Full text of "Œuvres de J. Racine"

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OEUVRES 



DR L RACINK 



MUSIQUE 
DES (CHOEURS D ESTHER ET D^ATHALIE 

ET DES CANTIQUES SPIRITUELS 



PARIS I YÏMK.RAPIIIK I.AHliRl- 

Rue de Fleurus, 9 



OEUVRES 



DE J. RACINE 



NOI \ KI.LL Khi \\0\ 

BEVUE SUA LES PLUS ANCIERirES IMPRESSIOUS 
ET LES AUTOGEAPUBS 

I 

KT AUGMENTÉB 

iie morceaux inédits, des Tariantes, de notices, de notes^ d*un lexique des mots 
et locutions remarquables^ d'un portrait^ de tac-simile, etc. 

PAR M. PAUL MESNARD 



MUSIQUE 

DES CHŒURS 

IVRSTIIKR RT DATIIAI-IK 

ET DES 

CANTIiWlfl^ SIPIRITUELS 



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llJUiAlKlK HVCIIKÏÏK KT C 

BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 79 

1873 

Droits de propriété et de t/aductiou réservn 



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MUSIQUE 



DES CHOEURS 



D'ESTHER ET D'ATHALIE 



ET DES QUATRE 



CANTIQUES SPIMTUELS 



CHOEURS 

DB LA 

TRAGEDIE 

D ' E S T H E R 

AVEC LA MUSIQUE 

coMPosjéE PAR J.-B. MOREAU 

MAItTBI DB inrflQnX DO KOT 



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^ Ol TUE ^ r \ 

Dbnts THIERRY, rue Saint-Jacque;. 
-,„_,_ ; Claude BARBIN, au Palais. 

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GHaiSTOPHLB BALLARD, rue Saint-Jean«-de-Beauyais. 



M.DC.LXXXIX. 



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SiEB, 



J'ose ofirir à Vostre Majesté cet Ouvrage de musique, avec quelque 
sorte de confiance, puis qu'Elle a eu la bonté de témoigner plusieurs 
fois Elle-même, qu'elle Tavoit entendu avec plaisir. Je scay bien, 
Sire, que selon toutes les apparences, je dois un si heureux succez 
à la beauté du Sujet et à la magnificence des paroles qu'on m'a 
fournies, plûtost qu'à la délicatesse de mes Chants ; et que quand 
mesmes ces Chants auroient esté encore plus imparfaits qu'ils ne le 
sont, les louanges de Dieu qu'ils expriment, n'auroient pu manquer 
de vous les rendre agréables, et de faire sur vostre esprit leur im- 
pression ordinaire, sur tout estant chantées comme elles l'ont esté 
dans une Maison toute céleste et toute angelique, par des bouches 
aussi pures, pour ainsi dire, que celles des Anges mesmes. Mais à 
quelque raison que je doive attribuer ce succez ; c'est une chose si 
glorieuse pour moy, d'avoir pu contribuer par mon travail à délasser 
durant quelques heures le plus grand Prince de l'Univers, que cette 
seule pensée va faire désormais toute la félicité de ma vie. J*espère 
cependant , Sire , que le Ciel achèvera de bénir mon Ouvrage, en y 
faisant trouver sur le papier quelques-uns de ces mesmes agré- 
mens qu'on y a crû entrevoir dans la représentation, et me donnera 
des forces pour travailler dans la suite du temps à mériter peut- 
estre par des compositions plus vives, et plus dignes d'estre veuës 
de Vostre Majesté, les recompenses et les grâces inespérées dont 
Elle m'a déjà comblé par avance. 

Je suis avec un profond respect, 

Sire, 

de Votre Majesté 
Le tres-humble, tres-obéissant et tres-fidele sujet et serviteur, 

J. B. MOREAU. 



I. Cette épitrtt ne se tronve pas dans l'imprimé de 1696, mais seulement dans celai 
de 1689 



La musique des chœurs à^Esther et ÔiAtlmlîe par J. B. Moreau, et celle des 
quatre Cantiques spirituels^ œuvre du même musicien pour les trois pre- 
miers, de Michel-Richard de la Lande pour le quatrième, sont données ici 
telles qu'elles ont éié imprimées ou gravées du temps des compositeurs. 
On en eût sans doute rendu la lecture plus facile aujourd'hui, si Ton avait 
supprimé les clefs de sol première ligne, les clefs à^ut seconde ligne, les 
clefs de fa troisième ligne, ces clefs n'étant plus en usage que dans la 
transposition; mais une reproduction fidèle de ces œuvres anciennes a 
paru avoir son intérêt, et l'on s'est décidé à maintenir les vieux signes de 
notation tels qu'on les trouve dans les éditions du temps. Un change- 
ment toutefois a été jugé nécessaire. Le hécarre n'existant pas à cette épo- 
que, on le désignait par un hémol : comme le même signe employé à la 
fois dans deux sens différents pouvait jeter de la confusion dans la lecture, 
on s'est permis de remplacer les bémols par des bécarres toutes les fois 
qu'il en devait être ainsi. 

On a gravé dans la forme actuelle les clefs de fa (le C à l'envers Oî). 
On a rejeté comme inutile le redoublement de certains accidents à la 
clef, vu que, dans l'usage d'à présent, un seul bémol ou un seul dièse à 
l'armature se rapporte à toutes les octaves. 

Sur la page qui précède la musique à^Esther et à*AthaHe^ et sur celle 
qui précède les Cantiques^ nous donnons un spécimen (fac-similé) de la 
notation des vieilles éditions, où l'on remarquera que les notes ont presque 
partout, au lieu de la forme ronde aujourd'hui en usage, la forme carrée 

M. Charles Richner avait préparé les copies de la musique de Moreau, 
d'après les exemplaires du Conservatoire, travail minutieux qui demandait 
à la fois de l'intelligence et beaucoup de patience. La mort l'a frappé au 
mois de mars 1871, avant qu'ireût terminé sa tâche. M. J. B. AVeckerlin, 
membre du comité des études au Conservatoire de Musique, a bien voulu 
s'occuper de Tachèvement et de la révision de ce travail, en conférant les 
épreuves avec le texte original, et en faisant dans la notation les quelques 
changements dont il a été parlé plus haut. 

On a fidèlement reproduit les titres que portent les éditions du Con-» 
servatoire. Il nous a paru de quelque intérêt de réimprimer aussi les 
épîtres dédicatoires de J. B. Moreau, qui sont en tête des premières im- 
pressions de la musique à^Esther et de celle ÔiAthalie^ et le petit avis Au 
lecteur qui précède la musique des Cantiques, 

n y a à la bibliothèque du Conservatoire deux éditions, qui d'ailleurs 



s'accordent, de la musique d^Either : une de 1689, qui est celle dont nous 
ayons reproduit le titre, et qui contient VÈpitre au Roi ; et une autre, 
de 1696, intitulée : 

Intermède* en musique de la tragédie d^Esther^ Propres pour Us dames re» 
Hgieuses et toutes autres personnes. Par Monsieur Moreau, mautre de mu" 
sique et pensionnaire de Sa Majesté, — A Paris, chez Cfiristophe Ballard, 
seul imprimeur du Roy pour la musique, rue Saint-Jean de^Beauvaisj au 
Mont^Parnasse,^^ M,D,C,XCFl. Avec privilège de Sa Majesté, 

Cette bibliothèque possède, en outre, un manuscrit, portant les armes 
du Roi, et dont yoici le titre : 

ËSTHSH, tragédie tirée de PEscriture sainte. Faite par M. Racine, --^ Et la 
musique par M, Moreau, — Représentée devant Sa Majesté dans la Maison 
de Saint-Cyr, -— Et coppiée par Philidor Paisné, ordinaire de la musique 
du Rojr, de la mesme manière quelle a esté représentée à Saint-Cjrr, 



SpéciTROn (Fac Siinih ) de la notation (3e la 
¥Tisique a'Esthei? dans rÉdition deM.D.C. LXXXIX. 



DeJfttsdeVoiX 
^dîVïdon. 



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Contre- f^^tie. 



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O rives du JourdainîO champsaîrnez des Oeux! Sacrez 



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Spécimen (Jac ^màl^ ) delà notation delà 
Musique d'Athalie dans l'Édition du temps 
qui est à la Bibliothèque du Conservatoire. 



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TRA&EDIE D'ESTHER 



PREMIER INTERMEDE 

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PRELUDE POLK LK PIETE QUI DESCEND DU CIEL 



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nous ton. jours e _ xi . lé . es Du doux pa . ys de nos aï' . 



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nous lou -jours e _ xi . lé - es Du doux pa - ys de nos aï . 



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nous toujours ex.i - h* . es Du doux pa . ys de mes a. -ï'eux 



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nous tou.jours ex.i . lé . es Du doux pa . ys «de mes a. Jieux'f 



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. gneaiix li.vres a des loups fu.ri . eux, ^os sou. pirs sont nos 






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- t(v Ar.ra. étions^ dé. (Iii - rons tons ces vains or.ne.inerUs Qni pajenf 



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. roiïft tous ces vains or » ne . ineiits Qui pa.renl no - tre le . 




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mè.re-, Le fîls dans les bras de son pè.re-, Que de corps en.tas- 



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pu ine.ri-ler mou mal . heur? Ma vi.e à peLne a 




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. lasi si jeune en. -co . re, 



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pu iné.ri.ter ce mal _ lifurv Dfs of. .fen. 7<.se» d'au - 



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. ivni mal . Ii«u-reu.6e8 vie - ti.mes! Que nou» ser . wiil lit'- - 

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non^ il ne souLfri.ra pas Qu'on é. gor^e ain - si Tin .no . 

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.san.ce? Ce Dieu ja .loux, ce Dieu>i(Lto.ri- eux, Frémisse/ peuplesdela 



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ter-re,Ce Dieu ja . loux, €e Dieu vic.to.ri . eux Est U 




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.ner.re N'o-bé-is-sent ooint a vos Dieux II ren->Ter-se l'au'.da-ci - 




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Le Dieu que iiouft fier-vons est le Dieu descoin» 



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.liais. iVoii, non, il ne soiiMri -ra pas Qu'on e-gor^ ain - 



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-l)ats. Won, non, il ne sout'.fri .ra pas Qu on e-gorgeain 



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Dieu 



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gloi, .re cou - .roii . .ne'. 




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lu - inîère en - vi . 



-Ton . ue, Çui vo 



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que la lu . inière en . vi. .ron . ne, Qui vo _ . 




irûne 



por. 



par des 



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Dieu qui veux bien que de 



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Dieu qui veux 

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bien que de 



gim ^ pies en . 



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.fanttt \ « vec eux chan.tent les lou. .an. 



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-fanls 4 . vee eux chan.tenl tes lou- .an. . -g^s 
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vois nos pr«;8.8ant8 dan _ g^rs, Donne à 



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vois nos pres.sants daii . gers, Donne à 




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ton nom la vie . toi . re^ Ne aouf.fre point que (a 



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gloi.re Passe à des dieux e .tran . gers-. 



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^loi.^e Passe à des dieux é.tran- -gers; 




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nos pressants dan - gers. Donne à ton 



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Donne à ton nom la vie - toi . re. Ne aout-fre, 



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point que ta gloi.re Passe à des dieux é.tran.gers Passe à 



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point que ta gloire passe à des dieux e.tran. 



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gloî.re que ta gloi.re Passe à des dieux e.tran. -gers. 



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- fois la iner fe vif des . cen _ dre.Que les iné_ch«iit8appren-nent 




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-le - re! Qu'ils soient comme Ja poudre et la paiLle le - 



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- ge - re Que le veiil c'haafte de.vanl 



lui , 



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Qu'ils goi«iiit coin.ine la poudre et la pailLl»- le. jfe_re,Oiielf 




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vent clias-se de-vant lui, Qiit* le vent rhas 




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se de. vaut lui . 



On reprend le Chœur: Tu vois nos pressants dangers (Page 24 %) 

et ensuite l^Ouverture. 



FIN 

DU PREMIER ACTE. 



28 



S£€ON D ACTE . 



Comment ce courroux 
si terrible 

En lin momejtt s^eBt-il 
évanoui? 



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Udc Israélite. 




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Un mo.ment a ehan . gé ce cou . rage in.f le . 



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.xi. ble^Leli.on rugis, sant est un a . gneau pai.si 



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I 2«foi«. 






. ble. Dieu^ notre Dieu sans doute a ver. se dans son cœur Cet es . 




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.prit de dou.ceur. Dieu^ notre Dieu sans doute a ver. se dans son 



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CHOEUR. 



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coeur Cet es . prit de— .dou.ceur. Cet es. prit de dou.eeur.Dieu^ 



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Dieu^ 



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no . tre Dieu sans doute a ver. se dans son cœur 



Cet es 



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no . tre Dieu sans doute a ver. se dans son coeur 



La même Israélite. 



Cet es - 




-prit de dou - ceur.Tel qu'un ruis.seau do . ci . le 



0.bé.ît à la 



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Basse cuutiuue, 



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_ prit de dou . ceur. 



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main qui dé.tour.ne son cours^ Et laissant de ses eaux par.ta.gpr lèse. 




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.cours. Va rendre tout un champ fer. ti 



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Dieu de nos vo.lon . lés 



ar - bi.tre sou-ve . rain! Le cœur des 







Rois est ain.si dans ta main. Lecœurdes Rois est ain. si dans ta main. 



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30 



A deux. 



Tout son palais est plein 
de leurs images. 



j^A A deux 



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MaLheureux^ inaLheureux^ 

- . J' i' I f^ 



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Mal. heu. reux^ 



maLheu . 



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vous quit.tez le Mal . tre des 



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. mains 



Pour a - do _ 



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- reux, vous qiiil.lez le Mai . (re des hu. mains Pour a - do _ 




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- rer l'ouvra-^e de 



vos mains.Malheureux, 



vous quittez le 



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.rer l'on .vra-H*" <!** vos mains. 



Malhfii.r«'iix,vousqiiillez 1« 



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Mai. tre des hu.mains Pour a. do. rer Touvra-^çe de 



vos mains.. 




Maî.tre des hu.mains Pour a.do.rer l'ouvra-ge 



vos mains. 



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Dieu dis . ra . ël, dis.sipe en _ fin relie om . hre. Des 



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lar. mes de te** Saints quand se ras-tu foii.ché? 



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Quand se.ra le voile ar.ra. ché Qui sur tout l'u.iii-vtTs jette u.ne 



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nuit si Rom . bre? 



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Dieu dis. ra - ei, dis^sipe en 



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-fin cette orn.bre. Jus . qu'a quand seras - tu ca 



(hé? 



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Reste d'un tronc par les 
vents abattu^ 

Qui ne peut se sauver 
lui même 






CHOEUR. 



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Dieux im.puis . sants. Dieux sourds, tous 



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Dieux iro.puis . sants^ Dieux sourds, tous 




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ceux qui vous im.plo.rent. 



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Ne seront ja.mais en.ten . dus. 

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ceux qui vous im.plo. rent, N« 8e.ront ja.inais en.ten . dus. 




. dus 



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Que les Démons, et ceux qui les a.do.rent, et ceux qui les a. 




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Que les Démons^ 



et ceux qui les 



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. do. rent Soient à jamais dé . truits et con.fon . dus. 

.J. J J. 1 



Que les Dé 



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. do . rent Soient s^ jamais dé. truits et con.fon . dus 



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et ceux qui les a . do . renl, et ceux qui les a . 




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Que les Dé.mons, que les Dé . mons 



et ceux qui les a . 



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^M P (; F p#=^X:-^^^&-pi:i-3:^r^^:^ P 



_(1o.i»nl SoienI à jamais d*^.tniils el cou _foii _ dii^. Soi«nl à jamais dé . 



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_ do.reiU Soient ii jainais d<^ . Iniits «I conjoii - dus. Soient A jamais dé . 



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_ Uni! s p| ron.fon . dus. 



QiM* ma lioiiclip el mon 



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. tt'uits et con.fjan . dus 



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caMir. el tout iv 






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suis Rfii.denl lioiiiieiir an 



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//) . , <r FIN. 



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Dieu qui m'a don .né la vi 



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FIN. 



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Dans les ciain.les. 

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dans les en . nuis, En ses hon _ lés mon à .m»* se toii-li . 



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Veut -il par mon Iré.pas que \e le ><lo-ri . fi 



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34 



CHtiRCK. 




Sfinhl»* Ijoire a\er lui 
Im joiK à plfiiit' < Oii|M*. 



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H»'iiî»'ux. dit - on, Ifpeii.pl»* flo.ris . saut. 



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'tur zir. i r c r ir r r jf 



H»*iir»Mix, dil - on, l»'peii-p|p flo.ris . saut. 



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Sur qui <'es liieiis roit.lHiit en a . don . dan . 



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Sur qui res |»iens ion . !»nt en a . lion - dan _ . <e. 



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Plus heu _ renx le peuplein.no . «eut, Qui dans le Dieu du 




PluH heu _ renx le peuplein.no - reiil, Qui dans le Dieu du 



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Ci«l a mis sa con « fi . 



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Ciel a mis sa con . t'i . an 



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Plus lien . renx le peuple in _ no - eent, Qui 



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> renx le peuple in.no. cei^t Plus heu . reiix le peuple inno. rent . Qui 



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dans |p DiHii du Cirl a mis sa cou - fi - an - 



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Seuil*. ^ fc^ ^ 




Pour cou. tell . (er ses fri . vo 



If s dé. sirs, L'hoiniiMf iii<ifn. 



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assp rootinue. 



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- Rt' vaj.ne.inenJ st» cou . su. me. L'homme in'^fn _ se vai.ne'_ 



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me. Il Iroii-ve l'amer, lu 



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An tni.lieii des . pliti.siirs. Il Iroii . ^t- l'amer . lu . me 



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Au mi. lieu des plai.sirs. Au mi . lieu des plai . sirs. 






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Nf cher . ehoiis la fe.Ii.ci . t»- Qiie dans la paix de I'in_no_ 



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(•♦'. Nr cher, (hoiis la le.li-ci _ lé, la fé-Ii-ci, 






,I ! j F f rr I "r ir L l, I I r ' P. Ii,^ 




.lé Que dans la paix de l'in.no.cen . ce. Que dans la 



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dou.ce paix'., o lumière éter. 




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paix de rinno.cen . 



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- nel . le!. Beauté toujours uou . vel 



le! Heu ^ reux le 



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cœur é.pris de tes al _ liails 



Heu.reux le coeur é.pris de 



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(•-s — al . traits! dou.ce paix! o lumière «ter . iifl . le 




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Heu.reux le cœur qui ne te perd 



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l»aixî o lii_ini»'i»' »• - (»f . ii»*l , If! Beaii-U* 



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nel - !♦*! Hfii - irux !♦• 




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o In.ini»'!»* r-t»'!' > nel _ I»*! 




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inifrTe élerneJlH, é.ler . iu'\ . W\ H^^ii-rt'iix Ip ra'iir qui ih* !♦* 






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ja _ mais! 



Hen.reiix !♦' coHiir qui ne le perd 



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perd ja . mais! Heu . reux le coeur qui ii»* !♦' perd 



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_ mais.*^ 



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. mais. Nul . le paix pour J*iin 



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L»* glaivH au dehors W pour. suit. Lt^ r^. mords a»i de 




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-dans \e gla . ce. Le glaive thi dehors le pour. 



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. ■-nil, an dt'hors l« pour, suit . Le rf.inords au de.dans l« 



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Le remords aiJ dedans I»* ^la _ 



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La Kloi_ re* d»'8 inéchanls ♦^n un ii)oin»*iit sV'.ifiij|.Latf?'*-ii.\ loin _ 



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Has:,e «iiiidiiiif» 



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-beau pour ja. uiais les ilf^ . vo . 



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Il '♦•11 est pas aifi - si 



de ce . lui qui 1«' 



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^^ V H'iff HP c P IF' r ta^ f^-^ 



craint^ Il re.naîlra^inoii Dieu^ plus bril . lant 



que Tauro 



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Il iiVii est pas aiii . si de ce . lui 



qui le 






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craiiil, Il reiiaiha, mou Dieu, plut^ brillant que lauro 



re 



3^ 



pr ir'p 



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1 



R^pr^n^s [(* chant:. douce paix ( p«^e 57 ). 



42 



ENTR'ACTE. 




g-a-7h-4^-t^-^ ^ 



r'P'r N'M' ^" 



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X- 



if'fr- r i TT r— 




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rif III 




y-, f • -^ji^ 





.^> rrr/f ■ nirrrr 



rrrirf' ftiH-^ 



i ; I M Hl^=#F^-^4f=^r- p lp- p p 



pr rrjjir n iiiM' r rfrri^^j;tpn^ 



45 



( é^JTF^-^^-H^ ^ 



f -^n-^ r^ ^m 



f—f-ti: -r=H= ^^ 



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FIN 



DU SECOND ACTE 



44 



TROISIEME ACTE. 



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une Israëliie. 



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Ooinine autrefois David par -tf; " a r • • E. f J ^f^ 

des accords clmrmaiits »'^ 7/ 7 ! . ,' , 

>i..,. ., ,, D ' ' I 1 V'"' l" p«iiplf est Mfii .reiix.Lorsqu un 

talinail d un Koi jaloux la '^ "^ - . • 

«auvax»* Irisli-sse . ti. g _ p 



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roi gé_n(*.reiix Ciaiiil dans (oui Tu. ni .vers veut en <'0. rf* qu'on 



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H--=^r-t7-p-f Mi-j^#M 



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l'ai m»"! Heureux le peuple! heureux l«- roilulinè . me! 



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o (lanquil.li . té! 







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le.pos! o tranquîLli . t»*! 



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o lian_quil _ (i . té 



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re.pos; 



o Iraii.qiiil . li . lé d'un hou.lieur par 



45 



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d'un lioiLh»"!!!' par . fiiil as . su . rame é . irr 




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as - Hu . ian<<' 



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%' i' }^ i' ^^^f"[^n?~rf(p=f==;i-T=^^^^"n 



- iifl_ hîQiiaiïd la siJ-pr«^iTif* auto.ri . lé Dans ses coiisrils a loiijours aiipus 



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.iiel. le! as.su.ranct* 



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il'el .le La jus » lice el la vé . ri - lé! i) ré.pos 



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. le,! re.pos! o Iran _ qiiil . li . lé! 



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re. pos! o re. pos! o Iran . quil . li . 



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H'iiii par. fait hon.lifiir as.siiiaiM*^ ♦•-lt*r. 



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Qiii<n(1 la su. pîT'int' au-to - ri - 



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- iit'l _ h'! Quand la su . pininc aii.to . ri -té Dans ses con _ 



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_ té Dans s*'s ronseils a ton joiis an . près dV-l . le La 




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. st'ils a toujours auprès dVI _ !♦• La jus . ii _ cp^ la 



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jiis.tice et ta vé.ri . téî rf.pos! 



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otratiqnil.li . té 




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jus . lien et la v»'.ri . (('•! 



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rp-posî o tran.cjuil . li 



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Roip,(lias_8«^z la (.'a-loin- ni. f*, S»'siriini-!W'ls al_h'n _ lats Dt's plus 



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pai . 81 . Llesé.tats Trôubleul l'ht^iLUMisf^liai ino-iii 



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pai , si _ blés é . lais Troublt^iit rfi**u.r*'us« liaiino.ni 




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Aufi'f*s Couplets sut* le même chant. 

Sa fureur de san^ avide 
Poursuit partout IMnnorenl 
RoiSj prenez soin de l'absent 
Contre 8a langue lioinicide. 

Deee monstre si farouche 
Craignez ta feinte douceur; 
Laveng^eance est dans son cœur, 
Et la pitié dans sa bouche. 

La fraude adroit e et subtile 
Sème de fleurs son chemin; 
Mais sur ses pas vient enfin 
Le repentir inutile. 



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D ini fioiif, fU* la . rjiii . Ion «^ . car _ 



. le 1rs lin . a 
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^e8_, El <-has8e au loin la foudre et Vs o- 



- la.^es.El chasse au loin la foudre e| les o .ra _ ^^"^^ 



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. r;ir_ .le d*ini re _ . ^ard le |»er. .t'i#f>< im . pos leur. 



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l'ad.mire un roi vie. .to_ri«eux Que la va . leur von « 
. duit tri.omphaDt en tous lieux tri.omplranf 




en touf; 







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lieux. Mais un roi sa.geet qui liail Fin. .jus. 




id^^HJ^i^^f-r-t; ^p p. le p-^ p p j r-f-f i 



. ti . ce Qui sous la loi du ridieim.pe.ri. .eux ]Ve sou tJre point que le 




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pau. .vre ge. mis.se Est le plus beau présent des cieux. 

Autre. i Aiiti-e. 






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La veuve en sa dé. .fcnsees.pè. .re. 



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De l'or, phe - 



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. re.* Et les lar.mes du 



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- lin il est le pè . 



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juste im.plo _ raiit 



son ap . pui Sont pre.ci.en_ .se? 



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„vant lui. El les lar. mes du juste-im.plo _ 



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son ap . . piii Sont pre . ei _ eu . ses devant 

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lui Sont pre. ci- _eu - - - M?8 de _ . vant lui. 

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BjtotirikPJIe. 




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_ reil. -les De fou( con.seil bar. .Lare et men . son _ 



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- ger. De fout con,»eil bar. .bare et inen.son . . ger . îl est 

fin 



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temps que tu te. .veil . les-. Il est temps que tu te. 



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sang in. _no. .cenf ta 

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main va se pion . - ger, Pen. .danl 



que tu som . 



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. meil . . les. Pen. .dant que lu som . meil . . les. 



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AiiLsi puis. se tous toi trembler la terre en» -tiè.re. Ain . 



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. si puisse à ja . mais eoiiJre tes en. ne. mis Le bruit de ta va _ 






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^ ^^ ^i.^^. f=.f^i-. J-,.-^,^iajE^^^L,,-^ 



. leur le ser.vir de barJ .rie. re. S'ils t'at. .(a-quent, qu'ils 



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soient en un moment sou . . mis. Qi^^ ^^ ^^n bras la for.ce les ren. 



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- ver^se. 0"** de ton nom la ter.reur les dis. per.se. Que 



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loMf leur camp nom^hr<^itx soit de.vant tes sol . dats Cora • 



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- me d'en^fants u . ne troupe i . nu. ti . le. Et si par un che. . 



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8or. .te par plus de 



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Ma relie . 



Ta sagesse conduit 
ges desseins e'temels 






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Dieu 



fail trj- .oin- .pîfer Pin . no. .cen. ,te, Chaii _ 



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_ Ions, c*é . h' . brons «^a puis » san . ce. 





tons, ce .lé - hroîïs sa puis _ san »ce. 



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Dieu fait Iri _ om. .pht^r^l'in . no 

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Dieu fait tri . oin^ -pht*r Pin. no 



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. cen « ce, €han . .tons ce. le. . brons sa puis, san . 



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eé . lë. .brons sa puis * san . 




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fait tri . om . pher Tin.uo . cen. ce. 




Chan . tons ce. le . brons sa puis . 





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Chan. tons ce. le ^ brons sa puis . 



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fait (ri_ .om . pher l'iiuiio. .cen.ee, Chan. .tons, 



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- luirons sa puis. . saii 



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- c*e. Dieu fait <ri . oui. 



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. brous 8a puis . . 8an . 



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Chan - tons, ce. le 



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- phtM" Pin. -no. . cen _ ce, Cliaii , tons, ce . té. brons^sa puis . 



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. b^ons sa puis . . san . ce, Dreu fait tri.oni* phèr Tin . uo. 



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- San. Ce. Cban. «fons, ce . lé« . brons 



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. cen . ce, Chan . tons ce . le. .brons sa 



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con . tre 



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. san . 



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a^±-i^i^uu H }, >! | , > | , J J>^i 



nous les iné. chants s'as-.sem . bler. Et no . tre sang prêt à cou. 



V 



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_ 1er. Comme IVau sur la terre ils al . laient 



re . 



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. pan . drti. Ils al . In'wnl le ré . pan _ _ dre. 



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f-^ . p^-^T=f^j=4| =p ^^ -f r j jL^ 



dn*. Du haut du ciel sa voix sVst fait en . ten.dre. Thoninie su . 



f^^m^^m^m^Êm 



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f f^a,j- .. H^.1^^.7J^j , } ^ 



. perlieestren-Ver - se' Ses pro.pres flè - 



. ehes lV)nt per . 



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. ce, Ses propres flè . 



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. ehes Pont 



per. _ce. 



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J'îfi vu IMra.pie a- do . re sur la ter, re . Pa-reil au 






^ ^i r • r f j l â 



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cèdre, il ca.chait dans'les Gieux Son front au . da . ci . eux. Son 







front au.da.èi. .eux. Il s<»mJ)lait à son ^re gou«ver . ner 



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pieds î*rs en . ne.mis vàiii . eus. Fou.l^vit aux pieds sea en - ne-mis vain. 



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. tait de. .ja 



plus. 



Il n'e - lait d<* . ja pln<. 




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On peut de8 plus grands rois sur . pren . dre la jus . 



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- ti . ce. In - ca . 



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pa . blés de trcm . per, Ils ont 
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peine a^s'e.ohap- 



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Des pie . ges de Par. .ti. . f i . 



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Uncoeurnoble ne peut soupijonner en au . trui La bassesseet la ma 




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- li - ce Qu'il nesenl point en lui Un coeur no.blé ne peut soupçon. 



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-f-t-^^-h-r--=MHHi-HR^F J J' J' I 



- ner en au . trui La bas . ses.seet la ma. .li. .ce Qu'il 

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lit' sent point en lui. Qu'il "^ ^^nt point 



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Lue ;«ti(r( 



Vnv atilr^". 



lui Comment s*es( calme To . ra . te? QiieLîe 




Comment s'est calme To . ra . ge? QiieL'.emain sa. lu - 



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L'ai . maille E« 



Si'uU' 




. Iher a fait eeKrandou . vra. -ge. De Ta . mour de son 




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. ther a fait cegrandou . vra. - ge 






Dieu soncœuréfesleiD- bra. .se. Au pe . ril d'u . ne moit fii 



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J^^LàJ=^ P p P | i-3rr.y ^ 



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. . neste, Son zèle ardeot s'esl ex.po . se. Elle a par. 



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Es . ther a tri _ om . 



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des fil« .les des Per . sans. La na. .ture et le 




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Pont or. ne- .e . Tout res. sent de ses 



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les ciiar . .mes in . no. .cents Jamais tant de beau. 



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. pbe deg fil . . les des Per ^ sao» , I<rt n» 

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coiMir sont «n . cor plus puis. .sants.sonf en . cor plus puis- 

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- santfi. Jamais tant de veF. .tu fui - el . -le cou.ron . 



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Êg- -ther a tri . om . phe des fil- -les des Per - 




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- sans. La na. . ture et le ciel à l'en. ...vi 



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-sans. La na. «fure et le ciel à l'en, -vi 



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cœur sont en. .eor plu8 puis, sants. Jamais tant de ver. 



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yeux Tes char, mes in.no. cents. 



Jamais 



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. le cou.ron . 



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fil- -les des Per. -sans 



la na- . ture 



et le 

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ciel à Peu - - vi 



l'ont or- -né- -e. 



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ciel k l'en - -vi 



l'ont or- -n<^- - e . 




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Oieii n'est plus ir - ri . _ té Ré-joii-is 



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toi. Si -011. et sors de la dous . 



toi. Si . 011^ 



sors de la 



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ta splendeur pre . mîè . 

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Les chemins de Si 



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- on à la fin sont ou . verts. Rom _pez vos tVrs, IVi - lius cap . 



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Re. pas sons li^s monts t*t 



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mers. Ran.semblons- 




Ras . sem.blons - nous des bouts de Tu . ni . vers. 






>yt p p r r =i£ir-H.f+f^ 



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Fin. 



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-nous^ras.sem.blons - nous des bouts de 1*u . ni . vers. 



Une Uraêiite. 



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ces (ram . pa . gnes si 



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de mes 



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olait d'è - tre a . do . ré. Que de Tor le plus 



tre a . do . ré. Que de Tor le plus 



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pre-pa - rez vos can . 



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Il nous fait rem.por . 




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lui par _ ta - ger notre a - inour? Ah! qui peut a - vee 



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_ ger par - ta . ger nçtre a . inour? Ah! qui peut a > \ev 



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lui par > ta . ger par. ta _ 



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peut a . vec - lui par. ta . ger notre a 



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LA MUSIQUE 



D'ATHALIE 



PAR J.-B. MOREÀU 

MAISTRB DB MUSIQUE DU BOT 

COMPOSEE PAR ORDRE DE SA MaJESTë 

Gravée par H. de BAUSSEN 

Vol. in-4*. Quatre livres relié en veau 
et trois livres en blanc. 



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SE VEND A Î>ARIS : 

Chez rAuTHEtJR, rue Saînte-Croîx-de-la-Bretonnerie; 

Oiez Monsieur Loyauté, m* écrivain, 

Et chez Foucault, marchand -papetier, 

rue Saint-Honoré, devant la rue des Bourdonnais 

A LA REGLE D'OR. 

ATEC PBITIUtGB DB SA MAJB8TB. 



AU ROY 



Vostre Majesté, qui fait tout son plaisir des Ouvrages de piétë, 
m'ayant ordonne de mettre en musique les cantiques d'Athalie, 
m'ayant mesme marqué qu'elle y trouvoit plusieurs airs de son goût ; 
j'ose les lui ofiBrir, puisque je dois tout ce que je sub et tout ce que 
je possède aux bienfaits de Votre Majesté» de qui 

Tai l'honneur d*être, 

Sre, 
Le très-soumis, très-fidele sujet et serviteur, 

J. B. MOREAU. 



ATHALIE 



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eo _ _ _ re Ver. _rons 



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en pour vous. ^ ^ 4 " F I p 



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fleurs en fleurs , de 



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FIN 



CANTIQUES 



CHANTEZ 

DEVANT LE ROY 

ET COMPOSEZ 

PAR M. MOREAU 

Maistre de musique et pensionnaire de Sa Majesté, 

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PROPRES POUR LES DAMES RELIGIEUSES 

ET TOUTES AUTRES PERSONNES 



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CHEZ CHRISTOPHE BALLARD 



SEUL IMPBIMEUR OU BOY POUR LA MUSIQUE 

Rue Saint-Jean-de-Beauvais 

AU MONT-PARNASSE 

M DC XCV , 
ATEC PBITILEGR DE SA BIÂJESTB. 



AU LECTEUR 



Ces cantiques sont souvent chantez devant le Roy, et ils ont le 
bonheur de ne pas dëplaire à Sa Majesté. On espère aussi que le 
Public n'en sera pas mécontent. Et comme ils ont été faits pour être 
aisément chantez dans des maisons Religieuses, on y a observé la 
règle des Cantiques, qui est de faire passer plusieurs stances sur une 
même modulation à voix seule avec la basse continue. Ce sont tous 
airs détachez. Les uns sont propres aux voix de dessus, les autres 
aux voix de basses ou de bas-dessus. 

Les trois premiers Cantiques sont de la composition de M. Mobeau, 
maitre de musique, et pensionnaire de Sa Majesté, si connu par la 
musique âiEsther et â^Athalie, Le dernier a été composé par M. de 
Là Laitdb, sur-intendant de la musique de Sa Majesté. 

Si quelques curieux désirent les <woir avec toutes les parties et les 
symphonies^ ils fi auront qu*à s* adresser à M. Moreau^ dans la 
Fieille-Ruë-du-Temple ^ viS'à-vis la rue Sainte-CroiX'^'la^Breton-' 
nerie, chez Monsieur Cailljr^ procureur. 



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A LA LQUAN&E DE LA CHARITÉ 



Tiré de S'. PAUL . 1 , «ttz Corinthiens^Chap-. 13. 



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CANTIQUE SECOND 



PLAINTES D UN CHRETIEN 



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SLR LES CONTRARIETES QU IL EPROUVE AU-DEDANS DE LUI-MEME. 



Tire de S'. PAVL aai Romains, Chap:7 ^ 






Seule. 



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CANTIQUE TBOISIEME 



SUR LES VAINES OCCUPATIONS 



DES CENS DU SIECLE . . 



tire de dhers endroits Q'ISAÏE et de JÉrÉMIS. 




Seule 



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. ifiix rhom.me oui ton . de Sur le» 



rhom.me qui fon . de Sur 



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_ ment Cher. cher des sour . 



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CANTIQUE QUATRIÈME 



SUR LE BONHEUR DES JUSTES 



ET SUR LE MALHEUR DES REPROUVES . 



Tire de la Sagesse, Chap.. S . 






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ches - se L'es. ..poir de ses der . ni'ers 






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ches - se L'es. _ poir de ses der . niers 



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jours: La mort n'a rien qui IV. 




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- Ion . ne; El, dès qu»^ son Dieu Tor . don . 



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- ton - ne; Et, des que 



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ton - ne; Et, dès qui^ son Dieu Por_ . 



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La Seconde fois on peut dire la Repris^ en Duo, 
comme elle est ci- après: 




DUO, domeemtni , 



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sain . te et pe . . ni 



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Par quel che.min dif.fi. 



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Pour trou. 



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. mais 



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On peut encore repeter cette reprise en Duo . 



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bien . _ « heu , - . 



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A. la place de ce Couplet on peut dire le Duo ci-après, 
qui est sur les mêmes paroles. 



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DUO. 



De nos. at _ teo . tats in. . 



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Dont notre or. . gueil s'est.. 
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5 # 6 



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nos at - «leii- , «tais m _ _ 



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nos at_ . ten . . _ latp in. . 




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fruil nous est- -il res. - 



_ _ _ JUS - . les Quel 



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fruit nous est- -il res- . 



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. gus» tes Dont notre or _ gueil s^st flat» _ te' De 



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-gean.ce Ap . pe . .les en ju. -ge . . .ment, Fai . 



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- gean.ce Ap.pe. .les en ju. -ge . . .ment, F?u _ 




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tris . tes vie . _ . ti « mes, Nous y ve. . 



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cri- «mes Ac _ fom « p;\ _ 



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cri. «mes Ac . com « pa « 



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» gnés seu _ - le _ 



» menî Sans a- ment. 



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- gnes seu _ _ le _ 



- ment Sans a _. ment. 



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. ve, Ex_pri»me- « ra ses re 

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