x ue
ER mr
es 53 unie
PÉRTL OS SE Des Den
x
3e Se DS satin ré
ù +
us | > : +
Ha ds Hautes | :
ve D iles des 0 Ô | LT
18147447 Tran Tr
hit reidia tré , COTON)
—s" CHÉRCTOICNC CIC ILE et Visit do)
à OCTO CT a DE DE A TT D DONC
PINS ID TASER DNS TU TND SRE EE TITI ETES EN
RE TT SEE TE TETE EN ASE SO NÉ EVA BA ETS TA AT
e DONNE o Cr >
à Mitietieregeits
ol
ne HoRnan
+5 : 4 +
7° :
De Jr
Bis: nt
SE n AE '
RAR AU ne
2 +
ot nids NY
CO Er re pes
donnait 1er dge TEA TS TT TT ÉTÉ A Ad
, DOTE EMANMICTUICNer
dire ROC
SITE Maé "
CRCICIC UE Wild
ri À br w Pile =
td ré à re
< UE
r era
4
STE
sr
172
tre,
+
CPR
«
pa
.
+
DÉETE
14
:
LEE
re
PPPROE ET
4
LANCE
i are
Litres re
LE
*
>
_
-
Craret
CCE
DONC CAT EC NE
REVUE SUISSE
ZOOLOGIE
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
ANNALES
DE LA
SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE
MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE
Maurice BEDOT
DIRECTEUR DU MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE
AVEC LA COLLABORATION DE
MM. les Professeurs E. Béranecx (Neuchâtel), H. BLaxc (Lausanne),
O. Fuurmaxx (Neuchâtel), T. Sruper (Berne), E. Yuxc (Genève)
et F. Zscnokke (Bäle),
TOME 21
Avec 5 planches
GENÈVE
IMPRIMERIE ALBERT KUNDIG
1916
TABLE DES MATIÈRES
. Benor, M. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes.
5° période (1881-1890).
. AxpRÉ, E. Anomalie de l’appareil buccal d’Ascaris megalo-
cephala. Avec 2 figures dans le texte
. Brux, R. Le problème de l'orientation lointaine chez les
Fourmis
. Fuxrmaxw, O. Notes helminthologiques suisses. Avec la
planche 1.
. Forez, À. Fourmis du Congo et d’autres provenances récol-
tées par MM. Hermann Kohl, Luja, Mayné, etc. Avec
7 figures dans le texte
. Carz, J. Acridiens nouveaux ou peu connus du Muséum de
Genève. Avec la planche 2.
7. Conwerz, V. Sur l'orientation chez les Fourmis
10.
#1:
. Caappuis, P.-A. Viguierella cœca Maupas. Hiezu Tafel 3
und 4 .
. DE Lesserr, R. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou
(suite). Avec 26 figures dans le texte.
Axpré, E. Contribution à l’étude de la faune infusorienne
du Léman. Avec la planche 5 .
Benor, M. Sur le genre Xirchenpaueria .
Pages
TABLE DES AUTEURS.
PAR
ORDRE ALPHABÉTIQUE
Axpré, E. Anomalie de l'appareil buccal d’Ascaris megaloce-
DL AN ee à VERS AR Ve AP DS AS DE
AxoRÉé, E. Contribution à l’étude de la faune infusorienne du
RémMafe:zs. STU PIE A Re EE Ne 2TEe CT CT
Benoor, M. Matériaux pour servir à l'Histoire des Do Fa
» Sürle-gente Kirchenpauerias."." 2". 02"100
Brun, R. Le problème de l'orientation lointaine chez les
ouest ue 2e cr Ne ES NN) ner Re HN
Care, J. Acridiens nouveaux ou peu connus; ,.: .:,:. .
Cuarpuis, P.-A. Viouierella cœca Maupas ... . . .
Corxerz, V. Sur l’orientation chez les Fourmis. . . . . .
Forez, À. Fourmis du Congo et d’autres provenancés . ..
Funrmaxx, O. Notes helminthologiques suisses. . . .
Lessenr (pE), R. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou
Pages
301
RÉEMVIE"S UNSS EMDIE AO OLO'GTIE
Vol. 2%, n° 1. — Février 1916.
MATÉRIAUX
pour servir à
l'Histoire des Hydroïdes
PAR
M. BEDOT
5° PÉRIODE!
(1881 à 1890)
Les Millepores et, parmi les Méduses, les formes aberrantes
et celles qui n’appartiennent pas notoirement aux groupes des
Leptoméduses et des Anthoméduses, ne figurent pas dans nos
Matériaux. Bien que les genres Wicrohydra, Limnocodium,
Limnocnidia et Polypodium soient compris par Srecuow (1909)
dans la famille des Æydridae, nous les laisserons également de
côté pour le moment. Notre travail comprendra done, à l'excep-
tion du genre parasite Mnestra, toutes les espèces rentrant dans
1 Voir : M. Benor. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes. 1re pé-
riode. Rev. suisse de Zool. T. 9, pp. 379-515. Genève, 1901, 80.
Idem. 2e période. Ibid. T. 13, pp. 1-183. 1905.
Idem. 3e période. Ibid. T. 18, pp. 189-490. 1910.
Idem. 4e période. Ibid. T. 20, pp. 213-469. 1912.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 1
2 M. BEDOT
l’ordre des Hydridea que Pocne établit dans son Système des
Coelentérés !
Les indications placées immédiatement au-dessous des noms
des espèces renvoient aux pages des périodes précédentes des
Matériaux où ces espèces. sont décrites sous le même nom.
Pour avoir la synonymie complète d’une espèce, il faut donc
ajouter à ces indications celles des synonymes qui peuvent
figurer dans chaque période. Par exemple, au-dessous du nom
d'Obelia dichotoma, on trouve : voir : Matériaux I, p. 429;
Il, p.49; IT, p. 334 et IV, p. 327. Mais, pour compléter la syno-
nymie de cette espèce, il faut ajouter les synonymes d’Eucope
articulata et d'Obelia sphaerulina, mentionnés à la p. 327 des
Matériaux IV, ceux de Laomedea dichotoma cités à la p. 334
des Matériaux III, etc.
Les variétés qui n’ont pas reçu de nom spécial sont réunies
à leur espèce.
Dans l’Index bibliographique, les ouvrages écrits en russe,
dont nous n'avons pas trouvé de traduction ou de résumé et
que nous n'avons pas pu analyser, sont placés entre paren-
thèses.
Nous tenons à exprimer notre {très vive reconnaissance à
MM. Baze, Rironie et Srecow, les savants zoologistes aux-
quels on est redevable de travaux si intéressants sur les
Hydroïdes, qui ont bien voulu nous aider de leurs précieux
conseils.
Nous devons encore rappeler aux zoologistes qui consulte-
ront ces Matériaux, que nous n'avons pas la prétention de
donner la synonymie définitive des espèces citées, mais que
notre but a été de réunir et de grouper provisoirement toutes
les données qui pourront permettre de faire plus tard une revi-
sion critique de la systématique des Hydroïdes.
Une liste des corrections à faire dans Les 4 premières périodes
de ces Matériaux se trouve à la fin de ce travail.
IF. Pocne. Das System der Coelenterata. Pet Naturg., PTE 80, Abt. A,
Heft 5, pp. 47-128. Berlin, 1914, 8o,
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 3
INDEX BIBLIOGRAPHIQUE !
1837. Sars, M. Zur Entwickelungsgeschichte der Mollusken und
Zoophyten. In : Arch. Naturg. Jahrg. 3, Bd. 1, pp. 402-407.
Berlin, 1837, 8°.
1847 (ce). Leucxarr. [Wirbellose Thiere aus Helgoland und
Island]. In : Nachr. Univ. u. Ges. Wiss. Gôüttingen, 1847,
n° 6, pp. 86-92. Gôttingen, 1847, 8°.
1854. ByerLey, J. The fauna of Liverpool. London, Liverpool,
1854, 8.
1861. Danrezssen, D. C. Beretning om en zoologisk Reise
foretagen i Sommeren 1857. In: Nyt Magazine for Natur-
videnskaberne. Bd. 11, pp. 1-58. Christiania, 1861, 8°.
1874. Hizcexporr. [Ueber einige für die japanische Fauna neue
Typen.] In: Mitt. deutsch. Ges. f. Natur- u. Vôlkerkde Ost-
asiens, Vol. 1, Heft 4, p. 4. Yokohama, 1874, 4°. |
1877. Hyarr, À. Revision of the north american Poriferæ; with
remarks upon foreign species. P. 2. In : Mem. Boston Soc.
nat. Hist., Vol. 2, N° 18 (1877), pp. 481-554, pl. 15-17. Boston,
1871-78, 4°.
1878. Lecue, W. Ofversigt ôfver de af Svenska Expeditionerna
till Novaja Semlja och Jenissej 1875 och 1876 insamlade
Hafs-Mollusker. In : K. svenska Vetenskaps Akad. Hand.
Bd. 16, N° 2, 86 pp., 2 pl. Stockholm, 1878, 4°.
Mi pr 1%
1879. Barrour, F. M. A treatise on comparative Embryology.
Vol. 1. London, 1879, 80. — En français : Paris, 1883, 80.
1880. Juzzrex, J. Description d’une espèce nouvelle du genre
Filellum. In : Bull. Soc. zool. France, Vol. 5, pp. 291-292.
Paris, 1880, 8°.
- 1880. Scauzze, F. E. On the structure and arrangement of the
1 Les 11 premières indications bibliographiques de cet index se rapportent à
des ouvrages qui auraient dû figurer dans les périodes précédentes.
A M. BÉDOT
soft parts in Euplectella aspergillum. In : Trans. R. Soc.
Edinburgh, Vol. 29, pp. 661-673, fig., pl. 17. Edinburgh,
1880, 40.
1880. Srorm, V. Bidrag til kundskab om Throndhjemsfjordens
fauna. II. In : K. norske videnskabers Selskabs Skrifter, 1879,
pp. 109-125. Throndhjem, 1880, 8°.
1881. BranpT, K. Ueber das Zusammenleben von Thieren und
Algen. In : Sitz.-Ber. Ges. naturforsch. Freunde Berlin,
Jahre. 1881, pp. 140-146. Berlin, 1881, 8°. — Et ex: Verh.
Berlin. physiol. Ges. In : Arch. Anat. Physiol. (Physiol.
Abt.). Jahrg. 1881, pp. 570-574, figg. Berlin, 1881, 8.
1881 (a). Craus, C. Zur Kenntniss der Aufnahme kôrperlicher
Elemente von Entodermzellen der Cœlenteraten. In : Zool.
Anz., Jahrg. 4, pp. 116-117. Leipzig, 1881, &.
1881 {b). Craus, C. Ueber Aequorea Forskalea Esch. als Aequo-
ride des Adriatischen Meeres. In : Arb. zool. Inst. Univ.
Wien, T. 3, Heft 3, pp. 283-312. Wien, 1881, 8°.
1881 (c). Craus, C. Beiträge zur Kenntniss der Geryonopsiden-
und Eucopiden-Entwicklung. In : Arb. zool. Inst. Univ. Wien,
T. 4, Heft 1 (1881), pp. 89-120, pl. 1-4. Wien, 1882, 8°.
1881. Davinorr, M. Ueber Theilungsvorgänge bei Phialidium
variabile Hæckel. In : Zool. Anz., Jahrg. 4, pp. 620-622, fig.
Leipzig, 1881, &.
1881 (a). Du Pressis, G. Catalogue provisoire des Hydroïdes
médusipares (Hydroméduses vraies) observés durant l'hiver
1879-80 à la Station zoologique de Naples. In : Mitt. zool.
Stat. Neapel, Bd. 2, pp. 143-149. Leipzig, 1881, 8°. .
1881 (b). Du Pzessis, G. Observations sur la Cladocoryne floc-
coneuse (Cladocoryne floccosa Rotch). In : Mitt. zool. Stat.
Neapel, Bd. 2, pp. 176-196, pl. 9. Leipzig, 1881, &°.
1881 (a). Fewkes, J. W. Report on the Acalephæ. Ex : Reports
on the results of dredging, under the supervision of Alexander
AGassiz, in the Caribbean Sea, in 1878, 1879, and along the
Atlantic coast of the United States, during the summer ot
1880, by the U. S. Coast Survey Steamer BLake.….. In : Bull.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 5
Mus. comp. Zool. Harvard Coll., Vol. 8, pp. 127-140, 4 pls.
Cambridge, 1880-81, &°.
1881 (b). Fewxes, J. W. Studies of the Jelly-fishes of Narragan-
sett Bay. In : Bull. Mus. comp. Zool. Harvard Coll., Vol. 8
pp. 141-182, 10 pls. Cambridge, 1880-1881, 8
1881 (c). Fewxes, J. W. On the morphology of the corbula of
certain Plumularidæ. In: Amer. Natural., Vol. 15, pp. 901-902.
Philadelphia, 1881, &.
1881. KLEINENBERG, N. Ueber die Entstehung der Eier bei
Eudendrium. In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 35, pp. 326-332.
Leipzig, 1881, 8°.
* 1881. + Eee E. R. Hydrozoa. In : Encyclopædia britan-
nica, Ed. 9, Vol. 12, pp. 547-565, figg. Edinburgh, 1881, 4
1881. js G. and HERpMaAN, W.-A. The invertebrate fauna
of the Firth of Forth. 106 pp. Edinburgh, 1881, &.
1881. LeypiG, F. Ueber Verbreitung der Thiere im Rhôünge-
birge und Mainthal mit Hinblick auf Eifel und Rheïinthal. In :
Verh. naturhist. Ver. preuss. Rheinlande u. Westfalens,
Jahrg. 38 (4, Jahrg. 8), pp. 43-183. Bonn, 1881, &.
1881. Méresxkowsky (de), C. Sur la tétronérythrine dans le
règne animal et sur son rôle physiologique. In : C. R. Acad.
Sc., T. 93, pp. 1029-1032. Paris, 1881, 4°.
1881. Merscanikorr, E. Vergleichend-embryologische Studien.
In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 36, Heft 3 (1881), pp. 433-444,
pl. 28. Leipzig, 1882, 80.
1881. Preper. Antennularia cruciata, eine neue Hydroïde aus
der Adria. In: 9. Jahresb. westfäl. Provinzial-Ver., 1880,
pp. 40-43, pl. 2. Münster, 1881, 8°.
1881 (a). Ripzey, S. O. Cœlenterata. Ex : GÜüNTHER, À. Account
of the zoological collections made during the survey of
H. M. S. Azerr in the Straits of Magellan and on the coast
of Patagonia. In : Proc. zool. Soc. London, 1881, pp. 101-107,
pl. 6. London, 1881, &.
1881 (b). Ripzey, O. Polyzoa, Cœlenterata, and Sponges of Franz-
Joseph Land. In : Ann. Mag. nat. Hist., (5) Vol. 7, pp. 442-457,
pl. 21. London, 1881, 8°. KSATAT>
%
05
SC à
es LIBR/
E à J2
RY<
4 Mass. >
Ep ET
6 M. BEDOT
1881. Romaxes, G.J. Medusæ and Hydroid Polyps living in
fresh water. In : Quart. Journ. microsc. Sc., (n. S.) Vol. 21,
pp. 162-165. London, 1881, 8°.
1881. Scaminrzeix, R. Vergleichende Uebersicht über das Er-
scheinen grüsserer pelagischer Thiere und Bemerkungen
über Fortpflanzungsverhältnisse einiger Seethiere im Aqua-
rium. In : Mitt. zool. Stat. Neapel, Bd.2, pp. 162-175. Leipzig,
1881, 8°.
1881 (a). VARENNE (de), A. De l’origine de l’œuf chez les Hy-
draires. In: C.R. Acad. Sc., T.93, pp. 345-347. Paris, 1881, 4°.
1881 (b). VARENNE (de), A. Sur l’origine des spermatozoïdes
chez les Hydraires. In: GC. R. Acad. Sc., T. 93, pp. 1032-103#:
Paris 1881048
1881 (a). WEIsmaNN, À. Beobachtungen an Hydroid-Polypen.
In : Zool. Anz., Jahrg. 4, pp. 61-64, 111-114. Leipzig, 1881, 8°.
1881 (b). WErsmann, À. Ueber eigenthümliche Organe bei Eu-
dendrium racemosum Cav. In : Mitt. zool. Stat. Neapel, Bd. 3,
Heft 1 (1881), pp. 1-14, pl. 1. Leipzig, 1882, &.
1881 (c). Weismanx, À. Observations sur l’origine des cellules
sexuelles des Hydroïdes. In : Ann. Sc. nat. (Zool. 6), T. 11,
N96;37pp. "pl 7410. Pans 18818
1882. Baze, W. M. On the Hydroida of South-Eastern Australia,
with descriptions of supposed new species, and notes on the
genus Aglaophenia. In : Journ. microse. Soc. Victoria, Vol. 2,
N°1, pp. 15-48, pl. 12-15. Melbourne, 1882, 8. — Il a paru un
tirage à part antidaté en 1881.
1882. BLomrieLp, J. E. In : LANKESTER, E. R., 1882 (a), p. 238.
1882. Branpr, K. Ueber die morphologische und physiolo-
gische Bedeutung des Chlorophylls bei Thieren. In : Arch.
Anat. Physiol., (Physiol. Abt.), Jahrg. 1882, pp. 125-151, pl. 1.
Leipzig, 1882, 8°.
1882. Brooks. W. K. List of Mods found at Beaufort, N. C.,
during the summers of 1880 and 1881. In : Johns Hopkins
Univ. Studies from biol. Labor., Vol. 2, N° 2 (1882), pp. 135-
146. Baltimore, 1883, &. |
1882. CrarkE, S. T. New and interesting Hydroids from Chesa-
"
4
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
peake Bay. In : Mem. Boston Soc. nat. Hist., Vol. 3, N° 4
(1882), pp. 135-142, pl. 7-9. Boston, 1878-94.
1882. Craus, C. Die Entwickelung des Aequoriden-Eies. In :
Zool. Anz., Jahrg. 5, pp. 284-288, figg. Leipzig, 1882, 8°.
1882 (a). Cox, H. W. Development of Tubularia cristata. In :
Johns Hopkins Univ. Cireul., Vol.1, p.247. Baltimore, 1882, 4°.
1882 (b). Cox, H. W. Note from Chesapeake Zoological Labo-
ratory. Development of Tubularia cristata. In : Zool. Anz.,
Jahrg. 5, pp. 483-484. Leipzig, 1882, 8°.
1882 (a). Fewxes, J. W. Notes on Acalephs from the Tortugas,
with a description of new genera and species. Ex : Explora-
tions of the surface fauna of the Gulf Stream, under the aus-
pices of the U. S. Coast Survey, by Alexander Acassiz. In :
Bull. Mus. comp. Zool. Harvard Coll., Vol. 9, pp. 251-289,
7 pls. Cambridge, 1881-82, 8°.
1882 (b). FewKkes, J. W. On the Acalephæ of the East coast
of New-England. In : Bull. Mus. comp. Zool. Harvard Coll.,
Vol. 9, pp. 291-310, 1 pl. Cambridge, 1881-82, 8°.
1882. Hæcker, E. Report on the deep-sea Medusæ, dredged by
H. M. S. CHazzeNGer during the years 1873-1876. In : Rep.
scient. Results Voyage CHaLLENGER, (Zool.) Vol. 4, 154 pp.,
32 pls. London, 1882, 4°.
1882 (a). Hamanx, O. Der Organismus der Hydroidpolypen.
In : Jena. Zeitschr. Naturwiss., Bd. 15, pp. 473-544, pl. 20-25.
Jena, 1882, 8°.
1882 (b). Hamanx, O. Studien über Cœlenteraten. In : Jena.
Zeitschr. Naturwiss., Bd. 15, pp. 545-557, pl. 26-27. Jena,
1882, 8°.
1882 (c). Hamaxx, O. Zur Entstehung und Entwicklung der
grünen Zellen bei Hydra. In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 37,
pp. 457-464, pl. 26. Leipzig, 1882, 8°.
1882 (a). Jickeut, C. F. Vorläufige Mittheilung über das Ner-
vensystem der Hydroidpolypen. In : Zool. Anz., Jahrg. 5,
pp. 43-44. Leipzig, 1882, &. |
1882 (b). Jiekes, C. F. Über Hydra. In : Zool. Anz. Jahrg. 5,
pp. 491-493. Leipzig, 1882, 8.
8 M. BEDOT
1882. KrukENBERG, C. F. W. Nachtrag zu den Untersuchungen
über die Ernährungsvorgänge bei Cœlenteraten und Echino-
dermen. In : Unters. physiol. Inst. Univ. Heidelberg, Bd. 2,
pp. 366-377. Heidelberg, 1882, &.
1882 (a). Lankesrer, E. R. On the chlorophyll-corpuscles and
amyloid deposites of Spongilla and Hydra. In : Quart. Journ.
microsc. Sc. (n.S.) Vol.22, pl. 20, pp. 229-254. London, 1882, 8°.
1882 (b). LaxkesTer, E.R. The chlorophyll-corpuseles of Hydra.
In : Nature, Vol. 27, N° 682 (1882), pp. 87-88. London, 1883, 8°.
1882. Lez, H. Die wirbellosen Thiere der Travemunder Bucht.
Theil 2. In : 4. Ber. Commiss. z. wiss. Unters. deutschen
Meere in Kiel (1877-81), Jahrg. 7-11, Abt. 1, pp. 169-180.
Berlin, 1882, 4°.
1882. MarsHazz, W. Ueber einige Lebenserscheinungen der
Süsswasserpolypen und über eine neue Form von Hydra
viridis. In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd., 37, pp. 664-702, pl. 37.
Leipzig, 1882, 8°.
1882 (a). Méreskowsky (de), C. Sur les nématophores des Hy-
droïdes. In : Bull. Soc. zool. France, Vol. 7, pp. 280-281. Paris,
1882, &.
1882 (b). MÉREIKOwWSKkY (de), C. Structure et développement
des nématophores chez les Hydroïdes. In : Arch. Zool.
expér., T. 10, pp. 583-610, pl. 29 A-29 B. Paris, 1882, &.
1882. PrrzseurY, J. H. Development of the planula of Clava
leptostyla Ag. In: Amer. monthly microsc. Journ., Vol. 3,
pp. 181-182, 1 pl. New-York, 1882, 8.
1882. Srorx, V. Bidrag til Kundskab om Throndhjemsfjordens
Fauna. IV. In : K. norske Videnskabers Selskabs Skrifter,
1881, pp. 1-30. Throndhjem, 1882, 8°.
1882 (a). VaRENxE (de), A. Développement de l’œuf de la Podo-
coryne carnea. In : C. R. Acad. Sc. T. 94, pp. 892-894. Paris,
1882, 4°.
1882 (b). VaREeNxE (de), À. Recherches sur la reproduction des
Polypes Hydraires. In : Arch. Zool. expér., T. 10, pp. 611-710,
pl. 29-38. Paris, 1882, &. |
1883. Arzmax, G.J. Report on the Hydroida dredged by H.M.S.
LE fetes
nl el |
ai:
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 9
CHALLENGER during the years 1873-76. P. 1. Plumularidæ.
In : Rep. scient. Results Voyage CHaLLENGER, (Zool.) Vol. 7,
55 pp., 20 pls. London, 1883, 4°.
* 1883. Bourne. À. G. Recent researches upon the origin of
the sexual cells in Hydroids. In : Quart Journ. microsc. Sc.,
(n. S.) Vol. 23, pp. 617-622. London, 1883, 8°.
Résumé de travaux sur ce sujet.
1883 (a). Braxpr, K. Ueber die morphologische und physiolo-
gische Bedeutung des Chlorophylls bei Thieren, Il. In :
Mitt. zool. Stat. Neapel, Bd. 4, pp. 191-302, pl. 19-20. Leipzig,
1883, 8°.
1883 (b). Braxpr, K. Die Fortpflanzung der grünen Kôrper von
Hydra. Entgeonung an Herrn Brandt. In: Zool. Anz., Jahrg.6,
pp- 438-440. Leipzig, 1883, 8°.
1883 (a). Brooks, W. K. Notes on the Medusæ of Beaufort,
N.C. In : Johns Hopkins Univ. Stud. from the biol. Labor.,
Vol. 2, N° 4 (1883), pp. 465-475. Baltimore, 1883, 8°.
1883 (b). Brooks, W.K. On the origin of alternation of gene-
rations in Hydro-Medusæ. In: Johns Hopkins Univ. Circul.,
Vol. 2, N° 22, p. 73. Baltimore, 1883, 4. — Et dans : Ann.
Mag. nat. Hist., (5) Vol. 11, pp. 458-459. London, 1883, 8°.
1883. Craus, C. Untersuchungen über die Organisation und
Entwicklung der Medusen, 96 pp., 20 pls. Prag, 1883, 4.
1883. Core, E. D. On the fishes of the recent and pliocene lakes
of the western part of the Great Basin, and of the Idaho plio-
cene lake. In : Proc. Acad. nat. Sc. Philadelphia, 1883, pp. 134-
166 (1883). Philadelphia, 1884, 8°. — Résumé sous le titre :
New Hydroid Polyp. In : Journ. R. microsc. Soc., (2) Vol. 3,
p- 666. London, 1883, &°.
1883. FEewKxes, J. W. On a few Medusæ from the Bermudas.
Ex : Exploration of the surface fauna of the Gulf Stream,
under the auspices of the United States Coast Survey, by
Alexander AGassiz. In : Bull. Mus. comp. Zool. Harvard
Coll., Vol. 11, N° 3 (1883), pp. 79-90, 1 pl. Cambridge, 1883-
1885, 8°.
1883 (a). Grærre, E. Biologische Notizen über Seethiere der
10 M. BEDOT
Adria. Zur Fortpflanzung der Hvdroidpolypen. In: Boll. Soc.
adriatica Sc. nat. Trieste, Vol. 8, pp. 79-89, 2 pls. Trieste,
1883, 8°.
1883 (b). Grærre, E. Ueber Polycoryne Helleri eine neue Cory-
nidengattung. In : Boll. Soc. adriatica Sc. nat. Trreste, Vol. 8,
pp. 202-205, et Nachtrag p. 320, 1 pl. Trieste, 1883, &.
1883 (a). Haman, O. Beiträge zur Kenntnis der Medusen. In :
Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 38, pp. 419-429, pl. 23, Leipzig,
1883, 8°.
1883 (b). Hamanx, O. Die Fortpflanzung der grünen Kôrper
von Hydra. In: Zool. Anz., Jahrg. 6, pp. 367-370. Leipzig,
1883, 8°.
1883. Jenines, T. B. Curious process of division of Hydra. In:
Amer. monthly microsc. Journ., Vol. 4, p. 64, fig. Boston,
1883, 8°.
1883. Jickeur, C. F. Der Bau der Hydroidpolypen. In : Morphol.
Jahrb., Bd. 8, pp. 373-416, 580-680, pl. 16-18, 25-28. Leipzig,
1883, 8°.
1883. Juxc, H. Beobachtungen über die Entwicklung des Ten-
takelkranzes von Hydra. In : Morphol. Jahrb., Bd. 8, pp. 337-
350. Leipzig, 1883, 8°.
1883 (a). Kezrer, C. [Ueber Medusen des Rothen Meeres]. In :
Vierteljahrsschr. nat. Ges. Zürich, Jahrg. 28, pp. 85-86.
Zürich, 1883, 8°.
1883 (b). Kezzer, C. Untersuchungen über neue Medusen aus
dem Rothen Meere. In: Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 38, pp. 621-
670, pl. 35-37. Leipzig, 1883, &°.
1883. Kororxerr, A. Zur Kenntnis der Embryologie von Hydra.
In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 38, pp. 314-322, pl. 14. Leipzig,
1883, 8°.
1883 (a). LenpenreLp (von), R. Ueber eine eigenthümliche Art
der Sprossenbildung bei Campanulariden. In : Zool. Anz.,
Jahrg. 6, pp. 42-44. Leipzig, 1883, 8.
1883 (b). Lenpexrezn (von), R. Ueber das Nervensystem der
Hydroiïdpolypen. In : Zool. Anz., Jahrg. 6, pp. 69-71. Leipzig,
1883, 8°.
AT - £ (à. PR or
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 11
1883 (c). LenpenreLzp (von), R. Eine ephemere Eucopide. In :
Zool. Anz., Jahrg. 6, pp. 186-189. Leipzig, 1883, 8°.
1883 (d). LexpeNreLp (von), R. Ueber Cœlenteraten der Südsee,
HI. Ueber Wehrpolypen und Nesselzellen. In : Zeitschr. wiss.
Zool., Bd. 38, pp. 355-371, pl. 18. Leipzig, 1883, 8°.
1883 (e). LENDENFELD (von), R. Ueber Cœlenteraten der Südsee.
IV.Eucopella Campanularia nov. gen. In: Zeitschr.wiss.Zool.,
Bd. 38, pp. 497-583, pl. 27-32. Leipzig, 1883, &°.
1883 (a). Mariow, À. F. Esquisse d’une topographie zoologique
du Golfe de Marseille. In : Ann. Mus. Hist. nat. Marseille,
(Zool.) T. 1, N° 1, 108 pp. Marseille, 1883, 4°.
1883 (b). Marion, A. F. Considérations sur les faunes pro-
fondes de la Méditerranée d’après les dragages opérés au
large des côtes méridionales de France. In: Ann. Mus.
Hist. nat. Marseille, (Zool.) T. 1, N° 2, 50 pp. Marseille,
1883, 4°.
1883. Marrexs (von). [Briefe des Afrika-Reisenden Dr. R. Bühm.
Eine Qualle im Tanganjika-See... Bemerkungen über Süss-
wasser-CϾlenteraten]. In:Sitz.-Ber.Ges.naturforsch. Freunde
Berlin, Jahrg. 1883, pp. 197-200. Berlin, 1883, 8°.
1883 (a). MÉREIKOwSKY (de), C. Nouvelles recherches sur la
zoonérythrine et autres pigments animaux. In : Bull. Soc.
zool. France, Vol. 8, pp. 81-97. Paris, 1883, 8°.
1883 (b). MÉxeskowsxY (de), C. Histoire du développement de
la Méduse Obelia. In: Bull. Soc. zool. France, Vol. 8, pp. 98-
129, pl. 5-6. Paris, 1883, 8.
1883. QueLcu,J.J. On Thuiaria zelandica, Gray. In : Ann. Mag.
nat. Hist., (5) Vol. 11, pp. 247-249. London, 1883, &.
1883. WErsmanx, À. Die Entstehung der Sexualzellen bei den
Hydromedusen. Zugleich ein Beitrag zur Kenntnis des Baues
und der Lebenserscheinungen dieser Gruppe. xt +295 pp,
24 pls. Jena, 1883, 4°.
1883. ZeLrer, G. Algen und Zoophyten im nordlichen Meer
und Sibirien gesammelt von Graf Waldburg-Zeil. In : Jahres-
hefte Ver. f. vaterländ. Naturkde Württemberg. Jahrg. 39,
pp. 104-106. Stuttgart, 1883, 8°.
12 M. BEDOT
1884. Baze, W.M. Australian Museum. Catalogue of the Aus-
tralian Hydroid Zoophytes. Sydney, 1884, 8°.
1884. Braux, M. Physikalische und biologische Untersuchungen
im westlichen Theile des finnischen Meerbusens. In : Arch.
f. die Naturkde Liv.-, Ehst.-und Kurlands. (2. Biol. Naturkde),
Bd. 10, Lief. 1 (1884), pp. 1-130, 1 carte. Dorpat, 1894 (?), &°.
1884. Brooks, W. K. On the life history of Eutima, and on
radial and bilateral symmetry in Hydroids. In : Zool. Anz.
Jahrg. 7, pp. 709-711. Leipzig, 1884, 8°.
1884. Carus, J. V. Prodromus faunæ mediterraneæ.. Pars [.
Stuttgart, 1884, 8°.
1884. FEewxes, J. W. Notes on american Medusæ. In : Amer.
Natural., Vol. 18, pp. 195-198, figg. Philadelphia, 1884, 8°.
1884. Grærre, E. Uebersicht der Seethierfauna des Golfes von
Triest, nebst Notizen über Vorkommen, Lebensweise, Er-
scheinungs- und Fortpflanzungszeit der einzelnen Arten.
I1I Cœlenteraten. In:: Arb. zool. Inst. Univ. Wien, T. 5,
pp: 333-362. Wien, 1884, 8°.
1884. Grarr (von), L. Zur Kenntnis der physiologischen Func-
tion des Chlorophylls im Thierreich. In : Zool. Anz. Jahrg.
7, pp. 520-527. Leipzig, 1884, 8°.
1884. HaLzLEY, J.J. In : BALE, 1884 (p. 42).
1884. Harriaus, C. Beobachtungen über die Entstehung der
Sexualzellen bei Obelia. In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd. 41,
Heft 2 (1884), pp. 159-185, pl. 11-12. Leipzig, 1885, 8°.
1884. Kezzer, C. Mittheilungen über Medusen. In: Recueil
zool. suisse, T. 1, pp. 403-422, pl. 21. Genève, 1884, 8°.
1884. KircnenpauEr. Nordische Gattungen und Arten von Ser-
tulariden. In : Abh. a. d. Gebiete d. Naturwiss., herausg. v.
naturwiss. Ver. Hamburg, Bd. 8, Heft 3, pp. 93-144, pl. 11-16.
Hamburg, 1884, 4°.
1884. Kzaarscn, H. Beiträge zur genaueren Kenntnis der Cam-
panularien. In: Morphol. Jahrb. Bd. 9, pp. 534-596, pl. 25-27.
Leipzig, 1884, 80.
1884. KræPeuix, K. Zur Biologie und Fauna der Süsswasser-
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 13
bryozoën. In : Zool. Anz., Jahrg. 7, pp. 319-321. Leipzig,
1884, 8.
1884 (a). LexpenreLp (von), R. Das System der Hydromedusen.
In: Zool. Anz., Jahre. 7, pp. 425-429, 444-448. Leipzig, 1884, 8°.
1884 (b). LexpenreLp (von), R. Die australischen Plumulariden.
In : Zool. Anz., Jahrg. 7, pp. 548-550. Leipzig, 1884, &°.
1884. (ce). LennenreLD (von), R. Sarsia radiata nov. spec. und
der flexor ihrer SR CEA ENS lK:Zo0l An Jahre.7,
pp. 584-591. Leipzig, 1884, 8°.
1884. MerscuniKorr, E. Untersuchungen über die intracellu-
läre Verdauung bei wirbellosen Thieren. In: Arb. zool. Inst.
Univ. Wien, T. 5, pp. 141-168, pl. 13-14. Wien, 1884, 8°.
1884. Môgrus, K. Nachtrag zu dem im Jahre 1873 erschienenen
Verzeichniss der wirbellosen Thiere der Ostsee. In : 4. Be-
richt Commis. zur wiss. Unters. d. deutsch. Meere in Kiel
(1877-81), Jahrg. 7-11, pp. 61-70. Berlin, 1884, 4°.
1884. Preper, F. W. Ergänzungen zu « Heller’s Zoophyten, etc.
des adriatischen Meeres ». In : Zool. Anz., Jahrg. 7, pp. 148-
152, 164-169,185-188, 216-221. Leipzig, 1884, 8°.
1884. Pôppic, E. F. In : KIRCHENPAUER, 1884.
1884. RarnBux, R. and Tarr, R.S. List of duplicate marine
Invertebrates distributed by the United States National Mu-
seum. In : Proc. U.S. nation. Mus., Vol. 6 (1883), pp. 212-216.
Washington, 1884, 8°.
1884. Rees (van), J. Cœlentérés de l’Escaut de l'Est. Ex :
Rapport sur les recherches concernant l’'Huitre et l'ostréi-
culture. In : Tijdschr. neederlandsche Dierk. Ver., Vol. sup-
plém. 1, Livr. 2, pp. 571-591. Leiden, 1883-84, 8°.
1884. Sorras, W.J. On the origin of freshwater faunas : A study
in evolution. In : Scient. Trans. R. Dublin Soc., (2) Vol. 3,
N° 5 (1884), pp. 87-118. Dublin, 1883-87, 4°.
1884. Tnompsox, D’A. W. The Hydroid Zoophytes of the « Wil-
lem Barents » Expedition 1881. In : Bijdragen tot de Dier-
kunde uitgegeven door het Genootschap Natura Artis Magis-
tra te Amsterdam, Aflv. 10, 10 pp, 1 pl. Amsterdam, 188%, 4°.
1884. Tizesius, W.G. In : KIRCHENPAUER, 1884.
14 M. BEDOT
1885. AzLMAN, G. J. The Hydroida. Ex: Tizarp, T. H., MoseLey,
H.N., Bucxanan, J. Y., and Murray, J. Narrative ofthe Cruise
of H. M. S. CHazzexGEr. In : Rep. scient. Results Voyage
CHALLENGER, (Narrative) Vol. 1, P.2, pp. 751-753, figg. Lon-
don, 1885, 4°:
1885 (a). Fewxes, J. W. Preliminary list of Acalephae collected
by the « Albatross » in 1883 in the region of the Gulf Stream.
Ex : Results of the exploration made by the steamer « Alba-
tross » off the northern coast of the United States, in 1883.
In : U. S. Commission of Fish and Fisheries, P. XI. Rep. of
commissioner for 1883, pp. 595-601. Washington, 1885, &.
1885 (b). Fewxkes, J. W. List of the Medusae from near Point
Barrow, Artic Ocean. Ex : Murpocu, J., Marine Invertebrates.
In : Rep. intern. Polar Expedition to Point Barow, Alaska,
pp. 163-165. Washington, 1885, 4°.
1885. Gapeau DE KERvILLE, H. Aperçu sur la faune actuelle
de la Seine et de son embouchure (depuis Rouen jusqu’au
Havre). In : LENNiER, G. L’Estuaire de la Seine, Vol. 2,
pp. 168-197. Le Havre, 1885, 4° et Atlas.
1885. GiBsox, R. J. H. Observations on the nematocystes of
Hydra fusca. In: Proc. liter. philos. Soc. Liverpool, Vol. 39,
pp: 29-38, 1 pl. London, 1885, 8°.
1885. Iwersen. In : Wacxer, N. 1885, pp. 3-4. Résumé d’un
mémoire en russe ‘publié dans : Trav. Soc. Natural. S' Pé-
tersbourg, T. 1, Fasc. 1, p. 88. S' Pétersbourg, 1870, .
1885 (a). LenpenreLp (von), R. The Australian Hydromedusæ.
In: Proc. linnean Soc. New South Wales, Vol. 9 (1884), pp. 206-
241, 345-353, 401-420, 467-492, 581-634, pl. 6-8, 12-17, 20-29.
Sydney, 1885, 8.
1885 (b). Lenpenrezp (von), R. Addenda to the Australian
Hydromedusæ. In : Proc. linnean Soc. New South Wales,
Vol.9 (1884), pp. 908-924, 984-985, pl. 40-43. Sydney, 1885, 8.
1885 (c). Lennexrezn (von), R. Muscular tissues in Hydroid
= Polypes. In: Proc. linnean Soc. New South Wales, vol. 9
(1884), pp. 635-640, pl. 30. Sydney, 1885, &. |
1885 (d). Lexpenrezp (von), R. Ueber Cœlenteraten der Südsee.…
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 15
V. Die Hydromedusen desaustralischen Gebietes. In: Zeitschr.
wiss. Zool., Bd. 41, pp. 616-672. Leipzig, 1885, 8°.
1885. M‘Ixrosu. Notes from the S'. Andrews marine laboratory
(under the Fishery Board for Scotland). In : Ann. Mag. nat.
Hist., (5) Vol. 15, pp. 429-437, pl. 16. London, 1885, 8°.
V. p. 434.
1885. MarsHaLz, À. M. The morphology of the sexual organs
Of Hydra. In : Proc. Manchester liter. philos. Soc., Vol. 24,
pp. 32-36. Manchester, 1885, 8°.
1885. MarsHazz, W. Die Entdeckungsgeschichte der Süss-
wasser-Polypen. Antrittsvorlesung. 31 pp. Leipzig, 1885, 8°.
1885. Müzzer (von), F. A record of localities of some New South
Wales Zoophytes, as determined by D' Kirchenpauer. In :
Proc. linnean Soc. New South Wales, Vol. 9 (1884), pp. 534-
536. Sydney, 1885, 8°.
1885. Murpocx. Marine Invertebrates. In : Rep. intern. Polar
Expedition to Point Barrow, Alaska. P. 4. Natural History,
pp. 136-176, pl. 1-2. Washington, 1885, 4°.
1885. Nusssgaum, M. [Beobachtungen.] Ex. : Sitz.-Ber. nieder-
rhein. Ges. für Natur- u. Heilkde. Bonn. Naturwiss. Sect.,
pp: 382-390. In : Verh. naturhist. Ver. preuss. Rheinlande.
Jahrg. 42 (5. Jahrg. 2). Bonn, 1885, 8°.
1885. PENNINGTON, A.S. British Zoophytes : An introduction to
the Hydroida, Actinozoa and Polyzoa found in Great Britain,
Ireland, and the Channel Islands, 363 pp., 24 pls. London,
1885, 8.
1885. Porrs, E. On the minute fauna of Fairmount reservoir.
In : Proc. Acad. nat. Sc. Philadelphia, 1884, pp. 217-219.
Philadelphia, 1885, 8°.
1885 (a). Quezcu, J. J. On some deep-sea and shallow-water
Hydrozoa. In : Ann. Mag. nat. Hist., (5) Vol. 16, pp. 1-20,
pl. 1-2. London, 1885, 8°.
1885 (b). QueLca, J. J. Note on deep-sea and shallow-water
Hydrozoa. In : Ann. Mag. nat. Hist., (5) Vol. 16, p. 156.
London, 1885, 8°.
1885. Ripzey, S. O. and Quezcu, J. J. A list of the organisms
16 M. BEDOT
found adhering to three anchors dredged up from the Bay of
Menado, Celebes. In: ForBes, H. 0. A naturalist’s wandering
in the Eastern Archipelago, p. 496. London, 1885, &.
1885. Tnazczwirz, J. Ueber die Entwicklung der männlichen
Keimzellen bei den Hvdroiden. In : Jena. Zeitschr. Natur-
wiss., Bd. 18, pp. 385-444, pl. 12-14. Jena, 1885, 8.
1885 (a). VerRiLz, À. E. Results of the explorations made by
the steamer «Albatross », off the northern coast of the United
States, in 1883. In : U. S. Commis. Fish and Fisheries. P. 11.
Rep. of Commissioner for 1883, pp. 503-699, 44 pl. Washing-
ton. 1885184
1885 (b). Verrizz, À. E. Notice of recent additions to the ma-
rine Invertebrata of the northeastern coast of America, with
descriptions of new genera and species and critical remarks
on others. P.5. Annelida, Echinodermata, Hydroida, Tunicata.
In : Proc. U. S. nation. Mus., Vol. 8, N°° 27-28 (1885), pp. 424-
448. Washington, 1886, 8°.
1885. Wacxer, N. Die Wirbellosen des Weissen Meeres. Zoo-
logische Forschungen an der Küste des Solowetzkischen
Meerbusens in den Sommermonaten der Jahre 1877-1882,
Bd A LéipaS 885
1886. AzLmax, G. J. Description of Australian, Cape, and other
Hydroida, mostly new, from the collection of Miss H: Gatty.
In : Journ. linnean Soc., (Zool.) Vol. 19, pp. 132-161, pl. 7-26.
London, 1886, 8°.
1886. Bepor, M. Recherches sur les cellules urticantes. In :
Recueil zool. suisse, Vol. 4, N° 1 (1886), pp. 51-70, pl. 2-3.
Genève, 1888, 8°.
1886. BrEckENrELD, À. H. Hydra. À sketch of its structure,
habits and life history. In: Amer. monthly microsc. Journ.,
Vol. 7, pp. 221-227, figg. Washington, 1886, 8.
1886. Brooks, W. K. The life-history of the Hydromedusæ.
À discussion of the origin of the Medusæ, and of the signifi-
cance of metagenesis. In : Mem. Boston Soc. nat. Hist., Vol. 3,
N° 14 (1886), pp. 359-430, pl. 37-44, Boston, 1878-1894, 4°. —
Résumé par l’auteur sous le titre : The origin of metagenesis
ET:
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 17
among the Hydromedusæ. In : Johns Hopkins Univ. Cire.,
Vol. 5, N° 49, pp. 86-88. Baltimore, 1886, 4°. — Et in : Ann.
Mag. nat. Hist., (5) Vol. 18, pp. 22-30. London, 1886, 8.
1886. Crusg, J.-A. List of the Medusæ and Ctenophora of the
L. M. B.C. district. In : 1‘ Rep. upon the fauna of Liverpool
Bay and the neighbouring Seas, edit. by W. A. HERDMAN,
pp. 114-119. London, 1886, 8°.
1836. FewKkes, J. W. Report on the Medusæ collected by the
U. S. F. C. Steamer Albatross, in the region of the Gulf
Stream, in 1883-84. In : U. S. Comm. Fish and Fisheries.
P. 12. Report of Commissioner for 1884, pp. 927-980, 10 pls.
Washington, 1886, 8°.
1886 (a). Happox, A. C. Preliminary report on the fauna of
Dublin Bay. In : Proc. R. irish Acad., (2) Vol. 4 (Science). P.5
(1886), pp. 523-531. Dublin, 1884-88, 8°.
* 1886 (b). Happox, A. C. Recent contributions to the marine
invertebrate fauna of Ireland. In : The Zoologist, (3) Vol. 10,
pp. 1-8. London, 1886, &°.
Compte rendu de travaux divers.
1886. HartiauB, C. Ueber den Bau der Eleutheria Quatref. In:
Zool. Anz., Jahrg. 9, pp. 706-711, fig. Leipzig, 1886, &°.
1886 (a). Herpmax, W. A. Introduction. In : 1‘ Rep. upon the
fauna of Liverpool Bay and the neighbouring Seas, edit. by
W. A. HEerDMAN, pp. 1-15. London, 1886, &.
1886 (b). HErpMaAN, W. À. Notes on the marine Invertebrate
fauna of the Southern End of the Isle of Man. In : 1‘! Rep.
upon the fauna of Liverpool Bay and the neighbouring Seas,
edit. by W. A. HERDMAN. pp. 218-341. London, 1886, 8°.
1886. Kzaarscn, H. Ueber Stielneubildung bei Tubularia mesem-
bryanthemum Allm. In: Arch. mikrosk. Anat., Bd. 27, pp. 632-
650, pl. 33. Bonn, 1886, 8°.
1886. KLEINENBERG, N. Die Entstehung des Annelids aus der
Larve von Lopadorhynchus. In : Zeitschr. wiss. Zool., Bd.44,
pp- 1-227, pl. 1-16. Leipzig, 1886, &°.
p- 207. Hydra et Eudendrium.
1886. KRrAEPELIN, K. Die Fauna der His ger Wasserleitung.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 2
18 M. BEDOT
In : Abh. a. d. Gebiete d. Naturwiss. herausg. v. naturwiss.
Verein Hamburg, Vol. 9, Heft 1, 15 pp. Hamburg, 1886, 4°.
1886. KükEeNTHAL, W. u. WEISSENBORN, B. Ergebnisse eines
zoologischen Ausfluges an die Westküste Norwegens (Al-
værstr#mmen bei Bergen). In : Jena. Zeitschr. Naturwiss.,
Bd. 19, pp. 776-789. Jena, 1886, &.
1886. LaxG, À. Gastroblasta Raffaelei. Eine durch eine Art un-
vollständiger Theilung entstehende Medusen-Kolonie. In :
Jena. Zeitschr. Naturwiss., Bd.19, pp. 735-763, pl. 20-21. Jena,
1886, 8°.
1886 (a). LEeNDENFELD (von), R. Addendum to the Australian Hy-
dromedusæ, II-IV. In : Proc. linnean Soc. New South Wales,
Vol. 10 (1885), pp. 477-480, 679-681, pl. 48. Sydney, 1886, 8°.
1886 (b). LenpeNrELD (von), R. Die Süsswasser-Cœlenteraten
Australiens. In : Zool. Jahrb., Bd. 2, Heft1{1886), pp. 87-108,
pl. 6. Jena, 1887, 8°.
1886. Lorewz (von), L. Polypomedusen von Jan Mayen gesam-
melt von D'F. Fischer. In : Intern. Polarforschung 1882-83.
Die üsterreichische Polarstation Jan Mayen, Bd. 3, pp. 25-28,
pl. 2. Wien, 1886, 4°.
1886. MEezzy, W. R., Hicxs, J. S. and HERDMAN, W. A. Report
on the Hydroida of the L. M. B. C. district. In : 1‘ Rep. upon
the fauna of Liverpool Bay and the neighbouring Seas, edit.
by W. A. HerDmax, pp. 95-113. London, 1886, 8°.
1886 (a). Merscanikorr E. Medusologische Mittheilungen. In:
Arb. zool. Inst. Univ. Wien, T. 6, pp. 237-266, pl. 22-23.
Wien, 1886, &.
1886 (b). MerscaniKorr, E. Embryologische Studien an Medu-
sen. Ein Beitrag zur Genealogie der Primitiv-Organe, 59 pp.,
12 pls. Wien, 1886, 8°.
1886. [Nicnozs, A. R. and Happox]. Hydrozoa. Ex : [Hanponw].
1S'Rep. on the marine fauna of the South-West of Ireland.
In : Proc. R. irish Acad.,.(2):Vol. 4 (Science}.P: 5; p. 615;
Dublin, 1884-88, 8°.
1886. Nusspaum, M. Ueber die Umstülpung der Polypen. In :
Tagebl. 59. Vers. deutsch. Naturf. u. Aerzte, Berlin, pp. 132-
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 19
133. Berlin, 1886, 4°. — Et in : Biol. Centralbl., Bd. 6, N° 18
(1886), pp. 570-572. Erlangen, 1887, 8°.
1886. SruxBERG, À. Faunan pà och Kring Novaja Semlja. In :
Vega-Expeditionens Vetenskapliga Arbeten, Bd. 5, 239 pp.,
1 carte. Stockholm, 1886, &..
1886. Taompsox, J. C. First report on the marine fauna in the
neighbourhood of Penmaenmawr. In : ‘Rep. upon the fauna
of Liverpool Bay and the neighbouring Seas, edit. by W. A.
HERDMAN, pp. 315-317. London, 1886, 8°.
1887. Baze, W.M. The genera of the Plumularidæ, with ob-
servalions on various Australian Hydroids. In : Trans. Pro-
ceed. R. Soc. Victoria, Vol. 23, pp. 73-110. Melbourne,
1887, 8.
1887. BerGu, R.S. Goplepolyper (Hydroider) fra Kara-Havet.
Ex : Dijmphna-Togtet zoologisk-botaniske Udbytte, pp. 329-
338, pl. 28. Kjübenhavn, 1887, 8°.
1887. Berexcourr, À. Les Hydroida du Pas-de-Calais. In : Bull.
scient. Nord de la France et Belgique, Vol. 18, pp. 66-67.
Paris, 1887, 8°.
Liste d'espèces sans descriptions.
1887. Fewxes, J. W. À Hydroid parasitic on a Fish. In : Nature,
Vol. 36, pp. 604-605. London, 1887, 8°.
1887. Harriaug, C. Zur Kenntnis der Cladonemiden. Zweite
vorläufige Mittheilung. In : Zool. Anz., Jahrg. 10, pp. 651-
658, fig. Leipzig, 1887, 8°.
1887. Hixcxs, T. On the Polyzoa and Hydroida of the Mergui
Archipelago collected for the Trustees of the Indian Museum,
Calcutta, by D' J. Anderson, F.R.S., Superintendent of the
Museum. In : Journ. linnean Soc., (Zool.) Vol. 21, N° 129
(1887), pp. 121-135, pl. 12. London, 1889, 8°.
1887. Jsaikawa, C. Ueber die Abstammung der männlichen
Geschlechtszellen bei Eudendrium racemosum Cav. In :
Leitschr. wiss. Zool., Bd.45, pp.669-671, figg. Leipzig, 1887,8°.
1887. Kororxerr, A. Zwei neue Cœlenteraten. In : Zeitschr.
wiss. Zool., Bd. 45, pp. 468-490, pl. 23. Leipzig, 1887, &.
1887. KræpeLi, K. Die deutschen Süsswasser-Bryozoen. I. Ana-
20 M. BEDOT
tomisch-systematischer Teil. Ex : Festschr. zur Feier des
fünfzigjährigen Bestehens d. naturw. Vereins Hamburg. In :
Abh. a. d. Gebiete d. Naturwiss. herausg. v. naturw. Verein
Hamburg, Bd. 10, 168 pp., 7 pls. Hamburg, 1887, 4°.
p. 91, Cordylophora.
1887 (a). LenpenreLD (von), R. Notes on Australian Cœlente-
rates. In : Rep. 56" Meet. British Ass. Adv. Sc. (Birming-
ham 1886), pp. 709-710. London, 1887, 8°.
1887 (b). Lenpenrezr (von), R. Die Nesselzellen. In : Biol.
Centralbl., Bd. 7, N°8 (1887), pp. 225-232. Erlangen, 1888, 8°.
1887 (c). Lenxpenrezp (von), R. Descriptive catalogue of the
Medusæ of the Australian: Seas, P. 2. Hydromedusae. 49 pp.
Sydney, 1887, 8°.
1887 (a). M‘Ixrosu. Note on a peculiar Medusa from S'. Andrew’s
Bay. In: Rep. 56" Meet. British Ass. Adv. Sc. (Birmingham
1886), pp. 710-711. London, 1887, 8°.
1887 (b). M‘Ixrosu. Notes from the S'. Andrews marine labora-
tory (under the Fishery Board for Scotland), N° 7. In: Ann.
Mag. nat. Hist., (5) Vol. 20, pp. 97-104. London, 1887, 8°.
1887. Mayer, P. Ueber « Stielneubildung » bei Tubularia. In :
Zool. Anz., Jahrg. 10, p. 365. Leipzig, 1887, &.
1887. Mrrsikurr, K. Turning Hydra inside out : a correction.
In : Amer. Natural., Vol. 21, p. 773. Philadelphia, 1887, &.
1887 (a). NussBauM, M. Regenerationsvermügen abgeschnit-
tener Polypenarme. Ex : Sitz.-Ber. niederrhein. Ges. für
Natur-u. Heilkde Bonn. Naturwiss. Sect., pp. 10-11. In : Verh.
naturhist. Ver. preuss. Rheinlande, Jahrg. 44 (5, Jahr. 4).
Bonn, 1887, &°.
1887 (b). Nusspaum. Ueber den Verdauungsprocess der Hy-
dren. Ex : Sitz.-Ber. niederrhein. Ges. für Natur- u. Heilkde
Bonn. Naturwiss. Sect., p. 28. In : Verh. naturhist. Ver.
preuss. Rheinlande, Jahrg. 44 (5, Jahrg. 4). Bonn, 1887, 8°.
1887 (c). Nusspaum. M. Ueber die Theïilbarkeit der lebendigen
Materie. Il. Beiträge zur Naturgeschichte des Genus Hydra.
In : Arch. mikrosk. Anat., Bd. 29, pp. 265-366, pl.’13-20.
Bonn, 1887, 8.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. pu |
* 1887. PERGENS, E. Contributions à l’histoire des Bryozoaires et
des Hydrozoaires récents. In : Ann. Soc. malacol. Belgique,
T. 22, Bull. des Séances, pp. Lxxxv-xc. Bruxelles, 1887, 8°.
Explication de planches inédites sur les Polypiers flexibles, d'après un
manuserit de Desmaresr et LEsuruR.
1887. Tnompsox, D’A. W. The Hydroida of the Vega Expedition.
In : Vega Expedionens Vetenskapliga Arbeten, Bd. 4, pp. 387-
400, pl. 14-21. Stockholm, 1887, 8°.
(1887. Ticnomirorr, À. A. Contribution à l’étude du développe-
ment des Hydroïdes. In : Bull. Soc. Amis Sc. nat. Moscou,
T. 50, Fasc. 2, Suppl. 1, 69 pp., 2 pls. Moscou, 1887 (?), 4°).
[En russe].
1887. ...Turning Hydra inside out. In : Amer. Natural., Vol. 21,
pp. 387-388. Philadelphia, 1887, 8°.
1888. Acassiz, À. Characteristic Deep-Sea types. Acalephs. Ex :
Three Cruises ofthe United States Coast and Geodetic Survey
Steamer BLake, Vol. 2, XX. In : Bull. Mus. comp. Zool. Har-
vard Coll., Vol. 15, pp. 128-141, fige. Cambridge, 1888, &°.
1888. ALLMax, G. J. Report on the Hydroida dredged by H.M.S.
Challenger during the years 1873-76. P. 2. The Tubularinæ,
Corymorphinæ, Campanularinæ, Sertularinæ and Thalamo-
phora. In : Rep. scient. Results Voyage CHALLENGER, (Zool.)
Vol. 23, zxix + 90 pp., 39 pls., 1 carte. London, 1888, 4°.
1888. Baze, W. M. On some new and rare Hydroiïida in the
Australian Museum collection. In : Proc. linnean Soc. New
South Wales, (2) Vol. 3, P. 2 (1888), pp. 745-799, pl. 12-21.
Sydney, 1889, 8.
1888. Bérexcourr, A. Les Hydraires du Pas-de-Calais. In : Bull.
scient. France et Belgique, Vol. 19 (3, Vol. 1), pp. 201-214.
Paris, 1888, &.
1888 (a). Brooks, W.K. On a new method of multiplication in
Hydroids. In : Johns Hopkins Univ. Circul., Vol. 7, N° 63,
p- 29-30. Baltimore, 1888, 4°.
1888 (b). Brooks. W.K. The life history of Epenthesis McCradyi
(n. sp.). In : Johns Hopkins Univ. Stud. biol. Lab.,Vol. 4, N° 4
(1888), pp. 147-162, pl. 13-15. Baltimore, 1887-1890, 8°.
22 M. BEDOT
1888. Caux, C. Die pelagische Thierwelt in grüsseren Meeres-
tiefen und ihre Beziehungen zu der Oberflächenfauna. In :
Bibl. zoologica, Heft 1, pp. 1-66, pl. 1-5. Cassel, 1888, 4°.
1888. CLarke, S. F. Hydrozoa. In : KinGszey, J. S. The river-
side natural history, Vol. 1, Lower Invertebrates, pp. 73-89,
fig. 63-83, 3 pl. London, 1888, 8°.
1888. Du PLessis, G. Faune des Hydraires littoraux gymnoblastes
à Villefranche-sur-Mer. In: Recueil zool. suisse, Vol. 4, Fasc. 4
(1888), pp. 525-544. Genève, 1888, 8°.
1888 (a). Fewxes, J. W. On certain Medusæ from New England.
Ex: Studies from the Newport marine zool. Lab. In: Bull.
Mus. comp. Zool. Harvard Coll, Vol. 13, pp. 209-240, 6 pls.
Cambridge, 1886-88, 8°.
1888 (b). Fewkes, J. W. À new mode of life among Medusæ.
In : Proc. Boston Soc. nat. Hist., Vol. 23, pp. 389-395. Boston,
1888, 8°. — Et in : Ann. Mag. nat. Hist., (6) Vol. 1, pp. 362-
368. London, 1888, &°.
1888. Grarp, A. Sur une Anthoméduse de la Manche, Rathkea
octopunctata. Ex : Fragments biologiques. In: Bull. scient.
France et Belgique, Vol. 19-(3, Vol. 1), pp. 317-319, pl 21?
Paris, 1888, &.
1888. Girop, P. Recherches sur la chlorophylle des animaux.
La matière colorante de l’'Hydre verte. In : Trav. Labor. zool.
du D' P. Girod, Vol. 1, 18 pp. Paris, 1888, 8°.
1888. GREeENwWooOD, M. On digestion in Hydra ; with some obser-
vations on the structure of the endoderm. In : Journ. Physiol.,
Vol. 9, pp. 317-344, pl. 6-7. Cambridge, 1888, 8°.
1888. Isnikawa, C. Ueber die Herkunft der weiblichen Ge-
schlechtszellen bei Podocoryne carnea Sars. In : Zeitschr.
wiss. Zool., Bd. 47, pp. 621-625, figg. Leipzig, 1888, 8°.
1888. Kororxerr (de), A. Contribution à l'étude des Hydraires.
In : Arch. Zool. expér., (2) T. 6, pp. 21-31, pl. 1-2. Panis,
1888, &°.
* 1888. Lane, A. Ueber den Einfluss der festsitzenden Lebens-
weise auf die Thiere und über den Ursprung der unge-
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 23
schlechtlichen Fortpflanzung durch Theilung und Knospung,
166 pp. Jena, 1888, 8°.
1888. Leipy. Remarks on Hydra. In : Proc. Acad. nat. Sc. Phi-
ladelphia, 1887, pp. 311-313. Philadelphia, 1888, &°.
1888. LEeNnDENFELD» (von), R. Der Charakter der australischen
Cœlenteratenfauna. In : Biol. Centralbl., Bd. 7, pp. 641-646.
Erlangen, 1888, 8°.
1888. Lo Braxco, S. Notizie biologiche riguardanti special-
mente 1l periodo di maturita sessuale degli animali del golfo
di Napoli. In : Mitt. zool. Stat. Neapel, Bd. 8, pp. 385-440.
Berlin, 1888, 8°.
1888. SruHLMANN, F. Vorläufiger Bericht über eine mit Unter-
stützung der Kôniglichen Akademie der Wissenschaften
unternommene Reise nach Ost-Afrika, zur Untersuchung der
Süsswasserfauna. In : Sitz.-Ber. preuss. Akad. Wiss. Berlin,
Jahrg. 1888, pp. 1255-1269. Berlin, 1888, &°.
(p. 1261).
1888. ZacHarras, O. Zur Kenntnis der Fauna des süssen- und
salzigen Sees bei Halle a. S. In: Zeitschr. wiss. Zool., Bd.46,
pp. 217-232. Leipzig, 1888, &.
1889. Braux, M. Faunistische Untersuchungen in der Bucht
von Wismar. In : Arch. Ver. Freunde Naturg. Mecklenburg,
Jahrg. 42 (1888), pp. 57-84. Güstrow, 1889, 8°.
1889. Caux, C. Bericht über eine nach den Canarischen Inse'n
im Winter 1887-88 ausgeführte Reise. I[. Beobachtungen
über die pelagische Tiefen- und Oberflächenfauna des üstli-
chen Atlantischen Oceans. In: Sitz.-Ber. preuss. Akad.
Wiss. Berlin, Jahrg. 1889, pp. 519-553, pl. 3. Berlin, 1889, &.
1889. DazLa Torre (von), K. W. Die Fauna von Helgoland. In :
ZooL. Jahrb., (Abt. System.) Bd. 4, Supplementheft 2, 99 pp.
Jena, 1889, 8.
1889. Driesca, H. Tektonische Studien an Hydroidpolypen.
In : Jena. Zeitschr. Naturwiss., Bd. 24, Heft 1 (1889), pp. 189-
226, figg. Jena, 1890, &°.
1889 (a). Fewkes, J. W. Report on the Medusæ collected by
the U. S. Fish Commission Steamer Albatross in the re-
24 M. BEDOT
gion of the Gulf Stream, in 1885-86. In : U.S. Comm. Fish
and Fisheries, P. 14, Rep. of Commissioner for 1886,
pp. 513-536, 1 pl. Washington, 1889, &°.
1889 (b). Fewkes, J. W. New Invertebrata from the coast of
California. In : Bull. Essex Inst., Vol. 21, pp. 99-146, 7 pls.
Salem, 1889, &.
1889 (c). FEWKESs, J. W. On a few californian Medusæ. In :
Amer. Natural., Vol. 23, pp. 591-602, pl. 22-28. Philadelphia,
1889, 8°.
1889. GRaBER, V. Ueber die Empfindlichkeit einiger Meertiere
sgegen Riechstoffe. In : Biol. Centralbl., Bd. 8, pp. 743-754.
Erlangen, 1889, &.
1889. HæckEeL, E. Symbiotic Hydrozoa living in the deep-sea
Keratosa. Ex : Report on the deep-sea Keratosa collected
by H. M. S. CHazreNGer during the years 1873-76, pp. 75-81.
In : Rep. scient. Results Voyage CHaLLENGER, (Zool.) Vol. 32,
92 pp., 8 pls. London, 1883, 4°.
1889. HazLez, P. Draguages effectués dans le Pas-de-Calais
pendant les mois d'août et septembre 1888 et 1889. In : Rev.
biolog. Nord de la France, 1889, pp. 32-40. Lille, 1890, &°.
1889. Harrzaus, C. Ueber die Claparède’sche « Eleutheria ».
In : Zool. Anz., Jahrg. 12, pp. 665-671. Leipzig, 1889, &.
1889. Hoyze, W.E. On the deep-water fauna of the Clyde Sea-
area. In: Journ. linnean Soc.. (Zool.) Vol. 20, N° 123 (1889),
pp. 442-472, pl. 29. London, 1890, 8°.
1889. Kirkparrick, R. Polyzoa, Hydrozoa, Sponges, and Radio-
laria. Ex: Report of a Deep-Sea Trawling Cruise of the S.W.
Coast of Ireland, under the direction of Rev. W. Spotswood
GREEN. In: Ann. Mag. nat. Hist., (6) Vol. 4, pp.446-447. London,
1889. 8°.
*1889. Lenxpexrezp (von), R. Neuere Untersuchungen über Poly-
pomedusen. In : Biol. Centralbl., Bd. 9, N° 2 (1889), pp. 47-54.
Erlangen, 1890, 8°.
Résumé de travaux sur les Hydroïdes.
1889. Lomax, J.C.C. Ueber Hydroïd-Polypen mit zusammen-
gesetztem Cœnosarcrohr nach Untersuchungen an Amalthaea
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 25
vardüensis n. sp. In: Tijdsch. nederlandsche dierkundige
Vereeniging, (2) Deel 2, pp. 263-282, pl. 13. Leiden, 1889, &.
1889. M'Ixrosa, W. C. On the pelagic fauna of the Bay of
S'. Andrews during the months of 1888. In : 7" ann. Rep.
Fishery Board Scotland, 1888, P. 3, Scient. Investig., pp. 259-
310, pl. 3-6. Edinburgh, 1889, 8°.
1889 (a). MacMunx, C. A. Contributions to animal chromato-
logy. In : Quart. Journ. microsc. Sc., (n. S.) Vol. 30, N° 118
(1889). pp. 51-97, pl. 6. London, 1890, &°.
1889 (b). Mac Muxx, C. A. Notes on some animal colouring
matters examined at the Plymouth marine biological Labo-
ratory. In : Journ. marine biol. Ass. U. Kingdom, (n. S.)
Vol. 1, N° 1 (1889), pp. 55-62. Plymouth, 1889-90, &°.
1889. Prerrer, G. Zur Fauna von Süd-Georgien. In : Jahrb.
hamburgisch. wiss. Anst., Jahrg. 6, 2 Hälfte, pp. 37-55.
Hamburg, 1889, 8°.
1889. SecEersTEDT, M. Bidrag till Kännedomen om Hydroid-
Faunan vid Sveriges Vestkust. In : Bihang till K. svenska
Vet. Akad. Handl., Bd. 14, Afd. 4, N° 4, 28 pp., 1 pl. Stock-
holm, 1889, &.
1889. Wacxer, J. Zur Organisation des Monobrachium parasi-
ticum Merej. In: Zool. Anz., Jahrg. 12, pp. 116-118. Leipzig,
1889, 8°.
1890. AmBroxx, H. Cellulose-Reaction bei Arthropoden und
Mollusken. In: Mitt. zool. Stat. Neapel, Bd. 9, Heft 3 (1890),
pp- 475-478. Berlin, 1889-91, 8°.
1890 (a). Bourxe, G. C. Report of a trawling cruise in H.M.S.
ResEearcx off the South-west Coast of Ireland. In : Journ.
marine biol. Ass. U. Kingdom, (n. S.) Vol. 1, N° 3 (1890),
pp: 306-323. Plymouth, 1889-90, &.
1890 (b). Bourxe, G. C. Notes on the Hydroids of Plymouth.
In : Journ. marine biol. Ass. U. Kingdom, (n. S.) Vol. 1, N°4,
pp. 391-398, pl. 26. Plymouth, 1889-90, 8°.
1890. Boverr, T. Zellen-Studien über das Verhalten der chro-
matischen Kernsubstanz bei der Bildung der Richtungs-
26 M. BEDOT
kürper und bei der Befruchtung. In: Jena. Zeitschr. Natur-
wiss., Bd. 24, pp. 314-401, pl. 11-13. Jena, 1890, 8°.
pp: 339-342, Tiara.
1890. Brauer, A. Zur Entwicklungsgeschichte der Hydra. In :
Zool. Anz., Jahrg. 13, pp. 457. Leipzig, 1890, 8°.
1890. Crarin, J. Sur les cellules initiales de l’ovaire chez les
Hydres d’eau douce. In : C. R. Acad. Sc., T. 110, pp. 414-416.
Paris, 1890, 4°.
1890 (a). Driescu, H. Die Tektonik von Plumularia catharina
Johnston. In : Zool. Anz., Jahrg. 13, pp. 660-662. Leipzig,
1890, &.
1890 (b). Driescx, H. Tektonische Studien an Hydroidpolypen.
IT. Plumularia und Aglaophenia. Die Tubulariden. Nebst
allgemeinen Erürterungen über die Natur tierischer Stôcke.
In : Jena. Zeitschr. Naturwiss., Bd.24, pp. 657-688, figg. Jena,
1890, &°.
1890 (c). Driesca, H. Heliotropismus bei Hydroidpolypen. In :
Zool. Jahrb., (Abt. System.) Bd. 5, Heft 1 (1890), pp. 147-156,
fios. Jena, 1891, &. |
1890. Fewxes,W. A Zoôlogical reconnaissance in Grand Manan.
. In: Amer. Natural., Vol. 24, pp. 423-438, fige. Philadelphia,
1890, 8°.
1890. GReENwoop, M. On the action of nicotin upon certain
Invertebrates. In : Journ. Physiol., Vol. 11, pp. 573-605.
Cambridge, 1890, 8°.
1890. Hazzez, P. Le Laboratoire maritime de Zoologie du
Portel. In : Rev. biol. Nord de la France, 1890, pp. 90-96.
Lille, 1891, &.
1890. Harcrrr, C. W. Preliminary report on reproductive ele-
ments of Eudendrium. In : Proc. amer. Assoc. Adv. Sc.,
38 Meet. (Toronto, 1889), pp. 276-277. Salem, 1890, 8°.
1890. Iscixawa, C. Trembley’s Umkehrungsversuche an Hydra
nach neuen Versuchen erklärt. In: Zeitschr. wiss. Zool.,
Bd. 49, pp. 433-460, pl. 18-20. Leipzig, 1890, 8°.
1890 (a). Kirkparricx, K. Reports on the zoological collections
made in Torres Straits by professor A.C. Haddon, 1888-1889.
nié bts etisstn db de, de, +
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 27
Hydroida and Polyzoa. In: Scient. Proc. R. Dublin Soc.,(n.S.)
Vol. 6, pp. 603-626, pl. 14-17. Dublin, 1888-1890. 8°.
1890 (b). Kirkparrick, R. Report upon the Hydrozoa and Poly-
zoa collected by P. W. Basset-Smith... during the Survey of
the Tizard and Macclesfield Banks, in the China Sea, by
H. M. S. RamBLer, commander W. U. Moore. In : Ann. Mag.
nat. Hist., (6) Vol. 5, pp. 11-24, pl. 3-5. London, 1890, &.
*1890. LenpenrELp (von), R. Neuere Arbeiten über Polypen und
Medusen. In: Biol. Centralbl., Bd.10, N°°17-18 (1890), pp. 542-
558. Erlangen, 1891, 8°.
Résumé de travaux sur les Hydroïdes.
1890. LoBraxco, S. u. Mayer, P. Spongicola und Nausithoë.
In : Zool. Anz. Jahrg. 13, pp. 687-688. Leipzig. 1890, &.
1890 (a). M‘Ixrosx. Notes from the S'-Andrews marine labo-
ratory (under the Fishery Board of Scotland), X. In : Ann.
Mag. nat. Hist., (6) Vol. 5, pp. 40-48, pl. 8. London, 1890, &.
1890 (b). M‘Ixrosa. Notes from the S'-Andrews marine labo-
ratory (under the Fishery Board of Scotland), XI. In : Ann.
Mag. nat. Hist., (6) Vol. 5, pp. 296-306, figg. London, 1890, &.
1890. MARKTANNER-TURNERETSCHER, G. Die Hydroiden des k. k.
naturhistorischen Hofmuseums. In: Ann. naturhist. Hofmus.
Bd. 5, pp. 195-286, pl. 3-7. Wien, 1890, 8°.
1890. NussBaum, M. Die Umstülpung der Polypen. Erklärung
und Bedeutung dieses Versuchs. In: Arch. mikrosk. Anat.
Bd. 35, pp. 111-120. Bonn, 1890, 8°.
1890. Prerrer, G. Die niedere Thierwelt des antarktischen
Ufergebietes. Ex : Die intern. Polarforschung 1882-1883.
Die deutschen Expeditionen und ihre Ergebnisse herausg.
von G. NEUMAYER, Bd. 2, pp. 455-572. Hamburg, 1890, &.
1890 (a). Scnimkewirscn, W. Sur la génération alternante des
Hydroméduses. In: Rev. Sc. nat. Soc. Natural. S'-Pétersbourg,
An.1,p.55. S'-Pétersbourg, 1890, 8°. — Résumé d’un mémoire
en russe publié dans le même volume.
1890 (b). Scnimkewirsc, W. Sur la segmentation et la forma-
tion de l’endoderme des Hydroméduses. In : Rev. Sc. nat.
Soc. Natural. S'-Pétersbourg, An. 1, p. 148. S'-Pétersbourg,
28 M. BEDOT
1890, &. — Résumé d'un mémoire en russe publié dans le
même volume. |
1890 (c). Scnimkewirscx, W. Sur le développement de l'embryon
des Hydroméduses. In: Rev. Sc. nat. Soc. Natural. S'-Péters-
bourg, Année 1, p. 256. S'-Pétersbourg, 1890, 8°. — Résumé
d’un mémoire en russe publié dans le même volume.
1890. Scnxeiper, K. C. Histologie von Hydra fusca mit beson-
derer Berücksichtigung des Nervensystems der Hydropo-
lypen. In : Arch. mikrosk. Anat., Bd. 35, pp. 321-379, pl. 17-
19. Bonn, 1890, 8°.
1890. TicHomiRoFF, À. In : WAGxER, J. 1890.
1890. Wacxer, J. Recherches sur l’organisation de Monobra-
chium parasiticum Méréjk. In : Arch. Biol., T. 10, pp. 273-
309, pl. 8-9. Gand, 1890, &.
1890. Weismanx, À. Bemerkungen zu Ischikawa’s Umkehrungs-
Versuchen an Hydra. In: Arch. mikrosk. Anat., Bd. 36, pp. 627-
638, figg. Bonn, 1890, 9°.
|
1
:
7 2
-
Sertularia abietina
Abielinaria abietina
)
Sertularia abietina
ÉTAT DES GENRES ET DES ESPÈCES
HYDROÏDES
Gen. Abietinaria Kirchenpauer 1884.
Abietinaria abietina (Linné).
Syn.: Sertularia abietina Linné.
Voir : Matériaux I, p. 463 ; II, p. 109; IL, p. 365 et IV, p. 360.
D)
LEUCKART 1847 (c) p. 87.
BYERLEY 185% p. 104.
DANIELSSEN 1861 p. 46.
LEsLie a. HERDMAN 1881 p. 16.
STORM 1882 p. 18, 21.
ZELLER 1883 p. 106.
CARUS 1884 p. 14.
KIRCHENPAUER 188% p. 17.
KIRCHENPAUER 1884 p. 29, 33,
GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178.
INWERSEN 1885 p. 4.
M'IxrosH 1885 p. 434, pl
PENNINGTON 1885 p. 115, pl
HERDMAN 1886 (a) p. 10.
HERDMAN
KÜKENTHAL U.
WEISSENBORN 1886 p. 778.
35-37.
46, fe.:5:
8, fig. 2.
1886 (b) p. 330.
30 M. BEDOT
Sertularia abietina MeLcy, Hicks a.
HerpMAN 1886 p. 110.
» » BALE 1887 p. 107.
» » BERGH 1887 p. 339.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » THOMPSON 1887 p. 387.
» » ALLMAN 1888 p. LVI, LXII, LXIX, 62,
pl. 27, fig. 2, 24.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 206, 208, 210, 211.
» » DALLA TORRE 1889 p. 96.
» » DRIESCH 1889 p. 200, 202, 203, 221, 225.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HoyLe 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 17, 18, 27.
» » BOURNE 1890 (b) p. 397.
Abietinaria abietina MARKTANNER 1890 p. 245, pl. à, fig. 8.
Abietinaria abietina var. abietiformis Kirchenpauer.
Abietinaria abietina
var. abieliformis KIRCHENPAUER 1884 p. 32.
Abietinaria abietina var. minor Kirchenpauer.
Abietinaria abietina
var. minor KIRCHENPAUER 1884 p. 32.
Abietinaria abietina var. purpurea Kirchenpauer.
A bietinaria abietina
var. purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 32.
Abietinaria anguina (Trask).
Syn. : Sertularia anguina Trask.
Voir : Matériaux III, p. 366 et IV, p. 361.
Abietinaria labiata KIRCHENPAUER 1884 p. 34, 37, pl. 14, fig. 5.
Abietinaria cartilaginea Kirchenpauer.
Abietinaria cartilaginea KiRCHENPAUER 1884 p. 36, pl. 14, fig. 6.
POP OP PORC
À 0. té tintin mn mi 2 eo. à
a a dd Em de en tnt ln te à de éd) à on de ÉD RS CSSS, dd nd D
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 31
Abietinaria filicula (Ellis et Solander).
Syn.: Sertularia filicula Ellis et Solander.
Voir : Matériaux I, p. 471; IT, p. 113; IL, p. 369 et IV, p. 363.
Sertularia filicula
Abietinaria filicula
Abietinaria filicula
BYERLY
LESLIE et HERDMAN
LELLER
KIRCHENPAUER
var. clarki KiIRCHENPAUER
Sertularia filicula
» »
» »
» »
» »
» »
Abietinaria filicula
Abielinaria inconst
THOMPSON
PENNINGTON
HERDMAN
HERDMAN
MELLY, HIcks a.
HERDMAN
BALE
MARKTANNER
1854 p. 104.
1881 p. 16.
1883 p. 106.
1884 p. 29-36.
1884 p. 33.
1884 p. 4, 5.
1885 p. 114.
1886 (a) p. 3, 10.
1886 (b) p. 330.
©
1886 p. 104, 110.
1887 p. 407.
1890 p. 245, 247, pl. 5, fig. 9.
Abietinaria inconstans (Clark).
Syn. : Sertularia inconstans Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 364.
ans KIRCHENPAUER
1884 p. 36.
Abietinaria juniperus Kirchenpauer.
Abietinaria juniperus KiRCHENPAUER
Abietinaria melo
Abietinaria merki
Abietinaria tilesii
1884 p. 33, 37, pl. 14, fig. 2.
Abietinaria melo Kirchenpauer.
KIRCHENPAUER
1884 p.33, 36, 37, pl. 14, fig. 4.
Abietinaria merki Kirchenpauer.
KIRCHENPAUER
188% p. 35-37, pl. 44, fig. 1.
Abietinaria tilesii Kirchenpauer.
KiRCHENPAUER
1884 p. 34-37, pl. 14, fig. 3.
A2 M. BEDOT
Abietinaria variabilis (Clark).
Syn. : Sertularia variabilis Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 369.
Abietinaria variabilis KTRCHENPAUER 1884 p. 35, 37.
Sertularia variabilis MuRDoCH 1885 p. 165.
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 395, pl. 14,
- fig. 4, 5.
Gen. Acanthella Allman 1888.
Acanthella effusa (Busk).
Syn. : ? Plumularia scabra Lamarck.
Voir : Matériaux ILE, p. 353 et IV, p. 343.
A canthella effusa ALLMAN 1883 p. 2, 27, pl. 6.
Plumularia effusa BALE 1884 p. 31, 129, 132, 143, "pl.
18, fig. 5.
Plumularia scabra BALE 1884 p. 145, 156.
Plumularia effusa LENDENFELD 1885 (a) p. 473.
Plumularia scabra LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626.
Acanthella effusa LENDENFELD 1885 (a) p. 479, 626.
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 984.
Plumularia scabra LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
Acanthella effusa LENDENFELD 1885 (d) p. 644.
Plumularia effusa BALE 1887 p. 78, 80, 94.
Plumularia scabra LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Acanthella effusa LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
» » ALLMAN 1888 p. LX, LXV, LXVI, LXIX.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 610, pl. 14,
fig. 4.
» » MaRKTANNER 1890 p. 260.
BILLARD (1907), en étudiant les Hydroïdes de la collection LamARCK, a constaté
que la Plumularia scabra de cet auteur était synonyme de P. effusa Busk et
par conséquent de l’Acanthella effusa d’ALLman. 11 conserve à cette espèce le
nom de Plumularia scabra Lamarck. Malheureusement, les échantillons types
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 33
de Lamarck sont privés de la portion terminale des branches, dont les hydro-
clades sont remplacés par des appendices épineux. Or, c’est là le caractère sur
lequel est fondé le genre Acanthella. I nous semble donc que, dans ce cas, on
ne doit pas changer le nom spécifique donné par ALLMAN et que l’on ne peut
que mettre P. scabra avec un ? dans les synonymes d’Acanthella effusa.
Gen. Acanthocladium Allman 18853.
Acanthocladium angulosum (Liamouroux).
Syn.: Aglaophenia angulosa Lamouroux.
Voir : Matériaux III, p. 233 et IV, p. 241.
Acanthocladium huxleyi ALLMAN 18893 -p.:2, 8,419) 3308
pl. 9 et 20, fig. 1-3.
Aglaophenia huxleyr BALE. 1884 p. 14, 21, 102, 127, 150,
161,:hl2 1560007
17,-6ie.8:
À glaophenia angulosa BALE 1884 p. 162.
Aglaophenia huxleyi LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 646.
» » BALE 1887 p. 79, 77, 98, 100.
Acanthocladium huxleyi Barr 1887 p. 89.
À glaophenia huxleyi LENDENFELD 1887 (c) p. 29.
Acanthocladium huzxleyi ALLMAN 1888 p. LX, LXVI, LXIX.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
A glaophenia huxleyi KIRKPATRICK 1890 (a) p. 609.
Acanthocladium huxleyi MarKTANNER 1890 p. 261.
Gen. Acaulis Stimpson 1854.
Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239.
Acaulis primarius Stimpson.
Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239.
Acaulis primarius FEWKES __ 1890 p. 433, fig. 1-3.
Rev. Suisse pe Zoou. T. 24. 1916. 3
34 M. BEDOT
Gen. Acharadria Wright 1863.
Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239.
Acharadria larynx Wright.
Voir : Matériaux IIT, p. 232 et IV, p. 239.
Acharadria larynx PENNINGTON 1885 p. 56.
» ) Du PLessis 1888 p. d44.
Gen. Acladia Marktanner 1890.
Acladia africana Marktanner.
Acladia africana MARKTANNER 1890 p. 261, pl. 5, fig. 11-11 a.
Gen. Actinogonium Allman 1871. |
Voir : Matériaux III, p. 233 et IV, p. 240.
Actinogonium pusillum (van Beneden).
Voir : Matériaux II, p. 65; III, p. 233 et IV, p. 240.
Coryne van Benedeni REES 1884 p. 573.
» » » PENNINGTON 1885 p. 48.
» » » BÉTENCOURT 1888 p. 202.
» » » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23.
Gen. Aglaophenia Lamouroux 1812.
Voir : Matériaux I, p. 422; IL, p. 40; III, p. 233 et IV, p. 240.
Aglaophenia acacia Allman.
Aglaophenia acacia ALLMAN 1883 p. 37, 38, 55, pl. 12,
fig. 1-4.
» » QUELCH 1885 (a) p. 10,
» » ALLMAN “888 "p: LIX; RL EXDS
» ph DRIESCH 1890 (b) p. 675.
» » var. MARKTANNER 24890 p.270, pLiT AEUTE
Aglaopheniamediterranea MaRKTANNER 1890 p. 286 (Expl. des pl.).
sidi Ed dal
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 39
Aglaophenia acanthocarpa Allman.
Voir : Aglaophenia divaricata.
Aglaophenia acutidentata Allman.
Aglaophenia acutidentata ALLMAN 1886 p. 151, pl. 22, fig. 1-4.
BizLARD (1910) considère cette espèce comme synonyme d'A glaophenia pluma.
Aglaophenia allmani Nutting.
Voir : Matériaux IV, p. 240.
A glaophenia ramosa FEWKES 1881 (a) p. 127, 131.
» » ALLMAN 1883 p. 2.
Aglaophenia alopecura Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 240.
A glaophenia alopecura MARKTANNER 1890 p. 263, pl. 6, fig. 20 et
pl: 7, 46.24
Aglaophenia angulosa Lamouroux.
Voir : Acanthocladium angulosum.
Aglaophenia apocarpa Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 241.
Aglaophenia apocarpa FEWKES 1881 (a) p. 127, 128.
Aglaophenia arcuata Lamouroux.
Voir : Halicornaria arcuata.
Aglaophenia ascidioides Bale.
Aglaophenia ascidioides BALE 1882 p. 28, 32, 45, pl. 13, fig. 5.
36 M. BEDOT
Aglaophenia attenuata Allman.
A glaophenia attenuata ALLMAN 1883 _p. 12, 37, pl. 11, fig. 7-9.
» » ALLMAN 1888 P. LXIIT, LXIX.
Aglaophenia avicularis Kirchenpauer.
Voir : Halicornopsis elegans.
Aglaophenia balei Marktanner.
A glaophenia balei MARKTANNER 1890 p. 272, pl. 7, fig. 19, 20.
Aglaophenia bicuspis G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 241.
Aglaophenia bicuspis STORM 1880 p. 122.
» » STORM 1882 p. 3, 24, 27, 30.
» » ALLMAN 1883 p. 90.
» » MARKTANNER 1890 p. 277.
Aglaophenia bispinosa Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 242.
Aglaophenia bispinosa FEwKkes 1881 (a) p. 137.
» » ALLMAN 1883 p. 7, 33.
Lytocarpus bispinosa ALLMAN 1883 p. 12.
Lytocarpus (Aglaophenia)
bispinosa ALLMAN 1883 p. 11.
Aglaophenia bispinosa Acassiz, A. 1888 p. 136, fig. 431-433.
Aglaophenia brachiata (Lamarck).
Voir : Matériaux II, p. 234 et IV, p. 242.
Aglaophenia brevicaulis Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 242.
Aglaophenia brevicaulis BALE 1882 p. 20.
» » BALE 188% p. 171, pl. 18, fig. 6.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 37
Aglaophenia brevirostris (Busk).
Voir : Matériaux III, p. 234 et IV, p. 242.
Aglaophenia brevirostris BaLe
» LENDENFELD
» LENDENFELD
» LENDENFELD
» KIRKPATRICK
1884 p. 169.
1885 (a) p. 484, 627.
1885 (d) p. 645.
1887 (c) p. 29.
1890 (a) p. 60%, 611.
Aglaophenia calamus Allman.
À glaophenia calamus ALLMAN
» » QuELCH
» » ALLMAN
» » DRiEscH
1883 p. 39, pl. 12, fig. 5-8.
1885 (a) p. 11.
1888 p. LXIIT, LXIX.
1890 (b) p. 675.
Aglaophenia chalarocarpa Allman.
À glaophenia chalarocarpa ALLMAN
? »
BizLARD (1910) considère cette espèce comme synonyme d’A glaophenia pluma.
» DRIESCH
1886 p. 138, 150, pl. 21, fig. 1-4,
1890 (b) p. 660.
Aglaophenia coarctata Allman.
Aglaophenia coarctata ALLMAN
» »
» »
ALLMAN
DRIESCH
1883 p. 4, 39, pl. 19, fig. 7-9.
1888 p. LXVI, LXIX.
1890 (b) p. 674.
Aglaophenia conferta Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 242.
Aglaophenia constricta Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 242.
Aglaophenia crucialis Lamouroux.
Voir : Matériaux HE, p. 422; II, p. 41 ; UN, p. 234 et IV, p. 242.
Aglaophenia crucialis BALE
»
D)
LENDENFELD
1884, p. 150, 168, pl. 18, fig. 8.
1885 (a) p. 483, 627.
38 M. BEDOT
Aglaophenia crucialis LENDENFELD 1885 (d) p. 645.
» » BALE 1887 p. 87.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4
Aglaophenia macrocarpa BALE 1888 p. 791, pl. 21, fig. 3-4. |
|
Aglaophenia cupressina Lamouroux. Ne
Voir : Matériaux I, p. 422; II, p. 41; III, p. 234 et IV, p. 243
À glaophenia cupressina ALLMAN 1883 p. 36. '
Aglaophenia macgillivrayi ALLMAN 1883 p. 2, 15, 34, 38 pl 20
et 20, fig. 4-6.
» » BALE 1884 p. 20, 31, 150, 151, 170,
pl. 18, fig. 19-24.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645.
» » BALE 1887 p. 87.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
» » ALLMAN 1888 p. XVI, LX, LXVI, LXIX. C4
» » DRiEsCH 1890 (b) p. 660, 666, 669, 675.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
» » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 12.
» » MARKTANNER 1890 p. 268.
Aglaophenia delicatula (Busk).
Voir : Matériaux III, p. 235 et IV, p. 243.
Aglaophenia delicatula Barr
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
KIRKPATRICK
Aglaophenia dichotoma Kirchenpauer.
Voir : Matériaux II, p. 41;
Aglaophenia dichotoma Preper
Il, p. 235 et IV, p. 243.
1884 p. 23, 150, 167, pl. 14,
fig. 4, pl. 17, 1840
1885 (a) p. 483, 627. |
1883 (d) p. 646.
1887 (c) p. 29.
1890 (a) p. 604.
1884 p. 218.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 39
Aglaophenia distans Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 243.
Aglaophenia distans ALLMAN 1883 p. 33.
Lytocarpus (A glaophenia)
l distans ALLMAN 1883 p. 11.
Lytocarpus distans ALLMAN 1883 p. 12.
Aglaophenia distans BALE 1887 p. 8ÿ.
Aglaophenia divaricata (Busk).
Voir : Matériaux III, p. 235 et IV, p. 243.
A glaophenia acanthocarpa BALE 1882 p. 27.
A glaophenia divaricata Bave 1882 p. 19, 28, 30. 45.
Aglaophenia m'eoyi BALE 1882 p. 27, 28, 30, 36, 46, pl.
14, fig. 2.
À glaophenia divaricata BALE 1884 p. 13, 150-152, 155, 162-
165, 182, pl. 45, fig. 7,
8, pl. 17, fig. 6-7.
Aglaophenia ramosa BALE 1884 p. 150, 163, 164, pl. 18,
fig. 15-16.
À glaophenia m'coyi BALE 1884 p. 164%, pl. 15, fig. 7, pl.
F7 her0:
A glaophenia divaricata LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627.
Aglaophenia ramosa LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627.
A glaophenia divaricata LEeNDENFELD 1885 (d) p. 646.
A glaophenia ramosa LENDENFELD 1885 (d) p. 646.
» » MSLLER 1885 p. 934.
Aglaophenia laxa Ripcey a. QueLcH 1885 p. 496.
Lytocarpus ramosus ALLMAN 1886 p. 154, pl. 25, fig. 1-3.
A glaophenia ramosa LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
Aglaophenia acanthocarpa BaLe 1887 p. 85, 86, 103, 110.
Aglaophenia divaricata BALE 1887 p. 76, 78, 85-87, 89, 97,
99, 100, 110.
Aglaophenia laxa BALE 1887 p. 103.
Aglaophenia m'coyi BALE 1887 p. 76.
Aglaophenia ramosa BALE 1887 p. 87, 106, 110.
Lytocarpus ramosus BALE 1887 p. 110.
A0 M. BEDOT | ;
Plumularia divaricata BALE 1887 p. 106, 110.
À glaophenia divaricata LENDENFELD 1887 (c) p. 29.
À glaophenia ramosa LENDENFELD 1887 (c) p. 29.
Aglaophenia divaricata MARKTANNER 1890 p. 267.
» » var. Mn coyi MARKTANNER 1890 p. 267.
Aglaophenia dolichocarpa Allman.
Aglaophenia dolichocarpa ALLMAN 1886 p. 152, pl. 24, fig. 1-5.
Aglaophenia dromaius Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 244.
Aglaophenia elegans Lamouroux.
Voir : Halicornopsis elegans.
Aglaophenia elongata Meneghini.
Voir : Matériaux II, p. 41; IL, p. 235 et IV, p. 244.
A glaophenia elongata CARUS 1884 p. 16.
» » GRÆFFE 1884 p. 359.
» » PIEPER 1884 p. 217.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660.
» » MARKTANNER 1890 p. 262, 270, pl. 7, fig. 8
et 12.
Aglaophenia filamentosa (Lamarck).
Voir : Lytocarpus filamentosus.
Aglaophenia filicula Allman.
Aglaophenia filicula ALLMAN 1883 p. 12, 36, 38, 55, pl. 14,
fig. 1-6.
» » BALE 1887 p. 97.
» RAS ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX.
» » MARKTANNER 1890 p. 272.
Pour BizLarD (1910) cette espèce est synonyme d”’A glaophenia tubulifera.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 41
Aglaophenia flexuosa Lamouroux.
Voir : Matériaux I, p. 422; II, p. 42; IL, p. 236 et IV, p. 245.
Aglaophenia flexuosa BALE 1884 p. 32, 172.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 485, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
Aglaophenia formosa (Busk).
Voir : Matériaux III, p. 236 et IV, p. 245.
À glaophenia formosa BALE 1884 p. 32, 168, pl. 18, fig. 7.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645.
» » BALE 1887 p. 87.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 29.
» » MARKTANNER 1890 p. 264, pl. 6, fig. 11.
Aglaophenia fusca Kirchenpauer.
Voir : Matériaux [, p. 423; IL, p. 42; HI, p. 236 et IV, p. 245.
A glaophenia fusca MARKTANNER 1890 p. 266, 268, 274, 275,
pl." 6, fe z
Aglaophenia gracilis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 246.
Aglaophenia gracilis FEWKES 1881 (a) p. 127, 131, 132.
Aglaophenia gracillima Fewkes.
Aglaophenia gracillima FEWKES 1881 (a) p., 129, 134, pl. 3,
fig. 6, 8.
Aglaophenia helleri Marktanner.
Aglaophenia helleri MARKTANNER 1890 p. 271, pl. 7, fig. 3,14, 15.
Aglaophenia helleri var. MARKTANNER 1890 p. 271, pl. 7, fig. 13, 16.
Aglaophenia heterocarpa Bale.
A glaophenia heterocarpa BALE 1882 p. 31, note.
42 M. BEDOT
Aglaophenia hians (Busk).
Voir : Halicornaria hians.
Aglaophenia huttoni de COUGHTREY.
Voir : Matériaux IV, p. 247.
A glaophenia huttoni BALE 1887 p. 103.
Aglaophenia huttoni de KIRCHENPAUER.
Voir : Matériaux IV, p. 247.
Aglaophenia huttoni BALE 1887 p. 103.
Aglaophenia ilicistoma Bale.
Aglaophenia ilicistoma BALE 1882 p. 33, 45, pl. 14, fig. 4.
Aglaophenia incisa Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 247.
À glaophenia incisa BALE 1887 p. 103.
Aglaophenia insignis Fewkes.
A glaophenia insignis FEWKES 1881 (a):p:+129; 13400
fig. 4, 6.
Aglaophenia integra G.-O. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 247.
Aglaophenia integra STORM 1880 p. 122.
» » STORM 1882 p. 10,15, 20, 23,27, 29,930.
» » MABKTANNER 1890 p. 277.
Aglaophenia kirchenpaueri (Heller).
Voir : Matériaux IIF, p. 236 et IV, p. 248.
A glaophenia kirchen-
paueri CARUS 1884 p. 16.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660.
» » MARKTANNER 1890 p. 263, pl. 7, fig. 9 et 22.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 43
Aglaophenia latecarinata Allman.
Aglaophenia minuta
Voir :
FEWKES
Aglaophenia latecarinala ALLMAN
Matériaux IV, p. 248.
1881 (a) p. 129, 132, pl. 3, fig. 7,
1886 p. 151, pl. 23, fig. 5-6.
Aglaophenia lendenfeldi Bale.
Aglaophenia kirchen-
paueri LENDENFELD 1885 (a) p. 480, 626, pl. 15
fig. 20, 23.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647.
» » BALE 1887 p. 87, 100.
Aglaophenia lendenfeldi Bare 1887 p. 87, 100.
Aglaophenia kirchen-
paueri LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
Aglaophenia lignosa Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 248.
Aglaophenia ligulata Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 248.
Aglaophenia longicornis Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 248.
Aglaophenia longicornis BALE 1882 p. 20.
1884 p. 14, 149, 157, pl. 14,
fig. 7-8, pl. 17, fig. 5.
» » BALE
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647.
» » BALE 1887 p. 76-78, 97.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
» » MARKTANNER 1890 p. 267.
Aglaophenia longirostris Kirchenpauer.
Voir : Halicornaria longirostris.
AA M. BEDOT
Aglaophenia lophocarpa Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 249.
Aglaophenia lophocarpa FEWkEs 1881 (a) p. 131.
Aglaophenia microdonta Pieper.
Aglaophenia microdonta Carus 1884 p. 16.
» » PIEPER 1884 p. 217.
Aglaophenia mæbiusi Schulze.
Voir : Matériaux IV, p. 249.
Nous avons changé le nom spécifique de mœæbii en mæbiusi pour obéir aux
règles de la nomenclature zoologique.
Aglaophenia myriophyllum (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 493; IL, p. 42; IfI, p. 237 et IV, p. 249.
Plumularia myrio-
phyllum BYERLEY 1854 p. 105.
A glaophenia myrio-
phyllum BALE 1882 p. 29.
» » STORM 1882 p. 23, 27, 30.
Lytocarpus myriophyllum AvLMan 1883 p. 11, 12, 38.
Lytocarpus (A glaophenia)
myriophyllum ALLMAN 1883 p. 11.
À glaophenia myrio-
phyllum Marion 1883 (a) p. 108.
» » MARION 1883 (b) p. 23.
ss » BALE 1884 p. 21, 148, 162.
» » CaRuS 1884 p. 16.
» » PIEPER 1884 p. 217.
Lytocarpus myriophyllum PENNINGTON 1885 p. 130.
Lytocarpus (Aglaophenia)
myriophyllum ALLMAN 1886 p. 155.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 4)
Aglaophenia myrio-
phyllum Mezry, Hicks a.
» » Nicxocs a. HADDON
» » BALE
» » Lo Braxco
» » DALLA TORRE
» » SEGERSTEDT
» » BOoURNE
» » BOURNE
» » DRIESCH
Lytocarpus myriophyllum MarKTANNER
1886 p. 112.
1886 p. 615.
1887 p. 85.
1888 p. 3806.
1889 p. 95.
1889 p. 21, 22, 27.
1890 (a) p. 319.
1890 (b) p. 398.
1890 (b) p. 660, 666.
1890 p. 277, pl. 7, fig. 10-41.
Aglaophenia octodonta (Heller).
Voir : Matériaux IIL, p. 237 et IV, p. 250.
Aglaophenia octodonta Carus
» » GRÆFFE
» » DRIESCH
» » MARKTANNER
1884 p. 16.
1884 p. 346, 353.
1890 (b) p. 660.
1890 p. 271.
Aglaophenia parva Pieper.
Voir : Matériaux IV, p. 250.
Aglaophenia parva CARUS
» » PIEPER
1884 p. 16.
1884 p. 218.
Aglaophenia parvula Bale.
Aglaophenia parvula BALE
» » LENDENFELD
» » BALE
» » LENDENFELD
» » LENDENFELD
» » BALE
1882 p. 27-29, 31, 35, 46, pl.
14, fig. 3.
1883 (d) p. 370, Expl. pl. 18,
fig. 4.
1884 p. 21, 29, 148, 150, 152,
165, 167, pl. 14, fig. 3,
pl. 17, fig. 10.
1885 (a) p. 483, 489, 490, 627.
1885 (d) p. 646.
1887 p. 78, 86, 87, 97.
RE coratd
46 M. BEDOT
Aglaophenia parvula LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4
» » BALE 1888 p. 790.
» » MARKTANNER 1890 p. 269.
Aglaophenia patagonica (4’Orbigny).
Voir : Matériaux IL, p. 43; Il, p. 238 et IV, p. 250.
Aglaophenia pennaria (Linné).
Voir : Lytocarpus pennarius.
Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander).
Voir : Halicornaria pennatula.
Aglaophenia perforata Allman.
Aglaophenia perforata ALLMAN 1886 p. 150, pl. 21, fig. 5-8.
? » > PE DRIESCH 1890 (b) p. 660.
Aglaophenia perpusilla Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 251.
Aglaophenia perpusilla ALLMAN 1886 p. 152.
Aglaophenia philippina Kirchenpauer.
Voir : Lytocarpus philippinus.
Aglaophenia phæœnicea (Busk).
Voir : Lytocarpus phæniceus.
Aglaophenia phyllocarpa Bale.
Aglaophenia phyllocarpa Bare 1888 p. 793, pl. 21, fig. 9-10.
Aglaophenia pluma (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 425; Il, p. 44; IL, p. 240 et IV, p. 252.
Plumularia cristata BYERLEY 1854 p. 104.
Aglaophenia pluma BaLR 1882 p. 29, 31, 35, 36.
» » MEREJKOWSKY 1882 (a) p. 280.
À glaophenia pluma
HISTOIRE
MEREJKOWSKY
MEREJKOWSKY
WEISMANN
DES HYDROÏDES. — V. 47
1882 (b) p. 583, 585 ss., pl.
29 À, fig. 1-6, 8, 11, 17.
1883 (b) p. 115.
1883 p. 191, 229, pl. 6, fig. 4,
pl. 9, fig. 5, 6.
» » BALE 1884 p. 21-23, 32, 148, 150,
151, 161, 166, 168, pl.
18, fie. 17.
» » CaRUS 1884 p. 15.
Aglaophenia uncinata CARUS 1884 p. 16, Ex. Syn. p. p.
À glaophenia pluma GRÆFFE 1884 p. 346, 355.
» » PIEPER 1884 p. 186, 2157.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 483, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 646.
» » PENNINGTON 1885 p. 128, pl. 9, fig. 5, pl. 10,
fig. 1-2.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12.
» » Meczy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p, 112.
» » NicHoLs a. HappoN 1886 p. 615.
» » THOMPSON 1886 p. 317.
» » BALE LES He D"8), 87:
» » BÊTENCOURT 1887 p. 67,
» ) LENDENFELD 1887 (c) p. 29.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 213.
» » Lo Branco 1838 p. 387.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 22, 27.
» » BOURNE 1890 (b) p. 397.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660.
Aglaophenia pluma var. DriescH 1890 (b) p. 666-668, 675.
Aglaophenia pluma MARKTANNER 1890 p. 262, pl. 7, fig. 1, 2, 18.
Aglaophenia pluma (Linné) var. dichotoma Sars.
Plumularia pluma
var. dichotoma Sars 1857 (a) p. 164.
A glaophenia pluma
var. dichotoma Hixcks 1868 p. 287, pl. 63, fig. 1 a.
» » » PIEPER 1884 p. 217.
» » » MARKTANNER 1890 p. 270.
48 M. BEDOT
Aglaophenia plumifera Kirchenpauer.
Voir: Matériaux IV, p. 252.
Aglaophenia plumosa Bale.
Aglaophenia plumosa BALE 1882 p. 27, 29, 30, 37, pl. 14,
fig. 6.
» » BALE 1884 p. 18, 149, 153, pl. 14,
fig. 5, pl. 17, fig. 12.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627.
» » LENLENFELD 1885 (d) p. 647.
» » PENNINGTON 1885 p. 129, pl. 10, fig. 1.
» » BALE 1887 p. 87, 99, 110.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
Aglaophenia prolifera Bale.
Aglaophenia prolifera BALE 1882 p. 28, 34, 46, pl. 14, fig. 5.
Aglaophenia pusilla Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 252.
Aglaophenia radicellata G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 253.
Aglaophenia radicellata Storm 1882 p. 24, 27.
» » MARKTANNER 1890 p. 277.
Aglaophenia ramulosa Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 253.
Aglaophenia ramulosa FEWKES 1881 (a) p. 127, 128.
» » BALE 1882 p. 20.
» » BALE 1884 p. 170, pl. 18, fig. 11.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 645.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 49
Aglaophenia rhynchocarpa Alman.
Voir : Matériaux IV, p. 253.
Aglaophenia rhynchocarpa Fewxes 1881 (a) p. 131.
Aglaophenia rigida Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 253.
Aglaophenia rigida FEWKES 1881 (a) p. 131.
» » Quecca 1885 (a) p. 11.
Aglaophenia robusta Fewkes.
Aglaophenia robusta FEWKES 1881 (a) p. 129, 132.
Aglaophenia roretzi Marktanner.
À glaophenia rorelzi MARKTANNER _ 4890 p. 271, pl. 6, fig. 22-22 a.
Aglaophenia rostrata Kirchenpauer.
Voir : Lytocarpus phœniceus.
Aglaophenia rubens Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 253.
Aglaophenia rubens BALE 1882 p. 20.
» » BALE 1884 p. 149, 157, pl. 18, fig. 9.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
» » MARKTANNER 1890 p. 275, 276.
Aglaophenia savignyana Kirchenpauer.
Voir : Matériaux I, p. 426 ; IL, p. 45; II, p. 241 et IV, p. 253.
Aglaophenia savigniana Carus 1884 p. 17.
Aglaophenia savignyana Piper 1884 p. 218.
Aglaophenia savigniana DriescH 1890 (b) p. 660, 666.
Aglaophenia savignyana MARKTANNER 1890 p. 267, pl. 6, fig. 13.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. A
50 M. BEDOT
Aglaophenia sigma Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 254.
Aglaophenia simplex (d'Orbigny). :
Voir : Matériaux Il, p. 45; III, p. 241 et IV, p. 254.
A glaophenia simplex PIEPER 1884 p. 186.
Aglaophenia sinuosa Bale.
Aglaophenia sinuosa BALE 1883 p. 790, pl. 21, fig. 1-2.
Aglaophenia speciosa (Pallas). .
Voir : Matériaux I, p. 426; !T, p. 46; II, p. 241-et IV, p. 254.
Plumularia speciosa BALE 1884 p. 171.
Aglaophenia squarrosa Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 254.
A glaophenia squarrosa BALE 1882 p. 20.
» » BALE 1884 p. 149, 156, pl. 18, fig. 10.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 647.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
» » MARKTANNER 1890 p. 268, pl. 6, fig. 19.
Aglaophenia struthionides (Murray).
Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 254.
A glaophenia arborea CLARKE 1888 p. 86.
A glaophenia struthionides CLARKE 1888 p. 86, fig. 80 et pl. s$ n°.
p. 86, fig. 3.
» » MARKTANNER 1890 p. 265, pl. 6, fig. 21.
Aglaophenia superba Bale.
A glaophenia superba BALE 1882 p. 28, 31, 33, 45, pl. 13,
fig. 4.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 51
Aglaophenia tricuspis Mac Crady.
Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 254.
Aglaophenia trifida L. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 242 et IV, p. 255.
Aglaophenia tubiformis Marktanner.
À glaophenia tubiformis MARKTANNER 1890 p. 269, 270, pl. 7, fig. 4,
9, 47.
» » var. MARKTANNER 1890 p. 270, pl. 7, fig. 6.
Aglaophemia tubulifera Hincks.
Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 255.
A glaophenia tubulifera BALE 1882 p. 29, 36.
» » PENNINGTON 1885 p. 129.
» » QUELCH 1885 (a) p. 11.
» » HOYLE 1889 p. 460.
» » BOoURNE 1890 (b) p. 397.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 660.
Aglaophenia urceolifera (Lamarck).
Voir : Halicornaria urceolifera.
Aglaophenia urens Kirchenpauer.
Voir : Lytocarpus uwrens.
Aglaophenia vitiana Kirchenpauer.
Voir : Matériaux [V, p. 255.
Aglaophenia vitiana BALE 1884 p. 152.
» » BALE 1887 p. 85, 103.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 611.
Aglaophenia. (2) whiteleggei Bale.
Aglaophenia (?) white-
leggei BALE 1888 p. 794, pl. 21, fig. 8.
52 M. BEDOT
Gen. Aglaophenopsis Fewkes 1881.
Aglaophenopsis hirsuta Fewkes.
Aglaophenopsis hirsuta FEWKES 1881 (a) p. 129, 133, pl. 4, fig:
2, 10, pl. 2, fig. 3.
Gen. Amalthæa O. Schmidt 1852.
Voir : Matériaux IIE, p. 243 et IV, p. 256.
Amalthæa islandica Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 256.
Amalthæa januari (Steenstrup).
Voir : Matériaux IIL, p. 243 et IV, p. 256.
Amalthæa januari LOMAN 1889 p. 269, 270.
Amalthæa sarsi (Steenstrup).
Voir : Matériaux [IL, p. 243 et IV, p. 256.
Corymorpha sarsi WEISSMANN 1883 p. 129.
Amalthæa sarsi LOMAN 1889 p. 269, 270.
Amalthæa uvifera Ô. Schmidt.
Voir : Matériaux LIT, p. 244 et IV, p. 256.
? Corymorpha uvifera Storm 1882 p. 11, 28, 30.
Amalthæa uvifera LOMAN 1889 p. 268, 270.
Amalthæa vardüensis Loman.
Amalthæa vardüensis LOMAN 1889 p. 271, fig. 5 et pl. 13.
Gen. Amphibrachium Schulze 1880.
Amphibrachium euplectellæ Schulze.
Amphibrachium euplectellæ Scaurze 1880 p. 672, fig. 1.
» » JicKELt 1883 p. 049.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 53
Gen. Anisocola Jickeli 1883.
KIRCHENPAUER (1876) avait divisé le genre Plumularia en
3 sous-genres : /socola, Anisocola et Monopyxis. JICKELI (1883)
a pris Zsocola et Anisocola comme noms de genres, mais cela
n’a pas été adopté.
Gen. Antennella Allman 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 257.
Antennella allmani Armstrong.
Voir : Matériaux IV, p. 257.
Antennella gracilis Allman.
es
e-
Voir : Matériaux IV, p. 257.
| YA 2 ; 9 87 HA +7 À
Antennella gracilis FEWKES 1881 (a) p. 127. Y_s D
Antennella secundaria (Gmelin).
Syn. : Plumularia secundaria (Gmelin).
Voir : Matériaux I, p. 461; IE, p. 100 ; IL, p. 354 et IV, p. 344.
Plumularia secundaria Carus 1884 p. 18.
» » PIEPER 1884 p. 216, 220.
» » DRIESCH 1890 (a) p. 661.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659-662, 669, 673.
» » MARKTANNER 1890 p. 251, 252, pl. 6, fig. 4.
Antennella siliquosa Hincks.
Syn. : Plumularia siliquosa Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 345.
Plumularia siliquosa PENNINGTON 1885 p. 127.
À 7
54 M. BEDOT
Gen. Antennopsis Allman 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 257.
Antennopsis hippuris Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 257.
Antennopsis hippuris FEWKES 1881 (a) p. 128, 133.
» » BALE 1887 p. 82.
Antennopsis ramosa Fewkes.
Antennopsis ramosa FEWKES 1881 (a) p.129, 133, pl. 3, fig. 3.
Gen. Atractyloides Fewkes 1889.
Atractyloides formosa Fewkes.
Atractyloides formosa FEWKESs 1899 (b) p. 101, pl. &, fig. 2, 3, 5.
Hydroid FEWKES 1889 (c) p. 599, fig. 10, 10 a.
Gen. Azygoplon Allman 1883.
Le genre Azygoplon d'ALLMAN étant synonyme d’AHalicor-
nopsis Bale (1882) doit être supprimé. BALE (1888) à repris le
nom d’Azygoplon pour un autre genre de Plumularides représenté
par son À. productum. STECHOW (1909) fait rentrer cette espèce
dans le genre Diplocheilus d'ALLMAN, et BALE (1914) la place
actuellement dans le genre Kirchenpaueria de JICKELI; nous la
mettons provisoirement dans le genre Diplocheilus.
Voir la remarque au genre Xirchenpaueria.
Gen. Azygoplon Bale 1888.
Ce genre doit être supprimé. Voir ci-dessus.
\
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Gen. Bimeria Wright 1859.
Voir : Matériaux III, p. 245 et IV, p. 257.
Dimeria (2) gracilis Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 257.
Bimeria humilis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 257.
Bimeria vestita Wright,
Voir : Matériaux II], p. 245 et IV, p. 257.
Bimeria vestita LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11.
» » PENNINGTON 1885 p. 68.
» » MEcy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 100.
» » ALUMAN 1888 p. k.
» » Du Pcessis 1858 p. 541.
Gen. Blastothela Verrill 1878.
Voir : Matériaux IV, p. 258.
Blastothela rosea Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 258.
Gen. Bougainvillia Lesson 1836.
Voir : Matériaux IF, p. 48; LIL, p. 245 et IV, p. 258.
Bougainvillia carolinensis (Mac Crady).
Voir : Matériaux IT, p. 246 et IV, p. 258.
Margelis carolinensis BROOKS 1882 p. 136, 143.
Bougainvillia fruticosa Allman.
Voir : Matériaux II, p. 246 et IV, p. 258.
Bougainvillia fruticosa Du PLessis 1881 (a) p. 146.
» » LEsLIE a. HERDMAN 1881 p. 11.
56 M. BEDOT
Bougainvillia fructicosa HAMANN 1882 (a) p. 523.
Bougainvillia fruticosa PiePER 1884 p. 150.
» » PENNINGTON 1885 p. 70.
» » Du PLessis 1888 p. 941.
» » Lo Braxco 1888 p. 387.
» » MARKTANNER 1890 p. 200.
Bougainvillia muscus Allman.
Voir : Matériaux IIT, p. 246 et LV, p. 258.
Bougainvillia muscus: Carus 1884 p. 3.
» » GRÆFFE 1884 p. 349.
» » PIEPER 1884 p. 150.
» » PENNINGTON 1885 D; #20
» » MELzzy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 100.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24.
Bougainvillia ramosa (van Beneden).
Voir : Matériaux II, p. 48; IL, p. 246 et IV, p. 258.
Syn.: Margelis ramosa.
Voir : Matériaux II, p. 138.
Bougainvillia ramosa Du PLEssis 1881 (a) p: 146.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11.
Bougainvillia fruticosa WeiSmMANN 1883 Expl. pl. 12.
Bougainvillia ramosa WEISMANN 1883 p. 113, 218, pl. 12, fig.
19, 13. =
Lizusa octocilia WEISMANN 1883 p. 114.
» » CARUS 1884 p. 24.
? Bougainvillia ramosa PiePEr 1884 p. 220.
» » R&ES 1884 p. 79.
» » PENNINGTON 1885 p. 70.
» » CLuBB us 1886 p. 115.
Bougainvillea brilannica HErDMAN 1386 (a) p. 12.
Bougainvillia britannica HERDMAN 1886 (b) p. 325, 327, 330.
Margelis britannica HADDON 1886 (a) p. 526.
Bougainvillia britannica M'Ixrosh 1887 (b) p. 99.
Qt
1
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Bougainvillia ramosa Du PLEssIs 1888 p. 541.
Lizzia octocilia Du PLEssis 1388 p. 541.
Bougainvillia ramosa Lo Bianco 1888 p. 387.
Lizusa octocilia DALLA TORRE 1889 p. 95.
Margelis ramosa DALLA ToRRE 1889 p. 95.
Bougainvillia britannica
(Margelis ramosa) M'INrosx 1889 p. 264, 272, 278, 282, 288,
289, 293.
Bougainvilla ramosa SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24.
» » BouRNE 1890 (b) p. 393.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 678.
Bougainvillia britannica M’Ixrosa 1890 (b) p. 297, 298.
É —
Dougainvillia rugosa Clarke.
Bougainvillia rugosa CLARKE 1882 p. 135, 140, pl. 8, fig.
21-24.
Dougainvilha superciliaris (L. Agassiz).
Voir : Matériaux II, p. 248 et IV, p. 259.
Syn. : Hippocrene superciliaris L. Agassiz.
Voir : Matériaux Il, p. 135.
Bougainvillia super-
ciliaris WAGNER 1385 p. 60, 72, 73, pl. 2, fig.
5-9, pl. 3, fig. 1.
Bougainvillia paradoxa M’Ixrosu 1890 (a) p. 42.
Gen. Calamphora Allman 1888.
Ce genre ne renferme qu'une espèce C. parvula qui, d’après
HARTLAUB (1901) et BILLARD (1910), serait une Sertularella.
STECHOW (1913) conserve ce genre en en modifiant la diagnose.
Calamphora parvula Allman.
Calamphora parvula ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIII, 29, pl.
10, fig. 3, 34.
58 M. BEDOT
Gen. Callicarpa Fewkes 1881.
Callicarpa gracilis Fewkes.
Callicarpa gracilis FEWKES 1881 (a) p. 129, 134, pl. 2, fig.
12510,77:
» » ALLMAN 1883 p. 3 (note), 13.
» » AGASSIZ, À. 1888 p. 137, fig. 438, 439.
Gen. Calycella Hincks 1859.
Voir : Matériaux III, p. 248 et IV, p. 260.
Calycella fastigiata (Alder).
Voir : Matériaux IIT, p. 249 et IV, p. 260.
Calycella fastigiata STORM 1882 p. 17, 27.
» » PENNINGTON 1885 p. 98.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HoyLe 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 25.
Calycella obliqua Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 260.
Calycella plicatilis (Sars).
Voir : Matériaux IL, p. 249 et IV, p. 260.
Calycella plicatilis STORM 1882 p. !8.
» » THOMPSON 1884 p. 4, 8.
Calicella plicatilis VERRILL 1885 (a) p. 517, 537, pl 9,
fig. 30.
Calycella plicatilis BERGH | 1887 p. 332, 334.
» » MARKTANNER 1890 p. 213.
Calycella producta G.-0. Sars.
Voir : Lovenella producta.
HISTOIRE
DES HYDROÏDES. — V.
Calycella pygmæa Hincks.
Voir : Halisiphonia pygmaæa.
Calycella quadridentata Hincks.
Voir :
Matériaux IV, p. 261.
Calycella quadridentata Taompsox 1884 p. 4, 7, pl. 1, fig. 20.
Calycella syringa (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 432. IL, p. 34, IL, p. 249 et IV, p. 261.
Campanularia syringa BYERLEY 1854 p. 105.
Calycella syringa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14.
» » STORM 1882 p. 17.
» » CARUS 1884 p. 10.
Campanularia syringa KLaaTscH 188% p. 581.
Calycella syringa PIEPER 1884 p. 152, 165.
» » REES 1884 p. 579.
» » THOMPSON 1884 p. 4, 7, 8, pl. À, fig. 21.
Campanularia syringa Gapeau De KERVILLE 1885 p. 178.
Calycella syringa PENNINGTON 1885 p. 98, pl. 5, fig. 4.
» » HErDMAN 1886 (a) p. 3.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » Mezcy, Hicks à.
HERDMAN 1836 p. 106.
» » BERGH 1887 p. 334.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » THOMPSON 1887 p. 389, 392.
» » BÉTENCOURT 1838 p. 208.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 25.
» » BOURNE 1890 (b) p. 395.
» » MARKTANNER 1890 p. 213.
Gen. Calyptospadix Clarke 1882.
Calyptospadix cerulea Clarke.
Calyptospadix cerulea
CLARKE
1882 p. 135, 136, pl. 7, fig. 1-9,
60 M. BEDOT
Gen. Calyptothuiaria Marktanner 1890.
Calyptothuiaria clarki Marktanner.
Calyptothuiaria clarki MaRKTANNER 1890 p. 243, pl. 5, fig. 6-6 a.
Calyptothuiaria magellanica Marktanner.
Calyptothuiaria
magellanica MARKTANNER 1890 p. 244, pl. 5, fig. 7.
Gen. Campaniclava Allman 1864.
Voir : Matériaux IT, p. 250 et IV, p. 261.
Campaniclava cleodoræ (Gegenbaur).
Voir : Matériaux III, p. 250 et IV, p. 262.
Campaniclava cleodoræ WKISMANN 1883 p. 26.
» » CARUS 1884 p. 2.
» » Du PLessis 1888 p. 532.
» » ALCOCK 1892 p. 208.
Gen. Gampanopsis Claus 1881.
Campanopsis Sp. ?
Campanopsis CLaus 1881 (c) p. 90 ss., pl. 1-2.
» Jicken 1883 p. 623, pl. 27, fig. 11-20.
Cette espèce est très probablement la forme Polype de la Méduse Octorchis
gegenbuuri.
Gen. Campanularia Lamarck 1816.
Voir : Matériaux I, p. 428; II, p. 48; II, p. 250 et IV, p. 262.
Campanularia amphora A. Agassiz.
Voir : Matériaux IE, p. 251 et IV, p. 262.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 61
Campanularia angulata Hincks.
Voir : Matériaux IE, p. 251 et IV, p. 262.
Campanularia angulata WEismMaNN 1881 (b) p. 12.
» » HAMANN 1882 (a) p. 524.
» » VARENNE 1882 (b) p. 627, 659, 667, 678,
680, 687, pl. 29, pl.
30, fig. 6-8.
» » LENDENFELD 1883 (e) p. 549.
» » GRÆFFE 1884 p. 357.
» » METSCHNIKOFF 1884 p. 145.
» » PENNINGTON 1885 p. 87, pl. 4, fig. 6.
» » THALLWITZ 1885 p. 438 note.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » MELLY, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 103, 105.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 41, 69, 70.
» » Nicnozs a. HappoN 1886 p. 615.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 206, 212.
» » Driesca 1889 p. 194, 195, 222.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HOYLE 1889 p. 460.
» » BouRNE 1890 (b) p. 394.
» » MARKTANNER 1890 p. 210.
Campanularia antipathes (Lamarck).
Voir : Laictorella antipathes.
Campanularia bilabiata Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 262.
Campanularia borealis Marktanner.
Campanularia borealis MARKTANNER 1890 p. 206.
Campanularia brasiliensis Meyen.
Voir : Matériaux If, p. 48; III, p. 251 et IV, p. 262.
62 M. BEDOT
Campanularia calceolifera Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 251 et IV, p. 263.
Campanularia caliculata Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 252 et IV, p. 263.
Campanularia caliculata Srorm
Campanuluria coliculata Jickeui
Campanularia caliculata LENDENFELD
Clythia poterium LENDENFELD
Laomedea repens LENDENFELD
Campanularia caliculata Carus
» » GRÆFFE
» » PIEPER
» » LENDENFELD
» » LENDENFELD
» » PENNINGTON
» » HERDMAN
» » HERDMAN
» » Meccy, Hicks a.
HERDMAN
» » METSCHNIKOFF
» » LENDENFELD
» » BALE
» » SEGERSTEDT
» » MARKTANNER
Campanularia caliculata var. makrogona (Lendenfeld).
Campanulina calyculata
var. Mmakrogona LENDENFELD
Campanularia caliculata
var. makrogona BALE
Campanularia carduella Allman.
Campanularia carduella ALLMAN
1882 p. 14, 28.
1883 p. 631, pl. 27, fig. 26-32,
pl. 28, fig. 1-3.
1883 (e) p. 499, 526.
1883 (e) p. 537.
1883 (e) p. 37.
1884 p. 9.
1884 p. 397.
1884 p. 152.
1885 (b) p. 910, 922.
1885 (d) p. 660.
1885 p. 86.
1886 (a) p. 12.
1886 ‘b) p. 329.
1886 p. 104.
1886 (b) p. 20, 41, 69, 70.
1887 (c) p. 40.
1888 p. 755, 775, 776, pl. 13,
fig. 1-3.
1889 p. 13, 25.
1890 p. 204, 206.
1885 (b) p. 922.
1888 p. 755, pl. 13, fig. 4-8.
-
1886 p. 139, pl. 7, fig. 1-2.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 63
Campanularia cheloniæ Alman.
Campanularia cheloniæ ALLMAN 1888 p. LXVIIT, 22, pl. 11, fig.
2, 24.
Car]
Campanularia chinensis Marktanner.
Campanularia chinensis MARKTANNER 1890 ‘p. 203, pl.-3, fig: 1.
Campanularia circula Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 263.
Campanularia circula Taompson 1887 p. 387, 391.
» » MARKTANNER 1890 p. 203.
Campanularia clytioides . (Lamouroux).
Voir : Matériaux III, p. 252 et IV, p. 263.
Campanularia compressa Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 263.
Campanularia coronata Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 263.
Campanularia crenata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 264.
Campanularia cylindrica d’ALLMAN.
Voir : Matériaux IV, p. 264.
Campanularia cylindrica de CLARK.
Voir : Matériaux IV, p. 264.
Campanularia cylindrica Fewxes 1889 (b) p. 101.
64 M. BEDOT
Campanularia decipiens (Wright).
Voir : Matériaux IT, p. 253 et IV, p. 264.
Campanularia decipiens LESLIE a. HekDMAN 1881 p. 13.
» » PENNINGTON 1885 p. 88.
Campanularia denticulata Clark.
Voir : Matériaux IV. p. 264.
Campanularia denticulata MaRKTANNER 1890 p. 205.
Campanularia everta Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 264.
Campanularia everta FEWKES 1889 (b) p. 104.
Campanularia exigua (Sars).
Voir : Matériaux III, p. 253 et IV, p. 265.
Campanularia exiqua MARION 1883 (b) p. 23.
» » CARUS SES pe QT en.
» » PENNINGTON 1883 p. 88.
PRO STANES » DRIESCH 1889 p. 194, 195.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » MARKTANNER 1890 p. 204.
Campanularia flexuosa (Alder).
Voir : Matériaux I, p. 430 ; II, p. 50; III, p. 253 et IV, p. 265.
Campanularia flexæuosa Srorm 1880 p. 123.
» » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 13.
Laomedea flexæuosa SCHMIDTLEIN 1881 p. 171.
Campanularia flexuosa VARENNE 1881 (a) p. 345.
» » VARENNE 1881 (b) p. 1032.
» » WEISMANN 1881 (a p. 64.
» » LENZ 1882 p. 171, 177.
» » STORM 1882 P. 13, 15, 28, 29.
» » VARENNE 1882 (b) p. 620, 621... 666, 667,
672, 678... 698, pl. 30,
fig. 1-5, pl. 31, fig. 1-2,
pl. 33, fig. 1-2, pl. 36,
fig. 1-4.
HISTOIRE
Campanularia flexuosa
» »
» »
» )
» »
» »
Laomedea gelatinosa
Campanularia flexuosa
Laomedea flexmosa
Campanularia flexuosa
» »
» »
» »
» )
» »
Laomedea flexzuosa
Campanularia flexuosa
» »
Laomedea flexuosa
Campanularia flezuosa
? » »
» »
» »
» »
LENDENFELD
MaARION
WEISMANN
BRAUN
CARUS
PIEPER
PIEPER
THOMPSON
LENDENFELD
PENNINGTON
THALLWITZ
HERDMAN
KÜKENTHAL u.
WEISSENBORN
Meccy, Hicks a.
HERDMAN
NicHoLs a. HADDON
METSCHNIKOFF
BÉTENCOURT
ALLMAN
BÉTENCOURT
Lo Bianco
BRAUN
DRIESCH
SEGERSTEDT
BOURNE
MaARKTANNER
DES HYDROÏDES. — V.
1883 (e) p. 549.
1883 (a) p. 29, 31.
1883 p. 4, 140, 144, 219, 2
226, 233, 241, 242,
26%, pl. 24, fig. 1-7.
1884 p. 90, 106, 114, 117, 120,
121.
1884 p. 9.
1884 p. 164.
1884 p. 149.
1884 p. 4, 8.
1885 (a) p. 352.
1885 p. 87, pl. 4, fig. 5.
1885 p.389, 390, pl. 12, fig. 1-9.
1886 (b) p. 329.
1886 p. 778.
1886 p. 104.
1886 p. 615.
1886 (b) p. 69.
1887 p. 67.
1888 p. XXXIV.
1888 p. 206.
1888 p. 388.
1889 p. 79.
1889 p. 194.
1889 p. 10, 14, 23.
1890 (b) p. 394.
1890 p. 20%, 205.
Campanularia fragilis Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 254 et IV, p. 265.
? Campanularia fragilis PenniGron
1885 p. 88.
Campanularia fusiformis Clark.
Campanularia fusiformis FEewkes
Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916.
Voir : Matériaux IV, p. 265.
1889 (b) p. 104.
66 M. BEDOT
Campanularia gegenbauri Sars.
Voir : Matériaux III, p. 254 et IV, p. 266.
Campanularia gigantea Hincks.
Voir : Matériaux IIL, p. 255 et IV, p. 266.
Campanularia gigantea Carus 1884 p. 9.
» » PIEPER 188% p. 164.
? » » PENNINGTON 1885 p. 88.
Campanularia gracilis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 266.
Campanularia grandis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 266.
Campanularia hincksi Alder.
Voir : Matériaux IIT, p. 255 et IV, p. 266.
Campanularia hincksi Storm 1882 p. 3, 14.
» » PENNINGTON 1885 p. 85.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » MELLY, HICKS a.
| HERDMAN 1886 p. 104.
» » _BERGH 1887 p. 333.
» » _BÉTENCOURT 1888 p. 206. |
» » KIRKPATRICK 1889 p. 446.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 13, 25. |
» » MARKTANNER 1890 p. 204. 1
Campanularia integra Macgillivray.
Voir : Matériaux IL, p. 53: LIL, p. 255 et IV, p. 266. ,
Campanularia integra LesLie a. HERDMAN 1881 p. 13. ÿ
» » CARUS 1884 p. 8.
; » PIBPER : "1884 p. 152. 4
» » PENNINGTON 1885 p. 86.
Le
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 67
Campanularia integra BERGH 1887 p. 333.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » MARKTANNER 1890 p. 206, 207.
Campanularia integriformis Marktanner.
Campanularia integri-
formis MARKTANNER 1890 p. 204, 206, pl. 3, fig. 2.
Campanularia juncea Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 267.
Campanularia juncea MARKTANNER 1890 p. 205.
Campanularia macrocyttara (Lamouroux).
Voir : Matériaux II, p. 53; ILE, p. 256 et IV, p. 267.
Campanularia macro-
cyltara BALE 1884 p. 56, pl. 2, fig. 6.
Campanularia macro-
cyllaria LENDENFELD 1885 (a) p. 402, 621.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 660.
Campanularia macro-
Cytharia LENDENFELD 1887 (c) p. 40.
Campanularia macroscypha Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 267.
Campanularia macro-
scypha FEWKES 1881 (a) p. 129.
Campanularia maior Meyen.
Voir : Matériaux [I, p. 53; HI, p. 256 et IV, p. 267.
Campanularia marginata Bale.
Campanularia marginata BALE 1884 p. 54, pl. 1, fig. 2.
_ Laomedea marginata LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 630.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
Campanularia marginata BALE 1888 p. 757, 758.
» » MARKTANNER 1890 p. 206.
68 M. BEDOT
Campanularia neglecta (Alder).
Voir : Matériaux IL, p. 256 et IV, p. 267.
Campanularia neglecta PENNINGTON 1885 p. 87.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » MEccY, Hicks a.
HerDMAN 1886 p. 105.
» » BERGH 1887 p. 339.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 204, 206.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 25.
Campanularia occidentalis Fewkes.
Campanularia occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 101.
Campanularia ptychocyathus Allman.
Campanularia ptycho-
cyathus ALLMAN 1888 p. LXIIT, LX VII, 20, pl. 10,
fig. 2, 24.
Campanularia pygmæa Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 267.
Campanularia raridentata Alder.
Voir : Matériaux III, p. 257 et IV, p. 267.
Campanularia rari-
dentata GRÆFFE 1884 p. 357.
» » PENNINGTON 1885 p. 88.
» » MEYSCHNIKOFF 1886 (b) p. 84.
» 2 HINCKS 1887 p. 133, pl. 12, fig. 5.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 207.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » BouRNE 1890 (b) p. 394.
» » MARKTANNER 1890 p. 205, pl. 3, fig. 3 a-b.
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 69
Campanularia reptans (Lamouroux).
Voir : Matériaux I, p. 432, I, p. 54, IL, p. 257 et IV, p. 267.
Campanularia reptans BALE 1884 p. d3, pl. 2, fig. 8.
Laomedea reptans LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 629.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 17.
Sertularia reptans DAI.LA TORRE 1889 p. 96.
Campanularia retroflexa Allman.
Campanularia retrofleæa Accman 1888 p. LXVII, LXVIIL, 21, pl.
11, fig. 1,10.
Campanularia (2) serrulata Bale.
Campanularia (?)
serrulata BALE 1888 p. 757, pl. 12, fig. 4.
Campanularia speciosa Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 267.
Campanularia (?) spinulosa Bale.
Campanularia (?)
spinulosa BALE 1888 p. 756,757, pl. 19, fig. 5-7.
Campanularia (?)
bispinosa BALE 1888 p. 796 (Explic. des pl.).
Campanularia thyroscyphiformis Marktanner.
Campanularia
thyroscyphiformis MARKTANNER 1890 p. 206, pl. 3, fig. 4.
Campanularia tincta Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 257 et IV, p. 268.
Campanularia tincta BALE 1882 p. 20.
» à BALE 1884 p. 37, pl. 1, fig. 4-6, pl.
19, fig. 29.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 621.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 660.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39.
M. BEDOT
Campanularia tulipifera Allman.
Campanularia tulipifera ArvLMAN
Campanularia tulpifera PFEFFER
1888 p. LXIV, LXVIITI, 20, pl.
10, fig. 1-1 b.
1890 p. 367.
Campanularia turgida Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 268.
Campanularia urceola Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 268.
Campanularia vermicularis van Beneden.
Voir : Matériaux IT, p. 258 et IV, p. 268.
Campanularia verticillata (Linné).
Voir : Matériaux [, p. 433; IT, p. 55
Campanularia verticillata BYeRLEY
» LESLIE à. HERDMAN
» THOMPSON
» PENNINGTON
» HERDMAN
» HERDMAN
» MELcLY, HIcks à.
HERDMAN
» BERGH
» BÉTENCOURT
» THOMPSON
» BÉTENCOURT
» DALLA TORRE
» DRIESCH
» SEGERSTEDT
» DRIESCH
» MARKTANNER
: JL p. 258 et IV, p. 268.
1854 p. 105.
1881 p. 13.
1884 p. 4, 8.
1885 p. 86.
1886 (a) p. 6.
1886 (b) p. 329.
1886 p. 104.
1887 p. 333.
1887 p. 67.
1887 p. 387, 389. 391.
1888 p. 207.
1889 p. 96.
1889 p. 19%, 198, 217, 223, 295,
fig. 11, 12.
1889 p. 14, 25.
1890 (b) p. 671, 679, 685.
1890 p. 203.
ana riadé — "ri 7 S s S nt à
AE
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. A
Campanularia volubiliformis Sars.
Voir : Matériaux IIT, p. 259 et IV, p. 269.
Campanularia volubili-
formis CaRUS 1884 p. 8.
» » PIEPER 1884 p. 149.
» » MARKTANNER 1890:p. 204.
Campanularia volubilis (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 433; IT, p. 56; III, p. 259 et IV, p. 269.
Campanularia volubilis Leuckarr 1847 (c) p. 87.
» » BYERLEY 1854 p. 105.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12.
» » STORM 1882 p. 14.
» » CaRUs 1884 p. 8, Ex. Syn. pp.
» » | GRÆFFE 1884 p. 397.
» » THOMPSON 1884 p. L, 8.
» » PENNINGTON 1885 p. 89.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » MELLY, Hicks a.
: HerDMAN 1886 p. 103.
» » HoyLE 1889 p. 460.
» » BOURNE 1890 ‘b) p. 394.
» » MARKTANNER 1890 p. 204, 205, 207, pl. 3,
fig. 5.
Gen. Campanulina van Beneden 1847.
Voir : Matériaux II, p. 57; UT, p. 260 et IV, p. 261.
Campanulina borealis Thompson.
Campanulina borealis THOMPSON 1887 p. 388, 389, 391, pl. 14,
fig. 1.
Campanulina languida Hæckel.
Voir : Matériaux IV, p. 269.
HæckeL (1879) a donné le nom de Campanulina lanqguida au Polype qui
FEAR M. BEDOT
doit produire la Méduse Phialidium lanquidum ; mais il ne l’a pas décrit. Les
citations relatives au Phialidium languidum se trouvent donc à leur place
parmi les Méduses.
Campanulina panicula G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 269.
Campanulina panicula Srorm 1882 p. 16, 28, 30.
Campanulina repens Allman.
Voir : Matériaux IIT, p. 260 et IV, p. 269.
Campanulina repens Lescie a. HERDMAN 1881 p. 13.
» » STORM 1882 p. 16.
» » PENNINGTON 1885 p. 93.
» » THOMPSON 1887 p. 391.
Campanulina tenuis van Beneden.
Voir : Matériaux II, p. 57; IIT, p. 260 et IV, p. 270.
Campanulina acuminata CLAUS 1881 (c) p. 94, 111.
» » LesLie à. HERDMAN 1881 p. 13.
» » STORM 1882 p. 16.
» » CLAUS 1883 p. 87.
Campanulina tenus CLAUS 1883 p. 87.
» » WEISMANN 1883 p. 240.
? Campanulina acuminala GRÆFFE 188% p. 398.
» » PENNINGTON 1885 p. 95.
Campanulina tenuis METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 85.
Campanulina acuminata BOURNE 1890 (b) p. 395.
Campanulina turrita Hincks.
Voir : Matériaux IT, p. 261 et IV, p. 270.
Campanulina turrita PENNINGTON 1885 p. 93.
» » DRIESCH 1889 p. 198.
» » MARKTANNER 1890 p. 210.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. F3:
Gen. Geratella Gray 1868.
Voir : Matériaux III, p. 261 et IV, p. 270.
STECHOW (1913), qui à pu faire une nouvelle étude du type de
Solanderia gracilis, a montré que le genre Ceratella devait être
supprimé, étant synonyme de Solanderia.
Ceratella fusca Gray.
Voir : Solanderia fusca.
Ceratella procumbens Carter.
Voir : Solanderia procumbens.
Ceratella spinosa Carter.
Voir : Solanderia spinosa.
Gen. Chitina Carter 1873.
Voir : Matériaux IV, p. 271.
Chitina ericopsis Carter.
Voir : Matériaux IV, p. 271.
Gen. Gionistes Wright 1861.
Voir : Matériaux III, p. 262 et IV, p. 271.
Cionistes reticulata Wright.
Voir : Matériaux III, p. 262 et IV, p. 271.
Clionistes reticulata Lesuie a, Herpman 1881 p. 8.
Cionistes reticuluta PENNINGTON 1885 p. 44.
74 M. BEDOT
Gen. Gladocarpus Allman 1874.
Voir : Matériaux IV, p. 271.
Cladocarpus compressus Fewkes.
Cladocarpus compressus FEWKES 1881 (a) p. 129, 135, pl. 1, fig.
D, 9, pl. 3, ie
Cladocarpus cornutus Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 271.
Cladocarpus crenatus (Fewkes).
A glaophenia crenata FEWKES 1881 (a) p. 129, 132.
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 135.
Cladocarpus crenatus var. allmani Ritchie 1909.
Cladocarpus formosus ALLMAN 1883 p. 2, 14, 50, 514, 55, pl. 16,
fig. 4, 3.
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXVI. LXIX.
Voir la note à Cladocarpus formosus.
Cladocarpus dolichotheca Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 271.
Cladocarpus dolichotheca ALLMAN 1883 p. 14, 50, 51.
Cladocarpus flexilis Verrill.
Cladocarpus flexilis VERRILL 1885 (a) p.517, 537, pl. 9, fig. 29.
» » VERRILL 1885 (b) p. 447.
Cladocarpus formosus Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 271.
Cette espèce a été établie en 1874 par ALLMAN, qui a cru la retrouver, plus
tard, dans les récoltes du CHALLENGER. Mais Rircnie (1909), qui a examiné
l'échantillon du CHALLENGER, a montré qu'il appartenait à une autre espèce,
C. crenatus, dont il représente une variété : var. allmani.
1
OT
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Cladocarpus paradiseus Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 272.
Cladocarpus paradisea FEWKES 1881 (a) p. 128.
1883 p. 14.
Cladocarpus paradiseus ALLMAN
1888 p. 137, fig. 436.
Cladocarpus paradisea AGassiz, À.
Cladocarpus pectiniferus Alman.
Cladocarpus pectiniferus ALLMAN 1883 p.14, 15, 50,52,55, pl. 17.
» » ALEMAN 1888 p. LIX, LXIT, LXIX.
Cladocarpus pourtalesi Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 272.
Hadocarpus speciosus Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 272.
Cladocarpus tenuis Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 272.
Cladocarpus ventricosus Alman.
Voir : Matériaux IV, p. 272.
Cladocarpus ventricosus FEWKES 1881 (a) p. 136.
» » ALLMAN 1883 p. 14, 50, 51.
BALE 1887 p. 76.
» »
Gen. Cladocoryne Rotch 1871.
Voir : Matériaux LIL, p. 262 et IV, p. 272.
Cladocoryne floccosa Rotch.
Voir : Matériaux IIT, p. 262 et IV, p. 272.
Cladocoryne floccosa Du PLEssis 1881 (a) p. 145.
» » Du PLessis 1881 (b) p. 176 ss., pl. 9.
» » HAMANN 1882 (a) p. 522, pl. 20, fig. 2.
» » GRÆFFE 1883 (b) p. 320.
76 M. BEDOT
Polycoryne helleri GRÆFFE 1883 (b) p. 202ss., pl. 1, fig. 1-5.
Cladocoryne floccosa WEISMANN 1883 p. 59, 97, 216, pl. 17, fig.
6-11.
» » CARUS 1884 p. 2.
» » GRÆFFE 1884 p. 353.
» » PIEPER 1884 p. 149.
) » PENNINGTON 1885 p. 78.
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 430
) » Du PLESsIs 1888 p. 534.
» » Lo Branco : 1888 p. 387.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 606.
» » MAaRKTANNER 1890 p. 202.
Cladocoryne haddoni Kirkpatrick.
Cladocoryne haddoni KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 605, pl. 44,
fig. 2
me
Cladocoryne pelagica Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 272.
Cladocoryne pelagica Du PLEssis 1881 (b) p. 178, 190, 195.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 606.
Gen. Cladonema Dujardin 1843.
Voir : Matériaux Il, p. 58; IIT, p. 263 et IV, p. 273.
Cladonema radiatum Dujardin.
Voir : Matériaux II, p. 58 et 132; III, p. 263 et IV, p. 273.
Cladonema radiatum Du PLEssis 1881 (a) p. 144.
» » Du PLessis 1881 (b) p. 179.
» » JICKELI 1883 p. 602, pl. 26, fig. 1-10.
» » LENDENFELD 1883 (e) p. 502.
» » WEISMANN 1883 p. 119, 130, 218, 258,
l pl. 192, fig. 2-5.
» » CARUS 1884 p. 26.
» » GRÆFFE 1884 p. 353.
» » PENNINGTON 1885 p. 53.
SCT PEN OP RPE
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Cladonema dujardini HARTLAUB 1887 p. 655.
Cladonema radiatum HARTLAUB 1887 p. 655.
» » Du PLESSIS 1888 p. 5306.
Stauridium cladonema Du PLessis 1888 p. 536.
Cladonema radiatum Lo Bianco 1888 p. 387.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 22, 23.
Gen. Clava Gmelin 1788.
Voir : Matériaux I, p. 435; IT, p. 58; IIL, p. 263 et IV, p. 273.
Clava diffusa Allman.
Voir : Matériaux IIL, p. 263 et IV, p. 273.
Clava diffusa PENNINGTON 1885 p. 37.
Clava leptostyla XL. Agassiz.
Voir : Matériaux IIL, p. 264 et IV, p. 273.
Clava leptostyla PILLSBURY 1882 p. 181, pl.
» » PENNINGTON 1885 p. 37.
» » Mezzy, HIcks a.
HERDMAN 1886 p. 97.
» » CLARKE 1888 p. 79, fig. 70.
Clava multicornis (Forskàl).
Voir : Matériaux I, p. 435; IL, p. 58; III, p. 264 et IV, p. 274.
Clava multicornis BYERLEY 1854 p. 103.
» » DANIELSSEN 1861 p. 46.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 7.
» » STORM 1882 p. 5, 28-30.
» » CARUS 1884 p. 1, ex. syn. pp.
» » PENNINGTON 1885 p. 36, pl. 2, fig. 1.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 8.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » KÜKENTHAL U.
Werssexsorx 1886 p. 778.
1
=
78
Clava multicornis
Clava nodosa
» »
Clava simplex
» »
» »
M. BEDOT
MELzzy, Hicxs a.
HERDMAN
BÉTENCOURT
BÉTENCOURT
Du PLessis
SEGERSTEDT
BOURNE
1886 p.
1887 p.
1888 p.
1888 p.
1889 p.
STE
66.
204.
30.
22.
1890 (b) p. 391.
Clava nodosa Wright.
Voir : Matériaux IIL, p. 265 et IV, p. 274.
LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 7.
PENNINGTON
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
1885 p.
37.
Clava simplex Lendenfeld.
1885 (a) p. 349, 621.
1883 (d)
p. 627.
1887 (c) p. 16.
Clava squamata (Müller).
Voir : Matériaux [, p. 435; IT, p. 59; III, p. 265 et IV, p. 274.
Coryne squamata
Clava squamata
Clava cornea
» )
Clava squamata
LEUCKART
LESLIE a. HERDMAN
LENZ
STORM
WEISMANN
BALE
GRÆFFE
PENNINGTON
THALLWITZ
_DALLA TORRE
SEGERSTEDT
- BOURNE
MARKTANNER
_ MARKTANNER
1847 (c) p. 87.
1881 p.
1882 p.
1882 p.
1883
1884
1885
1885
1889 p.
1889 p.
P
P
1884 D.
P
P
2e
177.
>, 29.
. 21, 215, pl. 5, fig. 4-12.
UT
347.
37: Dl2,0S: 2:
. 389, 412, pl. 13, fig.
21-99.
96.
6, 23.
1890 (b) p. 391.
1890 p.
1890 p.
+99
199
|
À
1
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 79
Gen. Clavopsis Græffe 1883.
Pour STECHOW (1913) ce genre est synonyme de Diplura.
Clavopsis adriatica Græfte.
Clavopsis adriatica GRÆFFE 1883 (a) p. 82ss., pl. (sans n°).
Gen. Clavula Wright 1859.
Voir : Matériaux III, p. 267.
Ce genre, qui avait été supprimé, à été rétabli.
Voir la note au genre Turris.
Clavula neglecta (Lesson).
Syn. : Turris neglecta Lesson.
Voir : Matériaux I, p. 488; II, p. 152; IIL, p. 403 et IV, p. 387.
Syn.: Turritopsis polynema Hæckel.
Voir : Matériaux IT, p. 443 et IV, p. 435.
Turris neglecta LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 7.
» » WEISMANN 1883 p. 26.
» » PENNINGTON 1885 p. 39, pl. 2, fig. 3.
Oceania polycirrha BROOKS 1886 p. 387.
Turris neglecta CLUBB 1886 p. 115.
Oceania globulosa M’INTosH 1889 p. 289, 293.
» » M’Ixrosx 1890 (b) p. 297.
HarrLauB (1911) réunit cette espèce à Turritopsis nutricula et à Dendroclava
dohrni, sous le nom de Turritopsis polycirrha.
Gen. Clytia Lamouroux 1812.
Voir : Matériaux I, p. 436 ; II, p. 60; IIL, p. 267 et IV, p. 275.
2 Clytia elongata Marktanner.
? Clytia elongata MARKTANNER 1890 p. 215, pl. 3, fig. 11.
s0 M. BEDOT
Clytia eucopophora Hæckel.
Voir : Matériaux IV, p. 275.
Méduse : Eucopium primordiale.
Clytia eucopophora WEISMANN 1883 p. 158.
HæckeL (1879) à donné le nom de Clylia eucopophora au Polype qui produit
la Méduse Eucopium primordiale. Mais il ne l’a pas décrit et s’est borné à dire
qu’il ressemblait beaucoup à Clytia johnstoni.
Clytia flavidula Metschnikoff.
Clytia flavidula METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241-243, 257, 260,
pl. 22, fig. 9-10, 15.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20... 86; pl. 2, fig.
1-12, 21-23, 25-36,
pl. 3, fig. 1-8.
Clytia intermedia L. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 268 et IV, p. 275.
Clytia johnstoni (Alder).
Voir : Matériaux IT, p. 60; II, p. 268 et IV, p. 275.
Epenthesis bicophora CLAUS 1881 (c) p. 117.
Clytia johnstoni . Du PLESssis 1881 (a) p. 147.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12.
» » SCHMIDTLEIN 1881 p. 171.
Clytia bicophora BROOKS 1882 p. 139.
Clytia johnstoni STORM 1882 p. 3, 12, 28, 29.
» » VARENNE 1882 (b) p. 697.
Clythia johnstoni CLAUS 1883 p. 87.
Clytia johnstoni WEISMANN 1883 p. 158, 159, 220.
Eucope affinis CARUS 1884 p. 28.
Eucope campanulata CARUS 1884 p. 28.
Clythia johnstoni GRÆFFE 1884 p. 356.
Clytia johnstoni KLAATSCH 1884 p. 540, 565, 575.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. S1
? Clytia pohnstoni var. KLAATSCH 1884 p. 540 ss., pl. 25-27.
Clytia johnstont PIEPER 1884 p. 152.
» » REES 1884 p. 577, >89.
» » PENNINGTON 1885 p. 79, pl. 4, fig. 2.
» » VERRILL 1885 (a) p. 537.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
Clytia volubilis LORENZ 1886 p. 28.
Clytia johnstoni MELLY, HICKs a.
HERDMAN 1886 p. 191.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 242.
» » Nicaos a. Happon 1886 p. 615.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 204, 207.
» » Lo BIANCO 1888 p. 387.
» » M’INrosH 1889 p. 268.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 11, 25.
» » BourNE 1890 (b) p. 394.
» » M'Ixrosa 1890 (b) p. 303.
» » MARKTANNER 1890 p. 205.
Clytia volubilis MARKTANNER 1890 p. 215.
Clytia volubilis var. MARKTANNER 1890 p. 216, pl. 3, fig. 42:
Clytia lævis W eismann.
Clytia lævis WEISMANN 1883 p. 158, 159, 220.
Clytia noliformis (Mac Crady).
Voir : Matériaux IIT, p. 270 et IV, p. 276.
Campanularia noliformis Brooks 1882 p. 136, 138.
Platypyæis cylindrica Brooks 1882 p. 138, 139.
Clytia viridicans Metschnikoff.
Clytia viridicans Merscanikorr 1886 (a) p. 241-243, 257, 260,
pl. 29, fig. 11-13, 16.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20.....85, pl. 2, fig.
k 43-20, 24, pL. 3, fig. 9.
À Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 6
82 M. BEDOT
Gen. Cordylophora Allman 1844.
Voir : Matériaux IL, p. 62; IIT, p. 271 et IV, p. 277.
Cordylophora lacustris Allman.
Voir: Matériaux IL, p. 62; III, p. 271 et IV, p. 277.
Cordylophora lacustris WEISMANN 1881 (c) p. 26.
» » LENZ 1882 p: 171 477:
» » JICKELI 1883 p. 601.
» » WEISMANN 1883 p. 2, 29, 215, fig. 5-6, pl.
15, fig. 6-7, pl. 16, fig. 3.
» » MARTENS 1883 p. 198.
» » BRAUN 1884 p. 90, 106, 114, 417, 119.
» » KRÆPELIN 1884 p. 319.
» » PENNINGTON 1885 p. 40, pl. 2, fig. 4.
» » Porrs 1885 p. 218, 219.
» » KRÆPELIN 1886 p. 6, 8.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 69.
» » NusSBAUM 1887 (c) p. 282.
» » ALLMAN 1888 p. L.
» » CLARKE 1888 p. 78. fig. 69.
» » ZACHARIAS 1888 p. 22z.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 678.
» » MARKTANNER 1890 p. 199.
» » WAGNER 1890 p. 281.
Cordylophora whiteleggei Lendenfeld.
Cordylophora whiteleggei LENDENFELD 1886 (b) p. 97, 98, pl. 6, fig.
11-12.
Cordylophora whitelegqii MARKTANNER 1890 p. 199.
Cette espèce est très probablement synonyme de C. lacustris, comme le
pense SrecHow (1919).
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 99
Gen. Corydendrium van Beneden 1844.
Voir : Matériaux I, p. 437 ; Il, p. 62; III, p. 272 et IV, p. 278.
Corydendrium parasiticum (Linné).
Voir : Matériaux I, p. #37; II, p. 62; III, p. 272 et IV, p. 278.
Corydendrium parasi-
ticum Du PLESSIS 1881 (a) p. 146.
» » HAMANN 1882 (a) p. 524, pl. 20, fig. 8,
pl. 21, fig. 18-19.
) ) MÉREJKOWSK Y 1883 (a) p. 82.
» » WEISMANN 1883 p. 34, 215, 252, 261, 289,
ps
fig. 7, pl. 14, 15, fig.
1-5, pl. 16, fig. 1, 2, 4.
» ) CARUS 1884 p. 1.
» » THALLWITZ 1885 p. 434.
» » Du PLESsIs 1888 p. 530.
» » Lo BraNco 1888 p. 387.
» » LOMAN 1889 p. 263, 264, fig. 2.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 678-680, fig. 6.
» » ISCHIKA WA 1890 p. 456, pl. 20, fig. 71.
» » MARKTANNER 1890 p. 200.
Gen. Corymorpha Sars 1835.
Voir : Matériaux IL, p. 63; II, p. 273 et IV, p. 278.
Corymorpha antarctica Pfefter.
Corymorpha antarctica PFRFFER 1889 p. 53.
» » PFEFFER 1890 p. 518, 567.
Corymorpha nutans Sars.
Voir : Matériaux IL, p. 63; IL, p. 273 et IV, p. 278.
Corymorpha nutans Du PLESsIs 1881 (a) p. 147.
» » LESLIE a. HERDMANX 1881 p. 11.
84 M. BEDOU
Corymorpha nutans WEISMANN 1881 (b) p. 10.
» » WEISMANN 1883 p. 129.
» » PENNINGTON 1885 p. 77, pl. 4, fig. 4.
» » HADDON 1886 (a) p. 524, 525.
» » MELcy, HIcks a.
HERDMAN 1886 p. 101.
Steenstrupia galanthus DaLLa TORRE 1889 p. 95.
Steenstrupia flaveola FEWKES 1889 (b) p. 109.
Steenstrupia rubra FEWKES 1889 (b) p. 109.
Corymorpha nutans LOMAx 1889 p. 269, 270.
» » BOURNE 1890 (b) p. 394.
Gen. Coryne Gærtner 1774.
Voir : Matériaux I, p. L37; Il, p. 63; III, p. 274 et IV, p. 278.
Coryne cæspes Allman.
Voir : Matériaux IIL, p. 274 et IV, p. 279.
Coryne cæspes CARUS 1884 p. 2.
Coryne cerberus Gosse.
Voir : Matériaux IIL, p. 274 et IV, p. 279.
Slauridia cerberus Du PLESsIs 1888 p. 537.
Coryne conferta Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 279.
Coryne conferta PFEFFER 1890 p. 567.
Coryne vel Syncoryne cylindrica Kirkpatrick.
Coryne vel Syncoryne
cylindrica KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 605, pl. 14,
| fig: 4.
Coryne fruticosa Hincks.
Voir : Matériaux IIT, p. 275 et IV, p. 279.
Coryne fruticosa PENNINGTON 1885 p. 48.
» » BERGH RA8S7 p:t338:
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 99
Coryne fruticosa BÉTENCOURT 1888 p. 202.
) » BOURNE 1890 (b) p. 392.
» » MARKTANNER 1890 p. 200.
Coryne fucicola (Filippi).
Voir : Matériaux IIT, p. 275 et IV, p. 279.
Halobothrys fucicola CARUS 1884 p. 2.
Coryne vermicularis PENNINGTON 1885 p. 48.
» » . BÉTENCOURT 1888 p. 202.
Coryne fucicola Du PLEssIs 1888 p. 533.
Coryne muscoides (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 438; Il, p. 63; IT, p. 275 et IV, p. 279.
Coryne vaginata WEISMANN 1883 p. 49.
» » PENNINGTON 1885 p. A7.
oh » HADDON 1886 (a) p. 524.
» » Du PLESSIS 1888 p. 533.
» » BOURNE 1890 (b) p. 392.
Coryne nutans Allman.
g Voir : Matériaux III, p. 276 et IV, p. 279.
? Coryne nutans PENNINGTON 1885 p. 49.
Coryne pusilla Gærtner.
Voir : Matériaux I, p. 438; Il,/p. 64; II, p. 276 et IV, p. 279.
Coryne pusilla BYERLEY 1854 p. 103.
» » LEsLie a. HERDMAN 1881 p. 8.
» » WEISMANN 1881 (a) p. 61.
» » STORM 1882 p. 6, 7, 28-30.
» » JICKELI 1883 p. 611.
» » LENDENFELD 1883 (e) p. 540.
Ds, » WEISMANN 1883 p. 49, 216, pl. 13, fig. 1,
9, 4, 9-11, 13-14, 16.
€ » » CARUS 1884 p. 2.
! » » PENNINGTON 1885 p. 46, pl. 3, fig. 2.
» » HaDDoN 1886 (a) p. 24.
86 M. BEDOT
Coryne pusilla HERDMAN 1886 (a) p. 8.
» » Meccy, HIcks à.
HERDMAN 1886 p. 98.
» » THOMPSON 1886 p. 317.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» » Du Pcessis 1888 p. 533.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23.
» » BouRNE 1890 (b) p. 392.
Coryne pusilla var. napolitana.
Goryne pusilla
var. napolitana WEISMANN 1883 p. 49, pl. 13, fig. 3, 5-8,
12:19, M7EUS
Gen. Corynitis Mac Crady 1859.
Voir : Matériaux III, p. 278 et IV, p. 280.
Corynitis agassizi Mac Crady.
Voir : Matériaux IIL, p. 278 et IV, p. 280.
Corynitis agassizi BROOKS 1882 p. 136.
Gen. Corynopsis Allman 1864.
Voir : Matériaux III, p. 279 et IV, p. 280.
Corynopsis alderi (Hodge).
Voir : Matériaux III, p. 279 et IV, p. 280.
Corynopsis alderi PENNINGTON 1885 p. 44.
Gen. Cryptolaria Busk 1857.
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 280.
Cryptolaria abies Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 281.
Cryptlolaria abies FEWKES 1881 (a) p. 127, 128, 130, pl. 4,
fig. 3, 8.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Cryptolaria abyssicola Allman.
1888 p. LVII,, LXIV, LX VIII,
ALLMAN
31. 38, 40, 42, pl. 18,
Cryptolaria abyssicola
fig. 2,2 a.
Cryptolaria conferta Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 281.
1881 (a) p. 128-130.
Cryptolaria conferta FEWKES
» » QUELCH 1885 (a) p. 1, 3, pl. 2, fig. 1.
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 136, fig. 434, 435.
Cryptolaria crassicaulis Allman.
1888 p. LVII, LXVII, LXVI,
L1, pl. 19, fig. 3, 3 a.
1889 p. 198.
Cryptolaria crassicaulis ALLMAN
» DRIESCH
Cryptolaria diffusa Allman.
1888 p. LVIT, LXIIT, LX VII, 38,
ALLMAN
&S pl 21 62h re
Cryptolaria diffusa
Cryptolaria elegans Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 281.
Cryptolaria exserta Johnston.
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281.
Cryptoluria flabellum Allman.
Cryptolaria flabellum ALLMAN 1888 p. LVIT, LXIT, LXVIEL. 40,
pl. 19; fie. a.
Cryptolaria geniculata Allman.
1888 p. LVII, LXV, LXVIIL, 38,
41, pl. 20, fig. 1,1 4, 1 6.
1889 p. 198.
Cryptolaria geniculata ALLMAN
» DRIEsCH
88 M. BEDOT
Cryptolaria gracilis Allman.
Cryptoluria gracilis ALLMAN 1888 p. LVII, LXV, LX VIII, 42,
pl. 20, fig. 2, 2 a.
Cryptolaria humilis Allman.
Cryptolaria humilis ALLMAN 1888 p. LVII, LXII, LXVIIL, 39,
pl. 18, fig. 1-1 b.
Cryptolaria longitheca Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 281.
Cryptolaria longitheca FEWKkEs 1881 (a) p. 128.
Cryptolaria prima Busk.
Voir : Matériaux II, p. 280 et IV, p. 281.
Cryptolaria prima KIRCHENPAUER 1884 p. 16.
» » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 13.
Cryptolaria pulchella Allman.
Cryptolaria pulchella ALLMAN 1888 p. LVII, LXVII, LXVII,
40, pl. 49,0. 22240
» » DRIESCH 1889 p. 198.
Gen. Cuspidella Hincks 1866.
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281.
Cuspidella costata Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281.
Cuspidella costata PENNINGTON 1885 p. 99.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83.
» » BOURNE 1890 (b) p. 395.
Cuspidella grandis Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 282.
Cuspidella grandis PENNINGTON 1885 p. 99.
» » VERRILL 1885 (a) p. 537.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 09
Cuspidella grandis METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
Cuspidella humilis Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 282.
Cuspidella humilis CARUS 1884 p. 10.
» » PIEPER 1884 p. 165.
» » PENNINGTON 1885 p. 99.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83.
Calycella humilis HALLEZ 1889 p. 40.
Cuspidella pedunculata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 282.
Gen. Dehitella Gray 1868.
Voir : Matériaux IIL, p. 280 et IV, p. 282.
Dehitella atrorubens Gray.
Voir : Matériaux IIE, p. 281 et IV, p. 282.
Dehitella atrorubens BALE 1884 p. 48, 49.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 612, 631.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 667.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 45.
Gen. Dendroclava Weismann 1883.
Voir la note à : Clavula neglecta.
Dendroclava dohrni Weismann.
Dendroclava dohrni WEISMANN 1883 p. 26, 245, pl. 12, fig. 6-9.
» » Brooks 1886 p. 389, 391.
» » Du PLessis 1888 p. 531.
90 M. BEDOT
Gen. Desmoscyphus Allman 1876.
Voir : Matériaux IV, p. 282.
Desmoscyphus acanthocarpus Alman.
Desmoscyphus acantho-
CATPUS ALLMAN 1888 p. LXIII, LXIX, 73, pl. 53,
fig. 2-2c.
Desmoscyphus buski Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 282.
Desmoscyphus buskri BaLx 1887 p. 103.
Desmoscyphus humilis Armstrong.
Voir : Matériaux IV, p. 283.
Desmoscyphus longitheca Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 283.
Desmoscyphus longitheca Barr 1884 p. 101.
Desmoscyphus pectinatus Allman.
Desmoscyphus pectinatus ALLMAN 1888 p. LIX, LXIIT, LXV, LXIX,
70, 71, pl. 34, fig. 1-1 b.
Gen. Dicoryne Allman 1859.
Voir : Matériaux III, p. 281 et EV, p. 283.
Dicoryne annulata Lendenfeld.
Dicoryne annulata LENDENFELD 1885 (a) p. 491, 628, pl. 17,
tig. 30.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 648.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 31.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 91
Dicoryne conferta Alder.
Voir : Matériaux III, p. 281 et IV, p. 283.
Dicoryne conferta LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11.
» » PENNINGTON 1885 p. 68.
» » HOYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24.
Dicoryne flexuosa G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 283.
Dicoryne flexuosa VERRILL 1885 (a) p. 536.
Gen. Dictyocladium Allman 1888.
Dictyocladium dichotomum Allman.
Dictyocladium dicho-
lomum ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 29, 76,
77, pl. 36, fig. 2-2 a.
Biccaro (1910) fait rentrer cette espèce dans le genre Selaginopsis.
Gen. Diphasia L. Agassiz 1862.
Voir : Matériaux 1, p. 439; II, p. 66; II, p. 281 et IV, p. 283.
Diphasia alata Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 282 et IV, p. 285.
Diphasia alata PENNINGTON 1885 p. 112.
Thuiaria pharmacopola ALTMAN 1888 p. LVIIL, LXIT, LXIX, 66,
pl. 31, fig. 1-1 d.
Phujaria pharmacopola Diasscu 1889 p. 213.
Diphasia alata MARKTANNER 1890 p. 237.
Diphasia attenuata Hincks.
Voir : Matériaux 1, p. 439; IL, p. 66; IIT, p. 282 et IV, p. 284.
Diphasia attenuata LESLIE a. HerpMAN 1881 p. 15.
» » BALE 1882 p. 19.
92 M. BEDOT
Diphasia altenuata BALE 1884 p. 31, 100, pl. 9, fig. 2.
» » CaARUS 1884 p. 12.
» » GRÆFFE 1884 p. 356.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 17.
? Dynamena atlenuata PIEPER 1884 p. 186.
Diphasia attenuata LENDENFELD 1885 (a) p. 415, 623.
» » LENDENFELD 18835 (d) p. 633.
» » PENNINGTON 1885 p. 109.
» » HADDox 1886 (a) p. 525.
» » MEezcy, HICks a.
HERDMAN 1886 p. 109.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 210.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HoyLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 18, 26.
Diphasia bipinnatä Allman.
Diphasia bipinnata ALLMAN 1886 p. 136, pl. 12, fig. 1-2.
Diphasia corniculata (Murray).
Voir : Matériaux III, p. 282 et IV, p. 284.
Diphasia coronifera Allman.
Voir ; Matériaux III, p. 282 et IV, p. 284.
Diphasia coronifera Quer.cx 1885 (a) p. à.
Diphasia digitalis (Busk).
Syn.: Sertularia digitalis Busk.
Voir : Matériaux IN, p. 368 et IV, p. 363.
Diphasia digitalis BALE 1884 p. 98, 101, pl. 9, fig. 3-5.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 415, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 633.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 93
Diphasia elegans G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 284.
Diphasia elegans QueLcH 1885 (a) p. à.
» » MARKTANNER 1890 p. 251.
Diphasia fallax (Johnston).
Voir : Matériaux IT, p. 113; III, p. 282 et IV, p. 284.
Sertularia fallax DANIELSSEN 1861 p. 47.
Diphasia fallax LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15.
» » STORM 1882 p. 10, 14, 20, 24.
? Dynamena pinnata BALE 188% p. 73.
Diphasia fallax KIRCHENPAUER 1884 p. 17.
» » PENNINGTON 1885 p. 110.
» » MELLY, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 109.
» » HoyLe 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 17, 26.
» » MARKTANNER 1890 p. 237.
Diphasia mutulata (Busk).
Syn. : Sertularia mutulata Busk.
Voir : Matériaux IIT, p. 372 et IV, p. 365.
Diphasia mutulata BALE 1884 p. 98, 101, pl. 9, fig. 6-9.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 416, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 633.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
» » MARKTANNER 1890 p. 237.
Diphasia pinaster (Ellis et Solander).
Voir : Matériaux I, p. 442; II, p. 69; IT, p. 283 et IV, p. 285.
Sertularia margarila BYERLEY 1854 p. 104.
Diphasia pinaster CARUS 1884 p. 12.
» » PENNINGTON 1885 p. 110.
» » Quezca 1885 (a) p. 1, 5.
» » Mezcy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 109.
94%
Diphasia pinaster
M. BEDOT
ALLMAN
DRIESCH
HoYLE
BOURNE
BOURNE
1888 p. LVI, LVII, LXIL, LXIX,
63, pl. 30, fig. 2-2 c.
1889 p. 213.
1589 p. 460.
1890 (a) p. 319.
1890 (b) p. 396.
Diphasia pinaster var. arcuata.
Diphasia pinaster
var.
arcuata
QUELCH
1885 (a) p. à.
Diphasia pinnata (Pallas).
Voir : Matériaux I, p. 472; IX, p. 115; IIL, p. 284 et IV. p. 285...
Diphasia pinnata
31, 98, pl. 9, fig. 4.
81.
1885 (a) p. 415, 623.
1885 p. 111, pl. 6, fig. 3.
BALE 1882 p. 19.
BALE 1884 p.
CARUS 1884 p. 13.
REES 1884 p.
LENDENFELD
LENDENFELD 1885 (d) p. 632.
PENNINGTON
LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
HALLEZ 1889 p. 40.
Diphasia rosacea (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 444 ; IT, p. 74; III, p. 285 et IV, p. 285.
Sertularia rosacea
Diphasia rosacea
»
»
Dynamena rosacea
Diphasia rosacea
BYERLEY 1854
LESLIE a. HERDMANX 1881
BALE 1884
BALE 1884
PENNINGTON 1885
HERDMAN
MELcy. Hicks a.
HERDMAN 1886
BÉTENCOURT 1887
BÉTENCOURT 1888
DRIESCH 1889
SEGERSTEDT 1889
MARKTANNER 1890
Etes Or Er D ©
. 104.
15:
1400; 107:
73.
. 109.
1886 (b) p. 330.
. 108.
67.
Ca10,) 2144;
213.
48:26:
238.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 95
Diphasia scalariformis Kirkpatrick.
Diphasia scalariformis KiRKPATRICK 1890 (a) p. 60%, 605, 609, pl.
15, fig. 3.
Diphasia subcarinata (Busk).
Syn. : Sertularia subcarinata Busk.
Voir : Matériaux III, p. 377 et IV, p. 368.
Diphasia sub-carinata BALE 1882 p. 45.
Sertularia sub-carinata BALE 1882 p. 18.
Diphasia sub-carinata BALE 1884 p. 98, 102, pl. &, fig. 1,
pl. 19, fig. 18.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 416, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 633.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Diphasia tamarisca (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 476; IL, p. 116; II, p. 286 et IV, p. 285.
Sertularia lamarisca BYERLEY 1854 p. 104.
Diphasia tamarisca LesLie a. HERDMANX 1881 p. 15.
» » STORM 1882 p:39;, 21, 27.
» » CARUS 1884 p. 13.
» » PENNINGTON 1885 p. 111, pl. 6, fig. 2.
» » MELLY, Hicxs a.
» » HerpMaAN 1886 p. 109.
» » DRiIEsCH 1889 p. 213.
» » HOyYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 17, 26.
Gen. Diplocheilus Allman 1855.
Voir la note au genre Kirchenpaueria.
Diplocheilus mirabilis Allman.
1883 p. 49, pl. 8, fig. 4-7.
1885 (a) p. 48, 627.
ALLMAN
LENDENFELD
Diplocheilus mirabilis
» »
96 M. BEDOT
Diplocheilus mirabilis LENDENFELD 1885 (d) p. 644.
» » BALE 1887 p. 91.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX.
» » BALE 1888 p. 775, 776.
Diplocheilus productus (Bale).
Plumularia producta BALE 1882 p. 39, 46, pl. 15, fig. 1.
» ) BALE 1884 p. 133, pl. 10, fig. 4.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
» » BALE 1887 P. 76, 96.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Azygoplon productum BALE 1888 p. 774, 783, pl. 19, fig. 1-5.
Plumularia producta BALE 1888 p. 773.
Gen. Diplocyathus Allman 1888.
Diplocyathus dichotomus Allman.
Diplocyathus dichotomus ALLMAN 1888 p. LXV, LX VIII, 17, pl. 8,
fig. 1-3.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Gen. Diplura Greene-Allman 1864.
Voir : Matériaux II, p. 66; IIT, p. 287 et IV, p. 286.
Diplura fritillaria (Steenstrup).
Voir : Matériaux Il, p. 66; III, p. 288 et IV, p. 286.
Amphicodon fritillaria DarLA Torre . 1889 p. 95.
Gen. Dynamena Lamouroux 1812.
Voir : Matériaux I, p. 439 ; IL, p. 66; IIL, p. 288 et IV, p. 286.
Dynamena bilateralis Brooks.
Dynamena bilatteralis Brooks 1882 p. 136, 142.
Dinamena bilateralis BROOKS 1884 p. 711.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 97
Dynamena lucernaria Kirchenpauer.
Voir: Matériaux II, p. 289 et IV, p. 286.
Dynamena pluridentata Kirchenpauer.
Voir : Matériaux III, p. 290 et IV, p. 286.
Dynamena serra sec. Heller.
Voir : Matériaux [IT, p. 290 et IV, p. 287.
Dynamena serra PIEPER 188% p. 186, 187.
Dynamena tubuliformis Marktanner.
Dynamena tubiformis MARKTANNER 1890 p. 234.
Dynamena tubuliformis MaAukTANNER 1890 p. 238, pl. 4, fig. 10.
Gen. Ectopleura L. Agassiz 1862.
Voir : Matériaux II, p. 292 et IV, p. 287.
Ectopleura dumortieri (van Beneden).
Voir : Matériaux IE, p. 126; III, p. 292 et IV, p. 287.
Ectopleura dumortieri FEWKES 1882 (b) p. 296.
» » GRÆFFE 1884 p. 394.
» » PENNINGTON 1885 p. 76.
» » MEeLzzy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 101.
» » DaALLA TORRE 1889 p. 95.
Gen. Eleutheria Quatrefages 1842.
Voir : Matériaux IV, p. 287.
Eleutheria dichotoma Quatrefages.
Voir : Matériaux IL, p. 133; IL, p. 413 et IV, p. 287.
Clavatella prolifera Du PLESSIS 1881 (a) p. 145.
Eleutheria dichotoma Du P£Lessis 1881 (a) p. 146.
» » Du PLESsIs 1881 (b) p. 179.
Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 7
98
Clavatella prolifera
Eleutheria dichotoma
» »
Clavatella prolifera
Eleutheria
Clavatella prolifera
) »
Eleutheria dichotoma
» )
M. BEDOT
WEISMANN
CARUS
GRÆFFE
PIEPER
PENNINGTON
HARTLAUB
HARTLAUB
HARTLAUB
Du PLESSIs
Du PLEssis
HARTLAUB
1883 p. 298.
1884 p. 26.
1884 p. 353.
1884 p. 149.
1885 p. 57.
1886 p. 707.
1886 p. 706.
1887 p
1888 p
1888 p. 536, 537.
1889 p
Gen. Eucopella Lendenfeld 1883.
Eucopella campanularia Lendenfeld.
Eucopella campanularia LENDENFELD
» »
» »
» »
» )
Eucopella campanula
Eucopella campanularia
LENDENFELD
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
MARKTANNER
WAGNER
1883 (c) p. 188.
1883 (e) p. 497 ss., pl. 27-32.
1884 p. 60.
1885 (a) p. 352, 608, 630.
1885 (d) p. 658.
1887 (a) p. 38.
1888 p. 748, 751, pl. 13, fig.
9-13.
1890 p. 211.
1890 p. 300.
Gen. Eudendrium Ehrenberg 1834.
Voir : Matériaux I, p. 445; IT, p. 74; III, p. 293 et IV, p. 288.
Eudendrium annulatum Norman.
Voir : Matériaux III, p. 293 et IV, p. 288.
Eudendrium annulatum LENDENFELD
» »
» »
» )
D) )
» ))
PENNINGTON
QueLca
LORENZ
SEGERSTEDT
MARKTANNER
1885 (a) p. 351, 353.
1885 p. 61.
1885 (a) p. 2.
1886 p. 25.
1889 p. 8, 21.
1890 p. 200.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. = V. 99
Eudendrium arbuscula Wright.
Voir : Matériaux LI, p. 293 et IV, p. 288.
Eudendrium arbuscula Lestie a. HerpMAN 1881 p. 9.
» » STORM 1882 p. 3, 9, 28, 29.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 391, 353.
» » PENNINGTON 1585 p. 61.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 9, 24.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 608.
Eudendrium armatum Tichomiroff.
Eudendrium armatum TICHOMIROFF 1890 p. 276, 277, 298-300.
» » WAGNER 1890 p. 276, 277, 298-300.
Eudendrium attenuatum Allman.
Voir : Matériaux [V, p. 288.
Cette espèce doit être supprimée, sa description étant trop incomplète pour
qu'il soit possible de la reconnaître.
Eudendrium capillare Alder.
Voir : Matériaux IIT, p. 293 et IV, p. 288.
Syn.: Eudendrium tenue À. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 297 et IV, p. 291.
Eudendrium capillare Lestie a. HERDMAN 1881 p. 9.
» » WEISMANN 1881 (a) p. 114.
» » WEISMANN 1881 (bp, 2207 AU Dit
fer.
» » STORM 1882 p. 8, 28.
» ) WEISMANN 1883 p. 5, 6, 91, 109, 218, pl.
1-2.
» » CARUS 1884 p. à.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353.
Eudendrium tenue LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353.
Eudendrium capillare PENNINGTON 1885 p. 62.
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 430.
» » HaAppox 1886 (a) p. 224.
100 M. BEDOT
Eudendrium capillare HEeRDMAN 1886 (b) p. 329.
» » MeLcy, Hicks à.
HERDMAN 1886 p. 98.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 68.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» Ù BÉTENCOURT 1888 p. 203.
» » Du PLESssIS 1888 p. 539.
) » Lo Biaxco 1888 p. 388.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
) » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 24.
» » BocRNE 1890 (b) p. 393.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 608.
» » WAGNER 1890 p. 286, 298.
Eudendrium carneum Clarke.
Eudendrium carneum CLARKE 1882p..195, 137 DL
10-17.
Eudendrium cochleatum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
Cette espèce indéterminable doit être supprimée.
Eudendrium dispar L. Agassiz.
Voir : Matériaux II, p. 294 et IV, p. 289.
Eudendrium dispar LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353.
» » CLARKE 1888 p. 79, fig. 71 et pl. sans n°,
p. 86, fig. 4.
Eudendrium distichum Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
Eudendrium exiguum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
Cette espèce indéterminable doit être supprimée.
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 101
Eudendrium eximium Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
Eudendrium fruticosum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
Eudendrium generale Lendenfeld.
Eudendrium generale LENDENFELD 1885 (a) p. 621.
Eudendrium generalis LENDENFELD 1885 (a) p. 351, pl. 6, fig. 1-2.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 628.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 16.
» » K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604, 607, pl. 15,
e fig. 1-2.
Eudendrium gracile Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
Cette espèce indéterminable doit être supprimée.
Eudendrium infundibuliforme Kirkpatrick.
Eudendrium infundi-
buliforme KirkpATRICK 1890 (a) p. 604-606, pl. 14,
fig. 3.
Eudendrium insigne Hincks.
Voir : Matériaux IIL, p. 294 et IV, p. 289.
Eudendrium simplex CaRUs 1884 D. 5.
Eudendrium humile GRÆFFE 1884 p. 349.
Eudendrium simplex PIEPER 1884 p. 150.
Eudendrium insigne LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353.
» » PENNINGTON 1885 p. 62.
» » LORENZ 1886 p. 25, 26.
» » MARKTANNER 1890 p. 200.
Eudendrium simplex MARKTANNER 1890 p. 200.
Eudendrium laxum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 289.
M. BEDOT
Eudendrium minimum Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 290.
Eudendrium novæ-zelandiæ Marktanner.
Eudendrium novæ-
celandiæ MARKTANNER 1890 p. 201, pl. 3, fig. 24.
Eudendrium pusillum Lendenfeld.
Eudendrium pusillum LENDENFELD 1885 (a) p. 352, 590, 621.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 628.
» » LENDENFELD 1887 {c) p. 16.
Voir la note à Halecium pusillum.
Eudendrium pygmæum Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 290.
Eudendrium racemosum (Cavolini).
Voir : Matériaux I, p. 446; UT, p. 74; IIE, p. 295 et IV, p. 290.
Eudendrium racemosum ScHMiDTLEIx fee MN 9 BE
» » WEISMANN 1881 (a) p. 113, 114.
» » WEISMANN 1881 (b) p. 1ss., pl. 1, fig. 1-6,8.
» » WEISMANN 1881 (c) p. 35, pl. 10, fig. 20-25.
» » HAMaANx 1882 (a) P. 522, pl. 20, fig. 6,
pl. 21, fig. 6-10.
» » WEISMANN 1883 p. 5-7, 19, 60, 92, 247,
225,247-249,272,273,
276, 282, fig. 4,9, pl.3,
Let 5, fig. 1-2
» » CARUS 1884 P. ER
» » GRÆFFE 1884 p. 349.
» » METSCHNIKOFF 1884 p. 145.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353.
» » KLAATSCH 1886 p. 645.
» » ISHIKAW A 1887 p. 669 ss., figg.
» » ALLMAN 1888 p. XXXIV.
Eudendrium racemosum
Voir : Matériaux 1, p. 446; TE, p. 75 ;
Eudendrium rameum
Voir : Matériaux I, p. 446; IL, p. 76; II, p. 296 et IV, p. 290.
Eudendrium ramosum
»
»
»
D)
HISTOIRE
Du PLEssis
Lo Bianco
DRiEscH
WAGNER
BYERLEY
LESLIE a. HERDMAN
WEISMANN
WEISMANN
STORM
CaARUS
Môgius
LENDENFELD
PENNINGTON
MEczy, Hicks a.
HERDMAN
BERGH
THOMPSON
ALLMAN
KIRKPATRICK
BOURNE
BOURNE
DRIESCH
MARKTANNER
PPEFFER
LEUCKART
BYERLEY
DANTELSSEN
LESLIE a. HERDMAN
WEISMANN
WEISMANN
DES HYDROÏDES.
1888
1888
1890 (b) p. 674, 677, 678.
1890 p. 276, 286, 298-300.
II, p.29 et IV, p. 290.
1854
1881
1881
1881
1882
1881
1884
1885
1885
1886
1887
1887
1888
1889
1890
1890
1890
1890
1890
1847
1854
1861
1881
1881 (a) p. 111, 113, 114.
1881
avi
p. )38.
p. 388.
Eudendrium rameum (Pallas).
p. 103.
De
(a) p. 114.
(b) p. 10.
D: 8:°17::28009.
p. 4.
p. 64.
(a) p. 351, 353.
p. 99.
p.98,
p.332.
p. 389, 391.
103
p. LVI, LXIV, LXVIIL &,
pl. 2, fig. 1-2.
p. 446.
(a) p. 308, 319.
{b) p. 393.
(b) p. 681.
p. 201.
p. 483. 967.
Eudendrium ramosum (Linné).
(c) p. 87.
p. 103.
p. 46.
par 9
(b) p. 3.
104 M. BEDOT
Eudendrium ramosum WEISMANN 1881 (c) p. 21, 34, 36, pl. 7.
» » BRooKks 1882 p. 136.
» » HAMANN 1882 (a) p. 522, pl. 21, fig. 1-5.
» ) STORM 1882 p. 3, 8.
) ) JICKELt 1883 p. 376, pl. 16.0pl47
fe: 4-14
» ) MERKEJIKOWSKY 1883 (a) p. 82.
» » WEISMANN 1883 p. 92, 97, 104, 246, 276.
» » CARUS 1884 p. à.
» » GRÆFFE 1884 p. 346, 348.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353.
» » PENNINGTON 1885 p. 60, pl. 3, fig. 5.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » LORENZ 1886 p. 25.
» » MELcy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 98, 99.
) » BERGH 1887 p. 332.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» » ALLMAN 1888 p. XVIII.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203.
» » Du PLEssIs 1888 p. 238.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
) » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 24.
» » BouRNE 1890 (b) p. 393.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 677-679.
» » MARKTANNER 1890 p. 201.
» » SCHNEIDER 1890 p. 321, 366, 368, pl. 19,
fig. 47.
» » WAGNER 1890 p. 286.
Eudendrium rigidum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 291.
Eudendrium tenellum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 291.
Eudendrium tenue À. Agassiz.
Voir : Eudendrium capillare.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 105
Eudendrium vaginatum Allman.
Voir : Matériaux III, p. 297 et IV, p. 292.
Eudendrium vaginalum LENDENFELD 1885 (a) p. 301, 353.
» » PENNINGTON 1885 p. 62.
Eudendrium vestitum Allman.
Eudendrium vestitum ALLMAN 1888 p. L, LXIV, LXVIIL, 3,
pl. 4 gi
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Gen. Filellum Hincks 1868.
Voir : Matériaux II, p. 77; III, p. 297 et IV, p. 292.
Filellum bouvieri Jullien.
Filellum bouvieri JULLIEN 1880 p. 291, fig.
Filellum immersum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 292.
Filellum serpens (Hassal).
Voir : Matériaux IL, p. 77; III, p. 298 et IV, p. 292.
Filellum serpens JULLIEN 1880 p. 292
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14.
» » STORM 1882 p. 18.
» » PENNINGTON 1885 p. 100.
» » MezcY, Hicks a.
À HerpMax 1886 p. 106.
; » » BERGH 1887 p. 334.
4 » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392.
L » » BéTEeNcouRT 1888 p. 208.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 25.
106 M. BEDOT
Gen. Garveia Wright 1859.
Voir : Matériaux III, p. 298 et IV, p. 292.
Garveia nutans Wright.
Voir : Matériaux IL, p. 298 et IV, p. 292.
Garveia nutans LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
» » HaAManx 1882 (a) p. 499-501.
» » PENNINGTON 1885 p. 67, pl. 3, fig. 6.
» » HADDON 1886 (a) p. 924.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 3, 4, 6-8, 12.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 319, 329.
» » MELLY, HIcks a.
HErDMaAN 1886 p. 99.
» » ALLMAN 1888 p. X.
Gen. Gattya Allman 1886.
Gattya humilis Allman.
Gattya humilis ALLMAN 1886 p. 156, pl. 26, fig. 5-7.
Gen. Gemmaria Mac Crady 1859.
Voir : Matériaux III, p. 299 et IV, p. 293.
Gemmaria implexa (Alder).
Voir : Matériaux ILL, p. 299 et IV, p. 293.
Zanclea implexa Du PLessis 1881 (a) p. 14%.
Gemmaria impleæa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 9.
» » JICKELI 1883 p. 611, 656, pl. 26, fig.
23-30.
Zanclea implexa CARUS 1884 p. 26.
Gemmaria implexa GRÆFFE 1884 p. 353.
Zanclea implexa PENNINGTON 1883 p. d1.
Gemmaria impleæa ALLMAN 1888 p. XVII.
» » SCHNEIDER 1890 p. 367.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 107
Gen. Gonothyræa Allman 1864.
Voir : Matériaux I, p. 448; II, p. 77; HI, p. 300 et IV, p. 293.
Gonothyræa gracilis (Sars).
Voir : Matériaux IT, p. 300 et IV, p. 293.
Laomedea gracilis var. Sars 1857 (a) p. 160, pl. 2, fig. 5.
Gonothyræa gracilis STORM 1882 p. 3, 6, 46.
» » MaRION 1883 (b) p. 23.
» » CARUS 1884 p. 9.
Gonothyrea gracilis PIEPER 1884 p. 164.
Gonothyræa gracilis PENNINGTON 1885 p. 91.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 207.
» » SEGERSTEDT 1889 p.13, 25.
Gonothyræa gracilis (Sars) var.
Voir : Gonothyræa gracilis.
Gonothyræa hyalina Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 301 et IV, p. 294.
Obelia hyalina Du PLESSIS 1881 (a) p. 148.
Gonothyræu hyalina STOoRM 1882 -p. 3, 15, 28, 29.
9 » » CARUS 1884 p. 10.
? » » PENNINGTON 1885 p. 91.
» » HaADDon 1886 (a) p. 525.
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392.
» » BÉTENCOURT 1838 p. 207.
» » CLARKE 1888 p. 84, 85.
» » MARKTANNER 1890 p. 209, 210.
Gonothyræa loveni Allman.
Voir. : Matériaux I, p. 448: I, p. 77; III, p. 301 et IV, p. 294.
Gonothyræa loveni LESLE a. HERDMAN 1881 p. 13.
» » VARENNE 1881 (a) p. 346.
» » VARENNE 1881 (b) p. 1032, 1033.
108
Gonothyræa loveni
M. BEDOT
WEISMANN
HAMANN
LENZ
STORM
VARENNE
LENDENFELD
MaARION
WEISMANN
CaRus
PENNINGTON
THALLWITZ
HADDON
HERDMAN
MELLY, Hicks a.
HERDMANN
BÉTENCOURT
BRAUN
SEGERSTEDT
1881(c) p. 19, pl. 8 et pl.
fig. 13.
1882 (a) p. 501.
1882 p. 177.
1882 p. 3, 15, 28-30.
1882 (b) p. 641, 672, 701, pl.
33, fig. 4-5, pl. 36,
fig. 5-9.
1883 (e) p. 549.
1883 (a) p. 29.
1883 p. 134,219 pl AURA
fig. 1-4, pl. 24, fig. 8-9.
1884 p. 9.
1885 p. 90.
1885 p. 390, 428.
1886 (a) p. 24.
1886 (b) p. 329.
1886 p. 105.
1888 p. 207.
1889 p. 70, 79.
1889 p. 13, 25.
Gonothyræa tenuis Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 294.
Gen. Grammaria Stimpson 1854.
Voir : Matériaux III, p. 302 et IV, p. 295.
Grammaria abietina (Sars).
Voir : Matériaux III, p. 303 et IV, p. 295.
Salacia abirtina
Grammaria abietina
STORM
WEISMANN
PENNINGTON
STUXBERG
BERGH
THOMPSON
MARKTANNER
1882 p. 18.
1883 p. 160.
1885 p. 100.
1886 p. 164, 186.
1887 p.334. | à
1887 p. 389, 393.
1890 p. 212, 247.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 109
Grammaria gracihs Stimpson.
Voir : Matériaux II, p. 303 et IV, p. 295.
Grammaria insignis Allman.
Grammaria insignis ALLMAN 1888 p. LVII, LXIHET. LXVIT.
47,49, pl. 23, fig. 3-3 D.
» » PFEFFER 1889 p. 93.
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Grammaria intermedia Pfefter.
Grammaria intermedia PFEFFER 1889 p. 53.
» » PFEFFER 1890 p. 518, 567.
Grammaria magellanica Allman.
Grammaria magellanica ALLMAN 1888 p. LVIIT, LXVII, LXVIIT,
47, 48, pl. 23, fig. 2-20.
» » PFEFFER 1889 p. 53.
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Grammaria stentor Allman.
Grammaria stentor ALLMAN 1888 p. LVIIL, LXIV, LXVIIT,
L8, pl. 23, fig. 1-1 «a.
» » PFEFFER 1889 p. 53, 04.
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Gen. Gymnangium Hincks 1874.
HixCks (1874 a) proposait que, si l’on démembre le genre
Aglaopheniu, on donne le nom de Gonangium aux espèces dont les
gonothèques ne sont pas protégées. Ce genre n’a pas été adopté.
Gen. Gymnocoryne Hincks 1871.
Voir : Matériaux II, p. 303 et IV, p. 295.
Gymnocoryne coronata Hincks.
Voir : Matériaux IL, p. 303 et IV, p. 295.
110 M. BEDOT
Gen. Halatractus Allman 1871.
Voir : Matériaux ILE, p. 304 et IV, p. 295.
Halatractus nanus Alder.
Voir : Matériaux II, p. 63; II, p..304 et IV, p. 295.
Corymorpha nana PENNINGTON 1885 p. 78.
Halatractus nanus LOMAN 1889 p. 268, 270.
Corymorpha nana MARKTANNER 1890 p. 203.
Gen. Halecium Oken 1815.
Voir : Matériaux [, p. 448 ; II, p. 78; III, p. 304 et IV, p. 296.
Halecium arboreum Allman.
Halecium robustum ALLMAN 1888 p. 10, pl. 4, fig. 1-3.
Halecium arboreum
(robustum) ALLMAN 1888 p. LXIV, LXVII.
Halecium robustum PFEFFER 1890 p. 567.
Halecium articulosum Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 296.
Halecium beani Johnston.
Voir : Matériaux II, p. 78; LIL, p. 304 et IV, p. 296.
Halecium beani LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15.
» » SToRM 1882 p. 3, 19, 27.
» » WEISMANN 1883 p. 161.
» » CARUS 1884 p. 11.
» » PIEPER 1884 p. 166.
» » THOMPSON 1884 p. 4, 6.
» » PENNINGTON 1885 p. 103.
ES » VERRILL 1885 (a) p. 537.
» ) HERDMAN 1886 (b) p. 330.
» » LoRENz 1886 P. 27
» » Meczy, Hicks à.
HERDMAN 1886 p. 106.
EE ER pe
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 1 Pi a
Halecium beani Nicuocs a. Happox 1886 p. 615.
» » BERGH 1887 p. 334.
) » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » ALLMAN 1888 p. LVI, LXIT, LXV, LXVHIT,
12, pl. 12, fig. 3, 3 a.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 209.
» » DRIESCH 1589/D: 1997
» » HoYLeE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26.
) » BOURNE 1890 (b) p. 396.
» » HALLEZ 1890 p. 96.
» » MARKTANNER 1890 p. 218.
Halecium boreale Lorenz.
Halecium boreale LORENZ 1886 p. 25, 26, pl. 2, fig. 1-2.
» » MARKTANNER 1890 p. 217.
Halecium capillare (Pourtalès).
Voir : Matériaux III, p. 305 et IV, p. 296.
Halecium crenulatum Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 296.
Halecium curvicaule Lorenz.
Halecium curvicaule LORENZ 1886 p. 25, 27, pl. 2, fig. 3-4.
» » MARKTANNER 1890 p. 218.
Halecium cymiforme Allman.
Halecium cymiforme ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVIIL, 9, 14,
15, pl 7, fig. 1-5.
Halecium delicatulum Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 297.
Halecium delicatulum RIDLEY 1881 (a) p. 103.
» » BALE 1887 p. 103.
» » PFEFFER 1890 p. 483, 567.
; L2
112 M. BEDOT
Halecium dichotomum Allman.
Halecium dichotomum ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVIII, 13, 19,
16, pl. 6, fig. 1-4.
Halecium edwardsianum (d'Orbigny).
Voir : Matériaux II, p. 78: II, p. 305 et IV, p. 297.
Halecium fastigiatum Allman.
Halecium fastigiatum ALLMAN 1888 p. LXIIE, LXVIIT, 43, pl. 15,
fig. 2, 2 a.
» » DriescH 1889 p. 198.
Halecium filicula Alman.
Voir : Matériaux IV, p. 297.
Halecium filicula VERRILL 1885 (a) p. 537.
Halecium filiforme Alder.
Voir : Matériaux III, p. 305 et IV, p. 297.
Halecium flexile Allman.
Halecium flexile ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVII, LX VII,
11, pl:.5, fig.252%
» » DRiEsCH 1889 P. 198.
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Halecium geniculatum Norman.
Voir : Matériaux NT, p. 305 et IV, p. 297.
Halecium geniculatum PENNINGTON 1885 p. 105.
Halecium gracile.
Les 2 espèces décrites sous le nom d’Halecium gracile par VErRiLz (1873 e)
et BaLe (1888) doivent être distinguées et le nom de cette dernière devra être
changé. HarrcauB (1905) croit que l’A. gracile de Bave est synonyme d’A. flexile
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 11115
Allman, BizzarD (1910), qui a examiné le tvpe d’ALLMAN, partage cetle opinion.
Mais JineraoLu (1904), étudiant des Hydroïdes de Patagonie, a trouvé FH. flexile
Allman et H. gracile Bale et donne une description de ces 2 espèces. D'autre
part, Morz-Kossoswka (1911), qui a trouvé en abondance l’H. gracile Bale à
Port-Vendres, n’admet pas que cette espèce soit synonyme d'A. flexile ANman.
En attendant de nouvelles recherches sur ce sujet, nous laisserons figurer
provisoirement les 2 espèces de VErriL et BALE sous le même nom.
Halecium gracile de VERRILL.
Voir : Matériaux IV, p. 297.
Halecium gracile de BALE.
Halecium gracile
/
BALE
1888 p. 759,760, pl. 14, fig. 1-3.
Halecium halecinum (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 448; IT, p. 78; [IL, p. 305 et IV, p. 297.
Sertularia halecina LEUCKART 1847 (c) p. 87.
Halecium halecinum BYERLEY 1854 p. 103.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14.
» » STORM 1882 p. 19.
» » VARENNE 1882 (b) p. 697.
» » MaRION 1883 (b) p. 23.
» » WEISMANN 1883 p. 160,161, 163, 221.271,
285, 286, pl. 24, fig. 10.
» » CaRus 1884 p. 11.
» » GRÆFFE 1884 p. 396.
» » PIEPER 1884 p. 166.
» » REES 188: p. 981.
» » PENNINGTON 1885 p. 102, pl. 5, fig. 2.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 10.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » LORENZ 1886 p. 26.
» » MEczy, Hicxks a.
HERDMANX 1886 p. 106.
; » » Nicnozs a. Happon 1886 p. 615.
; » » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
| » » BéTEeNcourRT 1888 p. 209.
Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916.
114 M. BEDOT
Halecium halecinum DALLA TORRE 1889 p. 96.
) ) DriescH 1889 p. 198, 199, 225.
» ) HALLEZ 1889 p. 40.
» ) HOoYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 26.
) » BOURNE 1890 (b) p. 396.
) » MARKTANNER 1890 p. 217.
Halecium labrosum Alder.
Voir : Matériaux LIT, p. 306 et IV, p. 298.
Halecium labrosum CARUS 1884 p. 11.
» » PiEPER 1884 p. 166, 168.
) » PENNINGTON 1885 p. 104.
) ) LORENZ 1886 p. 27.
Halecium lamourouxianum (d’'Orbigny).
Voir : Matériaux Il, p. 79; II, p. 306 et IV, p. 298.
Halecium macrocephalum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 298.
Halrcinm macrocephalum Fewxes 1881 (a) p. 128.
Halecium marsupiale Bergh.
Halecium marsupiale BERGH 1887 p. 334, pl. 28, fig. 2 a-b.
Halecium muricatum (Ellis et Solander).
Voir : Matériaux I, p. 449; IL, p. 80: II, p. 307 et IV, p. 298.
Halecium muricatum LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14.
» » STORM 1882 p. 19, 27.
» » THOMPSON 1884 p. 4, 6.
» » PENNINGTON 1885 p. 103.
» » HoyYLe 1889 p. 460.
Halecium mutilum Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 299.
Halecium mutilum PFEFFER 1890 p. 567.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 115
Halecium nanum Alder.
Voir : Matériaux IT, p. 307 et IV, p. 299.
Halecium parvulum Bale.
Halecium parvulum BALE 1888 p. 760, pl. 14, fig, 4-5.
» ) MARKTANNER 1890 p. 215, 218, pl. 3, fig. 22.
Halecium patagonicum (d'Orbigny).
Voir : Matériaux II, p. 80; INT, p. 307 et IV, p. 299.
Halecium plumosum Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 307 et IV, p. 299.
Halecium plumosum LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15.
» » STORM 1882 p. 19.
» » PENNINGTON 1885 p. 104.
» » DRIEsCH 1889 p. 198, 199.
Halecium (2) plumularioides Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 299.
Halecium pulchellum (Pourtalès).
Voir : Matériaux III, p. 307 et IV, p. 299.
Halecium pusillum (Sars).
Eudendrium pusillum Sars 1857 (a) p. 154, pl. 1, fig. 14-16.
» » ALLMAN 1864 (c) p. 362.
» » ALLMAN 1871 p. 319.
» » CARUS 1884 p. 4.
Halecium ophiodes CARUS 188% p. 11.
» » Preper 1884 p. 167.
Nous avions considéré l’Eudendrium pusillum de Sars (1857) comme étant
une espèce indéterminable (Mat. II, p. 458). Mais BrocH (1912), qui a pu
examiner les types de Sars, a constaté que celte espèce était un Halecium.
Il le nomme Halecium pusillum (M. Sars) et lui donne comme synonyme l'A.
ophiodes de Pieper (1884). Il convient de remarquer que l'on a décrit 3 espèces
sous le même nom : Eudendrium pusillum Wright — Perigonimus repens ;
116 M. BEDOT
E. pusillum Sars — Halecium pusillum : et E. pusillum Lendenfeld, qui con-
serve seul son nom primitif.
Halecium robustum.
On a décrit, jusqu’à présent, 4 espèces différentes d’Halecium sous le nom
spécifique de robustum.
Ce sont :
19 . robustum de Verrizz (1873 b);
20 H. robustum de Piper (1884) ;
30 J. robusitum d'ALLMAX (1688).
Ce dernier auteur ayant constaté, pendant la publication des Hydroïdes du
CHALLENGER, que Ce nom avait déjà été employé, l’a changé contre celui
d'H. arboreum.
40 I. robustum de Nurrin@ (1901).
En attendant que l’on ait fait une revision de ce genre, nous laisserons
figurer les 2 premières espèces sous leur nom de robustum accompagné de
celui de l’auteur.
Halecium robustum de VERRILL.
Voir : Matériaux IV, p. 299.
Halecium robustum de PIEPER.
Halecium robustum Preper 1884 p. 166.
» » CARUS 1884 p. 11.
Haloikema lankesteri BOURNE 1890 (b) p. 395, pl. 26, fig. 1-2.
Halecium scutum Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 300.
Halecium sessile Norman.
Voir : Matériaux II, p. 307 et IV, p. 300.
Halecium sessile STORM 1882 p. 3, 19, 27, 29.
» » PENNINGTON 1885 p. 105.
» » VERRILL 1885 (a) p. 537.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26.
Halecium siphonatum (Pourtalès).
Voir : Matériaux II, p. 308 et IV, p. 300.
als nd dar 0 à.
Halecium telescopicum
Halecium tenellum
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 117
Halecium tehuelchum (4'Orbigny).
Voir : Matériaux IF, p. 80 ; HIT, p. 308 et IV, p. 300.
Halecium telescopicum Allman.
ALLMAN
1888 p. LXV, LXVIIT, 10, pl. 5,
fig. 1-1 «.
Halecium tenellum Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 308 et JV, p. 300.
HAMANN
» WEISMANN
» . BALE
» LENDENFELD
» LENDENFELD
» PENNINGTON
» LORENZ
» METSCHNIKOFF ‘
» LENDENFELD
» DRIESCH
» HALLEZ
» SEGERSTEDT
» BOURNE
» DRIESCH
» MARKTANNER
1882 (a) p. d28.
1883 p. 160, 161, 163, 164,
220, 271, 286, pl. 11;
fig. 5-6.
1884 p. 65.
1885 (a) p. 405, 622.
1885 (d) p. 661.
1885 p. 104.
1886 p. 25, 27.
1886 (b) p. 69, 70.
1887 (c) p. 40.
1889 p. 198, 199, 225.
1889 p. 40.
1889 p. 16, 26.
1890 (b) p. 396.
1890 (c) p. 150.
1890 p. 218.
Halecium tenellum Hincks var. mediterranea Weïismann.
Halecium tenellum
var. meditteranea
WEISMANN
1883 p. 160.
Gen. Halicornaria Allman 1874.
Halicornaria allmani Marktanner.
Halicornaria plumosa ALLMAN
» » BALE
» » ALLMAN
1883 p. 92, pl. 18.
1887 p. 90.
1888 p. LXIII, LXIX.
118 M. BEDOT
Halicornaria allmanti MARKTANNER 1890 p. 277.
Halicornaria allmant var. MARKTANNER 1890 p. 277, pl. 6, fig. 23.
Halicornaria plumosa MARKTANNER 1890 p. 277, 278.
BALE (1886) ayant montré qu’il y avait déjà une A. plumosa d'ARMSTRONG,
MarkTANNER (1890, p. 277, note) a changé le nom donné par ALLMAN contre
celui d’Halicornaria allmani.
Halicornaria arcuata (Lamouroux).
Syn.: Aglaophenia arcuata Lamouroux.
Voir : Matériaux I, p. 422; IL, p. 40; IT, p. 234 et IV, p. 241.
Aglaophenia arcuata CARUS 1884 p. 16.
Halicornaria cornuta ALLMAN 1886 p. 153, pl. 23, fig. 1-4.
Bizcarp (1907) a montré que cette espèce devait rentrer dans le genre
Halicornaria.
Halicornaria ascidioides Bale.
Halicornaria ascidioides BALE 1884 p. 148, 175, 176, 183, pl.
413, tig.:2 pl 16460
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » BALE 1887 p. 100.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
Halicornaria baileyi Bale.
Halicornaria baileyi BALE 1884 p. 175, 177, 179, 183, pl.
413, fig. 4, pl. 16, fig. 2.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486. 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
Halicornaria bipinnata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 301.
Halicornaria flabellata Marktanner.
Halicornaria flabellata MaRKTANNER 1890 p. 278, pl. 6, fig. 14.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 119
Halicornaria furcata Bale.
Halicornaria furcata BALE 1884 p. 175, 178, pl. 13, fig. 3,
pl. 16, fig. 5.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » BALE 1887 p. 101.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
Halicornaria haswelli Bale.
1884 p. 175, 180, pl. 13, fig. 5,
pl. 16, fig. 8.
Halicornaria haswelli BALE
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
» » MARKTANNER 1890 p. 278.
Peut-être synonyme de A. allmani sec. BiicarD (1910, p. 45).
Halicornaria Mans (Busk).
Syn.: Aglaophenia hians (Busk).
Voir : Matériaux IV, p. 246.
Halicornaria hians BALE 1884 p. 175, 179-181, pl. 13,
LENDENFELD
fig. 6, pl. 46, fig. 7.
1885 (a) p. 487, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
» » KIRKPATRIOK 1890 (a) p. 604.
» » MARKTANNER 1890 p. 278.
Halicornaria humilis Bale.
Halicornaria humilis BALE 1884 p. 121, 174, 182, pl. 43,
lg. 8, pl. 16, fig. 6.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
» » BALE 1887 p. 80.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
120 M. BEDOT
Halicornaria \dicistoma Bale.
Halicornaria ilicistoma BALE 1884 p. 174, 183, 184, pl. 14,
fier, 2, pl:46: 66209;
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 488, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
) » LENDENFELD 1887 (C) p. 27.
Halicornaria insignis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 301.
Halicornaria longirostris (Kirchenpauer).
Syn. : Aglaophenia longirostris Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 249.
Aglaophenia longirostris BALE 1882 p. 20.
A glaophenia thompsoni BALE 1882 p. 28, 29, 31, 33, 46, pl.
14, fig. 1.
Halicornaria longürostris BALE 1884 p. 148, 174, 181, 183, 185,
pl: 413,:18.7, plu
fig. 3, pl. 19, fig. 30.
Halicornaria thompsoni BALE 1884 p. 182.
Halicornaria longirostris LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
» » MARKTANNER 1890 p. 278. 279.
Halicornaria longirostris x
var. thompsoni MARKTANNER 1890 p'279.
Halicornaria pennatula (Ellis et Solander).
Syn. : Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander).
Voir : Matériaux I, p. 424; Il. p. 44; III, p. 239 et IV, p. 251.
A glaophenia pennatula BALE 1882 p. 34.
Halicornaria pennatula PENNINGTON 1885 p. 132, pl. 9, fig. 6.
A glaophenia pennatula HALLEz 1890 p. 96.
Halicornaria plumosa Armstrong.
Voir : Matériaux IV, p. 301.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 121
Halicornaria prolifera Bale.
Halicornaria prolifera Bare 1884 p. 148, 17%, 183, pl. 14,
fig. 4, .pl446,-fg: 10:
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627.
) » LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
Halicornaria ramulifera Allman.
Voir : Matériaux LV, p. 301.
Halicornaria ramulifera BALE 1887 p. 90.
Halicornaria saccaria Allman.
Voir : Lytocarpus saccartus.
Halicornaria setosa Armstrong.
Voir : Matériaux IV, p. 301.
Halicornaria setosa BALE 1884 p. 153.
Halicornaria speciosa Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 302.
Halicornaria speciosa ALLMAN 1883 p. 53.
» » BALE 188% p. 174.
» » BALE 1887 p. 75, note.
Halicornaria superba Bale.
Halicornaria superba BALE 1884 p. 148, 175, 177, pl. 13,
| fig. 1, pl. 16, fig. 4.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 643.
» » BALE 1887 p. 75, 90.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 27.
» » MARKTANNER 1890 p. 279.,
M. BEDOT
Halicornaria urceolifera (Lamarck).
Syn. : Aglaophenia urceolhifera (Lamarck).
Voir : Matériaux I, p. 427; II, p. 46; IT, p. 243 et IV, p. 255.
Gen. Halicornopsis Bale 1882.
Halicornopsis elegans (Lamouroux).
Syn. : Aglaophenia avicularis Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 241.
Syn.: Aglaophenia elegans Lamouroux.
Voir :
Aglaophenia aviculuris
Halicornopsis avicularis
A glaophenia avicularis
À zygoplon rostratum
Halicornopsis avicularis
A zygoplon rostratum
Halicornopsis avicularis
Halicornopsis rostratum
Halicornopsis avicularis
Halicornopsis rostrata
A glaophenia avicularis
A zygoplon rostratum
Halicornopsis avicularis
Halicornopsis rostratum
Halicornopsis avicularis
Halicornopsis rostrata
A zygoplon rostratum
) )
Halicornopsis avicularis
Matériaux III, p. 235 et IV, p. 244.
BALE
BALE
ALLMAN
ALLMAN
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
BALE
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
ALLMAN
MARKTANNER
MARKTANNER
1882 p. 20.
1882 p. 26, pl. 13, fig. 3.
1883 p. 54.
1883 p. 54, pl. 19, fig. 1-3.
1884 p. 185, pl. 10, fig. 1-2,
pl. 19, fig. 32.
1885 (a) p. 488, 628.
1885 (a) p. 488, 628.
1885 (b) p. 984.
1885 (d) p. 643.
1885 (d) p. 643.
1887 p. 101.
1887%p113, JL A0
1887. p. 73, 77, 91, 101, 405:
1887 p. 105.
1887 (c) p. 27.
1887 (c) p. 27:
1888 p. LXIV, LXIX.
1890 p. 279.
1890 p. 279.
O9
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 12
Gen. Halisiphonia Allman 1888.
Halisiphonia megalotheca Allman.
Halisiphonia megalotheca ArLMax 1888 p. LXIV, LXVIIL, 31, 40,
pl. 16, fig. 1-1 a.
» » HÆCKkEL 1889"p. 77,76.
Halisiphonia pygmæa Hincks.
Syn. : Calycella pygmæa Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 260.
Lafea pygmæa PENNINGTON 1885 p. 97.
» » | HADDON 1886 (a) p. 225.
Halisiphonia pygmæa MARKTANNER 1890 p. 212, pl. 3, fig. 13.
Halisiphonia spongicola Hæckel.
Halisiphonia spongicola Hxckez 1889 p. 77, pl. 4, fig. 9.
Gen. Halocordyle Allman 1871.
Voir : Matériaux II, p. 309 et IV, p. 302.
Le genre Halocordyle n'a pas été admis, la seule espèce qu'il
renfermait, Æ1. tiarella, pouvant rentrer dans le genre Pennaria.
Halocordyle trarella (Ayres).
Voir : Pennaria tiarella.
Gen. Holoikema Bourne 1890.
Ce genre, synonyme d’Æalecium, doit être supprimé.
1294 M. BEDOT
Gen. Halopteris Allman 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 302.
Halopteris carinata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 302.
Halopteris carinata BALE 1887 p. 80.
Gen. Hebella Allman 1888.
Hebella contorta Marktanner.
Hebella contorta MARKTANNER 1890 p. 215, pl. 3, fig. 17 a-17 b.
Hebella cylindrata Marktanner.
Hebella cylindrata MARKTANNER 1890 p. 214, pl. 3, fig. 15.
Hebella cylindrica (Lendenfeld).
Lafwa cylindrica LENDENFELD 1885 (b) p. 908, 912, pl. 40,
fig. 4-5.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 630.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
» » MARKTANNER 1890 p. 214.
Hebella parasitica (Ciamician).
Syn.: Lafœa parasitica Ciamician.
Voir : Matériaux IV, p. 314.
Lafwa parasitica Jickeui 1883 p. 629, pl. 27, fig. 21-25.
» » CARUS 1884 p. 10.
» » GRÆFFE 1884 p. 355, 397.
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 912.
Hebella parasitica MARKTANNER 1890 p. 213.
Hebella scandens (Bale).
Lafæa scandens BALE 1888 p. 758, pl. 13, fig. 16-19.
Hebella scandens MARKTANNER 1890 p. 214, pl. 3, fig. 16.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 12!
Q1
Hebella striata Allman.
Hebella striata ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVII, 29, 30,
pl. 415, fig. 3-3 «.
ps » » PFEFFER 1890 p. 567.
Gen. Heterocordyle Allman 1864.
Voir : Matériaux III, p. 310 et IV, p. 302.
Heterocordyle conybearei Allman.
Voir : Matériaux IIT, p. 310 et IV, p. 302.
Heterocordyle conybeari WEISMANN 1883 p. 84, 217, pl. 11, fig. 7-9.
» » PENNINGTON . 1885 p. 69.
» » Lo Branco 1888 p. 388.
Heterocordyle conybearei MaRkTANNER 1890 p. 200.
Gen. Heteroplon Allman 1883.
Heteroplon pluma Allman.
Heteroplon pluma * ALLMAN 1883 p. 32, pl. 8, fig. 1-3.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 480, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 644.
» » BALE 1887 p. 78.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX.
D’après BirzarD (1910, p. 36), cette espèce est synonyme de Plumularia
glutinosa.
Gen. Heteropyxis Heller 1868.
Voir : Matériaux II, p. 310 et IV, p. 302.
Ce genre, qui renfermait des Nemertesia et des Plumularia, doit
être supprimé.
Gen. Heterostephanus Allman 1864.
Voir : Matériaux III, p. 311 et IV, p. 303.
Heterostephanus annulicornis (Sars).
d Voir : Matériaux If, p. 311 et IV, p. 303.
126 M. BEDOT
Gen. Hippurella Allman 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 303.
Hippurella annulata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 303.
Hippurella annulata FEWKES 1881 (a), p. 128, 134, pl. 1, fig.
À, pl. 2, fig. 4, 5, 8:
» » ALLMAN 1883 p. 3 (note), 13.
» » QuELCH 1885 (a) p. 6.
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 137, fig. 437.
Gen. Hybocodon L. Agassiz 1860.
Voir : Matériaux IIT, p. 311 et IV, p. 303.
Hybocodon prolifer L. Agassiz.
Voir : Matériaux IIT, p. 311 et IV, p. 303.
Gen. Hydra Linné 1746.
Voir : Matériaux I, p. 450; IT, p. 81; I, p. 312 et IV, p. 304.
Hydra carnea L. Agassiz.
Voir : Hydra oligactis.
Hydra gracilis L. Agassiz.
Voir : Hydra viridis.
Hydra hexactinella Lendenfeld.
Hydra hexactinella LENDENFELD 1886 (a) p. 679, pl. 48, fig. 1-4.
» » LENDENFELD 1886 (b) p. 96, 98, pl. 6, fig.
13-14.
HE ro,
Lo di à 0)
é stef
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 127
Hydra oligactis Pallas.
Voir : Matériaux I, p. 450 ; Il, p. 81; ILE, p. 313 et IV, p. 304.
Hydra fusca
Hydra vulgaris
Hydra fusca
) »
» D]
» »
Hydra rhætica
Hydra vulgaris
Hydra oligactis
Hydra fusca
Hydra oligactis
Hydra fusca
) »
D) »
Hydra oligactis
Hydra fusca
Hydra oligactis
Hydra fusca
» »
» »
Hydra oligactis
) »
Hydra fusca
H ydra oligactis
Hydra rœseli
LEYDiG
HAMANN
HAMANN
JiCKELI
* LANKESTER
BRANDT
HAMANN
KOROTNEFF
JICKELI
JICKELI
JUNG
WEISMANN
BALE
KRÆPELIN
GIBSON
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
PENNINGTON
BRECKENFELD
KRÆPELIN
LENDENFELD
LENDENFELD
NUSSBAUM
LENDENFELD
NUSsSBAUM
Syn: Aydra carnea L. Agassiz.
Voir : Matériaux LL, p. 312 et IV, p. 304.
1881 p. 150.
1882 (b) p. 545, pl. 26, fig. 16.
1882 (c) p. 462.
1882 (b) p. 493.
1882 (a) p. 248-251, pl. 20, fig.
16, 18, 22, 24.
1883 (b) p. 439.
1883 (b) p. 368 ss.
1883 p. 315 ss., pl. 14, fig. 3,
12-14.
1883 p. 667.
1883 p. 391, 392, 394, 405,
664, 670, pl. 17, fig.
16-21, pl. 18, fig. 3,
ph D Le
1883 p. 339, 342, 346, 349
1883 p. 17.
1884 p. 38, 187.
1884 p. 319.
1885 p. 29 ss., pl. 1.
1885 (a) p. 348, 621.
1885 (a) p. 348, 621.
1885 (b) p. 908.
1885 (d) p. 627.
1885 p. 139.
1886 p. 2225.
1886 p. 6, 8.
1886 (a) p. 679.
1886 (b) p. 95, 98.
1886 p. 132.
1887 (c) p. 15.
1887 (c) p. 268, 269.
128
Hydra fusca
Hydra oligactis
Hydra fusca
Hydre brune
Hydra fusca
Hydra carnea
Hydra fusca
M.
NUSSBAUM
NUSSBAUM
CLARKE
GIROD
GRFENWOOD
LEIDY
LEipy
ZACHARIAS
CHATIN
GREENWOOD
NUSSBAUM
SCHNEIDER
BEDOT
2
1887 (c) p. 267 ss., pl. 14, fig.
34-36, 38-46, pl. 15,
fig. 48-51, pl. 20,
Hé AE:
1887 (c) p. 268.
1888 p. 73, 77, fig. 63.
1888 p. 10 ss.
1888 p. 317 ss., pl. 6, fig. 9 et
pl. 7e
1838 p. 311.
1888 p. 311.
1888 p. 224.
1890 p. 415.
1890 p. 582.
1890 p. 113 ss.
1890 p. 321 ss, pl 17000048
et pl. 19, fig. 7, 32-35,
37-43.
Hydra rubra Lewes.
Voir : Matériaux IIL, p. 313 et IV, p. 305.
Hydra tenuis Ayres.
Voir : Matériaux II, p. 314 et IV, p. 305.
Hydra viridis Linné.
Voir : Matériaux I, p. 452; II, p. 82; IIL, p. 314 et IV, p. 305.
Hydra viridis
Hydra
Hydra viridis
Syn. : Hydra gracilis L. Agassiz.
Voir : Matériaux IIT, p. 312 et IV, p. 304.
BYERLEY
BRANDT
LEYDIG
BLOMFIELD
BraAxpr
HAMANN
HAMANN
JICKEL
1854 p. 105.
1881 p. 140 ss.
1881 p. 150.
1882 p. 238.
1882 p. 1265s., pl. 1, fig. 16-18.
1882 (b) p. 545, pl. 26, fig. 15.
1882 (c) p. 457 ss., 462, pl. 26.
1882 (b) p. 492.
HISTOIRE
Hydra viridis
» »
» )
» D)
» »)
» »
» »
» »
» )
» »
» »
» )
» »
» »
» D]
» »
» »
» »
» D]
» »
) »)
» »
» )
» »
» »
Hydre verte
Hydra viridis
Hydra gracilis
Hydra viridis
D) »
LANKESTER
LANKESTER
MARSHALL
BRANDT
BRANDT
HAMANN
JICKELI
JUNG
KOROTNEFF
BALE
BRAUN
GRAFF
KRÆPELIN
LENDENFELD
LENDENFELD
PENNINGTON
BuRECKENFELD
KRÆPELIN
LENDENFELD
LENDENFELD
NussSBAUM
LENDENFELD
NUSSBAUM
ALLMAN
CLARKE
G1ROD
GREENWOOD
Leiny
LEIDY
CHATIN
SCHNEIDER
DES HYDROÏDES. — V. 129
1882 (a) p. 229 ss., pl. 20, fig.
15, 17, 19-21, 23.
1882 (b) p. 87.
1882 p. 665 ss.
1883 (a) p. 244, 255 (note),
265, 267.
1883 (b) p. 439, 440.
1883 (b) p. 368.
1883 p. 374, 391, 393, 394,405,
664, pl. 18, fig. 1, 12, 14.
1883 p. 339, 343, 347, 319.
1883 p. 315, 318.
1884 p. 187.
1884 p. 90, 11%, 117, 119.
1884 p. 520 ss.
1884 p. 319.
1885 (a) p. 348, 621.
1885 (d) p. 627.
1885 p. 139, pl. 9, fig. 7.
1886 p. 222 ss., fig. 17-23.
1886 p. 6.
1886 (a) p. 679.
1886 (b) p. 96, 98.
1886 p. 132.
1887 (c) p. 15.
1887 (c) p. 267 ss., pl. 15, fig.
52-55, pl. 16, 17 et
pl. 18, fig. 80-88.
1388 p. XLV.
1888 p. 73, 77, fig. 64.
1888 p. 2ss. à
1888 p. 321, pl. 6, fig. 10.
1888 p. 311.
1888 p. 311.
1890 p. 415.
1890 p. 354.
Les observations de Lerny (1888) montrent que Hydra gracilis est synonyme
d'Hydra viridis.
Rev. Suisse bE Zoo.
À. 24.4916;
130
M. BEDOT
Hydra viridis Linné var. bakeri Marshall.
Hydra viridis var. bakeri MARSHALL
ZLACHARIAS
1882 p. 666 ss., pl. 37, fig.
1-10, 12.
1888 p. 225.
Hydra vulgaris Pallas.
Voir : Matériaux [, p. 453; IL, p. 83; IT, p. 315 et IV, p. 306.
Hydra vulgaris
» »
Hydra grisea
Hydra aurantiaca
Hydra grisea
Dex »
Hydra vulgaris
Hydra grisea
Hydra aurantiaca
» »
Hydra attenuala
Hydra vulgaris
» »
Hydra attenuata
Hydra aurantiaca
Hydra grisea
BYERLEY
LeYpiG
BRANDT
LANKESTER
LANKESTER
JICKELI
MARSHALL
BRANDT
BRANDT
HAMANN
JICKELI
JUNG
KOROTNEFF
NUSSBAUM
PENNINGTON
PENNINGTON
BRECKENFELD
NUSSBAUM
NussBaUM
NussBaum
1854 p. 105.
1881 p. 150.
1882 p. 137 ss.
1882 (a) p. 248, 251.
1882 (a) p. 248, 251.
1882 (b) p. 492.
1882 p. 665, 670, 671,676, 682,
686, 688, 693, 698,
poux
1883 (a) p. 255 (note).
1883 (b) p. #39, 440.
1883 (b) p. 368.
1883 p. 391, 392 ss., pl. 17, fig.
12-15, 22-23, pl. 18, fig.
2, 4-7, 9, 10, 13, 15-24.
1883 p. 339, 340, 345, 348.
1883 p. 315 ss., pl, 14, fig. 1,
2, 4-11.
1885 p. 387.
1885 p. 135.
1885 p. 135.
1886 p. 222 ss.
1887 (c) p. 273.
1887 (c) p. 270, 273.
1887 (c) p. 267 ss., pl. 13, 14,
fig. 33,37, 47, pl. 15,
fig. 56-59, pl. 18, fig.
89,. pl. 19,20, fig
108-116, 120, 122.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 131
Hydra trembleyi NUSSBAUM 1887 (c) p. 268, 269, 271.
Hydra vulgaris NUSSBAUM 1887 (c) p. 268, 272.
» » CLARKE 1888 p. 76.
Hydra grisea GREENWOOD 1888 p. 317 ss.
Hydra aurantiaca KOROTNEFF 1888 p. 29.
» » BRAUER 1890 p. 457.
Hydra grisea CHATIN 1890 p. 415.
» » ISCHIKA WA 1890 p. 436 ss., pl. 18, fig. 4-40.
» » NUSSBAUM 1890 p. 113 ss.
» ) SCHNEIDER 1890 p. 354.
Hydra vulgaris SCHNEIDER 1890 p. 324.
Gen. Hydractinia van Beneden 1841.
Voir : Matériaux I, p. 453. Il, p. 85; IE, p. 316 et IV, p. 306.
Hydractinia antarctica Studer.
Voir : Matériaux IV, p. 306.
Hydractinia arborescens Carter.
Voir : Matériaux IV, p. 307.
Hydractinia calcarea Carter.
Voir : Matériaux IV, p. 307.
Hydractinia carica Bergh.
Hydractinia carica BERGH 1887 p. 331, pl. 28, fig. 1.
Hydractinia echinata (Fleming).
Voir : Matériaux IL, p. 85; II, p. 316 et IV, p. 307.
Hydractinia grisea - Leuckarr 1847 (c) p. 87.
Hydractinia echinata BYERLEY 1854 p. 103.
» » : KLEINENBERG 1881 p. 332.
» » LESLIE 4. HERDMAN 1881 p. 8.
» » CLARKE 1882 p. 135, 141, pl. 9, fig. 40.
132 M. BEDOT
Hydractinia echinata HAMANN 1882 (a) p. 501.
» » STOoRM 1882:p; 7; 1028 90:
» » VARENNE 1882 (b) p. 697.
» ) WEISMANN 1883 p. 3,4, 66, 70, 73, 216,
pl. 23.
» » CARUS 1884 p. d.
» » MôBius 1884 p. 65.
» » REES 1884 p. 979.
» » GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178.
» » PENNINGTON 1885 p. 41.
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 432.
» » VERRILL 1885 (a) p. 537.
» » WAGNER 1885 p. 49, 60, 69, 71, 72, pl.
1, fig. 1-14, 16, 17.
» » HADDON 1886 (a) p. 524.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 3, 10.
» » LORENZ 1886 p. 27.
» » MELLY, HIcks a.
HERDMAN 1886 p. 97.
» » Nicuozs a. Happon 1886 p. 615.
» » BERGH 1887 p. 331.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 202.
» » CLARKE 1888 p. 82, fig. 74.
» » Du PLEssis 1888 p. 541.
» » DALLA TORRE 1889 p. 96.
Hydraclina grisea DALLA TORRE 1889 p. 96.
Hydractinia echinata HoYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p.07, 23.
» » BOURNE 1890 (b) p. 392.
» » MARKTANNER 1890 p. 202.
» » WAGNER 1890 p. 276.
Hydractinia levispina Carter.
Voir : Matériaux IV, p. 308.
Hydractinia monocarpa Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 308.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. -- V. LS:
Hydractinia polyclina Li. Agassiz.
Voir : Matériaux IE, p. 318 et IV, p. 308,
Hydractinia polyclina BROOKS 1882 p. 136, 146.
» » CLARKE 1882 p. 141.
» » WAGNER 1885 p. 70.
Hydractinia sodalis Stimpson.
Voir : Matériaux IIL, p. 318 et IV, p. 308.
Gen. Hydrallmania Hincks 1868.
Voir : Matériaux I, p. 454; IL, p. 86; II, p. 319 et 1V, p. 309.
Hydrallmania bicalycula Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 309.
Hydrallmania bicalycula Bare 1887 p. 103.
Hydrallmania falcata (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 454 et 470; IH, p. 86; I, p. 319 et IV, p. 309.
1847 (c) p. 87.
1854 p. 104.
1880 p. 122.
1881 p. 9, 14, 16.
Plumularia falcata LEUCKART
BYERLEY
STORM
) »
Hydrallmania falcata
» » … LESLIE à. HERDMAN
» » STORM 1882 p. 18, 21, 27, 29.
Aglaophenia falcata ZELLER 1883 p. 106.
Hydrallmania falcata Rees 1884 p. 583.
» » THOMPSON 1884 p. 4, à.
» » M’INrosH 1885 p. 434.
» » PENNINGTON 1885 p. 118, pl. 8, tig. 3.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330.
» » MELLY, Hicks a.
HerpmMaN 1886 p. 114.
» » BERGH 1887 p. 537.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
à » » THOMPSON 1887 p. 389, 395.
; » » BÉTENCOURT 1888 p
. 206, 208, 210, 212.
134 M. BEDOT
Hydrallmania falcata DALLA TORRE 1889 p. 96.
» » DRIESCH 1889 p. 200, 209, fig. 7, 8.
» » HA LLEZ 1889 p. 40.
» » HOYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 18, 19, 22, 27.
» » BOURNE 1890 (b) p. 397.
» » MARKTANNER 1890 p. 222, 2395, 238.
Hydrallmania falcata (L.) var. bidens Mereschkowsky.
Voir : Matériaux [V, p. 309.
Hydrallmania franciscana (Trask).
Voir : Matériaux III, p. 320 et IV, p. 310.
Hydrallmania francisana Taomrson 1887 p. 395.
Gen. Hydranthea Hincks 1868.
Voir : Matériaux IT, p. 320 et IV, p. 310.
Hydranthea margarica Hincks.
Voir : Matériaux II, p. 320 et IV, p. 310.
Hydranthea margarica GRÆFFrE 1884 p. 359.
» » PENNINGTON 1885 p. 67.
» » HÆCKEL 1889 p. 79.
Gen. Hydrella Gœtte 1880.
Voir : Matériaux IV, p. 310.
Hydrella ovipara Goœtte.
Voir : Matériaux IV, p. 310.
Hydrella ovipara CARUS 1884 p. 12.
» » ALLMAN 1888 p. XXXV, note.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 135
Gen. Hydrichthys Fewkes 1887.
Hydrichthys mirus Fewkes.
Hydrichthys mirus FEWKES 1887 p. 604.
» ) FEWKES 1888 (a) p. 224, pl. k. 5.
» » FEWKES 1888 (b) p. 392.
Gen. Hydrodendron Hincks 1874.
Voir : Matériaux IV, p. 310.
Hydrodendron gorgonoide (G.-0. Sars).
Voir : Matériaux IV, p. 310.
Halecium gorgonoide STORM 1882 p. 3, 20, 27, 29.
» » ALLMAN 1883 p. 7 (note).
Gen. Hypanthea Allman 1876.
Voir : Matériaux IV, p. 310.
Hypanthea aggregata Allman.
Hypanthea aggrequta ALLMAN 1888 p. LVIE, LXIV, LX VII, 26,
28, pl. 14, fig. 1,4 a.
» » MARKTANNER 1890 p. 211.
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Hypanñthea atlantica Marktanner.
Hypanthea allantica MARKTANNER 1890 p. 211, pl. 3, fig. 14.
Hypanthea georgiana Pfeffer.
Hypanthea georgiana PFEFFER 1889 p. 54.
» » PFEFFER 1890 p. 518, 567.
Hypanthea hemisphærica Allman.
Hypanthea hemisphærica ArrLMax 1888 p. LVII, LXVII, LXVII,
27, plié, Me. 2,2 a:
» » PFEFFER 1889 p. 54.
mt » PFEFFER 1890 p. 567.
M. BEDOT
Hypanthea repens Allman.
Hypanthea repens
Voir :
ALLMAN
MARKTANNER
PFEFFER
Matériaux IV, p. 310.
1888 p. 26, 28.
1890 p. 211.
1890 p. 567.
Gen. Hypopyxis Allman 1888.
Hypopyxis labrosa Allman.
Hypopyxis labrosa
ALLMAN
1888 p. LXV, LXIX, 74, pl. 35,
fig. 1-1 «a.
Gen. Idia Lamouroux 1816.
Voir : Matériaux [, p. 454; 11, p. 87; HI, p. 321 et IV, p. 311.
Idia pristis Lamouroux.
Voir : Matériaux I, p. 454; I, p. 87; IE, p. 321 et IV, p. 3114.
Idia pristis
Diphasia rectangularis
» D)
Idia pristis
» »
Diphasia reclangularis
Idia pristis
D] )
Diphasia rectangularis
Idia pristis
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
HiINCKS
LENDENFELD
LENDENFELD
ALLMAN
BALE
BALE
KIRKPATRICK
MARKTANNER
1882 p. 44.
1884 p. 30-33, 56, 113, pl. 7,
fig. 1-2, pl. 19, fig. 33.
1885 (a) p. 419, 624.
1885 (b) p. 909, 914. pl. A,
fig. 6-8.
1885 (d) p. 633.
1885 (d) p. 634.
1887 p. 134.
1887 (c) p. 20.
1887 (c) p. 21.
1888 p. IV, LIX, LXIIT, LXVI,
LXIX, 83, pl. 39, fig.
1-10.
1888 p. 748.
1888 p. 748.
1890 (a) p. 604, 606.
1890 p. 215, 213, 280.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 15%
Gen. Isocola Jickeli 1883.
Ce genre n’a pas été adopté.
Voir la remarque au genre Awnisocola.
Gen. Kirchenpaueria Jickeli 1883.
Le genre Airchenpaueria de JiCKELI (1883) devrait comprendre
les Plumularides dont les nématophores sont nus et non pas ren-
fermés dans une enveloppe de périsarque. Malheureusement, ce
genre à été établi d’après l'étude de fragments de colonies qui, de
l’avis de KIRCHENPAUER (in : JICKELI), n'étaient pas suffisants pour
permettre de déterminer exactement l'espèce. JICKELI ne leur à
donc pas donné de nom spécifique.
ALLMAN à établi, également en 1883, le genre Diplocheilus,
dont 1l décrit une espèce, D. mirabilis, et qui a les mêmes carac-
tères que Kirchenpaueria. Le nom de Diplocheilus avait été choisi
par ALLMAN pour rappeler que l’hydrothèque présentait une dupli-
cature de sa paroi interne; or, on sait que ce caractère (dia-
phragme) se rencontre chez beaucoup d’autres Plumularides.
Les genres Xirchenpaueria et Diplocheilus sont donc synonymes
et ont été établis à la même époque.
BILLARD n’admet ni le genre Xérchenpaneria (1904), ni le genre
Diplocheilus (1910), les espèces qu'ils renferment ne devant pas,
d’après cet auteur, être séparées des Plumularia.
TORREY (1904) et STECHOW (1909) adoptent le genre Diplo-
cheilus, tandis que BALE (1894 et 1914) et WARREN (1908) se
prononcent en faveur du genre Xirchenpaueria.
Il nous semble préférable d'admettre, au moins provisoirement,
le genre Diplocheilus. On ne peut pas, en effet, le supprimer sim-
plement par le fait que son nom est mal choisi. D'autre part, il a
l'avantage d’avoir été établi d’après l'étude d’une colonie en bon
état et à laquelle l’auteur à donné un nom spécifique. Mais de nou-
138 M. BEDOT
velles recherches devront montrer si l’on doit conserver ce genre en
y faisant rentrer d’autres espèces de Plumularia, ou s’il convient
de le supprimer définitivement comme le voudrait BILLARD.
Gen. Lafæa Lamouroux 1821.
Voir : Matériaux Il, p. 88; I, p. 321 et IV, p. 311.
Lafœa calcarata A. Agassiz.
Voir : Matériaux IT, p. 321 et IV, p. 311.
Lafaæa capillaris G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 311.
Lafæwa capillaris STORM 1882 p. 17, 27, 30.
» » THoMPsoN 1884 p. 3, 4, 7, pl 1. fig. 19.
» » LORENZ 1886 p. 25, 28.
» » THOMPSON 1887 p. 393.
» » MARKTANNER 1890 p. 216.
Brocx (1909) considère cette espèce comme synonyme de L. qgracillima.
Lafæa coalescens Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 314.
Lafoœa convallaria Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 311.
Lafæa convallaria FEWKES 1881 (a) p. 128, 129.
Lafæa costata (Bale).
Campanularia costata BALE 1884 p. 96, pl. 1, fig. 3.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 621.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 660.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39.
» » BALE 1888 p. 797, 766.
Lafæa costata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608.
HISTOIRE
Voir :
Campanularia dumosa
» »
? Coppinia arcta
Lafæa dumosa
» »
? Coppinia arcta
Lafæa dumosa
? Coppinia arcta
Lafæa dumosa
» )
? Coppinia arcla
Lafæa dumosa
D »
? Coppinia arcta
9 » »
Lafwa dumosa
? Coppinia arcta
Lafœa dumosa
Campanularia dumosa
Lafwa dumosa
» »
» »
» D]
Halisiphonia dumosa
Lafwa dumosa
» »
LEUCKART
BYERLEY
LESLIE a. HERDMAN
LESLIE à, HERDMAN
RiDLEY
STORM
STORM
CaRus
R&EES
PENNINGTON
PENNINGTON
VERRIL
HERDMAN
HERDMAN
HERDMAN
HERDMAN
Meccy, Hicxs a.
HERDMAN
MELLY, Hicks a.
HERDMAN
STUXBERG
ALLMAN
BÉTENCOURT
BÉTENCOURT
DALLA TOoRRE
Hoy£ce
KIRKPATIRICK
SEGERSTEDT
BOURNE
MARKTANNER
MARKTANNER
PFEFFER
DES HYDROÏDES. — V.
Lafæa dumosa (Fleming).
Matériaux If, p. 88; IT, p. 321 et IV, p. 312.
1847 (c) p. 87.
1854 p. 105.
1881 p. 14.
1881 p. 13.
1881 (a) p. 103.
1882 p. 18, 27, 30.
1882 p. 17.
1884 p. 10.
1884 p. 581.
1885 p. 101.
1885 p. 96, pl. 4, fig. 7.
1885 (a) p. 537.
1886 (a) p. 5.
1886 (a) p. 10.
1886 (b) p. 329.
1886 (b) p. 329.
1886 p. 106.
1886 p. 106.
1886 p. 164, 186.
1888 p. LVI, LXII, LX VII, 33,
34, pl. 15, fig, 1,1 a.
1888 p. 208, 210.
1888 p. 208.
1889 p. 96.
1889 p. 460.
1889 p. 446.
1889 p. 15, 26.
1890 (b) p. 395.
1890 p. 212.
1890 p. 212, 213.
1890 p. 483, 567.
Lafæa dumosa (Fleming) var. robusta G.-0. Sars.
Voir : Matériaux II, p. 323 et IV, p. 313.
140
Lafæa eleguns
Lafæa fruticosa
» »
»} »
» »
Lafœa gracillima
Lafæa fruticosa
Lafæa gracillima
Lafœwa fruticosa
» »
» »
» »»
» ))
») ))
Lafœa gracillima
Lafæa fruticosa
» )
D] »)
» ))
) »
» »)
D) »
D] )
Lafwa gracillima
Lafwa fruticosa
Lafæa gigas
» D)
M. BEDOT
Lafœa elegans Fewkes.
FEWKES 1881 (a) p. 129.
Lafæa elongata Armstrong.
Voir : Matériaux [V, p. 313.
Lafœa fruticosa Sars.
Voir : Matériaux Ill, p. 323 et IV, p. 313.
FEWKES 1881 (a) p. 129.
LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 14.
BALE 1882 p. 19.
STORM 1882 p. 17.
STORM 1882: p.17, 22:
BALE 1884 p. 31, 64, pl. 2, fig. 4.
BALE 1884 p. 04.
THOMPSON 1884 p. 3, 4,7, pl. 1, fig. 17, 18.
LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622.
LENDENFELD 1885 (d) p. 630.
PENNINGTON 1885 p. 97.
STUXBERG 1886 p. 164, 186.
BErGH 1887 p. 334.
BERGH 1887 p. 334.
BÉTENCOURT 1887 p. 67, note.
LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392.
ALLMAN 1888 p. LVI, LX VIE, LX VII, 30,
34, pl. 16, fig. 2, 2 a.
HOYLE 1889 p. 460.
SEGERSTEDT 1889 p. 15, 26.
BouRNE 1890 (b) p. 395.
MARKTANNER 1890 p. 217, pl. 3, fig. 20.
MARKTANNER 1890 p. 217, pl. 3; fg-1822400
PFEFFER 1890 p. #83, 567. l
Lafæa gigas Pieper.
PiEPER 1884 p. 165.
CARUS 1884 p. 10.
héite hdi EE D MT
5 RS érai C'OER
HISTOIRE DES HYDROIDES. — V.
Lafæu grandis Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 314.
? Lafæwa grandis THOMPSON 1884 p. 3, 4, 7, pl.
on » THOMPSON 1887 p. 393.
Lafæa halecioides Allman.
Voir : Lafoœa pinnata.
Lafæa parasitica Ciamician.
Voir : Hebella parasitica.
Lafæœa parvula Hincks.
Voir : Matériaux I, p. 323 et IV, p. 314.
Lafæa parvula PENNINGTON 1885 p. 97.
Lafœa pinnata G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 315.
Syn.: Lafœa halecioides Alman.
Voir : Matériaux IT, p. 323 et IV, p. 314.
Lafœa helicioides FEWKES 1881 (a) p. 129.
Lafæwa pianata STORM 1882 p. 17, 27.
Lafæa halecioides BALE 1887 p. 91.
Cette espèce devra peut-être passer dans le genre Zygophylax.
Voir : Browne (1907, p. 27) et Bizcaro (1910, p. 7).
Lafæa pocillum Hincks.
Voir : Matériaux LL, p. 324 et IV, p. 315.
Lafæa pocillum Carus 1884 p. 10.
» » PIEPER 1884 p. 165.
» » PEXNINGTON 1885 p. 97.
» » HaDDoN 1886 (a) p. 525.
» » BERGH 1887 p. 333.
» » THOMPSON 1887 p. 393.
AA
142 M. BEDOT
Lafœa robusta Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 315.
Lafœa serrata Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 315.
Lafœa sibirica Thompson.
Lafæwa sibirica THOMPSON 1887 p. 388, 389, 393, pl. 14,
fig.2:
Lafœa tenellula Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 315.
Lafæa tenellula QuELcH 1885 (a) p. 2.
Lafæa venusta Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 316.
Lafæa (Hebella) venusta ALLMAN 1888 p. 29.
Gen. Lafæœina Sars 1869.
Voir : Matériaux II, p. 324 et IV, p. 316.
Lafæœina tenuis Sars.
Voir : Matériaux Il, p. 324 et IV, p. 316.
Lafæina tenuis ALLMAN 1883 p. 6 (note).
» » BALE 1884 p. 24.
» » THOMPSON 1884 p. 3, A, 8. .
» » MARKTANNER 1890 p. 213.
Gen. Laomedea Lamouroux 1912.
Voir : Matériaux I, p. 498, 45%; IT, p. 89; IL, p. 324 et IV, p. 316.
Ce genre doit être supprimé pour les raisons que nous avons déjà
données. (Voir : Matériaux III, p. 324.)
Laomedea diaphana A. Agassiz.
Voir : Obelia geniculata.
HISTOIRE DES HYDROÏDES., — V. 143
Laomedea gigantea À. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 325 et IV, p. 316.
Les descriptions de Laomedea gigantea, L. pacifica et L. rigida, données par
A. AGassiz (1865 (c), p. 93, 94), sont trop incomplètes pour permettre de
reconnaitre l’espèce et même le genre auquel elles appartiennent. Nous les
placerons done parmi les espèces indéterminables.
Laomedea pacifica A. Agassiz.
Voir : Matériaux IIE, p. 325 et IV, p. 316.
Voir la note à Laomedea gigantea.
Laomedea rigida A. Agassiz.
: Voir : Matériaux ILE, p. 325 et IV, p. 317.
Voir la note à Laomedea qigantea.
Laomedea torresi Busk.
Voir : T'hyroscyphus torresi.
Gen. Lar Gosse 1857.
Voir : Matériaux HI, p. 325 et IV, p. 317.
Lar sabellarum Gosse.
Voir : Matériaux IIL, p. 325 et IV, p. 317.
Syn.: Wüllsia stellata.
Voir : Matériaux If, p. 152 et IT, p. 444.
Lar sabellarum JICKELI 1883 p. 649.
» » BALE 1884 p. 15.
» » LENDENFELD 1884 (C) p. 284.
» » PENNINGTON 1885 p. 4d, pl. 3, fig. 1.
» » M’INrosH 1887 (b) p. 104.
Wüillia stellata FEWKES 1889 (b) p. 110.
» » M’INrosH 1890 (b) p. 304.
144 M. BEDOT
Gen. Leptoscyphus Allman 1864.
Voir : Matériaux III, p. 326 et IV, p. 317.
Leptoscyphus grigoriewi Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 317.
Leptoscyphus tenuis Allman.
Voir : Matériaux IT, p. 326 et IV,:p.-317.
Leptoscyphus tenuis Môgius 1884 p. 65.
» » PEN NINGTON 1885 p. 95.
» » ALLMAN 1888 p. XXIX.
Gen. Lictorella Allman 1888.
Laictorella antipathes (Lamarck).
Syn.: Campanularia antipathes (Lamarck).
Voir : Matériaux I, p. 429: Il, p. 48; IL, p. 251 et IV, p. 262.
Campanularia antipathes BALE 1884 p. 92, 53, pl. 2, fig. à.
Campanularia rufa BALE 1884 p. 54, pl. 1, fig. 41.
Laomedea antipathes LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622.
Laomedea rufa LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622.
Laomedea antipathes LENDENFELD 18835 (d) p. 629.
Laomedea rufa LENDENFELD 1885 (d) p. 630.
Campanularia rufa BALE 1887 p. 91.
Laomedea antipathies : LENDENFELD 1887 (c) p. 17.
Laomedea rufa LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
Lictorella halecivides ALLMAN 1888 p. LXV, LXVII, 35, 37,
pl. 17, fig. 1, 2°9Exce
syn.
» » DRikscH 1889 p. 202.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608.
Campanularia rufu MARKTANNER 1890 p. 206.
BRowxe (1907) a montré que Lictorella halecioides Alman (1888) était diffé-
rente de Lafæa halecioides Alman 187%, laquelle est synonyme de Lafæa -
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 145
pinnata G.-0. Sars. D'autre part, Bizcarp (1910) a reconnu que Laclorella
halecioides Allman (1888) était synonyme de Serlularia antipathes Lamarck et
doit par conséquent porter le nom de Lictorella antinathes.
Lictorella cyathifera Allman.
Lictorella cyathifera ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIL, 36, pl. 11,
fig. 3, 3 4.
» » DRIESCH 1889 p. 202.
Gen. Lineolaria Hincks 1861.
Voir : Matériaux II, p. 326 et IV, p. 318.
Lineolaria flexuosa Bale.
Lineolaria fleruosa BALE 188% p. 61, 62, pl. 1, fig. 7-9.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 405, 622.
» RP LENDENFELD 1885 (d) 631.
» » BALE 1887 P. 91.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
Lineolaria spinulosa Hincks.
Voir : Matériaux I, p. 326 et LV, p. 318.
!
Lineolaria spinulosa BALE 1882 p. 20.
» » BALE 188% p. 24, 61, pl. 1, fig. 10-11,
pl. 19, fig. 38.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 405, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 630.
» » LENDENFELD . 1887 (c) p. 18.
; Gen. Lovenella Hincks 1568.
Voir : Matériaux IL, p. 90; ILE, p. 326 et IV, p. 318.
Lovenella clausa (Lovén).
Voir : Matériaux Il, p. 90; LIT, p. 326 et IV, p. 318.
Lovenella clausa CLARKE 1882 p. 139.
» » FEWKES 1882 (b) p. 297.
Rev. Suisse pe Zoo. ‘L. 24. 1916. 10
146 M. BEDOT
Lovenella clausa PENNINGTON 1885 p. 89.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 89.
) ) SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25.
Lovenella gracilis Clarke.
Lovenella gracilis CLARKE 1882 p: 135, 139, :pl-19/0h1P°
25-39.
) » FEWKES 1882 (b, p. 297-298.
Lovenella producta (G.-0. Sars).
Syn. : Calycella producta G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 260.
Calycella producta STORM 1882 p. 18, 28, 30.
Lovenella producta SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25.
Gen. Lytocarpus Allman 1883.
Genre formé par ALLMAN aux dépens du sous-genre Lytocarpia
de KIRCHENPAUER. Voir la note au genre Nematophorus.
Lytocarpus filamentosus (Lamarck).
Syn.: Aglaophenia filamentosa (Lamarck).
Voir : Matériaux I, p. 422; Il, p. 41; II, p. 235 et IV, p. 245.
Aglaophenia patula BALE 1884 p. 152.
Plumularia filamentosa BALE 1884 p. 144.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
Halicornaria mitrata ALLMAN 1886 p. 153, pl. 22, fig. 5-6.
À glaophenia patula BALE 1887 p. 87.
Plumularia filamentosa LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Lytlocarpus patulus MARKTANNER 1890 p. 274, pl. 6, fig. 12.
Lytocarpus grandis (Clarke).
Syn. : Nematophorus grandis Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 322.
Nematophorus grandis Brooks 1882 p. 142.
nd = :: :-
HISTOIRE
DES HYDROÏDES. — V.
147
Lytocarpus longicornis (Busk).
Syn. : Plumularia longicornis Busk.
Voir : Matériaux III, p. 351 et IV, p. 342.
Lylocarpus longicornis
Plumularia longicornis
Lylocarpus longicornis
») »
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
MARKTANNER
1883 p.
1883 p.
1888 p.
1890 p.
2,45, pl. 19, fig. 4-6.
47.
LXVI, LXIX.
266.
Lytocarpus pennarius (Linné).
Syn.: Aglaophenia pennaria (Linné).
: Matériaux IIT, p. 238 et IV, p. 250.
Voir
Lytocarpus secundus
Aglaoyhenia spicata
A glaophenia banksi
Lytocarpus secundus
Aglaophenia crispula
Lylocurpus secundus
A glaophenia crispata
Aglaophenia secunda
ALLMAN
BALE
BALE
BALE
HINCKS
ALLMAN
MARKTANNER
MARKTANNER
1883 p.
1884
1887
1887
1887
1888
1890 p.
1890 p.
a eee
2, 13, 36, 42, pl. 14.
Aie
107
89.
134.
. LX, LXVI, LXIX:
273.
273.
Lytocarpus philippinus (Kirchenpauer).
Syn.: Aglaophenia philippina Kirchenpauer.
Aglaophenia philippina
» »
» »
A glaophenia urens
A glaophenia philippina
À glaophenia urens
» »
À glaophenia phillipina
» »
Voir : Matériaux IV, p. 251.
ALLMAN
JiCKELI
WEISMANN
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
RiDLEY a. QUELCH
BALE
LENDENFELD
ALLMAN
BALE
1883 p.
1883 p.
1883 p.
1884 p.
1885 (a)
h7.
647, 655, 667.
476:
31, 149, 153, 155, 173,
pl. 14, fig. 6, pl. 17,
fig. 9.
p. 481, 627.
1885 (d) p. 647.
1885 p.
1887 p.
496.
87.
1887 (c) p. 30.
1888 p.
1888 p.
a 2
788.
148 M. BEDOT
A glaophenia (Lytocarpus)
1888 p. 789.
1888 p. 787, 789.
1888 p.786, 789, pl. 21, fig. 3-7.
1890 (b) p. 660, 666.
1890 (a) p. 604.
1890 p. 274, pl. 6, fig. 46.
phillipina BALE
A glaophenia wrens BALE
Lylocarpus phillipinus BALE
Aglaophenia philippina Driescu
Lytocarpus philippinus KiRKPATRICK
) » MARKTANNER
Lylocarpus philip-
pinus Var. MARKTANNER 1890 p. 276, pl. 6, fig. 15.
_ Lytocarpus phæniceus (Busk).
Syn.: Aglaophenia phœnicea (Busk).
Voir : Matériaux IIL, p. 240 et IV, p. 251.
Syn.: Aglaophenia rostrata Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 253.
A glaophenia rostrata ALLMAN 1883 p. 43.
Lytocarpus spectabilis ALLMAN 1883 p. 8, 12, 15, 43, pl. 15.
À glaophenia aurita BALE 1884 p. 169, pl. 18, fig. 18, 19.
À glaophenia phænicea BALE 1884 p. 18, 23, 149, 152, 159,
173, pl: 45; fig.M465e
pl. 17, fig. 1-4, pl. 19,
fig. 31.
Aglaophenia aurita LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627.
Aglaophenia phœnicea LENDENFELD 1885 (a) p. 482.
À gluophenia phœnicæ LENDENFELD 1885 (a) p. 627.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 646.
Aglaophenia aurita LENDENFELD 1885 (d) p. 645.
Aglaophenia phœnicea BALE 1887 p. 75, 77, 87, 99.
À glaophenia (Lytocarpus)
phœnicea BALE 1887 p. 99.
A glaophenia rostrata BALE 1887 p. 100.
Lylocarpus phœniceus BALE 1887 p. 87.
Lylocarpus spectabilis BALE 1887 p. 99.
A glaophenia aurita LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4
A glaophenia phœnicæ LENDENFELD 1887 (c) p. 30.
Lylocarpus spectabilis ALLMAN 1888 p. LXV, LXVI, LXIX.: |
» » DRIESCH 1890 (b) p. 675. |
D CO RE
LÉ
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 149
Lytocarpus phœniceus K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604.
» » MARKTANNER 1890 p. 271, 272, 276, pl. 6,
fig. 18-18 4.
Lytocarpus racemiferus Allman.
Lytocarpus racemifera ALLMAN 1883 p. 8.
Lytocarpus racemiferus ALLMAN 1883 p. 12, 38, 41, pl. 13.
» » BALE 1887 p. 84, 87, 89.
» » ALLMAN 1888 p. LX, LXII, LXIX.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 675.
Lytocarpus saccarius Allman.
Syn.: Halicornaria saccaria Alman.
Voir: Matériaux IV, p. 301.
Lytocarpus saccarrius ALLMAN 1883 p. 13.
Halicornaria saccaria BALE 1884 p. 156.
» » BALE 1887 p. 83.
Halicornaria (Lyto-
carpus) saccarit BALE 1888 p. 788.
Halicornaria saccaria MARKTANNER 1890 p. 268.
Lytocarpus urens (Kirchenpauer).
Syn.: Aglaophenia urens Kirchenpauer.
Voir : Matériaux [, p. 427 : IL, p. 46; III, p. 243 et IV, p. 255.
Aglaophenia urens ALLMAN 1883 p. 47.
» » HixcxsS 1887 p. 134.
Lylocarpus urens BALE LR88 p. 789.
Gen. Lytoscyphus Pictet 1893.
Voir : Matériaux If, p. 90 ; ILE, p. 326 et IV, p. 318.
Lytoscyphus fruticosus (Esper).
Voir : Matériaux I, p. 471 ; IL, p. 91; II, p. 327 et IV, p. 318.
Sertularella fruticosa KiRCHENPAUER 1884 p. 52, 54.
» » BALE 1887 p. 103.
Campanularia fruticosa MARKTANNER 1890 p. 205.
150 M. BEDOT
Lytoscyphus marginatus (Allman).
Syn.: Obelia marginata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 331.
Campanularit insignis FEWKES 1881 (a) p. 129.
Obelia marginata FEWKES 1881 (a) p. 128.
Campanularia insignis ALLMAN 1888 p. LXII, LXVIIL, 19, 25,
pl: 9 He APE
Obelia marginata ALLMAN 1888 p. 19.
Campanularia insignis Driescx 1889 p. 202.
Gen. Melicertum Eschscholtz 1829 sensu L. Agassiz 1862.
Voir : Matériaux IV, p. 319.
Nous avons attribué par erreur (Matériaux IV, p. 319) le genre
Melicertum à OKEN.
PERON et LESUEUR, en 1809, ont créé le genre Melicerta. Mais
ce nom avait déjà été donné, en 1803, par SCHRANK, à un genre
de Rotateurs. En 1815, OKEN, après avoir cité le genre Meli-
certa dans les Rotateurs (p. 49), emploie de nouveau le nom de
Melicerta avec un ? à propos du groupe de Carybdea. dans lequel
il place C. perla (p. 125).
Dans le System der Akalephen, d'ESCHSCHOLTZ (1829, p. 105),
on trouve l'indication suivante: Melicertum Oken (Melicerta
Peron). Il y à évidemment une erreur, et si l’on abandonne: Meli-
certa Peron et Lesueur, on doit admettre: Melicertum Eschscholtz.
Melicertum campanula L. Agassiz.
Voir.: Matériaux IE, p. 423 et IV, p. 319 et 412.
Melicertum campanula CLaus 1881 (c) p. 89.
Melicertium campanula MeTsCHNiKOFF 1886 (b) p. 84.
Melicertum campanula FEWKEs 1888 (a) p. 233.
der ss
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Gen. Merona Norman 1865.
Voir : Matériaux III, p. 327 et IV, p. 319.
Merona cornucopiæ Norman.
Voir : Matériaux [I, p. 327 et IV, p. 319.
Tubiclava cornucopiæ GRÆFFE
» » PENNINGTON
1884 p. 347.
1885 p. 38.
Gen. Monobrachium Mereschkowsky 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 320.
Monobrachium parasitum Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 320.
Monobrachium parasi-
licum LECHE
» » WAGNER
Monobrachium parasitum Bencn
Monobrachium parasi-
ticum WAGNER
» » WAGNER
1878 p. l4.
1885 p. 8.
1887 p. 332.
1889 p. 11688.
1890 p. 273 ss.. pl. 8 et 9.
Gen. Monocaulus Allman 1864-1871.
Voir : Matériaux Ill, p. 328 et IV, p. 320.
Monocaulus glacialis (Sars).
Voir : Matériaux III, p. 328 et IV, p. 320.
Corymorpha glacialis STORM
? Corymorpha arctica WEISMANN
Monocaulus glacialis VERRILL
Corymorpha glacialis STUXBERG
» » ALLMAN
Monocaulus glacialis LOMAN
Corymorpha glacialis MARKTANNER
1882 p. 11.
1883 p. 129.
1885 (a) p. 336.
1886 p. 164, 186
1888 p. à.
1889 p. 269, 270.
1890 p. 203.
152 M. BEDOT
Monocaulus grænlandica Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 320.
Monocaulus imperator Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 320.
Monocaulus imperator ALLMAN 1885 p. 752, fig. 265.
» » ALLMAN 1888 p.IX,XXIIE, LXVI-LXVIIL,
5, pl. 3, fig. 1-7.
» » LOMAN 1889 p. 270.
Monocaulus pendulus (L. Agassiz).
Voir : Matériaux ILf, p. 328 et IV, p. 320.
Corymorpha pendula Brooks 1882 p. 145.
» » WEISSMANN 1883 p. 429, pl:112, fig 4
» » CLARKE 1888 p. 81.
Monocaulis pendula CLARKE 1888 p. 81, fig. 73.
Monocaulus pendula LOManN 1889 p. 269, 270.
Gen. Monopoma Marktanner 1890.
Monopoma variabilis Marktanner.
Monopoma variabilis MARKTANNER 1890 p. 246, pl. 5, fig. 10 «, b,c.
Monopoma variabilis var. MarKTANNER 1890 p. 247.
Gen. Monosklera Lendenfeld 1885.
LENDENFELD (1885 (b) p. 908, 910) a créé ce genre pour une
espèce qui est synonyme d’Obelia geniculata; il doit donc dispa-
raitre.
Gen. Monostæchas Allman 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 321.
Monostæchas dichotoma Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 321.
Monoslæchas dichotoma Fewkes 1881 (a) p. 128.
» » ALLMAN 1833 p. 15.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 153
Monostæwchas dichotoma Driesca 1890 (b) p. 676.
Monostæchas dichotoma KinkPATRICK 1890 (a) p. 604.
Monostæchas quadridens (Mac Crady).
Voir : Matériaux IIf, p. 328 et IV, p. 321.
Gen. Myriothela Sars 1851.
Voir : Matériaux IF, p. 91; IE, p. 328 et IV, p. 321.
Myriothela cocksi (Vigurs).
Voir : Matériaux LE, p. 92 ; ILE, p. 329 et IV, p. 321.
Myriothela cocksi ._ STORM 1882 p. 7, 28, 30.
» » PENNINGTON 1885 p. 8, pl. 9, fig. 4.
Myriothèle KOROTNEFF 1888 p. 21 ss., pl. 1 et 2.
Myriothela phryqra Bourxe 1890 (b) p. 392.
Myriothela phrygia (Fabricius).
Voir : Matériaux Il, p. 92; ILE, p. 329 et IV, p. 322.
Myriothela phryqia STORM 1880 p. 122.
» » : STOKM 1882 p. 8, 28, 30.
» » ALLMAN 1888 p. XXI, XLIV.
» » DriescH 1890 (c) p. 154.
Gen. Nematophorus Clarke 1879.
Voir : Matériaux IV, p. 322.
Ce genre n’a pas été admis. NUTTING (1900, p. 121) à montré
que la seule espèce qu’il renfermait devait rentrer dans le genre
Lytocarpus.
Nematophorus grandis Clarke.
Voir : Lytocarpus grandis.
M.
BEDOT
Gen. Nemertesia Lamouroux 1812.
Voir : Matériaux, I, p. 455, II, p. 92, ILE, p. 330 et IV, p. 332.
Nemertesia antennina (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 455; II, p. 92; III, p. 330 et IV, p. 322.
Syn. : Nemertesia pentasticha (Pieper).
Voir :
Antennularia antennina
» »
Antennularia cruciata
Antennularia antennina
» »
)) »
» »
» ))
» »
» D)
» »
» »
Nemertesia antennina
Nemertesia cruciata
Nemertesia pentasticha
Antennularia janini
Antennularia antennina
Antennularia cruciata
Antennularia pentasticha
Antennularia antennina
)) D]
» D]
Nemertlesia antennina
Antennularia antennina
BYERLEY
LESLIE a. HERDMAN
Pieper
HAMANN
MEREJKOWSKY
MEREJKOWSKY
STORM
VARENNE
ALLMAN
MARION
MARION
WEISMANN
CaRus
CaRuS
CARUS
GRÆFFE
PIEPER
PIePER
PIEPER
REES
PENNINGTON
Queccx
VERRILL
WAGNER
HERDMAN
HERDMAN
Matériaux IV, p. 324.
1854 p. 104.
1881 p. 17.
1881 p. 41 ss., pl. 2, fig. 1-4.
1882 (a) p. 529.
1882 (a) p. 280. |
1882 (b) p. 583, 595 ss., pl. 29
B; h9.41:1%2.0
1882 p. 3. 21.
1882 (b) p. 678, 679, 680, pl.
31, fig. 3-5.
1883 p. 15, 24-26.
1883 (a) p. 94, 108.
1883 (b) p. 23.
1883 p. 188, 222, pl. 5, fig. 3,
pl. 9, fig.:9;
188% p. 19.
188% p. 19.
1884 p. 19.
1884 p. 399.
1884 p. 187.
1884 p. 218.
1884 p. 218.
1884 p. 585.
1885 p. 123, pl. 9, fig. 2.
1885 (a) p. 6, 9.
1885 (a) p. 537.
1885 p. 8.
1886 (a) p. 10.
1886 (b) p. 330.
HISTOIRE
Antennularia antennina
» 2]
» »
» D]
» ? »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
MELLY, Hicks a.
HERDMAN
NicHocs a. HADDON
BÉTENCOURT
BÉTENCOURT
Lo Braxco
HALLEZ
LoMAN
SEGERSTEDT
BOURNE
BoURNE
HALLEZ
MARKTANNER
DES HYDROÏDES. — V.
1886 p. 112.
1886 p. 615.
1887 p. 67.
1888 p.
1888 p. 387.
1889 p. 40.
1889 p. 263.
1889 p. 14, 49, 27.
1890 (a) p. 319.
1890 (b) p. 393, 397.
1890 p. 95.
1890 p. 260, 261, 279.
210, 212, 214.
ot
L'étude des Hydroïdes de la collection Lamouroux a conduit BizLarn (1909)
à rapporter la Cymodocea ramosa Lmx. à Nemertesia antennina (L.) et nous
avions adopté cette manière de voir dans la 3° période de nos Matériaur.
Mais nous nous demandons, maintenant, s’il n°v a pas eu, peut-être, une con-
fusion parmi les spécimens de cette collection, car en examinant les figures
données par Lamouroux (1816, pl. 7, fig. 1) on voit que la colonie de Cymo-
docea ramosa qu’il représente a absolument l'aspect caractéristique de N. ra-
mos«.
Nemertesia cymodocea (Busk).
Voir : Matériaux II, p. 331 et IV. p. 323.
Syn. : Nemertesia decussata Kirchenpauer.
Antennularia decussata
Antennularia cymodocea
» »
Antennularia decussata
Antennularia cymodocea
Antennularia cymodoca
Antennularia cymodocea
Anteunularia decussata
» »
Nemertesia decussata
Antennularia cymodocea
» »
PrEPER
BALE
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
QueLcH
BALE
BALE
LENDENFELD
KIRKPATRICK
Voir : Matériaux IV, p. 323.
41-43.
20.
32, 146.
1881 p.
1882 p.
1884 p.
1884 p. 147.
1885 (a) p. 626.
1885 (a) p. 478.
1885 (d) p. 642.
1885 (a) p. 9.
1887 p. 82.
1887 p. 82.
1887 (c) p. 26.
1890 (a) p. 610.
156 M. BEDOT
Nemertesia decussata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 610.
Antennularia decussata MARKTANNER 1890 p. 258, pl. 0, fig. 7.
Nemertesia decussata Kirchenpauer.
Voir : Nemertesia cymodocea.
Nemertesia fascicularis (Allman).
Antennularia fascicularis ALLMAN 1883 p. 22-24, pl. 4, fig. 5, 6.
» » ALLMAN 1888 p. LXIII, LXIX.
Nemertesia hexasticha Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 323.
Antennularia hexasticha Piper 1881 p. 42.
Nemertesia hexasticha JICKELI 1883 p. 646.
Antennularia hexasticha Quel.cH 1885 (a) p. 9.
Nemertesia intermedia Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 324.
Nemertesia irreqularis (Quelch).
Antennularia irregularis QUELcH 1885 (a) p. 8, pl. 2, fig. 4.
Nemertesia johnstoni Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 324.
Antennularia johnsloni PIEPER 1881 p. 42, 43.
» » QuELcH 1885 (a) P. 9.
Nemertesia norvegica (G.-0. Sars).
Voir : Matériaux IV, p. 324.
Heleropyxis norvegica SToRM 1882 p. 3, 22, 27.
Antennularia norvegica QueLcu 1885 (a) p. 10.
Heleropyxis norvegica BALE 1887 p. 81-82.
En |
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 415
Nemertesia paradoxa Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 324.
Antennularia paradoæa PIEPER 1881 p. 22.
Nemertesia pentasticha (Pieper).
Voir : Nemertesia antennin«.
Nemertesia perrieri Billard var. antennoides Billard.
Antennularia janini MARKTANNER 1890 p. 259, pl. 6, fig. 9-9 a.
Nemertesia ramosa Lamouroux.
Voir : Matériaux I, p. 457; Il, p. 93; IL, p. 331 et IV, p. 324.
Syn. : Nemertesia simplex (Allman).
Voir : Matériaux IV, p. 325.
Anteñnularia ramosa BYERLEY 1854 p. 104.
» » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 17.
» » HAMANN 1882 (a) p. 529, 530, pl. 25,
fig. 12-14.
Antennularia ramulosa MEREIKOWSKY 1882 (a) p. 280.
Antennularia ramosa MEREJKOWSKY L882 (b) p. 585, 595 ss., pl. 29
B, fig. 7-8, 10.
Nemertesia janinia JICKEU 1883 p. 646.
Anlennularia ramulosa MEREIKOWSKY 1883 (a) p. 82.
Antennularia ramosa MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 115.
Nemertesia janini CARUS 1884 p.19;
Nemertesia ramosa CaARUS 1884 p. 19.
Antennularia ramosa PENNINGTON 1885 p. 123.
Antennularia janini QuELCH 1885 (a) p. 9.
Antennularia profunda Querca 1885 (a) p. 10, pl. 2, fig. >.
Antennularia ramosa QUELCH 1885 (a) p. 10.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 323, 330.
» » MELLY, Hicks a.
HexpmMaAn 1886 p. 112.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 212, 214.
158 M. BEDOT
Antennularia ramosa Lo Bianco 1888 p. 387.
» » DALLA TORRE 1889 p. 95.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HoyLe 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 20, 22, 27, pl. 1, tig. 1.
» » BOURNE 1890 (b) p. 397.
» » MARKTANNER 1890 p. 259, pl. 6, fig. 8.
Voir Ja note à Nemertesia anlennina.
Nemertesia simplex (Allman).
Voir : Nemertesia ramosa.
Nemertesia tetrasticha (Meneghini).
Voir : Matériaux ILE, p. 332 et IV, p. 325.
Heteropyxis tetrasticha Pieper 1881 p. 4, 42.
Nemertesia tetrasticha CARUS 1884 p. 19.
Heteropyæis tetrasticha PIeper 1884 p. 166, 186, 187, 188.
Antennularia tetrasticha Quricn 1885 (a) p. 10.
» » MARKTANNER 1890 p. 259, 260, pl. 6, fig. 40.
Nemertesia triseriata (Pourtalès).
Voir : Matériaux IL, p. 333 et IV, p. 325.
La description de cette espèce, donnée par PourraLËs, est trop incomplète
pour permettre de la reconnaître. Nous la placerons donc dans les espèces
indéterminables.
Gen. Nemopsis J. Agassiz 1850.
Voir : Matériaux IIL, p. 333 et IV, p. 326.
Nemopsis bachei L. Agassiz.
Voir : Matériaux Il, p. 140; IE, p. 333 et IV, p. 326.
Nemopsis bachei Brooks 1882 p. 136, 143.
» » Brooks 1883 (a) p. 468.
» » FEWKES 1888 (a) p. 233.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 159
Gen. Nuditheca Nutting 1900.
Voir : Matériaux IV, p. 326.
Nuditheca dalli (Clark).
Voir : Matériaux IV, p. 326.
Gen. Obelia Peron et Lesueur 1809-Hincks 1868.
Voir : Matériaux I, p. 457 ; II, p. 95 ; LI, p. 333 et IV, p. 326.
Obelia adelungi Hartlaub.
Obelia adelungi HARTLAUB 1884 p. 164,166,171, 172, 182,
fig. 1, pl PRE
5, 6, pl. 12, fig. 20,
23, 91.
» » DALLA TORRE 1889 p. 95.
» » WAGNER 1890 p. 297.
Obelia andersoni Hincks.
Obelia andersoni Hixcks 1887 p. 132, pl. 12, fig. 2-4.
Obelia angulosa Bale.
Obelia angulosa BALE 1888 p. 752, 754, pl. 12, fig. 3.
Obelia arruensis Marktanner.
Obelia arruensis MARKTANNER 1890 p. 210, pl. 3, fig. 8.
Obelia australis Lendenfeld.
Obelia australis LENDENFELD 1885 (a) p. 604, 630.
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 920, pl. 43,
fig. 19-22,
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37.
» » BALE 1888 p. 748, 753, pl. 12, fig. 1-2.
» » MARKTANNER 1890 p. 209.
160 M. BEDOT
Obelia bicuspidata Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 326.
Obelia bicuspiutlala Hixcks 1887 p. 133.
Obelia bidentata Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 326.
Obelia bidentata BALE 1888 p. 756.
Obelia (2) bifurca Hincks.
? Obelia bifurca Hixcks 1887 p. 133, pl. 12, fig. 4.
Obelia chinensis Marktanner.
Obelia chinensis MARKTANNER 1890 p. 209, pl. 3, fig. 6-7.
Obelia commissuralis Mac Crady.
Voir : Matériaux I, p. 334 et IV, p. 326.
Obelia commissuralis Brooks 1882 p. 136.
Obeliu dichotoma (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 429; If,-p. 49; INT, p. 334 et IV, p. 327.
Campanularia dichotoma Lreuekarr 1847 (c) p. 87.
Laomedea dichotomu BYERLEY 1854 p. 105.
Obelia dichotoma Du PLESssis 1881 (a) p. 148.
» » LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 12.
» » STORM 1882 p. 3, 13, 28-30.
» » MARION 1883 (b) p. 23.
» » WEISMANN 1883 p. 157, 220.
Laomedea dichotoma LELLER 1883 p. 106. |
Obelia sphærulina Carus 1884 p. 29.
Obelia dichotoma R&ES 1884 p. 579, 587.
Obelia sphærulina REES 1884 p. 587.
Obelia dichotoma THOMPSON 1884 p. 4, 8.
» » PENNINGTON 1885 p. 83.
ms » VERRILL 1885 (a) p. 537.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 161
Obelia dichotoma HERDMAN 1886 (a) p. 8.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » MELLY, HIcks a.
HERDMAN 1886 p. 103.
» » NicHozs a. HappoN 1886 p. 615.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» » THOMPSON 1887 p. 389, 391, 392.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 205.
Obelia sphærulina DALLA TORRE 1889 p. 94.
Obelaria dichotoma DRIESCH 1889 p. 195.
Obelia dichotoma DRIESCH 1889 p. 194.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
Obelia dichotoma var. SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25.
Obelia dichotoma BouRNE 1890 (b) p. 394.
» » MARKTANNER 1890 p. 208, 209.
Obelia dichotoma var. MARKTANNER 1890 p. 209.
Obeliu divaricata Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 327.
Obelia flabellata Hincks.
Voir : Matériaux If, p. 95 et 140; IN, p. 336 et IV, p. 328.
Obelia flabellata SToRM 1882 p, 3, 13, 28-30.
» » PENNINGTON 1885 p. 84.
» » WAGNER 1885 p. 60, 69, pl. 1, fig. 15.
» » HADDoN 1886 (a) p. 524.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 329.
» » Meccy, HIcks a.
HErDMAN 1886 p. 102.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 205, 206, 210.
Obelaria flabellata DRIESCH 1889 p. 195.
Obelia flabellata DriEscH 1889 p. 194.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25.
» » MARKTANNER 1890 p. 209, 210.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 11
162
M. BEDOT
Obelia fusiformis (A. Agassiz).
Voir : Matériaux IT, p. 336 et IV, p. 328.
Obelia gelatinosa (Pallas).
Voir :
Campanularia gelatinosa
Laomedea gelatinosa
Obelia gelatinosa
» ))
Campanularia gelatinosa
Obelia gelatinosa
? Obelia leucostyla
? Obelia gelatinosa
Laomedea gelatinosa
Matériaux I, p. 430; II, p. 50; IN, p. 336 et IV, p. 328.
LEUCKART 1847 (c) p. 87.
BYERLEY 1854 p. 105.
Du PLessis 1881 (a) p. 148.
LENZ 1882 p. 177.
LENZ 1882 p. 171,
S'TORM 1882 p. 12, 13.
WEISMANN 1883 p. 157.
CARUS 1884 p. 30.
CaRUS 1884 p. 29.
GRÆFFE 1884 p. 356.
HARTLAUB 1884 p. 164.
REES 1884 p. 577.
GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178.
PENNINGTON 1885 p. 82, pl. 4, fig. L.
HERDMAN 1886 (b) p. 329.
MELcy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 102.
BERGH 1887 p. 333.
BÉTENCOURT 1887 p. 67.
BÉTENCOURT 1883 p. 205.
Lo BrANco 1888 p. 388.
DRIESCH 1889 p. 194, 195, 197, 198,
204, 218.
DRIESCH 1890 (b) p. 670, 671, 681.
MARKTANNER 1890 p. 210.
Obelia geniculata (Linné).
Obelia gelatinosa
9 D] ))
» D)
) »
» »
)) »
D] »
) »
» »
» »
Voir :
Matériaux [, p. 430, 431; IT, p. 51; IL, p. 338 et IV, p. 329.
Syn.: Laomedea diaphana À. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 324 et IV, p. 316.
Campanularia geniculata Levckarr
Laomedea geniculata
BYERLEY
1847 (c) p. 87.
1854 p. 105.
HISTOIRE
Obelia geniculata
» D)
» »
» »
) »
» »
» »
Campanularia lairi
Obelia geniculata
» )
» »
Obelia lucifera
Campanularia geniculata
Obelia geniculata
» )
Laomedea lairii
Obelia geniculata
Monosklera pusilla
» pas
Laomedea lairii
Obelia geniculata
» »
Schizocladium ramosum
Obelia geniculata
Laomedea geniculata
Obelia geniculata
Thaumantias lucida
» »
Obelia geniculata
» »
Laomedea lairii
Monosklera pusilla
Obelia geniculata
Du P£LEssis
LESLIE à, HERDMAN
SCHMIDTLEIN
VARENNE
BALE
HAMANN
STORM
VARENNE
WEISMANN
BALE
BALE
CARUS
HARTLAUB
HARTLAUB
KLAATSCH
RATHBUN a. TARR
THOMPSON
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
PENNINGTON
PENNINGTON
VERRILL
WAGNER
WAGNER
CLUBB
HERDMAN
MEzzy, Hicks a.
HERDMAN
Nicozs a. HADDON
BÉTENCOURT
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
DES HYDROÏDES.
RAY: 163
1881
1881
1881
1881
(a) p. 148, ex. syn. p. p.
Dr 42.
nazis
(a) p. 346.
1882 p. 19.
1882 (a) p. 526.
1882 p. 42.
1882 (b) p. 659, 696, pl. 35.
1883 p. 157, 220, 240, 263.
1884 p. 53, pl. 2, fig. 7.
1884 p. 31, 59, pl. 2, fig. 2.
1884 p. 29.
1884 p.
1884 p.
1884 p. 54?
1884 p. 215.
1884 p. L, 8.
1885 (a) p. 403, 622.
1885 (a) p. 590, 603, 630.
1885 (b) p. 908, 911, pl.
fig. 1-3.
1885 (d) p. 629.
1885 (d) p. 629.
1885 (d) p. 657.
1885 p. 81, pl. 4, fig. 3.
1885 p. 92.
1885 (a) p. 594.
1885 p. 46, 48, 49, 53, 69.
1885 (pas de pages), pl. 4, fig.
15 A.
1886 p. 116.
1886 (b) p. 325, 330.
40,
1886 p. 102.
1886 p. 615.
1887 p. 67.
1887 (c) p. 17.
1887 (c) p. 17.
1887 (c) p. 37.
164
Obelia geniculata
Obelia lucifera
Obelaria geniculata
Obelia geniculata
» »
Thaumantias lucifera
Obelia geniculata
Obelia geniculata var. 1
») » VAT Ne
» » var. 3
M. BEDOT
ALLMAN
BALE
BÉTENCOURT
Lo Bianco
DALLA TORRE
DRIESCH
DRIESCH
GRABER
M'Inrosx
SEGERSTEDT
BOoURNE
DRIESCH
M'Ixrosx
MARKTANNER
MARKTANNER
MARKTANNER
MARKTANNER
1888 p. LVI, LXIV, LXVIT,
LXVIIL, 23, 28, pl. 12,
hole 4rar
1888 p. 752, 754, 775.
1888 p. 206.
1888 p. 388.
1889 p. 94.
1889 p. 195.
1889 p. 194-196, 216.
1889 p. 745.
1889 p. 264, 272, 278.
1889 p. 12, 25.
1890 (b) p. 394.
1890 (b) p. 660.
1890 (b) p. 302.
1890 p.
1890 p.
1890 p.
1890 p.
207, 208.
207.
208, pl. 3, fig. 9.
208.
Obelia helgolandica Hartlaub.
Obelia helgolandica
? Obelia longicyatha
HARTLAUB
DaALLA TORRE
WAGNER
VERRILL
1884 p.
1889 p.
1890 p.
Obelia hyalina Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 330.
Voir : Matériaux IV, p. 330.
1885 (a) p. 537.
Obelia longissima (Pallas).
165. 166, 172, 178,
182, fig. LL, pl. 11, fig.
3, 4, 13.
95.
297.
Obelia longicyatha Allman.
Voir: Matériaux I, p. 457; IL, p. 95; IL, p. 341 et IV, p. 330.
Obelia longissima
Eucope polystyla
LesLie a. HeRDMAN 1881 p. 12.
CLAUS
1882 p. 287.
Eucope polystyla
Obelia polystyla
Obelia longissima
Obelia polystyla
Obelia longissima
Eucope polystyla
Obelia longissima
Obelia polystyla
Obelarie longissima
Obelia longissima
» D)
HISTOIRE
CLAUS
MEREIKOWSKY
CARUS
RKES
PENNINGTON
Meczy, Hicxs a.
HERDMAN
METSCHNIKOFF
THOMPSON
ALLMAN
CLARKE
DALLA TORRE
DrrescH
DRIESCH
BOURNE
Obelia marginata
Voir : Lytoscyphus marginatus.
DES HYDROÏDES. — V.
165
1883 p. 86.
1853 (b) p. 99.
1884 p. 30.
1884 p. 579.
1885 p. 83.
1886 p. 102.
1886 (b) p. 20, 26, 54.
1887 p. 387, 389, 391.
1888 p. XXXVII.
1888 p. 83, 84.
1889 p. 95.
1889 p. 195.
1889 p. 194, 195, 197.
1890 (b) p. 39%,
Allman.
Obelia piriformis (A. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 342 et IV, p. 331.
Obelia plicata
2) »
) )
ty »
nu »
» »
» »
Obelia plicata var.
Obelia plicata Hincks.
Voir : Matériaux IT, p. 342 et IV, p. 331.
JICKELI
CaRus
HARTLAUB
PIEPER
PENNINGTON
DriescH
MARKTANNER
MARKTANNER
1883 p. 634, pl. 28, fig. 5-8.
1884 p. 30.
1884 p. 164.
1884 p. 164.
1885 p. 84.
1889 p. 198.
1890 p. 208, 210.
1890 p. 208.
Obelia polygena Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 332.
Obelia pygmæa Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 332. ?
166 M. BEDOY
Gen. Oorhiza Mereschkowsky 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 332.
Oorhiza borealis Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 332.
Oorhiza borealis WAGNER 1885 p. 60, 69,.71, pl. 1, fig.
18-20, pl. 2, fig. 1-4.
Hydractinia borealis BERGH 1887 p. 331.
Hydractinia (oorhiza)
borealis BerGu 1887 p. 332.
Oorhiza borealis BERGH 1887 p. 331.
Gen. Opercularella Hincks 1868.
Voir : Matériaux IL, p. 95; LILI, p. 342 et IV, p. 332.
Opercularella lacerata (Johnston).
Voir : Matériaux Il, p. 95; ILE, p. 342 et IV, p. 332.
Opercularella lacerata Lestie a. HErDMAN 1881 p. 13.
» » WEISMANN 1883 p. 150, 190, 220, 226, pl.
24, fig. 2-6.
» » PENNINGTON 1885 p. 94.
» » THALLWITZ 1885 p. 389, 403, pl. 12, fig.
10-12.
» » MELLy, Hicxs a.
Herman 1886 p. 105.
» » BÊTENCOURT 1888 p. 208.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 95.
» » MARKTANNER 1890 p. 215.
Opercularella pumila Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 332.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 167
Gen. Ophiodes Hincks 1866.
Voir : Matériaux IIL, p. 343 et IV, p. 332.
Ophiodes mirabilis Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 343 et IV, p. 333.
Ophiodes mirabilis WEISMANN 1883 p. 95.
» » PENNINGTON 1883 p. 105.
Gen. Ophionema Hincks 1874.
Voir : Matériaux IV, p. 353.
Ophionema parasiticum G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 333.
Ophiodes parasitica ALLMAN 1883 p. 6 (note).
Gen. Oplorhiza Allman 1877.
Voir : Matériaux IV, p. 333.
VERRILL (1885 (a)) écrivait par erreur Opalorhza.
Oplorhiza parvula Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 333.
Oplorhiza parvula ALLMAN 1883 p. 6 (note).
Opalorhiza parvula VERRILL 1885 (a) p. 537.
Gen. Pachycordyle Weismann 1883.
Pachycordyle napolitana Weismann.
Pachycordyle napolitana Wrismanx 1883 p. 87, 217, pl. 6, fig. 6.
168 M. BEDOT
(en. Pasythea Lamouroux 1812.
Voir : Matériaux 1, p. 458; IT, p. 96; IE, p. 344 et IV, p. 334.
Pasythea gracilis Dana.
Voir : Matériaux II, p. 96; LIT, p. 344 et IV, p. 334.
Pasythea hexodon Busk.
Voir : Matériaux IIT, p. 344 et IV, p. 334.
Pasythea hexodon BALE 1884 p. 113, pl. 9, fig. 43.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 419, 624.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 634.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
» » BALE 1888 p. 757,771, pl. 14. fig. 8-9.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Pasythea philippina Marktanner.
Pasythea philippina MARKTANNER 1890 p. 234, 239, pl. 4, fig. 8-8 a.
Pasythea quadridentata (Ellis et Solander).
Voir : Matériaux I, p. 458; Il, p. 96; IL, p. 34% et IV, p. 334.
Pasythea quadridentata BALE 1884 p. 31, 112, pl. 7, fig. 3.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 419, 624.
» » LENDENFELD - 1885 (d) p. 633.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 20.
» » BALE 1888 p. 770, 771, 784, pl. 14,
fig. 6-7.
» » MARKTANNER 1890 p. 234.
Pasythea quadridentata (EN. et Sol.) var. balei Billard.
Voir : Matériaux I, p. 440; IT, p. 68; I, p. 344 et IV, p. 334.
Dynamena obliqua BALE 1884 p. 94.
Sertularia obliqua BALE 1884 p. 96.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
» » LENDENFELD 1887 (e) p. 43.
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V, 169
Gen. Pennaria Oken 1815.
Voir : Matériaux I, p. 458; IT, p. 96; II, p. 344 et IV, p. 334.
Pennaria adamsia
)» »
» ))
) »
Pennaria australis
} )
Pennaria rosea
Pennaria australis
Pennaria rosea
Pennaria australis
Pennaria rosea
Pennariu australis
Pennaria rosea
Pennaria adamsia Lendenfeld.
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
MARKTANNER
1885 (a) p.595, 629, pl. 25, fig.
43-48, pl. 26, fig. 49.
1885 (4) p. 653.
1887 (c) p. 34.
1890 p. 201.
Pennaria australis Bale.
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
BALE
1884 p. 45.
1885 (a) p. 593, 629.
1885 (a) p. 594, 629, pl. 24,
fig. 40-42.
1885 (d) p. 653.
1885 (d) p. 653.
1887 (c) p. 34.
1887 (c) p. 34.
1888 p. 747.
1888 p. 747.
Pennaria disticha Goldfuss.
Voir : Matériaux I, p. 459; [T, p. 96; III, p. 344 et IV, p. 334.
Pennaria cavolinii
» »
) »
» »
» »
» »
» »
) »
Du PLESssIs
HAMANN
HAMANN
MEREJKOWSK Y
WEISMANN
BALE
CARUS
LENDENFELD
1881 (a) p. 147.
1882 (a) p. 481, 520, pl. 21,
fe AAA ZDIS29
fig. 12.
1882 (b) p.546, pl. 26, fig. 17-18.
1883 (a) p. 82.
1883 p. 121, 218, pl. 17, fig. 1-5,
pl. 18.
1884 p. 45.
1884 p. 6.
1885 (a) p. 995.
170 M. BEDOT
Pennaria cavolinii THALLWITZ 1885 p. 389, 408, pl. 12, fig.
13-14, pl. 13, fig. 15-20.
» » Lo Branco 1888 p. 389.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 678.
Pennaria pennaria MARKTANNER 1890 p. 201.
Pennaria gibbosa Li. Agassiz.
Voir : Matériaux IIL, p. 345 et IV, p. 335.
Pennaria gibbosa Du PLessis 1881 (a) p. 147.
» » HAMANN 1882 (a) p. 520.
» » WEISMANN 1883 p. 121.
» » BALE 1882 p. 45.
» » CARUS 1884 p. 6.
Pennaria inornata Brooks.
Pennaria inornata BROOKS 1882 p. 136, 144.
Pennaria symmetrica Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 339.
Pennaria symmetrica BALE 1888 p. 747.
Pennaria tiarella (Ayres).
Syn. : Halocordyle tiarella (Ayres).
Voir : Matériaux II, p. 309 et IV, p. 302.
Pennaria tiarella Brooks 1882 p. 136.
» » CLARKE 1888 p. 80, pl. sans n°, p. 86,
fig. 1, 2.
Globiceps tiarella RATHBUN a. TaRR 1884 p. 216.
Gen. Pentandra Lendenfeld 1884 (b).
Pentandra balei Lendenfeld.
Pentandra balei LENDENFELD 1885 (a) p. 490, 628, pl. 14,
fig. 18, pl. 16, fig.
20127
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 171
Pentandra balei LENDENFELD 1885 (d) p. 648.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 31.
Pentandra parvula Lendenfeld.
Pentandra parvula LENDENFELD 1885 (a) p. 489, 628, pl. 14,
fig. 19, pl. 16, fig.
24, 25.
» » LENDENFELD 1885 (d, p. 648.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 31.
Gen. Perigonimus Sars 1846.
Voir : Matériaux II, p. 97; III, p. 345 et IV, p. 335.
Perigonimus abyssi G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 335.
Perigonimus abyssi STORM 1880 p. 122.
» » STORM 1882 p. 10.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24.
Perigonimus apicatus Brooks.
Perigonimus ( Stomatoca)
apicata Brooks 1884 p. 711.
Perigonimus (©) bitentaculatus (Wright).
Voir : Matériaux IT, p. 345 et IV, p. 335.
Perigonimus bitenta-
culatus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
? » » PENNINGTON 1885 p. 66.
Perigonimus cidaritis Weismann.
Perigonimus cidaritis WEISMNAN 1883 p. 117, 118, pl. 12, fig.
10-11.
Perigonimus (2) coccineus (Wright).
Voir : Matériaux IT, p. 345 et IV, p. 335.
Perigonimus coccineus LesLie a. HerDMAN 1881 p. 10.
? » » PENNINGTON 1885 p. 66.
172 M. BEDOT
Perigonimus formosus Fewkes.
Perigonimus formosus FEWKES 1889 (b) p. 102.
Perigonimus linearis (Alder).
Voir : Matériaux III, p. 346 et IV, p. 336.
Perigonimus linearis Du PLEssis 1881 (a) p. 146.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
» » WEISMANN 1883 p. 116, 117.
» » CaRUus 1884 p. 4.
? » » PENNINGTON 1885 p. 65.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203.
? » » Du PLessis 1888 p. 540.
» » Lo Bianco 1888 p. 389.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 22.
» » MARKTANNER 1890 p. 206.
Perigonimus (?) miniatus (Wright).
Voir : Matériaux II, p. 346 et IV, p. 336.
Perigonimus miniatus LesLiE a. HERDMAN 1881 p. 10.
? » PENNINGTON 1885 p. 66.
Perigonimus minutus Alman.
Voir : Matériaux II, p. 346 et IV, p. 336.
Perigonimus minutus PENNINGTON 1885 p. 64.
Perigonimus multicornis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 336.
Perigonimus muscoides Sars.
Voir : Matériaux Il, p. 97; ILE, p. 346 et IV, p. 336.
Perigonimus muscoides Srorm 1882 p. 3, 6, 10, 2%, 28, 29.
» » WEISMANN 1883 p. 115, 116.
» » SEGERSTEDT 1889,p. 9, 22, 24.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Perigonimus nutans Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 336.
? Perigonimus nutans PENNINGTON 1885 p. 66.
Perigonimus palliatus (Wright).
Voir : Matériaux II, p. 347 et IV, p. 336.
Perigonimus palliatus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
» » PENNINGTON 1885 p. 69.
Perigonimus (?) quadritentaculatus (Wright).
Voir : Matériaux IIL, p. 347 et IV, p. 336.
Perigonimus quadri-
tentaculatus LesLie a. HERDMAN 1881 p. 10.
? » » PENNINGTON 1885 p. 66.
Perigonimus repens (Wright).
Voir : Matériaux IE, p. 347 et IV, p. 337.
Perigonimus repens LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
» » STORM 1882 p. 10, 28-30.
» » WEISMANN 1883 p. 116.
» » Carus 1884 p. 4.
» » PIEPER 1884 p. 149.
» » PENNINGTON 1885 p. 64.
» » Du PLESsIs 1888 p. 539.
» » HoYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 9, 24.
» » BOouURNE 1890 (b) p. 393.
» » MARKTANNER 1890 p. 200.
Perigonimus serpens Allman.
Voir : Matériaux II, p. 348 et IV, p. 337.
Perigonimus serpens WEÆISMANN 1883 p. 116.
» » CARUS 1884 p. 4.
» » PENNINGTON 1885 p. 69.
» » CHUN 1889 p. d24.
» » FEWKES 1889 (b) p. 102.
173
174 M. BEDOT
Perigonimus sessilis (Wright).
Voir : Matériaux IIT, p. 348 et IV, p. 337.
Perigonimus sessilis LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
» » WEISMANN 1853 p. 116.
) ) PENNINGTON 1885 p. 64.
Perigonimus steinachi Jickeli.
Perigonimus steinachi JIcKEn 1883 p. 617, 658, pl. 27, fig. 1-9.
» » GRÆFFE 1884 p. 350.
Perigonimus sulfureus Chun.
Perigonimus sulfureus CHuN 1889 p. 524.
Perigonimus vestitus Allman.
Voir : Matériaux IIL, p. 348 et IV, p. 337.
Perigonimus vestitus LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 10. |
» » JICKELI 1883 p. 621, 667.
» » WEISMANN 1883 p. 116, 117.
» » PENNINGTON 1885 p. 65.
» » SEGERSTED l 1889 p. 22.
» » BOURNE 1890 (b) p. 393.
Gen. Perisiphonia Allman 1888.
Perisiphonia filicula Allman.
Perisiphonia filicula ALLMAN 1888 p. LVII, LXII, LXV,
LXVIIT, 43-46, pl. 22,
fig. 1-4.
» » DRIESCH 1889 p. 202.
Perisiphonia pectinata Allman.
Perisiphonia pectinata ALLMAN 1888 p. LVII, LXV, LXVIIT,
43-45, pl. 21, fig. 2-20.
QT
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Î
1
Gen. Pleurocarpa Fewkes 1881.
Pleurocarpa ramosa Fewkes.
Pleurocarpa ramosa FEWKES 1881 (a) p. 129, 136, pl. 3, fig.
XD:
» » ALLMAN 1883 p. 14.
» » BALE 1887 p. 89.
» » AGASSIZ, A. 1888 p. 137, fig. 440.
Gen. Plumularia Lamarck 1816.
Voir : Matériaux [,.p. 459; If, p: 97; IIT, p. 348 et IV, p. 337.
Plumularia abietina Allman.
Plumularia abietina ALLMAN 1883 p.21, pl..3:
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXIV, LXIX.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
BiccarD (1910, p. 35) considère cette espèce comme une simple variété de
Plumularia insignis.
Plumularia aglaophenoides Bale.
Plumularia aglaophe-
noides BALE 1884 p. 20, 122, 124, 126, pl.
10, fig. 6.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 625.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
» » BALE 1887 p. 79, 94.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
BicLarD (1907) croit que cette espèce est synonyme de Plumularia sulcata
Lamarck ou n’en est qu’une variété.
Plumularia alata Bale.
Plumularia alata BALE 1888 p. 782, pl. 19, fig. 6-10.
176 M. BEDOT
Plumularia annuligera Quelch.
Plumularia delicatula QuELcH 1885 (a) p. 8, pl. 2, fig. 3.
» » QueLca 1885 (b) P. 156.
Plumularia annuligera QueLcx 1885 (b)-p. 156.
Plumularia armata Allman.
Plumularia armata ALLMAN 1883 p. 9, 22, pl. 4, fig. 3, 4.
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX.
» » Driesca 1890 (b) p. 676.
Plumularia attenuata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 337.
Plumularia attenuata FEWKES 1881 (a) p. 128, 130.
Plumularia aurita Bale.
Plumularia aurita BALE 1888 p. 784,pl. 19, fig. 15-19.
Plumularia australis Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 337.
Plumularia obliqua
var. australis BALE 1882 p. 20.
Plumularia australis BALE 1884 p. 13, 142, 143, pl. 12,
fig. 7-8, pl. 19, fig.
L3-4l.
Plumularia obliqua
var. australis PIEPER 1884 p. 216.
Plumularia australis LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 639.
» » BALE 1882p. 16:79:
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 24.
Plumularia badia Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 338.
Plumularia badia BALE 1882 p. 20.
» » BALE 1884 p. 31, 128, pl. 18, fig. 1-2.
Li
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 17
Plumularia radia LENDENFELD 1883 (a) p. 473, 626.
Plumularia badia LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
» » BALE 1887 p. 78.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia bifrons (Heller).
Voir : Matériaux ILE, p. 349 et IV, p. 338.
Anisocola bifrons JickeLt 1883 p. 646.
Plumularia bifrons CARUS 1884 p. 18.
Plumularia buski Bale.
Plumularia buski BaLk 1884 p. 40, 195, pl. 10, fig. 3,
pl. 19, fig. 34-35.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 625.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
» » BALE 1887 p. 79, 94, 108.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia caliculata Bale.
Plumularia caliculata BALE 1838 p. 780, pl. 20, fig. 9-14.
Plumularia californica Marktanner.
Plumularia californica MaRKTANNER 1890 p. 255, pl. 6, fig. 4-4 a.
Plumularia campanula Busk.
Voir : Matériaux IIL, p. 349 et IV, p. 338.
Plumularia campanula Bars 1882 p. 19, 45, 46.
Plumularia indivisa BALE 1882 p. 39, 46, pl. 15, fig. 1.
Plumularia laxa ALLMAN 1883 p. 19, pl. 1, fig. 5, 6.
Plumularia campanula BALE 1884 p. 31, 32, 121, 124%, 126,
197, pl. 10, fig. 3.
Plumularia campanula
var. B. BALE 1884 p. 195.
Plumularia indivisa BALE 1884 p. 121, 125.
Plumularia campanula LeNDenreLD 1885 (a) p. 473, 625.
Plumularia laxa LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 12
178 M. BEDOT
Plumularia rubra LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626, pl. 13,
fig. 11, 12, pl. 14,
fig. 16.
Plumularia torresia LENDENFELD 1885 (a) p. 477, 626, pl. 13,
fig. 13, 14, pl. 14,
fig. 16.
Plumularia campanula LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
Plumularia laxa LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
Plumularia rubra LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
Plumularia torresia LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
Plumularia campanula BALE 1887 p. 79, 80, 94.
Plumularia laxa BALE 1887 p. 79, 94.
Plumularia campanula LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Plumularia laxa LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia rubra LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia torresia LENLENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia laxa ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX.
Plumularia campanula BaLe 1888 p. 747, 776, 778, pl. 20,
fig. 1-6.
Plumularia laxa BALE 1888 p. 776.
Plumularia rubra BALE 1888 p. 746, 777, 778, pl. 20,
fig. 1-6.
Plumularia torresia BALE 1888 p. 747, 776, 777.
Plumularia laxa DRIESCH 1890 (b) p. 676.
Plumularia campanula MaRKTANNER 1890 p. 255.
Plumularia laxa MARKTANNER 1890 p. 261.
Plumularia rubra MARKTANNER 1890 p. 256.
Plumularia catharina Johnston.
Voir : Matériaux II, p. 97; IIL, p. 349 et IV, p. 338.
Syn.: Plumularia geminata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 341.
Plumularia catharina
Plumularia geminata
Plumularia catharina
LEUCKART
FEWKES
LESLIE à. HERDMAN
1847 (c) p. 87.
1881 (a) p. 128.
1881 p. 17.
» » STORM 1882 P. 29 21:
» » ALLMAN 1883 p. 15, 22, 23.
» » BALE 1884 P. 1921.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 179
Plumularia catharina PENNINGTOoN 1885 p. 125.
» » MELLY, Hicks a.
HerDMAN 1886 p. 113.
» » BALE 1887 p. 81.
» ) DALLA TORRE 1889 p. 95.
» » HoYLE 1889 p. 460.
Plumularia catharinæ SEGERSTEDT 1889 p. 214, 27, pl. 1,.fig. 2.
Plumularia catharina BOURNE 1890 (b) p. 398.
» » Dniescu 1890 (a) p. 661.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 669, 670,
672.
» DNA MARKTANNER 1890 p. 252, 253.
Plumularia catharina Johnston var. alternans Driesch.
Plumularia catharina
var. allernans DRIESCH 1890 (a) p. 661.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 662, 664-
666, 672, 673, 676.
Plumularia caulitheca Fewkes.
Plumularia caulitheca FEWKES 1881 (a) p.129, 130, pl. 3, fig. 4.
Plumularia clarkei Nutting.
Voir : Matériaux IV, p. 338.
Plumularia compressa Bale.
Plumularia compressa BALE 1882 p. 21, 43, 44, 47, pl. 15,
fig. à.
» » BALE 1884 p. 13, 142, 14h, pl. 12,
fig. 9-10, pl. 19, fig.
39-40.
» LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 639.
» » BALE 1887 p. 79.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 24.
» » BALE 1888 p. 784, 785, pl. 19, fig. 14.
180 M. BEDOT
Plumularia cornucopiæ Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 339.
Plumularia cornucopiæ PENNINGTON 1885 p. 128.
» » MARKTANNER 1890 p. 257.
Probablement synonyme de Plumularia diaphana Heller.
Plumularia cornuta Bale.
Plumularia cornuta BALE 1884 p. 132, pl. 11, fig. 1-2.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 6926.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
» » BALE 1887 p. 78, 81, 95.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia cylindrica Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 339.
Plumularia cylindrica ALLMAN 1883 p. 20.
» » BALE 1884 p. 146.
» » KIRKP ATRICK 1890 (a) p. 609.
Plumularia delicatula Bale.
Plumularia delicatula Bare 1882 p. 40, pl. 15, fig. 2.
» » BALE 1884 p. 137, pl. 11, fig. 5.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
» » BALE 1887 p. 79.
Plumularia delicata LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Plumularia delicatula Base 1888 p. 776.
Plumularia diaphana Heller.
Voir : Matériaux IIT, p. 349 et IV, p. 339.
Plumularia diaphana CaRus 1884 p. 18.
» » Pieper 1884 p. 220.
» » MARKTANNER 1890 p. 252.
| pue
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 181
Plumularia disticha Heller.
Voir : Matériaux II, p. 350 et IV, p. 339.
Plumularia disticha PIRPER 1881 p. 41.
Isocola disticha JiCKELI 1883 p. 646, 647.
Heteropyæis disticha BALE 1884 p. 124.
Plumularia disticha CaRUs 1884 p. 17.
» » PIEPER 1884 p. 187, 188.
D’après Broca (1911) cette espèce serait une jeune colonie de Nemertesia
tetrasticha.
Plumularia dolichotheca Allman.
Plumularia dolichotheca ALLMAN 1883 p. 20, pl. 1, fig. 7, 8.
» » ALLMAN 1888 p. LXVI, LXIX.
Plumularia echinulata Lamarck.
Voir : Matériaux I, p. 459; Il, p. 98; IE, p. 350 et IV, p. 340.
Plumularia echinulata VARENNE 1881 (a) p. 346.
» » WEISMANN 1881 (c) p. 7, 16, 18. pl. 9, fig.
14-19.
» » VARENNE 1882 (b) p. 620, 629, ... 697, pl.
| 31, fig. 6-9, pl. 32.
? Plumularia echinata MamonN 1883 (a) p. 24.
Plumularia echinulata Marion 1883 (a) p. 24.
» » WEISMANN 1883 p. 151, 172, 184-187, 221,
pl. 6, fig. 1-3, pl. 7, fig.
1-7, pl. 8, 9, fig. 1-4.
» » CARUS 1884 p. 18.
» » PENNINGTON 1885 p. 126.
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 427.
» » BÊTENCOURT 1887 p. 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 213.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » BouRNE 1890 (b) p. 398.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 669, 670,
672, 673, 675, 683,
686, 687.
» » MARKTANNER 1890 p. 254.
182 M. BEDOT
Plumularia elegantula G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 340.
Plumularia elegantula Srorm 1882 p. 23, 27.
Plumularia filicaulis Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 340.
Plumularia fiicaulis BALE 1884 p. 24. 32, 121, 134, pl. 11,
fie... 6-7, cpl. ARE
h1-42.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
» » BALE 1887 p. 76, 79, 80.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
» » BALE 1888 p. 774, 783.
Plumularia filicaulis Kirchenpauer var. indivisa Bale.
Plumularia filicaulis
var. indivisa BALE 1884 p. 134.
Plumularia filicula Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 340.
Plumularia flabellum Allman.
Plumularia flabellum ALLMAN 1883 p. 19, pl. 1, fig. 1-4.
» » ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX.
BizcarD (1910, p. 34) considère cette espèce comme une simple variété de
Plumularia insignis.
Plumularia fragilis Hamann.
Plumularia fragilis HAMANN 1882 (a) p. 501, 502, 529, pl.
24, fig. 18-20, pl.
25, fig. 1-7.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 183
Plumularia frutescens (Ellis et Solander).
Voir : Matériaux I, p. 460 ; IL, p. 98; IN, p. 350 et IV, p. 340.
Plumularia frutescens MereIkowskY 1882 (b) p. 584.
» » STORM 1882 p. 22, 27.
» » ALLMAN 1883 p. 20.
Isocola frutescens JiCKELI 1883 p. 643, 667, pl. 28, fig. 24.
Plumularia frutescens Barr 1884 p. 22.
» » CARUS 188% p. 17.
» » GRÆFFE 1884 p. 399.
» » PENNINGTON 1885 p. 127.
1socola frutescens LOMAN 1889 p. 264.
Plumularia frutescens Secersrenr 1889 p. 21, 27.
» » BOURNE 1890 (b) p. 398.
Plumularia frutescens DRIESCH 1890 (b) p. 659, 663-666, 669-
674, 676, 683. 684,
fig. 3.
Plumularia geminata Allman.
Voir: Plumularia catharina.
Plumularia glutinosa (Lamouroux).
Voir : Matériaux IT, p. 351 et IV, p. 341.
Plumularia goldsteini Bale.
Plumularia goldsteini BaLe 1882 p. 41, pl. 15, fig. 7.
» » Bar 1884 p. 137, pl. 11, fig. 9.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
» » BALE 1887 p. 79.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Plumularia gracilis Lendenteld.
Plumularia gracilis LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626, pl. 14, fig.
17, pl. 17, fig. 28, 29.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
184 M. BEDOT
Plumularia gracilis LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
» » BALE 1888 p. 746.
Plumularia gracillima G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 341.
Plumularia gracillima Sroru 1882 p. 3, 15, 22, 24, 27, 29.
» » VERRILL 1885 |a) p. 537.
) ) BALE 1887 p. 81.
» » SEGERSTEDT 1889 p :21, 27.
Plumaularia halecioides Alder.
Voir : Matériaux IIL, p. 351 et IV, p. 341.
Plumularia halecioides Baie 1882 p. 40.
» » MEREJKOWSK Y 1882 (a) p. 280.
» » MEREJKOWSKY 1882 (b) p. 585, 592, ss., pl. 29
A, fig. 19-23, pl. 29
B, fig. 3-6, 11-13.
Anisocola halecioides var. Jickeut 1883 p. 636.642,647,667,668,
670, pl. 28, fig. 10-23.
Plumularia halecioides WEISMANN 1883 p. 184, 188, 190, 222, 243,
244, pl. 24, fig. 11-12.
Plumularia halecioides
var. adriatica WEISMANN 1883 p. 184.
Plumularia halecioides BALE 1884 p. 137.
Plumularia halecioides
var. adriatica CARUS 1884 p. 18.
Plumularia halecioides GRÆFFE 1884 p. 346, 355.
» » METSCHNIKOFF 1884 p. 144.
» » PI&PER 1884 p. 188.
» » PENNINGTON 1885. p. 127, pl. 9, fig. 3.
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 428.
» » BÉrENCOURT 1887 p. 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 213.
» » DRIESCH 1889 p. 224.
» » LOoMaN 1889 p. 263, fig. 1.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 663, 671-
675, 683. |
» » MARKTANNER 1890 p. 254.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 185
Plumularia helleri Hincks.
Voir : Matériaux Il, p. 99; IF, p. 351 et IV, p. 341.
Plumularia helleri CARS 1884 p. 18.
) » PIEPER 1884 p. 187, 219.
» » MARKTANNER 1890 p. 251, pl. 6, fig. 3.
Plumularia hians Marktanner.
Plumularia hians MARKTANNER 1890 p. 253, pl. 6 fig. 6.
Cette espèce ne doit pas être confondue avec la Plumularia hians de Busk
— Aylaophenia hians).
Plumularia hyalina Bale.
Plumularia hyalina BALE 1882 p. 41, pl. 15, fig. 9.
» » BALE 1884 p. 141, pl. 12, fig. 4-5.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. #75, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 639.
» » BALE 18871p. 78;
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 24.
Plumularia insignis Allman.
Plumularia insignis ALLMAN 1883 p. 21, pl. 2.
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXIV, LXIX.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
Plumularia lagenifera Allman.
Plumularia lagenifera ALLMAN 1886 p. 157, 158, pl. 26, fig. 1-3.
Probablement synonyme de Plumularia selacea.
Plumularia liechtensterni Marktanner.
Plumularia liechtensterni MARKTANNER 1890 p. 252,257, pl. 6, fig. 2-2 a.
Plumularia longicornis Busk.
Voir: Lytocarpus longicornis.
186 M. BEDOT
Plumularia macrotheca Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 342.
Plumularia megalocephala Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 342.
Plumuluria megalo-
cephala Quecca 1885 (a) p. 8.
Plumularia multinoda Allman.
Plumularia multinoda ALLMAN 1886 p. 157, pl. 26, fig. 4-6.
Plumularia obconica Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 342.
Plumularia obconica BALE 1882 p. 20.
» » ALELMAN 1883 p. 24.
» » BALE 1884 p. 127, pl. 18, fig. 3-4.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
» » BALE 1887 p. 79.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
Plumularia obliqua Johnston.
Voir : Matériaux IE, p. 99; HI, p. 352 et IV, p. 342.
Plumularia obliqua BALE 1882 p. 19, 39.
» » BALE 1884 p. 123, 138, 140, 142-144,
pl. 12, fig. 1-3.
» » Carus 1884 p. 18.
) » PIEPER 1884 p. 216.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 640.
» » PENNINGTON 1885 p. 126.
» » BALE 1887 p. 76, 78, 79, 96.
» » BÊTENCOURT 1887 p. 67.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
» » BALE 1888 P. 783.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 213.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 187
Plumularia obliqua DRiESCH 1890 (b) p. 659-661, 673-675,
683, 686.
1890 p. 254.
» » MARKTANNER
Plumularia obliqua Johnston var. robusta Bale.
Plumularia obliqua
var. robusta BALE 1884 p. 139.
Plumularia oligopyxis Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 342.
Plumularia oligopyxis BALE 1887 p. 103.
» » MARKTANNER 1890 p. 254.
Plumularia pinnata (Linné).
Voir: Matériaux I, p. #60 ; IL, p. 100; TEE, p. 352 et IV, p. 343.
1881 p. 17.
Plumularia pinnata LESLIE a. HERDMAN
» » STORM 1882 p. 4, 22.
» » VARENNE 1882 (b) p. 629, 630.
Isocola pinnata JICKErI 1883 p. 646, 647.
Plumularia pinnata WEISMANN 1833 p. 172.
» » CaRUs 1884 p. 17.
» » GRÆFFE 188% p. 399.
» » PikPER 1881 p. 187, 188.
» » PENNINGTON 1885 p. 124.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 323, 330.
HERDMAN 1886 p. 115.
» » BéTencourT 1887 p. 67.
» » BéTENCOURT 1888 p. 214.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HoÿLe 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 20, 21, 27.
» » BOURNE 1890 (b) p. 398.
» » DrikscH 1890 (b) p. 659, 660, 670, 672,
673, 675, 683, 686,
687.
» » MARKTANNER 1890 p. 253.
MEccy, Hicxs a.
185 M. BEDOT
Plumularia pulchella Bale.
Plumularia pulchella BALE 1882 p. 42, pl. 15, fig. 6.
» » BALE 1884 p. 140, pl. 12, fig. 6,
pl: 1006787:
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626.
D ) LENDENFELD 1885 (d) p. 639.
» » BALE 1887 p. 78.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 24.
» ) BALE 1888 p. 784.
Plumularia ramsayi Bale.
Plumularia ramsayi BALE 1884 p. 131,133, pl. 11, fig. 3-4.
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 473. 626.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 641.
» » BALE 1887 p. 78.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 25.
» » BALE 1888 p. 746.
» » K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Plumularia ramulifera Allman.
Voir : Matériaux LIT, p. 353 et IV, p. 343.
Plumularia rugosa Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 343.
Plumularia scabra Lamarck.
Voir: Acanthella effusa.
Plumularia secundaria (Gmelin)
Voir: Antennella secundaria.
Plumularia setacea Linné.
Voir : Matériaux I, p. 461 ; IT, p. 101; IL, p. 354 et IV, p. 344.
Plumularia setacea BYERLEY 185% p. 104.
» » LESLIE 4. HERDMAN 1881 p. 17.
» » WEISMANN 1881 (c) p. 16.
Plumularia setacea
Anisocola setacea
Plumularia setacea
» »
D] »
» »
» »
Plumularia tripartita
» »
Plumularia setacea
» D)
» »
» )
» D)
Plumularia tripartita
Plumularia setacea
Plumularia tripartita
Plumularia setacea
» »
» »
» »
» »
HISTOIRE
BALE
MEREJKOWSK Y
STORM
JICKELI
BALE
CARUS
GRÆFFE
METSCHNIKOFF
PIEPER
LENDENFELD
LENDENFELD
PENNINGTON
QUELCH
MEeLLy. HICKs à.
HERDMAN
METSCHNIKOFF
BÉTENCOURT
LENDENFELD
BALE
BALE
BÉTENCOURT
SEGERSTEDT
BOURNE
DRiesc4
MARKTANNER
DES HYDROÏDES. — V. 139
1882 p. 40.
1882 (b) p. 58%.
1882 p. 22, 27.
1883 p. 641, pl. 28, fig. 9.
1884 p. 137.
1884 p. 17.
1884 p. 359.
1884 p. 144, pl. 13, fig. 4.
1884 p. 187, 188.
1885 (a) p. #77, 626, pl. 12, fig.
8-10.
1885 (d) p. 640.
1885 p. 124, pl. 9, fig. 4.
1885 (a) p. 8.
1886 p. 113.
1886 (b) p. 20, 41, 69.
1887 p. 67.
1887 (c) p. 25.
1888 p. 747, 778, 780-782, 785,
pl. 20, fig. 14-18.
1838 p. 747, 779.
1888 p. 212, 214.
1889 p. 20, 27.
1890 (b) p. 398.
1890 (b) p. 659, 660, 665, 669,
670, 672-676, 683,
685.
1890 p. 255.
Plumularia setacea (1) var. gaimardi Billard.
Voir : Matériaux If, p. 99, HT, p. 355 et IV, p. 344.
Isocola qaymardi
Plumularia setaceoides
» »
JICKELI
BALE
BALE
1883 p. 646.
Plumularia setacenides Bale.
1882 p. 40, 47, pl. 15, fig. 4.
1884 p. 136, pl. 11, fig. 8, pl. 19,
fig. 36.
190
Plumularia setaceoides
M.
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
LENDENFELD
BALE
BEDOT
1885 (a) p. 474, 626.
1885 (d) p. 641.
1887 p. 78, 96.
1887 (c) p. 26.
1888 p. 776, 781, pl. 20, fig. 7-8.
Plumularia siliquosa Hincks.
Voir: Antennella siliquosa.
Plumularia similis Hincks.
Voir : Matériaux HE, p. 355 et IV, p. 345.
Plumularia similis VARENNE
» » MARION
» » PENNINGTON
» » MEccy, Hicks a.
HERDMAN
» » BOURNE
» » DR1ESCH
» » MARKTANNER
1882 (b) p. 629, 630.
1883 (a) p. 29.
1885 p. 126.
1886, p. 113.
1890 (b) p. 398.
i890 (b) p. 672, 673, 675, 683,
687.
1890 p. 252.
Plumularia spinulosa Bale.
Plumularia spinulosa BALE
» » BALE
» » LENDENFELD
» » LENDENFELD
» » BALE
» » LENDENFELD
» » BALE
Plumularia stylifera
1882 p. 49, pl. 15, fig. 8.
1884 p. 139, 141, 142, pl. 49,
_ fig. 11-12.
1885 (a) p. 475, 626.
1885 (d) p. 639.
1887 p. 76, 78.
1887 (c) p. 25.
1888 p. 783, pl. 19, fig. 14-13.
Plumularia stylifera Alman.
ALLMAN
» » ALLMAN
1883 p. 22, pl. 4, fig. 1-2.
1888 p. LXIII, LXIX.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 191
Plumularia sulcata Lamarck.
Voir : Matériaux IIT, p. 355 et IV, p. 345.
Plumularia sulcata BALE 1#84 p. 145.
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626.
) » LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Plumularia tenella Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 345.
Plumularia tenella CLARKE 1888 p. 86.
Plumularia tuba Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 345.
Plumularia turgida Bale.
Plumularia turgida BALE 1888 p. 779, 786, pl, 20, fig.
12-13.
Plumularia variabilis Quelch.
Plumularia variabilis QueLca 1885 (a) p. 6, pl. 2, fig. 2.
Plumularia ventriculiformis Marktanner.
Plumularia ventriculi-
formis MARKTANNER 1890 p. 256, pl. 6, fig. 5-5 a.
Plumularia verrilli Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 345.
Plumularia verrilli CLARKE 1888 p. 86.
Plumularia wattsi Bale.
Plumularia wattsi BALE 1887 p. 95.
» » BALE 1888 p. 779.
12
|
192 M. BEDOT
Gen. Pluriserialia Kirchenpauer 1876.
KIRCHENPAUER (1876, p. 43, note) avait rangé sous ce nom, au
Musée de Leipzig, les espèces de Sertularides qui ont plus de deux
rangées d’hydrothèques.
Plus tard (1884, p. 7), il a fait rentrer ces espèces dans le genre
Selaginopsis d'ALLMAN. Le genre Pluriserialia doit donc dispa-
raitre.
Gen. Podocoryne Sars 1846.
Voir : Matériaux IE, p. 102; III, p. 255 et IV, p. 345.
Podocoryne aculeata (Wagner).
Voir : Matériaux II, p. 103 : IT, p. 355 et IV, p. 345.
Podocoryne aculeata CARUS 1884 p. 6.
» » BERGH 1887 p. 331,
Podocoryne areolata Alder.
Voir : Matériaux II, p. 356 et IV, p. 346.
Podocoryne areolata PENNINGTON 1885 p. 43.
) » BERGH 1887 p. 331.
» » KIRKPATRICK 1889 p. 416.
Podocoryne carnea Sars.
Voir : Matériaux IL, p. 103; ILE, p. 356 et IV, p. 346.
Hydractinia carnea DANIELSSEN 1861 p. 46.
Podocoryne carnea STORM 1880 p. 123.
Podocoryne tubulariae Srorm 1880 p. 123.
Podocoryne carnea Du PLESSIS 1881 (a) p. 144.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8.
» » .. VARENNE 1881 (a) p. 346.
» » VARENNE 1881 (b) p. 1032, 1033.
» » FEWKES 1882 (b) p. 295.
» » HaMANX 1882 (a) p. 483, 498, 517, 520,
pl. 20, fig. 1, 3, 4.
» » STORM 1882 p. 6, 29.
Podocoryne tubulariue
Podocoryne carnea
» »
Dysmorphosa carnea
Cylaeis exiqua
Podocorygne carnea
Dysmorphosa carnea
Podocoryne carnea
Dysmorphosa carnea
Podocoryne carnea
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
#
STOoRM
VARENNE
VARENNE
JICKELI
WEISMANN
CARUS
GRÆFFE
GRÆFFE
PIEPER
PENNINGTON
THALLWITZ
ALLMAN
Du PLessis
Du P£Lessis
ISHIKAWA
Lo BiANco
DALLA TORRE
. BRAUN
M'Ixrosx
SEGERSTEDT
BOURNE
MARKTANNER
M'Inrosx
WAGNER
HAMANN
LENDENFELD
Brooks
WAGNER
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 193
1882 p. 6, 28, 30.
1882 (a) p. 892 ss.
1882 (b) p. 645, 659-664, 674,
678, 683, 683, 697,
704, pl. 33, fig. 6-
15, pls. 34,37 et 38.
1883 p. 621, 653, pl. 27, fig. 10.
1883 p. 63, 216, pl. 19.
1884 p. 24.
1884 p. 347.
1884 p. 347.
1884 p. 149.
1835 p. 42, pl. 2, fig. 5.
1885 p. 389, 422, pl. 14, fig.
1888 p. XVIL.
1888 p. 542.
1888 p. 942.
1888 p. 621 ss., fig. 1-6.
1888 p. 389.
1889 p. 95.
1889 p. 70, 79.
1889 p. 282.
1889 p. 6, 23.
1890 (b) p. 392.
1890 p. 202.
1890 (b) p. 299.
1890 p. 276.
Podocoryne haeckel Hamann.
1882 (a) p. 479, 481, 498, 519,
pl. 24, fig, 15-16.
1883 (e) p. 502.
1884 p. 710, 711.
1890 p. 276, 277.
Podocoryne inermis Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 347.
194 M. BEDOT
Podocoryne proboscidea Hincks.
Voir : Matériaux IIL, p. 358 et IV, p. 347.
Podocoryne proboscidea PENNINGTON 1885 p. 43.
Gen. Polycoryne Graeffe 1883.
GRÆFFE (1883 (b) p. 202), après avoir décrit la Pofycoryne
helleri a reconnu (1883 (b) p. 320) que cette espèce était synonyme
de Cladocoryne floccosa. Ce genre doit donc être supprimé.
Gen. Polyplumaria G.-0. Sars 1874.
Voir : Matériaux IV, p. 347.
Polyplumaria flabellata G.-0. Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 347.
Diplopteron insigne ALLMAN 1883 p. 30.
Polyplumaria insignis ALLMAN 1883 p. 31.
Polyplumaria (Diplop-
leron) insignis ALLMAN 1883 p. 31.
Polyplumaria pumila ALLMAN 1883 p. 31, 55, pl. 4, fig. 7, 8.
» » ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX.
Polyplumaria flabellata MARKTANNER 1890 p. 278.
Gen. Protohydra Greef 1869.
Voir : Matériaux IIT, p. 358 et IV, p. 348.
Protohydra leuckarti Greef.
Voir : Matériaux IT, p. 358 et IV, p. 348.
Gen. Rhizogeton L. Agassiz 1862.
Voir : Matériaux III, p. 358 et IV, p. 348.
Rizogeton fusiformis L. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 358 et IV, p. 348.
Rhizogelon fusiformis WEISMANN 1883 p. 251.
HISTOIRE DES HYDROÏDES., — V. 195
Gen. Rhizohydra Cope 1883.
Genre douteux !
Rhizohydra flavitincta Cope.
Rhizohydra flavitincta Core 1883 p. 140.
Espèce douteuse !
Gen. Rhizonema Clark 1876.
Voir : Matériaux IV, p. 348.
Rhizonema carnea Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 348.
Gen. Rhizorhagium Sars 1874.
Voir : Matériaux IV, p. 348.
Rhizorhagium roseum Sars.
Voir : Matériaux IV, p. 348.
Rhizorhagium roseum STORM 1882 p. 9, 28, 29.
Gen. Schizotricha Allman 1883.
BILLARD (1910, p. 44), discutant la valeur des caractères sur
lesquels est fondé ce genre, arrive à la conclusion qu’il devrait
disparaître, étant synonyme de Polyplumaria. NUTTING (1900)
conserve les deux genres.
Schizotricha multifurcata Allman.
Schizotricha multifurcata ALLMAN 1883 p. 9, 29, pl. 7, fig. 4, 5.
» » ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
196 M. BEDOT
Schizotricha unifurcata Allman.
Schizotricha unifurcata ALLMAN 1883 p. 28-30, pl. 7, fig. 1-3.
» » ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
Gen. Sciurella Allman 1885.
Sciurella indivisa Allman.
Sciurella indivisa ALLMAN 1883 p. 9, 15, 23, 26, pl. 5:
Antennularia cylindrica BALE 1884 p. 146, pl. 10, fig. 7.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 478, 626.
Sciurella indivisa LENDENFELD 1885 (a) p. 479, 626.
Antennularia cylindrica LENDENFELD 1885 (d) p. 642.
Sciurella indivisa LENDENFELD 1885 (d) p. 644.
Antennularia cylindrica LENDENFELD 1887 (c) p. 26.
Sciurella indivisa LENDENFELD 1887 (c) p. 28.
» » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX.
Antennularia cylindrica KiRKPATRICK 1890 (a) p. 609.
Sciurella indivisa KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608, 609.
Gen. Selaginopsis Allman 1876.
Voir : Matériaux I, p. 462 et IV, p. 349.
Selaginopsis allmani Norman.
Voir : Matériaux IV, p. 349.
Selaginopsis allmani KIRCHENPAUER 1884 p. 12, 15.
Selaginopsis bidentata (Allman).
Voir : Matériaux IV, p. 349.
Selaginopsis bidentata KIRCHENPAUER 1884 p 11, 16.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 197
Selaginopsis cedrina (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 467; Il, p. 111; III, p. 367 et IV, p. 349.
Syn.: Selaginopsis pacifica Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 351.
Selaginopsis cedrina KIRCHENPAUER 1884 p. 8, 45, 16, pl. 114, fig.
1-1 b.
Selaginopsis pacifica KIRCHENPAUER 1884 p. 9.
Selaginopsis cylindrica (Clark).
Voir : Matériaux IV, p. 349.
Selaginopsis cylindrica KiRCRENPAUER 1884 p. 12, 15, 16.
Thuiaria cylindrica MURDoCH 1885 p. 166.
Selaginopsis cylindrica MARKTANNER 1890 p. 243.
Selaginopsis decemserialis Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 349.
Selaginopsis decemserialis KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16.
Selaginopsis fusca (Johnston).
Voir : Matériaux IV, p. 350.
Selaginopsis fusca KIRCHENPAUER 1884 p. 13, 15, 16.
» » PENNINGTON 1885 p. 117.
Sertularia fusca DRIESCH 1889 p. 213.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 19, 27.
Selaginopsis fusca MARKTANNER 1890 p. 219, 243.
_ Selaginopsis mirabilis (Verrill).
Voir : Matériaux IV, p. 350.
Selaginopsis mirabilis KIRCHENPAUER 1884 p. 10, 12, 16.
Polyserias mirabilis LENDENFELD 1886 (a) p. 480.
Selaginopsis mirabilis BaLe 1887 p. 105.
» » BERGH 1887 p. 337.
198 M. BEDOT
Selaginopsis novae-zelandiae (Thompson).
Voir : Matériaux IV, p. 350.
Selaginopsis novae-
zelandiae KiRCHENPAUER 1884 p. 14, 16.
» » BALE 1887 p. 103.
Selaginopsis obsoleta (Lepechin).
Voir : Matériaux I, p. 472; Il, p. 114; III, p. 372 et IV, p. 350.
Selaginopsis obsoleta KIRCHENPAUER 1884 p. 10, 15, 16, pl. 11, fig. 2.
Selaginopsis ochotensis Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 351.
Selaginopsis ochotensis KIRGHENPAUER 1884 p. 14, 16.
Selaginopsis pacifica Mereschkowsky.
Voir: Selaginopsis cedrina.
Selaginopsis pinaster (Lepechin).
Voir : Matériaux IV, p. 351.
Selaginopsis pinus KIRCHENPAUER 1884 p. 11, 15, 16, pl. 11, fig. 4.
Selaginopsis pinnata Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 351.
Selaginopsis pinnata KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16.
Selaginopsis purpurea (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 474; IL, p. 116; II, p. 376 et IV, p. 351.
Selaginopsis purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 9, 15, 16, pl. 11, fig. 3.
Selaginopsis salicornia (Allman).
Syn.: Thuiaria salicornia Allman.
Voir : Matériaux IIL, p. 392 et IV, p. 380.
Selaginopsis salicornia KiRcHENPAL ER 1884 p. 13, 15, 16.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 199
Selaginopsis thuja Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 351.
Selaginopsis thuja KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16.
Selaginopsis triserialis Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 352.
Selaginopsis triserialis KiRCHENPAUER 1884 p. 14-16.
Selaginopsis urceolifera Kirchenpauer.
Selaginopsis urceolifera KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 15, pl. 11, fig. 5.
Gen. Sertularella Gray 1848.
Voir : Matériaux IL, p. 104; II, p. 359 et IV, p. 352.
Sertularella albida Kirchenpauer.
Voir : Matériaux IV, p. 352.
Sertularella albida KIRCHENPAUER 1884 p. 42, 53.
Sertularella allmani Hartlaub.
Sertularia secunda
Lunilateralis| ALLMAN 1888 p. LXIV, LXVII.
Sertularia unilateralis AtLMAN 1888 p. 53, pl. 25, fig. 2-2 4.
» » DRIESCH 1889 p. 201.
Sertularia secunda
(unilalteralis) MARKTANNER 1890 p. 227
Sertularia unilateralis PFEFFER 1890 p. 567.
Il règne une grande confusion dans la svnonvmie de cette espèce el les
indications que nous avons données dans les Matériaux IV p. 360 devront être
modifiées.
L'espèce qui doit porter ce nom a été découverte en 1824 par Lamouroux
qui l’appelait Sertularia unilateralis.
En 1876, ALLMan décrivit sous le nom de Sertularella unilateralis une autre
espèce à laquelle HarrLauB (1901) a donné le nom de Sertularella antarctica
n. nom.
200 M. BEDOT
En 1886, ALLMAN donne le nom de Sertularia unilateralis à une espèce qui
n'est autre que la Sertularia bispinosa (Gray) ainsi que l’a reconnu BiLLARD
(1910).
Enfin, dans la monographie des Hydroïdes du Challenger (1888 p. 53),
ALLMAN décrivit de nouveau une Sertularia unilaleralis n. sp. Mais, en cours
de publication, il reconnut que ce nom avait été déjà employé et dans lexpli-
cation de la pl. 25 le changea contre celui de Sertularia secunda. Malheureu-
sement, l'introduction de ce nouveau nom eut pour résultat d’embrouiller
encore plus la question, car il existait déjà une Serlularia secunda Carus (1884),
une Sertularella secunda Kirchenpauer (1884), et l'espèce d’ALLMAN devait
passer du genre Sertularia dans le genre Sertularella !
En effet, Carus (1884 p. 14) fait figurer dans son Prodromus Faunæ Medi-
terraneæ une Sertularia secunda N. Crs à laquelle il donne comme synonyme :
Lynamena secunda Menegh. et: ? D. reptans Costa. Il est peu probable que la
D. reptans Costa soit synonyme de l'espèce de MeNeGini et nous l’avons fait
figurer (Matériaux If p. 114) dans la synonymie de Sertularia gracilis Hassal.
Quant à la D. secunda Meneghini, elle est synonyme de Sertularia lamourou:xi
M. Edw. ; c’est donc sous ce nom que nous placerons la $S. secunda de CARüs.
La Sertularella secunda Kirchenpauer (1884) est une bonne espèce à laquelle
on peut donner comme synonyme la S. limbata Allman ainsi que HArTLAUB (1901)
Va montré.
Quant à la Sertularia unilateralis-secunda d'ALLMAN (1888) nous la ferons
figurer sous le nouveau nom de Sertularella allmani que Harrzaus (1901) lui
a donné.
Sertularella amphorina Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 352.
Sertularella annulata Marktanner.
Sertularella annulata MARKTANNER 1890 p. 227, pl. 4, fig. 4-4 b.
Sertularella antarctica Hartlaub.
Sertularella unilateralis ArLMaN 1876 (c) p. 114.
» » ALLMAN 1879 p. 282, pl. 18, fig. 10-11.
» » STUDER 1879 P. 120, 132.
» » KIRCHENPAUER 1881 p. 39, 40, 50, 53.
Voir les notes à Sertularella allmani et S. unilateralis. {
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Sertularella arboriformis Marktanner.
Sertularella arboriformis MarkTANNER
1890 p. 228, pl. 4, fig. 5.
Sertularella arbuscula (Lamouroux).
Voir : Matériaux [, p. 465; Il, p. 110; IL, p. 359 et IV, p. 352.
Syn. : Sertularella ramosa Thompson.
Voir : Matériaux IV, p. 357.
Sertularella ramosa BALE 1882 p. 19.
Sertularia arbuscula ZELLER 1883 p. 106.
» » BALE 1884 p. 95, pl. 8, fig. 11.
Sertularella ramosa BALE 1884 p. 111, pl. 8, fig. 4.
Sertularella arborea
KIRCHENPAUER
1884 p. 41, 53, pl. 15, fig. 1-1 b.
Sertularella ramosa KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 53.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624.
Sertularia arbuscula LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623.
Sertularella ramosa
Sertularia arbuscula
LENDENFELD
LENDENFELD
1885 (d) p. 632.
1885 (d) p. 662.
Sertularella crassipes ALLMAN 1886 p. 133, pl. 8, fig. 4-5.
Sertularella cuneata ALLMAN 1886 p 134. pl. 9, fig. 1-2.
Sertularella ramosa LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
Sertularia arbuscula LENDENFELD 1887 (c) p. 40.
Sertularella arborea MARKTANNER 1890 p. 221, 222, 228.
Sertularella arbuscula (Liamouroux) var. pinnata (Kirchenpauer).
Sertulurella arborea
var. pinnala KIRCHENPAUER 1884 p. 42.
Sertularella arborea
var. pinnala MARKTANNER 1890 p. 222.
BizLarD (1910) a montré que la S. arborea de KiRCHENPAUER était synonyme
de S. arbuscula (Lamouroux). La var. pinnata se rapporte donc à cette espèce.
Sertularella articulata (Allman).
Sertularia articulata ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 614, pl. 29,
fig. 3, 34.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
2
©
2
M. BEDOT
Sertularella clarki Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 352.
Sertularella clarki KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 54.
Sertularella conica Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 352.
Sertularella contorta Kirchenpauer.
Serlularella contorta KIRCHENPAUER 1884 p. 39, 53, pl. 15, fig. 2-2 a.
Sertularella crassicaulis (Heller).
Voir : Matériaux ILE, p. 359 et IV, p. 353.
Serlularia crassicaulis Carus 1884 p. 15.
Sertularella crassicaulis Pigper 1884 p. 186.
» » MARKTANNER 1890 p. 225.
Sertularella difjusa Allman.
Sertularella diffusa ALLMAN 1886 p. 136, pl. 11, fig. 1-2.
Sertularia diffusa var. MARKTANNER 1890 p. 229, pl. 4, fig. 6 a-6 6.
Sertularella distans (Lamouroux).
Voir : Matériaux I, p. 469 ; IT, p. 111; Il, p. 359 et IV, p. 353.
Sertularia distans BaLe 1884 p. 97.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 414, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
» » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 42.
Sertularella divaricata (Busk).
Voir: Sertularella johnstoni.
Sertularella episcopus Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 353.
Sertularella episcopus RIDLEY 1881 (a) p. 105.
? Sertularia fusiformis Rice 1881 (a) p. 105.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 203
Sertularella episcopus KIRCHENPAUER 1884 p. d1, 54.
» » BALE 1887 P. 103.
Sertularia fusiformis PFEFFER 1890 p. 483, 568.
Sertularella exigua Thompson.
Voir : Matériaux IV, p. 353.
Sertularella exiqua KIRCHENPAUER 1882 p. 41, 53.
» » BALE 1887 p. 103.
Voir la note à Sertularella qaudichaudi.
Sertularella formosa Fewkes.
Sertularella formosa
FEWKES
1881 (a) p. 129, 130.
Sertularella fruticulosa Püppig.
Sertularella fruticulosa
» » PüepiG _ 1884 p. 50.
Sertularella fusiformis Hincks.
Voir : Matériaux III, p. 360 et IV, p. 353.
? Sertularella simplex BALE 1882 p. 19, 2%, 45.
Sertularella fusiformis Carus 188% p. 12.
» » GRÆFFE 1884 p. 356.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 4d, 30, 53.
? Sertularella simplexz KIRCHENPAUER 1884 p. 43, 53.
Sertularella fusiformis Piper 1884 p. 185.
? Sertularia simplex LENDENFELD 1885 (b) p. 984.
? Sertularella simplex MULLER 1885 p. 534.
Sertularella fusiformis PENNINGTON 1885 p. 108.
? Sertularella simplex LEÉNDENFELD 1886 (a) p. 478.
» » BALE 1887 p. 106.
Sertularella fusiformis DRiEscH 1889 p. 200.
» » HoYyLE 1889 p. 460.
? Sertularia simplex MARKTANNER 1890 p. 226.
KIRCHENPAUER
1884 p. 50, 53, pl. 16, fig. 8,80.
D’après Harrzaus (1901) la Sertularia simplex de Hurron (1872) est syno-
nyme de Sertularella fusiformis, tandis que, d’après BaLe (1887), elle est
synonyme de S. polyzonias.
204 M. BEDOT
Sertularella gaudichaudi (Lamouroux).
Voir : Matériaux IE, p. 485; IIL, p. 360 et IV, p. 354.
Sertularella qaudichaudr KiRCHENPAUER 1884 p. 38, 93.
Sertularia exiqua ALLMAN 1888 p. 55, pl. 26, fig. 2, 2a.
Sertularia laxa [exiqua] ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX.
Sertularia exiqua DRIESCH 1889 p. 202.
Sertularia laxa MARKTANNER 1890 p. 226.
En 1888, ALLMAN a donné (p. 55) le nom de /axa à une Serlularia, mais,
reconnaissant que ce nom avait déjà été employé (par Lamarcx en 1816 pour
l'espèce nommée aujourd’hui Lytoscyphus fruticosus), il le changea (1888,
Expl. pl. 26) contre celui de Sertularia exigqua. Ce nom a malheureusement
amené une nouvelle confusion, car il existait déjà une Sertularia exiqua décrite
en 4877 (b) par ALLMAN lui-même. En outre, THomPsoN avait donné le nom de
Sertularella exiqua à une autre espèce (1879).
BILLARD, après avoir examiné les Lypes des espèces récoltées par le CHALLENGER,
a montré que la Sertularia laxa-exiqua décrite par ALLMAN en 1888 était syno-
nyme de Sertularella gaudichaudi.
Sertularella gayi (Lamouroux).
Voir : Matériaux I, p. 472; IL, p. 105; IE, p. 360 et IV, p. 354.
Sertularella gayi WEISMANN 1881 (c) p. 17.
» » STORM 1882 p. 20, 27, 29, 30.
» » WEISMANN 1883 p. 165.
» » GRÆFFE 1884 p. 396.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 17, 41, 42, 53.
» » PENNINGTON 1885 p. 107, pl. 5, fig. 4.
» » BéTENCOURT 1888 p. 209, 210.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » Hoy£e 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26.
» » BOURNE 1890 (a) p. 319.
» » BOURNE 1890 (b) p. 396.
Sertularella gayi (Lamouroux) var. robusta Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 354.
Sertularella gayi
var. robusta FEWKES 1881 (a) p. 128, 130.
» » » KiRCHENPAUER 1884 p. 41, 42, 53.
[Se
©
[SL
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Sertularella gigantea Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 354.
Sertularella gigantea THOMPSON 1884 p. 3-5, pl. 1, fig. 4-6, 8.
Sertularia gigantea THOMPSON 1884 p. 3.
Sertularella gigantea BERGH 1887 p. 339.
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 393.
Sertularella greenei (Murray).
Voir : Matériaux ILE, p. 360 et IV, p. 355.
Sertularella greenei KIRCHENPAUER 1884 p. 47, 53.
Sertularella longicollis KIRCHENPAUER 1884 p. 47.
Sertularella indivisa Bale.
Sertularella indivisa BALE 1882 p. 24, pl. 12, fig. 7.
» » BALE 1884 p. 105, 108, pl. 3, fig. 5,
pl. 19; 822%
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 631.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
» » BALE 1888 p. 763-765, pl. 45, fig. 1-2.
» » -_ MARKTANNER 1890 p. 224.
Sertularella infracta Kirchenpauer.
Serlularella infracta KIRCHENPAUER 1884 p. 46, 54.
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 478.
» » BALE 1887 p. 107.
Sertularella integra Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 355.
Sertularella integra KIRCHENPAUER 1884 p. 52, 54.
» » BALE 1887 p. 103.
A
g)
2Ÿ}
206 M. BEDOT
Sertularella johnstoni (Gray).
Voir : Matériaux II, p. 105; IIL, p. 361 et IV, p. 355.
Syn.: Sertularella divaricata (Busk).
Voir : Matériaux IL, p. 359 et IV, p. 353.
1881 (a) p. 104.
1882 p. 19, 24, 25.
1882 p. 45.
1882 p. 25, pl. 12, fig. 9.
Sertularella johnstoni RIDLEY
» » BALE
Sertularella divaricata BALE
Sertularella pygmaea BALE
Serlularia (Sertularella ?)
divaricata BALE 1882 p. 18.
1884 p. 32, 110, pl. 3, fig. 9,
pl. 19, fig. 20.
Sertularella divaricata BALE
Sertularella johnstoni BaLe 1884 p. 32, 104, 108-110, pl. 3,
fig. 7, pl. 19, fig. 24.
Sertularella pygmaea BALE 1884 p. 108, pl. 3, fig. 8, pl. 19,
fg::49
Sertularella johnstoni KIRCHENPAUER 1884 p. 4, 46, 49, 53.
Sertulareila purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 54, pl. 16, fig. 3-30,
Sertularella divaricata LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624.
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624.
Sertularella pygmaea LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624.
Sertularella divaricata LENDENFELD 1885 (d) p. 632.
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1885 (d) p. 632.
Sertularella pygmaea LENDENFELD 1885 (d) p. 632.
Sertularella johnstoni MULLER 1885 p. 534.
Sertularella capillaris ALLMAN 1886 p. 133, pl. 8, fig. 1-3.
Sertularella johnsoni ALLMAN 1886 p. 133.
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1886 (a) p. 478.
Serlularella purpurea LENDENFELD 1886 (a) p. 478.
Sertularella divaricata BaLe 1887 p. 94, 107.
Sertulurella johnstoni BALE 1887 p. 93, 106-109.
Sertularella purpurea BALE 1887 p. 93, 108.
Serlularella divaricata LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
Sertularella johnstoni LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
Sertularella pygmaea LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
Sertulariu johnstoni ALLMAN 1888 p. 61.
Serlularella divaricata Baue 18838 p. 758, 762.
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 207
Sertularella divaricata
var. dubia BALE 1888 p. 761, pl. 16, fig. 1-2.
Sertularella divaricata
var. sub-dichotoma BALE 1888 p. 758, 761, 762, 766, pl,
16, fig. 3-4.
Sertularella johnstoni BALE 1888 p. 761, 762.
Symplectoscyphus
australis MARKTANNER 1890 p. 235, pl. 4, fig. 9-9 a.
Sertularella divaricata MARKTANNER 1890 p. 235.
Sertularella johnstoni MARKTANNER 1890 p. 228, 235.
Sertularella pygmaea MARKTANNER 1890 p. 226.
Sertularia johnstonr PFEFFER 1890 p. 483, 568.
Sertularella laevis Bale.
Sertularella laevis BALE 1882 p. 24, pl. 12, fig. 6.
» » BALE 1884 p. 107. pl. 3, fig. 2, pl. 49,
fig. 26.
» » LEXDENFELD 1885 (a) p. 417, 624.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 632.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
Sertularella lagena Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 355.
Sertularella lagena KIRCHENPAUER 1884 p. 40, 53.
Sertularia lagena PFEFFER 1890 p. 568.
Sertularella longitheca Bale.
Sertularella longitheca BALE 1888 p. 762, pl. 16, fig. 5-6.
Sertularella macrotheca Bale.
Sertularella macrotheca BALE 1882 p. 25, pl. 13, fig. 1.
» + BALE 1884 p. 107, pl. 3, fig. 4, pl. 19,
fig. 24.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624.
» » LENDENFELD 1883 (d) p. 632.
ÿ-* | » LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
208 M. BEDOT
Sertularella margaritacea Allman.
Sertularella margaritacea ALLMAN 1886 p. 133, pl. 7, fig. 3-4.
Sertularella microgona Lendenfeld.
Sertularella microgona LENLENFELD 1885 (a) p. 416, 623, pl. 7, fig.
1-3.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 631.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
î à BALE 1888 p. 745, 763, pl. 16. fig. 8.
Sertularella milneana (d’Orbigny).
Voir : Matériaux I, p. 105; II, p. 361 et IV, p. 355.
Sertularia milneana KIRCHENPAUER 1884 p. 52, 94.
Sertularella mulleri Kirchenpauer.
Sertularella mulleri KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 50, 54, pl. 16, fig.
7-7 b.
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 478.
Sertularella neglecta Thompson.
Voir : Matériaux IV, p. 356.
Sertularella neglecta. BALE 1882 p. 19, 24. |
» » BALE 1884 p. 110, pl. 3, fig. 3, pl. 19,
fig. 22-23.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 48, 54.
Sertularella sonderi KIRCHENPAUER 1884 p. 50,54, pl. 16, fig. 4-4 b.
Sertularella neglecta LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 632.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
» » BALE 1888 p. 765.
» » MARKTANNER 1890 p. 224.
Sertularella novarae Marktanner.
Sertularella novarae MARKTANNER 1890 p. 226, pl. 4, fig. 3-3 b.
HISTOIRE
DES HYDROÏDES. —
V.
Sertularella pallida Püppig.
Sertularella pallida
» »
Sertularella pinnala
KIRCHENPAUER
PôrpiG
Sertularella pinnata Clark.
Voir :
Matériaux IV, p. 396.
KIRCHENPAUER
LORENZ
MARKTANNER
1884 p. 47, 93.
1886 p. 25, 26.
1890 p. 223, pl. 4, fig. 2.
Sertularella polyzonias (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 473; Il, p. 106; LIT, p. 361 et IV, p. 356.
Sertularia polyzontias
Serlularia ellisir
Sertularella polyzonias
D) »
Sertularia ellisii
Sertularella polyzonius
» »
» »
) )))
» )
» »
Serlularia polyzonias
» »
Sertularella polyzonias
» »
Sertularella ellisii
Sertularella kerquelensis
Serlularella polyzonias
BYERLEY
HiNcKks
LESLIE a. HERDMAN
RIDLEY
SCHMIDTLEIN
\VEISMANN
BALE
HAMANN
SrorRM
MaRioN
WEISMANN
ZELLER
BALE
BALE
CaRus
GRÆFFE
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
Rev. Suisse DE Zooc. TL. 24. 1916.
185% p. 104.
1872 (a) p. 118.
1881 p. 13.
1881 (a) p. 104.
1881 p. 172.
1881 (c) p. 17.
1882 p. 15.
1882 (a) pl. 25, fig. 10-11.
1882 p. 20.
1883 (a) p. 108.
1883 p. 165, 221, 252, pl.
fig. », pl. 7, fig. 8,
1883 p. 106.
1884 p. 93.
1884 p.
1884 p. 12.
1884 p. 390.
1884 p. 52, 4.
1884 p. 40, 53.
1884 p. 37-40, 42, 49-53.
32, 104, pl. 3, fig.
pl. 19, fig. 25.
209
1884 p. 48, 53, pl. 16, fig. 6-6 a.
1884 p. 48.
210 M. BEDOT
Sertularella polyzonias
forma gracilis KIRCHENPAUER 1884 p. 38.
Sertularella polyzontas
forma gr'acillima KIRCHENPAUER 1884 p. 38.
Sertularella polyzonias PIEPER 1884 p. 185.
188% p. 216.
1884 p. à, pl. 1, fig. 7.
1885 (a) p. 417, 623.
RATHBUN a. TARR
THoMPsON
LENDENFELD
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 984.
) » LENDENFELD 1885 (d) p. 631.
» » PENNINGTON 1885 p. 106, pl. 5. fig. 3.
» » THALLWITZ 1885 p. 390, 426.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 6.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330.
») D LENDENFELD 1886 (a) p. 478.
» » MEczy, Hicks a.
HErDMAN 1886 p. 108.
) » Nicaocs a. HapnoN 1886 p. 615.
» » BALE 1887 p. 106.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 19.
» » THOMPSON 1887 p. 393, 394.
Sertularia polyzonias ALLMAN 1888 p. LVL, LVIII, LXVIT,
LXIX, 55, pl. 26, fig.
3, 34.
Sertularella polyzonias Bave 1888 p. 763.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 209.
Sertularia ellisii Lo Branco 1888 p. 389.
Sertularella polizonias Diuescn 1889 p. 200.
Sertulurella polyzonius HaLLEz 1889 p. 40.
Sertularia (Sertularella)
polyzomas PFEFFER 1889 p. 54.
Sertularella polyzonias Secersrent 1889 p. 16, 26.
» » BOURNE 1890 (b) p. 396.
» » DRIESCH 1890 (c) p. 149 ss.
» » MARKTANNER 1890 p. 214, 215, 224, 225.
Sertularia polyzonias PFEFFER 1890 p. 483, 567.
Sertularia (Sertulurella)
polyzonias PFEFFER 1890 p. 519.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 241
Sertularella polyzonias (L.) var. gigantea Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 357.
Sertularella polyzonias
forma giqantea KIRCHENPAUER 1884 p. 38.
Sertularella polyzonias
var. gigantea THoMPsoN 1884 p. 6.
Cette variété est probablement synonyme de Sertularella qigantea Meresch-
kowsky.
Sertularella polyzonias (L.) var. robusta Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 357.
? Sertularella polyzonias
forma robusta KIRCHENPAUER 1884 p. 38.
Sertularella quadricornuta Hincks.
Voir : Matériaux IV, p. 357.
Sertularella quadricornis THompson 1884 p. 6, pl. 1, fig. 9.
Sertularella quadrifida Hartlaub.
Thuiaria quadridens ALLMAN 1888 p. LXVIL, LXIX, 66, pl. 31,
fig. 2, 2a.
Cette espèce n’est pas la même que celle qui a été décrite par Bace (1884)
sous le nom de T'huiaria quadridens. HarrLAuB (1901), en a changé le nom
pour éviter toute confusion.
Sertularella ramosa Thompson.
Voir : Sertularella arbuscula.
Sertularella reticulata Kirchenpauer.
Sertularella reticulata KiIRCHENPAUER 1884 p. 40, 53, pl. 15, fig. 4-4 b.
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 478.
» » BALE 1887 p. 107.
24 M. BEDOT
Sertularella rubella Tilesius.
Sertularella rubella KIRCHENPAUER 1884 p. 48, 53, pl. 16, fig. 2-2 0.
) ) TILESIUS 1884 p. 48.
Sertularella rugosa (Linné).
Voir : Matériaux 1, p. 475; Il, p. 107; IL, p. 362 et IV, p. 358.
Sertularia rugosa BYERLEY 1854 p. 104.
Sertularella rugosa LesLie a. HERDMAN 1881 p. 15.
» » STORM 1882 p. 20.
Sertularia rugosa BALE 1884 p. 93.
? Sertularella patagonica KIRCHENPAUER 1884 p. 42, 44, 53.
Sertularella rugosa KIRCHENPAUER 1884 p. 37, 41-44, 53.
» » THOMPSON 1884 p. 6, pl. 1, fig. 12.
Sertularella rugosa var. THOMPSON 1884 p. 4,6, pl.1,fig. 10,11, 18.
Sertularella rugosa PENNINGTON 1885 p. 107, pl. 6, fig. 1.
) » HERDMAN 1886 (a) p. 8.
» » THOMPSON 1887 p. 389, 394.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 210.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HoYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 17, 26.
» » MARKTANNER 1890 p. 222.
Sertularella secunda Kirchenpauer.
Sertularella secunda KIRCHENPAUER 1884 p. 40, 50, 54, pl. 15, fig.
7-7 a.
Sertularella limbata ALLMAN 1886 p. 134, pl. 9, fig. 3-4.
Sertularella sieboldi Kirchenpauer.
Serlularella sieboldi KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 50, 54, pl. 16, fig.
DENT:
Sertularella solidula Bale.
Sertularella solidula BALE 1882 p, 24, pl. 12, fig. 8.
» » BALE 1884 p. 106, pl. 3, fig. 6, pl. 19,
fig. 28.
HISTOIRE
Sertularella solidula
» »
» D]
)} »
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
DES HYDROÏDES. — V. ie
©
1885 (a) p. 417, 624.
1885 (d) p. 631.
1887 (c) p. 19.
1888 p. 764, 765, pl. 15, fig. 3-4.
Sertularella spinosa Kirchenpauer.
Sertularella spinosa
KIRCHENPAUER
1884 p.43, 53, pl. 15, fig. 5,5 a.
Sertularella squamata Kirchenpauer.
Sertularella squamata
KIRCHENPAUER
1884 p. 44, 53, pl. 15, fig. 6-60.
Sertularella subdichotoma Kirchenpauer.
Sertularella johnstoni
var. subdichotoma
Sertularella subdichotoma KiRCHENPAUER
» »
» »
KIRCHENPAUER
LENDENFELD
BALE
1884 p. 46.
1884 p. 46, 54, pl. 16, fig. 1-1 b.
1886 (a) p. 478.
1887 p. 107.
Sertularella tenella (Alder).
Voir : Matériaux IE, p. 108; LIL, p. 363 et IV, p. 358.
Sertularia tenella
Sertularella geniculala
Sertularella robusta
Sertularella tenella
» }»
Sertularella geniculata
Sertularella robusta
Sertularella tenella
» »
» »
» »
» »
» »
Sertularella geniculata
BALE
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
PENNINGTON
LORENZ
BALE
BÉTENCOURT
BALE
BÉTENCOURT
HALLEZ
KIRKPATRICK
SEGERSTEDT
MARKTANNER
1884 p. 93.
1884 p. 43, 44, 53.
1884 p. 42, 43, 53.
1884 p. 43-45, 53.
1885 p. 108.
1886 p. 25, 26.
1887 p. 102, 106.
1887 p. 67.
1888 p. 703.
1888 p. 210.
1889 p. #0.
1889 p. 446.
1889 p. 17, 26.
1890 p. 222, pl. k, fig. 1.
Sertularella tilesii Kirchenpauer.
Sertularella tilesii
KIRCHENPAUER
1884 p. 39, 33, pl. 15, fig. 3-36.
M. BEDOT
Sertularella tricuspidata (Alder).
Voir : Matériaux I, p. 477; IT, p. 108; III, p. 364
Sertularella tricuspidata Ridcey
Sertularia tricuspidata
Sertularella tricuspidata
Sertularella tricuspidata (Alder) var.
Sertularella tricuspidata
var. acuminata
D ) )
BALE
KIRCHENPAUER
RATHBUN a. TARR
THOMPSON
Murpoca
PENNINGTON
LORENZ
BERGH
THOMPSON
DRIEsCH
MARKTANNER
KIRCHENPAUER
THoMPsoN
et IV, p. 359.
1881 p. 455.
1884 p. 94,
1884 p. 45,
104.
46, 47, 53.
1884 p. 216.
1884 p. 4, 6.
1885 p. 166.
1885 p. 107.
1886 p. 26.
1887 p. 335.
1887 p. 387, 389, 394, pl. 14,
1889 p. 200.
1890 p. 222,
acuminata Kirchenpauer.
1884 p. 45.
1887 p. 394.
Sertularella tridentata (Lamouroux).
Voir : Matériaux I, p. 477; Il, p. 117;
Lhuiaria lata
Sertularia tridentata
Thuiaria lata
Sertularia tridentata
Thuiaria lata
Sertularia tridens
Sertularia tridentata
Sertularia tridens
Thuiaria lata
lhuiaria diaphana
Thuiaria lata
Sertularia tridens
Thuiaria lata
BALE
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
ALLMAN
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
IT, p. 364
1882 p. 26,
1884 p. 94,
1884 p. 14,
1885 (a) p.
1885 (a) p.
1885 (b) p.
1885 (b) p.
1885 (d) p.
1885 (d) p.
1886 p. 145
1887 p. 107
et IV,p. 3959,
45, pl. 13, fig. 2.
97.
116, 120, pl. 7, fig. 4.
414, 623.
420, 62%.
985.
985.
666.
634.
DUR CIRE ES
1887 (c) p. 44.
1887 (c) p.
21.
EL
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Ph
Thuiaria hyalina ALLMAN 1888 p. LVII, LXIIT, LXIX, 56,
69, pl. 33, fig. 2, 24.
Thuiaria lata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 60%.
Sertularella trimucronata Allman.
Sertularella trimucronataæ ALLMAN 1886 p. 135, pl. 10, fig. 1-2.
Sertularella trochocarpa Allman.
Sertularella trochocarpa ALLMAN 1886 p. 135, pl. 10, fig. 3-4.
» » BALE 1887 p. 109.
Sertularella turgida (Trask).
Voir : Matériaux IIE, p. 364 et IV, p. 359.
Sertularia turgida KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 53.
Sertularella unilateralis (Lamouroux).
Voir : Matériaux Il, p. 108; IT, p. 364 et IV, p. 360.
Sertularia unilateralis CouGnTkEY 1876 (a) p. 29.
La synonymie de cette espèce qui figure dans les Matériaux IV, p. 360 est
inexacte et doit être remplacée par celle que nous donnons ci-dessus. Les 3 cita-
tions que nous avions indiquées, soit ALrMAn 1876 (ce) et 1879, et Sruper 1879
‘se rapportent à Sertularella antarctica.
Voir la note à Sertularella allmani.
Sertularella variabilis Bale.
Sertularella variabilis BALE 1888 p. 764, pl. 15, fig. 5-9.
Gen. Sertularia Linné 1748.
Voir : Matériaux 1, p. 463; 1, p. 109; I, p. 365 et IV, p. 360.
Sertularia abietina Linné.
Voir: Abietinaria abietina.
216 M. BEDOT
Sertularia acanthostoma Bale.
Sertularia acanthostoma BALr 1882 p. 21, 23, pl. 12, fig. 4.
» ) BALE 1884 p. 66,85, 86, pl. 4, fig. 7,8.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666.
) » LENDENFELD 1887 (c) p. 44.
Sertularia actoni Philhppi.
Voir : Matériaux ITT, p. 366 et IV, p. 361.
La description de cetté espèce est trop incomplète pour qu’on puisse la recon-
naître. Nous la mettons dans les espèces indéterminables.
Sertularia albimaris Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 364.
Sertularia albimaris THOMPSON 1884 p. 3-6, pl. 1, fig. 1-3.
» » THoMPsON 1887 p. 388, 394, 395.
Sertularia anguina Trask.
Voir: Abietinaria anguina.
Sertularia annulata Allman.
Sertularia annulata ALLMAN 1838 p. LXV, LXVIIT, 52, pl. 24,
fig. 2, 24.
» » DRiESCH 1889 p. 202.
D'après BrzzarD (1910) cette espèce ne serait qu’une variété de la Serlula-
rella gayi (Lamouroux) ; il lui donne le nom de var. allmani.
Sertularia aperta Allman.
Sertularia aperta ALLMAN 1886 p. 138, 150, pl. 13, fig. 1-2.
Sertularia arctica Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 361.
Sertularia arctica THOMPSON 1884 p. d.
» ) THOMPSON 1887 p. 388, 389, 394, 395, pl.
15, fig. 6-8, pl. 16, fig.
12, 13. |
HISTOIRE
DES HYDROÏDES. — V.
Sertularia argentella Pennimgton.
Sertularia argentella
PENNINGTON
1885 p. 117, pl, 8, fig. 1.
Sertularia australis (Kirchenpauer).
Voir : Matériaux III, p. 366 et IV, p. 361.
Sertularia australis
Dynamena australis
Sertularia australis
» »
» »
» ))
» »
)) »
BALE
BALE
BALE
LENDENFFLD
LENDENFELD
BALE
LENDENFELD
BALE
1882 p. 18.
1884 p. 74. 92.
1884 p. 72, pl. 8, fig. 7-8.
1885 (a) p. 408, 622.
1885 (d) p. 662.
1887 p. 93.
1887 (c) p. 41.
1888 p. 770.
Sertularia bicuspidata Lamarck.
Voir : Matériaux I, p. 467; LU, p. 410; IL, p. 366 et IV, p. 361.
Sertulauria bicornis
Serlularia divergens
Dynamena divergens
Sertularia bicornis
Sertuluria bicuspidata
Sertularia divergens
Sertularia bicuspidata
Sertularia divergens
Dynamena divergens
Sertularia bicornis
Sertularia bicuspidata
Sertularia divergens
Sertularia bicornis
Sertularia divergens
» »
Sertularia bicornis
Sertularia divergens
BALE
BALE
BALE
BALE
BALE
BALE
CaARUS
CARUS
P1EPER
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
1882 p. 22, pl. 19, fig. 3
1882 p. 44.
1884 p. 34, 82.
1882 p. 83, 92, pl. 5, fig. 9.
1884 p. 71, 72.
1884 p. 81, 83, 84, 92, pl.
12
1
ig. 3, pl. 19, tig. 16.
1884 p. 14.
1884 p. 14.
1884 p. 186.
1885 (a) p. 410, 623.
1885 (a) p. 408.
1885 (a) p. 410, 623.
1885 (d) p. 663.
1885 (d) p. 664.
1887 p 93.
1887 (c) p. 41.
1887 (c) p. 42.
Dans les Matériaux IV, p. 3614, il faut enlever de la synonymie de S. bicus-
pidala Y'indication : Sertularia flosculus Thompson 1879, qui doit rentrer dans
la synonymie de Sertularia turbinata.
218 M. BEDOT
Sertularia bidens Bale.
Sertularia bidens BALE 1884 p. 70, 72, 115, pl. 6. fig.
(QN à) EL 1e RE le
» LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
» » LENDENFELN 1887 (c) p. 43.
» » MARKTANNER 1890 p. 228.
Sertularia bispinosa (Gray).
Voir : Matériaux II, p. 110 ; IT, p. 367 et IV, p. 362.
Sertularia bispinosa BALE 1882 p. 17.
? Sertularia pulchella BALE 1882 p. 18, 4>.
Sertularia bispinosa BALE 1884 p. 31. 68, 69, pl. 6, fig. 2,
pl. 19, fig. 4-5.
? Sertularia pulchella BALE 1884 p. 71, pl. 6, fig. 5, pl. 19,
Diphasia symmetrica
? Sertularia pulchella
Sertularia bispinosa
Diphasia symmetrica
Serlularia bispinosa
? Sertularia pulchella
Sertularia bispinosa
Sertularia unilateralis
Serlularia bispinosa
» )
Diphasia symmetrica
? Sertularia pulchella
Sertularia bispinosa
Diphasia symmetrica
Sertularia bispinosa
? Sertularia pulchella
Serlularia bispinosa
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
ALLMAN
ALLMAN
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
BALE
MARKTANNER
MARKTANNER
PFEFFER
fig. 10.
1885 (a) p.414, 693, pl. 8, ig. 7.
1885 (a) p. 408, 622.
1885 (a) p. 407, 622,
1885 (d) p. 633.
1885 (d) p. 633.
1885 (d) p. 665.
1886 p. 140.
1886 p. 139, pl. 13, fig. 5-7.
1887 p. 92.
1887 (c) p. 42.
1887 (c) p. 20.
1887 (c) p. 43.
1888 p. 745.
1888 p. 745.
1890 p. 229, 231.
1890 p. 230.
1890 p. 568.
Sertularia carolinensis Verrill.
Voir : Matériaux IV, p. 362.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 219
Sertularia catena Allman.
Sertularia catena ALLMAN 1888 p. LXITI, LXIX, 58, pl. 28,
fig. 2, 24.
» » DRIESCH 1889 p. 202.
Sertularia clausa Allman.
Sertularia clausa ALLMAN 1888 p. LXVIL, LXVII, 54, pl.
25, fig. 3, 34.
Sertularia complexa Clarke.
Voir : Matériaux IV, p. 362.
Sertularia compleæa BALE 1888 p. 769, pl. 18, fig. 1-4.
Sertularia compressa Mereschkowsky.
Voir : Matériaux IV, p. 362.
Sertularia conferta (Kirchenpauer).
Voir : Matériaux I, p. 367 et IV, p. 362.
Sertularia conferta BALE 1884 p. 93, pl. 8, fig. 9
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 661.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 40.
Dynamena conferta BALE 1888 p. 769.
:Sertularia confervaeformis Esper.
Voir : Matériaux [, p. 468; IT, p. 111 ; III, p. 367 et IV, p. 363.
Sertularia cornicina (Mac Crady).
Voir : Matériaux III, p. 367 et IV, p. 363.
Dynamena cornicina BROOKS 1882 p. 143.
Sertularia crenata Bale.
Serlularia crenata BALE 1884 p. 18, 66, 86, pl. 4 fig. 2.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 44.
220 M. BEDOT
Sertularia crinoidea Allman.
Sertularia crinoidea ALLMAN 1886 p. 141, pl. 16, fig. 1-2.
BizLarD (1910) considère cette espèce comme synonyme de Sertularia mi-
nima Thompson.
Sertularia cylindritheca Allman.
Sertularia cylindritheca ALLMAN 1888 p. LXILL, LXIX, 59/60
pl. 29, fig. 1-1 «.
Sertularia digitalis Busk.
Voir: Diphasia digitalis.
Sertularia dijÿmphnae Bergh.
Sertularia dijmphnae BERGH 1887 p. 335, pl. 28, fig. 3 a-c.
Sertularia disticha Bosc.
Voir : Matériaux I, p. 440 ; IT, p. 67; IL, p. 368 et IV, p. 363.
Sertularia disticha CARUS 1884 p. 14.
Dynamena disticha PrkPER 1884 p. 186.
Sertularia echinocarpa Allman.
Sertularia echinocarpa ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 57, 60,
pl. 28, fig. 1-1 a.
» » DRiEscH 1889 p. 199.
) » PFEFFER 1890 p. 568.
Sertularia elongata Lamouroux.
Voir : Matériaux I, p. 469; II, p. 112; ILL p. 369 et IV, p. 363.
Sertularia elongata BALE 1882 p. 18.
ÿ j BALE 1884 p. 31, 33, 72, 73, 97, 115,
116, pl. 6, fig. 7-8, pl.
19, fig. 7.
? Sertularia scandens BALE 1884 p. 97.
Sertularia elongata LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622.
? Sertularia scandens LENDENFELD 1885 (a) p. 414, 623.
HISTOIRE
Sertularia elongata
? Serlularia scandens
Sertularia lycopodium
Sertularea mille[olium
Sertularia elonyata
» »
Sertularia millefolium
LENDENFELD
LENDENFELD
MÜLLER
MÜLLER
ALLMAN
LENDENFELD
LENDENFELD
DES HYDROÏDES. — V.
1885 (d) p. 666.
1885 (d) p. 666.
1885 p. 934.
1885 p. 934.
1886 p. 140, pl. 15, fig. 1-6.
1886 (a) p. 480.
1886 (a) p. 480.
[Es
[De
one
Sertularia elongata BALE . 1887 p. 106.
» » LENDENFELD 1887 (ec) p. 44.
? Sertularia scandens LENDENFELD 1887 (c) p. 44.
Sertularia elongata BALE 1888 p. 770.
» » MARKTANNER 1890 p. 228, 220, 233.
Sertularia abielinoides PrEFFER 1890 p. 568.
: ; : : re
Sertularia evansi Ellis et Solander.
f
Voir : Synthecium evansi. Î
Sertularia exigua Allman (1877 non 1888).
Voir : Matériaux IV, p. 363.
1890 p. 239.
Sertularia exiqua MARKTANNER
Voir la note à Sertularella gaudichaudi.
Sertularia exserta Allman.
Sertularia exserta ALLMAN 1888 p. XVII, LXIV, LXIX, 56,
] 70, pl. 27, fig. 1-1c.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
Sertularia filicula Ellis et Solander.
Voir: Abietinaria filicula.
Sertularia filiformis Allman.
Sertularia filiformis
(gracilis) ALLMAN
Sertularia gracilis
Sertularia filiformis
ALLMAN
DRiescH 1889 p. 199.
1888 p. LVIIT, LXVIT, LXVII.
1888 p. 51, pl. 24, fig. 1, 1a.
*
vu
1/
[Es]
[ee
D
M. BEDOT
Sertularia flexilis Thompson.
Voir : Matériaux IV, p. 364.
Sertularia fleæilis BALE 1882 p. 18.
» » BALE 1884 p. 78, pl. 8, fig. 1.
) ) LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
Sertularia geminata Bale.
Sertularia geminata BALE 1884 p. 78, 92, pl. 5, fig. 6-7,
pl. 19, fig. 15.
) » LENDENFELD 1885 (a) p. 409.
Sertularia germinata LENDENFELD 1885 (a) p. 622.
Sertularia geminata LENDENFELD 1885 (d) p. 664.
Desmoscyphus orifissus ALLMAN 1886 p. 143, pl. 17, fig. 1-4.
Sertularia geminata LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
Sertularia geniculata Bale.
Sertularia geniculata BALE 1888 p. 768, pl. 17, fig. 6-11.
Cette espèce ne doit pas être confondue avec la Sertularia geniculata d’ALCMAR,
qui est synonyme de Sertularia producta.
Sertularia grosse-dentata (Kirchenpauer).
Voir : Matériaux IIT, p. 371 et [V, p. 364.
Sertularia (Dynamena)
grosse-dentata BALE 1882 p. 20.
Sertularia grosse-dentata BALE 188% p. 94, pl. 8, fig. 10.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
Sertularia huttoni Marktanner.
Sertularia huttoni MARKTANNER 1890 p. 233, pl. 4, fig. 7.
[Es]
[Er
oc
HISTOIRE DES HYDROIDES, — V.
Sertularia imbricata Busk.
Voir: ZThuiaria imbricatu.
Sertularia implexa Allman.
Sertularia implexa ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVIIL 54, pl.
26, fig. 1-1 a.
» » PFEFFER 1890 p. 567.
Sertularia inconstans Clark.
Voir: Abietinaria inconstans.
Sertularia insignis Thompson.
Voir : Matériaux IV, p. 364.
Serlularia insignis | BALE 1882 p. 18.
» » BALE 1884 p. 66, 86, pl. 8, fig. 2-3.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 44.
Sertularia integritheca Allman.
Sertularia integritheca ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX, 60, pl. 29,
fig. 2-2 a.
Sertularia interrupta Pfeftter.
Sertularia interrupla PFEFFER 1889 p. 55.
» » PFEFFER 1890 p. 519, 568.
Sertularia irregularis Lendenfeld.
Sertularia irreqularis LENDENFELD 1885 (a) p.406, 622, pl. 8, fig. 6.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. #2.
224 M. BEDOT
Sertularia lamourouxi M. Edwards.
Voir : Matériaux I, p. 440 ; Il, p. 67 ; IE, p. 371 et IV, p. 369.
Syn.: Sertularia pourtalesi Nutting.
Voir : Matériaux IV, p. 366.
Sertularia distans FEWKES 1881 (a) p. 128.
Diynamena distans BALE 1884 p. 79, 82, 83.
Sertularia tenuis BaLe 1884 p. 82, pl. 5, fig. 4, 5; pl
pl. 19. fig. 16.
Sertularia gracilis CARUS 1884 p. 13.
Sertularia secunda CARUS 1884 p. 14.
Dynamena distans PIEPER 1884 p. 186, 187.
Dynamena secunda PIEPER 1884 p. 186, 187.
Sertularia tenuis LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 66%.
Sertularia gracilis P&NNINGTON 1885 p. 113.
» » MELcy, Hicks a.
HEnDMAN 1886 p. 110.
Serlularia tenuis BALE 1887 p. 93.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42.
Sertularia distans ALLMAN 1888 p. 50, 51.
Serlularia secunda DriescH 1889 p. 213-216, 221, fig. 9 a.
Serlularia gracilis HALLEZ 1890 p. 96
Dynamena distans MARKTANNER 1890 p. 239-242, pl. 5, fig. 2-24.
Dynamena gracilis MARKTANNER 1890 p. 232, 239, 240, 242, pl.
à, fig. 3.
» » var. MARKTANNER 1890 p. 241, pl. 5, fig. 4.
Dynamena mediterranea MARKTANNER 1890 p. 242, pl. à, fig. 5-d a.
Sertularia distans MARKTANNER 1890 p. 239.
Sertularia tenuis MARKTANNER 1890 p. 241.
Nous admettons pour celte espèce la synonvmie donnée par BizLarp (1906
p. 187) tout en maintenant le nom de S. lamourouxi au lieu de S. distans
(voir Matériaux II, p. 371). Les différences que l'on peut constater dans les
descriptions des espèces que nous comprenons dans cette synonymie sont dues
surtout à l’écartement des hydrothèques et à la longueur des articles dont
BicLaRD à montré la grande variabilité. Nous n'avons pas de données précises
sur la longueur des hydrothèques, mais, dans tous les cas, ce caractère seul
serait à peine suffisant pour permettre d'établir une variété.
[Re
IN
Qt
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
: Sertularia leiocarpa Allman.
Sertularia leiocarpa ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVII, 52, pl.
25, fig. 1-1 4.
Sertularia macrocarpa Bale.
Sertularia macrocarpa BALE 1884 p. 80, pl. à, fig. 2, pl. 19,
fig. 11.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 664.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42.
» 8 4 MARKTANNER 1890 p. 232.
Sertularia maplestonei Bale.
Sertularia maplestonei BALE 1884 p. 70, 115, pl. 6, fig. 4,
pl.:.19;f028
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
Sertularia mapleslonii LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
Sertularia maplestonei MARKTANNER 1890 p. 231.
Sertularia marginata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 365.
Sertularia marginata MARKTANNER 1890 p. 238.
Sertularia megalocarpa Allman.
Sertularia megalocarpa ALLMAN 1886 p.139, 142, pl. 16, fig. 5-7.
Sertularia minima Thompson.
Voir : Matériaux IV, p. 365.
Sertularia minima BALE 1882 p. 17, 22, 45.
Sertularia pumiloides … BALE 1882 p. 21, 45, pl. 12, fig. 2.
Sertularia minima BALE 1884 p. 31, 89, 92, pl. 4, fig.
9-10, pl. 19, fig. 19-13.
Sertularia pumiloides BALE 1884 p. 90.
Sertularia minima LENDENFELD. 1885 (a) p. 411, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 15
226 M. BEDOT
? Sertularia humilis ALLMAN 1886 p. 143.
Sertularia minima ALLMAN 1886 p. 138, pl. 13, fig. 3-4.
» » BALE 1887 p. 109.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42.
MARKTANNER
1890 p. 226, 231.
Sertularia minuta Bale.
Sertularia minuta BALE 1882 p. 21, pl. 12, fig. 1.
» » BALE 1884 p. 90, pl. 4, fig. 3-4, pl.
19, fig. 14.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 665.
» » BALE 1887 p. 110.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
Sertularia mutulata Busk.
Voir: Diphasia mutulata.
Sertularia operculata Linné.
Voir : Matériaux I, p. 441; UT, p. 68; IIL, p. 373 et IV, p. 366.
BYERLEY 1854 p. 104.
LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16.
Sertularia operculata
» » BALE 1882 p. 15, 17, 44.
Dynamena operculata BALE 1884 p. 73, 94.
Sertularia operculata BALE 1884 p. 13, 31, 67, 69, 70, pl.
6,-fig. 4, pl. 19,45
» » CARUS 1884 p. 14.
Sertularia serra CaRus 1884 p. 14.
Sertularia operculata LENDENFELD 1885 (a) p. 407, 408, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663.
» » PENNINGTON 1885 p. 113, pl. 7, fig. 3
Sertularia crinis ALLMAN 1886 p. 139, pl. 14. fig 1-2.
Sertularia operculata ALLMAN 1886 p. 138, 148.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 6, 10.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330.
Meccy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 110.
Er
Sertularia operculata
Dynamena fasciculata
Sertularia operculata
Voir: Synthecium orthogonium.
Sertularia patula
»
»
Sertularia penna
»
»
»
NicHozs a. Happon 1886 p. 615.
BALE
ALLMAN
BALE
BÉTENCOURT
LENDENFELD
BÉTENCOURT
DRIESCH
MARKTANNER
PFEFFER
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
1887 p. 92.
1888 p. LVI, LVIIL, LXVII,
LXIX, 61, pl. 30, fig.
À, 144.
1887 p. 92.
1887 p. 67.
1887 (c) p. 42.
1888 p. 210, 211.
1889 p. 213.
1890 p. 229, 231.
1890 p. 483, 368.
Sertularia orthogonia Busk.
Sertularia patula Busk.
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
Voir: Sertularia lamourouxi.
Voir : Matériaux III, p. 374 et IV, p. 366.
1882 p. 18.
1884 p. 88, 89, pl. 5, fig. 10.
1885 (a) p. 411, 693.
1885 (d) p. 662.
1887 (c) p. #1.
1888 p. 766, 767.
Sertularia penna (Kirchenpauer).
Voir : Matériaux LIL, p. 374 et IV, p. 366.
1882 p. 18.
1884 p. 74, pl. 8, fig. 5-6.
1885 (a) p. 409, 622.
1885 (d) p. 663.
1887 (c) p. 41.
Sertularia pourtalesi Nutting.
228 M. BEDOT
Sertularia producta Allman.
Sertularia producta
[geniculata] ALLMAN 1888 p. LXVI, LXIX, expl. pl.
28, fig. 3.
Sertularia geniculata ALLMAN 1888 p. 59, 60, pl. 28, fig. 3-3 b.
» » DRIESCH 1889 p. 202.
Sertularia pulchella (d’Orbigny).
Voir : Matériaux Il, p. 70; III, p. 374 et IV, p. 366.
Sertularia pumila Linné.
Voir : Matériaux I, p. 442; IT, p. 70; IIE, p. 375 et IV, p. 367.
Sertularia pumila LEUCKART 1847 (c) p. 90.
» » BYERLEY 1854 p. 104.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16.
» » VARENNE 1881 (a) p. 346.
VAE » LENZ 1882 p. 177.
» » STORM 1882 p. 12, 21, 29.
» » VARENNE 1882 (b) p. 637, pl. 33, fig. 3.
» » WEISMANN 1883 p. 169, 221, pl. 9, fig. 7-8.
» » CARUS 1884 p. 13.
Sertularia (Dynamena)
pumila KIRCHENPAUER 1884 p. 16.
Sertularia pumila PENNINGTON 1885 p. 112, pl. 7, fig. 1.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330.
» » KÜKENTHAL U.
WEISSENBORN 1886 p. 778.
» » Mezcy, Hicks a.
HErDMAN 1886 p. 109.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 23, 69.
» > ta Nicuozs a. HapnoN 1886 p. 615.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » ALLMAN 1888 p. XXXIII, 50, 63, note.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 212.
» » CLARKE 1888 p. 86.
» » DRIESCH 1889 p. 213-216, 222, fig. 9 bd.
HISTOIRE
Sertularia pumila
» »
Dynamena pumila
SEGERSTEDT
BOURNE
MARKTANNER
DES HYDROÏDES. — V. 229
1889 p, 18, 27.
1890 (b) p. 396.
1890 p. 239, pl. 4, fig. 11.
Sertularia ramulosa Coughtrey.
Sertularia recta
» »
» )
» »
» »
Voir : Matériaux IV, p. 368.
Sertularia recta Bale.
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
1882 p. 21, 23, pl. 12, fig. 5.
1884 p. 79; 81 (pl eee
1885 (a) p. 410, 622.
1885 (d) p. 66%.
1887 (c) p. 43.
Sertularia simplex Lendenfeld.
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
1885 (b) p. 909, 913, 984.
1885 (d) p. 662.
1887 (c) p. 41.
Sertularia subcarinata Busk.
Voir : Diphasia subcarinata.
Sertularia tridentata Busk.
Voir : Matériaux II. p. 378 et IV, p. 368.
Sertularia tridentata BALE 1882 p. 18.
» » BALE 1884 p. 79, pl. 9, fig. 10.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622.
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 985.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 44.
Sertularia trigonostoma Busk.
Voir : Matériaux III, p. 378 et IV, p. 368.
Sertularia trigonostoma BALE 1884 p. 84, pl. 5, fig. 8.
per. » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 41.
230 M. BEDOT
Desmoscyphus obliquus ALLMAN 1888 p. LIX, LXIIT, LXV, LXIX,
72, pl. 34, fig. 3-3 a.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Sertularia trigonostoma KiRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Sertularia trispinosa Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 368.
Sertularia trispinosa RIDLEY 1881 (a) p. 104.
» » BALE 1882 p. 17.
» » BALE 1884 p. 31, 69, pl. 6, fig. 3, pl.
1908.40:
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666.
» » BALE 1887 p. 92.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
» » PFEFFER 1890 p. 483, 568.
Sertularia tuba Bale.
Sertularia tuba BALE 1884 p. 87, 116, pl. 4, fig. 11,
pl 19 he 7:
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 663.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 41.
» » MARKTANNER 1890 p. 238.
Sertularia tumida Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 368.
Sertularia tumida MARKTANNER 1890 p. 239.
Sertularia turbinata (L:amouroux).
Voir : Matériaux I, p. 445; II, p. 73; I, p. 378 et IV, p. 368.
Sertularia flosculus THOMPSON 1879 p. 164%, pl. 17, fig. 2, 2 a.
» » BALE 1882 P. 18, Al,
Sertularia loculosa BALE 1882 p. 18.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 231
Dynamena marginata BALE 1884 p. 73.
Sertularia loculosa BALE 1884 p. 91, 104, pl. 4, fig. 5-6.
ne 9 6e. ,42,- pl. 19,
fig. 9.
Sertularia turbinata BALE 1884 p. 96.
Sertularia loculosa LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623.
Sertularia turbinata LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623.
Sertularia loculosa LENDENFEILD 1885 (d) p. 664.
Sertularia turbinata LENDENFELD 1885 (d) p. 661.
Serlularia amplectens ALLMAN 1886 p. 141, pl. 16, fig. 3-4.
Sertularia loculosa BALE 1887 p. 93.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 42.
Sertularia turbinata LENDENFELD 1887 (c) p. 40.
Desmoscyphus gracilis ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX, 71,
pl. 34, fig. 2-2 c.
Sertularia loculosa BALE 1888 p. 770.
Dynamena marginata DRIESCH 1889 p. 215.
Nous avons admis, pour cette espèce, la synonymie donnée par BILLARD
(1910 p. 19).
Sertularia unguiculata Busk.
Voir : Matériaux II, p. 379 et IV, p. 369.
Sertularia unquiculata BALE 1882 p. 45.
Thuiaria ambiqua BALE 1882 p. 19, 45.
Sertularia unguiculata BarE 1884 p. 31, 76, 92, pl. 6, fig.
9-12, pl. 19, fig. 8.
Thuiaria ambiqua KINCHENPAUER 1884 p. 25, 28.
Sertularia unguiculata LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 664.
Desmoscyphusunquiculata ALLMAN 1886 p. 144. pl. 17, fig. 5-7.
l'huiaria ambiqua LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
Sertularia unguiculata LENDENFELD 1887 (c) p. 43.
» » MARKTANNER 1890 p. 231.
Sertularia variabilis Clark.
Voir: Abietinaria variabilis.
[E)
Qc
[Re
M. BEDOT
Gen. Silicularia Meyen 1834.
Voir : Matériaux IL, p. 117; ILE, p. 379 et IV, p. 369.
On devra mettre dans ce genre les espèces que nous avons main-
tenues provisoirement dans le genre Æypanthea.
Silicularia rosea Meyen.
Voir : Matériaux Il, p. 118; III, p. 379 et IV, p. 369.
Gen. Solanderia Duchassaing et Michelin 1846.
Voir : Matériaux IE, p. 379 et IV, p. 369.
Voir la remarque au genre Ceratella.
Solanderia fusca (Gray).
Syn. : Ceratella fusca Gray.
Voir : Matériaux II, p. 262 et IV, p. 270.
Ceratella fusca BALE 1884 p. 48, 49, 50.
5 » LENDENFELD 1885 (a) p. 612, 631.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 667.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 45.
» » BALE 1888 P. 745, 748.
Solanderia gracilis Duchassaing et Michelin.
Voir : Matériaux IIT, p. 380 et IV, p. 369.
Solanderia labyrinthica (Hyath).
Ceratella labyrinthica HyaTH 1877 p. 551.
Solanderia procumbens (Carter).
Syn. : Ceratella procumbens Carter.
Voir : Matériaux IV, p. 270.
HISTOIRE
DES HYDROÏDES. —
V.
Solanderia spinosa (Carter).
Syn. : Ceratella spinosa Carter.
Voir :
Matériaux IV, p. 270.
Gen. Statocodium Allman 1871.
ALLMAN (1871, p. 279, note) indiquait ce nom comme pouvant,
au besoin, être donné aux Syncorynes qui se reproduisent soit par
gonophores fixés, soit par méduses. Ce nom n’a pas été adopté.
Gen. Stauridium Dujardin 1843.
Voir : Matériaux II, p. 119; II, p. 380 et IV, p. 369.
Stauridium productum Wright.
Voir : Matériaux III, p. 380 et IV, p. 369.
Stauridium productum
» »
Stauridia producta
Stauridium productum
» »
Stauridia producta
Stauridium productum
» »
» »
Gen
Du PLessis
LESLIE u. HERDMAN 1881 p.
CARUS 1884 p.
PENNINGTON 1885 p.
KËKENTHAL U.
WEISSENBORN 1886 p.
Du PLEssIs 1888 p.
Lo Bianco 1888 p.
M'Inrosx 1889 p.
M'INTosH
55. pl. 3, fig. 3.
778.
D37.
389.
273.
1890 (b) p. 299.
. Staurocoryne Rotch 1872.
Voir :
Matériaux IV, p. 370.
Staurocoryne wortleyi Rotch.
Voir :
Matériaux IV, p. 370.
1881 (a) p. 145, ex. syn. pp. ?
234 M. BEDOT
Gen. Staurotheca Allman 1888.
SCHNEIDER (1897, p. 527), considère ce genre comme synonyme
de Selaginopsis, mais BILLARD (1910, p. 29) a montré qu’il devait
être maintenu.
Staurotheca dichotoma Allman.
Staurotheca dichotoma ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 76, pl. 36,
fig. 1-1 a.
» » PFEFFER 1890 p. 568.
Gen. Streptocaulus Allman 1883.
Streptocaulus pulcherrimus Allman.
Streptocaulus pulcher-
TiMUS ALLMAN 1883 p. 15, 48, pl. 16, fig. 1-3.
» » ALLMAN 1885 p. 751, fig. 264.
» » QuELCH 1885 (a) p. 11, pl. 1, fig. 5.
» » ALLMAN 1888 p. LXHH, LXIX.
» » DRIESCH 1890 (b) p. 676.
Gen. Stylactella Hæckel 1889.
Stylactella abyssicola Hæckel.
Stylactella abyssicola HÆCKEL 1889 p. 79, 81, pl. 2, fig. 7.
Stylactis abyssicola HÆCKEL 1889 p. 76.
Stylactella spongicola Hæckel.
Stytactella spongicola HÆCKEL 1889 p. 79, 80, pl. 2, fig. 5, 6.
Stylactis spongicola HÆCKEL 1889 p. 76.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 235
Stylactella vermicola (Allman).
Stylactis vermicola ALLMAN 1888 p. LXVI, LXVIIL, 2, pl. 1,
fig. 2,24.
Stylactella vermicola HÆCKEL 1889 p. 79.
Stylactis vermicola HÆCKEL 1889 p. 78, 79, 80.
Gen. Stylactis Allman 1864.
Voir : Matériaux LIT, p. 381 et IV, p. 370.
Stylactis arge Clarke.
Stylactis arge CLARKE 1882 p. 135, 138, pl. 8, fig.
18-20.
Stylactis fucicola (Sars).
Voir : Matériaux III, p. 381 et IV, p. 370.
Stylaclis fucicola CARUS 1884 p. 3.
Stylactis inermis Allman.
Voir : Matériaux LL, p. 381 et IV, p. 370.
Stylactis inermis Du PLEssis 1888 p. 541.
» » CARUS 1884 p. 3.
Stylactis sarsi (Sars).
Voir : Matériaux IE, p. 381 et IV, p. 370.
Gen. Symplectoscyphus Marktanner 1890.
SCHNEIDER (1897, p. 525) a montré que ce genre ne pouvait pas
être maintenu et tombait en synonymie de Sertularella. HARTLAUB
(1901) et BILLARD (1910) ont adopté cette opinion.
236 M. BEDOT
Gen. Syncoryne Ehrenberg 1834-Allman 1864.
Voir : Matériaux IL, p. 119 ; IL, p. 381 et IV, p. 370.
Syncoryne clavata Grætte.
Syncoryne clavata GRÆFFE 1884 p. 351.
GRærFE admettait que la méduse de cette Syncoryne était la Sarsia clavata
de KEFERSTEIN, mais HarrLAuB (1907) croit qu’il s’agit plutôt de la Dipurena
dolichogaster Hæckel. Nous la laisserons figurer dans les méduses.
Syncoryne decipiens Dujardin.
Voir : Matériaux If, p. 119; IE, p. 381 et IV, p. 370.
Syncoryne decipiens Leslie a. HERDMAN 1881 p. 9.
» » PENNINGTON 1885 p. 90.
» » M’Ixrosa 1887 (b) p. 99, 100.
» » M'INTrosH 1890 (b) p. 299.
Syncoryne eximia Allman.
Voir : Matériaux IIT, p. 382 et IV, p. 371.
? Syncoryne eximia Du PLessis 1881 (a) p. 144.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8.
» » STORM 1882 p. 7.
» » PENNINGTON 1885 p. 49.
» » HADDON 1886 (a) p. 524.
» » BéTENCOURT 1887 p. 66.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203.
Sarsia eximia DacLa Torre 1889 p. 95.
Syncoryne eximia M'Inrosx 1889 p. 273.
» » BOoURNE 1890 (b) p. 392.
» » M’INrosH 1890 (b) p. 299.
Syncoryne ferox (Wright).
Voir : Matériaux Il, p. 383 et IV, p. 374.
Syncoryne ferox LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 9.
» » PENNINGTON 1885 p. 91.
HISTOIRE DES HYDROÏDES,
Le 257
Syncoryne frutescens Allman.
Voir : Matériaux III, p. 383 et IV, p. 371.
Syncoryne frutescens PENNINGTON 1885 p. 51.
Syncoryne glandulosa Dujardin.
Voir : Matériaux II, p. 119; III, p. 383 et IV, p. 371.
Syncoryne græfjei (Jickeli).
Coryne graeffei JICKELI 1883 p. 607, 668, 670, pl. 26,
fig. 11-22, pl. 28, fig. 4.
» » GRÆFFE 1884 p. 352.
Syncoryne (Coryne)
graeffei GRÆFFE 1884 p. 392.
Syncoryne gravata (Wright).
Voir : Matériaux LIL, p. 383 et IV, p. 371.
Syncoryne gravata LEsLiE a. HERDMAN 1881 p. 9.
» » PENNINGTON 1883 p. 50.
Syncoryne loveni Sars.
Voir : Matériaux II, p. 120 ; I, p. 384 et IV, p. 371.
Syncoryne loveni WEISMANN 1883 p. 56.
Syncoryne minima (Lendenfeld).
Sarsia minima LENDENFELD 1885 (a) p. 584, 628, pl. 21, fig.
34, 35.
» » LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 945.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 649.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32.
Syncoryne mirabilis (L. Agassiz).
Voir : Matériaux II, p. 120; III, p. 385 et IV, p. 372.
Sarsia mirabilis FEWKES 1881 (b) p. 141, 148, 155, pl. 3,
fig. 11, 12.
Syncoryne mirabilis CLARKE 1882 p. 138.
» » WEISMANN 1883 p. 96.
238 M. BEDOT
Sarsia mirabilis FEWKES 1888 (a) p. 224, 225.
» » FEWKES 1889 {c) p. 598.
Syncoryne occidentalis Fewkes.
Syncoryne occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 99, pl. 3, fig. 2, 3.
Syncoryne pulchella Allman.
Voir : Matériaux IL, p. 132; IIL, p. 386 et IV, p. 372.
? Syncoryne pulchella Du Pcessis 1881 (a) p. 144.
Codonium pulchellum CARUS 1884 p. 20.
Syncoryne pulchella LENDENFELD 1884 (c) p. 585.
» » PENNINGTON 1885 p. d0.
» » Du PLESsIs 1888 p. 535.
Sarsia (Codonium)
pulchella MIxrosa 1889 p. 272.
» » M’INTosH 1890 (b) p. 299.
Syncoryne radiata (Lendenfeld).
Sarsia radiata LENDENFELD 1884 (c) p. 584 ss.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 583, 628, pl. 20,
fig. 31, 32.
» » LENDENFELD 1885 (c) p. 637, pl. 30.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 649.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32.
Syncoryne reticulata (A. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 386 et IV, p. 372.
? Ectopleura turricula FEWKES 1882 (b) p. 296.
? Sarsia turricula FEWKES 1882 (b) p. 296.
Syndictyon reticulatum WAGNER 1885 p. 75.
Syncoryne rosaria (L. Agassiz).
Voir : Matériaux IV, p. 372.
Sarsia rosaria FEWKES 1885 (b) p. 164, 165.
Syncoryne rosaria FEWKES 1889 (b) p. 100, pl. 4, fig. 1-4.
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 239
Sarsia rosaria FEWKES 1889 (c) p. 597.
(Sarsia)Syncorynerosaria FEWKES 1889 (c) pl. 25, fig. 7.
Syncoryne FEWKES 1889 (c) p. 598, fig. 8, 9.
Syncoryne sarsi Lovén.
Voir : Matériaux IT, p. 120; LIL, p. 386 et IV, p. 373.
Syncoryne sarsi LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8.
» » HaAMaNN 1882 (a) p. 524, pl. 20, fig. 11.
» » HAMANN 1882 (b) (pas de page), pl. 26,
fig. 21.
» » LENZ 1882 p.171, 177.
» » STORM 1882 p. 29.
» » WEISMANN 1883 p. 55 ss., 216, 245.
» » THOMPSON 1884 p. 4, 8.
» » PENNINGTON 1885 p. 49.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 203.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23.
Gen. Synthecium Allman 1871.
Voir : Matériaux IIL, p. 387 et IV, p. 373.
Synthecium alternans Allman.
Synthecium alternans ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 79, 80, pl.
37, fig. 2-2 4.
Sertularella cylindrica BALE 1888 p. 765, pl. 16, fig. 7.
Synthecium campylocarpum Allman.
Synthecium campylo-
carpum ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 78, 80, pl.
37, fig. 1-10.
» » MARKTANNER 1890 p. 214, 248.
Synthecium elegans Allman.
Voir : Matériaux III, p. 387 et IV, p. 373.
Synthecium elegans LENDENFELD 1885 (a) p. 909, 943.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 631.
» » ALLMAN 1886 p. 137, 138.
240 M. BEDOT
Synthecium ramosum ALLMAN 1886 p. 137, pl. 12, fig. 3-4.
Synthecium elegans LENDENFELD 1887 (c) p. 18.
» » ALLMAN 1888 p. 78, 79.
Synthecium ramosum ALLMAN 1888 p. 78.
Synthecium elegans MARKTANNER 1890 p. 224, 248.
Synthecium evansi (Ellis et Solander).
Syn. Sertularia evansi Ellis et Solander.
Voir : Matériaux I, p. 440; IT, p. 68; II, p. 369 et IV, p. 363.
Sertularia tubulosa CaRus 1884 p. 13.
Dynamena tubulosa ALLMAN 1886 p. 137.
» » BALE 1888 p. 766.
Sertularia tubulosa DRIESCH 1889 p. 213, 215.
Synthecium evansi MARKTANNER 1890 p. 248.
Synthecium orthogonium (Busk).
Syn. : Sertularia orthogonia Busk.
Voir : Matériaux IIL, p. 374 et IV, p. 366.
Sertularia orthogonia BALE 1884 p. 88, pl. 9, fig. 11.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. #11, 623. :
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 662.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 41.
» » BALE 1888 p. 766.
» » BALE 1888 p. 767, pl. 17, fig. 1-5.
Synthecium orthogonium KiRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Sertularia orthogonia MARKTANNER 1890 p. 248.
Synthecium sertularioides (Lamouroux).
Voir : Matériaux IV, p. 373.
Sertularia sertularioides BALE 1884 p. 96.
Sertularia tubiformis BALE 1884 p. 95, pl. 8, fig. 12.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623.
Sertularia typica LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623.
Sertularia tubiformis LENDENFELD 1885 (d) p. 662.
Sertularia typica LENDENFELD 1885 (d) p. 662.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 241
Sertularia tubiformis LENDENFELD 1887 (c) p. #1.
Sertularia typica LENDENFELD 1887 (c) p. 41.
Dynamena tubiformis MARKTANNER 1890 p. 248.
Synthecium tubithecum (Allman).
Voir : Matériaux IV, p. 374.
Sertularia tubitheca FEWKES 1881 (a) p. 128.
» » MARKTANNER 1890 p. 214, 248.
Gen. Thecocladium Allman 1886.
BILLARD (1910, p. 12) fait rentrer la seule espèce connue de ce
genre, T°. flabellum, dans le genre Sertularella.
Thecocladium flabellum Alman.
Thecocladium flabellum ALLMAN 1886 p. 149, pl. 19, fig. 4-5.
» » ALLMAN 1888 p. LXIIL, LXIX, 81, pl. 38,
fig. 1-4.
» » MARKTANNER 1890 p. 244.
Gen. Thimaria Armstrong 1879.
Voir : Matériaux IV, p. 375.
STECHOW (1913) croit que ce genre est synonyme d’Zdia. Il
suppose que le nom de Thimaria est dù à une faute d'impression
pour Thuiaria.
Thimaria compressa Armstrong.
Voir : Matériaux IV, p. 375.
Thimaria compressa BALE 1884 p. 31, 113.
Gen. Thuiaria Fleming 1828.
Voir : Matériaux I, p. 478; II, p. 121; Il, p. 388 et IV, p. 375.
Thuiaria acutiloba Püppig.
Thuiaria acutiloba KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28, pl. 12, fig. 2.
» » PôPpr& 1884 p. 19.
Rev. Suisse DE Zooz. TL. 24. 1916. 16
242 M. BEDOT
Thuiaria annulata Kirchenpauer.
Thuiaria annulata KIRCHENPAUER 1884 p. 26, pl. 13, fig. 5.
Thuiaria argentea (Linné).
Voir : Matériaux IL, p. 121 ; II, p. 388 et IV, p. 379.
Sertularia argentea BYERLEY 1854 p. 104.
» » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16.
» » LELLER 1883 p. 106.
» » CaARuUS 1884 p. 14.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 17.
» » PIEPER 1884 p. 185.
» » REES 1884 p. 583.
Thuiaria (Sertularia)
argentea YHOMPSON 1884 p. 4, 5.
Sertularia argentea GADEAU DE
KERVILLE 1885 p. 178.
» » PENNINGTON 1885 p. 115, pl. 7, fig. 2.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 330.
» » Meczy, Hicks a.
HerDMAN 1886 p. 110.
» » BERG 1887 p. 339.
» p. BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » THOMPSON 1887 p. 387, 396, 398.
Thuiaria argentea THOMPSON 1887 p. 397.
Thuiaria argentea var. THOMPSON 1887 p. 398, pl. 21, fig. 23, 24.
Thuiaria (Sertularia)
argentea THOMPSON 1887 p. 396, 398.
Sertularia argentea ALLMAN 1888 p. 65, 67.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 211.
» » CLARKE 1888 p. 85, 86, fig. 78.
» » DRIESCH 1889 p. 200, 204, 206, 221.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » HOYLE 1889 p. 460.
» » SEGERSTEDT 1889 p. 22.
» » BouRNE 1890 (b) p. 396.
» » MARKTANNER 1890 p. 223, 229, 230, 232, 233.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
v. 243
Thuiaria articulata (Pallas).
Voir : Matériaux I, p. 467; II, p. 122; IN, p. 389 et IV, p. 376.
Syn.: Thuiaria persocialis Allman.
Thuiaria articulata
Thuiaria lonchitis
Thuiaria neglecta
Thuiaria personalis
Thuiaria neglecta
Thuiaria articulata
» »
Thuiaria persocialis
Thuiaria articulata
» »
» »
» »
» »
» »
Thuiaria pectinata
Thuiaria persocialis
Thuiaria articulata
Thuiaria lonchitis
Thuiaria articulata
» )»
Thuiaria lonchitis
var.
Voir : Matériaux IV, p. 379.
BYERLEY
LESLIE à. HERDMAN
STORM
QUELCH
Carus
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
PôppiG
THOMPSON
THOMPSON
THOMPSON
R&ES
PENNINGTON
MEeccy, Hicks a.
HERDMAN
STUXBERG
BERGH
THOMPSON
ALLMAN
ALLMAN
DRIESCH
SEGERSTEDT
BOURNE
MARKTANNER
MARKTANNER
1854 p.
1881 p.
1882 p.
1883 p.
1884 p.
188% p.
1884 p.
1884 p.
1884 p.
1884 p.
1884 p.
1884 p.
1884 p.
1884 p.
1885 p.
1886 p.
1886 p.
1887 p.
1887 p.
1888 p.
1888 p.
1889 p.
1889 p.
104.
ET:
21.
248.
15.
17, 22, 26, 28, pl. 14,
fig. 8.
22, 24, 28, pl. 14, fig. 7.
27.
28.
27.
h.
&, pl. 1, fig. 14, 15.
>.
D82.
119.
111.
165, 186.
337.
387, 396.
LXIIT, LXIX, 69. pl. 33,
fig. 1-1 a.
76.
209.
19, 27.
1890 (b) p. 397.
1890:p.
1890 p.
233, 236. pl. 5, fig. 1.
236.
Thuiaria cartilaginea Kirchenpauer.
Thuiaria cartilaginea
» »
KIRCHENPAUER
MÜLLER
1884 p.
1885 p.
25, pl. 13, fig. 2.
534.
244 M. BEDOT
Thuiaria cartilaginea LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
» » BALE 1887 p. 106, 107.
Thuriaria coronata Allman.
Voir: Thuiaria coronifera.
Thuiaria coronifera Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 376.
Syn. : Thuiaria coronata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 376.
Thuiaria coronata KIRCHENPAUER 1884 p. 28.
Thuiaria coronifera KIRCHENPAUER 1884 p. 19.
Thuiaria crassicaulis Allman.
Voir : Matériaux 1V, p. 376.
Thuiaria crassicaulis KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28.
Thuiaria crisioides (Lamouroux).
Voir : Matériaux II, p. 123; LI, p. 390 et IV, p. 377.
Dynamena crisioides BALE 1884 p. 117.
Thuiaria crisioides BALE 1884 p. 117.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 24, 28.
Dynamena crisioides BALE 1887 p. 107.
Sertularia crisioides BALE 1887 p. 107.
» » BALE 1888 p. 773.
Thuiaria cupressina (Linné).
Voir : Matériaux IT, p. 193 ; IIL, p. 390 et IV, p. 377.
Sertularia cupressina BYERLEY 1854 p. 104.
» » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 16.
» » REES 1884 p. 583.
Thuiaria (Sertularia)
cupressina THUMPSON 1884 p. 5.
Sertularia cupressina PENNINGTON 1885 p. 116.
» » VERRILL 1885 (a) p. 537.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 245
Sertularia cupressina Meccy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 114.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 67.
» » THOMPSON 1887 p. 387, 396, 398.
Thuiaria (Sertularia)
cupressina - THOMPSON 1887 p. 396-398, pl. 20, fig. 19.
Sertularia cupressina ALLMAN 1888 p. 65.
Thuiaria cupressina ALLMAN 1888 p. LVI, LXII, LXIX, 67,
pl. 32, fig. 1-1 c.
Sertularia cupressina BÊTENCOURT 1888 p. 210, 211.
» » DRIESCH 1889 p. 200, 202,205, 224,
fig. 4, 5.
» » HALLEZ 1889 p. 40.
» » BOURNE 1890 (b) 396.
» » MARKTANNER 1890 p. 230, 232, 233.
Thuiaria cupressoides (Lepechin).
Voir: Matériaux I, p. 469: II, p. 1424; III, p. 391 et IV, p. 377.
Thuiaria cupressoides KIRCHENPAUER 1884 p. 18, 28, pl. 12, fig. 1.
» De THOMPSON 1887 p. 387.
Thuiaria (Sertularia)
cupressoides THOMPSON 1887 p. 396.
Thuiaria dalli Nutting.
Voir : Matériaux IV, p. 377.
Thuiaria distans Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 378.
Thuiaria distans KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28.
Thuiaria dolichocarpa Allman.
Voir: Thuiaria zelandica.
Thuiaria doliolum Püppig.
Thuiaria doliolum KIRCHENPAUER 1884 p. 27, 28, pl. 13, fig. 4.
» » PôPpiG 1884 p. 27.
246 M. BEDOT
Thuiaria elegans Kirchenpauer.
Thuiaria elegans KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 28, pl. 12, fig. 5.
Thuiaria fabricii Levinsen.
Voir : Matériaux II, p. 124; IT, p. 391 et IV, p. 378.
Thuiaria flexilis Allman.
Voir : Matériaux IIf, p. 392 et IV, p. 378.
Thuiaria gigantea Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 378.
Thuiaria gigantea KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 28.
Thuiaria heteromorpha Allman.
Thuiaria heteromorpha ALLMax 1886 p. 147, pl. 20, fig. 1-5.
Thuiaria polymorpha ALLMAN 1886 p. 149.
Thuiaria hippuris Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 378.
Thuiaria hippuris KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28.
Thuiaria imbricata (Busk).
Syn. : Sertularia imbricata Busk.
Voir : Matériaux III, p. 371 et IV, p. 364.
Thuiaria imbricata KIRCHENPAUER 1884 p. 18, 28, pl. 12, fig. 3.
Thuiaria interrupta Allman.
Thuiaria interrupta ALLMAN 1886 p. 145, pl. 16, fig. 8-10.
Thuiaria latiuscula (Stimpson).
Voir : Matériaux IIL, p. 392 et IV, p. 379.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 2417
Thuiaria laxa Allman.
Voir : Matériaux II, p. 392 et IV, p. 379.
Thuiaria laxa KiRCHENPAUER 1884 p. 20, 28.
» » THOMPSON 1884 p. 4.
Thuiaria lichenastrum (Pallas).
Voir : Matériaux I, p. 472; II, p. 125; III, p. 392 et IV, p. 379.
Thuiaria lichenastrum KiRCHENPAUER 1884 p. 23, 26, 28, pl. 13, fig. 1.
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
» » BALE 1887 p. 107.
Thuiaria monilifera (Hutton).
Voir : Matériaux [V, p. 379.
Thuiaria cerastium KIRCHENPAUER 1884 p. 20, 28.
» » LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
Thuiaria monilifera BALE 1887 p. 102, 103.
Thuiaria cerastium BALE 1887 p. 103.
Thuiaria persocialis Allman.
Voir: Thuiaria articulata.
Thuiaria pinnata Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 379.
Thuiaria pinnata FEWKES 1881 (a) p. 128.
» » KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28.
Thuiaria plumosa Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 380.
Thuiaria plumosa KIRCHENPAUER 1884 p. 21.
» » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 396-398, pl.
: 18, fig. 16, pl. 21, fig.
26-27.
248 M. BEDOT
Thuiaria plumulifera Allman.
. Noir : Matériaux IV, p. 380.
Thuiaria plumulifera KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28.
» » BERGH 1887 p. 336.
Thuiaria polycarpa Püppig.
Thuiaria polycarpa KIRCHENPAUER 1884 p. 27, 28, pl. #3, fig. 3.
» » PôPpiG 1884 p. 27.
Thuiaria quadridens Bale.
Thuiaria quadridens BALE 1884 p. 119, pl. 7, fig. 5-6.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 420, 624.
» » LENDENFELD 1885 (b) p.909, 915, pl. 40, fig.9.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 634.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 21.
Thuiaria vincta ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 68, pl. 32,
fig. 2, 24.
Thuiaria quadridens BALE 1888 p. 772.
Thuiaria vincta KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Thuiaria ramosissima Allman.
Thuiaria ramosissima ALLMAN 1886 p. 146, pl. 18, fig. 4-5.
» » THOMPSON 1887 p. 396.
Thuiaria robusta Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 380.
Thuiaria robusta KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 22, 28.
» » … Taompsox 1887 p. 387, 389, 396-398, pl.
19, fig. 17, pl. 21 fig. 25.
Thuiaria salicornia Allman.
Voir : Selaginopsis salicornia.
Thui
»
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Thuiaria sertularioides Allman.
Voir : Matériaux LV, p. 380.
aria sertularioides ALLMAN 1888 p. 65, note.
» MARKTANNER 1890 p. 242.
Thuiaria similis Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 380.
Thuiaria (Sertularia)
Thui
Thuiaria stelleri
»
similis THOMPSON
Thuiaria sinuosa Bale.
aria Sinuosa BALE
T'huiaria stelleri Tilesius.
KIRCHENPAUER
» TILESIUS 1884 p. 20.
Thuiaria subarticulata Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 380.
1887 p. 387, 396.
1888 p. 772, pl. 18, fig. 9-10.
1884 p. 20, 28, pl. 12, fig. 4.
Thuiaria bidens
Thuiaria bipinnata
Thuiaria subarticulata
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KiRCHENPAUER
1884 p. 24, 26, 28.
1884 p. 95.
1884 p. 24, 28.
1885 (a) p. 406, 622, pl. 7, fig.
Sertularia fertilis LENDENFELD
k, 5.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 666.
Thuiaria bidens LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
Thuiaria subarticulata LENDENFELD 1886 (a) p. 479.
Thuiaria bidens BALE 1887 p. 103.
Thuiaria subarticulata BALE 1887 p. 102, 103.
Sertularia fertilis LENDENFELD 1887 (c) p. #4.
» » BALE 1888 p. 746.
Thuiaria subarticulata Barr
1888 p. 746, pl. 18, fig. 5-8.
250
Sertularia tenera
M. BEDOT
Thuiaria tenera (G.-0. Sars).
Voir : Matériaux IV, p. 381.
THOMPSON
THOMPSON
SEGERSTEUT
MARKTANNER
1884 p. à.
1887 p. 388, 389, 395, pl. 15,
fig. 9-11.
1889 p. 18, 27.
1890 p. 230, 246.
Thuiaria tetracythara (Lamouroux).
Voir : Matériaux III, p. 392 et IV, p. 381.
Salacia tetracyttara
Thuiaria fenestrata ;
Salacia tetracyttara
Thuiaria fenestrata
» »
BALE
BALE
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
LENDENFELD
BALE
BALE
KIRKPATRICK
1884 p. 118, 119.
1884 p. 116, 118, pl. 7, fig. 7,
pl. 9, fig. 14.
1885 (a) p. 420, 624.
1885 (d) p. 634.
1887 p. 107.
1887 (c) p. 21.
1888 p. 773.
1888 p. 772, 773.
1890 (a) p. 604.
Thuiaria thuiarioides Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 381.
Sertularia thuiaroides THOMPSON
Thuiaria thuja
Thujaria thuja
1887 p. 387, note.
Thuiaria thuja (Linné).
Voir : Matériaux I, p. 476; II, p. 125; II, p. 393 et IV, p. 381.
DANIELSSEN
FEWKES
LESLIE a. HERDMAN
STORM
QuEeLcH
CaARUS
KIRCHENPAUER
PENNINGTON
THoMPsON
DRiEscH
1861 p. 47.
1881 (a) p. 135.
1881 p. 17.
1882 p. 21, 27, 29.
1883 p. 248.
1884 p. 15.
1884 p. 18, 22.
1885 p. 119, pl. 9, fig. 1.
1887 p. 396.
1889 p. 200, 206, 209, 210, 221,
295, fig. 6.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
Thuiaria thuja SRGERSTEDT 1889 p.
» » MARKTANNER 1890 p.
Thuiaria turgida Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 381.
Thuiaria turgida KIRCHENPAUER 1884 p.
» » TuompsoN 1887 p.
[Se
Qt
ES
Mo
19/27,
237.
19, 24, 28.
387, 389, 396, 398, pl.
17, fig. 14-15.
Thuiaria vegæ Thompson.
Thuiaria vegae THOMPSON 1887 p.
Thuiaria zelandica Gray
387, 389, 397, 398, pl.
20, fig. 18, 20-22.
Voir : Matériaux [f, p. 126; III, p. 393 et IV, p. 382.
Syn.: Thuiaria dolichocarpa Allman.
Voir : Matériaux III, p. 378.
Thuiaria dolichocarpa Quercx 1883 p.
Thuiaria zelandica QueLca 1883 p.
» » KIRCHENPAUER 1884 p.
Thuiaria hippisleyana ALLMAN 1886 p.
Thuiaria dolichocarpa BALE 1887 p.
Thuiaria zelandica BALE 1887 p.
248.
247, 88.
28.
146, pl. 19, fig. 1-3.
102, 108.
108.
Thuiaria zelandica Gray var. valida Quelch.
Thuiaria zelandica
var. valida QueLcH 1883 p. 249.
Gen. Thyroscyphus Allman
197%:
Voir : Matériaux III, p. 393 et IV, p. 382.
Thyroscyphus ramosus Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 382.
Thyroscyphus ramosus ALLMAN 1888 p.
» » DRIESCH 1889 p.
» » MARKTANNER 1890 p.
LXIIT, LXVIII, 24, pl.
12, fig. 2, 2a.
198.
210.
252 M. BEDOT
Thyroscyphus simplex (Lamouroux).
Voir : Matériaux II, p. 393 et IV, p. 382.
Thyroscyphus torresi (Busk).
Syn.: Laomedra torresi Busk.
Voir : Matériaux IIL, p. 325 et IV, p. 317.
Campanularia torresi BALE 1884 p. 52, pl. 2, fig. 3.
Laomedea torresi LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 629.
» » LENDENFELD 18872/0)1p 47e
Thyroscyphus simplexæ ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIT, 25, pl. 43,
fig. 1-2.
» » DRIESCH 1889 p. 198.
» » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 60%.
Campanularia toresi KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604.
Thyroscyphus vitiensis Marktanner.
Thyroscyphus vitiensis MARKTANNER 1890 p. 210, pl. 3, fig. 10.
Gen. Tiarella Schulze 1876.
Voir : Matériaux IV, p. 362.
Tiarella singularis Schulze.
* Voir : Matériaux IV, p. 382.
Tiarella singularis HAMANN 1882 (a) p. 497.
Thiarella singularis JICKELI 1883 p. 667.
Tiarella singularis CARUS 1884 p. 6.
» » GRÆFFE 1884 p. 353.
» » Du PLessis 1888 p. 538.
Tharella singularis LOMAN 1889 p. 271 note.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 293
Gen. Tima Eschscholtz 1829.
Voir : Matériaux IV, p. 382.
Tima formosa À. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 442 et IV, p. 382.
Tima formosa FEWKES 1881 (b) p. 157, pl. 6, fig. 1, 4-6.
» » CLAUS 1881 (c) p. 96.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 80.
Gen. Trichydra Wright 1857. G\CAL ?
Voir : Matériaux IL, p. 394 et IV, p. 383. Lo?" lo; >
ss 20% SM
; : e © COR RYi-
Trichydra pudica Wright. MitiB k
Voir : Matériaux II, p. 394 et IV, p. 383. RTE mn a
Trichydra pudica LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. Ep rs 7
Sue
» » PENNINGTON 1885 p. 101.
Gen. Tubiclava Allman 1863.
Voir : Matériaux IT, p. 394 et IV, p. 383.
Tubiclava fruticosa Allman.
Voir : Matériaux IIL, p. 394 et IV, p. 383.
Tubiclava fruticosa PENNINGTON 1885 p. 38.
Tubiclava lucerna Allman.
Voir : Matériaux HI, p. 394 et IV, p. 383.
Tubiclava lucerna PENNINGTON 1885 p. 38.
Gen. Tubularia Linné 1758.
Voir : Matériaux I, p. 478; IL, p. 126; IL, p. 395 et IV, p. 383.
Tubularia attennoides Coughtrey.
Voir : Matériaux IV, p. 383.
254 M. BEDOT
Tubularia attenuata Allman.
Voir : Matériaux II, p. 395 et IV, p. 383.
T'ubularia attenuata LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11.
» » PENNINGTON 1885 p. 79.
Tubularia bellis Allman.
Voir : Matériaux III, p. 395 et IV, p. 383.
Tubularia bellis PENNINGTON 1885 p. 75.
» » BouRNE 1890 (b) p. 394.
Tubularia borealis Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 383.
l'ubularia borealis THOMPSON 1887 p. 391.
Tubularia britannica Pennington.
Tubularia britannica PENNINGTON 1885 p. 75, pl. 3, fig. 8.
» » MELLY, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 101.
Tubularia couthouyi L. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 395 et IV, p. 384.
Tubularia cristata Mac Crady.
Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384.
Parypha cristata BROOKS 1882 p. 136.
Tubularia cristata Con 1882 (a) p. 247.
» » Conx 1882 (b) p. 483.
» » BRo0KS 1884 p. 711.
Tubularia crocea (L. Agassiz).
Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384.
Pharypha crocea CLARKE 1888 p. 80, fig. 72.
Tubularia elegans Clark.
Voir : Matériaux IV, p. 384.
Tubularia gracilis
» D)
» »
HISTOIRE
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
DES HYDROÏDES. — V.
Tubularia gracilis Lendenfeld.
1885 (a) p.
1885 (d) p. 654.
1887 (c) p. 35.
Tubularia humilis Allman.
Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384.
Tubularia humilis
» »
Voir : Matériaux I, p. 479; II, p. 127; III, p. 397 et IV, p. 384.
Tubularia indivisa
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
) »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
» »
PENNINGTON
Happon
BYERLEY
DANIELSSEN
FEWKES
LESLIE a, HERDMAN
HAMANN
STORM
JICKEL
CaRuS
LENDENFELD
MuRDOCH
PENNINGTON
RiDLEY a. QUELCH
VERRILL
HADDON
HERDMAN
HERDMAN
KÜKENTHAL u.
WEISSENBORN
Mercy, Hicks a.
HERDMAN
NicHocs a. HADDON
BÉTENCOURT
THOMPSON
1885 p. 75.
1886 (a) p. 524.
Tubularia indivisa Linné.
1854 p. 103.
1861 p. 46.
1881 (a) p. 127, 128.
1881 p. 11.
1882 (a) p. 499-501, pl. 24, fig. 5.
1882 p. 3, 9, 10, 15.
1883 p. 597, 598.
188% p. 7.
1885 (a) p. 598.
1885 p. 166.
1885 p. 71.
1885 p. 496.
1885 (a) p. 517, 536.
1886 (a) p. 524.
1886 (a) p. 3, à, 8.
1886 (b) p. 329.
1886 p. 778.
1886 p. 100.
1886 p. 615.
1887 p. 66.
1887 p. 389, 391.
LD
Qt
597, 629, pl. 27,
fig. 54-52.
256
T'ubularia indivisa
M. BEDOT
ALLMAN
BÉTENCOURT
CLARKE
HOoyYLE
KIRKPATRICK
Mac MUNN
Mac MuNN
SEGERSTEDT
BOURNE
BouRNE
MARKTANNER
1888 p. IX, XII, XXX VIIE, ss.
1888 p. 204, 207, 210.
1888 pl. sans n°, p. 80.
1889 p. 460.
1889 p 446.
1889 (a) p. 87.
1889 (b) p. 55, 58.
1889 p. 9-11, 13, 17,18, 21, 24.
1890 (a) p. 319.
1890 (b) p. 393.
1890 p. 202.
Tubularia insignis Allman.
Voir :
Matériaux IT, p. 399 et IV, p. 385.
Tubularia (2) kerguelensis Studer.
Voir :
Matériaux IV, p. 385.
Tubularia larynx Ellis et Solander.
Voir : Matériaux I, p. 480; II, p. 128; III, p. 399 et IV, p. 385.
Tubularia coronata
T'ubularia larynx
Tubularia coronata
Tubularia larynx
T'ubularia coronata
))] »
Tubularia larynx
» »
Tubularia coronata
» »
Tubularia larynx
T'ubularia coronàta
Tubularia larynx
» »
LEUCKART
BYERLEY
LESLIE a. HERDMAN
LESLIE à. HERDMAN
HAMANN
HAMANN
HAMANN
HaAMANN
KRUKENBERG
STORM
STORM
JICKELI
JiCKELI
= MEREJIKOWSKY
1847 (c) p. 87.
1854 p. 103.
1881 p. 11.
1881 p. 11.
1882 (a) p. 473, 485, 499-501,
d10-514,517, pl. 22.
fig. 1-7, pl. 23, fig.
2-10, 43.
1882 (b) p. 546.
1882 (a) p. 499-501, 510, 514.
1882 (b) p.546, pl. 26, fig. 10-14.
1882 p. 3759.
1882 p. à, 11, 30.
1882 p. 3, 11, 28.
1883 p. 598, 600.
1883 p. 598, 600, 655.
1883 (a) p. 82.
T'ubularia larynx
» )
Tubularia coronata
Tubularia larynx
» »
» »
» »
Tubularia coronata
Tubularia larynx
Tubularia coronata
Tubularia larynx
Tubularia coronata
L'ubularia larynx
Tubularia coronata
Tubularia larynx
? Tubularia muscoides
Tubularia larynx
Tubularia coronata
Tubularia larynx
Tubularia coronata
Tubularia larynx
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 257
CaRUs 1884 p. 7
REES 1884 p. 979.
THOMPSON 1884 p. 8,
THoMPsoON 1884 p. 4, 8
PENNINGTON
HERDMAN
KÜKENTHAL U.
WEISSENBORN
Mezzy, Hicks
a. H£&RDMAN
MELLY, Hicks
a. HERDMAN
BÉTENCcOURT
ALLMAN
BÉTENCOURT
CLARKE
Du PLessis
Lo Bianco
DALLA TORRE
DALLA TORRE
DaLLA TORRE
SEGERSTEDT
BOURNE
BouURNE
MARKTANNER
SCHNEIDER
1885 p. 73, pl. 3, fg. 7.
1886 (a) p. 8.
1886 p. 778.
1886 p. 100, 104.
101.
66,
XVII, XXX VIIL, ss.
204.
74, fig. 64.
542.
390.
96.
96.
1886 p.
1887 p.
1888 p.
1888 p.
1888.p.
1888 p.
1888 p.
1889 p.
1889 p.
1889 p. 96.
1889 p. 11, 24.
1890 (a) p. 309, 319.
1890 (b) p. 393.
1890 p. 202.
1890 p. 321,323, 364,367,368,
pl. 19, fig. 44-46.
Tubularia mesembryanthemum Allman.
Voir : Matériaux IT, p. 401 et IV, p. 386.
Tubularia
Tubularia mesem-
BALFOUR
bryanthemum KLEINENBERG
» »
» »
METSCHNIKOFF
HAMANN
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916.
1879 p. 140 (de la trad. franc.).
1881 p. 332.
1881 p. 437.
1882 (a) p. 499-501, 510, 512,
>14, pl. 22, fig. 8-14,
17,pl. 23, fig. 11,13,
pl. 24, fig. 1-4, 10-14.
17
258
Tubularia mesem-
Tubularia parasitica
brya nihemum
M.
HAMANN
JICKELI
MaRIoN
WEISMANN
CARUS
GRÆFFE
PrePpErR
THALLWITZ
KLAATSCH
BEDOT
METSCHNIKOFF
ALLMAN
Du PLEssis
SCHIMKEWITSCH
SCHNEIDER
WAGNER
1882 (b) p. 546, 547.
1883 p. 580 ss., 597-600, 651,
655, 663, pl. 25.
1883 (a) p. 29.
1883 p. 127, 219.
1884 p. 7.
1884 p. 346, 354.
1884 p. 150.
1885 p. 389, 416, pl. 13, fig.
30-33, pl. 14, fig. 34-42.
1886 p. 632 ss., pl. 33.
1886 (b) p. 20, 41, 69.
1888 p. XXXIX ss.
1888 p. 943.
1890 (b) p. 148.
1890 p. 367.
1890 p. 298, 299.
Tubularia microcephala (A. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 401 et IV, p. 386.
Tubularia pacifica Allman.
Voir : Matériaux III, p. 402 et IV, p. 386.
KOROTNEFF
Tubularia parasitica Korotneff.
1887 p. 486ss., pl. 23, fig. 18-22.
Tubularia polycarpa Allman.
Voir : Matériaux IIL, p. 402 et IV, p. 386.
Tubularia ralphi
BALE
HALLEY
LENDENFELD
LENDENFEILD
LENDENFELD
Tubularia ralphi Halley.
1884 p. 42.
1884 p. 42.
1885 (a) p. 597, 629.
1883 (d) p. 654.
1887 (c) p. 35.
[e
Qt
Ve)
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Tubularia regalis Bœck.
Voir : Matériaux II, p. 402 et IV, p. 386.
Tubularia regalis BERGH 1887 p. 333.
Tubularia simplex Alder.
Voir : Matériaux IIF, p. 402 et IV, p. 387.
Tubularia simplex PENNINGTON 1885 p. 74.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 319, 329.
» » Mecy, Hicks a.
HERDMAN 1886 p. 100.
» » BÉTENCOURT 1887 p. 66.
» » BÉTENCOURT 1888 p. 204.
» » DALLA TORRE 1889 p. 96,
Tubularia spectabilis (L. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 402 et IV, p. 387.
Tubularia spongicola Lendenfeld.
Tubularia spongicola LENDENFELD 1885 (a) p. 597, 629, pl. 26,
fig. 50.
» Tao LENDENFELD 1885 (d) p. 654.
Tubularia spongicula LENDENFELD 1887 (c) p. 35.
Tubularia tenella (L. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 403 et IV, p. 387.
Gen. Turris Lesson 1843.
Voir : Matériaux II, p. 403 et IV, p. 387.
Le nom de Turris étant, depuis 1797, attribué à un genre de
Mollusques, HARTLAUB (1911) lui a substitué celui de Neoturris.
D’autre part, Turris neglecta, dont WRIGHT (1859 a) a décrit le
Polype sous le nom de Clavula, est placée par A.-G. MAYER (1910)
260 M. BEDOT
et STECHOW (1913), dont nous adopterons l'opinion, dans le genre
Clavula.
Turris neglecta Lesson.
Voir : Clavula neglecta.
Gen. Turritopsis Mac Crady 1859.
Voir : Matériaux IV, p. 388.
Turritopsis nutricula Mac Crady.
Voir : Matériaux III, p. 443 et IV, p. 388.
Modeeria multitentacula FEwKkeEs 1881 (b) p. 149, pl. 3, fig. 7-10.
Modeeria multitenticulata Brooks 1882 p. 144.
Turritopsis nutricula Brooks 1882 p. 136, 143.
Modeeria multitentacula FEWKES 1882 (b) p. 294, 295.
Modeeria nutricula FEWKES 1882 (b) p. 294.
Turritopsis nutricula BROOKS 1883 (a) p. 465.
Modeeria multitentacula FEWKES 1883 p. 79.
Modeeria multitentaculata Brooks 1886 p. 389.
Modeeria nutricula Brooks 1886 p. 389.
Turritopsis nutricula Brooks 1880 p. 360, 388 ss., pl. 37.
Dans les Matériaux IT, p. 443, il faut enlever de la synonymie de T'urri-
topsis nutricula les citations d’Acassiz, L. 1860-62, et d’Acassiz, A. 1865 (a)
et 1865 (c) qui se rapportent à Calycidion formosum.
Voir en outre la note à Clavula neglecta.
Gen. Vorticlava Alder 1856.
Voir :- Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388.
Vorticlava humilis Alder.
Voir : Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388.
Vorticlava humilis . PENNINGTON 41885 p. 96.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 261
Vorticlava proteus Wright.
Voir : Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388.
Vorticlava proteus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12.
» » PENNINGTON 1885 p, 96.
Gen. Wrightia Allman 1871.
Voir : Matériaux II, p. 405 et IV, p. 388.
Wrightia arenosa (Alder).
Voir : Matériaux fIl, p. 405 et IV, p. 388.
Wrightia arenosa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10.
Atractylis arenosa SCHMIDTLEIN 1881 p. 171.
Wrighlia arenosa WEISMANN 1883 p. 87.
» » CARUS 1884 p. 3.
» » PENNINGTON 1885 p. 63.
Atractylis arenosa Lo BIANCO 1888 p. 387.
? Perigonimus arenaceus BOURNE 1890 (a) p. 319.
Gen. Zygodactyla Brandt 1834.
Voir : Matériaux IT, p. 406 et IV, p. 389.
Zygodactyla vitrina (Gosse).
Voir : Matériaux I, p. 486; II, p. 143; INT, p. 406, 429 et IV, p. 389.
Aequorea vitrina CLAUS 1881 (b) p. 298, 312.
Polycanna vitrina CLAUS 1881 (b) p. 300, 310.
Aequorea vitrina CLAUs 1881 (c) p. 96.
Aequorea (Zyqodactyla)
vitrina CLAUS 1881 (c) p. 90,
Aequorea vitrina CLAUS 1883 p. 77, 84.
Polycanna vitrina CLAUS 1883 p. 78.
Zygodactyla vitrina LENDENFELD 1885 (a) p. 608. à
pu » PENNINGTON 1885 p. 94.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 79.
Polycanna vitrina FEWKES 1889 (a) p. 521.
262
Zygophylax profunda
»
Z'ygophylax tizardensis
Aequorea albida
) »
Voir
A equorea ciliata
» »
Aequorea discus
» »
»
Gen. Zygophylax Quelch 1885.
Zygophylax profunda Quelch.
QUELCH
KIRKPATRICK
1885 (a) p. 4, pl. 1, fig. 4.
1890 (b) p. 13.
Zygophylax tizardensis Kirkpatrick.
KIRKPATRICK
1890 (b) p. 19, pl. 3, fig. 3.
MÉDUSES
(Anthoméduses-Leptoméduses).
Aequorea albida A. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 407 et IV, p. 389.
CLAUS
CLAUS
1881 (b) p. 301, 308, 341.
1883 p. 78, 89, 84.
Aequorea cihiata Eschscholtz.
: Matériaux IL, p. 130 ; IL, p. 407 et IV, p. 389.
CLAUS
CLAUS
1881 (b) p. 292, 295.
1883 p. 65, 67.
Aequorea discus Hæckel.
Voir : Matériaux IV, p. 389.
CLAUS
CLAUS
CARUS
1881 (b) p. 290, 304, 305, 306,
311. |
1883 p. 76, 79, 84, 86.
1884 p. 33.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 263
Aequorea eurodina Péron et Lesueur.
Voir : Matériaux I, p. 481 ; II, p. 1430 ; UN, p. 407 et IV, p. 390.
Aequorea eurodina CLAUS 1881 (b) p. 295.
» » CLAUS 1883 p. 66, 67.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631,
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39.
Aequorea forskalea Péron et Lesueur.
Voir : Matériaux I, p. 482; Il, p. 130 ; III, p. 407 et IV, p. 390.
Aequorea forskalea CLAUS 1881 (b) p. 283 ss.
» » CLAUS 1881 (c) p. 90, 95.
» » CLAUS 1882 p. 284 ss., fig. 1-4.
» » CLaus 1883 p. 61 ss., pl. 16-20.
» » MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 122.
» » CARUS 1884 p. 33.
» » GRÆFFE 1884 p. 399.
Aequorea forskalii MEYSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261.
Z'ygodactyla rosea METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 257, 261, 262.
Aequorea forskalii METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20 .… 54.
Zygodactyla rosea Lo Branco 1888 p. 390.
Aequorea aequorea MARKTANNER 1890 p. 280.
Aequorea violacea M. Edwards.
Voir : Matériaux IL, p. 131; IE, p. 408 et IV, p. 390.
Aequorea violacea CLaus 1881 (b) p. 292, 295, 306, 311.
» » CLAUS 1883 p. 65-67, 81, 84.
» » CARUS 1884 p. 33.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262.
Amalthaea amoebigera Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 390.
Amphicodon amphipleurus Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 391.
Amphicodon amyphi-
. pleurus KELLER 1883 (b) p. 628.
264 M. BEDOT
Amphicodon globosus (Sars).
Voir : Matériaux IIT, p. 408 et IV, p. 391.
Amphinema apicatum (Mac Crady).
Voir : Matériaux III, p. 408 et IV, p. 391.
Amphinema titania (Grosse).
Voir : Matériaux [, p. 482; I, p. 131 ; IE, p. 408 et IV, p. 391.
Amphinema titania DaLLa TORRE 1889 p. 95.
Bathycodon pyramis Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 392.
Bathycodon pyramis CaRUs 1884 p. 21.
Derenice capillata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 392.
Derenice huxleyi Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 392.
Berenice rosea (Lamarck).
Voir : Matériaux I, p. 482; Il, p. 131; IL, p. 408 et IV, p. 392.
Callitiara polyophthalma Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 392.
Calycidion formosum Fewkes.
T'urrilopsis nutricula AGassiz, L. 1860-62 vol. 4, p. 347.
» » AGASssIZ, À. 1865 (a) p. 97, fig. 22-23.
» » AGASSIZ, A. 1865 (c) p. 164, 167, 224, fig.
269-270.
Turritopsis nutricola FEWKES 1881 (b) p. 153, pl. 4, fig. 4,
7-10.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 265
Calycidion formosum FEWKES 1882 (b) p. 294.
Turritopsis nutricula FEWKES 1882 (b) p. 294, 295.
A.-G. Mayer (1910) considère cette espèce comme synonyme de Podocoryne
carnea. HARTLAUB (1911) hésite à admettre cette synonymie.
Voir, dans les Polypes, la note à T'urrilopsis nutricula.
Calycopsis typa Fewkes.
Calycopsis typa FEWKES 1882 (b) p. 301, 304, pl. 1,
tig. 34.
» » FEWKES 1885 (a) p. 601.
» » VERRILL 1885 (a) p. 594.
» » FEWKES 1886 p. 958.
Cannota dodecantha Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 392.
Cannota dodecantha LENDENFELD 1885 (a) p. 600, 630.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 655.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 36.
Catablema campanula (Fabricius).
Voir : Matériaux I, p. 482; II, p. 132; ILL, p. 409 et IV, p. 393.
Catablema eurystoma Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 393.
Catablema vesicaria (A. Agassiz).
Voir : Matériaux IT, p. 409 et IV, p. 393.
? Turris episcopalis FEWKES 1881 (b) p. 147, pl. 3, fig. 1-6.
» » FEWKES 1885 (a) p. 598, 600.
» » FEWKES 1886 p. 957, 958.
» » FEWKES 1888 (a) p. 232.
Chromatonema rubrum Fewkes.
Chromatonena rubrum FEWKES 1882 (b) p. 304, :305, pl. 14,
fig. 40.
» » FEWKES 1885 (a) p. 601.
— Thaumantias rubrum sec. A.-G. Mayer).
266 M. BEDOT
Cladocanna polyclada Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 393.
Cladocanna polyclada LENDENFELD 1885 (a) p. 601, 630.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 36.
Cladocanna thalassina (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 482; I, p. 132; INT, p. 409 et IV, p. 393.
Cladocanna thalassina LENDENFELD 1885 (a) p. 600, 630.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 36.
Codonium conicum Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 394.
Codonium gemmiferum (Forbes).
Voir : Matériaux II, p. 132 ; II, p. 409 et IV, p. 394.
? Sarsia gemmipara WAGNER 1885 p. 78.
Codonium princeps Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 394.
Codonorchis octaedrus Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 394.
Conis cyclophthalma Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 394.
Conis cyclophthalma CaRUs 1884 p. 23.
Conis mitrata Brandt.
Voir : Matériaux Il, p. 433; IL, p. 410 et IV, p. 395.
Corynitis arcuata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 395.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 267
Ctenaria ctenophora Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 395.
Cubogaster dissonema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 395.
Cubogaster gemmascens Haeckel.
Voir : Matériaux I, p. 410 et IV, p. 395.
Cybogaster gemmascens Carus 1884 p. 24.
Cubogaster gemmascens GrarD 1888 p. 317.
Cytaeandra polystyla Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 395.
Cytaeis macrogaster Haeckel.
Voir : Matériaux II, p. 410 et IV, p. 396.
Cytaeis nigritina Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 396.
Cytaeis polystyla Will.
Voir : Matériaux III, p. 410 et IV, p. 396.
Cytaeis pusilla Gegenbaur.
Voir : Matériaux II, p. 410 et IV, p. 396.
Cytaeis pusilla CARES 1884 p. 24.
» » CHUN 1888 p. 12.
Cytaeis tetrastyla Eschscholtz.
‘Voir : Matériaux IL, p. 133; II, p. 4114 et IV, p. 396.
Cytaeis tetrastyla CaRus 1884 p. 24.
Bougainvillea coeca METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260.
Cytaeis tetrastyla METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260.
[el
68 M. BEDOT
Dendronema stylodendron Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 397.
Dicodonium adriaticum Grætffe.
Dicodonium adriaticum GRÆFFE 1884 p. 391.
Dicodonium cornutum Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 397.
Dicodonium dissonema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 397.
Dicodonium dissonema LENDENFELD 1885 (a) p. 85, 628.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 649.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32.
Dicranocanna furcillata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 397.
Dinema ocellata (Busch).
Voir : Matériaux II, p. 411 et IV, p. 397.
Dinema ocellatum CARUS 1884 p. 21.
» » Du PLEssIs 1888 p. 532.
Dinema slabberi van Beneden.
Voir : Matériaux I, p. 483; IN, p. 133; LE, p. #11 et IV, p. 397.
Dinematella cavosa Fewkes.
Dinematella cavosa FEWKES 1881 (b) p. 151, pl. 2, fig. 2,3,
pl. 4, fig. 3.
» » FEWKES 1884 p. 195, fig. 1.
(= Stomotoca dinema sec. A.-G. MAYER).
Dipleuron parvum Brooks.
Dipleuron parvum BROOKS 1882 p. 135, 139.
(— Eucheilota duodecimalis var. parvum, sec. A.-G. MAYER).
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 269
Dipleurosoma amphithectum Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 397.
Dipleurosoma hemisphaericum (Allman).
Syn. : Dipleurosoma irrequlare Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 398.
Dipleurosoma hemis-
phaerica HADDON 1886 (a) p. 326.
Dipleurosoma 1rrequlare Hapnox 1886 (a) p. 526.
Dipleurosoma (A me-
trangia) hemisphaerica METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 89.
Dipleurosoma irregulare Haeckel.
Voir: Dipleurosoma hemisphaericum.
Dipleurosoma typica (Boeck).
Voir : Matériaux IIT, p. 411 et IV, p. 398.
Dipurena catenata (Forbes).
Voir : Matériaux III, p. 411 et IV, p. 398.
Dipurena catenata CaRUS 1884 p. 21.
Slabberia catenata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 259.
Dipurena cervicata Mac Crady.
Voir : Matériaux III, p. 4114 et IV, p. 398.
Dipurena cervicata FEWKES 1881 (b) p. 155.
Dipurena conica FEWKES 1881 (b) p. 155.
Dipurena dolichogaster Haeckel.
Voir : Matériaux IE, p. 412 et IV, p. 398.
Dipurena dolichogaster METrscHNIKOFF 1886 (a) p. 258.
Dipurena fertilis METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 258 ss.
» » Lo BraNco 1888 p. 388.
M. BEDOT
270
Dipurena halterata (Forbes).
Voir : Matériaux Il, p. 133; ILE, p. 412 et IV, p. 399.
Dipurena ophiogaster Haeckel.
Voir : Matériaux ILE, p. 412 et IV, p. 399.
Dipurena strangulata Mac Crady.
Voir : Matériaux IIL, p. 412 et IV, p. 399.
1881 (b) p. 155, pl. 4, fig. 5.
Dipurena stranqulata FEWKES
1882 p. 136.
Dipurina stranqulata BROOKS
Dissonema saphenella Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 399.
Dissonema saphenella LENDENFELD 1885 (a) p. 599, 630.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 655.
LENDENFELD 1887 (c) p. 35.
» »
Dyscannota dysdipleura Haeckel.
Voir : Matériaux IL, p. 412 et IV, p. 399.
Dysmorphosa fulqurans À. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 412 et IV, p. 400.
Dysmorphosa fulqurans FEWKkEs 1881 (b) p. 145, 147.
FEWKES 1883 p. 79.
Brooks 1884 p. 711.
» »
» »
Dysmorphosa minima Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 400.
Dysmorphosa minima GIARD 1888 p. 317.
DaALLA TORRE 1889 p. 95.
» »
Dysmorphosa octostyla Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 400.
1884 p. 24.
Dysmorphosa octostyla Carus
1888 p. 317.
» » GIARD
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 271
Ectopleura ochracea A. Agassiz.
Voir : Matériaux IIT, p. 413 et IV, p. 400.
Ectopleura ochracea FEWKES 1881 (b) p. 155.
» » BROOKS 1882 p. 136.
» » FEWKES 1882 (b) p. 295, pl. 1, fig. 15,
16, 35, 36.
» » FEWKES 1883 p. 85.
» » FEWKES 1888 (a) p. 225 note.
Eirene coerulea L. Agassiz.
Voir : Matériaux ILE, p. 419 et IV, p. 400.
Irene coerulea CLaus 1881 (c) p. 97.
Eïirene gibbosa (Mac Crady).
Voir : Matériaux IT, p. 419 et IV, p. 401.
Irene gibbosa CLAUS 1881 (ec) p. 97.
Eïrene gibbosa BRooks 1882 p. 136.
Phortis gibbosa BROOKS 1883 (a) p. 470.
Eïrene pellucida (Busk).
Voir : Matériaux [, p. 483; IL, p. 135; IL, p. 419 et IV, p. 401.
Dionaea lucullana CLaus 1881 (c) p. 102.
Geryonia pellucida CLaus 1881 (c) p. 102, 108.
Irene pellucida CLAUS 1881 (c) p. 90, 96, 97, 102 ss.,
pl. 3.
Lrene (Tima) pellucida CLaus 1881 (c) p. 102, 107-108.
? Irene pellucida MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 123, fig. 7. 8.
» » CARUS 1884 p. 32.
Eïrene pellucida GRÆFFE 1884 p. 358.
Tima cari METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262.
Tima pellucida METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262.
_» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 54, 73, 80.
272 M. BEDOT
Eïirene viridula (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux [, p. 483; IF, p. 136; II, p. 419 et IV, p. 404.
Irene viridula CLAUS 1881 (c) p. 97, 102.
» » DALLA TORRE 1889 p. 95.
Eleutheria claparedei Hartlaub.
Voir : Matériaux II, p. 413 et IV, p. 401.
Eleutheria claparedei HARTLAUB 1889 p. 668.
Epenthesis cymbaloidea (Slabber).
Voir : Matériaux I, p. 483; Il, p. 134; LL, p. #13 et. IV, p. 402.
Epenthesis cymbuloidea CLaus 1881 (c) p. 117.
? Thaumantias thompsoni CruBs 1886 p. 116.
? » » HERDMAN 1886 (a) p. 12.
? » » HERDMAN 1886 (b) p. 325-327, 330.
Epenthesis cymbaloidea Brooks 1888 (b) p. 160.
Epenthesis folleata Mac Crady.
Voir : Matériaux II, p. 413 et IV, p. 402.
Epenthesis folliata BROOKS 1882 p. 139.
Oceania folliata BROOKS 1882 p. 135.
Epenthesis folleata FEWKES 1882 (b) p. 298, pl, 1, fig. 10-14.
Epenthesis folliata Brooks 1888 (b) p. 148-150, 160-162.
Epenthesis maccradyi Brooks.
Epenthesis McCradyi BROOKS 1888 (b) p. 148 ss., pl. 13-15.
» » SCHIMKEWITSCH 1890 (a) p. 55.
— Phalidium maccradyi sec. A.-G. MAYER.)
Epenthesis maculata (Forbes).
Voir ; Matériaux IL, p. 434; HE, p. 414 et IV, p. 402.
Thaumantias maculata M’INrosH 1889 p. 278, 282.
KE » M'INrosH 1890 (b) p. 301.
9
ut
C0
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Eucheilota quadralis Fewkes.
Eucheilota quadralis FEWKES 1883 p. 87, pl. 1, fig. 13.
Eucheilota ventricularis Mac Crady.
Voir : Matériaux III, p. 414 et IV, p. 402.
Eucheilota ventricularis FEWKES 1881 (b) p. 159, pl. 5, fig. 7-10,
» » Brooks 1882 p. 135, 139.
» » FEWKES 1882 (b) p. 297.
Eucope annulata Lendenfeld.
Eucope annulata LENDENFELD 1885 (a) p. 602, 630, pl. 28, fig.
»3-57.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37.
Eucope hyalina Lendenfeld.
Eucope hyalina LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 920, pl. 42,
fig. 16-18.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 656.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 37.
Eucope minuta Metschnikoff.
Voir : Matériaux IL, p. 415 et IV, p. 403.
Eucope obliqua Brooks.
Eucope obliqua BROOKS 1882 p. 136, 140.
(=? Obelia geniculata sec. A.-G. MAYER.)
Eucope octona (Forbes).
Voir : Matériaux IL, p. 134 : LIL, p. 415 et IV, p. 403.
Thaumantias octona CLUBB 1886 p. 115.
» » HERDMAN 1886 (a) p. 12.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 326, 327, 330.
» » M'Ixrosx 1889 p. 278, 289.
» 0 M'INrosH 1890 (b) p. 300.
Rev. Suisse DE Zooz. ‘l. 24. 1916. 18
[Re
1
Æ>
M. BEDOT
Eucope parasitica A. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 415 et IV, p. 403.
Eucope polygastrica Metschnikoff.
Eucope polygastrica MErscHniKOrr, Eu.L. 1872 p. 231.
») » LANG 1886 p. 761.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260.
Cette espèce figure à tort dans les Matériaux IV, p. 418, parmi les syno-
nymes de Phialidium variabile où la plaçait HarckeL (1880 p. 651). Elle est
peut-être synonyme de Gastroblasta raffaeli, sec. A.-G. Mayer.
Eucope polygena À. Agassiz.
Voir : Matériaux II, p. 415 et IV, p. 403.
Eucope pontica Metschnikoff.
Voir : Matériaux Ill, p. 415 et IV, p. 403.
Eucope thaumantoides Gegenbaur.
Voir : Matériaux LIL, p. 415 et IV, p. 403.
Eucope thaumantoides MerscHNIKOorF 1886 (b) p. 85.
Eucopium pictum (Keferstein et Ehlers).
Voir : Matériaux IT, p. 416 et IV, p. 402.
Eucopium pictum CLaus 1881 (c) p. 117.
» » CARUS 1884 p. 28.
Eucopium primordiale Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 404.
Eucopium primordiale Craus 1881 (ce) p. 147.
» » CLAUS 1883 P. 87.
» » WEISMANN 1883 p. 158.
» » CARUS 1884 p. 28.
[Se]
=]
Qt
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Eucopium quadratum (Forbes).
Voir : Matériaux If, p. 134; IT, p. 416 et IV, p. 404.
Eucopium quadratum CLAUS 1581 (ce) p. 117.
» » MôBius 1884 p. 69.
Thaumantias quadrata MIxrosa 1889 p. 289.
» » M'INrosa 1890 (b) p. 300.
Euphysa aurata Forbes.
Voir : Matériaux IL, p. 134; III, p. 416 et IV, p. 404.
Euphysa mediterranea WEISMANN 1883 p. 129.
» » CaRus 1884 p. 22.
» » GRÆFFE 1884 p. 354.
Euphysa aurata MôBius 1884 p. 65.
Euphysa mediterranea Du PLessis 1888 p. 543.
Euphysa australis Lendenfeld.
Euphysa australis LENDENFELD 1885 (a) p. 586, 628, pl. 21,
fig. 33.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 650.
Euphysa virgulata À. Agassiz.
Voir : Matériaux I, p. #17 et IV, p. 405.
Eutima cuculata Brooks.
Eutima cuculata Brooks 1882 p. 136, 140.
Eutima emarginata Brooks.
Eutima emarginata Brooks 1882 p. 136, 141.
(= Eutima mira sec. A.-G. MAYER.)
Eutima gracilis Fewkes.
Eutima gracilis FEWKES 1881 (b) p. 158 pl. 5, fig. 1-4.
» » Brooks 1886 p. 397.
(—= Eutima mira sec. A.-G. MAYER).
LD
1
[ep]
M. BEDOT
Eutima insignis (Keferstein).
Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405.
Eutima limpida A. Agassiz.
Voir : Matériaux LIT, p. 417 et IV, p. 405.
Eutima limpida FEWKES 1881 (b) p. 158.
» » Brooks 1886 p. 397.
Eutima mira Mac Crady.
Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405.
Eutima mira FEWKES 1881 (b) p. 158.
» » BROOKS 1882 p. 136, 141.
» » BROOKS 1884 p. 709, 711.
» » Brooks 1886 p. 360, 394, ss., pl. 38-39,
fig. 2-7.
Eutima pyramidalis L. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405.
Eutima pyramidalis BROOKS 1886 p. 397.
Eutimalphes indicans (Romanes).
Voir : Matériaux IV, p. 406.
Eutimalphes pretiosa Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 406.
Eutimalphes pretiosa LENDENFELD 1885 (a) p. 607, 630.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 657.
Eutimolphes pretiosa LENDENFELD 1887 (c) p. 37.
Eutimeta gentiana Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 406.
Eutimium elephas Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 406.
Eutimium elephas DALLA TORRE 1889 p. 95.
[Os]
1
Fe |
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V.
Gastroblasta raffaelei Lang.
Gastroblasta raffaelei LANG 1886 p. 735, pl. 20-21.
» » BROOKS 1888 (b) p. 161, 162.
» » M'Ixrosu 1890 (a) p. 43.
Gastroblasta timida
)) )]
Gastroblasta timida Keller.
KELLER 1883 (b) p. 622 ss., pl. 35.
LANG 1886 p. 736, 759-761.
Brooks 1888 (b) p. 161.
Gemmaria cladophora À. Agassiz.
Voir : Matériaux ILE, p. 417 et IV, p. 406.
Gemmaria gemmosa Mac Crady.
Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 407.
Gemmaria gemmosa
» »
FEWKES 1881 (b) p. 150, pl. 1, fig. 8-12.
FEWKES 1884 p. 196, fig. 2.
Gemmaria sagittaria Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 407.
Globiceps globator (Leuckart).
Voir : Matériaux HE, p. 4i7 et IV, p. 407.
Globiceps globator
CARUS 1884 p. 22.
Gonionemus verltens À. Agassiz.
Voir : Matériaux IE, p. 418 et IV, p. 407.
Halitiara formosa
» »
Halitiara formosa Fewkes.
FEWKES 1882 (a) p. 276, pl. 4, fig. 2.
FEWKES 1883 p. 79.
(= Protiara formosu sec. A.-G. MAYER.)
278 M. BEDOT
Halopsis ocellata À. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 418 et IV, p. 407.
Halopsis ocellata CLAUS 1881 (b) p. 307.
» » CLAUS 1883 p. 68, 82.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 81, 84.
» » FEWKES 1888 (a) p. 233, pl. 3 fig. 1.
Hippocrene macloviana (Lesson).
Voir : Matériaux Il, p. 135; IIL, p. 418 et IV, p. 407.
Hippocrene mertensi À. Agassiz.
Voir : Matériaux IL, p. 135; IIT, p. 418 et IV, p. 408.
Hippocrene platygaster Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 408.
Hippocrene pyramidata Forbes.
Voir : Matériaux IT, p. 418 et IV, p. 408.
Trenium quadrigatum Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 409.
Laodicea calcarata A. Agassiz.
Voir : Matériaux LIT, p. 419 et IV. p. 409.
Laodicea calcarata CLAUS 1881 (c) p. 89.
Laodice (Lafoea)
calcarata METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83.
Laodicea cruciata (Forskäl).
Voir : Matériaux [, p. 483; IT, p. 136; IIT, p. 420 et IV, p. 409.
Cosmetira punctata SCHMIDTLEIN 1881 D. 164.
Laodice cruciata CARUS 1884 p. 27.
Laodicea cruciata GRÆFFE 1884 p. 357.
Thaumantias pilosella CLups 1886 p. 115.
7
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 279
Laodice cruciata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20 .…. 149, pl. 4, fig.
17-31, pl. 5, fig. 1.
Laodicea cruciata Nicuocs a. Happon 1886 p. 615.
Laodice cruciata Dal.LA TORRE 1889 p. 95.
Thaumantias pilosella M'IxrosH 1889 p. 272, 277, 282, 289, 293.
Laodice cruciata MARKTANNER 1890 p. 280.
Thaumantias pilosella MInrosa 1890 (a) p. 40.
» » M'Ixrosx 1890 (b) p. 299, 300.
Le Polype de cette Méduse, observé par METscHNIKOFF, appartient probable-
ment au genre Cuspidella.
Laodicea salinarum (Du Plessis).
Voir : Matériaux IV, p. 409.
Limnorea proboscidea Haeckel.
Voir: Limnorea triedra.
Limnorea triedra Péron et Lesueur.
Syn. : Limnorea proboscidea Haeckel.
Voir : Matériaux I, p. 484; [E, p. 137; IN, p. 421 et IV, p. 410.
Limnorea triedra HAECKEL 1882 p. 2.
» » LENDENFELD 1885 (a) p. 591, 629.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 33.
Lizusa multiciia Haeckel.
. Voir : Matériaux IV, p. 410.
Lizusa multicilia CaRus 1884 p. 25.
Lizusa prolifera Lendenfeld.
Lizusa prolifera LENDENFELD 1885 (a) p. 589, 629, pl. 23,
fig. 38-39.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 33.
(— Bougainvillia prolifera sec. A.-G. MAYER.)
280 M. BEDOT
Lizzella hyalina (van Beneden).
Voir : Matériaux IL, p. 421 et IV, p. 410.
Lizzella octella Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 410.
Lazzia blondina Forbes.
Voir: Matériaux II, p. 137 ; III, p 421 et IV, p. 410.
Lizzia blondina MôBius 1884 p. 65.
» » WAGNER 1885 p. 60, 72, 73, pl. 3, fig.
2-5.
» » Du PLESssIs 1888 p. 542.
» » M’IxrosH 1889 p. 288.
» » M'INrosH 1890 (b) p. 297, 298.
Lizzia elisabethae Haeckel.
Voir : Matériaux [V, p. 411.
Mabella gracilis Fewkes.
Mabella gracilis FEWKES 1881 (b) p. 146, pl. 6, fig. 2, 3.
(= ? Podocoryne fulqurans sec A.-G. MAYER.)
Margelis maniculata Haeckel.
Voir : Matériaux III, p. 422 et IV, p. 411.
Margelis maniculata CARUS 1884 p. 25.
Margelis principis Steenstrup.
Voir: Matériaux II, p. 437 ; III, p. 422 et IV, p. 411.
Margelis trinema Lendenfeld.
Margelis trinema LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 918, pl. 41,
TE BA
» » LENDENFKLD 1885 (d) p. 652.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 33.
(— Bougainvillia trinema sec. A.-G. Mayer.)
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 281
Margelis zygonema Haeckel.
Voir : Matériaux II, p. 422 et IV, p. 411.
Margellium gratum (A. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p: 422 et IV, p. 414.
Lizzia grata FEWKES 1881 (b) p. 14%, pl. 1, fig. 1-7.
» » MOEBIUS 1884 p. 69.
Melicertella panocto Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 412.
Melicertidium octocostatum (Sars).
Voir : Matériaux Il, p. 138; III, p. 422 et IV, p. 412.
Stomobrachium octo-
costatum M’INTosH 1889 p. 261, 288, 289, 294, 298,
300.
Melicertum (Stomobra-
chium) octocostatum M’Ixros 1890 (b) p. 304.
Melicertissa clavigera Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 412.
Melicertum georgicum A. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 423 et LV, p. 412.
Mesonema abbreviata Eschscholtz.
Voir : Matériaux Il, p. 138; II, p. 423 et 1V, p. 412.
Mesonema abbreviatum CLaus 1881 (b) p. 309.
» » CLAUS 1883 p. 83.
Mesonema bairdi Fewkes.
Mesonema bairdi FEWKES 1886 p. 959, 960, 962.
(—Aequorea forskalea, sec. A.-G. MAYER.)
282 M. BEDOT
Mesonema cœrulescens Brandt.
Voir : Matériaux II, p. 139 ; II, p. 423 et IV, p. 413.
Mesonema coerulescens CLAUS 1881 (b) p. 301.
» » CLAUS 1883 p. 78.
Mesonema cyaneum (L. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 424 et IV, p. 413.
Mesonema cyaneum FEWKES 1886 p. 959, 960.
Zygodactyla cyanea FEWKES 1886 p. 960.
Mesonema cyaneum FEWKES 1889 (a) p. 521.
Zygodactyla cyanea FEWKES 1889 (a) p. 521.
Mesonema dubium Brandt.
Voir : Matériaux IT, p. 139, IIT, p. 424 et IV, p. 413.
Mesonema eurystoma Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 413.
Mesonema eurystoma CLAUS 1881 (b) p. 287, 295, 300, 305,
306, 311.
Aequorea eurystoma CLAUS 1883 p. 81.
Mesonema eurystoma CLAUS 1883 p. 63, 67, 78, 81, 84.
» » CARUS 1884 p. 33.
Mesonema macrodactylum Brandt.
Voir : Matériaux If, p. 139; IN, p. 424 et IV, p. 413.
Mesonema pensile Haeckel.
Voir : Matériaux I, p. 484; IT, p. 139 ; HE, p. 424 et IV, p. 413.
Aequorea pensile CLAUS 1881 (b) p. 297.
Mesonema pensile DAVIDOFF 1881 p. 622.
Aequorea pensile CLAUS 1883 p. 68.
Mesonema pensile CaRus “ 1884 p. 33.
» » LANG 1886 p. 799.
Stomobrachium mirabile Lanc 1886 p. 753-756.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 283
Microcampana conica Fewkes.
Microcampana conica FEWKES 1889 (b) p. 1114, pl. 4, fig. 8.
Microcampana FEWKES 1889 (c) p. 595, 596, fig. 5.
Mitrocoma annæ Haeckel.
Voir : Matériaux IIL, p. 424 et IV, p. 414.
Mitrocoma annae Carus 1884 p. 31.
Halopsis annae METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260.
Mitrocoma annae METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240, 260.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 23... 82, pl. 3, fig.
20-33, pl.4,fig.1-16.
» » Lo Branco 1888 p. 388.
Le Polype de cette Méduse, observé par MerscaniKorr, rentre probablement
dans le genre Cuspidella.
Mitrocoma minervæ Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 414.
Mitrocomella polydiademata (Romanes).
Voir : Matériaux IV, p. 414.
Mitrocomium annæ Lendenfeld.
Mitrocomium annae LENDENFELD 1885 (a) p. 606, 630, pl. 29,
fig. 58-60.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 657.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37.
(= Mitrocoma lendenfeldi, sec A.-G. MAYER.)
Mitrocomium cirratum Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 414.
Mitrocomium cirratum Carus 1884 p. 30.
Modeeria formosa Forbes.
Voir : Matériaux II, p. 140 ; UI, p. 425 et IV, p. 414.
Modeeria formosa FEWKES 1881 (b) p. 149.
284 M. BEDOT
Modeeria irenium Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 415.
Nemopsis crucifera (Forbes).
Voir : Matériaux II, p. 425 et IV, p. 415.
Nemopsis favonia Haeckel.
Voir : Matériaux I, p. 485; Il, p. 140 ; IL, p. 425 et IV, p. 415.
Favonia octonema HAECKEL 1882 p. 2.
Nemopsis favonia LENDENFELD 1885 (a) p. 591, 629.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 62.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 34.
Nemopsis heteronema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 415
Nemopsis heteronema HAECKEL 1882 p. 2.
Oceaniopsis bermudensis Fewkes.
Oceaniopsis bermudensis FEWkEs 1883 p. 86, pl. 1, fig. 8-10.
(— Eucheilota bermudensis, sec. A.-G. MaYer.)
Octocanna octonema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 416.
Octocanna octonema CLAUS 1881 (b) p. 298, 307, 308.
» » CLAUS 1883 p. 69, 77, 82.
Octocanna polynema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 416.
Octocanna polynema CLAUS 1881 (b) p. 307.
» » CLaus 1883 p. 82.
Octonema eucope Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 416.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 285
Octorchandra canariensis Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 416.
Octorchandra germanica Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 416.
Octorchandra germanica CLAUS 1881 (c) p. 104.
» » DALLA TORRE 1889 p. 95.
Octorchandra variabilis (Mac Crady).
Voir : Matériaux IT, p. 426 et IV, p. 416.
Eutima variabilis FEWKES 1881 (b) p. 158.
» » BROOKS 1886 p. 394, 396, pl. 39, fig. 1
pl. 40.
Octorchidium tetranema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. #16.
Octorchidium tetranema CLAUS 1881 (c) p. 100.
» » CARUS 1884 p. 32.
Octorchis campanulatus (Claus).
Voir : Matériaux IV, p. 417.
Liriopsis campanulatus CLaus 1881 (c) p. 104.
Octorchis campanulatus CLaus 1881 (c) p. 100, 1014.
» » CARUS 1884 p. 32.
Octorchis gegenbauri Haeckel.
Voir : Matériaux III, p. 426 et IV, p. 417,
Octorchis gegenbauri CLAUS 1881 (c) p. 90, 96, 101.
» » CARUS 1884 p. 32.
» » GRÆFFE 1884 p. 398.
Octorchis (Eutima)
gegenbauri BROOKS 1886 p. 396, 398, 404.
Octorchis gegenbauri METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20... 79, pl. 3, fig,
10-19.
286 M. BEDOT
Octorhopalon fertilis Lendenfeld.
Octorhopalon fertilis LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 919, pl. 42, fig.
14-15.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 655.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 36.
(= ? Laodicea fertilis sec. A.-G. MAYER).
Orchistoma agariciforme Keller.
Orchistoma agariciforme Carus 1884 p. 28.
» » KELLER 1884 p. 418, pl. 21.
Orchistoma pileus (Lesson).
Voir : Matériaux IL, p. 141; IE, p. 427 et IV, p. 417.
Orchistoma pileus KELLER 1884 p. 417.
Orchistoma steenstrupi Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 417.
Orchistoma steenstrupi KELLER 1884 p. 417, 420.
Pandea conica (Quoy et Gaimard).
Voir : Matériaux IL, p. 141; III, p. 427 et IV, p. 417.
Oceania conica SCHMIDT LEIN 1881 p. 164.
Pandea conica CARUS 1884 p. 22.
» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 24.
Oceania conica Lo Bianco 1888 p. 389.
Pandaea conica MARKTANNER 1890 p. 202.
Oceania conica M’INTrosH 1890 (b) p. 297.
Pandea minima Lendenfeld.
Pandaea minima LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 916, pl. 42,
fig. 10-12.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 650.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32.
ns,
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Voir : Matériaux I, p. 485; II, p. 141; ILE, p. 427 et IV, p. 418.
Pandea saltatoria (Sars).
Phialidium gregarium (A. Agassiz).
Voir :
Matériaux III, p.427 et IV, p. 416.
Phialidium languidum (A. Agassiz).
Voir : Matériaux LIL, p. 427 et IV, p. #18.
Phialidium languidum
Oceania languida
» »
» D)
» »
» D)
CLAUS
BROOKS
FEWKES
FEWKES
FEWKES
FEWKES
1881 (c) p. 1114.
1882 p. 139.
1882 (b) p. 298.
1883 p. 86.
188% p. 196, fig. 3.
1888 (a) p. 234.
Phialidium variabile (Claus).
Voir : Matériaux I, p. 485; IL, p. 142;
Phialidium variabile
Eucope (Phialidium)
variabilis
Phialidium variabile
Eucope (Phialidium)
variabilis
Phialidium variabile
» »
» »
» »
Phialidium variabilis
Thaumantias convexa
Phialidium variabile
» »
Eucope variabilis
Geryonia planata
? Oceania flavidula
Phialidium ferrugineum
Phialidium variabile
DaviDOFF
CLaAUs
CLAUS
CLAUS
CLAUS
\VEISMANN
CaRus
GRÆFFE
REES
CLUBB
HADDON
LANG
METSCHNIKOFF
METSCHNIKOFF
METSCHNIKOFF
METSCHNIKOFF
METSCHNIKOFF
II, p. 428 et IV, p. 418.
1881 p. 620, fig.
1881 (b) p. 310.
1881 (c) p. 94, 110, 411.
1883 p. 83.
1883 p. 87.
1883 p. 240.
1884 p. 31.
1884 p. 356.
1884 p. 589.
1886 p. 114, 116.
1886 (a) p. 525.
1886 p. 753, 755, 798.
1886 (a) p. 242.
1886 (a) p. 241.
1886 (a) p. 239, 241.
1886 (a) p. 241, 243.
287
1886 (a) p. 243, 244,257, 260.
288 M. BEDOT
Phialidium viridicans METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 243.
T'haumantias convexa THOMPSON 1886 p. 317.
Phialidium variabile DALLA TORRE 1889 p. 95.
» » M'INrosx 1889 p. 278, 289.
? Phialidium variabile
var. convexra M'IxTosx 1889 p. 289.
? Phialidium variabile
var. globosa M’INrosH 1889 p. 289.
? Phialidium variabile
var. sarnica M'INTosH 1889 p. 289.
? Thaumantias gibbosa M’INrosa 1889 p. 278.
Thaumantias globosa
(Phialidium variabile) MIxrosa 1889 p. 272.
? Thaumantias globularis M'Inrosx 1889 p. 288.
? Thaumantias (Phia-
lidium) variabile
var. globosa MIxtTosx 1889 p. 289.
? Thaumantias (Phia-
lidium) variabile
var. #nconspicua M'INrosH 1889 p. 289.
Phialidium variabile M'Ixrosx 1890 (b) p. 302.
? Phialidium variabile
var. convexa M’INTOosH 1890 (b) p. 302.
? Phialidium variabile
var. globosa M'IxTosx 1890 (b) p. 302.
? Phialidium variabile
var. inconspicua M’INrosH 1890 (b)\ p. 302.
? Phialidium variabile
var. sarnica M’'INTosH 1890 (b) p. 302.
? Thaumantias gibbosa M’Ixros 1890 (b) p. 304.
Nous réunissons provisoirement sous le nom de Phialidium variabile toutes
les espèces qui ont été décrites sous ce nom ou qui figurent dans la synonymie
établie par HagckeL. Mais plusieurs auteurs, et entre autres BRoWNE (1896), ont
montré que de nombreuses espèces avaient été à tort réunies sous ce nom.
Nous espérons pouvoir en faire une révision dans un prochain fascicule de nos
«Matériaux ». Dans les Matériaux IV, p. 419, il faut enlever de la synonymie
de Phialidium variabile la citation : Eucope polygastrica, Merscanixorr E. u. L.
1872, qui appartient à une espèce distincte.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 289
Phialis cruciata (A. Agassiz).
Voir : Matériaux III, p. 428 et IV, p. 419.
Halopsis cruciata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241, 260.
Phialis cruciata ME&TSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241, 261.
Halopsis cruciata METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 81, 84.
Phialium duodecimale (A. Agassiz).
Voir : Matériaux ILE, p. 429 et IV, p. 419.
Eucheilota duodecimalis FEWKES 1881 (b) p. 159.
» ‘» Brooks 1882 p. 140.
» » FEWKES 1882 (b) p. 297.
Phialium duodecimale FEWKES 1882 (b) p. 297, pl. 1, fig. 17-21.
Plotocnide borealis Wagner.
Plotocnide borealis WAGNER 1885 p. 60,72, 74, pl. 4, fig. 1-2.
(= Protiara borealis sec. A.-G. MAYER.)
Polycanna americana Fewkes.
Polycanna americana FEWKES 1886 p. 959.
» » FEWKES 1889 (a) p. 522, 523.
(= Aequorea forskalea sec. A.-G. MAYER.)
Polycanna crassa (A. Agassiz).
Voir : Matériaux IIL, p. 429 et IV, p. 419.
Aequorea crassa CLAUS 1881 (b) p. 297.
Aequorea (Zygodactyla)
crassa CLAUS 1881 (b) p. 301.
Aequorea crassa CLAUS 1883 p. 68.
Aequorea (Polycanna)
crassa CLAUS 1883 p. 82.
Aequorea (Zygodactyla)
crassa CLAUS 1883 p. 78.
Polycanna (Z'ygodactyla)
crassa FEWKES 1886 p. 959, 960.
Polycanna crassa FEWKES 1889 (a) p. 523.
Zygodactyla crassa FEWKES 1889 (a) p. 521.
* Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 19
290 M. BEDOT
Polycanna flava A. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 429 et IV, p. 420.
Aequorea (Cremalostoma)
flava CLaAUs 1881 (b) p. 301.
Crematostoma flava CLAUS 1881 (b) p. 302.
) » CLAUS 1883 p. 79.
Cremastoma flava FEWKES 1889 (a) p. 521.
Polycanna flava FEWKES 1889 (a) p. 523.
Polycanna fungina Hæckel.
Voir : Matériaux IV, p. 420.
Aequorea (Polycanna)
fungina CLAUS 1881 (b) p. 297.
Polycanna fungina CLAUS 1881 (b) p. 301, 307, 308.
Aequorea (Polycanna)
fungina CLAUS 1883 p. 76.
Polycanna fungina CLAUS 1883 p. 77, 78, 82, 83.
» » FEWKES 1889 (a) p. 521, 523.
Polycanna germanica Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 420.
Aequorea (Polycanna)
germanica CLAUS 1881 (b) p. 297.
Polycanna germanica CLAUS 1881 (b) p. 298, 300, 308, 311.
Aequorea (Polycanna)
germanica CLAUS 1883 p. 76.
Polycanna germanica CLaus 1883 p. 77, 78, 82, 84.
» » FEWKES 1886 p. 959.
» » DALLA TORRE 1889 p. 94.
» » FEWKES 1889 (a) p. 521.
Polycanna groenlandica (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 485; II, p. 143; III, p. 429 et IV, p. 420.
Aequorea groenlandica CLAUS 1881 (b) p. 297, 301.
Zygodactyla groenlandica FrwKkes 1881 (b) p. 156, pl. 5, fig. 5, 6,
11, 12.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 291
Aequorea groenlandica CLAUS 1883 p. 68, 78.
Aequorea (Zygodactyla)
groenlandica CLAUS 1883 p. 69.
Zygodactyla groenlandica FewKkes 1885 (a) p. 597.
Polycanna (Zygodactyla)
groenlandica FEWKES 1886 p. 959, 962.
Zygodactyla groenlandica Crarke 1888 p. 87, fig. 81.
Polycanna groenlandica Fewkes 1889 (a) p. 522, 523.
Zygodactyla groenlandica FEWKEs 1889 (a) p. 521-523.
Polycanna italica Haeckel.
Voir : Matériaux I, p. 486; IT, p. 143 ; IT, p. 429 et IV, p. 420.
Polycanna italica CLAUS 1881 (b) p. 284, 298, 300, 311.
Polycanna rissoana CLAUS 1881 (b) p. 311.
Aequorea rissoana CLAUS 1883 p. 62.
Polycanna italica CLAUS 1883 p. 62, 77, 78, 84.
Polycanna rissoana CLAUS 1883 p. 84.
» » CARUS 1884 p. 34.
Polycanna italica FEWKES 1886 p. 959.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261.
» » FEWKES 1889 (a) p. 521.
Polyorchis campanulatus (Chamisso et Eysenhardt).
Voir : Matériaux IL, p. 143; IL, p. 430 et IV, p. 421.
Polyorchis penicillata (Eschscholtz).
Voir : Matériaux II, p. 144; III, p. 430 et IV, p. 421.
Polyorchis penicillata FEWKES 1889 (b) p. 103, pl. &, fig. 6, 7.
» » FEWKES 1889 (c) p. 593, fig. &, pl. 23.
Polyorchis pinnatus Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 421.
Polyorchis saltatrix (Tilesius).
Voir : Matériaux IV, p. 421.
292 M. BEDOT
Proboscidactyla brevicirrata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 421.
Proboscidactyla flavicirrata Brandt.
Voir : Matériaux If, p. 144; IIF, p. 430 et IV, p. 422.
Protiara tetranema (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux 1, p. 486: IL, p. 144; ILE, p. 430 et IV, p. 422.
Pteronema ambiguum (Lesson).
Voir : Matériaux IT, p. 144, IT, p. 430 et IV, p. 422.
Pieronema ambiquum LENDENFELD 1885 (a) p. 592, 629.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 652.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 34.
Pteronema darwini Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 422.
Pteronema darwini LENDENFELD 1885 (a) p. 592, 629.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 652.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 34.
Ptychogastria polaris Allman.
Voir : Matériaux IV, p. 422.
Ptychogena lactea A. Agassiz.
Voir : Matériaux IL, p. 430 et IV, p. 422.
Ptychogena lactea HARCKEL 1882 p. 6, 7.
» » AGASSIZ, À. 1888 p. 128, fig. 422.
Ptychogena pinnulata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 422.
Plychogena pinnulata HAECKEL 1882 p. 6, pl. 2.
RÉuil ; n°, =.
Voir :
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
V. 293
Ratkia blumenbachi (Rathke).
Oceania blumenbachi
Rathkea blumenbachi
Voir : Matériaux [, p. 486; IL, p.
FEWKES
FEWKES
Matériaux If, p. 144; ILE, p. 430 et IV, p. 425.
1881 (b) p. 142, 146.
1881 (b) p. 147.
Rathkia fasciculata (Péron et Lesueur!).
Lizzia kôllikeri
Rathkea fasciculata
SCHMIDTLEIN
CARUS
METSCHNIKOFF
METSCHNIKOFF
Lizzia (Rathkea) kôllikeri Caux
Lizzia koellikeri
Rathkea fasciculata
Lizzia kôllikeri
Voir :
Lo BIANCO
MARKTANNER
M'INrosH
145 ;
LT, p.
1881 p.
1884 p.
1886 (a)
131 et LV, p. 493.
164.
25,
) p. 239.
1886 (b) p. 20. 72, pl. 1, fig.
1888 p.
1888 p.
1890 p.
18-31.
12.
388.
202.
1890 (b) p. 298.
Rathkia octopunctata (Sars).
Matériaux II, p. 138, 145 ; IT, p. 431 et IV, p. 423.
Cytaeis octopunctata
Lizzia octopunctata
»
)
Cytaeis octopunctata
Rathkea octopunctata
Lizzia oclopunctata
»
»
Rathkea octopunctata
»
»
)
SARS, M.
FEWKES
FEWKES
MôBius
MôBits
CLuBB
CLARKE
GIARD
var. rubropunctala Gran
Rathkea octopunctata
Lizzia octopunctata
DaLLA TORRE
M'IxrosH
M'Ixrosx
M'INTrosH
1837 p.
406.
1881 (b) p. 142, 143.
1883 p.
1884 p.
1884 p.
1886 p.
1888 p.
1888 p.
1888 p.
1889 p.
1889 p.
79.
65.
65.
117.
83, fig. 75.
317, pl. 21.
319, expl. pl. 21.
95.
264,272, 273, 278, 288,
289.
1890 (a) p. 43.
1890 (b) p. 297, 298.
Rhegmatodes floridanus L. Agassiz.
Voir :
Matériaux IIT, p. 432 et IV, p. 423.
M. BEDOT
Rhegmatodes globosa (Eschscholtz).
Voir : Matériaux IL, p. 145; TIL, p. 432 et IV, p. 424.
Rhegmatodes tenuis À. Agassiz.
Voir : Matériaux IIT, p. 432 et IV, p. 424.
Rhegmatodes thalassina (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux [, p. 486; IL, p. 145 ; IL, p. 432 et IV, p. 424.
Rhegmatodes thalassina
LENDENFELD 1885 (a) p. 611, 631.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 39.
Saphenella dissonema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 424.
Saphenia bitentaculata (Quoy et Gaimard).
Voir : Matériaux Il, p. 146; ILE, p. 432 et IV, p. 424.
Saphenia bitentaculata Carus
1884 p. 31.
? Siphonorhynchus
bitentaculatus MerTscHNIKorF 1886 (a) p. 261.
Saphenia dinema (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 486; Il, p. 146; I, p. 433 et IV, p. 424.
Saphenia dinema
FEWKES 1881 (b) p. 152.
ARS » GRÆFFE 1884 p. 34.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261.
Saphenia mirabilis (Wright).
Voir : Matériaux III, p. 433 et IV, p. 495.
Sarsia clavata Keferstein.
Voir : Matériaux II, p. 146; III, p. 433 et IV, p. 425.
Sarsia clavata GRÆFFE 1884 p. 351.
Voir dans les Polypes la note à Syncoryne clavata.
NN
Le]
Qt
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
Sarsia macrorhyncha Busch.
Voir : Matériaux II, p. 433 et IV, p. 425.
Sarsia pattersoni Haddon.
Sarsia pattersont HADDON 1886 |a) p. 525.
Sarsia prolifera Forbes.
Voir : Matériaux II, p. 147; III, p. 433 et IV, p. 425.
Codonium codonophorum K£ELLER 1883 (b) p. 628.
Sarsia prolifera WAGNER 1885 p. 78.
» » FEWKES 1889 (c) p. 298.
Sarsia radiata Lendenfeld.
Voir aux Hydroïdes : Syncoryne radiata.
Sarsia siphonophora Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 426.
Sarsia siphonophora KELLER 1883 (b) p. 628.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 259.
» » Lo Bianco 1888 p. 389.
Sarsia tubulosa (Sars).
Voir : Matériaux II, p. 147; IL, p. 434 et IV, p. 426.
Sarsia tubulosa WEISMANN 1883 p. 2, 58.
Sarsia syncoryne LENDENFELD 1884 (c) p. 985.
Sarsia tubulosa LENDENFELD 1884 (c) p. 586, 588.
» » WAGNER 1885 p. 51, 52, 54, 60, 72, 76,
ñg., pl. 3, fig. 6, 15-16,
18, pL. 4, fig. 3-12.
» » CLUBB 1886 p. 115.
» » HaDDoN 1886 (a) p. 525.
» » M'IxrosH 1889 p. 268, 272, 278, 282.
» » M’INTrosH . 4890 (b) p. 299.
296 M. BEDOT
Staurobrachium stauroglyphum (Péron et Lesueur).
Voir: Matériaux I, p. #86; II, p. 147; III, p. 434 et IV, p. 426.
Staurodiscus heterosceles Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 427.
Staurodiscus tetrastaurus Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 427.
Staurophora mertensi Brandt.
Voir : Matériaux IT, p. 147 ; HE, p. 434 et IV, p. 427.
? Staurophora mertensi FEWKES 1885 (b) p. 164, 165.
Staurophora vitrea Sars.
Voir : Matériaux III, p. 435 et IV, p. 427.
Staurostoma arctica Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 427.
Staurostoma laciniata (1. Agassiz).
Voir : Matériaux II, p. 148 ; Ill, p. 435 et IV, p. 427.
Staurophora laciniata FEWKES 1882 (a) p.289,exp.pl.7.fig.16,
17:
» » FEWKES 1885 (a) p. 598, 600.
» » WAGNER 1885 p. 54, 60, 72, 80, pl. 4,
fig. 14-20, pl. 5, fig. 9.
» » FEWKES 1886 p. 958.
» » FEWKES 1888 (a) p. 233.
Steenstrupia cranoides Haeckel.
Voir : Matériaux III, p. 435 et IV, p. 428.
Steenstrupia cranoides CARuS 1884 p. 22.
» » GRÆFFE 1884 P. 324.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 297
Steenstrupia gracilis Brooks.
Steenstrupia gracilis Brooks 1882 p. 136, 144.
(= Steenstrupia rubra sec. A.-G. MAYER.)
Steenstrupia lineata Leuckart.
Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 428.
Steenstrupia lineata CARUS 1884 p. 21.
» » GRÆFFE 1884 p. 394.
» » Du PLEssis 1888 p. d43.
Steenstrupia occidentalis Fewkes.
Steenstrupia occidentalis FEWKkES 1889 (b) p. 107, pl. 3, fig. 1.
Steenstrupia californica Fewkes 1889 (c) pl. 24, fig. 6.
(— Hybocodon chilensis Hartlaub sec. A.-G. MAYER.)
Stomobrachium lenticulare Brandt.
Voir : Matériaux IL, p. 148; III, p. 436 et IV, p. 498.
Stomobrachium tentaculatum 1. Agassiz.
Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 428.
Stomotoca atra A. Agassiz.
Voir : Matériaux IT, p. 436 et IV, p. 429.
Stomotoca pterophylla Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 429.
Stomatoca periphylla FEWKES 1889 (a) p. 513, 593.
Stomotoca rugosa A.-G. Mayer 1900.
Stomatoca apicata FEWKES 1881 (b) p. 151, 152, pl. 2, fig.
0:
? Stomatoca apacala Brooks 1882 p. 136.
? Stomatoca apacta Brooks 1882 p. 144.
Amphinema apicatum BROOKS 1883 (a) p. 473.
298 M. BEDOT
Stomatoca apicata BROOKS 1884 p. 711.
» » CLARKE 1888 p. 83 pl. sans n° p. 82.
» » FEWKES 1889 (a) p. 524.
Syndictyon nodosum (Busch).
Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 429.
Syndictyon nodosum CARUS 1884 p. 20.
Tetranema aeronuuticum (Forbes).
Voir : Matériaux IL, p. 148 : IE, p. 436 et IV, p. 429.
Tetranema eucopium Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 429.
T'etranema eucopium CARUS 1884 p. 27."
Thamnitis nigritella (Forbes).
Voir : Matériaux IL, p. 148 ; LIL, p. 437 et IV, p. 429.
Bougainvillia nigritella M’Ixrosa 1889 p. 294.
» » M'INrosH 1890 (b) p. 298.
Thammnitis tetrella Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 430.
Thamnostoma dibalia (Busch).
Voir : Matériaux III, p. 437 et IV, p. 430.
Thamnostoma dibalia CARUS 1884 p. 25.
Thamnostoma dibolia GRÆFFE 1884 p. 348.
Thamnostoma macrostoma Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 430.
Thamnostylus dinema Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 430.
T'hamnostylus dinema HABCKEL 1882 p. 2, pl. 1.
HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 299
Thaumantias cellularia (A. Agassiz).
Voir : Matériaux IT, p. 437 et IV, p. 430.
Thaumantias crucifera Romanes.
Voir : Matériaux IV, p. 430.
Thaumantias eschscholtzi Haeckel. EC y
Voir : Matériaux IV, p. 430. &
Thaumantias forbesi Haeckel.
DE
Voir : Matériaux IV, p. 430. \G
Thaumantias helicobostrica Romanes.
Voir : Matériaux IV, p. #30.
Thaumantias hemisphaerica (Gronovius).
Voir : Matériaux I, p. 486; IT, p. 148; IIL p. 437 et IV, p. 431.
Thaumantias inconspicua Lestie a. HeRDMAN 1881 p. 13.
» » STORM 1882 p. 14.
Thaumantias hemis-
phaerica Môgius 1884 p. 65.
Thaumantias inconspicua PENNINGTON 1885 p. 89.
Thaumantias hemis-
phaerica Crus 1886 p. 116.
Thaumantias punctata CLups 1886 p. 116.
Thaumantias hemis-
phaerica HapDox 1886 (a) p. 525.
» » HERDMAN 1886 (b) p. 327, 330.
Thaumantias inconspicua METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 84.
Thaumantias hemis-
phaerica DALLA TORRE 1889 p. 95.
; ; M'Ixrosn 1889 p. 277,278. 289, 288, 289,
293, 204, 297. 300.
8, 288, 289.
7
19 ©
I 1
Thaumantias inconspicua M'Ixros 1889 p.
Thaumantias pileata M'Ixrosu 1889 p.
300 M. BEDOT
Thaumantias hemis-
phaerica MINrosH 1890 (b) p. 297, 301.
Thaumantias inconspicua M’INrosx 1890 (b) p. 297.
Thaumantias pileata M°INTOSH 1890 (b) p. 301.
Thaumantias purpureus Romanes.
Voir : Matériaux IV, p. 431.
Thaumantias versicolor Mettenheimer.
Voir: Matériaux IIL, p. 438 et IV, p. 431.
Tiara conifera Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 431.
Tiara ducalis (Forbes).
Voir : Matériaux IIL, p. 438 et IV, p. 431.
Tiara octona (Forbes).
Voir : Matériaux I, p. 487; Il, p. 149; INT, p. 438 et 1V, p. 431.
Tiara octona HADDON 1886 (a) p. 525.
Oceania (Tiara) octona M’Ixrosx 1889 p. 264.
Oceania turrita M'INrosx 1889 p. 288, 289.
Tiara (Oceania) octona M’IxrosH 1889 p. 289, 293.
Oceania octona M'INTosH 1890 (b) p. 297.
Oceania (Tiara) octona M'INrosx 1890 (b) p. 297.
Tiara papua (Lesson).
Voir : Matériaux II, p. 150; ITT; p. 439 et IV, p. 431.
Tiara papua LENDENFELD 1885 (a) p. 587, 628.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 650.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 32.
Tiara pileata (Forskäl).
Voir : Matériaux I, p. 487; Il, p. 150 ; HI, p. 439 et IV, p. 432.
Oceania pileata FEWKES 1881 (b) p. 149.
» » SCHMIDTLEIN 1881 p. 163, 164.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. _ V. 301
Tiara pileata HAMANN 1882 (b) p. 548, pl. 26, fig. 6.
» » HAMANN 1883 (a) p. 426.
» » CaRus 1884 p. 23.
» » GRÆFFE 1884 p. 395.
» » R&Es 1884 p. 589.
» » WAGNER 1885 p. 70, 78, pl. 4. fig. 13.
» » var. coccinea WAGNER 1885 p. 79.
D) »
var. smaragdina WAGNER 1885 p. 79.
Tiara pileata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239.
» dre METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 24, 29, 37, pl. 1,
fig. 1-17.
? Tiara leucostyla METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 23, 40, 46,48, 75, 77.
Oceania pileata Lo Branco 1888 p. 389.
Tiara pileata DaLLA TORRE 1889 p. 95.
Oceania episcopalis M'IxrosH 1889 p. 278.
Tiara pileata MARKTANNER 1890 p. 202.
Oceania episcopalis M'IxrosH 1890 (b) p. 297.
Oceania pileata M'Ixrosa 1890 (b) p. 297.
Tiara reticulata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 432.
Tiara rotunda (Quoy et Gaimard).
Voir : Matériaux II, p. 151 ; III, p. 440 et IV, p. 432.
Tiara rotunda CaARüS 1884 p. 23.
Tiaropsis diademata L. Agassiz.
Voir : Matériaux Il, p. 151; I, p. 440 et IV, p. 432.
Tiaropsis diademata FEWKES 1882 (a)p. 277, pl. 7, fig. 13, 14.
» » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240.
T'iuropsis macleayi Lendenfeld.
T'iaropsis macleayi LENDENFELD 1885 (a) p. 605, 630, pl. 93,
fig. 37.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 657.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 37.
302 M. BEDOT
Tiaropsis mediterranea Metschnikoff.
Tiaropsis mediterranea METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239, pl. 22, fig. 6-8.
Tiaropsis multicirrata (Sars).
Voir : Matériaux II, p. 151; IE, p. 440 et IV, p. 433.
Tiaropsis mulhicirrala METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240.
Thaumantias melanops … Me Ixrosx 1887 (a) p. 711.
Tiaropsis multicirrhata DacLa TORRE 1889 p. 95.
Thaumantias melanops M’Ixrosx 1889 p. 272, 277, 282, 288, 289,
pl. 5, fig. 5.
» » M'IxrosH 1890 (a) p. 40, pl. 8, fig. 1.
» » M’INrosH 1890 (b) p. 297, 300, 301.
Tima bairdi (Johnston).
Voir : Matériaux IT, p. 151; IIE, p. 441 et IV, p. 433.
Tima bairdi FEWKES 1881 (b) p. 157.
» » CLARKE 1888 pl. sans n°, p. 82.
» » M'Inrosx 1889 p. 261, 263, 289, 298, 300.
» » M'INrosH 1890 (a) p. 41, pl. 8, fig. 2.
» » M’INrosH 1890 (b) p. 303.
Tima flavilabris Eschscholtz.
Voir : Matériaux Il, p. 152; IT, p. 4k1 et IV, p. 433.
Tima flavilabris SCHMIDTLEIN 1881 p. 164.
» » Lo Bianco 1888 p. 390.
» » MARKTANNER 1890 p. 280.
? Tima flabellaris M’INTosH 1890 (b) p. 304.
Tima forbesi Peach.
Voir : Matériaux ILE, p. 441 et IV, p. 433.
Tima teutscheri Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 454.
Toxorchis arcuatus Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 434.
- ,séséhih 2
à «
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 303
Turris constricta Patterson.
Voir : Matériaux Ill, p. 442 et IV, p. 434.
Turris digitalis Forbes.
Voir : Matériaux II, p. 192; III, p. 442 et IV, p. 434.
Turritopsis armata (Kôülliker).
Voir : Matériaux IIF, p. 442 et IV, p. 434.
Turritopsis armata CARUS 1884 p. 23.
Oceania armata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239, 241.
T'urrilopsis armata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239.
Oceania armata METSCHNIKOFF 1886 (b) p:20,::78..pl4, fig.
32-39.
Turritopsis lata Lendenfeld.
Turrilopsis lata LENDENFELD 1885 (a) p. 588, 628, pl. 29,
fig. 36.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 33.
Turritopsis pleurostoma (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 488 ; II, p. 152; IIL, p. 443 et IV, p. 435.
Turritopsis pleurostoma LENDENFELD 1885 (a) p. 588, 628.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 651.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 33.
Turritopsis polynema Haeckel.
Y
Voir aux Hydroïdes : Clavula neglecta.
Wailletta ornata (Mac Crady).
Voir : Matériaux ill, p. 443 et IV, p. 435.
Wallia ornata BROOKS 1882 p. 136, 144.
» » FEWKES 1882 (b) p. 299, pl. 1, tig. 22-24.
» » FEWKES 1889 (b) p. 110.
304 M. BEDOT
Wallsia cornubica Peach.
Voir : Matériaux ILE, p. 443 et IV, p. 435.
Willsia furcata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 435.
Wallsia occidentalis Fewkes.
Willia occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 109, pl. 5, fig. 3.
(—= Proboscidactyla occidentalis, see. A.-G. MAYER.)
Zanclea costata Gegenbaur.
Voir : Matériaux III, p. 444 et IV, p. 436.
Zanclea costata CARUS 1884 p. 25.
Zygocanna costata Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 436.
Z'ygocanna costata LENDENFELD 1885 (a) p. 608, 630.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 658.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38.
Zygocanna pleuronota (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 488; IL, p. 193; IL, p. 444 et IV, p. 436.
Zygocanna pleuronota LENDENFELD 1885 (a) p. 609.
Zygocanna pleuranata LENDENFELD 1885 (a) p. 630.
Zygocanna pleuronota LENDENFELD 1885 (d) p. 658.
» » LENDENFELD 1887 (C) p. 38.
Zygocannota purpurea (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 488 ; 11, p. 153; III, p. 444 et IV, p. 436.
Aequorea (Zygocannota)
purpurea CLAUS 1883 p. 82.
Zygocannola purpurea LENDENFELD _ 1885 (a) p. 609, 631.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 305
Zygocannula diploconus Haeckel.
Voir : Matériaux IV, p. 436.
Zygocannula diploconus LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38.
Zygocannula undulosu (Péron et Lesueur).
Voir : Matériaux I, p. 488 ; II, p. 153; IIL, p. 444 et IV, p. 436.
Zygocannula undulosa LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631.
» » LENDENFELD 1885 (d) p. 659.
» » LENDENFELD 1887 (c) p. 38.
Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 20
306
Gen. Ahelinaria
Gen.
À.
À.
> L à à
> à à
> > à à
abietina
abietina
var. abietiformis
. abietina
var. minor
. abielina
var. purpurea
. anquina
. cartilaginea
. filicula
. filicula
var. Clarki
. inconstans
. Juniperus
. labiata
. melo
. merki
. tulesii
. variabilis
Acanthella
A.
. Acanthocladium
A.
A.
effusa
angulosum
huxleyi
. Acladia
À.
africana
M. BEDOT
INDEX
HYDROIDES
KIRCHENPAUER 1884
(LINNÉ) 1758
KIRCHENPAUER 1884
KIRCHENPAUER 1884
KIRCHENPAUER 1884
(TRASK) 1857
KIRCHENPAUER 1884
(Ezuis et SOLANDER) 1786
KIRCHENPAUER 1884
(CLARK) 1876
KIRCHENPAUER 1884
KIRCHENPAUER 1884
KIRCHENPAUER 1884
KIRCHENPAUER 1884
KIRCHENPAUER 1884
(CLARK) 1876
ALLMAN 1883
(Busk) 1852
ALLMAN 1883
(LAMOUROUX) 1816
ALLMAN 1883
MARKTANNER 1890
MARKTANNER 1890
— Abielinaria fili-
cula.
— Abielinaria an-
quina.
— A canthocladium
anqulosum.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 307
Gen. Aequorea PÉRON et LESUEUR 1809 —= p. p. Zygodactyla.
A. (Zygodactyla)
vitrina, sec. CLAUS 1881 (c) — Zygodactyla
vitrina.
Gen. Aglaophenia LAMOUROUX 1812
A. acacia ALLMAN 1883
A. acanthoCarpa ALLMAN 1876 (b) — Aglaophenia diva-
ricata.
A. aculidentata ALLMAN 1886
A. angulosa LAMOUROUX 1816 — Acanthocladium
angulosum.
A. arcuata LAMOUROUX 1816 — Halicornaria
arcuata.
A. ascidioides BALE 1882
A. attenuala ALLMAN 1883
A. aurita KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus phoe-
niceus.
A. avicularis KIRCHENPAUER 1872 — Halicornopsis
elegans.
A. balei MARKTANNER 1890
A. banksi KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus penna-
rius.
A. calamus ALLMAN 1883
A. chalarocarpa ALLMAN 1886
A. coarctata ALLMAN 1883
A. crenata FEWKES 1881 (a) — Cladocarpus cre-
nalus.
A. crispata KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus penna-
rius.
A. divaricata
var. m’Coyi MARKTANNER 1890 — À glaophenia diva-
ricata.
A. dolichocarpa ALLMAN 1886
A. elegans LAMOUROUX 1816 — Halicornopsis
elegans.
A. filamentosa (LAMARCK) 1816 — Lylocarpus fila-
mentosus.
A. filicula ALLMAN 1883
A. gracillima FEWKES 1881 (a)
308
À.
À.
A.
A.
A.
À.
. Kirchenpaueri
helleri
heterocarpa
hians
buxleyi
ilicistomu
insignis
. lendenfeldi
. longirostris
. m’CoYiI
. macgillivrayi
. Macrocarpa
. mediterranea
. microdonta
. parvula
. pennaria
. pennatula
. perforata
. philippina
. (Lytocarpus)
phillipina
. phoenicea
. (Lytocarpus)
phoenicea
. phyllocarpa
M. BEDOT
MARKTANNER
BALE
Busk
KIRCHENPAUER
BALE
FEWKES
LENDENFELD
BALE
KIRCHENPAUER
BALE
ALLMAN
BALE
MARKTANNER
PIEPER
BALE
(LINNÉ)
1890
1882
1852
1872
1882
1881 (a)
1885 (a)
1887
1872
1882
1883
1888
1890
1884
1882
1758
(ELis et SOLANDER) 1786
ALLMAN
KIRCHENPAUER
BALE
(Bus)
BALE
BALE
1886
1872
1887
1888
— Halicornaria
hians.
— Acanthocladium
anqulosum.
— Aglaophenia len-
denfeldi.
— Halicornaria lon-
girostris.
— Aglaophenia diva-
ricata.
— Aglaophenia
cupressina.
— Aglaophenia cru-
cialis.
— Aglaophenia
acacia.
— Lytocarpus penna-
rius.
— Halicornaria pen-
natula.
— Lytocarpus philip-
pinus.
— Lytocarpus philip-
pinus.
— Lylocarpus phoe-
niceus.
—: Lylocarpus phoe-
niceus.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 309
A. pluma
var. dichotoma (Sars) 1857 (a)
A. plumosa BALE 1882
A. proifera BALE 1882
A.ramosa Busk sec. BALE 188% — Aglaophenia diva-
ricata.
A. robusta FEWKES 1881 (a)
A. roretzi MARKTANNER 1890
A. rostrata KIRCHENPAUER 1872 — Lytlocarpus phoe-
niceus.
A. secunda KIRCHENPAUER 1872 — Lylocarpus pen-
narrus.
A. sinuosa BALE 1888
A. spicata LAMOUROUX 1816 — Lylocarpus pen-
naTius.
A. spinosa AI]. sec. FEWKES 1881 (c) Ind.
A. superba BALE 1882
A. thompsoni BALE 1882 — Halicornaria lon-
girostris.
A. tubiformis MARKTANNER 1890
A. urceolifera LAMARCK 1816 — Halicornaria ur-
ceolifera.
A. urens BaLe 1884 — Lytocarpus philip -
pinus.
A. urens KIRCHENPAUER 1872 — Lylocarpus urens.
A. whiteleggei BALE 1888
Gen. À glaophenopsis FEWKES 1881 (a)
A. hirsuta FEWKES 1881 (a)
Gen. Amalthaea Scumipr, 0. 1852
À. vardüensis LoMAN 1889
Gen. Amphibrachium ScHuLze 1880
A. euplectellae SCHULZE 1880
Gen. Anisocola JICKELI 1883 — Plumularia.
A. bifrons Heller sec. JIcKErx 1883 — Plumularia bi-
frons.
A. halecioides
Alder sec. JIcKELI 1883 —= Plumularia hale-
cioides.
A.setacea Ellis sec. JIcKkELt 1883 — Plumularia seta-
ce«.
310
Gen.
Gen.
Gen.
Antennella
À. secundaria
A. siliquosa
. Anlennopsis
À. ramosa
. Antennularia
A. cruciata
A. cylindrica
A. decussata
>
. dichotoma
A. fascicularis
A. hexasticha
A. irregularis
A. janini
A. janini
A. norwegica
A. pentasticha
A. profunda
A. ramulosa
A. tetrasticha
Atractyloides
A. formosa
Azygoplon
Gen. Azygoplon
A. productum
A. rostratum
M. BEDOT
ALLMAN
(GMELIN)
(HINCKS)
ALLMAN
FEWKES
LAMARCK
PIEPER
BALE
KIRCHENPAUER
HALLEZ
ALLMAN
KIRCHENPAUER
QuELcH
GRÆFFE
MARKTANNER
QueLcu
PIEPER
QuEeLcH
MEREJKOWSKY
Queccx
FEWKES
FEWKES
ALLMAN
BALE
BALE
ALLMAN
1877 (b)
1788-93
1877 (a)
1877 (b)
1881 (a)
1816 — Nemertesia.
1881 — Nemertesia anten-
nina.
1884 — Sciurella indivisa.
1876 — Nemertesia cymo-
docea.
1890 md.
1883 — Nemertesia fasci-
cularis.
1876 — Nemertesia hexas-
ticha.
1885 (a) == Nemertesia irrequ-
laris.
1884 — ? Nemeriesia anten-
nina.
1890 — Nemertesia perrieri |
var. antennoides.
1885 (a) — Nemertesia norve-
gica.
1880 — Nemertesia anten-
nina.
1885 (a) — Nemertesia
ramosa.
1882 (a) — Nemertesia
ramosa.
1885 (a) — Nemerltesia tetras-
ticha.
1889 (b)
1889 (b)
1883 — Halicornopsis.
1888 — Diplocheilus.
1888 — Diplocheilus pro-
ductus.
1883 — Halicornopsis ele-
gans.
D ET PT
Lt
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Bougainvillia
B. fruticosa
B. paradoxa
B. rugosa
. Calamphora
C. parvula
. Callicarpa
C. gracilis
. Calycella
C. producta
C. pygmaea
Calyptospadix
C. cerulea
Calyptothuiaria
C. clarki
C. magellanica
Campanopsis
C. sp?
Campanularia
C. antipathes
C. bispinosa
C. borealis
C. caliculata
var. makrogona
. Ccalycella
. carduella
. cheloniae
. Chinensis
. Costata
PAPAS RME Ep
. fruticosa
C. insignis
C. integriformis
sec.
HISTOIRE DES
LESSON
WEISMANN
M'Ixrosx
CLARKE
ALLMAN
ALLMAN
FEWKES
FEWKES
Hixcks
SARS, G.-0.
HINCKS
CLARKE
CLARKE
MARKTANNER
MARKTANNER
MARKTANNER
CLAUS
CLAUS
LAMARCK
(LAMARCK)
BALE
MARKTANNER
(LENDENFELD)
LENDENFELD
ALLMAN
ALLMAN
MARKTANNER
BALE
MARKTANNER
FEWKES
MARKTANNER
HYDROÏDES. —
1836
1883
1890 (a)
1882
1888
1888
1881 (a)
1881 (a)
1859
1874
1874 (b)
1882
1882
1890
1890
1890
1881 (c)
1881 (c)
1816
1816
1888
1890
1885 (b)
1883 (c)
1886
1888
1890
1884
1890
1881 (a)
1890
V. Shl4l
— Bougainvillia ra-
mos«.
— Bougainvillia su-
perciliaris.
— Lovenella producta.
— Halisiphonia pyq-
maeux,
—= Lictorella anii-
pathes.
— Campanularia (?)
spinulosa.
Ind.
— Lafoea costata.
— Lytoscyphus fruti-
COSUS.
— Lyloscyphus mar-
ginatus.
312
Gen.
Gen.
Gen.
C. marginata
C. occidentalis
C. ptychocyathus
C. retroflexa
C. rufa
.(?) serrulata
. (2) spinulosa
. thyroscyphi-
formis
C. torresi
C. tulipifera
C. undulata Lmx. çec.
. urnigera Lx. sec.
(>:
Campanulina
C. borealis
C. calyeulata
var. makrogona
Ceratella
C. fusca
C. labyrinthica
C. procumbens
C. spinosa
Cladocarpus
C. compressus
C. crenatus
C. crenatus
var. allmani
C. flexilis
C. formosus
C. formosus
C. pectiniferus
. simplex Lmx. sec.
M. BEDOT
BALE
FEWKES
ALLMAN
ALLMAN
BALE
BALE
BALE
BALE
MARKTANNER
BALE
ALLMAN
BALE
BALE
BENEDEN
THOMPSON
LENDENFELD
GRAY
GRAY
HYATT
CARTER
CARTER
ALLMAN
FEWKES
(FEWKES)
RITCHIE
VERRILL
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
1884
1889 (b)
1888
1888
1884
1888
1884
1888
1890
1884
1888
1884
1884
1847
1887
1885 (b)
1873
1874 (b)
1881 (a)
1881 (a)
1909
1885 (a)
1874 (b)
1883
1883
— Lictorella anti-
pathes.
Ind.
— Thyroscyphus tor-
resi.
Ind.
Ind.
— Campanularia ca-
lyculata var. ma-
krogona.
— Solanderia.
— Solanderia fusca.
— Solanderia laby-
rinthica.
— Solanderia pro-
cumbens.
— Solanderiaspinosa.
— Cladocarpus cre-
natus var. allmani
dt. “ini
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
Cladocoryne RorcH 1871
C. haddoni KIRKPATRICK 1890 (a)
Cladonema DUJARDIN 1843
C. dujardini HARTLAUB 1887
. Clava GMELIN 1788-93
C. simplex LENDENFELD 1885 (a)
Clavopsis GRÆFFE 1883
C. adriatica GRÆFFE 1883 (a)
Clavula WRIGHT 1859
C. neglecta (LESsON) 1843
. Clytia LAMOUROUX 1812
C. (?) elongata MARKTANNER 1890
C. flavidula METSCHNIKOFF 1886 (a)
C. laevis WEISMANN 1883
C. viridicans METSCHNIKOFF 1886 (a)
Cordylophora ALLMAN 1844
C. whiteleggei LENDENFELD 1886 (b)
Corymorpha SARS 1835
C. antarctica PREFFER 1889
C. arctica . WEISMANN 1883
Coryne GAERTNER 177%
C. vel. Syncoryne
cylindrica KIRKPATRICK 1890 (a)
C. graeffei JICKELI 1883
C. pusilla
var. napolitana WEISMANN 1883
Cryptolaria Busk 1857
C. abyssicola ALLMAN 1888
C. crassicaulis ALLMAN 1888
C. diffusa ALLMAN 1888
C. flabellum ALLMAN 1888
C. geniculata ALLMAN 1888
C. gracilis ALLMAN 1888
C. humilis ALLMAN 1888
C. pulchella ALLMAN 1888
Dendroclava WEISMANN 1883
D. dohrni WEISMANN 1883
V.
— Cladonema radia-
tum.
— ? Monocaulus gla-
cialis.
314
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Desmoscyphus
D. acanthocarpus
D. gracilis
D. obliquus
D. orifissus
D. pectinatus
D. unguiculata
Dicoryne
D. annulata
Dictyocladium
D. dichotomum
Diphasia
. bipinnata
. digitalis
. mutulata
SOS
. pinaster
var. arcuala
. rectangularis
. scalariformis
. subcarinata
CNHSRSRS
. Symmetrica
Diplocheilus
D. mirabilis
D. productus
Diplocyathus
D. dichotomus
Dynamena
D. attenuata sec.
D. bilateralis
D. gracilis sec.
D. mediterranea
M. BEDOT
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
LENDENFELD
ALLMAN
ALLMAN
AGASssiz, L.
ALLMAN
(Busk)
(Busk)
QUELCH
LENDENFELD
KIRKPATRICK
(Busk)
LENDENFELD
ALLMAN
ALLMAN
(BALE)
ALLMAN
ALLMAN
LAMOUROUX
PIEPER
Brooks
MARKTANNER
MARKTANNER
1876 (b)
1888
1888
1888
1886
1888
1886
1859
1885 (a)
1888
1888
1862
1886
1852
1852
1885 (a)
1885 (b)
1890 (a)
1852
1885 (a)
1883
1883
1882
1888
1888
1812
1884
1882
1890
1890
— Sertularia
nata.
—= Sertularia
nostoma.
— Serlularia
nala.
turbi-
trigo-
gemi-
— Sertularia unqui-
culata.
— Îdia pristis.
— Sertularia
nos«a.
— ? Diphasia
nuala.
bispi-
atte-
— Sertularia lamou-
Touxt.
roux.
— Sertularia lamou-
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 315
D. tubiformis MARKTANNER
D. tubiformis Lmx. sec. MARKTANNER
D. tubuliformis MARKTANNER
Eucopella LENDENFELD
E. campanula LENDENFELD
E. campanularia LENDENFELD
Eudendrium EHRENBERG
E. arbuseulum
d'Orb. sec. RipLeY
E. armatum TICHOMIROFF
E. attenuatum ALLMAN
E. carneum CLARKE
E. cochleatum ALLMAN
E. exiguum ALLMAN
E. generale LENDENFELD
E. gracile ALLMAN
E. infundibuliforme KinkpaATRICK
E. novae-zelandiae MARKTANNER
E. pusillum SARS
E. pusillum LENDENFELD
E. simplex PIRPER
E. tenue AGASSIZ, À.
E. vestitum ALLMAN
Filellum Hixcks
F. bouvieri JULLIEN
Gattya ALLMAN
G. humilis ALLMAN
Grammaria STIMPSON
G. insignis ALLMAN
G. intermedia PFEFFER
G. magellanica ALLMAN
G. stentor ALLMAN
Gymnangium Hixcks
1890 p. 234
— Dynamena tubuli-
formis.
1890 p. 248 — Synthecium sertu-
larioides.
1890
1883 (c)
1887 (c) — Eucopella campa-
nularia.
1883 (c)
1834
1881 (a) Ind.
1890
1877 (b) Ind.
1882
1877 (b) Ind.
1877 (b) Ind.
18835 (a)
1877 (b) Ind.
1890 (a)
1890
1857 (a)
1885 (a)
1884 — Eudendrium in-
signe.
1865 — Eudendrium capil-
lare.
— Halecium pusillum.
1888
1868
1880
1886
1886
1854
1888
1889
1888
1888
1874 (a) Supp.
316
Gen. Halecium
ES PAS En
ERRIRRRDERRSZ
. arboreum
. boreale
. curvicaule
. Cymiforme
. dichotomum
. fastigiatum
flexile
. gracile
. marsupiale
. ophiodes
. parvulum
. pusillum
. robustum
. robustum
. telescopicum
. tenellum
var. medilerranea
. Halicornaria
. allmani
. arcuala
. ascidioides
. baileyi
. Cornuta
. flabellata
. furcata
. haswelli
. hians
. humilis
. ilicistoma
. longirostris
. longirostris
var. thompsoni
. mitrata
. pennatula
M. BEDOT
OKEN
ALLMAN
LORENZ
LORENZ
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
BALE
BERGH
PIEPER
BALE
(SaRS)
ALLMAN
PIEPER
ALLMAN
WEISMANN
ALLMAN
MARKTANNER
(LAMOUROUX)
BALE
BALE
ALLMAN
MARKTANNER
BALE
BALE
(Busk)
BALE
BALE
(KIRCHENPAUER)
MARKTANNER
ALLMAN
1815
1888
1886
1886
1888
1888
1888
1888
1888
1887
1884
1888
1857 (a)
1888
1884
1888
1883
1874 (b)
1890
1816
1884
1884
1886
1890
1884
1884
1852
1884
1884
1872
1890
1886
(Ezzis et SoLANDER) 1786
— Haleciumpusillum.
— Halecium arbo-
reum.
— Halicornaria ar-
cuata.
— Halicornaria lon-
grostris.
— Lytocarpus fila-
mentosus.
Le
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
H. plumosa ALLMAN 1883
H. prolifera BALE 1884
H. saccaria ALUMAN 1876 (b)
H. (Lytocarpus)
saccaria BALE 1888
H. superba BALE 1884
H. thompsoni BALE 1884
H. urceolifera (LAMARCK) 1816
Halicornopsis BALE 1882
H. avicularis BALE 1882
H. elegans (LaMourRoUx) 1816
H. rostratum LENDENFELD 1885 (b)
Halisiphonia ALLMAN 1888
H. dumosa MARKTANNER 1890
H. megalotheca ALLMAN 1888
H. pygmaea (Hixcks) 1874 (b)
H. spongicola HAECKEL 1889
Halobothrys sec. CARUS 1884
H. fucicola sec. CARUS 1884
Halocordyle ALLMAN 1871
H. tiarella (AYRES) 1854
Haloikema BouRNE 1890 (b)
H. lankesteri BouRNE 1890 (b)
Hebella ALLMAN 1888
H. contorta MARKTANNER 1890
H. cylindrata MARKTANNER 1890
H. cylindrica (LENDENFELD) 1885 (b)
H. parasitica (CIAMICIAN) 1880
H. scandens (BALE) 1888
H. striata ALLMAN 1888
Heteroplon ALLMAN 1883
H. pluma ALLMAN 1883
317
— Halicornaria all-
mant.
— Lylocarpus sac-
carius.
— Lytocarpus sacca-
raus.
— Halicornaria lon-
girostris.
— Halicornopsis
elegans.
— Halicornopsis
elegans.
— Lafoea dumosa.
— Coryne
— Coryne fucicola.
Supp. —= Pennaria.
— Pennaria tiarella.
Supp. — Halecium.
— Halecium robustum
Pieper.
318
Gen. Hydra
H. carnea
H. gracilis
H. hexactinella
H. viridis
var. bakeri
sec.
H. viridis
Gen. Hydractinia
H. borealis
H. (Oorhiza) borealis
H. carica
. Hydrichthys
H. mirus
Gen. Hypanthea
H. aggreqata
H. atlantica
H. georgiana
H. hemisphaerica
Gen. Hypopyxis
H. labrosa
Isocola
I. disticha
Gen.
I. frutescens
[. gaymardi
I. pinnata
Gen. Kirchenpaueria
Gen. Lafoea
L. costata
. Cylindrica
. elangans
. giqgas
. gracillima
. halecioides
. parasitica
L. pygmaea
RARES LE
sec.
sec.
sec.
sec.
M. BEDOT
LINNÉ
AGASssIZz, L.
AGASsiZz, L.
LENDENFELD
MARSHALL
JICKELT
BENEDEN
BERGH
BERGH
BERGH
FEWKES
FEWKES
ALLMAN
ALLMAN
MARKTANNER
PFEFFER
ALLMAN
ALELMAN
ALLMAN
JICKELI
JICKELI
JICKEL
JICKELI
JICKELI
JICKELI
LAMOUROUX
(BALE)
LENDENFELD
FEWKES
PrkPER
HINCKS
ALLMAN
CIAMICIAN
HINCKS
1746
1851 (a)
1851 (a)
1886 (a)
1882
1883
1841
1887
1887
1887.
1887
1887
1876 (c)
1888
1890
1889
1888
1888
1888
1883
1883
1883
1883
1883
18383
1821
1884
1885 (b)
1881 (a)
1884
1874 (a)
1871
1880
1868
— Hydra oligactis.
— Hydra viridis.
— ? Hydra oligactis.
— Oorhiza borealis.
— Oorhiza borealis.
Supp. = Plumularia.
— Plumularia dis-
ticha.
— Plumularia fru-
tescens.
— Plumularia setacea
var. gaimardi.
— Plumularia
nala.
Supp. — Diplocheilus.
pin-
— Hebella cylindrica..
— Lafoea fruticosa.
— Lafoea pinnata.
— Hebella parasitica.
— Halisiphonia pyg-
mae«.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
L. scandens BALE 1888
L. sibirica THOMPSON 1887
L. (Hebella) venusta ALLMAN 1888
Eaomedea LAMOUROUx 1812
L. antipathes LAMOUROUX 1816
L. diaphana AGASSIZ, A. 1862
L. gigantea AGASSIZ, À. 1865
L. marginata LENDENFELD 1885 (a)
L. pacifica AGASSIZ, À. 1865
L. rigida AGASSIZ, À. 1865
L. rufa LENDENFELD 1885 (a)
L. torresi Busk 1852
L. undulata sec. LENDENFELD 1885 (a)
Lictorella ALLMAN 1888
L. antipathes (LAMARCK) 1816
L. cyathifera ALLMAN 1888
L. halecioides ALLMAN 1888
Lineolaria Hixcks 1861
L. flexuosa BALE 1884
Lizzia FORBES 1846
L. octocilia Du PLEssIs 1888
Lovenella Hixcks 1868
L. gracilis CLARKE 1882
L. producta (Sars G.-0.) 1874
Lytlocarpus ALLMAN 1883
L. bispinosa ALLMAN 1883
L. (Aglaophenia)
bispinosa ALLMAN 1883
L. distans ALLMAN 1883
L. (Aglaophenia)
distans ALLMAN 1883
319
— Hebella scandens.
— Lafoea venusta.
Su pp.
== Lictorella anti-
pathes.
— Obelia geniculata.
Inmd.
— Campanularia
marginal.
md.
Ind.
— Lictorella anti-
pathes.
— Thyroscyphus tor-
rest.
md.
— Lictorella anti-
pathes.
— pp. Bougainvillia.
— Bougainvillia ra-
mosa.
— Aglaophenia bis-
pinosa.
— Aglaophenia bis-
pinosa.
— Aglaophenia dis-
ans.
— Aglaophenia dis-
tans.
320
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
L
filamentosus
. grandis
. longicornis
. myriophyllum sec.
. (Aglaophenia)
myriophyllum sec.
L.
L.
. Lytoscyphus
L.
. Margelis
M.
. patulus
. pOnnarius
. philippinus
. phoeniceus
. racemiferus
. ramosus
. SACCATIUS
. secundus
spectabilis
urens
marginatus
britannica
Melicertum
Modeeria
M.
M.
multitentacula
nutricula
. Monopoma
M. variabilis
Monosklera
M. pusilla
Nematophorus
N;
grandis
sec.
M. BEDOT
(LAMARCK)
(CARKE)
(Busk)
ALLMAN
ALLMAN
MARKTANNER
(LINNÉ)
(KIRCHENPAUER)
(Busk)
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
(KIRCHENPAUER)
PicTET
(ALLMAN)
STEENSTRUP
HADDON
ESCHSCHOLTZ
FORBES
FEWKES
FEWKESs
MARKTANNER
MARKTANNER
LENDENFELD
LENDENFELD
CLARKE
CLARKE
1816
1879
1852
1883 — Aglaophenia, my-
riophyllum.
1883 — Aglaophenia my-
riophyllum.
1890 — Lylocarpus fila-
mentosus.
1758
1872
1852
1883
1886 — Aglaophenia diva-
rical.
1876 (b)
1883 — Lylocurpus penna-
Tius.
1883 — Lylocarpus phoe-
niceus.
1872
1893
1877 (b)
1850 — pp. Bougainvillia.
1886 (a) — Bougainvillia ra-
mosa.
1829
1846 — pp. Turritopsis.
1881 (b) — Turrilopsis nutri-
cula.
1882 (b) — Turritopsis nutri-
cula.
1890
1890
1885 (b) Supp. — Obelia.
1885 (b) — Obelia geniculata.
1879 Supp. — Lytocarpus.
1879 — Lylocarpus gran-
dis.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Nemertesia
N. cruciata
N. cymodocea
N. fascicularis
N. irregularis
N. janinia
N. pentasticha
N. perrieri
var. antennoides
N. simplex
N. triseriata
Obelaria
0. geniculata
O. longissima
Obelia
. adelungi
. andersonti
. angulosa
. ATTUENSIS
. australis
. (2) bifurca
. chinensis
. helgolandica
SD OS S ES. S ©
. Mmarginata
Oceania
O. polycirrha
Opalorhiza
O. parvula
Pachycordyle
P. napolitana
Pasythea
P. philippina
Pennaria
P. adamsia
_ P. australis
P. inornata
LAMOUROUX
. CARUS
(Busk)
(ALLMAN)
(QUELCH)
JICKELI
(PIEPER)
BILLARD
(ALLMAN)
(POURTALES)
HAECKEL
DRIEscH
Driescx
PÉRON et LESUEUR
HARTLAUB
HiNCKs
BALE
MARKTANNER
LENDENFELD
Hixcxs
MARKTANNER
HARTLAUB
ALLMAN
PÉRON et LESUEUR
KEFERSTEIN
VERRILL
VERRILL
WEISMANN
WEISMANN
LAMOUROUX
MARKTANNER
OKEN
LENDENFELD
BALE
BROOKS
Rev Suisse DE Zoo. T. 24. 1916.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
1812
1884
1851
1883
1885 (a)
1883
1880
1904
1877 (b)
1869
1879
1889
1889
1809
1884
1887
1888
1890
1885 (a)
1887
1890
1884
1877 (b)
1809
1862
1885 (a)
1885 (a)
1883
1883
1812
1890
1815
1885 (a)
1884
1889
321
— Nemertesia anten-
nina.
— Nemertesiaramosa.
— Nemertesia anten-
nin«.
— Nemertesiaramosa.
Id.
Supp. — Obelia.
— Obelia geniculata.
— Obelia longissima.
— Leploscyphus mar-
ginatus.
—= pp. Clavula.
— Clavula neglecta.
Erreur pour Oplorhiza.
— Oplorhiza parvula.
21
Gen
P. pennaria
P. rosea
P. tiarella
. Pentandra
P. balei
P. parvula
. Perigonimus
P. apicatus
P. (Stomatoca)
P. arenaceus
P. cidaritis
P. formosus
P. steinachi
P
. sulfureus
Gen. Perisiphonia
lé
P
. filicula
. pectinata
Gen. Pleurocarpa
P.
ramosa
Gen. Plumularia
P
. abielina
. aglaophenoïides
. alata
. annuligera
. antennata
. armala
. aurita
. buski
. caliculata
. californica
. catharina
var. allernans
. caulitheca
.compressa
. Cornula
. delicata
M. BEDOT
MARKTANNER
LENDENFELD
(AYRES)
LENDENFELD
LENDENFELD
LENDENFELD
SARS
(BROOKS)
Brooks
BOoURNE
WEISMANN
FEWKES
JICKELI
CHUN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
FEWKES
FEWKES
LAMARCK
ALLMAN
BALE
BALE
QuELcH
QuELcH
ALLMAN
BALE
BALE
BALE
MARKTANNER
DRIESCH
FEWKES
BALE
BALE
LENDENFELD
1890
1885 (a)
1854
1884 (b)
1885 (a)
1885 (a)
1846
1884
188%
1890 (a)
1883
1889 (b)
1883
1889
1888
1888
1888
1881 (a)
1881 (a)
1816
1883
1884
1888
1885 (b)
1885 (a)
1883
1888
1884
1888
1890
1890 (a)
1881 (a)
1882
1884
1887 (c)
— Pennaria disticha.
— Pennaria australis.
— Perigonimus api-
catus.
—? Wrightia arenosa.
Ind.
— Plumularia delica-
tula.
HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 9129
P. delicatula BALE 1882
P. delicatula QueLcx 1885 (a) — Plumularia annu-
ligera.
P. dolichotheca ALLMAN 1883
P. echinata MARION 1883 (a) — ? Plumularia echi-
nulala .
P. effusa Busk 1852 — Acanthella effusa.
P. filamentosa LAMARCK 1816 — Lytlocarpus fila-
mentosus.
P. filicaulis
var. 2ndivisa BALE 1884
P. flabellum ALLMAN 1883
P. fragilis HAMANN 1882 (a)
P. geminata ALLMAN 1877 (b) — l'lumularia catha-
rin«.
P. goldsteini BALE 1882
P. gracilis LENDENFELD 1885 (a)
P. halecioides
var. adriatica WEISMANN 1883 — Plumularia hale-
cioides.
P. hians MARKTANNER 1890
P. hyalina BALE 1882
P. indivisa BALE 1882 — Plumularia cam-
panula.
P. insignis ALLMAN 1883
P. lagenifera ALLMAN 1886
P. laxa ALLMAN 1883 — Plumularia cam-
panula.
P. lichtensterni MARKTANNER 1890
P. longicornis Busk 1852 — Lylocarpus longi-
COTnAs.
P. multinoda ALLMAN 1386
P. obliqua
var. robusta BALE 188%
P. pluma
x var. dichotoma Sars 1857 (a) — Aglaopheniapluma
var. dichotoma.
P. producta BALE 1882 — Diplocheilus pro-
ductus.
Gen.
Gen.
Gen.
. pulchella
. radia
. ramsayi
D TT ©
. rubra
P. scabra
P. secundaria
P. setaceoides
P. siliquosa
P. spinulosa
P. stylifera
P. torresia
P. tripartita
. turgida
. variabilis
acer inc ae)
. wattst
. Pluriserialia
. Podocoryne
P. haeckeli
. Polycoryne
P. helleri
Polyplumaria
P. insignis
P. (Diplopteron)
insignis
P. pumila
Rhizohydra
R. flavitincta
Sarsia
S. minima
. ventriculiformis
M. BEDOT
BALE
LENDENFELD
BALE
LENDENFELD
LAMARCK
(GMELIN)
BALE
HINCKS
BALE
ALLMAN
LENDENFELD
LENDENFELD
BALE
QuELcH
MARKTANNER
BALE
KIRCHENPAUER
SARS
HAMANN
GRÆFFE
GRÆFFE
SARS, G.-0.
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
CopE
CopE
LESSON
LENDENFELD
1882
1885 (a)
1884
1885 (a)
1816
1788-93
1882
1877 (a)
1882
1883
1885 (a)
1885 (a)
1888
1885 (a)
1890
1887
1876
1846
1882 (a)
1883 (b)
1883 (b)
1874
1883
1883
1883
1883
1883
1843
1885 (a)
— Plumularia badia.
— Plumularia cam-
panula.
—? Acanthellaeffusa.
— Antennella secun-
daria.
— Antennella sili-
quosa.
— Plumularia cam-
panula.
— Plumularia seta-
cea.
Supp. — Selaginopsis.
Supp. — Cladocoryne.
floc-
— Cladocoryne
COs«.
= Polyplumaria fla-
bellala.
— Polyplumaria fla-
bellata.
= Polyplumaria fla-
bellata.
== p. p. Syncoryne.
— Syncoryne minima.
ra ch Li Ééédlg ni
Gen.
Gen:
Gen.
Gen.
S. (Codonium)
HISTOIRE
pulchella M’Ixrosa
S. radiata
Schizotricha
S. multifurcata
S. unifurcata
Sciurella
S. indivisa
Selaginopsis
S. bidentata
S. mirabilis
S. pacifica
S. pinus
S. salicornia
S. urceolifera
Sertularella
S. allmani
annulata
S.
© $. antarctica
S.
arborea
S. arborea
var pinnata
S. arboriformis
S. arbuscula
var. pinnata
S. articulata
S. Capillaris
S. clarki
S. contorta
S. crassipes
S. cuneata
LENDENFELD
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
(ALLMAN)
(VERRILL)
MERESCHKO WSKY
KIRCHENPAUER
(ALLMAN)
KIRCHENPAUER
GRAY
HARTLAUB
MARKTANNER
HARTLAUB
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
MARKTANNER
(KIRCHENPAUER)
(ALLMAN)
ALLMAN
MERESCHKOWSK Y
KIRCHENPAUER
ALLMAN
ALLMAN
DES HYDROÏDES. —
1889
1885 (a)
1883
1883
1883
1883
1883
1876 (b)
1876 (b)
1873 (b)
1878 (d)
1884
1871
1884
1848
1901
1890
1901
1884
1884
1890
1884
1888
1886
1878 (d)
1884
1886
1886
V.
— Syncoryne pul-
chella. *
— Selaginopsis
Qt
— Syncoryne radiata.
cedrina.
— Selaginopsis
pinaster.
— Serlularella arbus-
cula.
— Sertularella arbus-
cula var. pinnata.
— Serlularella john-
sloni.
|
— Sertularella arbus-
cula.
— Sertularella arbus-
cul«.
M. BEDOT
S. cylindrica BALE 1888 — Synthecium alter-
nans.
S. diffusa ALUMAN 1886
S. divaricata (Busk) 1852 — Sertularella john-
sloni.
S. divaricata
var. sub-dichotoma BALE 1888 — Sertularella john-
stoni.
S. divaricata
var. dubia BALE 1888 — Sertularella john-
stont.
S. ellisi HINCKS 1879 (a) — Sertularella poly-
zonias.
S. formosa FEWKES 1881 (a)
S. fruticulosa PoEPPiG 1884
S. indivisa BALE 1882
S. infracta KIRCHENPAUER 1884
S. johnstoni
var. subdichotoma KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella subdi-
chotoma.
S. laevis BALE 1882
S. limbata ALLMAN 1886 — Sertularella
secunda.
S. longicollis KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella
greenei.
S. longitheca BALE 1888
S. macrotheca BALE 1882
S. margaritacea ALLMAN 1886
S. microgona LENDENFELD 1885 (a)
S. mulleri KIRCHENPAUER 1884
S. novarae MARKTANNER 1890
S. pallida PogpprG 1884
S. patagonica sec. KIRCHENPAUER 1884 — ? Sertularella ru-
gosa.
S. polyzonias
forma gigantea KiRCHENPAUER 1884 — Sertularella polyzo-
nias var. giyantea.
S. polvzonias
forma gracillima KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella poly-
zonias.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
S. polyzonias
forma gracilis KIRCHENPAUER
S. polyzonias
forma robusta KiIRCHENPAUER
S. purpurea
S. pygmaea
S. quadricornis
S. quadrifida
S. ramosa
. reticulata
. rubella
S
S
S. secunda
S. sieboldi
S. solidula
S. sonderi
S. spinosa
S. squamala
S. subdichotoma
S. tilesii
S. tricuspidata
var. acuminata
S. trimucronata
S. trochocarpa
S. unilateralis
S. variabilis
Sertularia
S. abietina
S. acanthostoma
S. actoni
S. amplectens
KIRCHENPAUER
BALE
THOMPSON
HARTLAUB
THoMmPpsoN
KIRCHENPAUER
TILESIUS
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
BALE
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
KIRCHENPAUER
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
BALE
LiNNÉ
LINNÉ
BALE
PHicipPr
ALLMAN
1884
188%
1884
1882
1884
1901
1879
1884
1884
188%
1884
1882
1884
1884
1884
1884
1884
1884
1886
1886
1876 (c)
1888
1748
1758
1882
1866
1886
V.
327
— Serlularella poly-
zonias.
— Sertularella polyzo-
nias var, robusta.
— Serlularella john-
stoni.
— Sertularella john-
stoni.
— Sertularella qua-
dricornuta.
—= Sertularella arbus-
cula.
— Sertularella ne-
glecta.
— Sertularella an-
larctica.
— Abielinaria abie-
tina.
Ind.
—= Sertularia turbi-
nala.
un
un CG
ua
. anguina
. annulata
. aperta
. argentella
. articulata
. bicornis
. bidens
. catena
. clausa
. crenata
. Crinis
. crinoidea
. cylindritheca
. diffusa var.
. digitalis
. diÿmphnae
. distans
. echinocarpa
. evansi
. eœiqua
. Exigua
. exserta
. fertilis
. filicula
. filiformis
. filiformis
(gracilis)
. flosculus
sec.
M. BEDOT
TRASK
ALLMAN
ALLMAN
PENNINGTON
ALLMAN
BALE
BALE
ALLMAN
ALLMAN
BALE
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
MARKTANNER
Busk
BERGH
ALLMAN
ALLMAN
ELLIS et SOLANDER
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
LENDENFELD
ELLIs et SOLANDER
ALLMAN
ALLMAN
THoMmPsoN
1857 — Abietinaria an-
quina.
1888
1886
1885
1888 — Sertularella arti-
culata.
1882 — Serlularia bicuspi-
data.
1884
1888
1888
1884
1886 —= Sertularia opercu-
lata.
1886
1888
1890 — Sertularella dif-
fusa.
1852 — Diphasia digitalis.
1887
1877 (b) — Sertularia lamou-
rouxi.
1888
1786 — Synthecium evansi.
1877 (b) (Non 1888)
1888 —= Sertularella qau-
dichaudi.
1888
1885 (a) — Thuiaria subarti-
culata.
1786 — Abietinaria fii-
cula.
1888
1888 — Sertularia fihfor-.
mis.
1879 — Sertularia turbi-
nata.
CG Ga
nm CA Un tn
(a)
un n CG &
un
. Johnstoni
. geminala
. geniculata
. geniculata
. germinata
. gigantea
. gracilis
. huttoni
. imbricata
: implexa
. inconstans
. Integritheca
. interrupta
. irreqularis
. lagena
. laxa (exigua)
. leiocarpa
+ MACrOCArpA
. Mmaplestonei
. Mmegalocarpa
. Minula
- Mutulata
. ortogonia
(Sertularella)
HISTOIRE DES HYDROÏDES.
sec.
. grandis Allm, sec,
. bumilis
sec.
sec.
BALE
BALE
ALLMAN
LENDENFELD
THOMPSON
ALLMAN
PFEFFER
ALLMAN
MARKTANNER
Busk
ALLMAN
CLARK
ALLMAN
PFEFFER
LENDENFELD
ALLMAN
PFEFFER
ALLMAN
ALLMAN
BALE
BALE
AT.LMAN
BALE
Busk
Busk
polyzonias sec. PFr£FFER
1884
1888
1888
1885 (a)
1884
1888
1890
1886
1890
1855
1888
1876 (a)
1888
1889
1885 (a)
1888
1890
1888
1888
1884
1884
1886
1882
1852
1852
1889
V.
— Sertularia
ducta.
—= Sertularia
nala.
—= Sertularella
ganteua.
329
pro-
gemi-
gt-
— Sertularia filifor-
mis.
Ind.
Ind.
—= Thuiaria
cala.
imbri-
— À bietinaria incons-
tans.
— Sertularella Johns-
lon.
— Sertularella
gena.
— Sertularella
dichaudi.
— Diphasia
lata.
la-
qau-
mutu-
= Synthecium ortho-
gonium
— Sertularella poly-
zonias.
330
Gen.
Fr
2
un
. producta
. producta
(geniculata)
S. pumiloides
un
un
un
S.
S.
S.
S.
. recta
. secunda
. secunda
(unilateralis)
. Simplex
. Subcarinata
. tenuis
. thuiaroides
. tridens
. tuba
. tubiformis
. tubulosa
. typica
. unilateralis
. unilateralis
. variabilis
. Solanderia
fusca
labyrinthica
procumbens
spinosa
Statocodium
sec.
sec.
M.
ALLMAN
ALLMAN
BALE
BALE
CARUS
ALLMAN
LENDENFELD
Busk
BALE
THoMPsoN
LENDENFELD
BALE
EDWARDS
CARUS
LENDENFELD
ALLMAN
ALLMAN
CLARK
BEDOT
DUCHASSAING et
MICHELIN
(GRAY)
(Hyarr)
(CARTER)
(CARTER)
ALLMAN
1888
1888
1882
1882
1884
1888
1885 (b)
1859
1884
1887
1885 (b)
1884
1836
1884
1885 (a)
1886
1888
1876 (a)
1846
1868
1877
1873
1873
1871
— Sertularia pro-
ducta.
— Sertulariaminima.
— Sertularia lamou-
TOUR.
— Sertularella all-
mani.
— Diphasia subcari-
nala.
— Sertularia lamou-
TOUxA.
— Thuiaria thuia-
rioides.
— Sertularella tri-
dentata.
— Synthecium sertu-
larioides.
— Synthecium evansi.
— Synthecium sertu-
larioides.
— Sertularia bispi-
nos«.
— Sertularella all-
mant.
— Abielinaria varia-
bilis.
Supp.
Gen
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Stauridia
S. cerberus
Staurotheca
S. dichotoma
Steenstrupia
S. flaveola
S. rubra
Streptocaulus
S. pulcherrimus
Stylactella
S. abyssicola
S. spongicola
S. vermicola
Stylactis
S. abyssicola
S. arge
S. spongicola
S. vermicola
Symplectoscyphus
S. australis
Syncoryne
S. clavata
S. graeffei
S. (Coryne)
graeffei sec.
S. minima
S. occidentalis
S. radiata
S. rosaria
Synthecium
S. alternans
S. campylocarpum
S. evansi
HISTOIRE
WRIGHT
Du PLESssIs
ALLMAN
ALLMAN
FORBES
FEWKES
FEWKES
ALLMAN
ALLMAN
HAECKEL
HAECKEL
HAECKEL
(ALLMAN)
ALLMAN
HAECKEL
CLARKE
HAEFCKEL
ALLMAN
MARKTANNER
MARKTANNER
EHRENBERG
GRÆFFE
(JICKELI)
GRÆFFE
(LENDENFELD)
FEWKES
(LENDENFELD)
(AGassiz, A.)
ALLMAN
ALLMAN
ALLMAN
DES HYDROÏDES. —
1858
1888
1888
1888
1846
1889 (b)
1889 (b)
1883
1883
1889
1889
1889
1888
1864
1889
1882
1889
1888
1890
1890
1834
1884
1883
188%
1885 (a)
1889 (b)
1885 (a)
1860-62
1871
1888
1888
(ELris et SOLANDER) 1786
V.
— Slauridium.
331
— Coryne cerberus.
— pp. Corymorpha.
— Coryÿmorpha
tans.
— Corymorpha
tans.
— Stylactella
sicola.
nu-
nu-
abys-
== Stylactella spongi-
cola.
— Stylactella vermi-
cola.
— Sertularella.
— Sertularella johns-
ton.
— Syncoryne graeffei.
332 M. BEDOT
S. orthogonium (Busk) 1852
S. ramosum ALLMAN 1886 — Synthecium elegans.
Gen. T'hecocladium ALLMAN 1886
T. flabellum ALLMAN 1886
Gen. Thiarella sec. JICKELI 1883 — Tiarella.
T. singularis sec. JickEeLI 1883 = Tiarella singula-
ras.
Gen. Thuiaria FLEMING 1828
T. acutiloba PogpriG 1884
T. annulata KIRCHENPAUER 1884
T. (Sertularia)
argentea sec. THOMPSON 1884 — Thuiaria argentea.
T. bipinnata KIRCHENPAUER 1884 — Thuiaria subarti-
culata.
T'. cartilaginea KIRCHENPAUER 1884
T. coronata ALLMAN 1874 (e) — Thuiaria coroni-
fera.
T. (Sertularia)
cupressina sec. THOMPSON 1884 — Thuiaria cupres-
sina.
T. (Sertularia)
cupressoides sec. THOMPSON 1887 — Thuiaria cupres-
soides.
T. diaphana ALLMAN 1886 — Sertularella tri-
dentata.
T. dolichocarpa ALLMAN 1876 (b) —Thuiaria zelandica.
T. doliolum PogppiG 1884
T. elegans KIRCHENPAUER 1884
T. heteromorpha ALLMAN 1886
T. hippisleyana ALLMAN 1886 —= T'huiaria zelandica.
T. hyalina ALLMAN 1888 — Sertularella tri-
dentata.
T. imbricata (Busk) 1855
T. interrupta ALLMAN 1886
T. lata BALE 1882 — Sertularella tri-
dentata.
T. lonchitis sec. KIRCHENPAUER 1884 = Thuiaria articu-
lata.
T. monilifera (HuTToN) 1873
«I 071 LL:
Gen.
Gen.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 333
T. neglecta
T. pectinata
T. persocialis
T. personalis
T. pharmacopola
T. polycarpa
T. polymorpha
T. quadridens
T. quadridens
T'. ramosissima
T. salicornia
T. (Sertularia)
similis sec.
. SinuOsa
. veqae
à
T. stelleri
‘
T. vincta
T. zelandica
var. valida
Thyroscyphus
T. simplex
T'. torresi
T. vitiensis
Tibiana
T. fasciculata sec.
T. ramosa sec.
Tubularia
T. britannica
T. gracilis
T. parasitica
PoeppiG
ALLMAN
ALLMAN
KIRCHENPAUER
ALLMAN
PorppiG
ALLMAN
ALLMAN
BALE
ALLMAN
ALLMAN
THOMPSON
BALE
TILESIUS
THOMPSON
ALLMAN
QuEercx
ALLMAN
ALLMAN
(Busx)
MARKTANNER
LAMARCK
BALE
BALE
LINNÉ
PENNINGTON
LENDENFELD
KOROTNEFF
188% — Thuiaria articu-
lata.
1888 — Thuiaria articu-
lala.
1876 (b) — Thuiaria articu-
lala.
1884 — Thuiaria articu-
lata.
1888 — Diphasia alata.
1884
1886 — Thuiaria hetero-
morpha.
1888 — Sertularella qua-
drifida.
1884
1886
1871 — Selaginopsis sali-
corni«.
1887 —= Thuiaria similis.
1888
1884
1887
1888 — Thuiaria quadri-
dens.
1883
1877 (b)
1888 — Thyroscyphus tor-
r'esi.
1852
1890
1816 Supp.
1884 Ind.
1884 Ind.
1758
1885
1885 (a)
1887 *
334 M. BEDOT
T. ralphi HALLEY 1884
T. spongicola LENDENFELD 1885 (a)
Gen. Turris LESSON 1843 Supp.=— p.p. Clavula.
T. neglecta LESSON 1843 — Clavula neglecta.
Gen. Turritopsis Mac CRADY 1859 (a)
T. nutricula Mac CRADY 1859 (a)
T. polynema HAECKEL 1879 — Clavula neglecta.
Gen. Zygophylax Quecca 1885 (a)
Z. profunda QueLca 1885 (a)
Z. tizardensis KIRKPATRICK 1890 (b)
MÉDUSES :
ANTHOMÉDUSES et LEPTOMÉDUSES.
Gen. Aequorea PéRoN et LESUEUR 1809 (a)
A. aequorea MARKTANNER 1890 — Aequorea forska-
lea.
A. Crassa CLAUS 1881 (b) — Polycanna crassa.
A. (Polycanna)
crassa CLAUS 1883 — Polycanna crassa.
A. (Zygodactyla)
crassa CLAUS 1881 (b) — Polycanna crassa.
A. eurodina Péron et Lesueur 1809 (b)
A. eurystoma CLAUS 1883 — Mesonema eurys-
é toma.
A. (Crematostoma)
flava CLaus 1881 (b) — Polycanna flava.
A. forskalea PÉRON et LESUEUR 1809 (a)
A. (Polycanna)
fungina CLaus 1881 (b) — Polycanna fungina..
? Les Méduses, dont on a constaté le développement aux dépens d’une espèce con-.
nue de Polype, figurent dans l’fndex des Polypes. On a mentionné, dans cet Index,
plusieurs Méduses qui ont déjà été citées dans les « Périodes » précédentes, mais dont les.
noms d'auteurs ont dû être corrigés conformément aux règles de la nomenclature.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. —
A. (Polycanna)
germanica CLAUS 1881 (b)
A. (Zygodactyla)
groenlandica CLAUS 1883
A. pensile Esch. sec. CLAUS 1881 (b)
A. (Zygocannota)
purpurea CLAUS 1883
A. (Zygodactyla)
vitrina CLAUS 1881 (c)
Amphinema HABCKEL 1879
À. apicatum sec. Brooks 1883 (a)
À. titania (Gosse) 1853 (a)
Berenice ESCHSCHOLTZ 1829
B. rosea (LAMARCK) 1816
Bougainvillia LESSON 1836
B. coeca METSCHNIKOFF 1886 (a)
Calycidion FEWKES 1882 (b)
C. formosum FEWKES 1882 (b)
Calycopsis FEWKES 1882 (b)
C. typa FEWKES | 1882 (b)
Catablema HAECKEL 1879
C. campanula (FABRICIUS) 1780
Chromatonema FEWKES 1882 (b)
C. rubrum FE&WkEs 1882 (b)
Cladocanna HAECKEL 1879
C. thalassina (Péron et LesuEur) 1809 (b)
Codonium HABCKEL 1879
C. gemmiferum (FORBES) 1848
Cremastoma FEWKES 1889 (a)
C. flava FEWKES 1889
Dicodonium HAECKEL 1879
D. adriaticum GRÆFFE 1884
V.
339
—= Polycanna germa-
nica.
— Polycanna groen-
landica.
— ? Mesonema pen-
sile.
— Zygocannota pur-
purea.
— Zygodactyla vi-
trina.
— Slomoloca rugosa.
— Cylaeis tetrastyla.
Erreur pour : Crema-
lostoma.
— Polycanna flava.
336 M. BEDOT
Gen. Dinematella FEWKES 1881 (b)
D. cavosa FEWKES 1881 (b)
Gen. Dipleuron BROOKS 1882
D. parvum Brooks 1882
Gen. Dipleurosoma Boeck 1861
D. hemisphaericum (ALLMAN) 1874 (F)
D. irregulare HAECKEL 1880 =— Dipleurosoma he-
misphaericum.
D. (Ametrangia)
hemisphaerica METSCHNIKOFF 1886 (b) — Dipleurosoma he-
misphaericum.
Gen. Dipurena Mc CrADY 1859
D. halterata (FoRBEs) 1846
Gen. Eirene ESCHSCHOLTZ 1829
E. gibbosa (Mc CRADY) 1859 (b)
Gen. Epenthesis Mc CRaDy 1859 (b)
E. cymbaloidea (SLABER) 1778
E. maccradyi BROOKS 1888 (b)
E. maculata (FORBES) 1848
Gen. Eucheilota Mc CRADY 1859 (b)
E. quadralis FEWKES 1883
Gen. Eucope GEGENBAUR 1856 (b)
E. annulata LENDENFELD 1885 (a)
E. hyalina LENDENFELD 1885 (b)
E. obliqua Bnooks 1882
E. octona (FORBES) 1848
E. polygastrica METSCHNIKOFF 1872
E. (Phialidium)
variabilis CLAUS 1881 (b) — Phialidium varia-
bile.
Gen. Eucopium HAECKEL 1879
E. quadratum (FORBES) 1848
Gen. Euphysa FoRBES 1848
E. australis LENDENFELD 1885 (a)
Gen. Eutima Mc CRADY 1859
E. cuculata Brooks 1882
E. emarginata Brooks 1882
E. gracilis FEWKES 1881 (b)
E. limpida
AGASSIZ, A.
1869 (a)
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gastroblasta
G. raffaelei
G. timida
. Halitiara
H. formosa
. Halopsis
H. annae
. Hippocrene
H. macloviana
H. mertensi
. Irene
[. (Tima) pellucida
. Laodice
L. (Lafoea) calcarata
. Laodicea
L. calcarata
. Limnorea
L. proboscidea
L. triedra
Lizusa
L. prolifera
Lizzia
L. octocilia
Mabella
M. gracilis
Margelis
M. britannica
M. trinema
Melicertidium
M. octocostatum
. Melicertum
M. (Stomobrachium)
FEWKES
FEWKES
AGASSIZ, A.
METSCHNIKOFF
MERTENS
(LESSON)
AGASSIZ, A.
HAECKEL
CLAUS
HAECKEL
METSCHNIKOFF
LESSON
AGASSIZ, À.
HAECKEL
HAECKEL
PÉRON et LESUEUR
HAECKEL
LENDENFELD
FORBES
. Du PLESssIs
FEWKES
FEWKES
STEENSTRUP
HADDON
LENDENFELD
HAECKEL
(SARS)
ESCHSCHOLTZ
octocostatum M’INrosx
Mesonema
M. bairdi
Microcampana
M. conica
ESCHSCHOLTZ
FEWKES
FEWKES
FEWKES
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916.
HISTOIRE DES HYDROÏDES. EYE
KELLER 1883 (b)
LANG 1886
KELLER 1883 (b)
1882 (a)
1882 (a)
1865
1886 (a)
1834
1836
1865 (c)
1879
1881 (c)
1879
1886 (b)
1843
1862 (a)
1879
1879
1809 (b)
1879
1885 (a)
1846
1888
1881 (b)
1881 (b)
1850
1886 (a)
1885 (b)
1879
1835
1829
1890 (b)
1829
1886
1889 (b)
1889 (b)
ee)
US
1
— Mitrocoma annae.
— Eïirene.
— Eïirene pellucida.
— Laodicea.
—= Laodicea calcarata.
— Limnorea triedra.
— Bougainvillia
ramosa.
— Bougainvillia
ramosa.
— Melicertidium octo-
costatum.
22
398
Gen
Gen.
Gen.
. Mitrocomium
M. annae
Modeeria
M. multitentacula
M. nutricula sec.
Oceania
0. (Tiara) octona
O. polvcirrha
. Oceaniopsis
O. bermudensis
. Octorchis
0. (Eutima)
gegenbauri
. Octorhopalon
O. fertilis
. Urchistoma
O. agariciforme
0. pileus
. Pandea
P. conica
P. minima
P. saltatoria
. Phialidium
P. variabile
P. variabile
var, CONVexa
P. variabile
var. globosa
P. variabile
var. inconspicua
P. variabile
var. sarnica
P. viridicans
M.
HAECKEL
LENDENFELD
FORBES
FEWKES
FEWKES
PÉRON et LESUEUR
M’Ixrosx
KEFERSTEIN
FEWKES
FEWKES
HAECKEL
BROOKS
LENDENFELD
LENDENFELD
HAECKEL
KELLER
(LESSON)
LESSON
(Quoy et GAIMARD)
LENDENFELD
(SARS)
LEUCKART
(CLAUS)
M'Ixrosx
M'IxTosx
M'Inrosa
M'IxrTosa
METSCHNIKOFF
1879
1885 (a)
1846
1881 (b) — Turritopsis nu-
tricula.
1882 (b) — Turritopsis nu-
tricula.
1809 (b)
1889 — Tiara octona.
1862 — Clavula neglecta.
1883
1883
1864
1886
1885 (b)
1885 (b)
1879
1884
1843
1837
1827
1885 (b)
1835
1856
1864
1889 — ? Phialidium va-
riabile.
1889 — ? Phialidium va-
riabile.
1890 (b) — ? Phialidium va-
riabile.
1889 — ? Phialidium va-
riabile.
1886 (a) — Phialidium varia-
bile.
Gen. Plotocnide
P. borealis
Gen. Polycanna
P. americana
P. (Zygodactyla)
crassa
P. groenlandica
P. (Zygodactyla)
groenlandica
P. rissoana
. Polyorchis
P. campanulatus
P. penicillata
. Protiara
P. tetranema
. Pleronema
P. ambiquum
. Rathkea
R. octopunctata
var. rubropunctata
Rathkia
R. blumenbachi
Rheygmatodes
R. globosa
Gen.
Gen.
R. thalassina
Saphenia
S. bitentaculata
Gen.
S. dinema
Sarsia
S. gemmipara
Gen.
S. minima
S. paltersoni
S. (Codonium)
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 339
WAGNER 1885
WAGNER 1885
HAECKEL 1879
FEWKES 1886
FEWKES 1886 — Polycanna crassa.
(PÉRON et LESUEUR) 1809 (b)
FÊWKES 1886 — Polycanna groen-
landica.
CLAUS 1881 (b) — Polycanna italica.
AGASSIZ, À. 1862
(CHamrsso et
EYSENHARDT) 1821
(ESCHSCHOLTZ) 1829
HAECKEL 1879
(Péron et LESUEUR) 1809 (b)
HAECKEL 1879
(LESSON) 1830
HAECKEL 1879 — Rathkia.
GiarD 1888 — Rathkia octopunc-
tata.
BRANDT 1837
(RATHKE) 1835
AGassiz, L. 1862
(ESCHSCHOLTZ) 1829
(PÉRON et LESUEUR) 1809 (b)
ESCHSCHOLTZ 1829
(Quoy et GAIMARD) 1827
(PÉRoN et LESUEUR) 1809 (b)
LESSON 1843
WAGNER 1885 — ? Codonium gemmi-
ferum.
LENDENFELD 1885 (a) — Syncoryne mi-
nima.
HADDON 1886 (a)
1889 — Syncoryne pul-
pulchella M’Ixros
chella.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
S. radiata
S. syncorvne
S. tubulosa
Staurobrachium
S. stauroglyphum
Staurostoma
S. laciniata
Steenstrupia
S. californica
S. gracilis
S. occidentalis
Stomatoca
. apacata
. apacta
un Un
. apicata
un
. periphylla
. Stomotoca
S. atra
S. rugosa
. Tetranema
T. aeronauticum
Thamnitis
T. nigritella
Thaumantias
T. globularis
T. hemisphaerica
T. (Phialidium) va-
riabile var. glo-
bosa
T. (Phialidium) va-
riabile var.
conspicua
in-
M. BEDOT
LENDENFELD
LENDENFELD
(SaRS)
HAECKEL
(PÉRON et LESUEUR)
HAECKEL
(AGassrz, L.)
FORBES
FEWKES
Brooks
FEWKES
NORMAN
BROOKS
Brooks
FEWKES
FEWKES
AGaAssiz, L.
AGASSIZ, À.
MAYER, A.-G.
HAECKEL
(FORBES)
HAECKEL
(FORBES)
ESCHSCHOLTZ
M'Ixrosx
(GRONOVIUS)
M'Inrosx
M'INrosx
1885 (a)
1884 (c)
1835
1879
1809 (b)
1879
1850 (a)
1846
1889 (c)
1882
1889 (b)
1869
1882
1882
1881 (b)
1889 (a)
1862
1862 (a)
1900
1879
1848)
1879
1848.
1829
1889
1760
1889
1889
— Syncoryne
diata.
Ta
— Sarsia tubulosa.
— Steenstrupia occi-
dentalis.
— Stomoloca.
— Stomotoca
T'ugos« .
— Stomoloca rugosa.
— Siomoloca rugosa.
— Stomotoca ptero-
phylla.
9 Phialidium va-
riabile.
? Phialidium va-
riabile.
? Phialidium va-
riabile.
4
Gen
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen.
Gen
. Tiara
T. leucostvla
T'. oclona
l. papua
T. pileata
T. pileata
var. COCCinea
—
. pileata
var. Smaragdina
T. rotunda
Tiaropsis
T. macleayi
l', mediterranea
. Tima
T. bairdi
T. flabellaris
: Turris
T. episcopalis
. Turritopsis
T'. lata
T. nutricula
T. pleurostoma
T. polynema
Waillia
W. occidentalis
Willsia
W. occidentalis
Zygocanna
Z. pleuronota
Z'ygocannota
Z. purpurea
. Zygocannula
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V.
LESSON 1837
METSCHNIKOFF 1886 (b)
(FORBES) 18406
(LESSON) 1843
(FoRskAL) 1775
WAGNER 1885
WAGNER 1885
(Quoyx et Garmarp) 1827
AGaAssiz, L. 1850
LENDENFELD 1885 (a)
METSCHNIKOFF 1886 (a)
ESCHSCHOLTZ 1829
(JOHNSTON) 1833
M'Ixrosx 1890 (b)
LESSON 1837
. FEWKES 1881 (b)
Mc CRraDYy 1859
LENDENFELD 1885 (a)
sec. FEWKES 1881 (b)
(Péron et Lesueur) 1809 (b)
HAECKEL 1879
AGaAssiz, L. 1862
FEWKES 1889 (b)
ForBes 1846
FEWKES 1889 (b)
HAEëCkEL 1879
(PÉRoN et LESUEUR) 1809 (b)
HAECKEL 1879
(Pérox et Lesugur) 1809 (b)
HAECKEL 1879
(Pérox et Lesueur) 1809 (b)
Z. undulosa
341
? Tiara pileata.
— Tiara pileata.
— Tara pileata.
— Catablema
? Tima flavilabris.
vesica-
— Calycidion formo-
— Clavula neglecta.
— Wallsia
occiden-
342 M. BEDOT
LISTE DES CORRECTIONS A FAIRE DANS LES 4 PREMIÈRES
PÉRIODES DES MATÉRIAUX
De nombreux changements apportés à la synonymie des espèces ont été
mentionnés au fur et à mesure de la publication de ces matériaux. Nous
ne les indiquerons donc pas dans cette liste et prions nos lecteurs, lorsqu'ils
consultent dans une des « Périodes » la synonymie d’une espèce, de voir
dans les périodes suivantes si elle n’a pas été modifiée.
Les ouvrages qui, par erreur, n'ont pas été cités dans la période à laquelle
ils appartiennent, sont placés en tête de l’index bibliographique des périodes
suivantes.
Are Période.
P. 401, ligne 15, lire : Groenlandica, au lieu de : Grœenlandica.
» 401 » 416 » (pp. 343 et 442-445), au lieu de : (pp. 442-445).
» 403 » 4 après Gmelin 1788, ajouter la note suivante :
Hopkinson a cherché à déterminer exactement les dates
de publication des différentes parties de la 13° édition du
Systema Naturae de Linxé publiée par GMeLIN. D'après ses
recherches, la partie 6 du vol. 1, dans laquelle se trouvent
les Hydroïides, aurait paru en 1791. Nos lecteurs pourront,
s’ils le jugent nécessaire, mettre cette date à la place de
celle de 1788-1793 que nous avions indiquée pour cet
ouvrage dont les différents volumes ne portent pas de date.
Voir : HopkinsoN, J., Dates of publication of the separate
parts of Gmelin's Edition (13h) of the Systema Naturae
of Linnaeus. In : Proc. Zool. Soc. London (1907), pp. 1035-
1037. London, 1907, 8°.
P. 403, ligne 15, lire : 1789 BerkenHouT, au lieu de : 1795 BERKENHOUT.
» 406 » 2 après la citation de SAvIGNY et AUDOUIN, Explication, etc.
ajouter la note suivante :
Il n’est pas possible d'établir avec précision la date de
publication de cet ouvrage. En effet, le titre du vol. 1 est
* «pil
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 343
daté de 1809 et, en tête de la 4° partie de ce volume, qui
comprend l’explication sommaire des planches par AUDOUIN,
se trouve une note montrant que cet auteur n’a pu com-
mencer ce travail qu'après le 19 mars 1825.
. 406, ligne 7, lire : 1809 (a), au lieu de : 1810 (a).
406 » 9 » 218, au lieu de : 217.
&06 » 412 » 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
408 » 24 enlever les 4 premières lignes de l'appendice.
&13 » 18 lire : 1809, au lieu de : 1810.
WA » 21 » Pasythea, au lieu de : Pasytea.
419, dans les Zoophyta heterohyla, l'accolade est mal placée. Les genres
appartiennent à la famille des Ceratophyla tubulosa.
420, au dessous de : 3, Cellariées, ajouter : Gen. : Lafoea.
-423, lignes 23-24, lire : (Myriophillum) pelagium, au lieu de : (Myriophyl-
lum) pelagicum.
432, ligne 6, lire : Blainville 1830, au lieu de : Blainville 1834.
k33 » 41 » Blainville 1830, au lieu de : Lamarck 1836.
36 - » 4, après 1777, ajouter : p. 3.
440 » 13 et 14, enlever les citations : Dynamena distans AupouIx et.
SAvVIGNY qui doivent être placées à la même page
sous : Dynamena distans [Sertularia lamourouxi].
442, enlever la ligne 19 commençant par : Sertularia pectinata… Cette
indication doit rentrer dans la synonymie de Diphasia
pinnata.
457, enlever la ligne 12 commençant par : ? Cymodocea ramosa... et la
mettre dans les synonymes de Nemertesia antennina.
457, ligne 22, lire : 1809, au lieu de : 1810. |
473, enlever la ligne 7 commençant par : Jameson... et la mettre dans les
synonymes de Sertularia fusca.
481, ligne 28, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
482, lignes 7, 12, 16, 26, 29, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
483 » 3, 12, 18, 21, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
483, ligne 23, lire : Laodicea, au lieu de: Laodice.
484, lignes 10, 11, 12, 23, 31, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
k84k » 12 et 21, lire: Callirhoë, au lieu de : Callirhoe.
485 oo» 2, 11, 24, 25, 31, lire : 1809 (b), au lieu de 1810 (b).
485, ligne 17, lire : Pandea, au lieu de : Pandaeu.
486, lignes 2, 5, 12, 16, 18, 19, 23, 26, lire : 1809 (b), au lieu de :
1810 (b).
34
gà
)
A M. BEDOT
486, ligne 15, lire: Rathkia fasciculala (Péron et Lesueur), au lieu de :
Rathkea fasciculata Haeckel.
487, lignes 13, 14, 33, 34%, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
L88 » 10, 14, 16, 19, 23, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
489, ligne 6, lire : 1816, au lieu de : 1815.
O1 » 412 » 1830, aulieu dé: 1834.
&9% » A1 » Gonothyraea, au lieu de : Gonotyraea.
496 » 143 » Hixcxs, au lieu de : HixKs.
497 » 30 » 1809, au lieu de : 1810.
499 » 2 après: (ELruis et SOLANDER), ajouter : 1786.
499, lignes 22 et 23, lire : 1819, au lieu de : 1820.
503, ligne 32, lire : 1819, au lieu de : 1820.
506, lignes 5 et 34, lire : 1819, au lieu de : 1820.
509, : '».-3,4,/3,78,9, 743; 46, -18::40,-227 26728. lire 2180080
lieu de : 1810.
510, ligne 14, lire : Callirhoë, au lieu de : Callirhoe,
510, lignes 3, 6, 10, 11, 12, 14, 15, 16, lire : 4809, au lieu de : 1810:
D11,.: » 2°22,025, 28:31, 52,39, 34, lire : 1809 an lieu-de-= 19106
512 » 8, 11, lire : 1809, au lieu de : 1810.
13. ». 141,13, 416, 18,26, 28,30, 32, 36,1ire : 1809, au leude:"1840
>13, ligne 23, lire : 1850, au lieu de : 1849.
514, lignes 2, 4, 7, 9, 12,44, 16, 18, 24, 25, 27, 29, 34,35, lire : 4809
au lieu de : 1810.
915, ligne 3, lire: 1809, au lieu de : 1810.
515 » 16 » Rathkia Branor 1837, au lieu de : Rathkea BrAnpr 1838...
2e Période.
2, ligne 15, après Milne Enwanps (1828), ajouter : de Tnompson (1831).
9: » 11. »%222%/ajouter pl" fig. 2'el3.
8, lignes 22 ss, modifier comme suit la citation de BRANDT Prodromus :
1835. Branor, J. F. Prodromus descriptionis anima-
lium ab H. MerTENsIO in orbis terrarum circumnavi-
gatione observatorum. Fasc. 1. In : Rec. Actes de la
séance publique de l’Acad. Sc. St-Pétersbourg, tenue
le 29 décembre 1834, pp. 201-277. St-Pétersbourg,
1835, 40.
9, ligne 12, lire : 1835 Merrens, au lieu de : 1834 MERTENS.
D]
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 345
14, ligne 24, après 234-236, ajouter : pl. 2, fig. 1.
23
48
»
»
dernière, ajouter : Ce travail a été publié à part, comme thèse
de doctorat, à Würzburg, en 1847.
6, après pl. 4, ajouter : fig. 1, 3-13. (Excel. Syn.)
50, enlever la ligne 10 : Laomedea dichotoma TuoMas... qui se rapporte à
Obelia longissima.
53, ligne 19, lire : 1824 (c), p. 202, au lieu de : 1824 (b), p. 202.
D8
62
63
6%
»
26 » 1836, p. 74, au lieu de : 1836, p. 75.
dernière, lire : FaBricios, au lieu de : FaBiaus.
6, lire : fig. 3a— 3g, au lieu de: fig. 3 à, g 3.
dernière, enlever la citation : Syncoryne pusilla BENEDEN, qui
figure déjà à Coryne van Benedeni.
66, remplacer les trois dernières lignes par : OKEN (1817, p. 1541) et Gray
(4843, p. 294) écrivent Dynamene. La Dynamene
abietinoides de Gray est, d’après BALE (1884), syno-
nyme de Sertularia elongata.
69, lignes 27, 29, 32 et 34, enlever les citations de Sertularia pectinata,
qui se rapportent à Diphasia pinnata.
70, ligne 6, enlever la citation de Sertularia peclinata, qui se rapporte à
74
76
85
88
91
92
95
96
103
112
117
121
122
126
Diphasia pinnata.
1, lire : Echinochorium, au lieu de : Echinocorium.
dernière, lire : 1780, p. 441, au lieu de : 1870, p. 444.
14, lire : Echinochorium, au lieu de : Echinocorium.
16, après p. 222, ajouter : pl. 3, fig. 2, 3.
19, lire : 1851, au lieu de : 1850. ;
1 » cocksi (Vigurs), au lieu de : Coksii G. O. Sars 1873.
7 » 1809, au lieu de : 1810.
21 » 477, au lieu de : 447.
25, enlever : pl. 2, fig. 5-11, qui se rapporte à Stylactis
| sarst.
dernière, lire : Hydrallmania, au lieu de : Hgdrallmania.
16, lire : tricuspidala, au lieu de : trucuspidata.
26, supprimer la citation : Sertularia fastigiata FABricius, qui se
rapporte à Thuiaria fabricir.
25, supprimer la citation : DaLyELL 1847-48, qui se rapporte à
Thuiaria cupressina.
28, supprimer la citation : JonnxsroN 1847, qui se rapporte à
Tubularia simplex. :
127, lignes 32 et 33, mettre un ? avant Tubularia calamaris.
346 M. BEDOT
P.198, ligne 34, supprimer la citation : Tubularia muscoides Thompson, qui se
rapporte à Coryne muscoides.
136 » 14, lire : Laodicea, au lieu de : Laodice.
137 » 12 » Laodicea, au lieu de : Laodice.
164 » 4 » Gen. Dynamene OKEN 1817, au lieu de: GRAY 1843.
161 » 9 » Echinochorium, au lieu de : Echinocorium.,
164 » 926 » 1809, au lieu de : 1810.
174, lignes 12, 23, 32, lire : 1809. au lieu de : 1810.
175 » 16, 24, lire : 1809, au lieu de : 1810.
175 » 31,32 » 1835, au lieu de : 1834.
176, ligne dernière, lire : 1809, au lieu de : 1810.
177, lignes 10 et 12, lire : 1835, au lieu de : 1834.
178, ligne 8, lire : 1809, au lieu de : 1810.
178, lignes 26 et 28, lire : 1835, au lieu de : 1834.
179 » 1 et 6 » 1809. au lieu de : 1810.
180 » 14, 15 et.39, lire : 1835, au lieu de : 1834.
ABLE » 3, 143 et14 » 1835, au lieu de : 1834.
3e Période.
. 202, ligne 8, lire : Art. 5, au lieu de : Art. 6.
211 » 8 » parasitism, au lieu de : parasitisme.
222 op» 24 » Hixcxs, au lieu de : Hinxs.
241 » 13, après : p. 39, 40, 82, ajouter : pl. 2, fig. 4.
AR: 22 DAT fig. 2, ajouter : et pl. 64, fig. 3.
247 » A1, lire: Eudendrium, au lieu de : Endendrium.
248 » 11 » 1856, au lieu de : 1856 (a).
254 5 A9: 5 phil, fig. h-7, atheu de: pl, 6,9:
294. 5 45. pl fie. MAret 2 raulieu de pl AE
256 » A1 » Campanularia integra. au lieu de : Campanularia
neglecta.
271 » 14 après: Allman, ajouter : 1844.
277 » 21 » Syncoryne, au lieu de : Syncaryne.
280, lignes 6 et 7, lire : Joaxson, au lieu de : JOHNSTON.
288, ligne 10, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a).
298 » 4 » Taomson, au lieu de : THOMPSON.
304» 1 » Gonothyraea, au lieu de : Gonothryraea.
308 » 22 » 1874, au lieu de : 1883.
309 » 10 » 1874 (b), au lieu de : 1883.
NT CRT EN
316
»
à)
»
HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 34
En |
. 310, ligne 10, lire : Halybotrys, au lieu de : Halybothrys.
Hydra, au lieu de : Hydrea.
330, enlever la ligne 14 commençant par Cymodocea ramosa…
333, ligne 24, lire : 1809, au lieu de : 1810.
338
339
343
343
12
23
19
22
Forbes, au lieu de : Farbes.
Là au lieu de : 35.
297, au lieu de : 397.
1860, au lieu de : 1862.
343, lignes 23 à 26, à remplacer par : L. AGassiz (1860-62, vol. 3, p. 45,
46) a donné une courte diagnose des genres Parypha
et Thamnocnidia, qui rentraient dans la famille des
Tubularidae (ibid, vol. 4, p. 342). Ces genres n’ont
pas été adoptés, les espèces.
399, ligne 8, après : synonymie, ajouter : ainsi que l’avait déjà fait remar-
374
383
387
387
41%
»
24
11, lire :
26
27
6
»
»
»
»
quer Hincxs (1872 (c), p. 391).
Hincxs (1868), ajouter : THompson, D’A. W. (1879).
GEGENBAUR, au lieu de : GKGENBAUR.
1860, au lieu de : 1862.
vol. 3, p. 45, 46, au lieu de : vol. 4, p. 342.
Thaumantias, au lieu de : T'haumautias.
415, lignes 29 et 30, lire : pl. 9, fig. 9 et 10, au lieu de : pl. 8, fig. 18.
416, ligne 21, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a).
dernière, lire : 1856, au Jieu de : 1856 (a).
15, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a).
417
418
419
419
)
»
»
13
14
)
»
1856, au lieu de : 1856 (a).
Tima gibbosa, au lieu de : Timagibbosu.
420, lignes 17 et 18, lire : 1856, au lieu de 1856 (a).
428, ligne 8, lire : reridicans, au lieu de : viridiscens.
428, lignes 8, 9, 10, lire : 1856, au lieu de 1856 (a).
428, ligne 30, lire : Phialidium, au lieu de : Philidium.
431
436
»
»
7
2
»
»
1856, au lieu de : 1856 (a).
1856, au lieu de : 1856 (a).
439, lignes 24, 25, 26, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a).
454, ligne 13, lire : ALLMAN, au lieu de : Hixcxs.
457
458
460
»
»
29
»
turricula, au lieu de : turricola.
23 remplacer : Ind. par — Halecium puxillum.
29 lire: —= Nemertesia tetrasticha, au lieu de : ? Nemertesia
Tamos«a.
37 » Cymodocea, au lieu de : Cynodocea.
348 M. BEDOT
. 466, lignes 6, 22, 23, lire : 1809, au lieu de : 1810.
466, ligne 31, lire : 1860, au lieu de : 1862.
468 » 34 » Aglaophenia angulosa, au lieu de : Plumularia angulosa.
470, lignes 21 et 22, lire : THoMSoN, au lieu de : THoMPsoON.
476, ligne 10, lire : 1860, au lieu de : 1862.
479 » 3 » 1809, au lieu de : 1810.
480 » 26 » 1867. au lieu de : 1866.
81 » 31 » EÉpenthesis, au lieu de : Epeuthesis.
482 » 21 » 1809, au lieu de : 1810.
183 » 412 » 1809, au lieu de : 1810.
8h » 30 » 1809, au lieu de : 1810.
L85 » 3 » 1809, au lieu de : 1810.
4e Période.
. 217, lignes 26 à 28. Le titre du mémoire d'ULyaniN, 1872, doit être mis
entre parenthèses.
258 » 11 et 13, lire : fruticosa, au lieu de : fruclicosa.
259, ligne 22, lire : Hippocrene, au lieu de : Hyppocrene.
259, lignes 25 et 27, lire : Calathophora, au lieu de : Calatophora.
277, ligne 12, après : Allman, ajouter : 1844.
282 » 1 enlever : 1866.
300, ligne 23, lire : 1874, au lieu de : 1876.
300 » 26 » 1874, au lieu de : 1876.
300 » 27 » (1874 (b), p. 476), au lieu de : 1876 (b), p. 276.
301 » A1 » insignis, au lieu de : instgnis.
322 » 21 » (Linné), au lieu de : Lamouroux.
324 » 9 après KIRCHENPAUER, ajouter : 1876.
326 » 16 lire 1809, au lieu de : 1810.
346 » 4 » Rhizocline, au lieu de : Rhizoclina.
394 » 29 » Mereschkowsky, au lieu de : Meretchkowsky.
361, enlever la ligne 28 commençant par : Sertularia flosculus THOMPSON,
1879... qui se rapporte à Sertularia turbinata.
370, au dessous de la ligne 10, ajouter : Voir: Matériaux III, p. 381.
372, ligne 21, lire : Codonium, au lieu de : Codomium. A
373 » 16 » 1871, au lieu de 1876.
373, au dessous de la ligne 16, ajouter : Voir: Matériaux III, p. 387.
383, » » à, ajouter: Voir: Matériaux III, p. 394.
389, » » 1, ajouter: Voir: Matériaux LIT, p. 406.
ÉTPIRRTS
410
mb)
DR TEA)
» à
HISTOIRE
Lizzella, au lieu de
DES HYDROÏDES. — V.
. MO, ligne 6, lire: Lizusa, au lieu de : Lizusia.
: Lizella.
Modeeria, au lieu de : Mooderia.
418, enlever la ligne 24 commençant par : ? Eucopa polygastrica.… qui se
463
D 22 0)
» »
DR 29 /r
DID)
DAS)
D 2600
rapporte à une espèce distincte (voir: Mat. V).
Calathophora, au lieu de : Calatophora.
1809 (a), au lieu de
1809 (b), au lieu de
1809 (b), au lieu de
Modeeria, au lieu de : Mooderia.
1809 (b), au lieu de
: 1810.
: 4810.
: 1810 (b).
: 4810.
464, lignes 2, 3, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810.
465, ligne 7, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b).
465
DATE)
Spirocodon, au lieu de : Spirodon.
cu É
DR A F7
s AE
ne LA
: DE
REVUES SUTSSE DE ZOUMOGTrE
Vol. 24, n9 2. = Février 1916.
Anomalie de l'appareil buccal
d’'Ascaris megalocephala
PAR
Emile ANDRÉ
Genève
Avec 2 figures.
L'individu présentant la curieuse anomalie décrite ci-dessous
faisait partie d’une famille de 37 Ascaris megalocephala, de
l'intestin d’un Cheval abattu à Genève, en février 1916. Cet
individu était du sexe femelle : il mesurait 245"" de longueur,
c'est-à-dire qu'il était de dimensions moyennes. L’intestin
était normal et les organes génitaux, en particulier les tubes
_ovariens, étaient bien développés. L’anomalie consiste dans le
fait que les trois lèvres, ou mâchoires, sont remplacées par
quatre appendices en forme de languettes. Ceux-ci sont aplatis,
le grand axe de leur section transversale étant tangent à la
surface du corps ; ils sont larges, à la base, de 2"" environ, et
vont en s'atténuant graduellement jusqu'à l'extrémité libre qui
est filiforme. Leur longueur est de 14 à 15". La mâchoire
impaire dorsale et la mâchoire droite sont remplacées chacune
par un appendice (fig. À, 1 et 2) mesurant, le premier, 15", le
deuxième, 14"" ; la mâchoire gauche est représentée par deux
appendices (fig. À, 3 et 4), de 14"" de long, dont l’un est interne
et l’autre externe. Au milieu de ces appendices s'ouvre la bouche
qui est presque béante.
Rev. Suisse DE Zooc. T. 24. 1916. 23
DD2 L. ANDRÉ
Lorsque l'animal était frais, les appendices étaient mous et
souples et ils n'étaient pas étendus parallèlement entre eux,
mais diversement contournés. L’Ascaride n’a certainement pas
été capable, étant donné la consistance de ces prolongements,
d'attaquer la muqueuse de l’intestin de son hôte, soit pour se
nourrir, soit pour se fixer. Il a dû se contenter, pour son alimen-
tation, du contenu de l'intestin de son hôte, ou des produits de
A
F16. A. — Extrémité antérieure anormale d'Ascaris megalocephala. Gross.
2 fois ; 1, appendice remplaçant la mâchoire droite ; 2, appendice rempla-
çant la mâchoire dorsale ; 3 et 4, appendices remplaçant la mâchoire gauche.
Fic. B. -- Coupe transversale d’un des appendices. Gross. 25 fois ; 1, cuticule
et hypoderme; 2, muscles longitudinaux. (Le dessin au trait se prête mal à la
représentation exacte des stries des éléments musculaires ; celles-ci devraient
être beaucoup plus fines et plus serrées.)
sécrétion ou de désagrégation de la muqueuse du tube digestif.
On admet que, à l'encontre de ce que l’on peut constater chez
d’autres représentants de ce genre, l’Ascaris megalocephala ne
se nourrit pas du sang de l'animal qu'il parasite ; cela semble
être confirmé par les considérations ci-dessus. En effet, si la
conformation anormale de la bouche de lindividu que nous
décrivons, l'avait empêché de se nourrir comme ses congénères,
cela se serait fort probablement traduit par des dimensions
au-dessous de la normale, où par un moindre développement
des organes génitaux. |
ASCARIS MEGALOCEPHALA 399
Les appendices buccaux de notre Ascaride étaient finement
mais nettement striés dans le sens de la longueur, surtout sur
leur face interne. Cette striation s'explique par la faible épais-
seur de la cuticule qui lui permet de mouler exactement les
fibres musculaires longitudinales qui remplissent ces appen-
dices. Si l’on pratique une coupe (fig. B) au travers de ceux-ci,
on constate, en effet, que la cuticule est si ténue qu’elle est
presque imperceptible ; de même la couche hypodermique est
énormément réduite. Cette ténuité de la couche cuticulaire
rend très plausibles la mollesse et la souplesse de ces appen-
dices. Comme on peut le voir sur la fig. B, les muscles consti-
tuent presque toute la masse des appendices. On voit aussi que
la partie contractile des éléments musculaires forme partout,
non pas une gouttière, mais un Canal, comme si, dans ces appen-
dices, ne se trouvaient que les prolongements des éléments
musculaires du corps et non pas des éléments complets.
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
Vol. 24, n° 3. — Février 1916.
Le problème de l'orientation lointaine
chez les Fourmis
et la
doctrine transcendentale de V. Cornetz
PAR
R. BRUN, D' Méd.
(Zurich).
Dans deux travaux récents, V. Corxerz ! relate quelques expé-
riences fort intéressantes concernant la faculté d'orientation
nocturne chez la Fourmi Tapinoma nigerrimum Nyl. En inter-
prétant ces expériences, et surtout dans une introduction théo-
rique précédant le premier de ces travaux, l’auteur revient
encore sur sa théorie d’un sens spécial, purement interne, perce-
vant des directions absolues de l’espace, en critiquant spéciale-
ment, cette fois, certaines opinions que j'ai développées dans
ma récente monographie ?. Je remercie Cornerz des compli-
ments qu’il a bien voulu me faire à cette occasion, mais j'aurais
! Corwerz, V. I. Observations nocturnes de trajets de Fourmis. Rev. Suisse
de Zool., vol. 22, p. 583, 1914.
— II. Fourmis dans l'obscurité. Arch. de Psych., XIV, p. 342, 1914.
? Brun, R. Die Raumorientierung der Ameisen und das Orientierungsproblem
im Allgemeinen. (Gustav Fischer). Iena, 1913.
Voir aussi, du même auteur : Das Orientierungsproblem im Allgemeinen
und auf Grund experimenteller Forschungen bei den Ameisen. Biol. Centralbl.,
35, p. 190, 1915.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916, 24
356 R. BRUN
préféré le voir suivre le fil de mes argumentations de point en
point. Tout en rejetant mes opinions qui différent des siennes,
il ne fait cependant que reproduire les mêmes anciens argu-
ments de ses nombreux écrits, ignorant complètement
les nombreuses contre-expériences que j'ai opposées
à sa doctrine transcendentale.
Ceci m'oblige à une réplique. Je parlerai seulement des
divergences que CoRNETz a spécialement mentionnées dans ses
deux travaux cités. Elles concernent :
1. La mémoire des lieux, le tournoiement de TurNER, la
théorie des « lieux connus » et la vision de grands objets loin-
tains de la part des Fourmis.
2. Les nouvelles expériences de CorxerTz et leur interpréta-
tion.
3. Le rôle des sensations kinesthésiques et d’un prétendu
« sens statolithique » dans l’orientation des Fourmis.
4. Enfin le côté philosophique du problème.
Je me suis prononcé, dans mon livre, en faveur d’une vraie
mémoire associalive des lieux, existant, au moins, chez les
Fourmis supérieures. Ma conclusion était fondée sur une analyse
détaillée de nombreux faits que j'ai observés moi-même ou que
lon trouve dans la littérature. Certaines de ces observations
me paraissaient aussi confirmer l'opinion de Sanrscur' et d’au-
tres, que les Fourmis (comme du reste les Abeilles) n’appren-
nent que peu à peu à connaître les environs de leur demeure ?,
1 Sanrscoui, F. Comment s’orientent les Fourmis. Revue suisse de Zool.Tome 21,
p. 411, 1913.
? A l'endroit cité par Cornerz (p.142) j'ai écrit textuellement : « Die nähere und
fernere Umgebung ihres Nestes » ; voulant indiquer par ces comparatifs mêmes
l'étendue relativement restreinte de cette connaissance acquise des lieux.
Or, il paraît que je n'ai pas su me faire comprendre de M. Cornerz comme je
l'aurais désiré, puisqu'il traduit mes mots par «...les environs proches et loin-
tains de leur demeure..., » ce qui donnerait à ma phrase une signification beau-
coup plus absolue et générale que je ne le voulais. un
F-
)
FOURMIS 97
©
au cours de voyages d'exploration répétés souvent, et de plus en
plus étendus (« Orientierungsreisen »). Or, selon CorNErTz(l. c.,
n° 1), cette opinion ne serait qu'une croyance vulgaire touchant
un peu à l’anthropomorphisme et depuis longtemps réfutée par
ses expériences sur le tournoiement de Turxer ’. Tout en don-
nant un résumé assez circonstancié de ces dernières expé-
riences, CoRxeTz ne tient cependant aucun compte des obser-
vations positives parlant en faveur de mes opinions ci-dessus
citées et que j'ai mentionnées en plusieurs endroits de ma
monographie. Ainsi, à la page 141 de mon livre, j'ai attiré lat-
tention du lecteur sur la curieuse conduite que l’on peut obser-
ver chez les Fourmis, quand leur nid a été subitement enlevé
et transporté dans un endroit nouveau, loin de emplacement
primitif. Rien de plus suggestif alors que l'observation des pre-
mières sorties des petits bourgeois auxquels on a joué ce tour.
Après avoir longtemps hésité à l'entrée même {si c'est un nid ar-
tificiel) ou sur le matériel entassé de leur demeure, on les voit
enfin sortir par flots. Tout en s’éparpillant dans les directions les
plus variées, les Fourmis ne s’avancent cependant que pas à pas,
les antennes en l'air comme pour flairer et se retournant à
chaque instant en reculant un peu, paraissant vouloir se graver
dans la mémoire les différents aspects de la scène. Ainsi, les
Fourmis ont l’air d'explorer méthodiquement d’abord, par des
petites poussées collectives, la région proche du nid, avant de
s’aventurer plus loin, de sorte que, pendant les premiers
jours qui suivent un tel déplacement artificiel, on ne réussit
jamais à trouver des exploratrices isolées allant faire un voyage
lointain et à des distances considérables. Une conduite tout à
fait analogue s’observe aussi dans les premières sorties des
Fourmis au printemps, ou encore quand on met un nid artificiel
en communication avec un long couloir en verre ou avec une
table à expériences. Ce dernier cas a été décrit et analysé par
1 Turner. In : Journ. of comp. Neurol. and Psychol., Chicago 1907, fut le pre-
mier à diriger l'attention sur le fait que les Fourmis rentrant d'une excursion
lointaine vont fréquemment tournoyer longuement à deux pas de leur trou avant
de le retrouver.
358 R. BRUN
Ch. Enxsr ! chez la Formica pratensis. En lisant l’intéressant
travail de cet auteur, on ne peut s'empêcher d’être frappé par
l’étroite analogie du phénomène en question avec le vol d’orien-
tation des jeunes Abeilles, connu chez les apiculteurs de
langue allemande sous le nom de « Vorspiel ». Or, depuis les
belles expériences de v. BuTrEL-REEPEN *, FOREL* et autres, on
sait que les Hyménoptères ailés à demeure fixe s’orientent à
l’aide de la vue, soit à l’aide d’une mémoire visuelle des
lieux, successivement acquise et toujours enrichie par des asso-
ciations nouvelles. Le « Vorspiel » n’est que le premier anneau
dans cette chaîne associative ininterrompue, acte instinctif dont
le but est l'acquisition d’un certain nombre d’engrammes indivi-
duels, représentant, dans leur ensemble, une connaissance rela-
tive (quoique extrêmement limitée) du monde environnant.
Donc, ayant constaté un phénomène tout à fait analogue chez les
Fourmis, on ne se trompera guère en l’interprétant de la même
manière. CORNETZ (1, p. 594) fait valoir contre cette interpréta-
tion le fait que les Tapinoma font souvent la première étape de
leurs excursions lointaines sur une voie commune avant de se
séparer pour faire des voyages isolés. Mais c’est là évidemment
un fait secondaire, qui n’a rien à voir avec le phénomène que je
viens de décrire et qui est précisément caractérisé par
l’absence de toute excursion lointaine durant une assez longue
période initiale.
L'existence du « voyage d’orientation » chez les Fourmis m'a
paru être un argument contre la théorie de Corxerz. En effet, si
les Fourmis étaient capables de revenir à coup sûr d’un endroit
quelconque, à l’aide d’une donnée sensorielle interne de direc-
tion pure, elles n'auraient évidemment pas besoin d’une explo-
ration méthodique, de loin en loin, des environs de leur nid. -
! Erxsr, Ch. Xritische Untersuchungen über die psychischen Fähigkeiten der
Ameisen. Arch. f. d. gesamte Psychologie, 1914.
? v. Burrec-Rexpen. Sind die Bienen Reflexmaschinen ? Biol. Centralbl., 1900.
— Leben und W’esen der Bienen. Braunschweig, 1915.
3 Fonec. Expériences et remarques critiques sur les sensations des insectes.
Riv. di Se. biol. IL et 111, 1900-1901. — Das Sinnesleben der Insekten. München
(Reinhardt), 1910.
FOURMIS 399
Cette objection m'est retournée par CorNETz (I, p. 594). Il répond
à son tour que « justement, la constatation de cette faculté de
l’œil-boussole devrait avant tout modifier lopinion anthropo-
morphique supposant la nécessité d’une connaissance acquise
progressivement avant d'aller au loin. » Après quoi, CoRNETz
cite le cas des Messor, qui, revenus à proximité du nid, d’une
course lointaine de 25 à 30 mètres dans « l’inconnu », vont errer
lamentablement à deux pas de leur trou (Phénomène de TURNER),
là où leurs deux moyens d'orientation, agissant séparément ou
conjointement, lœil-boussole et le « sens des attitudes » {soit
le sens de direction absolue) ne leur servent plus à rien.
Or, on se rend facilement compte que les Fourmis, même dans
leurs voyages isolés, loin du nid, ne se trouvent que très rare-
ment dans « l’inconnu » dans le sens absolu du mot, livrées
exclusivement à leur boussole optique ou encore au sens mysté-
rieux de CorNETz. On aime à citer comme preuve d’une pareille
supposition le phénomène de PréRox ': la marche parallèle ou
conservation de la direction ancienne après transport latéral.
Mais comment se fait-il alors que ce phénomène fasse
presque régulièrement défaut(mêmechezles Fourmis
psychiquement inférieures), lorsque le transport laté-
ral a eu lieu en un terrain essentiellement dissemblable
à celui de l’emplacement primaire ? Dans la très grande
majorité des cas, les Fourmis se montrent alors complètement
désorientées, au lieu d'exécuter la marche parallèle de PrÉRoN,
comme elles le font lorsque l'emplacement secondaire est sem-
blable au premier. À mon avis, ce fait négatif est une preuve
indiscutable que les Fourmis, dans leurs voyages loin-
tains, font usage aussi de certaines données mnémi-
ques générales relatives aux propriétés topochimi-
ques et visuelles du terrain parcouru, — nolions qui se
coordonnent en s’associant au repère fourni par l’œil-boussole,
contribuant ainsi, dans une certaine mesure, à l’orientalion de
la petite bestiole isolée. Ce n’est qu’en cas d'absence complète
! Bull. Inst. gén. Psychol., 190%.
360 R. BRUN
de tout repère topo-visuel différencié que le mécanisme de
Sanrscui1 fonctionne seul, mais ce cas simplifié est si rarement
réalisé dans la nature que j'avais été obligé d’en créer artifi-
ciellement les conditions afin de pouvoir étudier isolément la
puissance pure de la faculté de l'œil boussole ou encore de la
faculté olfactive. Il y a aussi lieu de croire que ces notions
mnémiques générales du terrain parcouru ne résultent pas uni-
quement de l'aller récent, mais qu’elles ont été successive-
ment acquises au cours de nombreuses excursions antérieures,
faites dans la même direction.
En tout cas, il faut convenir avec Sanrscui que la preuve
certaine que telle ou telle Fourmi, voyageant seule aux envi-
rons du nid, se trouve en terrain inconnu pour elle, ne pourra
être établie que très exceptionnellement.
En passant maintenant à l’analyse expérimentale du
tournoiement de Turner, si bien faite par CoRNETz ! et
citée par lui contre l'opinion en question, il y a lieu de constater,
tout d’abord, que ces expériences, loin de fournir un argument
contre l'existence d’une mémoire des lieux chez les Fourmis,
la confirment plutôt, tout en ne permettant aucune conclusion
sur la manière dont cette connaissance relative des lieux a été
acquise.
L'expérience de Counerz consistait à capturer des Fourmis à
l'entrée de leur nid et à les transporter ensuite en un lieu quel-
conque, à une distance de plusieurs mètres. Il est vrai que
Cornerz, avec des Fourmis à courte vue indistincte (Fourmis
qu'il qualifie, non sans raison, d’ « espèces inférieures »), obte-
nait, à de rares exceptions près, des résultats négatifs, vu
que ces Fourmis, après un tel «transport primaire », n’exécu-
taient que des tournoiements déréglés et ne retrouvaient leur
trou que par pur hasard. Chez les « espèces supérieures », à
1 Cornerz. Texte explicatif de l'album faisant suite aux trajets de Fourmis,
p. 1-8, Mém. Inst. gén. Psychol., Paris, 1912. k
— La connaissance du monde environnant pour une Fourmi d'espèce supé-
rieure. Rev. des Idées, 1912,
— De lu durée de la mémoire des lieux, ete. Arch. de Psychol., 1912.
FOURMIS 301
vue relativement distincte, le résultat est différent. Ici, lon voit
presque toujours, après un court trajet initial plus ou moins
méandrique, se produire un acte de soudaine reconnais-
sance, de sorte que la Fourmi, en un endroit quelconque
qui, le plus souvent, ne diffère en rien de son entourage, va
tout à coup se diriger droit vers le nid. Capturée de nouveau à
l'entrée de celui-ci et replacée en ce « lieu connu C1 », elle s'y
reconnait de suite, prenant de nouveau la direction à peu près
exacte vers le nid. En la reportant maintenant à un point inter-
médiaire (J) du trajet C& — N qu'elle venait de parcourir (point
qui peut même être rapproché jusqu'à un mètre du lieu connu
C1), on la voit de nouveau livrée au hasard, errant çà et là, jus-
qu'à ce qu’elle ait trouvé un second lieu connu C2 où le phéno-
mène de reconnaissance (prise de la direction vers N) se repro-
duit.
Corxerz croit devoir conclure de ces résultats que même Îles
Fourmis supérieures n’ont qu’une connaissance très imparfaite
de la région proche de leur gîte; mémoire discontinue
« comme un petit catalogue de lieux connus C isolés dans l'in-
connu. À chaque image visuelle d’un tel lieu s'associe le sou-
venir de la direction à peu près exacte C — N. »
J'ai fait deux objections à cette interprétation (1. €., p. 156).
Premièrement, la supposition que les Fourmis puissent fixer
des images visuelles différenciées d’un petit lieu quelconque,
situé par exemple au milieu d’une place déserte et ne différant
en rien de son entourage, cette supposition, dis-je, m'a paru
extrémement invraisemblable.
Puis, je me suis efforcé de démontrer qu'une pareille con-
naissance locale isolée, même si elle existait, devrait être par-
faitéement inutile à la Fourmi pour s'orienter vers un second
lieu N. Logiquement, la prise d’une direction ne peut résulter
que d’un acte d'association sensorielle du point de départ avec
le point final du voyage à exécuter !; cette association peut être
1 C'est au fond l’axiome géométrique disant qu'une ligne est déterminée
par deux points au moins.
362 R. BRUN
directe ou indirecte, au moyen de points de repères intermé-
diaires. Supposer la possibilité d’une mémoire pour la
prise d’une direction absolue de l’espace, non déter-
minée par des points de repère, revient donc à préco-
niser une hypothèse transcendentale (métaphysique)
inconcevable à la raison logique et inadmissible en
science.
La première objection n’est pas même prise en considération
par CoRNETZ. Quand à la seconde, il la reconnait irréfutable,
n'essayant guère de la contester et déclarant seulement que ce
phénomène de réorientation en un lieu C lui avait paru telle-
ment énigmatique qu'il s'était cru obligé de recourir à une
hypothèse métaphysique. Or, j'ai donné une explication simple
du phénomène en question, en suggérant que ladite réorienta-
tion mystérieuse en ces « lieux connus C » n’est pas, dans la
plupart des cas, due à une reconnaissance de ces lieux-mêmes,
mais plutôt à la réidentificalion visuelle de certains grands objets
lointains auxquels la position relative du nid est associée.
Corxerz, préférant toujours son hypothèse transcendentale, me
réplique que cette supposition ne lui expliquerait pas pourquoi
cette reconnaissance ne s’effectuerait que dans un lieu restreint
C et non pas en un lieu J tout rapproché de C et intermédiaire
du trajet C — N que les Fourmis venaient de parcourir. Il paraît
donc lui avoir échappé que j'ai prévu cette dernière objection
et y ai répondu quelques lignes plus bas, à la page 156 de mon
livre, où j'ai textuellement écrit : « ...Und der Umstand, dass
die plôtzliche Richtungsänderung nur an ganz bestimmten
Punkten erfolgt, kônnte damit zusammenhängen, dass das
betreffende Objekt nur solange erkannt und mit der Lage des
Nestes assoziiert wird, als es unter einem ganz bestimmten
Gesichtswinkel erscheint... » J'ai comparé l'effet produit par des
objets lointains (arbres, murailles, etc.) proches du nid à Pelfet
du phare indiquant de nuit au marin la position du port. Il va
sans dire, cependant, que la réidentification visuelle d’un tel
objet, plus ou moins sombre et indistinctement perçu (quoique
ayant une forme définie par comparaison à une simple zone lumi-
FOURMIS 363
neuse), demandera une concentration aperceptive beaucoup plus
élevée que l'orientation sur un centre lumineux, tel que le soleil.
IL est du reste fort probable qu’il s'agit souvent, dans ce cas, plu-
tôt de reconnaissance d’une constellation, c’est-à-dire d’un
ensemble de plusieurs objets lointains, formant un groupement
caractéristique, que de récognition d’un seul repère. Quoi qu'il
en soit, on fera bien de se rappeler que l'acte psychique de
la reconnaissance différenciée (homophonie mnémique de
SEMON !) est toujours un phénomène relativement complexe.
IL résulte d’une représentation interne de plusieurs impressions
(engramimes)associées, dont la réalisation («ecphorie»)ne dépend
pas seulement de la vivacité des engrammes en jeu, mais en-
core de bien d’autres circonstances accessoires, comme : degré
de perturbation de la bête lors du transport, son activité psychi-
que générale à ce moment, etc., bref, de cet ensemble de
circonstances diverses que SEMON a désigné sous le terme de
« situation énergétique générale, externe et interne. » Ainsi
s'explique le fait que l’on est quelquefois surpris par une réaction
négative de la part d’une Fourmi que l’on croit avoir replacée
exactement dans la même situation que celle d’une première
expérience.
D'autre part, il ne faut pas non plus oublier qu’à cette limite
inférieure de l’activité cérébrale plastique, telle qu’elle est repré-
sentée par les Insectes sociaux, même les associations indivi-
duellement acquises s'effectuent dans des voies extrêmement
bornées. Attachées, le plus souvent, à des situations étroite-
ment déterminées, elles ne peuvent se réactiver qu’à condition
que ces situations spécifiques se reproduisent au complet.
Une légère dissemblance suflira souvent pour arrêter net un tel
automatisme secondaire qui, en tant qu'il ne laisse qu'un jeu
minime à cette association combinée connue chez l’homme
sous le terme de « représentation raisonnée », affecte quelque-
1! Skmox. Die Mneme. Leipzig, 1908 (2, Ed.). La terminologie exacte et neutre
de SemMoN me parait particulièrement bien convenir à la psychologie comparée
en tant qu'il s'agit de la désignation des phénomènes mnémiques.
364 R. BRUN
fois le caractère des « réflexes conditionnels » de PAwLow et
de KALISCHER !.
Pour en venir aux exemples, il me suflira de citer les trois
cas suivants, que J'ai observés plus d’une fois au cours de mes
nombreuses expériences de contrôle et qui démontrent que
les choses ne se passent pas toujours aussi schématiquement
que CorneTz veut bien nous le faire croire. En effet, il n’est
pas rare que l’on puisse observer les faits suivants :
1. Des Fourmis capturées près du nid, ou sur un parcours
collectif, ou encore en voyage isolé, et transportées en un lieu x
tout à fait quelconque, s’y reconnaissent de suite, courant
droit vers le nid, sans tournoiement préalable. (Voir dans mon
livre les observations 36, 1 b et d, p. 168, et 36, 4 y, p. 173.)
2. Par contre, d’autres, après un tel transport, paraissent
complètement désorientées au premier abord, mais, reve-
nues par hasard, au cours d’un tournoiement excen-
trique, en ce même lieu inconnu de tout à l’heure, s’y
reconnaissent cette fois, et prennent la direction du
nid:(O0bs.:30"#6€,-p."173.)
3. Enfin, il arrive parfois, qu'une Fourmi reportée en un
« lieu connu C » où elle avait fait acte de reconnaissance tout
récent, ne s y reconnaît plus celte fois, mais se met à tournoyer
au hasard. (Obs. 40, b 6, p. 192.)
De tels résultats paradoxaux d’une expérience fort simple en
apparence nous apprennent que, dans les cas réels, on ne se
1 L’éminent physiologiste russe PawLow a fait l'intéressante découverte, chez
le Chien, que des stimulants actuels tout à fait hétérogènes (par exemple opti-
ques), lorsqu'ils accompagnent constamment un acte instinetif tel que le manger,
finissent à s'associer étroitement à ce dernier acte. Cette association se mani-
feste par le fait que plus tard la seule réapparition de ces stimulants accessoi-
res, en l'absence de toute nourriture, suffit pour produire le réflexe de la saliva-
tion qui primairement est exclusivement lié au contact d’un aliment. Or, chose
plus intéressante encore, si l’on applique maintenant un changement minime à
ce slimulant secondaire (en remplaçant par exemple un disque rouge par un
carreau de la même couleur). on voit aussitôt aboli ce réflexe conditionnel, qui
se montre ainsi exclusivement lié à une forme toute définie. Ce dernier fait a
élé ingénicusement utilisé par KaLiscHEer et d’autres pour déterminer le degré
d'acuité des différentes facultés sensorielles, comme par exemple l’acuité acous-
tique, chez les animaux supérieurs.
FOURMIS 30)
trouve pas toujours en présence d’une simple alternative. En
psychologie comparée, il faut toujours tenir compte des diffé-
rents degrés par lesquels les phénomènes psychiques peuvent
se manifester.
Passant maintenant à la question principale, à savoir si les
Fourmis sont capables ou non de percevoir des grands objets
éloignés et de s’en servir comme repères, je dois formellement
insister sur ce point, que la vision lointaine des Fourmis n'est
pas, comme CornerTz le prétend (1, p. 586-87) « une supposition
aucunement démontrée », mais qu'il s’agit d’un fait établi.
D'abord, ce fait a été directement constaté par FOoREL 1, SANTSsCHI
et autres.
FoREzL versa un jour un sac rempli de Lasius fuliginosus au
milieu d’une route ensoleillée. S’étant accroupi auprès d'elles
pour les observer, il se vit aussitôt poursuivi par ces Fourmis
lucifuges qui, d’un seul élan, se dirigèrent rapidement sur lui
et le suivirent partout où il se tourna, et cela jusqu’à 5 mètres
de distance! Afin de bien juger la portée de cette observa-
tion fortuite, il faut savoir que cette Fourmi ne possède que
200 facettes environ à chaque œil et qu’elle se range par consé-
quent parmi les « espèces inférieures » par rapport au déve-
loppement de sa faculté de vision distincte.
SanrscHi?, ayant trouvé un nid de Camponotus maculatus
subsp. barbaricus, au pied d’un Palmier isolé dans une plaine
découverte, captura un certain nombre de Fourmis et les sema
dans un rayon de 2 à 3 mètres autour de l'arbre. Au lieu de
tournoyer longuement (comme elles font d'habitude en pareil
cas), la plupart de ces Fourmis se mirent aussitôt à courir con-
centriquement vers le Palmier et retrouvèrent ainsi le nid en
très peu de temps. «Quelques-unes », ajoute SaNTSsGHr, « étaient
momentanément désorientées lorsqu'elles passaient au fond
d’une dépression (sillon d’un terrain de labour) qui pouvait leur
cacher le Dattier ». Cette dernière constatation est particulière-
! Forez. Fourmis de la Suisse, 187%, p. 120-21.
2 Sanrscui, L. c., p. 382-83.
366 R. BRUN
ment intéressante parce qu’elle confirme une objection de
Corxerz disant (1, p. 587) que cette prétendue vision lointaine
serait à chaque instant sérieusement compromise, vu la peti-
tesse de l’Insecte, par rapport à laquelle la moindre bosse du
sol prendrait les dimensions d’une colline masquant lho-
rizon. C’est là précisément ce qui arrive, mais il paraît que
pour le maintien d’une direction générale il suffit pleinement
que le repère visuel éloigné soit perçu par intervalles. Il est du
reste fort probable que, durant ces courtes éclipses, la kines-
thésie (sens des déviations) puisse intervenir dans une certaine
mesure pour garantir la continuation quasi rectiligne de la
direction générale. Il suflit de se rappeler le cas d'un homme
se dirigeant à travers une forêt clairsemée, pour se faire une
idée d’un pareil mécanisme visuo-kinesthésique associé. Jai
moi-même provoqué expérimentalement le phénomène de déso-
rientation passagère décrit par SANTScHt en entassant devant
une F. sanguinea retournant à sa demeure une barrière de
sable haute de 10 centimètres et longue de 3 mètres environ
(L. e., fig. p. 26, 159, texte p. 163, 7). La Fourmi en fut visible-
ment troublée; déjà 20 centimètres avant d'arriver à l'obstacle,
elle dévia fortement à gauche, faisant un long crochet pour le
contourner. Mais comme elle n’en finissait pas, elle revint sur ses
pas et se décida à franchir la barrière, reprenant seulement
alors son orientation primitive.
Parmi mes propres expériences, ce fut surtout la suivante
(L e., p. 124, observ. 26 c) qui me suggéra pour la première
fois La possibilité d’un repérage visuel sur des grands objets
plus ou moins éloignés et vaguement perçus, de la part de cer-
taines espèces de Fourmis. En mai 1913, j'assistais à un démé-
nagement d’une grande colonie de F. rufa, dans mon jardin.
À un moment donné, il y avait deux parcours parallèles, traver-
sant un chemin du jardin à une distance de 4 mètres. J'en-
ferme une recruteuse ! marchant sur Ty1 dans une boîte et je la
transporte sur T}», en terrain similaire. Je m'attendais à la voir
continuer son chemin sur ce second parcours allant au même but
ie , Dh
Fourmi portant une congénère.
FOURMIS 367
et à peu près dans la même direction. Il n’en fut rien, car aussitôt
qu'elle fut sortie de la boite, ma Fourmi tourna à droite, et,
corrigeant entièrement le considérable déplacement latéral, ne
reprit son orientation primitive qu'après être rentrée en Ti !
L'analyse du cas est simple : transport latéral de 4 mètres sur
un terrain de parcours absolument analogue au terrain primitif,
comme direction et comme caractères lopochimiques. Néan-
moins, la marche parallèle de Préron (orientation virtuelle de
SANTSGHI) n'a pas lieu, mais il y a, au contraire, abandon de la
direction primitive et réorientation directe sur Tp1. Par consé-
quent, ni l’olfaction, ni l’œil-boussole de Saxrscni, ni non plus
le mystérieux sens de CorxETz, ne peuvent êlre en jeu. La
« kinesthésie » (repérage sur les positions successives de l'axe
médian du corps) est également exclue, par la simple raison que
le déplacement imposé à la Fourmi se fit par transport passif.
A force d'exclusion, nous arrivons donc à la seule explication
possible, soit que cette Fourmi avait reconnu en Tp2 quelque
grand objet distant (ou une constellation d'objets pareils) qui lui
avait servi de repère pour le maintien de sa direction générale
sur Tp1, dans cette partie spéciale dudit parcours.
Afin d’élucider la question à fond, je me suis servi d’une nou-
velle méthode qui peut suppléer aussi dans une certaine mesure
à l'observation pénible des voyages isolés, assez rares chez cer-
taines espèces par rapport au nombre des courses collectives.
Dans cette méthode, que j'ai appelée l'expérience de la
marche forcée, l’on procède comme suit. On force des Four-
mis à s'enfuir de leur nid ou de leur parcours habituel, puis on
leur fait exécuter, en les dirigeant avec les mains, un trajet arti-
ficiel d’une étendue et d’une configuration fixées d'avance, dans
une direction quelconque. La Fourmi avec laquelle j'expéri-
mentais de préférence était la F. sanguinea. Un nid de cette
espèce se trouvait sur les bords d’une grande place sablonneuse
qui me servait d'arène.
Je fis d’abord exécuter des trajets simples de 5 à 10 mètres
dans une seule direction. Le résultat fut invariablement le
même : aussitôt libérées, les Fourmis regagnaient leur point
368 R. BRUN
de départ par la ligne la plus directe ; à peine y avait-il une
légère sinuosité. Je leurs fis faire alors des trajets rectangu-
laires jusqu’à 17 mètres de distance, dans deux directions
successives. Elles en revenaient promptement, mais, cette fois,
en fermant directement le polygone par la ligne de l’hypothé-
nuse, donc, à l'encontre de la règle de CornEerTz qui leur aurait
prescrit la réversion successive des deux directions de laller.
Ce retour direct ne pouvait done s'expliquer ni par l’œil-bous-
sole de Sanrscui, ni par le sens directeur absolu de CoRNnerz.
Mais peut-être les points terminaux f du voyage forcé étaient-
ils des « lieux connus CG » pour les Fourmis ? Une simple expé-
rience de contrôle nous démontre qu’il n’en est rien. Pour le
vérifier je n'avais qu’à transporter mes Fourmis préalablement
en f'avant de leur faire exécuter le trajet angulaire. Or, après
ce transport passif, elles étaient absolument incapables de se
réorienter vers le nid, alors que ces mêmes Fourmis, reportées
en N et forcées maintenant de faire le trajet N — f sur leurs
propres jambes, retournaient promptement « à vol d’Abeilles »,
comme d'ordinaire. Reste la théorie de la kinesthésie, soit
l'acquisition d’une «représentation d'ensemble » du polygone
décrit et de la compensation à faire, au moyen d’une association
compliquée de la notion musculaire de l'angle avec la sensa-
tion « podométrique » des deux longueurs parcourues. Il fallait
donc empêcher le fonctionnement de la kinesthésie. Dans ce
but j’impose à mes Fourmis des voyages compliqués en leur
faisant-faire des demi-cercles énormes ou encore des trajets
polygonaux d’une forme tout à fait quelconque, à nombreux
crochets et détours. Mais les Fourmis retournaient toujours
sans la moindre hésitation; dans le premier cas elles suivaient
à peu près la sécante, dans le second elles prenaient la résul-
tante approximative de la somme totale des diverses directions
de l'aller. Serait-on disposé à soutenir là encore l'hypothèse
de la kinesthésie ? Ce serait les déclarer capables de résoudre
à l’improviste un problème de p'animétrie, qui donnerait des
maux de tête à l'élève d’une école supérieure, même s'il avait
à le calculer sur le papier. *
FOURMIS 309
Jusqu'ici, les résultats de notre analyse parlent singulière-
ment en faveur de la supposition d’une réorientation visuelle,
aux points terminaux / de ces voyages forcés, au moven d’une
réidentification de quelque grand objet éloigné situé près
du nid ou derrière lui, et servant de repère grâce à cette
position relative. Pour en avoir la preuve directe, il faudrait
donc supprimer ce mécanisme, soit en éliminant les objets
supposés dudit repérage (objets inconnus du reste !), soit en les
cachant à la vue directe de la Fourmi. Pour des raisons faciles
à concevoir, je choisis la seconde éventualité. Je fis exécuter à
une Fourmi un trajet angulaire énorme, de 34 mètres, trajet
qui la conduisit loin au delà de l'arène habituelle de mes expé-
riences, en un point final f d’où la vue directe était barrée par
des arbres interposés. Néanmoins, ma Fourmi revint. Cepen-
dant, au lieu de reprendre directement par lhypoténuse, comme
toutes ses amies avaient fait lorsqu'il s'agissait de trajets angu-
laires, elle commença cette fois en reprenant la seconde direc-
tion de l'aller, conformément à la règle de CorxerTz. Mais dès
qu’elle eut regagné la grande place de sable, elle changea brus-
quement de direction et revint au nid par l’hypoténuse.
Je fis enfin les expériences de contrôle suivantes :
1. Je supprimai le sens visuel chez ces Fourmis « supérieu-
res » en noircissant la cornée de leurs yeux à facettes d’après
la méthode de Forez! Les individus ainsi traités étaient
absolument incapables de retourner directement, même après
un trajet forcé rectiligne de 2 mètres seulement, et ils étaient
obligés d'attendre le passage d’une congénère pour se faire
emporter.
2. J'ai aussi appliqué la méthode de la marche forcée à des
« Fourmis inférieures », à courte vue indistincte (Lasius niger,
Myrmica laevinodis), en leur faisant faire des trajets de 4 à 6
mètres seulement, rectilignes ou à deux directions successives.
Les résultats furent caractéristiques. Dans le premier cas (tra-
jets simples), il y avait bien des retours directs, mais ces retours
1 Forez. Das Sinnesleben der Insekten, p. 48. München, 1910.
370 R. BRUN
manifestaient un manque de précision remarquable (erreurs
latérales jusqu’à 30°). Dans le second cas, ce manque de süreté
était encore plus marqué: la marche diagonale ne se manifestait
qu'au commencement, pendant les premiers décimètres ; puis
apparaissait une vague tendance à prendre la seconde direction
de l'aller, et enfin le « retour » dégénérait en un tournoiement
excentrique. Toutefois, il y avait là une intéressante différence
entre les deux espèces. Le Lasius (ayant environ 180 facettes
à chaque œil, d’après mes observations) finit par atteindre le
bord de la place (avec une erreur latérale de 1",6, il est vrai, et
après avoir fortement sinué) et s’y réorienta tout à coup vers N,
tandis que les Myrmica (n'ayant que 105-115 facettes d’après
FoREL) se perdaient en un tournoiement sans fin.
Je pense que ces expériences sont concluantes. Procédant par
la méthode de l’exclusion, nous avons élucidé progressivement
la nature de ce facteur inconnu qui a permis à des Fourmis supé-
rieures de se réorienter immédiatement, après les péripéties
les plus variées, vers leur point de départ, dans un lieu f quel-
conque distant de plus de 10 mètres. Après avoir soigneuse-
ment écarté toute autre éventualité, nous nous sommes arrêté
à la seule interprétation possible, soit que ce facteur inconnu
était bien la vision, à savoir la vision différenciée, plus ou
moins distincte, permettant l’aperception de certains grands
objets éloignés dont les formes sont associées avec la position
relative du nid.
Au point de vue physiologique, on ne peut rien objecter de
sérieux à cette interprétation des faits. Il me paraît au contraire
que la physiologie de l’œil composé impose a priort l'existence
du mécanisme visuel décrit, étant donné que chaque objet du
monde environnant doit forcément se dessiner sous quelque
forme dans le système dioptrique de l’Insecte et que laper-
ception plus ou moins nette de ces formes projetées dépend
principalement de la grandeur de l’objet correspondant !, Puis
Il y a lieu de remarquer ici que l'opinion vulgaire, qui représente les
Insectes comme des « myopes », ne tient pas debout dans le sens littéral (opti-
que) du mot, Dans une intéressante brochure (Wie die Tiere sehen, verglichen
FOURMIS al
il y a des considérations d'ordre plutôt phylogénétique parlant
également en faveur de ladite interprétation : c’est le fait que
chez les autres Hyménoptères sociaux on a la preuve que lorien-
tation lointaine est presque exclusivement visuelle.
Dans la plupart de mes expériences sur la marche forcée,
l’image visuelle des objets-repères était probablement simulta-
nément associée avec la position relative du nid. Mais le cas de
cette Fourmi qui, après un trajet énorme (34 mètres) sul réaliser
un retour direct, ce cas, dis-je, me semble clairement indi-
quer que les Fourmis supérieures (comme organisation psychi-
que) sont capables même d'enregistrer un complexe d’engram-
mes successivement associés, correspondant à une série de
plusieurs repères visuels se succédant au cours d’un seul et
même voyage. Car, évidemment, la Fourmi dont nous avons
parlé avait dû se fixer un second point de repère au moment où,
dans sa progression involontaire, elle venait de perdre de vue
le premier, et celte même nécessité s'était peut-être imposée
encore une ou plusieurs fois avant que le point final f du
voyage füt atteint.
Un mécanisme pareil ne diffère plus, en principe, de celui de
l'orientation visuelle lointaine telle qu’elle est réalisée chez
l'homme et chez les animaux supérieurs, et qui se base sur une
vraie mémoire des lieux, c’est-à-dire sur la présence d’un
certain nombre d’engrammes différents, liés entre eux par
association successive continue. La présence d’une telle
mémoire chez les Fourmis supérieures (du moins dans
ses commencements) me paraît être hors de doute. J'ai
vu par exemple des Fourmis(F. rufa, sanguinea) qui, replacées
sur l'emplacement d’un ancien nid abandonné depuis 15 jours
et à plus de 30 mètres de distance du nouvel établissement, s’y
reconnurent de suite, courant droit vers le nouveau nid en
mit dem Menschen, Wien, 1915) Tscarrmak fait sur cette question la remar-
que suivante : « ...Anderseits liefern die Facettenaugen auch von fernen Objek-
ten fast ebenso scharfe, allerdings weniger gut aufgelôüste Bilder als von nahen
Gegenständen, Die übliche Bezeichnung der Gliedertiere als « kurzsichtig » ist
also nur mit Vorbehalt anzunehmen. »
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 25
372 R. BRUN
suivant exactement l’ancien terrain de parcours, si souvent
parcouru, lors du déménagement. Jai déerit (1. c. p. 164-174)
une série d'observations similaires, en les analysant en détail.
Il y a donc lieu de modifier quelque peu l’axiome de CoRNETz
disant que « le retour est fonction de laller », dans ce sens
qu'un retour actuellement observé chez telle ou telle Fourmi ne
doit pas nécessairement se fonder uniquement sur les données
mnémiques d’un aller actuel, mais qu’il peut se baser aussi sur
des ecphories d’engrammes fixés au cours de nombreux voyages
antérieurs.
Il va sans dire que, chez les Fourmis, celte mémoire des lieux
ne peut être exclusivement — ni même de préférence — une
mémoire visuelle. Ce n’est que la locomotion orientée, la
prise de direction par exemple d’un lieu N vers un second
lieu N1, qui est déterminée en première ligne par la vision
lointaine. Quant à la récognition elle-même de ces lieux, —
acte primaire devant nécessairement précéder la prise de direc-
tion, — elle est très probablement due autant à certains
engrammes topoolfactifs qu'a l’aperception visuelle des détails
desdites localités, en supposant toujours que ces lieux se
distinguent de leur entourage par un cachet topochimique indi-
viduel. Cette dernière condition était remplie par exemple dans
le cas de ces Fourmis que nous avions replacées sur le dôme
à matériaux de leur ancien nid abandonné depuis 15 jours.
C'était probablement la recognition topoolfactive de ces décom-
bres familiers qui fit d’abord surgir, dans le cerveau des
Fourmis, le souvenir du parcours N — N1 si souvent répété
autrefois. Les complexes visuels lointains correspondant à la
première étape de ce chemin furent ensuite recherchés, el ainsi
de suite, la réitération successive de ce parcours se réalisa
d'étape en étape, selon la loi mnémique de l’ecphorie succes-
sive (SEMON). Nous avons vu du reste, au commencement de ce
chapitre, que le sens topochimique ne cesse de fournir des
données mnémiques générales sur toutes les étapes de la marche
elle-même. Cette engraphie coordonnée se simplifie considé-
rablement lorsqu'une partie du chemin est pour ainsi dire
FOURMIS 19
«canalisée » par des contours topiques préformés, comme
pieds de murs, bords de trottoirs, talus, etc. Il est clair que,
par le fait de la localisation asymétrique (unilatérale) de ces
complexes visuo-topochimiques, les deux directions rela-
tives d’un tel chemin seront immédiatement déterminées, de
sorte que la Fourmi, à chaque étape de son voyage, sera au
courant de la direction relative du point terminal qu’elle cherche
à atteindre, par rapport à celle du point de départ. L'existence
de ce mécanisme, depuis longtemps présumé par TurNER, CoRr-
NETZ, SanTscHi, ERNST et autres a été physiologiquement
démontré par moi-même (1. c., p. 92 ss.) chez le Lasius ‘fuligt-
nosus, à l’aide d’une nouvelle méthode permettant l’étude isolée
des facultés topoolfactives, à l'exclusion de tout autre repérage,
notamment de l’œil-boussole.
Il
Dans ses nouvelles expériences, CoRNETz croit tenir la preuve
certaine que, chez les Fourmis, la reprise d’une direction quel-
conque maintenue auparavant dans l’espace, peut, en principe,
s'effectuer indépendamment de tout repère sensoriel externe.
La première série desdites expériences, publiée dans cette
Revue, n’est qu'une répétition, la nuit et en grand, de la vieille
expérience de BoxxET. Par une nuit sombre (sans lune) CORNETZ
interrompt une piste très fréquentée de Tapinoma nigerrimum
Nyl, par balayage et lavage violents du terrain, sur une longueur
de 3 à 4 mètres. En observant ce qui se passe au moyen d’une
lampe, qu'il « masque de temps en temps », il constate que la
communication se rétablit dans le même laps de temps, que
si l'expérience avait été faite de jour, soit en 15 à 18 minutes.
Le soir suivant, CorNerz répète l'expérience, mais cette fois il
fait poser un plancher en bois sur le milieu de la partie détruite
de la piste, recouvrant le sol sur 2 mètres de large et 1 à 2 centi-
mètres au-dessus du terrain. La piste se reconstitue dans le
même temps de 15 à 18 minutes.
Ces expériences sont sans doute intéressantes, mais je ne
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. PAST
374 R. BRUN
trouve pas que les repères externes y aient été suflisamment
éliminés. D'un côté, CoRNETZ a opéré la nuit afin d’enlever
aux Fourmis toute possibilité de s'orienter par la vue, de
l’autre, il introduit cette même possibilité en se servant d’une
lampe pour observer. À moins que, durant l'observation, ee
phare providentiel ait continuellement changé de place, il
a dû donner un excellent repère secondaire aux Fourmis
traversant les premières l’espace interrompu de la piste, suivant
la règle générale que des impressions secondaires peuvent
varier pour un stimulant vectoriel principal disparu, lors-
qu'elles ont constamment accompagné ce dernier avant sa dispa-
rition ?, L’occultation temporaire d’une telle source lumineuse
n'empêche aucunement les Fourmis de se repérer, sans compter
le fait qu'une occultation telle que Corxerz l’a pratiquée laissera
toujours une périphérie de luminosité relative du côté de
« l'astre » éclipsé. Il est vrai que, dans la seconde variante de
l'expérience, le plancher improvisé cachait l'aspect direct de la
source lumineuse aux Fourmis s’engageant en dessous. Mais, en
revanche, l'intervalle qu’il y avait entre le sol et ladite planche
laissait filtrer une longue bande de lumière du côté éclairé par
la lampe, formant comme une zone unilatérale de luminosité
relative, dont l'intensité était relevée encore par le contraste
avec l'obscurité régnant sous la planche.
Les expériences de la seconde série (Arch. de Psychol.) sont
plus difficiles à expliquer. Il suffira pour nos besoins d’en résu-
mer ici la variante la plus perfectionnée : une attrape (os de
côtelette) est posée, le jour, en un lieu +, non loin d’une colonie
de Tapinoma nigerrimum. Afin d'habituer les Fourmis à obscu-
rité, la provende est recouverte d’un couvercle métallique cireu-
laire reposant sur trois petites cales, de façon à ne laisser qu'une
mince fente de 2"" environ entre son bord et le sol. Bientôt,
deux files de Fourmis s’établissent vers la provende, l’une par-
tant d’un nid situé dans l'Ouest, l’autre d’un nid dans le Sud-
Ouest. Quand la nuit est tombée, l'os, couvert de 300 à 400
? Voir p. 36-37 de mon livre.
FOURMIS 319
Fourmis, est rapidement enlevé et porté en un second lieu 1,
préparé d'avance sous une tonnelle de jardin. En déposant los,
Corxerz le fait encore tourner de 90-180°, puis remet le cou-
vercle. Ces manœuvres ont forcément dû s’exécuter à l’aide
d'une lampe, mais aussitôt que le couvercle est posé, CORNETz
laisse la scène dans l'obscurité, se contentant de revenir tous
les quarts d'heure pour voir ce qui s’est passé. Ce qu’il constate
alors, en relevant le couvercle, est en effet très curieux : peu à
peu l’on voit se former deux groupes distincts de Fourmis sor-
tant par-dessous le converele et poussant à peu près dans les
mêmes directions générales (Ouest et Sud-Ouest) dans lesquelles
les deux pistes Les auraient conduites si elles avaient été trans-
portées en même temps. Aucune Fourmi n'est vue errant dans
les autres directions.
Ce résultat est en effet étonnant. Mais, en y réfléchissant, on
doit pourtant se dire que même ces expériences, du reste admi-
rablement conduites, n’offrent pas la garantie d’une élimination
absolue (dans le sens physiologique du mot) de tout repère
sensoriel externe. La plus noire des nuits, sans lune ni étoiles,
n'est pas encore identique à l'obscurité absolue, surtout pas
dans les centres civilisés où l’on rencontrera toujours quelque
part de faibles lueurs, réflexes de la blancheur d’une façade
éclairée ou provenant d’un bec de gaz lointain !, etc. Toutes ces
lueurs donneront naissance, dans leur entourage, à des zones
moins sombres que d’autres situées du côté opposé, et cela
même sous la tonnelle de Cornerz. Aussi longtemps quil y
aura encore cette mince fente de 2"" entre le couvercle et le
sol, il faudra donc admettre la possibilité que les Fourmis
qui se trouvent au dessous soient capables de percevoir et de
localiser lesdites zones différentes sur leurs yeux à facettes.
On dira qu'une pareille perception est des plus invraisemblable
à cause de l'extrême faiblesse d'intensité des lueurs en ques-
tion. Or, cette objection tombe d’elle-même en considérant le
1 On sait que ces sources artificielles abondent en rayons ultra-violets, rayons
auxquels les Fourmis sont particulièrement seusibles.
376 R. BRUN
fait physiologique que la susceptibilité de la rétine à la lumière
peut accroître, dans la chambre noire, jusqu’à 1400-8000 fois
sa puissance normale"!
CornerTz dit avoir fait l'expérience nocturne afin d'éviter une
des principales sources d’erreur du procédé de LugBock, qui,
selon lui, consisterait « à poser une boîte fermée sur une
ou plusieurs Fourmis marchant dans un milieu éclairé... La
Fourmi se montre toujours plus ou moins perturbée et il y a de
quoi »! Et plus loin: «Il est clair que la perturbation que l’on
observe peut tout aussi bien provenir du violent contraste des
luminosités que de la suppression d’un repérage visuel éven-
tuel. »
La fameuse expérience de LusBocx eut le malheureux sort
d'être généralement mal comprise, car, comme je l’ai démon-
tré dans mon livre, elle fut également citée à faux par BETHE
et même par WasMann. En réalité, LuBBocx fit exactement
comme Corxerz, c'est-à-dire qu'il habitua d’abord ses Fourmis
(Lasius niger) à s'engager librement sous sa « hat box » et
à la traverser en file avant de commencer son expérience.
Cette dernière ne consistait donc pas, comme CORNETZ s’ima-
gine, à poser la boîte sur des Fourmis « marchant dans un
milieu éclairé », mais bien à faire tourner de 180° le disque
sur lequel elles marchaient, au moment où les Fourmis se
trouvaient engagées sous la boîte. Sur 30 Fourmis qui traver-
saient la boîte, 19 ne paraissaient pas s’apercevoir de
cette conversion?, puisqu'elles continuaient à marcher dans
la même direction relativement au support, alors que, dans
une première expérience, où elles avaient eu l'horizon libre au
moment de la conversion, toutes les Fourmis avaient tourné
en sens inverse, de manière à garder leur orientation absolue
dans l’espace. D'autre part, LuBBock avait démontré que la con-
version du support restait toujours inaperçue des Fourmis
1 Voir: Ticensrenr, Lehrbuch der Physiologie, Il, p. 240, 3me édit., Leipzig,
1905.
2 Le reste en fut probablement averti par le renversement de luminosité qui
eut lieu au trou d'entrée et de sortie de la boîte, par suite de la conversion.
FOURMIS SPP
quand la source lumineuse participait au mouvement
de rotation.
CorxerTz prétend en outre (II, p. 343) que, avant lui, l’on ne
s'était servi que du procédé de LusBock pour éliminer léclai-
rage. Il paraît donc lui avoir échappé que j'ai décrit dans ma
monographie (p. 68) une méthode permettant d'éliminer
à coup sûr le mécanisme de l’oeil-boussole, sans sup-
primerl'éclairage etmème sans aucunement perturber
les Insectes mis à cette épreuve. On y arrive en se servant
du principe de « l'éclairage bipolaire. »
Un nid artificiel contenant une colonie de Fourmis se trouve
en communicalion avec la périphérie d’une grande table circu-
laire, tournant dans tous les plans de l’espace. La nourriture, ou
des larves à rechercher par les Fourmis, sont placées exacte-
ment dans le centre du disque. L’éclairage est donné, non pas
par une, mais par deux bougies (ou lampes électriques) de taille
et longueur égales, placées en deux points diamétralement oppo-
sés de la table, soit dans l’axe transversal, soit dans lPaxe lon-
gitudinal par rapport au trajet N — C à exécuter. Tout ce
système se trouve encore au milieu d’une chambre noire, dont
les parois n'offrent aucun point de repère à la vision distincte
des Fourmis.
Il est clair que, par une disposition pareille, toute Fourmi en
sera réduite à la plus complète impossibilité de discerner visuel-
lement entre les deux directions relatives de leur axe d'orienta-
tion, lorsque, se trouvant dans le centre du système, elle voudra
repartir vers le nid. Car elle recevra des deux côtés des impres-
sions absolument identiques (comme qualité et localisation sen-
sorielle) et sujettes aux mêmes déplacements relatifs, qu'elle
parte dans la direction du nid ou dans la direction opposée.
Par contre, elle ne sera pas empéchée de se servir de son œil-
boussole pendant l'aller de N en C, tant qu’elle n'aura pas atteint
le centre.
I. Dans une première série, j'expérimentai avec le Lasius
fuliginosus. Pour des raisons techniques (en vue d’autres obser-
vations à faire), je fis marcher ces Fourmis sur un pont en papier
378 R. BRUN
traversant la table par le centre et se terminant en une petite
plate-forme, à l’autre extrémité du diamètre. Ces préparatifs
terminés, je fis les expériences suivantes.
1. Je verse une grande quantité de larves sur la plate-forme ; un
vif service de transport s'engage. Les Fourmis porteuses d’une
larve se précipitent généralement sans hésitation sur le pont,
qu’elles traversent rapidement dans toute sa longueur, arrivant
ainsi au nid sans accident.
2. Quelques heures plus tard, toutes les larves qui restaient
sont ôtées de la plate-forme et mises au milieu du pont. Les
Fourmis arrivant du côté du nid s’arrétent toutes auprès de ce
tas et se promènent longuement dessus en examinant les larves;
finalement, ayant fait leur choix, chacune s’empare d’une larve
et veut partir vers le,nid. Pas moins de 50 °/o s’en vont,
cependant, dans la fausse direction, s’égarant ainsi
sur la plate-forme et cherchant désespérément l’en-
trée de leur tube.
3. J'ajuste maintenant une mince balustrade en papier au côté
gauche de la partie moyenne (traversant le cercle interne du
disque) de mon pont, de sorte que les Fourmis voyageant du
nid vers la plate-forme ont cette balustrade à leur gauche, tandis
qu’au retour elles la touchent constamment avec l’antenne
droite. Je leur donne trois jours pour se familiariser avec cette
disposition, après quoi je répète l'expérience 2. Le résultat est
frappant. Cette fois, les trois quarts des Fourmis partant du
milieu se précipitent dans la bonne direction, et parmi les autres
1 Les lecteurs connaissant les expériences de Berne se demanderont peut-
être pourquoi ces Fourmis n'ont pas suivi l'indication directrice ressortis-
sant de la soi-disant « polarisation olfactive » du chemin ? Or, lors d'une révi-
sion des expériences de Berme, je fis la découverte que le phénomène de Berre
(désorientation des Fourmis devant une partie de piste tournée de 1809) n’est
positif que sur les « pistes à Pucerons », tandis qu'il disparait rapidement sur
toutes les pistes qui ont servi pendant un certain temps à un transport de
couvée. Par une autre série d'expériences, j'ai encore démontré que ce curieux
phénomène n'est point dû à une « polarisation » dans le sens propre du mot,
mais bien à une décroissance progressive d'intensité de certains composants
odorants dans les deux directions de la piste.
ss
FOURMIS 379
qui s'étaient trompées, un grand nombre corrigent leur route,
bien avant d’avoir atteint la plateforme, quand leur antenne
gauche vient par hasard en contact avec la balus-
trade. Je tourne alors le cercle interne de ma table de 180°,
de sorte que ladite balustrade va maintenant flanquer le côté
opposé du pont. Aussitôt, la proportion indiquée se renverse :
les trois quarts des Fourmis courent maintenant dans la mau-
vaise direction et un quart seulement dans la bonne. Les
Fourmis sont donc capables, non seulement de distin-
guer les impressions topo-olfactives venant de leur
côté ‘droit, de celles: provenant de leur gauche,
mais encore d'associer ces impressions constam-
ment unilatérales avec la direction relative de leur
route.
Il. Une seconde série d'expériences à éclairage bipolaire
a porté sur la Formica rufa, espèce plus intelligente que la
première, mais presque incapable de suivre une piste odorante.
Je supprimai le pont, laissant les Fourmis se promener libre-
ment sur la table. Leur tâche était de trouver du miel au centre
et de se récrienter ensuite vers le nid. Comme le tube de sortie
était exactement posé dans le rayon, les Fourmis se dirigeaient
généralement assez droit vers le centre, en continuant la « cana-
lisation topokinétique » de leur marche de début. Mais, pour le
retour, elles ne se tiraient pas mieux d’affaire que les Lasius.
Incapables de distinguer la bonne direction du côté
opposé, elles en étaient réduites à hésiter continuel-
lement, pendant des heures!) entre les deux côtés,
n’osant s'éloigner définitivement du centre qu'après
unvtémpstresrlong,-et. lorsque, ayant désespéré de
sortir de ce dilemme, elles se livraient à un tournoie-
ment excentrique. Une fois, au moment où une Fourmi de
taille énorme venait d'arriver au miel, j'éteignis les bougies,
laissant la bestiole dans l'obscurité la plus complète. Le jour
suivant je la retrouvai sur le disque, toujours errante et à bout
de forces.
Je varie alors l'expérience en donnant au disque de ma table
380 R. BRUN
une inclinaison de 20° du côté du nid. Les Fourmis doivent donc
monter sur ce plan incliné pour aller du nid au miel, et descen-
dre pour regagner le nid. Elles montent, en effet, en se dirigeant
assez bien. Pendant qu’elles mangent, je renverse doucement
l'inclinaison du disque, de sorte que le nid occupe maintenant
le point culminant de la périphérie. Le résultat de cette expé-
rience, sept fois répétée, est invariablement le même. Après
une hésitation de 2 à 5 minutes, les Fourmis descendent
toujours vers le point le plus bas de la périphérie, cher-
chant là vainement, pendant un certain temps, l'entrée du nid,
et se livrant ensuite à un tournoiement déréglé : Orientation
virtuelle sur la gravitation (« baresthésie »).
Cette dernière expérience est particulièrement intéressante
parce qu'elle nous permet de trancher une question qui, depuis
longtemps, avait donné lieu à une vive controverse, à savoir si
les Insectes sont sensibles ou non à la force de la gravitation.
On sait que R. pe Gourmoxr !, Cornerz ? et autres, pour des
raisons théoriques, ont cru devoir répondre négativement à
cette question. Une fois de plus, les faits l'ont emporté sur la
théorie.
Je pose maintenant cette question : Siles Fourmis sont capa-
bles de se diriger au moyen d’une donnée interne de direction
absolue de l’espace, comment se fait-il alors que cette faculté
mystique va justement disparaître dans les cas d'élimination
exacte du repérage externe, c’est-à-dire, là, où elle aurait été
de la plus haute utilité ?
Jusqu'à nouvelle démonstration, on fera donc-bien de soup-
conner toujours la présence persistante d'une source lumineuse
localisée, la où l’on constate la marche parallèle de PréRoN
après l'expérience de transport ou après conversion du sup-
port ÿ.
!R. pe Gourmonr, Promenades philosophiques. 1. Le sens topographique
chez les Fourmis. Revue des Idées, 1909.
2? Cornerz, Le sens topographique chez Les Fourmis. Ibid., 1909.
3 N'est-il pas aussi significatif que ce phénomène n'est jamais obtenu chez
les espèces aveugles, comme par exemple Solenopsis ?
FOURMIS 381
[IT
L'interprétation que CorxerTz lui-même donne à ses dernières
expériences differe essentiellement de sa conception originale.
IlLest vrai qu'il continue à supposer une cause effective interne,
puisqu'il croit avoir constaté la reprise d’une direction, aupara-
vant maintenue, en l’absence de tout repère sensoriel externe:
Mais cette donnée interne n’a plus rien à voir avec la « mémoire
absolue d’une direction isolée dans l’espace », dont l’auteur
parlait dans ses publications antérieures ; c’est une donnée
interne relationnelle, en tant qu'elle résulte du « repérage
interne successif et ininterrompu d'une position du plan médian
du corps par rapport à une position dominante (sens interne des
déviations) ! ». C'est donc cette faculté d'orientation kinesthé-
sique que P. BonNiER a appelée le « sens des attitudes», et
qui, bien avant BoNNIER, avait déjà été préconisée par DARWIN,
L. MORGAN, REYNAUD. PIÉRON et autres.
Je conviens qu'il n'y a aucune difficulté à faire intervenir un
tel mécanisme dans l’expérience première de CoRNETz, où il
s'agissait, pour les Fourmis, de rétablir, la nuit, une piste inter-
rompue sur quelques mètres. Dans ce cas, en effet, les Fourmis
n'avaient qu'à maintenir leur direction générale à travers la
zone détruite, au moyen de ce sens très fin des déviations, afin
de retrouver, à l’autre bout, la continuation de leur piste recti-
ligne. Il en est autrement pour la seconde série de ces expé-
riences nocturnes. Ici, la suppression de la trace odorante est
combinée avec le transport passif et avec la conversion du sup-
port. Il y a donc là interruption de successions d’atti-
tudes et, par conséquent, perte du repère de la position domi-
nante, à moins que les Fourmis ne se soient aperçues du trans-
port, ainsi que du sens et du degré de la conversion qu'elles
avaient subie. Mais les Fourmis, comme les Insectes en général,
manquent entierement de l’organe statique indispensable pour
Bec. pra92
392 R. BRUN
la perception de déviations passives (dans le plan horizontal)
de l’axe médian du corps À.
CoRNETz paraît identifier plus ou moins le « sens des atti-
tudes » avec la fonction statique. Or, les organes statiques
(canaux semi-circulaires du labyrinthe, statocystes) ne trans-
mettent à l'organisme qu’une modeste partie de cet ensemble
de sensations internes, «proprioceptives », dont l’enre-
gistrement combiné (simultané et successif) sert de base à
l'orientation dite « kinesthésique ». Ils n'indiquent que des
changements brusques, actifs ou passifs de la position du
plan médian du corps dans les trois dimensions de l’espace. Les
stimulants respectifs sont transmis à un centre spécial (le cere-
bellum), où ils déterminent un « réflexe statotonique » qui
aboutit à un renforcement du tonus ou à une contraction subite
de certains groupes de muscles, engagés dans la compensation
du mouvement subi, empêchant ainsi une chute passive. Il est
vrai que le résultat de cette action réflexe peut s'enregistrer
secondairement dans un centre supérieur («sens myostatique »).
Mais la majeure partie de ce réflexe compliqué reste sous le
seuil de la conscience, se passant dans des centres auto-
matiques inférieurs (moelle épinière, moelle allongée, rhomben:-
céphale, mésencéphale.) Les centres sensuo-kinétiques supé-
rieurs de l’écorce cérébrale (lieu dépositaire des engrammes
kinétiques successives) sont surtout renseignés par les sensa-
tions musculaires combinées provenant des mouvements
actifs. Le «sens des attitudes » est donc en premier lieu un
enregistrement complexe de « figures kinétiques » sériées, au
moyen de la myesthésie active, consciente.
Il est vrai que les Tapinoma de CorNETz s’apercevaient du
transport subi, car elles s’en montraient toujours plus ou moins
perturbées, courant pêle-méle sur leur os dans toutes les direc-
! Nous avons vu, du reste, que des rotations passives du support restent
inaperçues des Fourmis lorsque le repère optique tourne en même temps ou que
le sens visuel est supprimé. Ce n'est que par négligence de ce fait capital que
Berue (Pflügers Archiv, 1898) avait pu interpréter le tournoiement de Lussock
comme étant dû à un réflexe statique.
FOURMIS 383
ons, pendant plusieurs minutes. Il faudrait donc admettre que
tous ces mouvements déréglés soient encore rapportés à la
« position dominante » que les Fourmis avaient maintenue en
marchant sur leur piste vers la provende. Il va sans dire que
l’'accomplissement d’une tâche pareille dépasserait de beaucoup
les facultés associatives de nos petits Insectes, impliquant la
présence d’un cerveau hautement perfectionné. Lorsque CORNETZ
croit quand même devoir admettre une supposition aussi invrai-
semblable, je lui retourne le compliment d’anthropomorphisme
qualifié qu'il a bien voulu me faire.
La supposition d’une faculté kinesthésique particulièrement
développée chez les Fourmis s'appuie surtout sur les expé-
riences de Szymaxsxy !. Cet auteur faisait dévier des Formica
rufa de leur chemin collectif en leur mettant en travers un
obstacle infranchissable. Après avoir contourné cet obstacle, les
Fourmis regagnaient leur piste invariablement par l'hypoténuse,
par un angle de 75° environ, quelle que fût la longueur de la
barrière. Sanrseui ?, qui a contrôlé l'expérience de SZYMANSKkY
chez le Messor barbarus (espèce à courte vue indislüincte) n’a
pu retrouver cette même constance. D'abord, l’angle de recou-
pement de la piste était des plus variable ; puis, il arrivait sou-
vent que ces Fourmis continuaient à marcher dans la direction
déviée, longtemps après que l'obstacle avait été dépassé. Parfois
elles finissaient même par se perdre.
Dans l'expérience de la marche forcée, nous avions constaté
une différence analogue, entre Fourmis supérieures et infé-
rieures, par rapport à la capacité de réaliser un retour direct
après des trajets forcés angulaires de grande étendue ; tandis
que les Formica étaient toujours capables, en pareils cas, d’exé-
cuter un retour en ligne diagonale, cette faculté surprenante
était rudimentaire chez les Lasius et surtout chez les Myrmica.
L'analyse expérimentale nous a révélé ici la marche diagonale
comme étant un phénomène visuel. Il y a donc lieu de partager
1 Szymansky, Zin Versuch, das Verhäliniss zwischen modal verschiedenen
Reizen in Zahlen auszudrücken. Pflügers Arch. f. d. ges. Phys., 138, 1911.
He: pe 414 8:
384 R. BRUN
l'opinion de Sanrscui, que cette régularité de lPangle de recou-
pement observé par SzyYMaxsky ne résulte guère d’une « repré-
sentation kinétique d'ensemble » de l’angle décrit (Winkelvor-
stellung), mais qu'elle est également due à un repérage visuel ".
Toutefois, je ne conteste pas que les Fourmis ne soient pas
aussi aidées, dans une certaine mesure, par des données kiné-
tiques simples, telles que par exemple : « déviation à droite,
nécessité d'une compensation à gauche », etc. Quoi qu'il en
soit, il faut se souvenir que les expériences de Saxrsoui (et les
miennes) ne parlent pas en faveur d’une faculté kinesthésique
particulièrement raffinée chez les Fourmis. Pour élucider cette
question à fond, il faudra répéter les expériences dans les con-
ditions exactes de ma méthode d'élimination du repérage visuel.
IV
Tout en admettant actuellement la possibilité d'un repérage
interne relationnel comme cause effective dans certaines de
ses observations, CorxETz n’a nullement renoncé à sa concep-
tion originale d’un sens de direction absolu. Mais il a ré-
servé celte hypothèse pour ces cas extrêmes où des Fourmis
se seraient manifestées capables de reprendre une direction
quelconque de l’espace, auparavant maintenue, en l'absence de
tout reptre sensoriel externe et après un long intervalle
impliquant une interruption de successions d’atti-
tudess
A l'heure actuelle, CornEerz se rend pleinement compte du
1 Vue directe de la piste à regagner (Sanrscni), recognition de quelque grand
repère visuel éloigné, ou encore concurrence sensorielle des deux localisations
successives de la source lumineuse. La dernière de ces trois suppositions me
paraît la plus vraisemblable.
* Ce cas serait par exemple réalisé, selon lui, chez ces Fourmis qui, après
une pluie de plusieurs jours, — pluie changeant entièrement le monde minus-
cule de ces « lilliputiens », — retournent directement et sur la même voie qu'au-
trefois à un lieu de provende antérieurement visité. Comme SaxTscui et moi
l'ont démontré, ce miracle apparent s'explique cependant très simplement
comme acte de mémoire visuel, c'est-à-dire comme orientation visuelle
successive sur les anciens repères visuels (grands objets éloignés).
|
|
FOURMIS 389
caractère transcendental de cette hypothèse. Il avoue qu’en
admettant la possibilité d’un « sens et mémoire d’une direction
isolée dans l’espace », il se place «en dehors du domaine de la
raison logique », faisant un « saut dans l'inconnaissable ». Il
réalise fort bien qu'une telle supposition devra être qualifiée
d' « imagination inconcevable », puisqu'elle va à l'encontre des
règles de la raison logique, et que « cette possibilité n’est pas
admissible pour la théorie de la connaissance ». Il reconnaît
que, par conséquent, son idée ne représente pas «un dire scien-
tifique, mais bien métaphysique et même mystique », impliquant
« la croyance à l’inconnaissable. »
On ne saurait s'exprimer mieux pour se dédire d’une hypo-
thèse reconnue insoutenable. C’est un suicide philosophique.
Mais Cornerz se tire d'affaire en déclarant simplement que
« l’inconcevable n’est pas par cela méme l'impossible », et que,
pour lui, « les deux domaines, celui du raisonnement et celui
de l'imagination (sentiment) peuvent fort bien coexister sans
conflit. » Il ne voit donc aucune nécessité de se plier à la tyrannie
de Kanr qui a défendu d’inventer des hypothèses transcenden-
tales lorsque les explications physiques manquent; et, se refu-
sant « à toujours trainer ce quadruple boulet de la raison
logique qui est: espace, temps, causalité et rapport du sujet à
l’objet », il réclame d’un geste superbe « le droit de librement
imaginer. »
Cet ordre d'idées me paraît ressortir d’une double erreur.
1. Corxerz ignore les frontières entre les deux domaines :
celui de la science (raisonnement) et celui de l'imagination. Il
a parfaitement raison lorsqu'il dit que ces deux domaines peu-
vent fort bien coexister sans conflit. Ils le peuvent précisément
parce qu'il n’y a aucun rapport possible entre eux. La
science n’embrasse que le monde des phénomènes physiques,
dont les notions nous parviennent sous la forme d'aperceptions
sensorielles. Elle ne fait que rechercher, au moyen de toutes
les ressources de la sensualité inerme ou armée, les causes
physiques (déterminantes) des aperceptions variées ; elle a
expliqué un phénomène lorsqu'elle en a déterminé toutes les
380 R. BRUN
conditions d'apparition, ou, en d’autres termes, lorsqu'elle Pa
réduit à d’autres phénomènes déja connus. Quand ces condi-
tions sont actuellement indémontrables pour tel ou tel phéno-
mène, à cause de l’état arriéré de notre connaissance, la science
est en droit d'établir une hypothèse péremptoire. En tant
qu'une pareille hypothèse indique le chemin'à suivre pour les.
efforts de la recherche expérimentale, elle peut être favorable à
cette dernière et souvent mener à la découverte des détermi-
nants inconnus. Mais quel sens peut bien avoir une hypo-
thèse qui, en ramenant un phénomène à une cause
métaphysique, le rend à jamais insaisissable pour la
raison logique?
2. L'erreur essentielle est cependant là où CorNErTz croit pou-
voir s'affranchir des règles de la raison logique elle-même. Il
ne s’est donc pas tout à fait rendu compte de la provenance de
ces règles! Il parait lui avoir échappé que ce ne sont pas des
« lois » dans le sens commun du mot, lois que l’on peut recon-
naître ou enfreindre selon sa fantaisie, mais que ce sont ces
chaînes éternelles, forgées par l’organisation même de notre
cerveau humain et qu'il est impossible de franchir tant que
l'on ne peut pas sortir de son cerveau. Ce sont, en un mot, les
conditions formelles, nécessaires, de la possibilité de
l’aperception et du raisonnement, les règles que Kaxr
a appelées les notions (ou catégories) à priori de Paper-
ception et de la raison.
Les notions a priori de l’aperception (notion empirique ou
expérience sensorielle) sont : l’espace et le temps. Jamais l’on
ne rencontrera un phénomène qui ne se manifeste pas dans le
cadre de ces coordonnées. De même, les catégories de la raison
logique ne sont autres que les conditions formelles de la pos-
sibilité du raisonnement rationnel. On ne saurait concevoir une
notion rationnelle en dehors des formes de la pensée humaine.
Comme ces dernières notions ne sont, elles-mêmes, que des.
abstractions de notions aperceptives, il est clair que la raison
ne peut s'appliquer qu'aux objets réels, c’est à-dire qu’elle doit.
rester dans le monde des phénomènes.
D > u2 "à
FOURMIS 307
La causalité est du nombre de ces catégories de la raison
logique. On ne saurait imaginer un phénomène sans forcément
lui supposer une cause physique. Supposer des causes surnatu-
relles à des phénomènes physiques n’est qu’un faux-fuyant, car
la causalité ne saurait s'arrêter à une « dernière cause » ; allant
de fil en aiguille, elle se verra aussitôt forcée de se demander
quelle pourrait bien être la cause physique de ladite « cause »
métaphysique ? En refoulant un problème dans le domaine de
l’inconnaissable, on ne l’a donc, certes, pas « expliqué ». Une fois
dans ce domaine, la fantaisie est libre de se promener dans
des idées vides !. Autant dire alors que les Fourmis se dirigent
par l’intervention d'une « force spirite », que de leur supposer
une « mémoire pour des directions isolées dans l’espace. » Je
ne conçois pas de différence essentielle entre ces deux manières
de voir.
CONCLUSIONS
1. Les Fourmis « supérieures » (à vue relativement distincte)
sont capables de percevoir par la vue de grands objets lointains
et de s’en servir comme repères indicateurs de la position rela-
üve du nid. Dans une certaine mesure, cette faculté appartient
aussi aux espèces «inférieures », à courte vue indistincte.
2. Les Fourmis supérieures sont capables de fermer directe-
ment un polygone par l’hypothénuse, même à des distances très
considérables. Cette faculté n’est pas due à la kinesthésie (sens
des angles), mais bien à la fixation d’un repère visuel lointain.
3. Chez ces mêmes espèces, une vraie mémoire associée des
lieux existe jusqu’à un certain degré. La recognition des « lieux
connus » est probablement fonction du sens topochimique,
tandis que la prise de direction s'effectue surtout par mémoire
visuelle (réitération successive des repères visuels différenciés).
! A vrai dire, mème la fantaisie ne peut sortir du domaine des catégories.
La fantaisie n'est que le libre jeu d'esprit consistant à inventer des combinai-
sons nouvelles de causes déterminantes physiques déjà counues. Ainsi, même
les « esprits » des contes de Fées et des spirites doivent toujours « apparaître »
sous quelque forme matérielle, pour se manifester à l'aperception des mortels.
388 R. BRUN
4. Des données topochimiques, d’un ordre plus général, y
jouent cependant aussi un certain rôle comme repères secon-
daires. En cas de localisation nettement linéaire, elles peuvent
même dominer l'orientation.
5. L'orientation virtuelle après transport (la marche parallèle
de PréRoN) est toujours fonction de l’œil-boussole, c’est-à-dire
de la localisation zonale d’une source lumineuse dans les yeux à
facettes.
Démonstration : Incapacité d'orientation dans l’expérience à
éclairage bipolaire.
6. Les Fourmis sont incapables d'associer une succession
complexe de positions diverses du plan médian du corps. Un
tel repérage interne relationnel (sens kinesthésique des atti-
tudes) n'existe probablement que dans des limites restreintes.
7. Un sens statique fait entièrement défaut chez les Fourmis.
8. Par contre, les Fourmis sont sensibles à la force de gravi-
tation et elles sont même capables de se repérer, sur un plan
incliné, à l’exclusion de tout autre repère sensoriel externe
(baresthésie).
9. Un repérage interne absolu : « sens et mémoire d’une direc-
tion isolée dans l’espace », n'existe ni chez les Fourmis, ni chez
aucun être vivant.
a) Démonstration expérimentale : Incapacité des Fourmis de
s'orienter en cas d'élimination totale de tout stimulant rela-
tionnel, externe et interne.
b) Démonstration philosophique : Impossibilité, pour la raison
logique, de concevoir une direction isolée dans l’espace.
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
Vol. 24, n° 4. — Mars 1916.
Notes helminthologiques suisses
PAR
le D' O0. FUHRMANN, /
(Neuchâtel).
Avec la planche 1.
I. Sur une nouvelle espèce de cercaire à queue fourchue.
Au mois d'octobre de l’année passée nous avons rapporté
d’une excursion au bord du lac de Neuchâtel, près d’Auvernier,
un certain nombre de Limnea auricularia qui furent distribuées
dans trois petits aquariums contenant huit Macropodes jeunes
et adultes ; trois heures, après tous ces Poissons étaient morts.
Sans nous rendre bien compte de la cause de cette mortalité
subite, mais supposant pourtant que la présence des Mollusques
devait être une des causes de cette mortalité, nous les avons
tous jetés (une vingtaine) dans un grand aquarium à eau cou-
rante contenant 150 litres d'eau et renfermant diverses espèces
de Poissons. Le lendemain, une dizaine de Poissons, Ablettes,
Epinoches, jeunes Truites et jeunes Brochets avaient subi le
même sort que les Macropodes. Il devenait évident que la
présence des Mollusques était la cause de cette mortalité, et
en disséquant une Limnée, nous trouvâmes dans le foie de cet
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 26
390 O0. FUHRMANN
animal une quantité énorme de cercaires à tous les stades de
développement. C'est sans doute l’éclosion de ces cercaires,
s’attaquant en grand nombre aux Poissons, qui avait été la cause
de leur mort. Ces cercaires, pénétrant en grand nombre dans
les voies circulatoires, à travers la peau et les branchies,
avaient sans doute, à l’aide de l’armature de l'extrémité anté-
rieure du corps et de la ventouse ventrale, produit des hémorra-
gies et obstructions de capillaires. Nous avons omis de recher-
cher ces lésions, mais BLocHmanx ‘, dans une intéressante étude
intitulée : Sterben von Aquariumfischen durch Einwanderung
von Cercaria fissicauda La Val, avait déjà observé et étudié
le même phénomène. BLocaMaxx, en étudiant le cœur et le sang,
ainsi que le cerveau, y trouva de nombreux cercaires. Ces Vers
en migration produisent des extravasions ; il en trouva dans la
cavité du péricarde et dans les vaisseaux branchiaux, dans l’or-
bite ainsi que dans ke corps vitré de l'œil. Il observa dans la
chambre de l'œil et dans le corps vitré, mais surtout à travers
la rétine, les lésions très nettes produites par la pénétration
des larves.
Sur une vingtaine de Limnea auricularia, trois seulement se
montrèrent infestées par les sporocystes de Trématodes, et, chez
deux surtout, l'infection était énorme.
Les cercaires que contenaient les sporocystes appartiennent à
un groupe intéressant dont nous ne connaissons en Europe que
neuf espèces, dont six ont été trouvées en Allemagne et trois
en Italie ?. Les cercaires à queue fourchue se rencontrent dans
Viviparus viviparus (Cercaria sp.), V. faciatus (Cercaria minuta
Ercol.), Bithynia tentaculata (Cercaria sp.), Planorbis corneus
(Cercaria gracilis La Val.), Limnea stagnalis (Cercarta furcata
Nitzsch, C. fissicauda La Val., C. ocellata La Val.), et Limnea
auricularia (Cercaria aculeata Ercol.). La Cercaria bipartita
Sons. provient d'un Mollusque inconnu. Dernièrement, Corr ?
! Centralblait f. Bakt. u. Paras. Abt I, vol. 56, 1910, p. 47-49.
? Lüne, M. Trematodes in: Die Süsswasserfauna Deutschlands, Heft. 17, 1909.
? Corr, W.-W. Larval Trematodes from North American fresh water Snats.
Journal of Parasitology, vol. I, 1914, p. 65-84.
NOTES HELMINTHOLOGIQUES 391
a trouvé à Chicago, dans Limnea reflexra, un cercaire du mème
type qu'il a appelé C. douthitti.
Cercaria letifera nov. sp., ainsi que nous appellerons le nou-
veau parasite trouvé dans Zimnea auriculartia, ressemble à l’es-
pèce observée par Ercoraxi ! en Italie. Il se développe dans des
sporocystes de forme cylindrique atteignant 2"",3, exception-
nellement 3"" de long, et dont le diamètre est généralement
Q"m 1, rarement 0"",18. Ces sporocystes vermiformes ressem-
blent beaucoup par leur forme au Turbellaire Stenostoma leucops
et ils présentent des mouvements de reptation d'Annélides
assez vifs. On distingue très nettement une région antérieure
céphalique qui, pendant que l’animal est en mouvement, est
dirigée en avant, et se trouve même, dans certains cas, délimitée
par un étranglement. Cette partie du corps est compacte et
remplie de cellules, tandis que le reste du corps est creux et
présente une paroi formée d’une simple couche de cellules,
épaisse de 0"",009. Les œufs parthénogénétiques qui y naissent
ont un diamètre de 0"",009.
Ercorant (loc. cit. p. 47) dit des sporocystes de Cercaria
aculeata, la seule forme qui entre en ligne de compte pour
savoir si notre espèce est nouvelle, qu'ils sont longs de 1""
avec un diamètre de 0"",08 à l'extrémité postérieure. Cet
auteur ajoute plus loin : «L’estremità anteriore termina un vero
poro, che non pud dirsi buccale, perchè nellinterno non vidi
traccia d’'intestino. »
Les sporocystes de notre espèce sont de forme plus élan-
cée et ne montrent pas trace de pore en avant. L'intérieur
est en général rempli de jeunes cercaires à tous les stades de
développement, ainsi que de quelques exemplaires complè-
tement développés. Ces derniers doivent sans doute s'échapper
du sporocyste par un pore que nous n'avons pu observer. Le
nombre énorme de sporocystes qui peut se trouver à l’inté-
rieur du foie du Mollusque parle en faveur d’une reproduction
! ErcoLant, G. Dell'adattamento della specie all'ambiente. Nuove ricerche
sulla storia genetica dei Trematodi. Mem. Accad. Sc. Istituto Bologna. T. 3,
1881. p 42.
392 O. FUHRMANN
asexuelle, par division transversale du sporocyste. Sur les coupes
transversales, nous constatons que les sporocystes ne se trou-
vent pas dans les tubes glandulaires, mais dans le tissu con-
jonctif qui enveloppe les tubes hépatiques.
Dès que les œufs parthénogénétiques sont arrivés au stade
de 16 blastomères, l'embryon forme une petite masse cellulaire
compacte, presque sphérique, dont le diamètre est de 0"",027.
Lorsqu'il a déjà atteint une longueur de 0"",054 et un diamètre
de 0"",039, on ne constate encore que des cellules sans aucune
trace de différenciation d’organes. C'est seulement quand
l'embryon a atteint une longueur de 0"",1 que la formation de
la région caudale apparaît par un léger rétrécissement du tiers
postérieur de son corps ; une différenciation des organes inter-
nes ne semble pas encore commencée. Lorsque l'embryon a
atteint 0"",11, l’'appendice caudal est un peu mieux développé,
et à son extrémité apparaissent déjà deux petits bourrelets
indiquant le commencement de la formation de la partie bifur-
quée de la queue du cercaire. À ce stade, on remarque nette-
ment le commencement de la formation de la ventouse buccale
et mieux encore celle de la ventouse ventrale, très rapprochée
de l'extrémité postérieure. Dans la larve longue de 0"",0144,
les deux appendices de la queue sont déjà longs de 0"",018, et
la partie antérieure de la queue mesure 0"",36, tandis que le
corps est long de 0"",09. La larve avant atteint une longueur de
0,225 la région caudale se délimite beaucoup plus nettement
du corps, et, dans des larves longues de 0"",28, le corps, qui a
0®®,14, montre l'appareil digestif bien développé et la ventouse
ventrale bien différenciée, mais encore dépourvue de son arma-
ture:
Les cercaires complètement différenciés, ayant quitté les spo-
rocystes et nageant très activement, sont longs de 0"",6. Le
corps a de 0"",2 à 0"",26, la partie impaire de la queue
mesure de 0"",18 à 0"",2, landis que sa partie fourchue est
longue de 0"",16 à 0"",2. La largeur du corps est de 0"",44 à
0°",056; celle de la partie impaire de la queue 0"",032 à
0,036.
NOTES HELMINTHOLOGIQUES 393
Le corps du cercaire est, comme celui de Cercaria aculeata
Ercolani, armé de fins crochets à son extrémité antérieure
seulement; ces rangées de crochets, qui sont au nombre de 4 à
5, ne s'étendent que sur 0"",014 à 0%%,016, tandis que dans
l'espèce d'Ercorant c’est le tiers antérieur du corps qui en est
couvert, d’après sa description, mais d’après son dessin ce
n'est que le quart antérieur du corps qui porte de fines épines.
En outre, la ventouse ventrale, qui chez C. letifera a un diamètre
de 0®",027 et une profondeur de 0"",03, est armée, sur tout son
bord, d’une cinquantaine de petits crochets (0“",0027) bien plus
grands que les très fines épines de l'extrémité antérieure. Cette
armature manque complètement à C. aculeata Erc. Tandis que
chez cette dernière la ventouse ventrale se trouve un peu en
arrière du milieu du corps, chez C. letifera la ventouse est située
presque en entier dans le dernier tiers du corps. Nous n'avons
pu voir, de l’organisation interne, que le système digestif et
les gros troncs du système excréteur. La ventouse buccale avec
un diamètre de 0"",23 est profonde de 0"",054 et suivie direc-
tement par un petit pharynx long de 0"",028. Le pharynx se
trouve entouré par quatre grosses cellules probablement glan-
dulaires. L’intestin s'étend déjà jusque près de l’extrémité
postérieure. C’est là qu’on voit une petite vésicule excrétrice,
de laquelle deux troncs partent en avant. La région caudale
impaire est, chez l'animal vivant, régulièrement segmentée à sa
surface ; elle porte en outre des soies tactiles très nombreuses.
Il n'ya rien de particulier à signaler sur sa structure interne.
Nous ne pouvons, malheureusement, donner aucun renseigne-
ment sur l’évolution de ce parasite, dont l'hôte intermédiaire
est sans doute une ou plusieurs espèces de Poissons et dont
l'hôte définitif doit probablement être cherché dans le groupe
des Poissons ou des Oiseaux piscivores.
2. Une nouvelle espèce de cercaire sans queue.
Le nombre des formes de cercaires complètement dépourvus
de queue est assez restreint et la plupart ont été observés dans
394 O. FUHRMANN
des Mollusques terrestres. L'Index-catalogue de W. Srices et
A. Hassarr ! signale trente et une espèces différentes, dont un
assez grand nombre doivent sans doute être rayées, parce que
l’on ne sait s'il ne s’agit pas simplement de jeunes Distomes
enkystés. Dans les Gastropodes d’eau douce, cinq espèces seu-
lement ont été observées (v. LÜKE, loc. cit. p. 208); trois furent
trouvées dans des rédies, habitants des Limnées et des Planor-
bes, deux espèces dans des sporocystes de Limnea lacustris et
Acroloxus (Ancylus) lacustris. Notre nouvelle forme ressemble
surtout à Cercariaeum paludinae impurae Fil, parce que, comme
chez cette espèce, toute la peau est armée; mais ce sont des”
écailles et non des épines qui couvrent le corps de notre
espèce.
En disséquant une Limnea auricularia var. ampla, du petit
lac de St-Blaise (près Neuchâtel), nous avons trouvé dans le foie
de cet animal cinq rédies, dont la plus petite mesurait 2"",2, la
plus grande 3"",5, avec un diamètre de Om, 4, Ces rédies possè-
dent une petite ventouse buccale d’un diamètre de 0°",06 et un
intestin sacciforme qui occupe toute la largeur de la rédie et
n'est long que de 0"",36 ; il est rempli d’une masse brunûtre,
provenant sans doute du foie, et qui forme chez l'animal vivant
une pelite tache visible à l'œil nu. Le corps de la rédie ne possé-
dait aucun appendice. Toutes ces rédies sont remplies de dix-
sept à trente cercaires sans queue, arrivés tous au même degré
de développement. On ne voit que de très rares amas cellulaires
non différenciés contre les parois de la rédie.
Le cercaire est long de 0"",36 et sa cuticule, qui est armée
d’écailles, est plus épaisse en avant (0"",0072) où ces formations
cuticulaires sont beaucoup plus grandes qu’en arrière (0,036).
Les petites écailles recouvrent toute la surface du corps, à l’ex-
ception d’une étroite zone médiane située entre la ventouse
buccale et la ventouse ventrale (fig. 11, 12). Les écailles sont
larges de 0"",0036 jusqu’à la hauteur de la ventouse ventrale ;
? W. Sries and A. Hassazr. /ndex catalogue of medical and veterinary
z0ology. Trematoda. Hygienic Laboratory, Bulletin n° 37, 1900.
NOTES HELMINTHOLOGIQUES 395
de là, elles deviennent beaucoup plus petites et sont souvent
difficiles à voir. Sur le pourtour des ventouses, et surtout sur
la ventouse ventrale, se trouvent quelques rangées d’écailles
très fines. Ces écailles s'étendent même jusqu'au bord interne
de sa cavité. La ventouse ventrale a un diamètre de 0"",108 à
0,128, sa profondeur est de 0"",08; elle est donc aussi grande
ou même un peu plus grande que la ventouse buccale qui, elle,
a un diamètre de 0"",1 à 0"",112. Le pharynx qui a une lon-
gueur de 0"",4, se trouve, comme chez Cercariaeum planorbis
carinati, immédiatement en arrière de la ventouse buccale ;
l’æœsophage est très court. Sur tous les individus renfermés
dans les rédies nous avons trouvé à l'extrémité postérieure un
testicule (diamètre 0,072) nettement développé et, devant lui,
un petit ovaire. Cette disposition indique que nous nous trou-
vons en présence de la larve d’une espèce du genre Asymphylo-
dora Looss, caractérisée surtout par l'existence d’un seul testi-
cule. Si nous parcourons la liste des espèces du genre susnommé
habitant nos Poissons, nous trouvons que À. tincae seul possède
un corps couvert d’écailles cuticulaires. Ces écailles, larges de
0"%,0036 chez notre larve, ont 0"",004 chez l'adulte. Nous pen-
sons donc avoir trouvé la larve du Distome À. tincae (— Disto-
mum perlatum Nordm.), assez répandu dans l'intestin de Tinca
tinca. Comme les cercaires sont dépourvus de queue, il est fort
probable qu’un second hôte intermédiaire manque et que la
Tanche s’infecte en mangeant les Mollusques dont le foie con-
tient des rédies remplies de cercaires. Max LünE (loc. cit. p.93)
croit que la larve de À. tincae est Cercariaeum paludinae
impurae (Fil.), vivant dans Bithynia tentaculata, où Ficrppr a
trouvé des rédies dont l'intestin sacciforme occupe le premier
tiers de l'animal, tandis que chez notre espèce cet organe occupe
seulement 1/; à ‘/6 de la longueur du corps de la rédie. En
outre, les écailles de l'extrémité antérieure du corps sont si
distinctes que Fizipp1 ! n'aurait pas écrit que l'animal est couvert
! Fiuiepr, Ph. pe. Troisième mémoire pour servir à l'histoire génétique des
Trématodes. Mem. R. Acad. Sc. Torino, T. 18, 1859, p. 201.
396 O. FUHRMANN
d’épines si tel n’était pas le cas. Nous croyons donc que l'espèce
que nous venons de décrire se rapproche plus de À. tincae que
le cercaire de Fizrpp1, mais n’ayant pas pu faire des expériences
de nutrition avec les larves que nous avons trouvées, nous pro-
posons de nommer ce cercaire Cercariaeum Squamosum.
EXPLICATION DE LA PLANCHE 1
FiG. 1. — Sporocyste de Cercaria letifera n. sp.
Fi. 2, 3, 4, 6, 10. — Développement de la Cercaria letifera n. sp.
F1G. 7, 8. — Cercaria letifera n. sp.
FiG. 9. — Rédie de Cercariaeum squamosum n. sp.
Fic. 11, 12. — Cercariaeum squamosum n. sp.
7
*
Rax Suisse de Zool. T. 24. 196.
ass ie cree
D pee
vs
Fuhrmann:— Cercaires
RENMUDEESUTISSE DE :ZOOrOGIE
Vol. 24, no 5. — Avril 1916.
Fourmis du Congo
et d'autres provenances
récoltées
par MM. Hermann Kohl, Luja, Mayné, etc.
Aug. FOREL
Avec 7 figures dans le texte.
Je laisse de côté les formes déjà fort connues ou n’offrant
pas d'intérêt.
l'e Sous-famille Ponerinae Lep.
Ponera coeca Sant.
®.S'-Gabriel, Congo (KouL).
Ponera ergatandria For. r. Petri n. st.
$. Longueur : 2,9, Ressemble à la r. cognata Sant., mais
elle présente au milieu de lépistome, devant, un sillon longi-
tudinal qui rappelle celui de la sulcatinasis Sant. Du reste,
beaucoup plus grande et avec l’écaille moins épaisse et plus
haute. Les yeux sont plus grands que chez la r. cognata, com-
prenant 5 à 6 facettes plates. La tête est plus large, surtout der-
rière, aussi plus échancrée et un peu plus courte. La couleur
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 27
398 A. FOREL
est d’un brun roussâtre ou d’un roux brunâtre avec les antennes
et les mandibules d’un roux jaunâtre. La pubescence est plus
forte que chez la r. cognata, mais moins forte que chez la sulcati-
nasis. Peut-être ferait-on mieux de rapporter cette forme comme
race à la sulcatinasis.
S'-Gabriel, Congo (Ko.
Plectroctena minor Em.
5. Q. S'-Gabriel, Congo (KouL).
Platythyrea Conradti Em.
5 G. S'-Gabriel, Congo (Kour). Habite des arbres creux et
leurs branches. Les trous de sortie sont recouverts de fines
matières végétales, dans lesquelles on trouve des Fourmis para-
sites. Piqüûre fort douloureuse.
Platythyrea modesta Em.
$. S'-Gabriel, Congo (Ko).
Pachycondyla (Bothroponera) Svent n. sp.
Longueur : 9%%—10"",5, Bien plus grande que sa parente la
gabonensis André. Mandibules lisses, luisantes, avec de gros
points épars et quelques rides vers l'extrémité, armées de quatre
dents usées; le bord terminal peu distinct du bord interne. Tête
rectangulaire, un peu plus longue que large, aussi large devant
que derrière, à bord postérieur légèrement concave et à côtés
faiblement convexes. Epistome sillonné au milieu, mais sans
dents devant (avec 2 dents chez la gabonensis). L’épistome est
avancé devant ; son bord antérieur est convexe. Yeux assez
grands, convexes, situés distinctement en avant du milieu. Le
scape dépasse un peu le bord postérieur de la tête. Articles 2 à 6
du funicule plus longs qu’épais ; articles 7 à 10 aussi épais que
longs. Suture promésonotale distincte ; suture mésoépinotale
obsolète. Pronotum 2 fois plus large que long, un peu subépaulé.
Epinotum armé de 2 épines divergentes, obtuses à l'extrémité,
aussi longues que l'intervalle de leurs bases et plus longues que
cette dernière, dirigées en haut et un peu en arrière. Face déclive
FOURMIS DU CONGO 399
avec une légère carène longitudinale. Ecaille semblable à celle
de la gabonensis, mais les épines sont bien plus longues (com-
parées avec la figure de la v. s/riatidens Sant.). Les 2 épines
latérales sont presque aussi longues que la hauteur de lécaille.
Les 3 épines médianes sont étroites et très longues, mais plus
courtes que les latérales ; la médiane environ 5 fois plus longue
que la largeur de sa base. Abdomen à peine rétréci derrière son
premier segment.
Entièrement male ou subopaque ; thorax et tête plutôt subopa-
ques. Tête assez grossièrement réticulée avec un peu de fine
sculpture au fond des réticulations, et, entre deux, avec des
rides longitudinales, surtout sur le front. Thorax grossièrement
réticulé et assez finement et irrégulièrement sculpté au fond,
avec des rides transversales grossières sur le pronotum; écaille
plus luisante, avec des mailles réliculées, allongées, assez gros-
sières. Sauf sa face antérieure, l'abdomen est mat, assez densé-
ment et finement strié en long, avec des réticulations allongées
entre les stries et des points piligères, saillants et épars. Pilo-
sité dressée abondante, assez épaisse, mais pointue au bout,
plutôt courte, d’un brun roussâtre sur le corps, rousse sur les
membres. Pubescence assez abondante et formant un léger
duvet sur les membres, qui sont subopaques et densément
ponctués. La pubescence est éparse sur le corps. Noire. Mandi-
bules, scape, pattes, lobes des arêtes frontales, devant des joues
et de l’épistome, bord postérieur des segments abdominaux et
bord antérieur des articles du funicule roussâtres. Cuisses et
reste des funicules bruns.
Congo (Kour). Reçue par M. Wasmanx. Cette espèce diffère
de la gabonensis par les longues épines de lécaille et de Pépi-
notum, par sa grande taille, par le manque de dents à lPépis-
tome, ainsi que par sa sculpture, etc.
Leptogenys Stuhlmanni Mayr r. camerunensis SUtz V. angus-
ticeps n. var. |
$. Longueur : 9"",7. Diffère du type de camerunensis par sa
tête plus étroite et sa couleur bien plus foncée, brune, avec les
400 A. FOREL
pattes, les antennes, les mandibules et les extrémités des
segments abdominaux seules roussâtres. Chez le type de la
camerunensis, qui est entièrement roussâtre, la tête est aussi
large devant que sa longueur, tandis qu'elle est bien plus
longue chez la v. angusticeps, avec les côtés distinctement plus
convexes.
S'-Gabriel, Congo (KouL), un seul exemplaire. Je crois devoir
faire une race distincte de la camerunensis Stitz.
Anochetus Traegaordhi Mayr.
ÿ. Congo (Ko).
Anochetus Bequaertt For. |
©. Congo (Kouxr). Q@ (non encore décrite). Longueur : 7°",5.
Tout à fait semblable à l’ouvrière ; les mêmes dents obtuses et
courtes à l'épinotum. Mésonotum subopaque, densément strié
en long. Ailes un peu enfumées. Couleur du corps un peu plus
claire que chez le type, d'un brun roussâtre. Pronotum avec
quelques rides transversales.
Phyracaces nkomoensis n. sp.
$. Longueur : 4"",2—4"",6. Fort rapproché de Cooperi
Arnold et de Foreli Sant. Mandibules lisses et luisantes avec de
gros points épars. Arêtes latérales des joues, courtes, luisantes,
mais élevées. Yeux au milieu, convexes, occupant près du tiers
du côté de la tête. Articles 2 à 7 du funicule 2 fois plus épais
que longs ; les 3 derniers articles forment une massue.
Le scape atteint le tiers postérieur de la tête. Celle-ci plus
longue que large (d°1/: à peine), avec les côtés convexes, mais
aplatis derrière et bordés en dessous ; le bord postérieur large-
ment échancré et un peu plus large que le bord antérieur. Thorax
fortement convexe d’avant en arrière, plus faiblement de droite
à gauche, sans sutures, mais avec un bord aigu, tout le long des
côtés et entre la face basale et la face déclive de l’épinolum ; ce
dernier bord est interrompu au milieu. Le dos du: thorax n’est
pas tout à fait 2 fois plus long que large. Face déclive de Pépi-
notum très abrupte, plane, bordée latéralement, ayant vers son
FOURMIS DU CONGO AO
milieu deux petites carènes longitudinales ; elle est séparée de
la face basale par deux très petites dents. Pétiole rectangulaire,
11}: fois plus large que long, concave devant, convexe de côté
et derrière, bordé devant et de côté, distinctement convexe
dessus, ayant à ses angles postérieurs deux petites dents trian-
gulaires, plus grandes que celles de l’épinotum. Sa face anté-
rieure, un peu concave, est verticalement tronquée et bordée
aussi de bas en haut. En bas, dessous, le pétiole a un lobe trian-
gulaire. Postpétiole 1 ?34 fois plus long que le pétiole et 17/4 fois
plus long que large. Distinctement plus large que le pétiole,
avec les côtés un peu convexes, surtout assez fortement convexe
dessus et dessous, ayant bien plus l'aspect d’un segment abdo-
minal étranglé derrière que chez le Coopert, il est néanmoins
bordé et concave devant, ayant dessous, devant, une dent obtuse.
Abdomen proprement dit largement articulé au postpétiole avec
lequel il forme du reste un fort étranglement. Pattes moyennes;
les cuisses ont un lobe articulaire fort grand à leur extrémité
postérieure, avant laquelle il est d’ailleurs amine. |
Luisant, avee une forte ponctuation profonde, égale et assez
dense, sur tout le corps, bien plus fine et plus espacée, et bien
plus superficielle sur les membres. Pilosité dressée, roussâtre,
irrégulière, assez longue, éparse sur le corps et sur les mem-
bres, plus abondante sur l’aplatissement postérieur subbordé
du pygidium. Pubescence éparse, peu apparente partout. Noir;
pattes et antennes brunes ; tarses, aplatissement du pygidium,
extrémité des mandibules et massue des antennes roussâtres.
S'-Gabriel, Congo (Kour). Diffère de Coopert et de Braunst
par la forme du postpétiole ; de Foreli par sa sculpture tout
autre. Le thorax est bien plus franchement bordé que chez
Cooperi. La tête est plus large derrière et plus échancrée que
chez Cooperi r. congolensis.
Phyracaces Cooperi Arnold r. congolensis n. st.
$. Longueur : 4"",2. Diffère du type d’ARNOLD par sa tête
bien plus étroite derrière et plutôt plus large devant, puis sur-
tout par sa ponctuation infiniment plus fine, aussi fine sur tout
402 A. FOREL
le corps que sur l’abdomen, plus espacée que chez nkomoensis.
Les antennes forment une massue bien moins distincte que
chez ce dernier. Les angles de l’épinotum et du pétiole sont à
peine dentiformes. Le postpétiole, bien plus nodiforme que chez
nkomoensis, bien moins largement articulé à l'abdomen pro-
prement dit, est distinctement plus large que long, tout à fait
rectangulaire, bordé de côté. Du reste, comme le type.
S'-Gabriel, Congo (KouL). D’après Arnozp le Cooperi diffère
de Braunsi par sa taille plus grande, ses yeux plus petits, ses
scapes plus longs et sa ponctuation plus forte.
2% Sous-famille Dorylinae Leach.
Dorylus (Anomma) funereus Em.
g' Congo (KouL).
Dorylus (Anomma) Wilwerthi Em.
g' Congo (Ko).
Dorylus (Anomma) Stanleyi For.
g' Congo (KouL).
Dorylus (Anomma) opacus For.
g' Congo (Ko).
Dorylus (Anomma) Emeryi Mayr.
$ Congo (KoxL), recu par M. Wasmaxwx. Chez l’opacus Ÿ, la
tête est plus plate que chez l’'Emeryr.
Dorylus (Anomma) Kohli Wasm. v. Frenisyt n. var.
$. Longueur : 4""—-8%% 5, Plus petit que la forme typique et
surtout beaucoup plus mat, surtout la tête qui est à peine un peu
subopaque, presque mate. La tête est aussi légèrement plus
plate avec les côtés un peu plus droits que chez le type. Congo
(KouL).
Dorylus brenipennis Em. v. Marschalli Em.
? Congo (Kouz, reçu par M. WasManN).
FOURMIS DU CONGO 403
3% Sous-famille J/yrmicinae Lep.
Sima (Pachysima) aethiops Sm.
ÿ ©. Watikaia sur le fleuve Chopo, Candolo sur lOkiavo-
Lindi, dans les branches creuses d’une plante myrmécophile
(Barberia fistulosa Mast.).
Sima Oberbecki For.
® Leopoldville, Bas-Congo (KouL), dans la même plante que
S. (Pachysima) aethiops.
® non encore décrite. Longueur : 7°", Mésonotum à peine
plus large que le reste. Les ailes manquent. Du reste absolu-
ment semblable à l’ouvrière, mais la tête est encore plus longue,
1 ?3 fois plus longue que large. Il s’agit d’une petite @ à peine
aussi grande que l’ouvrière typique.
Sima Mocqueryst André.
$ÿ Congo (Kour), même plante que les précédentes.
Sima anthracina Sant.
ÿ S'-Gabriel, Congo (Kohl), même plante que Les précédentes.
Sima Prelli For. v. odiosa n. var.
ÿ. Longueur: 6%", Diffère du type par sa couleur entière-
ment noire, avec les mandibules, les antennes et les pattes rous-
sâtres, les cuisses brunes et le milieu des funicules obscurei.
La tête est aussi un peu plus longue et les funicules légère-
ment plus grêles. Prise avec la Sima Mocquerysi, au même
endroit.
Sima ophthalmica Em.
$ Bengemeza et S'-Gabriel, Congo (Kour), même plante que
les précédentes ; élève des Pucerons.
Les Ÿ sont un peu plus grandes que le type, d'environ 4"".
L’épinotum est fort bossu ; ses deux faces passant de l’une à
l’autre. Le pétiole est bas, étroit ; son nœud également convexe,
très peu distinct de son court pétiole antérieur et bien 2 fois
404 A. FOREL
plus longs que large. Le postpétiole plus large, cupiliforme, est
un peu plus long que sa largeur postérieure.
Myrmicaria eumenoides Gerst.
$ Q Romé près Stanleyville Congo (Kouz). M. KouxL a aussi
récolté la v. congolensis.
Myrmicaria exigua And.
Congo (KouL).
Myrmicarta exigua And. v. rufiventris For.
ÿ Makanga Congo (Kouz). Ici encore M. KoxL a trouvé cette
forme dans de petits nids sur les feuilles, mais il dit qu'ils sont
faits avec une toile tissée ou filée, entremêlée de matériaux
végétaux, et non en simple carton.
Cremastogaster concava Em.
ÿ @ ©. Pris plusieurs fois à S'-Gabriel, etc., sur des nids de
Termites, dans les cases supérieures d’appendices coniques, au
haut des dits nids. Envoyé aussi par le prof. Wasmanx.
Cremastogaster pauciseta Em. r. grossulior n. st.
?. Longueur : 2%",9-=3%,2." Difrére avant tout de lespese
typique par sa taille bien plus large et bien plus robuste. La tête
n'est pas rétrécie, ni convexe derrière les yeux comme chez l’es-
pèce typique, mais elle est large avec un bord postérieur à peu
près droit. Les scapes sont un peu plus courts, dépassant le bord
postérieur seulement de leur épaisseur. Le thorax a à peu près
la même forme, mais il est plus robuste ; l’'échancrure mésoépi-
notale est moins profonde, la face basale de l’épinotum bien
plus longue, avec des épines bien moins longues, plus courtes
qu'elle et moins verticales. Thorax et pédicule bien moins lui-
sants. Epinotum et pronotum subopaques, assez fortement réti-
culés. Couleur d’un jaune plus roussâtre, plus foncé, avec seule-
ment la moitié postérieure de l'abdomen brune.
S'-Gabriel, Congo (KouL), dans les nectaires floraux d’un buis-
son. Mon Cr. dolens (1910) n’est guère qu’une race de pauciseta
Em., auquel je l'avais déjà comparé du reste.
FOURMIS DU CONGO 405
Cremastogaster luctans For. v. rugosior. Sant.
$ Congo (KouL).
Cremastogaster Ruspolit For. v. atriscapis For.
Pris une fois à S'-Gabriel, dans une plante myrmécophile, et
une autre fois dans un grand nid de carton (aussi à S'-Gabriel)
appliqué sur une plante de Cacao où il cultivait des Coccides en
grand, arrêtant ainsi le développement des fruits. Parfois les
fruits étaient eux-mêmes recouverts de carton.
Cremastogaster nigeriensis Sant. V. wtlniger n. var.
ÿ. Longueur: 2""—2"",1, Plus petite que le type et de cou-
leur plus foncée, brun clair, avec les */; postérieurs de l'abdomen
et la tête d’un brun foncé, la massue des antennes et les tarses
d'un roux jaunâtre. Le reste des antennes et des pattes d'un
brun clair. Les épines sont plus longues et bien plus pointues,
de moitié plus courtes que la face basale. La tête est aussi plus
étroite, un peu plus longue, plus rétrécie et plus convexe der-
rière ; les articles de la massue sont un peu plus longs et plus
grêles et le scape plus long. L’Insecte est moins lisse, la tête
un peu subopaque, distinctement réticulée, de même que le
thorax. Du reste identique.
©. Longueur : 8"",1. Même couleur que lP Ÿ. Quelques fai-
bles stries longitudinales sur la tête. Mésonotum lisse. Epino-
tum inerme, avec une courte face basale ridée en travers et
presque horizontale et une haute face déclive subverticale. Les
ailes manquent. Tête rectangulaire, plutôt plus large que longue.
Le scape atteint à peine le bord postérieur.
S'-Gabriel, Congo (KouL), dans une plante myrmécophile.
Cette forme diffère du Wéllwerthi Sant., sa voisine, par la sculp-
ture plus faible du thorax, par son pronolum sans angles et bien
plus convexe, seulement subbordé. Elle me paraît néanmoins
constituer un passage du nigeriensis au Willwerthi. Elle res-
semble aussi au Muralli For., mais en diffère par son pétiole
élargi devant, par son thorax étranglé, etc.
406 A. FOREL :;
Cremastogaster censor For. r. Junodi n. st.
$. Longueur : 3"",3. Plus petit que le type dont il diffère en
outre par une carène longitudinale au milieu du mésonotum qui
est un peu moins concave derrière. La tête est en outre un peu
moins large et surtout subopaque, presque mate, avec des rides
longitudinales très serrées et fines, tandis qu’elle est lisse chez
le type du censor. L’abdomen est par contre fort lisse, plus que
chez le type. La couleur est la même, à part la tête qui est brune.
Récolté par M. Juxon au Transvaal à Shilowana (Musée de
Genève). Dans ma description du type j'ai oublié le caractère
principal, c’est-à-dire la forme du thorax qui est toute différente
du senegalensis dont j'en avais fait une race. Chez le senega-
lensis le promésonotum est fortement convexe en tous sens;
chez le censor la moitié antérieure du pronotum est ascendante,
passe par une courbe brusque au reste du pronolum et au méso-
notum qui sont presque plats. à peine convexes. Par suite, l’épi-
notum est à la même hauteur que le mésonotum, séparé de lui
seulement par une suture profonde et enfoncée. C’est pourquoi
je crois devoir séparer le censor, comme espèce distincte, du
senegalensis.
Cremastogaster australis Mayr v. sycites n. var.
$. Longueur: 4"",2. Bien plus petit que le type, avec les deux
nœuds plus étroits, le pétiole peu élargi devant et la couleur plus
foncée, d’un brun roussâtre, avec le vertex et l’occiput bruns et
l’abdomen noir.
Townsville, N. Queensland, reçu de M. DonISTHORPE.
Cremastogaster vulcania Sant. r. Godefreyi For. v. forami-
nicipoides n. var.
Longueur : 3"",8—4"",6. Noir, mandibules, antennes et
pattes brunes ; tête subopaque, presque mate, très densément
et finement striée, avec d’assez gros points enfoncés, rappelant
ceux du foraminiceps Sant.
Bulawayo, Rhodesia (ArnoLp) (N° 108). Je l'avais considéré
dans le temps (Annales Soc. Ent. Belg. 1913, page 124) comme
simple variété du vulcania, sans lui donner de nom.
FOURMIS DU CONGO 407
J'ai eu le tort de rattacher la r. Godefreyt au foraminiceps
Sant., dont le pronotum bordé et presque concave en dessus à
une toute autre forme. Les épines sont aussi bien plus courtes
chez le Godefreyi. Du reste toutes ces espèces sont très voisines
et pleines de transitions.
Cremastogaster Menilekt For. r. Satan n. st.
$. Longueur: 3"%,6—4"",1. Sculpture et épinotum d’alulai
Em., mais le mésonotum et le pronotum sont bien plus conca-
ves, comme chez le type du Menileki. La couleur est d’un brun
roussâtre, avec la tête presque noire. Les épines sont pointues
et assez courtes, le pétiole en trapèze renversé, assez long et à
côtés droits. Postpétiole petit, sillonné. La tête est lisse.
Congo (KouL).
Cremastogaster Menileki For. r. Satan For. v.satanula n. var.
$. Longueur: 2"",4—2"",6. Diffère du précédent, outre sa
petite taille, par son abdomen presque noir, par ses scapes un
peu plus longs, dépassant distinctement le bord postérieur, et
par ses épines plus longues aussi.
Trouvé dans la fente d'une écorce d’arbre couverte d’une toile
avec matériaux végétaux. S'-Gabriel, Congo (Kour). Les deux
formes précédentes diffèrent de pronotalis Sant. par leur post-
pétiole sillonné et leur pétiole moins anguleux. D’après SANTscui,
le C. alulai serait une race de Menilekt, tandis qu'EMERrY veut
rattacher mon scrutans comme race à l’alulai. Le dédale des
transitions est presque infini.
Cremastogaster kasaiensis For.
$ ® S'-Gabriel et autres lieux, Congo, récolté par M. KouL
sous 28 numéros différents. Les ailes de la © sont d’une couleur
brune assez foncée, fort accentuée. L’énorme différence entre
l$ et la © est partout la même ou peut s’en faut. L'ouvrière
varie entre 2", 1 et 3"",2, Toutes les Fourmis ont été récol-
tées dans les internodium de plantes myrmécophiles. L'ana-
logie du Cr. kasaiensis avec diverses races du Buchneri est
telle que je suis obligé, malgré tout, d’en faire une simple race
408 A. FOREL
de cette espèce. La ® surtout ressemble à s’y méprendre à celle
de la r. Winkleri For. J’ai donc pensé qu'il pouvait s’agir de
simples fourmilières commençantes, d'autant plus que M. Ko
a trouvé souvent une © seulé avec les $. Néanmoins, dans
8 numéros différents, il m'a envoyé entre 50 et 100 ouvrières
de chacun. L'un d’eux avait plusieurs 9. Il est danc inadmis-
sible que toutes ces fourmilières fussent commençantes et je
dois maintenir le kasaiensis, au moins comme race. La taille de
la © varie entre 7"",8 et 97,3.
Cremastogaster impressa Mayr sens. strict.
$ © o Kilongalonga, Congo (KouL), dans une tige creuse de
Buchnacrodendron speciosum Gürke et dans d’autres plantes
myrmécophiles à S'-Gabriel.
g' encore inédit. Longueur : 3°",6. Mandibules formant une
seule dent aiguë. Epinotum inerme. Pétiole en trapèze renversé
fort élargi devant. Mésonoltum densément strié en long. Entière-
ment noir, avec les antennes, les tibias et les tarses roussâtres,
les cuisses brunes et les ailes subhyalines. Chez la Q, la pre-
mière moitié des ailes est brunâtre (un peu comme chez certains
Lasius d'Europe). Cette espèce est très voisine de la forme que
j'ai appelée Cr. excisa, r. Andreï, surtout de sa variété gordo-
nensis For. Ces formes constituent un passage de lexcisa à
l'empressa.
Cremastogaster impressa Em. v. sapora n. var.
$. Longueur: 3"",6—4"%, Diffère du type par son proméso-
notum subopaque et réticulé, sans rides longitudinales. Les
épines sont beaucoup plus courtes, à peu près comme chez
l’excisa v. Kohliella For. La couleur est variée de roux et de
brun foncé sur le thorax ; la tête est brune derrière, roussâtre
devant. Du reste comme le type.
®. Longueur : 5"",4. Beaucoup plus petite que le type, avec
les ailes presque hyalines (légèrement brunâtres chez Le type).
L’épinotum a deux faibles dents obtuses. La tête est plus large
que le thorax. Du reste comme le type.
k MEL
FOURMIS DU CONGO 409
Congo (Kour). Cette forme fait un peu transition à l'ercisa
Mavr.
v
Cremastogaster excisa Mayr.r. Andret For.v. Kolhliella n. var.
=
ÿ. Longueur : 2"",7—3"%,6. Très semblable au type de la
race, mais les épines sont plus courtes, longues à peine comme
1 de leur intervalle. La portion tronquée du mésonotum, der-
rière, est très abrupte, formant presque un angle droit avec
le dos.
S'-Gabriel, Congo (KouL) dans des plantes myrmécophiles.
Cremastogaster Buchneri For. v. Graeteri n. var.
5. Longueur: 3"",5—3"",7, Beaucoup plus petite que le type,
auquel il est du reste fort semblable. La tête est un peu plus
longue, distinctement plus longue que large et moins échan-
crée derrière. Epines plus courtes, longues comme à peine 1/3
de leur intervalle. La sculpture, surtout sur la tête, est plus
superficielle, seulement subopaque. Du reste identique.
S'-Gabriel, Congo (KouL), nid fait en carton.
Cremastogaster Buchnerti For. r. Winkleri For.
? Congo (Kour), dans une plante myrmécophile.
Cremastogaster Buchneri For. r. Winklert For, v. Ficken-
deyt For.
ÿ Leopoldville, Congo inférieur ; S'-Gabriel, etc., Congo
(KouL) avec des Coccides, 1 fois vers des Termites, nichant
autour des plantes.
En outre M. KouL a récolté diverses formes intermédiaires
entre la r. Winklert et la v. Fickendeyt, une fois dans un nid,
probablement volé, de Tetramorium aculeatum, d'autres fois
dans des plantes myrmécophiles, ou dans des nids de Termites.
Le n° 68 porte la très intéressante remarque suivante : « Fourmi
« des plantes. Vit dans et sur la plante myrmécophile Plectronia
« laurentit de Wilde. À 5 mètres du sol, se trouvait un tronc
« portant le nid en carton de la Fourmi qui avait 40 à 50 cm. de
410 A. FOREL
« haut. Mais La Fourmi habite en même temps toutes les bran-
« ches creuses de la plante. Makanga sur le fleuve Okiavo. »
De là, on peut conclure qu’il n’y a pas contraste absolu entre
les nids en carton du Buchnerti et l'habitat des tiges creuses.
Cremastogaster Buchneri For. r. Winkleri For. v. transversi-
ruginota n. Var.
$. Longueur: 3"",2—4"%, Aussi grand que les plus grands
Winkleri, dont elle se distingue par son mésonotum bien plus
fortement tronqué derrière (presque comme chez lercisa r.
Andrei). et dont la carène s’arrète derrière, vers le milieu. Puis,
la face basale de lépinotum a des rides transversales grossières.
Le pétiole est un peu plus large devant; tout le thorax est un
peu plus robuste.
Motombe sur le fleuve Okiavo. Pris dans un nid de carton
de 50 cm. de haut. Cette forme ressemble beaucoup à l’impressi-
ceps Mayr v. Lujana For., mais ce dernier a le promésonotum
fort et uniformément convexe, plus convexe mème que l’im-
pressiceps typique, et sans carène.
Cremastogaster Buchnerti For. r. Laurenti For. v. theta For.
$ ® S'-Gabriel, Congo (KouL), dans les buissons. Une fois
déménageant la nuit de nids de carton qui se trouvaient sur un
arbre coupé.
® (encore inédite). Longueur: 5"",7—6"". Brune, avec les
pattes, les anterines et les mandibules roussâtres. Scutellum et
postsculellum verticalement tronqués, face déclive de l’épino-
tum de même. La face basale, courte et oblique, se termine par
2 épines pointues plus longues que la largeur de leur base.
Pétiole presque circulaire. Postpétiole sans sillon distinct (dis-
tinct chez | $). Luisant et presque lisse, sauf quelques rides
superficielles sur la tête. Celle-ci bien plus large que longue.
Cremastogaster Buchneri For. r. africana Mayr v. Camena
n. var.
ÿ. Longueur: 3%%,3—3"%,7, Très près de la var. variegata
FOURMIS DU CONGO 411
Mayr, dont elle se distingue par sa couleur un peu plus fon-
cée, sa taille un peu plus grande, puis surtout par ses épines
bien plus courtes, subdentiformes, très épaisses à la base, par
la carène plus nette du mésonotum et par la suture promésono-
tale plus enfoncée, faisant un peu feston de côté. Même sculp-
ture que variegata. Chez le type de la r. Laurenti For. la suture
promésonotale est aussi enfoncée que chez la var. biemarginata
For. de la r. africana.
Olombo, Congo (Kouz).
Si Je récapitule l’étude précédente, j'en tire la conclusion qu'il
y a là un dédale de formes transitoires qui, à mon avis, nous
forcera de réunir les espèces suivantes comme races au Cr.
Buchneri For.: kasaiensis For., vulcania Santschi, émpressiceps
Mayr, excisa Mayr, impressa Em., Kohli For., Alulai Em. et
même Menileki For. Peut-être même devra-t-on aller plus loin,
mais pour le moment je m'arrête. En effet, la longueur des
épines, la formé et la carène du mésonotum, la forme du prono-
tum, celle du pétiole et du postpétiole varient tellement que les
caractères qu’on a donnés autrefois comme spécifiques ne tien-
nent plus debout. Les mœurs cartonnières et internodiales,
nous venons de le prouver, montrent aussi des transitions.
Cremastogaster {(Atopogyne) Luciae For.
® Congo (KouL.
Cremastogaster (Oxygyne) Stadelmanni Mayr.
5 S'-Gabriel, Congo (Kour), dans de grands nids de cartons
contre les troncs d’arbres.
Cremastogaster (Decacrema) solenopsisoides Em. r. flavida
Mayr v. convexiclypea n. var.
ÿ. Longueur : 2""—2""%,5. Se distingue du type de la race
par son épistome beaucoup plus convexe et par sa couleur encore
beaucoup plus pâle, d’un jaunâtre terne. Le mésonotum est
aussi fortement creusé en long d’un bout à l’autre entre les
2 arêtes, plus que chez le type. Les épines sont un peu plus
longues. Du reste identique.
412 A. FOREL
PA
@ Longueur : 4"",6. Antennes de 10 articles, comme chez
l’ ÿ. Ailes faiblement teintées de jaunâtre, à nervures pâles.
Tête bien plus longue que large ; le scape n'alteint que son
cinquième postérieur. Massue moins distinctement biarticulée
que chez l’ouvrière. Thorax plus étroit que la tête. Deux épines
assez pointues à l’épinotum. Couleur d’un jaune un peu plus
brunâtre que chez l’ouvrière.
g Longueur : 1"",5—1""9. Mandibules très courtes, ne se
rejoignant pas, obtuses à l'extrémité. Thorax un peu plus large
que la tête. D’un jaune brunâtre sale ; pattes et antennes jaune
clair et pâle. Du reste comme la Q.
S'-Gabriel, Congo (Kout). Dans une plante myrr mécophile.
Cremastogaster (Decacrema) petiolidens n. sp.
ÿ. Longueur : 1"%,6—2"%, Mandibules étroites, lisses, lui-
santes, ponctuées. Tête rectangulaire distinctement plus longue
que large (d° 1/3 environ), avec les côtés convexes et le bord pos-
térieur un peu convexe aussi et plus étroit que le bord anté-
rieur. Epistome court, un peu déprimé dans le sens longitu-
dinal. Les yeux, petits et plats, situés à peine en avant des côtés,
n'ont qu'une dizaine de facettes. Scape court, distant du bord
postérieur d'environ 2 fois son épaisseur. Massue épaisse, de
2 articles. Funicule de 9 articles ; dont les 2" et 3"° peu dis-
tinctement séparés ; articles 3 à 5 deux fois plus épais que longs.
Pronotum assez distinctement épaulé. Sutures distinctes. Le
pronotum a, entre son cou et son dos, un escalier antérieur fort
abrupt. Mésonotum faiblement, mais distinctement convexe,
nullement excavé, ni en long, ni derrière. Pas d’échancrure
mésoépinotale marquée, mais simplement un assez fort enfon-
cement de la suture. Face basale de l’épinotum un peu plus large
que longue, convexe devant, concave entre les deux épines.
Celles-ci sont triangulaires, à base très large, à peine ou pas
plus longue que cette dernière, constituant deux très larges
dents pointues. Face déclive plus courte que la basale. Pétiole
carré, à peine ou pas plus large devant que derrière, muni de
4 dents ; les antérieures petites, mais les postérieures très appa-
7 +
FOURMIS DU CONGO 413
rentes, pointues et fortes. Le postpétiole très étroit, avec un
sillon médian étroit, mais fort distinct. Pattes courtes.
Lisse et luisant, avec une fine ponctuation éparse. Quelques
fines stries sur le devant de la tête et quelques réticulations sur
l’épinotum. Pilosité dressée extrêmement éparse et très courte.
Pubescence très courte et diluée. Roussâtre ou rougeûtre avec
la tête et l'abdomen bruns.
Congo (KouL), sans reniarques spéciales. Cette curieuse espèce
diffère du solenopsisoides par la forme du thorax et du pétiole,
par ses petits yeux, etc. Elle ressemble aussi au Muralti For.,
mais celui-ci a 11 articles, pas de dents au pétiole, le postpétiole
sans sillon, la tête toute autre, etc.
Pheidole speculifera Em. v. cubangensis For.
%. Vers le poste de Lisala au dessus de Nouvel-Anvers sur
le Congo. Cette variété est plus près du type de lespèce que la
race crassinoda Em., à laquelle je l'avais autrefois rapportée.
Pheidole Bucholzi Mayr.
$ © Makanga, Congo (KouL), chez des Termites, reçue aussi
par M. Wasmanx avec la Q.
® (encore inédite). Longueur : 8"",6. Mandibules luisantes
grossièrement striées et poncluées, à bord externe presque
droit. Tête un peu plus large que le thorax, concave derrière et
grossièrement ridée en long, les rides divergeant en arrière.
Le scape atteint le 5"* postérieur de la tête. Mésonotum et
scutellum un peu moins grossièrement ridés en long que la
têle, finement réticulés et subopaques comme elle. Epinotum
ridé en travers avec de larges épines. Postpétiole un peu plus
large que long, 3 fois plus large que le pétiole, rhombiforme,
ridé en travers et subopaque. Premier segment de l’abdomen
subopaque, densément réticulé. Les ailes manquent. Couleur
d’un roussâtre uniforme. Du reste comme le 9}.
Pheidole caffra Em. r. Bayeri n. st.
%. Longueur : 5"". Tête plus petite que chez la var. amoena
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 28
44 A. FOREL
For., un peu plus longue, plus étroite derrière, où elle est
plutôt moins large qu’au milieu. Elle est aussi moins déprimée
à l’occiput, à peu près comme chez la r. abyssinica For. Le
scape est plus long que chez toutes deux; 1l atteint presque
le tiers postérieur de la tête. Le thorax est aussi plus grêle
que chez les deux autres formes citées ; le tubercule supérieur
du pronotum est plus faible. Par contre le mésonotum est plus
profondément enfoncé au milieu, présentant un bourrelet anté-
rieur et un postérieur fort élevés. Face basale de l’épinotum
bien plus longue que large, plus étroite que chez amoena
et abyssinica ; épines subverticales, assez grêles, pointues,
longues comme les ?;; de leur intervalle. Postpétiole un peu
plus long que chez la r. abyssinica, mais à peine plus étroit ;
du reste conformé de même. Le pétiole est un peu plus long
et plus étroit. La tête est luisante avec des rides très régu-
lières sur le front où elles ne sont pas réticulaires ; elles le
deviennent sur les côtés et surtout sur l’occiput où elles diver-
gent et qui n’est nulle part lisse. Ces rides sont plus grossières,
mais bien moins serrées que chez la r. abyssinica. En outre,
l’occiput a derrière une large impression médiane qui est à
peine sensible chez l'abyssinica. Thorax ridé en travers, abdo-
men lisse. Pilosité dressée roussâtre et éparse. Scapes et tibias
avec une longue pubescence adjacente. D'un brun foncé presque
noir. Mandibules, scapes et cuisses bruns. Funicules, tarses et
articulations roussâtres.
$. Longueur: 2"%,7. Tête bien plus longue que large, plus
longue que chez abyssinica. Elle est surtout plus rétrécie et
convexe derrière, formant à peine un bord postérieur distinct.
Le scape dépasse la tête des ?/5 de sa longueur (d’un tiers chez
abyssinica). Mésonotum et épinotum comme chez le 9%, plus
allongés que chez abyssinica, de même que les deux nœuds du
pédicule. Lisse avec quelques stries obliques sur les joues ;
épinotum réticulé. Presque noire, mandibules jaunâtres, mem-
brés comme chez le %, ainsi que la pilosité.
Kasindi, Congo (D' Bayer), reçu du Musée de Bruxelles par
M. SCHOUTEDEN. é
VPN"...
FOURMIS DU CONGO 415
Pheidole Aurivillit Mayr r. kasatensis For.
$, 4, © Congo (Koui,.
® (encore inédite). Longueur : 5"",1. Relativement petite.
Mandibules luisantes, ponctuées, striées à la base. Tête en tra-
pèze, rétrécie devant, un peu plus large derrière que longue, à
bord postérieur droit. Thorax court à dos aplati. Abdomen
tronqué devant. Tête plutôt luisante, grossièrement ridée en
long. Sauf le devant du scutellum, tout le reste est mat, le
thorax densément ridé et l'abdomen densénient réticulé-ponc-
tué. De gros points piligères, surtout sur labdomen. Pilosité
et pubescence comme chez le 9. D'un noir brunâtre ; cuisses
brunes au milieu ; le reste des membres, les mandibules et une
tache à l’angle antérieur de l’abdomen, roussâtres. La Q a été
trouvée à S'-Gabriel, dans un nid de Termites abandonné.
Pheidole megacephala F. rx. nkomoana n. st.
%. Longueur : 2"",6—3"",1. Mandibules avec une fine ponc-
tuation plus abondante que chez le type de l'espèce. La tête est
relativement plus petite que chez le type; ses côtés sont moins
convexes et ses angles occipitaux bien plus aigus, laissant entre
eux deux une concavité plus grande. Les yeux sont plus con-
vexes et le scape est plus long, atteignant le tiers postérieur.
Le promésonotum est moins convexe, avec des tubercules supé-
rieurs plus accentués et une impression transversale nette au
milieu du mésonotum. Les pattes et les antennes (massue y
comprise) sont sensiblement plus grêles. Les arêtes frontales
se prolongent jusqu’au quart postérieur de la tête, laissant en
dehors un espace un peu plus lisse, et les rides longitudinales
vont même un peu plus loin, jusqu'au 5° postérieur. Pilosité
un peu plus longue, plus espacée et plus fine. Epinotum plus
luisant et plus lisse. D'un roux jaunâtre. Pattes et antennes
jaunes. Pédicule et tête d’un roux un peu brunâtre. Milieu de
l'abdomen brun. La couleur varie du reste ; souvent la tête est
brune et l'abdomen jaune-brunâtre. Tout le reste est comme
chez le type de l'espèce.
$. Longueur: 1"",8—2"",2, Tête rétrécie et convexe derrière
416 A. FOREL
avec un bord postérieur indistinct, fort étroit, un peu moins
convexe. Yeux fort convexes. Le scape dépasse l’occiput de plus
d’un tiers de sa longueur. Promésonotum moins convexe que
chez le type, avec une impression transversale indistincte au
mésonotum. Face basale de l’épinotum 2 fois plus longue que
large. Nœud du pédicule, comme tout l’Insecte, plus allongé
que chez le type. Membres, pilosité et pubescence comme chez
le 9}, de même que les variations de couleur. Sculpture comme
chez le type, un peu plus lisse.
®. Longueur 5". Tête moins rétrécie devant et plus concave
derrière que chez Le type. Mandibules comme chez le 4. Arêtes
frontales très distinctement prolongées jusqu'au 5"° postérieur
de la tête, laissant en dehors un espace lisse. Postpétiole 2 fois
plus large que long. Rides de la tête comme chez le type, mais
un peu plus lâches. Pilosité, pubescence et couleur comme
chez le %.
d'. Longueur: 3,5. Les yeux fort grands atteignent presque
le bord antérieur de la tête en surplombant un peu ses côtés.
Thorax beaucoup moins large que chez le type. Aïles faiblement
jaunâtres, avec des nervures assez pâles. Les ocelles sont beau-
coup moins grands que chez le type et la tête est plus prolongée
derrière entre les yeux. Brunâtre, mandibules, antennes et
pattes jaunâtres.
S'-Gabriel, Congo (Kouz). Trouvé plusieurs fois sous 6 numé-
ros différents, toujours dans des plantes myrmécophiles, tandis
que M. KouL a trouvé plusieurs fois les Pherdole megacephala
et punctulata, mais avec leur autre habitat bien connu. Cette
race diffère des r. Santschi et atrox par la forme de locciput.
Elle se rapproche un peu de la r. Gietleni For. de Madagascar,
mais en diffère aussi. J’ai reçu par M. Wasmanx la même race,
mais d'une variété un peu moins différente de l’espèce typique.
La r. nkomoana mérite peut-être de constituer une espèce dis-
tincte.
Pheidole rotundata For. r. impressifrons Wasm.
%, $ Congo (KouL), reçue par M. WasMANN.
FOURMIS DU CONGO 417
Je maintiens mon sous-genre Al/lopheidole contre l'opinion de
M. EMERy.
Oligomyrmex angolensis Sant. r. congolensis n. st.
%. Longueur : 1",4—1"%,5., Un peu plus grand que le type ;
sculpture identique, ainsi que la forme de la tête, mais celle-ci
a une très petite crête, de chaque côté, sur locciput. Le thorax
n'a par contre presque pas d’échancrure. L'épistome est forte-
ment échancré au milieu de son bord antérieur, mais il n'a pas
les carènes latérales que dessine et décrit Saxrscui chez le type.
La tête est subopaque et densément striée devant. Le reste du
corps est assez luisant et peu sculpté, d’un jaune terne et sale.
Tête d'un jaune brunâtre, antennes et pattes jaunes. L'extrémité
du scape dépasse à peine le milieu de la tête. Les dents de
l’épinotum sont plus courtes que chez le type, petites et trian-
œulaires.
$. Longueur : 0"",9. Sculpture de la tête, qui est mate, un
peu plus réticulaire et moins striée que chez le 4. Le scape
atteint le quart postérieur. Echancrure mésoépinotale un peu
plus forte, les dents de lépinotum aussi. Le pétiole est plus
épais et plus arrondi au sommet que chez le 9, où son nœud
parait plus haut et plus comprimé que chez le type. D’un jaune
un peu roussàtre assez uniforme, avec les pattes jaunes.
Congo (Kour). Cette race diffère de Jeanneli Sant., qui a la
tête lisse, par ses côtés convexes et non droits. La tête du 4
est bien plus longue que chez Alluaudi, mais moins longue que
chez Jeanneli; elle est un peu intermédiaire entre angolensis
s. str. et Alluaudui.
Monomorium albopilosum Em. v. Thales For.
$ Shilowana, Transvaal, récolté par M. Juxop et reçu du
Musée de Genève.
La v. diserta For. du M. Salomonis doit être rapportée à la
r. termitarium et non pas au Salomonts s. str. Le Monomorium
Schultzei For. est très rapproché de la race /ermitarium For. du
Salamonits L.
418 A. FOREL
Monomorium Oscaris For. r. springvalense, Y. paterna For.
ÿ S'-Gabriel, Congo (Kour), dans une plante myrmécophile.
Cette forme ressemble aussi assez au M. Schultzei For.
Monomorium rhopalocerum Em. v. gabrielensis n. var.
$. Longueur: 1"",2—1"",4. Diffère du type par le nœud du
pétiole plus court, bien plus comprimé d'avant en arrière, plus
pointu au sommet et aussi moins large. L'échancure du thorax
est encore plus profonde. Du reste comme le type.
©. Longueur : 3,2. La tête a les côtés convexes ainsi que
le bord postérieur ; elle est presque aussi large derrière que
longue. Le scape dépasse le bord postérieur d’à peine son épais-
seur. Thorax court et fort convexe. Pilosité du corps fine et
assez abondante. Celle des membres, subadjacente. Pétiole
comme chez l’ouvrière. Jaunâtre, avec l'abdomen d’un brun
foncé, tronqué devant. Les ailes manquent.
S'-Gabriel, Congo (KoxL), dans un petit nid de Termite.
Monomorium (Mitara) exiguum For. r. flavescens n. st.
$. Longueur: 1""—1"",3, Entièrement d’un jaune sale avec
la tête un peu plus foncée, d’un jaune un peu brunâtre. La tête
est plus allongée et plus rectangulaire que chez le type, d'un
tiers plus longue que large. Les scapes, plus courts, n’attei-
gnent que le tiers postérieur de la tête. L'étranglement du
thorax est sensiblement plus fort que chez le type qui est
presque noir, comme la var. bulawayensis For.
S'-Gabriel, Congo (Ko), pris trois fois dans des plantes
myrmécophiles.
J'ai décrit la var. bulawayensis en 1913. Comme j'ai décrit
sous le même nom un Monomorium amblyops Em. r. bula-
«wayense en 1914, et que dernièrement on commence (je pense
avec raison) à interdire l'emploi du même nom pour les variétés
du même genre, je me permets de changer le nom précédent
en M. amblyops Em. r. Prossae n. st.
Podomyrma Delbrücki For.
& Townsville, Nord Queensland, envoyé par M. DoNISTHORPE.
FOURMIS DU CONGO 419
C’est une variété chez laquelle les dents du pronotum sont un
peu plus fortes et pointues et où les côlés du mésonotum ont
aussi une protubérance dentiforme plus nette. Je ne lui donne
pas de nom spécial.
Atopomyrmex Mocquerysi André var. curvbispina For.
Lumbulumbu, Congo (KouL), courant sur un tronc d'arbre.
Rhoptromyrmex Rothneyi For. v. intermedia For.
$ MontMatang, Sarawak (G.-E. BRyYANT), envoyé par M. Doxis-
THORPE.
Rhoptromyrmex opacus Em.
$ Congo (KouL).
Rhoptromyrmex globulinodis Mayr r. Alberti n. st.
$. Longueur: 2"",1—2"",5. Diffère du type de Mayer par son
occiput bien moins concave, par les côtés de la tête moins
convexes, le scape un peu plus long, le pétiole plus étroit et la
couleur d’un jaune roussâtre avec les membres jaunes. Mais il
est lisse et luisant comme le type, ce qui le distingue d’opacus.
Congo (Koui).
Tetramorium guineense F.r. Peutli n. st.
$. Longueur : 2"",4—2"%,6. Ressemble à la v. Phasias For.,
mais elle s’en distingue, et bien plus encore du type de l'espèce,
par la forme du nœud du pétiole. Celui-ci est plus bas et plus
arrondi devant, comprimé en toit au sommet, presque sous forme
d’arête s’élevant en arrière. Sa face postérieure est un peu con-
cave, du reste abruptement tronquée. Les épines sont larges,
fortes, recourbées en avant. La sculpture est plus grossière que
chez la var. Phasias, plus semblable à celle du type de l’espèce,
mais la tête est plus réticulée et moins ridée. Couleur comme
chez le type de l'espèce, mais la Fourmi est bien plus petite.
Les articles 2 à 5 du funicule sont très courts et très petits.
©. Longueur : 3"",1. Beaucoup plus petite que le type de
guineense. Comme du reste chez l’ouvrière, les arêtes frontales,
prolongées jusqu’au 10"*° postérieur de la tête, laissent entre
420 A. FOREL
elles et les yeux presque un demi-scrobe, ou, si l’on veut, un
scrobe superficiel avec faible sculpture. La tête est rectangu-
laire, d’un quart plus longue que large. Les mandibules sont,
comme chez l’ouvrière, lisses et luisantes avec des points épars
et très fins (subopaques et sculptées chez le type, luisantes,
mais bien plus ponctuées chez la v. Phastas). La tête est aussi
large à son quart antérieur que derrière, un peu plus large que le
thorax. Epines très épaisses, peu courbées en avant. Les épines
inférieures de lépinotum ne sont pas beaucoup plus courtes ;
elles sont translucides et courbées en avant. Ailes un peu jau-
nâtres, à nervures pâles. Tout le reste, en particulier le pétiole,
comme chez l’ouvrière. La pilosité et la pubescence de l’ouvrière
et de la ® sont comme chez le type.
Congo (KouL), reçu par M. WAsMann.
Tetramorium aculeatum Mayr.
5 © SS'-Gabriel, Congo (KouL), dans de petits nids de carton
construits sous une feuille, souvent très fréquents sur le même
arbre, jusqu'à 50 ou plus. Cette espèce aime les bas-fonds humi-
des. Trouvé aussi par M. KouL au Poste de Lisala et ailleurs.
Tetramorium aculeatum Mayr v. major For.
$ © S'-Gabriel, Congo (KouL), nids plus grands que chez le
type.
Tetramorium aculeatum Mayr v. Wasmanni For.
$ Q S'-Gabriel, Congo (KouL), nichant comme le type sur
une feuille de Palmier.
Tetramorium aculeatum Mayr v. rubroflava n. var.
ÿ. Longueur : 2"",6—3""1. Tout semblable au type de l’es-
pèce, dont il a aussi les longues épines et toute la forme du
corps. Néanmoins, les épines sont moins divergentes, le bord
postérieur de la tête est un peu plus distinct et les membres
sont légèrement plus grêles, le scape dépassant le bord posté-
rieur d’un peu plus du tiers de sa longueur. La sculpture est
aussi un peu plus fine et un peu plus serrée. Couleur entière-
FOURMIS DU CONGO 421
ment d'un jaune à peine roussâtre. Quelquefois la tête, le pro-
thorax et les cuisses un peu brunâtres.
S'-Gabriel, Congo (KouL), trouvé dans des nids tissés en soie,
fixés sur les feuilles, et que M. Kouz dit être semblables à ceux
des Oecophylla et des Polyraachis. De ce fait, je conclus que le
carton des nids du 7. aculeatum n’est probablement que super-
posé à une toile filée (combinaison de carton et de toile), comme
je lai prouvé pour beaucoup de Polyrhachis.
Tetramorium africanum Mayr.
$ S'-Gabriel, Congo (KouL). Construit des nids semblables à
ceux du 7. aculeatum, mais beaucoup plus grands; sa piqûre
est horrible, pire que celle de la Pachysima aethiops, et on la
craint beaucoup.
Tetramorium sericeiventre Em. r. inversa Sant.
$ S'-Gabriel, Congo (KouL).
Tetramorium camerunense Mayr v. Gegatimti n. v.
Se bongueur : 12,327". D'un roux jaunâtre clair, avec les
membres jaunes, le postpétiole et l'abdomen bruns. Les stries
de la tête sont aussi plus serrées que chez le type de l'espèce.
©. Longueur : 2"",6. Tête un peu plus large que le thorax.
Scape distant du bord postérieur de son épaisseur. Mésonotum
et scutellum régulièrement striés en long. Le mésonotum est
bordé sur le dos de chaque côté par une arête noirâtre qui
n'existe pas chez l’ouvrière. Face basale de l’épinotum ridée en
travers. Epines fortes, aussi longues que leur intervalle. Cou-
leur comme chez l’ouvrière, mais la tête et Le thorax plus foncés,
roussâtres ; Le thorax varié de brun. Les ailes manquent.
S'-Gabriel, Congo (KouL), dans un nid de Termites abandonné.
Tetramorium simillimum Sn.
$ © S S'-Gabriel, Congo (Kour), sous une tuile. En compa-
rant le type de la © du Tetramorium pygmaeum Em., que m'a
donné dans le temps M. Emery, je la trouve absolument iden-
tique à la © du sémillimum, et par conséquent synonyme.
429 A. FOREL
Tetramorium simillimum Sm. r. isipingense For. v. Dumezi
n.. var.
$. Longueur: 2"",1—2"",5. Plus petit que le type de la race.
Les dents de l’épinotum sont un peu plus fortes et plus dis-
tinctes. Le nœud du pétiole est un peu moins arrondi. Le scape
de l’antenne est plus court, distant du bord postérieur, qui est
plus concave, de 2 l/: fois son épaisseur au moins. Le demi-
scrobe en dehors des arêtes frontales est aussi notablement
plus net. Toute la Fourmi a une stature un peu plus robuste.
Couleur un peu plus foncée sur la tête, mais plus claire sur
l'abdomen.
S'-Gabriel, Congo (Koxr) dans une plante myrmécophile.
Tetramorium Meressei n. sp.
ÿ. Longueur: 2"",6—2"",9. Aussi grand que la r. istpingense
ci-dessus. Mandibules luisantes, faiblement ponctuées, à 6 ou
7 dents indistinctes ; épistome caréné au milieu, à bord antérieur
à peine ou pas échancré. Tête absolument rectangulaire, d'un
quart à peine plus longue que large, à bord postérieur faiblement
échancré au milieu. Yeux convexes, au milieu des côtés. Arêtes
frontales atteignant presque le bord postérieur de la tête, lais-
sant en dehors un demi-scrobe à sculpture plus faible. Une arête
latérale distincte est entre les yeux et le bord antérieur de la
tête. Le scape atteint environ le 10"* postérieur de la tête. Suture
promésonotale obsolète. Angles antérieurs du pronotum obtus,
mais assez marqués. Promésonotum médiocrement convexe en
tout sens. Suture mésoépinotale pas très distincte; étranglement
mésoépinotal très faible, tout juste visible. Face basale de l’épi-
notum, un peu moins de 2 fois plus longue que large, sans bord
distinct, bien plus longue que la face déclive, qui est bordée et
terminée par 2 petites dents triangulaires. Celles-ci sont un
peu plus courtes que les dents inférieurs de l’épinotum qui sont
aussi plus pointues. Pétiole muni en dessous d'une petite dent
oblique ; son nœud, à peine plus long que le pédicule antérieur,
est un peu plus haut et surtout encore beaucoup plus arrondi,
devant, derrière et dessus que chez le sémillimum r. isipingense
pal ME fus dis
y J
FOURMIS DU CONGO 423
chez lequel il est encore assez nettement cubique. Postpétiole
court, encore plus haut que le nœud du pétiole, un peu plus
large que lui, aussi large que long, 1 ‘2 fois plus haut que long,
verticalement tronqué derrière.
Luisant. Tête et thorax assez grossièrement ridés en long,
les rides régulières sur le front, plus réticulées ailleurs. Nœuds
du pétiole et du postpétiole assez grossièrement et obliquement
réticulés de côté, lisses derrière ; abdomen lisse, avec une
ponctuation piligère abondante et très distincte. Le nœud du
pétiole est comprimé en haut en forme de toit, comme chez le
guineense r. Peutli, quoiqu'il ait du reste une autre forme ; le
sommet du postpétiole est aussi rétréci. Tout le corps et les
membres sont recouverts d’une abondante pilosité très fine,
jaune pâle, longue, d'aspect laineux, plus courte sur les
membres, mais nullement polyfide. D’un roux un peu brunûtre.
Pattes, antennes et mandibules jaunâtres; milieu de Pabdo-
men indistinctement brun.
Congo (Ko). Cette espèce a une fausse ressemblance avec
le guineense r. Peulti. Sa carène latérale des joues, sa pilosité
et ses deux nœuds sont très particuliers.
Triglyphothrix gabonensis André v. Boulognet n. var.
ÿ. Longueur : 3"",5—3"",8. Se distingue du type de l’espèce
par les nœuds du pétiole et du postpétiole qui sont tous deux
moins larges ; en outre, la sculpture de la tête, du thorax et des
nœuds est plus forte et bien plus rugueuse, les rendant subopa-
ques (le type est assez luisant et plutôt ponctué). La couleur est
aussi plus foncée, d’un brun foncé, avec les membres et les
mandibules roussâtres.
Congo (KouL).
Leptothorax (Goniothorax) Evelynae n. sp.
ÿ. Longueur : 2"",3—2"",5, Mandibules assez luisantes, très
finement ridées ou réticulées, armées de 4 dents. Epistome sans
carène, avancé fortement devant en lobe arrondi, avec le bord
entier. Tête rectangulaire, de presque !/4 plus longue que large,
distinctement rétrécie d’arrière en avant, à bord postérieur et à
42% A. FOREL
côtés presque droits, avec l'angle postérieur arrondi. Yeux plutôt
grands, au milieu. Le scape atteint presque le bord postérieur.
Dernier article du funicule 3 fois plus long que lavant-dernier ;
ses articles 2 à 8 presque deux fois plus épais que longs. Angles
antérieurs du pronotum distinctement anguleux, mais pas den-
tiformes. Thorax subbordé latéralement. Suture promésonotale
obsolète. Promésonotum faiblement convexe. Le mésonotum a
une dent latérale obtuse à son quart postérieur. Echancrure
mésoépinotale très faible en tout sens, presque xulle sur le dos,
mais la suture est distincte. Face basale 1 ?/: fois plus longue
que large. Epines un peu obtuses, subhorizontales, peu diver-
gentes, aussi longues que leur intervalle. Face déclive plus
courte que la basale, assez bordée, munie en bas d’une dent
triangulaire. Nœud du pétiole presque conique, mais arrondi
au sommet. Sa base est 2 fois plus longue que le pédicule an-
térieur et son sommet étroit est néanmoins 1 !2 fois plus large
que long. Postpétiole presque 2 fois plus large que long et que
le nœud du pétiole, un peu plus bas que ce dernier, néanmoins
un peu plus haut que long. Les deux nœuds sont arrondis en
tout sens. Cuisses un peu renflées au milieu.
Subopaque. Tête parsemée d'assez gros points, fossettes très
abondants, mais fort superficiels et en outre, dans les points
comme ailleurs, extrêmement finement et faiblement réticulés.
Ca et là, surtout devant, quelques stries longitudinales. Le
thorax etles deux nœuds ont la même sculpture fine, mais, au
lieu de gros points, le promésonotum a d'assez grosses rides
longitudinales superficielles et la face déclive de l’épinotum des
rides transversales. Abdomen lisse et luisant avec des points
épars, finement réticulé et un peu subopaque devant; de même
les pattes et les scapes. Pilosité sétiforme obtuse un peu plus
longue et moins abondante que chez l’innocens For., nulle sur
les membres. Pubescence jaunâtre claire fort distincte et adja-
cente sur le corps et sur les membres. Entièrement d’un jaune
très terne, à peine teinté de brunâtre, avec l’abdomen et les
membres plus clairs, fort pâles.
®. Longueur: 2"%,7, Absolument semblable à l’ouvrière.
FOURMIS DU CONGO 425
Tête à peine plus large que le thorax. Mésonotum. distincte-
ment ridé en long; rides assez serrées. Ailes un peu jaunâtres,.
à tache marginale brune. Tout le reste, aussi la couleur, comme
chez l’ouvrière.
S'-Gabriel, Congo (KouL) dans une plante myrmécophile.
Cette espèce, très semblable à ce que j'avais appelé Tetra-
morium (Leptothorax ?) innocens, me prouve définitivement que
cette dernière forme était un Leptothorax et non pas un Tetra-
morium. L'Evelynae diffère de l’innocens par la forme tout
autre du nœud de son pétiole bien plus mince (plus court) et
plus arrondi au sommet. Les épines et les scapes sont plus
longs, l’échancrure thoracique plus faible, la couleur analogue.
Si M. KouL n'avait pas prouvé le contraire, on serait tenté d’attri-
buer à l’innocens et à l’Evelynae des mœurs psammophiles analo-
gues à celles du groupe Laurae. Tous deux sont des Gontothorax.
Leptothorax (Goniothorax) Grisont n. sp.
$. Longueur: 2"%,7—2"%,9, Mandibules étroites, densément
striées, assez luisantes, armées de 4 dents. Epistome fortement
lobé, entier devant comme chez le précédent. Aire frontale dis-
tincte, un peu arrondie derrière. Tête presque 1 1}; fois plus
longue que large, ayant presque exactement la même forme que
chez l'Evelynae. Mais les angles postérieurs sont presque aigus
et l’occiput subbordé entre sa face antérieure et sa face posté-
rieure. Les veux, situés au milieu, assez grands, paraissent
légèrement enfoncés entre deux convexités des côtés. Le scape
atteint le bord postérieur. Antennes de 12 articles. Le dernier
article du funicule n’est pas 2 fois plus long que le précédent;
les articles 3 à 7 ne sont qu'un peu plus épais que longs ; tous
les autres plus longs qu'épais. Thorax très peu convexe en tout
sens, subdéprimé et subbordé latéralement. Angles antérieurs
du pronotum très distincts, subdentiformes. Suture proméso-
notale assez distincte, aussi distincte que la suture mésoépino-
tale. Aucune échancrure mésoépinotale, pas même d’enfonce-
ment à la suture. Epines de l'épinotum obtuses, longues comme
les ?/; de leur intervalle. Face basale presque 2 fois plus longue
426 A. FOREL
que large ; face déclive bien plus courte. Nœud du pétiole eubi-
que, à peine plus large que long, presque sans pédicule anté-
rieur, rappelant celui du Leptothorax corticalis Schenk. Postpé-
tiole très petit, presque de moitié plus court que le nœud du
pétiole, mais au moins 2 fois plus large que long, bien plus
large que le nœud du pétiole. Abdomen tronqué devant. Cuisses
renflées au milieu.
Mat, grossièrement réticulé. Sur la tête, les réticulations sont
un peu séparées les unes des autres sous formes de fossettes,
rappelant un peu la sculpture de l’Evelynae ; leur fond est rabo-
teux. Abdomen lisse et luisant, de même que les membres et la
face déclive de lépinotum. Les réticulations ont un aspect légè-
rement longitudinal sur le front et transversal sur la face basale
de l’épinotum. Pilosité épaisse, très courte (à peine plus longue
que chez l’innocens), tronquée, jaunâtre, médiocrement abon-
dante sur le corps, nulle sur les membres. Pubescence diluée
partout et très adjacente. D’un brun presque noir, avec les
scapes, la première moitié du funicule, les mandibules, les
tarses et Les articulations d’un jaunâtre sale. Le tiers postérieur
de l'abdomen d’un brun clair.
q Longueur: 3"". Tête rectangulaire arrondie, à peine plus
longue que large. Le scape dépasse un peu le bord postérieur;
antennes de 13 articles assez égaux, sauf le dernier. Thorax
plus large que la tête ; épinotum inerme, arrondi, sa face déclive
courte. Nœud du pétiole plus long que large presque sans pédi-
cule antérieur, ailes subhyalines, à nervures et tache pâles.
Noir, mandibules et membres d’un jaune pâle. Les mandibules
ont deux dents.
S'-Gabriel, Congo (KouL), sous l’écorce d’un Mango. Cette
espèce rappelle un peu le genre Nesomyrmex Wheeler, mais
elle a 12 articles aux antennes.
M. EmEery croit pouvoir identifier mon sous-genre Caulo-
myrma avec le genre Nesomyrmex Wheeler, fondé sur une
seule ©. Mais le genre de WueELEr a la tête bordée derrière.
Pour le moment. je crois devoir maintenir mon sous-genre
Caulomyrma jusqu'à ce que la question soit mieux éclaircie.
FOURMIS DU CONGO 427
Cataulacus Weissi Sant.
ÿ Q o'.S'-Gabriel, Congo (KouL), dans une plante myrméco-
phile (Randia myrmecophila de Wire).
Q® (encore inédite). Longueur : 4"",5. Du reste toute sem-
blable à l'ouvrière, mais l’abdomen est presque 2 fois plus long
que large, avec les côtés presque parallèles. Mésonotum et
scutellum régulièrement ridés en long, un peu plus étroits que
la tête. Ailes jaunâtres, à nervures pâles. Du reste comme l’ou-
vrière.
œ Longueur : 3"%,5. Tête presque triangulaire, très rétrécie
devant, aussi large derrière que le thorax, avec 2 dents poin-
tues de chaque côté. Epines de l’épinotum longues et grêles,
aussi longues que leur intervalle. Un appendice bidenté sous le
pétiole. Du reste comme la Q.
Cataulacus brevisetosus For. r. Lujae For.
Œ & Ÿ S'-Gabriel, Congo (Kour), dans une plante myrméco-
phile. Il s’agit d’une variété plus petite encore que le type.
ÿ . Longueur : 2°",5—2"",6. ©. Longueur: 3",9—4"%, Gf. Lon-
EUeUr 0 1:09.
Cataulacus guineensis Sm.
$ © Motombé sur l'Okiavo. Dans un nid de Guêpes maçonnes
abandonné, sur un tronc d'arbre. S'-Gabriel, courant en para-
biose amicale avec un Cremastogaster. Congo (KouL).
Cataulacus erinaceus Sttz.
ÿ © Congo (KouL).
® (encore inédite). Longueur : 9"",5. Thorax aussi large que
la tête. Mésonotum, scutellum et face basale de l’épinotum avec
des rides longitudinales régulières. Abdomen seulement un peu
plus long que chez l'ouvrière ; les ailes manquent.
Strumigenys (Trichoscapa) Escherichi For. r. cognata Sant.
Congo (KouL).
Strumigenys (Trichoscapa) Maynei n. sp.
$. Longueur: 1"",9—2"*, Diffère de l’Escherichi For. et de
428 A. FOREL
sa r. cognata par le pronotum plus large, sans carène médiane,
très distinctement et assez densément ridé en long. Il n’y a pas
d'escalier derrière le mésonotum, par contre une forte échan-
crure mésoépinotale, le promésonotum étant fort convexe et la
face basale de l’épinotum aussi, sur le profil. Tout l’Insecte est
mat, sauf l'abdomen, le postpétiole et les membres. D'un
roussâtre franc, parfois d'un roux jaunâtre. La pubescence
est bien plus claviforme que chez ÆEscherichi et sa race co-
gnata Sant. (partout). Ressemble aussi un peu à la biconvexa
Sant., mais bien plus grande, n'ayant pas de membrane à
l’épinotum, puis une autre sculpture. Pour le reste, comme
Eschericlu.
©. Longueur : 2,5. Thorax un peu plus large que la tête.
Mésonotum assez fortement ridé et réticulé, plus faiblement à
son milieu, devant. Une tache brune entre les ocelles. Les ?/s
antérieurs de l'abdomen bruns. Epines de lépinotum fortes.
Pilosité dressée fortement clavée, comme du reste chez l’ou-
vrière, et un peu plus courte que chez Escherichi. Les ailes un
peu enfumées de jaune brunâtre. Pubescence un peu moins
clavée que chez l’ouvrière.
g. Longueur : 2"",2. Une petite lacune entre la base des
mandibules. Antennes longues et assez filiformes. Scape à peine
2 fois plus long qu'épais. Tête bien plus longue que large; thorax
plus large que la tête. Une petite dent triangulaire entre les
faces de l’épinotum dont la déclive est plane et oblique. Nœud
du pétiole arrondi, plus court que son pédicule antérieur. Abdo-
men lisse; tout le reste du corps mat, densément réticulé-
ponctué. Ailes d’un jaune pâle à nervures pâles, d’un brun noir
avec les membres, les mandibules et le tiers postérieur de
l'abdomen roussâtres.
Congo (Ko).
Une variété récoltée par M. R. MAYNÉ au Congo ($ et Q) se
distingue par sa tête un peu plus courte et plus large, et surtout
par sa pubescence encore plus clavée. Les stries du proméso-
notum sont légèrement plus fines, je l’appelle var. latiuscula
n. var. La taille est la même.
FOURMIS DU CONGO 429
Acromyrmex Môlleri For. r. Meinerti For. v. globoculis n. var.
ÿ. Longueur: 4%,5—5%",2. Se distingue du type de la race
par ses yeux plus convexes, hémisphériques. Les épines supé-
rieures de l’occiput sont aussi plus courbées, la tête un peu plus
étroite derrière, la pubescence un peu plus forte et la couleur
un peu plus terne. Ressemble à la r. modesta For., à laquelle
elle fait transition, mais qui a les yeux bien moins convexes.
Guyane anglaise, reçu par M. CRAWLEY.
L'ouvrière de Meinerti est longue de 3 à 5", Elle est bien
moins grêle et bien moins pubescente que la modesta. Sa tête
est bien plus large, moins rétrécie derrière où elle à des épines
obliques et presque droites (horizontales et courbées chez la
modesta). Je l'ai reçue des provinces de Rio-de-Janeiro, de Säo
Paulo, de Para, etc.
4e Sous-famille Dolichoderinae For.
Semonius Schultzei For.
ÿ S'-Gabriel, Congo (KouL).
Tapinoma Arnoldi For.
ÿ (?) (encore inédite). Longueur : 2"",5. Tête rectangulaire,
bien plus longue que large, à bord postérieur droit ; plus large
que le thorax. Le scape n’atteint que le cinquième postérieur de
la tête. Articles 2 à 10 du funicule plus épais que longs. Yeux
au tiers antérieur. Thorax allongé, subcylindrique. Pilosité et
pubescence comme chez l’ouvrière. Entièrement brune. Les
membres comme le reste.
Natal, récoltée autrefois par M. Haviraxp. Je rapporte cette
Q à l’Arnoldi avec un certain doute.
Engramma Kohli n. sp.
Q®. Longueur : 1"%,8—2"",2, Mandibules luisantes, fortes, à
bord externe fortement courbé, armées d’au moins 7 ou 8 dents,
poilues, peu et très finement ponctuées. La forte échancrure
de Pépistome occupe le 5° de son bord antérieur; elle est semi-
Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. | 29
430 A. FOREL
circulaire, aussi profonde que large devant. Milieu de l’épistome
presque deux fois plus haut que l’échancrure. La tête est plus
ou moins trapéziforme, presque 2 fois plus large derrière qu'à
son bord antérieur, un peu moins profondément échancrée der-
rière que chez Æ. Lujae For., avec les côtés beaucoup moins
convexes ; elle est aussi longue que sa largeur postérieure. Les
petits yeux, situés au milieu, n’ont guère que 10 à 12 facettes.
Le scape atteint le bord postérieur de l’occiput. Articles 2 à 9
du funicule plutôt un peu plus épais que longs. Promésonotum
faiblement convexe. Echancrure mésoépinotale profonde et
assez large. Epinotum fort convexe ; sa face basale presque
double de la déclive. Ecaille et abdomen comme chez E. Lujae.
Entièrement luisante et lisse. Ponctuation très fine et très
éparse. Pilosité dressée pâle, très éparse sur le corps, nulle
sur les membres. Pubescence jaune, fort distincte partout, très
adjacente, formant un faible duvet qui ne cache nullement la
sculpture. D’un jaune assez terne, un peu roussâtre. Abdomen
brun.
©. Longueur: 4"%,7—6"%, Mandibules comme chez l’ouvrière,
mais armées de 9 à 10 dents. Bord postérieur de la tête plus
faiblement échancré. Le scape n’atteint pas le bord postérieur ;
il s'en faut de son épaisseur. Tête du reste comme chez l’ou-
vrière, aussi large derrière que le thorax ; celui-ci assez plat
en dessus, y compris la face basale de l’épistome (convexe chez
l’ouvrière): face déclive oblique, 2 fois plus longue. L’écaille
est marquée devant par un bourrelet convexe ; le pétiole a en
dessous une lamelle allongée, longitudinale, pâle, à demi trans-
lucide, qui est indistincte chez l’ouvrière. Abdomen grand.
Tout le corps assez densément et beaucoup plus fortement
ponctué que chez l’ouvrière, ce qui le rend subopaque. Membres
moins-densément ponctués. Pubescence et pilosité comme chez
l’ouvrière ; cette dernière un peu plus abondante. Brune. Tête
et thorax variés de roussâtres. Mandibules, antennes et cuisses
roussâtres ; pédicule, tibias et tarses d’un jaune sale.
S'-Gabriel, Congo (Ko). Pris sous 4 numéros différents
dans des plantes myrmécophiles.
FOURMIS DU CONGO 431
Engramma Zimmert For. r. okiavoensis n. st.
Longueur : 4""—4"",4. Dillère du type par sa taille plus
grande, par les côtés de la tête moins convexes, par son scape
bien plus court ne dépassant le bord postérieur que de moins
d’'/; de leur longueur. Les arêtes frontales sont encore plus
distantes l’une de l’autre que chez le type. L’épinotum est plus
long, bien plus long que large. Les deux stigmates de la large
échancrure thoracique proéminent au fond du métanotum.
L'orifice du cloaque est presque apical, comme chez les Tech-
nomyrmex. La couleur est inverse de celle du type: noire,
avec l'abdomen, les funicules, les mandibules et le bout des
tarses d’un roux jaunâtre. Parfois l'abdomen est brun.
Sur le fleuve Okiavo, près de S'-Gabriel, Congo (KouL), dans
un grand nid d’un blanc gris, mou, tissé et mêlé de matières
végétales fines, adossé à un tronc d'arbre. Le nid avait 50 em.
de long, 20 à 30 cm. de large et 3 à 4 cm. d'épaisseur. La partie
de l'écorce recouverte par le nid était remplie de grands Coc-
cides cultivés par les Fourmis. Celles-ci sont paisibles et
répandent une odeur particulière quand on les touche. Cette
odeur ressemble à celle des machines.
Comme pour le type, c'est avec doute que je rattache cette
race au genre Éngramma.
Engramma Ilgt For.
ÿ Makanga, Congo (KouL) sur des nectaires floraux, cultivant
aussi des Coccides. Exemplaires un peu plus petits que le type.
Eonseur:2/%,5220",0.
Engramma Laurenti Em. v. congolensis n. var.
ÿ Longueur: 2"",4—2"",8. Diffère du type par sa couleur
beaucoup plus claire, entièrement d’un jaune roussâtre, terne et
pâle chez tous les individus. La tête est aussi légèrement moins
large, surtout derrière ; le promésonotum est un peu moins
convexe et la face basale de l’épinotum un peu plus haute. La
pilosité et la pubescence sont un peu plus faibles, la ponctua-
tion par contre plus forte, surtout sur la tête, qui est subopaque
devant, réticulée-ponctuée.
432 A. FOREL
Q (?) Longueur : 5"",4. D’un brun noirâtre. La large et pro-
fonde échancrure de l’épistome est comme chez le type de
l'espèce et de la race. Subopaque, densément ponctuée, en
partie réticulée-ponctuée. Membres et mandibules d’un brun
plus roussâtre. Les ailes manquent.
S'-Gabriel et Bengemeza, Congo (KouL), dans des plantes
myrmécophiles, comme l’Engramma Kohli. Je ne crois pas
faire erreur en rattachant la femelle prise isolément à cette
même race.
Engramma Lujae For. r. Wasmanni n. st.
$. Longueur: 2"",7—3"", Même taille que le type de l'espèce
dont elle diffère surtout par sa sculpture beaucoup plus forte.
densément ponctuée, qui la rend subopaque, du moins en
partie, et par sa pubescence beaucoup plus forte aussi. De plus,
la tête est moins large, moins profondément échancrée derrière,
avec les côtés moins convexes. Les yeux sont notablement plus
petits. La couleur est d’un brun noirâtre, avec la tête d’un roux
jaunâtre, à peu près comme chez le type.
®. Longueur: 2"",7, Ailes brunâtres avec une cellule dis-
coïdale distincte, une seule cellule cubitale et la nervure trans-
verse s’unissant à la nervure cubitale à son point de partage.
La tête est indistinctement plus longue que large avec les côtés
très peu convexes et le bord postérieur superficiellement con-
cave. La tête est bien moins large que celle de l’ouvrière, aussi
large que le thorax qui est petit et assez plat. Couleur brune
avec l'abdomen presque noir ; le front, les joues et les mandi-
bules d’un roux un peu brunâtre. Tout le reste comme chez
l'ouvrière, en particulier l’épistome.
œ. Longueur: 2"",9. Un peu moins luisant que le type de
l'espèce ; couleur un peu plus foncée, presque noire; du reste
identique.
Congo (KouL); reçue par M. Wasmann.
Engramma Wolfi n. sp. (Fig. 1.)
$. Longueur: 3"",8—4"%,1, Longue et étroite, plus encore
que l'E. Zimmeri. Bord terminal des mandibules très long, armé
FOURMIS DU CONGO 433
d’au moins dix dents, bien plus long que le bord interne. Echan-
crure de l’épistome très large, au moins comme un tiers du bord
antérieur, néanmoins semi-Circulaire, presque aussi profonde
que sa largeur, suivie derrière, au milieu, d’une impression
triangulaire, toute analogue à l'aire frontale. Le milieu de Pépis-
tome, comme chez l'E. Lujae, est aussi long de côté qu’au milieu
jusqu’à l’échancrure. Aire frontale indistincte. Tête ovale, à côtés
très convexes, d’un bon cinquième plus longue qu’elle est large
au tiers postérieur, très rétrécie devant et derrière, où ses angles
sont très arrondis et où le milieu est concave, le bord postérieur
étant indistinet. Yeux très grands, situés plutôt en arrière du
milieu, peu convexes, occupant le quart des côtés. Le scape
aire frontale
impression
Freud:
Epistome de l’£Engramma Wolfi For. Ÿ. (Emma Forel, del.)
dépasse l’occiput des deux cinquièmes de sa longueur. Tous les
articles du funicule, qui n’est nullement renflé à l'extrémité,
subégaux, presque deux fois plus longs qu’épais. Thorax étroit,
allongé ; pronotum un peu plus large que long. Suture proméso-
notale enfoncée, séparant la convexité du mésonotum, qui est
plus long que large, de celle du pronotum. Echancrure méso-
épinotale forte et surtout très large. Au fond, un métanotum fort
distinct, avec ses stigmates. Vu de dessus, l’épinotum, encore
plus étroit que le mésonotum, est 1 !/2 fois plus long que large ;
vu de profil, il est bossu, avec les deux faces convexes, mais sur-
tout le sommet. Face déclive un peu plus longue que la basale.
Pétiole allongé et étroit, ayant à peine un bord d’écaille un peu
aigu devant, entièrement recouvert par l'abdomen qui forme en
avant une pointe obtuse avancée. Pattes très longues.
Thorax, sauf la face déclive de l’épinotum, fortement réticulé-
43% A. FOREL
ponctué et presque mat (chez certains individus seulement
densément ponctué et subopaque). Tête densément ponctuée,
subopaque ; abdomen luisant, faiblement chagriné, avec direc-
tion transversale des rides. Membres ponctués. Pilosité dressée
presque nulle, sauf aux deux extrémités du corps et en dessous.
Pubescence assez longue et assez abondante sur le corps et sur
les membres, sans toutefois cacher la sculpture. Presque noire.
Mandibules et membres bruns. Tarses et articulations plus
clairs, un peu jaunâtres.
S'-Gabriel, Congo (KouL), dans la forêt vierge sur le sol, parmi
des feuilles pourries ; prise une fois à la lampe. Cette espèce
est très caractéristique, fort différente de Zimmeri et des autres.
Reçue aussi par M. WasManNnx.
rime
+)
Sous-famille Camponotinae For.
Genre Santschiella nov. gen.
ÿ. Antennes de 12 articles. Ouverture du cloaque apicale,
circulaire, ciliée. Mandibules triangulaires de forme ordinaire.
Epistome triangulaire, arrondi derrière et prolongé entre les
insertions des antennes. Arêtes frontales presque nulles, limi-
tées au bord intérieur de l'insertion des antennes. Yeux énor-
mes, même plus grands que chez les Gigantiops ; ils convergent
d’arrière en avant où ils se rapprochent fortement l’un de lau-
tre. Trois ocelles frontaux. Tête bordée en dessous, derrière,
d’une arête transparente, terminée par un bord abrupt et suivie
d’une dent. Thorax profondément échancré entre le mésonotum
et l’épinotum. Ce dernier bossu, armé de deux épines à sa face
déclive. Pétiole surmonté d'un nœud très épais, qui est tronqué
et bordé derrière. Gésier inconnu.
Je place ce genre dans ma section des Procamponotinae à
côté des Hyrmoteras et des Dimorphomyrmex. Je suis, en effet,
obligé de réunir le genre Dimorphomyrmex aux Procampono-
linae, eu égard à son gésier qui ressemble beaucoup à celui des
Myrmoteras, d’après la figure d'Anpré. Je donne ici la figure
FOURMIS DU CONGO 435
du gésier du Genre Myrmoteras et l’on pourra juger (fig. 4). Je
n'ai pas osé disséquer le gésier du nouveau genre Santschiella,
représenté seulement par deux exemplaires dont je dois rendre
l’un. Ce singulier genre de Camponotinae à des affinités diver-
ses, d’un côté avec les Dolichoderinae (épistome), de l’autre
avec Myrmoteras (arêtes frontales), même avec les Ponerinae
(pétiole). Il a tout l'aspect fossile d’un reliquat phylogénique.
Frc-n2°
Santschiella Kohli For. $#, vue de côté.
(Emma Forel, del.)
—-- sépales
—--- boule
Fic. 3. Fic. 4.
Santschiella Kohli For. ÿŸ, Gésier du Myrmoteras Binghami For.
tête vue de devant. (Emma Forel, del.)
(Emma Forel, del.)
On pourra fixer définitivement sa position en étudiant plus tard
son gésier, quand on retrouvera la Fourmi. En attendant je
renvoie aux deux figures 2 et 3.
Santschiella Kohli n. sp. (Fig. 2et3.)
ÿ. Longueur: 3"",6. Mandibules luisantes, lisses, avec quel-
ques points épars très fins, armées de 7 ou 8 dents irrégulières,
436 A. FOREL
dont une ou deux très petites ; leur bord extérieur est plus long
que le bord terminal. Le bord antérieur de Pépistome est régu-
lièrement convexe. Epistome sans carène, avec une fossette
clypéale se confondant avec la fossette antennaire. Aire frontale
grande, plus haute que sa largeur; sillon frontal indistinct, très
faible. Vue de devant (fig. 3), la tête paraît un peu plus longue
que large, fortement rétrécie devant, avec le bord postérieur
faiblement convexe et trois ocelles fort distincts, mais assez
petits. De face, les énormes yeux paraissent bien plus larges
que la distance qui sépare leurs extrémités antérieures. Ils
sont fortement convexes, surplombant les côtés de la tête.
Vue de côté, la tête paraît extrêmement épaisse et courte, pas
beaucoup moins épaisse que sa longueur. Son tiers posté-
rieur est bordé d'une arête translucide qui s'élève d’arrière
en avant, où elle se termine par un bord abrupt. Un peu plus
en avant, on voit une seconde dent triangulaire sur le profil.
Entre les deux arêtes, la tête est un peu excavée. Le scape
atteint presque le 4 postérieur de la tête. Le funicule va en
s’épaississant vers l'extrémité ; ses articles 2 à 10 sont plus épais
que longs ; le premier et le dernier seuls plus longs qu'épais.
Le scape, retiré en arrière, est entièrement caché sous les yeux
surplombants, sans qu'il y ait de scrobe. Pronotum, sans le
cou, deux fois plus large que long et fortement convexe. Suture
promésonotale très distincte, un peu enfoncée. Mésonotum peu
convexe, mais abaissé derrière, devant l’échancrure. Au fond de
cette dernière, apparaissent les deux stigmates métanotaux. Face
basale de l’épinotum fortement convexe (bossue); la face déclive
aussi longue que la basale, ayant au milieu de ses côtés une
forte épine à large base, pointue à l'extrémité et recourbée en
haut. Tout à la base, deux très petites dents obtuses subépino-
tales. Le nœud du pétiole est un peu plus haut qu'épais et
tronqué devant et derrière, 1 ‘3 fois plus large que long. Mais
tandis que sa face antérieure s’arrondit en haut pour passer au
sommet, qui est convexe, la troncature postérieure est concave
et bordée, terminée de chaque côté, en haut, par une dent trian-
gulaire obtuse de chaque côté du sommet. Le bord supérieur
FOURMIS DU CONGO 437
du nœud est lui-même relevé. L’abdomen est plutôt petit, de
forme ordinaire. Les cuisses antérieures sont un peu renflées.
Médiocrement luisante, sauf l’occiput et les pattes qui sont
lisses et fort luisants. Tout le reste est extrêmement finement
pointillé ou chagriné et légèrement subopaque. Sur le devant
de la tête, qui devient presque mat, cette sculplure est plus
profonde et plus dense, prenant une direction longitudinale.
Pubescence très courte et fort éparse partout. Pilosité dressée
nulle, sauf vers l'extrémité de l’abdemen, surtout dessous, où
elle est jaunâtre, courte, obtuse et tronquée au bout.
D'un roussâtre clair, avec les pattes, les mandibules, les
scapes et le premier article du funicule d’un jaune roussâtre.
Le reste du funicule et une bande transversale assez étroite à
l'extrémité de chacun des deux premiers segments de l'abdo-
men d’un brun foncé.
S'-Gabriel, Congo (Kour). Je renvoie aux figures 2 et 3. Cette
espèce a été prise avec d’autres. Il n’y a pas d'indication sur ses
mœurs. Je suppose qu'elle vit sur les arbres, d’où elle était
tombée ou descendue.
Plagiolepis exigua For.
5 Congo (Ko).
Plagiolepis pygmaea Latr. v. punctum For.
$ S'-Gabriel, Congo (Ko).
Plagiolepis pygmaea Latr. v. mediorufa n. var.
$. Longueur: 1"",1—1"",4. Diffère du type de l'espèce par
sa taille, et par sa tête plus étroite, qui n’est nullement échan-
crée, plutôt convexe derrière, avec les côtés convexes. La cou-
leur est caractéristique. Tête et abdomen bruns. Thorax d’un
jaune plus ou moins rougeûtre. Cuisses et funicules brunâtres,
le reste des membres jaunâtre.
S'-Gabriel, Congo (Kour) dans une plante myrmécophile
(3 numéros). Cette variété ressemble à s’y méprendre à la PL.
(Anacantholepis) Van der Kelleni For. v. polita Sant., mais avec
le métanotum d’une vraie Plagiolepis.
438 A. FOREL
Acantholepis capensis Mayr. v. anceps n. var.
ÿ. Longueur: 2"",4—2"",7. La pilosité est semblable à celle
de la race depilis Em. L’'écaille et l’épinotum tendent un peu à
la forme de l'A. simplex For. Du reste semblable au type.
Congo (KouL), nichant dans la terre.
Acantholepis capensis Mayr. r. Junodi n. st.
ÿ. Longueur: 2"",5—2"",8. Diffère de la r. incisa For., dont
elle a l’écaille bispineuse, par ses pattes et ses scapes, couverts
de soies blanchâtres subadjacentes, par les soies jaunâtres et
assez pointues du corps, par sa tête beaucoup plus large, par
ses scapes plus courts, ne dépassant guère la tête que du quart,
enfin par l’incisure moins profonde du thorax. Elle diffère de
curta Em. par les épines de l’écaille et par sa tête moins large.
Shilowana, Transvaal (Juxon). Reçue du Musée de Genève.
Acantholepis simplex For. v. minuta n. var.
$. Longueur: 1"",5. Diffère du type, outre sa très petite
taille, par sa stature plus robuste et par ses scapes plus courts
qui ne dépassent guère le bord postérieur de plus de leur épais-
seur. Elle diffère de la v. laevis Sant. en outre par sa couleur
noir de jais et par sa tête plus large.
Shilowana, Transvaal (Juxop). Reçue du Musée de Genève.
Prenolepis Kohlt n. sp.
$. Longueur: 37°,6-—47". Mandibules presque mates, très
densément striées, armées de 6 dents. Epistome caréné, forte-
ment voûté, surtout au quart antérieur et au quart postérieur de
la carène. Aire frontale triangulaire ; arêtes frontales presque
droites, à peine divergentes ; sillon frontal distinct. Yeux au
tiers postérieur, grands. Tête presque d’un quart plus longue
que large, à côtés assez convexes, du reste rectangulaire, aussi
large devant que derrière, à bord postérieur droit (à peine fai
blement concave au milieu et convexe de côté). Le scape dépasse
le bord postérieur de la moitié de sa longueur. Articles du funi-
cule 3 fois plus longs que larges, le premier plus court. Promé-
sonotum faiblement convexe. Mésonotum au moins 1 ‘2 fois
FOURMIS DU CONGO 439
plus long que large. Echancrure thoracique assez forte et large.
Epinotum bossu ; sa face basale fort convexe ; sa face déclive
oblique, presque plane, plus longue que la basale. Les stigmates
métanotaux proéminent au fond de la suture. Ecaille très haute,
verticale, assez étroite, obtuse au sommet, un peu convexe
devant, plane derrière. Pattes longues.
Mate ou à peine subopaque. Densément réticulée-ponctuée ;
abdomen plutôt subopaque. De gros points enfoncés ou fos-
settes un peu allongées sur l’abdomen et l'occiput. Des soies
assez grossières, mais pointues, médiocrement abondantes sur
l'abdomen et la tête, plus rares sur le thorax, nulles sur les
membres. Pubescence diluée partout et courte, entièrement
adjacente. D'un roux brunâtre ; pattes et antennes d’un roux
Jaunâtre.
® (?) Longueur: 5""—5"",2. Tête bien plus étroite que le
thorax, à bord postérieur droit et large. La tête est un peu plus
large que longue, dépassée par le scape d’un bon tiers de sa
longueur. Le second article du funicule est plus court que les
autres, qui ne sont guère plus de 2 fois plus longs que larges.
Ailes faiblement enfumées de jaune brunâtre, à nervures brunes.
Pilosité plus rare et plus courte que chez l’ouvrière ; écaille
moins obtuse au sommet. Brune. Antennes, mandibules ettibias
roussâtres. Sculpture, pubescence et tout le reste comme chez
l’ouvrière.
S'-Gabriel, Congo (Kour). C’est avec doute que je rapporte
la Q à l’ouvrière ; elle a un autre numéro, et les différences du
funicule et de l’écaille donnent à réfléchir. Cette espèce, malgré
son thorax peu rétréci, rentre, comme première espèce afri-
caine, dans le genre Prenolepis s. str., qui se trouve ainsi
réparti dans les cinq parties du monde, même dans les faunes
néarctique et néotropique.
Prenolepis (Nylanderia) Butteli For. r. Bryanti n. st.
$. Longueur: 2", Aussi petite que le type de l'espèce dont
elle diffère surtout par son éclat métallique pourpré. La tête
est en outre bien plus étroite derrière, avec les côtés plus con-
A) A. FOREL
vexes. Le scape est un peu plus court et la scuipture plus forte
(tête et thorax presque mats). À part l'éclat métallique, la cou-
leur est plus brune. Les tarses et les tibias antérieurs et moyens
sont blanchâtres.
Mont Matang, Ouest Sarawak (G. E. BryYanT) envoyée par
M. DONISTHORPE.
Prenolepis (Nylanderia) Grisont n. sp. (Fig. 5.)
5. Longueur: 2"%—2%% 1, Mandibules luisantes, ponctuées,
fortement croisées, étroites, à bord terminal fort oblique. Epis-
tome subcaréné, convexe. Tête d’un bon quart plus longue que
large, presque plus large devant que derrière, où son bord pos-
térieur est assez convexe, tandis que les côtés le sont à peine.
Yeux au milieu, assez grands et plats. Le scape dépasse la tête
Metanotum
---— Epinotum
RG 20;
Prenolepis (Nylanderia) Grisoni For. Ÿ Profil du thorax.
(Emma Forel, del.)
de plus des ?/; de sa longueur. Promésonotum assez faiblement
convexe. Mésonotum presque 1 1 fois plus long que large. Un
long métanotum, aussi long que les % du mésonotum, avec
2 stigmates proéminant en dents au milieu, constituent une
constriction notable du thorax. L’échancrure de ce dernier est
située entre le métanotum et l’épinotum. Ce dernier forme une
bosse très convexe, presque hémisphérique, bien plus haute
que le reste du thorax, sans distinction entre face basale et
déclive, mais terminée derrière, en bas, de chaque côté, par
une petite dent triangulaire, pointue, très nette. Ecaille assez
épaisse et fort basse, inclinée en avant, obtuse au sommet,
Pattes plutôt longues. Premier segment de l’abdomen avancé
devant.
Tout le corps lisse et luisant avec des aspérités sétigères et,
par-ci par-là, un pli longitudinal. Corps et membres parsemés
FOURMIS DU CONGO 441
des soies raides, obtuses, brunes et épaisses propres aux
Nylanderia, plus courtes sur les membres que sur le corps.
Pubescence très diluée. Abdomen, écaille et épinotum d’un
brun très foncé. Tête, cuisses, tibias, scapes et pronotum d’un
brun plus clair. Mésonotum, mandibules, funicules, articula-
tions et paltes d’un jaune plus ou moins brunätre.
Bengemeza, Congo (Kour) dans une plante myrmécophile.
Cette singulière espèce, bien caractérisée par la forme de la tête,
de l’épinotum et du métanotum allongé, est absolument diffé-
rente de Traegaordhi, albipes, Jaegerskiôldi et Weissi, mais il
n'est pas impossible qu’elle soit l’ouvrière encore inconnue
de Waelbroecki Em., dont je ne connais que le mâle.
Prenolepis (Nylanderia) longicornis Latr. v. Hagemannt For.
$ S'-Gabriel, Congo (KouL), sous une tuile.
Machaeromyrma nov. subgen. Je me permets d’instituer
pour le Cataglyphis bombycina Rog. le nouveau sous-genre
Machaeromyrma, caractérisé par son grand dimorphisme et par
la singulière structure en épée des mandibules du 9}. Le nid et
les mœurs de cette espèce sont aussi fort caractéristiques et
différents des autres.
Camponotus (Dinomyrmex) Wellmannt For.
$ major (encore inédite). Longueur : 17°". Tête large de 6°"
et longue de 6"",5 (sans les mandibules'. Elle est en forme de
trapèze, élargie d'avant en arrière, profondément et largement
échancrée à son bord postérieur. Angles occipitaux plutôt
étroits, à peine dépassés par le scape obliquement placé. La tête
est subopaque, plutôt mate, densément réticulée ou réticulée-
ponctuée. Epistome caréné, avec un lobe antérieur rectangu-
laire. Tout le reste comme chez la © et l’ouvrière minor.
Bamayanga, Congo, Musée du Congo belge. Reçu de M. ScHou-
TEDEN.
Camponotus(Dinomyrmex) WellmanntiFor.v.rufipartis n. var.
$ minor. Longueur : 13"". Tête plus longue et surtout
4492 A. FOREL
relativement plus étroite devant que chez le type, plus d’une
fois et demie plus longue que sa largeur antérieure : les côtés,
assez convexes, divergent bien moins en avant. Le scape ne
dépasse le bord postérieur de guère plus que de sa moitié. Le
thorax, le funicule et les tarses sont d’un brun roussâtre, en
partie roux ; le reste est d’un brun foncé moins noir que chez
le type.
?. Longueur : environ 23"", Tête à peine plus longue, mais
un peu plus étroite que chez Le type. Couleur comme chez lou-
vrière minor, mais les pattes entières, y compris les hanches,
et une partie des métapleures sont roussâtres. La pubescence
des pattes est un peu plus soulevée que chez le type.
œ. Longueur: 12"",8. Mandibules longues à bord terminal
tranchant. Epistome comme chez la Q. Tête 1 1/2 fois plus longue
que large, à bord postérieur confondu avec le bord articulaire,
mais sans cou. Les côtés sont droits et parallèles devant les
yeux, convexes et convergents derrière. Le scape dépasse le
bord postérieur de ses deux tiers. Ailes teintes d’un jaune un
peu roussâtre. D’assez grosses fossettes sur le mésonotum.
Brun; tibias, tarses, funicules, mandibules et quelques taches
sur le thorax derrière roussâtres.
Congo (KouL).
Camponotus (Myrmoturba) maculatus F. r. Solon For.
ÿ. Lumbulumbu, Congo (KouL), dans un arbre creux.
Camponotus (Myrmoturba)maculatus F.r. Brutus For.
5 Q © Congo (Kour). Font la chasse aux Termites et répan-
dent une odeur âcre.
Camponotus (Myrmoturba) acwapimensis Mayr.
$ ©. Fait son nid sous la terre. Congo (Kouxr) (aussi la var.
Poultont For.).
Camponotus(Myrmoturba) conspicuus Sm. r. Williamsi n. st.
ÿ major. Longueur : 10"",5—13%%, Différe du type par ses
scapes plus longs, dépassant le bord postérieur de plus d’un
FOURMIS DU CONGO h43
tiers de leur longueur, par sa stature plus grêle, par sa tête
plus étroite derrière, par son écaille plus épaisse vers la base,
par les poils plus longs sur le corps et plus abondants sur les
joues, enfin par sa couleur plus foncée, d’un brun châtain uni-
forme, avec les hanches et les cuisses d’un roux jaunâtre. Il
diffère en outre du fumidus Rog. v. festinatus Wh. par ses poils
obliques aux tibias, par ses arêtes frontales plus divergentes,
par son épistome plus large devant, par des fossettes sur les
joues et par son écaille plus épaisse, presque aussi épaisse à la
base que haute.
Guadeloupe (Antilles), sur des arbres autour du tronc desquels
il construit des tunnels à laide de détritus. Récolté par M. C.-B.
Wiziams et reçu par M. DONISTHORPE.
Camponotus(Myrmotarsus) nigricans Rog.r. enganensis n.st.
®. Longueur: 18"". Tête, sans les mandibules, longue et
large de 5"", Aïles teintes d'un jaune brunâtre. La tête, en
forme de trapèze, a Les côtés droit et-le bord postérieur con-
vexe au milieu et des 2 côtés, avec une concavité au tiers latéral.
Le scape, placé obliquement, dépasse à peine l’occiput. Tète
mate, densément réticulée-ponctuée, avec une abondante ponc-
tuation espacée. Le front, l’épistome, les lobes occipitaux et les
joues sont luisants, seulement réticulés ou chagrinés. Le scape
est distinctement déprimé. Mésonotum, scutellum et abdomen
lisses et luisants. Epinotum et côtés du thorax réticulés et
subopaques. La tête est bien plus large que le thorax. Noir;
tarses et funicule bruns.
Ile d'Engano près Sumatra, reçu du Musée de Genève. Cette
race diffère du type par sa taille plus grande (surtout la tête) et
par la sculpture du vertex.
Camponotus (Myrmotrema) foraminosus For. s.str.
$ Q S'-Gabriel, Congo (KouL), pris nombre de fois dans des
plantes myrmécophiles, une fois dans une branche sèche de
Cacao, une autre fois dans la Randia myrmecophila v. glabra
de WILpE.
AAA A. FOREL
Q (encore inédite). Longueur : 10""—11"",5. Tout à fait sem-
blable à l’ouvrière, en particulier pour la sculpture, la pubes-
cence et la pilosité. Mésonotum avec deux arêtes parallèles,
mat, ainsi que le scutellum. Les ailes sont colorées de brun
roussâtre. Tête plus large que le thorax.
Camponotus (Orthonotomyrmex) chrysurus Gerst. r. acutts-
quamis Mavr.
get ®.c' (encore inédit). Longueur : 11"",8. Ailes d’un jaune
brunâtre vers le bord antérieur. Mandibules avec une seule dent
et le bord terminal tranchant. Epistome avec un lobe trapé-
zoïdal, sans carène. Tête 1 1} fois plus longue que large. Pu-
bescence un peu plus faible que chez la Q@. Noir, tarses, man-
dibules et funicule brunâtre. Congo (KouL).
Camponotus (Orthonotomyrmex) Meinerti For.
$ ©. Reçu aussi par M. Wasmanx ; les ouvrières font un peu
passage à la r. Reginae For.
Camponotus (Orthonotomyrmex) Mayri For. r. Ledieui n. st.
$. Longueur : 10%". Plus grand et surtout plus allongé que le
type. Tête d’ '/; plus longue que large, avec le bord postérieur
fortement convexe, pas plus large derrière les yeux qu'au 6°
antérieur. Diffère en outre du type par ses scapes fortement
dilatés à leur moitié postérieure, par sa pilosité jaunûâtre fine,
bien plus abondante sur tout le corps, oblique sur les membres
(longue et dressée sous les cuisses). L’épinotum et le nœud
sont en outre grossièrement réticulés et de toute autre forme.
L’épinotum n’est pas bordé ; sa face basale est très convexe et
se termine derrière, après être redescendue, par une courte face
déclive, concave et lisse, sans former d’angle avec elle. Le nœud
est aussi épais que sa hauteur, convexe en dessus, très peu plus
large que long, avec ses faces antérieure et postérieure subver-
ticales (un peu convexes). Cette race diffère de la r. Sankisianus
For., surlout par sa sculpture, puis par la forme de l’épinotum
et par sa forte pilosité. Le reste est comme chez le type, en
particulier la fine sculpture mate, réticulée-ponctuée.
FOURMIS DU CONGO 445
Shilowana, Transvaal, récolté par M. Juxon et reçu du Musée
de Genève. Un seul exemplaire. Cette race mérite presque de
constituer une espèce.
Camponotus (Orthonotomyrmex) Maynei n. sp.
ÿ. Longueur : 5",3—7"%, % major. Mandibules subopaques,
finement réticulées et densément ponctuées : en outre de grosses
fossettes, carieuses au fond. Tête d’un sixième plus longue que
large, rétrécie et imprimée en travers à son sixième antérieur,
puis rectangulaire derrière, avec les bords latéraux à peine con-
vexes et le bord postérieur un peu concave; occiput un peu dé-
primé derrière. Arêtes frontales longues et divergentes. Epis-
tome assez plat, rectangulaire, sans carène, un peu plus long que
large, comme chez les Myrmotrema. Yeux au quart postérieur,
assez plats. Le scape atteint tout juste l’occiput. Promésonotum
peu convexe, subbordé. Pronotum 1 ‘2 fois plus large que long.
Mésonotum fortement rétréci derrière. Pas d’échancrure méso-
épinotale, mais la suture est fortement marquée. Face basale de
l’épinotum carrée, plate, obtusément bordée, légèrement plus
longue que large. Face déclive, un peu plus longue que la face
basale, plane comme elle, subverticale (faiblement oblique),
formant avec la face basale un bord obtus et un angle de peut-
être 95 degrés. Ecaille biconvexe, à bord tranchant, médiocre-
ment épaisse. Cuisses légèrement renflées au milieu et un peu
déprimées.
Entièrement subopaque, réticulé-ponctué, avec le thorax mat.
La tête est en outre couverte d’abondantes fossettes carieuses
au fond, moins denses sur l’occiput que sur l’épistome et les
joues, tout à fait identiques à. celles des Myrmotrema. Pilosité
dressée assez courte et diluée, d’un blanc jaunâtre, assez épaisse
et tronquée à l'extrémité, nulle sur les membres. Une rangée
de soies blanches sur l’écaille et 3 ou 4 soies au bout des cuisses
et des scapes. Pubescence presque nulle. Noir. Antennes et
tarses roux, le reste des pattes et l'extrémité du funicule bruns.
$ minor. Tête en trapèze, bien plus large derrière que de-
vant, un peu plus longue que large, avec les côtés droits et le
Rev. Suisse DE Zoou. T. 24. 1916. 30
446 A. FOREL
bord postérieur un peu convexe. Mandibules sculptées comme
chez l’ouvrière major. Epistome caréné, de forme ordinaire, en
trapèze élargi devant. Les yeux, très postérieurs, sont grands,
distants du bord postérieur de la tête seulement du tiers de
leur longueur. Le scape dépasse le bord postérieur de plus du
quart, presque du tiers de sa longueur. Tout le reste, y compris
la face basale de l’épinotum, identique à louvrière major, mais
la tête est entièrement mate et n’a aucune grosse fossette
carieuse.
®. Longueur : 8"",9. Tête plus longue que large, à côtés et
bord postérieur presque droits, distinctement plus large der-
rière que devant, avec des angles postérieurs marqués, à courbe
brusque. La tête est à peine plus large que le thorax. Face basale
de l’épinotum, vue de profil, fortement convexe, séparée du
postscutellum par une incisure profonde ; elle est plus courte
que la haute face déclive. Du reste comme l’ouvrière major,
avec les mêmes fossettes sur la tête. Aïles presque hyalines,
très faiblement teintées de jaunâtre, avec les nervures et la
tache pâles.
Congo (R. Mayxé) Musée de Bruxelles; reçu de M. Scxou-
TEDEN.
Camponotus (Myrmamblys) Ferreri For. r. akka n. st.
$ minor. Longueur : 5"",5. Tête 2 fois plus longue que large,
faiblement rétrécie d'avant en arrière, où son bord terminal est
en même temps le bord'articulaire. Epistome à bord antérieur
laiblement convexe, en forme de trapèze élargi en avant, fort
convexe, subcaréné au milieu. Les yeux sont au milieu. Le
scape dépasse le bord postérieur des */; de sa longueur. Thorax
très étroit (surtout le long épinotum), faiblement et également
convexe d’un bout à l’autre. Ecaille conique, épaisse à la base,
subacuminée au sommet. Pattes longues et minces.
Luisant, faiblement chagriné. Pilosité dressée, très éparse sur.
le corps, nulle sur les membres; pubescence très courte et
diluée. Tête et abdomen bruns ; tout le reste d’un roux jaunâtre
pâle un peu brunûtre.
FOURMIS DU CONGO 447
®. Longueur: 9". Diffère du type (basé sur la Q) par sa
pilosité plus éparse, par sa sculpture plus faible devant et par
ses mandibules à bord externe courbé. La taille est aussi plus
grande, le bord postérieur de la tête plutôt un peu concave au
milieu. Epistome subcaréné comme chez l’ouvrière minor. Les
yeux sont plus petits, n’occupant guère que le quart des côtés.
Le scape est plus long dépassant la tête de plus de 3 fois son
épaisseur. La face basale de l’épinotum est bien convexe, mais
ne remonte pas distinctement en arrière. Les tibias sont comme
chez le type, sans petits piquants. Tout le corps est luisant,
faiblement chagriné. Couleur comme chez l’ouvrière minor,
mais l’épistome et les joues sont d’un roux jaunâtre bien moins
distinct du brun foncé de la tête que chez le type.
Congo (KouL).
Polyrhachis (Hagiomyrma) ammonoeides Rog. v. Crawleyi
n. var.
$. Longueur: 5"",5—6"",5. Plus petite que le type. La tête
est plus allongée, 1 !/4 fois plus longue que large, son bord
postérieur est bien plus étroit et bien plus convexe que chez le
type ; la pelisse de l'abdomen est un peu moins mordorée, plus
simplement dorée. Du reste identique.
Australie du Nord, reçue de M. CRAWLEY.
Polyrhachis (Myrma) laboriosa Sm.
$ © S'-Gabriel, Congo (KouL). Dans un nid composé de feuil-
les, reliées entre elles par un lâche tissus de fils entremêlés de
matériaux végétaux.
Polyrhachis (Myrma) militaris F. r. cupreopubescens For.
v. nkomoensis n. var.
ÿ. Longueur : 10"",5—12"", L’épinotum a des épines ver-
ticales et fortement recourbées en avant (2 fois plus longues
que l'épaisseur de leur base) au lieu de dents, rappelant ainsi
la v. epinotalis For., dont elle diffère du reste par sa tête non
rétrécie derrière et par sa sculpture qui est comme chez le
type de la race. La sculpture est moins dorée que chez le
type. Dans ma description de l’epinotalis, j'ai négligé de rendre
448 A. FOREL
attentif à sa tête fortement rétrécie derrière les yeux, jusqu’à
un bord postérieur presque confondu avec le bord articulaire.
Les côtés rétrécis sont néanmoins convexes et les yeux sont
très convexes, presque hémisphériques. La stature est aussi plus
gréle que chez le type de la cupreopubescens, de sorte que je
crois devoir faire de l'epinotalis une race séparée.
Q. Longueur : 12"%,5—13"", Tout à fait semblable au type de
la race ; ailes brunâtres comme chez le type de l'espèce ; thorax
un peu plus large que la tête. L’épinotum n’a que des dents
pointues, un peu plus longues que larges.
og‘. Longueur : 7%—7mm 5, Ailes un peu plus claires que chez
la ®. Subopaque où mate. Pelisse plus faible que chez la Q.
Tête 1 !/s fois plus longue que large, avec un bord postérieur
convexe assez nel.
Congo (KouL); prise avec le Camponotus (Myrmoturba) macu-
latus Brutus, faisant la chasse aux Termites. Reçue aussi par
M. Wasman.
Polyrhachis (Myrma) concava André.
ÿ © Congo (Kour).
Q (encore inédite). Longueur : 7"",5. Tête comme chez l’ou-
vrière, plus étroite que le thorax ; ce dernier n’a de concavité
qu'entre les deux petites dents obtuses de l’épinotum, dont la
face basale, 2 fois plus large que longue, fortement bordée, est
convexe en avant et a les bords latéraux convexes. Le scutellum
est subcaréné au milieu. Les ailes manquent. Du reste comme
l’ouvrière.
Polyrhachis (Myrma) Alluaudi Em. v. anteplana n. var.
$. Longueur: 6"",3. Diffère du type de l’espèce, d’après la
description, par son épinotum et ses dents plus longues, ainsi
que par son pronotum qui est presque plat. La fissure transver-
sale mésoépinotale est verticale, très étroite et profonde. Les
dents de l’épinotum sont triangulaires, un peu recourbées en
avant ; les épines du pronotum sont moins de 2 fois plus lon-
gues que la largeur de leur base.
Congo (Kouz.
FOURMIS DU CONGO 449
Polyrhachis (Myrma) Otleti n. sp.
$. Longueur : 6,7, Appartient au groupe de la P. Revoili
André et lanuginosa Sant., dont elle diffère par son pronotum
bordé. Mandibules subopaques, très finement réticulées, avec
d’abondants gros points enfoncés, armées de 5 dents. Tête à
peine d’ ‘/; plus longue que large, à bord postérieur convexe et
à côtés peu convexes, un peu plus étroite devant que derrière.
L'épistome est caréné, peu convexe, fortement avancé en avant
en lobe trapéziforme. Le bord antérieur du lobe est court,
droit, à peine subdenté à l'extrémité. Arêtes frontales longues,
sinueuses, divergentes. Yeux fort convexes, presque semicireu-
laires. Le scape dépasse le bord postérieur de presque la moitié
de sa longueur. Thorax bordé, à dos assez convexe en tout
sens. Les bords du mésonotum et de l’épinotum sont obtus,
ceux du pronotum aigus, convexes, se prolongeant devant en
deux épines, longues comme 1 ‘2 fois la largeur de leur base.
Pronotum 1 ‘2 fois plus large que long; le mésonotum un
peu moins large; les deux sutures distinctes. Face basale de
l'épinotum rectangulaire, 1 ‘/4 fois plus large que longue, sépa-
rée de la face déclive par un rebord transversal très net, un
peu interrompu au milieu. La face déclive est oblique, un peu
plus courte que la basale, à peine subbordée, un peu concave
de profil. Le pétiole a une dent en dessous. Son écaille épaisse
et biconvexe est un peu plus haute qu'épaisse, armée de
4 épines, dont les supérieures, 2 fois plus longues que les laté-
rales, sont courbées en arrière, à peine plus courtes que leur
large intervalle ; le bord supérieur est un peu convexe. Face
antérieure de l'abdomen tronquée, un peu concave (faiblement) ;
pattes plutôt épaisses, comme la stature de tout le corps qui est
robuste.
Mate ; abdomen à peine un peu subopaque. Fine sculpture
foncière densément réticulée-ponctuée, aussi sur les membres.
En outre, la tête et le thorax sont ridés en long, plutôt réticulés
sur les côtés. Ces rides et réticulations sont denses, médiocre-
ment grossières. Tout le corps et les membres abondamment
recouverts d’une pilosité dressée, fine, pointue, jaunâtre, et
450 A. FOREL
assez longue, un peu moins abondante sur l'abdomen qui a par
contre une pubescence assez diluée, jaunâtre, plus abondante
que la tête et le thorax, de même que les membres. Entièrement
noire, avec les membres brun foncé; seconde moitié des funi-
cules et extrémité des mandibules roussâtres.
Q. Longueur : 8"", Toute semblable à l’ouvrière. Tête un peu
plus étroite que le thorax. Le pronotum n’a que 2 fortes dents
triangulaires. Epinotum, écaille et tout le reste comme chez
l'ouvrière. Ailes brunes. Sur le scape on voit très distincte-
ment deux sortes de poils, les uns très longs et les autres plus
courts.
d. Longueur : 6"",7. Tête un peu plus large que longue.
Epistome caréné, plus convexe que chez l’ouvrière, à bord anté-
rieur convexe, sans lobe. Arêtes frontales très rapprochées
devant et très divergentes derrière. Tête un peu plus étroite
que le thorax. Ecaille sans épines, épaisse, arrondie au sommet.
Articles médians du funicule seulement un peu plus longs
qu'épais. Pilosité et pubescence plus faibles que chez l'ouvrière.
Couleur identique à celle de la ®, mais les funicules sont
entièrement bruns.
S'-Gabriel, Congo (Kour). Nid dans la fente d’une écorce
d'arbre qui, sur une longueur de 8 cm. et une largeur de 2 i/2,
était recouverte d’une toile filée, mêlée de matériaux végétaux.
Polyrhachis (Myrma) decemdentata André.
® Congo (KouL).
Polyrhachis (Myrma) Spitteleri n. sp. (Fig. 6.)
ÿ. Longueur : 4"",5. Mandibules subopaques, très densément
striées, avec des points épars et le bord externe assez convexe.
Tête en trapèze arrondi, un peu plus longue que sa largeur pos-
térieure (au quart postérieur, où elle est large comme 1 2 fois
le bord antérieur), avec le bord postérieur très convexe. Epis-
tome caréné, biéchancré, convexe, mais sans lobe bien accentué
au bordantérieur. Arêtes frontales, sinueuses, divergentes. Yeux
médiocrement convexes, un peu en avant du tiers antérieur. Le
LL
FOURMIS DU CONGO L51
scape dépasse l’occiput d'un fort tiers de sa longueur. Thorax
assez convexe, surtout le promésonotum, nullement bordé. Pro-
notum 1 !/3 lois plus large que long, bien plus large devant que
derrière et moins convexe que chez la monista, portant devant
2 épines un peu aplaties, tout à fait analogues à celles de la m0-
nista, mais d’un tiers plus courtes et dirigées subhorizontalement
en avant et de côté. Suture promésonotale très distincte, mais
nullement enfoncée, au contraire de la monista. Mésonotum 2
fois plus large que long. Au lieu d’échancrure,une incisure étroite
entre le mésonotum etl’épinotum, mais de moitié moins profonde
que chez la monista. Face basale de l’épinotum rectangulaire,
11/3 fois plus large que longue et terminée par 2 longues épines
; | Ÿ - Epinotum
Fic. 6.
Polyrhachis {Myrma) Spitteleri For. % (Emma Forel, del.)
Profil du thorax.
divergentes, subverticales, un peu recourbées en avant, plus
longues que la face basale qui est assez horizontale. Face dé-
clive subverticale, à peine plus courte que la basale avec laquelle
elle forme un angle presque droit, à peine obtus. Ecaille épaisse,
biconvexe, mais bien plus haute qu'épaisse, surmontée de
4 épines équidistantes, toutes courbées en arrière, comme chez
la monista, les supérieures plus longues que leur intervalle,
mais plus courtes et moins fortes que les latérales. Abdomen
tronqué et un peu concave devant.
Tout le corps mat, finement et densément réticulé-ponctué ;
les membres plutôt subopaques avec la même sculpture. La
tête et Le thorax sont en outre densément striés-ridés en long
(pas très grossièrement). Sur l'abdomen les réticulations font
transition à des rides longitudinales plutôt fines. Le corps,
surtout le thorax, et aussi en partie les tibias sont couverts de
la même pilosité épaisse, presque tronquée, rousse et hérissée
452 A. FOREL
qu'on voit chez la montista. Cuisses et antennes sans poils
dressés. Pubescence jaunâtre, très courte et adjacente, surtout
visible surles membres, où elle est diluée, presque nulle ailleurs.
Noire. Tibias, funicules, tarses et extrémité des mandibules
brunâtres.
Congo (Ko) (N° 5). Cette curieuse espèce (un seul exem-
plaire) est très proche parente de la monista Sant., dont elle
diffère essentiellement par le manque complet d’incisure pro-
mésonotale ainsi que par son épinotum cubique. Le corps est
bien moins strié et plus ridé, mat et non pas luisant. Le méso-
notum est ridé en long au lieu d'être strié en travers, etc.
Polyrhachis (Myrma) monista Sant.
ÿ © Kilongalonga, Congo (KoxL), dans un nid de carton qui
se trouvait dans une feuille enroulée. Je suppose, qu'ici comme
ailleurs, le carton recouvrait un tissu de fils.
Polyrhachis (Myrma) Revoilt André.
5 Q © Congo (Kout); pris ensemble. La longueur des épines
varie chez l’'ouvrière. Chez les exemplaires de M. Kouz les épines
inférieures sont longues comme les */; des supérieures, chez
d’autres seulement comme la moitié. L’abdomen est subopaque,
parfois assez luisant. Le bord postérieur de la tête est peu con-
vexe, presque 2 fois plus large que son bord antérieur extrême.
La tête est densément ridée-striée en long, les épines du pro-
notum 2 fois plus longues que la largeur de leur base. Le thorax
est plutôt réticulé avec direction longitudinale, mais un peu ridé
sur le pronotum, dont les épines sont plus larges à la base chez
les individus de M. Kouz. Longueur : 5"—6"",5,
La femelle, seule décrite par AxpRé, a les ailes brunes. Celles
de M. Kouz sont longues de 6."#7—7%%, L’épinotum qui, chez
l’ouvrière, a une dent pointue presque verticale et très nette, est,
chez la ©, soit complètement inerme, comme le dit ANDRÉ, soit
parfois muni d’une petite dent obtuse. Suivant les individus, le
mésonotum est simplement réticulé ou il a en outre quelques
rides longitudinales.
o (encore inédit). Longueur: 4"",5—5"", Ailes d’un brun à
FOURMIS DU CONGO 453
peine plus pâle que chez la ©. Mandibules armées de 4 dents.
Tête avec un large bord postérieur convexe, presque 2 fois plus
large que le bord antérieur. Finement réticulé et subopaque
sans sculpture grossière. Ecaille très épaisse et basse, sans
dents. Pilosité dressée, éparse partout, très courte et oblique
sur les tibias et les scapes.
Je ne puis trouver de différences entre Revoili et la descrip-
tion de natalensis Sant. Weissi Sant., ne me paraît être qu'une
variété plus striée sur le thorax, comme l'indique Sanrsceur.
M. Saxrscui a eu la bonté de m'indiquer encore par lettre quel-
ques autres différences.
Polyrhachis (Myrma) Revoili André v. Donisthorpet n. v.
5 Longueur: 5"",2—5"",6. Epines pronotales bien plus
longues que chez le type, mais pilosité identique. Forme de la
tête et sculpture, par contre, comme chez la variété conduensis
For.
North Rhodesia, reçue par M. H. DONISTHORPE.
Polyrhachis (Myrma) Revoili André r. Volkarti n. st.
®. Longueur : 6"",5. Beaucoup plus grêle que le type de l’es-
pèce. La tête est beaucoup plus étroite et plus allongée, d’un quart
plus longue que large, avec bord postérieur un peu rétréci der-
rière les yeux, a peine plus large que le bord antérieur. C’est
au bord postérieur des yeux que la tête est le plus large. L’épis-
tome caréné à un lobe antérieur bien plus long que chez le
type. Le scape dépasse Le bord postérieur de plus de la moitié
de sa longueur (du moins chez le type). Thorax bien plus large
que la tête. Pronotum bidenté. L’épinotum a deux angles à
peine dentiformes ; il est du reste comme chez le type. Ecaille
plus étroite et plus haute que chez le type; ses épines supé-
rieures, fortement recourbées en arrière à l'extrémité, ne di-
vergent que faiblement. Les épines latérales sont très courtes,
seulement un peu plus longues que la largeur de leur base.
Tout l’Insecte est mat, densément réticulé-ponctué ; les cuisses
seules sont subopaques. La tête est longitudinalement ridée ;
de même les côtés de l’abdomen. Le mésonotum a quelques
454 A. FOREL
faibles rides longitudinales. La pilosité dressée est notablement
moins abondante que chez le tvpe, surtout sur l'abdomen où
elle est rare ; aussi un peu éparse sur les membres. La pubes-
cence est, par contre, au moins aussi abondante que chez le type,
mais un peu plus courte. Noire, Mandibules et membres bruns ;
moitié terminale du funicule roussâtre.
Congo (KouL). Un seul individu.
L'étude des formes précédentes montre les transitions du
Sous-Genre Myrma Bill. au Sous-Genre Cyrtomyrma For. par
les formes Otleti, Spitteleri, Monista et Revoili. On peut douter
si l’on doit rattacher ces trois dernières formes au Cyrtomyrma
ou au Myrma. Par contre, pour les deux suivantes, surtout pour
l’'Alexisi, je crois que le doute n’est guère possible.
Polyrhachis (Cyrtomyrma) Kohli n. sp.
$. Longueur : 4%%,5--5%%,5. Mandibules subopaques, densé-
ment ponctuées et striées vers la base, armées de 4 dents, à bord
externe peu convexe. Toutle corpstrès étroitetgrèle. Tête 1'/2 fois
plus longue que large, sans bord postérieur autre que le bord arti-
culaire. Derrièrelesyeux,sescôtésconstituentune forte convexité,
à peu près semicirculaire ; devantles yeux, ils sont presque droits,
convergeant un peu en avant. Situés au milieu, les yeux sont
fort convexes, presque semicirculaires, occupant presque le
quart des côtés. Epistome sans carène, avancé devant en lobe
arqué, assez convexe de profil. La tête est assez épaisse de
dessous en dessus, bordée en dessous d’une arête longitudi-
nale. Le front est peu convexe devant, mais fortement courbé
au milieu des arêtes frontales qui, jusque-là, sont distinctement
convergentes et assez relevées; puis elles divergent modé-
rément en S. Le scape dépasse le bord articulaire de la tête
des */; de sa longueur. Le thorax est bien 3 fois plus long que
large. Le pronotum, un peu plus long que large, a deux dents
triangulaires assez obtuses, un peu plus longues que l’épais-
seur de leur base. Mésonotum d’un quart plus large que long.
Face basale de l’épinotum d’un quart plus longue que large,
bordée derrière d’une arête vive assez élevée et interrompue
au milieu par une échancrure. De côté, cette arête constitue un
FOURMIS DU CONGO 455
angle dentiforme, à partir duquel elle se continue en avant,
bordant de côté les premiers ?/; de la face basale. Le reste du
dos du thorax n’est pas bordé, à part la première moitié du prono-
tum, devant et de côté, bordée par la continuation de sa dent. Face
déclive de l’épinotum un peu plus courte que la basale, ayant
vers le bas deux stigmates proéminant en dents obtuses et une
petite carène médiane vers le haut. Ecaille très épaisse, bicon-
vexe, presque aussi épaisse que sa hauteur, surmontée en haut
de deux épines droites, subverticales (peu divergentes), aussi
longues que leur intervalle. De côté, elle a en outre 2 dents
latérales pointues, plus longues que larges et rapprochées des
épines. Abdomen un peu concave devant, vers le bas. Pattes
longues et grêles.
Subopaque. La sculpture consiste partout en réticulations
plutôt fines, entremêlées sur la tête et le thorax de rides longi-
tudinales plus ou moins distinctes et pas très grossières. Pilo-
sité dressée, fine, jaunâtre, plutôt longue, abondante sur la tête,
le thorax, les tibias et les scapes, moins abondante sur l’abdo-
men et les cuisses. Pubescence longue et très distincte, égale-
ment répartie sur tout le corps et les membres, jaunâtre, mais
ne formant nulle part un duvet et ne cachant nullement la sculp-
ture. Noire ; membres d’un brun foncé ; une grande partie des
tarses et des tibias, extrémité des mandibules, et les “/; termi-
naux des funicules roussâtres.
©. Longueur : 6"",5. Identique à l’ouvrière, mais le prono-
tum n’a que 2 petites dents obtuses. Thorax un peu plus large
que la tête et presque entièrement mat. Les ailes manquent. Les
épines supérieures de l’écaille sont à peine plus longues que les
?/; de leur intervalle ; les dents latérales pas plus longues que
larges. Tout le reste comme chez l’ouvrière.
Congo (Kour). Cette espèce est remarquable par sa taille
étroite et grêle.
Polyrhachis (Cyrtomyrma) Alexisti n. sp. (Fig. 7.)
$. Longueur: 3"%,5—4"%, Mandibules luisantes, assez lisses,
faiblement ponctuées, armées de 5 dents. Tête trapéziforme, un
peu plus longue que sa largeur vers les yeux, à côtés très peu con-
456 A. FOREL
vexes. Le bord postérieur, faiblement convexe, est large au moins
1 1/2 fois comme le bord antérieur. Epistome convexe, sans
carène, avec un lobe antérieur trapéziforme, bidenté devant,
droit entre les dents. Arêtes frontales très rapprochées entre
les articulations des antennes, divergentes devant et derrière
où elles sont sigmoïdes. Yeux au quart postérieur. Le scape
dépasse l’occiput d’au moins les ?/; de sa longueur. Thorax 1
fois plus long que large. Pronotum 2 fois plus large que long,
bordé devant et de côté jusqu’à sa moitié, formant à ses angles
antérieurs une dent très large, subhorizontale, assez pointue,
mais à base si large qu’elle ne la dépasse que de peu, tout en
constituant l’angle qui sépare les côtés du devant. Mésonotum
77 Epinotum
Fire. 7:
Polyrhachis (Cyrtomyrma) Alexisi For. Ÿ (Emma Forel, del.)
Profil du thorax.
presque 3 fois plus large que long. Suture mésoépinotale peu
distincte. Tout le thorax est fortement convexe en tout sens.
Mais l’épinotum, extrêmement haut, est aussi extrêmement
court, formant derrière, d’abord une forte convexité, dans un
sens presque vertical, puis, plus bas, une concavité allant jus-
qu'à l’articulation. On peut à peine distinguer une apparence
d'angle entre ce qui serait une face basale convexe et une face
déclive concave. De droite à gauche, l’épinotum est, de même,
fortement convexe, sans trace de bord, de dents ni d’épines.
Ecaille biconvexe, assez épaisse, surmontée de deux épines
droites, un peu plus longues que la moitié de leur intervalle,
et de deux dents latérales pointues, un peu plus longues que
larges. Abdomen très convexe.
Subopaque. Tête densément striée en long, plutôt réticulée
sur les côtés, avec l’épistome assez finement et irrégulièrement
réticulé. Tout le reste du corps est densément réticulé ou réti-
er
FOURMIS DU CONGO 457
culé-ponctué, avec quelques rides longitudinales assez indis-
tinctes sur le thorax. Pilosité dressée nulle, sauf aux deux extré-
mités du corps, qui ont quelques poils. Pubescence très courte
et très diluée sur le corps, un peu plus distincte sur les membres,
jaunâtre. Noire, membres brun foncé ; funicule, sauf le premier
article, et extrémité des mandibules, d’un roux jaunâtre.
©. Longueur: 5,5. Tête beaucoup plus longue que chez
l’ouvrière, d'un bon quart plus longue que large, en trapèze
peu marqué, seulement un peu plus étroite devant que der-
rière ; Le bord postérieur est peu convexe. Thorax plus large
que la tête, court, haut. L’épinotum a une face basale très con-
vexe, mais assez marquée, passant par une courbe à une face
déclive subverticale et deux fois plus haute qu’elle. Abdomen
tronqué et un peu concave devant (chez l’ouvrière aussi). L’épi-
notum a des rides transversales assez distinctes, tandis que le
mésonotum et le scutellum ont la même sculpture que chez
l’ouvrière. Sur la partie postérieure de l'abdomen les réticula-
tions tendent à se transformer en ponctuation très dense. Les
ailes manquent. Tout le reste comme chez l’ouvrière.
Congo (KouL). Cette curieuse espèce ressemble à la P. Cyr-
tomyrma) laevissima Sm., mais s’en distingue non seulement
par sa petite taille et par sa sculpture, mais encore par la grande
hauteur de son épinotum bossu. Je la dédie à la mémoire de
mon grand-oncle Alexis FOREL qui guida mes premiers pas dans
l’entomologie dès 1859.
Nous devons à M. Hermann KouL, outre de nouvelles formes
de Fourmis très intéressantes, entre autres celles des plantes
myrmécophiles, de fort importantes données biologiques qui
viennent éclaircir les mœurs de beaucoup de formes.
APPENDICE.
L'interdiction récente de répéter le même nom dans le même
genre pour les variétés me contraint à renommer les formes
suivantes :
Camponotus (Myrmoturba) Gallienit n. sp. de Madagascar
(= concolor For. 1891 nec. Alu v. concolor 1890).
458 A. FOREL
Camponotus (Myrmoturba) oblongus Sm. v. binominata
n. var. (— v. opaca For. 1907, nec. Emery 1899).
Camponotus (Myrmoturba) maculatus F.r. carolinus n. st.
— luteolus Em. 1905 nec. r. hova For. v. luteola For. 1897).
Camponotus (Orthonotomyrmex) lateralis OÙ. r. spissinodis
n. st. (déjà renommé) (= crassinodis For. 1894, nec. C. macula-
tus F. r. mitis Sm. v. crassinodis For. 1892).
Dolichoderus Taschenbergi Mayr. v. wheeleriella n. var. (=.
gagates Wh. 1905, nec. sp. gagates Em. 1890).
De plus je me permets de donner le nom d’Esdras n. var. à
une petite variété du Camponotus (Myrmobrachys) planatus
Rag. longue de 4-4"",3, provenant d’Orizaba, au Mexique,
variété qui se distingue par sa couleur tachetée de roussâtre et
de brun sur la tête, le thorax et l'abdomen. Je l'avais appelée
variegata in litt., nom déjà emplové par Sm. en 1858.
Dernièrement M. Emery (Académie des Sciences de Bologne,
21 mars 1915, page 6) a institué un nouveau sous-genre qu'il
nomme Attomyrma du genre Aphaenogaster, avec subterranea
comme type. La seule différence appréciable consiste dans le
thorax étroit des femelles chez les Aphaenogaster s. str. (type
testaceo-pilosa Luc.). M. EmErY supposait alors que les Aphaeno-
gaster sens. str. n'avaient pas d'ailes chez la ® ou simplement
des rudiments, ce qui est une erreur, car je possédais depuis
longtemps des © ailées de testaceo-pilosa et plus tard M. EMERY
en a élevé lui-même. M. Emery place de plus les Aphaeno-
gaster longiceps et Sagei For. dans ses Attomyrma, lors même
que ce dernier n'a qu’une seule cellule cubitale aux ailes. Le
fait d’avoir le thorax plus ou moins large variant suivant les
races d'une même espèce, même parfois suivant les individus
(M. Emery cite lui-même la v. Tyrrhena du Messor barbarus
structor), je ne puis admettre qu'on fonde un sous-genre sur
pareils caractères et je me refuse à adopter le sous-genre
Atitomyrma Em., qui contient des formes hétérogènes. Je laisse
le Sage dans le sous-genre Deromyrma For.
M. Emery m'écrit qu'il considère mon Atopula Jacobsoni
(Fauna simalurensis 1915, page 25) comme un Leptothorax. Je
suis d'accord (voir ibidem page 27), mais dans le cas il faudra
59
>
FOURMIS DU CONGO
aussi faire de l'A. ceylonica Em., avec la var. Taylorti For., des
Leptothorax et non des Atopula.
M. Emery a fondé une r. æegyptiacus du C. (Myrmoturba)
maculatus F., qui n'est à mon avis qu'une simple variété à
tibias jaunes (Emery, Bull. Soc. Ent. France, 10 février 1915,
p. 79). En effet: 1° M. Emery ne cite pas les caractères de la
couleur du corps du maculatus indiqués par LaTReiLze. 2° Je
possède moi-même des m#aculatus typiques à tibias brun-noir
provenant de l'Afrique équatoriale ($ @ d') qui ne sont pas le
melanocnemis Sant. 3° M. Emery n'indique pas les caractères
les plus importants du melanocuemis. Ce dernier n’est en tout
cas pas synonyme de la var. aegyptiaca Em. qui ne me paraît
différer du type que par la couleur des tibias.
M. Emery pense que mon sous-genre Caulomyrma (de Lepto-
thorax) est synonyme du genre Nesomyrmex Wh. Ce dernier
n'est fondé que sur une seule Q et se distingue, outre les an-
tennes de 11 articles, par sa tête bordée derrière. Ne connais-
sant pas le type de Nesomyrmex, je maintiens, provisoirement
du moins, et jusqu'à plus ample information le sous-genre
Caulomyrma. Quant à la suppression, ou plutôt à la transfor-
mation en sous-genre du genre Dicroaspis Em., je pense aussi
qu'il vaudrait peut-être mieux attendre de plus amples connais-
sances.
Dans le Bulletin de l'American Museum of Natural History,
1915, p. 395, M. WHE£ELER croit devoir identifier ma Solenopsis
pylades avec la saevissima Sm., prétendant que la description
de Suiru s'applique parfaitement à la Pylades jaune. Il en fait de
plus une simple race de geminata, disant que Xyloni Mac Cook
et maniosa Wh. sont intermédiaires. Je ne puis absolument
pas admettre la synonymie de M. WHE£ELER, car : 1) je possède
des geminata et des pylades de toutes les parties de l'Amérique
tropicale à l’est des Andes ; 2) Je conteste que la description
de Suirx permette de savoir à laquelle des deux espèces appar-.
tient sa saevissima. Il ne dit pas un mot de la structure des
mandibules et parle même distinctement d'un « worker minor »
qu’il décrit séparément de la grande %, ce qui va bien mieux à
la geminata qu'à la Pylades. Je maintiens donc le nom de
460 A. FOREL
Pylades. Reste la question des intermédiaires que je n’ai jamais
vus ni du Brésil, ni de Colombie, ni de l’Argentine où la Pylades
seule paraît exister. La différence entre les ouvrières major et
les © de Pylades et de geminata est si grande que jusqu’à nou-
vel ordre je crois devoir maintenir la différence spécifique,
malgré les formes plus ou moins intermédiaires des Etats-Unis.
A bien des égardsles $. aurea Wh. et Gayi Spin. ne sont certes
pas plus différentes de geminata que la Pylades.
Enfin je propose le nom de Myrmoplatys n. subgenus pour le
groupe asiatique des Myrmomalis, qui décidément diffère trop
du groupe néotropique pour y demeurer. Type: Korthalsiae Em.
Dans les Myrmoplatys c'est surtout chez la © et chez l’ouvrière,
seulement devant, que la tête est déprimée. La chitine est en
général lisse.
MM. Morrice et DurranT (Trans. Ent. Soc., London 1914,
page 421 [1915]) ont institué en remplacement du Genre Lasius F.
(1804) qu'ils disent tombé par synonymie de Lasius Jurine (1801,
Apide), un nouveau Genre Donisthorpea. Mais ces auteurs ne
tiennent aucun compte des sous-genres Acanthomyops Mayr.
Dendrolasius Ruszky et Chthonolasius Ruszky, dont le dernier
est à mon avis synonyme de Lasius s. str. et ne pouvait être
maintenu. Donc, suivant mon opinion, la synonymie doit être la
suivante, si MORRICE et DURRANT ont raison :
Genre Acanthomyops Mayr. (1862)
— Lasius F. 1804 (non Jurine 1801)
— Donisthorpea Morrice et Durrant ;
Type : claviger Roger,
Subgen. Chthonolasius Ruszky, ‘type : niger L. (flavus ex.
Ruszky).
Sugen. Dendrolasius Ruszkv, type : fuliginosus Latr.
P.S. M. Emery m'écrit qu’à son avis il vaudrait mieux prendre
pour Lasius le nom nouvellement déterré par WHEELEr de For-
micina Shuck., nom en partie basé sur le Lasius flavus. Je n’ai
rien à y opposer, pourvu qu'on en finisse une bonne fois avec
ces déménagements perpétuels des anciens noms.
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
Vol. 24, n° 6. — Juillet 1916.
Acridides nouveaux ou peu connus
du Muséum de Genève
PAR
J. CARL
Assistant au Muséum de Genève.
Avec la planche 2.
Parmi les Acridides non déterminés qui se trouvent au Mu-
séum de Genève, nous avons rencontré un certain nombre
d'espèces nouvelles, de provenances diverses, et d’autres dont
la position systématique ou la synonymie donne lieu à quel-
ques remarques. Trop peu nombreuses pour servir de base à
une étude monographique, ces observations nous semblent
cependant dignes d’être publiées sous forme de notes qui se
succéderont au fur et à mesure de nos recherches. Des cir-
constances indépendantes de notre volonté nous obligent à
adopter ce mode de publication, bien qu’il manque d'unité au
point de vue systématique et géographique. Pour remédier
jusqu’à un certain point à cet inconvénient et pour faciliter aux
spécialistes la consultation de ces notes, nous donnerons à
la fin de ce mémoire un index des espèces et des genres dont
nous parlerons.
I. PYRGOMORPHINÆ.
Tapesia cuisinieri n. sp.
©. Espèce de grande taille. Brune ; la tête et Le pronotum brun
rougeûtre ; ce dernier passant au jaune vers le bord postérieur.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 31
462 JS UICARE Ù
Antennes, dessous du fastigium et pattes antérieures noirs.
Fémurs intermédiaires et postérieurs noirs sur les faces interne
et inférieure, bruns sur les faces externe et supérieure ; genoux
postérieurs noirs ; übias intermédiaires et postérieurs noirs,
avec la moitié basale de la face externe brune à l’exception du
condyle ; tarses noirs. Métanotum et la base des 1°" et-2%°
segments abdominaux noirs ; chaque segment ventral avec une
petite tache noire brillante dans l’angle antérieur ; plaque sous-
sénitale noire, avec deux taches triangulaires brunes.
Fastigium un peu plus court que large à la base, légèrement
ascendant et un peu concave, étroitement arrondi à lextrémité,
avec les côtés peu courbés. Front, vu de côté, sinué en angle
obtus. Antennes atteignant vers l’arrière le bord postérieur des
lobes latéraux du pronotum. Pronotum très semblable à celui
de T.spumans, avec la prozone un peu plus large que la méta-
zone ; celle-ci légèrement élevée, avec les bourrelets radiants
très obtus, Le bord postérieur arrondi et offrant quatre petites
côtes. Elytres ovalaires, avec la nervulation testacée et les
aréoles noirâtres. Ailes très atrophiées.
Abdomen lisse et brillant ; les tergites cependant assez régu-
lièrement ponctués vers leur bord latéral.
Fémurs postérieurs faiblement et graduellement atténués
vers les genoux, non sinués devant ceux-ci; carènes obtuses.
Fémurs intermédiaires distinctement dilatés vers l'extrémité.
©. Longueur du corps : 60"".
» des antennes : 19".
» du pronotum : 17".
» des élytres : 1677.
Largeur » TES
Longueur des fémurs postérieurs : 26".
1 ©. Konakry, Guinée française. (L. Cuisinier leg.).
Cette espèce est, par certains caractères, voisine de deux
autres espèces de l'Afrique occidentale, T. oberthüri Bol. et
T. anchietae Bol. Elle se rapproche de la première par la forme
et la brièveté des élytres et de la seconde par les antennes plus
ACRIDIDES 463
longues et l'abdomen non rugueux. Par contre, elle se distingue
des deux, outre certaines particularités de la couleur, par sa
taille plus grande et par les fémurs postérieurs relativement
plus longs.
Monistria vinosa n. sp.
g'. D’un rouge vineux très foncé; le vertex étroitement
bordé d'orange, cette couleur se continuant sur la carène fron-
tale entre les antennes; une étroite bande ferrugineuse com-
mence à la base des antennes, traverse les joues et se prolonge,
en devenant plus large et plus floue, dans la partie inférieure
des lobes latéraux du pronotum. Les tergites abdominaux por-
tent sur les flancs une série de petites taches rouge clair, à
peine calleuses, une bordure latérale jaunâtre et des marbru-
res jaunâtres au-dessus de celle-ci, sur les derniers segments ;
le ventre jaune porte une bande médiane pourpre, diffuse, qui
s’élargit sur les derniers segments et renferme ici des macu-
les jaunes. Pattes de la couleur du corps, les fémurs posté-
rieurs un peu plus clairs en dessous ; épines des tibias blan-
châtres, à pointe noire.
Front non sinué. Fastigium du vertex à peu près aussi long
que large. Antennes épaisses, courtes, à peine plus longues
que le pronotum.
Apophyse du prosternum semiélliptique, creuse vers l'avant,
non épaissie à l'extrémité comme chez HW. pustulosa.
Elytres ovalaires, larges.
Extrémité de l’abdomen comme chez le œ de M. pustulosa
Stäl .
Longueur du corps : 23".
» du pronotum : 5,5.
» des élytres : 2"",5.
» des fémurs postérieurs : 13%,
L '. Kosziusko, Nouvelles-Galles du Sud, 1600 à 2000 m.
d'altitude.
Cet exemplaire se distingue du SG de 1. pustulosa Stäl par le
464 JAICARÉ
corps plus robuste, la couleur générale, l’absence des callosi-
tés, la brièveté des antennes et la forme de l’apophyse du
prosternum. Il se pourrait que ce soit le G° de M. ligata Bol.
Monistria profundesulcata n. sp.
Q. Gette espèce se distingue de tous ses congénères par son
pronotum qui, vu de profil, n’est pas légèrement bombé en
avant du sillon typique, mais très légèrement enfoncé, et porte
des sillons très marqués; le premier sillon, près du bord anté-
rieur, qui, chez les autres espèces, est nul ou indistinct sur le
dos, est ici très profond et large sur tout son parcours ; lPétroit
espace entre ce premier sillon et le bord antérieur du prono-
tum, ainsi que la métazone, sont densément et assez grossiè-
rement ponctués ; l’espace entre le premier et le dernier sillon
est lisse sur les côtés, très finement ridé sur le dos entre les
sillons.
Couleur générale jaune-ferrugineux ; les */; distaux des an-
tennes, le mésothorax, les côtés du dos du métathorax et une
tache sur la base des élytres sont noirs. Les arcs géniculaires
des fémurs postérieurs sont rouge-brun, les tibias postérieurs
deviennent foncés vers l'extrémité, surtout en dessous. Le
corps ne porte pas de callosités colorées.
Antennes relativement longues, presque deux fois aussi lon-
gues que le pronotum. Fastigium du vertex plus long que
large et distinctement ascendant. Front vaguement sinué. Apo-
physe du prosternum en forme de langue, à bord tranchant et
non épaissi au sommet comme chez M. pustulosa. Elytres en
ovale très large et un peu irrégulier, le bord interne moins
fortement courbé que le bord externe.
Longueur du corps : 34".
» du pronotum : 7",
» des élytress tn
» des fémurs postérieurs : 14",
1 ©. Australie.
a
ACRIDIDES 465
Genre Pseudomorphacris n. gen.
L'examen du type ® de BRuNNER, conservé au Musée de
Gênes, et d’un exemplaire identique de Palon (Pegü) nous a
montré que Westra notata Br. n'appartient pas au genre Tagasta
Bol. (— Mestra Stai), mais doit être considérée comme type
d’un genre nouveau, intermédiaire entre les sections Tagastae
et Atractomorphae de Bozivar.
Il se distingue des Tagastae par les fémurs postérieurs, dont
la face inférieure externe est aussi large que la face externe
médiane et se rencontre avec celle-ci sous un angle presque
droit. Les lobes réfléchis du pronotum ont le bord postérieur
légèrement et régulièrement arqué et l’angle postérieur aigu,
mais non prolongé en arrière (par opposition à Afractomorpha
et Buyssoniella). Les tibias postérieurs sont ronds dans les
2/3 basaux et ont les bords supérieurs obtus dans le 1}; distal,
comme chez Tagasta. Le 2" article des tarses postérieurs est
beaucoup plus court que le 1°" (ce qui le distingue du genre
malgache Schulthessia Bol.). Le prosternum a le bord antérieur
épaissi, mais complètement dépourvu de tubercule.
Pseudomorphacris notata (Br.)
Chez la Q, les élytres sont beaucoup moins fortement arron-
dis à l’extrémité, qu'ils ne le sont d’après la figure de BRUNNER
chez le G', plutôt subacuminés. La lame supraanale et les cerci
de la ® se prolongent en pointe spiniforme.
Orthacris incongruens n. sp.
d. Tête et corps d’un vert olivacé intense, avec une étroite
bande latérale claire depuis les antennes jusqu’à la base des
hanches postérieures ; cette bande est jaune devant les yeux et
sur les pleures, vert clair sur les joues et sur le pronotum, et
bordée de callosités rouges sur ce dernier, du côté supérieur ;
les pattes antérieures et moyennes sont d’un vert rougeûtre, les
fémurs postérieurs sont roux, les tibias postérieurs, par contre,
466 FICRET
vert olivacé comme le corps. Le tympan du 1° segment abdo-
minal est bien développé. Les tibias postérieurs sont pourvus
d’épine apicale externe. Le sommet du vertex est très obtus.
Le prosternum porte un tubercule conique aigu assez long. Les
lobes mésosternaux sont séparés par un espace plus large que
la moitié de chaque lobe. Dernier tergite abdominal sinué de
chaque côté, mais assez profondément incisé (non sinué en arc)
au milieu ; ses deux lobes sont triangulaires obtus. Lame supra-
anale triangulaire, carénée. Gerci coniques, légèrement recour-
bés vers le bas à l'extrémité, pas beaucoup plus courts que la
lame supraanale. Lame sous-génitale en capuchon presque
hémisphérique, non comprimée, offrant une petite carène
médiane dans sa partie ascendante.
Longueur du corps : 20".
» » pronotum : ns pe
» des fémurs postérieurs : 10".
1 G. Indes.
Cette espèce se rapproche beaucoup de ©. filiformis Bol. et
ruficornis Bol., par la présence du tympan et de l’épine apicale
externe sur les tibias postérieurs, comme aussi pour la colora-
üon du corps; mais elle s’en distingue par les fémurs posté-
rieurs plus longs, l'intervalle mésosternal plus large, la lame
sous-génitale non comprimée, etc.
Verdulia dohrni Bol.
Deux © très décolorées correspondent assez bien à la diagnose
de cette espèce, connue de Sumatra; mais les élytres et les
fémurs postérieurs sont plus longs : Longueur des élytres 22",
des fémurs postérieurs 19",
2.Q. Java.
Geloius finoti Bol.
Cette espèce est remarquable par son dimorphisme sexuel
tres prononcé. Bozrvar le fait ressortir pour ce qui concerne
‘dé
ACRIDIDES 467
la forme des antennes, des fémurs antérieurs et la taille, mais
il ne mentionne pas les grandes différences de coloration.
d. Le pronotum est brun foncé, avec quelques granulations
claires au milieu du dos et deux grandes taches arrondies,
jaune clair, un peu calleuses, penchées l’une vers l’autre, dans
la moitié inférieure des lobes réfléchis. Le mésonotum et le mé-
tanotum sont jaunes, avec quelques petites taches foncées ;
les pleures sont noirâtres. L’abdomen, en dessus, est brun fon-
cé, faiblement bariolé de jaune ; l'extrémité et le ventre sont
jaune-brun. Fémurs postérieurs jaune paille sur toute la face
externe, avec la face interne bleuâtre jusqu’au milieu et oran-
gée vers les genoux. Tibias postérieurs orangés dans la moitié
basale, noirâtres dans la moitié distale.
La ® est beaucoup plus bigarrée. Le pronotum est en ma-
jeure partie jaune, avec un dessin brun en forme d’aigle double
sur le dos, quelques petites taches noires sur les lobes réflé-
chis et une rangée de taches punctiformes noires le long des
bords antérieur et postérieur. Les segments de l’abdomen sont
jaunes, avec des marques foncées assez constantes, notamment
un triangle brun sur le dos au bord postérieur et 5 points noirs
disposés en triangle, dont la base est le bord antérieur du
segment et dont la pointe est marquée par le plus grand de ces
points et se trouve au milieu du dos de chaque segment, à la
même place que la pointe du triangle brun ; en outre, chaque
segment porte sur les côtés 3 points noirs un peu plus grands,
disposés en triangle obtus. Ventre jaune brunâtre. Pattes mar-
brées de brun et jaune. Fémurs postérieurs bruns sur la face
externe et plus ou moins marbrés de jaune, avec une grande
tache antémédiane arrondie, jaune, qui occupe toute la largeur
de la face externe et supérieure; les genoux sont également
jaunes ; la face interne est noire, marquelée de jaune vers les
genoux. Tibias postérieurs noirs, avec une petite partie basale
jaune correspondant à la longueur des genoux des fémurs, et
la face supérieure tout entière, ou au moins son bord externe,
jaune.
Ces différences de couleur du corps et des pattes des deux
468 J. CARL
sexes sont si marquées et si constantes qu’onse croirait en pré-
sence de deux espèces différentes !; mais la couleur de la tête
est la même dans les deux sexes : elle est jaune terne; le fasti-
gium du vertex est brun; le vertex offre une bande brune, élar-
gie vers l'arrière, où elle est rejointe par deux stries brunes
obliques, qui partent de la partie supérieure des yeux; la face
porte une bande transversale brune entre les yeux et une autre
bande au milieu, cette dernière se prolongeant à travers les
joues. Tous ces dessins de la tête sont un peu moins apparents
chez la © que chez le &. |
II. CYRTACANTHACRINEÆ.
A. Espèces asiatiques et australiennes.
Quilta mitratum Stal.
Le genre Quilta a été très bien caractérisé par SrâL. La seule
espèce qu’il renferme, Q. mitratum Stäl, des Iles Keeling ? dans
l’Océan indien, n’avait pas été retrouvée depuis sa découverte.
Les exemplaires du Muséum de Genève, provenant de Java,
concordent bien avec la description originale, sauf pour ce qui
concerne la couleur. Ils portent tous une bande foncée, très
étroite chez la ©, un peu plus large chez le G', qui commence
derrière les yeux et s’étend le long du bord supérieur des lobes
latéraux du pronotum jusqu’à l'insertion des élytres ; Les fémurs
postérieurs portent le long du milieu de la face externe une
série de points noirs au nombre de 3-10. Ces différences de
coloration peuvent s'expliquer par le fait que les exemplaires
de Sri étaient conservés à l’alcool. Les cerci du G' sont grèles
et relevés presque verticalement, la plaque suranale est forte-
ment acuminée vers l'extrémité, sillonnée dans sa moitié
basale.
! Nous nous sommes adressé à M. Bozivar pour avoir la confirmation de
ce fait ; mais nous n'avons pu obtenir jusqu'à présent aucun renseignement.
? Non pas Keelong, comme l'indique Kirsy (Syn. Cat.Orthopt. vol. 3. p.
392).
ACRIDIDES 469
Longueur du corps : G 22"", ® 26"".
» du pronotum : G 4"",5, Q 6".
» désélytres:/0' 18"; 92278,
» des fémurs postérieurs : gf 12", Q 14%,
é 0:09 0° Java.
[| Q. Cochinchine.
Ce dernier exemplaire représente peut-être une espèce auto-
nome ; il ne porte point de bandes sur la tête et le thorax, ni
de points noirs sur les fémurs postérieurs ; par contre, les
genoux postérieurs sont noirs, le lobe postérieur du pronotum,
la base des élytres et le fastigium du vertex sont brun fuligi-
neux. Les élytres sont plus longs que chez les exemplaires de
Java.
Rexx ! a décrit sous le nom de Quilta pulchra, une espèce
de Sumatra, qui se distinguerait de Q. mitratum Stal précisé-
ment par l’absence des principaux caractères génériques de
Quilta ! Cette espèce appartient donc à un autre genre.
Genre Macroquilta n. gen.
Genre appartenant au groupe des Oxryae Br.
Q@. Front, vu de côté, modérément oblique ; carène frontale
effacée à proximité du clypeus, largement sillonnée dans toute
sa longueur, à bords très obtus et droits ; carènes latérales
assez saillantes, légèrement déviées vers les yeux au-dessous
des antennes. Yeux un peu plus longs que la distance entre
leurs bords inférieurs et la base des mandibules. Fastigium
du vertex plus large que long, obtus.
Pronotum arrondi dans la prozone, légèrement déprimé dans
la métazone; vu d’en haut, légèrement ensellé et un peu di-
laté vers l'arrière, dépourvu de carènes latérales. Métazone un
peu plus courte que le reste du pronotum, son bord postérieur
obtusément arrondi. Bord inférieur des lobes réfléchis formant
au milieu un petit lobe arrondi; ce bord est épaissi en
1 Bull. Amer. Museum of Nat. Hist., vol. XXVI, p. 190, fig. 14, 15. — 1909.
470 J. CARL
bourrelet sur toute sa longueur, mais surtout dans sa partie
postérieure, qui de ce fait est distinctement relevée vers
l'angle postérieur, formant en dessus une sorte de gouttière
et offrant en dessous un court pli dans lequel s’engage le bord
supérieur des hanches antérieures; angle postérieur saillant,
émoussé.
Tubercule du prosternum long, conique, aigu.
Lobes mésosternaux et métasternaux distinctement séparés.
Elytres et ailes bien développés.
Bord apical dorsal des fémurs postérieurs avec une épine
médiane très distincte et les angles supérieurs interne et ex-
terne prolongés en une épine (comme chez Quilta Stäal). Lobes
géniculaires prolongés en une épine très aiguë.
Tibias postérieurs dilatés vers l’extrémité, à bords lamellai-
res et tranchants ; l’épine apicale externe bien développée.
Valves génitales de la @ crochues à lextrémité; leur bord
denticulé.
Ce genre rappelle Quilta Stäl par les angles dorsaux très
aigus des genoux, mais s’en distingue par le fastigium du ver-
tex beaucoup plus court et diffère de tous les genres de ce
groupe par la conformation du bord inférieur du pronotum.
Certains caractères des élytres.et de la lame sous-génitale de
la © ont peut-être dans ce cas, eux aussi, une valeur généri-
que ; mais comme ils se présentent sous une forme analogue
aussi chez certaines espèces du genre Oxya, mais font défaut
chez d’autres espèces de ce genre, nous préférons les réserver
pour la description de l’espèce.
Macroquilta longipennis n. sp.
Fig. 1, 2.
Q.Vertjaunâtre. Tête presque unicolore, avec de faibles ponc-
tuations foncées sur la face et des traces d’une ligne postocu-
laire oblique ; le bord du fastigium du vertex assombri.
Pronotum lisse et luisant, faiblement coriacé dans la méta-
zone; la carène médiane distincte seulement près du bord an-
nu
RE
ACRIDIDES 471
térieur et dans la métazone, mais remplacée par un fin sillon
dans la mésozone ; le bord antérieur du pronotum arrondi et
très faiblement sinué au milieu, le bord postérieur faiblement
échancré au milieu. Les lobes réfléchis portent au-dessus du
milieu une strie longitudinale olivâtre, diffuse vers le haut,
mais limitée et rehaussée sur ke côté inférieur par une large
bordure jaune clair.
Le tiers supérieur des méso- et métapleures est noir, bordé
de jaune vers Le bas.
Elytres longs et étroits, dépassant de beaucoup l'abdomen
et même les fémurs postérieurs, obtusément arrondis à lPex-
trémité, membraneux et transparents, mais coriacés et jaune
opaque dans leur quart basal, où le champ médiastin se dilate
en un large lobe arrondi dont le limbe est membraneux ; ner-
vure médiastine jaune, courbée et saillante sur la courbe; les
nervures radiales sont très foncées dans leur moitié basale ;
le champ anal offre, dans son tiers basal, derrière la veine ulnaire
antérieure, une strie couverte d’une pubescence jaunâtre très
dense, fine et courte.
Ailes longues et étroites, hyalines.
Fémurs postérieurs avec les arcs géniculaires interne et ex-
terne foncés. Tibias postérieurs avec une ligne brune sur le
bord externe de leur face inférieure ; les épines au nombre de
9 de chaque côté, jaunes à pointe noire.
Lame sous-génitale de la Q terminée en un lobe médian
obtus et une apophyse conique de chaque côté, offrant sur la face
inférieure une impression longitudinale lisse, de chaque côté
une carène denticulée, aiguë, et entre l’impression médiane et
les carènes une pubescence fine et très dense (comme chez cer-
taines Oxrya).
Longueur du corps : 38",
» du pronotum : 9,5.
» des élytres : 45",
» des fémurs postérieurs : 21",
1 9. Rockhampton, Australie.
72 JHGARE
=
Oxya minuta n. sp.
q, ©. Taille très petite. Corps couleur de paille, avec une
bande olivacée peu apparente derrière les yeux et dans la partie
supérieure des lobes latéraux du pronotum ; cette bande parfois
bordée d’une strie blanchâtre; le disque du pronotum et l’oc-
ciput sont parfois également assombris, brunâtres, cette cou-
leur se confondant avec la bande latérale ou séparée d’elle par
une strie pâle. Pattes unicolores ; le bord postérieur des seg-
ments abdominaux brun châtain.
Elytres raccourcis, ne dépassant pas le bord postérieur du
3" segment abdominal, ne se touchant que dans leur moitié
basale ; ils sont acuminés à l’extrémité et ont l’aire médiastine
distinctement dilatée.
Lame sous-génitale de la Q sans carènes et sans dents, fai-
blement prolongée entre la base des valves et faiblement inei-
sée au milieu du bord postérieur. !
Cercei du S'très grèles et très aigus, subspiniformes. Plaque
PART VS
suranale du G' assez brusquement rétrécie derrière le milieu.
Longueur. du corps: 9 192%, G'A5mms,
» duspronotum :0 A0 5 oem,
» dés fémurs post.:0 42m 0x 0eme
» desrélptres s OH: CDR
À
fi
"ol
4
GS G', ® ®. Java; (D' L. ZEHNTNER lepg..).
Voisine de ©. rufipes Br., dont elle se distingue aisément par
ses élytres encore plus courts, les pattes postérieures unicolo-
res, le bord postérieur du pronotum plus fortement arrondi,
avec l’angle à peine indiqué, les cerci du G' encore plus grêles
et la lame supraanale du G plus brusquement rétrécie.
Tauchira mirabilis n. sp.
d,?. Tête et corps noir brillant, avec les dessins blancs ou
blanc jaunâtre suivants : Une bande étroite depuis le fastigium
du vertex par l’occiput, le pronotum etles ?/; du bord supérieur
ACRIDIDES 473
des élytres ; une ceinture irrégulière, interrompue par la carène
frontale, sur la tête au-dessous des yeux, prolongée sous forme
d’une bande étroite le long du bord inférieur du pronotum et
sur les méso- et métapleures, où elle est interrompue ; une tache
dorsale carrée sur le segment abdominal 1; une petite tache
dorsale près du bord postérieur des segments abdominaux 2,
3 et 4; une ceinture occupant toute la partie dorsale sur les
segments abdominaux 5, 6 et 7; une étroite bande passant par
les stigmates et formant la bordure latérale de tous les segments
abdominaux dorsaux, séparée des ceintures dorsales des seg-
ments 5, 6 et 7 par une zone noire plus ou moins large; une
petite tache à la base des mandibules. Poitrine noire, avec des
taches brunes diffuses ; ventre brun, devenant noir vers l’extré-
mité. Antennes avec la face supérieure blanc terne ou blanc
verdâtre ; la face inférieure noire, passant au bleu-vert vers la
base. Pattes antérieures et moyennes rouge sanguin, avec les
tarses et parfois aussi les tibias verts. Fémurs postérieurs noirs,
avec une macule basale rouge, ronde, sur le côté externe près
de l’articulation et Le plus souvent avec un anneau subapical
rouge plus ou moins distinct. Tibias postérieurs bleu d'azur ou
bleu de Prusse, avec les épines de la même couleur.
Antennes très longues, égalant chez le G‘ la longueur de la
tête, du pronotum et des deux premiers segments abdominaux
pris ensemble, chez la © un peu plus courtes. Front, pronotum,
métanotum et pleures assez grossièrement ponctués ; la partie
dorsale des segments abdominaux 1 à 4 moins fortement
ponctués, les segments suivants lisses. Elytres rudimentaires,
latéraux, étroits, légèrement élargis dans la partie apicale,
avec l’extrémité arrondie ; ils atteignent le bord postérieur du
1° segment abdominal. Ailes absentes. Apophyse du prosternum
terminée par 3 tubercules, dont les deux latéraux sont beau-
coup plus grands que le médian. Bord postérieur du pronotum
très distinctement émarginé au milieu. Tibias postérieurs avec
10 ou 11 épines sur le bord interne et 9 ou 10 épines sur le
bord externe ; l’épine apicale externe distincte. |
Plaque sous-génitale de la ® avec le bord postérieur presque
47% TUCARL
régulièrement arrondi. Dernier tergite du G‘ avec une petite
dent très obtuse de chaque côté du sinus médian ; cerci coni-
ques, aigus, de la longueur de la lame supraanale, qui a la forme
d’un triangle régulier.
Longueur du corps : SG 16*", @r9DDmM,
» du pronotum : 6° 3"", Q 47".
» dés élyirés "02878 0uSee
» des fémurs postérieurs : G 10"",5, Ç 12%%,5.
10 9,9%. Bua-Kraeng, Célèbes mérid., à environ 1700 m.
d'altitude. ;
Cette espèce est bien caractérisée par son dessin très net et
très apparent et la richesse des couleurs; sauf les variations
indiquées, le dessin semble être très constant chez les individus
de la même localité.
Tauchira samanga n. SP.
œ. Très semblable à l'espèce précédente pour la coloration
de la tête et du thorax, la forme, longueur et couleur des
élytres ; mais le front est entièrement noir par le fait que la
bande blanchâtre ‘inférieure ne forme pas une ceinture autour
de la tête, mais s'arrête aux carènes externes en se prolongeant
vers le haut entre celles-ci et Les yeux; mandibules, elypeus et
labrum en majeure partie blanc verdâtre ; poitrine rouge. La
couleur de l'abdomen et des pattes entièrement différente. Les
tergites abdominaux noirâtres, avec une étroite bande médiane
blanchâtre, une large bordure latérale blanchâtre et des traces
d’une petite tache claire sur le bord postérieur de chaque seg-
ment. Pattes antérieures et moyennes vertes. Fémurs posté-
rieurs orangés, avec les genoux noirâtres, un anneau subapical
jaunâtre précédé d’un anneau olivâtre, une tache oblique et une
tache longitudinale subbasale olivâtres dans l'aire externe.
Tibias postérieurs bleu verdâtre.
Le front, le thorax et la partie dorsale des tergites abdomi-
naux ont une ponctuation un peu plus dense que chez T. mira-
ACRIDIDES 475
bilis. L’apophyse du prosternum est comme chez cette espèce.
(Notre unique exemplaire étant mutilé, nous ne pouvons fournir
aucune indication sur les antennes, les tarses postérieurs et les
pièces anales.)
Longueur du corps : g' environ 18".
» du pronotum : 3"",5.
» des élytres : 272,5.
» des fémurs postérieurs : 117%.
1 G'. Samanga, Célèbes mérid.
Tauchira vidua n. sp.
©. Taille plus grande que chez T. lucida Krauss et T. mira-
bilis n. sp. Le dessin est presque identique à celui de 7. samanga,
mais les bandes sont moins apparentes, étant jaune-brun sur
un fond châtain ou brun foncé; labre, clypeus et mandibules
brun foncé; palpes jaunâtres ; antennes brun clair; la large
zone latérale foncée des tergites abdominaux renferme sur
chaque segment une strie courbe jaune-brun, peu apparente ;
poitrine brune; ventre brun, légèrement plus foncé vers l’extré-
mité. Pattes de la 1'° et 2"° paire vertes. Fémurs postérieurs
avec les faces inférieure et interne rouge sanguin, sans taches, la
face externe orangée et munie d’une strie médiane foncée dans
la partie épaisse, la face supérieure avec 3 taches foncées peu
nettes ; Les genoux noirâtres. Tibias postérieurs noirs, avec une
strie verdâtre en dessus, les épines noires. Tarses postérieurs
verts.
La ponctuation du corps est un peu plus fine, mais beaucoup
plus dense que chez les espèces précédentes ; elle se trouve,
quoique plus éparse, aussi sur les côtés de l'abdomen et sur
les derniers segments abdominaux. Le bord postérieur du pro-
notum est très faiblement émarginé. Apophyse du prosternum
bituberculé, le tubercule médian étant entièrement oblitéré.
Elytres dépassant un peu le bord postérieur du 1° segment
abdominal, de la même forme que chez T. mirabilis, mais le
476 J. CARL
champ anal légèrement dilaté près de la base. La plaque sous-
génitale de la ® a le bord postérieur distinctement prolongé au
milieu et obtus-arrondi. Les tibias postérieurs portent sur le
bord interne 12 épines et sur le bord externe 10 épines ; l’épine
apicale externe est réduite à un petit tubercule.
Longueur du corps : 29".
» du pronotum : 57".
» des élyires* 57%;
) des fémurs postérieurs : 16".
1 ©. Patunuang, Célèbes méridional.
Malgré la grande ressemblance dans le dessin du corps, nous
ne croyons pas pouvoir considérer cette espèce-c1 et 7. samanga
comme étant les 2 sexes de la même espèce, à cause des grandes
différences dans la coloration des pattes postérieures. En outre,
la différence de taille entre ces 2 exemplaires est beaucoup
plus grande qu’elle ne l’est d'ordinaire entre les deux sexes
de la même espèce chez les Tauchira (p. ex. T. lucida Krauss,
buae Bol. et mirabilis n. sp.).
Racilia exigua n. sp.
æ.®. Couleur générale verte; une étroite bande noire de cha-
que côté derrière les yeux, passant par le pronotum et prolongée
sur les élytres, dont les bords antérieur et postérieur seuls res-
tent pâles ; les bords du fastigium du vertex sont noir-brillant ;
antennes brunes, avec le dernier article pâle et l’article basal
vert; labre glauque. Pattes vertes; les fémurs postérieurs du
d passant souvent au rouge sanguin dans la partie épaisse,
avec les genoux entièrement ou en partie noirs; tibias posté-
rieurs bleu-vert, leurs épines brun-jaune à pointe noire.
Fastigium arrondi en avant dans les deux sexes, distincte-
ment plus long que large chez le G', à peu près aussi long que
large chez la ©. Antennes de la Q un peu plus courtes, celles
du & 1 ‘2 fois aussi longues que la tête et le pronotum pris
ensemble. Ponctuation assez forte sur le front et le pronotum,
2
ACRIDIDES 477
faible sur le dos des tergites abdominaux. Bord postérieur du
pronotum tronqué et tres légèrement émarginé. Apophyse du
prosternum avec le bord apical divisé en 4 petits tubercules
subégaux. Elytres rudimentaires, ne dépassant pas le milieu
du 2"° segment abdominal, environ 2 fois aussi longs que
larges, avec le bord anal droit, le bord costal régulièrement
courbé et l'extrémité arrondie. Ailes absentes. Tibias posté-
rieurs dépourvus d’épine apicale externe. ÿ
Dernier tergite du g' avec une petite dent obtuse de chaque
côté de l'incision ronde du milieu.
Lame supraanale du G triangulaire-aiguë, avec deux carènes
qui divergent vers l'arrière ; cerci coniques, aigus. Valves gé-
nitales de la & presque droites, inermes ; lame sous - génitale
@ tronquée.
Longueur du corps : ® 18"", of 14".
RU DEGNOQUm: 0 "anR 5 SUR,
» desrelyires ON 5 mm
» des fémurs postérieurs: Q 11%, G' 9m,
12 S c', 4 Q ©. Pasoeroean et les Mts. Tengver, Java orient.
OO
Cette espèce a l’habitus des Tauchira précédemment décrites,
mais les caractères distinctifs du genre Racilia (longueur du
fasugium, valves génitales de la © inermes). L’épine apicale
externe des tibias postérieurs étant déjà atrophiée chez les
Racilia, son absence complète ne justifie pas la création d’un
genre nouveau; il en est de même de l'absence des ailes et de
l’atrophie des élytres. Par contre, le bord postérieur du prono-
tum est décrit comme formant un angle obtus plus ou moins
distinct chez À. femoralis S\à et aurora Br., tandis qu’il est
tronqué-émarginé chez l'espèce de Java.
Genre Æreroglyphus Krauss.
Afin de faciliter la détermination des espèces, d'établir leurs
affinités et d'attirer l'attention sur certains caractères morpho-
logiques négligés jusqu'à ce jour, nous faisons précéder les
Rev Suisse pe Zooz. T. 24. 1916. J2
478 J-ACARE
descriptions des espèces nouvelles d’un essai de groupement
d'après différents caractères.
I. Lame sous-génitale ©. 1. Pourvue de 2 carènes den-
ticulées : Æ. tarsalis Stâl, citrinolimbatus Br., tonki-
nensis n. SP.
2. Dépourvue de carènes : daganensis Karsch, furcifer
Serv., or'yZzivorus n. Sp.
IT. Valves génitales supérieures ©. 1. Fortement acu-
minées vers l’extrémité : /{. furcifer, tarsalis, citrino-
limbatus, tonkinensis.
2. Beaucoup moins fortement acuminées : Æ. daganen-
SiS, OrYZVOrUS.
III. Lame sous-génitale du SG. 1. Acuminée : Æ. daganen-
sis, furcifer, tarsalis, citrinolimbatus.
2. Comprimée latéralement, tronquée et formant une
arête verticale vive : A. vastator n. sp.
IV. Cerci du G'. 1. Brièvement bifurqués à l’extrémité : A.
furcifer.
2. Obtus-tronqués à l'extrémité et saillant en petit tuber-
cule obtus sur le côté interne : X. daganensis.
3. Atténués en pointe : /. tarsalis, citrinolimbatus.
4. Très obliquement tronqués en pointe dans leur tiers
apical : Æ. vastator, (?) oryzivorus.
V. Lobes mésosternaux. 1. Subcontigus au milieu; leur
intervalle par conséquent pointu vers l’avant: #. daga-
nensis (S', ®), oryzivorus (®), vastator {S).
2. Nettement séparés par un intervalle légèrement
biconcave : A. furcifer (S', ®), tarsalis (X, Q®), citrino-
limbatus (S, ®), tonkinensis (©).
VI. Dernier sillon du pronotum. 1. Distinctement et régu-
lièrement courbé vers l'avant, sur le dos : Æ. daga-
nensis, furcifer, oryzivorus.
2. Offrant seulement une petite saillie vers l'avant, au
milieu du dos : /. vastator.
3. Droit sur le dos: H. tarsalis, citrinolimbatus, tonki-
nensis.
ACRIDIDES 47
VII. Métazone du pronotum. 1. Ayant “} de la longueur du
pronotum ; son bord postérieur en angle arrondi: 77.
tarsalis, citrinolimbatus, tonkinensis, vastator.
2. Ayant ?/; de la longueur du pronotum ; son bord pos-
térieur largement arrondi ou en angle très obtus et
émoussé: /1. daganensis, furcifer, oryzivorus.
Ce tableau montre que certaines espèces se trouvent toujours
dans le même groupe, quel que soit le caractère visé. Il en est
ainsi pour /1. tarsalis, citrinolimbalus et tonkinensis, qui, en
raison de leurs grandes affinités morphologiques, pourraient
être considérés comme des formes géographiques de la même
espèce. Des rapports très étroits existent également entre
H. daganensis et H. oryzivorus. Si nous donnons néanmoins à
tonhinensis et oryzivorus le rang d'espèces, c’est parce que
nous n'en connaissons encore que la ®.
D'autres parties du corps varient aussi plus ou moins, sui-
vant les espèces, mais ces variations ne se prêtent pas à un
aperçu synoptique, vu qu'elles sont reliées par des formes de
passage. C’est le cas pour la forme de la plaque suranale du &
et pour le bord inférieur des lobes réfléchis du pronotum.
Dans les descriptions des espèces nouvelles qui suivent, nous
ne considérerons que les caractères distinctifs non contenus
dans les tableaux analytiques et, en première ligne, la coloration.
Hieroglyphus tonkinensis n. sp.
®. Vert jaunâtre, avec très peu de marques noires. Face et ver-
tex offrant une ponctuation foncée assez dense. Antennes
comme chez A. tarsalis et citrinolimbatus. Le fond des sillons
du pronotum est noir sur les côtés du dos seulement, mais
non au milieu et sur les lobes latéraux; l’ourlet du bord
postérieur n’est pas orangé comme chez citrinolimbatus. Aux
pattes postérieures, le fémur ne porte extérieurement qu'un
petit point noir à la base de l’arc géniculaire et intérieurement
une strie transversale, irrégulière, noire devant les genoux ; le
tibia offre une petite tache noire supéro-interne derrière le con-
480 JÉCARE
dyle et une autre à l'extrémité, à la base de léperon interne ;
les tarses postérieurs sont unicolores, vert jaunâtre (chez tar-
salis et citrinolimbatus, les tbias sont noirs sur tout leur
pourtour près de la base et à l’extrémité, et les articles 1 et 2
du tarse sont noirs, avec une tache jaune à l'extrémité). Elytres
dépassant un peu les fémurs postérieurs, mais n'atteignant
pas l’extrémité de l'abdomen.
Longueur du corps : 55°".
» du pronotum : 10%".
» des élytres: 357%.
) des fémurs postérieurs : 247%.
1 ©. Than-Moi, Tonkin.
Hieroolyphus oryzivorus n. Sp.
5". y
©. Probablement vert à l’état frais. Face sans ponctuation
foncée. Antennes brun noir, devenant olivacées vers la base.
Sillons du pronotum noirs sur les lobes latéraux seulement, et
le premier sillon dorsal à ses deux extrémités. Méso- et méta-
pleures avec les soudures noires. Pattes postérieures sans la
moindre tache noire, ou avec une fine strie médiane foncée sur
le dessus des genoux. Elytres raccourcis, n’atteignant pas l’ex-
trémité des fémurs postérieurs.
1 ©, Murshidabad (Hindoustan).
L ©, portant l'étiquette : «Pha-pha »; détruit le riz dans le dis-
trict de Bilaspia, Indes centrales.
MaxweLL-LErroy, dans un rapport sur les dégâts causés par
les criquets dans l'Hindoustan en 1903-1904 ? cite « Hterogly-
phus furcifer Serv. » parmi les espèces nuisibles. Il l’appelle :
«The rice grasshopper » et ajoute: «This is the familiar Pha-
pha of the Central-Provinces, of Gujarat, Belgaum, Mysore and
? Mem. of the Dept. of Agriculture in India, vol. I, p. 53-54, PI. VIII, fig. 4
et PI. X, fig. 7 et 8, 1906.
"4
k,
ACRIDIDES 481
other parts of India. It occurs chiefly in rice land or other wet
land and is very widely distributed in India ».
Il est probable que les indigènes donnent le nom de «Pha-
pha » à plusieurs espèces de Æieroglyphus. L'espèce figurée par
MaxwELL LEFROoY n'est certainement pas //. furcifer, parce que
les cerci n’ont pas la forme caractéristique pour cette espèce et
parce que, d’après la figure, les pattes postérieures ne portent
point de marques noires. Ces figures se rapportent donc pro-
bablement à //. oryzivorus, dont le & se rapprocherait par la
forme des cerci de //. vastator n. sp., tout en étant bien dis-
ünct par la coloration. Il aurait les élytres beaucoup plus longs
que ceux de la ©, dépassant considérablement les fémurs pos-
térieurs; mais c’est là un caractère qui varie beaucoup chez
certaines espèces de Hieroglyphus, même chez les individus
du même sexe (4. daganensis p. ex. possède une forme gf à
élytres longs et une autre forme c' à élytres très raccourcis).
C’est précisément le fait qu'on trouve dans les Indes centra-
les un Æieroglyphus S concordant avec 4. daganensis et ory-
ziworus pour la coloration, mais se distinguant du premier par
la forme des cerci, qui nous engage à considérer oryzivorus
de l’Inde comme spécifiquement distinct de daganensis du Sé-
négal et de lui attribuer ce Œ.
Quoi qu'il en soit, il est certain que d’autres espèces de
Hieroglyphus, et probablement 7. furcifer, causent des
ravages dans les plantations.
Hieroglyphus vastator n. sp.
g'. Vert jaunâtre. Face sans ponctuations foncées. Pronotum
offrant de larges stries noires un peu irrégulières le long des
sillons ; ces stries sont interrompues au milieu du dos et réu-
nies en haut de chaque côté du dos par une ligne longitudinale
noire qui part du premier sillon et se prolonge, en divergeant
un peu, sur la métazone jusqu'au bord postérieur du pronotum ;
les deux premières stries sont réunies, elles aussi, en bas, par
une strie longitudinale noire, la deuxième et troisième émettent
482 J. CARL
une saillie triangulaire vers l’avant, au milieu des lobes laté-
raux. Pleures marquées de bandes obliques noires presque
aussi larges que les intervalles et finement bordées de noir au-
dessus des hanches. Elytres dépassant de beaucoup les fémurs
postérieurs et même l'extrémité de l'abdomen, assez transpa-
rents ; la nervure radiale devenant foncée vers la base. Pattes
postérieures ayant les genoux entièrement noirs, sauf la partie
distale des lobes géniculaires, qui est pâle; tibias postérieurs
offrant un anneau noir près de la base et une strie noire sur la
face inférieure ; l'extrême bord apical des tibias et les éperons
également noirs, les épines pâles, à pointe noire. Tarses uni-
colores, pâles.
Lame suranale du G‘f obtuse, graduellement atténuée vers
l'extrémité (chez daganensis, et moins distinctement chez
tarsalis, citrinolimbatus et furcifer, elle est subitement rétré-
cie un peu avant l'extrémité).
Longueur du COrpS : 35m
: du pronotum : 9,5.
» des élytres : g7um
» du fémur postérieur: 20",
L g' des Indes, portant la mention: «Cet Insecte causerait
des ravages ».
Abstraction faite de ses particularités morphologiques (voir
es tableaux analytiques), cette espèce se distingue à premiere
vue de toutes les autres par le grand développement des mar-
ques noires sur le pronotum et les pattes postérieures.
Genre Parahieroglyphus n. gen.
Ce genre a tout à fait l’habitus du genre Æieroglyphus. Ws’en
distingue par les élytres très courts, les ailes abortives, seule-
ment de moitié aussi longues que les élytres chez la © et en-
core beaucoup plus courtes chez le G‘ et par la conformation de
l'extrémité de l'abdomen dans les deux sexes. Chez la ©, la
lame sous-génitale présente à l'extrémité deux ineisions qui la
è
“
mr
Di 0°. ‘ft Aie DS
ACRIDIDES 483
divisent en un lobe médian sémielliptique et deux lobes laté-
raux digitiformes un peu plus courts (fig. 5). Chez le œ, l’ab-
domen (fig. ") s'épaissit graduellement depuis le milieu vers
l'arrière; les cerci sont volumineux, dirigés vers le haut et
divisés en trois parties. Le c'est beaucoup plus petit que la @.
Parahieroglyphus bilineatus n. sp.
Fig. 3-5.
d,®.Jaunâtre (peut-être vert à l’état frais), avec les marques
foncées suivantes : un trait oblique surles joues au-dessous des
yeux, tantôt très distinct et noir, tantôt à peine indiqué; une
ligne longitudinale noire de chaque côté, entre le dos et les lo-
bes latéraux du pronotum, n’atteignant pas son bord antérieur,
mais se prolongeant en arrière sur la nervure radiale des ély-
tres ; une marque noire en forme de L sur les lobes latéraux du
pronotum, descendant le long du deuxième sillon et brisée vers
avant ; un trait oblique noir sur les mésopleures et les méta-
pleures ; les fovéoles et un étroit bord latéral sur le mésoster-
num, noirs ; sur les tibias antérieurs et moyens, en dessus, une
petite tache basale noire et, séparée d’elle, un trait brun plus ou
moins distinct le long du bord supérieur externe; sur les fé-
murs postérieurs, le bord apical supérieur finement brun, une
petite tache noire à la base de chaque arc géniculaire et une
autre, plus petite encore, sur les bords inférieurs des genoux
à la base de chaque lobe ; sur les tibias postérieurs (probable-
ment vert marin à l’état frais) un petit anneau basal noir, sou-
vent décomposé ou réduit chez la ©, parfois (o‘) un trait brun
dans la partie basale du bord supérieur externe, une strie brun-
noir occupant toute la face inférieure du tibia dans la partie ba-
sale, mais effacée ou réduite à une fine ligne sur Le bord ex-
terne vers l’extrémité, toujours séparée de la marque noire à la
base.
Tête, vue de profil, un peu plus oblique que chez les Æiero-
glyphus. Le fastigium du vertex court et large, convexe en
avant, avec un sillon transversal vague à sa base. Antennes
minces, filiformes, jaunâtres. Pronotum avec une faible carène
484 Jet CARL
médiane lisse, également distincte dans toute sa longueur et
parcourue d’un sillon très fin. Toute la surface du pronotum
ponctuée ; la ponctuation est plus dense et un peu plus fine sur
la métazone, dont la longueur est un peu plus d’un tiers de
celle du pronotum tout entier et dont le bord postérieur forme
un angle très obtus et arrondi. Les sillons transversaux du
pronotum un peu moins profonds que chez les Hieroglyphus,
les deux antérieurs ondulés, le dernier très légèrement courbé
vers l’avant sur le dos.
Lobes mésosternaux contigus au milieu chez le &, subconti-
gus chez la Q.
Elytres lancéolés, raccourcis, ne dépassant pas le 2° seg-
ment abdominal, mais se couvrant un peu par la partie basale
de leur bord postérieur.
Ailes très rudimentaires et dépassant à peine le métathorax
chez le G, un peu plus longues, atteignant presque l'extrémité
du 1° segment abdominal chez la © ; jaunâtres, avec une strie
longitudinale foncée, assez large à la base; elles semblent ne
pas pouvoir s'ouvrir et ne plus servir au vol.
Valves génitales de la © non crochues à l'extrémité. Lame
sous-génitale du & courte, conique, émoussée. Dernier tergite
du SG large, à bord postérieur très légèrement concave ou droit,
étroitement noirci. Lame suranale du & triangulaire, assez
aiguë, à bords latéraux renflés dans la moitié basale. Cerci du
d' (fig. 3°, c) très gros, divisés en 3 parties inégales : une partie
externe en forme d'oreille, concave vers l’intérieur, à bords
noircis ; une partie intermédiaire en forme d’une large spatule
arrondie sur une tige très courte, à bords noircis; et enfin une
partie interne beaucoup plus courte, en forme d’apophyse sty-
loïde.
Longueur du corps: Q 39%", g' 22m,
» des élytres : (®) 102%: q GHncE:
» des'ailes 2104520 tam.
» du ‘pronotum®s © Jin EC anne
» des fémurs postérieurs: Q 19%, c 12m,
129,13 5, 1 larve. Indes orientales, Himalaya.
ACRIDIDES :85
leratodes brachypterus n. sp.
Fig. 6.
La © se distingue de la seule espèce de Teratodes connue
jusqu’à présent, 7. monticollis Gray (fig. 7), par les caractères
suivants: la crête du pronotum est moins élevée, par consé-
quent moins arquée, denticulée depuis le premier tiers ; la méta-
zone est un peu moins fortement prolongée en arrière; ses bords
postérieurs ne forment pas un sinus huméral large, mais sont
très faiblement et régulièrement sinués sur toute leur longueur.
Elytres tres courts, ovalaires, ne dépassant pas le 3° segment
abdominal. Carène supérieure externe des fémurs postérieurs
dépourvue de denticules, n’offrant que de petits nodules.
Couleur générale vert intense; les tibias postérieurs et le
bord de la crête du pronotum sont vert jaunâtre, les bords pos-
térieurs de la métazone, jaune pâle. La sculpture diffère à peme
de celle de 7. monticollis, mais la taille est beaucoup plus pe-
tite et les fémurs postérieurs sont plus longs par rapport au
corps et aux fémurs antérieurs.
Longueur du corps : 45%". (60"".)
» du pronotum: 22". (37°".)
Hauteur maximale du pronotum : 16", (26"".,)
Longueur des fémurs antérieurs: 7%",5. (10"%.)
» » » postérieurs: 227". (22%%.)
Les chiffres entre parenthèses indiquent les mesures corres-
pondantes d’une ® moyenne de 7. monticollis.
1 ©. Madura, Indes méridionales.
Genre Zonkinacris n. gen.
Corps robuste. Tête, thorax, ventre, élytres et pattes cou-
verts d’une pubescence blanche, très fine, pas très dense,
sauf sur les tibias postérieurs, où elle est sensiblement plus
dense.
486 I VEABL
Tête grande, un peu plus large et plus haute que le prono-
tum. Yeux grands, peu obliques, elliptiques, un peu plus longs
que la partie infraoculaire des joues; leur intervalle un peu
plus étroit (g') ou de la même largeur que la carène frontale;
celle-ci droite, basse, non saillante et à peine dilatée entre les
antennes, effacée vers le labre, à bords obtus et subparallèles ;
carènes latérales obtuses, légèrement réfléchies vers les yeux
au-dessous des antennes. Front plus haut que large. Fastigium
du vertex court et obtus, très incliné et passant sans limite
nette dans la carène frontale. Antennes minces, filiformes. Dos
du pronotum arrondi, vu de côté droit, sans trace de ca-
rènes latérales ; carène médiane très faible, distincte sur la
métazone seulement. Métazone plus courte que le reste du
pronotum, à bord postérieur obtusément arrondi. Ailes et ély-
tres raccourcis dans les deux sexes. Apophyse du prosternum
conique, aiguë. Lobes mésosternaux plus larges que longs, et
plus larges que leur intervalle, qui est subcarré chez la 9,
mais plus long que large chez le G. Lobes métasternaux
séparés.
Pattes robustes. Fémurs postérieurs épais; leur carène su-
périeure lisse, prolongée à l’extrémité en une petite épine; les
lobes géniculaires arrondis. Tibias postérieurs arrondis, non
dilatés vers l'extrémité, à épines nombreuses et régulièrement
disposées, mais dépourvus d’épine apicale externe. 1% article
des tarses postérieurs deux fois aussi long que le deuxième.
Valves génitales de la © légèrement courbées à l’extrémité,
acuminées, les supérieures denticulées sur le bord.
Abdomen du & légèrement épaissi vers l’extrémité, dont les
pièces sont formées et disposées comme dans le groupe amé-
ricain des Melanopli.
Ce genre rappelle, par son habitus général et par sa
livrée, le groupe des Coptacrae ou les Traulia, mais s’en distin-
gue par le pronotum plus régulièrement arrondi, la carène
supérieure des fémurs lisse. Il se distingue des Traulia, en
outre, par le front droit, non sinué au-dessous des antennes,
et par le fastigium plus court et plus fortement incliné.
ACRIDIDES 487
Tonkinacris decoratus n. sp.
© ,0'. Frontet partie inférieure des joues verts, ponctués. An-
tennes ferrugineuses, brunes vers l'extrémité et jaunes à la base.
Vertex et pronotum parcourus par trois larges bandes noires,
séparées par des bandelettes jaunes, soit une bande médiane,
qui commence entre les yeux, et, de chaque côté, une bande
postoculaire aussi large que la hauteur des yeux; cette der-
nière est bordée, en bas, d’une bande jaunâtre qui commence à
la base des antennes, passe au-dessus des yeux et se confond
plus ou moins sur le pronotum avec la couleur olivâtre claire
de la moitié inférieure des lobes réfléchis.
Pronotum offrant une ponctuation très dense et assez gros-
sière, qui se transforme en une sorte de réticulation rugueuse
sur le dos de la prozone; la carène médiane, distincte sur la mé-
tazone, nulle (®) ou à peine indiquée (g) sur la prozone; les
sillons distincts, le dernier assez profond. Bord antérieur très
largement arrondi, suivi sur le dos d’une gouttière étroite et
vague, prolongeant le 1° sillon des lobes réfléchis. Bord in-
férieur de ceux-ci formant un angle obtus, leur partie anté-
rieure légèrement sinuée, la partie postérieure droite, l'angle
postérieur émoussé. Pleures ponctuées, poitrine lisse.
Elytres lancéolés, à pointe arrondie, raccourcis dans les
deux sexes, n’atteignant pas le milieu des fémurs postérieurs,
de couleur brun noirâtre, avec une assez large bande ulnaire
jaune et un éclaircissement jaune ou jaune-brun diffus au mi-
lieu de la partie antéradiale ; ces différentes couleurs sont dé-
terminées en même temps par le fond et par la nervulation.
Ailes arrondies, légèrement enfumées.
Pattes antérieures et moyennes vertes. Fémurs postérieurs
ornés de 2 bandes transversales noires, presque complètes ou
seulement indiquées par des taches dans l'aire supérieure et
des stries sur la carène inférieure externe ; parfois il y a encore
une tache basale supérieure ; les faces inférieures et internes
rouge orangé Ou sanguin; genoux noirs, avec un étroit bord
apical pâle. Tibias postérieurs vert glauque, devenant plus pâles
488 J. CARL
vers la base, qui est occupée par un anneau noir; la face infé-
rieure noire dans le tiers apical; épines présentes presque jus-
qu'à la base, au nombre de 10-12 sur chaque bord.
Abdomen jaune-brun; les tergites devenant parfois jaune vif
vers le bord latéral.
Lame sous-génitale du G‘° courte, arrondie et prolongée en
une petite pointe acuminée au milieu. Dernier tergite large-
ment et profondément sinué, avec deux petits tubercules au
milieu. Lame suranäle triangulaire, avec deux carènes longitu-
dinales assez rapprochées dans la moitié basale, ensuite brus-
quement brisées vers l'extérieur et très écartées l’une de l’au-
tre. Cerci comprimés, recourbés vers le haut et terminés en
pointe obtuse.
Longueur du corps : 5° 28"", © 42mm,
» dupronoturm Grer, O; 40
» des élytres : g' 13m, © 18mm,
» des fémurs postérieurs: cf 17"", © 22mm,
13,3 ©, Than-Moi, Tonkin, Juin-Juillet (Frunsrorrer leg.)
B. Espèces africaines et malgaches.
Oxyrrhepes elegans Bol.
Fig. 8.
On ne connaissait jusqu’à présent que la © de cette espèce.
Le GS‘ est de taille beaucoup plus petite que la Q et a les fé-
murs antérieurs et intermédiaires distinctement épaissis. Co-
loration comme chez la ®. Elytres dépassant un peu l'extrémité
de l'abdomen; cependant leur longueur semble varier un peu
chez la © ; le Muséum de Genève possède 3 © chez lesquelles
les élytres atteignent ou dépassent même un peu l'extrémité
de l'abdomen.
L'extrémité abdominale (fig. 8) diffère considérablement de
celle des autres espèces d’'Oxyrrhepes. Le dernier tergite est
profondément échancré en arc au milieu et porte de chaque
côté de l’échancrure un tout petit tubercule, encore plus petit
ACRIDIDES 489
que chez O. extensa (Walk.) (— lineatitarsis StÂL, d’après KirBY)
(fig. 10), au lieu de la dent aiguë appuyée sur la plaque suranale
que présente ©. procerus (fig. 9). Plaque suranale terminée en
angle obtus, sillonnée dans toute sa longueur, les bourrelets qui
accompagnent le sillon ne formant pas une figure en pointe de
lance derrière le milieu, comme c’est le cas chez O. procerus
Burm. Cerci tout autrement conformés que chez ©. procerus,
assez larges à la base, ensuite amincis et cylindriques, puis de
nouveau comprimés et de largeur égale jusqu’à extrémité, qui
est arrondie ; depuis le milieu, ils sont légèrement courbés
vers le bas: ils dépassent considérablement la lame suranale.
Lame sous-génitale assez obtuse, ne dépassant les cerci que
d’un tiers de sa longueur.
Pour mieux faire ressortir les différences dans la forme des
parties anales et génitales, nous figurons, à côté de celles de
O. elegans, celles de ©. procerus et de O.extensa. Ces diffé-
rences Justifieraient presque une coupe générique.
Chez ©. procerus, la lame sous-génitale s’élève derrière l’ex-
trémité de la plaque suranale en un tubercule conique. ©. ex-
tensa (Walk.) est caractérisée par la plaque suranale brusque-
ment rétrécie derrière le milieu et terminée en angle aigu, et
par ses cerci grêles, aigus et presque droits.
Des exemplaires provenant de Ruanda (Afrique orientale alle-
mande, J.Carz leg.), que Bozivar a déterminés comme Paroxyr-
rhepes karschi Bol. , ainsi que deux exemplaires du Came-
roun portant le nom d’Oxryrrhepes karschi Bol. (étiquetés de
la main de Borivar) sont absolument identiques aux exemplai-
res désignés par KarscH comme ©. procerus Burm. (« Barom-
bistation, Kamerun, ex. coll. Karscu »). De même, la séparation
spécifique d’O. /radieri Bol. ne semble pas être justifiée.
Mesambria ferrugata Brancs.
Le G' seul était décrit. Notre exemplaire G° correspond bien
à la description de BraxcsiK, sauf pour quelques détails dans
1 Nous n'avons trouvé ces deux noms nulle part dans la littérature.
P
490 VEUGARL
la coloration. Sur le pronotum, toute la partie des lobes réflé-
chis située en dessous et en arrière de la bande oblique noire
est testacé très clair. Chez les deux sexes, l’ourlet postérieur
du pronotum porte de petites taches noires sur de petits tuber-
cules ou sur des rugules longitudinales. Les élytres n’ont pas
toute la moitié antérieure noire, mais seulement les ?/; ou
#4 de sa longueur, tandis que la partie apicale est envahie par
la couleur ferrugineuse de la moitié postérieure. Enfin, sur les
fémurs postérieurs, les bandes foncées médiane et postmédiane
du dessus s'étendent plus ou moins sur laire interne des fé-
murs. Sur ces deux derniers points, nos exemplaires Q concor-
dent avec le G'. Mais les lobes réfléchis du pronotum de la Q
sont unicolores, sans la tache noire et la partie inférieure
éclaircie de ceux du &.
®. Longueur du corps: 32".
» du pronotum: 6,5.
» des élytres : 6".
» des fémurs postérieurs : 18",
19,2 9. Madagascar.
Cyrtacanthacris schistocercoides Brancs.
Une série de 23 exemplaires nous permet de constater quel-
ques variations de couleur: la grande tache claire dans la par-
tie inférieure des lobes latéraux du pronotum est tantôt blan-
châtre, tantôt jaune et même jaune vif. Chez certains exem-
plaires, le pronotum porte une étroite bande médiane jaune,
qui se prolonge aussi sur le vertex. Les fémurs sont rarement
unicolores, mais portent souvent des traces de 2 anneaux plus
foncés ou, au moins en dessus, deux taches transversales fon-
cées distinctes.
Genre Parallaga ner.
Tête médiocre. Yeux très grands, saillants, en ellipse large,
obliques, beaucoup plus hauts que la partie infraoculaire des
ACRIDIDES AO
joues, séparés par un intervalle très étroit. Sommet du vertex
très incliné, vu de dessus sinué en angle obtus en avant, cette
sinuosité correspondant au relief de la carène frontale qui n’est
pas sillonnée, mais présente d’un bord à l’autre une dépression
large et peu profonde; les contours de la carène frontale rap-
pellent un fer à cheval, dont les branches se rapprochent gra-
duellement au-dessous des antennes et s’effacent sans atteindre
la soudure clypeale ; cette carène a sa plus grande largeur entre
les antennes. Carènes latérales distinctes, légèrement conver-
ventes vers le haut et déviées vers les yeux au niveau des anten-
nes. Front large et bas, très oblique lorsqu'on le voit de côté.
Antennes minces, filiformes. Thorax nettement déprimé; prono-
tum sans trace de carènes médiane et latérale, arrondi sur les
côtés du dos, qui est légèrement aplati, avec les lobes réfléchis
beaucoup plus longs que hauts, à bord inférieur presque droit,
angle antérieur obtus, angle postérieur arrondi, bords antérieur
et postérieur droits, obliques en sens inverse, ce dernier sans
sinus huméral; sur le dos, le bord antérieur est légèrement
arqué, le bord postérieur largement sinué en angle obtus ; mé-
tazone très courte, ayant au milieu moins d’un quart de la
longueur du pronotum.
Tubercule du prosternum court, épais et obtus. Lobes mé-
sosternaux courts, avec l'angle interne postérieur très peu
accusé, séparés par un intervalle très court et à peu pres aussi
large que chaque lobe; lobes métasternaux contigus le long
d’une ligne de soudure assez longue.
Elytres et ailes absents.
Fémurs antérieurs et moyens épaissis. Fémurs postérieurs
épais, courts, restant épais sur toute leur longueur et faible-
ment rétrécis devant les genoux ; la carène supérieure externe
obsolète ; la carène supérieure médiane lisse, effacée sur les
genoux; l'aire inférieure externe normale, non dilatée; lobes
géniculaires et angles supérieurs des genoux arrondis. Tibias
postérieurs sans épine apicale externe. 2° article des tarses
postérieurs beaucoup plus court que le 1°".
Abdomen cylindrique, non épaissi à extrémité. Plaque sous-
492 J. CARL
anale courte, naviculaire; lame supraanale large, arrondie à
l'extrémité, largement canaliculée au milieu dans le tiers basal.
Cerci amincis derrière le milieu. Dernier segment abdominal
largement sinué sur le dos, avec deux petits tubercules, entre
lesquels l'anneau est complètement interrompu.
Ce genre doit être proche du genre Allaga Karsch, de Zan-
zibar, dont il se distingue par l'absence d’élytres et d’ailes et
par les dimensions normales de l'aire inférieure externe des
fémurs postérieurs du SG. Il en diffère peut-être aussi par la
forme de la carène frontale, que KarscH n'a pas décrite chez
Allaga.
Parallaga pigra n. sp.
d. Brun-châtain clair. Antennes foncées, avec la base jau-
nâtre. Tête et thorax offrant une ponctuation dense et assez
grossière, qui s’efface graduellement sur l'abdomen.
Pronotum avec une ligne médiane anguleuse et les sillons
noirs ; son bord antérieur accompagné tout autour d’un sillon
large, qui est suivi du 1°’ sillon ordinaire, interrompu sur le dos.
Tergites abdominaux ornés d’une étroite bordure postérieure
brune et d’une bordure antérieure noirâtre, plus large et élar-
gie sur les côtés ; ces bordures sont plus étroites et moins
nettes sur les derniers segments. Fémurs postérieurs ne dé-
passant pas l’abdomen, un peu plus foncés que le corps, avec
les genoux assombris et les arcs géniculaires noirs. Tibias pos-
térieurs armés de chaque côté de 9 épines robustes, noires, avec
la base jaune terne.
Longueur du corps : 27"".
» du pronotum : 5".
) des fémurs postérieurs: 13",
Te Madagascar.
Genre T'hisotcetrus Br.
Comme Borivar!, nous considérons comme principale diffé-
rence entre les genres Thisoicetrus et Euprepocnemis la forme
! Acridiens d'Afrique .… Mem. Soc. ent. Belg., T. XVI, p. 125, 1908.
ACRIDIDES 493
des cerci, étant donné que le nombre des épines des tibias pos-
térieurs est un caractère inconstant, différent parfois même
suivant le sexe, de telle façon qu'en se basant sur ce caractère,
on attribuerait le g' à Euprepocnemis et la Q à Thisoicetrus.
Aperçu de quelques espèces et variétés.
1. Lobes mésosternaux séparés par un intervalle 2-3 fois
aussi long que large. Fémurs postérieurs portant sur les
deux faces une rangée de taches en chevron. (Elytres non
tachetés) : T. jucundus n. sp.
1.1. Lobes mésosternaux séparés par un intervalle sub-
carré où un peu plus long que large. Fémurs postérieurs
presque unicolores, ou ornés de grandes taches, bandes
ou anneaux noirs.
2. Elytres tachetés.
3. Taille grande. Cerci du G‘ arrondis à l'extrémité, unico-
lores : 7. littoralis var. aethiopica n. var.
3. 3. Taille moyenne (©) ou petite (&); cerci du o noirâtres
dans la moitié basale, blanchâtres dans la moitié apicale,
très larges, terminés en pointe émoussée : T. speciosus
(Sjôst.).
2. 2. Elytres non tachetés. Ailes bleues ou violettes vers la
base.
à
. Champ anal des élytres entièrement vert; fémurs posté-
rieurs avec de grands anneaux et des taches noires ; tibias
postérieurs rouges dans la partie distale: 7. praestans
n. Sp.
4. 4. Champ anal des élytres avec une strie jaune-vert; fémurs
postérieurs avec peu de noir sur la face externe; tibias
postérieurs bleu-vert dans la partie distale : T. brevicornis
n. Sp.
Thisoicetrus littoralis (Ramb.)
Var. aethiopica n. var.
Comparés aux exemplaires du Bassin de la Méditerranée,
1 og et 1 © du Sénégal frappent par leur taille plus grande.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 33
49% J. CARL
Longueur du corps: ? 50°", 6° 397".
» des élytres: 9 38%, 28",
La bande médiane du pronotum est très claire, d’un brun
jaune, mais bordée de deux lignes d’un noir intense. Sur les
fémurs postérieurs, la tache basale fait défaut, les deux bandes
sont effacées (g‘) ou presque effacées en dessus et réduites sur
les faces externe et interne à une tache appuyée contre la carène
supérieure. Les élytres portent chez la © les bandes nébu-
leuses de T. liüttoralis, tandis que chez le G elles portent
des taches plus foncées, de forme et grandeur très variables,
qui sont disposées d’une façon irrégulière et ne confluent pas
pour former des bandes.
Par les taches des élytres, le G rappelle un peu la Q de T.
speciosus (Sjüst.).
Malgré ces différences, nous ne croyons pas devoir séparer
ces exemplaires spécifiquement de 7. littoralis, étant donné
que les pièces anales et génitales du GS‘ ne présentent pas de
différences appréciables avec cette espèce.
15,1 9 Sénégal.
Thisoicetrus speciosus (Sjôst.)!
Fig. 15.
Euprepocnemis speciosa. Ssôüsrepr, in: Arkiv für Zoologi. Bd. 8, N° 6,
p. 23, Taf. I, Fig. 3. 1915.
g, @. Brun marron clair. Tête à ponctuation très faible et
éparse sur la côte frontale, un peu plus forte et plus serrée sur les
côtés du front et dans la partie inférieure des joues chez la 9,
plus forte et plus uniforme chez le S. Carène frontale à bords
subparallèles, légèrement rétrécie au-dessus des antennes chez
le G', moins distinctement chez la Q. Joues avecune bande infrao-
* Nous publions la description complète de cette espèce, telle que nous
l'avions rédigée avant de connaître le travail de Ssüsrenr. Dans la descrip-
tion qu'en donne cet auteur, les dimensions des deux sexes sont interverties ;
les ailes sont décrites comme étant plus ou moins teintées de bleu, tandis
qu'elles sont hyalines chez nos exemplaires.
ACRIDIDES 495
culaire noire, qui descend jusqu'aux angles des mandibules, pré-
cédée d’une étroite bande perpendiculaire, jaunâtre diffuse, qui
longe le bord antérieur des yeux et s'étend jusque sur les man-
dibules, et suivie d'une bande postoculaire de la même couleur
qui n’atteint pas le bord inférieur des joues et qui est limitée
de noir en haut et en arrière. Vertex avec une large bande mé-
diane brune et, de chaque côté de celle-ci, une bande jaune plus
étroite; ces 3 bandes s'arrêtent à l'angle supérieur des veux.
Yeux unicolores, bruns, non rayés.
Antennes du & plus longues que la tête et le pronotum pris
ensemble, comprimées et légèrement dilatées, brun-rouge, à
la base et vers l’extrémité brun foncé; celles de la Q un peu
plus courtes, nettement filiformes et plus claires.
Pronotum avec la bande médiane brune très large, à bords
subparallèles ou très légèrement arqués, séparée des carènes
latérales par une strie vert jaunâtre, très étroite en avant, mais
sensiblement élargie sur la métazone. Carènes latérales bien
prononcées sur la pro- et la mésozone, mais effacées vers le
bord postérieur de la métazone. Les lobes latéraux grossière-
ment ponctués et rugueux dans la pro- et la mésozone, mais
présentant une sculpture plus fine et plus serrée dans la mé-
tazone, le disque faiblement rugueux dans les parties vertes,
mais lisse dans la bande brune.
Elyires atteignant à peine ou dépassant légèrement l’extré-
mité de l'abdomen, mais n’atteignant pas l'extrémité des fémurs
postérieurs ; verts, Le champ anal unicolore, le reste parsemé de
nombreuses petites taches brun-noir, subcarrées ou arrondies,
irrégulièrement disposées dans la moitié basale, mais formant
souvent des séries ou même des bandes transversales dans la
moitié distale de l’élytre ; l'extrémité de celui-ci toujours en-
tiérement occupée par une tache foncée, plus grande, mais un
peu plus claire que toutes les autres. Ailes hyalines, avec lex-
trémité des champs enfumée.
Lobes mésosternaux séparés par un espace presque aussi
large que long (©), ou même un peu plus large que long. Tu-
bercule prosternal très obtus, faiblement incliné en arrière.
496 JMCARE
Fémurs postérieurs brun clair en dessus et à l'extérieur,
jaunâtre en dessous et à l’intérieur. La face externe avec une
strie foncée dans la partie médiane le long de la carène supero-
externe et un autre tronçon de strie ou une petite tache vers
l’angle des deux carènes; ces deux mêmes stries sur la face
interne, où elles se dilatent en forme de taches. Les tibias pos-
térieurs portent dans la moitié basale un anneau jaune entre
deux anneaux noirs, souvent effacés en dessus; la moitié dis-
tale est verte ou olivatre sur les faces interne, externe et supé-
rieure, mais composée d’une partie proximale jaune pâle et
d'une partie distale noirâtre sur la face inférieure; épines
blanchâtres, à pointe noire, au nombre de 12 sur la carène ex-
terne et de 10-12 sur la carène interne. Les tergites abdomi-
naux 4-9 du avec une petite tache noire, oblique, sur les côtés.
Cerci du c' (fig. 13) courts et larges, leur bord supérieur en
arc assez régulier, le bord inférieur beaucoup plus faiblement
courbé et formant avec le bord supérieur un angle aigu
émoussé; la moitié basale des cerci est brune, la moitié distale
blanc terne. Lame sous-génitale sans tubercules ; lame supra-
anale subtriangulaire, légèrement sinuée de chaque côté avant
l'extrémité, qui est émoussée.
Longueur du corps: & 28%", © 37-4100,
» des élytres : G' 16", © 24-297".
) des fémurs postérieurs : G' 18"", Q 24-28",
6 9,3 of. Colonie du Cap.
Thisoicetrus jucundus n. Sp.
Fig. 15.
? Cyrtacanthacris pictipes. Warxer, Catalogue of Dermaptera TIT,
… p. 575,576. 1870.
S', Q. Brun verdâtre. Tête presque unicolore, olivâtre, sans
bandes: perpendiculaires sur les côtés ; la bande médiane brune
du vertex assez étroite, de sorte que les bandes jaune-brun, peu
apparentes, qui l’accompagnent, s'étendent vers l’avant jusqu’au
ACRIDIDES 497
fastigium. Front à ponctuation plutôt faible et éparse. Yeux le
plus souvent rayés de brun. Antennes des deux sexes filifor-
mes et cylindriques, à peine aussi longues que la tête et le
pronotum pris ensemble, jaunâtres dans leur partie basale et
devenant brun ou brun-pourpre dans la partie distale. Prono-
tum avec une bande médiane brun foncé large, à bords
presque parallèles et, de chaque côté de celle-ci, une bande
vert brunâtre très étroite en avant et dilatée vers lPextérieur
sur la métazone, où les carènes latérales, obtuses déjà sur la
pro- et la mésozone, s’effacent complètement. Lobes réfléchis
olivâtres ou bruns, souvent avec des indications de taches
claires dans la pro- et la mésozone, la métazone passant sou-
vent au vert vers le haut ou entièrement verte; la pro- et la
mésozone présentent d'assez grandes aires lisses ; la métazone
par contre présente une ponctuation régulière et très dense.
Tubercule du prosternum jaune clair, assez long, incliné en
arrière et atteignant presque le bord antérieur du mésoster-
num, légèrement étranglé à la base.
Elytres dépassant l'extrémité de l'abdomen et des fémurs
postérieurs, légèrement brunis à la base, mais subhyalins de-
puis le premier tiers, avec deux étroites bandes peu appa-
rentes, jaunes par la nervulation , dont l'une derrière la veine
ulnaire postérieure et l’autre, moins distincte encore, devant
la radiale antérieure; du reste, la nervulation est brun foncé.
Ailes hyalines, non enfumées vers l'extrémité. Lobes du méso-
sternum aussi longs que larges, à bords internes convexes; leur
intervalle très étroit, 2!/: fois aussi long que large.
Pattes antérieures et moyennes, ainsi que les fémurs posté-
rieurs, olivâtres sur les côtés supérieur et externe, vert-jaune
sur les côtés inférieur et interne. Les fémurs postérieurs por-
tent sur les faces interne et externe une série médiane de
taches noires en chevrons, au nombre de 10-12; cette série
commence à une certaine distance de la base, et se perd vers
l'angle apical; les lunules géniculaires sont noires, réunies
en-dessous par une bande noire; lobes géniculaires jaune vif.
Tibias postérieurs jaunes dans leur partie basale, avec deux an-
498 JNCART
neaux foncés diffus, souvent en partie effacés, et l’étranglement,
derrière le condyle, noir; la partie distale est rouge sanguin ;
les épines, 10 sur le côté interne et 10 ou 11 sur le côté externe,
sont d’un blanc jaunâtre avec la pointe noire. Tarses postérieurs
rouge sanguin. Cerci du G'(fig. 15) beaucoup plus longs que la
lame supraanale, incurvés derrière celle-ci et légèrement re-
courbés vers le bas; leurs bords supérieur et inférieur presque
parallèles, Pextrémité acuminée. Lame supraanale obtuse.
Longueur du corps: Q 48", c 382,
» WU DrON OPUS 20 POP UGUNANES
» desélytres: 9:937e8 29m,
») des fémurs postérieurs : (®) PNR e; J2mm
2; o', & 9. Cap de Bonne Espérance.
Cette espèce occupe dans le genre Thisoicetrus une position
un peu isolée en raison de la longueur des lobes mésosternaux
et de la forme très étroite de leur intervalle, ainsi que par son
tubercule prosternal et par la coloration de ses fémurs posté-
rieurs. Au point de vue de la coloration, elie concorde bien
avec la description que donne Waiker de Cyrtacanthacris
pictipes, du sud de l'Afrique, espèce que Kirpy (Syn. Cat. of
Orthoptera, vol. II, p. 561. — 1910) place dans le genre Eupre-
pocnemis. Mais les dimensions différant beaucoup de celles
données par WaIkER, nous nous voyons obligé de décrire
notre espèce comme nouvelle.
Thisoicetrus brevicornis n. Sp.
Fig. 14.
g,®.Brun. Tête avec une bande infraoculaire noire, précédée
d’une bande verticale claire entre les yeux et les antennes, et
une petite bande noire postoculaire. Front à ponctuations très
éparses et petites chez la ©, plus fortes et plus nombreuses
chez le G'. Antennes courtes, distinctement plus courtes que
la tête et le pronotum pris ensemble, noires, filiformes chez la
? , légèrementcomprimées chez le &. Une bande médiane brun-
sb «. Arme.
6 CHE
ACRIDIDES L99
rouge foncé, bordée de noir, s'étend depuis le fastigium du
vertex jusqu’au bord postérieur du pronotum; de chaque côté
d'elle il y a une bande vert-jaune, dont la largeur atteint à peine
la moitié de celle de la bande médiane. Lobes réfléchis du pro-
notum bruns, l’ourlet du bord postérieur alternativement brun
et jaunâtre. Tout le pronotum est grossièrement ponctué et ru-
gueux; la sculpture est un peu plus fine et plus serrée dans la mé-
tazone. Bord postérieur du disque du pronotum légèrement con-
vexe, tronqué ou très faiblement émarginé au milieu; carènes
latérales bien prononcées ; tubercule du prosternum très obtus,
incliné en arrière. Pleures, poitrine et abdomen bruns, unico-
lores. Lobes du mésosternum à peine plus larges que longs,
leur intervalle un peu plus long que large. Elytres bruns, semi-
transparents, avec la nervulation brun-rouge et les nervures
principales brun-noir, sauf la nervure anale, qui se trouve au
milieu d’une étroite bande longitudinale vert jaune, formant le
prolongement des bandes latérales du disque du pronotum. Le
champ discoïdal présente parfois des traces de taches brun foncé.
Les élytres atteignent l'extrémité des fémurs postérieurs ou
la dépassent légèrement ; les fémurs eux-mêmes dépassent
à peine l’extrémité de l’abdomen chez la Q@, mais sont relative-
ment un peu plus longs chez le c. Ailes subhyalines, bleu-
âtres, enfumées dans toute la partie antérieure et vers l'extré-
mité des champs axillaires. Fémurs brun-gris; l’aire interne porte
une grande tache noire au milieu et une autre tache noire, plus
petite, dans l’angle des deux carènes ; l'aire externe est plus
ou moins fortement obscurcie le long de la carène supérieure ;
les lunules géniculaires sont noires; chez le o', les genoux
sont entièrement noirs et précédés d’un anneau jaunâtre ou
orangé. Tibias postérieurs vert-bleu ; en-dessous, près de la
base, il y a des traces d’une bande pâle, un peu plus distinct
chez le ‘que chez la Q ; épines jaune-brun, avec la base plus
foncée et la pointe noire, au nombre de 9-10 sur le côté externe
et de 10-11 sur le côté interne. Tarses postérieurs de la même
couleur que les tibias. Cerci du (fig. 14) avec la moitié api-
cale recourbée obliquement vers le bas, et formant avec la
500 J:ICARL
moitié proximale un angle assez prononcé; la partie distale est
plus large que la partie basale et arrondie à l'extrémité. Lame
supraanale du G' plus courte que les cerci, avec l'extrémité ar-
rondie et formant au milieu une petite pointe obtuse. Segment
anal avec une petite dent de chaque côté de l’échancrure mé-
diane. Lame sous-génitale très obtuse.
Longueur du corps : GRASSE CA RE
» des élytres: (®) por ay qymm
» des fémurs postérieurs: (®) ADR q dam
? 9,2 of. Madagascar.
Cette espèce est remarquable par la couleur peu apparente
des pattes postérieures et la grande différence de taille entre
les deux sexes.
T'hisoicetrus praestans n. Sp.
Fig. 16.
æ,.®.Vertolivâtre. Tête avec les bandes infraoculaires noires
assez larges et occupant aussi la partie basale des mandibules ;
les bandes noires postoculaires peu distinctes; bandes mé-
dianes du vertex effacées sur le fastigium. Antennes plus lon-
œues que la tête et le pronotum pris ensemble, noires, avec les
derniers articles jaunâtres en dessus. Front avec une ponctua-
tion assez forte, mais pas très serrée. Pronotum grossièrement
ponctué et rugueux; lobes réfléchis et pleures unicolores, vert-
olive ou brunâtres ; bande médiane du disque brun-noir, légè-
rement dilatée dans la mésozone, à peine plus large que cha-
cune des deux bandes vertes qui l’accompagnent. Tubercule du
prosternum droit, légèrement acuminé. Lobes mésosternaux
distinctement plus larges que longs; leur intervalle subcarré.
Elytires dépassant l'extrémité des fémurs, avec le champ anal
vert, le reste uniformément bruni, subopaque, avec la nervula-
tion brune et les nervures principales noirâtres. Ailes subtrans-
parentes, bleues, avec Les bords antérieur, externe et toute la
partie apicale antérieure et axillaire assez fortement enfumés,
surtout chez le G. Abdomen olivâtre clair; les tergites du &
dl
CONTI El
ACRIDIDES 501
noirs sur le dos et dans la moitié antérieure des flancs. Fémurs
postérieurs jaunes, avec les genoux entièrement noirs, un an-
neau postmédian noir, fermé en dessous, et un anneau médian
noir un peu oblique, ouvert en dessous et prolongé dans l'aire
externe sous forme d'une large bande jusqu’à la base du fémur;
dans les aires internes et supero-interne, il y a une tache sub-
basale noire, non reliée avec l'anneau. Tibias postérieurs dans
la partie basale avec un anneau jaune entre deux anneaux noirs,
dans la moitié apicale rouge vif; les épines, au nombre de 10-
11 de chaque côté, sont de la couleur de la partie corres-
pondante du tibia, mais elles ont toutes l’extrémité noire.
Tarses postérieurs avec les 1°" et 2"° articles rouge sanguin,
le 3° article vert ou brun, plus ou moins fortement noirci vers
l’extrémité. Lame suranale graduellement acuminée en pointe
émoussée, très légèrement sinuée avant l'extrémité. Cerci lé-
sgerement dilatés et faiblement recourbés vers le bas, après le
milieu, arrondis à lextrémité (fig. 16).
Longueur du corps: $ 52°", g' 35%".
» dessélytres : 0: 45%, 5 29",
Ù des fémurs postérieurs : ® 30"", G 20"".
1 G', 1 9. Antongil, Madagascar.
Par son aspect général et par la couleur des pattes, cette
espèce rappelle beaucoup le genre Æoraeocerus Sauss., mais
s’en distingue déjà par les antennes qui sont presque filiformes,
non fortement dilatées au milieu et comprimées comme chez
Horaeocerus SG. En outre, la partie apicale des tibias postérieurs
est rouge vif, et non verte, et la tache basale de l’aire externe
des fémurs postérieurs est reliée avec le premier anneau noir
pour former une bande, alors qu’elle en est séparée chez Ho-
raeocerus, où, en outre, l'anneau postmédian est ouvert en des-
sous ; le champ anal des élytres est entièrement vert, tandis
qu'ilne porte qu’une étroite bande verte chez Horaeocerus ;
enfin, les ailes sont bleuâtres chez T. praestans, mais hyalines
et moins fortement enfumées vers lextrémité chez A. nigri-
cornis. Ces différences de coloration servent surtout à distin-
502 PINCARL
guer les ® © des deux espèces, vu que dans ce sexe les carac-
tères génériques, fournis par la forme des antennes, sont
moins prononcés.
_ Une autre espèce voisine, de Madagascar, Thisoicetrus no-
bilis (Brancs.), se distingue déjà de la nôtre par l’absence de
la bande médiane brune sur le pronotum et la présence d’un
seul anneau foncé sur les fémurs postérieurs.
C. Espèces américaines.
Aeolacris caternaultit (Feisth.)
Xiphicera caternaulti. Freisraamez, Mag. de Zool. Sér. 1. VIT. PI.
184. — 1837.
Xiphicera octomaculata. Scunner, Proc. Boston Soc. Nat. Hist.,
p. 337. — 1869.
Aeolacris octomaculata. Scupper, ibid., p. 269 (nota) — 1875.
» » Giczio-Tos, Boll. Mus. Torino, vol. XIII,
n° 311, p. 51. — 1898.
Aeolacris caternaultii. Picrer et Saussure, Cat. d'Acridiens, Mitt.
schweiz. ent. Ges., Bd. VII, p. 340. — 1887.
Aeolacris caternaulti ex p. L. Bruxner, Biol. Centrali-Americana.
Orthoptera, vol. Il, p. 224. — 1907.
Aeolacris caternaultit ex p. Kirsy, À syn. Cat. of Orthoptera, vol.
III, p. 367. — 1910.
Aeolacris bella. Reux, Proc. Ü. S. Nat. Mus., vol. XXX VI, p. 114-
117, fig. 3-5. — 1909.
Un exemplaire ç', provenant de Cayenne, correspond très
bien à la description et à la bonne figure que donne FEISTHAMEL
de Xiphicera caternaultii, avec la seule différence que la bande
marginale foncée des ailes s'étend un peu moins loin vers le
bord interne et que les deux taches jaunes sur les lobes laté-
raux du pronotum sont très peu apparentes.
Il résulte déjà de la description et de la figure originale que
caternaultit appartient au genre Aeolacris Scudd., distinct de
cp
ACRIDIDES 503
Elaeochlora par l'absence de crête médiane sur le pronotum,
dans les deux sexes, et par la dilatation lamellaire des épines
basales internes des tibias postérieurs. Scupner (1875), Picrer
et SAUSSURE (1887) ont déjà attribué l’espèce de FEISTHAMEL au
genre Aeolacris. Mais ces deux derniers auteurs ont fait erreur
en considérant Xiphicera octolunata Serv. comme synonyme
de Aeolacris caternaultii (Feisth.). L'espèce de SERvVILLE est,
comme l’a fait remarquer GiGrio-Tos (Bull. Mus. Torino, vol.
XII, n° 301, p. 3. 1897), une Ælaeochlora. Mais Gicrzio-Tos,
induit en erreur par la synonymie indiquée par SAUSSURE et
Picrer, et appliquant la loi de la priorité, l’a désignée comme
Elaeochlora caternaultit. L. BRüuNNER et KiRBY par contre em-
ploient le nom juste de Aeolacris caternaultii, mais commet-
tent la même faute que leurs précurseurs en considérant X5-
phicera octolunata Serv. comme synonyme de 4e. caternaultii
(Feisth.). En résumé, l'espèce de SERvILLE doit porter le nom:
Elaeochlora octolunata (Serv.) et l'espèce de FEISTHAMEL le
nom : Aeolacris caternaultit (Feisth.).
Reste à savoir si l'espèce de Scupper, À. octomaculata, est
synonyme de À. caternaultit, comme le suppose Kirgy. Jus-
qu'à présent, je doutais de cette synonymie pour des raisons
géographiques; mais après avoir pu constater qu’un c prove-
nant de l’'Equateur et déterminé par GiGrio-Tos comme Aeola-
cris octomaculata Scudd. est absolument identique à notre
exemplaire de Cayenne et à la description et figure données par
FEISTHAMEL, je me vois obligé de réunir ces deux espèces.
Récemment, REHN a décrit sous le nom de À. bella une
espèce du Brésil qui serait très voisine de À. octomaculata Seud.
et ne s’en distinguerait que par des caractères de valeur dou-
teuse. Cette espèce est certainement synonyme de À, caternaultii
(Feisth.), bien que Rex aflirme qu'il n’y ait pas de rapports
étroits entre ces deux espèces («no close relationship exists with
Aeolacris caternaultit Feisth.»). Il faut croire que Rex n'a pas
consulté la diagnose et la figure originale de cette dernière
espèce et a été, lui aussi, induit en erreur par d’autres auteurs.
Le fait qu'il compare son espèce présumée nouvelle avec À.
504 NCA
octomaculata et ne trouve que des différences insignifiantes
vient encore confirmer l’idée que les trois noms caternaultit
Feisth., octomaculata Scudd. et bella Rehn se rapportent à la
même espèce, dont l’habitat s'étend par conséquent sur une
très grande partie de l'Amérique du Sud tropicale.
Munatia biolleyi n. sp.
Fra ut.
œ. Coloration. Antennes violet foncé; front et joues
jaune terne, avec une faible macule violette au-dessous des
antennes, sur la côte faciale; une large bande violette com-
mence derrière les antennes et se continue derrière les yeux. En
dessus, la tête présente une bande médiane jaune, mais le pro-
cessus du vertex est finement bordé de violet. Les bandes de
la tète se continuent sur le pronotum, qui présente donc éga-
lement une étroite bande médiane jaune, occupant la crète;
de chaque côté de celle-ci, il y a une large bande violette, régu-
lière vers le haut, mais descendant en saillie triangulaire jus-
qu'au milieu des lobes latéraux, qui sont jaunes, parfois divisés
en deux aires jaunes par un prolongement diffus de la bande
violette allant le long du 2° sillon transversal jusqu’au bord
inférieur des lobes latéraux. Mésopleures violettes, métapleures
jaunes dans leur partie antérieure, violettes dans leur partie
postérieure. Poitrine et ventre jaune brunâtre. Elytres olivâtre
foncé, avec le champ anal jaune vif, cette couleur se prolon-
geant sous forme d’un bord étroit jusque près de l'extrémité
de l’élytre. Ailes jaune pâle, un peu verdâtres, avec une large
bande marginale brun foncé, qui s’atténue vers l'arrière et ne
s'étend pas sur le bord interne de l'aile. Cette bordure est assez
nettement délimitée vers l’intérieur; elle est traversée par une
fine strie claire le long de la veine anale; les veinules trans-
versales dans la bande sont un peu plus foncées que la bande
elle-même.
Pattes gris jaunâtre ; les genoux des pattes postérieures sont
étroitement bordés de jaune ; les tibias postérieurs passent au
sh ‘
ACHIDIDES 505
violet en dessus, leurs épines internes sont jaunes, avec la
point noire sur le côté externe, mais noires sur toute leur face
interne.
Sculpture. Tête très faiblement ponctuée; la crête fron-
tale indiquée sur l’écusson facial par 2 carènes obtuses un peu
écartées au milieu. Le pronotum et les pleures ponctués - ru-
gueux ; la ponctuation est plus grossière sur les pleures et sur la
métazone que sur la pro- et la mésozone du pronotum. Poitrine
et abdomen également ponctués, la première plus fortement
que le dernier. La face, les joues, le pronotum et les fémurs
portent des granulations piligères noires, qui sont le plus
nombreuses et le plus distinctes sur la tète et sur les fémurs
postérieurs.
Formes. La carène médiane du pronotum est élevée en
une crête assez régulière, finement crénelée, très faiblement
échancrée par les deux premiers sillons transversaux et accom-
pagnée de chaque côté d’une impression large, très nette,
derrière le 3° sillon transversal. Elytres à bord antérieur régu-
lièrement courbé dans toute sa longueur. Ailes 2 !/; fois aussi
longues que larges.
Œ. Longueur du corps: 45"", (Q 75).
» du pronotum : 12,5. (Q 20).
» des élytres: 46°". (Q 60).
» des ailes: 41%, (© 56).
Largeur maximum des ailes: 18". (© 24).
Longueur des fémurs postérieurs: 29%%, (9 35).
Nous rapportons à cette espèce une ® qui se rapproche du
par la sculpture, la forme des élytres et le développement de la
carène médiane du pronotum, mais s’en distingue de la façon
suivante: La taille est beaucoup plus grande, le corps et les
élytres sont couleur de feuilles mortes, sans bandes jaunes; la
bande marginale des ailes est plus diffuse etentièrement effacée
vers l'avant. La crête du pronotum est légèrement arquée, plus
distinctement crénelée et accompagnée de chaque côté, aussi
sur les sillons transversaux antérieurs, d’une petite impression.
506 FLCARE
2 œ. Costarica (Carillo, « herbes, au soleil »), P. Brozzey leg.
1 ©. Costarica.
La seule espèce de ce genre signalée jusqu’à ce jour en Amé-
rique centrale, Wf. punctata Stàl, est trop brièvement décrite
pour fournir une base de comparaison, en ce qui concerne les
formes et la sculpture. Par la couleur, elle semble différer
considérablement de MW. biolleyi, notamment par la présence
de 4 taches noirâtres sur les côtés du thorax du c'. Ces taches
font cependant défaut chez le G' non adulte que REHN a déter-
miné comme M. punctata Stäal. Il se pourrait que cet exem-
plaire représente un jeune de M. biolleyi ou d’une espèce
voisine.
De même, M. australis L. Br. ', du Paraguay, porte une livrée
plus modeste que M. biolleyt et est en outre beaucoup plus
petite que celle-ci.
Munatia decorata n. sp.
Fig. 12.
œ. Bien distincte de l'espèce précédente par les caractères sui-
vants : La bande violette derrière les yeux peu prononcée, pas-
sant insensiblement au jaune-vert des joues ; la bande médiane
jaune du pronotum un peu plus large; les lobes latéraux vio-
lets, avec deux taches jaune soufre, rondes, un peu calleuses,
dont l’une placée dans la prozone à demi-hauteur du lobe,
l'autre plus grande, un peu plus bas dans la méso- et la méta-
zone. Les méso- et métapleures portent chacune une tache
jaune. Les élytres sont vert jaunâtre dans le champ marginal
et anal, violettes dans le champ discoïdal. Le disque des ailes
est jaune soufre, sans nuance verdâtre, mais légèrement rosé
sur les deux côté de la veine anale; la bande marginale est
brun clair et se perd lentement vers l’intérieur; elle devient
brun-noir dans le champ huméral de l'aile. L’abdomen porte
parfois une bande latérale jaune pâle. Pattes vertes; Les tibias
! Proc. U. S. Nat. Mus. vol: XXX, p. 644. 1906.
9
$
ACRIDIDES 507
postérieurs vert-jaune en dessous, olivâtres ou violets en
dessus.
Face et joues fortement ponctuées, la face plus fortement
arrondie, sans traces de la crête frontale. Les granules noires
sur la tête, le thorax et les fémurs postérieurs font défaut.
La carène médiane du pronotum est distincte, mais non pas
élevée en une crête comme chez M. biolleyi; il n’y a point
d'impression à côté d’elle sur le dernier sion transversal. Le
bord antérieur des élytres est presque droit dans son tiers
apical, les élytres par conséquent plus étroits dans cette partie
et plus aigus à l'extrémité que chez M. biolleyi. Les ailes sont
plus largement arrondies et plus étroites, trois fois aussi longues
que larges, avec le champ huméral plus aigu à l’extrémité et
dépassant davantage le champ axillaire, qui de son côté est plus
nettement détaché du champ postaxillaire sur le bord.
gd. Longueur du corps : 45",
» du pronotum : 13".
» des élytres: 50",
» dés'ailes: 1402
Largeur maximum des ailes: 42m,
Longueur des fémurs postérieurs : 17",
2 Œ of. Costarica (Carrillo 600 m., Cariblanco 600 m., ver-
sant Atlantique). P. Biozzex leg.
Deux larves G de la même provenance présentent la même
coloration du corps que les G adultes.
Diponthus invidus n. sp.
d,®.Brun jaunâtre. Front et partie inférieure des joues bruns,
densément et assez grossièrement ponctués-rugueux ; la partie
postoculaire et le vertex à ponctuations plus fines et plus éparses,
la première vert cuivré; le vertex peu incliné, occupé par une
bande médiane ferrugineuse. Antennes noires, avec les deux
articles basaux bruns. Pronotum, méso- et métapleures densé-
ment ponctués-rugueux, avec un assez fort reflet de graisse.
508 IS CARIE
Disque du pronotum, vu de côté, un peu renflé dans la prozone,
mais plus bas et tout à fait plat dans la métazone, où il forme,
avec les lobes réfléchis, un angle droit et assez fortement
accusé; le bord antérieur est légèrement échancré en arc au
milieu, le bord postérieur forme un angle obtus et émoussé; 1l
n'y a pas trace de carène médiane ; le disque offre une bande
médiane régulière, testacée, entre deux bandes noires, assez
apparentes sur la métazone, qui est testacée, mais se confon-
dant extérieurement sur la prozone avec la couleur brun foncé
ou noirâtre des parties latérales de cette zone; le bord anté-
rieur de la prozone est jaune vif depuis l'angle antérieur jus-
qu'à la rencontre des bandes noires près de l’échancrure mé-
diane ; il n’y a pas de bandes obliques sur les lobes réfléchis.
Méso- et métapleures unicolores, brun profond chez la Q, noi-
râtres chez le Œ. Poitrine et abdomen brun-châtain, ce dernier
avec une strie médiane dorsale plus claire. Tubercule du pro-
sternum comprimé, obtus, droit, non recourbé vers l’arrière.
Mésosternum et métasternum assez fortement et grossièrement
ponctués ; les lobes mésosternaux séparés par un intervalle un
peu plus large qu'eux chez la ®, mais un peu plus étroit chez
le . Elytres atteignant à peine l’extrémité des fémurs posté-
rieurs chez les deux sexes, dépassant un peu l’extrémité de
l'abdomen chez le SG, mais ne l’atteignant pas chez la Q ; ils ont
leur plus grande largeur au premier tiers et sont symétrique-
ment arrondis à l’extrémité; opaques, jaunâtres en lumière
transmise et brun enfumé en lumière réfléchie, avec les ner-
vures et nervules noirâtres, sauf les radiales antérieure et
moyenne d’une part et l’ulnaire postérieure et l’anal et les ner-
vules entre elles d'autre part; celles-ci sont jaunes et détermi-
nent ainsi deux stries jaunes sur l’élytre. Ailes translucides et
un peu jaunâtres dans la partie antérieure, subhyalines dans la
partie postérieure. Pattes antérieures et moyennes brun clair.
Fémurs postérieurs avec les faces supérieure, inférieure et ex-
terne couleur café au lait, cette dernière lavée de brun, avec
la ligne médiane zigzaguée noirâtre ; face interne bleu-noir
jusque près du genou ; lobes géniculaires internes noirs. Tibias
=
FAITES
TPFEALE
ACRIDIDES 509
postérieurs d’un rouge vineux, passant au brun sur la face ex-
terne ; épines jaunes ou brunes, avec la pointe noire. Tarses
bruns. G‘: Cerci grêles, styliformes, aigus, pointus à l'extré-
mité. Plaque suranale avec les côtés arrondis, mais lextré-
mité prolongée au milieu en petite pointe obtuse; sa surface
offre près de l’extrémité une petite carène noire formant un
angle ouvert vers la base ; le segment anal qui la précède porte
de chaque côté de l’échancrure médiane une dent spiniforme
noire.
La différence de taille entre les deux sexes est plus considé-
rable que chez les autres espèces, sauf D. dispar et D. permistus.
Longueur du corps: 6 30"", Q 48%".
» du pronotum: 0 677,5, 0: 102,5.
» des’élytres::c" 220%, © 28m",
» des fémurs postérieurs: G' 16"", © 23",
2 © co‘. Brésil; 2 © Q Theresopolis (Sta. Catharina), Brésil
méridional ; 1 ® Uruguay.
Cette espèce se distingue de presque tous ses congénères
par sa livrée très peu bariolée et par la coupe des élytres, qui
se rétrécissent graduellement depuis le 1° tiers et sont régu-
lièrement arrondis à l’extrémité, tandis que chez les autres
espèces Le bord antérieur est plus fortement courbé vers l’ex-
trémité. Elle est, en outre, bien caractérisée par la sculpture
dense et plutôt grossière du thorax et par la forme du prono-
tum, qui rappelle un peu celui de D. puelchus Pict. et Sss. mais a
le disque de la métazone encore plus plat, plus fortement pro-
longé vers l'arrière, distinctement plus long que la prozone et
formant avec les parties latérales un angle plus prononcé. Par
la coloration des ailes et des élytres, elle rappelle un peu D.
electus Serv., espèce suffisamment distincte par la forme et les
autres particularités de la coloration. Enfin, elle doit avoir une
certaine ressemblance superficielle avec D. crassus L. Br., du
Paraguay (Ent. News, vol. XXI, p. 303-304. 1910), espèce dé-
crite avec très peu de détails sur les formes, mais sans doute
spécifiquement distincte de la nôtre en raison de sa taille plus
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916 HS 1
510 J. CARL
petite, de l’absence de stries jaunes sur les élytres, dont la ner-
vulation est testacée sur un fond très foncé, de la correspon-
dance de couleur entre les faces interne et externe des
fémurs, etc.
Arnilia saussurei n. sp.
Corps vert; une bande pâle s’étend depuis l’extrémité infé-
rieure des yeux à travers les joues, le long du bord inférieur
des lobes latéraux du pronotum et sur les pleures, jusqu'aux
hanches postérieures ; cette bande est plus ou moins distincte
suivant les individus et surtout apparente lorsqu'elle est accom-
pagnée vers le haut d’une zone vert foncé. Antennes foncées,
les deux articles basaux jaune-vert; les tarses postérieurs
rouge rose ou rouge sanguin. Ailes hyalines, légèrement bleu-
âtres vers la base et au bord antérieur. Le disque du prono-
tum teinté de violet. Abdomen vert, avec une bande dorsale
diffuse bleu-vert, renfermant sur chaque segment deux petits
traits jaunes. Antennes filiformes chez les deux sexes, chez le
o' aussi longues, chez la @ un peu plus courtes que la tête et
le pronotum pris ensemble. Fastigium du vertex un peu plus
long que large à la base et muni d’un petit sillon médian chez
le c', un peu plus court, plus obtus et moins distinctement sil-
lonné chez la ©.
Tête lisse, thorax et pleures avec une ponctuation dense et
assez forte, mais la prozone et la mésozone des lobes latéraux
sont lisses par place; une ligne lisse indique, sur la métazone, la
carène médiane du pronotum, qui est presque entièrement effa-
cée sur la prozone et la mésozone. Pronotum légèrement selli-
forme. Tubercule du prosternum cylindrique, épais, très obtus
et presque droit. Tibias postérieurs avec 7 ou 8 épines sur le
côté externe. Fémurs postérieurs atteignant à peine l'extrémité
de l'abdomen dans les deux sexes. Elytres dépassant l’extré-
mité des fémurs postérieurs avec un peu plus d’un quart de leur
longueur.
Plaque sous-génitale du G‘ un peu plus longue que large,
enfoncée le long de la ligne médiane, avec les angles obtus, non
ACRIDIDES 511
prolongés en forme de dents ou d'épines; elle est surmontée
par un appendice impair, en forme de tête d’Oiseau lorsqu'on
le voit de côté, étroit et lancéolé lorsqu'il est vu de dessous.
Plaque suranale et cerci comme chez À. vttreipennis Marsch.
Longueur du corps : o' 23,5, Q 28",
nc'Alsriroa. $ 95
» des € y tres oo" 210m © ,25mm;,
» des fémurs postérieurs: ‘12,5, © 15mn-
og c', 8 ®. Cayenne.
Cette espèce appartient au groupe de A. vitreipennis Marsch.,
marschalli L. Br. et minor L. Br.', mais s’en distingue par la
lame sous-génitale du &', qui est plus courte et dont les angles
postérieurs ne sont pas prolongés en dents.
2 o' provenant de Cuba (Gunpracx leg.) représentent pro-
bablement une variété géographique de cette espèce. Ils s’en
distinguent par les sillons transversaux du pronotum moins
profonds et moins distincts sur le dos, par les angles de la pla-
que sous-génitale un peu saillants, en forme de tubercules
obtus, mais non de dents aiguës comme chez vitreipennis et
minor, et par une légère différence dans la forme de l'appen-
dice de la lame sous-génitale.
Le genre Arnilia n'avait pas encore été signalé aux Antilles.
Henia frenata Marschall.
Un of de Bânos, dans l’Equateur, correspond à la descrip-
tion donnée par MARscHALL et complétée par, Gi@rio-Tos, sauf
pour certains caractères de coloration: l’occiput ne porte au-
cune tache ou bande noirâtre; les genoux des fémurs posté-
rieurs sont noirs et précédés d’un anneau jaune terne peu appa-
rent; les tibias postérieurs sont bleu verdâtre vif et deviennent
vert-marin pâle vers la base; leur extrémité n'est pas assom-
brie. Sur les ailes, le bord antérieur est distinctement bleu et
les nervures principales sont bleues dans leur partie basale.
1 Comp. Brunxer L., Biologia Centrali-americana, Orthoptera, vol. 2,
p. 255. 1908.
512 J. CARL
Dellia multicolor n. sp.
®.Espece voisine de Dellia insulana Stäl, mais bien distincte
de celle-ci par la coloration et par quelques caractères mor-
phologiques.
Tête, pronotum et pleures verts, avec des bandes jaunes plus
étroites que les parties vertes qui les séparent, notamment de
chaque côté une bande jaune commençant derrière la partie
supérieure des yeux et s'étendant jusqu'au bord postérieur du
pronotum ; une autre bande jaune commençant au-dessous des
yeux, passant par la partie inférieure des lobes latéraux du
pronotum et se prolongeant sur les méso- et métapleures, plus
ou moins découpée par les sillons verts du pronotum et par
les soudures obliques des pleures. Antennes rouge-sanguin,
passant au rouge pourpre dans la moitié apicale, avec les deux
derniers articles blanchâtres et les deux premiers articles verts.
Métanotum et tergites abdominaux brun clair, avec une strie
médiane et de chaque côté une strie subdorsale noirûtre ; les
flancs, au-dessous de cette dernière, sont rouge-sanguin sauf le
bord postérieur de chaque segment qui est noir. Ventre égale-
ment rouge. Fémurs antérieurs et moyens rouge-sanguin ; les
tibias verts, avec une strie noirâtre sur la face antérieure;
tarses testacés. Fémurs postérieurs brun très clair, avec la par-
tie interne de l’aire inférieure rouge-sanguin; genoux noirs,
sauf la partie distale des lobes géniculaires externes et l’ex-
trême bord postérieur des genoux en dessus, qui sont brun-
jaune. Tibias postérieurs vert très pâle dans la partie basale,
devenant noirs dans la partie apicale, sauf une strie entre les
faces externes et supérieures qui reste vert pâle; épines bru-
nâtres, avec la pointe noire ; tarses postérieurs pâles, le méta-
tarse noirâtre en dessus.
Elytres très courts, n'atteignant pas le bord postérieur du
métanotum ; jaune terne avec les bords et une strie médiane
foncés; ils sont lancéolés, avec l'extrémité arrondie. Bord pos-
térieur du pronotum largement et faiblement sinué au milieu,
4
br
ACRIDIDES 513
mais plus distinctement que chez insulana. Valves génitales
un peu plus courtes que chez insulana, les valves supérieures
non droites et lisses comme chez insulana, mais légèrement
courbées, avec leur bord supérieur distinectementcrénelé.
Cette dernière particularité est exceptionnelle dans le genre
Dellia, mais ne nous semble pas justifier la création d'un nou-
veau genre ou sous-genre, vu la concordance parfaite qui existe
dans tous les autres caractères morphologiques importants
entre cette nouvelle espèce et le type du genre Dellia, D. in-
suland.
©. Longueur du corps: 22mm,
» du pronotum: 4"m,5,
» des élytres : 27m,
» des fémurs postérieurs : 13",
2 @Q ©. Cuba (H. pe SaAussURE leg:.).
Adimantus cubiceps (Gerst.)
Cette espèce n'avait pas été retrouvée depuis que GERSTÂCKER
(1873) l’a décrite du Brésil. Kirgy, dans son catalogue, l’attribue
au genre Adimantus Stl. Elle concorde en effet avec ce genre
en ce qui concerne l’habitus général, la configuration si carac-
téristique de la tête, les sillons du pronotum, la poitrine, l’ex-
trémité abdominale des deux sexes, les pattes, etc. Mais elle se
distingue des deux autres espèces, À. ornatissimus Burm. et
A. oitticeps Blanch. par le fait que la métazone du pronotum
n’est pas surélevée, mais se trouve presque sur le même plan
que la prozone. Bien que ce caractère serve de guide dans le
tableau dichotomique des genres donné par GiGzio-Tos (1898),
nous ne croyons pas devoir le considérer comme essentiel,
étant donné que le genre Adimantus possède tout un ensemble
d’autres caractères, qui permettent de le distinguer des autres
genres du groupe des A/euae.
Nos quatre exemplaires concordent assez bien avec la dia-
gnose originale du &', sauf pour la taille, qui est plus grande.
514 TIRCART
Longueur du corps: 35%, Ç 40-45mm,
» du pronotum: g'6mu, © 8mm,
» des élytres 79" 302,0 400,
» des fémurs postérieurs : ct 19m, © 24mm,
GersrTÂckeR indique pour l’envergure des élytres 52m;
chez nos ‘elle est de 65m,
Les ailes sont légèrement teintées de bleu vers la base. Les
genoux postérieurs ne sont pas entièrement noirs, comme le
dit GERSTÂcKER, mais portent seulement en dessous une petite
tache basale noire ; les deux barres noires de la face interne se
trouvent l’une au milieu, l’autre aux */: de la longueur des
fémurs. Les articles des antennes sont étroitement bordés de
jaune à l'extrémité. La lame sous-génitale du G‘ n’est pas trian-
gulaire-aiguë, comme la décrite GERSTÂCKER, mais courte,
scaphoïde, avec le bord supérieur très obtusément pointu au
milieu.
1 g. 2 ©. Rio-Grande do Sul, Brésil. 1 S. Montevideo.
Adimantus vitticeps (Blanch.)
Cette espèce, à moins qu'elle ne soit synonyme de À. orna-
tissimus (Burm.), n’était connue jusqu’à présent que du Brésil
occidental et du Paraguay. Outre un c‘ de provenance incon-
nue, nous possédons une Q provenant de Ce ce qui
prouve combien vaste est l'habitat de certaines espèces d’ Qi
thoptères dans le continent sud-amérieain.
Dichroplus fraternus n. sp.
Pre17>
®. Très semblable à D. amoenus Stäi pour la taille, l’habitus
général, les élytres, la forme et la coloration du pronotum et
la présence de huit épines externes aux tibias postérieurs, maïs
différent par les caractères suivants :
ACRIDIDES 2515
Le front et les joues sont brun très foncé, mouchetés ou mar-
brés de brun plus clair, les joues parfois brun-roux. Les ély-
tres sont moins arrondis que chez amoenus et un peu plus longs,
atteignant presque l'extrémité du troisième segment abdominal ;
ils sont presque unicolores, brun testacé, ou un peu plus foncés
dans la partie antéradiale, mais n’offrent pas la strie radiale
claire, distincte chez D. amoenus. Les pattes antérieures et
intermédiaires sont olivâtre foncé. Les fémurs postérieurs sont
brun-roux, avec les genoux brun foncé et les deux bandes noï-
râtres, interrompues en dessous seulement ; sur la face externe,
les deux bandes sont anguleuses vers l’avant et la bande anté-
rieure se prolonge obliquement vers la base de telle façon
qu'elle renferme une petite tache ovalaire claire près de la ca-
rène inférieure externe; la base porte en dessus une petite
tache diffuse foncée. Les tibias postérieurs sont vert olivacé,
avec le condyle basal noir, suivi d’une étroite zone subbasale
pâle.
Longueur du corps: 26m,
» du pronotum: 5m,
» des'élytres:-82n,
» des fémurs postérieurs : 15m, ,
4 Q Minas Geraes; (FRUHSTORFER leg.).
Cette espèce rappelle aussi, par son aspect général, D. vitta-
tus L. Br. (Sec. Rep. of the Merchants’ Locust Invest. Comm.
p. 72, 78, fig. 43. 1900); mais elle s’en distingue par les élytres
un peu plus courts, sans strie radiale claire, par extension plus
grande des marques foncées sur les fémurs postérieurs et par
la présence de huit épines externes (au lieu de neuf) sur les
tibias postérieurs.
516 J. CARL
INDEX.
L: PYRGOMORPHINAE.
Pages.
1... Tapesia- Cuisiner En ER ENPS CAE GRENIER ER
2. Montistrid vins 0 Sp: HTML TPE RSA CIRE
3. Monistria profundesulcatan."Sp:2 24.0 2000
Pseudomorphacrisn gen PSE I CORRE
4; Pseudomorphacris notata(Br.)" 1 901,114 0000
5., OrthatGrts inconpruens un; 8p: 2000200008 000
6. -Verdulie'dohrnt Bols Part RON ES Te ARTE
7... Gelotus RO BELL ET EN RE EEE UT SP TORRES
IT. CYRTACANTHACRINAE.
A. Espèces asiatiques et australiennes.
8.. Quilta; mitraltmrStaliesie CU NC PSP
Macroguiianésens5;t; Der TELE RESTES
9. Macroquilta longipennis ny Sp" 40520410 ER
40. OLya MERrULan. pee 0 8 DS 0 RP ANSE TORRES
11. Tauchira mirabulisn Sp "27710 0 PRE |
12. Tauchira' samanga n: 8pi LL OP TANT MENRREE ;
13.' Taucliratidua 1 8par 4 Re UNE TON ANR F
14. Racilia erisut nn 6p:; 50 RP MINE CHOISIE de
Hieroglifhus Rise TOP TER 0 | SD NU IE
15: Hieroglyphus tonkinensis n./8p.1: 1, 24,744 00808
16. Hteroglyphus oryzivorus n8p0, 17,7... 2
17. Hieroglyphus Vastaionen: spi. 7e ONE |
Parahieroglyphusn: gen CUS En, 2 LITE A ES |
18. Parahieroglyphus\bilineatus:n. sp... 406 SOMSSE ;
192 Teratodes braclyprerusin- ep het 2700 ICRA
lonkinacris 0 Gen rire re TEE ME . . 485
20. Tonkinacris decoratus n. APE D a RE TOUTES 487
[SA
30.
SL:
32.
57 À
34.
35.
36.
37.
38.
39.
D D ND D D
=] D
ACRIDIDES
B. Espèces africaines et malgaches.
Oxyrrhepes elegans Bol.
Mesambria ferrugata Brancs.. sr
Cyrtacanthacris schistocercoides Brancs. .
Parallaga n. gen.
Parallaga pigra n. sp.
Thysoicetrus Br.
Thysoicetrus littoralis RnB: var. aethiopican.
Thysoicetrus speciosus (Sjüst.)
Thysoicetrus jucundus n. sp.
Thysoicetrus brevicornis n. sp.
Thysoicetrus praestans n. sp.
C. Espèces américaines.
Aeolacris caternaulti (Feisth.).
Munatia biolleyt n. sp.
Munatia decorata n. sp.
Diponthus invidus n. sp.
Arnilia saussuret n. sp.
Henia frenata Marschall
Dellia multicolor n. sp.
Adimantus cubiceps (Gerst.)
Adimantus vitticeps (Blanch.
Dichroplus fraternus n. sp.
ar.
Pages.
488
489
490
490
492
492
493
494
496
498
500
502
504
506
507
510
511
512
513
514
14
c = cerci; d. s.v. — dernier segment ventral ; L. sa. — lame suranale;
l. g. et [. sg. — lame sous-génitale; y. g. — valves génitales.
Fig. 1. — Macroquilta longipennis n. sp. ©. Tête et thorax, vus de
côté.
Fi. 2. — Macroquilta longipennis n. sp. Q. Tête et thorax, vus d’en
haut.
F6. 3. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. Gf. 1, 5 X 1.
Fc. 3°. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. cf. Extrémité de l’ab-
domen, face postérieure.
Fic. 4. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. @.1,5 X 1.
Fic. 5. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. ®. Extrémité de l’ab-
domen, vue de dessous.
Fi. 6. — Teratodes brachypterus n. sp. ©. Partie antérieure du
corps. Lx 1.
Fic. 7. — Teratodes monticollis Gray © . Partie antérieure du corps.
LEA.
Fi. 8. — Oxyrrhepes elegans Bol. G‘. Extrémité de l'abdomen.
Fic. 9. — Oxyrrhepes procerus (Burm.) Extrémité de l’abdomen.
Fig. 10. — Oxyrrhepes extensa ( Walk.) Extrémité de l'abdomen.
FiG. 11. — Munatia biolleyi n. sp. Elytre et aile droits.
Fic. 12. — Munatia decorata n. sp. Elytre et aile droits.
Fi. 13. — Thisoicetrus speciosus (Sjôst). Œ. Cercus.
Fic. 14. — Thisoicetrus brevicornis n. sp. cf. Cercus.
Fi. 15. — Thisoicetrus jucundus n. sp. cf. Cercus.
Fic. 16. — Thisoicetrus praestans n. sp. c‘. Cercus.
Fiç. 17. — Dichroplus fraternus n. sp. Q. Fémur postérieur, face
J. CARL
EXPLICATION DE LA PLANCHE 2
Abréviations.
externe. 2 X 1.
CT TE PA TS
Rev. Suisse de Zoo. T. 24 1916.
TC Acrdides nouveaux.
REVUELSURSSEUD'EWZO'OLOGIME
Vol e22- n°027" inner t9To
Sur l'Orientation chez les Fourmis.
PAR
V. CORNETZ
A propos des lignes que me consacre M. le D'° Brux dans
cette Revue, il y a une chose qui me paraît d'importance au
point de vue objectif. Il s’agit de la vieille expérience de Boxer,
c’est-à-dire du balayage d’une piste de Fourmis, expérience que
j'ai perfectionnée en la faisant de nuit, sur plusieurs mètres,
avec lavage en grand du sol et couverture de ce sol au moyen
d’un plancher, puis que j'ai relatée dans cette Revue. De cette
vieille expérience, Gaston Bonxier avait déjà dit qu'elle lui
paraissait concluante en faveur d’un sens particulier. M. le
D' Brux admet à ce propos « ce sens très fin des déviations ».
Ceci est ma propre expression et je suis heureux de faire cette
constatation. En effet, le but principal des polémiques que j'ai
soutenues, à propos du retour de la Fourmi au gîte, était de faire
accepter aux myrmécologues qu’il y avait dans ce retour, dans
bien des cas, quelque chose de tout autre qu'une reconnais-
sance visuelle, tactile ou olfactive, du milieu extérieur, quelque
chose d’interne. Du moment que l’on admet la possibilité de ce
sens très fin des déviations, c’est donc qu'il faut appliquer aux
Fourmis les idées de P. Boxnier sur le « sens des attitudes » et
celles d’Exxer sur « le sentiment et la mémoire des positions
et des différences de position dans l’espace du plan médian du
corps ». Cette idée d’Exxer, dont l'expression est un peu
longue, ne m'a été connue que récemment par un travail de
Revue suisse de zoologie, vol. 24 (1916), p. 381, lignes 21 et suivantes.
Rev. Suisse DE Zoo. L. 24. 1916. 35
520 V. CORNETZ
Szyuaxski!. Elle correspond, de par ses termes, à l’idée émise
dans mon tout premier mémoire sur les Fourmis et que j'expri-
mais sous la forme «sens des angles décrits » ou « sens de
l’angulation ». Je crois me rappeler que M. le D' Brux ne cite
pas ExNER dans son livre.
Cette petite polémique a donc eu un résultat pratique, me
parait-il, car Popinion de M. le D' BruN nrest très précieuse,
en ce qui touche la myrmécologie et la biologie. Quant à
la philosophie, je ne répondrai rien à ce sujet, le rationa-
lisme kantien me paraissant, à moi et à bien d’autres, depuis
longtemps suranné, dans sa plus grande partie.
Je dois dire, cependant, que, dans un autre ordre de faits, j'ai
conservé intacte mon opinion touchant une faculté qu'aurait
d’après moi la Fourmi en plus du sens très fin des déviations.
Je veux parler de tous les cas de conservation d’une direction
après un très long temps écoulé, cas que j'ai exposé jadis dans
cette Revue. Je crois toujours fort possible que la Fourmi puisse
avoir « la mémoire d’une direction isolée dans l’espace » et je le
crois encore plus depuis que j'ai lu M. le D' Brux sur ce sujet,
parce que je comprends mieux, après cette lecture, le désaccord
irréductible entre nous à ce propos. En effet, M. le D'Brux étant
kantien, l’espace est pour lui une forme a priori de notre enten-
dement (Kanr). Pour moi, qui n’ai jamais accepté le dogme
kantien, l’espace est une notion a posteriori, notion subjective
découlant de nos sensations humaines. C’est pourquoi je ne
vois aucune difficulté à supposer que l’espace peut être quelque
chose de tout autre pour la Fourmi que-pour l’homme. Homo-
gène pour l'esprit humain, l’espace peut fort bien être hétéro-
gène pour la Fourmi.
T Szymansxr. Versuche über den Richtungssinn beim Menschen. Arch. f. ges.
Physiol., Bonn, 1913. — Voir aussi: V. Corxerz. Le cas élémentaire du sens
de la direction chez l'homme. Bull. Soc. Géographie d'Alger, 1913.
np
RE VUE" SUISSE DE*ZOOLOGIE
Vol 24 /n0,8 "Juillet 1916:
Viguierella coeca Maupas.
Ein Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der Crustaceen
(unter Benützung eines Manuskriptes von E. Maupas)
VON
P.-A. CHAPPUIS.
(Aus der Zoologischen Anstalt der Universität Basel).
Hiezu Tafel 3 u. 4.
GESCHICATLICHES
Im Jahre 1891 erschien in den Comptes rendus de l'Académie
des sciences eine kleine Notiz von Maupas (19) über einen in Al-
gier aufgefundenen Harpacticiden, den er Belisarius viguterti
nannte. Im folgenden Jahre verôffentlichte Mrazek (20) einen
Beitrag zur Kenntnis der Harpacticiden des Süsswassers, in
welchem er ein dem Belisarius ähnliches Tier als Phyllogna-
thopus paludosus beschrieb. In einem Nachtrag nimmt er Stel-
lung zu Maupas’Belisarius und sagt : «obgleich die Beschrei-
bung ziemlich kurz gehalten ist und jeder Abbildung enthehrt,
erkannte ich doch sogleich in dem Belisarius viguieri Maupas
meinen Phyllognathopus.»
Seitdem wurden diese zwei Beschreibungen nicht mehr ver-
glichen, und es ist daher erklärlich, dass während zehn Jahren
der Irrtum — denn als solchen muss ich die von MRrAZEK vorge-
nommene Identifizierung ansehen — bestehen blieb.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916, 36
D22 P.-A. CHAPPUIS
Da der Name Belisarius schon von einem andern Autor einem
blinden Skorpione verliehen worden war, taufte Maupas den
von ihm gefundenen Krebs um, und bemerkt dazu in den Arch.
d. Zool. exp.:(3) T°77/;p: 566 (Fussnote):
« Lorsque je fis connaître (Comptes rendus de l’Académie des
sciences, 11 juillet 1891) cet intéressant et nouveau Copépode
d’eau douce, je l'avais baptisé du nom de Belisarius vigutert.
Mais j'appris presque immédiatement que M. E. Simon avait
déja employé le nom de Belisarius comme terme générique pour
un Scorpion aveugle. Afin de remédier à ce double emploi, je
changeai sur les tirages à part de ma note Belisarius viguteri
en Viguierella coeca, dénomination sous laquelle ce Copépode
est cité à plusieurs reprises par M. PERRIER dans son grand
traité de zoologie. Très peu de temps après moi, MRAZEK, qui
avait rencontré la même espèce en Bohême, la publiait (Zool.
Jahrb. Abt.f. Syst., Bd. VIII, p.97) sous le nom de Phyllogna-
thopus paludosus. Sa synonymie ainsi bien établie, c'est sous
le nom de Viguterella coeca qu'elle devra dorénavant être citée. »
Wenn ich in meinen früheren Verôffentlichungen (23) den-
noch den Namen Phyllognathopus anwandte, so geschah dies,
weil KESSLER unter der gleichen Bezeichnung einige Monate
früher vom Excretionsorgan, das ich in diesen Schriften zu
erklären versuchte, gesprochen hatte.
1595 erwähnt HarrwiG (14 und 15) den Cruster aus der Mark
Brandenburg, in einer seiner Faunenlisten, zum ersten Male
8;
unter dem Namen Phyllognathopus viguiert. Er konstatierte
ebenfalls als erster einen Unterschied in der Furcalbewehrung
zwischen seinen Exemplaren und den Abbildungen MrAzer’s.
SCOURFIELD (23) fand den Krebs in England und gibt ein gutes
Habitusbild des Tieres, das er unter dem Namen Belisarius
vigutert citiert. KessLer (17) erbeutete Vigutierella in einem
Schulaquarium in Dresden.
Im Sommer 1913 fand auch ich diesen seltenen Copepoden in
einem Pumpbrunnen der Umgebung Basels in Gesellschaft von
Bathynella natans (3). Ich bestimmte ihn als Phyllognathopus
viguieri; doch fielen mir sofort die später genannten Unter-
:
;
VIGUIERELLA COECA 523
schiede zwischen meiner Form und den Abbildungen MRazEK’s
auf. Ich beobachtete den pulsativen Apparat in der Maxillen-
drüse, den MrAzEek nicht sah und als eine, durch Muskelkon-
traktionen hervorgerufene Täuschung erklärte. Um meiner Be-
stimmung vôüllig sicher zu sein, bat ich Herrn Maupas mir eine
ZLeichnung oder ein Exemplar von Viguterella zur Verlügung zu
stellen. Da der franzôsische Forscher durch Krankheit verhin-
dert war, die angefangenen Arbeiten selbst zu vollenden, über-
gab er mir in hochherzigster Weise das gesamte Dossier über
diesen Kruster. Ich stellte die Indentität meiner Tiere mit den-
jenigen Maupas fest, konnte an Hand des reichlichen Materials,
das sich in meinen Zuchtgläsern vorfand, die Beobachtungen
Maupas kontrollieren und vervollständigen und fand seine Auf-
zeichnungen in allen Punkten bestätigt.
Ich môchte an dieser Stelle Herrn Maupas meinen herzlichsten
Dank für sein Zutrauen aussprechen und hoffe, das von ihm mir
überlassene Material voll ausgenützt zu haben.
Gleichzeitig sei es mir gestattet, Herrn Prof. D'F. ZscHokkE
und Herrn D'R. MExzEL für das rege Interesse, das sie meiner
Arbeit stets entgegenbrachten, sowie für manchen Rat bestens
zu danken.
Im Laufe meiner Untersuchungen gewann ich die Ueberzeu-
œung, dass Viguierella coeca Maupas und Phyllognathopus palu-
dosus Mrazek nicht identisch seien, sondern zwei verschiedene
Formen darstellen, die ich im folgenden nüher beschreiben
werde.
Viguierella coeca Maupas.
(Taf. 3, Fig. 1, 2.)
Das Weibchen misst im ausgewachsenen Zustande, die Fur-
calborsten nicht eingerechnet, zwischen 570 und 600 y; das
Männchen, welches etwas kleiner ist, 530—560 u. Der Kôürper
ist walzenfürmig, schwach in dorsoventraler Richtung zusam-
mengepresst, und zeigt im Allgemeinen die Eigentümlichkeiten
des Harpacticiden-Habitus. Er bestehtaus zehn Segmenten beim
Weibchen und, dem entsprechend, 11 beim Männchen. Bei
524 P.=A. CHAPPUIS
Viguierella ist das Kopfsegment nicht mit dem ersten Thora-
calring, der das erste Beinpaar trägt, zusammengewachsen ; die
Thoracalsegmente werden hierdurch um eines vermehrt, was
diese Gattung von Canthocamptus, Epactophanes u.s.w. unter-
scheidet. Das erste Segment oder Kopfsegment geht nach vorn
in ein ziemlich breites, nach der ventralen Seite zu gebogenes
Rostrum über, das in eine Spitze ausgezogen ist und zwei
Sinneshaare trägt.
Die erste weibliche Antenne (Fig.9) ist achtgliedrig und reicht,
zurückgebogen, etwa bis zum ersten Toracalsegment. Sie wird
gewôhnhch horizontal getragen und besitzt am vierten Segment
einen Sinneskolben, der bis zur Hälfte des siebenten Gliedes
reicht.
Die erste Antenne des G'(Fig. 10) ist ebenfalls achtgliedrig und
prähensil. :
Sie dient bei der Kopulation zum Festhalten des @ an den
Furkalborsten. Im ganzen Aufbau gleicht diese Antenne der
der Canthocamptiden.
Die zweite Antenne (Fig. 11) besteht aus vier Segmenten mit
einem eingliedrigen Aussenast, der dem zweiten Segmente
entspringt und fünf Borsten trägt.
Die Mandibel (Fig. 12) trägtan ihrer Kaufläche einige kleinere
Zähne und besitzt einen zweiästigen Palpus, dessen Aeste ein-
oliedrig sind.
Die Maxillen sind kräftig gebaut ; ihre Form ersieht man am
besten aus den Figuren 13 und 14.
Der Maxillarfuss (Fig. 15) bildet eine breite Platte mit reicher
Beborstung. Die zweite Maxille und der Maxilliped sind auf
gleicher Hôühe inseriert.
Die Schwimmfüsse. Die vier ersten Schwimmfusspaare
sind bei beiden Geschlechtern gleich und bestehen beim ersten
bis dritten Paare aus einem dreigliedrigen Exopoditen und einem
schwächer beborsteten dreigliedrigen Endopoditen. Das vierte
Fusspaar hingegen hat einen zweigliedrigen Endo- und einen
dreigliedrigen Exopoditen. Der fünfte Fuss desQ (Fig. 16) besteht
aus zwei durch.eine tiefe Spalte getrennten Teilen. Der innere
VIGUIERELLA COECA 525
Teilträgt, wie bei den meisten G'Canthocamptiden, zwei dickere
Borsten, während der äussere deren vier von geringerer Länge
zahlt. Ein Aussenranddorn ist vorhanden. Beim 5. Beinpaar
des S'(Fig. 17) ist das Basalglied verkümmert und besteht nur
aus einer Dornenreihe und einem darüber sich befindlichen
dreieckigen Fortsatz. Das Endglied ist länglich, mit sechs
Borsten.
Die Abdominalsegmente sind, das letzte ausgenommen,
alle ungefähr gleich lang, und tragen, mit Ausnahme der ersten,
in ihrem vordern Viertel einen Borstenkranz. Das zweite weib-
liche und das zweite und dritte männliche Segment besitzen
ausserdem an ihrem hintern Rande eine ununterbrochene Reihe
feinster Härchen. Die sonstige Beborstung des Hinterleibes
von Viguterella coeca scheint ziemlich variabel zu sein.
Die weibliche Furka (Fig. 26) ist von der des Männchens ver-
schieden. Die plumpen quadratischen Furcaläste tragen die bei
den Harpacticiden übliche Anzahl von Borsten. Eine Abweichung
besteht in einer ungleichmässigen Entwicklung der Apical-
borsten. Es sind nämlich statt der zweiten und dritten, die
zweite und vierte vom Innenrand aus gezählt grüsser wie die
zwei andern, die nur noch als zwei kleine Härchen vorhanden
sind. Beim Weibchen sind die zwei gut entwickelten Borsten
halb so lang und doppelt so breit wie die des Männchens. Sie
bilden eine Lamelle, die an ihrem äusseren Rand gefiedert ist.
Die männlichen Borsten sind schlank, die grôssere ist fünf mal
so lang wie die kürzere.
Der weibliche Geschlechtsapparat (Fig. 19) besteht
aus zwei Ovarien, die nahe beieinander in der Näühe des Ge-
hirnes, auf der dorsalen Seite des ersten Toracalsegmentes
liegen. Von da aus führen zwei schlauchartige Oviducte zuerst
rostral bis zum ersten Drittel des Kopfsegmentes, um dann,
nach unten umbiegend, kaudal bis zum Beginn des neunten Seg-
mentes weiterzuführen, wo der erste immer mit Eiern ange-
füllte Teil aufhôrt. Von da aus wenden sich die Eileiter wieder
nach vorn bis etwa ins zweite Toracalsegment, biegen dann
wieder um und münden, sich verbreiternd, am fünften Seg-
526 P.-A. CHAPPUIS
mente aus. Die beiden Oviducte haben wie die der andern Har-
pacticiden getrennte Geschlechtsüffinungen (Fig. 18). Bei der
Kopulation heftet das Männchen den Spermathophor an die cen-
tral zwischen den zwei fünften Füssen gelegene Vulva. Von
dieser aus führen zwei dürine Kanäle zu den zwei in der Fort-
setzung der Oviducte gelewenen Receptacula, in denen die Sper-
matozoen aufbewahrt werden.
Wir kônnen am Eileiter drei verschiedene Teile unter-
scheiden : 1. die Reifungszone, die vom Ovarium bis ins neunte
Segment reicht, und in welchem das neugebildete Ei den zur
Entwicklung des Embryos nôtigen Dotter erhält ; 2. den ablei-
tenden Teil, der vom neunten Segment wieder aufwärts führt
und nach einer Umbiegung im zweiten Kôrpersegment im
vierten in den dritten Teil übergeht, in welchem die Eier, die
gelegt werden sollen, befruchtet und mit einer Schicht klebrigen
Stoffes umgeben werden.
Entgegen der bei der Behandlung der Eiablage von Maupas
geäusserten Ansicht, dass die zwei beiderseits in der Verlän-
gerung der Oviducte gelegenen Schläuche den Klebstoff liefern,
mit dem die Eier an der Unterlage des Weibchens befestigt
werden, bin ich der Meinung, dass diese zwei Gebilde die Recep-
tacula darstellen. Der Klebstoff der bei andern eiersäcketragen-
den Arten den Eisack bildet, wird von dem mit grossem excreto-
rischen Zellen ausgekleideten Endteil des Eileiters geliefert. In
diesem Teile findetauch die Befruchtung statt. Durch ein dünnes,
stark hyalines Rohr wird der Samen vom Receptaculum in den
Eileiter geführt, in welchem das Ei von dem noch dünnflüssigen
Klebstoff umgeben liegt. Bei noch unreifen Weibchen ist die
erste Schleife des Oviductes noch nicht gebildet. Der Eileiter
geht direkt vom Ovarium aus nach hinten zu der Geschlechts-
üffnung. Derobere Teil zwischen dem Ovarium und dem zweiten
Toraxsegment ist elastisch und dehnt sich nun je nach der Bil-
dung der Eier nach hinten zu aus. Er bildet so jene erste Schleife,
in der die Eier solange liegen bleiben, bis sie genügend Dotter
angesammelt haben. Die Eier sind sphärisch, mit einem Durch-
messer von ca. 50u. Es wird zu gleicher Zeit aus jeder Ge-
VIGUIERELLA COECA 527
schlechtsüffnung je ein Ei ausgestossen. Das Weibchen trägt
keine Eiballen, die Eier werden einzeln abgelegt.
Das männliche Geschlechtsorgan (Fig. 21). Der un-
paare Hoden liegt im vorletzten Abdominalsegment. Der
Samenleiter steigt, nachdem er eine erste Schlinge im zweiten
und dritten Abdominalsegment beschrieben hat, bis zu Anfang
des zweiten Thoracalsegmentes, um dann caudal umbiegend am
ersten Abdominalsegment auszumünden. Der Spermatophor
ist schlank, flaschenfürmig, mit einem langen Pedunculus ver-
sehen. Er liegt am Ende des Samenleiters. Auf der gleichen
Seite wie der Hoden befindet sich in der Hühe des Ausführungs-
ganges eine Drüse, die allem Anscheine nach die Funktion einer
Klebdrüse übernommen hat. Sie besteht aus einem länglichen
keulenfürmigen Drüsenteil und einer kugligen, stark lichthre-
chenden Sammelblase. Diese Drüse scheint der umgeänderte
zweite Hoden zu sein, denn 1. trifft man entweder den rechten
Hoden entwickelt und dann liegt der Drüsenapparat links, oder
es ist umgekehrt der linke Hoden entwickelt und der drüsige
Apparat liegt rechts ; 2. findet man hin und wieder, in seltenen
Fällen, dass der Hoden sich ebenfalls als drüsiger Apparat ent-
wickelt, so dass wir keine Hoden sondern zwei symetrisch
nebeneinander liegende Drüsen haben (Fig. 20). Maupas nannte
in seiner vorläufigen Mitteilung dieses Organ die Kopulations-
drüse, da sie, wie wir sehen werden, bei der Begattung eine
wichtige Rolle spielt. Die Homologie der Hoden und der Kopu-
lationsdrüse betrachte ich alserwiesen, obwohles mirbeimeinen
Untersuchungen nie gelang, ein anormales Männchen mit zwei
entwickelten Hoden zu finden.
Das Excretionsorgan von Viguierella besteht vom ersten
Copepodit-Stadium an aus einer Maxillendrüse, während der
Nauplius eine Antennendrüse besitzt, die aus einer doppelten
Schlinge besteht, in dessen Zentrum das Cœlomsäckchen liegt.
Die Zahl der excretorischen Zellen ist wegen der Kleinheit des
Organs nicht festzustellen. In meiner Mitteilung über dieses
Organ (2) wurde die Funktion dieses äusserst interessanten und
von MRazek angezweifelten Organs eingehender beschrieben.
528 P.-A. CHAPPUIS
[ch verweise hiemit auf meine frühere Verôffentlichung, aus der
ich folsæendes entnehme: «Die Maxillendrüse, welche das ein-
zige Excretionsorgan abgibt, besteht aus einem vielfach gewun-
denen Gang, der seitlich am hintern Rande des Cephalothorax
sich befindet. Die Ausmündung selbst ist nicht schwer zu er-
kennen, das Verbindungsstück zwischen dem excretorischen
Teil und der Mündung aber ist so mit Muskeln überdeckt, dass
es verschiedener Aufhellungsmittel bedurfte, bis ich den Ver-
lauf dieses Teiles des Apparates feststellen konnte. »
«Das Coelomsäekchen ist glockenformig. Von Rändern
dieser Glocke zieht sich eine hyaline Membran gegen das Innere,
wo sie an einem kugelfürmigen, hin und wieder flachen, mit
kôrnigem Plasma angefüllten Zellkomplex sich anheftet. Diese
Zellen sind einerseits durch einen Muskel mit dem Binde-
gewebe verbunden, während sie anderseits mit einem elasti-
schen Bande am Grunde des Bechers angewachsen sind. An
das Coelomsäckchen schliesst sich dann der Nephridialgang an,
welcher, soweit es sich beurteilen lässt, von einer strukturlosen
Membran gebildet wird. Die Anordnung der Windungen des
Nephridialkanals scheint auf Grund Maupas’ und meiner Beob-
achtung konstant zu sein.
Die Bewegungen die von MAUPAS, SCOURFIELD, KESSLER und
mirin der Maxillendrüse beobachtet worden sind, entstehen
nun dadurch, dass sich der Muskel im Coelomsäckchen zusam-
menzieht und so eine Bewegung des Zellkomplexes hervorruft,
die schon mit geringer Vergrôsserung (> 100) zu bemerken ist.
In der Verôffentlichung im Zoologischen Anzeiger ist leider
ein Fehler stehen geblieben. Es heisst dort: « Seltsamerweise
mündet der ausführende Gang nicht, wie es bei allen andern
Copepoden der Fall ist, am hintern Rande der zweiten Maxille
aus, sondern, wie dies schon von Maupas festgestellt worden
ist, erst ein Segment weiter hinten, am ersten Maxilliped. »
Viguierella macht in dieser Hinsicht keine Ausnahme, und
ich bin jetzt überzeugt, dass die Ausmündung dieser Drüse
sich an der gleichen Stelle befindet wie bei den andern Cope-
poden.
VIGUIERELLA COECA 529
Das Blutgefäss- und Nervensystem bieten nichts besonderes.
Sie sind wie bei andern Harpacticiden gebaut.
Viguterella paludosa (Mrazek).!
Das von Mrazek in Bühmen gefundene Tier, Phyllognathopus
paludosus, welches von ihm sofort als mit Viguterella identisch
erklärt wurde, unterscheidet sich in folgenden Punkten von
Viguierella coeca
Viguierella coeca Phyllognathopus paludosus
Länge ohne Furkalborsten 570-6002 650u
IT. Antenne viergliedrig dreigliedrig
Mandibelkaulade: verjüngt sich eine breite Platte
Furka © : die zwei entwickelten Bor- gleich lang
sten halb so lang wie beim Männchen
Analplatte ohne Dornen mit 7-11 Dornen
Excretionsorgan mit pulsatil. Apparat ohne Apparat
Wir haben es also hier mit einem Tier zu tun, das sich von
Viguierella erheblich unterscheidet. Ich schlage daher vor, diese
zwei Formen als zwei verschiedene Arten der Gattung Viguie-
rella aufzufassen.
BIOLOGIE
Als blinder Kruster ist Viguierella meiner Ansicht nach
ein Hôhlentier, das, wenn auch hin und wieder in Moospolstern
auftretend, nur zufällig an diese Orte gelangt. Die unterirdi-
schen Gewässertreten an manchen Stellen an die Erdoberfläche,
wo sich dann mehr oder weniger ausgedehnte Moospolster
bilden. In diesen künnen sich Tiere wie Viguierella, die an
wenig Feuchtigkeit gebunden sind und sich durch hervor-
ragende Fruchtbarkeitauszeichnen, ansiedeln und fortpflanzen.
Die andern moosbewohnenden Harpacticiden, wie Æpacto-
! So muss in Zukunft, wie aus der Notiz Maupas’ hervorgeht, die Mrazek’sche
Art genannt werden.
-
530 P.-A. CHAPPUIS
phanes sind, obwohl noch nicht subterran nachgewiesen, wahr-
scheinlich auch Hôhlenkruster, oder haben ihre Augen durch
beständiges Bewohnen des lichtarmen Untergrundes der Moos-
polster eingebüsst.
Maupas, der erste, der Viguterella fand, berichtet in seinen
Notizen folgendes über den Ort, an dem er diesen Kruster ent-
deckte: «Vers la fin de novembre 1891 je trouvai deux femelles
adultes de ce petit Crustacé sur une de mes cultures de Dero
furcata. Elles se nourrissaient de jaune d’œuf et des défécations
du Naïdien. D'où venaient-elles ? je l’ignore. Je les isolai sur
une préparation à part avec couvre objet supporté par de gros
poils. En leur donnant de temps en temps un peu de jaune
d'œuf ou des déjections de Dero, elles vécurent en très bonne
santé et pondirent de nombreux œufs.
Retrouvé en mars 1901 au Jardin d’Essai d'Alger. J'avais
gratté, à la surface de la coupe pourrie d’une tige de Bananier
tronquée à ras de terre, des débris plus ou moins décomposés
de cette tige, en vue d’y rechercher des Nematodes. J'ai été très
surpris d’y rencontrer d'assez nombreux exemplaires de Viguie-
rella de tout âge, nauplius, metanauplius et adultes. Ils vivaient
dans cette matière végétale en décomposition, très humide et
presque liquide. »
MRAzEKk fand seinen Phyllognathopus in feuchtem Moos, das
«in Alt Bunzlau in Bühmen auf einer Sumpfwiese unweit der
Elbe gesammelt worden war». Er bemerkt noch: «die Tiere
wurden zwischen Hypnum gefunden, und es ist fast unglaublich
wie wenig Wasser sie zu ihrem Gedeihen bedürfen; denn sie
erhielten sich am Leben in Moos, das mehrere Tage hindurch
fast trocken dastand ».
HarrwiG fand seinen Phyllognathopus in Material das am
5. Mai 1890 am Ufer des Scharmützelsees bei Buckow gesam-
melt worden war.
SCOURFIELD bemerkt zu seinem Funde :
«This /Belisarius) has only been obtained in this country from
the Royal Botanic Gardens, Regen’s Parc, London and Kew
Gardens, where I find it almost constantly in the cups formed
VIGUIERELLA COECA 531
by the leawes of the Bromeliaceous plants. On one occasion at
Kew I also found it in pitchers of one of the Pitcher plants. »
Kesscer entdeckte diesen interessanten Kruster in einem
Dresdener Schulaquarium : « Nachforschungen über die Her-
kunft des Materials sind bis jetzt ergebnislos geblieben. Man
wird aber wohl den Ursprungsort in der Dresdener Umgebung
annehmen dürfen »; berichtet er in seiner Notiz im Zoologischen
Anzeiger Bd. 43, und an anderer Stelle: «Seit 1911 besteht
also die Kolonie in einem kleinen Aquarium, dessen Boden
mit einer hohen Humus- und Moosschicht bedeckt ist. Es wird
nichts für die Tiere getan, von Zeit zu Zeit wird nur das ver-
dunstete Wasser ersetzt, ja es kann sogar vorkommen, dass
das Aquarium ganz austrocknet, ohne dass es den Tieren
schadet. »
Von mir wurde Viguierella in vier verschiedenen Sod- oder
Pumpbrunnen aus der näheren Umgebung Basels gefunden,
und ausserdem noch in einem Schulaquarium in Glarisegg bei
Steckborn (Kanton Thurgau). Die obengenannten Tiere lebten
in Brunnen, die von einer grüsseren Wasserader des Grund-
wassers durchflossen wurden und sich stets am Fusse eines
Hügels befanden. In zwei Fällen lebten die Tiere in Gesellschaft
von seltenen Vertretern der Grundwasserfauna, wie Bathynella
natans VEsp. und Parastenocaris fontinalis mihi, was unzwei-
felhaft auf die subterrane Herkunft unserer Tiere hinweist.
Auch ich stellte fest, dass Viguierella sehr wenig Feuchtig-
keit braucht, um zu leben und sich fortzupflanzen ; trocknet
das Wasser aber ganz aus, so sterben alle Kruster ab. Die Tem-
peraturunterschiede, die Vigutierella ohne Schaden ertragen
kann, sind beträchlich. Maupas konstatierte, wie wir später sehen
werden, dass sich seine Versuchstiere bei einer Temperatur
von 15°-29° entwickelten. In den Brunnen Mittel-Europas ist die
Temperatur ziemlich konstant. Sie schwanktzwischen 8° und 12°.
Die Nahrung unseres Copepoden besteht aus Detritus sowie
aus allen organischen Stoffen, die durch die Spalten des üfters
schadhaften Brunnendeckels durch das Regenwasser hinunter-
geschwemmt werden.
592 P.-A. CHAPPUIS
Kopulation. Die Kopulation wurde von Maupas in seinen No-
tizen eingehend beschrieben. Er sagt dort über seine Beobacht-
ungen !:
«2. Juni 6 Uhr morgens. Endlich konnte ich einer Kopula-
üon beiwohnen, und habe sie in allen äusserlichen Einzelheiten
beobachtet. Die beiden Individuen waren die Nr. 6 und 7 die
ich am 28. Mai isoliert hatte, um die sechs letzten Entwicklungs-
stadien beobachten zu kônnen. Gestern Abend um sieben Uhr
konnte ich feststellen, dass keines der beiden Versuchstiere
die elfte und letzte Häutung vollbracht hatte. Heute Morgen um
fünf Uhr fand ich dieselbe vollendet. Diese zwei Tiere haben
also ihre endgültige Form zwischen sieben Uhr abends und
fünf Uhr Morgens angenommen. Um sechs Uhr führte ich sie
auf ein frisches Präparat über. Sogleich fasste das Männchen
das Weibchen bei den Furkalborsten, sich mit den Antennen
daran festhaltend. Darauf krümmte es sich nach hinten, und
mit der Ventralseite an der des Weibchens anliegend, versuchte
es seine Genitalüffnung mit der des Weibchens, das sich ruhig
verhielt, in Verbindung zu bringen. Nach zwei bis drei schnell
aufeinanderfolgenden vergeblichen Versuchen gelang es dem
Männchen, sich Bauch an Bauch eng an das Weïbchen zu fixieren.
In diesem Augenblick umklammerten seine Antennen immer
noch die weiblichen Furkalborsten und die Tiere verharrten
etwa eine halbe Minute in dieser Stellung. Nach dieser Zeit liess
das Männchen die weiblichen Furkalborsten fahren und bemühte
sich, sich vorwärts und rückwärts krümmend vom Weibchen
loszulüsen. Das Männchen haftete nur noch mit der Genital-
ôffnung am Weibchen. Sofort lüst sich der Kontakt ein bischen,
und die zwei Tiere blieben nur noch durch einen kurzen, dicken
Faden vereinigt, der die zwei Genitalôffnungen verband. In-
folge von zwei bis drei Erschütterungen lüste sich der Faden
vom Weibchen und wurde vom Männchen fortgetragen. Als
dieser Faden sich loslüste, entdeckte ich einen Spermathophor,
ER.
* Die franzüsischen Notizen Maupas’ werden im folgenden in môglichst wôrt- |
licher Uebersetzung citiert. é
:
roc
VIGUIERELLA COECA 533
der an der Genitalüffnung des Weibchens angeheftet war, und
auch dort blieb. Das Weibchen scheint bei diesem Akt, der im
ganzen 1 2 bis 2 Minuten gedauert hat, eine ziemlich passive
Rolle zu spielen. »
«In den Kulturen in denen sich mehrere Männchen und
Weibchen zusammenfinden, kann man ôüfters beobachten, wie
die ersteren sich mit ihren ersten Antennen an die Furka der
Weibchen anklammern. Zahlreiche Fälle wurden bis jetzt be-
obachtet, und ich sah immer die Weibchen, sich heftig
bewegend, nach kurzer oder längerer Zeit sich der Männchen
entledigen, trotz den Bemühungen derselben sich mit der Ven-
tralseite an diejenige ihrer Gefährtinnen zu legen. »
« Die Männchen machen also üfters erfolglose Kopulations-
versuche. Wahrscheinlich lassen sich diese Misserfolge darauf
zurückführen, dass die Weibchen schon befruchtet waren
und darum die Annäherung der Männchen nicht ertragen
konnten. »
«In der eben beschriebenen Beobachtung hingegen hatte ich
ein junges Weibchen, das in der Isolation reif geworden war,
und das Männchen, sobald ich es ihr gab, annahm. Zweilels-
ohne würde es genügen, die gleichen Bedingungen wieder her-
zustellen um einer neuen Kopulation beizuwohnen. Es ist sehr
wahrscheinlich, dass das Spermatophor durch die allgemeine
Kontraktion des männlichen Kôürpers, während er sich nach
hinten krümmt, übergeführt wird. Da die zwei Geschlechtsüft-
nungen in diesem Moment in unmittelbarer Berübrung sind,
wird der Spermatophor beim Austritt aus der männlichen Oeff-
nung direkt an die weibliche Oeffnung gelangen und dort fest-
gekittet, ohne dass die Beine bei diesem Transport eine Rolle
spielen. Ausserdem scheint mir der kurze und dicke Strang,
der bei den Krämmungen des Männchens nach rückwärts er-
scheint und aus welchem der Spermatophor austritt die Existenz
eines etwas protraktilen Rohres anzuzeigen, mit Hülfe dessen
der Spermatophor vom Ende des Vas deferens nach der
weiblichen Geschlechtsüffnung getragen wird. Durch das Ab-
tôten eines Weibchens unmittelbar nach der Kopulation habe
534 P.-A. CHAPPUIS
ich eine Erklärung der Rolle erhalten, die die Drüse, die ich
fortan Kopulationsdrüse nennen werde, spielt. »
«Ich sah, dass in der Tat die ganze Oberfläche des Genital-
segmentes dieses Weibchens von einer dicken Schicht einer
in Zickzack ausgezogenen hyalinen Substanz überdeckt wurde,
die gleiche die immer das Reservoir der ebengenannten Drüse
anfüllt. Diese Schicht überdeckte in der Breite den ganzen
Raum zwischen den zwei Geschlechtsüffnungen des Weibchens
und griff sogar über ihre äusseren, lateralen Enden hinaus.
In der Länge breitete sie sich fast bis zur hinteren Grenze
des Segmentes aus. Die Schicht hatte ihr zickzackf6rmiges
Aussehen beibehalten, nur waren die Winkel weiter geüffnet.
Der Pedunculus des Spermatophors war vollständig in dieser
Masse eingegraben, die ihn mit seinem Ende genau in der Mitte
zwischen den zwei weiblichen Geschlechtsüffnungen festhielt.
Daraus folgt, dass die Drüse die Aufgabe hat, eine klebrige
Masse zu produzieren, die bei der Kopulation im gleichen Au-
genblick wie der Spermatophor ausgestossen wird und dazu
dient, den letzteren an das Weibchen zu befestigen. »
«Man kôünnte die Sekretion der Kopulationsdrüse mit der
der männlichen Nematoden vergleichen, die diese auf der Vulva
der Weibchen zurücklassen. Die beiden Klebstoffe gleichen
sich sehr und spielen allem Anschein nach die gleiche Rolle. »
Dies sind Maupas’ Beobachtungen, zu denen ich nichts wei-
teres beifägen kann, denn seine äusserst genaue Beschreibung
stimmt in den hauptsächlichsten Punkten mit dem was ich ge-
sehen überein.
Eiablage. Auch darüber finden sich Notizen von Maupas vor,
die ich hier in extenso gebe. Eine Eiablage konnte ich selbst
nicht beobachten.
«Heute habe ich zum erstenmal einer Eiïablage beigewohnt.
Im Moment, wo ich dazu kam, trug die Mutter auf jeder Seite
ein Ei, das unterhalb des rudimentären Fusses angehängt war.
Die zwei Eier waren wahrscheinlich soeben aus den Eileitern |
VIGUIERELLA COECA 239
Minute mit den Eiern herum, und liess sie dann auf einem
Haufen Detritus, der sich auf ihrem Wege befand, liegen. »
« Diese Art scheint also ihre Eier paarweise zu legen, um sie
dann einzeln auf ihrem Wege fallen zu lassen. »
«Ich habe nie ein ® mit Eiersäcken getroffen, wie man es
bei Cyclops und andern Copepoden findet. »
« 27. Februar 1892. — Ich habe zum zweitenmal einer Eiab-
lage beigewohnt. Das Q hat wieder gleichzeitig zwei Eier ge-
legt, die es auf geratewohl wie das erstemal hat fallen lassen.
Es war je ein Ei auf jeder Seite des Leibes. »
«17. März 1892. — Ich habe soeben einer neuen Eiablage
beigewohnt, und habe sie besser beobachten künnen als die
zwei vorhergehenden. »
«Ich habe nun die Gewissheit, dass die Q Q immer zwei Eier
auf einmal legen, und dass infolgedessen jeder Eierleiter einen
elgenen Ausgang besitzt, den man übrigens ein bischen seit-
wärts unterhalb des fünften Beinpaares deutlich sieht. »
« Als ich das © erblickte, waren die Eier eben aus den Ei-
leitern ausgestossen worden, und befanden sich, durch die im
Oviduct erfahrene Compression noch etwas deformiert, in der
Nähe des fünften Beinpaares. Das © lag unbeweglich auf dem
Rücken und stellte sich sehr vorteilhaft für die Beobachtung
dar. Nach etwa einer Minute wurden die Eier, auf Grund ihrer
eigenen Elastizität vollständig sphärisch. Das Q setzte sich
dann wieder in Gang, sich auf der Seite mit den Füssen forthe-
wegend. Zu dieser Zeit mussten die Eier mit einer klebrigen
Masse umgeben sein, da verschiedene im Wasser schwimmende
Trümmer an ihnen hängen blieben. Von Zeit zu Zeit blieb das
Q wieder stehen, und bemuühte sich, mit den Füssen die leichte
Last von sich zu werfen. Nach wenig Zeit gelang es ihm auch,
sich davon zu entledigen, und die Eier wurden im Präparat
liegen gelassen. »
« 18. August 1892. — In der Eiablage die ich am 17. März be-
obachtete, habe ich die Viscosität der Eier im Moment wo sie
den Eileiter verlassen, constatiert. Dieser Klebstoff muss den
®, die im freien Zustand auf fester Unterlage herumkriechen
536 P.-A. CHAPPUIS
und laufen, die Befestigung der Eier an ihre Unterlage ermüg-
lichen. Ich habe übrigens ôfters beobachtet, dass unter den
Eiern die auf meinen Präparalten d. h. zwischen zwei Gläs-
chen gelegt worden waren, einige so fest hafteten, dass ich sie
nicht durch einen zwischen diese Gläser geleiteten Wasser-
strom entfernen konnte. Diejenigen Eier, die nicht am
Glase befestigt waren, waren stets von Trümmern jeder Art
umgseben. »
« Diese Eigenschaft mussihren Ursprungin einer Klebschicht
haben, die das ganze Eiï umgibt. Der Klebstoff selbst muss aus
dem länglichen Reservoir herstammen, das unterhalb des Geni-
talporuses in nächster Nähe der Oeffnung des Oviductes liegt. »
« Der längliche Behälter wird von einer Drüse, die an seinem
inneren Ende liegt gespeist, und dieser ganze Apparat entspricht,
wenn auch nicht homolog, so doch analog der Cementdrüse
mancher parasitischer Copepoden » (siehe Bemerkung pag. 6).
Entwicklung. Die Entwicklung dieses hüchst interessanten
Harpacticiden ist bis jetzt nur aus der kurzen Notiz in Maupas’
vorläufiger Verôflentlichung bekannt. Ich kann nun diese An-
gaben aus den wertvollen Aufzeichnungen Maupas’ und aus
eigenen Beobachtungen vervollständigen und werde versuchen,
eine môglichst genaue Beschreibung des Werdens von Viguie-
rella zu geben.
Nachdem das Ei von der Mutter losgelüst, auf einer Unterlage
festgeklebt oder mit Detritus umgeben, drei bis vier Tage ge-
ruht hat, schlüpft der junge Krebs aus. Ueber diesen Akt lie-
gen auch noch einige Beobachtungen Maupas’ vor:
«9. Junt 1892. Ich habe soeben gesehen, wie drei Nauplien
aus den Eiern geschlüpft sind. Dies geschieht genau wie ich
es schon bei Canthocamptus staphylinus beobachtet habe. ».
« Die Eihülle zerreisst plôtzlich wie durch eine Art Explosion;
im gleichen Augenblicke schrumpft sie stark zusammen und
stüsst den Nauplius aus. Er befindet sich nur noch von einer
feinen hyalinen Membran umgeben. Diese zweite Hülle ist an-.
VIGUIERELLA CO£ECA 537
nach schwillt sie jedoch an, wahrscheinlich unter dem Einfluss
osmotischer Kräfte. » |
«Anfänglich und noch während etwa einer Minute, bleibt
der Nauplius unbeweglich, doch bald fängt er an, sich in sei-
nem engen Gefängnisse zu regen, und in dem er seine Glieder
reckt und sich nach allen Seiten herumdreht, trägt er dazu bei,
die Wände der zweiten Eihuülle zu erweitern. »
«Er bleibt auf diese Weise drei bis vier Minuten einge-
schlossen, bis durch das Zusammenwirken seiner Bemühungen
und der Osmose die feine Membran nachgibt und zerreisst.
Der Nauplius ist frei und schwärmt im freien Wasser herum. »
« Welche morphologische Bedeutung haben diese zwei Mem-
branen ? Ist die erste ein Chorion und die zweite eine vitelline
Membran, oder ist die erste eine vitelline Membran und die
zweite ein Produkt des Embryos ? »
«Jurixe beschreibt das Ausschlüpfen von Wonoculus quadri-
cornis rubens mit Einzelheiten, die beweisen, dass diese Art
das Ei in einer Membran eingehüllt verlässt, die der Genfer
Beobachter nicht gesehen hat, wahrscheinlich wegen ihrer ex-
tremen Feinheit. »
Nachdem der Nauplius nun ausgeschlüpft ist, folgt eine Serie
von Häutungen, elf an der Zahl. Maupas hat auch darüber sehr
eingehende Untersuchungen angestellt und um ein vollstän-
diges Bild der Arbeïtsweise dieses Forschers zu geben, werde
ich alle Versuche Maupas”, wie sie in seinen Notizen angegeben
sind, hier aufführen.
«Die Zeiten die auf den Tabellen angegeben sind, geben
nicht die genaue Zeit jeder Häutung an, da ich dieselben nicht
beobachten konnte, sondern einfach die Stunde in welcher ich
sah, dass die Häutungen vollbracht waren. »
Isolierung A. Den 17. Januar ïisoliere ich ein Q@ das
nächstens reif wird und das noch mit keinem c‘ in Kontakt
war. Am 25. und 26. legt es zehn Eier und hält mit der Eïablage
an. Ich lasse es bis zum 29. auf dem gleichen Präparat, wie
die Eier und behalte diese bis zum 5. Februar, ohne dass sie
ausschlüpfen.
Rev. Suisse De Zooz. TL. 24. 1916. PAT
CS
LJ
7
538 P.-A. CHAPPUIS
Den 29. Januar versetzte ich das Q auf ein neues Glas, in-
dem ich ihr zwei G' als Gefährten beigebe. Am 1. Februar sehe
ich, wie die o' & das ® verfolgen und sich mit den ersten An-
tennen an den Furkalzweigen festklemmen. Es schüttelt sich
energisch, ihren Copulationsversuchen Widerstand leistend,
und es gelingt ihr in wenig Zeit, sich der Umklammerung zu
entziehen. Die Œ G', ihre Verfolgung fortsetzend, fassen das Q
wenige Zeit später wieder, und der Kampf beginnt von neuem.
Leider kann ich dem Ausgange desselben nicht beiwohnen,
da ich meinen Beobachterposten verlassen muss.
Den 2. Februar finde ich einige Eier
DCS » » » 15 Eier und
ET eu » » »y _25—30. Den 5. bemerke ich die
ersten Nauplien die soeben ausgeschlüpft sind. Es ist daher
offensichtlich, dass die zehn ersten Eier, die in der Abwesenheit
der g° q' gelegt worden waren, steril geblieben sind, da sie
nicht befruchtet waren. Am 3. März ist das ® gestorben. Ich hatte
es am 17. Januar,, als es die Reife erreicht hatte, von einem Prà-
parat genommen, auf dem sich nur jugendliche Exemplare
befanden. Es hatte noch keine Eier gelegt, konnte demnach zu
dieser Zeit etwa 15 Tage alt sein. Angenommen, das Q sei am
1. Januar geboren worden, so ergibt sich eine Lebensdauer von
ca. zwei Monaten.
31. Januar 1892. — Es werden zwei Nauplien isoliert. Nr. 1
ist am 30. Januar, Nr. 2 am 31. Januar ausgeschlüpft.
Temp. Datum | Nr Nr. 2 Bemerkungen
15° 91. Januar | 1. Häutung
152 1. Februar ve » 1. Häutung
1162 Le » oe » 2, »
10 34 » a » D. »
i72 Ge » La » 4, »
1710 Le » 6. » 4. »
7 6. » qe » De »
7 7 » 8 » 5e »
=
OR |
© oO
© ©
ES
© ©
D ot
dé À tm DE : Dé
VIGUIERELLA COECA 539
Femp. Datum Nr: 1 Nre2 Bemerkungen
16° | 10. Februar 11. Häutung 7. Häutung Nr. 1 erwachsen
149 AE » 7 »
4140 | 2e » 8. )
13° 15: » E »
&O 1%. » 9° »
140 05: » 10. »
15° 16. » 10. » Nr.lverschwunden
16° APS 11. » Nr. 2 erwachsen
18. » Nr.2 verschwunden
Die zwei Exemplare, die hier isoliert, und in ihrer Entwick-
lung verfolgt wurden, waren & ©. Nachdem sie beide ihre Reïfe
erreicht hatten, verschwanden sie von dem Präparat ohne
irgend welche Spur zu hinterlassen. Dieses Verschwinden kann
sich nur durch das Entweichen des Tieres aus dem Präparat
erklären. In der Tat ist dieser kleine Copepode sehr wander-
lustig und in einem feuchten Orte kriecht er behende von dem
Wassertropfen weg, indem er sich auf dem Glase herumwälzt.
Meine zwei o' &', die im Wasser des Präparates nicht mehr
die ihnen zusagenden Existenzbedingungen fanden, oder viel-
leicht von dem bei diesen Tieren sehr ausgeprägten Sexualtrieb
auf die Suche nach einem @ getrieben, sind aus dem Präparat
herausgekrochen und auf dem Objektiräger fortgeschlichen.
Von dem vierten Stadium an hat das Nr. 2 verschiedene Verspä-
tungen in seiner Metamorphose erlitten, während die vier ersten
Stadien in der gleichen raschen Weise einander gefolgtwaren wie
bei Nr. 1. Diese Verspätungen rühren von einer Manupulation her,
die am 4. Februar ausgeführt wurde, und in der ich mittelst Pi-
petten die zwei kleinen Crustaceen von dem ursprünglichen
Präparat auf einen neuen Objektträger überführte.
Es ist nun môglich, dass bei dieser Uebertragung das Nr. 2
zu Schaden kam und in seiner Entwicklung gehemmt wurde.
12. Februar. — Ich finde, dass Nr. 2 aus dem achten Stadi-
um in das neunte übergegangen ist; es hat seine vier Bein-
paare und die sieben Segmente, aber auf der linken Seite zeigt
540 P.-A. CHAPPUIS
sich eine Schwellung an, die sich von der Mundgegend bis
zum vierten Beinpaar hinunterzieht. Die Geschwulst ist voll-
ständig hyalin.
13. Februar. — Nr. 2 hat, indem es die neunte Häutung voll-
brachte, die gewühnliche Gestalt wieder angenommen.
Den 28. Mar 1892 isoliere ich einzeln sechs Metanauplien
Li NE teint)
Datum'|Temp-/Ne SL Nr. 24Nr. 2 ENr 4 Nr: 5 Nr. 6
29. Mai! 25° |6.Htg.\5. Htg.|5. Htg.|5. Htg.|5. Hig.|5. Htg.
30. » 240 728 6,7 6 6 67%) 66,7
a. 2 23° 9,404 8,9 7,8 8.9 8,9 8
luna? 11 10 9,10 10 10 9,10 9. h. morgens
de 2770) — 11 — WT — — 7 h. abends
DETON 244 == == 11 — a 11 ù h. morgens
® g' @| ® (ej Q
Bei einer Temperatur von 24—25° erfolgen die Häutungen
alle vierzehn Stunden.
Ich behielt dasQ Nr. 4, indem ich ihm das G'Nr.3 gab. Eslegte
sein erstes Ei den 2. Juni um ein Uhr abends, d. h. ein bischen
weniger als 24 Stunden nach der Häutung.
4. Juni 44 Eier, von neuem isoliert
TOR TRS » » » »
LUN ES MED » » » »
VS PSS TRE PE » » » »
DD 0 AOC » » »
LOST NS) » » »
Da ue SON CEE 2 » » »
AGE D PES EE » » »
29. » 42 » » » »
2. Jul 2 » das Q ist gestorben
Total 418 Eier.
Am 17. verschwand das G spurlos.
Die Temperatur vom 25.—28. Mai betrug im Mittel ein wenig
mehr als 26°. Ich bin sicher, dass die zwei Eier von denen ‘}
VIGUIERELLA COECA 541
das Pärchen stammt, frühestens den 24. abends gelegt worden
waren, und dass sie am 26. ausschlüpften. Das Q lebte also 38
Tage, das Œ mindestens 52.
Juni 1892. — Es werden zwei Eier, die im Laufe des Nach-
mittags des 3. Juni velegt worden sind, isoliert.
Datum |Temp. Zeit Nr Zeit Nree2
3..Juni | 24° isoliert isoliert
LEE 299 | nichts neues nichts neues
;} Na 25° 7 ha. | ausgeschlüpft ha ausgeschlüpft
GE 2749 8 h. m. | 4. Häutung 12m 1. Häutung
TE 5 249 5 h. m. 2 » 5 h. m De »
A Qu: 240 8 h. 30 m o: » 121h0m ae »
8: 9 JE 5 h. m &. » ion 4, »
8: » 20 6 h. m 5 » 10 h. m 5. »
SA» 249 9h. a 6. » — —
9. » 249 — — D h. m. 6. »
SEA 240 9 h. m 7 » TNISLEX 7e »
11MES 249 5 h. m 8 » 5hh:om: 8. »
AO > 240 8 h. 30 m. 9 » J'hsar 9; »
10. » 240 10 h. a. .| 10 » == —
10 1» 249 === == 5 h. m 10. »
5 1 }S ere 249 10 h. a. nichts neues 10. h. a. nichts neues
IPS 25° SEM 11. Stadium 9:h0m: 11. Stadium
19-95 26° 5 h. m. d' nichts neues | 5. h. m Q nichts neues
l'E) 26° | 12 h. a. die ersten Eier
Diese Kultur, in der durch Zufall ein © und ein ç° auf das
gleiche Präparat kamen, liefert mir den Beweis, dass der Ge-
schlechtsunterschied keine Aenderungen in der Schnelligkeit der
Entwicklung bringt.
Sie bestand aus :
1. Die Periode der embryonalen Entwicklung 2 Tage 3.-5. Juni
o F5 » des freilebenden Larvenstadiums6 » 5.-11. »
d: » » bis zur Reife 2 » PRE A »
Total der zur Entwicklung nôütigen Zeit 10 Tage, bei
einer mittleren Temperatur von 241/2° C.
Den 7. Juniisoliere ich zwei Eier, die um 9 h. m. gelegt worden
waren.
2e ds lé sis pi tint Mass
542 P.-A. CHAPPUIS
Datum Temp. Nr: | Nr°12
7. Juni 249 Isolierung | Isolierung
(0 1), 249 10 h.15 m. schlüpft aus 12 h. m. schlüpft aus
122000) 250 6. Stad. 7 h. a.
19 000 26° 6. Stad. 5 h. m.
157400) 26° 11° 1Stad. 45 h9m;: 41. Stad./#7"Hh.4a;
Periode der Entwicklung im Ei — 2 Tage
» » freien Larvenstad. Nr. 1 weniger als 6 Tage
» » » » Nr. 2 mehr als 6 Tage
Die zwei Nauplien schlüpften in einem Zwischenraume von
15/4 Stunden aus, aber das Nr. 2 führte seine elfte Häutung
mindestens zehn Stunden nach Nr. 1 aus.
Isolierung B. 10. März. Ich finde die ersten Eier auf
dem Präparat, auf dem ich am 13. Februar das Q und die zwei
o go‘ (von Isolierung A) isoliert hatte, und auf welcher es
wieder begonnen hatte Eier zu legen. Die wenigen Eier, die
ich heute zählte, waren durch drei oder vier reife Q gelegt
worden. Angenommen diese ® entstammen den Eiern, die
am 20. bis 24. Februar gelegt worden waren, was sehr gut
-môglich ist, so sehen wir, dass sie 18—19 Tage benôütigen,
um sich zu entwickeln. Nach meinen Aufzeichnungen waren
die fraglichen Q® am 24., spätestens am 25. Februar, aus den |
Eiern geschlüpft. Die elf Häutungen, die je alle 24 Stunden
erfolgen, führen uns bis zum 6. März. Von diesem Datum an
verflossen noch vier Tage, während welcher die kleinen
Crustaceen, obwohl äusserlich erwachsen, noch keine Eier
legten. Diese Periode ist ohne Zweifel der Entwicklung der
A ne gewidmet.
Die ganze vorgeschlechtsreife Entwicklung lässt fn somit
in folgende drei Perioden einteilen :
1. Periode der Entwicklung im Ei 4 Tage
2. Periode des freien Larvenstadiums FL
3. Periode der Reifung der Geschlechtsdrüsen A :
Total der vorgeschlechtsreifen Entwicklung 19 Tage
«A.
_, fe bis di
VIGUIERELLA COECA 543
Die Temperatur schwankte zwischen 17 und 20° Celsius. Ich
habe die jungen Tiere, die auf dem Präparat vom 15. Februar
waren, aufsgezogen und 22 Q und 24 6° erhalten.
9. März. Ich isoliere ein junges © und zwei junge og‘ c', die
ich dem Präparat vom 15. Februar entnehme. Die Eier, denen
diese Tiere entschlüpften, waren am 20. Februar auf dem oben
erwähnten Präparat gelegt worden. Ich konnte in ihr, trotzdem
ich sie gründlichst untersuchte, zur Zeit der Wegnahme des
© und der g c' keine Spur eines Eies bemerken, ein Zeichen
*dafür, dass die Q noch keine reifen Eier besassen.
13. März 24 Eier
144» "40
Por 44
LOS. 90
NON 300
DU EE 20
1% 52522
PUS 2
stadien.
»
und 3 Nauplien
» 8 »
» 15 »
» viele »
zahlreiche » und Metanauplien
» » » » Total 70 Eier
» » » » 3 Copépoid-
Ich entferne die zwei Œ œ und das © und versetze sie auf ein
anderes Präparat.
21März 5
RU 12
AL 518
D 27
AD En >: : A0
5 Nauplien
Ich entferne abermals das Weibchen mit seinen zwei Männ-
chen und versetze sie auf ein neues Präparat.
26. Mürz 2 Eier
AT: » 7
Den nr 27
5 1 COUPE SR 2
1. April 40
A one," 40
»
»
ein oder zwei Nauplien
sechs bis sieben Nauplien.
544 P.-A. CHAPPUIS
Ich entferne abermals das Weibchen mit seinen zwei Männ-
chen und versetze sie auf ein neues Präparat.
6. April 3 Fier
FL » 1765
8. » 19 °»
9, » 35 ‘°»
10. » einige Nauplien
11. » 27 Eïer, mehrere Nauplien.
Versetzung des @ und der GG‘ auf ein neues Präparat.
12. April 4 Eier
APS SSRÈCE he LI 2 RES
LAS LOS
LÉ MONET
16. » 36 » und vier Nauplien
LAS STD D: SÉCRE PP)
Erneute Versetzung des ® und der G G auf ein neues Prà-
parat.
21. April 6 Eier
ASE ST MAS CS
D: ID AUD
Verzetzung des Q und der S ©. Fe 4
27: April'-6"Fier:.= 5
DE FD 95
30. » 14%)
2 Mai 2 » ein Nauplius
AN 16 » vier »
8. » das ® ist gestorben.
Ich behalte die zwei GG, indem ich ihnen ein neues © beigebe.
11. Mai ist das eine œ verschwunden.
21. » » » zweite G', das seit einigen Tagen dahinzu-
siechen schien, gestorben. Das junge @ und die Infusorien, die
mit ihm lebten, sind gesund, so dass nur das hohe Alter des 4
Krebses als Todesursache angesehen werden kann. À
Das Q®, das hier isoliert wurde, lebte vom 24. Februar, dem
L er
VIGUIERELLA COECA J49
Tage des Ausschlüpfens aus dem Ei bis zum 8. Mai, also 74
Tage. Während seiner Reife, die am 10. März begann, habe ich
mit Gewissheit 306 gelegte Eier gezählt, aber diese Zahl müsste
noch ein wenig erhôht werden, da das Zählen einige Schwierig-
keiten bereitet. Ich bin überzeugt, einige Eier übersehen zu
haben. Die Eier wurden regelmässig während der ganzen Reife-
periode gelegt, und wenn einige Unterbrechungen vorkamen,
so sind diese dem unvermeidlichen Wechsel in Qualität und
Menge der Nahrung zuzuschreiben. In den letzten Tagen er-
fuhr die Zahl der gelegten Eier eine Abnahme, die sich durch
das Alter des Tieres erklären lässt. Das Maximum des Geleges
innert 24 Stunden betrug 18—20 Eier.
Das &', das ich bis zu seinem Tode beobachtete, lebte vom
24. Februar, dem Tage seines Auschlüpfens, bis zum 21. Mai,
also 87 Tage, oder 13 Tage länger als das ©, das am gleichen
Tage geboren und unter den gleichen Bedingungen ernährt
wurde. »
Die c' scheinen übrigens immmer länger zu leben als die Q:
In der Tat waren die zwei GG der Isolierung À noch wohl-
auf beim Tode ihres ©. Leider hatte ich nicht die exakte Zeit
ihrer Geburt notiert, und kann nun keine bestimmten Schlüsse
ziehen über die Zeit, die das c' länger lebt als das ©.
In dem Versuche B waren die zwei G'Œ zur gleichen Zeit
geboren wie ihr ® und beide haben es überlebt. Das eine c°
ist leider drei Tage nach dem Tod des © entwischt, sodass
ich nicht, wie mit dem zweiten, die genaue Zeit bestimmen
konnte, um die es das © überlebte. »
« Algier, Juli 1892.
Zucht im Dunkeln. «Am 1. Juliisoliere ich fünf Eier, die
dem Ausschlüpfen nahe sind, und stelle sie in eine Dunkel-
kammer.
Datum Temp.
Hub, 26° Nauplius
AU 26° 1. Copepodidstadium.
RE 27° reife Tiere
546 P.-A. CHAPPUIS
Datum Temp.
8. Juli 26€ die ersten sechs unbefruchteten Eier
05 DT viele Eier
10.16) 27° 1 Nauplius, ich entferne die 5 erwachsenen
112409 28° viele Nauplien
135% 29° 1. Copepodidstadium
16: PTE reife Tiere
1790 27 die ersten Eier
1205 2 ich isoliere drei © und drei c' auf dem
gleichem Präparat
» 27° einige Eier
220 26° einige Nauplien, ich entferne die erwach-
senen Tiere.
Isolierung eines © ohne c.
«Ich isoliere sechs junge © die vom © der Isolierung B her-
stammen. Ich hatte sie als Metanauplien dem andern Präparat
entnommen, und als ich sicher war, sechs © vor mir zu
haben, vereinigt.
«Sie begannen Eier zu legen am 1. April, 13, am 11. April
sind es neunzig.
11. April. — Die Eiablage hat sich in denletzten Tagen sehr
vermindert, es scheint, dass die © die ohne g'isoliert sind, die
Fähigkeit Eier zu legen verlieren.
« Die neunzig Eier sind, obwohl ich sie längere Zeit auf-
bewahrte, nicht ausgeschlüpft.
«Am 11. April überführe ich die © in ein neues Glas und
gebe ihnen 9 cf bei.»
12. April 14 Eier
43 » 45 »
16. » zahlreiche Nauplien des ersten Stadiums
17. » immer zahlreicher werdende Nauplien.
A; die ersten neunzig Eier haben sich nicht entwickelt, da sie
nicht befruchtet waren. »
:
VIGUIERELLA COECA 547
Soweit Maupas. Fassen wir die Ergebnisse seiner Beobach-
tungen zusammen. Der Krebs durchläuft während seines freien
Larvenlebens elf verschiedene Larvenstadien und erhält bei der
elften Häutung seine endgültige Gestalt.
Diese elf Stadien bestehen aus sechs Nauplien und fünf Cope-
poditstadien.
Bei einer mittleren Temperatur von 16° C. entwickelt sich Vi-
guterella innerhalb zwülf Tagen vom Ausschlüpfen aus dem Eï
an gerechnet. Also eine Häutung alle 24 Stunden.
Bei einer mittleren Temperatur von 18° C. ist die
Periode der Entwicklung im Ei 4 Tage
» des Larvenstadiums LE RS
» bis zur Reife L'AE
Total der zur Entwicklung nôtigen Zeit 19Tage:
es erfolgt eine Häutung alle 23 Stunden.
Bei einer mittleren Temperatur von 25° C. erfolgen die Häu-
tungen alle 17 Stunden.
Bei einer mittleren Temperatur von 25° ist die
Periode der embryonalen Entwicklung 2 Tage
» des freilebenden Larvenstadiums 6 »
» bis zur Reife 25
Total der zur Entwicklung nôütigen Zeit: 10 Tage.
Es erfolgt eine Häutung alle 13 Stunden.
Bei einer mittleren Temperatur von 27° erfolgen die Häut-
ungen alle neun bis zehn Stunden.
Die Anzahl der Eier, die gelegt werden, schwankt zwischen
306 und 418.
Die Lebensdauer ist bei den® © bei 18° C. 74 Tage, die Zeit,
die das Ei zum Reifen braucht, nicht eingerechnet.
Bei ebenfalls 18° C. lebte das © ca. 63 Tage, während bei
26° C. die Lebensdauer sich auf ca. die Hälfte reduzierte, d. h.
38 Tage. Die Männchen leben etwas länger.
Besprechung der Stadien. Die elf Larvenstadien von Viguie-
224
548 P.-A. CHAPPUIS
rella künnen in drei von eimander- verschiedene Entwicklungs-
stufen getrennt werden: Zwei Orthonauplius-, vier Metanau-
plius- und fünf Copepoditstadien. Was die Gliederung und
efiederung der Extremitäten bei jedem einzelnen Nauplius-
stadium anbetrifft, so müchte ich auf die Abbildungen ver-
weisen.
Der Nauplius selbst misst beim Verlassen der Eïhülle 75%
und wird nach jeder Häutung durch Ausbildung eines neuen
Seygmentes grôüsser. Die neugebildeten Segmente tragen meis-
tens noch keine Extremitäten; doch künnen sie bei genauer Beob-
achtung deutlich von einander unterschieden werden. Die
Zahl der Orthonauplien beträgt zwei. Die Orthonauplien tragen
alle drei Gliedmassen, die, wie auch der übrige Kôrper, unter
dem Kopfschild verborgen sind und als erste und zweite An-
tenne und Mandibel gedeutet werden müssen. Diese Extremi-
tâten sind die einzigen voll ausgebildeten Beinpaare der Nau-
plien.
Stark dorsoventral abweplattet, erscheint der erste Ortho-
nauplius (Taf. 3, Fig. 3) fast kreisrund. Er besitzt beim Aus-
schlüpfen aus dem Ei die drei den Nauplius charakterisierenden
Gliedmassenpaare, die je ein Segment des Kôürpers bezeichnen.
Den Abschluss des Tieres bilden zwei kurze, auf beiden Seiten
des Afters inserierte Borsten, die durch alle Entwicklungssta-
dien zu verfolgen sind. Sie bilden das vierte Segment, welches
als erste Anlage des Furkalsegmentes zu betrachten ist.
Nach der ersten Häutung sehen wir, dass ein funftes Segment
gebildet worden ist, das später die Maxille tragen wird. Von die-
ser selbst aber ist bis zum ersten Metanaupliusstadium nichts
zu sehen. Bei der Häutung schiebt sich zwischen dem dritten
und vierten Segment ein neues ein, sodass das ehemalige vierte
Segment nun zum fünften geworden ist. Dieses Segmentist sehr
undeutlich vom dritten getrennt, da es nicht durch eine Chitin-
falte abgegrenzt wird. Der Kôrper selbst ist ein wenig länger
geworden und das ganze Tier misst nun schon 90% (Taf.3, Fig. 4).
Immer noch vom Kopfschilde ganz verdeckt erscheint uns
der erste Metanauplius(Taf.3,Fig.5), der die 1. Maxille als kleine
VIGUIERELLA COECA 549
Borste angedeutet hat. Die Zahl der Segmente ist auf sechs
gestiegen. Bei scharfer Beobachtung kann man am Ende des
fünften Segments eine Andeutung der 2. Maxille und des Ma-
xillipeden bemerken. Es sind nachweisbar die zwei verküm-
merten Extremitäten zweier Segmente, die aber nun zusammen-
sœeschmolzen sind. Auf diesem Stadium besitzt der Nauplius
schon alle Anlagen für die Gliedmassen, deren zugehôrige
Segmente, vom ersten Copepoditen an, das Kopfsegment bil-
den. Der Abschluss des Kürpers, das sechste Segment, bleibt
von dieser Häutung an fast in der gleichen Form bis zum ersten
Copepodit bestehen. Die kleinen Aenderungen, die es erfährt,
weisen immer deutlicher auf die zweiästige Form des zukünfti-
gen Kôürperendes hin. Die nun folgenden Häutungen dienen
der Anlage der Schwimmfüsse. Bei dem zweiten Metanauplius
(Taf. 3, Fig. 6) entsteht schon eine Andeutung einer Gliederung
des Kürpers. An den Seiten des neu hinzugekommenen sech-
sten Segmentes tritt ein kleiner Zipfel auf, der die Anlage des
ersten Beinpaares darstellt. Die 1. Maxille hat sich ebenfalls
umgeändert und erscheint nun als zwei kleine Dürnchen. Von
der 2. Maxille und dem Maxillepeden ist noch wenig zu sehen,
sie bleiben auch auf dem dritten Metanaupliusstadium in ihrer
Entwicklung stehen. Dieses dritte Metanaupliusstadium (Taf. 3,
Fig. 7), das aus der vierten Häutung hervorgeht, hat wieder ein
Segment mehr, das des zweiten Schwimmfusses. Aenderungen
in der Gestalt der bisher gebildeten Gliedmassenanlagen sind
nicht zu bemerken. Erst nach der fünften Häutung, auf dem
vierten und letzten Metanaupliusstadium (Taf, 3, Fig. 8), tritt ein
grosser Unterschied gegenüber dem vorhergehenden Stadium
auf. Die 1. Maxille, die bis jetzt nur durch zwei feine, äusserst
hyaline Borsten angedeutet war, tritt nun in Form einer Lamelle
hervor, die zwei kurze apikale und eine längere mediane Borste
trägt. Diese Borste, die am Innenrande der 1. Maxille inseriert
ist, ist an ihrer Wurzel verdickt und gewôühnlich nach der In-
nenseite zu gebogen. Die 2. Maxille und der Maxilliped erschei-
nen als eine zweilappige Ausbuchtung am Ende des Kopfseg-
mentes, und sind beide auf gleicher Hôhe inseriert, wie dies ja
“a AS
350 P.-A. CHAPPUIS
auch beim erwachsenen Tiere der Fall ist. Die zweite Maxille
besitzt noch unbestimmte Formen, während der Maxilliped
schon eine der endgültigen Form ähnliche Gestalt angenommen
hat. Die zwei ersten der vier noch folsenden Segmente tragen
schon fertige Anlagen der Schwimmfüsse, während das dritte
nur eine Andeutung seiner späteren Gliedmassen besitzt. Die
drei primären Extremitäten des Nauplius sind fast ohne Ver-
änderungen durch alle Stadien hindurch gleich geblieben. Auch
in dem vierten Metanaupliusstadium erfahren sie keine Modi-
fikationen.
Der Uebergang vom letzten Metanaupliusstadium zu dem
ersten Copepodit bedeutet einen gewaltigen Fortschritt in der
Entwicklung unseres Krusters. In diesem erscheint zum ersten-
male das Tier im Prinzip in seiner endgültigen Gestalt. Die
dem Nauplius eigentümlichen Extremitäten sind zur ersten und
zweiten Antenne und Mandibel geworden, deren Gliederung
noch nicht ganz durchgeführt ist. Die Maxillen und der Maxillar-
fuss stellen sich in ihrer definitiven Form dar. Von den
Schwimmfüssen, sind die zwei ersten schon als zweiästige mit
eingliedrigen Exo- und Endopoditen versehene Fusspaare vor-
handen. Das dritte Fusspaar ist durch eine mit Borsten verse-
hene Schuppe am dritten Thoraxsegment angedeutet. Es folgen
5
nun noch zwei Segmente, von denen das erste durch die Häut-
ung neu hinzugekommen ist, während das zweite, das Endseg-
ment des vierten Metanauplius darstellt, das bei dieser Häut-
ung die als zwei Hôücker angedeuteten Furkaläste abgetrennt
hat. Das Endsegment, das schon beim Nauplius durch Teilung
bei jeder Häutung ein neues Kôrpersegment bildete, behält
diese Funktion der Segmentbildung bei. Die Stelle an der die
Teilung stattfinden wird, ist äusserlich zu erkennen, indem.
dieser immer grüsser als die andern Segmente sich darbietende 3
Kôrperteil sich durch einen Bôrstchenkranz auszeichnet, derin
halber Hôhe sich rings um den Leibesring hinzieht.
Die nun folgenden fünf Häutungen bringen den jugendlichen ]
Copepoden immer näher der definitiven Gestalt. In jedem.
Stadium besitzt der Harpacticide ein Kôrpersegment mehr als
VIGUIERELLA COECA 501
im vorhergehenden, die Beinpaare wachsen nach und nach und
erhaltenihre typische Gestalt. Schon im ersten Copepoditstadium
kônnen wir die Bildung von Anlagen der Geschlechtsorgane
erkennen. Sie bestehen bei zukünftigen Weibchen aus zwei
kleinen, eiformigen Gebilden, die in der Nähe des Gehirnes
liegen, und einen dünnen Schlauch von ihrem vorderen
Ende gegen das Endsegment, das noch ungeteilte sechste
Kôrpersegment, hinsenden. Parallel der äusseren Entwicklung
schreitet auch die innere Organisation vorwärts, sodass nach
der elften Häutung das Tier, wie wir schon gesehen haben, bei
günstiger Temperatur nur vier Tage braucht, um die ersten
Eier zu legen.
Der erste Autor der sich eingehend mit der Entwicklung der
Copepoden beschäftigte und die Zahl der durchlaufenen Stadien
mit einer speziellen Berücksichtigung der Gliedmassen festzu-
stellen versuchte, war OBErG (21). Das Material, das er durch
Planktonfänge in der Kielerbucht erhielt, bestand fast aus-
schliesslich aus Gymnopleen-Larven, sodass dadurch der Kennt-
nis der Cyplopiden- und Harpacticiden-Entwicklung nicht viel
gedient war. Diese Tatsache brachte Dierricn (7) dazu, die
Süsswassercopepoden zu bearbeiten, wobei er, sich eng an
OBerG haltend, alle drei im Süsswasser freilebenden Familien
dieser Ordnung berücksichtigte. Das Hauptresultat von Dier-
RicH’s Arbeit ist die genaue Feststellung und Beschreibung der
verschiedenen Stadien bei je einem Vertreter dieser Familien.
Wie wirim Vorhergehenden gesehen haben, besitzt Viguie-
rella sechs Naupliusstadien, während Drerricn für Cyclopiden
und Harpacticiden deren fünf feststellte. Daraus sucht er durch
Ueberlegungen biologischer Natur die Tendenz dieser Familien
zu erklären, die Zeit, die sie als Larven zu leben haben, müg-
lichst zu verkürzen.
OBERG, wie auch Drerricn, konnten an ihren Naupliiden keine
Segmentation feststellen, sondern schlossen nur von ausgebil-
deten Extremitäten aufein zugehôriges Segmentzurück; manch-
mal war sogar eine Längenzunahme des Abschnittes zwischen
dem zuletzt angelegten Extremitätenpaar und den Schwanzbor-
552 P.-A. CHAPPUIS
sten der einzige Anhaltspunkt für die Annahme der Bildung
eines neuen Segmentes.
Dass bei jeder Häutung ein neues Segment entsteht, scheint
eine feststehende Tatsache zu sein, und dass eine Concentra-
tion in der Entwicklung der Cyclopiden und Harpacticiden statt-
findet, müssen wir als hôchst wahrscheinlich annehmen, da uns
nur hôchstens sechs Stadien zur Bildung von sieben neuen
Segmenten zur Verfügung stehen. Viguterella zeigt nun als
Nauplius eine gewisse Segmentation des Kürpers, und bildet
frühzeitig die Anlagen der Thoracalbeine aus, so dass wir ganz
deutlich den Uebergang eines Stadiums in das andere beob-
achten kôünnen. Auf dem vierten Naupliusstadium bildet sich
die Anlage des ersten Thoracalbeinpaares aus, und von da an
wird jeweilen bei jeder Häutung bis zum ersten Copepoditen
nur ein einziges Segment angelegt. Die Concentration hat also.
früher stattgefunden, undzwaraufdemzweiten Naupliusstadium,
wo die zwei Segmente, die die grôsste Tendenz haben zu-
sammenzuschmelzen, das der zweiten Maxille und das des
Maxillipeden gebildet werden.
Da man nun bei Viguierella genau die Bildung der Thoracal-
beinpaare verfolgen kann, und eine Anlage der ersten Maxille,
obwohl diese noch nicht äusserlich sichthar ist, schon beim
zweiten Naupliusstadium sich erkennen lässt, sehe ich mich
veranlasst, wenigstens für das von mir untersuchte Tier die
Annahme OgerG’s, dass beim Verlassen der Eibülle die Nauplien
nur drei Segmente besitzen, für Vigutierella nicht in Anwendung
zu bringen. Der Auffassung KorscHEeLT's und HEIDERS wäre
hier eher beizutreten ; sie lautet :
€Wenn auch am Kôrper des Nauplius eine Segmentierung
äusserlich nicht erkennbar ist, so müssen wir an demselben
doch folgende Segmente trennen. Ein vorderes präorales oder
primäres Kopfsegment, den hintersten Kürper-Abschnitt als
das End- oder Analsegment, und die dazwischengelegenen …
echten Rumpfsegmente. Alsletztere werden wir den derzweiten
Antenne zukommenden Leibesabschnitt, ferner ein Mandibular-
segmentannehmen müssen. Der Nauplius wäre sonach aus dem
PR. POUR
|
:
VIGUIERELLA COECA 553
primären Kopfsegment, zwei aufeinanderfolæenden Rumpfseg-
menten und dem Endsegment zusammengesetzt. Môglicher-
weise ist auch die Region der ersten Antenne ein eigenes
Rumpfsegment, welches frühzeitig seine Selbstständigkeit ver-
loren hat. Das Kopfsegment und Endsegment sind zu den
Rumpfsegmenten in einen gewissen Gegensatz zu stellen, inso-
ferne nur den letzteren echte Extremitäten zukommen. Das
Endsegment des Nauplius enthält die hinterste, zum späteren
Analsegment sich ausbildende Kürperpartie, und eine an der
vorderen Grenze derselben gelegene Knospungszone, von
welcher die stetige Produktion neuer Rumpfsegmente ausgeht. »
Das vierte « Segment» wäre also kein Segment im wahren
Sinne des Wortes, sondern ein Kürperabschnitt, dem die Funk-
tion der Neubildung von Segmenten gegeben ist.
Wie wir im folgenden sehen werden, fällt das Auftreten einer
Extremität nicht mit der Bildung des Segmentes, dem sie an-
sehôrt,zusammen, sondern erfolgt erst auf dem darauffolgenden
Stadium. Das erste Copepoditstadium zum Beispiel besitzt drei
Beinpaare, wovon das dritte aus einer ungegliederten Lamelle
besteht. Auf diesem Stadium aber tritt dieses dritte Beinpaar
als neue Extremität auf, währenddem das vierte Segment die
aus der entsprechenden Häutung hervorgegangene Neubildung
darstellt. Aehnlich verhält es sich bei dem zweiten Copepoditsta-
dium, bei welchem das vierte Beinpaar auftritt und das fünfte
Thoracalsegment gebildet wird. Wir haben also hier einen An-
haltspunkt für die Bildung der Gliedmassen und Segmente der
Naupliuslarven. Die Ansicht Korscaezr’s und Herner's, der wir in
den vorhergehenden Zeilen beigetreten sind, dass die frisch
aus dem Ei ausgeschlüpften Nauplien nicht aus drei, sondern
aus vier deutlich voneinander zu unterscheidenden Segmenten
bestehen, wird bekräftigt.
Auf dem dritten Naupliusstadium tritt zum erstenmale die
erste Maxille auf; diese gehôrt aber zu einem Segment das,
wenn die obenerwähnte Beobachtung verallgemeinert wird,
schon im vorhergehenden Stadium gebildet wurde. Es besitzt
also schon das zweite Orthonaupliusstadium fünf Segmente.
Rev Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 38
a 4
D: P.-A. CHAPPUIS
Æ
Es ist daher selbstverständlich, dass im ersten Orthonauplius
die Scheidung zwischen Endsegment und Mandibelsegment
vorgenommen werden muss, da ja kein Anhaltspunkt dafür
vorhanden ist, dass vom ersten auf den zweiten Orthonauplius
zwei Segmente gebildet werden kôünnten.
Eine Bestätigung dieser Ansicht ist die Beobachtung OBErG's,
der bei Oithonia im zweiten Orthonaupliusstadium einen Hôcker
mit zwei langen, aber äusserst dünnen Borsten bemerkt, die
an der gleichen Stelle inserieren, an der nach der darauffolgen-
den Häutung die Borste auftritt, die als erste Anlage der ersten
Maxille gedeutet wurde.
O8ErG selbst konnte sich, da er auf dem ersten Orthonaup-
liusstadium nur drei Segmente annahm, diese Erscheinung nicht
erklären. Er bemerkt dazu: «Es träte hier also die Andeutung
einer Extremität auf, ehe das dazu gehürige Kürpersegment ge-
bildet wäre, denn von diesem findet sich sonst keine Andeut-
ung, im Gegenteil ist sogar die Trennung von Mandibel und
Analsegment nur undeutlich. »
Die Segmente, die später beim erwachsenen Tiere den Cepha-
lothorax abgeben, sind auch bei den Naupliuslarven nie deut-
lich von einander abgesetzt, und erst das erste Beinpaar bei
Viguierella und das zweite bei Epactophanes sind von dem vor-
hergehenden Segmente durch eine mehr oder weniger deut-
liche Chitinfalte getrennt. Die Bemerkung O8Eer&s betreffend
die Trennung zwischen Mandibel und 1. Maxillarsegment ist
daher hinfällig.
Die Behauptung, dass eine Extremität nicht zu gleicher Zeit
wie das dazugehôürige Segment selbst, sondern erst im darauf-
folgenden Stadium auftritt, scheint mir ziemlich allgemein gül-
tig zu sein, wenivstens traf dieses Gesetz bei allen von mir un-
tersuchten Gattungen der Harpacticiden zu. Demnach wäre also
die Auffassung über die verschiedenen Neubildungen der Seg-
mente, die Dierricx in semer Arbeit für Canthocamptus an-
gibt, umzuändern.
Maupas betont an zwei verschiedenen Stellen seiner Arbeiten |
die Genauigkeit seiner Beobachtungen Canthocamptus staphy-
VIGUIERELLA COECA 5959
linus betreffend, bei dem er sechs Naupliusstadien beobachtet
haben will.
Aufeine Anfrage meinerseits antwortete mir sein Freund
Herr Prof. Viauier: «Il (Maupas) m'a prié de vous affirmer à
nouveau son absolue certitude relativement au nombre des
mues, qu'il a toujours vues au nombre de six.
Etant donné le soin apporté par M. Maupas à ses cultures, je
considère comme impossible qu'il ait pu se tromper plusieurs
fois à ce sujet. Il esthien plus vraisemblable qu’un des stades
a échappé à M. Dierricu, car il serait un peu surprenant, quoi-
que je ne voie pas de raisons pour que ce soit impossible, que
ses Canthocamptus staphylinus diffèrent en cela de ceux d'ici. »
Dieser Erklärung Maupas’ steht eine ebenso kalegorische
Dierricæs gegenüber:
«Man künnte mir hier den Einwand machen, ich hätte die ersten
Stadien beider Familien übersehen. Dem müchte ich entgegen-
halten, einmal, dass ich die Nauplien habe unter dem Deckglas
schlüpfen sehen, zum andern einen Hinweis auf die Literatur.
... Craus hat eben geschlüpfte Nauplien mit starker Be-
wehrung gezeichnet. Ferner müchte ich auf Hozcx hinweisen,
der das Bild eines zweiten Nauplius (erster Metanauplius mit
Anlage der Maxille) ausdrücklich als «Larve von Canthoc. sta-
phylinus nach einmaliger Häutung » bezeichnet. »
Dass sich Maupas bei der Bestimmung des Harpacticiden ge-
irrt hätte ist, obschon diese Familie zu dieser Zeit noch wenig
bekannt war, unwahrscheinlich. Es wäre hier vielmehr in Er-
wägung zu ziehen, ob nicht bei den europäischen Formen die
Verkürzung in der Entwicklung erst nach der Bildung der
Mittelmeersenke entstanden sei, und dadurch die nordafrikani-
schen Formen unabhängig von den europäischen sich haben
entwickeln kônnen.
Dass nicht alle Podopleen diese Verkürzung in der Entwick-
lung durchgemacht haben, zeigt die im vorhergehenden Teile
beschriebene Entwicklung von Viguierella. Auch bei Epacto-
phanes habe ich mit ziemlicher Sicherheit die Sechs-Zahl der
Nauplien festgestellt. Von den Harpacticiden des Süsswassers
590 P.-A. CHAPPUIS
würde also nur das Genus Canthocamptus fünf Nauplius besit-
zen, während die andern mit Ausnahme von Witocra, Apsteinia,
Moraria, Parastenocaris üu. s. W., die noch nicht untersucht
worden sind, deren sechs besitzen.
Wie die Podopleen OBErG’s und DrerricH’s zeigt auch Vi-
guterella die Tendenz, den Gang der Entwicklung abzukürzen.
Dieser Vorgang ist aber bei dieser Form noch nicht so weit ge-
diehen und ermôglichte mir den verschiedenen Naupliusstadien
jeweilenihre zugehôürigen Neubildungen zuzuweisen. Bei Vigute-
rella, ähnlich wie bei Canthocamptus, macht sich diese Tendenz
bemerkbar, die neugebildeten Extremiläten, mit Ausnahme der
ersten Maxille, während des ganzen Naupliuswerdeganges als
Anlagen bestehen zu lassen, um erst beim ersten Copepodit-
stadium mit mehr oder weniger fertigen Beinpaaren aufzutreten.
Dieser Prozess der Verkürzung des freilebenden Larvenstadi-
ums ist bei Viguterella erst in seinem Anfangsstadium, wäbhrend
er bei Canthocamptus-Arten weiter gediehen ist. Das Extrem
in dieser Hinsicht aber leistet Cyclops fimbriatus, der, wie ich
ôfters zu beobachten Gelegenheit hatte, auf dem vierten Meta-
naupliusstadium nur die erste Maxille als neugebildete Extre-
mität besitzt. Auch die bescheidenen Andeutungen von Bein-
paaren, wie sie bei C. strenuus vorhanden sind, werden unter-
drückt. Otthonia nimmt eine Mittelstellung ein, obwohl diese
marine Form als solche nicht mit den im Süsswasser vorkom-
menden Formen verglichen werden kann.
Die Erklärung, die Drerrica für die geschilderte Tendenz
gibt, ist ziemlich einleuchtend, doch wäre ihre Richtigkeit an
Hand eines grôsseren Materials zu kontrollieren.
Die von Drerricn untersuchten Formen waren fast ausschliess-
lich pelagisch oder doch litoral in grôsseren Wasseransamm-
lungen lebende Tiere. Für C. strenuus gibt A. GRÂTER eine pe-
lagische und eine litorale Form an, und Canthoc. staphylinus
ist einer der wenigen Harpacticiden die in Planktonfängen er-
wähnt werden. Da nun Dierricu die Tendenz einer Verkürzung
der larvalen Lebensdauer auf Momente biologischer Natur zu-
rückführt, so wäre eine Untersuchung der kriechenden, also der
VIGUIERELLA COECA 557
am ausgesprochensten an geringe Wassermengen gebundenen
Formen ein wertvoller Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der
Copepoden gewesen. Zugleich hätte die Entwicklung dieser,
den Witterungseinflüssen wie Kälte, Hitze, Eintrocknen und
Einfrieren, am meisten unterworfenen Formen eine Bestätigung
der von ihm aufgestellten Behauptungen, wenigstens für Cyclo-
piden geliefert.
Eine solche Arbeit fällt nicht in den Rahmen dieser Mitteil-
ung. Sie soll nur ein kleiner Beitragzur Entwicklungsgæeschichte
der Crustaceen sein. Doch môchte ich hier die Aufmerksamkeit
der zukünftigen Bearbeiter der Entwicklungsgeschichte ir-
gend einer Familie der Crustaceen darauf lenken, die verschie-
denen Entwicklungsstadien nicht beim ersten besten Vertreter
der Familie zu verfolgen, sondern nach Berücksichtigung der
biologischen Verhältnisse die zwei Extreme herauszugreifen
und zu bearbeiten.
In unserem Falle hätte Dierricn, um nicht unvollständig zu
bleiben, zum Beispiel Cyclops strenuus und Cyclops fimbriatus,
der eine ausgesprochen kriechende Form und sehr verbreitet
ist, untersuchen sollen. Dieser letztere hat auch den Vorteil,
einer der zur Beobachtung der verschiedenen Stadien sich am
besten eignenden Cyclopiden zu sein, da er in geringen Wasser-
mengen und bei relativ hohen Temperaturen leben und sich
fortpflanzen kann.
Meine an diesem Copepoden angestellten Versuchen ergaben
sünstige Resultate.
Die Tiere lebten drei Wochen auf einem Objektträger unter
einem Deckglase das durch Plasticinfüsschen unterstützt war.
Ich konnte so die Entwicklung verfolgen, ähnlich wie es
Maupas für Viguierella getan hatte. Die Angaben, die Dierricn
für die verschiedenen Entwicklungsstadien von Cyclops strenuus
gibt, stimmen im allgemeinen auch für die verschiedenen Sta-
dien von C. fimbriatus; nur zeigt sich bei dieser kriechenden
Form das Bestreben der Verkürzung der iarvalen Form noch
deutlicher. Der auffälligste Unterschied zwischen den zwei er-
wähnten Formen ist bei letzterer Art der Verlust aller äusseren
558 P.-A. CHAPPUIS
Gliedmassen-Anlagen, mit Ausnahme der ersten Maxille, bei
den neu auftretenden Segmenten, bis zum ersten Copepoditen.
Von den Harpacticiden wären in Frage gekommen, nicht die
zwei einzigen littoral auftretenden, und in jeder grôüsseren
Wasseransammlung vorkommenden Formen, sondern eine
dieser beiden und Canthocamptus pygmæus oder zschokket,
die in jedem Moospolster auftreten.
Es zeigt sich bei den Harpacticiden überhaupt eine starke
Tendenz von der Lebensweise im offenen Wasser nach und
nach zum Aufenthalt in Moospolstern überzugehen. Erst seit
dem diese näher untersucht worden sind, hat auch die Zahl
der bekannten Harpacticiden, die noch vor einigen Jahren gering
war, zugenommen.
Die Züchtung dieser Tiere stôsst indessen auf grosse
Schwierigkeiten, da die Eier sehr selten, und dann nur in ge-
ringer Anzahl geleot werden. Auch verlangt das Beobachten
auf Moospolster lebender Copepoden umständliche Manipula-
tionen.
Fassen wir die Resultate dieser Arbeit zusammen, s0 sehen
wir, dass Viguterella Wwahrscheinlich ein blinder Kruster von
phylogenetisch hohem Alter ist. Für diese Annahme sprechen
die verschiedensten Momente wie z. B. die Zahl der Nauplius-
stadien, die noch in hrer ursprünglichen Anzah]l vorhanden sind,
die getrennten Geschlechtsüffnungen und die unpaare Copula-
tionsdrüse, die als Rudiment des zweiten Hodens der œ anzu-
sehen ist, und das Vorhandensein eines freien ersten Thoracal-
segmentes mit dem ersten Beinpaare. Vielleicht kann auch der
Besitz eines pulsatilen Apparates in der Maxillendrüse, der auch
bei Bathynella natans, einem Kruster dessen Verwandte schon
im Perm und Carbon vorkommen, allerdings nicht in gleicher
Form, doch mit gleicher Funktion, auftritt, als altertümliches
Merkmal aufsefasst werden.
Die verschiedenen Fundstellen von Viguierella weisen aufein
sehr geringes Feuchtigkeitsbedürfnis unserer Form hin; doch …
scheint diese, obwohl sie allein von mir in subterranen Gewäs-
sern gefunden worden ist, in solchen ihren Ursprung zu haben.
VIGUIERELLA COECA 559
Für diese Behauptung sprechen die Augenlosigkeit und das
Alter der Form. Man kônnte mir hier den Einwand machen,
die wenigen Fundorte, an denen ich Viguierella subterran
lebend vorgefunden habe, seien durch Zufall von diesem Kruster
bevôlkert worden und Blindheit sei keine unbedingte Folge.
des Hühlenlebens.
Dem gegenüber müchte ich bemerken, dass Viguterella ein
Bewohner der Spalten und Risse der Erdrinde ist, und sich in
die von RacovirTza aufsestellte Gruppe der «Troglophiles» stellt.
Viguierella Wurde noch nie in Hôhlen gefunden, weil dieses
Tier sich gar nicht dort aufhält und andere Orte, wie die dem
Menschen unzugänglichen Spalten, wurden bis jetzt noch nicht
untersucht. Die oberirdischen Fundorte deuten darauf hin,
dass Viguierella, die vor Zeiten gezwungen oder freiwillig die
unterirdischen Gewässer als Wohnort angenommen hatte, nun
wieder zur Erdoberfläche zurückkehrt und dort infolge ihrer
grossen Anpassungsfähigkeit sich ansiedelt.
SYSTEMATIK
Wie wir am Anfang schon gesehen haben, weicht Vigute-
rella coeca Maup. in einigen Merkmalen von Phyllogna-
thopus paludosus Mrazek ab. Wir haben es also hier mit zwei
von einander verschiedenen Formen der gleichen Gattung zu
tun, deren Diagnose im Anschluss an Vax Douwe (Nr. 24) fol-.
gender Massen lauten würde.
Subfamilie LONGIPEDIHDAE. :
Gattung Viguterella Maupas.
Erster Thoracalring nicht mit dem Kôrper verwachsen, daher
Rumpfdes © aus zehn, der des g'aus elf Segmenten bestehend ;
erste Antenne achtgliedrig, Nebenast der zweiten Antenne ein-
gliedrig. Mandibulartaster aus zweigliedrigen Aëesten bestehend,
zweiter Maxillarfuss undeutlich zweigliedrig. Auf das etwas
560 P.-A. CHAPPUIS
stärker chitinisierte Basalglied folgt das beinahe kreisrunde
Endglied, welches ausser verschiedenen gewôhnlichen Borsten
drei kurze, zahnartige und befiederte Borsten trägt. Sämtliche
Beine kurz. Eiballen nicht vorhanden. Spermathophoren keulen-
formig, mit langem Hals.
Viguierella coeca Maupas.
Erste Antenne achtgliedrig, zweite Antenne viergliedrig;
Rostrum ventralwärts gebogen, in eine Spitze ausgezogen, mit
zwei Tasthaaren. Maxilliped undeutlich zweigliedrig, blatt-
formig. Analplatte glatt, unbedornt. Furka schlank, dVR
Borsten beim © halb so lang wie beim ©, kurz, blattformig.
Beim of nur eine gut entwickelte, ziemlich kurze, normale End-
borste; erstes bis drittes Bein in beiden Aesten dreigliedrig,
viertes Bein Enp. zwei-, Exp. dreigliedrig. Fünftes Bein Q:
Basal und Endglied gleich lang, an der Basis verschmolzen.
Fünftes Bein Go‘: Basalglied verkümmert, nur aus einer Stachel-
reihe und einem darüber befindlichen dreieckigen, beborste-
ten Zipfel bestehend; Endglied länglich mit sechs Borsten. In
der Maxillendrüse ein pulsatiler Apparat. Länge 570—600
®, 530—560u S.
Viguierella paludosa Mrazek.
Erste Antenne achtgliedrig, zweite Antenne dreigliedrig.
Rostrum fast viereckig, mit zwei Tasthaaren. Maxilliped : «
zweigliedrig, blattf‘rmig. Analplatte mit sieben bis elf kleinen
Zähnen. Furka schlank, divergent; nur eine gut entwickelte
kurze Endborste. Erstes bis drittes Bein in beiden Aesten drei-
gliedrig. Viertes Bein : Endopodit zweigliedrig, Exopodit drei-
gliedrig. Fünftes Bein des © : Basal und Endglied gleich lang, ‘4
an der Basis verschmolzen. Fünftes Bein des G‘: Basalglied ver-
kümmert, nur aus einer Stachelreihe und einem darüberbefind-
lichen Dorn bestehend. Endglied länglich, mit sechs Borsten.
Ueber den Bau des G‘ist sonst nichts bekannt. Maxillendrüse 4
ohne pulsatilen Apparat. Länge 650 x ©.
nn à dE" tien ds 2e De
7
VIGUIERELLA COECA 561
GEOGRAPHISCHE VERBREITUNG
Viguierella coeca Wurde bis jetzt an folgenden Orten gefunden:
Algier, an zwei Orten, von Maupas.
Deutschland, in der Mark Brandenburg, von HarTwIG, und
in Dresden, von KESSLER.
England, im botanischen Garten von Regentspark und in
Kew Garden, von SGOURFIELD.
Schweiz, in Basel und im Kanton Thurgau, von P. A.
CHaPpPuis.
Viguierella paludosa wurde von MrRazek in Bühmen beo-
bachtet.
LITERATURVERZEICHNIS.
1. Cazmax, W.T. Crustacea; in: Treatise on Zoology, edited by
Sir Ray Lancaster, Part. VII, Fase. III, London. 1909.
2. Cuappuis, P. A. Ueber das Excretions-Oroan vor Phyllognatho-
pus viguieri. Zool. Anz., Bd. 44, 1914.
3. In. Bathynella natans und ihre Stellung im System. Zool. Jahrb.,
Abt. Syst., Bd. 40. 1916.
4. Craus, C. Zur Anatomie und Entwicklungsgeschichte der Cope-
poden. Arch. f. Natgesch., 24. Jahrg., Bd. 1. 1858.
5. In. Untersuchungen zur Érforschung der genealogischen Grund-
lagen des Crustaceensystems. Wien. 1876.
6. In. Neue Beobachtungen über die Organisation und Entwicklung
von Cyclops. Arb. Zool. Inst., Wien, Bd. X. 1892.
7. Dierricu, W. Die Metamorphose der freilebenden Süsswasser-
copepoden. Leitschr. f. wissensch. Zoologie, Bd. 63. 1915.
8. Douwe, C. van. Copepoden : in : Süsswasserfauna Deutschlands.
Jena, 1909.
9. Giesssrecar W. Zur Morphologie der Ma: zilipeden. Mitt. der
Zool. Stat. Neapel, Bd. IX. 1895.
10. In. Crustacea in : Laxc, Handbuch der Morphologie der wirbel-
losen Tiere. Bd. 4, Arthropoda, 1. u. 2. Liefg. 1913.
18.
19:
A nu
P.-A. CHAPPUIS
Grirer A. Die Copepoden der Umgebune von Basel. Rev. Suisse
Zool., FMASMONS:
Grirer E. Die Copepoden der unterirdischen Gewässer. Arch. f.
Hydrobiol., Bd. VI. 1910.
Gruser À. Betträge zur Kenntnis der Generationsorgane der frei-
lebenden Copepoden. Leitschr. f. wiss. Zool., Bd. 32. 1879.
Haxsex J. H. Zur Morphologie der Mundgliedmassen. Lool. Anz.,
16. Jahrg. 1893.
Harrwic, W. Die Krebstiere der Provinz Brandenburg. Naturw.
Wochenschrift. 1895.
KessLer E. Ueber ein Excretionsorgan bei der Harpacticiden-Gat-
tung Phyllognathopus Mrazek. Lool. Anz., Bd. 43. 1914.
KorscueLt E. u. Heiner C. Vergleichende Entwicklungsgeschichte
der wirbellosen Tiere. Spezieller Teil, Bd. 1,2. 1893-1909.
La Rocue, R. Die Copepoden der Umgebung von Bern. Dissert.,
Bern. 1906.
Maupas M. Sur le Belisarius viguieri, un nouveau copépode d'eau
douce. C. R. Acad. sciences, T. 115, part 2. 1892.
Mrazek, Al. Beitrag zur Kenntnis der Harpacticiden Fauna des
Süsswassers. Zool. Jahrb., Abt. f. Syst., Bd. 7. 1894.
OserG M. Die Metamorphose der Planktoncopepoden der Kieler-
bucht. Wiss.Meeresunters., Kiel, Abt. Kiel, N. F.. Bd. IX. 1905—
1906.
Scumeir, O. Deutschlands freilebende Süsswassercopepoden.
1892.
ScourFiELD D. J. Synopsis of the British freshwater Entomo-
straca. Journ. of the Quekett Micr. Club (2). 1904.
Wocrr, E. Die Fortpflanzungsverhältnisse unserer einheimischen
Copepoden. Zool. Jahrb., Abt. f. Syst., Bd. 22. 1905.
ET:
dns nr Lohan 2e Pat An din Sie it DE SDS de Sd Sd
D'OR
VIGUIERELLA COECA 563
ERKLÂARUNG DER TAFELN
TAFEL 3.
Die bei den Naupliusstadien angegebenen Zahlen beziehen sich bei allen
Stadien auf die gleiche Gliedmasse, und zwar bedeuten :
D =
O1 æ Co
IUT
Erste Antenne.
Zweite Antenne.
Mandibel.
Erste Maxille.
Zweite Maxille.
LA
) © I o Ot
— Maxilliped.
— Erstes Beinpaar.
— Zweites Beinpaar.
— Anlage des dritten Beinpaares.
— Furka-Anlage und Analsegment.
Die Figuren 1 und 2 sind von Maupas selbst, die anderen teilweise nach
seinen Skizzen gezeichnet.
Frc.
Fic.
Fic.
Fic.
Fic.
Firc.
Fic.
Fic.
Habitusbild von Viguierella coeca Maupas. Q Vergr. x 220.
»
»
»
Erstes Naupliusstadium. Vergr. >< 300.
. Zweites
. Drittes
Viertes
. Fünftes
. Sechstes
»
» » œ » > PAU
» >Tal0:
» >< 300.
» >< 300.
» >< 300.
» >< 300.
564
Er:
F1G.
lite
Fré:
Fc.
Frc.
Frc.
FrG.
Fire:
Fc:
Fi.
Firc.
FrG.
FiG.
Pics
re:
FiG.
Firc.
9
10.
. Zweïte » GA
. Mandibel.
. Erste Maxille.
. Zweite »
D D ND
D 2
ROIS NUIRS
Qt
…
+ ©
me
P.-A. CHAPPUIS
Erste Antenne Q.
Erste » Œ:
. Maxilliped.
. Fünftes Beinpaar Q.
. Fünftes » ei
®, Geschlechtsfeld mit Spermatophor.
. Lweïites Beinpaar.
Viertes »
Drittes »
. Erstes »
©, Furka.
TAFPEL &.
. ®, Geschlechtsorgane.
Anomalie des Geschlechtsorgans des G'-
. , Geschlechtsorgane.
à
|
Lt Beck & Frur.-Cenéve:
Maupas et PA.Chappuis del.
P. A ChappuiSi- Viguierella.
Rev Suisse de Zool. T' 24-1916.
: Mi
Lith. Reck & Frur,-Genéve.
P A Chappui$ :- Viguierella.
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
Vol. 24, n° 9. —_ Décembre 1916.
RÉSULTATS SCIENTIFIQUES DE LA MISSION ZOOLOGIQUE SUÉDOISE
AU KILIMANDJARO, AU MÉROU, ETC. (1905-1906)
SOUS LA DIRECTION DU PROF. Dr YNGVE SJOÜSTEDT
Araignées du Kilimandjaro et du Mérou
(Suite!)
PAR
R. de LESSERT
Avec 26 figures dans le texte.
IT
Pisauridae.
Genre EuProsrHenors Pocock 1897.
1. Euprosthenops proximus n. sp.
(Fig. 1 à 4.)
Forme très voisine d’£. bayaonianus (Brito Capello), dont
elle se différencie surtout par la forme de l’apophyse tibiale des
pattes-mâchoires et l’aire des yeux médians en trapèze aussi
long (mais non plus long) que large en arrière. Chez E. baya-
ontanus, l'aire des yeux médians est, d’après Simon (1898, p. 12),
à peine plus longue que large en arrière et, d’après Srrann (1908,
p- 104), un peu plus longue que large.
! Pour la première partie Cf. Rev. suisse Zool.. vol. 23, pp. 439-533. 1915.
Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 39
566 R. DE LESSERT
Le G d'E. bayaonianus n’est connu que par une figure de
Simox (1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 299 A), représentant la
patte-mâchoire droite du côté externe et une description de
SrrAND, loc. cit. Ce dernier auteur ne mentionne toutefois pas
la forme de lapophyse tibiale des pattes-mâchoires.
E. prospiciens O. P. Cambridge 1907, p. 827, pl. 50, fig. 38 à
4A0(— GS dE.australis Simon, d’après Simon, 1910*, p. 206)se rap-
proche d’'E. proximus n. sp. par le tibia des pattes-mâchoires
présentant «<a short, tapering, slightly curved apophysis at its
extremity on the outer side » que la fig. 40 de CAMBRIDGE ne
permet cependant pas de reconnaître. Chez Æ. australis Simon
1898, p. 12, l'aire des yeux médians est beaucoup plus longue
que large.
d : Céphalothorax brun-rouge, à pubescence fauve clair’,
marqué d’une bande médiane mal définie, de stries rayonnantes
et de deux bandes submarginales jaunes, à pubescence blanche.
Deux lignes incurvées de pubescence blanche en arrière des
yeux latéraux postérieurs, se rejoignant en avant et se prolon-
geant jusqu'à l'intervalle des yeux médians antérieurs, en des-
sinant une figure piriforme. Pédoncules oculaires divisés lon-
gitudinalement en 2 parties, l’externe à pubescence blanche,
l’interne à pubescence fauve. Une tache blanche, dilatée vers
le bas, des yeux médians antérieurs au bord inférieur du ban-
deau. Yeux situés sur des taches noires et cerclés de poils fauve
clair. Chélicères jaunes, rayées de noirâtre en avant, revêlues
de pubescence blanchâtre. Pièces buccales noirâtres, éclaircies
en avant. Sternum jaune, à pubescence fauve-blanchâtre, coupé
d'une bande longitudinale noirâtre, diffuse. Pattes fauve-rou-
geûtre, à pubescence fauve, les tibias ornés, à chaque extrémité,
d’un anneau noirâtre. Pattes-mâchoires fauve-rougeûtre, variées
de noirâtre sur les fémurs, patellas et tibias. Abdomen brun
foncé, presque entièrement occupé en dessus par un folium
longitudinal isabelle, à pubescence blanchâtre, liséré de blanc,
à bords sinueux. Ce folium est parcouru par une bande longi-
! La pubescence des téguments est formée de poils plumeux.
, 778
“à
CE
if
ARAIGNÉES 567
tudinale noirâtre, à bords également sinueux, à pubescence
fauve clair, marquée en avant d’une tache lancéolée plus foncée,
finement bordée de blanc. Région ventrale coupée d’une bande
longitudinale noirâtre, indistincte, à pubescence fauve-doré,
limitée par 2 traits blanchâtres presque parallèles.
Yeux antérieurs en ligne très fortement procurvée, les laté-
raux situés à l’extrémité inférieure de pédoncules qui sont
obtus, divergents et occupent les angles du bandeau. Yeux
médians antérieurs un peu plus petits que les latéraux, séparés
par un intervalle environ égal à leur rayon. Yeux postérieurs
subégaux, en ligne très fortement recurvée, les médians séparés
l’un de l’autre par un intervalle d’‘/; inférieur à leur diamètre
et des latéraux par un intervalle excédant un peu leur diamètre.
Yeux latéraux postérieurs (situés sur le côté externe de tuber-
cules bas) occupant un espace transverse à peine plus étroit
que celuides yeux latéraux antérieurs. Yeux médians des2 lignes
formant un trapèze plus étroit en avant qu’en arrière (mais non
2 fois); ce trapèze est, vu en dessus, à peine plus large en ar-
rière que long, et, vu un peu en avant, aussi long que large en
arrière. Yeux médians antérieurs plus petits (d'environ d’1)
que les postérieurs. Base des yeux latéraux antérieurs (vus en
avant) au niveau du bord inférieur du bandeau.
Marge inférieure des chélicères pourvue de 3 dents subé-
gales,équidistantes. Pattes incomplètes (il manque à notre exem-
plaire les pattes IV, et une partie des pattes LIL); les tibias, pro-
tarses et tarses garnis de longs crins fins, arqués.
Pattes-mächoires (fig. 1 à4). Tibia de même longueur en dessus
que la patella, plus long que large, à côtes presque parallèles,
muni, à son bord apical externe, vers le milieu, d’une apophyse
brun foncé, dirigée obliquement en avant et en bas. Cette apo-
physe est, vue du côté externe (fig. 1), conique, avec l’extré-
mité antérieure arquée en haut, obtuse (dans cette même posi-
tion, l’apophyse tibiale d’£. bayaonianus paraît, d’après la figure
de Simox, 1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 229 À, cylindrique, ter-
minée en petit crochet à l'extrémité). Vue en dessous et un peu
en arrière (fig. 4), l'apophyse tibiale est resserrée vers le milieu,
568 R. DE LESSERT
puis dilatée et obtusément tronquée à l'extrémité (qui est exca-
vée en dessus). Tarse presque 2 fois plus long que tibia + patella
dongueur 3°%,3), ovale, longuement et régulièrement atténué
en avant en rostre subaigu, plus de 2 fois plus court
que le bulbe, plus de 3 fois plus court que le tarse , muni en
dessous de 2 longues épines. Bulbe (fig. 3), muni de 3 apophyses
dirigées en avant, naissant à peu près au même niveau dans la
Rrc-ule Ercua:
Fr6:2: ÉrG' LE
Euprosthenops proximus n. sp. G.
F1G. 1. — Patte-mâchoire droite du côté externe.
Fi1G. 2. — Lame médiane du bulbe du côté externe et un peu en dessous.
F1G. 3. — Partie antérieure du tarse et du bulbe en dessous.
F1G. 4. — Apophyse tibiale en dessous et un peu en arrière.
moitié basale. 1° Du côté externe, un stylus noir, arqué en avant,
puis recourbé en haut et en arrière, muni de 2 spinules paral-
lèles, obliques, sur la courbure antérieure. 2° Dans la région
médiane, une lame plus longue que large, obliquement située,
recouvrant toute la partie antérieure du stylus, son extrémité
antérieure recourbée perpendiculairement en haut en crochet
1 D'après SrranD (1908 p. 105), le rostre serait 2 fois plus court que le tarse
chez Æ. bayaonianus, ce qui ne correspondrait pas à la figure précitée de
SIMON.
-
ARAIGNÉES 569
noir, presque droit, subaigu. De chaque côté, les bords de la lame
sont repliés en haut, le bord externe étant anguleux, l’interne
convexe et muni d’un denticule à peine visible (fig. 2.) 3° Au
bord interne, une petite saillie obtuse.
Longueur totale, 16%"; longueur du céphalothorax 5.5""1,
Pattes! 1 — 462,5 €
Habitat : Kibonoto, zone des cultures (1 G', type, XIT).
2. Euprosthenops armatus Strand 1913.
(Fig 5. 6.)
La description d’'£. armatus GS demande à être complétée
comme suit:
d : Céphalothorax brun foncé, avec 2 bandes submarginales
blanches, assez étroites et légèrement sinueuses, séparées
du bord du céphalothorax par un intervalle environ égal à
leur largeur, atteignant en avant la base des pédoncules
oculaires. Céphalothorax orné en outre d’une ligne médiane
longitudinale blanche, se prolongeant en avant jusqu’à l’inter-
valle des yeux médians antérieurs et d’une tache trapézoïdale
blanche des yeux médians antérieurs au bord inférieur du ban-
deau. Pédoncules des yeux latéraux antérieurs noirs, éclaireis
à la base. Bandes submarginales, ligne médiane et tache trapé-
zoïdale antérieure recouvertes de pubescence blanche *%. Une
ligne marginale de pubescence blanche reliée à la bande
submarginale par de la pubescence blanche et fauve. Chélicères
jaunes, teintées de brun du côté externe. Pièces buccales
jaunes. Sternum jaune, avec, vers le milieu, 2 taches incurvées
noirâtres, qui n'existent pas chez le type. Pattes jaunes, légè-
rement teintées de noirâtre ; de petits anneaux interrompus,
noirâtres, à chaque extrémité des tibias.Pattes-mâchoires jaune-
testacé. Pubescence des chélicères, pièces buccales, sternum,
! Y compris les pédoncules oculaires.
? D'après Srranp», les dimensions d'Æ. bayaonianus G' sont : longueur totale,
20mm ; longueur du céphalothorax, 8mm, 5; pattes | — 59mm, 4.
* La pubescence des téguments est formée de poils plumeux.
570 R.: DE LESSERT
hanches des pattes, pattes-mâchoires, blanche ; celle des pattes,
fauve-blanchâtre. Abdomen jaune clair, presque entièrement
occupé en dessus par une tache longitudinale noire, à bords un
peu découpés et sinueux, présentant en avant une ligne médiane
longitudinale éclaircie (la pubescence de l'abdomen est effacée
en dessus chez nos exemplaires). Flancs ornés d’une bande
longitudinale noirâtre. Région ventrale blanc-testacé (avec des
traces de lignes latérales plus foncées), à pubescence blanche.
Yeux présentant la disposition typique chez les Euprosthenops,
mais différant d'E. proximus par les caractères suivants: les
yeux médians antérieurs sont un peu plus gros que les latéraux;
les yeux médians postérieurs sont séparés l’un de l’autre par
un intervalle à peine inférieur à leur diamètre et des latéraux
par un espace 2 fois plus grand que leur diamètre Yeux latéraux
postérieurs occupant un espace transverse nettement plus étroit
que celui des yeux latéraux antérieurs. Yeux médians des 2 lignes
subégaux !, formant un trapèze un peu plus étroit en avant. Ce tra-
pèze est, vu en dessus, à peine plus large en arrière que long
et, vu en avant, un peu plus long que large en arrière. Base des
yeux latéraux antérieurs (vus en avant) située légèrement plus
bas que le bord inférieur du bandeau.
Marge inférieure des chélicères pourvue de 3 dents sub-
égales, équidistantes.
Pattes-mâchoires (fig. 5,6). Patella de même longueur environ
que le tibia; ce dernier article est, vu en dessus (fig. 5), légè-
rement arqué, régulièrement élargi en avant, et présente à son
bord apical, du côté externe, une saillie obtuse, précédée, sur
le côté externe de l’article, d’une apophyse dirigée perpendi-
culairement en dehors, comprimée, séparée de la saillie anté-
rieure par une échancrure triangulaire. Vue en dessus, l’apophyse
perpendiculaire externe est conique, avec le bord postérieur
presque droit, le bord antérieur un peu sinueux, l’extrémité
libre recourbée en avant en petit crochet aigu, noir (le bord pos-
Par ses yeux médians subégaux, £. armatus diffère des Æ£. bayaonianus,
australis et proximus et se rapproche au contraire des Æ. pulchellus et an-
nulipes.
ARAIGNÉES 571
térieur de l’apophyse est également noir). Vue du côté externe
et un peu en arrière (fig. 6), cette apophyse est large, légèrement
dilatée en avant, avec les angles antérieurs obtus et le milieu du
bord antérieur avancé en dent triangulaire, aiguë. Vue en des-
sous, l’apophyse tibiale paraît un peu excavée en avantet convexe
en arrière. Tarse plus long que tibia + patella. ovale allongé,
terminé en rostre eflilé, plus court que le bulbe, plus de 2 fois
plus court que le tarse. Bord externe du tarse présentant, dans
le 1/3 basal, une dilatation triangulaire obtuse ; à la base du tarse,
du côté interne, une petite saillie arrondie. Bulbe pourvu à lex-
Frc. 5. Fic. 6.
Euprosthenops armatus Strand '.
F1G. 5. — Patte-mâchoire gauche en dessus.
F1G. 6. — Patte-mâchoire gauche du côté externe et un peu en arrière.
trémité de 2 apophyses peu distinctes : l’interne (? conducteur
du stylus) brun-rouge, arquée, canaliculée du côté externe, ter-
minée en pointe très aiguë, dirigée en dehors ; l’externe en
dent subtriangulaire, obtuse, noire, dirigée obliquement en
bas. Ces 2 apophyses sont visibles du côté externe (fig. 6).
Longueur totale, 13""; longueur du céphalothorax, 5"",11
Pattes IV — 34m. |
Ha bitat : Ngare na nyuki (2 ©, I).
1 Y compris les pédoncules oculaires. Chez le type, la longueur totale est
de 11 à 12mm, celle du céphalothorax de 4mm,5, celle des pattes IV de 29mm,5,
Les pattes sont dans l’ordre I, 11, HIT, IV.
572 R. DE LESSERT
Genre SPENGERELLA Pocock 1898.
L. Spencerella lineata Pocock 1898.
(Fig. 7 à 10).
Pococx (1898, p. 215) n’a décrit que le c' de $. lineata ; je
donne ici la diagnose de la ® et quelques détails complémen-
taires sur la patte-mâchoire du Œ.
® : Sous l’alcool, le céphalothorax est jaune clair, revêtu de
poils brun-noir, à l'exception d’une bande médiane graduelle-
ment rétrécie en avant. Sur la région thoracique, 2 étroites
bandes latérales claires, un peu sinueuses et effacées, ainsi que
des traits rayonnants foncés, peu distincts. Yeux situés sur des
taches noires. Desséché, le céphalothorax est couvert sur les
côtés de pubescence ! blanchâtre et, sur la bande médiane, de
pubescence très blanche, formant, au niveau des yeux médians
postérieurs, un fascicule triangulaire de poils plus longs, diri-
gés en avant. Pubescence de la face blanche, assez longue et
serrée ; deux lignes parallèles de pubescence blanche du côté
externe des yeux médians postérieurs au côté externe des yeux
latéraux antérieurs. Chélicères jaunes, teintées de noir, avec 2
lignes de pubescence blanche sur la face antérieure. Pièces
buccales noirâtres ; sternum noirâtre, graduellement éclaire et
jaune sur les bords, coupé d’une étroite bande médiane jaune:
clair, atténuée en arrière et couverte de pubescence blanche.
Pattes-mâchoires jaunes, variées de noir. Pattes jaune foncé en
dessus, obscurcies et noirâtres en dessous, à pubescence fauve
et blanche. Abdomen brun-noir en dessus, coupé d’une bande
médiane claire, lisérée de blanc, à côtés presque droits et pa-
rallèles, atteignant les filières en arrière. Pubescence de l’ab-
domen fauve obscur, celle de la bande médiane d'un blanc pur.
Région ventrale jaunâtre, ornée d’une bande longitudinale
noirâtre, coupée d’une bande plus claire. Pubescence de la ré-
gion ventrale blanche et fauve.
1 La pubescence des téguments est formée de poils plumeux, à l'exception
des poils bruns du céphalothorax qui sont simples et assez épais.
à
PACS
nd dit 0 De db its ÉTÉ, de TD D ES SC ÉD on de és ÈS à ossi ei COS
ARAIGNÉES 573
Aire oculaire plane, proclive. Yeux antérieurs en ligne très
fortement procurvée, disposés en trapèze plus large en avant
qu'en arrière ; ce trapèze, vu en avant, est presque aussi long
ou aussi long que large en avant, avec les yeux latéraux (situés
sur des pédoncules courts et obtus) d'1/3 plus gros que les mé-
dians. Yeux latéraux antérieurs séparés par un intervalle un
peu plus grand que leur diamètre ; yeux médians antérieurs sé-
LT
Spencerella lineata Pocock ©.
F1G. 7. — Céphalothorax et abdomen en dessus.
FiG. 8. -— Epigyne.
parés par un intervalle un peu plus petit que leur diamètre.
Yeux médians antérieurs et postérieurs formant un trapèze
plus étroit en avant qu’en arrière. Ce trapèze est, vu en dessus,
nettement plus large en arrière que long et, vu en avant, à
peine plus large en arrière que long. Yeux médians antérieurs
d’'/: plus petits que les postérieurs. Yeux postérieurs subégaux,
en ligne fortement recurvée, les médians plus resserrés, sépa-
rés l'un de l’autre par un intervalle environ égal à leur
diamètre et des latéraux par un intervalle presque double
de leur diamètre. Yeux latéraux postérieurs situés sur des tu-
574 R., DE LESSERT
bercules bas. Yeux latéraux antérieurs occupant un espace à
peine plus étroit que celui des yeux médians postérieurs. Ban-
deau très étroit, vu en avant, moins long que le diamètre des
yeux latéraux antérieurs. Angles externes du bandeau proémi-
nents, obtus.
-Chélicères munies, à la marge inférieure, dé 3 dents be
les, subéquidistantes. Tibias des pattes pourvus en dessous de
3-3 longues épines et de 2 épines apicales plus petites.
Abdomen long et étroit, régulièrement atténué en arrière,
environ 4 fois plus long que large en avant. Epigyne (fig. 8) en
plaque plus large que ee munie de chaque côté d’une la-
melle à bord interne arrondi et noir !; bord antérieur de la pla-
que présentant une échancrure rectangulaire, testacée, limitée
de chaque côté par une lamelle brun-rouge, arrondie en avant.
L’échancrure est suivie en arrière d'une dépression mal définie
fauve-rouge, à bord postérieur procurvé ?.
Longueur totale, 12". ; longueur du céphalothorax, 3.6 à 4",
d : Coloration comme chez la 9, avec les pattes (sauf les
pattes III) moins obscurcies en dessous, mais cependant tein-
tées et mouchetées de noir. Pattes-mâchoires jaunes, variées
de noir, à pubescence blanche. Abdomen fauve clair, avec une
ligne obscure de chaque côte de la bande médiane ; flancs mou-
chetés de noir.
Pattes-mâchoires (fig. 9 et 10)%. Patella convexe en dessus, et
munie d’un long crin antérieur. Tibia aussi long en dessus que
la patella, plus long que large, pourvu, du côté externe, d’une
saillie subbasale et a une apophyse apicale, dirigée obliquement
en avant. Saillie subbasale du tibia jaune, légèrement bilobée ;
1 Les bords internes des lamelles dessinent une figure en x à branches dis-
jure
? L'épigyne de S. lineata est du même type que chez S. signata Pocock 1902,
pl. 3, fig. 4. Cette dernière espèce (dont la Q seule est Rn) diffère de S.
lineata par l'écartement et la grandeur relative des yeux.
# La patte-mâchoire de S. lineata figurée par Pocock (pl. 8, fig. 17) est vue
en dessous et un peu du côté externe ; les apophyses ont donc une forme un
peu différente que dans nos fig, 9 et 10; l’'apophyse tibiale subbasale parait ob-
tuse, l’apophyse apicale plus aiguë ; l’'apophyse apicale du bulbe est terminée 4
en poiute plus longue.
F
+
.
L
1
ARAIGNÉES 575
vue en dessus (fig. 9), elle est obliquement tronquée du côté
externe, avec les angles obtus. Apophyse apicale du tibia, vue
du côté externe, obliquement située ; vue en dessus (fig. 9),
cette apophyse paraît formée de 2 parties, dont la postérieure est
fauve et obtuse, l’antérieure noire, obliquement tronquée à Pex-
trémité avec l’angle postérieur obtus, l’antérieur aigu et précédé
d’un denticule à peine visible. Tarse plus long que tibia +
patella, ovale allongé, terminé en rostre grêle. plus court que
le bulbe, plus de 2 fois plus court que le tarse. Le bulbe est situé
F1G.,9.
Spencerella lineata Pocock c'.
F16. 9. — Patte-mächoire gauche en dessus.
Fic. 10. = Extrémité du bulbe en dessous.
obliquement et déborde le tarse des deux côtés. Stylus naissant
au bord interne du bulbe, arqué du côté externe, atteignant,
presque l’extrémité d’un conducteur digitiforme, obtus. Ce der-
nier est caché en partie en dessous par une apophyse recourbée
du côté externe en forme de griffe acérée (fig. 10).
Longueur totale, 11.5". ; longueur du céphalothorax, 3.8".
Habitat: Kibonoto, zone des cultures (2 9, 1 S', XII).
Spencerella lineata var: sexmaculata n. var.
Deux Q différant du type par leur céphalothorax orné, de
chaque côté, de 3 taches noires, arrondies, disposées en série
14
576 : R. DE LESSERT
longitudinale sur les bandes latérales. L’abdomen de ces exem-
plaires est ratatiné (après l'oviposition) et présente une bande
médiane noirâtre, marquée en avant d’une zone longitudinale
éclaircie, testacée et, en arrière, d’une série de chevrons A tes-
tacés peu distincts.
Longueur totale, 10". ; longueur du céphalothorax 4%".
Même habitat que le type. |
Genre TErrAGoNoPHTHALMA Karsch 1878.
D’après Simon (1892-1903, vol. 2, p. 1044), Pococx a reconnu
que l'espèce qu’il avait citée en 1899, p. 862, sous le nom de
Tetragonophthalma phylla appartient en réalité au genre Pha-
laea Simon.
Pococx en déduit que le genre Phalaea Simon doit prendre
le nom de Tetragonophthalma Karsch et le genre Tetragonoph- n
thalma Simon celui de Perenethis L. Koch.Cette opinion n’est
pas partagée par SImox et ne paraît reposer sur aucun fait précis.
Rien !, dans la diagnose originale de Karscx, qui ne mentionne
pas la dentition des chélicères chez Tetragonophthalma phylla,
ne permet de rattacher avec certitude cette espèce au genre
Phalaea Simon, caractérisé par la présence de 4 dents à la marge
inférieure des chélicères.
Seul l’examen du type permettra de tirer la question au clair
et de dire si c’est le point de vue de Simox ou de Pococx qui
doit prévaloir.
L'étude d'exemplaires adultes du Kilimandjaro m'a permis
de reconnaître que 7. phylla Karsch est une espèce différente …
de celle que Srmox a figurée sous ce nom et que j'appelle F.
simont.
Nos Go‘ correspondent bien en effet, par la forme de l’apophyse …
lé, ds Re. 2: ui,
! Sauf peut-être les yeux latéraux antérieurs qui sont plus gros que les mé-
dians dans la figure de Karscn (18782, p.328), caractère qui concorde mieux avec …
le genre Phalaea Simon qu'avec le genre Tetragonophthalma Simon. Mais |
peut-on se fier à la figure de Karsca qui ne correspond pas au texte pour les …
yeux postérieurs ?
ARAIGNÉES 577
tibiale de la patte-mâchoire, à la fig. 300 B de Srmox (1892-1903,
vol. 2, p. 286). La seule © que nous.possédions se différencie
par contre de la description et de la figure de Karson 1878*, p.
329, pl. 9, fig. 4) par sa livrée, la longueur relative des pattes,
ainsi que par certains détails dans la disposition des yeux.
Karsen ne décrit ni ne figure l'épigyne, de sorte que l’on ne
peut se rendre compte si le type est adulte.
T. simoni se distingue de 7. sindica Simon 1897°, p. 295 par
son bandeau moins long; elle est également voisine de Perene-
this venusta L. Koch dont la @ est décrite par L. Kocn', le G'
par Tnorezz (1881, p. 372). P. venusta L. Koch est synonyme de
Tetragonophthalma unifasciata (Dol.).
1. Tetragonophthalma (?) simont n. nom.
(Fig. 11 à 14)
Syn. T. phylla. Simox 1892-1903, vol. 2, pp. 286, 1044, fig. 300 B. (non
T. phylla. Karsca 1878 et Pocock 1899).
Q : Céphalothorax jaune clair, coupé d’une bande large mé-
diane brun-rouge, à côtés parallèles, un peu plus large que
l'aire oculaire et ornée de 2 lignes noires en arrière des yeux
médians postérieurs. Région thoracique marquée d’une étroite
bande marginale noirâtre, mal définie. A sec, le céphalothorax
est revêtu de pubescence ? blanche, qui est plus serrée et d’un
blanc plus purle long de la bande médiane foncée, qu’elle encadre
de2lignes parallèles. Pubescence de la bande médiane fauve clair
(effacée). Chélicères jaunes. vaguement rayées de noirâtre en
avant. Pièces buccales jaunes, teintées de noirâtre. Sternum
jaune, avec 2 bandes marginales noirâtres. Pattes-mâchoires
jaunes, tachées de noir sur les fémurs, patellas et tibias. Pattes
jaune foncé, obscurciesetnoirâtres en dessous ; hanches tachetées
denoir ; protarses indistinctement annelés de noir à chaque extré-
mité*; tarses jaune clair, obscurcis à l'extrémité. Fémurs IV
_ lIn: Kocu und KeyserLine 1871-1890, P. 1, p. 980, pl. 85, fig. 7.
? La pubescence des téguments est formée de poils plumeux.
3 Chez T. phylla Karsch, les tibias I et II sont largement annelés de brun.
578 R. DE LESSERT
éclaircis, presque entièrement jaune clair. Pubescence des ché= "
licères, du sternum et des pattes, blanche. Abdomen jaune
clair, marqué de linéoleslongitudinales interrompues, noirâtres,
confluentes sur les flancs. Abdomen orné en dessus d’une bande
longitudinale noire à côtés sinueux et découpés (surtout en ar-
rière), lisérés de blanc; bande noire coupée d’une zone longi-
tudinale éclaircie, diffuse. Région ventrale jaunâtre, rayée de
noirâtre et coupée d’une bande médiane, rétrécie en arrière,
d'un blanc jaunâtre. Pubescence de l'abdomen blanche et fauve
PPT" RS FPT Nr. 12
£N 7
Frc:12: F1c. 14.
Tetragonophthalma (?) simoni n. nom.
F1c. 11. — G'. Patte-mächoire gauche en dessus.
F1c. 12. — CG. Patte-mâchoire gauche du côté externe.
Fic. 13. — 9. Epigyne (sous l'alcool).
F1ic. 14. — GG. Processus médian du bulbe en dessous.
clair (très effacée en dessus), celle de la région ventrale d’ur
blanc sale. ; ze
Yeux antérieurs en ligne fortement procurvée ?, subéquidis-
tants, les médians à peine plus rapprochés, d'environ ‘/s plus -
gros que les latéraux, séparés l’un de l’autre par un intervalle h
«
‘ Une ligne passant par le sommet des yeux latéraux antérieurs n'atteindrait |
pas la base des médians. ‘0
Hd
ARAIGNÉES 579
un peu plus petit que leur diamètre et des latéraux par un inter-
valle environ égal au diamètre des latéraux. Yeux postérieurs
subégaux ’, en ligne fortement recurvée, les médians séparés
l’un de l’autre par un intervalle excédant un peu leur diamètre et
des latéraux par un intervalle plus de 2 fois plus grand que leur
diamètre. Yeux médians des deux lignes subégaux, disposés
en trapèze un peu plus étroit en avant qu’en arrière ; ce trapèze
est, vu en dessus, aussi large en arrière que long; vu un peu
en avant, il est un peu plus long que large en arrière. Yeux la-
téraux postérieurs occupant un espace transverse plus large que
la ligne des yeux antérieurs. Yeux latéraux antérieurs et pos-
térieurs situés sur des tubercules bas, noirs.
Bandeau plan et vertical, 2 fois plus long que le diamètre des
yeux latéraux antérieurs. Marge inférieure des chélicères munie
de 2 dents, dont l’antérieure la plus petite.
Pattes dans l'ordre IV, I, IT, IT (les pattes I et IT étant subé-
gales)?.
Epigyne (sous l'alcool, fig. 13) en plaque noirâtre, plus large
que longue, largement arrondie en avant, rétrécie et obtusé-
ment triangulaire en arrière, marquée, sur la ligne médiane
longitudinale, de 2 traits parallèles contigus, divergeant en
avant, recourbés en dehors, puis en arrière, ensuite coudés
transversalement en dedans, se rejoignant presque sur la ligne
médiane de manière à former 2 boucles. Région postérieure de
la plaque ornée de 2 taches allongées, noires, obliques, réunies
en forme de V en arrière. Desséchée, la plaque de l'épigyne est
divisée transversalement en 2 régions par une fine carène
chitineuse, fauve-rouge,un peu recurvée: région antérieure un
peu bombée, région postérieure excavée et renfermant une
pièce bilobée noire *.
! Karscu décrit les yeux latéraux postérieurs de T. phylla comme un peu plus
gros que les médians et séparés de ces derniers par un intervalle environ égal
à leur diamètre, ce qui ne correspond pas à la figure qu'il en donne (p. 328).
? Les pattes de 7. phylla sont, d’après Karscs, dans l’ordre I, IT, IV, III.
3 A sec, l'épigyne présente une certaine ressemblance avec celui de Perene-
this venusta L. Koch. [Koca und KeyserLinc 1871-1890, P. I, pl. 85, fig. 7e =
T. unifasciata (Dol.).]
380 R. DE LESSERT
Longueur totale, 10"",5; longueur du céphalothorax, 4,2.
Pattes IV:= MF 0085;
g: Coloration comme chezla © ,aveclesprotarses des pattesnon
annelés. |
Pattes-mâchoires jaunes, à pubescence blanche. Tibia, vu
en dessus, plus long que large, avec le bord interne un peu
convexe, l’externe droit, prolongé en avant en longue apophyse
brun foncé, dirigée obliquement en avant, non accolée au tarse.
Cette apophyse est, vue en dessus (fig. 11), régulièrement at-
ténuée en avant, terminée en pointe fine, comprimée; vue du
côté externe (fig. 12), elle est presque droite, étroite, à côtés
parallèles, un peu dilatée à la base et obtusément tronquée à
l’extrémité. Vu du côté interne, le bord apical du tibia est muni,
à l'angle inférieur, d’une saillie obtuse, assez large, rétrécie à la
base. Tarse plus long que les 2 articles précédents, arrondi en
arrière, irrégulièrement atténué en avant presque dès la base, à
bords un peu sinueux, présentant une petite dilatation obtuse
versletiers basal, du côté externe. Rostre triangulaire, large, plus
court que le bulbe, plus de 2 fois plus court que le tarse. Bulbe
assez volumineux, débordant le tarse du côté externe (fig. 11),
muni de 3 apophyses principales. Vers le milieu, un processus
profondément échancré en avant et divisé en deux branches,
dont l'interne est jaune, translucide, arrondie en avant, et
l’externe est comprimée, dirigée obliquement du côté externe
et terminée en fin crochet noir (fig. 14). Du côté externe, le
bulbe présente un conducteur du stylus dirigé en avant, arqué
du côté interne, un peu dilaté et obliquement tronqué à l’extré-
mité, renfermant un stylus fin qui le dépasse de beaucoup et se
recourbe en arrière en forme de $S. Entre la base du conducteur
et le processus médian, une apophyse testacée, grêle, recourbée
perpendiculairement en bas à l'extrémité en crochet spiniforme,
arqué, noir.
Longueur totale, 10,7 à 13"",5; longueur du céphalothorax,
ann 2) |
Habitat: Ngare na nyuki (1 ©, I), Kibonoto, zone des cul-
tures (2 , Il). |
ET
nr
ARAIGNÉES 581
Genre Roraus Simon 1898.
L. Rothus aethiopicus (Pavesi) 1883.
(Fig. 15 à 18)
On peut, semble-t-il, rapporter à l'Ocyale aethiopica de Pavesi
(1883, p. 71), la forme décrite par Pocock (1902, p. 16), sous le
nom de Aothus lineatus, ainsi que les quelques exemplaires du
Kilimandjaro que je mentionne ici.
Comme Simox (1907, p.8) l’adéjà fait remarquer, Ocyale aethio-
pica Pavesi doit rentrer dans le genre Rothus, qui se distingue
du genre Pisaura (Ocyale) par ses yeux antérieurs en ligne
procurvée (les médians étant d’1/3 plus petits que les latéraux,
qui sont proéminents), ses yeux médians antérieurs 2 fois plus
petits que les postérieurs, son bandeau beaucoup moins long.
Nos exemplaires ne diffèrent en rien d’essentiel de la des-
cription de PAvesr, qui n’est malheureusement accompagnée
d'aucune figure ; l’'épigyne de la Q est du même typeque chez.
lineatus Pocock 1902, pl. 3, fig. 2, mais comme nous ignorons
la disposition des yeux de cette espèce et que sa taille est un peu
plus forte, la synonymie est encore un peu douteuse.
D’après les données de Srranp (1913, p. 419) sur la grandeur
relative, l’écartement des yeux antérieurs et la longueur du
bandeau de P. insula Strand, cette espèce doit être transférée au
genre Rothus. Il ne serait même pas impossible que P. insula,
1 Chez P. mirabilis (CI1.), type du genre Pisaura, les yeux antérieurs, subégaux,
sont en ligne droite. Yeux médians antérieurs un plus écartés l’un de l'autre que
des latéraux, séparés l’un de l’autre par un intervalle un peu plus petit que leur
diamètre et des latéraux par un intervalle à peine plus grand que leur rayon.
Yeux postérieurs en ligne fortement recurvée (plus petits que chez les Rothus),
subégaux, les médians séparés l’un de l’autre par un intervalle égal à leur dia-
mètre et des latéraux par un intervalle presque double. Aire des yeux médians
en trapèze plus étroit en avant qu'en arrière (mais non 2 fois); vu en dessus, ce
trapèze est beaucoup plus large en arrière que long; vu en avant, il est aussi
large en arrière que long (mais non plus long que large en arrière). Yeux mé-
dians antérieurs environ d’?/, plus petits que les postérieurs. Bandeau subver-
tical, 3 fois plus long que le diamètre des yeux latéraux antérieurs, un peu
plus court que l'aire des yeux médians.
Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 40
582 R. DE LESSERT
dont l’épigyne dessine «eine charakteristische brillenähnliche
Figur » puisse être considérée comme synonyme de À. aethio-
picus.
R. purpurissatus Simon 1898, p. 14, diffère de R. aethiopicus
par sa livrée et sa taille plus forte, mais il est apparemment très
voisin de cette espèce par la forme de l’épigyne.
® : Céphalothorax brun-noirâtre, coupé d'une bande médiane
longitudinaleassez étroite, d’un blanc jaunâtre, teintée de noirâtre
en avant, couverte de pubescence fauve-blanchâtre. Un peu
avant l'aire oculaire, 3 lignes longitudinales de pubescence
claire, dont la médiane droite et les 2 latérales arquées, se
rejoignant en avant pour former un fascicule de poils orangés
au niveau des yeux médians postérieurs. Ce fascicule est trian-
gulaire, et dirigé obliquement en avant. Des poils orangés autour
des yeux médians postérieurs. Sur le bandeau, 2 traits obliques
de pubescence blanchâtre des yeux latéraux antérieurs aux
angles inféro-externes du bandeau, et une tachette claire au bord
inférieur du bandeau, sous l’intervalle des yeux médians anté-
rieurs. Yeux situés sur des taches noires. Chélicères brunes,
teintées et tachées de noirâtre en avant. Pièces buccales brun-
noirâtre, éclaircies à l’extrémité. Sternum noirâtre, coupé
d’une bande longitudinale irrégulière claire, resserrée vers le
milieu, eflilée en arrière et accompagnée, de chaque côté, de 3
points clairs. Pattes tachées et teintées de noir. Hanches criblées
de points noirs en dessous. Abdomen entièrement recouvert en
dessus d’un folium noirâtre, entaillé, de chaque côté, dans le t/s
postérieur, d’une échancrure ovale, testacée. Folium vaguement
éclairci et brun-rougeâtre dans la région médiane longitudinale
et présentant en avant une étroite tache longitudinale brun-
rougeâtre. Région ventrale noirâtre, avec une bande médiane
longitudinale blanc-testacé, coupée de 2 lignes noiràtres rap-
prochées.
Yeux antérieurs en ligne nettement procurvée', les médians
1 Une ligne tangente au bord supérieur des yeux latéraux antérieurs passerait
par le centre des médians.
ARAIGNÉES 583
d’''; plus petits que les latéraux (qui sont proéminents), un
peu moins écartés l’un de l’autre que des latéraux, séparés l’un
de l’autre par un intervalle plus petit que leur diamètre et
des latéraux par un intervalle égal à leur diamètre. Yeux pos-
térieurs en ligne fortement recurvée, gros, subégaux, les
médians séparés l’un de l’autre par un intervalle un peu plus
grand que leur rayon et des latéraux par un intervalle environ
égal à leur diamètre. Aire des yeux médians en trapèze presque
2 fois plus étroit en avant qu’en arrière ; vu en dessus, ce tra-
pèze est beaucoup plus large en arrière que long; vu en avant,
il est un peu plus large en arrière
que long. Yeux médians antérieurs
2 fois plus petits que les posté-
rieurs. Bandeau subvertical, envi-
ron aussi long que le diamètre des
yeux latéraux antérieurs ?.
Tibias T munis de 4-4 épines en
dessous, protarses I de 3-3 épines Fic. 15.
en dessous. Rothus aethiopicus (Pavesi) Q.
Epigyne (fig. 15) en plaque brun- Fic. 15. — Epigyne.
rouge, environ 2 fois plus large
que longue, présentant au milieu une fossette assez profonde
en forme de U à branches longitudinales divergeant un peu en
avant. Rebord postérieur de la fossette mince, fortement dilaté
de chaque côté en lamelles piriformes?, déprimées au milieu
et limitées par un rebord extérieur noir en forme de C. Bord
antérieur de la fossette mal défini. En avant de la plaque de
l’'épigyne, une région noirâtre marquée de 2 taches testacées
écartées.
Longueur totale, 10"",5; longueur du céphalothorax, gum 5,
« : Pattes-mâchoires fauve testacé ou rougeàtre, variées de
noirâtre. Tibia environ de même longueur en dessus que la pa-
1 Chez le G', le bandeau est à peine plus court que le diamètre des yeux
latéraux antérieurs.
? Ces lamelles, reliées par le bord postérieur procurvé de la fossette forment
une figure «a guisa di occhialini inversi», comme l’a très bien observé PAvesr.
584 R. DE LESSERT
tella, à peine plus long que large au milieu, ses bords interne
et inférieur anguleux, son bord externe muni, dans la moitié
antérieure, d’une carène déprimée, élevée et tranchante, obli-
quement située. Cette carène, vue en dessus (fig. 18), est ar-
rondie à la base et soudée à l’article : elle est libre dans son 1/3
antérieur, légèrement resserrée, puis un peu dilatée et tron-
quée droit à l’extrémité; vue en-dessous et un peu du côté
Fic. 18.
Rothus aethiopicus (Pavesi) G.
Fic. 16. — Extrémité du stylus, du conducteur du stylus et de la lame apicale
du bulbe en dessous.
F1c. 17. — Apophyse externe du tibia vue en dessous et un peu du côté externe.
F1G. 18. — Patte-mâchoire gauche en dessus.
externe (fig. 17), son angle antéro-interne est arrondi, son angle …
antéro-externe prolongé en avant en petite pointe acérée recour- ;
bée en forme de griffe. Tarse plus long que tibia + patella, ovale
allongé, terminé en rostre triangulaire obtus, un peu plus court ,
que le bulbe. Bulbe situé obliquement et débordant les bords
externe et interne du tarse. Stylus naissant à l’angle basal
interne du bulbe, arqué en avant le long du bord antérieur, son
extrémité reposant sur un conducteur triangulaire obtus, trans-
lucide. Bord postérieur du conducteur recouvert par une lame
_
ARAIGNÉES 585
arquée, terminée en pointe aiguë, recourbée en forme de griffe,
limitant une petite échancrure externe (fig. 16).
Longueur totale, 10"*; longueur du céphalothorax, 4 à
uns.
Habitat: Kibonoto,zonedes cultures (1Q ,4', V, VIIL, IX, X).
R. aethiopicus est assez largement répandu en Afrique, son
habitat s'étendant de l'Erythrée (Pavesi) à la colonie du Cap
(Pococx.
Genre Cisprus Simon 1898.
1. Cispius (?) affinis n. sp.
(Fig. 19, 20).
Très voisin de C. simont de Lessert 1915, p. 52, pl. 3. fig. 88,
dont il diffère surtout par la ligne des yeux antérieurs à peine
procurvée, les yeux médians postérieurs un peu plus écartés et
la forme de lépigyne. |
® : Dessins et coloration du céphalothorax comme chez C.
simont. La bande médiane claire est fortement resserrée, en
forme de X, vers le milieu de la région céphalique et ses côtés
sont presque parallèles sur la région thoracique (fig. 19). Deux
petits traits noirâtres, parallèles, en arrière des yeux médians
postérieurs. Bandes submarginales thoraciques mal définies et
interrompues en avant. Yeux situés sur des taches noires.
Bandeau noirâtre, avec une petite tache claire au bord inférieur,
sous les yeux médians antérieurs, et2traits obliques des yeuxlaté-
raux antérieurs aux angles inféro-externes du bandeau. Chéli-
cères et pièces buccales teintées de noirâtre. Sternum noirûtre,
coupé longitudinalement d’une tache en fer de lance très res-
serrée en avant, fortement dilatée et anguleuse vers le milieu
de sa longueur, graduellement rétrécie en arrière. Pattes fauve-
olivâtre, tachées de noirâtre ; hanches criblées de points noirâ-
tres et ornées d’un anneau apical noirâtre ; trochanters variés de
noirâtre ; fémurs lachés et subannelés de noirâtre, criblés de
points noirâtres en dessous; patellas teintées de noirâtre en
dessous ; tibias et protarses munis d'un étroit anneau basal in-
rat , |
586 R. DE LESSERT
terrompu et d’un anneau apical plus large, noirâtres ; tarsesobs-
curcis à l’extrémité. Abdomen (fig. 19) presque entièrement
occupé en dessus par un folium noirâtre, limité par une étroite
bordure claire. Le folium est légèrement festonné dans la moitié
antérieure ; il est entaillé de chaque côté, dans la moitié posté-
rieure, d’une échancrure ovale, un peu oblique ; en arrière de
cette échancrure, le folium est subtriangulaire, un peu denti-
culé et atteint les filières. Le folium est coupé en avant d’une
bande médiane longitudinale mal définie, testacée, suivie en
Frc. 19. F1c. 20.
Cispius (?) affinis n. sp. ©.
F1G. 19. — Céphalothorax et abdomen en dessus.
Fic. 20. -— Epigyne.
arrière de 3 traits transversaux un peu recurvés, testacés. Flancs
noirâtres, tachetés de testacé. Région ventrale testacée, noirâtre
sur les bords, avec une bande médiane noirâtre coupée d’une
bande plus claire. Filièresnoirâtres. Parties claires destéguments
couvertes de poils plumeux, blancs. |
Yeux antérieurs en ligne à peine procurvée! (en ligne droite
par leurs bases), les médians à peine plus gros que les latéraux,
plus écartés l’un de l’autre que des latéraux, séparés l’un de
l’autre par un intervalle un peu plus petit que leur diamètre, et
? Chez C.simoni et chez le type du genre (C. variegatus Simon) la ligne anté-
rieure des yeux est à peinerecurvée.
re #-
RS
|
,
_
ARAIGNÉES 587
des latéraux par un intervalle égal à leur rayon. Yeux posté-
rieurs en ligne fortement recurvée, subégaux, les médians
séparés l’un de l’autre par un intervalle environ égal à
leur diamètre (un peu plus petit que leur diamètre chez C. simoni)
et des latéraux par un intervalle un peu plus grand (d'environ "/s).
Aire des yeux médians en trapèze plus étroit en avant qu’en ar-
rière ; vu en dessus, ce trapèze est beaucoup plus large en ar-
rière que long ; vu en avant, il est un peu plus large en arrière
que long. Yeux médians antérieurs et postérieurs subégaux (les
antérieurs sont un peu plus petits que les postérieurs chez C.
simoni). Bandeau subvertical, plus de 2 fois plus long que le
diamètre des yeux latéraux antérieurs, plus court que l'aire des
yeux médians.
Epigyne du même type que chez C. simoni, c’est-à-dire creusé
d’une fossette limitée par 2 rebords latéraux cintrés et un rebord
transversal antérieur. Chez C. simont de Lessert 1915, pl. 3,
fig. 88, le rebord antérieur de la fossette, divisé en 2 arcs trans-
versaux se rejoignant sur la ligne médiane, forme un angle
saillant à l’intérieur de la fossette, qui paraît semi-circulaire.
Chez C. affinis (fig. 20), Le rebord antérieur est presque droit, en
forme d'accolade ——, dont l'angle médian postérieur, peu
développé, n'avance qu’à peine à l’intérieur de la fossette, qui
est ovale transverse. La forme de la fossette varie du reste selon
l’angle sous lequel on la regarde; vue d’un peu en avant, elle
paraît plus rétrécieen arrière que vue normalement. Les rebords
latéraux ne se rejoignent pas en arrière sur la ligne médiane et
leurs extrémités postérieures sont séparées par une dépression
finement striée. Le fond de la fossette est occupé par une pièce
lisse et brillante, déprimée dans la région médiane postérieure
et présentant 2 lobes latéraux obliques, peuélevés, convergeant
en arrière.
Longueur totale, 6"",5; longueur du céphalothorax, 2"",7.
Habitat : Ngare na nyuki (2 ®, dont le type, XI).
Si C. simoni et affinis appartiennent réellement au genre
Cispius Simon (dont le type, C. variegatus, m'est inconnu en
nature), il semble douteux que ce dernier genre mérite d'être
588 R. DE LESSERT
séparé du genre Pisaura, dontilne se distinguerait guère que par
les caractères suivants: l’aire formée par les yeux médians est, vue
en avant, un peu plus large en arrière que longue chez le genre
Cispius, etaussi large en arrière que longue chez le genre Pisaura
{mais non plus longue que large comme l'indique Simon 1892-1903,
vol. 2, p. 294); les yeux antérieurs sont subégaux chez les Pi-
saura et, chez les Cispius, les médians sont un peu plus gros
que les latéraux.
Chez C. simoni les yeux présentent la disposition suivante :
Yeux antérieurs en ligne à peine recurvée (en ligne droite
par leurs sommets), les médians un peu plus gros que les laté-
raux, plus écartés l’un de l’autre que des latéraux, séparés l’un
de l’autre par un intervalle un peu plus petit que leur diamètre
(d'environ !/3)et des latéraux par un intervalle plus petitque leur
rayon. Yeux postérieurs en ligne fortement recurvée, subégaux,
les médians séparés l’un de l’autre par un intervalle un peu
plus petit que leur diamètre et des latéraux par un intervalle
un peu plus grand (d'environ ‘/1). Aire des yeux médians en tra-
pèze plus étroit en avant qu’en arrière; vu en dessus, ce tra-
pèze est beaucoup plus large en arrière que long; vu en avant,
il est un peu plus large en arrière que long. Yeux médians an-
térieurs un peu plus petits que les postérieurs. Bandeau sub-
vertical, plus de 2 fois plus long que le diamètre des yeux la-
téraux antérieurs, plus court que l’aire des yeux médians.
Genre Doromepes Latreille 1804.
1. Dolomedes smithi n. sp.
(Fig. 21 et 22)
g : Céphalothorax fauve clair, garni de petits crins noirs peu
serrés; une bande marginale de longue pubescence ! serrée,
très blanche (interrompue seulement en arrière au niveau de
l'abdomen), recouvrant en avant tout lebandeau. Quelques poils
? La pubescence des téguments est formée de poils simples.
ARAIGNÉES 589
blancs sur l’aire oculaire. Yeux situés sur des taches noires.
Chélicères, pièces buccales, sternum, pattes fauve-testacé. Pat-
tes-mâchoires fauve-testacé, garnies (comme les pattes) de crins
noirs ; pubescence du tarse fauve-blanchâtre; bulbe fauve-rou-
geâtre et testacé. Pubescence de l'abdomen ! brun-ferrugineux à
reflets dorés, abondamment mouchetée de blanc-argenté sur les
côtés. En avant, une bande médiane cunéiforme, rétrécie en
arrière, bordée de tachettes blanches se rejoignant en arrière
Fic. 21. Fic, 22.
Dolomedes smithi n. sp. c'.
Fi. 21. — Patte-mächoire gauche en dessous.
F1G. 22. — Patte-mächoire gauche du côté externe.
de la bande et formant une ligne interrompue atteignant presque
l'extrémité postérieure. Dans la moitié postérieure, 2 séries laté-
rales de points blancs. Flancs divisés en 2 régions par une étroite
bande longitudinale oblique, brune: la supérieure blanche,
mouchetée de brun, l’inférieure blanche. Région ventrale gri-
sâtre, à pubescence d’un blanc sale.
Céphalothorax arrondi, à peine plus long que large.
Yeux antérieurs en ligne presque droite, avec les médians
1 Sous l'alcool, l'abdomen est noir, avec une zone longitudinale testacée; la
tache cunéiforme antérieure est bordée de noir et prolongée en arrière en ligne
coupée de traits transversaux parallèles.
590 R. DE LESSERT
d’'}; plus gros que les latéraux, plus écartés l’un de l’autre que
des latéraux, séparés par un intervalle environ égal à leur dia-
mètre !. Yeux postérieursenlignenettementrecurvée, subégaux,
les médians un peu plus rapprochés l’un de l’autre (d'environ
1/6) que des latéraux, séparés par un intervalle excédant un peu
leur diamètre. Yeux latéraux postérieurs, situés sur des tuber-
cules obliques, peu élevés. Yeux médians disposés en trapèze
un peu plus étroit en avant qu'en arrière ; vu en dessus, ce tra-
pèze est plus large en arrière que long; vu un peu en avant, il
est aussi long que large en arrière. Yeux médians antérieurs un
peu plus petits que les postérieurs.
Bandeau légèrement proclive, 2 fois et ‘/2 plus long que les
yeux médians antérieurs.
Marge inférieure des chélicères munie de 4 dents.
Tibias I pourvus de 4-4 épines inférieures. Une épine de
chaque côté des patellas.
Patte-mâchoire : Fémur armé en dessus de 3 épines en série
longitudinale, de 2 épines antérieures rapprochées, d’une épine
interne et d'une épine externe subapicales. Patella environ 2 fois
plus longue que large, munie d’une épine interne et de 2 supé-
rieures, une subbasale et une apicale. Tibia pourvu d’une épine
de chaque côté en dessus et d’une épine interne. Tibia plus
long que la patella, légèrement élargi en avant, présentant en
dessous à l'extrémité, du côté externe, une touffe de crins obli-
ques et, au bord externe, près du bord supérieur, une apophyse
subapicale, dirigée en avant, divergeant un peu en dehors. Cette
apophyse, vue de profil (fig. 22), est assez large, subrectangulaire
à la base, avec l’angle apical inférieur droit, et muni d’un den-
ticule noir, l’angle apical supérieur prolongé en avanten appen-
cice grêle, légèrement sinueux, très faiblement resserré vers
le milieu, puis dilaté à l'extrémité qui est obtuse. Tarse un peu
moins long que les 2 articles précédents, ovale, terminé en rostre
subtriangulaire, obtus, moins long que le bulbe. Bord externe
1 La ligne des yeux antérieurs est nettement plus large que celle des médians
postérieurs.
150
*
ARAIGNÉES 591
du tarse (vu en dessus) presque droit, obliquement tronqué à la
base ! qui est prolongée en arrière en saillie obtusément trian-
gulaire. Le bulbe (fig. 21) présente comme chez D. fimbriatus
(CL) 3 apophyses principales: 1° une lame interne assez
large, arquée en avant, atténuée à l'extrémité, subaiguë ;
2° une apophyse longitudinale médiane, dirigée en avant,
sigmoide, creusée en gouttière à l'extrémité et recourbée du
côté externe, terminée en pointe noire, aiguë ; 3° un conducteur
du stylus, situé au bord antéro-externe du bulbe, assez grêle,
comprimé, recourbé en !/}2 cercle en arrière, renfermant inté-
rieurement à sa base un petit crochet (fig. 22).
Longueur totale, 7,2; longueur du céphalothorax, 3"",7;
nl 5nn:
Habitat : Kilema (1 G', type, VD.
Genre Voraprus Simon 1898.
1. Voraptus (?) extensus n. sp.
(Fig. 23 à 26)
Q : Céphalothorax (fig. 23) noirâtre, orné de 3 bandes longitu-
dinales jaunes: une médiane assez large, atteignant en avant
les yeux antérieurs (coupée d’une ligne longitudinale interrom-
pue, noirâtre) et 2 submarginales ramifiées et diffuses en avant.
Les dessins du céphalothorax sont beaucoup plus nets chez un
exemplaire subadulte, dont les 3 bandes sont parallèles et dontles
bandes submarginales, très étroites, se prolongent en avant
jusqu’au bandeau. Yeux situés sur des taches noires. Chélicères
jaunes, vaguement teintées de noirâtre en avant. Pièces buc-
cales jaunes. Sternum jaune, avec des tachettes marginales ef-
facées, noirâtres. Pattes-mâchoires et pattes très indistinctement
variées de noirâtre, marquées de tachettes noirâtres à la base
des épines. Abdomen gris-testacé, orné en dessus d’un folium
longitudinal plus foncé, légèrement festonné sur les bords et
! L'angle antérieur de la troncature est un peu saillant et obtus.
592 R. DE LESSERT
EA
éclaircisurla ligne médiane antérieure.Région ventralebrunûtre,
avec une zone médiane éclaircie, blanchâtre. Pubescence ! du cé-
phalothorax formée de poils à reflets dorés. Pubescence de l’ab-
domen très effacée, folium liséré de poils blancs. Région ven-
trale revêtue de poils fauve-blanchâtre.
Céphalothorax presque aussi large (2"",7) que long (3°), am-
plement arrondi de chaque côté, atténué et tronqué droit en
avant ; vu de profil, (fig. 26), il est presque plan en dessus, un
HIG-R20: Fic. 2%
Fre. 25.
Voraptus (?) extensus n. sp. ©.
F1c. 23. — Céphalothorax et abdomen en dessus.
Fic. 24. — Epigyne (sous l'alcool).
Fic. 25. — Aire oculaire vue en avant.
peu élevé en arrière ; face proclive, un peu convexe ; bandeau
subvertical, environ 2 fois plus long que les yeux médians an-
*
térieurs.
Yeux situés sur des tubercules bas, noirs. Yeux antérieurs
(fig. 25) en ligne à peine procurvée, les médians un peu plus.
gros que les latéraux, environ 2 fois plus écartés l’un de l’autre
que des latéraux, séparés par un intervalle environ double de
leur diamètre. Yeux postérieurs en ligne fortement recurvée,
! La pubescence des téguments est formée de poils simples (non plumeux).
ARAIGNÉES 593
occupant presque toute la largeur de la région céphalique, petits,
subégaux, très espacés. Yeux médians postérieurs un peu plus
écartés l'un de lautre (d’'/;) que des latéraux, séparés par un
intervalle environ 5 fois plus grand que leur diamètre. Yeux
médians postérieurs occupant un espace transverse égal à la ligne
des yeux antérieurs. Yeux médians disposés en trapèze très
rétréci en avant (presque 2 fois plus étroit en avant qu’en ar-
rière); vu en dessus, ce trapèze est 2 fois plus large en arrière
que long. Yeux médians sub-
égaux.
Chélicères bombées en
avant. leur marge inférieure
munie de 3 dents subégales,
rapprochées. Labium environ
; £ N
aussi long que large, tronqué
enavant,ne dépassant pas en Fic.. 26.
avant le milieu des lames. Voraptus (?) extensus n. sp. ©.
Sternum arrondi, aussi large Fic 26. — Céphalothorax de profil.
que long, terminé en arrière
en pointe très courte, non prolongée entre les hanches posté-
rieures. |
Pattes (dans l’ordre : I, IV, IT, IT), longues et gréles, diri-
gées longitudinalement, les pattes T plus de 3 fois plus longues
que le corps. Tibias [ munis de 4-4 épines en dessous ; tarses
arqués, mais non flexibles !.
Abdomen (fig. 23) allongé, obtusément tronqué en avant,
atténué en arrière, environ 2 fois plus long que large.
Epigyne (sous l'alcool, fig. 24) en plaque noirâtre, mal définie,
plus longue que large, légèrement dilatée en avant, marquée de
2 traits longitudinaux dessinant une figure fusiforme allongée.
Cette figure est très ellilée en avant, tronquée droit en arrière,
bordée de chaque côté, en arrière, de 2 taches noirâtres et ren-
ferme au milieu une sorte de gland allongé. A sec, l’épigyne
! Différant ainsi du type du genre Voraptus, V.tenellus (Simon), dont les tarses
sont filiformes et flexibles.
594 R. DE LESSERT
présente en arrière 2 lamelles séparées par un étroit canal,
légèrement élargi en avant. Ce canal est fermé dans la région
antérieure par une pièce longitudinale très effilée en avant et
divisant une dépression ovale.
Longueur totale, 6"",5; longueur du céphalothorax 3"" ; lon-
gœueur des pattes I, 21", des pattes IIT, 8°",5.
Habitat : Kibonoto, zone des cultures ( 1 ® ad. type, 1 @
subad., sans date).
_r :
CATALOGUE DES PISAURIDAE D'AFRIQUE
Famille Pisauridae.
Gen. CariperTa Simon 1898.
|. C. madagascartensis (Lenz) 1886.
Ocyale madagascariensis (S'Q). Lexz 1886, p. 402, pl. 10, fig. 8, 14;
1891, p. 171.
C. vittata. Simon 1892-1903, vol. 2, p. 295, note 1.
C. madagascariensis. SrraND 1915, p. 76.
Habitat : Madagascar (LENZ, Simon), Nossi-bé (LENZ, STRAND).
Gen. Cisprus Simon 1898.
l. C.(?) affints n. sp.
C. (?) affinis (Q ). ne Lessert 1916, p. 585, fig. 19, 20.
Habitat : Afr. or. all. (be LESSERT).
2. C. flavidus Simon 1909.
C. flavidus (Q). Srmox 1909, p. 388.
Habitat : Congo francais (Simon).
3. C. simoni de Lessert 1915.
C. simoni (Q ). ne Lesserr 1915, p. 52, pl. 3, fig. 88; 1916, p. 588.
Habitat : Ouganda (be LESSERT).
596 R. DE LESSERT
4. C. variegatus Simon 1898.
C. variegatus (Q). Simon 1898, p. 19.
Habitat : Cabinda (Landana ) (SImoN).
Gen. Crapycenis Simon 1898.
1. C. (?) angusta Thorell 1899.
C. (?) angusta {Q). Taorezz 1899, p. 82.
Habitat : Cameroun (THORELL).
2. C. insignis (Lucas) 1839.
Dolomedes insignis (Q). Lucas 1839, p.33, pl. 6, fig. 12.
Habitat : Iles Canaries (Lucas).
Gen. Doromepes Latreille 1804.
1. D. acteon Pocock 1903 !.
D. acteon (9). Pococx 1903, p. 260.
Habitat : Cameroun (Pococx).
2. D. batesi Pocock 1903.
D. Batesii (Q). Pococx 1903, p. 261.
Habitat : Cameroun (Pococx).
3. D. fernandensis Simon 1909.
D. fernandensis (@). Simon 1909, p. 389.
Habitat : Ile Fernando Poo (Srmon).
1 Dolomedes agelenoides. WaLckenarr et Gervais 1837-47, vol. 2, p. 454;
Lucas 1846, p. 131, pl. 4, fig. 9 — Agelena agelenoides (Walck.) 1837.
CORRE 7 Es Fa
ARAIGNÉES 597
4. D, lomensis Strand 1906.
D. lomensis (Q subad.). Srraxp 1906, p. 90.
Habitat : Togo (Lome) (SrTranp).
». D. macrops Simon 1906 .
D. macrops (Q juv.). Simon 1906, p. 1170; 1907, p. 8.
Habitat : Soudan anglo-égyptien (Nil blanc) (Simon).
6. D. palpiger Pocock 1903.
D. palpiger |Q). Pococx 1903, p. 262.
Habitat : Cameroun (Pococx).
7. D. saccalavus Strand 1907.
D. saccalavus (Q subad.). SrranD 1907?, p. 742; 1907-08, p. 150.
Habitat : Nossi-bé (SrrAND).
8. D). smithi n. sp.
D. smithi (5). ne Lesserr 1916, p. 588, fig. 21, 22.
Habitat : Kilimandjaro (ne LESSERT).
9. D). transfuga Pocock 1899.
D. transfuga (S ad., Q juv.). Pococx 1899, p. 869, pl. 57, fig. 24.
Habitat : Guinée espagnole (Pococx).
Gen. EuprosrnenoPs Pocock 1897.
1. £. annulipes Strand 1913.
E. annulipes (& subad.). SrraxD 1913, p. 416.
Habitat : Congo oriental (Srran»).
? Dolomedes ocreatus. C. L. Kocu 1841, p. 211, pl. 10 — Zoropsis spinimanus
{L. Dufour). — Dolomedes Dufourii. Warckenarr et Gervais 1837-47, vol 2, p.
455 en est peut-être synonyme.
Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. &1
598 R. DE LESSERT
SR D RUES Strand 1913.
E. armatus (G @). SrraND 1913, p. 417; De Lesserr 1916, p. 569,
Sos, 0! |
Habitat : Afr. or. angl. et all. (STRAND, DE LESSERT).
3. Æ. australis Simon 1898.
(2) Podophthalma Bayaoniana. !:Karscx 1878, p. 326, pl. 2, fig. 8;
Pavest 1881, p. 553.
E. australis (Q). Simon 1898, p. 12 ; 1910*. p. 206 ; Pococx 1898, p.
312: 18981 p.215: 1898; n:1498: |
E. prospiciens (SG). CamsrioGE O. P. 1907, p. 827, pl. 50, fig. 38 à 40.
Habitat : Lac Tanganyika, Plateau Nyika, lac Nyassa (Pococx),
Mozambique (Inhambane) (Karscn, Pavest), Mashonaland, Trans-
vaal, Natal (CamBrinGE, Pococx), Bechuanaland, Griqualand
(SIMON).
Espèce répandue dans toute l’Afrique australe où elle rem-
place l'E. bayaonianus de l’Afrique intertropicale.
4. E. bayaonianus (de Brito Capello) 1867.
Podophthalma bayonianna (Q). Brrro Carezo (de) 1867, p. 13, pl.2,
fig. 1; Simon 1876, p. 14; 1884, p. 7; 1887, p. 264; 1891, p. 299;
Karscx 1879, p. 344; Pavest 1883, p. 77 ; 1883*, p.497 ; 1897, p. 178.
-(?) Podophthalma spec. Kocu L. 1875, p. 36, pl. 4, fig. 3.
(?) Podophthalma affinitata.* CamsriGe O. P. 1877, p. 569.
Euprosthenops bayaonianus (5). Simon 1892-1903, vol. 2, p. 286,
fig. 299A ; 1904, p. 443 ; 1909,p. 387; SrranD 1968*, p. 104 ; (?) FLower
1900, p. 973.
Habitat : Guinée portugaise, Côte d'Ivoire, Cameroun, Con-
go belge (Stanley Pool, Kinshassa, rives de l’Ouellé) (Simon),
Cabinda (Landana, Chinchoxo) (KarscH, Simox), Angola (de Briro
1 Pococx 1898P , p. 438, présume que les formes citées sous le nom de P,
Bayaoniana par Karscu 1878 et Paves: 1881 se rapportent en réalité à £. australis:
? Décrit sur un exemplaire incomplet ; synonymie douteuse.
1
no
EPORNTrTE
a
+ à OT
ARAIGNÉES 599
CaPELLO, ? CAMBRIDGE), Soudan anglo-égyptien (? FLoweRr, Simon),
Erythrée (? L. Kocu), Ethiopie (Pavesr),
E. bayaonianus (?) var. pedatus.* Srran 1913, p. 414.
Habitat : Afr. or. all., lac Kivou (Srraxp).
5. E. hilaris (O0. P. Cambridge) 1877.
Podophthalma hilaris (Q subad.). Camsr1nGE O. P. 1877, p.569, pl.
57, fig. 7; Simon 1892-1903, vol. 2, p. 288.
Habitat: Ethiopie, Afr.or.(Simox), Madagascar (CAMBRIDGE).
6. £. proximus n. sp.
E. proximus (G'). ne Lesserr 1916, p. 565, fig. 1-4.
Habitat : Kilimandjaro (pe LESSERT).
7. E. pulchellus Pocock 1902.
E. pulchellus (Q). Pococx 1902, p. 18, pl. 3, fig. 6.
Habitat : Colonie du Cap (Pococx).
Gen. HycroPopa Thorell 1894.
1. 4. africana Simon 1898.
H. africana (S Q). Simon 1898, p. 21.
Habitat : Sierra Leone, Congo français (Srmox).
2. H. borbonica (Vinson) 1863.
Dolomedes Borbonicus (S'). Vinsox 1863, p. 25, 299, pl. 12, fig. 1.
Hygropoda borbonica. Simox 1892-1903, vol. 2, p. 305, fig. 322, 323
G. H.
Habitat : Ile de la Réunion (VINSsON) ?.
! Sans doute un lapsus pour pedata. |
? Dans sa faune de l'Ile Aldabra, Vorcrzxow 1902, p. 547, 563 signale Do-
lomedes borbonicus (Vins.) et Peucetia lucasi (Vins.) qu’il rattache tous deux à
la famille des Lycosidae, et qu'il qualifie de cosmopolites. Ces deux erreurs
nous déterminent à n’en pas tenir compte ici.
600 R. DE LESSERT
3. À. madagascarica Strand 1907.
H. madagascarica (Q). SrranD 1907°, p. 742 ; 1907-08, p. 152.
Habitat : Nossi-bé (SrrAnp).
Gen. HyPpsrrayzza Simon 1903.
1. 1. linearis Simon 1903.
H. linearis (Q juv.). Simon 1903, p. 38.
Habitat : Madagascar (SImoN,.
Gen. Iscnarea L. Kocx 1872.
1. J. (?) incerta (O0. P. Cambridge) 1877 1.
Podophthalma incerta (Q subad.). CamBrinGe O. P. 1877, p. 570, pl.
57, fig. 8.
Habitat : Madagascar (CAMBRIDGE).
2. I. longiceps Simon 1897.
I. longiceps (Q). Simon 1897, p. 281.
Habitat : Ile Maurice (Simon).
Gen. Maypacrus Simon 1898.
1. M. bilineatus (Pavesi) 1895.
Tetragonophthalma bilineata (Q). Pavesr 1895, p. 524; 1897, p. 178;
Simon 18974, p. 390 ; SrranD 1908, p. 47, pl. 2, fig. 16.
Tetragonophthalma Stuhlmanni. Büsexsere und Lez 1894, p. 37,
pl. 2, fig. 19; Pococx 1898°, p. 518.
Maypacius vittiger. Simox 1898, p. 13.
Maypacius bilineatus. Simox 1906, p. 11694
Habitat : Ethiopie (Pavesr, Simon, Srranp), Afr. centr., Ou-
ganda (Simox), Afr. or. angl. (Pococx), Zanzibar (BôsENBERG und
LEnz), Madagascar (Simon).
! D'après Simon 1892-1903, vol. 2, p. 288, il faut peut-être rapporter Podoph-
thalma incerta Cambridge au genre Zschalea.
ARAIGNÉES 601
Gen. Nizus O, P. Cambridge 1876.
1. V. camerunensis (Thorell) 1899.
Charminus camerunensis (S Q). Taorezz 1899, p. 83.
Habitat : Cameroun (THORELL).
2. N. curtus O. P. Cambridge 1876.
N. curtus (Q subad.). CauBrinGE O. P. 1876, p. 596, pl. 60, fig. 13;
CamrinGE F. O. P. 1898, p. 31.
Habitat : Egypte (CAMBRIDGE).
3. NW. oblongus Pavesi 1897.
N. oblongus (Q subad.). Pavesr 1897, p. 177.
Habitat : Ethiopie (Pavesi).
4. N. pictus (Simon) 1888.
Tallonia picta (Q juv.). Simon 1888, p. 223.
Habitat : Nossi-bé (Simon).
5. N. sparassiformis Strand 1907,
N. sparassiformis (Q). Srrano 1907, p. 741 ; 1907-08, p. 143 ; 1915,
p- 76. |
Habitat : Nossi-bé (SrrAND).
Gen. PHALAEA Simon 1898.
1. P. aculeata Strand 1906.
P. aculeata (Q). Srrann 1906, p. 86.
Habitat : Cameroun (STRAND).
9. P. canescens Simon 1898.
P. canescens (Q). Simon 1898, p. 14 ; 1909, p. 387.
Habitat : Guinée portugaise, Congo (Srmox).
602 R. DE LESSERT
3. P. crassa Thorell 1899.
P. crassa (o). THorELL 1899, p. 80.
Habitat : Cameroun (THORELL).
4. P. ferox Pocock 1899.
P. ferox {Q). Pocock 1899, p. 863, pl. 55, fig. 6, 6a.
Habitat : Afr. occ. trop. (sans indication de localité) (Pococx)
rep: margtnata Strand 1907.
P. marginata (S subad.). Srrann 1907, p. 183.
-
Habitat : Cameroun (Srranp).
6. P. thomensis Simon 1909.
P. thomensis (Q). Simon 1909, p. 388.
Habitat : Ile S. Thomé (Simon).
7. P. vulpina Simon 1898.
P. pulpina (5 @). Simox 1898, p. 14.
Habitat : Congo (Simon).
Gen. Pisaura Simon 1885.
1. P. conspersa (Karsch) 18791.
_ Ocyale conspersa (Q). Karscn 1879*, p. 831.
Habitat : Congo français (Loango) (Karscu).
! La description d' Ocyale conspersa est tout à fait insuffisante, l'auteur n'y
faisant mention ni de la disposition oculaire, ni de l’épigyne.
Il faut citer ici une espèce de Syrie et de Palestine, Dolomedes consocius
(SG Q) Camsripce O. P.1872, p. 320 — Ocyale consocia Kuzczynski 1911, p. 48,
pl..2, fig. 57, 59. — Selon Kuzezywsktr, loc. cit, Ocyale atalanta Aupouin
1825, p. 150, pl. 4, fig. 10 ; 1827, p. 374, de Syrie, serait voisin de P. mirabilis
(CI.) ou de P. consocia (Cb.) et la désignation générique de Pisaura devrait
être remplacée par celle, plus ancienne, d'Ocyale.
n
ET PO TN POP TEE
Lu? à
ARAIGNÉES 603
2. P. ducis Strand 1913.
P. ducis (Q). SrranD 1913, p. 419.
Habitat : Afr. or. all., Lac Kivou (Srranp).
3. P. mtrabilis (Clerck) 1757 !.
Philodromus quadrilineatus. Lucas 1839, p. 34, pl. 6, fig. 11.
Dolomedes mirabilis. Lucas 1846, p. 130.
Ocyale mirabilis. Bück 1861, p. 389; Pavesr 1873, p. 181; 1880,
p. 376; 1884, p. 453; Simon 1883, p. 262, 286 ;,1885, p. 6; 1886, p.511
WarBurTON 1892, p. 219; BôsENBERG 1895, p. 7.
Pisaura mirabilis. Simox 1889, p. 301; 1889*, p. 305 ; 1897°, p. 112;
1908, p. 54.
Pisaura rufofasciata. Srrano 1908*, p. 107 ; 1911, p. 195.
Habitat : Iles Açores(Srmox), Ile Madère (Bôcx, WARBURTON,
Simox)?, Iles Canaries(Lucas, SIMON, BüSENBERG, STRAND), Algérie
(Lucas), Tunisie (PAVES1, SIMON).
P. mirabilis var. maderiana (& Qj. Scamrrz 1895, p. 197; KuLc-
zyNsKi 1899, p. 422, pl. 9, fig. 116, 123.
P. rufofasciata maderiana. SrranD 1915, p. 38.
Habitat : Iles Porto Santo et Madère (Scamirz, KuLczYNsKi),
Iles Canaries (STRAND).
4. P. rothiformis Strand 1908.
P. rothiformis (&). S'rranp 1908, p. 278.
Habitat : Cameroun (SrrAND).
. P. rothiformis var. orientalis (). Srrann 1913, p. 420.
Habitat:Congo or. (Lac Albert-Edouard, Ruwenzori)(STRAND).
| 5. P. valida Simon 18863.
P. valida (Q). Simox 1886*, p. 354 ; 1909, p. 388.
Habitat : Sénégal (Dakar), Guinée portugaise (SrmMox).
1 Cf. Kuzczynskr 1899, pl. 9, fig. 115, 117.
2? (?) var. maderiana Kulez.
8 Peut-être synonyme de P. conspersa (Karsch), d'après Simon 1892-1903,
vol. 2, p. 289.
604 R. DE LESSERT
Gen. Roraus Simon 1898.
1. À. aethiopicus (Pavesi) 1883.
Ocyale aethiopica (S Q@). Paves: 1883, p. 71 ; 1883*, pp. 497, 499.
(?) Rothus lineatus. Pocock 1902, p. 16, pl. 3, fig. 2.
Rothus aethiopicus (G subad.). Srranp 1908, p. 47 ; DE Lesserr 1916,
p. 581, fig. 15 à 18.
(2) Pisaura insula. Srranp 1913, p. 418.
Habitat : Erythrée (Keren) (Pavest), Ethiopie, (?) Ouganda,
Afr. or. all. (Srranp), Kilimandijaro (pe LesserT), (?) Colonie du
Cap (Pococx).
2. R. atlanticus Simon 1898.
R. atlanticus (Q juv.). Simon 1898, p. 14; (?) Srranp 1908, p. 47.
Habitat: Algérie, Tunisie (Simon), (?) Ethiopie (STrAND).
3. À. auratus Pocock 1900.
R. auratus (@). Pococx 1900, p. 326; 1902, pl. 3, fig. 3.
Habitat : Petit Namaqualand (Pococx).
4. R. catenulatus Simon 1898.
R. catenulatus (Q). Simon 1898, p. 15 ; (?) Srranp 1908, p. 107.
Habitat:(?) Ethiopie (Srranp), Griqualand (Kimberley) (Srmox).
4
5. R. obscurus Strand 1907.
R. obscurus (Q ad., G subad.). S'rranD 1907*, p. 545 ; 1907°, p. 698.
Habitat : Colonie du Cap (STRAND). |
6. À. purpurissatus Simon 1898.
R. purpurissatus (Q). Simon 1898, p. 14; (?) Simon 1907, p. 8. |
Habitat : (?) Soudan anglo-égyptien, Erythrée(Keren)(SImoN). …
ARAIGNÉES 605.
7. À. vittatus Simon 1898.
R. vittatus (Q). Simon 1898, p. 15; Pococx 1902, pp. 16, 17.
Habitat : Colonie du Cap (Simon, Pococx).
Gen. SPENCERELLA Pocock 1898.
L. S. lineata Pocock 1898.
S. lineata (5). Pococx 1898*, p. 215, pl. 8, fig. 17; (Q) pe LesserrT
1916, p. 572, fig. 7 à 10.
Habitat : Kilimandjaro (pe Lesserr), Natal (Pocock).
S. lineata var. sexmaculata (Q). ve LessertT 1916, p. 575.
Habitat : Kilimandjaro (bE LESSERT).
2. S. signata Pocock 1902.
S. signata (9). Pococx 1902, p. 17, pl. 3, fig. 4.
Habitat : Colonie du Cap (Pocoex).
Gen. TapiNoTHELE Simon 1898.
1. T. astuta Simon 1898.
T. astuta(Q). Simon 1892-1903, vol. 2, p. 313, note 1.
Habitat : Zanzibar (Simon).
Gen. TAPINOTHELELLA Strand 1909.
1. 7. laboriosa Strand 1909.
T. laboriosa (juv.). Srranp 1909, p. 586.
Habitat : Colonie du Cap (SrranD).
606 R. DE LESSERT
Gen. TETRAGONOPHTHALMA Karsch 1878.
1. T. brevipes Strand 1906.
T. brevipes (Q subad.). Srranp 1906, p. 685 ; 1908, p. 45, pl. 2, fig. 11.
Habitat : Ethiopie (Srranp).
2. T. phylla Karsch 1878.
T. phylla (Q ? ad.). Karsox 1878°, p. 329, pl. 9, fig. 4.
Habitat : Côte de l’Or (Accra) (KarscH).
3. T.(?) simoni n. nom.
T. phylla (5). Simox 1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 300 B.
T. simoni (S Q). »e Lesserr 1916, p. 577, fig. 11 à 14.
Habitat : Kilimandjaro (ne LESSERT).
Gen. THarassius Simon 1885.
1. T. albocinctus (Doleschal 1859)".
(?) T. albocinctus (Q). Taorezz 1899, p. 82 ; (c') Simon 1892-1903,
vol. 2, p. 298, fig. 307, 308 D, E.
Habitat : (?) Cameroun (THORELL).
2. T. araneoides Strand 1913.
T. araneoides (Q juv.). Srranp 1913, p. 423.
Habitat : Congo or. (lac Albert-Edouard, Ruwenzori) (SrRAND).
3. T. auratus Pocock 1899.
T. auratus (Q). Pocock 1899, p. 866, pl. 57, fig. 20.
Habitat : Guinée espagnole (PococKk).
lin: Verh. nat. Ver. Nederl. Ind., Bd. 5, p. 9, pl. 15, fig. 4. 1859, d'après
THoreLz 1895, p. 227.
Selon Kuzczynskr 1901,p. 51, note, les Ctenus pallidus L. Koch 1875, p. 84,
pl. 7, fig. 7 et torvus Pavesi 1883, p. 74, ne sont pas des Thalassius, comme
certains auteurs l’ont prétendu.
ARAIGNÉES . 607
4. T. batesi Pocock 1899.
T. batesi (Q). Pococx 1899, p. 867.
Habitat : Guinée espagnole (Pococx).
5. T. bukobensis Strand 191%.
T. bukobensis (Q). Srranp 1913, p. 421.
Habitat: Afr. or. all. (Srranp).
6. T°. fimbriatus (Walckenaer) 1837 !.
Ctenus fimbriatus (Q). Warckewaer et Gervais 1837-47, vol. 1.
p. 364; CauBriDGE F. O. P. 1898, p. 15.
Thalassius fimbriatus. Simon 1892-1903, vol. 2, p. 298, fig. 306 C.
Habitat : Colonie du Cap ( WALCKkENAER).
7. T. formosus Pocock 1899.
T. formosus (Q subad.). Pocock 1899, p. 865, pl. 57, fig. 19.
Habitat : Guinée espagnole (Pococxk).
8. T°. fulvus Kulezynski 1901.
T. fulous (9). Kuzczynskr 1901, pp. 3, 50, pl. 2, fig. 48.
Habitat : Erythrée (Ghinda) (Kurcezynsxr).
9. T. guineensis (Lucas) 1858.
Olios guineensis (&). Lucas 1858, p. 405, pl. 13, fig. 6.
T. guineensis (SG Q). Pocock 1899, p. 864, pl. 57, fig. 18.
(2) T. rubromaculatus (Q)?. Taorecz 1899, p. 81.
Habitat : (?} Cameroun (THoreLL), Guinée espagnole (Pococx),
Gabon (Lucas).
1 Simon 1892-1903, vol. 2, p. 299 mentionne 7. ferox de l'Afrique occiden-
tale ; j'ignore où cette espèce a été décrite.
2 T. rubromaculatus Thorell est sans doute synonyme de Olios guineensis
Lucas, au moins de l’espèce que Pococx 1899, p. 864, décrit sous ce nom
(Simon 19032, p. 106).
608 R. DE LESSERT
10. T. ienornatus Pocock 1899.
T. inornatus (Q). Pococx 1899, p. 865.
Habitat : Guinée espagnole (Pococx).
11. T. insignis Pocock 1899.
T. insignis (Q). Pococx 1899, p. 868, pl. 57, fig. 23, 23a; Simon
19032, p. 106.
Habitat : Guinée espagnole (Pococx, SImox).
1227/ye0Strand 1907;
T. leo (Q subad.). Srraxp 1907?, p. 741; 1907-08, p. 145.
Habitat : Nossi-bé (STRAND).
13. T. leonensis Pocock 1899.
T. spenceri (ad. part.). CamsrinGE F. O. P. 1898, p. 30*.
T. leonensis (9). Pocock 1899, p. 867, pl. 57, fig. 21; Simon 1903,
p- 106; 1909, p. 390 ; S'rranp 1907°, p. 701.
Habitat : Sierra Leone (CaMBRIDGE, Pocock, Simon), Guinée
espagnole, Congo français, Ile do Principe (Srmow), Afr. or. all.
(STRAND).
14. T. leucostictus Pocock 1899.
T. leucostictus (Q subad.). Pococx 1899, p. 866. }
Habitat : Guinée espagnole (Pococx).
15. T. majungensis Strand 1907.
T. majungensis (Q). SrranD 1907, p. 741; 1907-08, p. 148.
Habitat : Madagascar (SrrAND).
F. O. P. Camsripce a décrit, sous le nom de T. spenceri, deux espèces de
Thalassius ; l'une, originaire du Cap, est le type de T. spenceri F. O.P.Cam-
bridge, l’autre de Sierra Leone, doit porter le nom de 7. leonensis Pocock.
ARAIGNÉES 609
16. T. margaritatus Pocock 1898.
T. margaritatus (Q). Pococx 1898°, p. 518, pl. 41, fig.8; (x) Srranp
1908*, p. 108, pl. 2, fig. 1a.
Habitat : Ethiopie (Srraxp), Afr. or. angl. (Pococx).
17. T. massajae (Pavesi) 1883".
Dolomedes Massajae (Q)- Pavesr 1883, p. 69 ; 1883?, p. 499.
Habitat : Choa (Pavesr).
18. 7. pictus Simon 1898.
T. pictus (Q juv.). Simon 1898, p. 17; (?) Srranp 1906, p. 88.
Habitat: (?) Togo (Lome) (Srranp), Congo français (Ogoué)
(SIMON). |
19. 7. schubotzi Strand 1913.
T. Schubotzi (Q). SrranD 1913, p. 421.
Habitat : Congo or., Ouganda (lac Albert) (Srranp).
20. T. spencert F. O. P. Cambridge 1898.
T. spenceri (ad. part.) ? (Q). Causrince F. O. P. 1898, p. 29, pl. 4,
fig. 1 a, b, 8.
Habitat : Colonie du Cap (CamMBRIDGE).
21. T. spinosissimus (Karsch) 1879.
Ctenus spinosissimus (Q). Karscn 1879, p. 345, fig. 1.
Thalassius spinosissimus. Simon 1891, p. 299 ; Camsrince F. O. P.
1898, p. 17.
Habitat: Cabinda(Chinchoxo) (Karsca), Congo belge (Stanley
Pool, Kinshassa) (Simon).
7 SrrAnDp 1907c, p. 701, rapporte D. Massajae Pavesi au genre Thalassius.
? L’exemplaire cité par CamBrincr de Sierra Leone — T. leonensis Poc., cf.
p- 608, note 1. Il n'est pas impossible, d'après CamBr1DGE, que T. spenceri soit
synonyme de T. fimbriatus (Walck).
610 R. DE LESSERT
99, T. radiatolineatus Strand 1906.
T. radiato-lineatus (Q). SrranD 1906*, p. 671; 1908*, p. 111, pl. 2,
fig. 2a.
Habitat : Ethiopie (Simon).
23. T. regalis Pocock 1899.
T. regalis (Q). Pococx 1899, p. 868, pl. 52, fig. 22.
Habitat : Guinée espagnole (Pococx).
24. T. rossi Pocock 1902.
T, Rossit}(Q). Pococx 1902;-p. 45° pl:3, fi. "1.
Habitat : Natal (Pococx).
25. T. ruwenzoricus Strand 1913.
T. ruwenzoricus (Q). SrranD 1913, p. 420.
Habitat : Congo or.(lac Albert-Edouard, Ruwenzori)(SrRAND).
26. 7. unicolor Simon 1897.
T. unicolor (Q). Simon 18974, p. 389 ; CamBriDGE F. O. P. 1898, p.29,
pl: 4% fig:2.
Habitat : Ethiopie (Simon).
Gen. Voraprus Simon 1898.
1. V. aerius Simon 1698.
V. aerius (c'). Simon 1898, p. 23.
Habitat : Cabinda (Landana) (SrmoN).
2. V.(?) extensus n. sp.
V.(?) extensus (Q). ne Lesserr 1916, p. 591, fig. 23 à 26.
Habitat : Kilimandjaro (ne LESSERT).
ARAIGNÉES 611
3. V. tenellus (Simon) 18931.
Dendrolycosa tenella (3 @). Simon 1893, p. 208.
Voraptus tenellus. Simon 1897°, p. 385 ; Hirsr 1911, p. 382.
Habitat : Iles Séchelles (Simon, Hirsr).
Espèces incertaines.
Aranea virescens. Poirer 1789, p.345 [?— Dolomedes fimbriatus (C1.)]
Chiasmopes comatus. PAvEst 1883, p. 79 ; 1883*, p. 499 ?.
Dolomedes hyppomene. Aupouix 1825, p. 148, pl. 4, fig. 9; 1827,
p. 371.
Dolomedes sp. Srrann 1913, p. 424.
Euprosthenops sp. SrranD 1915, p. 76.
Tetragonophthalma phylla. Pococx 1899, p. 862 = Phalaea sp. (cf.
pr LesserT 1916, p. 576).
Thalassius sp. SrraxD 1913, p. 422 ; 1915, p. 75.
! Il faut aussi rapporter (d'après Simon 1892-1903, vol. 2, p. 311, note 2)au
genre Voraptus le Dolomedes exilipes (Q) de Lucas 1858, p. 385, pl. 12, fig. 1,
que Pococx 1899, p. 862, a considéré comme synonyme (?)de Tetragonophthalma
phylla Karsch.
? Le genre Chiasmopes Pavesi 1883, p. 77, fondé sur deux individus imma-
tures du Choa doit être voisin du genre Euprosthenops (Cf. Simon 1892-1903,
“vol. 2, p. 297).
1825.
1827.
1861.
1895.
1894.
4867.
1872.
1876.
R. DE LESSERT
INDEX BIBLIOGRAPHIQUE
Aupouix, V. Explication sommaire des Planches d'Arachnides
de l'Egypte et de la Syrie, publiées par Jules-César Savigny,
membre de l'Institut; offrant un exposé des caractères natu-
rels des genres, avec la distinction des espèces. Ex : Descrip-
tion de l'Egypte ou Recueil des observations et des recherches
qui ont été faites en Egypte pendant l'expédition de l’armée
française, publié par les ordres de Sa Majesté l'Empereur
Napoléon le Grand. Histoire naturelle, vol. 1, pp. 99-186,
pl. 1-9. Paris, 4° avec atlas f° (1809).
— Id., 2% éd., vol. 22, pp. 291-436. Paris, &.
Bücx, G. Vorläufige Uebersicht der während der Reise der k. k.
Fregatte Novara von den Herren Naturforschern gesammelten
Spinnen. Verh.k.k.z0ol.-bot. Ges. Wien, Bd.11, pp. 387-390.
BôüsenserG, W. Beitrag zur Kenntnis der Arachniden-Fauna
von Madeira und den Canarischen Inseln. Abh. naturw.
Ver. Hamburg, Bd. 13, pp. 1-13, 1 pl.
BôsexserG, W. und Lenz, H. Ostafrikanische Spinnen, gesam-
melt von Herrn Dr. F. Stuhlmann in den Jahren 1888 und
1889. Mitt. naturh. Mus. Hamburg (Beïheft Jahrb. Hamb.
wiss. Anst.), Jhg. 12 (1895), pp. 25-51, pl. 1-2
Briro CareLLo (de), F. Descripcäo de algumas pe: nosas
ou pouco conhecidas de crustaceos e arachnidios de Portugal
e possessôes portuguezas do ultramar. Mem. Acad. Real Sc.
Lisboa, CI. Sc. math., phys. e nat. {n.s.), vol. 4, P. 1, pp. 1-17,
pltet-2.
CamBriGE, O. P. General List of the Spiders of Palestine and
Syria, with Descriptions of numerous new Species and Cha-
racters of two new Genera. Proc. zool. Soc. London, 1872,
pp. 212-354, pl. 13-16.
— Catalogue of a Collection of Spiders made in Egypt, with
Descriptions of rew Species and Characters of a new Genus.
Proc. zool. Soc. London, 1876, pp. 541-630, pl. 58-60.
ARAIGNÉES 613
1877. CamsrinGe, O. P. On some new Species of Araneidea, with
Characters of two new Genera, and some Remarks on the
Families Podopthalmides and Dinopides. Proc. zool. Soc.
1907. — On some New and Little-known Araneidea. Proc. zool. Soc.
London, 1907, pp. 817-829, pl. 50.
1898. CausrinGE, F. O0. P. On the Cteniform Spiders of Africa, Arabia
and Syria. Proc. zool. Soc. London, 1898, pp. 13-32, pl.3 et 4.
1900. Frower, S. S. Arachnids (XI). Ex: Notes on the Fauna of the
White Nile and its Tributaries. Proc. zool. Soc. London,
1900, p. 973.
1911. Hinsr, S. The Araneæ, Opiliones and Pseudoscorpions. Ex :
The Percy Sladen Trust Expedition to the Indian Ocean in
1905 under the leadership of Mr J. Stanley Gardiner, vol. 3,
IV° 18. Trans. Linn. Soc. London (2), Zool., vol. 14, P. 3,
pp. 379-395, 11 fig.
1878. Karscu, F. Uebersicht der von thm (Herrn W. Peters)in Mossam-
bique gesammelten Arachniden. Monatsber. k. Akad. Wiss.
Berlin, 1878, pp. 314-338, pl. 1, 2.
1878*. — Éxotisch-araneologisches. ZLeitsch. ges. Naturw. (3), Bd. 3
[51], pp- 322-333, pl. 9.
1879. — Westafrikanische Arachniden, gesammelt von Herrn Stabs-
arzt Dr. Falkenstein. Zeitsch. ges. Naturw. (3), Bd. 4 [52],
pp. 329-373, figg.
1879. — Westafricanische Myriopoden und Arachniden, gesammelt
von Herrn Stabsarzt D' Falkenstein. Zeitsch. ges. Naturw.
(3), Bd. 4 [52], pp. 825-837, pl. 11, fig. 1-6.
1841. Kocu, C. L. Arachniden und Myriapoden aus der Regentschaft
Algier. Ex: Wacxer, M. Reisen in der Regentschaft Algier,
in den Jahren 1836, 1837 und 1838, Bd. 3, pp. 211-225. Leip-
zig, 8°, avec atlas 4°.
(Le vol. 3 porte aussi le titre: Bruchstücke zu einer Fauna
der Berberei, mit besonderer Rücksicht auf die geographische
Verbreitung der Thiere am Becken des Mittelmeeres, nach
den von Moritz Wagner in der Regentschaft Algier gesam-
melten Materialen.)
1875. Kocu, L. Aegyptische und Abyssinische Arachniden, gesam-
melt von Herrn C. Jickeli, beschrieben und abgebildet von
D: L. Koch. Nürnberg, 4°.
Rev. Suisse pe Zooz. T. 24. 1916. 42
614 R. DE LESSERT
1871-1890. Kocu, L. und KeyserziNG, E. Die Arachniden Australiens
nach der Natur beschrieben und abgebildet. Nürnberg, 4°.
(P. 1, 1871-1883 ; P. 2, 1885-1890) !! |
1899. Kurczvxski, VI. Arachnoidea opera Rev. E. Schmitz collecta in
insulis maderianis et in insulis Selvages dictis. Dissert. math.
et phys. Acad. Litt. Cracoviensis, vol. 36, pp. 320-461,
pl. 6-9.
4901. — Arachnoidea in colonia EÉrythraea a Dre K. M. Levander.
collecta. Dissert. math. et phys. Acad. Litt. Cracoviensis,
vol. 41, pp. 1-64, pl. 1 et 2.
4911. — Fragmenta arachnologica (IX). XVI. Aranearum species
nonnullae in Syria a Rev. P. Bovier-Lapierre et in Palaestina
a Rev. E. Schmitz collectae. XVII. Araneae nonnullae Euro-
peae. Bull. Acad. Sc. Cracovie, CI. Sc. math. et nat., 1911;
pD:.12-75; (pl: 4%et 2:
1886. Lenz, H. Beiträge zur Kenntniss der Spinnenfauna Madagas-
cars. ZLool. Jahrb., Bd. 1, pp. 379-408, pl. 10.
1891. — Spinnen von Madagascar und Nossibé. Mitt. naturh. Mus.
Hamburg (Jahrb. Hamb. wiss. Anst.), Jhg. 9, P. 1 (1892),
pp. 161-182, pl. 1 et 2.
1915. Lesserr (de), R. Arachnides de l’'Ouganda et de l'Afrique orien-
tale allemande. Ex: Voyage du D'J. Carl dans la région
des Lacs de l'Afrique centrale. Rev. suisse Zool., vol. 23,
pp. 1-89, pl. 1-3, 1 fig.
4945. — Araignées du Kilimandjaro et du Mérou. 1. Oxyopidæ et
Agelenidæ. Ex: Résultats scientifiques de la mission zoolo-
gique suédoise au Kilimandjaro, au Mérou, etc. (1905-1906),
sous la direction du Prof. D' Yngve Sjüstedt. Rev. suisse
Lool., vol. 23, pp. 439-533, 60 fig.
1916. — Araignées du Kilimandjaro et du Mérou. XI. Pisauridæ. Ex :
Résultats scientifiques de la mission zoologique suédoise au
Kilimandjaro, au Mérou, etc. (1905-1906), sous la direction
du Prof. D' Yngre Sjüstedt. Rev. suisse Zool., vol. 24,
pp. 565-620, 26 fig.
! Les dates des pages de la P. 1 sontindiquées à la p. 1477. Le mémoire de Kocx
a été continué par KEYsERLING à partir de la p. 1282 (1881).
Les dates des pages de la P. 2 sont: pp. 1-48, 1885; pp. 49-152, 1886;
pp. 153-232, 1887; pp. 233-274, 1890.
ARAIGNÉES 615
1758. LinxE, C. Systema Naturae, vol. 1. (Ed. 10, reformata). Hol-
miae, 8°1.
1839. Lucas, H. Arachnides, Myriapodes et Thysanoures. Ex : Barker-
Wsss,P.etBEerraeLor, S., Histoire naturelle des Iles Canaries,
vol. 2, P. 2 (1836-1844). Entomologie, pp. 19-52; pl. 6 et 7.
Paris, 4°.
1846. — Histoire naturelle des animaux articulées. P. 1. Crustacés,
Arachnides, Myriapodes et Hexapodes. Ex: Exploration
scientifique de l'Algérie pendant les années 1840, 1841, 1842,
publiée par ordre du gouvernement et avec le concours d’une
commission académique. Sciences physiques. Zoologie I.
4 vol. avec atlas. Paris, 4°.
1858. — Arachnides. Ex: Voyage au Gabon, Histoire naturelle des
Insectes et des Arachnides recueillis pendant un voyage fait
au Gabon en 1856 et en 1857 par M. H. C. Deyrolle. Arch.
ent., Thomson, vol. 2, pp. 380-436, pl. 12, 13.
1873. Pavesr, P. Catalogo sistematico dei Ragni del Cantone Ticino,
con la loro distribuzione orizzontale e verticale, e cenni sull”
Araneologia elvetica. Ann. Mus. civ. Genova, vol. 4, pp.5-215.
1880. — Studi sugli Aracnidi africani. |. Aracnidi di Tunisia. Ann.
Mus. civ. Genova, vol. 15 (1879-1880), pp. 283-388.
1881. — Studi sugli Aracnidi africani. W. Aracnidi d’Inhambane,
raccolti da Carlo Fornasini e consideraziont sull aracnofauna
del Mozambico. Ann. Mus. civ. Genova, vol. 16 (1880-1881),
pp. 536-560.
1883. — Aracnidi del Regno di Scioa. Ex: Spedizione italiana nell
Africa equatoriale. Risultati zoologici. Ann.Mus. civ. Genova,
vol. 20 (1883-1884), pp. 5-105. [Dans le tirage à part sous le
titre : Studi sugli Aracnidi africani. WI. Aracnidi del Regno
di Scioa e consideraziont sull aracnofauna d'A bissinia.]
1883*. — Consideraziont sull’aracnofauna dell A bissinia. Rendiconti
Ist. Lombardo Sc. e Lett. !2), vol. 16, pp. 496-501.
1884. — Aracnidi (II). Ex: Materiali per lo Studio della Fauna tuni-
sina raccolti da G.e L. Doria. Ann. Mus. civ. Genova, vol. 20:
(1883-1884), pp. 446-486.
1 D'après Simon 1910, p. 266, il sera toujours impossible d'identifier l'Aranea
flavissima (d'Egypte) décrite par Lixxé 1758, p. 622; il n’est également pas
possible de savoir à quelle espèce du genre Lycosa s'applique la description
de l’Aranea Tarantula Linné 1758, p. 622 (de Barbarie).
616 R. DE LESSERT
1895. Pavesi, P. Aracnidi{(X VIII). Ex: Æsplorazsione del Giuba e dei
suoi affluenti compiuta dal Cap. V. Bottego durante gli Anni
1892-1893 sotto gli auspicii della Societa Geografica ltaliana.
Risultati zoologici. Ann. Mus. civ. Genova (2), vol. 15 [35],
PP: nos 537.
1897. Aracnidi Africani. IX. Ar a Somali e Galla
ee 1e don Eugenio dei Principi Ruspoli. Ann. Mus. civ.
Genova (2), vol. 18 [38] (1897-1898), pp. 151-188.
1898. Pococx, R. I. On the Arachnida taken in the Transvaal and in
Nyasaland by M W. L. Distant and D' Percy Rendall. Ann.
Mag. nat. Hist. (7), vol. 1, pp. 308-321, fig. 1-3.
1898. — The Arachnida from the Province of Natal, South Africa,
contained in the HR of the British Museum. Ann. Mag.
nat. Hist. (7), vol. 2, pp. 197-226, pl. 8. |
1898. — The Arachnida from the Regions of Lakes Nyasa and Tan-
ganyika contained in the Collection of the British Museum.
Ann. Mag. nat. Hist. (7), vol. 2, pp. 429-448, pl. 13.
1898. — On the Scorpions, Spiders and Solpugas, collected by
M' C. Steuart Betton in British East Africa. Proc. zool. Soc.
London, 1898, pp. 497-524, pl. 41, 42.
1899. — On the Scorpions, Pedipalps and Spiders from Tropical
West Africa represented in the Collection of the British Mu-
seum. Proc. zool. Soc. London, 1899, pp. 833-885, pl. 55-58.
1900. — Some new Arachnida from Cape Colony. Ann. Mag. nat.
Hist. (7), vol. 6, pp. 316-333.
4902. — Descriptions of some new Species of African Solifugae and
Araneae. Ann. Mag. nat. Hist. (7), vol. 10, pp. 6-27, pl. 2,3
1903. — Some new Spiders from the Camaroons collected by
M: G. L. Bates, Ann. Mag. nat. Hist. (7), vol. 11, pp. 258-264.
1789. Porrer (l'Abbé). Voyage en Barbarie, ou lettres écrites sur
l’ancienne Numidie pendant les années 1785 et 1786. P. 1.
Partis...
1895. Scamirz, E. Arachnidios da Madeira. Ann. Sci. nat. Porto.
vol. 2, pp. 197-199.
4876. Simox, E. Etude sur les Arachnides du Congo. Bull. Sôc: zool,
France, vol. 1, pp. 12-15, 216-224.
1883. — Etudes arachnologiques, 14° mém. XXI. Matériaux pour
servir. à la Faune arachnologique des iles de l'Océan Atlan-
tique (Açores, Madère, Salvages, Canaries, Cap Vert, Sainte-
ARAIGNÉES 617
Hélène et Bermudes). Ann. Soc. ent. France (6), vol. 3,
pp: 259-314, pl. 8.
1884. Simox, E. Arachnides recueillis à Khartoum (Soudan Égyp-
tien) par M. Vossion, vice-consul de France, et appartenant
au Muséum de Paris. Bull. Soc. zool. France, vol. 9, pp. 1-28,
pli.
1885. — Etude sur les Arachnides recueillis en Tunisie, en 1883 et
1884 par MM. À. Letourneux, M. Sedillot et Valery Mayet,
membres de la mission de l'exploration scientifique de la Tu-
nisie. Ex: Exploration scientifique de la Tunisie, publiée
sous les auspices du ministère de l’Instruction publique.
Paris, 8°.
1886. — Aräcnidos. Ex: Quinoca, F. Apuntes de un Viaje por el
Sähara occidental. An. Soc.esp.Hist. nat., vol. 15, pp.511-512.
1886. — Etudes arachnologiques, 18° mém. XXVI. Matériaux pour
servir à la faune des Arachnides du Sénégal. (Appendice :
Descriptions de plusieurs espèces africaines nouvelles.) Ann.
Soc. ent. France (6), vol. 5 (1885), pp. 345-396.
1887. — Etudes arachnologiques, 19° mém. XXVII. Arachnides re-
cueïllis à Assinie (Afrique occidentale) par MM. M. Chaper
et C. Alluaud. Ann. Soc. ent. France (6), vol. 7, pp. 261-276.
1888. — Etudes arachnologiques, 21° mém. XXXI. Descriptions
d'espèces et de genres nouveaux de Madagascar et de Mayotte.
Ann. Soc. ent. France (6), vol. 8, pp. 223-236.
1889. — Liste des Arachnides recueillis aux Iles Canaries en 1888,
par M. le D' Verneau. Bull. Soc. zool. France, vol. 14,
pp: 300-304.
188%. — Liste préliminaire des Arachnides recueillis aux Açores par
M. Jules de Guerne, pendant les campagnes de l’«Hirondelle»
(1887-1888). Bull. Soc. zool. France, vol. 14, pp. 304-305.
1891. — Etudes arachnologiques, 23° mém. XXXVII. Arachnides re-
cueïllis sur le haut Congo par M. Ant. Greshoff. Ann. Soc.
ent. France, vol. 60, pp. 297-299, fig.
1892-1903. — Histoire naturelle des Araignées. 2° éd. Paris, 8° (vol.1,
1892-1895 ; vol. 2, 1897-1903) :.
1893. — Mission scientifique de M. Ch. Alluaud aux iles Séchelles
! Les dates des fascicules sont indiquées par l’auteur pour le vol. 1 à la
p. 108%, pour le vol. 2 à la p. 1080.
618 KR. DE LESSERT
(mars, avril, mai 1892). Arachnides. Bull. Soc. zool. France,
vol. 18, pp. 204-211.
1897. Simon, E. Etudes arachnologiques, 28° mém. XLIV. Arach-
nides recueillis par M. Ch. Alluaud à l'ile Maurice en 1896.
Ann. Soc. ent. France, vol. 66, pp. 276-281.
1897. — Etudes arachnologiques, 29° mém. XLVI. Arachnides re-
cueillis en 1895 par M. le D' A. Brauer (de l’Université de
Marburg) aux iles Séchelles. Ann. Soc. ent. France, vol. 66,
pp: 370-388, figg.
1897. — Arachnides recueillis par M. M. Maindron à Kurrachee et
à Matheran (près Bombay) en 1896. Bull. Mus. Hist. nat.,
vol. 3, pp. 289-297.
1897. — Arachnides recueillis à l’ile Madère par M. A. Fauvel en
1896. Bull. Soc. ent. France, 1897, pp. 111-1143.
18972, —- Araneae (Appendix B.) Ex: Donarzpson Smir, A., Through
unknown African countries, the first expedition from Somali-
land to lake Rudolf, pp. 386-391. London, New-York, 8.
1898. — Descriptions d’Arachnides nouveaux des familles des Agele-
nidæ, Pisauridæ, Lycosidæ et Oxyopidæ. Ann. Soc. ent. Bel-
gique, vol. 42, pp. 5-34.
1903. — Descriptions d'Arachnides nouveaux. Ann. Soc. ent. Bel-
gique, vol. 47, pp. 21-39.
1903. — Arachnides de la Guinée espagnole. Mém. Soc. esp. Hist.
nat., vol. 1, 1903-1910, pp. 65-124.
1904. — Etude sur les Arachnides recueillis au cours de la mission
du Bourg de Bozas en Afrique. Bull. Mus. Hist. nat., vol. 10,
pp. 442-448.
1906. — Araneida (NII). Ex: Ergebnisse der mit Subvention aus der
Erbschaft Treitl unternommenen zoologischen Forschungs-
reise D' F. Werners nach dem ägyptischen Sudan und Nord-
Uganda. Sitz.-Ber. k. Akad. Wiss. Wien, math.-naturw.K1.,
Bd. 115, pp. 1159-1176. |
1907. — Arachnides recueillis en Egypte et le long du Nil Blanc par
la mission zoologique suédoise, 1901. Ex: Results ofthe Swe-
dish Zoological Expedition to Egypt and the White Nile 1901
under the Direction of L. A. Jägerskiôld, n° 21, pp. 1 à 10,
Uppsala, 8°.
1908. — Araignées. Ex: Gapeau DE Kervize, H., Voyage zoologique
en Khroumirie (Tunisie), maiï-juin 1906, pp. 51-55. Paris, 8°.
ARAIGNÉES 619
1909. Simon, E. Arachnides recueillis par L. Fea sur la côte occiden-
tale d'Afrique (P. 2j. Ann, Mus. civ. Genova (3), vol. 4 [44]
(1908-1910), pp. 335-449, fige.
1910. — Catalogue raisonné des Arachnides du Nord de l'Afrique
(P. 1). Ann. Soc. ent. France, vol. 79 {1910-1911), pp. 265-332,
fige.
1910%. — Arachnoidea (XI). Araneae (II). Ex : Scaurrze L., Zoologische
und anthropologische Ergebnisse einer Forschungsreise im
westlichen und zentralen Südafrika, ausgeführt in den Jahren
1903-1905, Bd. 4, Systematik und Tiergeographie, Lief. 1.
Jena. Denkschr., Bd. 16, pp. 175-218.
1906. Srraxp, E. Tropisch-afrikanische Spinnen des Kgl. Naturalien-
Kabinetts in Stuttgart. Jahresh. Ver. Naturk. Württemberg,
Jhg. 62, pp. 13-103, 3 fige.
1906°. — Diagnosen nordafrikanischer, hauptsächlich von Carlo Frei-
herr von Erlanger gesammelter Spinnen. Zool. Anz., Bd.30,
pp. 604-637, 655-690. [p.680, Anhang I. Diasnosen neuer, von
Oscar Neumann in Süd-Aethiopien gesammelter Spinnen ;
p. 687, Anhang II. Diagnosen fünf neuer tropisch-afrikani-
scher Spinnen].
1907. — Eïinige Spinnen aus Kamerun, Java und Australien. Jahrb.
Nass. Ver. Naturk., Jhg. 60, pp. 177-219.
1907%. — Vorläufige Diagnosen afrikanischer und südamerikanischer
Spinnen. Zool. Anz., Bd. 31, pp. 525-558.
1907°. — Diagnosen neuer Spinnen aus Madagaskar und Sansibar.
Zool. Anz., Bd. 31, pp. 725-748.
1907. — Afrikanische Spinnen (exkl. Aviculartiiden), hauptsächlich
aus dem Kapland. Zool. Jahrb. (Abt. Syst.), Bd.25, Heft 5/6,
pp. 557-731.
1907-1908. — Beilräge zur Spinnenfauna Madagaskars. Nyt. Mag.
Naturv., Bd. 46, pp. 1-227. [Bd. 46: Hft. 1, pp. 1-96. 1907:
Hft. 2, pp. 97-227. 1908].
1908. — Verzeichnis der von Oscar Neumann in Süd-Aethiopien ge-
sammelten Spinnen. Arch. Naturg., Jhg. 74, Bd. 1, Hft. 1,
pp. 13-66, pl. 2, fig. 1-27.
1908. — Nordafrikanische Spinnen, hauptsächlich von Carlo Freiherr
von EÉrlanger gesammelt (Dictynidae, Éresidae, Sicariidae,
Dysderidae, Caponiidae, Palpimanidae, Zodariidae, Uroc-
teidae, Pholcidae, Agelenidae, Pisauridae) mit Verzeichnis
620 R. DE LESSERT
der gesamten systematisch-faunistischen Lileratur über afri-
kanischen Spinnen. Arch. Naturg., Jhg. 74, Bd. 1, Hft. 1, pp.
67-128, pl. 2, fig. 1a-8a.
19082. S'rraxp, E. Exotisch-araneologisches. 11. Spinnen aus Kame-
run. Jahrb. Nass. Ver. Naturk., Jhg. 61, pp. 260-281.
1909. — Spinnentiere von Süd-Afrika und einigen Inseln, gesammelt
bei der Deutschen Südpolar-Expedition 1901-1903. Ex:
Deutsche Südpolar-Expedition 1901-1903, Bd. 10, ZoologieIl,
pp. 543-596. Berlin, #4.
1911. — Arachniden von der kanarischen Insel Gomera, gesammelt
von Herrn Prof. D'W. May. Arch. Naturg., Jhg. 77, Bd. 1, x
Hft. 2, pp. 189-201.
1913. — Arachnida. I. Ex: Wissenschaftliche Ergebnisse der Deut-
schen Zentral-Afrika-Expedition 1907-1908 unter Führung
Adolf Friedrichs, Herzogs zu Mecklenburg, Bd. IV, Zoolo-
gie IL, Lief. 11, pp. 325-474. Leipzig, 8°.
1915. — Systematisch-faunistische Studien über paläarktische, afri-
kanische und amerikanische Spinnen des Senckenbergischen
Museums. Arch. Naturg., Jhg. 81, Abt. À, Hft. 9, pp. 1-153.
1881. Tnorecz, T. Studi sui Ragni Malesi e Papuani. WU. Ragni
dell Austro-Malesia e del Capo York, conservati nel museo
Civico di Storia Naturale di Genova. Ann. Mus. civ. Genova,
vol. 17, pp. vu-xxvu, 1-720.
1895. — Descriptive Catalogue of the Spiders of Burma. London, 8°.
1899. — Araneae Camerunenses (Africae occidentalis), quas anno
1891 collegerunt Cel. D' Y. Sjostedt aliique et enumeravit
T. Thorell. Bihang till. K. Sv. Vet.-Akad. Handl., Bd. 25,
Afd. IV, N°1, pp. 1-105.
1863. Vixsow, À. Aranéides des iles de la Réunion, Maurice et Mada-
gascar. Paris, 8°.
1902. Væœrrzxow, A. Die von Aldabra bis jetzt bekannte Flora und
Fauna. Abh. Senck. naturf. Ges., Bd. 26, pp. 539-565.
1837-1847. WaLckeNAER, (le Baron) et Gervais, P. Histoire naturelle
des Insectes. Aptères. 4 vol. avec atlas. Paris, &. (Vol. 1 et
2, 1837; vol. 3, 1844 ; vol. 4, 1847.)
1892. Warsurrox, C. Spiders from Madeira. Ann. Mag. nat. Hist.
(6), vol. 10, pp. 216-228, pl. 14.
REMUE SUISSE DE ZOOLOGIE
Vol. 2%, n° 10. — Décembre 1916.
Contribution
a l'étude de la faune infusorienne du Léman.
PAR
Emile ANDRÉ
(Genève).
Avec la planche 5.
Les espèces infusoriennes signalées dans le Léman, par
Forez, Roux, ANDRÉ et quelques autres naturalistes !, sont les
suivantes : :
Holophrya ovum Ehr.
H. simplex Schéw.
Belonophrya pelagica André.
Urotricha farctaClap.aLachm.
U. lagenula (Ehr.)
Crobylura pelagica André.
Enchelys pupa O.F. M.
Spathidium spathula(O.F.M.)
Prorodon teres Ehr.
Lacrymaria olor O.F.M.
L. coronata Clap. et Lachm.
var. aquae dulcis Roux.
Coleps hirtus O. F. M.
C. uncinatus Clap. et Lachm.
C. amphacanthus Ehr.
Didinium balbianii Bütschli.
Mesodinium acarus Stein.
Askenasia elegans Blochmann.
Amplhileptus claparadei Stein.
Lionotus anser (Ehr..;.
L. fasciola (Ehr.).
L. lamella (Ehr.).
L. gandolfit André.
L. vesiculosus Stokes.
1 Pour la bibliographie voir : Axpré. Catalogue des Invertébrés de la Suisse.
Fascicule 6. /nfusoires. Genève, 1912. Voir aussi :
Anoré. Recherches sur la
faune pélagique du Léman et description de nouveaux genres d'Infusoires. Rev.
suisse Zool., vol. 22, p. 180, 1914.
Rev. Suisse pe Zooz. T. 24. 1916.
43
622 E. ANDRÉ
4]
Loxophyllum meleagris
(O.M.F.).
Loxodes rostrum (O. F. M.),
Dileptus anser (0. F. M.).
Trachelius ovum (Ehr.).
Nassula aurea Ehr.
Chilodon cucullulus (O0. F.M.).
C. dentatus From.
C. gouraudi (Certes).
Trochilia palustris Stein.
Dysteria fluviatilis (Stein).
Uronema marinum Duj.
Leucophrys patula (Ehr.).
Glaucoma scintillans Ehr.
G. piriforme Ehr.
G. reniforme Schéw.
Colpidium colpoda (Ehr.).
Colpoda cucullus O.F.M.
C. steint Maupas.
Frontonia leucas Ehr.
F. acuminata Ehr.
Ophryoglenaparasitica André.
O. flava Ehr.
O. atra Lieberkühn.
Cinetochilum margaritaceum
(Ehr.).
Microthorax pusillus
Engelmann.
Paramecium aurelia O. F. M.
P. bursaria (Ehr.).
Urocentrum turbo (0. F. M.).
Lembadion bullinum(O.F.M.).
Pleuronemachrysalis(O.F.M.).
Cyclidium glaucoma(O.F.M.).
C. glaucoma (O.F.M.)
var, elongata Roux.
C. heptatrichum Schéw.
Conchophthirus anodontae
Ehr.
Blepharisma lateritia (Ehr.).
Spirostomum ambiguum Ehr.
S. teres Clap. et Lachm.
Bursaria truncatella O.F. M.
Stentor cœruleus Ehr.
S. polymorphus O. F. M.
S. ræœseli Ehr.
S. igneus Ehr.
S. niger Ehr.
Strobilidium gyrans (Stokes).
Halteria grandinella O.F. M.
Strombidium turbo CI. et L.
Urostyla grandis Stein.
U. weissei Stein.
Shchotricha secunda Perty.
Uroleptus rattulus Stein.
U. piscis Ehr.
U. mobilis Engelm.
Gastrostyla steini Engelm.
Oxytricha pellionella(O.F.M.).
O. ferruginea Stein.
Stylonychiapustulata(O.F.M.)
S. mytilus (0.F.M.).
Balladina parvula Sterki.
Euplotes charon (0.F.M.).
E. patella (0.F.M.).
Aspidisca costata Duj.
A. lynceus (O.F. M.).
Spirochona gemmipara Steim.
Anhymenia steini (Clap. et
Lachm).
Trichodina pediculus (0.F.M.).
Scyphidia amæba Grenfell.
E RAR ECTS, *
FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 623
Vorticella longifilum Kent.
V. nebulifera O.F. M.
V. campanula Ehr.
V. convallaria L.
Opercularia nutans (Ehr.).
Pyxidium cothurnoides Kent.
Ophrydium versatile (0.F.M.).
Lagenophrys labiata Stokes,
Carchesium spectabile Ehr.
C. polypinum (L.).
Zoothamnium arbuscula Ehr.
Z. afjine Stein.
Epistylis steint Wrzesniowski.
E. plicatilis Ehr.
E. lacustris Imhof.
Rhabdostyla brevipes Clap.
L. ampulla Stein.
L. vaginicola Stein.
Dendrocometes paradoxus
Stein.
Metacineta mystacina (Ehr.).
Tokophrya cyclopum Clap.
et Lachm.
Acineta elegans Imhof.
et Lachm.
À ces 111 espèces nous en ajouterons 33, dont 4 n’ont pas
encore été observées en Suisse; 3 sont nouvelles ;: une de
celles-ci a nécessité la création d’un genre nouveau.
Nous avons également créé 2 nouvelles variétés. Nous nous
bornerons aujourd’hui à décrire les formes nouvelles ou peu
connues et à donner la liste des espèces qui, avant nous, n’ont
pas été signalées dans le Léman, réservant pour un travail
d'ensemble les observations biologiques ou morphologiques
que nous avons pu faire sur ces espèces et sur celles qui ont
été rencontrées déjà par nos devanciers. Nous avons déjà publié
les principaux résultats de nos recherches sur les Infusoires
pélagiques du Léman et nos observations sur la faune profonde
sont encore trop incomplètes pour prendre place ici, c’est dire
que les espèces mentionnées dans ce travailappartiennent toutes
à la faune littorale. Depuis 1911, époque de laquelle date le com-
mencement de nos études sur la faune infusorienne du Léman,
nous avons effectué 35 pêches littorales, dans diverses régions
et en différentes saisons.
Dans le texte qui suit, certaines localités sont désignées d’une
façon suffisamment précise en quelques mots ; pour d’autres,
il serait nécessaire de préciser, mais pour éviter Les redites nous
! Axpré. Op. cit.
624 E. ANDRÉ
les indiquerons de facon très sommaire, en demandant au lec-
teur de se reporter aux lignes ci-dessous.
Creux de Genthod, baie: petite baie, dans la campagne DE
SAUSSURE, communiquant avec le lac par un étroit goulet. Végé-
tation abondante, fond de vase ou de gravier.
Coppet, grève : grève caillouteuse, sans végétation, qui s'étend
à environ 500 m. à l'E. du bourg de Coppet.
Belotte : grève de galets à l'E. et à l'O. du débarcadère de la
Belotte ; Chara abondants en certains points à peu de distance
du rivage.
Tougues : grève caillouteuse, avec roseaux, à l'O. du débar-
cadère de Tougues.
Villeneuve : région marécageuse avec Roseaux, Nuphars jau-
nes, etc., qui s'étend de l'embouchure de l'Eau-Froide jusqu'aux
Grangettes.
Hermance : grève de galets, sans végétation, à l'O. de l’em-
bouchure de l’Hermance.
Gland: grève de galets à l'endroit appelé la Falaise.
A la suite de la liste des espèces non encore signalées dans
le Léman, nous donnerons la description de formes nouvelles
ou peu connues. Nous aurions pu beaucoup développer cette
dernière partie, car dans le cours de nos recherches nous avons
rencontré d’autres espèces et même d’autres genres nouveaux.
Mais, comme nous n'avons pas pu les étudier d’une façon suf-
fisante ou comme nous n’en avons eu sous les yeux qu’un indi-
vidu, nous estimons qu'il serait prématuré de les décrire main-
tenant et nous attendrons pour le faire d’avoir complété nos
observations.
Urotricha globosa Schéwiakoff. Creux de Genthod, baie,
décembre.
Enchelys farcimen O.F. Müller. Tougues, octobre.
Prorodon farctus (Claparède et Lachmann). Villeneuve, avril,
variété à noyau remarquablement long. Tougues, avril.
Lacrymaria lagenula Claparède et Lachmann. Creux de Gen-
thod, baie, novembre.
FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 625
Trachelophyllum apiculatum (Perty). Tougues, octobre.
Amplileptus carchesit Stein. Creux de Genthod, baie, no-
vembre. Port de Nyon, décembre.
Lionotus diaphanus Wrzesniowski. Villeneuve, septembre.
Nassula ornata Ehrenberg. Tougues, octobre.
Cryptochilum nigricans (O0. F. Müller). Pointe à la Bise,
octobre.
Glaucoma colpidium Schéwiakoff. Port de Nyon, janvier.
Creux de Genthod, baie, janvier. Gland, février. Coppet, grève,
février.
Glaucoma macrostoma Schéwiakoff. Port de Nyon, décembre.
Espèce non encore signalée en Suisse.
Ophryoglena citreum Claparède et Lachmann. Coppet, grève,
février. Tougues, septembre.
Ophryoglena fluvicans Ehrenberg. Creux de Genthod, baie,
janvier.
Paramecium putrinum Claparède et Lachmann. Genève, port
de la Société nautique, janvier. La Belotte, mars. Coppet,
grève, décembre.
Cyclidium citrullus Cohn. Coppet, grève, avril. Tougues,
avril. Signalé pour la première fois en Suisse.
Blepharisma undulans Stein. La Belotte, mars. Pointe à la
Bise, avril.
Climacostomum virèens (Ehrenberg). Tougues, avril, octobre.
Pointe à la Bise, avril, octobre. La Belotte, mars. Coppet,
grève, janvier, mars, avril. Villeneuve, mars, septembre. Dans
ces diverses localités, la plupart des individus étaient dépour-
vus de Chlorelles.
Strombidium viride Stein. Coppet, grève, mars. Hermance,
mars.
Suichotricha aculeata Wrzesniowski. Coppet, grève, février.
Gland, février.
Uroleptus musculus Ehrenberg. Villeneuve, septembre.
Pointe à la Bise, octobre.
Uroleptus violaceus Stein. Coppet, grève, avril. Signalé pour
la première fois en Suisse.
626 E. ANDRÉ
Oxytricha fallax Stein. Port de Nyon, décembre. Port de
Lutry, juillet.
Oxytricha platystoma Ehrenberg. Coppet, grève, mai.
Aspidisca turrita Ehrenberg. Coppet, grève, novembre.
Urceolaria mitra (von Siebold). Sur Polycelis cornuta, Ge-
nève, port de la Société nautique, janvier.
Vorticella alba Fromentel. Sur la patte de Gammarus, la
Belotte, mars.
Vorticella putrinum O.F. Müller. Genève, port de la Société
nautique, janvier.
Epistylis umbilicata Claparède et Lachmann. Sur un Hydrach-
nide, Hermance, mars.
Opercularia lichtensteini Stein. Sur les pattes de Gammarus,
Hermance, mars.
Spathidium spathula O.F.Müller var. plurinucleata n. var.
(PI. 5, fig. 4).
Roux 1 a déjà signalé cette espèce comme appartenant à la
faune littorale du Léman ; nous l’avons aussi rencontrée à Cop-
pet, grève, en avril et mai, et à Hermance, en mars. Tous les
individus que nous avons examinés ne se présentaient pas sous
la forme typique, mais ils constituent une variété nouvelle
caractérisée par la forme du noyau. Celui-ci, en effet, n’est pas
rubané, comme chez l'espèce type, mais il est formé de sphé-
rules irrégulièrement distribuées dans le cytoplasme. Les
micronoyaux sont également sphériques et disséminés sans
ordre. Comme ces formations ont pour les teintures une égale
affinité, il est difficile de reconnaître ce qui est noyau et ce qui
est micronoyau. L'ensemble de cet appareil est donc formé de
petites masses arrondies, à peu près égales en dimensions, dont
le nombre varie de 15 à 20?. Un autre caractère éloigne cette
1 J. Roux. Note sur les Infusoires ciliés du lac Léman. Rev. suisse Zool.
Vol. 8, p. 462, 1900.
? Dans la figure que nous donnons de cette nouvelle variété, nous n'avons pas
représenté dans le cytoplasme autre chose que la vacuole pulsatile et les
LS 2
FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 627
variété de l'espèce type : c’est l'absence de grandes trichites
réparties en quelques faisceaux dans le cytoplasme. Les seules
trichites existantes sont celles du pharynx, qui sont courtes, mais
très visibles. La partie antérieure du corps est tronquée très
obliquement, comme chez les Spathidium spathula figurés par
la plupart des auteurs; tandis que lindividu représenté par
Roux ! est tronqué transversalement, d’un profil symétrique, et
possède des trichites pharyngiennes longues et légèrement
recourbées.
Holophrya tarda Quennerstedt.
(PL. 5, fig. 5.)
Sous ce nom, QUENNERSTEDT décrivit et représenta, d’une
façon malheureusement un peu sommaire, une espèce marine
des côtes de la Suède ?. Nous rapportons à cette espèce une
forme que nous avons trouvée en abondance à Coppet, en
novembre et décembre 1911, parmi le limon et les Algues
filamenteuses recouvrant les galets du littoral. La bouche de
l'espèce décrite par QuenNERsTEDT est. beaucoup plus simple
que celle de notre Infusoire, mais on peut expliquer cette diver-
gence par la grande ténuité des trichites du pharynx qui, à
cause de cela, échappent facilement à l'observation. Par tous
les autres caractères, les deux types sont à peu près identiques
et, si l’on compare notre figure avec la fig. 14 de QUENNERSTEDT,
on reconnaitra que l'identification de ces deux formes se Justi-
fie pleinement.
De même que chez la forme marine, le corps est très méta-
bolique ; il peut passer de la forme d’une sphère à celle d’une
noyaux, afin de montrer de façon plus nette l'appareil nucléaire qui caractérise
cette forme. Mais, comme dans l'espèce type, les bols alimentaires sont en géné-
ral nombreux et assez volumineux.
1 J. Roux. Faune infusorienne des eaux stagnantes des environs de Genève.
Mém. Institut national genevois, vol. 19, pl. 1, fig. 9, 1901.
? A. Quennersrepr. Bidrag till Sveriges Infusorie-Fauna. III. Lund. Univ.
Arsskrift, vol. 6, p. 8, fig. 13-16, 1869.
628 E. ANDRÉ
gourde allongée. Nous avons représenté un état intermédiaire
entre ces deux extrêmes. Suivant les individus et selon le degré
de contraction, la longueur du corps varie entre 55 et 95u; la
longueur attribuée par QUENNERSTEDT à cette espèce serait de
100. Le cytoplasme est incolore et hyalin et contient de fines
granulations et des sphérules réfringentes. Les cils, fins et ser-
rés, sont disposés en lignes méridiennes peu perceptibles qui
prennent une disposition légèrement spiralées lorsque lanimal
se contracte ; les cils du pourtour de la bouche sont plus longs
que les autres. L’extrémité antérieure du corps est tronquée,
quelquefois un peu obliquement, et c’est sur la troncature que
s'ouvre la bouche. Les bords de celle-ci sont parfois en légère
saillie, même lorsque l'animal n’est pas comprimé par le couvre-
objet. L'appareil de soutien du pharynx est, comme nous le
disions plus haut, fort peu développé; les trichites qui le com-
posent sont presque invisibles (nous les avons accentuées dans
la figure), peu nombreuses et disposées sans régularité. Bien
que nous avons examiné plusieurs individus, nous n'avons pas
constaté la présence de gros bols alimentaires et nous n'avons
pas aperçu l’anus. Le noyau représenté par QUENNERSTEDT est ré-
niforme, allongé et diposé transversalement dans la partie pos-
térieure du corps; il se retrouve de même chez notre Infusoire.
On le voit parfois plus en avant que dans notre figure ou ayant
une tendance à se disposer dans le sens longitudinal. Quex-
NERSTEDT N'a pas aperçu le micronoyau; nous en avons constaté
l'existence chez quelques individus ; il est alors placé dans la
concavité du noyau. La vacuole contractile est postérieure et
terminale.
L'A. tarda présente quelques ressemblances avec une forme
lacustre, l'A. kessleri Mereschkowsky !, par ses dimensions, par
la forme générale du corps et par la disposition du noyau; mais
elle ne possède pas les côtes longitudinales très saillantes qui
caractérisent l'A. kessleri.
1 Merescuxowsxy. Studien über Protozoen des nürdlichen Russland. Arch.
mikrosk. Anat., Bd. 16, p: 171, pl. 10, fig. 29-30, 1879.
FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 629
Holophrya haplostoma n. sp.
(PI. 5, fig. 3.)
Cette forme nouvelle a été rencontrée à Coppet, grève, parmi
les galets du littoral, en février 1912, où elle était représentée
par d’assez nombreux individus. Elle est caractérisée par la pré-
sence de deux vacuoles pulsatiles et par la simplicité de sa
bouche; le nom spécitique d’haplostoma rappelle ce dernier
caractère.
Le corps est à peu près sphérique ou ellipsoïdal, peu méta-
bolique; son grand axe mesure 60 à 70u. Le cytoplasme est
incolore et hyalin et contient des sphérules réfringentes irré-
gulièrement distribuées et dont la quantité varie selon les indi-
vidus. Les cils, courts et serrés, sont disposés en rangées méri-
diennes très nettes. La bouche est peu visible, aussi bien de
champ que de profil, par le fait que les cils qui l'entourent ne
sont pas plus longs que ceux du corps et aussi à cause de
l'absence de trichites autour du pharynx. Nous n’avons pas vu
de gros bols alimentaires, ni anus. Le noyau, très volumineux,
est ovoide, disposé transversalement dans la région moyenne
du corps ; il est creusé, dans le voisinage d’une des extrémités,
d’une dépression bien marquée, dans laquelle est logé le micro-
noyau. Celui-ci est aussi de grande taille. Tout cet appareil
nucléaire a une grande aflinité pour le vert de méthyle acétique.
Les deux vacuoles pulsatiles sont situées en arrière du noyau.
Chez un individu, nous en avons vu apparaître une troisième,
à côté du noyau, faisant symétrie avec le micronoyau. Il est pos-
sible que la pression exercée par le couvre-objet sur l’animal
ait entraîné la fragmentation d’une des vacuoles, fait qu'il n'est
pas très rare d'observer.
LH. haplostoma se rapproche de lÆ. ooum Schéwiakoff par
la simplicité de sa bouche, mais la forme et les dimensions du
noyau, la constitution de son appareil pulsatile et sa taille per-
mettent de différencier à première vue ces deux espèces.
Ophryoglena atra Lieberkühn var. inermis n. var. L'Ophryo-
630 E. ANDRÉ
glena atra typique a été rencontrée dans le Léman par
Roux: et Mermop?; nous l'avons aussi reconnue dans 8 pé-
ches, faites dans 7 stations différentes, à toutes les saisons.
Mais nous avons trouvé également, seule ou accompagnée de
l'espèce type, une forme étroitement apparentée à l'O. atra que
nous décrirons comme une variété de celle-ci. Cette variété
nous paraît même plus abondante que la forme typique; en
effet, elle s’est rencontrée dans 9 pêches, effectuées aussi dans
7 stations (la Belotte, Hermance, port de Coppet, Coppet-grève,
Tougues, Villeneuve, port de Lutry) et à toutes les époques de
l’année. Les auteurs attribuent à l’O. atra une longueur de
150 à 500 m; tandis que la forme que nous décrivons est plus
petite ; elle a 100 à 340 y de long. De plus, cette dernière
diffère du type surtout par l’absence de trichocystes et aussi
par l'absence de tache pigmentaire en avant. Le nom d’inermis
rappelle le premier de ces caractères. Le noyau est ellipsoïdal,
disposé obliquement, transversalement ou longitudinalement
dans la région moyenne du corps. La vacuole pulsatile est
comme chez la forme type.
Nassula versicolor n. sp.
(PL. 5, fig. 1.)
Nous avons rencontré cette nouvelle espèce à Tougues, en
octobre 1911, représentée par plusieurs individus, et, au prin-
temps 1914, nous en avons retrouvé quelques exemplaires
dans le lac Majeur, sur la grève du delta de la Maggia*. Il
semblerait donc, puisque cette forme n’a jamais été observée
dans les eaux stagnantes, qu’il s’agit là d’une espèce franche-
ment lacustre; cela est d'autant plus vraisemblable que les
étangs, les marais, les tourbières, ont été beaucoup plus étu-
diés, relativement à la faune des Infusoires, que les grands
! Op. cit., page
2? Voir la note à la première page du présent travail.
3 Anpré. Contribution à l'étude de la faune infusorienne du lac Majeur.
Rev. suisse Zool. Vol. 23, p. 106, 1915.
LÉ: e . di, »
EN RESNEE ePer
FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 631
lacs ; si la Nassula versicolor faisait partie de la faune des eaux
stagnantes, elle aurait eu peu de chances d'échapper à latten-
tion des observateurs, d'autant moins qu’elle frappe immédia-
tement le regard par ses dimensions et surtout par ses vives
colorations. C’est avec une espèce marine, la Nassula hesperidea
Entz', que cette forme nettement lacustre a le plus d’aflinités ;
elle en diffère cependant d'une façon très franche par le nom-
bre de ses vacuoles pulsatiles (5 au lieu de 4), par l'absence de
bande ciliaire adorale, par le fait que le cytoplasme est incolore
et par d’autres caractères moins importants. Nous avons donné
à cette Nassule le nom spécifique de versicolor pour rappeler
la diversité de colorations qu’elle présente; celle-ci est due à
du pigment, à des Chlorelles et à des bols alimentaires.
Le corps est allongé, légèrement aplati dorso-ventralement,
régulièrement arrondi aux extrémités, ou obtusément acuminé
en arrière. La longueur du corps varie de 150 à 235 v; les indi-
vidus du Léman mesuraient de 210 à 235 y, ceux du lac Majeur,
150 y. Le cytoplasme est incolore en lui-même, mais il contient
de nombreuses inclusions colorées qui rendent l'animal très
bigarré. A l’extrémité antérieure, en avant de la bouche, se
trouve un amas de pigment bleu, très brillant, et des sphé-
rules de pigment identique sont disséminées dans le reste du
corps, surtout dans la moitié antérieure. Chez un individu,
provenant de Tougues, l’amas et les sphérules pigmentaires
étaient bruns. Le cytoplasme contient en outre des Chlorelles,
qui manquent chez certains individus, et des bols alimentaires
jaunes ou brunâtres. La ciliation est régulière; les cils sont
courts et serrés. Les lignes ciliaires sont à peine perceptibles ;
on constate cependant qu’elles sont parallèles et longitudinales.
Les trichocystes font défaut. La bouche est ouverte tout à fait
en avant; elle est dépourvue de rangée ciliaire adorale. Le
pharynx est bulbiforme, allongé, disposé obliquement et les
trichites qui le soutiennent sont bien visibles; chez un grand
individu, cet appareil mesurait 24 y de long. Nous n'avons pas
1 G. Enrz. Die Infusorien des Golfes von Neapel. Mittheil. zool. Station
Neapel. Vol. 5, p. 331, pl. 21, fig. 1-5, 1884.
632 E. ANDRÉ
assisté à la défécation, de sorte que la position de l’anus nous
est inconnue. Le noyau est régulièrement ellipsoïdal; il est
disposé obliquement, ou même transversalement, dans la région
moyenne du corps; un micronoyau sphérique ou ovalaire
l'accompagne. L'appareil nucléaire ne se colore que de façon
peu intense par le vert de méthyle acétique. Parmi les Nassules
connues jusqu’à présent, c’est la N. versicolor qui possède le
plus de vacuoles pulsatiles ; celles-ci sont au nombre de cinq.
Elles sont disposées en une seule rangée s'étendant de la bou-
che à l’extrémité postérieure du corps; nous les avons repré-
sentées les cinq en diastole, bien que, en réalité, leurs batte-
ments, assez lents, ne soient pas synchrones et qu’on ne puisse
guère les observer toutes en même temps.
Les mouvements de l’animal sont plutôt lents et son corps
est très métabolique. Dans les localités mentionnées plus haut,
les N. versicolor ont été trouvées parmi les galets du littoral,
et plus spécialement dans le dépôt organique et limoneux
revêtant ces galets.
Prosopsenus Sinualus n.g. D. Sp.
(PI. 5, fig. 2.)
Ce nouveau genre d'Hypotriche appartient à la famille des
Oxytrichinae et à la sous-famille des Psilotrichniae. Il a été
rencontré, en quelques exemplaires, dans le sédiment limoneux
et végétal recouvrant les galets à Coppet-grève, en décembre
1911. Par les vapeurs d’acide osmique, cet Inlusoire se fixe avec
une précision admirable ; il nous a donc été possible d'étudier
sans difliculté les individus que nous avons trouvés et de cons-
tater que la disposition et le nombre des cirres sont constants.
Ce nom de Prosopsenus indique que la moitié antérieure du
corps est, abstraction faite d’un cirre frontal, complètement
dépourvue de ces appendices, tandis que la moitié postérieure
possède tous les cirres. La longueur de lanimal varie de 185 à
195 et sa largeur est en moyenne de 70. Le corps est très
peu métabolique ; il est foliacé, allongé. Son extrémité anté-
FAUNE INFUSORIENNE DU LÉMAN 633
rieure est régulièrement arrondie, tandis que l'extrémité oppo-
sée est tronquée de façon fort nette, de sorte que son bord est
à peu près rectiligne. L’angle postérieur droit est formé par
une sorte d'expansion de la paroi dorsale du corps, dépassant
légèrement la paroi ventrale. L’encoche que l’on remarque sur
la figure, à gauche des cirres anaux, n’est pas constante. Les
bords latéraux ne sont pas moins asymétriques ; tandis que le
bord gauche dessine une courbe régulière, le bord droit est
assez accidenté et présente dans sa région moyenne une con-
cavité bien indiquée et limitée en avant, au niveau du premier
cirre frontal, par un angle saillant. C’est ce dernier caractère
qui nous à fait attribuer à cet Infusoire le nom spécifique de
sinuatus. Les cirres sont relativement peu nombreux. Si l’on
considère, ainsi qu'il est d’usage, comme région frontale toute
la partie de la face ventrale s'étendant à droite du péristome,
les cirres frontaux seront au nombre de quatre. Le plus anté-
rieur est isolé et le plus volumineux des quatre ; lorsque l’ani-
mal est libre de ses mouvements, ce cirre est dirigé vers l'inté-
rieur. Les trois autres cirres frontaux sont dans la moitié
postérieure de l’animal, disposés comme on le voit sur notre
figure. Les cirres marginaux forment deux courtes rangées,
laissant entre elles, en arrière, une large solution de continuité;
ces deux rangées sont limitées à la partie postérieure du corps,
celle de droite s’étendant plus en avant que celle de gauche ;
bien que cette dernière s’étende, en revanche, plus en arrière,
elle est cependant plus courte que la rangée droite. Malgré cette
différence de longueur, ces deux rangées sont constituées, l'une
et l’autre, de douze cirres; c’est dire que sur Le côté gauche ceux-
ci sont plus serrés. Les cirres ventraux font défaut. De l’extré-
mité postérieure débordent les cirres anaux, qui sont au nombre
de quatre. Ils dessinent une ligne incurvée et relevées vers la
droite.
Les deux cirres anaux droits ont la même forme que les
autres cirres du corps, c’est-à-dire qu'ils sont en cône très
allongé et incurvé, tandis que ceux de gauche sont cylindriques.
La partie basilaire de ces derniers forme un renflement nette-
634 E. ANDRE
ment délimité et leur extrémité libre est divisée en un certain
nombre de digitations irrégulières. Ces deux cirres anaux
gauches sont rigides et toujours immobiles. Le Prosopsenus
sinuatus est remarquable par les dimensions de son péristome,
qui s'étend, en effet, sur les trois quarts de la longueur du
corps. Il en résulte que les membranelles de la zone adorale
sont nombreuses ; elles ont toutes à peu près les mêmes dimen-
sions, cependant leur longueur va en diminuant légèrement au
fur et à mesure qu’elles sont plus près de la bouche. A droite,
le péristome est limité par une membrane ondulante très visible.
L'animal se nourrit de débris organiques divers qui rendent
le corps assez sombre et opaque. Pour rendre plus nette la
figure, nous n'avons pas représenté la plus grande partie des
bols alimentaires. Dans les régions qui ne sont pas encombrées
de matières nutritives, on constate que le cytoplasma est inco-
lore et finement granuleux. Les noyaux forment deux masses
arrondies ou ovalaires, lévcèrement bossuées, situées, l’une dans
la moitié antérieure du corps, l’autre dans la moitié posté-
rieure ; ils montrent chacun une petite concavité en regard de
laquelle se trouvent les deux micronoyaux. Tout l’appareil nu-
cléaire se colore de façon très franche par le vert de méthyle
acétique. À gauche de la bouche se trouve la vacuole pulsatile,
qui est relativement grosse. L'animal a des mouvements vifs
et se déplace assez rapidement.
Ve PE
Fic.
Hi.
Fi.
Fic.
Firc.
EXPLICATION DE LA PLANCHE 5
b — bouche; n — micronoyau;
ve — vacuole contractile ; tr — trichites du pharynx;
N = noyau; ba— bols alimentaires.
1. — Nassula versicolor n. sp. pg — tache pigmentaire bleue ;
pg' = granules isolés de ce même pigment; ñp — nasse pha-
ryngienne ; ch — Chlorelles. Gross. 410 fois.
2. — Prosopsenus sinuatus n. g., n. Sp. »1p — membranelles
du péristome ; 720 — membrane ondulante du péristome; cf,
cf?, cf, cf* — les 4 cirres frontaux ; cmd — cirres marginaux
droits; cmg — cirres marginaux gauches ; ca', ca?, caÿ, ca* =
les 4 cirres anaux. Gross. 450 fois.
3. — Holophrya haplostoma n. sp. Gross. 710 fois.
h. — Spathidium spathula (O.F. M.), var. plurinucleata n. var.
Gross. 260 fois.
5. — Holophrya tarda Quennerstedt. Gross. 750 fois.
Rex: Suisse de Zoo!. 724. 19/6.
|
I]
Vi)
1
all
RER
Æ. Andre. del.
: E. André _ Infusoires
2°
CAT
See o
.<
see
PES:
Peck & Frun. Genève.
RENUE SUISSE" DE" ZOOBOGIE
Vol. 24, no 11. — Décembre 1916.
Sur le genre Kirchenpaueria
PAR
M. BEDOT
De nombreuses observations ont démontré que dans certains
groupes d'Hydroïdes le mode de segmentation de la tige, le
nombre des hydroclades que porte chaque segment, et la forme
extérieure des gonothèques, sont des caractères très variables
et auxquels on ne peut pas attribuer une importance exclusive
pour la détermination des espèces.
Les Plumularia echinulata, pinnata et similis, si l'on s’en
rapporte aux diagnoses que leur attribue Hixcks (1868), semblent
être bien distinctes les unes des autres. Chez P. echinulata,
chaque segment de la tige porte un hydroclade à segmentation
homonome, c’est-à-dire dont chaque segment porte une hydro-
thèque ; les gonothèques ovales ont des côtes longitudinales
garnies d’épines.
P. pinnata a une tige dont chaque segment donne naissance
à plusieurs hydroclades à segmentation homonome ; les gono-
thèques ovales ou piriformes ont des épines à leur sommet.
Dans, la tige de P. similis, chaque segment porte un seul
hydroclade. Entre les segments hydrocladiaux, pourvus d’hy-
drothèques, s’intercalent des segments intermédiaires sans
hydrothèques (hétéronomie). Les gonothèques ovales, allon-
gées, sont divisées en lobes peu apparents.
Rev. Suisse De Zoo. TT. 24. 1916. 44
638 M. BEDOT.
Lorsqu'on examine un grand nombre de spécimens de ces
trois espèces, récoltés dans des localités diverses, on arrive à la
conclusion que les caractères dont on s’est servi pour les distin-
guer n'ont aucune fixité, et qu’elles sont reliées par une série de
formes intermédiaires. Les recherches de Birzarp (1904, 1912),
que j'ai eu l’occasion de confirmer (1911), ont démontré que ces.
trois espèces étaient synonymes, et que l'on ne pouvait pas
trouver de caractère permettant de les séparer. On devrait donc
les réunir sous le nom de P. pinnata (Linné).
Bizzarp (1904) avait créé les variétés : P. echinulata var.
zostericola, et P. echinulata var. pinnatoides. Plus tard (1912),
après avoir reconnu l'identité de P. pinnala et P. echinulata,
il a supprimé ces variétés et a, en revanche, introduit deux nou-
veaux noms : P. pinnata Var. echinulataetP. pinnata var. arti-
culata. I me semble qu'il serait préférable de ne pas donner de
nom à ces variétés qui peuvent être infiniment diverses puis-
qu’elles reposent sur des caractères essentiellement variables.
Il serait préférable de se borner à dire que chez P. pinnata les
segments de la tige, de grandeur variable, portent un ou plu-
sieurs hydroclades à segmentation homonome ou hétéronome,
etque les gonothèques, ovales ou piriformes, ont des côtes longi-
tudinales plus où moins accentuées et pourvues souvent d’é-
pines.
Mais à cela vient s'ajouter un caractère important qui, sil
ne peut permettre de séparer les trois formes que nous réunis-
sons sous un seul nom, les distingue nettement de la plupart
des autres Plumularia : c’est la disposition des nématophores.
Chez P. pinnata, il n’y a jamais de nématophores disposés.
par paire à côté ou au-dessus des hydrothèques (némato-
phores pleurohydrothécaux ou supracalyeinaux). Le némato-
phore impair placé au-dessus de l’hydrothèque n’est pas entouré
d’une nématothèque ; c’est la raison pour laquelle il échappe
facilement à l'observation. Le nématophore médian sous-hydro-
thécal est entouré d’une nématothèque monothalamique.
Les nématothèques monothalamiques ne se rencontrent qu’ex-
ceplionnellement chez les Plumularides, ainsi que Nurrixc-
SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 639
(1900, p. 14) l’a constaté, et ce caractère présente une grande
fixité. On est donc en droit de lui attribuer une importance
spécifique et peut-être même générique. Il conviendrait, à cette
occasion, de passer en revue les nombreuses espèces de Plumu-
laires. Malheureusement, dans la majorité des cas, les auteurs
qui ont décrit des espèces ont attribué une beaucoup plus
grande importance au mode de segmentation de la tige et des
hydroclades qu'à la structure des nématothèques, souvent diffi-
ciles à observer.
Parmi les espèces qui sont relativement bien connues, il en
est quelques-unes qui présentent une si grande ressemblance
avec P. pinnata que l’on peut se demander si elles n’en sont pas
synonymes.
Hinxcxs (1872) a montré que l’Anisocalyx setaceus de HELLER
(1868) était une espèce distincte de P. setacea et lui a donné le
nom de P. hellert.
Le trophosome de P. helleri ne montre aucun caractère qui
puisse le distinguer de celui de P. similis. Après en avoir donné
la description, MARKTANNER (1890) ajoute : « Jedenfals steht diese
Species der P. similis Hincks sehr nahe, ja fallt mit ihr wahr-
scheinlich zusammen, doch lässt sich dies erst nach-Kennt-
niss der Gonotheken mit Sicherheit feststellen... An unseren
Exemplaren sind keine Gonotheken entwickelt. »
Au sujet du gonosome, HeLLer se contente de dire : « Die
Genitalkapseln elliptisch, glatt. » A l'époque où l’on n'avait pas
encore observé les variations de forme que peuvent présenter
les gonothèques de certaines Plumularides, la diagnose de
HELLER était suffisante pour permettre de distinguer son espèce
de P. similis. Mais aujourd’hui, cela n’est plus possible. Sur
une toufle de P. pinnata récoltée à Naples, j'ai pu observer des
formes de gonothèques très diverses. Les unes étaient ellipti-
ques, les autres piriformes, soit avec le sommet aplati. Parfois,
les côtes étaient invisibles et inermes, dans d’autres cas elles
étaient bien formées ; les épines pouvaient manquer, ou au con-
traire être développées en nombre variable. Il semble donc
impossible de distinguer P. Lelleri de P. pinnata.
640 M. BEDOT.
C'est également en attribuant une importance exagérée à la
forme des gonothèques que MARKTANNER (1890) a été amené à
créer sa P. hians, qui ne présente aucun caractère important
permettant de la distinguer de P. pinnata. Après avoir décrit
P. hians, MaARKTANNER ajoute : « Wie aus dem eben Mitgetheilten
ersichthich, zeigt die vorliegende Species in allen, das Tropho-
som betreffenden Teilen sehr grosse Aehnlichkeit mit P. echi-
nulata Lmk, nur mit dem Unterschiede, dass die Fiederchen
der vorliegenden Art kürzer und viel dichter gestellt sind.
Die Gonotheken sind hingegen von denen der P. echinulata
vollkommen verschieden, zeigen aber grosse Verwandtschaft
mit denen von P. similis Hincks... »
On peut donc ranger P. hkians dans les synonymes de
P. pinnata.
Il en est de même pour P.elegantula G. O. Sars (1874), La
description que BonxNEviIE (1898) a donnée de cette espèce montre
qu'elle ne diffère de P. pinnata par aucun caractère important.
La P. fragilis de Hamanx (1882) ressemble beaucoup à
P. pinnata. Malheureusement, les descriptions que l’on en a
(HAMANN, BONNEVIE, 1899) sont incomplètes et ne donnent pas
de renseignements sur la structure des nématophores. A ce
sujet, les dessins très schématiques d’'Hamaxx laissent planer
quelques doutes. D’après cet auteur (pl. 6, fig. 2), le némato-
phore distal sortirait, non pas simplement d’un sarcopore, mais
d’un petit tube. S'agit-il d'une nématothèque ? C’est une ques-
tion à trancher.
Quant à la nématothèque proximale, elle a une forme qui ne
rappelle que de loin celle de P. pinnata. Mais il faut remarquer
qu'à l’époque ou Hamanx a décrit cette espèce, on n’attachait
pas une grande importance à la forme des nématothèques.
Si le mode de segmentation des Plumulaires et la forme géné-
rale de leurs gonothèques sont des caractères trop variables
pour qu'on puisse leur attribuer une importance exclusive au
point de vue systématique, il ne semble pas qu’il en soit de
1 Srecnow (1913, p. 25;, place cette espèce dans le genre Kirchenpaueria et
ajoute que l'on devrait peut-être y mettre également P. pinnata (L) et P. simi-
lis Hincks.
SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 641
même pour la forme générale des nématophores. On n’a pas
décrit jusqu’à présent d'espèce de Plumulaire dont les néma-
tothèques soient tantôt monothalamiques, tantôt bithalamiques.
L'architecture générale de ces organes est toujours la même
dans chaque espèce. Il semble probable, jusqu’à preuve du
contraire, qu'il en est de même pour la présence ou l'absence
de nématothèques autour des nématophores.
Le nombre et la position des nématophores sont des carac-
tères plus ou moins variables suivant la région où ils se trou-
vent. On observe souvent, chez certaines espèces, une augmen-
tation du nombre des nématophores impaires et médians, sur-
tout lorsque les hydroclades montrent une tendance à l’allonge-
ment et à la formation d'articles intermédiaires. En revanche,
la disposition des nématophores paires (pleurohydrothécaux) est
un caractère qui offre une plus grande fixité ; leur nombre ne
varie jamais dans la même espèce.
Nous n'avons pas encore assez d’observalions exactes pour
pouvoir juger de la valeur que l’on peut attribuer, comme carac-
tère spécifique, à la position occupée sur les colonies par les
gonothèques. Chez beaucoup de Plumulaires, elles sont placées
à l’aisselle ou sur les hydroclades. Chez P. pinnata, elles sont
toujours fixées à la tige, surtout dans la région proximale, mais,
lorsque leur nombre augmente, elles peuvent s'étendre aussi
sur les hydroclades ; on en trouve également sur l’hydrorhize.
P. pinnata (et ses nombreuses variétés) se distingue donc de
la plupart des autres Plumulaires par des caractères bien tran-
chés et qui permettent de la placer dans un genre à part. Nous
n'aurons pas, pour cela, à introduire un nom nouveau, car il
existe déjà. C’est le genre Xirchenpaueria de Jicekezt (1883). Le
fragment de colonie d'après lequel cet auteur l'avait établi ne
: montre aucun caractère qui puisse empêcher de le rapporter à
P. pinnata. Si Jicxkert (de même que KIRCHENPAUER) n’a pas osé
lui attribuer un nom spécifique, c’est qu'alors on ne connaissait
pas encore les véritables caractères distinctifs de cette espèce.
642 M. BEDOT.
En résumé, le genre Xirchenpauertia se distingue de Plumu-
laria par les caractères suivants.
Il n’y a pas, sur l’hydroclade, de nématophores disposés par
paires (pleurohydrothécaux) ;
Au-dessus et derrière Les hydrothèques se trouve un néma-
tophore non entouré d’une nématothèque ;
Le nématophore placé en avant des hydrothèques est entouré
d'une nématothèque monothalamique, fixée par une large base
et immobile ;
Les gonothèques sont attachées le long de la tige.
Le mode de fixation des nématothèques semblerait autoriser
à placer les AXirchenpaueria parmi les Statoplea. Mais la divi-
sion des Plumularides en Statoplea et Eleutheroplea n’a pas une
valeur absolue puisqu'elle est basée sur un seul caractère dont
les états extrêmes ne sont pas séparés par une limite fixe, mais,
au contraire, peuvent être reliés par des états intermédiaires.
Néanmoins, ce caractère serait assez important, à lui seul, pour
permettre de séparer les Xirchenpaueria des Plumulartia.
Le rétablissement du genre Xirchenpaueria a déjà donné lieu
à de nombreuses discussions. Je les avais brièvement résumées
(1916 à, p. 137) en admettant, provisoirement, que Xirchen-
paueria devait tomber en synonymie de Diplocheilus. De nou-
velles observations sur la P. pinnata (L), m'ont amené à modi-
fier mon opinion, surtout depuis que j'ai pu me convaincre que
c'était P. pinnata que JickeLr devait avoir eu sous les yeux
lorsqu'il a créé son nouveau genre.
Mais une question se pose au sujet des espèces que l’on doit
comprendre dans le genre Xirchenpauerta.
Baze (1914, p. 61) y fait rentrer: P. pinnata(L), P. similis
Hincks, P. hians Marktanner, P. producta Bale, Diplocheilus
mirabilis Allman et D. allmani Torrey, et il ajoute : « While
they all agree in the possession of naked sarcostyles and the
absence of the lateral nematophores, the last three differ from
the others in having an intrathecal ridge, anterior in position,
just below the lip. »
La présence d’un repli intrathecal antérieur n’est pas un
ET
Loi a th SE
SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 643
caractère qui puisse, à lui seul, justifier la création d’un genre.
ainsi que le fait remarquer Barze. Mais il est possible qu'une
étude plus approfondie des trois dernières espèces citées par
BALE, et surtout de leurs nématophores, permette de les séparer
de KXirchenpaueria pinnata.
N'ayant pas eu l’occasion d'observer ces espèces, je me bor-
nerai à mentionner ici les descriptions que les auteurs ont
données de leurs nématophores.
Chez P. producta, la nématothèque située au-dessous de
l'hydrothèque, d’après BALE (1884, p. 133), est bithalamique et
canaliculée. Cet auteur, revenant plus tard sur ce sujet (1894,
p- 112) dit: « A single sarcotheca below each hydrotheca, fixed,
erect, upper portion forming a concave shield facing the hydro-
theca. À sarcostyle in the angle between the back of each
hydrotheca and the pinna, non provided with a sarcotheca, but
partly protected, on each side by a very narrow web which
connects the pinna with the back of the hydrotheca. »
Chez Diplocheilus mirabilis, d'après ArzMax (1883, p. 49), on
voit un « mesial nematophore very short and wide, forming a
concave shield-like process, with a central perforation at a short
distance below the hydrotheca. »
Warren (1908, p. 322), qui a étudié cette espèce, dit : « The
sarcostyle above the hydrotheca, is lodged in a depression with
a delicate film of perisarc on each side ; below the hydrotheca
it lies in a kind of trough of perisarc. »
Il est difficile, d’après ces descriptions, de savoir si la néma-
tothèque sous-hydrothécale de cette espèce est monothalamique
ou bithalamique, mais, en revanche, on voit que le nématophore
situé derrière l’hydrothèque est disposé de la même façon chez
P. producta et D. mirabilis, c'est-à-dire qu’il est placé entre des
replis de périsarque.
Quant au Diplocheilus allmani, Torrey (1902, p. 73) l’a d'abord
décrit sous le nom d’Halicornaria producta (BAxE), en donnant,
au sujet des nématophores, les indications suivantes : « mesial
thecate nematophore very short, not reaching the base of the
theca, expanding into the form of a sickle-shaped segment of a
644 M. BEDOT.
saucer, with a diameter two-thirds that of the theca and embra-
cing the internode for half its circumference. Pair of supraca-
lycine nematophores, seldom reaching higher than two-third
the height of the theca, never reaching the rim. »
Plus tard, TorReY (1904, p. 36), tout en reconnaissant que son
espèce ne présentait que de faibles différences avec celle de
BazE et avec le Diplocheilus mirabilis d'Allman, lui donne le
nom de Diplochetlus allmani. Il en modifie la diagnose, ne:
parle plus d’une paire de nématophores supracalyeinaux, mais
d’un « single median supracalycine sarcostyle, flanked by two:
webs of perisarc stretched between theca and internode, for-
ming a non-typical median nematophore. »
On voit que la nématothèque sous-hydrothécale qui «embrasse
l’internœud sur la moitié de sa circonférence » ne peut pas être:
mobile ; mais on ne sait pas si elle est monothalamique ou
bithalamique.
Les recherches de Srecaow (1909, p. 88, et 1913, p. 88) ont,
du reste, prouvé que D. allmani est synonyme de D. mirabilis.
Ces espèces présentent donc des caractères qui les distinguent
nettement des Plumularia et les rapprochent des Xirchen-
paueria. Mais avant de les placer dans ce dernier genre, il con-
viendrait peut-être d’attendre d’avoir des observations plus.
complètes sur la structure des nématophores. En effet, si la
nématothèque sous-hydrothécale est toujours bithalamique et
canaliculée, comme BaALe l'indique pour sa P. producta, et si,
en outre, le nématophore situé derrière l’hydrothèque est tou-
jours placé entre deux replis du périsarque, ces deux caractères.
pourraient permettre de distinguer les Diplocheilus des Kirchen-
paueria sans même qu'il soit nécessaire de parler du repli intra-
thécal.
On peut également remarquer une certaine différence dans le
faciès des colonies de ces deux genres. Chez les Xirchenpauertia,
les hydrothèques sont plus espacées ; on voit souvent appa-
raître des articles intermédiaires, et la nématothèque est très
éloignée de la base de l’hydrothèque. Chez les Diplocheilus les.
hydrothèques sont très rapprochées ; on ne voit jamais d’arti-
+ à UE LS
SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 645
cles intermédiaires et la nématothèque est placée tout près du
fond de l’hydrothèque.
Il me semble donc qu'il est préférable, actuellement, de con-
server ces 2 genres, quitte à les réunir plus tard si de nouvelles
observations en montrent la nécessité.
On pourrait être tenté de rapprocher les Diplocheilus des Hali-
cornopsis. En effet, chez 4. elegans (syn.: A. avicularis et Azy-
goplon rostratum), d'après ALLMAN (1883) et BALE (1884), il n'y a
pas de nématothèques paires à côté de l’hydrothèque. MARKTAN-
NER, qui indique ce caractère, dans la diagnose du genre, dit ce-
pendant, dans la description de l'espèce : «Die seitlichen nemato-
theken sind an unseren Exemplaren meist als kleine, grubige
Vertiefungen angedeutet, zuweilen fehlen auch diese.» Il serait
intéressant d’être fixé sur ce point et de savoir, en outre, si
réellement iln’y a pas un nématophore derrière l’hydrothèque.
En attendant que l’on puisse établir la systématique des Plu-
mularides sur des bases plus solides, nous admettrons le genre
Kirchenpauerta avec la diagnose indiquée plus haut (p. 642) et
nous y placerons:
Kirchenpauerta pinnata (Linné).
Syn.: Sertularia pinnata Linné 1758.
Plumularia pinnata Lamarck 1816.
Plumularia echinulata Lamarck 1816.
Plumularia similis Hincks 1859.
/ Anisocalyx setaceus Heller 1868.
Plumularia helleri Hincks 1872.
Plumularia elegantula G.-0. Sars 1874.
Kirchenpaueria sp. Jickeli 1883.
Plumularia hians Marktanner 1890.
IL est possible que l’on doive ajouter à ces synonymes la P.
fragilis d'HAMANN.
Si de nouvelles recherches permettent de constater la pré-
sence d’un nématophore derrière l’hydrothèque de la Plumu-
laria curvata de JâipernozmM (1904) (syn. : P. magellanica
646 M. BEDOT.
Hartlaub 1905), cette espèce devra être placée dans le genre
Kirchenpauerta.
On doit également faire rentrer dans ce genre la Plumu-
laria unilateralis de Rrreute (1907), qui n'a pas de néma-
tophores pleurohydrothécaux mais est pourvue, au-dessous
de lhydrothèque, d’une nématothèque en forme de pelle
(shovel-shaped), et, au-dessus de l’hydrothèque, d'un némato-
phore nu (unprotected sarcopore). Ses gonothèques ont des
côtes longitudinales et des épines. Cette epèce diffère de X. pin-
nata par la disposition de ses hydroclades. Les deux plans dans
lesquels ils sont: disposés se coupent sous un angle très aigu,
de sorte qu'à première vue, la colonie parait n'avoir qu’une
seule rangée d’hydroclades.
La Plumularia ventruosa de Bizrarp (1913) n’a pas de néma-
tophores pleurohydrothécaux mais seulement 2 nématothèques
médianes monothalamiques, l’une au-dessous, l’autre au-dessus
de l’hydrothèque. Les gonothèques sont inconnues. IL est pos-
sible que de nouvelles recherches sur la structure de ses né-
matophores permettent de la placer dans le genre Xtirchen-
pauertia.
Quant au genre Diplocheilus, il comprendra provisoirement
les autres espèces que BaLe plaçait dans les Airchenpaueria,
soit: Diplocheilus productus, et D. mirabilis (syn.: D. allmani).
INDEX BIBLIOGRAPHIQUE
1883. Azcmax, G. J. Report on the Hydroidu... P. 1. Plumularidae
Rep. Scient. Results Voyage CnazLexGer (Zool.). Vol. 7,
55 pp., 20 pl. London.
1884. Baze, W. M. Australian Museum. Catalogue of the australian
Hydroid Zoophytes. Sydney.
1894. — Further notes on Australian Hydroids, with descriptions of
some new species. Proc. R. Soc. Victoria (n. s.). Vol. 6, pp.
93-117, pl. 3-6. Melbourne.
1914. — Report on the Hydroida collected in the Great Australian
Bight and others Localities. Biological Results of the Fishing
1911.
1916.
190%.
1912.
1913.
1898.
1899.
1882.
1905.
1883.
1890.
1900.
SUR LE GENRE KIRCHENPAUERIA. 647
Experiments carried on by the F. J. S. Expzavour, 1909-14.
Vol: 2. P. 1. 62 pp.. 7 pl. Sydney.
Bevor, M. Notes sur les Hydroïdes de Roscoff. Arch. Zool.
exper. (5). Vol. 6, pp. 201-228, pl. 11. Paris.
— Matériaux pour servir à l'histoire des Hydroïdes. 5" Période.
Rev. suisse Zool. Vol. 24, pp. 1-349. Genève.
BrzLarp, A. Contribution à l'étude des Hydroïdes. Ann. Sc. nat.
(Zool. 8). Vol. 20, pp. 1-248, pl. 1-6. Paris.
— Hydroides de Roscoff. Arch. Zool. exper. Vol. 51, pp. 459-
}78. Paris.
— Les Hydroïdes de l’'Expédition du Siboga. 1. Plumularides.
Siboga-Expéditie, VII a. Leiden.
Boxxevie, K. Veue norwegische Hydroiden. Bergens Museum
Aarbog. 1898, n° 5. 16 pp., 2 pl. Bergen.
— Hydroida. Den norske Nordhavs-Expedition 1876-78. XX VI.
Zoologi. 104 pp., 1 carte. Christiania.
Hawaxx, O. Der Organismus der Hydroidpolypen.lena.Zeitschr.
Naturwiss. Bd. 15, pp. 473-544, pl. 20-25. [ena.
Harrcaus, C. Die Hydroiden der magalhaensischen Region
und chilenischen Küste. Zool. Jahrb. Suppl. Bd 6. Fauna
chilensis, Bd 3, pp. 497-714. Jena.
. Herrer, C. Die Zoophyten und Echinodermen des A driatischen
Meeres. Verh. zool. botan. Ges. Wien. Bd. 18. Beïlage.
88 pp., 3 pl. Wien.
. Hixcks, T. À Aistory of the british Hydroid Zoophytes. 2 vol.,
pl. London.
. — Note on Prof. Heller's Catalogue of the Hydroida of the
Adriatic. Ann. Mag. nat. Hist.(4), vol. 9, pp. 116-121. London.
. Jâivernozu, E. Mitteilungen ueber einige von der. Schwedischen
Antarctic-Expedition 1901-1903 eingesammelte Hydroiden.
Arch. Zool. exper. (4) vol. 3, Notes et Revue, pp. 1-XIV.
Paris.
Jiexeur, C. F. Der Bau der Hydroidpolypen. Morphol. Jahrb.
Bd. 8, pp. 373-416, 560-680, pl. 16-18, 25-28. Leipzig.
Markranxer-TurxererscHer, G. Die Hydroiden des k. k. natur-
historischen Hofmuseums. Ann. naturhist. Hofmus. Bd. 5,
pp. 195-286, pl. 3-7. Wien.
Nurrixe, C.C. American Hydroids. P.1. Plumularidae. Smith-
sonian Inst. U. S. nat. Mus. Special Bull. 285 pp., 34 pl.
Washington.
648
1907
1874
M. BEDOT.
. Rireuie, J. The Hydroids of the Scottish National Antarctice
Expedition. Trans. R. Soc. Edinburgh. Vol. 45, P. 2, pp.
513-545, pl. 1-3. Edinburgh.
. Sars, G. O. Bidrag til Kundskaben om Norges Hydroïder.
Forhandl. i Videnskabs-Selskabet i Christiania (1873), pp.
91-150, pl. 2-5. Christiania.
1909. Srecaow, E. Æydroidpolypen der japanischen Ostküste. Teil I.
LOTS
1902
1904.
1908
Abh. math. phys. KI. Bayer. Akad. Wiss. Suppl. Bd. 1.
Abh. 6. 111 pp., 7 pl. München.
. — Hydroidpolypen der japanischen Osthuste. Teil Il. Abh.
math. phys. KI. Bayer. Akad. Wiss. Suppl. Bd. 3. Abh. 2.
162 pp. München.
. Torrey, H. B. The Hydroida of the Pacific, Coast of North
America. Univ. California Publications. Zool. Vol. 1, pp.
1-104, pl. 1-11. Berkeley.
— The Hydroids of the San Diego Region. Univ. California
Publications. Zool. Vol. 2, pp. 1-49, Berkeley.
. Warren, E. On a Collection of Hydroids mostly from the
Natal Coast. Ann. Natal Government Museum. Vol.1,pp.269-
355, pl. 45-48. London.
BULLETIN-ANNEXE
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
Février 1916 Eten HNTRA
Generalversammlung
DER
Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft
abgehalten am 27. u. 28. Dezember 1915 in ZüricH
im Zoologischen Institut der Forst- und Landwirtschaftsschule
der Eidg. Technischen Hochschule
unter dem Vorsitz von
Prof. Dr. Conrad KELLER
GESCHÂFTLICHE SITZUNG.
Montag, den 27. Dezember 1915.
Beginn der Sitzung : 5 ‘4 Uhr. |
Anwesend sind 14 Mitglieder.
1. Der Vorsitzende, Herr Professor Dr. C. KELLER, verliest
nachstehenden
BERICHT UBER DIE TATIGKEIT DER GESELLSCHAFT
in den Jahren 1914 und 1915.
HOCHGEEHRTE VERSAMMLUNG !
Indem ich den Mitgliedern der Schweizerischen Zoologi-
schen Gesellschaft die herzlichsten Grüsse von Zürich entbiete,
Lao
bedarf es vorerst meiner Entschuldigung, dass wir unsere
Jahresversammlung erst heute, statt zu Weiïhnachten 1914, ab-
halten. Die Gründe sind Ihnen nicht unbekannt. Die unselige
Lage von ganz Europa hat überall lähmend auf das Geistes-
leben eingewirkt und wir befolgten naturgemäss das Beispiel
der Schweizerischen Naturforschenden Gesellschaft, die ihre
Jahresversammlung in Bern fallen lassen musste. Ich hoffe,
dass Sie dem gegenwärtigen Jahrescomité deswegen Décharge
ertheilen.
Unsere Tätigkeit pro 1914 beschränkte sich lediglich auf die
Abwicklung der nütigsten Geschäftsangelegenheiten, zunächst
zur Erledigung der Preisaufgaben-Angelegenheit. Für die von
der Zoologischen Gesellschaft verlangte Bearbeitung der frei-
lebenden Nematoden sind drei Lüsungen eingegangen. Die
Jury stellte den Antrag, der von uns bestätigt wurde, dass der
ausgesetzte erste Preis im Betrag von 500 Franken an die
Herren HormMÂNNER und MENZEL zu verleihen sei, daneben
wurde die Arbeit von Herrn STEINER mit einem zweiten Preis
bedacht, die dritte Arbeit dagegen als unzureichend beurteilt.
Inzwischen ist die Nematodenarbeit der Herren HoFMAÂNNER und
MENZEL in unserem Fachorgan verüffentlicht worden, wobei
freilich finanzielle Gründe eine etwelche Kürzung veranlassten.
Als neue Preisfrage wurde anlässlich der Versammlung in
Genf das Thema gestellt : Die terrestrischen freilebenden Aca-
rinen der Schweiz. Ob eine Lüsung eingesgangen oder eine
solche in nächster Aussicht steht, ist mir zur Zeit nicht be-
kannt geworden.
Leider blieben unsere Anstrengungen, die frühere Bundes-
subvention von 1500 Franken auch für das Jahr 1915 zu erhalten,
ganz erfolglos, indem die Kriegslage die Behôürden in Bern
zwingt, am eidgenüssischen Budget überall Abstriche zu ma-
chen. Ob wir für das Jahr 1916 besseren Erfolg haben, muss
abgewartet werden. Ich habe an das Central-Komité der Schwei-
zerischen Naturforschenden Gesellschaft die Bitte gerichtet, uns
die Subvention pro 1916 zu retten ; indessen wollen wir im Hin-
blick auf die düstere Weltlage nicht allzu optimistisch sein.
RQ 2%.
Inzwischen hat Genf in dankenswerter Weise dafür gesorgt,
dass die Revue suisse de Zoologie weiter erscheinen konnte,
und es sind im Band 23 folgende Arbeiten zur Verôffentlichung
gelangt :
R. ne LesserT. Arachnides de l'Ouganda et de l'Afrique ortien-
tale allemande.
E. Axpré. Mesocælium carli n. sp. Trématode parasite d'une
Tortue africaine.
E. GræTErR. Tanymastyx lacunæ Guérin in einem schwetzeri-
schen Gewässer.
E. Anpré. Contribution à l'étude de la faune infusorienne du
lac Majeur.
B. Hormänxer und R. MENzEL. Die freilebenden Nematoden
der Schweiz.
J. Roux. Note sur les Potamonides de l'ile de Célèbes.
G. Monrer. Contribution à l'étude des Rotateurs du bassin
du Léman.
J. Roux. Sur les Potamonides qui habitent l'ile de Ceylan.
C. Emery. Histoire d'une société expérimentale de Polyergus
rufescens.
F. Brocner. Recherches sur la respiration des insectes aqua-
tiques.
R. pe LesserT. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou.
Ich habe hier noch einer weiteren litterarischen Unterneh-
mung zu gedenken. An unserer Sektionssitzung anlässlich der
Jahrhundertfeier der Schweizerischen Naturforschenden Ge-
sellschaft wurde 1915 in Genf auf Antrag von Herrn Prof. Th.
Sruper der Beschluss gefasst, sich mit der Denkschriften-
Kommission in Verbindung zu setzen, um die « Mollusken-
fauna des Neuenburger Jura » von P. Goper verüffentlichen zu
lassen. Die vorzüglich ausgeführten Abbildungen stünden zur
Verfügung und ein erklärender Text von Herrn Jean PIAGET
liegt vor, der etwa 1000 Manuscript-Seiten umfasst. Ich habe
auf Grund des bei mir eingegangen Aktenmaterials persônlich
PAYER
Schritte beim Denkschriften-Komité unternommen, um die
Sache in Fluss zu bringen.
Leider sind die Aussichten für eine rasche Publication der
Goper'schen Arbeit momentan ganz ungünstig. Sie kennen alle
die grosse Zuvorkommenheit der Denkschriften-Kommission,
aber ihr Präsident hat mir ein sehr dunkles Bild der momen-
tanen Situation entworfen. Da der Bund finanziell zurückhaltend
sein muss, s0 steht die Denkschriften-Kommission schon in der
nächsten Zeit vor bedenklichen Defiziten und wird Mühe haben,
die Denkschriften in bisheriger Weise fortzuführen. Es wurde
mir rundweg die Unmôglichkeit erklärt, zur Zeit das Geld für
die Gopgr sche Publikation aufzubringen.
Ich hielt es für meine Pflicht, Ihnen Klarheit in dieser Sache
zu verschaften.
Im Weiteren sei erwähnt, dass ein Gesuch um Subvention
für wissenschaftliche Forschungen einging, das wir in der
Sektionssitzung in Genf für die geschäftlichen Traktanden der
heutigen Jahresversammlung zurückstellen mussten.
Was die wissenschaftliche Thätigkeit der Sektionssitzung in
Genf 1915 anbelangt, so lagen zahlreiche Traktanden vor, deren
Erledigung die Zeit von 8 Uhr morgens bis 5 Uhr abends in
Anspruch nahm. Ueber Einzelheiten wird der Jahresbericht
der Schweiz. Naturf. Gesellschaft näheres mitteilen.
Schliesslich habe ich noch der Personalveränderungen im
Schosse der Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft zu ge-
denken. Durch den Tod verloren wir leider drei der hervorra-
gendsten Mitglieder im Laufe der beiden letzten Jahre, näm-
lich Prof. Eugène DeLesserr in Lutrv, sodann Prof. Hugo
KRroNECkER in Bern, verstorben am 6. Juni 1914, und Prof. Ar-
nold LaxG in Zürich, der am 30. November 1914 sein arbeitsrei-
ches Leben beschloss. Sie kennen alle die wissenschaftlichen
Verdienste der Heimgegangenen und ich bilte Sie, deren An-
denken durch Erheben von Ihren Sitzen zu ehren.
Den Austritt aus der Gesellschaft haben genommen die
Herren Prof. Marney-Dupraz in Colombier, Prof. Dr. STAUr-
— 9, —
FACHER in Frauenfeld, C. Daur in Bern, R. Progsr in Bern, und
Dr. ROTHENBÜHLER in Bern.
Dafür sind Beitrittsgesuche an die Gesellschaft eingegangen
von den Herren Dr. J. FEHLMANX in Zürich, Dr. Max KÜPFER in
Zürich, Dr. N. Lerenixsky in Basel, Dr. O. SCHNEIDER-ORELLI
in Wädenswil, Eugen Paravicint in Zürich und Fräulein Dr.
Frieda Meyer in Zürich, sowie von den Herren Dr. HOFMÂNNER
und Dr. MENZEL.
Es kann nicht bezweifelt werden, dass in unserem Lande
noch verschiedene wissenschaftliche Elemente vorhanden sind,
die uns gern beitreten, sofern unserseits eine Anregung erfolet.
Indem ich Sie bitte, mit Ihrer Werbethätigkeit einzusetzen,
um unseren Mitgliederbestand zu vermehren, erkläre ich die
heutige Jahresversammlung für erôffnet.
2. Da der Quästor, Herr Dr. R. DE LESSERT in Genf, aus Ge-
sundheitsrücksichten verhindert war, an der Sitzung teilzu-
nehmen, hat er einen Rechnungsbericht zu Handen der Ver-
sammlung eingesandt, der vom Präsidenten verlesen wird und
aus dem sich ergibt, dass die Gesellschaft über ein Saldo von
Frs. 1564.40, resp. unter Abrechnung der für die Acarinen-
Preisaufgabe reservierten 500 Frs., über ein Saldo von 1064.40
Franken verfüugt, über dessen Verwendung die Jahresversamm-
lung zu beschliessen hat.
In einem ebenfalls schriftlich vorliegenden Prüfungsbericht
der Rechnungsrevisoren (Prof. E. Anpré in Genf und Prof. H.
BLanc in Lausanne) wird Déchargeerteilung an den Quästor
vorgeschlagen. Diesem Antrag wird von der Versammlung mit
bestem Dank an Herrn Dr. pe Lesserr beigestimmt.
Auf Antrag Herrn Dr. Bepor's wird sodann von dem zur Ver-
fügung stehenden Geld 1000 Frs. dem Kapital zugewiesen und
der Rest zur Deckung der laufenden Ausgaben bestimmt.
3. Zur Aufnahme in die Gesellschaft haben sich folgende
acht Kandidaten gemeldet und sind dem Reglement entspre-
chend empfohlen :
PAGES
Dr. J. W. FEHLMANN, Priv. Doz. an der Eidg. Technischen
Hochschule in Zürich.
Dr. Rich. Menzez, Assistent an der Zoologischen Anstalt der
Universität in Basel.
Dr. Bartholomé Hormänner, Professor am Gymnasium in
Chaux-de-Fonds.
Dr. Max KüPrEr, Assistent am Zool. Institut der Universität
Zürich.
Dr. N. Lesepinsxy, Basel.
Fri. Dr. F. Meyer, Zürich.
Dr. O. Scaxeiper-ORELLI, Assistent an der Eidg. Versuchs-
Station in Wädenswil.
Eugen Paraviani, Assistent an der landwirtschaftlichen Ab-
teilung der Eidg. Technischen Hochschule in Zürich.
Sämtliche Kandidaten werden einstimmig als Mitglieder in
die Gesellschaft aufsenommen.
4. Da die Frist (15. Dez. 1915) für die vor zwei Jahren in Genf
ausgeschriebene Preisaufgabe : « Die terrestrischen, freileben-
den Acarinen der Schweiz » verstrichen ist, ohne dass Bearbei-
tungen des Themas eingegangen wären, musste in der Ange-
legenheit ein neuer Beschluss gefasst werden.
Herr Dr. Bepor schlägt vor, den Termin für die Bearbeïitung
der Preisaufgabe über die schweizerischen Acarinen bis zum
15. Dezember 1916 zu verlängern. Daran anschliessend bean-
tragt Herr Professor STEINMANX eventuell neben dieser Preis-
aufgabe noch eine zweite aufzustellen, welche die an der biolo-
gischen Selbstreinigung der schweizerischen Gewässer betei-
ligten Organismen zum Gegenstand haben soll, indem der
Antragsteller zur Begründung dieser Themawahl besonders
hervorhebt, dass die betr. Verhältnisse in der Schweiz von
den bis jetzt hauptsächlich studierten in Deutschland wesent-
lich verschieden zu sein scheinen.
Im Verlauf der Diskussion, an der sich die Herren SURBEGK,
FEHLMANN, STEINMANN, BEpoT. KELLER, LINDER, HESCHELER und
SrroHL beteiligen und bei der auch die Frage aufseworfen
"
— v | —
wurde, ob der Vorschlag eines biologischen Themas keine
Kollision mit früheren Beschlüssen der Gesellschaft betr. den
faunistischen Charakter der auszuschreibenden Preisaufgaben
befürchten lässt, wird das Thema einer zweiten Preisaufsabe
auf Antrag Herrn Dr. SurBecx, schliesslich folgender massen
formuliert : Die Wirkung organischer Verunreinigungen auf
die Fauna der schweizerischen fliessenden Gewässer. Die bei
der Bearbeitung eines solchen Themas notwendig werdende
Prüfung der bis jetzt geltenden Einteilung der fraglichen Tiere
in Katarrhobien, Saprobien usw. führt nach der Meinung des
Antragstellers von selbst zur Behandlung des biologischen
Selbstreinigungsproblems der Gewässer.
In der Angelegenheit der Preisaufgaben wird demnach be-
schlossen : ;
1. die Preisaufgabe von 500 Frs. über die terrestrischen
freilebenden Acarinen erneut für 1916 auszuschreiben (End-
termin : 15. Dez. 1916).
2. eine neue Preisaufwabe von 500 Frs. über die Wirkung
organischer Verunreinigungen auf die Fauna der schweizeri-
schen fliessenden Gewässer zur Bewerbung gelangen zu lassen
und für deren Bearbeitung zwei Jahre in Aussicht zu nehmen
(Endtermin demnach : 15 Dez. 1917).
5. Der Präsident gibt weiter verschiedene Zuschrifien, die
er erhalten hat, bekannt, so zunächst die Entschuldigungs-
schreiben der Herren Prof. BLANC, FunrMaNx und Güôzpt, die
an der Sitzung in Zürich nicht teilnehmen konnten.
Weiter verliest er ein Gesuch zweier Mitglieder der Gesell-
schaft, der Herren Dr. C. Janickt und Dr. M. Weger, welche die
Schweizerische Zoologische Gesellschaft bitten, ihre vor allem
in der Fischereistation von Boudry (Neuchâtel) vorgenommenen
experimentellen Untersuchungen über die Infektionswege von
Bothriocephalus latus durch Zuweisung von 150 Frs. zu unter-
stützen. Die Versammlung, aus deren Mitte die Herren BEDor,
HescHELER und KELLER das Wort ergreifen, anerkennt die
grosse Bedeutung der angestellten Versuche, müchte aber
COR ner
ohne reifliche Erwägung keinen Präcedenzfall schaffen und ràt
den Gesuchstellern in Anbetracht der prinzipiellen Bedeutung
der Sache und des Umstandes, dass das Gesuch vom diesjährigen
Jahreskomitee nicht durchberaten worden ist, ihre Bitte dem
Jahreskomitee für 1916 erneut einzureichen. Herr Prof. KELLER
cibt dabei speziell der Meinung Ausdruck, dass für eine solche
Untersuchung sicher verhältnissmässig leicht kleine Subven-
tionen von den am Ausfall der Versuche besonders interes-
sierten kantonalen Regierungen zu erhalten sein sollten.
Ein in letter Stunde eingelangtes, von den Herrn A. Hess
und Karl Daur in Bern unterzeichnetes Schreiben der Schwei-
zerischen Gesellschaft für Vogelkunde und Vogelschutz sucht
die Schweizerische Zoologische Gesellschaft für eine Reorga-
nisation des von der Eidg. Ornithologischen Commission her-
ausgegebenen Aandkatalogs der schweizerischen Vügel zu
gewinnen und lenkt die Aufmerksamkeit der Gesellschaft auf
eine am 16. Oktober 19i5 von der Schweiz. Gesellschaft für
Vogelkunde und Vogelschutz an das Departement des Innern
gerichtete Eingabe, in der die genannte Gesellschaft ein Mit-
spracherecht bei der Aufstellung des neuen Handkatalogs der
schweizerischen Vügel beansprucht.
Herr Prof. LiNpER (Lausanne) wirft zunächst die Competenz-
frage der heutigen Versammlung auf und stellt danach den
Antrag, über die Zuschrift zur Tagesordnung überzugehen, falls
nicht Gegenantrag gestellt wird. Herr Prof. Kezrer (Zürich)
macht weiter auf den stark polemischen Charakter der Eingabe
aufmerksam und warnt ganz allgemein die Gesellschaft vor ein-
seitiger Parteinahme in solchen Angelegenheiten. Nachdem
jedoch Herr Dr. Brerscner (Zürich) eindringlich die Notwendig-
keit einer Reorganisation des Handkatalogs verteidigt hat und
seinerseits die Gesellschaft ersucht hat, sich für die Sache zu
interessieren, zieht Herr Prof. LINDER seinen Antrag zurück und
es kommt zu einer Diskussion, an der sich die Herren BEnor,
BrerscHER, HescHEeLErR und Kezrer beteiligen. Das Ergebnis
lässt sich in der Hauptsache dahin formulieren, dass eine Erôr-
Pt à
RES Dre
terung der Frage im Schosse der Schweizerischen Zooïogischen
Gesellschaft nichtausgeschlossen sein soll, dass aber eine sofor-
tige Entscheidung,:ohne dass die Angelegenheit ausdrücklich
auf der Tagesordnung gestanden hatte und ohne dass die in der
Eidg. Ornithologischen Commission befindlichen Mitglieder
der Gesellschaft Gelegenheit zur Æusserung gehabt hätten,
unter keinen Umständen angängig ist. Aus denselben Gründen
wäre auch die Einsetzung einer besonderen Commission seitens
der Schweiz. Zoologischen Gesellschaft nicht korrekt, da ein
solcher Schritt bereits eine Stellungnahme in der Angelegenheit
bedeuten würde. Die Eingabe soll demnach an das nächstjährige
Jahreskomitee weitergeleitet werden.
6. Bei der Bestellung des Bureaus für 1916 wird zunächts
Lausanne als Vorort gewählt, sodann Herr Prof. Dr. H. BLANC
in Lausanne einstimmig zum neuen Jahrespräsidenten ernannt
und ihm überlassen, die weiteren Mitglieder des Lausanner
Jahreskomitees, also den Vizepräsidenten und den Aktuar selbst
zu bestimmen. Quästor und Generalsekretär bleibt Herr Dr.
R. DE LESSERT in Genf.
Nachdem noch Herr Prof. Lixper als einziger anwesender
Vertreter Lausanne s die Schweiz. Zoolog. Gesellschaft im
Voraus zu ihrer nächstjährigen Tagung in Lausanne herzlich
willkommen geheissen hat, hebt der Präsident um 7 Uhr die
Sitzung auf.
Um 7 ‘2 Uhr vereinigten sich zwôlf der in Zürich anwesenden
Mitglieder und zwei Gäste zu einem einfachen, vom Jahres-
komitee offerierten Abendessen in der Schmiedstube.
VWVISSENSCHAFTLICHE SITZUNG.
Dienstag, den 28. Dezember 1915.
Die Sitzung wird um 8 ‘} Uhr durch den Präsidenten erôft-
net. Anwesend sind 31 Mitglieder und 9 Gäste.
Vor der Anhôrung der wissenschaftlichen Vorträge wird noch
die tagszuvor unterbliebene Neuwahl der Rechnungsrevisoren
vorgenommen, als welche für 1916 von der Gesellschaft be-
stimmt werden die Herren Professor Dr. K. HESCHELER (Zü-
rich) und Dr. G. SurBEck (Bern).
Der Präsident erinnert sodann nochmals ausdrücklieh an die
auf dem Programm bereits festgesetzte Maximaldauer von
zwanzig Minuten für die einzelnen Vorträge und es folgen da-
nach die Mitteilungen der Herren :
1. Dr. G. SreiNer (Thalwil) : a) Ueber das Verhältnis der
marinen freilebenden Nematoden zu denen des süssen Wassers
und der Erde ;
b) Demonstration einiger interessanter Formen freilebender
Nematoden.
2. Prof. Dr. Paul STEINMANx (Aarau) : Zur Biologie von Oligo-
neuria rhenana.
Diskussion : Herr Direktor Dr. Ris.
3. Prof. Dr. M. Sraxpruss (Zürich) : Vorweisungen aus neue-
ren Zuchtergebnissen des Berichtenden.
Gegen 10 Uhr wird die Sitzung für eine halbe Stunde unter-
brochen, um den Anwesenden Gelegenheit zu geben, sich
an einem im Lichthof des Landwirtschaftsgebäudes eingerichte-
ten Buffet zu restaurieren.
Danach folgen die weiteren Mitteilungen der Herren :
4. Dr. CG. Janiokt (Basel) : Wezitere Beobachtungen an parasi-
tischen Arten der Gattung Paramoeba Schaudinn (mit Demon-
stration mikroskopischer Präparate).
5. Dr. C. Wazrer (Basel) : Zur Entwicklung torrenticoler
Hydracarinen (mit Demonstration mikroskopischer Präparate).
6. Dr. K. Brerscuer (Zürich) : Vergleichende Untersuchungen
über den Vogelzug (Schweizerisches Mittelland und Elsass-
Lothringen).
Diskussion : Herr Dr. Fiscaer-SiGwarrT.
æ .
CT AE"
Tree
7. Dr. Max KüpPrer (Zürich) : Über die Sehorgane der Pecti-
niden (mit Demonstration mikroskopischer Präparate).
8. Dr. O. Sonxeiner-OrELLI (Wädenswil) : Über intermediäre
Typen bei Schizoneura lanigera.
Diskussion : Herr Prof. C. KELLER.
9. Dr. N. LesenixsxyY (Basel): Demonstration der Embryonal-
entwicklung des Vogelbeckens an Hand von Wachsplattenmo-
dellen.
Nach diesen Mitteilungen fand unter Führung Herr Prof.
Kezzer’s eine Besichtigung der im Lichthof des Forst- und
Landwirtschaftlichen Institutes aufgestellten Haustiersamm-
lung statt, wobei Herr Prof. KeLLER die nôtigen Erläuterungen
zu den aus verschiedenen prähistorischen und historischen Pe-
rioden stammenden Objekten gab.
Damit fand die Sitzung um 1 Uhr ihr Ende.
An dem darauf folgenden Mittagessen auf der Schmiedstube
beteiligten sich achtundzwanzig Mitglieder und fünf Gäste.
Herr Professor ZscHoxke (Basel) dankte bei dieser Gelegenheit
den Zuürcher Freunden für den der Gesellschaft bereiteten
Empfang und gab dem Wunsche Ausdruck, dass die Zoologie
in Zürich stets weiter gedeihen môüge.
Um 34 Uhr versammelten sich die Mitglieder im Hôrsaal
des Zoologischen Institutes der Universität, wo Herr Pro-
fessor HESCHELER die Anwesenden willkommen hiess und mit
wenigen Worten das Andenken an Herrn Professor Arnold
LaxG in stille Erinnerung zurückrief, dem diese neue Stätte
wissenschaftlicher Tätigkeit Weihe und Werden verdankt und
dessen von Herrn E. Kôberle (Zürich) gemaltes Bild im Hôr-
saal Aufstellung gefunden hatte. Danach gab Herr Professor
HEscHELER an Hand zweier Planskizzen einige Erläuterungen
zu leichterer Orientierung im neuen Zoologischen Institut und
Museum, worauf sich die Anwesenden freier Besichtigung der
Räumlichkeiten zuwandten.
Der Aktuar : J. Srrouz.
Mitgliederverzeichnis
DER
Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft
(30. Dezember 1915)
Ehrenpräsident :
Sruper, Th., Prof., D', Gutenbergstrasse 18, Bern.
A. Lebenslängliche Mitglieder :
Gœæzpi, E. A., Prof., D’, Zieglerstrasse 36, Bern.
Jaxickt, C., D', Priv.-Doc., Zoologische Anstalt, Universität, Basel.
* Wicaezui, J., Prof. D', Künigl. Landesanstalt für Wasserhygiene,
Berlin-Dahlem.
B. Ordentliche Mitglieder :
ANDRÉ, E., Prof., D', Délices 10, Genève.
Bazrzer, F., Prof., D', Zoolog. Inst., Würzburg (Deutschland).
* Bargey, Aug., Expert-Forestier, Montcherand s/Orbe (Vaud).
Baumanx, F., Priv.-Doc., D', Zoolog. Institut, Bern.
BaumeisrTEer, L., D', Strassburgerallee 15, Basel.
Beoor, M., D', Directeur du Muséum d'Histoire naturelle, Genève.
Bécuix, F., D’, rue Pourtalès 10, Neuchatel.
BérAxeck, Ed., Prof., D', Université, Neuchâtel.
BLaxc, H., Prof., D', Avenue des Alpes 6, Lausanne.
BrocaJ.,/ Prof; D°-Solothurit:
BLocu, L., D', Bahnhofstrasse 15, Grenchen, Solothurn.
Bzunrscuui, Prof., D', Anat. Inst. Universität, Frankfurt a. M.
* BozzixcEer, D', Hebelstrasse 109, Basel.
* Bornaauser, Conrad, D', Marschalkenstrasse 31, Basel.
Bossnarp, H., Prof., D', Hochstrasse 68, Zürich 7.
Brerscuer, K., D', Weinbergstrasse 146, Zürich 6.
Bucxiow, Ed., Prof., D', Blonay s/Vevey.
Burckaaror, Gott., D', Grellingerstrasse 55, Basel.
von BurG, G., Bez. Lehrer, Olten.
* Buri, R., D', Schlachthoftierarzt, Bern.
Bürrikorer, John, D', Direktor d. zoologischen Gartens, Rotterdam
(Holland).
Carz, J., Priv.-Doc., D', Muséum d'Histoire naturelle, Genève.
Daiser, Marie, D', Priv.-Doc. u. Prosektor, Gloriastr. 72, Zürich 5.
Decacxaux, Th., Prof. au Gymnase, Neuchâtel.
— 13 —
* Dorou, F., D', rue du Trône 20, Bruxelles.
* Dugrsr, J. Ulr., Prof. D', Universität, Bern.
Excez, À., Champ-fleuri, Lausanne.
Escuer-Kënoic, J., D', Gotthardstrasse 35, Zürich 2.
Faës, H., D’, Petit-Montriond, Lausanne.
Favre, J., D', Priv.-Doc., Muséum d'Histoire naturelle, Genève.
* Kenzmanx, F. W., D', Priv.-Doc. an der Eidg. Techn. Hochschule,
Forst- und Landwirtschaftssæebäude, Zürich.
Fezix, W., Prof., D', Küllikerstrasse 7, Zürich 7.
Fiezo, H. Haviland, D', Direktor des Concilium bibliographicum,
Kôllikerstr. 9, Zürich 7.
Fiscuer-Sicwarr, H., D', Zofingen.
Forez, Aug., Prof., D', Yvorne (Vaud).
Funrmaxx, O., Prof., D', Université, Neuchatel.
Gaxpozri-Horxyozp (de), Priv.-Doc., D', Beaulieu, Champel (Genève).
Gis1, Julie, D', Lehrerin, Austrasse 29, Basel.
Greppix, L., Dr, Direktor, Rosegg bei Solothurn.
Hescuecer, K., Prof., D', Mainaustrasse 15, Zürich 8.
Hormänxer, Barthol., D', Prof. au Gymnase, La Chaux-de-Fonds.
Horrmaxx, K., D' med., Albananlage 27, Basel.
Jaquer, Maurice, Prof., D', Cité de l'Ouest, Neuchâtel.
* KarHariNEr, L., Prof., Université, Fribourg,
Kerrer, C., Prof., D', Asylstrasse 17, Zürich 7.
* Küprer, Max, D', Klausstrasse 20, Zürich 8.
*# La Rocue, R., D', Hagenthal (Elsass).
* Leseomsky, N., D', Birsigstrasse 137, Basel.
Lesserr (de), R., D', route de Florissant 3, Genève.
Leuraarpor, F., D’, Liestal.
Lixper, C., Prof., D', avenue Jolimont, Lausanne.
Marceuix, R. H., D', chemin de la Montagne 43, Chène-Bougeries
(Genève).
Mexzes, Richard, D', Zoologische Anstalt der Universität, Basel.
Mermop, G., D', Muséum d'Histoire naturelle, Genève.
* Meyer, Frieda, D', Eidmattstrasse 38, Zürich 7.
Morrox, W., Vieux-Collonges, Lausanne.
Munisier, P., D’, Assistant, Lab. de Zool. de l'Université, Lausanne.
Musy, M., Prof., rue de Morat 245, Fribourg.
Nansez, P., D', Terreaux, Lausanne. |
Neeracuer, F., D', Unterer Rheinweg 144, Basel.
Paravicini, Eug., Assistent an der Eidg. Technischen Hochschule,
Landwirtschaftliche Abteilung, Zürich.
Penar», Eug., D', rue Tæpffer 9, Genève.
*Peyer, Bernh., D', Steigstrasse 76, Schaffhausen.
PræuLer, H., Apoth., Schaffhausen.
Piacer, J., Poudrières 31, Neuchâtel.
Picrer, Arnold, D', Priv.-Doc., route de Lausanne 102, Genève.
Prieur, E., Prof. D’, Parcs 2, Neuchâtel.
Reviczion, Pierre, D', Naturhist. Museum, Basel.
Ris, F., D', Direktor, Rheinau (Zürich).
Roux, Jean, D', Naturhist. Museum, Basel.
Rusezti, O., Prof., D', Alpeneckstrasse 7, Bern.
SARASIN, Fritz, D', Spitalstrasse 22, Basel.
SARASIN, Paul, D', Spitalstrasse 22, Basel.
*Scaäppi, Th., D', Josephstrasse 67, Zürich.
SCHNEIDER, Gust., Präparator, Grenzacherstrasse 67, Basel.
SCHNEIDER-ORELLI, O., D', Eidg. Versuchsanstalt, Wädenswil.
*SrAmPrLi, Ruth, D', Falkenplatz, Bern.
SrTAnDruss, M., Prof., D', Kreuzplatz 2, Zürich 7.
STECK, Theodor, D', Naturhist. Museum, Bern.
STEHLIN, H. G., D', Naturhist. Museum, Basel.
* STEINER, G., D', Thalwil.
STEINMANN, P., D', Prof. a. d. Kantonsschule, Aarau.
STINGELIN, Theodor, D', Olten.
STOLL, O., Prof., D', Klosbachstrasse 75, Zürich 7.
SrrAssER, H., Prof., D', Anat. Institut, Bern.
SrroHL, J., Prof., D', Zool. Institut, Universität, Zürich.
SURBECK, G., D", Schweiz. Fischereiinspektor, Bern.
Tueicer, À., Prof., D', Kantonsschule, Luzern.
TarésauD, M., Prof., D', Ring 12, Biel.
*Tæœprmaxx, W., D', Institut Zoologique, Fribourg.
Wazrer, Ch., D', Tanzgasse 2, Basel.
Weser, Edmond, D', Muséum d'Histoire naturelle, Genève.
Weser, Maurice, Laboratoire de Zoologie, Université, Neuchâtel.
WETTSTEIN, E., Prof., D', Attenhoferstrasse 34, Zürich 7.
YuxG, Emile, Prof., D', rue St-Léger 2, Genève.
*ZeuxrNer, L., D', Instituto agronomico, Bahia (Brésil).
Zscaokke, F., Prof., D', Universität, Basel.
Die Mitglieder, deren Namen mit einem * versehen sind, gehüren der Schweïizerischen Na-—
turforschenden Gesellschaft nicht an. ‘
SCHWEIZERISCHE ZOOLOGISCHE GESELLSCHAET
Die Schweizerische Zoologische Gesellschaft schreibt fol-
gende zwei Preisaufgaben aus :
1. Die terrestrischen freilebenden Acarinen der Schweiz.— Für
die beste, den wissenschaftlichen Ansprüchen entsprechende
Bearbeitung dieses bereits seit zwei Jahren ausgeschriebenen
Themas ist ein Preis von 500 Fr. vorgesehen und als Endtermin
der Einreichung der 15. Dezember 1916 bestimmt.
2. Die Wirkung organischer Verunreinigungen auf die Fauna
der schweizerischen fliessenden Gewässer. — Für die beste,
den wissenschaftlichen Ansprüchen entsprechende Bearbeitung
dieses Themas ist ebenfalls ein Preis von 500 Fr. in Aussicht
genommen, als Endtermin der Einreichung jedoch erst der
15. Dezember 1917 festgesetzt.
Alle Zoologen der Schweiz und des Auslandes kônnen sich
um die Preise bewerben.
Die Manuskripte sind vor dem für jede Preisaufgabe fest-
gesetzten Endtermin dem jeweiligen Jahrespräsidenten der
Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft zu Handen der
Gesellschaft einzusenden.
Jedes Manuskript ist mit einem Motto zu versehen und soll
bei seiner Einsendung den Namen des Bearbeiters nicht er-
kennen lassen. Ein dasselbe Motto als Aufschrift tragender,
versiegelter Umschlag soll Name und Adresse des Autors ent-
halten. Die Arbeiten künnen in deutscher, franzôsischer oder
italienischer Sprache abgefasst werden.
Das JAHRESKOMITEE DER SCHWEIZ.
Zoo. (GESELLSCHAFT.
SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE
La Société Zoologique Suisse a décidé :
1° De prolonger jusqu’au 15 décembre 1916 le concours
ouvert en 1913 sur le sujet : Etude sur les Acariens terrestres
(non parasites) de la Suisse.
2° De délivrer un prix de 500 fr. à l’auteur de la meilleure
étude scientifique sur : L'action des détritus organiques sur la
faune des eaux courantes de la Suisse.
Tous les Zoologistes suisses ou d’autres nationalités peuvent
concourir.
Pour le second concours, les mémoires doivent être envoyés,
sans révéler le nom de l’expéditeur, avant le 15 décembre 1917,
au Président en charge de la Société Zoologique Suisse. Ils doi-
vent porter en tête du manuscrit une devise reproduite sur une
enveloppe cachetée, renfermant le nom et l'adresse de l’auteur.
Ils peuvent être écrits en français, allemand ou italien.
LE COMITÉ DE LA SOCIÉTÉ
ZOOLOGIQUE SUISSE.
REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE
ANNALES
SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE
MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE
PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE
Maurice BEDOT
DIRECTEUR DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE
AVEC LA COLLABORATION DE
MM. les Professeurs E. Béranxeck (Neuchâtel), H. Bcaxc (Lausanne),
O. Funnuaxx (Neuchâtel), T. Sruper (Berne), E. Yuxc (Genève)
el F. Zscuokke (Bâle).
TOME 21
Avec 95 planches
"Ra GENÈVE
IMPRIMERIE ALBERT KUNDIG
1916
EN VENTE CHEZ GEORG & LM LIBRAIRES A GNÈve.
s
ee
MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE
CATALOGUE
DES
| INVERTÉBRÉS DE LA SUISSE
Fasc. 1. SARCODINÉS par E. Penarn
Avec 8 figures dans le texte. Fr. 820
Fasc. 2. PAHYLLOPODES par Th. STINGELIN ie | 13
Avec 10 figures dans le texte. Fr, 8 — Re
r : Me
Fase. 3. ARAIGNÉES par R. de Lrsserr : 2
Avec 250 figures dans le texte. "Cr; 32706 A
ÈS
Fasc. 4. ESOPODES par J. Carz «2700
Avec CA figures dans le texte. Fr. 3/50,
Fasc. 5. PSÆEUMOSCORPIONS par R. de Lesserr
Avec 22 figures dars le texte. Fr. 250 5
Fasc. 6. INFUSOIRES par E. Axnvt | k
__ Avec 11 figures dans le texte. Fr, 12 —.
fase. 7. OLIGOCHÈTES par E. Picuer et K. Brerscuer.
Avec 43 figures dans le texte. . 1," FRERES
Fase. 8. COPÉRP DES par M. Taiésauv ‘te
Avec 75 figures dans le texte. Fr. .6150%%8
CATALOGUE IiLLUSTRÉ
DE LA
COLLE CTION LAMARCK
: A BRPE MT DD Eu: 4 Ce
MUSEUM D'HISTOIRE VATURELSE DE GENÈVE TES
TE Livraison > 4
BRACHIOPODES FOSSILES
22 pl: Le, Genève 1919... -
MN ras Livraison : re 4 D 1e
POLYPES, ANNÉLIDES et CONC ns rsstu IS
NP Rs pe 4°, — Genève 1912. Fa
3m Liv aison :
CONGAIFÈRES, on vai
VAE
*
QUIL
Demers
N
LE]
mn
+ L
+
CRE
He
CHA DE)
*
»
LICE]
+...
LD]
LR
+ + 0
vs...
*
*
.
"0 +
.
,
”
CRÉRLRORN 27
CÉHELOR RER
,
(RON EE
(4-8 pt
Le A
…
CRC
...
RER EN
Vs
CRPRCRE
CHE
.
F
PRCARORE
L4
+
C]
+
…_
à
LL]
L4
LA
LRO RE]
*
CRRRRRNRE ZE)
»
.
CHE]
PRCRORCE REPARER
1!
DCR)
LEE]
+
LSMR AS
CRAN]
.-
2]
LA
,
0
;
ï.
e
:
?
f:
*
ÿ
,
LRRRAEPER
DORE
RCE
LEE]
L
LI
»—.-.-3-
+.
+
LATE]
“..
LALEL]
»
-
.
,
...
LED)
LCR A]
LAC RAEPE]
CREER
CADEPCRTNPER
=
5
LP
SES
Nes
us ne
©
..
CHRMEENE
PRET
Re
.
PRESS
44
DERNIERE
.
2]
CRHPRPEN
ses
LIRE PE PRE]
… b
ER
“—
+
PARENT
Là fetes I
CREER NE
+
+ -
_..
17374 *i
4 4
CHERCHER },
+
LIRE
1
«-
LR 7
n
PHORCAT EEE
v
70
LP]
Cr
LI
+ du
CHAR
. + -
CRC]
F3.
“
0e
net à nette i
vor
lat