. Studi sui Ragni Malesi e Papuani. WU. Ragni 
dell Austro-Malesia e del Capo York, conservati nel museo 
Civico di Storia Naturale di Genova. Ann. Mus. civ. Genova, 
vol. 17, pp. vu-xxvu, 1-720. 

1895. — Descriptive Catalogue of the Spiders of Burma. London, 8°. 

1899. — Araneae Camerunenses (Africae occidentalis), quas anno 
1891 collegerunt Cel. D' Y. Sjostedt aliique et enumeravit 
T. Thorell. Bihang till. K. Sv. Vet.-Akad. Handl., Bd. 25, 
Afd. IV, N°1, pp. 1-105. 

1863. Vixsow, À. Aranéides des iles de la Réunion, Maurice et Mada- 
gascar. Paris, 8°. 

1902. Væœrrzxow, A. Die von Aldabra bis jetzt bekannte Flora und 
Fauna. Abh. Senck. naturf. Ges., Bd. 26, pp. 539-565. 

1837-1847. WaLckeNAER, (le Baron) et Gervais, P. Histoire naturelle 
des Insectes. Aptères. 4 vol. avec atlas. Paris, &. (Vol. 1 et 
2, 1837; vol. 3, 1844 ; vol. 4, 1847.) 

1892. Warsurrox, C. Spiders from Madeira. Ann. Mag. nat. Hist. 
(6), vol. 10, pp. 216-228, pl. 14. 


REMUE SUISSE DE ZOOLOGIE 
Vol. 2%, n° 10. — Décembre 1916. 


Contribution 


a l'étude de la faune infusorienne du Léman. 


PAR 


Emile ANDRÉ 


(Genève). 


Avec la planche 5. 


Les espèces infusoriennes signalées dans le Léman, par 
Forez, Roux, ANDRÉ et quelques autres naturalistes !, sont les 


suivantes : : 


Holophrya ovum Ehr. 

H. simplex Schéw. 

Belonophrya pelagica André. 

Urotricha farctaClap.aLachm. 

U. lagenula (Ehr.) 

Crobylura pelagica André. 

Enchelys pupa O.F. M. 

Spathidium spathula(O.F.M.) 

Prorodon teres Ehr. 

Lacrymaria olor O.F.M. 

L. coronata Clap. et Lachm. 
var. aquae dulcis Roux. 


Coleps hirtus O. F. M. 

C. uncinatus Clap. et Lachm. 
C. amphacanthus Ehr. 
Didinium balbianii Bütschli. 
Mesodinium acarus Stein. 
Askenasia elegans Blochmann. 
Amplhileptus claparadei Stein. 
Lionotus anser (Ehr..;. 

L. fasciola (Ehr.). 

L. lamella (Ehr.). 

L. gandolfit André. 

L. vesiculosus Stokes. 


1 Pour la bibliographie voir : Axpré. Catalogue des Invertébrés de la Suisse. 


Fascicule 6. /nfusoires. Genève, 1912. Voir aussi : 


Anoré. Recherches sur la 


faune pélagique du Léman et description de nouveaux genres d'Infusoires. Rev. 


suisse Zool., vol. 22, p. 180, 1914. 
Rev. Suisse pe Zooz. T. 24. 1916. 


43 


622 E. ANDRÉ 


4] 


Loxophyllum meleagris 


(O.M.F.). 


Loxodes rostrum (O. F. M.), 
Dileptus anser (0. F. M.). 
Trachelius ovum (Ehr.). 
Nassula aurea Ehr. 


Chilodon cucullulus (O0. F.M.). 


C. dentatus From. 

C. gouraudi (Certes). 
Trochilia palustris Stein. 
Dysteria fluviatilis (Stein). 
Uronema marinum Duj. 
Leucophrys patula (Ehr.). 
Glaucoma scintillans Ehr. 
G. piriforme Ehr. 

G. reniforme Schéw. 
Colpidium colpoda (Ehr.). 
Colpoda cucullus O.F.M. 
C. steint Maupas. 
Frontonia leucas Ehr. 

F. acuminata Ehr. 


Ophryoglenaparasitica André. 


O. flava Ehr. 
O. atra Lieberkühn. 
Cinetochilum margaritaceum 


(Ehr.). 


Microthorax pusillus 


Engelmann. 
Paramecium aurelia O. F. M. 


P. bursaria (Ehr.). 
Urocentrum turbo (0. F. M.). 


Lembadion bullinum(O.F.M.). 
Pleuronemachrysalis(O.F.M.). 
Cyclidium glaucoma(O.F.M.). 


C. glaucoma (O.F.M.) 


var, elongata Roux. 


C. heptatrichum Schéw. 
Conchophthirus anodontae 
Ehr. 

Blepharisma lateritia (Ehr.). 

Spirostomum ambiguum Ehr. 

S. teres Clap. et Lachm. 

Bursaria truncatella O.F. M. 

Stentor cœruleus Ehr. 

S. polymorphus O. F. M. 

S. ræœseli Ehr. 

S. igneus Ehr. 

S. niger Ehr. 

Strobilidium gyrans (Stokes). 

Halteria grandinella O.F. M. 

Strombidium turbo CI. et L. 

Urostyla grandis Stein. 

U. weissei Stein. 

Shchotricha secunda Perty. 

Uroleptus rattulus Stein. 

U. piscis Ehr. 

U. mobilis Engelm. 

Gastrostyla steini Engelm. 

Oxytricha pellionella(O.F.M.). 

O. ferruginea Stein. 

Stylonychiapustulata(O.F.M.) 

S. mytilus (0.F.M.). 

Balladina parvula Sterki. 

Euplotes charon (0.F.M.). 

E. patella (0.F.M.). 

Aspidisca costata Duj. 

A. lynceus (O.F. M.). 

Spirochona gemmipara Steim. 

Anhymenia steini (Clap. et 
Lachm). 

Trichodina pediculus (0.F.M.). 

Scyphidia amæba Grenfell. 


E RAR ECTS, * 


FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 623 


Vorticella longifilum Kent. 
V. nebulifera O.F. M. 

V. campanula Ehr. 

V. convallaria L. 


Opercularia nutans (Ehr.). 
Pyxidium cothurnoides Kent. 
Ophrydium versatile (0.F.M.). 
Lagenophrys labiata Stokes, 


Carchesium spectabile Ehr. 

C. polypinum (L.). 
Zoothamnium arbuscula Ehr. 
Z. afjine Stein. 

Epistylis steint Wrzesniowski. 
E. plicatilis Ehr. 

E. lacustris Imhof. 
Rhabdostyla brevipes Clap. 


L. ampulla Stein. 

L. vaginicola Stein. 

Dendrocometes paradoxus 

Stein. 

Metacineta mystacina (Ehr.). 

Tokophrya cyclopum Clap. 
et Lachm. 

Acineta elegans Imhof. 

et Lachm. 


À ces 111 espèces nous en ajouterons 33, dont 4 n’ont pas 
encore été observées en Suisse; 3 sont nouvelles ;: une de 
celles-ci a nécessité la création d’un genre nouveau. 

Nous avons également créé 2 nouvelles variétés. Nous nous 
bornerons aujourd’hui à décrire les formes nouvelles ou peu 
connues et à donner la liste des espèces qui, avant nous, n’ont 
pas été signalées dans le Léman, réservant pour un travail 
d'ensemble les observations biologiques ou morphologiques 
que nous avons pu faire sur ces espèces et sur celles qui ont 
été rencontrées déjà par nos devanciers. Nous avons déjà publié 
les principaux résultats de nos recherches sur les Infusoires 
pélagiques du Léman et nos observations sur la faune profonde 
sont encore trop incomplètes pour prendre place ici, c’est dire 
que les espèces mentionnées dans ce travailappartiennent toutes 
à la faune littorale. Depuis 1911, époque de laquelle date le com- 
mencement de nos études sur la faune infusorienne du Léman, 
nous avons effectué 35 pêches littorales, dans diverses régions 
et en différentes saisons. 

Dans le texte qui suit, certaines localités sont désignées d’une 
façon suffisamment précise en quelques mots ; pour d’autres, 
il serait nécessaire de préciser, mais pour éviter Les redites nous 


! Axpré. Op. cit. 


624 E. ANDRÉ 


les indiquerons de facon très sommaire, en demandant au lec- 
teur de se reporter aux lignes ci-dessous. 


Creux de Genthod, baie: petite baie, dans la campagne DE 
SAUSSURE, communiquant avec le lac par un étroit goulet. Végé- 
tation abondante, fond de vase ou de gravier. 

Coppet, grève : grève caillouteuse, sans végétation, qui s'étend 
à environ 500 m. à l'E. du bourg de Coppet. 

Belotte : grève de galets à l'E. et à l'O. du débarcadère de la 
Belotte ; Chara abondants en certains points à peu de distance 
du rivage. 

Tougues : grève caillouteuse, avec roseaux, à l'O. du débar- 
cadère de Tougues. 

Villeneuve : région marécageuse avec Roseaux, Nuphars jau- 
nes, etc., qui s'étend de l'embouchure de l'Eau-Froide jusqu'aux 
Grangettes. 

Hermance : grève de galets, sans végétation, à l'O. de l’em- 
bouchure de l’Hermance. 

Gland: grève de galets à l'endroit appelé la Falaise. 

A la suite de la liste des espèces non encore signalées dans 
le Léman, nous donnerons la description de formes nouvelles 
ou peu connues. Nous aurions pu beaucoup développer cette 
dernière partie, car dans le cours de nos recherches nous avons 
rencontré d’autres espèces et même d’autres genres nouveaux. 
Mais, comme nous n'avons pas pu les étudier d’une façon suf- 
fisante ou comme nous n’en avons eu sous les yeux qu’un indi- 
vidu, nous estimons qu'il serait prématuré de les décrire main- 
tenant et nous attendrons pour le faire d’avoir complété nos 
observations. 


Urotricha globosa Schéwiakoff. Creux de Genthod, baie, 
décembre. 

Enchelys farcimen O.F. Müller. Tougues, octobre. 

Prorodon farctus (Claparède et Lachmann). Villeneuve, avril, 
variété à noyau remarquablement long. Tougues, avril. 

Lacrymaria lagenula Claparède et Lachmann. Creux de Gen- 
thod, baie, novembre. 


FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 625 


Trachelophyllum apiculatum (Perty). Tougues, octobre. 

Amplileptus carchesit Stein. Creux de Genthod, baie, no- 
vembre. Port de Nyon, décembre. 

Lionotus diaphanus Wrzesniowski. Villeneuve, septembre. 

Nassula ornata Ehrenberg. Tougues, octobre. 

Cryptochilum nigricans (O0. F. Müller). Pointe à la Bise, 
octobre. 

Glaucoma colpidium Schéwiakoff. Port de Nyon, janvier. 
Creux de Genthod, baie, janvier. Gland, février. Coppet, grève, 
février. 

Glaucoma macrostoma Schéwiakoff. Port de Nyon, décembre. 
Espèce non encore signalée en Suisse. 

Ophryoglena citreum Claparède et Lachmann. Coppet, grève, 
février. Tougues, septembre. 

Ophryoglena fluvicans Ehrenberg. Creux de Genthod, baie, 
janvier. 

Paramecium putrinum Claparède et Lachmann. Genève, port 
de la Société nautique, janvier. La Belotte, mars. Coppet, 
grève, décembre. 

Cyclidium citrullus Cohn. Coppet, grève, avril. Tougues, 
avril. Signalé pour la première fois en Suisse. 

Blepharisma undulans Stein. La Belotte, mars. Pointe à la 
Bise, avril. 

Climacostomum virèens (Ehrenberg). Tougues, avril, octobre. 
Pointe à la Bise, avril, octobre. La Belotte, mars. Coppet, 
grève, janvier, mars, avril. Villeneuve, mars, septembre. Dans 
ces diverses localités, la plupart des individus étaient dépour- 
vus de Chlorelles. 

Strombidium viride Stein. Coppet, grève, mars. Hermance, 
mars. 

Suichotricha aculeata Wrzesniowski. Coppet, grève, février. 
Gland, février. 

Uroleptus  musculus Ehrenberg. Villeneuve, septembre. 
Pointe à la Bise, octobre. 

Uroleptus violaceus Stein. Coppet, grève, avril. Signalé pour 
la première fois en Suisse. 


626 E. ANDRÉ 


Oxytricha fallax Stein. Port de Nyon, décembre. Port de 
Lutry, juillet. 

Oxytricha platystoma Ehrenberg. Coppet, grève, mai. 

Aspidisca turrita Ehrenberg. Coppet, grève, novembre. 

Urceolaria mitra (von Siebold). Sur Polycelis cornuta, Ge- 
nève, port de la Société nautique, janvier. 

Vorticella alba Fromentel. Sur la patte de Gammarus, la 
Belotte, mars. 

Vorticella putrinum O.F. Müller. Genève, port de la Société 
nautique, janvier. 

Epistylis umbilicata Claparède et Lachmann. Sur un Hydrach- 
nide, Hermance, mars. 

Opercularia lichtensteini Stein. Sur les pattes de Gammarus, 
Hermance, mars. 


Spathidium spathula O.F.Müller var. plurinucleata n. var. 
(PI. 5, fig. 4). 


Roux 1 a déjà signalé cette espèce comme appartenant à la 
faune littorale du Léman ; nous l’avons aussi rencontrée à Cop- 
pet, grève, en avril et mai, et à Hermance, en mars. Tous les 
individus que nous avons examinés ne se présentaient pas sous 
la forme typique, mais ils constituent une variété nouvelle 
caractérisée par la forme du noyau. Celui-ci, en effet, n’est pas 
rubané, comme chez l'espèce type, mais il est formé de sphé- 
rules irrégulièrement distribuées dans le cytoplasme. Les 
micronoyaux sont également sphériques et disséminés sans 
ordre. Comme ces formations ont pour les teintures une égale 
affinité, il est difficile de reconnaître ce qui est noyau et ce qui 
est micronoyau. L'ensemble de cet appareil est donc formé de 
petites masses arrondies, à peu près égales en dimensions, dont 
le nombre varie de 15 à 20?. Un autre caractère éloigne cette 


1 J. Roux. Note sur les Infusoires ciliés du lac Léman. Rev. suisse Zool. 
Vol. 8, p. 462, 1900. 

? Dans la figure que nous donnons de cette nouvelle variété, nous n'avons pas 
représenté dans le cytoplasme autre chose que la vacuole pulsatile et les 


LS 2 


FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 627 


variété de l'espèce type : c’est l'absence de grandes trichites 
réparties en quelques faisceaux dans le cytoplasme. Les seules 
trichites existantes sont celles du pharynx, qui sont courtes, mais 
très visibles. La partie antérieure du corps est tronquée très 
obliquement, comme chez les Spathidium spathula figurés par 
la plupart des auteurs; tandis que lindividu représenté par 
Roux ! est tronqué transversalement, d’un profil symétrique, et 
possède des trichites pharyngiennes longues et légèrement 
recourbées. 


Holophrya tarda Quennerstedt. 


(PL. 5, fig. 5.) 


Sous ce nom, QUENNERSTEDT décrivit et représenta, d’une 
façon malheureusement un peu sommaire, une espèce marine 
des côtes de la Suède ?. Nous rapportons à cette espèce une 
forme que nous avons trouvée en abondance à Coppet, en 
novembre et décembre 1911, parmi le limon et les Algues 
filamenteuses recouvrant les galets du littoral. La bouche de 
l'espèce décrite par QuenNERsTEDT est. beaucoup plus simple 
que celle de notre Infusoire, mais on peut expliquer cette diver- 
gence par la grande ténuité des trichites du pharynx qui, à 
cause de cela, échappent facilement à l'observation. Par tous 
les autres caractères, les deux types sont à peu près identiques 
et, si l’on compare notre figure avec la fig. 14 de QUENNERSTEDT, 
on reconnaitra que l'identification de ces deux formes se Justi- 
fie pleinement. 

De même que chez la forme marine, le corps est très méta- 
bolique ; il peut passer de la forme d’une sphère à celle d’une 


noyaux, afin de montrer de façon plus nette l'appareil nucléaire qui caractérise 
cette forme. Mais, comme dans l'espèce type, les bols alimentaires sont en géné- 
ral nombreux et assez volumineux. 

1 J. Roux. Faune infusorienne des eaux stagnantes des environs de Genève. 
Mém. Institut national genevois, vol. 19, pl. 1, fig. 9, 1901. 

? A. Quennersrepr. Bidrag till Sveriges Infusorie-Fauna. III. Lund. Univ. 
Arsskrift, vol. 6, p. 8, fig. 13-16, 1869. 


628 E. ANDRÉ 


gourde allongée. Nous avons représenté un état intermédiaire 
entre ces deux extrêmes. Suivant les individus et selon le degré 
de contraction, la longueur du corps varie entre 55 et 95u; la 
longueur attribuée par QUENNERSTEDT à cette espèce serait de 
100. Le cytoplasme est incolore et hyalin et contient de fines 
granulations et des sphérules réfringentes. Les cils, fins et ser- 
rés, sont disposés en lignes méridiennes peu perceptibles qui 
prennent une disposition légèrement spiralées lorsque lanimal 
se contracte ; les cils du pourtour de la bouche sont plus longs 
que les autres. L’extrémité antérieure du corps est tronquée, 
quelquefois un peu obliquement, et c’est sur la troncature que 
s'ouvre la bouche. Les bords de celle-ci sont parfois en légère 
saillie, même lorsque l'animal n’est pas comprimé par le couvre- 
objet. L'appareil de soutien du pharynx est, comme nous le 
disions plus haut, fort peu développé; les trichites qui le com- 
posent sont presque invisibles (nous les avons accentuées dans 
la figure), peu nombreuses et disposées sans régularité. Bien 
que nous avons examiné plusieurs individus, nous n'avons pas 
constaté la présence de gros bols alimentaires et nous n'avons 
pas aperçu l’anus. Le noyau représenté par QUENNERSTEDT est ré- 
niforme, allongé et diposé transversalement dans la partie pos- 
térieure du corps; il se retrouve de même chez notre Infusoire. 
On le voit parfois plus en avant que dans notre figure ou ayant 
une tendance à se disposer dans le sens longitudinal. Quex- 
NERSTEDT N'a pas aperçu le micronoyau; nous en avons constaté 
l'existence chez quelques individus ; il est alors placé dans la 
concavité du noyau. La vacuole contractile est postérieure et 
terminale. 

L'A. tarda présente quelques ressemblances avec une forme 
lacustre, l'A. kessleri Mereschkowsky !, par ses dimensions, par 
la forme générale du corps et par la disposition du noyau; mais 
elle ne possède pas les côtes longitudinales très saillantes qui 
caractérisent l'A. kessleri. 


1 Merescuxowsxy. Studien über Protozoen des nürdlichen Russland. Arch. 
mikrosk. Anat., Bd. 16, p: 171, pl. 10, fig. 29-30, 1879. 


FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 629 


Holophrya haplostoma n. sp. 
(PI. 5, fig. 3.) 


Cette forme nouvelle a été rencontrée à Coppet, grève, parmi 
les galets du littoral, en février 1912, où elle était représentée 
par d’assez nombreux individus. Elle est caractérisée par la pré- 
sence de deux vacuoles pulsatiles et par la simplicité de sa 
bouche; le nom spécitique d’haplostoma rappelle ce dernier 
caractère. 

Le corps est à peu près sphérique ou ellipsoïdal, peu méta- 
bolique; son grand axe mesure 60 à 70u. Le cytoplasme est 
incolore et hyalin et contient des sphérules réfringentes irré- 
gulièrement distribuées et dont la quantité varie selon les indi- 
vidus. Les cils, courts et serrés, sont disposés en rangées méri- 
diennes très nettes. La bouche est peu visible, aussi bien de 
champ que de profil, par le fait que les cils qui l'entourent ne 
sont pas plus longs que ceux du corps et aussi à cause de 
l'absence de trichites autour du pharynx. Nous n’avons pas vu 
de gros bols alimentaires, ni anus. Le noyau, très volumineux, 
est ovoide, disposé transversalement dans la région moyenne 
du corps ; il est creusé, dans le voisinage d’une des extrémités, 
d’une dépression bien marquée, dans laquelle est logé le micro- 
noyau. Celui-ci est aussi de grande taille. Tout cet appareil 
nucléaire a une grande aflinité pour le vert de méthyle acétique. 
Les deux vacuoles pulsatiles sont situées en arrière du noyau. 
Chez un individu, nous en avons vu apparaître une troisième, 
à côté du noyau, faisant symétrie avec le micronoyau. Il est pos- 
sible que la pression exercée par le couvre-objet sur l’animal 
ait entraîné la fragmentation d’une des vacuoles, fait qu'il n'est 
pas très rare d'observer. 

LH. haplostoma se rapproche de lÆ. ooum Schéwiakoff par 
la simplicité de sa bouche, mais la forme et les dimensions du 
noyau, la constitution de son appareil pulsatile et sa taille per- 
mettent de différencier à première vue ces deux espèces. 

Ophryoglena atra Lieberkühn var. inermis n. var. L'Ophryo- 


630 E. ANDRÉ 


glena atra typique a été rencontrée dans le Léman par 
Roux: et Mermop?; nous l'avons aussi reconnue dans 8 pé- 
ches, faites dans 7 stations différentes, à toutes les saisons. 
Mais nous avons trouvé également, seule ou accompagnée de 
l'espèce type, une forme étroitement apparentée à l'O. atra que 
nous décrirons comme une variété de celle-ci. Cette variété 
nous paraît même plus abondante que la forme typique; en 
effet, elle s’est rencontrée dans 9 pêches, effectuées aussi dans 
7 stations (la Belotte, Hermance, port de Coppet, Coppet-grève, 
Tougues, Villeneuve, port de Lutry) et à toutes les époques de 
l’année. Les auteurs attribuent à l’O. atra une longueur de 
150 à 500 m; tandis que la forme que nous décrivons est plus 
petite ; elle a 100 à 340 y de long. De plus, cette dernière 
diffère du type surtout par l’absence de trichocystes et aussi 
par l'absence de tache pigmentaire en avant. Le nom d’inermis 
rappelle le premier de ces caractères. Le noyau est ellipsoïdal, 
disposé obliquement, transversalement ou longitudinalement 
dans la région moyenne du corps. La vacuole pulsatile est 
comme chez la forme type. 


Nassula versicolor n. sp. 
(PL. 5, fig. 1.) 


Nous avons rencontré cette nouvelle espèce à Tougues, en 
octobre 1911, représentée par plusieurs individus, et, au prin- 
temps 1914, nous en avons retrouvé quelques exemplaires 
dans le lac Majeur, sur la grève du delta de la Maggia*. Il 
semblerait donc, puisque cette forme n’a jamais été observée 
dans les eaux stagnantes, qu’il s’agit là d’une espèce franche- 
ment lacustre; cela est d'autant plus vraisemblable que les 
étangs, les marais, les tourbières, ont été beaucoup plus étu- 
diés, relativement à la faune des Infusoires, que les grands 

! Op. cit., page 

2? Voir la note à la première page du présent travail. 


3 Anpré. Contribution à l'étude de la faune infusorienne du lac Majeur. 
Rev. suisse Zool. Vol. 23, p. 106, 1915. 


LÉ: e . di, » 
EN RESNEE ePer 


FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 631 


lacs ; si la Nassula versicolor faisait partie de la faune des eaux 
stagnantes, elle aurait eu peu de chances d'échapper à latten- 
tion des observateurs, d'autant moins qu’elle frappe immédia- 
tement le regard par ses dimensions et surtout par ses vives 
colorations. C’est avec une espèce marine, la Nassula hesperidea 
Entz', que cette forme nettement lacustre a le plus d’aflinités ; 
elle en diffère cependant d'une façon très franche par le nom- 
bre de ses vacuoles pulsatiles (5 au lieu de 4), par l'absence de 
bande ciliaire adorale, par le fait que le cytoplasme est incolore 
et par d’autres caractères moins importants. Nous avons donné 
à cette Nassule le nom spécifique de versicolor pour rappeler 
la diversité de colorations qu’elle présente; celle-ci est due à 
du pigment, à des Chlorelles et à des bols alimentaires. 

Le corps est allongé, légèrement aplati dorso-ventralement, 
régulièrement arrondi aux extrémités, ou obtusément acuminé 
en arrière. La longueur du corps varie de 150 à 235 v; les indi- 
vidus du Léman mesuraient de 210 à 235 y, ceux du lac Majeur, 
150 y. Le cytoplasme est incolore en lui-même, mais il contient 
de nombreuses inclusions colorées qui rendent l'animal très 
bigarré. A l’extrémité antérieure, en avant de la bouche, se 
trouve un amas de pigment bleu, très brillant, et des sphé- 
rules de pigment identique sont disséminées dans le reste du 
corps, surtout dans la moitié antérieure. Chez un individu, 
provenant de Tougues, l’amas et les sphérules pigmentaires 
étaient bruns. Le cytoplasme contient en outre des Chlorelles, 
qui manquent chez certains individus, et des bols alimentaires 
jaunes ou brunâtres. La ciliation est régulière; les cils sont 
courts et serrés. Les lignes ciliaires sont à peine perceptibles ; 
on constate cependant qu’elles sont parallèles et longitudinales. 
Les trichocystes font défaut. La bouche est ouverte tout à fait 
en avant; elle est dépourvue de rangée ciliaire adorale. Le 
pharynx est bulbiforme, allongé, disposé obliquement et les 
trichites qui le soutiennent sont bien visibles; chez un grand 
individu, cet appareil mesurait 24 y de long. Nous n'avons pas 


1 G. Enrz. Die Infusorien des Golfes von Neapel. Mittheil. zool. Station 
Neapel. Vol. 5, p. 331, pl. 21, fig. 1-5, 1884. 


632 E. ANDRÉ 


assisté à la défécation, de sorte que la position de l’anus nous 
est inconnue. Le noyau est régulièrement ellipsoïdal; il est 
disposé obliquement, ou même transversalement, dans la région 
moyenne du corps; un micronoyau sphérique ou ovalaire 
l'accompagne. L'appareil nucléaire ne se colore que de façon 
peu intense par le vert de méthyle acétique. Parmi les Nassules 
connues jusqu’à présent, c’est la N. versicolor qui possède le 
plus de vacuoles pulsatiles ; celles-ci sont au nombre de cinq. 
Elles sont disposées en une seule rangée s'étendant de la bou- 
che à l’extrémité postérieure du corps; nous les avons repré- 
sentées les cinq en diastole, bien que, en réalité, leurs batte- 
ments, assez lents, ne soient pas synchrones et qu’on ne puisse 
guère les observer toutes en même temps. 

Les mouvements de l’animal sont plutôt lents et son corps 
est très métabolique. Dans les localités mentionnées plus haut, 
les N. versicolor ont été trouvées parmi les galets du littoral, 
et plus spécialement dans le dépôt organique et limoneux 
revêtant ces galets. 


Prosopsenus Sinualus n.g. D. Sp. 


(PI. 5, fig. 2.) 


Ce nouveau genre d'Hypotriche appartient à la famille des 
Oxytrichinae et à la sous-famille des Psilotrichniae. Il a été 
rencontré, en quelques exemplaires, dans le sédiment limoneux 
et végétal recouvrant les galets à Coppet-grève, en décembre 
1911. Par les vapeurs d’acide osmique, cet Inlusoire se fixe avec 
une précision admirable ; il nous a donc été possible d'étudier 
sans difliculté les individus que nous avons trouvés et de cons- 
tater que la disposition et le nombre des cirres sont constants. 
Ce nom de Prosopsenus indique que la moitié antérieure du 
corps est, abstraction faite d’un cirre frontal, complètement 
dépourvue de ces appendices, tandis que la moitié postérieure 
possède tous les cirres. La longueur de lanimal varie de 185 à 
195 et sa largeur est en moyenne de 70. Le corps est très 
peu métabolique ; il est foliacé, allongé. Son extrémité anté- 


FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 633 


rieure est régulièrement arrondie, tandis que l'extrémité oppo- 
sée est tronquée de façon fort nette, de sorte que son bord est 
à peu près rectiligne. L’angle postérieur droit est formé par 
une sorte d'expansion de la paroi dorsale du corps, dépassant 
légèrement la paroi ventrale. L’encoche que l’on remarque sur 
la figure, à gauche des cirres anaux, n’est pas constante. Les 
bords latéraux ne sont pas moins asymétriques ; tandis que le 
bord gauche dessine une courbe régulière, le bord droit est 
assez accidenté et présente dans sa région moyenne une con- 
cavité bien indiquée et limitée en avant, au niveau du premier 
cirre frontal, par un angle saillant. C’est ce dernier caractère 
qui nous à fait attribuer à cet Infusoire le nom spécifique de 
sinuatus. Les cirres sont relativement peu nombreux. Si l’on 
considère, ainsi qu'il est d’usage, comme région frontale toute 
la partie de la face ventrale s'étendant à droite du péristome, 
les cirres frontaux seront au nombre de quatre. Le plus anté- 
rieur est isolé et le plus volumineux des quatre ; lorsque l’ani- 
mal est libre de ses mouvements, ce cirre est dirigé vers l'inté- 
rieur. Les trois autres cirres frontaux sont dans la moitié 
postérieure de l’animal, disposés comme on le voit sur notre 
figure. Les cirres marginaux forment deux courtes rangées, 
laissant entre elles, en arrière, une large solution de continuité; 
ces deux rangées sont limitées à la partie postérieure du corps, 
celle de droite s’étendant plus en avant que celle de gauche ; 
bien que cette dernière s’étende, en revanche, plus en arrière, 
elle est cependant plus courte que la rangée droite. Malgré cette 
différence de longueur, ces deux rangées sont constituées, l'une 
et l’autre, de douze cirres; c’est dire que sur Le côté gauche ceux- 
ci sont plus serrés. Les cirres ventraux font défaut. De l’extré- 
mité postérieure débordent les cirres anaux, qui sont au nombre 
de quatre. Ils dessinent une ligne incurvée et relevées vers la 
droite. 

Les deux cirres anaux droits ont la même forme que les 
autres cirres du corps, c’est-à-dire qu'ils sont en cône très 
allongé et incurvé, tandis que ceux de gauche sont cylindriques. 
La partie basilaire de ces derniers forme un renflement nette- 


634 E. ANDRE 


ment délimité et leur extrémité libre est divisée en un certain 
nombre de digitations irrégulières. Ces deux cirres anaux 
gauches sont rigides et toujours immobiles. Le Prosopsenus 
sinuatus est remarquable par les dimensions de son péristome, 
qui s'étend, en effet, sur les trois quarts de la longueur du 
corps. Il en résulte que les membranelles de la zone adorale 
sont nombreuses ; elles ont toutes à peu près les mêmes dimen- 
sions, cependant leur longueur va en diminuant légèrement au 
fur et à mesure qu’elles sont plus près de la bouche. A droite, 
le péristome est limité par une membrane ondulante très visible. 

L'animal se nourrit de débris organiques divers qui rendent 
le corps assez sombre et opaque. Pour rendre plus nette la 
figure, nous n'avons pas représenté la plus grande partie des 
bols alimentaires. Dans les régions qui ne sont pas encombrées 
de matières nutritives, on constate que le cytoplasma est inco- 
lore et finement granuleux. Les noyaux forment deux masses 
arrondies ou ovalaires, lévcèrement bossuées, situées, l’une dans 
la moitié antérieure du corps, l’autre dans la moitié posté- 
rieure ; ils montrent chacun une petite concavité en regard de 
laquelle se trouvent les deux micronoyaux. Tout l’appareil nu- 
cléaire se colore de façon très franche par le vert de méthyle 
acétique. À gauche de la bouche se trouve la vacuole pulsatile, 
qui est relativement grosse. L'animal a des mouvements vifs 
et se déplace assez rapidement. 


Ve PE 


Fic. 


Hi. 


Fi. 
Fic. 


Firc. 


EXPLICATION DE LA PLANCHE 5 


b — bouche; n — micronoyau; 

ve — vacuole contractile ; tr — trichites du pharynx; 

N = noyau; ba— bols alimentaires. 

1. — Nassula versicolor n. sp. pg — tache pigmentaire bleue ; 


pg' = granules isolés de ce même pigment; ñp — nasse pha- 
ryngienne ; ch — Chlorelles. Gross. 410 fois. 

2. — Prosopsenus sinuatus n. g., n. Sp. »1p — membranelles 
du péristome ; 720 — membrane ondulante du péristome; cf, 
cf?, cf, cf* — les 4 cirres frontaux ; cmd — cirres marginaux 
droits; cmg — cirres marginaux gauches ; ca', ca?, caÿ, ca* = 
les 4 cirres anaux. Gross. 450 fois. 

3. — Holophrya haplostoma n. sp. Gross. 710 fois. 

h. — Spathidium spathula (O.F. M.), var. plurinucleata n. var. 
Gross. 260 fois. 

5. — Holophrya tarda Quennerstedt. Gross. 750 fois. 


Rex: Suisse de Zoo!. 724. 19/6. 


| 

I] 
Vi) 
1 

all 


RER 


Æ. Andre. del. 


: E. André _ Infusoires 


2° 


CAT 


See o 


.< 


see 


PES: 


Peck & Frun. Genève. 


RENUE SUISSE" DE" ZOOBOGIE 
Vol. 24, no 11. — Décembre 1916. 


Sur le genre Kirchenpaueria 


PAR 


M. BEDOT 


De nombreuses observations ont démontré que dans certains 
groupes d'Hydroïdes le mode de segmentation de la tige, le 
nombre des hydroclades que porte chaque segment, et la forme 
extérieure des gonothèques, sont des caractères très variables 
et auxquels on ne peut pas attribuer une importance exclusive 
pour la détermination des espèces. 

Les Plumularia echinulata, pinnata et similis, si l'on s’en 
rapporte aux diagnoses que leur attribue Hixcks (1868), semblent 
être bien distinctes les unes des autres. Chez P. echinulata, 
chaque segment de la tige porte un hydroclade à segmentation 
homonome, c’est-à-dire dont chaque segment porte une hydro- 
thèque ; les gonothèques ovales ont des côtes longitudinales 
garnies d’épines. 

P. pinnata a une tige dont chaque segment donne naissance 
à plusieurs hydroclades à segmentation homonome ; les gono- 
thèques ovales ou piriformes ont des épines à leur sommet. 

Dans, la tige de P. similis, chaque segment porte un seul 
hydroclade. Entre les segments hydrocladiaux, pourvus d’hy- 
drothèques, s’intercalent des segments intermédiaires sans 
hydrothèques (hétéronomie). Les gonothèques ovales, allon- 
gées, sont divisées en lobes peu apparents. 


Rev. Suisse De Zoo. TT. 24. 1916. 44 


638 M. BEDOT. 


Lorsqu'on examine un grand nombre de spécimens de ces 
trois espèces, récoltés dans des localités diverses, on arrive à la 
conclusion que les caractères dont on s’est servi pour les distin- 
guer n'ont aucune fixité, et qu’elles sont reliées par une série de 
formes intermédiaires. Les recherches de Birzarp (1904, 1912), 
que j'ai eu l’occasion de confirmer (1911), ont démontré que ces. 
trois espèces étaient synonymes, et que l'on ne pouvait pas 
trouver de caractère permettant de les séparer. On devrait donc 
les réunir sous le nom de P. pinnata (Linné). 

Bizzarp (1904) avait créé les variétés : P. echinulata var. 
zostericola, et P. echinulata var. pinnatoides. Plus tard (1912), 
après avoir reconnu l'identité de P. pinnala et P. echinulata, 
il a supprimé ces variétés et a, en revanche, introduit deux nou- 
veaux noms : P. pinnata Var. echinulataetP. pinnata var. arti- 
culata. I me semble qu'il serait préférable de ne pas donner de 
nom à ces variétés qui peuvent être infiniment diverses puis- 
qu’elles reposent sur des caractères essentiellement variables. 
Il serait préférable de se borner à dire que chez P. pinnata les 
segments de la tige, de grandeur variable, portent un ou plu- 
sieurs hydroclades à segmentation homonome ou hétéronome, 
etque les gonothèques, ovales ou piriformes, ont des côtes longi- 
tudinales plus où moins accentuées et pourvues souvent d’é- 
pines. 

Mais à cela vient s'ajouter un caractère important qui, sil 
ne peut permettre de séparer les trois formes que nous réunis- 
sons sous un seul nom, les distingue nettement de la plupart 
des autres Plumularia : c’est la disposition des nématophores. 

Chez P. pinnata, il n’y a jamais de nématophores disposés. 
par paire à côté ou au-dessus des hydrothèques (némato- 
phores pleurohydrothécaux ou supracalyeinaux). Le némato- 
phore impair placé au-dessus de l’hydrothèque n’est pas entouré 
d’une nématothèque ; c’est la raison pour laquelle il échappe 
facilement à l'observation. Le nématophore médian sous-hydro- 
thécal est entouré d’une nématothèque monothalamique. 

Les nématothèques monothalamiques ne se rencontrent qu’ex- 
ceplionnellement chez les Plumularides, ainsi que Nurrixc- 


SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 639 


(1900, p. 14) l’a constaté, et ce caractère présente une grande 
fixité. On est donc en droit de lui attribuer une importance 
spécifique et peut-être même générique. Il conviendrait, à cette 
occasion, de passer en revue les nombreuses espèces de Plumu- 
laires. Malheureusement, dans la majorité des cas, les auteurs 
qui ont décrit des espèces ont attribué une beaucoup plus 
grande importance au mode de segmentation de la tige et des 
hydroclades qu'à la structure des nématothèques, souvent diffi- 
ciles à observer. 

Parmi les espèces qui sont relativement bien connues, il en 
est quelques-unes qui présentent une si grande ressemblance 
avec P. pinnata que l’on peut se demander si elles n’en sont pas 
synonymes. 

Hinxcxs (1872) a montré que l’Anisocalyx setaceus de HELLER 
(1868) était une espèce distincte de P. setacea et lui a donné le 
nom de P. hellert. 

Le trophosome de P. helleri ne montre aucun caractère qui 
puisse le distinguer de celui de P. similis. Après en avoir donné 
la description, MARKTANNER (1890) ajoute : « Jedenfals steht diese 
Species der P. similis Hincks sehr nahe, ja fallt mit ihr wahr- 
scheinlich zusammen, doch lässt sich dies erst nach-Kennt- 
niss der Gonotheken mit Sicherheit feststellen... An unseren 
Exemplaren sind keine Gonotheken entwickelt. » 

Au sujet du gonosome, HeLLer se contente de dire : « Die 
Genitalkapseln elliptisch, glatt. » A l'époque où l’on n'avait pas 
encore observé les variations de forme que peuvent présenter 
les gonothèques de certaines Plumularides, la diagnose de 
HELLER était suffisante pour permettre de distinguer son espèce 
de P. similis. Mais aujourd’hui, cela n’est plus possible. Sur 
une toufle de P. pinnata récoltée à Naples, j'ai pu observer des 
formes de gonothèques très diverses. Les unes étaient ellipti- 
ques, les autres piriformes, soit avec le sommet aplati. Parfois, 
les côtes étaient invisibles et inermes, dans d’autres cas elles 
étaient bien formées ; les épines pouvaient manquer, ou au con- 
traire être développées en nombre variable. Il semble donc 
impossible de distinguer P. Lelleri de P. pinnata. 


640 M. BEDOT. 


C'est également en attribuant une importance exagérée à la 
forme des gonothèques que MARKTANNER (1890) a été amené à 
créer sa P. hians, qui ne présente aucun caractère important 
permettant de la distinguer de P. pinnata. Après avoir décrit 
P. hians, MaARKTANNER ajoute : « Wie aus dem eben Mitgetheilten 
ersichthich, zeigt die vorliegende Species in allen, das Tropho- 
som betreffenden Teilen sehr grosse Aehnlichkeit mit P. echi- 
nulata Lmk, nur mit dem Unterschiede, dass die Fiederchen 
der vorliegenden Art kürzer und viel dichter gestellt sind. 

Die Gonotheken sind hingegen von denen der P. echinulata 
vollkommen verschieden, zeigen aber grosse Verwandtschaft 
mit denen von P. similis Hincks... » 

On peut donc ranger P. hkians dans les synonymes de 
P. pinnata. 

Il en est de même pour P.elegantula G. O. Sars (1874), La 
description que BonxNEviIE (1898) a donnée de cette espèce montre 
qu'elle ne diffère de P. pinnata par aucun caractère important. 

La P. fragilis de Hamanx (1882) ressemble beaucoup à 
P. pinnata. Malheureusement, les descriptions que l’on en a 
(HAMANN, BONNEVIE, 1899) sont incomplètes et ne donnent pas 
de renseignements sur la structure des nématophores. A ce 
sujet, les dessins très schématiques d’'Hamaxx laissent planer 
quelques doutes. D’après cet auteur (pl. 6, fig. 2), le némato- 
phore distal sortirait, non pas simplement d’un sarcopore, mais 
d’un petit tube. S'agit-il d'une nématothèque ? C’est une ques- 
tion à trancher. 

Quant à la nématothèque proximale, elle a une forme qui ne 
rappelle que de loin celle de P. pinnata. Mais il faut remarquer 
qu'à l’époque ou Hamanx a décrit cette espèce, on n’attachait 
pas une grande importance à la forme des nématothèques. 

Si le mode de segmentation des Plumulaires et la forme géné- 
rale de leurs gonothèques sont des caractères trop variables 
pour qu'on puisse leur attribuer une importance exclusive au 
point de vue systématique, il ne semble pas qu’il en soit de 

1 Srecnow (1913, p. 25;, place cette espèce dans le genre Kirchenpaueria et 


ajoute que l'on devrait peut-être y mettre également P. pinnata (L) et P. simi- 
lis Hincks. 


SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 641 


même pour la forme générale des nématophores. On n’a pas 
décrit jusqu’à présent d'espèce de Plumulaire dont les néma- 
tothèques soient tantôt monothalamiques, tantôt bithalamiques. 
L'architecture générale de ces organes est toujours la même 
dans chaque espèce. Il semble probable, jusqu’à preuve du 
contraire, qu'il en est de même pour la présence ou l'absence 
de nématothèques autour des nématophores. 

Le nombre et la position des nématophores sont des carac- 
tères plus ou moins variables suivant la région où ils se trou- 
vent. On observe souvent, chez certaines espèces, une augmen- 
tation du nombre des nématophores impaires et médians, sur- 
tout lorsque les hydroclades montrent une tendance à l’allonge- 
ment et à la formation d'articles intermédiaires. En revanche, 
la disposition des nématophores paires (pleurohydrothécaux) est 
un caractère qui offre une plus grande fixité ; leur nombre ne 
varie jamais dans la même espèce. 

Nous n'avons pas encore assez d’observalions exactes pour 
pouvoir juger de la valeur que l’on peut attribuer, comme carac- 
tère spécifique, à la position occupée sur les colonies par les 
gonothèques. Chez beaucoup de Plumulaires, elles sont placées 
à l’aisselle ou sur les hydroclades. Chez P. pinnata, elles sont 
toujours fixées à la tige, surtout dans la région proximale, mais, 
lorsque leur nombre augmente, elles peuvent s'étendre aussi 
sur les hydroclades ; on en trouve également sur l’hydrorhize. 

P. pinnata (et ses nombreuses variétés) se distingue donc de 
la plupart des autres Plumulaires par des caractères bien tran- 
chés et qui permettent de la placer dans un genre à part. Nous 
n'aurons pas, pour cela, à introduire un nom nouveau, car il 
existe déjà. C’est le genre Xirchenpaueria de Jicekezt (1883). Le 
fragment de colonie d'après lequel cet auteur l'avait établi ne 
: montre aucun caractère qui puisse empêcher de le rapporter à 
P. pinnata. Si Jicxkert (de même que KIRCHENPAUER) n’a pas osé 
lui attribuer un nom spécifique, c’est qu'alors on ne connaissait 
pas encore les véritables caractères distinctifs de cette espèce. 


642 M. BEDOT. 


En résumé, le genre Xirchenpauertia se distingue de Plumu- 
laria par les caractères suivants. 

Il n’y a pas, sur l’hydroclade, de nématophores disposés par 
paires (pleurohydrothécaux) ; 

Au-dessus et derrière Les hydrothèques se trouve un néma- 
tophore non entouré d’une nématothèque ; 

Le nématophore placé en avant des hydrothèques est entouré 
d'une nématothèque monothalamique, fixée par une large base 
et immobile ; 

Les gonothèques sont attachées le long de la tige. 

Le mode de fixation des nématothèques semblerait autoriser 
à placer les AXirchenpaueria parmi les Statoplea. Mais la divi- 
sion des Plumularides en Statoplea et Eleutheroplea n’a pas une 
valeur absolue puisqu'elle est basée sur un seul caractère dont 
les états extrêmes ne sont pas séparés par une limite fixe, mais, 
au contraire, peuvent être reliés par des états intermédiaires. 
Néanmoins, ce caractère serait assez important, à lui seul, pour 
permettre de séparer les Xirchenpaueria des Plumulartia. 

Le rétablissement du genre Xirchenpaueria a déjà donné lieu 
à de nombreuses discussions. Je les avais brièvement résumées 
(1916 à, p. 137) en admettant, provisoirement, que Xirchen- 
paueria devait tomber en synonymie de Diplocheilus. De nou- 
velles observations sur la P. pinnata (L), m'ont amené à modi- 
fier mon opinion, surtout depuis que j'ai pu me convaincre que 
c'était P. pinnata que JickeLr devait avoir eu sous les yeux 
lorsqu'il a créé son nouveau genre. 

Mais une question se pose au sujet des espèces que l’on doit 
comprendre dans le genre Xirchenpauerta. 

Baze (1914, p. 61) y fait rentrer: P. pinnata(L), P. similis 
Hincks, P. hians Marktanner, P. producta Bale, Diplocheilus 
mirabilis Allman et D. allmani Torrey, et il ajoute : « While 
they all agree in the possession of naked sarcostyles and the 
absence of the lateral nematophores, the last three differ from 
the others in having an intrathecal ridge, anterior in position, 
just below the lip. » 

La présence d’un repli intrathecal antérieur n’est pas un 


ET 


Loi a th SE 


SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 643 


caractère qui puisse, à lui seul, justifier la création d’un genre. 
ainsi que le fait remarquer Barze. Mais il est possible qu'une 
étude plus approfondie des trois dernières espèces citées par 
BALE, et surtout de leurs nématophores, permette de les séparer 
de KXirchenpaueria pinnata. 

N'ayant pas eu l’occasion d'observer ces espèces, je me bor- 
nerai à mentionner ici les descriptions que les auteurs ont 
données de leurs nématophores. 

Chez P. producta, la nématothèque située au-dessous de 
l'hydrothèque, d’après BALE (1884, p. 133), est bithalamique et 
canaliculée. Cet auteur, revenant plus tard sur ce sujet (1894, 
p- 112) dit: « A single sarcotheca below each hydrotheca, fixed, 
erect, upper portion forming a concave shield facing the hydro- 
theca. À sarcostyle in the angle between the back of each 
hydrotheca and the pinna, non provided with a sarcotheca, but 
partly protected, on each side by a very narrow web which 
connects the pinna with the back of the hydrotheca. » 

Chez Diplocheilus mirabilis, d'après ArzMax (1883, p. 49), on 
voit un « mesial nematophore very short and wide, forming a 
concave shield-like process, with a central perforation at a short 
distance below the hydrotheca. » 

Warren (1908, p. 322), qui a étudié cette espèce, dit : « The 
sarcostyle above the hydrotheca, is lodged in a depression with 
a delicate film of perisarc on each side ; below the hydrotheca 
it lies in a kind of trough of perisarc. » 

Il est difficile, d’après ces descriptions, de savoir si la néma- 
tothèque sous-hydrothécale de cette espèce est monothalamique 
ou bithalamique, mais, en revanche, on voit que le nématophore 
situé derrière l’hydrothèque est disposé de la même façon chez 
P. producta et D. mirabilis, c'est-à-dire qu’il est placé entre des 
replis de périsarque. 

Quant au Diplocheilus allmani, Torrey (1902, p. 73) l’a d'abord 
décrit sous le nom d’Halicornaria producta (BAxE), en donnant, 
au sujet des nématophores, les indications suivantes : « mesial 
thecate nematophore very short, not reaching the base of the 
theca, expanding into the form of a sickle-shaped segment of a 


644 M. BEDOT. 


saucer, with a diameter two-thirds that of the theca and embra- 
cing the internode for half its circumference. Pair of supraca- 
lycine nematophores, seldom reaching higher than two-third 
the height of the theca, never reaching the rim. » 

Plus tard, TorReY (1904, p. 36), tout en reconnaissant que son 
espèce ne présentait que de faibles différences avec celle de 
BazE et avec le Diplocheilus mirabilis d'Allman, lui donne le 
nom de Diplochetlus allmani. Il en modifie la diagnose, ne: 
parle plus d’une paire de nématophores supracalyeinaux, mais 
d’un « single median supracalycine sarcostyle, flanked by two: 
webs of perisarc stretched between theca and internode, for- 
ming a non-typical median nematophore. » 

On voit que la nématothèque sous-hydrothécale qui «embrasse 
l’internœud sur la moitié de sa circonférence » ne peut pas être: 
mobile ; mais on ne sait pas si elle est monothalamique ou 
bithalamique. 

Les recherches de Srecaow (1909, p. 88, et 1913, p. 88) ont, 
du reste, prouvé que D. allmani est synonyme de D. mirabilis. 
Ces espèces présentent donc des caractères qui les distinguent 
nettement des Plumularia et les rapprochent des Xirchen- 
paueria. Mais avant de les placer dans ce dernier genre, il con- 
viendrait peut-être d’attendre d’avoir des observations plus. 
complètes sur la structure des nématophores. En effet, si la 
nématothèque sous-hydrothécale est toujours bithalamique et 
canaliculée, comme BaALe l'indique pour sa P. producta, et si, 
en outre, le nématophore situé derrière l’hydrothèque est tou- 
jours placé entre deux replis du périsarque, ces deux caractères. 
pourraient permettre de distinguer les Diplocheilus des Kirchen- 
paueria sans même qu'il soit nécessaire de parler du repli intra- 
thécal. 

On peut également remarquer une certaine différence dans le 
faciès des colonies de ces deux genres. Chez les Xirchenpauertia, 
les hydrothèques sont plus espacées ; on voit souvent appa- 
raître des articles intermédiaires, et la nématothèque est très 
éloignée de la base de l’hydrothèque. Chez les Diplocheilus les. 
hydrothèques sont très rapprochées ; on ne voit jamais d’arti- 


+ à UE LS 


SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 645 


cles intermédiaires et la nématothèque est placée tout près du 
fond de l’hydrothèque. 

Il me semble donc qu'il est préférable, actuellement, de con- 
server ces 2 genres, quitte à les réunir plus tard si de nouvelles 
observations en montrent la nécessité. 

On pourrait être tenté de rapprocher les Diplocheilus des Hali- 
cornopsis. En effet, chez 4. elegans (syn.: A. avicularis et Azy- 
goplon rostratum), d'après ALLMAN (1883) et BALE (1884), il n'y a 
pas de nématothèques paires à côté de l’hydrothèque. MARKTAN- 
NER, qui indique ce caractère, dans la diagnose du genre, dit ce- 
pendant, dans la description de l'espèce : «Die seitlichen nemato- 
theken sind an unseren Exemplaren meist als kleine, grubige 
Vertiefungen angedeutet, zuweilen fehlen auch diese.» Il serait 
intéressant d’être fixé sur ce point et de savoir, en outre, si 
réellement iln’y a pas un nématophore derrière l’hydrothèque. 

En attendant que l’on puisse établir la systématique des Plu- 
mularides sur des bases plus solides, nous admettrons le genre 
Kirchenpauerta avec la diagnose indiquée plus haut (p. 642) et 
nous y placerons: 


Kirchenpauerta pinnata (Linné). 


Syn.: Sertularia pinnata Linné 1758. 
Plumularia pinnata Lamarck 1816. 
Plumularia echinulata Lamarck 1816. 
Plumularia similis Hincks 1859. 

/ Anisocalyx setaceus Heller 1868. 
Plumularia helleri Hincks 1872. 
Plumularia elegantula G.-0. Sars 1874. 
Kirchenpaueria sp. Jickeli 1883. 
Plumularia hians Marktanner 1890. 


IL est possible que l’on doive ajouter à ces synonymes la P. 
fragilis d'HAMANN. 

Si de nouvelles recherches permettent de constater la pré- 
sence d’un nématophore derrière l’hydrothèque de la Plumu- 


laria curvata de JâipernozmM (1904) (syn. : P. magellanica 


646 M. BEDOT. 


Hartlaub 1905), cette espèce devra être placée dans le genre 
Kirchenpauerta. 

On doit également faire rentrer dans ce genre la Plumu- 
laria unilateralis de Rrreute (1907), qui n'a pas de néma- 
tophores pleurohydrothécaux mais est pourvue, au-dessous 
de lhydrothèque, d’une nématothèque en forme de pelle 
(shovel-shaped), et, au-dessus de l’hydrothèque, d'un némato- 
phore nu (unprotected sarcopore). Ses gonothèques ont des 
côtes longitudinales et des épines. Cette epèce diffère de X. pin- 
nata par la disposition de ses hydroclades. Les deux plans dans 
lesquels ils sont: disposés se coupent sous un angle très aigu, 
de sorte qu'à première vue, la colonie parait n'avoir qu’une 
seule rangée d’hydroclades. 

La Plumularia ventruosa de Bizrarp (1913) n’a pas de néma- 
tophores pleurohydrothécaux mais seulement 2 nématothèques 
médianes monothalamiques, l’une au-dessous, l’autre au-dessus 
de l’hydrothèque. Les gonothèques sont inconnues. IL est pos- 
sible que de nouvelles recherches sur la structure de ses né- 
matophores permettent de la placer dans le genre Xtirchen- 
pauertia. 

Quant au genre Diplocheilus, il comprendra provisoirement 
les autres espèces que BaLe plaçait dans les Airchenpaueria, 
soit: Diplocheilus productus, et D. mirabilis (syn.: D. allmani). 


INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 


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— Les Hydroïdes de l’'Expédition du Siboga. 1. Plumularides. 
Siboga-Expéditie, VII a. Leiden. 

Boxxevie, K. Veue norwegische Hydroiden. Bergens Museum 
Aarbog. 1898, n° 5. 16 pp., 2 pl. Bergen. 

— Hydroida. Den norske Nordhavs-Expedition 1876-78. XX VI. 
Zoologi. 104 pp., 1 carte. Christiania. 

Hawaxx, O. Der Organismus der Hydroidpolypen.lena.Zeitschr. 
Naturwiss. Bd. 15, pp. 473-544, pl. 20-25. [ena. 

Harrcaus, C. Die Hydroiden der magalhaensischen Region 
und chilenischen Küste. Zool. Jahrb. Suppl. Bd 6. Fauna 
chilensis, Bd 3, pp. 497-714. Jena. 


. Herrer, C. Die Zoophyten und Echinodermen des A driatischen 


Meeres. Verh. zool. botan. Ges. Wien. Bd. 18. Beïlage. 


88 pp., 3 pl. Wien. 


. Hixcks, T. À Aistory of the british Hydroid Zoophytes. 2 vol., 


pl. London. 


. — Note on Prof. Heller's Catalogue of the Hydroida of the 


Adriatic. Ann. Mag. nat. Hist.(4), vol. 9, pp. 116-121. London. 


. Jâivernozu, E. Mitteilungen ueber einige von der. Schwedischen 


Antarctic-Expedition 1901-1903 eingesammelte Hydroiden. 
Arch. Zool. exper. (4) vol. 3, Notes et Revue, pp. 1-XIV. 
Paris. 

Jiexeur, C. F. Der Bau der Hydroidpolypen. Morphol. Jahrb. 
Bd. 8, pp. 373-416, 560-680, pl. 16-18, 25-28. Leipzig. 

Markranxer-TurxererscHer, G. Die Hydroiden des k. k. natur- 
historischen Hofmuseums. Ann. naturhist. Hofmus. Bd. 5, 
pp. 195-286, pl. 3-7. Wien. 

Nurrixe, C.C. American Hydroids. P.1. Plumularidae. Smith- 
sonian Inst. U. S. nat. Mus. Special Bull. 285 pp., 34 pl. 
Washington. 


648 


1907 


1874 


M. BEDOT. 


. Rireuie, J. The Hydroids of the Scottish National Antarctice 
Expedition. Trans. R. Soc. Edinburgh. Vol. 45, P. 2, pp. 
513-545, pl. 1-3. Edinburgh. 

. Sars, G. O. Bidrag til Kundskaben om Norges Hydroïder. 
Forhandl. i Videnskabs-Selskabet i Christiania (1873), pp. 
91-150, pl. 2-5. Christiania. 


1909. Srecaow, E. Æydroidpolypen der japanischen Ostküste. Teil I. 


LOTS 


1902 


1904. 


1908 


Abh. math. phys. KI. Bayer. Akad. Wiss. Suppl. Bd. 1. 
Abh. 6. 111 pp., 7 pl. München. 

. — Hydroidpolypen der japanischen Osthuste. Teil Il. Abh. 
math. phys. KI. Bayer. Akad. Wiss. Suppl. Bd. 3. Abh. 2. 
162 pp. München. 

. Torrey, H. B. The Hydroida of the Pacific, Coast of North 
America. Univ. California Publications. Zool. Vol. 1, pp. 
1-104, pl. 1-11. Berkeley. 

— The Hydroids of the San Diego Region. Univ. California 
Publications. Zool. Vol. 2, pp. 1-49, Berkeley. 

. Warren, E. On a Collection of Hydroids mostly from the 

Natal Coast. Ann. Natal Government Museum. Vol.1,pp.269- 
355, pl. 45-48. London. 


BULLETIN-ANNEXE 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 
Février 1916 Eten HNTRA 


Generalversammlung 


DER 


Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft 


abgehalten am 27. u. 28. Dezember 1915 in ZüricH 
im Zoologischen Institut der Forst- und Landwirtschaftsschule 
der Eidg. Technischen Hochschule 


unter dem Vorsitz von 


Prof. Dr. Conrad KELLER 


GESCHÂFTLICHE SITZUNG. 


Montag, den 27. Dezember 1915. 


Beginn der Sitzung : 5 ‘4 Uhr. | 
Anwesend sind 14 Mitglieder. 


1. Der Vorsitzende, Herr Professor Dr. C. KELLER, verliest 
nachstehenden 


BERICHT UBER DIE TATIGKEIT DER GESELLSCHAFT 
in den Jahren 1914 und 1915. 


HOCHGEEHRTE VERSAMMLUNG ! 


Indem ich den Mitgliedern der Schweizerischen Zoologi- 
schen Gesellschaft die herzlichsten Grüsse von Zürich entbiete, 


Lao 


bedarf es vorerst meiner Entschuldigung, dass wir unsere 
Jahresversammlung erst heute, statt zu Weiïhnachten 1914, ab- 
halten. Die Gründe sind Ihnen nicht unbekannt. Die unselige 
Lage von ganz Europa hat überall lähmend auf das Geistes- 
leben eingewirkt und wir befolgten naturgemäss das Beispiel 
der Schweizerischen Naturforschenden Gesellschaft, die ihre 
Jahresversammlung in Bern fallen lassen musste. Ich hoffe, 
dass Sie dem gegenwärtigen Jahrescomité deswegen Décharge 
ertheilen. 

Unsere Tätigkeit pro 1914 beschränkte sich lediglich auf die 
Abwicklung der nütigsten Geschäftsangelegenheiten, zunächst 
zur Erledigung der Preisaufgaben-Angelegenheit. Für die von 
der Zoologischen Gesellschaft verlangte Bearbeitung der frei- 
lebenden Nematoden sind drei Lüsungen eingegangen. Die 
Jury stellte den Antrag, der von uns bestätigt wurde, dass der 
ausgesetzte erste Preis im Betrag von 500 Franken an die 
Herren HormMÂNNER und MENZEL zu verleihen sei, daneben 
wurde die Arbeit von Herrn STEINER mit einem zweiten Preis 
bedacht, die dritte Arbeit dagegen als unzureichend beurteilt. 
Inzwischen ist die Nematodenarbeit der Herren HoFMAÂNNER und 
MENZEL in unserem Fachorgan verüffentlicht worden, wobei 
freilich finanzielle Gründe eine etwelche Kürzung veranlassten. 

Als neue Preisfrage wurde anlässlich der Versammlung in 
Genf das Thema gestellt : Die terrestrischen freilebenden Aca- 
rinen der Schweiz. Ob eine Lüsung eingesgangen oder eine 
solche in nächster Aussicht steht, ist mir zur Zeit nicht be- 
kannt geworden. 

Leider blieben unsere Anstrengungen, die frühere Bundes- 
subvention von 1500 Franken auch für das Jahr 1915 zu erhalten, 
ganz erfolglos, indem die Kriegslage die Behôürden in Bern 
zwingt, am eidgenüssischen Budget überall Abstriche zu ma- 
chen. Ob wir für das Jahr 1916 besseren Erfolg haben, muss 
abgewartet werden. Ich habe an das Central-Komité der Schwei- 
zerischen Naturforschenden Gesellschaft die Bitte gerichtet, uns 
die Subvention pro 1916 zu retten ; indessen wollen wir im Hin- 
blick auf die düstere Weltlage nicht allzu optimistisch sein. 


RQ 2%. 


Inzwischen hat Genf in dankenswerter Weise dafür gesorgt, 
dass die Revue suisse de Zoologie weiter erscheinen konnte, 
und es sind im Band 23 folgende Arbeiten zur Verôffentlichung 


gelangt : 


R. ne LesserT. Arachnides de l'Ouganda et de l'Afrique ortien- 
tale allemande. 

E. Axpré. Mesocælium carli n. sp. Trématode parasite d'une 
Tortue africaine. 

E. GræTErR. Tanymastyx lacunæ Guérin in einem schwetzeri- 
schen Gewässer. 

E. Anpré. Contribution à l'étude de la faune infusorienne du 
lac Majeur. 

B. Hormänxer und R. MENzEL. Die freilebenden Nematoden 
der Schweiz. 

J. Roux. Note sur les Potamonides de l'ile de Célèbes. 

G. Monrer. Contribution à l'étude des Rotateurs du bassin 
du Léman. 

J. Roux. Sur les Potamonides qui habitent l'ile de Ceylan. 

C. Emery. Histoire d'une société expérimentale de Polyergus 
rufescens. 

F. Brocner. Recherches sur la respiration des insectes aqua- 
tiques. 

R. pe LesserT. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou. 


Ich habe hier noch einer weiteren litterarischen Unterneh- 
mung zu gedenken. An unserer Sektionssitzung anlässlich der 
Jahrhundertfeier der Schweizerischen Naturforschenden Ge- 
sellschaft wurde 1915 in Genf auf Antrag von Herrn Prof. Th. 
Sruper der Beschluss gefasst, sich mit der Denkschriften- 
Kommission in Verbindung zu setzen, um die « Mollusken- 
fauna des Neuenburger Jura » von P. Goper verüffentlichen zu 
lassen. Die vorzüglich ausgeführten Abbildungen stünden zur 
Verfügung und ein erklärender Text von Herrn Jean PIAGET 
liegt vor, der etwa 1000 Manuscript-Seiten umfasst. Ich habe 
auf Grund des bei mir eingegangen Aktenmaterials persônlich 


PAYER 


Schritte beim Denkschriften-Komité unternommen, um die 
Sache in Fluss zu bringen. 

Leider sind die Aussichten für eine rasche Publication der 
Goper'schen Arbeit momentan ganz ungünstig. Sie kennen alle 
die grosse Zuvorkommenheit der Denkschriften-Kommission, 
aber ihr Präsident hat mir ein sehr dunkles Bild der momen- 
tanen Situation entworfen. Da der Bund finanziell zurückhaltend 
sein muss, s0 steht die Denkschriften-Kommission schon in der 
nächsten Zeit vor bedenklichen Defiziten und wird Mühe haben, 
die Denkschriften in bisheriger Weise fortzuführen. Es wurde 
mir rundweg die Unmôglichkeit erklärt, zur Zeit das Geld für 
die Gopgr sche Publikation aufzubringen. 

Ich hielt es für meine Pflicht, Ihnen Klarheit in dieser Sache 
zu verschaften. 

Im Weiteren sei erwähnt, dass ein Gesuch um Subvention 
für wissenschaftliche Forschungen einging, das wir in der 
Sektionssitzung in Genf für die geschäftlichen Traktanden der 
heutigen Jahresversammlung zurückstellen mussten. 

Was die wissenschaftliche Thätigkeit der Sektionssitzung in 
Genf 1915 anbelangt, so lagen zahlreiche Traktanden vor, deren 
Erledigung die Zeit von 8 Uhr morgens bis 5 Uhr abends in 
Anspruch nahm. Ueber Einzelheiten wird der Jahresbericht 
der Schweiz. Naturf. Gesellschaft näheres mitteilen. 

Schliesslich habe ich noch der Personalveränderungen im 
Schosse der Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft zu ge- 
denken. Durch den Tod verloren wir leider drei der hervorra- 
gendsten Mitglieder im Laufe der beiden letzten Jahre, näm- 
lich Prof. Eugène DeLesserr in Lutrv, sodann Prof. Hugo 
KRroNECkER in Bern, verstorben am 6. Juni 1914, und Prof. Ar- 
nold LaxG in Zürich, der am 30. November 1914 sein arbeitsrei- 
ches Leben beschloss. Sie kennen alle die wissenschaftlichen 
Verdienste der Heimgegangenen und ich bilte Sie, deren An- 
denken durch Erheben von Ihren Sitzen zu ehren. 


Den Austritt aus der Gesellschaft haben genommen die 
Herren Prof. Marney-Dupraz in Colombier, Prof. Dr. STAUr- 


— 9, — 


FACHER in Frauenfeld, C. Daur in Bern, R. Progsr in Bern, und 
Dr. ROTHENBÜHLER in Bern. 

Dafür sind Beitrittsgesuche an die Gesellschaft eingegangen 
von den Herren Dr. J. FEHLMANX in Zürich, Dr. Max KÜPFER in 
Zürich, Dr. N. Lerenixsky in Basel, Dr. O. SCHNEIDER-ORELLI 
in Wädenswil, Eugen Paravicint in Zürich und Fräulein Dr. 
Frieda Meyer in Zürich, sowie von den Herren Dr. HOFMÂNNER 
und Dr. MENZEL. 

Es kann nicht bezweifelt werden, dass in unserem Lande 
noch verschiedene wissenschaftliche Elemente vorhanden sind, 
die uns gern beitreten, sofern unserseits eine Anregung erfolet. 

Indem ich Sie bitte, mit Ihrer Werbethätigkeit einzusetzen, 
um unseren Mitgliederbestand zu vermehren, erkläre ich die 
heutige Jahresversammlung für erôffnet. 


2. Da der Quästor, Herr Dr. R. DE LESSERT in Genf, aus Ge- 
sundheitsrücksichten verhindert war, an der Sitzung teilzu- 
nehmen, hat er einen Rechnungsbericht zu Handen der Ver- 
sammlung eingesandt, der vom Präsidenten verlesen wird und 
aus dem sich ergibt, dass die Gesellschaft über ein Saldo von 
Frs. 1564.40, resp. unter Abrechnung der für die Acarinen- 
Preisaufgabe reservierten 500 Frs., über ein Saldo von 1064.40 
Franken verfüugt, über dessen Verwendung die Jahresversamm- 
lung zu beschliessen hat. 

In einem ebenfalls schriftlich vorliegenden Prüfungsbericht 
der Rechnungsrevisoren (Prof. E. Anpré in Genf und Prof. H. 
BLanc in Lausanne) wird Déchargeerteilung an den Quästor 
vorgeschlagen. Diesem Antrag wird von der Versammlung mit 
bestem Dank an Herrn Dr. pe Lesserr beigestimmt. 

Auf Antrag Herrn Dr. Bepor's wird sodann von dem zur Ver- 
fügung stehenden Geld 1000 Frs. dem Kapital zugewiesen und 
der Rest zur Deckung der laufenden Ausgaben bestimmt. 


3. Zur Aufnahme in die Gesellschaft haben sich folgende 
acht Kandidaten gemeldet und sind dem Reglement entspre- 


chend empfohlen : 


PAGES 


Dr. J. W. FEHLMANN, Priv. Doz. an der Eidg. Technischen 
Hochschule in Zürich. 

Dr. Rich. Menzez, Assistent an der Zoologischen Anstalt der 
Universität in Basel. 

Dr. Bartholomé Hormänner, Professor am Gymnasium in 
Chaux-de-Fonds. 

Dr. Max KüPrEr, Assistent am Zool. Institut der Universität 
Zürich. 

Dr. N. Lesepinsxy, Basel. 

Fri. Dr. F. Meyer, Zürich. 

Dr. O. Scaxeiper-ORELLI, Assistent an der Eidg. Versuchs- 
Station in Wädenswil. 

Eugen Paraviani, Assistent an der landwirtschaftlichen Ab- 
teilung der Eidg. Technischen Hochschule in Zürich. 

Sämtliche Kandidaten werden einstimmig als Mitglieder in 
die Gesellschaft aufsenommen. 


4. Da die Frist (15. Dez. 1915) für die vor zwei Jahren in Genf 
ausgeschriebene Preisaufgabe : « Die terrestrischen, freileben- 
den Acarinen der Schweiz » verstrichen ist, ohne dass Bearbei- 
tungen des Themas eingegangen wären, musste in der Ange- 
legenheit ein neuer Beschluss gefasst werden. 

Herr Dr. Bepor schlägt vor, den Termin für die Bearbeïitung 
der Preisaufgabe über die schweizerischen Acarinen bis zum 
15. Dezember 1916 zu verlängern. Daran anschliessend bean- 
tragt Herr Professor STEINMANX eventuell neben dieser Preis- 
aufgabe noch eine zweite aufzustellen, welche die an der biolo- 
gischen Selbstreinigung der schweizerischen Gewässer betei- 
ligten Organismen zum Gegenstand haben soll, indem der 
Antragsteller zur Begründung dieser Themawahl besonders 
hervorhebt, dass die betr. Verhältnisse in der Schweiz von 
den bis jetzt hauptsächlich studierten in Deutschland wesent- 
lich verschieden zu sein scheinen. 

Im Verlauf der Diskussion, an der sich die Herren SURBEGK, 
FEHLMANN, STEINMANN, BEpoT. KELLER, LINDER, HESCHELER und 
SrroHL beteiligen und bei der auch die Frage aufseworfen 


" 


— v | — 


wurde, ob der Vorschlag eines biologischen Themas keine 
Kollision mit früheren Beschlüssen der Gesellschaft betr. den 
faunistischen Charakter der auszuschreibenden Preisaufgaben 
befürchten lässt, wird das Thema einer zweiten Preisaufsabe 
auf Antrag Herrn Dr. SurBecx, schliesslich folgender massen 
formuliert : Die Wirkung organischer Verunreinigungen auf 
die Fauna der schweizerischen fliessenden Gewässer. Die bei 
der Bearbeitung eines solchen Themas notwendig werdende 
Prüfung der bis jetzt geltenden Einteilung der fraglichen Tiere 
in Katarrhobien, Saprobien usw. führt nach der Meinung des 
Antragstellers von selbst zur Behandlung des biologischen 
Selbstreinigungsproblems der Gewässer. 

In der Angelegenheit der Preisaufgaben wird demnach be- 
schlossen : ; 

1. die Preisaufgabe von 500 Frs. über die terrestrischen 
freilebenden Acarinen erneut für 1916 auszuschreiben (End- 
termin : 15. Dez. 1916). 

2. eine neue Preisaufwabe von 500 Frs. über die Wirkung 
organischer Verunreinigungen auf die Fauna der schweizeri- 
schen fliessenden Gewässer zur Bewerbung gelangen zu lassen 
und für deren Bearbeitung zwei Jahre in Aussicht zu nehmen 
(Endtermin demnach : 15 Dez. 1917). 


5. Der Präsident gibt weiter verschiedene Zuschrifien, die 
er erhalten hat, bekannt, so zunächst die Entschuldigungs- 
schreiben der Herren Prof. BLANC, FunrMaNx und Güôzpt, die 
an der Sitzung in Zürich nicht teilnehmen konnten. 

Weiter verliest er ein Gesuch zweier Mitglieder der Gesell- 
schaft, der Herren Dr. C. Janickt und Dr. M. Weger, welche die 
Schweizerische Zoologische Gesellschaft bitten, ihre vor allem 
in der Fischereistation von Boudry (Neuchâtel) vorgenommenen 
experimentellen Untersuchungen über die Infektionswege von 
Bothriocephalus latus durch Zuweisung von 150 Frs. zu unter- 
stützen. Die Versammlung, aus deren Mitte die Herren BEDor, 
HescHELER und KELLER das Wort ergreifen, anerkennt die 
grosse Bedeutung der angestellten Versuche, müchte aber 


COR ner 


ohne reifliche Erwägung keinen Präcedenzfall schaffen und ràt 
den Gesuchstellern in Anbetracht der prinzipiellen Bedeutung 
der Sache und des Umstandes, dass das Gesuch vom diesjährigen 
Jahreskomitee nicht durchberaten worden ist, ihre Bitte dem 
Jahreskomitee für 1916 erneut einzureichen. Herr Prof. KELLER 
cibt dabei speziell der Meinung Ausdruck, dass für eine solche 
Untersuchung sicher verhältnissmässig leicht kleine Subven- 
tionen von den am Ausfall der Versuche besonders interes- 
sierten kantonalen Regierungen zu erhalten sein sollten. 


Ein in letter Stunde eingelangtes, von den Herrn A. Hess 
und Karl Daur in Bern unterzeichnetes Schreiben der Schwei- 
zerischen Gesellschaft für Vogelkunde und Vogelschutz sucht 
die Schweizerische Zoologische Gesellschaft für eine Reorga- 
nisation des von der Eidg. Ornithologischen Commission her- 
ausgegebenen Aandkatalogs der schweizerischen Vügel zu 


gewinnen und lenkt die Aufmerksamkeit der Gesellschaft auf 


eine am 16. Oktober 19i5 von der Schweiz. Gesellschaft für 
Vogelkunde und Vogelschutz an das Departement des Innern 
gerichtete Eingabe, in der die genannte Gesellschaft ein Mit- 
spracherecht bei der Aufstellung des neuen Handkatalogs der 
schweizerischen Vügel beansprucht. 

Herr Prof. LiNpER (Lausanne) wirft zunächst die Competenz- 
frage der heutigen Versammlung auf und stellt danach den 
Antrag, über die Zuschrift zur Tagesordnung überzugehen, falls 
nicht Gegenantrag gestellt wird. Herr Prof. Kezrer (Zürich) 
macht weiter auf den stark polemischen Charakter der Eingabe 
aufmerksam und warnt ganz allgemein die Gesellschaft vor ein- 
seitiger Parteinahme in solchen Angelegenheiten. Nachdem 
jedoch Herr Dr. Brerscner (Zürich) eindringlich die Notwendig- 
keit einer Reorganisation des Handkatalogs verteidigt hat und 
seinerseits die Gesellschaft ersucht hat, sich für die Sache zu 
interessieren, zieht Herr Prof. LINDER seinen Antrag zurück und 
es kommt zu einer Diskussion, an der sich die Herren BEnor, 
BrerscHER, HescHEeLErR und Kezrer beteiligen. Das Ergebnis 
lässt sich in der Hauptsache dahin formulieren, dass eine Erôr- 


Pt à 


RES Dre 


terung der Frage im Schosse der Schweizerischen Zooïogischen 
Gesellschaft nichtausgeschlossen sein soll, dass aber eine sofor- 
tige Entscheidung,:ohne dass die Angelegenheit ausdrücklich 
auf der Tagesordnung gestanden hatte und ohne dass die in der 
Eidg. Ornithologischen Commission befindlichen Mitglieder 
der Gesellschaft Gelegenheit zur Æusserung gehabt hätten, 
unter keinen Umständen angängig ist. Aus denselben Gründen 
wäre auch die Einsetzung einer besonderen Commission seitens 
der Schweiz. Zoologischen Gesellschaft nicht korrekt, da ein 
solcher Schritt bereits eine Stellungnahme in der Angelegenheit 
bedeuten würde. Die Eingabe soll demnach an das nächstjährige 
Jahreskomitee weitergeleitet werden. 


6. Bei der Bestellung des Bureaus für 1916 wird zunächts 
Lausanne als Vorort gewählt, sodann Herr Prof. Dr. H. BLANC 
in Lausanne einstimmig zum neuen Jahrespräsidenten ernannt 
und ihm überlassen, die weiteren Mitglieder des Lausanner 
Jahreskomitees, also den Vizepräsidenten und den Aktuar selbst 
zu bestimmen. Quästor und Generalsekretär bleibt Herr Dr. 
R. DE LESSERT in Genf. 

Nachdem noch Herr Prof. Lixper als einziger anwesender 
Vertreter Lausanne s die Schweiz. Zoolog. Gesellschaft im 
Voraus zu ihrer nächstjährigen Tagung in Lausanne herzlich 
willkommen geheissen hat, hebt der Präsident um 7 Uhr die 
Sitzung auf. 

Um 7 ‘2 Uhr vereinigten sich zwôlf der in Zürich anwesenden 
Mitglieder und zwei Gäste zu einem einfachen, vom Jahres- 
komitee offerierten Abendessen in der Schmiedstube. 


VWVISSENSCHAFTLICHE SITZUNG. 


Dienstag, den 28. Dezember 1915. 


Die Sitzung wird um 8 ‘} Uhr durch den Präsidenten erôft- 
net. Anwesend sind 31 Mitglieder und 9 Gäste. 
Vor der Anhôrung der wissenschaftlichen Vorträge wird noch 


die tagszuvor unterbliebene Neuwahl der Rechnungsrevisoren 
vorgenommen, als welche für 1916 von der Gesellschaft be- 
stimmt werden die Herren Professor Dr. K. HESCHELER (Zü- 
rich) und Dr. G. SurBEck (Bern). 

Der Präsident erinnert sodann nochmals ausdrücklieh an die 
auf dem Programm bereits festgesetzte Maximaldauer von 
zwanzig Minuten für die einzelnen Vorträge und es folgen da- 
nach die Mitteilungen der Herren : 


1. Dr. G. SreiNer (Thalwil) : a) Ueber das Verhältnis der 
marinen freilebenden Nematoden zu denen des süssen Wassers 
und der Erde ; 

b) Demonstration einiger interessanter Formen freilebender 
Nematoden. 


2. Prof. Dr. Paul STEINMANx (Aarau) : Zur Biologie von Oligo- 
neuria rhenana. 
Diskussion : Herr Direktor Dr. Ris. 


3. Prof. Dr. M. Sraxpruss (Zürich) : Vorweisungen aus neue- 
ren Zuchtergebnissen des Berichtenden. 


Gegen 10 Uhr wird die Sitzung für eine halbe Stunde unter- 
brochen, um den Anwesenden Gelegenheit zu geben, sich 
an einem im Lichthof des Landwirtschaftsgebäudes eingerichte- 
ten Buffet zu restaurieren. 

Danach folgen die weiteren Mitteilungen der Herren : 


4. Dr. CG. Janiokt (Basel) : Wezitere Beobachtungen an parasi- 
tischen Arten der Gattung Paramoeba Schaudinn (mit Demon- 
stration mikroskopischer Präparate). 

5. Dr. C. Wazrer (Basel) : Zur Entwicklung torrenticoler 
Hydracarinen (mit Demonstration mikroskopischer Präparate). 

6. Dr. K. Brerscuer (Zürich) : Vergleichende Untersuchungen 
über den Vogelzug (Schweizerisches Mittelland und Elsass- 
Lothringen). 

Diskussion : Herr Dr. Fiscaer-SiGwarrT. 


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7. Dr. Max KüpPrer (Zürich) : Über die Sehorgane der Pecti- 
niden (mit Demonstration mikroskopischer Präparate). 


8. Dr. O. Sonxeiner-OrELLI (Wädenswil) : Über intermediäre 
Typen bei Schizoneura lanigera. 
Diskussion : Herr Prof. C. KELLER. 


9. Dr. N. LesenixsxyY (Basel): Demonstration der Embryonal- 
entwicklung des Vogelbeckens an Hand von Wachsplattenmo- 
dellen. 


Nach diesen Mitteilungen fand unter Führung Herr Prof. 
Kezzer’s eine Besichtigung der im Lichthof des Forst- und 
Landwirtschaftlichen Institutes aufgestellten Haustiersamm- 
lung statt, wobei Herr Prof. KeLLER die nôtigen Erläuterungen 
zu den aus verschiedenen prähistorischen und historischen Pe- 
rioden stammenden Objekten gab. 

Damit fand die Sitzung um 1 Uhr ihr Ende. 


An dem darauf folgenden Mittagessen auf der Schmiedstube 
beteiligten sich achtundzwanzig Mitglieder und fünf Gäste. 
Herr Professor ZscHoxke (Basel) dankte bei dieser Gelegenheit 
den Zuürcher Freunden für den der Gesellschaft bereiteten 
Empfang und gab dem Wunsche Ausdruck, dass die Zoologie 
in Zürich stets weiter gedeihen môüge. 

Um 34 Uhr versammelten sich die Mitglieder im Hôrsaal 
des Zoologischen Institutes der Universität, wo Herr Pro- 
fessor HESCHELER die Anwesenden willkommen hiess und mit 
wenigen Worten das Andenken an Herrn Professor Arnold 
LaxG in stille Erinnerung zurückrief, dem diese neue Stätte 
wissenschaftlicher Tätigkeit Weihe und Werden verdankt und 
dessen von Herrn E. Kôberle (Zürich) gemaltes Bild im Hôr- 
saal Aufstellung gefunden hatte. Danach gab Herr Professor 
HEscHELER an Hand zweier Planskizzen einige Erläuterungen 
zu leichterer Orientierung im neuen Zoologischen Institut und 
Museum, worauf sich die Anwesenden freier Besichtigung der 


Räumlichkeiten zuwandten. 
Der Aktuar : J. Srrouz. 


Mitgliederverzeichnis 


DER 


Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft 


(30. Dezember 1915) 


Ehrenpräsident : 
Sruper, Th., Prof., D', Gutenbergstrasse 18, Bern. 


A. Lebenslängliche Mitglieder : 
Gœæzpi, E. A., Prof., D’, Zieglerstrasse 36, Bern. 
Jaxickt, C., D', Priv.-Doc., Zoologische Anstalt, Universität, Basel. 


* Wicaezui, J., Prof. D', Künigl. Landesanstalt für Wasserhygiene, 
Berlin-Dahlem. 


B. Ordentliche Mitglieder : 
ANDRÉ, E., Prof., D', Délices 10, Genève. 
Bazrzer, F., Prof., D', Zoolog. Inst., Würzburg (Deutschland). 
* Bargey, Aug., Expert-Forestier, Montcherand s/Orbe (Vaud). 
Baumanx, F., Priv.-Doc., D', Zoolog. Institut, Bern. 
BaumeisrTEer, L., D', Strassburgerallee 15, Basel. 
Beoor, M., D', Directeur du Muséum d'Histoire naturelle, Genève. 
Bécuix, F., D’, rue Pourtalès 10, Neuchatel. 
BérAxeck, Ed., Prof., D', Université, Neuchâtel. 
BLaxc, H., Prof., D', Avenue des Alpes 6, Lausanne. 
BrocaJ.,/ Prof; D°-Solothurit: 
BLocu, L., D', Bahnhofstrasse 15, Grenchen, Solothurn. 
Bzunrscuui, Prof., D', Anat. Inst. Universität, Frankfurt a. M. 
* BozzixcEer, D', Hebelstrasse 109, Basel. 
* Bornaauser, Conrad, D', Marschalkenstrasse 31, Basel. 
Bossnarp, H., Prof., D', Hochstrasse 68, Zürich 7. 
Brerscuer, K., D', Weinbergstrasse 146, Zürich 6. 
Bucxiow, Ed., Prof., D', Blonay s/Vevey. 
Burckaaror, Gott., D', Grellingerstrasse 55, Basel. 
von BurG, G., Bez. Lehrer, Olten. 
* Buri, R., D', Schlachthoftierarzt, Bern. 
Bürrikorer, John, D', Direktor d. zoologischen Gartens, Rotterdam 
(Holland). 
Carz, J., Priv.-Doc., D', Muséum d'Histoire naturelle, Genève. 
Daiser, Marie, D', Priv.-Doc. u. Prosektor, Gloriastr. 72, Zürich 5. 
Decacxaux, Th., Prof. au Gymnase, Neuchâtel. 


— 13 — 


* Dorou, F., D', rue du Trône 20, Bruxelles. 

* Dugrsr, J. Ulr., Prof. D', Universität, Bern. 

Excez, À., Champ-fleuri, Lausanne. 

Escuer-Kënoic, J., D', Gotthardstrasse 35, Zürich 2. 

Faës, H., D’, Petit-Montriond, Lausanne. 

Favre, J., D', Priv.-Doc., Muséum d'Histoire naturelle, Genève. 

* Kenzmanx, F. W., D', Priv.-Doc. an der Eidg. Techn. Hochschule, 
Forst- und Landwirtschaftssæebäude, Zürich. 

Fezix, W., Prof., D', Küllikerstrasse 7, Zürich 7. 

Fiezo, H. Haviland, D', Direktor des Concilium bibliographicum, 
Kôllikerstr. 9, Zürich 7. 

Fiscuer-Sicwarr, H., D', Zofingen. 

Forez, Aug., Prof., D', Yvorne (Vaud). 

Funrmaxx, O., Prof., D', Université, Neuchatel. 

Gaxpozri-Horxyozp (de), Priv.-Doc., D', Beaulieu, Champel (Genève). 

Gis1, Julie, D', Lehrerin, Austrasse 29, Basel. 

Greppix, L., Dr, Direktor, Rosegg bei Solothurn. 

Hescuecer, K., Prof., D', Mainaustrasse 15, Zürich 8. 

Hormänxer, Barthol., D', Prof. au Gymnase, La Chaux-de-Fonds. 

Horrmaxx, K., D' med., Albananlage 27, Basel. 

Jaquer, Maurice, Prof., D', Cité de l'Ouest, Neuchâtel. 

* KarHariNEr, L., Prof., Université, Fribourg, 

Kerrer, C., Prof., D', Asylstrasse 17, Zürich 7. 

* Küprer, Max, D', Klausstrasse 20, Zürich 8. 

*# La Rocue, R., D', Hagenthal (Elsass). 

* Leseomsky, N., D', Birsigstrasse 137, Basel. 

Lesserr (de), R., D', route de Florissant 3, Genève. 

Leuraarpor, F., D’, Liestal. 

Lixper, C., Prof., D', avenue Jolimont, Lausanne. 

Marceuix, R. H., D', chemin de la Montagne 43, Chène-Bougeries 
(Genève). 

Mexzes, Richard, D', Zoologische Anstalt der Universität, Basel. 

Mermop, G., D', Muséum d'Histoire naturelle, Genève. 

* Meyer, Frieda, D', Eidmattstrasse 38, Zürich 7. 

Morrox, W., Vieux-Collonges, Lausanne. 

Munisier, P., D’, Assistant, Lab. de Zool. de l'Université, Lausanne. 

Musy, M., Prof., rue de Morat 245, Fribourg. 

Nansez, P., D', Terreaux, Lausanne. | 

Neeracuer, F., D', Unterer Rheinweg 144, Basel. 


Paravicini, Eug., Assistent an der Eidg. Technischen Hochschule, 
Landwirtschaftliche Abteilung, Zürich. 

Penar», Eug., D', rue Tæpffer 9, Genève. 

*Peyer, Bernh., D', Steigstrasse 76, Schaffhausen. 

PræuLer, H., Apoth., Schaffhausen. 

Piacer, J., Poudrières 31, Neuchâtel. 

Picrer, Arnold, D', Priv.-Doc., route de Lausanne 102, Genève. 

Prieur, E., Prof. D’, Parcs 2, Neuchâtel. 

Reviczion, Pierre, D', Naturhist. Museum, Basel. 

Ris, F., D', Direktor, Rheinau (Zürich). 

Roux, Jean, D', Naturhist. Museum, Basel. 

Rusezti, O., Prof., D', Alpeneckstrasse 7, Bern. 

SARASIN, Fritz, D', Spitalstrasse 22, Basel. 

SARASIN, Paul, D', Spitalstrasse 22, Basel. 

*Scaäppi, Th., D', Josephstrasse 67, Zürich. 

SCHNEIDER, Gust., Präparator, Grenzacherstrasse 67, Basel. 

SCHNEIDER-ORELLI, O., D', Eidg. Versuchsanstalt, Wädenswil. 

*SrAmPrLi, Ruth, D', Falkenplatz, Bern. 

SrTAnDruss, M., Prof., D', Kreuzplatz 2, Zürich 7. 

STECK, Theodor, D', Naturhist. Museum, Bern. 

STEHLIN, H. G., D', Naturhist. Museum, Basel. 

* STEINER, G., D', Thalwil. 

STEINMANN, P., D', Prof. a. d. Kantonsschule, Aarau. 

STINGELIN, Theodor, D', Olten. 

STOLL, O., Prof., D', Klosbachstrasse 75, Zürich 7. 

SrrAssER, H., Prof., D', Anat. Institut, Bern. 

SrroHL, J., Prof., D', Zool. Institut, Universität, Zürich. 

SURBECK, G., D", Schweiz. Fischereiinspektor, Bern. 

Tueicer, À., Prof., D', Kantonsschule, Luzern. 

TarésauD, M., Prof., D', Ring 12, Biel. 

*Tæœprmaxx, W., D', Institut Zoologique, Fribourg. 

Wazrer, Ch., D', Tanzgasse 2, Basel. 

Weser, Edmond, D', Muséum d'Histoire naturelle, Genève. 

Weser, Maurice, Laboratoire de Zoologie, Université, Neuchâtel. 

WETTSTEIN, E., Prof., D', Attenhoferstrasse 34, Zürich 7. 

YuxG, Emile, Prof., D', rue St-Léger 2, Genève. 

*ZeuxrNer, L., D', Instituto agronomico, Bahia (Brésil). 

Zscaokke, F., Prof., D', Universität, Basel. 


Die Mitglieder, deren Namen mit einem * versehen sind, gehüren der Schweïizerischen Na-— 
turforschenden Gesellschaft nicht an. ‘ 


SCHWEIZERISCHE ZOOLOGISCHE GESELLSCHAET 


Die Schweizerische Zoologische Gesellschaft schreibt fol- 
gende zwei Preisaufgaben aus : 


1. Die terrestrischen freilebenden Acarinen der Schweiz.— Für 
die beste, den wissenschaftlichen Ansprüchen entsprechende 
Bearbeitung dieses bereits seit zwei Jahren ausgeschriebenen 
Themas ist ein Preis von 500 Fr. vorgesehen und als Endtermin 
der Einreichung der 15. Dezember 1916 bestimmt. 

2. Die Wirkung organischer Verunreinigungen auf die Fauna 
der schweizerischen fliessenden Gewässer. — Für die beste, 
den wissenschaftlichen Ansprüchen entsprechende Bearbeitung 
dieses Themas ist ebenfalls ein Preis von 500 Fr. in Aussicht 
genommen, als Endtermin der Einreichung jedoch erst der 
15. Dezember 1917 festgesetzt. 


Alle Zoologen der Schweiz und des Auslandes kônnen sich 
um die Preise bewerben. 

Die Manuskripte sind vor dem für jede Preisaufgabe fest- 
gesetzten Endtermin dem jeweiligen Jahrespräsidenten der 
Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft zu Handen der 
Gesellschaft einzusenden. 

Jedes Manuskript ist mit einem Motto zu versehen und soll 
bei seiner Einsendung den Namen des Bearbeiters nicht er- 
kennen lassen. Ein dasselbe Motto als Aufschrift tragender, 
versiegelter Umschlag soll Name und Adresse des Autors ent- 
halten. Die Arbeiten künnen in deutscher, franzôsischer oder 
italienischer Sprache abgefasst werden. 


Das JAHRESKOMITEE DER SCHWEIZ. 
Zoo. (GESELLSCHAFT. 


SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE 


La Société Zoologique Suisse a décidé : 


1° De prolonger jusqu’au 15 décembre 1916 le concours 
ouvert en 1913 sur le sujet : Etude sur les Acariens terrestres 
(non parasites) de la Suisse. 


2° De délivrer un prix de 500 fr. à l’auteur de la meilleure 
étude scientifique sur : L'action des détritus organiques sur la 
faune des eaux courantes de la Suisse. 


Tous les Zoologistes suisses ou d’autres nationalités peuvent 
concourir. 

Pour le second concours, les mémoires doivent être envoyés, 
sans révéler le nom de l’expéditeur, avant le 15 décembre 1917, 
au Président en charge de la Société Zoologique Suisse. Ils doi- 
vent porter en tête du manuscrit une devise reproduite sur une 
enveloppe cachetée, renfermant le nom et l'adresse de l’auteur. 
Ils peuvent être écrits en français, allemand ou italien. 


LE COMITÉ DE LA SOCIÉTÉ 
ZOOLOGIQUE SUISSE. 


REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE 


ANNALES 


SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE 
MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE 
PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE 


Maurice BEDOT 


DIRECTEUR DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE 
AVEC LA COLLABORATION DE 


MM. les Professeurs E. Béranxeck (Neuchâtel), H. Bcaxc (Lausanne), 
O. Funnuaxx (Neuchâtel), T. Sruper (Berne), E. Yuxc (Genève) 


el F. Zscuokke (Bâle). 


TOME 21 


Avec 95 planches 


"Ra GENÈVE 
IMPRIMERIE ALBERT KUNDIG 


1916 


EN VENTE CHEZ GEORG & LM LIBRAIRES A GNÈve. 


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MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE 


CATALOGUE 


DES 


| INVERTÉBRÉS DE LA SUISSE 


Fasc. 1. SARCODINÉS par E. Penarn 


Avec 8 figures dans le texte. Fr. 820 
Fasc. 2. PAHYLLOPODES par Th. STINGELIN ie | 13 
Avec 10 figures dans le texte. Fr, 8 — Re 
r : Me 
Fase. 3. ARAIGNÉES par R. de Lrsserr : 2 
Avec 250 figures dans le texte. "Cr; 32706 A 
ÈS 
Fasc. 4. ESOPODES par J. Carz «2700 
Avec CA figures dans le texte. Fr. 3/50, 


Fasc. 5. PSÆEUMOSCORPIONS par R. de Lesserr 


Avec 22 figures dars le texte. Fr. 250 5 
Fasc. 6. INFUSOIRES par E. Axnvt | k 
__ Avec 11 figures dans le texte. Fr, 12 —. 
fase. 7. OLIGOCHÈTES par E. Picuer et K. Brerscuer. 


Avec 43 figures dans le texte. . 1," FRERES 
Fase. 8. COPÉRP DES par M. Taiésauv ‘te 
Avec 75 figures dans le texte. Fr. .6150%%8 


CATALOGUE IiLLUSTRÉ 


DE LA 


COLLE CTION LAMARCK 


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MUSEUM D'HISTOIRE VATURELSE DE GENÈVE TES 


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