C.S RAriNESQUE
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autre , lorsque des mémoires en nécessiteraient plus de
quatre. Le nombre pourra aussi en être augmenté afin de
faciliter la publication des découvertes des correspondons,
sur-tout si le succès de l’entreprise répondait à la bonne
volonté que les rédacteurs mettront à la faire valoir (i).
Les auteurs d’ouvrages nouveaux ou de relations de voya-
ges, qui auraient pour sujet, l’avancement d’une partie quel-
conque des sciences physiques , ou de ces sciences dans toute
leur étendue, et qui désireraient que l’on fît connaître leurs
travaux par des analyses raisonnées ou extraits, feront par-
venir au bureau des Annales , ou chez nos correspondais,
deux exemplaires de leur ouvrage ; ils recevront, sur leur
demande , comme les auteurs des mémoires et dissertations,
des exemplaires tirés à part, des articles qui les concerne-
raient, s’ils le désiraient.
Les mémoires et dissertations peuvent être adressés au
bureau des Annales à Bruxelles, ou chez M. Méquignon-
Marvis, libraire de l’école de médecine à Paris, en hol-
landais, latin, anglais, allemand, espagnol, ou italien :
ils seront traduits avec la plus scrupuleuse exactitude : la
préface de l’ouvrage explique pourquoi la langue française
a été préférée pour la publication des Annales.
MM. les savans sont invités à employer la voie des léga-
tions et consulats de leur nation , afin de lever tout obsta-
cle à l’arrivée de leurs paquets. N’ayant pour but que l’uti-
lité générale, et aucune intention de s’occuper ’de politique,
les rédacteurs des Annales espèrent trouver assistance et
protection chez tous les gouverneinens, et de la part de tous
les dépositaires de l’autorité.
Comme il faut tout prévoir, dans le cas où la voie que
nous venons d’indiquer présenterait quelques obstacles en
certains pays, on s’en rapporte à MM. les auteurs pour cher-
cher le moyen le plus économique afin de faire parvenir
aux rédacteurs, des travaux auxquels ceux-ci attachent un
trop grand prix pour regarder à quelques frais, qui seront
sans doute toujours au-dessous de la valeur des moindres
mémoires.
Le prix de l’abonnement est de 5o fr. par année, 27 fr.
pour six mois et 14 fr. pour trois mois. Les personnes qui
désireraient s’abonner, doivent indiquer à dater de quelle
époque , afin qu’on leur adresse la collection. Si leur ahon-
(1) Messieurs les abonnés pourront juger du désir qu’ont les
rédacteurs de leur complaire , en considérant qu’au lieu de 4^
planches qu’eussent du contenir les quatre premiers volumes , il
en a été donné 71.
Ïïèment commençait du mois de juillet 1819 , elles auraient
droit a cinq volumes complets.
La poste étant une voie prompte et sure , les personnes
qui le jugeraient convenable et qui désireraient les Annales ,
peuvent s’y abonner chez MM. les directeurs de poste aux
lettres.
MM. les libraires qui voudront entrer en correspondance
avec l’éditeur des .Annales, pourront s’entendre avec MM. les
directeurs de poste, .à. moins qu’ils n’indiquent une autre
voie (qui leur serait plus avantageuse), et alors il en sera
fait usage. ' .
On peut en tout temps s’abonner chez M. WeissenbrücJi j
imprimeur du Roi, éditeur et l’un des propriétaires , chez
tous les directeurs de poste et libraires du royaume, et
principalement :
A Amsterdam , chez G. Dufour.
A La Haye, chez De Lyon.
A Liège., chez M Collard in.
A Bruges , chez Bogaert-Dumortier et Mme. la V8. De Moor.
A Paris, chez M. Mèquignon - Mcirvis , libraire de l’École Me
médecine (seul correspondant pour toute la France.)
A Londres, chez MM. Bossange , Masson et compagnie.
A Genève , chez MM. Manget et Cherbulier.
A Vienne , chez M. Artaria.
A St.-Pétersbourg , chez M. St. -Florent.
A Florence’ chez MM. Molinié Lundi et compagnie.
M. J. Franck , libraire allemand à Bruxelles , se charge de toutes
les demandes de l’Allemagne pour les Annales , qui se trouvent :
A Aix-la-Chapelle, ch
îez iVl. 6. A. May er.
A Bamberg , chez M. Kuschs.
A Bonn j chez M. Ad. Marcus.
A Berlin , chez MM. Dunker et Humblot.
A Cologne , chez M. Bachem.
A Darmstadt , chez MM. Heyer et Leske.
A Elberfeld, chez M. Burchler.
A Francfort , chèz M. Herman , libraire.
A Hanovre , chez MM. les frères Halin.
A Heidelberg , chez MM. Mohr et JVinser .
A Leipzick , chez M. Barth.
A Mayence , chez M. Florian Kapfenlerg.
A Munich, chez. M. Fleschman.
A Nuremberg , chez M. Schrag.
A Wurtzbourg, chez M. Schrag.
D’après le désir qui leur en a été généralement ma-
nifesté, les rédacteurs publieront en tête de l’un des
prochains volumes la liste nominative de MM. les Sous-
cripteurs aux Annales ; on est occupé en ce moment à
donner à cette liste toute l’exactitude désirable.
n
SUR LES GENRES
TRIDYNIA , STEIRONEMA ,
LYSIMA CHIA , etc.
AVEC
LA DESCRIPTION D’UNE NOUVELLE ESPÈCE.
Par M. RAFINESQUE.
\ ■"
SUR LE GENRE |S*
MANIS ,
ET
DESCRIPTION D’UNE NOUVELLE ESPÈCE :
MANIS CEONYX.
"Par le meme.
» ' Ô , | ’
à- A
Extrait de ia aome. livraison du jme tome des Annales
générales des Sciences physiques.
A BRUXELLES,
De l’Imprimerie de Weissenbrüch , Imprimeur du Roi,
rue du Musée , n6. io5y.
En se décidant à publier les Annales ‘ générales des
Sciences physiques , les rédacteurs ont pensé que cet ou-
vrage pouvait devenir, non-seulement un moyen de pro-
pager les connaissances humaines , mais encore , pour eux ,
l’occasion d’offrir, un tribut de gratitude aux savans qui
contribuèrent lé '-plus aux progrès décès connaissances.
Dans l’intention où ils sont de faire toujours paraître, sous
les auspices des savaîïs du premier ordre, chacun de leur vo-
lume, M. Alexandre de Humboldt a reçu l’hommage de la
première livraison , M.- Yan Swinden de la seconde , M . le
lieutenant-général Carnot de la troisième , M. Bancks de la
quatrième, M. Zéa de la cinquième, M, de Lacépède de la
sixième, M. Voila' de la septième. Chaque livraison (ou
volume) composée de trois cahiers, sera désormais précédée
du portrait du savant auquel en sera offerte la dédicace.
Les savans qui, pendant le cours d’une année, enverraient
aux Annales six articles où seraient jointes des planches, ou
dix sans figures, recevront, pour l’année suivante, les
Annales gratuitement et sans frais.
Les auteurs d’articles qui , non contens de les voir insé-
rés dans les Annales , désireraient qu’on en tirât à part un
certain nombre, voudront bien en prévenir l’éditeur, qui
se conformera à leurs désirs.
Les Annales paraissent par cahiers de huit feuilles , mê-
mes format et' caractère que ceux qui ont paru jusqu’ici,
le dernier jour de chaque mois ; ces cahiers seront dispo-
sés de manière que , réunis par trimestre, ils formeront
un volume ou livraison de /+oo pages 9 non compris les plan-
ches et tables.
Chaque cahier contiendra, de rigueur, quatre planches,
représentant des appareils ou instrumens propres*aux scien-
ces , des cartes ou vues nécessaires à l’intelligence des mé-
moires , ou des figures coloriées de plantes, animaux,
substances minérales, etc...... Ces planches, qui ne seront
jamais en moindre nombre que douze par volume* pour-
ront être accumulées dans un numéro aux dépens d’un
Sur les genres Tridynia > Steironema , Lysl -
MAC H IA j etc. AVEC LA DESCRIPTION D’UNE NOU-
VELLE ESPÈCE.
Par M. R AFINESQUE , prof, a VUriiv. de Lexington,
Depuis long-temps j’avais observé que les Lysimaques de
l’Amérique septentrionale présentaient plusieurs anomalies
dans le nombre et la forme de leurs étamines , que les bo-
tanistes avaient négligé d’énoncer. INuttall en taisant der-
nièrement la même observation , s’est décidé à diviser ces
plantes en deux sousrgenres , auxquels il n’a pas donné de
noms particuliers. 'De Candolle se plaint dans la flore fran-
çaise que èe genre n’est pas encore bien connu , et se de-
mande si on ne devrait pas le diviser. Ventenat en a séparé
une espèce dont il a formé $,on genre Lubinia qui a été
adopté ; ii n'en a pas été de même, et j’ignore pourquoi,
du nouveau genre également établi par Manch sous le nom.
de Naumburgia , et qui se compose de la Lysimachia Thyr-
siflora . 11 me semble que ce genre doit être entièrement re-
formé , et Je propose de le diviser en 6 genres, dont les
caractères principaux seraient les suivans :
i. Tbidynia. Calice 5-partite ; corolle rotiforme, 5-
partite. 5 Etamines inégales , tridynamique : filaments mo-
nadeîphes à leur base , filiformes , 3 plus longs ordinaire-
ment inférieurs. Capsule à 5 valves oligospermes : semences
ponctuées = Remarques . Dans ce genre comme dans tous
les suivans , le calice est égal , la corolle égale , le style
filiforme , le stigmate simple et la capsule uniloculaire,
Tridynia est l’abrégé de tridynamique. Les espèces suivan-
tes de Lysimaques appartiennent à ce genre : i, Quadrifo -
lia. 2. Angustifolia. 3. Racemosa. 4- Herbemonti. Elliot, 5,
Glauca. Espèce nouvelle dont voici la description.
Tridynia glauca. Glabre et glauque j feuilles opposées,
sessiles, lancéolées, àiguè’s, à base ciliée : pédoncules fili-
formes, droits, plus longs que les feuilles j sépales caîicinaux
lancéolés ? cuspîdçs ? plus courts que la corolle, dont le?
( 97 )
sépales sont obovales , entiers, obtus. =: C’est une petite
plante annuelle , qui s’élève de 6 à io pouces , et croît
dans le Kentucky, sur les collines qui bordent la rivière
Licking ; elle fleurit en juillet et porte des fleurs jaunes.
Tige grêle, souvent simple, flexueuse , tétragone, pédon-
cules axillaires opposés , épaissis au sommet ; anthères
arquées , longues , linéaires ; .capsule globuleuse.
2. Steironema. Cal. 4-6 partite ; corolle rotiforme, 4~6
partite. 4“ 6 Etamines égales un peu monadelph.es à leur
base et alternes avec autant de filaments. stériles ou dents
alongées intermédiaires. Capsule à 5 valves et polyspermes.
= Remarques. Ce genre contient aussi 5 espèces : il faut y
rapporter les Lysimachia ciliala , hybrida, heterophy lia, lon-
gifolia et reeo /uto. Nuttall. Cet auteur se demande si la L.
jiummularia doit y appartenir. Il s’est trompé en indiquant
les étamines libres, elles sont en effet légèrement monadei-
phes ou en anneau à leur base. Steironema signifie fila-
mens stériles.
3. Naumburgia. Manch. Cal. 5-y partite ; corolle rotifor-
me, 5-y partite; sépales étroits ; 5-7 étamines égales et li-
bres; capsule à 5 valves et polysperme. 11 faut* rapporter
à ce genre les Lysimachia thyrsiflora et capitata de Pursh.
4. Borissa. Cal. 5-partite; corolle campanulée. 5-fide ; 5
étamines égales et libres ? Capsule h 5 valves oligospermes ;
semences striées et ombiliquées. Ce genre dont le nom
U été employé par Gessner , ne contient qu’une espèce :
la Lysimachia linum stellatum. L.
5. Lysimachia. Lin. Cal. 5-partite ; corolle rotiforme ,
5-partite; 5 étamines égales et monadelplies à leur base;
capsule à 10 valves et polysperme. Hem. 11 faut y rap-
porter les Lysimachia vulgaris , decurrens , ephe niera , atro-
purpurea , dubia , punctata , nemorum , japonia et man-
mularia ; qu’il faut au reste observer de nouveau.
6. Lubinia. Ventenat. Cal. 5-partite ; corolle hypocrateri-
forme 5-partite; 5 étamines égales et libres ? Capsule à 5
valves? polysperme, mucronée. Hem. Une seule espèce : L.
Spathulata V. ou Lysimachia mauritiana .
( 98 )
Sur le genre Manïs et description d’une
NOUVELLE ESPÈCE MANIS CeÔNYX.
Par M. G. S. RAFINESQÜE, professeur de botanique 9
à Lexington.
Le genre Manis de Linné ne comprenait que deux
espèces, le Pangolin et le Plia ta gin ; ce dernier indiqué
comme existant en Asie et en Guinée , n’avait jamais été
trouvé dans les contrées intermédiaires. J’ai eu l’occasion,
d’examiner la dépouille d’un Phatagin, qui a été apportée
de Guinée et déposée dans le Muséum du Lycée d’his-
toire naturelle de New-York. J’ai remarqué que cet animal
différait essentiellement du Phatagin d’Asie , et je suis
parvenu a constater que le Phatagin d’Afrique n’est nul-
lement identique de celui ’ d’Asie , en sorte que le genre
Manis doit contenir trois espèces en deux sous-genres, que
je définis ainsi :
I. Sous-genre. Pangolin. Pangolinus. Pieds à 5 doigts,
longs ongles égaux ; queue plus courte que le corps.
i. Espèce. Pangolin a courte queue. Manis brachyura.
Raf.
M. brachyura. Erxl. M. peritadactyla. Lin.
Description. Queue presqu’aussi longue que le corps,
dessous du corps nu ; pieds écailleux intérieurement; cinq
ongles longs ,• égaux , entiers; écailles du corps arrondies ,
entières , tranchantes.
II. Sous-genre. Phataginus. Phatagin. Pieds à 4 doigts;
5 ongles inégaux, 4 très-longs et i intérieur très- court,
n’appartenant à aucun doigt visible ; queue plus longue
que le corps. — ■ C’est par erreur que l’on a attribué
4 ongles seulement aux Phatagins , ils en ont effectivement
5 ; mais ils n’ont que 4 doigts et i ongle sessile extrême-
ment court,’
( 99 )
2. Espèce. Pjsatagin tïucuspide. Manis trîcuspis. Eaf.
M. mctcroura. Erxl. M. tetradactyla. Lin.
Descr . Queue plus longue que le corps , qui est poilu
<en-dessous ; pieds poilus intérieurement., à 4 longs on-
gles entiers et i court intérieur ; écailles ovales, tricus-
pidées , épineuses.
3. Espèce. Phatagin Ceony x. -Manis Ceonyx. Raf, (Ceonyx
signifie ongles fendus.)
Descr. Queue plus longue que le corps, qui est poilu
en-dessous 5 pieds poilus intérieurement , à 4 longs on-
gles fendus et sillonnés , et i court intérieur * écailles
ovales - oblo ngues , obtuses ou érosées, entières, tran-
chantes. Longueur totale 3 pieds, dont la queue occupe
les 5 neuvièmes. Corps couvert de grandes écailles ova-
les, obîongues, obtuses, entières, ou rétuses , ou érosées,
lisses à l’extrémité , striées et carénées à la base , les an-
térieures plus ovales ; leur couleur est généralement
brunâtre. Gorge et bande longitudinale inférieure couvertes
de poils brunâtres. Queue applatie à peine convexe en des-
sus , plate dessous , à bords tranchans avec l’extrémité ob-
tuse. Tous les pieds à 4 doigts munis d’ongles longs ,
arqués, fendus, avec un sillon longitudinal ; un petit ongle
intérieur sans doigt , simple et entier ; tous les ongles
blanchâtres*
autre , lorsque des mémoires en nécessiteraient plus de
quatre. Le nombre pourra aussi en être augmenté afin de
faciliter la publication des découvertes des correspondais,
sur-tout si le succès de l’entreprise répondait h la bonne
volonté que les rédacteurs mettront à la faire valoir (1).
Les auteurs d’ouvrages nouveaux ou de relations de voya-
ges, qui auraient pour sujet, l’avancement d’une partie quel-
conque des sciences physiques , ou de ces sciences dans toute
leur étendue, et qui désireraient que l’on fît connaître leurs
travaux par des analyses raisonnées ou extraits, feront par-
venir au bureau des Annales , ou chez nos correspondais ,
deux exemplaires de leur ouvrage ; ils recevront, sur leur
demande , comme les . auteurs des mémoires et dissertations,
des exemplaires tirés. à part, des articles qui les concerne-
raient, s’ils le désiraient.
Les mémoires et dissertations peuvent être adressés au
bureau des Annales à Bruxelles , ou chez M. IVTéquignon-
Marvis, libraire de l’école de médecine à Paris, en hol-
landais, latin, anglais, allemand, espagnol, ou italien :
ils seront traduits avec la plus scrupuleuse exactitude : la
préface de l’ouvrage explique pourquoi la langue française
a été préférée pour la publication des Annales.
MM. les savans sont invités à employer la voie des léga-
tions et consulats de leur nation , afin de lever tout obsta-
cle à l’arrivée de leurs paquets. N’ayant pour but que P uti-
lité générale, et aucune intention de s’occuper de politique,
les rédacteurs des Annales espèrent trouver assistance et
protection chez tous les gouvernemens, et de la part de tous
les dépositaires de l’autorité.
Comme il faut tout prévoir, dans le cas où la voie que
nous venons d'indiquer présenterait quelques obstacles en
certains pays, on s’en rapporte à MM. les auteurs pour cher-
cher le moyen le plus économique afin de faire parvenir
aux rédacteurs, des travaux auxquels ceux-ci attachent un
trop grand prix pour regarder à quelques frais, qui seront
sans doute toujours au-dessous de la valeur des moindres
mémoires.
Le prix de l’abonnement est de 5o fr. par année, 27 fr.
pour six mois et 14 fr. pour trois mois. Les personnes qui
désireraient s’abonner, doivent indiquer à dater de quelle
époque , afin qu'on Jeur adresse la collection. Si leur abon-
(1) Messieurs les abonnes pourront juger du désir qu’ont les
rédacteurs de leur complaire , en considérant qu'au lieu de 4^
planches qu’eussent dû contenir les quatre premiers volumes , il
a été donné 71.
nenient commençait du mois de juillet 1819, elles auraient
droit à six volumes complets.
La poste étant une voie prompte et sûre, les personnes
qui le jugeraient convenable et qui désireraient les Annales ,
peuvent s’y abonner chez MM. les directeurs de poste aux
lettres.
MM. les libraires qui voudront entrer en correspondance
avec l’éditeur des Annales , pourront s’entendre avec MM. les
directeurs de poste, à moins qu’ils n’indiquent une autre
voie ( qui leur serait plus avantageuse) , et alors il en sera
fait usage.
On peut en tout temps s’abonner chez M. Weissenbruch ,
imprimeur du Roi , éditeur et l’un des propriétaires , chez
tous les directeurs de poste et libraires du royaume, et
principalement :
A Amsterdam , chez G. Dufour.
A La Haye, chez De Lyon.
A Liège , chez Mme. Collardin.
A Bruges , chez Bogaert-Dumortier et Mme. la Y •. De Moor. ,
A Paris , chez M. Mécjuignon - Mardis , libraire de l’École de
médecine (seul correspondant pour toute la France.)
A Londres, chez MM. Bossange , Masson et compagnie.
A Genève , chez MM. Manget et Cherbulier.
A Vienne „ chez M. Artaria.
À St.-Pétersbourg , chez M. St. -Florent.
A Florence, chez MM. Molini , Lundi et compagnie.
M. J. Franck , libraire allemand à Bruxelles, se charge de toutes
les demandes de l’Allemagne pour les Annales , qui se trouvent :
A Aix-la-Chapelle , chez lYi. S. A. Mayer .
A Bamberg , chez M. Kuschs.
A Bonn , chez M. Ad. Marcus.
A Berlin , chez MM. Dunker et Humllot.
A Cologne , chez M. Bachem.
A Darmsiadt, chez MM. Hcyer et Leske.
A Elberfeid, chez M. Burchler.
A Francfort , chez M. Herman , libraire.
A Hanovre, chez MM. les frères Hahn.
À Heidelberg, chez MM. Mohr et Winser.
A Leipzick , chez M. Barth.
A Mayence , chez M. Florian Kapfenberg.
A Munich , chez. M. Fleschman.
A Nuremberg, chez M. Schrag.
A Wurtzbourg , chez M. Schrag.
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